inputs
stringlengths
48
2.12k
targets
stringclasses
2 values
Commentaire : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Le commentaire est-il positif ou négatif ?
neg
Avis : " Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13". " L'avis est-il positif ou négatif ?
neg
Critique : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." La critique est-elle positive ou négative ?
neg
Evaluation : " Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13". " L'évaluation est-elle positive ou négative ?
neg
Ce commentaire sur le produit est-il positif ou négatif ? Commentaire : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Réponse :
neg
Cet avis sur le produit est-il positif ou négatif ? Avis : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Réponse :
neg
Cette critique sur le produit est-elle positive ou négative ? Critique : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Réponse :
neg
Cette évaluation sur le produit est-elle positive ou négative ? Evaluation : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Réponse :
neg
Commentaire : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Ce commentaire sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
neg
Avis : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Cet avis sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
neg
Critique : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Cette critique sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
neg
Evaluation : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Cette évaluation sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
neg
Ce commentaire sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Commentaire : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Réponse :
neg
Cet avis sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Avis : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Réponse :
neg
Cette critique sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Evaluation : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Réponse :
neg
Cette évaluation sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Avis : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Réponse :
neg
Voici un commentaire laissé par un client sur un produit. Diriez-vous qu'il est négatif ou positif ? Commentaire : Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13".
neg
Voici un avis laissé par un client sur un produit. Diriez-vous qu'il est négatif ou positif ? Avis : Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13".
neg
Voici une critique laissée par un client sur un produit. Diriez-vous qu'elle est négative ou positive ? Critique : Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13".
neg
Voici une évaluation laissée par un client sur un produit. Diriez-vous qu'elle est négative ou positive ? Evaluation : Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13".
neg
Commentaire du produit : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Ce commentaire dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
neg
Avis du produit : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Cet avis dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
neg
Critique du produit : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Cette critique dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
neg
Evaluation du produit : "Si vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13"." Cette évaluation dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
neg
Le commentaire suivant exprime quel sentiment ? CommentaireSi vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13".
neg
L'avis suivant exprime quel sentiment ? AvisSi vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13".
neg
La critique suivante exprime quel sentiment ? CritiqueSi vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13".
neg
L'évaluation suivante exprime quel sentiment ? EvaluationSi vous cherchez du cinéma abrutissant à tous les étages,n'ayant aucune peur du cliché en castagnettes et moralement douteux,"From Paris with love" est fait pour vous.Toutes les productions Besson,via sa filière EuropaCorp ont de quoi faire naître la moquerie.Paris y est encore une fois montrée comme une capitale exotique,mais attention si l'on se dirige vers la banlieue,on y trouve tout plein d'intégristes musulmans prêts à faire sauter le caisson d'une ambassadrice américaine.Nauséeux.Alors on se dit qu'on va au moins pouvoir apprécier la déconnade d'un classique buddy-movie avec le jeune agent aux dents longues obligé de faire équipe avec un vieux lou complètement timbré.Mais d'un côté,on a un Jonathan Rhys-meyers fayot au possible,et de l'autre un John Travolta en total délire narcissico-badass,crâne rasé et bouc proéminent à l'appui.Sinon,il n'y a aucun scénario.Seulement,des poursuites débiles sur l'autoroute,Travolta qui étale 10 mecs à l'arme blanche en 8 mouvements(!!)ou laisse son associé se faire démolir la tronche pendant qu'il scrute à la jumelle.Ca pourrait être un plaisir coupable,tellement c'est "hénaurme",c'est juste de la daube dans la droite lignée d'un "Transporteur","Taken"ou "Banlieue 13".
neg
Commentaire : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Le commentaire est-il positif ou négatif ?
neg
Avis : " Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant. " L'avis est-il positif ou négatif ?
neg
Critique : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." La critique est-elle positive ou négative ?
neg
Evaluation : " Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant. " L'évaluation est-elle positive ou négative ?
neg
Ce commentaire sur le produit est-il positif ou négatif ? Commentaire : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Réponse :
neg
Cet avis sur le produit est-il positif ou négatif ? Avis : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Réponse :
neg
Cette critique sur le produit est-elle positive ou négative ? Critique : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Réponse :
neg
Cette évaluation sur le produit est-elle positive ou négative ? Evaluation : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Réponse :
neg
Commentaire : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Ce commentaire sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
neg
Avis : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Cet avis sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
neg
Critique : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Cette critique sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
neg
Evaluation : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Cette évaluation sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
neg
Ce commentaire sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Commentaire : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Réponse :
neg
Cet avis sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Avis : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Réponse :
neg
Cette critique sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Evaluation : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Réponse :
neg
Cette évaluation sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Avis : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Réponse :
neg
Voici un commentaire laissé par un client sur un produit. Diriez-vous qu'il est négatif ou positif ? Commentaire : Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant.
neg
Voici un avis laissé par un client sur un produit. Diriez-vous qu'il est négatif ou positif ? Avis : Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant.
neg
Voici une critique laissée par un client sur un produit. Diriez-vous qu'elle est négative ou positive ? Critique : Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant.
neg
Voici une évaluation laissée par un client sur un produit. Diriez-vous qu'elle est négative ou positive ? Evaluation : Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant.
neg
Commentaire du produit : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Ce commentaire dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
neg
Avis du produit : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Cet avis dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
neg
Critique du produit : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Cette critique dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
neg
Evaluation du produit : "Trash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant." Cette évaluation dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
neg
Le commentaire suivant exprime quel sentiment ? CommentaireTrash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant.
neg
L'avis suivant exprime quel sentiment ? AvisTrash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant.
neg
La critique suivante exprime quel sentiment ? CritiqueTrash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant.
neg
L'évaluation suivante exprime quel sentiment ? EvaluationTrash, re-trash et re-re-trash...! Une horreur sans nom. Imaginez-vous les 20 premières minutes de Orange Mécanique dilatées sur plus de 70 minutes de bande VHS pourrave et revisitées par Korine à la sauce années 2000 : les dandys-punk de Kubrick ont laissé place à des papys lubriques déguisés en sacs-poubelles forniquant les troncs d'arbres, le dispositif esthétique se résume à du filmage-réalité enfilant des scènes de destruction, de soumission, de pornographie ou encore de maltraitance ( youtube, youtube et re-youtube...) et la bande-son se limite à des ricanements malades, des rengaines obsédantes et limitées, de la logorrhée sans queue ni tête surgissant par bribes poétiques ( hummm....) et des explosions de pétard et de débris. Sur le plan émotionnel c'est une réussite complète puisque Korine parvient - avec une économie de moyens évidente dès les premières secondes - à flanquer un malaise d'une rare intensité en reprenant tout un pan des codes du porno-trash voire du snuff-movie. Mais c'est trop. Beaucoup trop. A tel point que cet objet bizarre à plus d'un niveau dérange ad nauseam et ne séduit jamais, même dans son incontestable maîtrise de la caméra et de son langage. Une sorte de Gummo sans l'inspiration ni l'ampleur. Quelque chose d'affreusement délétère se dégage de cette vidéo hallucinante et hallucinée, mise en images d'une bande d'idiots consanguins perdue dans un pitoyable autodafé white trash. Autant revoir le chef d'oeuvre de Lars Von Trier qui - au moins - avait quelque chose à transmettre... Efficace mais profondément débile et perturbant.
neg
Commentaire : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Le commentaire est-il positif ou négatif ?
neg
Avis : " Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train ! " L'avis est-il positif ou négatif ?
neg
Critique : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" La critique est-elle positive ou négative ?
neg
Evaluation : " Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train ! " L'évaluation est-elle positive ou négative ?
neg
Ce commentaire sur le produit est-il positif ou négatif ? Commentaire : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Réponse :
neg
Cet avis sur le produit est-il positif ou négatif ? Avis : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Réponse :
neg
Cette critique sur le produit est-elle positive ou négative ? Critique : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Réponse :
neg
Cette évaluation sur le produit est-elle positive ou négative ? Evaluation : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Réponse :
neg
Commentaire : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Ce commentaire sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
neg
Avis : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Cet avis sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
neg
Critique : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Cette critique sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
neg
Evaluation : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Cette évaluation sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
neg
Ce commentaire sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Commentaire : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Réponse :
neg
Cet avis sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Avis : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Réponse :
neg
Cette critique sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Evaluation : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Réponse :
neg
Cette évaluation sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Avis : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Réponse :
neg
Voici un commentaire laissé par un client sur un produit. Diriez-vous qu'il est négatif ou positif ? Commentaire : Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !
neg
Voici un avis laissé par un client sur un produit. Diriez-vous qu'il est négatif ou positif ? Avis : Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !
neg
Voici une critique laissée par un client sur un produit. Diriez-vous qu'elle est négative ou positive ? Critique : Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !
neg
Voici une évaluation laissée par un client sur un produit. Diriez-vous qu'elle est négative ou positive ? Evaluation : Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !
neg
Commentaire du produit : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Ce commentaire dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
neg
Avis du produit : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Cet avis dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
neg
Critique du produit : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Cette critique dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
neg
Evaluation du produit : "Et si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !" Cette évaluation dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ?
neg
Le commentaire suivant exprime quel sentiment ? CommentaireEt si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !
neg
L'avis suivant exprime quel sentiment ? AvisEt si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !
neg
La critique suivante exprime quel sentiment ? CritiqueEt si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !
neg
L'évaluation suivante exprime quel sentiment ? EvaluationEt si, dans les 5 premières minutes du film, la pathétique maquette de train fendant la neige en gros plan laissait bien augurer du reste ? Si cet artifice trop visible illustrait toute la lourdeur des 100 et quelques minutes de bobine, tous ces atermoiements, tout ce sentimentalisme à deux balles… ? Et une fois ce « train » arrivé en gare, qui peut croire honnêtement au coup de foudre du Comte Vronsky pour Anna ?! Or tout le film est axé sur ce moment… Seule le petit délire suicido-ferroviaire final d’Anna est à la hauteur. P… de train !
neg
Commentaire : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" Le commentaire est-il positif ou négatif ?
neg
Avis : " Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu ! " L'avis est-il positif ou négatif ?
neg
Critique : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" La critique est-elle positive ou négative ?
neg
Evaluation : " Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu ! " L'évaluation est-elle positive ou négative ?
neg
Ce commentaire sur le produit est-il positif ou négatif ? Commentaire : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" Réponse :
neg
Cet avis sur le produit est-il positif ou négatif ? Avis : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" Réponse :
neg
Cette critique sur le produit est-elle positive ou négative ? Critique : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" Réponse :
neg
Cette évaluation sur le produit est-elle positive ou négative ? Evaluation : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" Réponse :
neg
Commentaire : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" Ce commentaire sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
neg
Avis : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" Cet avis sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
neg
Critique : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" Cette critique sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
neg
Evaluation : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" Cette évaluation sur le produit exprime-t-il un sentiment négatif ou positif ?
neg
Ce commentaire sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Commentaire : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" Réponse :
neg
Cet avis sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Avis : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" Réponse :
neg
Cette critique sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Evaluation : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" Réponse :
neg
Cette évaluation sur le produit a-t-il un ton négatif ou positif ? Avis : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" Réponse :
neg