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Voici un commentaire laissé par un client sur un produit. Diriez-vous qu'il est négatif ou positif ?
Commentaire : Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu ! | neg |
Voici un avis laissé par un client sur un produit. Diriez-vous qu'il est négatif ou positif ?
Avis : Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu ! | neg |
Voici une critique laissée par un client sur un produit. Diriez-vous qu'elle est négative ou positive ?
Critique : Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu ! | neg |
Voici une évaluation laissée par un client sur un produit. Diriez-vous qu'elle est négative ou positive ?
Evaluation : Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu ! | neg |
Commentaire du produit : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" Ce commentaire dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | neg |
Avis du produit : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" Cet avis dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | neg |
Critique du produit : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" Cette critique dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | neg |
Evaluation du produit : "Mon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu !" Cette évaluation dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | neg |
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CommentaireMon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu ! | neg |
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AvisMon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu ! | neg |
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CritiqueMon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu ! | neg |
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EvaluationMon dieu ! Quelle métaphore filée ! Je suis abasourdi ! Mais réellement, ici on a une métaphore filée de l'acceptation que sa mère puisse à nouveau avoir une sexualité avec quelqu'un d'autre que son papounet chéri ! Freud est aux anges et moi aussi ! Sauf qu'en fait c'est nul... Ce n'est pas un Disney Channel Original Movie très intéressant, faut dire qu'il est franchement vieux, il date de l'an 2000, d'un autre millénaire ! Les gens qui ont fait ce film n'ont pas connu le 11 septembre ! Vous vous rendez compte ? Toute cette candeur était encore possible ! époque bénie des dieux ! Outre la blague, on retrouve déjà tous les poncifs du genre, la meilleure amie noire, l'ennemie qui devient l'amie... la belle soeur qui au début énerve et puis finalement on s'y attache... oh que c'est mignon... ça me donne la nausée. Bref vous n'aurez compris rien que du très classique ici, mais ce qui m'énerve c'est la tête des actrices, sérieusement, c'est physique, rien que voir leur tête me donne des envies de meurtre, que je tente de réprimer bien entendu... mais le pire c'est le beau père... une catastrophe... c'est "censé" être le personnage "comique", mais on est au niveau Kev Adams de l'humour... Un sketch de Norman c'est drôle à côté... Oui, parfaitement, j'ose aller jusque là ! Je n'ai peur de rien ! Du coup c'est plus une curiosité qu'autre chose... je crois vraiment que l'âge d'or du DCOM (vers la fin des années 2000 et début 2010), ce qui les rend si frais et si beaux n'oeuvre pas encore ici. C'est juste long et chiant. Je note néanmoins quelques tentatives d'humour, genre le beau gosse qui dit qu'il aime faire de la planche à voile (je traduis) car il y a une planche et de la voile... ce à quoi la fille répond les yeux amoureux "je n'ai jamais vu ça sous cet angle". J'ai souri... (pas au premier degré bien sûr). Bon prochaine étape déterrer un DCOM des années 90, je ne suis pas certain d'en avoir déjà vu ! | neg |
Commentaire : "Premier film de la saga Kozure Okami, "Le Sabre de la vengeance" est un très bon film qui mêle drame et action, et qui, en 40 ans, n'a pas pris une ride." Le commentaire est-il positif ou négatif ? | pos |
Avis : " Premier film de la saga Kozure Okami, "Le Sabre de la vengeance" est un très bon film qui mêle drame et action, et qui, en 40 ans, n'a pas pris une ride. " L'avis est-il positif ou négatif ? | pos |
Critique : "Premier film de la saga Kozure Okami, "Le Sabre de la vengeance" est un très bon film qui mêle drame et action, et qui, en 40 ans, n'a pas pris une ride." La critique est-elle positive ou négative ? | pos |
Evaluation : " Premier film de la saga Kozure Okami, "Le Sabre de la vengeance" est un très bon film qui mêle drame et action, et qui, en 40 ans, n'a pas pris une ride. " L'évaluation est-elle positive ou négative ? | pos |
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Commentaire : "Premier film de la saga Kozure Okami, "Le Sabre de la vengeance" est un très bon film qui mêle drame et action, et qui, en 40 ans, n'a pas pris une ride."
Réponse : | pos |
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Evaluation : Premier film de la saga Kozure Okami, "Le Sabre de la vengeance" est un très bon film qui mêle drame et action, et qui, en 40 ans, n'a pas pris une ride. | pos |
Commentaire du produit : "Premier film de la saga Kozure Okami, "Le Sabre de la vengeance" est un très bon film qui mêle drame et action, et qui, en 40 ans, n'a pas pris une ride." Ce commentaire dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
Avis du produit : "Premier film de la saga Kozure Okami, "Le Sabre de la vengeance" est un très bon film qui mêle drame et action, et qui, en 40 ans, n'a pas pris une ride." Cet avis dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
Critique du produit : "Premier film de la saga Kozure Okami, "Le Sabre de la vengeance" est un très bon film qui mêle drame et action, et qui, en 40 ans, n'a pas pris une ride." Cette critique dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
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CommentairePremier film de la saga Kozure Okami, "Le Sabre de la vengeance" est un très bon film qui mêle drame et action, et qui, en 40 ans, n'a pas pris une ride. | pos |
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AvisPremier film de la saga Kozure Okami, "Le Sabre de la vengeance" est un très bon film qui mêle drame et action, et qui, en 40 ans, n'a pas pris une ride. | pos |
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Commentaire : "L'amnésie est un thème en or pour susciter le mystère. Encore faut-il être capable de construire un scénario qui se tienne. Celui-ci est boursouflé et accumule incohérences et invraisemblances. Notons aussi la stupidité du titre français, sans lien avec l'histoire." Le commentaire est-il positif ou négatif ? | neg |
Avis : " L'amnésie est un thème en or pour susciter le mystère. Encore faut-il être capable de construire un scénario qui se tienne. Celui-ci est boursouflé et accumule incohérences et invraisemblances. Notons aussi la stupidité du titre français, sans lien avec l'histoire. " L'avis est-il positif ou négatif ? | neg |
Critique : "L'amnésie est un thème en or pour susciter le mystère. Encore faut-il être capable de construire un scénario qui se tienne. Celui-ci est boursouflé et accumule incohérences et invraisemblances. Notons aussi la stupidité du titre français, sans lien avec l'histoire." La critique est-elle positive ou négative ? | neg |
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Commentaire : "L'amnésie est un thème en or pour susciter le mystère. Encore faut-il être capable de construire un scénario qui se tienne. Celui-ci est boursouflé et accumule incohérences et invraisemblances. Notons aussi la stupidité du titre français, sans lien avec l'histoire."
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Avis : "L'amnésie est un thème en or pour susciter le mystère. Encore faut-il être capable de construire un scénario qui se tienne. Celui-ci est boursouflé et accumule incohérences et invraisemblances. Notons aussi la stupidité du titre français, sans lien avec l'histoire."
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CommentaireL'amnésie est un thème en or pour susciter le mystère. Encore faut-il être capable de construire un scénario qui se tienne. Celui-ci est boursouflé et accumule incohérences et invraisemblances. Notons aussi la stupidité du titre français, sans lien avec l'histoire. | neg |
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AvisL'amnésie est un thème en or pour susciter le mystère. Encore faut-il être capable de construire un scénario qui se tienne. Celui-ci est boursouflé et accumule incohérences et invraisemblances. Notons aussi la stupidité du titre français, sans lien avec l'histoire. | neg |
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CritiqueL'amnésie est un thème en or pour susciter le mystère. Encore faut-il être capable de construire un scénario qui se tienne. Celui-ci est boursouflé et accumule incohérences et invraisemblances. Notons aussi la stupidité du titre français, sans lien avec l'histoire. | neg |
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EvaluationL'amnésie est un thème en or pour susciter le mystère. Encore faut-il être capable de construire un scénario qui se tienne. Celui-ci est boursouflé et accumule incohérences et invraisemblances. Notons aussi la stupidité du titre français, sans lien avec l'histoire. | neg |
Commentaire : "Tout commence comme une comédie légère avant un drame soudain qui fait basculer le film dans un...suspense incroyable mâtiné d'une étude psychologique très fine des mécanismes qui régissent un couple, en particulier, et un groupe social, en général. A propos d'Elly est un film qui bat pavillon iranien -l'analyse des comportements de la nouvelle bourgeoisie du pays est remarquable- mais son propos, la quête de sa propre identité, a une portée universelle, à la manière des oeuvres d'Antonioni. La différence, et elle est de taille, c'est le rythme, rapide et nerveux, que Asghar Farhadi imprime au scénario, à l'opposé de la quasi totalité des films iraniens vus jusqu'alors. Le montage, admirable, arrive à faire oublier qu'il s'agit d'un huis clos (étouffant) où les dialogues (formidables) font avancer l'action. Le tout dans une villa sise au bord d'une mer agitée, personnage central du film, la seule à connaître la réponse à l'énigme. Interprété de façon magistral (mention spéciale aux actrices, sublimes), A propos d'Elly est un conte persan moderne auquel on ne voit qu'un seul défaut : ne durer que 116 minutes." Le commentaire est-il positif ou négatif ? | pos |
Avis : " Tout commence comme une comédie légère avant un drame soudain qui fait basculer le film dans un...suspense incroyable mâtiné d'une étude psychologique très fine des mécanismes qui régissent un couple, en particulier, et un groupe social, en général. A propos d'Elly est un film qui bat pavillon iranien -l'analyse des comportements de la nouvelle bourgeoisie du pays est remarquable- mais son propos, la quête de sa propre identité, a une portée universelle, à la manière des oeuvres d'Antonioni. La différence, et elle est de taille, c'est le rythme, rapide et nerveux, que Asghar Farhadi imprime au scénario, à l'opposé de la quasi totalité des films iraniens vus jusqu'alors. Le montage, admirable, arrive à faire oublier qu'il s'agit d'un huis clos (étouffant) où les dialogues (formidables) font avancer l'action. Le tout dans une villa sise au bord d'une mer agitée, personnage central du film, la seule à connaître la réponse à l'énigme. Interprété de façon magistral (mention spéciale aux actrices, sublimes), A propos d'Elly est un conte persan moderne auquel on ne voit qu'un seul défaut : ne durer que 116 minutes. " L'avis est-il positif ou négatif ? | pos |
Critique : "Tout commence comme une comédie légère avant un drame soudain qui fait basculer le film dans un...suspense incroyable mâtiné d'une étude psychologique très fine des mécanismes qui régissent un couple, en particulier, et un groupe social, en général. A propos d'Elly est un film qui bat pavillon iranien -l'analyse des comportements de la nouvelle bourgeoisie du pays est remarquable- mais son propos, la quête de sa propre identité, a une portée universelle, à la manière des oeuvres d'Antonioni. La différence, et elle est de taille, c'est le rythme, rapide et nerveux, que Asghar Farhadi imprime au scénario, à l'opposé de la quasi totalité des films iraniens vus jusqu'alors. Le montage, admirable, arrive à faire oublier qu'il s'agit d'un huis clos (étouffant) où les dialogues (formidables) font avancer l'action. Le tout dans une villa sise au bord d'une mer agitée, personnage central du film, la seule à connaître la réponse à l'énigme. Interprété de façon magistral (mention spéciale aux actrices, sublimes), A propos d'Elly est un conte persan moderne auquel on ne voit qu'un seul défaut : ne durer que 116 minutes." La critique est-elle positive ou négative ? | pos |
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Avis : "Tout commence comme une comédie légère avant un drame soudain qui fait basculer le film dans un...suspense incroyable mâtiné d'une étude psychologique très fine des mécanismes qui régissent un couple, en particulier, et un groupe social, en général. A propos d'Elly est un film qui bat pavillon iranien -l'analyse des comportements de la nouvelle bourgeoisie du pays est remarquable- mais son propos, la quête de sa propre identité, a une portée universelle, à la manière des oeuvres d'Antonioni. La différence, et elle est de taille, c'est le rythme, rapide et nerveux, que Asghar Farhadi imprime au scénario, à l'opposé de la quasi totalité des films iraniens vus jusqu'alors. Le montage, admirable, arrive à faire oublier qu'il s'agit d'un huis clos (étouffant) où les dialogues (formidables) font avancer l'action. Le tout dans une villa sise au bord d'une mer agitée, personnage central du film, la seule à connaître la réponse à l'énigme. Interprété de façon magistral (mention spéciale aux actrices, sublimes), A propos d'Elly est un conte persan moderne auquel on ne voit qu'un seul défaut : ne durer que 116 minutes."
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Critique : "Tout commence comme une comédie légère avant un drame soudain qui fait basculer le film dans un...suspense incroyable mâtiné d'une étude psychologique très fine des mécanismes qui régissent un couple, en particulier, et un groupe social, en général. A propos d'Elly est un film qui bat pavillon iranien -l'analyse des comportements de la nouvelle bourgeoisie du pays est remarquable- mais son propos, la quête de sa propre identité, a une portée universelle, à la manière des oeuvres d'Antonioni. La différence, et elle est de taille, c'est le rythme, rapide et nerveux, que Asghar Farhadi imprime au scénario, à l'opposé de la quasi totalité des films iraniens vus jusqu'alors. Le montage, admirable, arrive à faire oublier qu'il s'agit d'un huis clos (étouffant) où les dialogues (formidables) font avancer l'action. Le tout dans une villa sise au bord d'une mer agitée, personnage central du film, la seule à connaître la réponse à l'énigme. Interprété de façon magistral (mention spéciale aux actrices, sublimes), A propos d'Elly est un conte persan moderne auquel on ne voit qu'un seul défaut : ne durer que 116 minutes."
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Evaluation : "Tout commence comme une comédie légère avant un drame soudain qui fait basculer le film dans un...suspense incroyable mâtiné d'une étude psychologique très fine des mécanismes qui régissent un couple, en particulier, et un groupe social, en général. A propos d'Elly est un film qui bat pavillon iranien -l'analyse des comportements de la nouvelle bourgeoisie du pays est remarquable- mais son propos, la quête de sa propre identité, a une portée universelle, à la manière des oeuvres d'Antonioni. La différence, et elle est de taille, c'est le rythme, rapide et nerveux, que Asghar Farhadi imprime au scénario, à l'opposé de la quasi totalité des films iraniens vus jusqu'alors. Le montage, admirable, arrive à faire oublier qu'il s'agit d'un huis clos (étouffant) où les dialogues (formidables) font avancer l'action. Le tout dans une villa sise au bord d'une mer agitée, personnage central du film, la seule à connaître la réponse à l'énigme. Interprété de façon magistral (mention spéciale aux actrices, sublimes), A propos d'Elly est un conte persan moderne auquel on ne voit qu'un seul défaut : ne durer que 116 minutes."
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Commentaire : Tout commence comme une comédie légère avant un drame soudain qui fait basculer le film dans un...suspense incroyable mâtiné d'une étude psychologique très fine des mécanismes qui régissent un couple, en particulier, et un groupe social, en général. A propos d'Elly est un film qui bat pavillon iranien -l'analyse des comportements de la nouvelle bourgeoisie du pays est remarquable- mais son propos, la quête de sa propre identité, a une portée universelle, à la manière des oeuvres d'Antonioni. La différence, et elle est de taille, c'est le rythme, rapide et nerveux, que Asghar Farhadi imprime au scénario, à l'opposé de la quasi totalité des films iraniens vus jusqu'alors. Le montage, admirable, arrive à faire oublier qu'il s'agit d'un huis clos (étouffant) où les dialogues (formidables) font avancer l'action. Le tout dans une villa sise au bord d'une mer agitée, personnage central du film, la seule à connaître la réponse à l'énigme. Interprété de façon magistral (mention spéciale aux actrices, sublimes), A propos d'Elly est un conte persan moderne auquel on ne voit qu'un seul défaut : ne durer que 116 minutes. | pos |
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Avis : Tout commence comme une comédie légère avant un drame soudain qui fait basculer le film dans un...suspense incroyable mâtiné d'une étude psychologique très fine des mécanismes qui régissent un couple, en particulier, et un groupe social, en général. A propos d'Elly est un film qui bat pavillon iranien -l'analyse des comportements de la nouvelle bourgeoisie du pays est remarquable- mais son propos, la quête de sa propre identité, a une portée universelle, à la manière des oeuvres d'Antonioni. La différence, et elle est de taille, c'est le rythme, rapide et nerveux, que Asghar Farhadi imprime au scénario, à l'opposé de la quasi totalité des films iraniens vus jusqu'alors. Le montage, admirable, arrive à faire oublier qu'il s'agit d'un huis clos (étouffant) où les dialogues (formidables) font avancer l'action. Le tout dans une villa sise au bord d'une mer agitée, personnage central du film, la seule à connaître la réponse à l'énigme. Interprété de façon magistral (mention spéciale aux actrices, sublimes), A propos d'Elly est un conte persan moderne auquel on ne voit qu'un seul défaut : ne durer que 116 minutes. | pos |
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Critique : Tout commence comme une comédie légère avant un drame soudain qui fait basculer le film dans un...suspense incroyable mâtiné d'une étude psychologique très fine des mécanismes qui régissent un couple, en particulier, et un groupe social, en général. A propos d'Elly est un film qui bat pavillon iranien -l'analyse des comportements de la nouvelle bourgeoisie du pays est remarquable- mais son propos, la quête de sa propre identité, a une portée universelle, à la manière des oeuvres d'Antonioni. La différence, et elle est de taille, c'est le rythme, rapide et nerveux, que Asghar Farhadi imprime au scénario, à l'opposé de la quasi totalité des films iraniens vus jusqu'alors. Le montage, admirable, arrive à faire oublier qu'il s'agit d'un huis clos (étouffant) où les dialogues (formidables) font avancer l'action. Le tout dans une villa sise au bord d'une mer agitée, personnage central du film, la seule à connaître la réponse à l'énigme. Interprété de façon magistral (mention spéciale aux actrices, sublimes), A propos d'Elly est un conte persan moderne auquel on ne voit qu'un seul défaut : ne durer que 116 minutes. | pos |
Voici une évaluation laissée par un client sur un produit. Diriez-vous qu'elle est négative ou positive ?
Evaluation : Tout commence comme une comédie légère avant un drame soudain qui fait basculer le film dans un...suspense incroyable mâtiné d'une étude psychologique très fine des mécanismes qui régissent un couple, en particulier, et un groupe social, en général. A propos d'Elly est un film qui bat pavillon iranien -l'analyse des comportements de la nouvelle bourgeoisie du pays est remarquable- mais son propos, la quête de sa propre identité, a une portée universelle, à la manière des oeuvres d'Antonioni. La différence, et elle est de taille, c'est le rythme, rapide et nerveux, que Asghar Farhadi imprime au scénario, à l'opposé de la quasi totalité des films iraniens vus jusqu'alors. Le montage, admirable, arrive à faire oublier qu'il s'agit d'un huis clos (étouffant) où les dialogues (formidables) font avancer l'action. Le tout dans une villa sise au bord d'une mer agitée, personnage central du film, la seule à connaître la réponse à l'énigme. Interprété de façon magistral (mention spéciale aux actrices, sublimes), A propos d'Elly est un conte persan moderne auquel on ne voit qu'un seul défaut : ne durer que 116 minutes. | pos |
Commentaire du produit : "Tout commence comme une comédie légère avant un drame soudain qui fait basculer le film dans un...suspense incroyable mâtiné d'une étude psychologique très fine des mécanismes qui régissent un couple, en particulier, et un groupe social, en général. A propos d'Elly est un film qui bat pavillon iranien -l'analyse des comportements de la nouvelle bourgeoisie du pays est remarquable- mais son propos, la quête de sa propre identité, a une portée universelle, à la manière des oeuvres d'Antonioni. La différence, et elle est de taille, c'est le rythme, rapide et nerveux, que Asghar Farhadi imprime au scénario, à l'opposé de la quasi totalité des films iraniens vus jusqu'alors. Le montage, admirable, arrive à faire oublier qu'il s'agit d'un huis clos (étouffant) où les dialogues (formidables) font avancer l'action. Le tout dans une villa sise au bord d'une mer agitée, personnage central du film, la seule à connaître la réponse à l'énigme. Interprété de façon magistral (mention spéciale aux actrices, sublimes), A propos d'Elly est un conte persan moderne auquel on ne voit qu'un seul défaut : ne durer que 116 minutes." Ce commentaire dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
Avis du produit : "Tout commence comme une comédie légère avant un drame soudain qui fait basculer le film dans un...suspense incroyable mâtiné d'une étude psychologique très fine des mécanismes qui régissent un couple, en particulier, et un groupe social, en général. A propos d'Elly est un film qui bat pavillon iranien -l'analyse des comportements de la nouvelle bourgeoisie du pays est remarquable- mais son propos, la quête de sa propre identité, a une portée universelle, à la manière des oeuvres d'Antonioni. La différence, et elle est de taille, c'est le rythme, rapide et nerveux, que Asghar Farhadi imprime au scénario, à l'opposé de la quasi totalité des films iraniens vus jusqu'alors. Le montage, admirable, arrive à faire oublier qu'il s'agit d'un huis clos (étouffant) où les dialogues (formidables) font avancer l'action. Le tout dans une villa sise au bord d'une mer agitée, personnage central du film, la seule à connaître la réponse à l'énigme. Interprété de façon magistral (mention spéciale aux actrices, sublimes), A propos d'Elly est un conte persan moderne auquel on ne voit qu'un seul défaut : ne durer que 116 minutes." Cet avis dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
Critique du produit : "Tout commence comme une comédie légère avant un drame soudain qui fait basculer le film dans un...suspense incroyable mâtiné d'une étude psychologique très fine des mécanismes qui régissent un couple, en particulier, et un groupe social, en général. A propos d'Elly est un film qui bat pavillon iranien -l'analyse des comportements de la nouvelle bourgeoisie du pays est remarquable- mais son propos, la quête de sa propre identité, a une portée universelle, à la manière des oeuvres d'Antonioni. La différence, et elle est de taille, c'est le rythme, rapide et nerveux, que Asghar Farhadi imprime au scénario, à l'opposé de la quasi totalité des films iraniens vus jusqu'alors. Le montage, admirable, arrive à faire oublier qu'il s'agit d'un huis clos (étouffant) où les dialogues (formidables) font avancer l'action. Le tout dans une villa sise au bord d'une mer agitée, personnage central du film, la seule à connaître la réponse à l'énigme. Interprété de façon magistral (mention spéciale aux actrices, sublimes), A propos d'Elly est un conte persan moderne auquel on ne voit qu'un seul défaut : ne durer que 116 minutes." Cette critique dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
Evaluation du produit : "Tout commence comme une comédie légère avant un drame soudain qui fait basculer le film dans un...suspense incroyable mâtiné d'une étude psychologique très fine des mécanismes qui régissent un couple, en particulier, et un groupe social, en général. A propos d'Elly est un film qui bat pavillon iranien -l'analyse des comportements de la nouvelle bourgeoisie du pays est remarquable- mais son propos, la quête de sa propre identité, a une portée universelle, à la manière des oeuvres d'Antonioni. La différence, et elle est de taille, c'est le rythme, rapide et nerveux, que Asghar Farhadi imprime au scénario, à l'opposé de la quasi totalité des films iraniens vus jusqu'alors. Le montage, admirable, arrive à faire oublier qu'il s'agit d'un huis clos (étouffant) où les dialogues (formidables) font avancer l'action. Le tout dans une villa sise au bord d'une mer agitée, personnage central du film, la seule à connaître la réponse à l'énigme. Interprété de façon magistral (mention spéciale aux actrices, sublimes), A propos d'Elly est un conte persan moderne auquel on ne voit qu'un seul défaut : ne durer que 116 minutes." Cette évaluation dépeint le produit sous un angle négatif ou positif ? | pos |
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CommentaireTout commence comme une comédie légère avant un drame soudain qui fait basculer le film dans un...suspense incroyable mâtiné d'une étude psychologique très fine des mécanismes qui régissent un couple, en particulier, et un groupe social, en général. A propos d'Elly est un film qui bat pavillon iranien -l'analyse des comportements de la nouvelle bourgeoisie du pays est remarquable- mais son propos, la quête de sa propre identité, a une portée universelle, à la manière des oeuvres d'Antonioni. La différence, et elle est de taille, c'est le rythme, rapide et nerveux, que Asghar Farhadi imprime au scénario, à l'opposé de la quasi totalité des films iraniens vus jusqu'alors. Le montage, admirable, arrive à faire oublier qu'il s'agit d'un huis clos (étouffant) où les dialogues (formidables) font avancer l'action. Le tout dans une villa sise au bord d'une mer agitée, personnage central du film, la seule à connaître la réponse à l'énigme. Interprété de façon magistral (mention spéciale aux actrices, sublimes), A propos d'Elly est un conte persan moderne auquel on ne voit qu'un seul défaut : ne durer que 116 minutes. | pos |
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EvaluationTout commence comme une comédie légère avant un drame soudain qui fait basculer le film dans un...suspense incroyable mâtiné d'une étude psychologique très fine des mécanismes qui régissent un couple, en particulier, et un groupe social, en général. A propos d'Elly est un film qui bat pavillon iranien -l'analyse des comportements de la nouvelle bourgeoisie du pays est remarquable- mais son propos, la quête de sa propre identité, a une portée universelle, à la manière des oeuvres d'Antonioni. La différence, et elle est de taille, c'est le rythme, rapide et nerveux, que Asghar Farhadi imprime au scénario, à l'opposé de la quasi totalité des films iraniens vus jusqu'alors. Le montage, admirable, arrive à faire oublier qu'il s'agit d'un huis clos (étouffant) où les dialogues (formidables) font avancer l'action. Le tout dans une villa sise au bord d'une mer agitée, personnage central du film, la seule à connaître la réponse à l'énigme. Interprété de façon magistral (mention spéciale aux actrices, sublimes), A propos d'Elly est un conte persan moderne auquel on ne voit qu'un seul défaut : ne durer que 116 minutes. | pos |
Commentaire : "un excellent film qui merite ses quatre étoiles. tellement bon que les ricains en font dejà une suite, qu'il s'empresseront de pourrir..." Le commentaire est-il positif ou négatif ? | pos |
Avis : " un excellent film qui merite ses quatre étoiles. tellement bon que les ricains en font dejà une suite, qu'il s'empresseront de pourrir... " L'avis est-il positif ou négatif ? | pos |
Critique : "un excellent film qui merite ses quatre étoiles. tellement bon que les ricains en font dejà une suite, qu'il s'empresseront de pourrir..." La critique est-elle positive ou négative ? | pos |
Evaluation : " un excellent film qui merite ses quatre étoiles. tellement bon que les ricains en font dejà une suite, qu'il s'empresseront de pourrir... " L'évaluation est-elle positive ou négative ? | pos |