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CATIE 15

Assembler les concepts suivants pour former une phrase : "france, incident, assemblée nationale, débats, budget de l'agriculture, agriculture, vote, budget 2013 pour l'agriculture, minorité, indignation, suspension de la séance".

France : incident à l'Assemblée Nationale lors des débats sur le budget de l'agriculture L'Assemblée Nationale devait voter aujourd'hui le budget 2013 pour l'agriculture, en baisse de 3 %. Alors que la gauche était en minorité face aux députés de l'opposition, François Brottes (PS) est intervenu, avant le vote d'un article, en demandant au président de la commission Denis Baupin (EELV) une suspension de séance, afin de « retrouver le chemin de la sérénité ». M. Baupin ayant accepté, la séance a été suspendue de 5 minutes, ce qui a pu permettre, d'après l'opposition, à des députés de gauche de rejoindre les bancs de l'Assemblée. À la reprise, les députés de l'UMP ont fait part de leur indignation par Christian Jacob, président du groupe UMP. Il a souhaité faire un rappel au règlement de l'Assemblée, au titre de l'article 58-1. « On ne peut pas accepter un tel mépris de notre règlement. [...] Jamais lorsqu’un vote est annoncé, on autorise une suspension de séance. Vous étiez minoritaires, parce que les sujets agricoles ne vous intéressent pas ! ». « Vous vous êtes assis sur le règlement de notre Assemblée ! ». Denis Baupin a ensuite défendu sa décision : « On peut faire une suspension lorsqu'un vote a été annoncé, du moment qu'il n'a pas été ouvert ». Bruno Le Roux, président du groupe socialiste, est ensuite intervenu, trouvant le « procédé [de l'opposition] absolument choquant, et qu'il y a un débat qui doit se tenir de façon sereine, ce que ne permet pas depuis de nombreuses semaines les excès de ceux qui représentent l'opposition aujourd'hui. » « Il y a là une volonté de pourrir le débat politique qui est absolument scandaleuse ! », a-t-il affirmé sous les applaudissements de la majorité. Plus tard, Claude Bertolone, président de l'Assemblée, a fait procédé au vote et a déclaré qu'« il ne pourra plus y avoir de suspension de séance quand un vote est annoncé ». Sur Twitter, Philippe Gosselin (UMP) a dénoncé un « Incident grave ! Malgré un vote annoncé, la gauche, en minorité, fait suspendre la séance! Déni de démocratie, manipulation! ». Lionel Tardy (UMP) a lui écrit : « Reprise de la séance, nouvelle demande de suspension de la majorité qui est toujours minoritaire... quel couac !!!! ». L'article soumis au vote portait sur la restriction des exonérations de cotisations sociales pour les travailleurs saisonniers dont les salaires vont jusqu'à 1,5 fois le SMIC. L'amendement de suppression proposé par l'UMP a finalement été rejeté par 178 voix contre 99 voix. La vidéo peut être consultée sur le site de LCP.

Assemble les concepts suivants pour former une phrase : "france, incident, assemblée nationale, débats, budget de l'agriculture, agriculture, vote, budget 2013 pour l'agriculture, minorité, indignation, suspension de la séance".

France : incident à l'Assemblée Nationale lors des débats sur le budget de l'agriculture L'Assemblée Nationale devait voter aujourd'hui le budget 2013 pour l'agriculture, en baisse de 3 %. Alors que la gauche était en minorité face aux députés de l'opposition, François Brottes (PS) est intervenu, avant le vote d'un article, en demandant au président de la commission Denis Baupin (EELV) une suspension de séance, afin de « retrouver le chemin de la sérénité ». M. Baupin ayant accepté, la séance a été suspendue de 5 minutes, ce qui a pu permettre, d'après l'opposition, à des députés de gauche de rejoindre les bancs de l'Assemblée. À la reprise, les députés de l'UMP ont fait part de leur indignation par Christian Jacob, président du groupe UMP. Il a souhaité faire un rappel au règlement de l'Assemblée, au titre de l'article 58-1. « On ne peut pas accepter un tel mépris de notre règlement. [...] Jamais lorsqu’un vote est annoncé, on autorise une suspension de séance. Vous étiez minoritaires, parce que les sujets agricoles ne vous intéressent pas ! ». « Vous vous êtes assis sur le règlement de notre Assemblée ! ». Denis Baupin a ensuite défendu sa décision : « On peut faire une suspension lorsqu'un vote a été annoncé, du moment qu'il n'a pas été ouvert ». Bruno Le Roux, président du groupe socialiste, est ensuite intervenu, trouvant le « procédé [de l'opposition] absolument choquant, et qu'il y a un débat qui doit se tenir de façon sereine, ce que ne permet pas depuis de nombreuses semaines les excès de ceux qui représentent l'opposition aujourd'hui. » « Il y a là une volonté de pourrir le débat politique qui est absolument scandaleuse ! », a-t-il affirmé sous les applaudissements de la majorité. Plus tard, Claude Bertolone, président de l'Assemblée, a fait procédé au vote et a déclaré qu'« il ne pourra plus y avoir de suspension de séance quand un vote est annoncé ». Sur Twitter, Philippe Gosselin (UMP) a dénoncé un « Incident grave ! Malgré un vote annoncé, la gauche, en minorité, fait suspendre la séance! Déni de démocratie, manipulation! ». Lionel Tardy (UMP) a lui écrit : « Reprise de la séance, nouvelle demande de suspension de la majorité qui est toujours minoritaire... quel couac !!!! ». L'article soumis au vote portait sur la restriction des exonérations de cotisations sociales pour les travailleurs saisonniers dont les salaires vont jusqu'à 1,5 fois le SMIC. L'amendement de suppression proposé par l'UMP a finalement été rejeté par 178 voix contre 99 voix. La vidéo peut être consultée sur le site de LCP.

Assemblez les concepts suivants pour former une phrase : "france, incident, assemblée nationale, débats, budget de l'agriculture, agriculture, vote, budget 2013 pour l'agriculture, minorité, indignation, suspension de la séance".

France : incident à l'Assemblée Nationale lors des débats sur le budget de l'agriculture L'Assemblée Nationale devait voter aujourd'hui le budget 2013 pour l'agriculture, en baisse de 3 %. Alors que la gauche était en minorité face aux députés de l'opposition, François Brottes (PS) est intervenu, avant le vote d'un article, en demandant au président de la commission Denis Baupin (EELV) une suspension de séance, afin de « retrouver le chemin de la sérénité ». M. Baupin ayant accepté, la séance a été suspendue de 5 minutes, ce qui a pu permettre, d'après l'opposition, à des députés de gauche de rejoindre les bancs de l'Assemblée. À la reprise, les députés de l'UMP ont fait part de leur indignation par Christian Jacob, président du groupe UMP. Il a souhaité faire un rappel au règlement de l'Assemblée, au titre de l'article 58-1. « On ne peut pas accepter un tel mépris de notre règlement. [...] Jamais lorsqu’un vote est annoncé, on autorise une suspension de séance. Vous étiez minoritaires, parce que les sujets agricoles ne vous intéressent pas ! ». « Vous vous êtes assis sur le règlement de notre Assemblée ! ». Denis Baupin a ensuite défendu sa décision : « On peut faire une suspension lorsqu'un vote a été annoncé, du moment qu'il n'a pas été ouvert ». Bruno Le Roux, président du groupe socialiste, est ensuite intervenu, trouvant le « procédé [de l'opposition] absolument choquant, et qu'il y a un débat qui doit se tenir de façon sereine, ce que ne permet pas depuis de nombreuses semaines les excès de ceux qui représentent l'opposition aujourd'hui. » « Il y a là une volonté de pourrir le débat politique qui est absolument scandaleuse ! », a-t-il affirmé sous les applaudissements de la majorité. Plus tard, Claude Bertolone, président de l'Assemblée, a fait procédé au vote et a déclaré qu'« il ne pourra plus y avoir de suspension de séance quand un vote est annoncé ». Sur Twitter, Philippe Gosselin (UMP) a dénoncé un « Incident grave ! Malgré un vote annoncé, la gauche, en minorité, fait suspendre la séance! Déni de démocratie, manipulation! ». Lionel Tardy (UMP) a lui écrit : « Reprise de la séance, nouvelle demande de suspension de la majorité qui est toujours minoritaire... quel couac !!!! ». L'article soumis au vote portait sur la restriction des exonérations de cotisations sociales pour les travailleurs saisonniers dont les salaires vont jusqu'à 1,5 fois le SMIC. L'amendement de suppression proposé par l'UMP a finalement été rejeté par 178 voix contre 99 voix. La vidéo peut être consultée sur le site de LCP.

Étant donné la liste des concepts : "france, incident, assemblée nationale, débats, budget de l'agriculture, agriculture, vote, budget 2013 pour l'agriculture, minorité, indignation, suspension de la séance". Générer une phrase avec tous les concepts :

France : incident à l'Assemblée Nationale lors des débats sur le budget de l'agriculture L'Assemblée Nationale devait voter aujourd'hui le budget 2013 pour l'agriculture, en baisse de 3 %. Alors que la gauche était en minorité face aux députés de l'opposition, François Brottes (PS) est intervenu, avant le vote d'un article, en demandant au président de la commission Denis Baupin (EELV) une suspension de séance, afin de « retrouver le chemin de la sérénité ». M. Baupin ayant accepté, la séance a été suspendue de 5 minutes, ce qui a pu permettre, d'après l'opposition, à des députés de gauche de rejoindre les bancs de l'Assemblée. À la reprise, les députés de l'UMP ont fait part de leur indignation par Christian Jacob, président du groupe UMP. Il a souhaité faire un rappel au règlement de l'Assemblée, au titre de l'article 58-1. « On ne peut pas accepter un tel mépris de notre règlement. [...] Jamais lorsqu’un vote est annoncé, on autorise une suspension de séance. Vous étiez minoritaires, parce que les sujets agricoles ne vous intéressent pas ! ». « Vous vous êtes assis sur le règlement de notre Assemblée ! ». Denis Baupin a ensuite défendu sa décision : « On peut faire une suspension lorsqu'un vote a été annoncé, du moment qu'il n'a pas été ouvert ». Bruno Le Roux, président du groupe socialiste, est ensuite intervenu, trouvant le « procédé [de l'opposition] absolument choquant, et qu'il y a un débat qui doit se tenir de façon sereine, ce que ne permet pas depuis de nombreuses semaines les excès de ceux qui représentent l'opposition aujourd'hui. » « Il y a là une volonté de pourrir le débat politique qui est absolument scandaleuse ! », a-t-il affirmé sous les applaudissements de la majorité. Plus tard, Claude Bertolone, président de l'Assemblée, a fait procédé au vote et a déclaré qu'« il ne pourra plus y avoir de suspension de séance quand un vote est annoncé ». Sur Twitter, Philippe Gosselin (UMP) a dénoncé un « Incident grave ! Malgré un vote annoncé, la gauche, en minorité, fait suspendre la séance! Déni de démocratie, manipulation! ». Lionel Tardy (UMP) a lui écrit : « Reprise de la séance, nouvelle demande de suspension de la majorité qui est toujours minoritaire... quel couac !!!! ». L'article soumis au vote portait sur la restriction des exonérations de cotisations sociales pour les travailleurs saisonniers dont les salaires vont jusqu'à 1,5 fois le SMIC. L'amendement de suppression proposé par l'UMP a finalement été rejeté par 178 voix contre 99 voix. La vidéo peut être consultée sur le site de LCP.

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Étant donné la liste des concepts : "france, incident, assemblée nationale, débats, budget de l'agriculture, agriculture, vote, budget 2013 pour l'agriculture, minorité, indignation, suspension de la séance". Générez une phrase avec tous les concepts :

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Convertir les concepts en une phrase : "france, incident, assemblée nationale, débats, budget de l'agriculture, agriculture, vote, budget 2013 pour l'agriculture, minorité, indignation, suspension de la séance".

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Convertissez les concepts en une phrase : "france, incident, assemblée nationale, débats, budget de l'agriculture, agriculture, vote, budget 2013 pour l'agriculture, minorité, indignation, suspension de la séance".

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Combiner tous les concepts suivants dans un texte concis et grammaticalement correct "france, incident, assemblée nationale, débats, budget de l'agriculture, agriculture, vote, budget 2013 pour l'agriculture, minorité, indignation, suspension de la séance". Texte :

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Combinez tous les concepts suivants dans un texte concis et grammaticalement correct "france, incident, assemblée nationale, débats, budget de l'agriculture, agriculture, vote, budget 2013 pour l'agriculture, minorité, indignation, suspension de la séance". Texte :

France : incident à l'Assemblée Nationale lors des débats sur le budget de l'agriculture L'Assemblée Nationale devait voter aujourd'hui le budget 2013 pour l'agriculture, en baisse de 3 %. Alors que la gauche était en minorité face aux députés de l'opposition, François Brottes (PS) est intervenu, avant le vote d'un article, en demandant au président de la commission Denis Baupin (EELV) une suspension de séance, afin de « retrouver le chemin de la sérénité ». M. Baupin ayant accepté, la séance a été suspendue de 5 minutes, ce qui a pu permettre, d'après l'opposition, à des députés de gauche de rejoindre les bancs de l'Assemblée. À la reprise, les députés de l'UMP ont fait part de leur indignation par Christian Jacob, président du groupe UMP. Il a souhaité faire un rappel au règlement de l'Assemblée, au titre de l'article 58-1. « On ne peut pas accepter un tel mépris de notre règlement. [...] Jamais lorsqu’un vote est annoncé, on autorise une suspension de séance. Vous étiez minoritaires, parce que les sujets agricoles ne vous intéressent pas ! ». « Vous vous êtes assis sur le règlement de notre Assemblée ! ». Denis Baupin a ensuite défendu sa décision : « On peut faire une suspension lorsqu'un vote a été annoncé, du moment qu'il n'a pas été ouvert ». Bruno Le Roux, président du groupe socialiste, est ensuite intervenu, trouvant le « procédé [de l'opposition] absolument choquant, et qu'il y a un débat qui doit se tenir de façon sereine, ce que ne permet pas depuis de nombreuses semaines les excès de ceux qui représentent l'opposition aujourd'hui. » « Il y a là une volonté de pourrir le débat politique qui est absolument scandaleuse ! », a-t-il affirmé sous les applaudissements de la majorité. Plus tard, Claude Bertolone, président de l'Assemblée, a fait procédé au vote et a déclaré qu'« il ne pourra plus y avoir de suspension de séance quand un vote est annoncé ». Sur Twitter, Philippe Gosselin (UMP) a dénoncé un « Incident grave ! Malgré un vote annoncé, la gauche, en minorité, fait suspendre la séance! Déni de démocratie, manipulation! ». Lionel Tardy (UMP) a lui écrit : « Reprise de la séance, nouvelle demande de suspension de la majorité qui est toujours minoritaire... quel couac !!!! ». L'article soumis au vote portait sur la restriction des exonérations de cotisations sociales pour les travailleurs saisonniers dont les salaires vont jusqu'à 1,5 fois le SMIC. L'amendement de suppression proposé par l'UMP a finalement été rejeté par 178 voix contre 99 voix. La vidéo peut être consultée sur le site de LCP.

Générer une phrase à partir des informations fournies ci-contre : "france, incident, assemblée nationale, débats, budget de l'agriculture, agriculture, vote, budget 2013 pour l'agriculture, minorité, indignation, suspension de la séance".

France : incident à l'Assemblée Nationale lors des débats sur le budget de l'agriculture L'Assemblée Nationale devait voter aujourd'hui le budget 2013 pour l'agriculture, en baisse de 3 %. Alors que la gauche était en minorité face aux députés de l'opposition, François Brottes (PS) est intervenu, avant le vote d'un article, en demandant au président de la commission Denis Baupin (EELV) une suspension de séance, afin de « retrouver le chemin de la sérénité ». M. Baupin ayant accepté, la séance a été suspendue de 5 minutes, ce qui a pu permettre, d'après l'opposition, à des députés de gauche de rejoindre les bancs de l'Assemblée. À la reprise, les députés de l'UMP ont fait part de leur indignation par Christian Jacob, président du groupe UMP. Il a souhaité faire un rappel au règlement de l'Assemblée, au titre de l'article 58-1. « On ne peut pas accepter un tel mépris de notre règlement. [...] Jamais lorsqu’un vote est annoncé, on autorise une suspension de séance. Vous étiez minoritaires, parce que les sujets agricoles ne vous intéressent pas ! ». « Vous vous êtes assis sur le règlement de notre Assemblée ! ». Denis Baupin a ensuite défendu sa décision : « On peut faire une suspension lorsqu'un vote a été annoncé, du moment qu'il n'a pas été ouvert ». Bruno Le Roux, président du groupe socialiste, est ensuite intervenu, trouvant le « procédé [de l'opposition] absolument choquant, et qu'il y a un débat qui doit se tenir de façon sereine, ce que ne permet pas depuis de nombreuses semaines les excès de ceux qui représentent l'opposition aujourd'hui. » « Il y a là une volonté de pourrir le débat politique qui est absolument scandaleuse ! », a-t-il affirmé sous les applaudissements de la majorité. Plus tard, Claude Bertolone, président de l'Assemblée, a fait procédé au vote et a déclaré qu'« il ne pourra plus y avoir de suspension de séance quand un vote est annoncé ». Sur Twitter, Philippe Gosselin (UMP) a dénoncé un « Incident grave ! Malgré un vote annoncé, la gauche, en minorité, fait suspendre la séance! Déni de démocratie, manipulation! ». Lionel Tardy (UMP) a lui écrit : « Reprise de la séance, nouvelle demande de suspension de la majorité qui est toujours minoritaire... quel couac !!!! ». L'article soumis au vote portait sur la restriction des exonérations de cotisations sociales pour les travailleurs saisonniers dont les salaires vont jusqu'à 1,5 fois le SMIC. L'amendement de suppression proposé par l'UMP a finalement été rejeté par 178 voix contre 99 voix. La vidéo peut être consultée sur le site de LCP.

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France : incident à l'Assemblée Nationale lors des débats sur le budget de l'agriculture L'Assemblée Nationale devait voter aujourd'hui le budget 2013 pour l'agriculture, en baisse de 3 %. Alors que la gauche était en minorité face aux députés de l'opposition, François Brottes (PS) est intervenu, avant le vote d'un article, en demandant au président de la commission Denis Baupin (EELV) une suspension de séance, afin de « retrouver le chemin de la sérénité ». M. Baupin ayant accepté, la séance a été suspendue de 5 minutes, ce qui a pu permettre, d'après l'opposition, à des députés de gauche de rejoindre les bancs de l'Assemblée. À la reprise, les députés de l'UMP ont fait part de leur indignation par Christian Jacob, président du groupe UMP. Il a souhaité faire un rappel au règlement de l'Assemblée, au titre de l'article 58-1. « On ne peut pas accepter un tel mépris de notre règlement. [...] Jamais lorsqu’un vote est annoncé, on autorise une suspension de séance. Vous étiez minoritaires, parce que les sujets agricoles ne vous intéressent pas ! ». « Vous vous êtes assis sur le règlement de notre Assemblée ! ». Denis Baupin a ensuite défendu sa décision : « On peut faire une suspension lorsqu'un vote a été annoncé, du moment qu'il n'a pas été ouvert ». Bruno Le Roux, président du groupe socialiste, est ensuite intervenu, trouvant le « procédé [de l'opposition] absolument choquant, et qu'il y a un débat qui doit se tenir de façon sereine, ce que ne permet pas depuis de nombreuses semaines les excès de ceux qui représentent l'opposition aujourd'hui. » « Il y a là une volonté de pourrir le débat politique qui est absolument scandaleuse ! », a-t-il affirmé sous les applaudissements de la majorité. Plus tard, Claude Bertolone, président de l'Assemblée, a fait procédé au vote et a déclaré qu'« il ne pourra plus y avoir de suspension de séance quand un vote est annoncé ». Sur Twitter, Philippe Gosselin (UMP) a dénoncé un « Incident grave ! Malgré un vote annoncé, la gauche, en minorité, fait suspendre la séance! Déni de démocratie, manipulation! ». Lionel Tardy (UMP) a lui écrit : « Reprise de la séance, nouvelle demande de suspension de la majorité qui est toujours minoritaire... quel couac !!!! ». L'article soumis au vote portait sur la restriction des exonérations de cotisations sociales pour les travailleurs saisonniers dont les salaires vont jusqu'à 1,5 fois le SMIC. L'amendement de suppression proposé par l'UMP a finalement été rejeté par 178 voix contre 99 voix. La vidéo peut être consultée sur le site de LCP.

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France : incident à l'Assemblée Nationale lors des débats sur le budget de l'agriculture L'Assemblée Nationale devait voter aujourd'hui le budget 2013 pour l'agriculture, en baisse de 3 %. Alors que la gauche était en minorité face aux députés de l'opposition, François Brottes (PS) est intervenu, avant le vote d'un article, en demandant au président de la commission Denis Baupin (EELV) une suspension de séance, afin de « retrouver le chemin de la sérénité ». M. Baupin ayant accepté, la séance a été suspendue de 5 minutes, ce qui a pu permettre, d'après l'opposition, à des députés de gauche de rejoindre les bancs de l'Assemblée. À la reprise, les députés de l'UMP ont fait part de leur indignation par Christian Jacob, président du groupe UMP. Il a souhaité faire un rappel au règlement de l'Assemblée, au titre de l'article 58-1. « On ne peut pas accepter un tel mépris de notre règlement. [...] Jamais lorsqu’un vote est annoncé, on autorise une suspension de séance. Vous étiez minoritaires, parce que les sujets agricoles ne vous intéressent pas ! ». « Vous vous êtes assis sur le règlement de notre Assemblée ! ». Denis Baupin a ensuite défendu sa décision : « On peut faire une suspension lorsqu'un vote a été annoncé, du moment qu'il n'a pas été ouvert ». Bruno Le Roux, président du groupe socialiste, est ensuite intervenu, trouvant le « procédé [de l'opposition] absolument choquant, et qu'il y a un débat qui doit se tenir de façon sereine, ce que ne permet pas depuis de nombreuses semaines les excès de ceux qui représentent l'opposition aujourd'hui. » « Il y a là une volonté de pourrir le débat politique qui est absolument scandaleuse ! », a-t-il affirmé sous les applaudissements de la majorité. Plus tard, Claude Bertolone, président de l'Assemblée, a fait procédé au vote et a déclaré qu'« il ne pourra plus y avoir de suspension de séance quand un vote est annoncé ». Sur Twitter, Philippe Gosselin (UMP) a dénoncé un « Incident grave ! Malgré un vote annoncé, la gauche, en minorité, fait suspendre la séance! Déni de démocratie, manipulation! ». Lionel Tardy (UMP) a lui écrit : « Reprise de la séance, nouvelle demande de suspension de la majorité qui est toujours minoritaire... quel couac !!!! ». L'article soumis au vote portait sur la restriction des exonérations de cotisations sociales pour les travailleurs saisonniers dont les salaires vont jusqu'à 1,5 fois le SMIC. L'amendement de suppression proposé par l'UMP a finalement été rejeté par 178 voix contre 99 voix. La vidéo peut être consultée sur le site de LCP.

Verbaliser les concepts suivants séparés par une virgule : "france, incident, assemblée nationale, débats, budget de l'agriculture, agriculture, vote, budget 2013 pour l'agriculture, minorité, indignation, suspension de la séance".

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"france, incident, assemblée nationale, débats, budget de l'agriculture, agriculture, vote, budget 2013 pour l'agriculture, minorité, indignation, suspension de la séance". Ecrire 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.

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"france, incident, assemblée nationale, débats, budget de l'agriculture, agriculture, vote, budget 2013 pour l'agriculture, minorité, indignation, suspension de la séance". Ecris 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.

France : incident à l'Assemblée Nationale lors des débats sur le budget de l'agriculture L'Assemblée Nationale devait voter aujourd'hui le budget 2013 pour l'agriculture, en baisse de 3 %. Alors que la gauche était en minorité face aux députés de l'opposition, François Brottes (PS) est intervenu, avant le vote d'un article, en demandant au président de la commission Denis Baupin (EELV) une suspension de séance, afin de « retrouver le chemin de la sérénité ». M. Baupin ayant accepté, la séance a été suspendue de 5 minutes, ce qui a pu permettre, d'après l'opposition, à des députés de gauche de rejoindre les bancs de l'Assemblée. À la reprise, les députés de l'UMP ont fait part de leur indignation par Christian Jacob, président du groupe UMP. Il a souhaité faire un rappel au règlement de l'Assemblée, au titre de l'article 58-1. « On ne peut pas accepter un tel mépris de notre règlement. [...] Jamais lorsqu’un vote est annoncé, on autorise une suspension de séance. Vous étiez minoritaires, parce que les sujets agricoles ne vous intéressent pas ! ». « Vous vous êtes assis sur le règlement de notre Assemblée ! ». Denis Baupin a ensuite défendu sa décision : « On peut faire une suspension lorsqu'un vote a été annoncé, du moment qu'il n'a pas été ouvert ». Bruno Le Roux, président du groupe socialiste, est ensuite intervenu, trouvant le « procédé [de l'opposition] absolument choquant, et qu'il y a un débat qui doit se tenir de façon sereine, ce que ne permet pas depuis de nombreuses semaines les excès de ceux qui représentent l'opposition aujourd'hui. » « Il y a là une volonté de pourrir le débat politique qui est absolument scandaleuse ! », a-t-il affirmé sous les applaudissements de la majorité. Plus tard, Claude Bertolone, président de l'Assemblée, a fait procédé au vote et a déclaré qu'« il ne pourra plus y avoir de suspension de séance quand un vote est annoncé ». Sur Twitter, Philippe Gosselin (UMP) a dénoncé un « Incident grave ! Malgré un vote annoncé, la gauche, en minorité, fait suspendre la séance! Déni de démocratie, manipulation! ». Lionel Tardy (UMP) a lui écrit : « Reprise de la séance, nouvelle demande de suspension de la majorité qui est toujours minoritaire... quel couac !!!! ». L'article soumis au vote portait sur la restriction des exonérations de cotisations sociales pour les travailleurs saisonniers dont les salaires vont jusqu'à 1,5 fois le SMIC. L'amendement de suppression proposé par l'UMP a finalement été rejeté par 178 voix contre 99 voix. La vidéo peut être consultée sur le site de LCP.

"france, incident, assemblée nationale, débats, budget de l'agriculture, agriculture, vote, budget 2013 pour l'agriculture, minorité, indignation, suspension de la séance". Ecrivez 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.

France : incident à l'Assemblée Nationale lors des débats sur le budget de l'agriculture L'Assemblée Nationale devait voter aujourd'hui le budget 2013 pour l'agriculture, en baisse de 3 %. Alors que la gauche était en minorité face aux députés de l'opposition, François Brottes (PS) est intervenu, avant le vote d'un article, en demandant au président de la commission Denis Baupin (EELV) une suspension de séance, afin de « retrouver le chemin de la sérénité ». M. Baupin ayant accepté, la séance a été suspendue de 5 minutes, ce qui a pu permettre, d'après l'opposition, à des députés de gauche de rejoindre les bancs de l'Assemblée. À la reprise, les députés de l'UMP ont fait part de leur indignation par Christian Jacob, président du groupe UMP. Il a souhaité faire un rappel au règlement de l'Assemblée, au titre de l'article 58-1. « On ne peut pas accepter un tel mépris de notre règlement. [...] Jamais lorsqu’un vote est annoncé, on autorise une suspension de séance. Vous étiez minoritaires, parce que les sujets agricoles ne vous intéressent pas ! ». « Vous vous êtes assis sur le règlement de notre Assemblée ! ». Denis Baupin a ensuite défendu sa décision : « On peut faire une suspension lorsqu'un vote a été annoncé, du moment qu'il n'a pas été ouvert ». Bruno Le Roux, président du groupe socialiste, est ensuite intervenu, trouvant le « procédé [de l'opposition] absolument choquant, et qu'il y a un débat qui doit se tenir de façon sereine, ce que ne permet pas depuis de nombreuses semaines les excès de ceux qui représentent l'opposition aujourd'hui. » « Il y a là une volonté de pourrir le débat politique qui est absolument scandaleuse ! », a-t-il affirmé sous les applaudissements de la majorité. Plus tard, Claude Bertolone, président de l'Assemblée, a fait procédé au vote et a déclaré qu'« il ne pourra plus y avoir de suspension de séance quand un vote est annoncé ». Sur Twitter, Philippe Gosselin (UMP) a dénoncé un « Incident grave ! Malgré un vote annoncé, la gauche, en minorité, fait suspendre la séance! Déni de démocratie, manipulation! ». Lionel Tardy (UMP) a lui écrit : « Reprise de la séance, nouvelle demande de suspension de la majorité qui est toujours minoritaire... quel couac !!!! ». L'article soumis au vote portait sur la restriction des exonérations de cotisations sociales pour les travailleurs saisonniers dont les salaires vont jusqu'à 1,5 fois le SMIC. L'amendement de suppression proposé par l'UMP a finalement été rejeté par 178 voix contre 99 voix. La vidéo peut être consultée sur le site de LCP.

Rédiger un texte avec : "france, incident, assemblée nationale, débats, budget de l'agriculture, agriculture, vote, budget 2013 pour l'agriculture, minorité, indignation, suspension de la séance".

France : incident à l'Assemblée Nationale lors des débats sur le budget de l'agriculture L'Assemblée Nationale devait voter aujourd'hui le budget 2013 pour l'agriculture, en baisse de 3 %. Alors que la gauche était en minorité face aux députés de l'opposition, François Brottes (PS) est intervenu, avant le vote d'un article, en demandant au président de la commission Denis Baupin (EELV) une suspension de séance, afin de « retrouver le chemin de la sérénité ». M. Baupin ayant accepté, la séance a été suspendue de 5 minutes, ce qui a pu permettre, d'après l'opposition, à des députés de gauche de rejoindre les bancs de l'Assemblée. À la reprise, les députés de l'UMP ont fait part de leur indignation par Christian Jacob, président du groupe UMP. Il a souhaité faire un rappel au règlement de l'Assemblée, au titre de l'article 58-1. « On ne peut pas accepter un tel mépris de notre règlement. [...] Jamais lorsqu’un vote est annoncé, on autorise une suspension de séance. Vous étiez minoritaires, parce que les sujets agricoles ne vous intéressent pas ! ». « Vous vous êtes assis sur le règlement de notre Assemblée ! ». Denis Baupin a ensuite défendu sa décision : « On peut faire une suspension lorsqu'un vote a été annoncé, du moment qu'il n'a pas été ouvert ». Bruno Le Roux, président du groupe socialiste, est ensuite intervenu, trouvant le « procédé [de l'opposition] absolument choquant, et qu'il y a un débat qui doit se tenir de façon sereine, ce que ne permet pas depuis de nombreuses semaines les excès de ceux qui représentent l'opposition aujourd'hui. » « Il y a là une volonté de pourrir le débat politique qui est absolument scandaleuse ! », a-t-il affirmé sous les applaudissements de la majorité. Plus tard, Claude Bertolone, président de l'Assemblée, a fait procédé au vote et a déclaré qu'« il ne pourra plus y avoir de suspension de séance quand un vote est annoncé ». Sur Twitter, Philippe Gosselin (UMP) a dénoncé un « Incident grave ! Malgré un vote annoncé, la gauche, en minorité, fait suspendre la séance! Déni de démocratie, manipulation! ». Lionel Tardy (UMP) a lui écrit : « Reprise de la séance, nouvelle demande de suspension de la majorité qui est toujours minoritaire... quel couac !!!! ». L'article soumis au vote portait sur la restriction des exonérations de cotisations sociales pour les travailleurs saisonniers dont les salaires vont jusqu'à 1,5 fois le SMIC. L'amendement de suppression proposé par l'UMP a finalement été rejeté par 178 voix contre 99 voix. La vidéo peut être consultée sur le site de LCP.

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Écrire un texte sur les concepts suivants : "france, incident, assemblée nationale, débats, budget de l'agriculture, agriculture, vote, budget 2013 pour l'agriculture, minorité, indignation, suspension de la séance".

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Assembler les concepts suivants pour former une phrase : "france, résultats, 2012, baccalauréat, résultats des examens, académie, verdicts, taux de réussite".

France : les résultats du BAC 2012 dévoilés C'est aujourd'hui que les 334 464 candidats au baccalauréat général (48 %), 148 622 candidats au baccalauréat technologique (21 %) et les 219 973 candidats au baccalauréat professionnel (31 %) connaîtront leurs résultats des examens. Selon les différentes académies, ces verdicts sont publiés entre 8 heures pour Strasbourg et 19 heures pour la Corse. L'année dernière, le taux de réussite a été de 86 % dans l'ensemble et 71,8 % pour les baccalauréats professionnels, désormais en trois ans au lieu de quatre depuis la réforme. Les candidats ayant des notes comprises entre 8 et 10 devront se mesurer à l'oral de rattrapage, qui portera sur deux matières choisies par ce dernier. Elles auront lieu jusqu'au mercredi 11 juillet au matin. Ceux ayant une note inférieure à 8 sont recalés tandis que les autres, majoritaires, obtiendront leur sésame. Selon François Dubet, sociologue français et professeur à l'Université Bordeaux II, une personne n'ayant pas le bac est « socialement marqué comme quelqu'un ayant des problèmes ».

Assemble les concepts suivants pour former une phrase : "france, résultats, 2012, baccalauréat, résultats des examens, académie, verdicts, taux de réussite".

France : les résultats du BAC 2012 dévoilés C'est aujourd'hui que les 334 464 candidats au baccalauréat général (48 %), 148 622 candidats au baccalauréat technologique (21 %) et les 219 973 candidats au baccalauréat professionnel (31 %) connaîtront leurs résultats des examens. Selon les différentes académies, ces verdicts sont publiés entre 8 heures pour Strasbourg et 19 heures pour la Corse. L'année dernière, le taux de réussite a été de 86 % dans l'ensemble et 71,8 % pour les baccalauréats professionnels, désormais en trois ans au lieu de quatre depuis la réforme. Les candidats ayant des notes comprises entre 8 et 10 devront se mesurer à l'oral de rattrapage, qui portera sur deux matières choisies par ce dernier. Elles auront lieu jusqu'au mercredi 11 juillet au matin. Ceux ayant une note inférieure à 8 sont recalés tandis que les autres, majoritaires, obtiendront leur sésame. Selon François Dubet, sociologue français et professeur à l'Université Bordeaux II, une personne n'ayant pas le bac est « socialement marqué comme quelqu'un ayant des problèmes ».

Assemblez les concepts suivants pour former une phrase : "france, résultats, 2012, baccalauréat, résultats des examens, académie, verdicts, taux de réussite".

France : les résultats du BAC 2012 dévoilés C'est aujourd'hui que les 334 464 candidats au baccalauréat général (48 %), 148 622 candidats au baccalauréat technologique (21 %) et les 219 973 candidats au baccalauréat professionnel (31 %) connaîtront leurs résultats des examens. Selon les différentes académies, ces verdicts sont publiés entre 8 heures pour Strasbourg et 19 heures pour la Corse. L'année dernière, le taux de réussite a été de 86 % dans l'ensemble et 71,8 % pour les baccalauréats professionnels, désormais en trois ans au lieu de quatre depuis la réforme. Les candidats ayant des notes comprises entre 8 et 10 devront se mesurer à l'oral de rattrapage, qui portera sur deux matières choisies par ce dernier. Elles auront lieu jusqu'au mercredi 11 juillet au matin. Ceux ayant une note inférieure à 8 sont recalés tandis que les autres, majoritaires, obtiendront leur sésame. Selon François Dubet, sociologue français et professeur à l'Université Bordeaux II, une personne n'ayant pas le bac est « socialement marqué comme quelqu'un ayant des problèmes ».

Étant donné la liste des concepts : "france, résultats, 2012, baccalauréat, résultats des examens, académie, verdicts, taux de réussite". Générer une phrase avec tous les concepts :

France : les résultats du BAC 2012 dévoilés C'est aujourd'hui que les 334 464 candidats au baccalauréat général (48 %), 148 622 candidats au baccalauréat technologique (21 %) et les 219 973 candidats au baccalauréat professionnel (31 %) connaîtront leurs résultats des examens. Selon les différentes académies, ces verdicts sont publiés entre 8 heures pour Strasbourg et 19 heures pour la Corse. L'année dernière, le taux de réussite a été de 86 % dans l'ensemble et 71,8 % pour les baccalauréats professionnels, désormais en trois ans au lieu de quatre depuis la réforme. Les candidats ayant des notes comprises entre 8 et 10 devront se mesurer à l'oral de rattrapage, qui portera sur deux matières choisies par ce dernier. Elles auront lieu jusqu'au mercredi 11 juillet au matin. Ceux ayant une note inférieure à 8 sont recalés tandis que les autres, majoritaires, obtiendront leur sésame. Selon François Dubet, sociologue français et professeur à l'Université Bordeaux II, une personne n'ayant pas le bac est « socialement marqué comme quelqu'un ayant des problèmes ».

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France : les résultats du BAC 2012 dévoilés C'est aujourd'hui que les 334 464 candidats au baccalauréat général (48 %), 148 622 candidats au baccalauréat technologique (21 %) et les 219 973 candidats au baccalauréat professionnel (31 %) connaîtront leurs résultats des examens. Selon les différentes académies, ces verdicts sont publiés entre 8 heures pour Strasbourg et 19 heures pour la Corse. L'année dernière, le taux de réussite a été de 86 % dans l'ensemble et 71,8 % pour les baccalauréats professionnels, désormais en trois ans au lieu de quatre depuis la réforme. Les candidats ayant des notes comprises entre 8 et 10 devront se mesurer à l'oral de rattrapage, qui portera sur deux matières choisies par ce dernier. Elles auront lieu jusqu'au mercredi 11 juillet au matin. Ceux ayant une note inférieure à 8 sont recalés tandis que les autres, majoritaires, obtiendront leur sésame. Selon François Dubet, sociologue français et professeur à l'Université Bordeaux II, une personne n'ayant pas le bac est « socialement marqué comme quelqu'un ayant des problèmes ».

Étant donné la liste des concepts : "france, résultats, 2012, baccalauréat, résultats des examens, académie, verdicts, taux de réussite". Générez une phrase avec tous les concepts :

France : les résultats du BAC 2012 dévoilés C'est aujourd'hui que les 334 464 candidats au baccalauréat général (48 %), 148 622 candidats au baccalauréat technologique (21 %) et les 219 973 candidats au baccalauréat professionnel (31 %) connaîtront leurs résultats des examens. Selon les différentes académies, ces verdicts sont publiés entre 8 heures pour Strasbourg et 19 heures pour la Corse. L'année dernière, le taux de réussite a été de 86 % dans l'ensemble et 71,8 % pour les baccalauréats professionnels, désormais en trois ans au lieu de quatre depuis la réforme. Les candidats ayant des notes comprises entre 8 et 10 devront se mesurer à l'oral de rattrapage, qui portera sur deux matières choisies par ce dernier. Elles auront lieu jusqu'au mercredi 11 juillet au matin. Ceux ayant une note inférieure à 8 sont recalés tandis que les autres, majoritaires, obtiendront leur sésame. Selon François Dubet, sociologue français et professeur à l'Université Bordeaux II, une personne n'ayant pas le bac est « socialement marqué comme quelqu'un ayant des problèmes ».

Convertir les concepts en une phrase : "france, résultats, 2012, baccalauréat, résultats des examens, académie, verdicts, taux de réussite".

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France : les résultats du BAC 2012 dévoilés C'est aujourd'hui que les 334 464 candidats au baccalauréat général (48 %), 148 622 candidats au baccalauréat technologique (21 %) et les 219 973 candidats au baccalauréat professionnel (31 %) connaîtront leurs résultats des examens. Selon les différentes académies, ces verdicts sont publiés entre 8 heures pour Strasbourg et 19 heures pour la Corse. L'année dernière, le taux de réussite a été de 86 % dans l'ensemble et 71,8 % pour les baccalauréats professionnels, désormais en trois ans au lieu de quatre depuis la réforme. Les candidats ayant des notes comprises entre 8 et 10 devront se mesurer à l'oral de rattrapage, qui portera sur deux matières choisies par ce dernier. Elles auront lieu jusqu'au mercredi 11 juillet au matin. Ceux ayant une note inférieure à 8 sont recalés tandis que les autres, majoritaires, obtiendront leur sésame. Selon François Dubet, sociologue français et professeur à l'Université Bordeaux II, une personne n'ayant pas le bac est « socialement marqué comme quelqu'un ayant des problèmes ».

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Combiner tous les concepts suivants dans un texte concis et grammaticalement correct "france, résultats, 2012, baccalauréat, résultats des examens, académie, verdicts, taux de réussite". Texte :

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"france, résultats, 2012, baccalauréat, résultats des examens, académie, verdicts, taux de réussite". Ecrire 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.

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Assembler les concepts suivants pour former une phrase : "kito de pavant, heurté, chalutier, abandon, dégâts, abandon vendée globe".

Vendée Globe : Kito de Pavant, heurté par un chalutier, abandonne Kito de Pavant est le 2e skipper, après Marc Guillemot, à être contraint d'abandonner le Vendée Globe, après seulement 2 jours de mer. Heurté, ce matin, par un chalutier qui n'avait pas allumé son AIS, le skipper de Groupe Bel va bien. Il est arrivé cet après-midi à Cascais (Portugal), où il était attendu par son équipe, qui n'a cependant rien pu faire d'autre que constater les dégâts, trop importants pour continuer, la course étant sans assistance. Au pointage de 15h UTC, François Gabart est toujours en tête, alors que Armel Le Cléac´h a doublé Vincent Riou en 2e position. De Pavant à indiqué par téléphone :« Le système de détection marche super bien, ça t'avertit quand un bateau arrive à moins de dix miles. Sauf quand le bateau en question n'est pas équipé. Là ça devient un piège car on ne le voit pas arriver. Je suis allé me coucher au mauvais moment, il suffit de cinq minutes à l'intérieur du bateau et c'est trop tard. Encore une fois je quitte le vendée Globe au bout de deux jours de course, c'est pas possible... »

Assemble les concepts suivants pour former une phrase : "kito de pavant, heurté, chalutier, abandon, dégâts, abandon vendée globe".

Vendée Globe : Kito de Pavant, heurté par un chalutier, abandonne Kito de Pavant est le 2e skipper, après Marc Guillemot, à être contraint d'abandonner le Vendée Globe, après seulement 2 jours de mer. Heurté, ce matin, par un chalutier qui n'avait pas allumé son AIS, le skipper de Groupe Bel va bien. Il est arrivé cet après-midi à Cascais (Portugal), où il était attendu par son équipe, qui n'a cependant rien pu faire d'autre que constater les dégâts, trop importants pour continuer, la course étant sans assistance. Au pointage de 15h UTC, François Gabart est toujours en tête, alors que Armel Le Cléac´h a doublé Vincent Riou en 2e position. De Pavant à indiqué par téléphone :« Le système de détection marche super bien, ça t'avertit quand un bateau arrive à moins de dix miles. Sauf quand le bateau en question n'est pas équipé. Là ça devient un piège car on ne le voit pas arriver. Je suis allé me coucher au mauvais moment, il suffit de cinq minutes à l'intérieur du bateau et c'est trop tard. Encore une fois je quitte le vendée Globe au bout de deux jours de course, c'est pas possible... »

Assemblez les concepts suivants pour former une phrase : "kito de pavant, heurté, chalutier, abandon, dégâts, abandon vendée globe".

Vendée Globe : Kito de Pavant, heurté par un chalutier, abandonne Kito de Pavant est le 2e skipper, après Marc Guillemot, à être contraint d'abandonner le Vendée Globe, après seulement 2 jours de mer. Heurté, ce matin, par un chalutier qui n'avait pas allumé son AIS, le skipper de Groupe Bel va bien. Il est arrivé cet après-midi à Cascais (Portugal), où il était attendu par son équipe, qui n'a cependant rien pu faire d'autre que constater les dégâts, trop importants pour continuer, la course étant sans assistance. Au pointage de 15h UTC, François Gabart est toujours en tête, alors que Armel Le Cléac´h a doublé Vincent Riou en 2e position. De Pavant à indiqué par téléphone :« Le système de détection marche super bien, ça t'avertit quand un bateau arrive à moins de dix miles. Sauf quand le bateau en question n'est pas équipé. Là ça devient un piège car on ne le voit pas arriver. Je suis allé me coucher au mauvais moment, il suffit de cinq minutes à l'intérieur du bateau et c'est trop tard. Encore une fois je quitte le vendée Globe au bout de deux jours de course, c'est pas possible... »

Étant donné la liste des concepts : "kito de pavant, heurté, chalutier, abandon, dégâts, abandon vendée globe". Générer une phrase avec tous les concepts :

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Verbaliser les concepts suivants séparés par une virgule : "kito de pavant, heurté, chalutier, abandon, dégâts, abandon vendée globe".

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Générez un texte intégrant les concepts suivants kito de pavant, heurté, chalutier, abandon, dégâts, abandon vendée globe". Texte :

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"kito de pavant, heurté, chalutier, abandon, dégâts, abandon vendée globe". Ecrire 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.

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"kito de pavant, heurté, chalutier, abandon, dégâts, abandon vendée globe". Ecris 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.

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"kito de pavant, heurté, chalutier, abandon, dégâts, abandon vendée globe". Ecrivez 1 à 5 phrases sur les concepts précédents.

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Vendée Globe : Kito de Pavant, heurté par un chalutier, abandonne Kito de Pavant est le 2e skipper, après Marc Guillemot, à être contraint d'abandonner le Vendée Globe, après seulement 2 jours de mer. Heurté, ce matin, par un chalutier qui n'avait pas allumé son AIS, le skipper de Groupe Bel va bien. Il est arrivé cet après-midi à Cascais (Portugal), où il était attendu par son équipe, qui n'a cependant rien pu faire d'autre que constater les dégâts, trop importants pour continuer, la course étant sans assistance. Au pointage de 15h UTC, François Gabart est toujours en tête, alors que Armel Le Cléac´h a doublé Vincent Riou en 2e position. De Pavant à indiqué par téléphone :« Le système de détection marche super bien, ça t'avertit quand un bateau arrive à moins de dix miles. Sauf quand le bateau en question n'est pas équipé. Là ça devient un piège car on ne le voit pas arriver. Je suis allé me coucher au mauvais moment, il suffit de cinq minutes à l'intérieur du bateau et c'est trop tard. Encore une fois je quitte le vendée Globe au bout de deux jours de course, c'est pas possible... »

Rédigez un texte avec : "kito de pavant, heurté, chalutier, abandon, dégâts, abandon vendée globe".

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Écrire un texte sur les concepts suivants : "kito de pavant, heurté, chalutier, abandon, dégâts, abandon vendée globe".

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Écris un texte sur les concepts suivants : "kito de pavant, heurté, chalutier, abandon, dégâts, abandon vendée globe".

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Assembler les concepts suivants pour former une phrase : "immolations, manifestation, tibet, tibétains, occupation chinoise, droits, accès, corruption".

Immolations et manifestations au Tibet Pendant qu'à Pékin se tient le 18e congrès du Parti communiste chinois pour désigner Xi Jinping comme successeur de Hu Jintao, des centaines de Tibétains manifestent contre l'occupation chinoise. En moins de 48 heures, 6 Tibétains se sont immolés par le feu. Le gouvernement tibétain en exil mentionne que des étudiants tibétains sont descendus dans la rue dans le comté de Rebkong de la province de Qinghai. La semaine dernière, Navi Pillay, haute-commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, a sollicité Pékin afin d'obtenir la visite d'observateurs indépendants au Tibet. Les autorités chinoises ont refusé cet accès. À l’ouverture du congrès du PCC, Hu Jintao a indiqué que « la corruption qui ronge le Parti doit être combattue. À défaut, c'est le régime communiste qui s'effondrera ».

Assemble les concepts suivants pour former une phrase : "immolations, manifestation, tibet, tibétains, occupation chinoise, droits, accès, corruption".

Immolations et manifestations au Tibet Pendant qu'à Pékin se tient le 18e congrès du Parti communiste chinois pour désigner Xi Jinping comme successeur de Hu Jintao, des centaines de Tibétains manifestent contre l'occupation chinoise. En moins de 48 heures, 6 Tibétains se sont immolés par le feu. Le gouvernement tibétain en exil mentionne que des étudiants tibétains sont descendus dans la rue dans le comté de Rebkong de la province de Qinghai. La semaine dernière, Navi Pillay, haute-commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, a sollicité Pékin afin d'obtenir la visite d'observateurs indépendants au Tibet. Les autorités chinoises ont refusé cet accès. À l’ouverture du congrès du PCC, Hu Jintao a indiqué que « la corruption qui ronge le Parti doit être combattue. À défaut, c'est le régime communiste qui s'effondrera ».

Assemblez les concepts suivants pour former une phrase : "immolations, manifestation, tibet, tibétains, occupation chinoise, droits, accès, corruption".

Immolations et manifestations au Tibet Pendant qu'à Pékin se tient le 18e congrès du Parti communiste chinois pour désigner Xi Jinping comme successeur de Hu Jintao, des centaines de Tibétains manifestent contre l'occupation chinoise. En moins de 48 heures, 6 Tibétains se sont immolés par le feu. Le gouvernement tibétain en exil mentionne que des étudiants tibétains sont descendus dans la rue dans le comté de Rebkong de la province de Qinghai. La semaine dernière, Navi Pillay, haute-commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, a sollicité Pékin afin d'obtenir la visite d'observateurs indépendants au Tibet. Les autorités chinoises ont refusé cet accès. À l’ouverture du congrès du PCC, Hu Jintao a indiqué que « la corruption qui ronge le Parti doit être combattue. À défaut, c'est le régime communiste qui s'effondrera ».

Étant donné la liste des concepts : "immolations, manifestation, tibet, tibétains, occupation chinoise, droits, accès, corruption". Générer une phrase avec tous les concepts :

Immolations et manifestations au Tibet Pendant qu'à Pékin se tient le 18e congrès du Parti communiste chinois pour désigner Xi Jinping comme successeur de Hu Jintao, des centaines de Tibétains manifestent contre l'occupation chinoise. En moins de 48 heures, 6 Tibétains se sont immolés par le feu. Le gouvernement tibétain en exil mentionne que des étudiants tibétains sont descendus dans la rue dans le comté de Rebkong de la province de Qinghai. La semaine dernière, Navi Pillay, haute-commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, a sollicité Pékin afin d'obtenir la visite d'observateurs indépendants au Tibet. Les autorités chinoises ont refusé cet accès. À l’ouverture du congrès du PCC, Hu Jintao a indiqué que « la corruption qui ronge le Parti doit être combattue. À défaut, c'est le régime communiste qui s'effondrera ».

Étant donné la liste des concepts : "immolations, manifestation, tibet, tibétains, occupation chinoise, droits, accès, corruption". Génère une phrase avec tous les concepts :

Immolations et manifestations au Tibet Pendant qu'à Pékin se tient le 18e congrès du Parti communiste chinois pour désigner Xi Jinping comme successeur de Hu Jintao, des centaines de Tibétains manifestent contre l'occupation chinoise. En moins de 48 heures, 6 Tibétains se sont immolés par le feu. Le gouvernement tibétain en exil mentionne que des étudiants tibétains sont descendus dans la rue dans le comté de Rebkong de la province de Qinghai. La semaine dernière, Navi Pillay, haute-commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, a sollicité Pékin afin d'obtenir la visite d'observateurs indépendants au Tibet. Les autorités chinoises ont refusé cet accès. À l’ouverture du congrès du PCC, Hu Jintao a indiqué que « la corruption qui ronge le Parti doit être combattue. À défaut, c'est le régime communiste qui s'effondrera ».

Étant donné la liste des concepts : "immolations, manifestation, tibet, tibétains, occupation chinoise, droits, accès, corruption". Générez une phrase avec tous les concepts :

Immolations et manifestations au Tibet Pendant qu'à Pékin se tient le 18e congrès du Parti communiste chinois pour désigner Xi Jinping comme successeur de Hu Jintao, des centaines de Tibétains manifestent contre l'occupation chinoise. En moins de 48 heures, 6 Tibétains se sont immolés par le feu. Le gouvernement tibétain en exil mentionne que des étudiants tibétains sont descendus dans la rue dans le comté de Rebkong de la province de Qinghai. La semaine dernière, Navi Pillay, haute-commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, a sollicité Pékin afin d'obtenir la visite d'observateurs indépendants au Tibet. Les autorités chinoises ont refusé cet accès. À l’ouverture du congrès du PCC, Hu Jintao a indiqué que « la corruption qui ronge le Parti doit être combattue. À défaut, c'est le régime communiste qui s'effondrera ».

Convertir les concepts en une phrase : "immolations, manifestation, tibet, tibétains, occupation chinoise, droits, accès, corruption".

Immolations et manifestations au Tibet Pendant qu'à Pékin se tient le 18e congrès du Parti communiste chinois pour désigner Xi Jinping comme successeur de Hu Jintao, des centaines de Tibétains manifestent contre l'occupation chinoise. En moins de 48 heures, 6 Tibétains se sont immolés par le feu. Le gouvernement tibétain en exil mentionne que des étudiants tibétains sont descendus dans la rue dans le comté de Rebkong de la province de Qinghai. La semaine dernière, Navi Pillay, haute-commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, a sollicité Pékin afin d'obtenir la visite d'observateurs indépendants au Tibet. Les autorités chinoises ont refusé cet accès. À l’ouverture du congrès du PCC, Hu Jintao a indiqué que « la corruption qui ronge le Parti doit être combattue. À défaut, c'est le régime communiste qui s'effondrera ».

Convertis les concepts en une phrase : "immolations, manifestation, tibet, tibétains, occupation chinoise, droits, accès, corruption".

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Convertissez les concepts en une phrase : "immolations, manifestation, tibet, tibétains, occupation chinoise, droits, accès, corruption".

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Combiner tous les concepts suivants dans un texte concis et grammaticalement correct "immolations, manifestation, tibet, tibétains, occupation chinoise, droits, accès, corruption". Texte :

Immolations et manifestations au Tibet Pendant qu'à Pékin se tient le 18e congrès du Parti communiste chinois pour désigner Xi Jinping comme successeur de Hu Jintao, des centaines de Tibétains manifestent contre l'occupation chinoise. En moins de 48 heures, 6 Tibétains se sont immolés par le feu. Le gouvernement tibétain en exil mentionne que des étudiants tibétains sont descendus dans la rue dans le comté de Rebkong de la province de Qinghai. La semaine dernière, Navi Pillay, haute-commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, a sollicité Pékin afin d'obtenir la visite d'observateurs indépendants au Tibet. Les autorités chinoises ont refusé cet accès. À l’ouverture du congrès du PCC, Hu Jintao a indiqué que « la corruption qui ronge le Parti doit être combattue. À défaut, c'est le régime communiste qui s'effondrera ».