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Générez un texte intégrant les concepts suivants élection présidentielle américaine, maire, vote, michael bloomberg, barack obama, mitt romney, soutien, soutien du maire de new york". Texte : | Élection présidentielle américaine de 2012 : le maire de New York appelle à voter Obama Le maire de New York, Michael Bloomberg, appelle cet après-midi à voter pour Barack Obama à l'élection présidentielle de mardi prochain aux États-Unis, prônant le bilan du président sortant dans la lutte contre le changement climatique. « Notre climat change. L'augmentation des phénomènes climatiques extrêmes que nous avons vécus à New York et dans le monde peut être ou ne pas être le résultat de ce changement, mais le risque qu'il puisse l'être, compte tenu des dégâts de cette semaine, devrait obliger tous les dirigeants élus à prendre des mesures immédiates » déclare-t-il dans une libre opinion publiée sur Bloomberg View. Il reconnait que Sandy a influencé son choix. En effet, la ville de New York a été particulièrement touchée par l'ouragan Sandy qui a ravagé le nord-est du pays en début de semaine. Michael Bloomberg pense que Barack Obama, qui vise un second mandat face au républicain Mitt Romney, a pris des mesures significatives de réduction de la consommation de carbone. « Je suis honoré d’avoir le soutien du maire de New York » a déclaré Barack Obama lorsqu'il apprit la nouvelle. Indépendant depuis 2007, le maire de New York prend peu de risque : « tous les sites de paris en ligne voient en Obama le grand favori ». |
"élection présidentielle américaine, maire, vote, michael bloomberg, barack obama, mitt romney, soutien, soutien du maire de new york". Ecrire 1 à 5 phrases sur les concepts précédents. | Élection présidentielle américaine de 2012 : le maire de New York appelle à voter Obama Le maire de New York, Michael Bloomberg, appelle cet après-midi à voter pour Barack Obama à l'élection présidentielle de mardi prochain aux États-Unis, prônant le bilan du président sortant dans la lutte contre le changement climatique. « Notre climat change. L'augmentation des phénomènes climatiques extrêmes que nous avons vécus à New York et dans le monde peut être ou ne pas être le résultat de ce changement, mais le risque qu'il puisse l'être, compte tenu des dégâts de cette semaine, devrait obliger tous les dirigeants élus à prendre des mesures immédiates » déclare-t-il dans une libre opinion publiée sur Bloomberg View. Il reconnait que Sandy a influencé son choix. En effet, la ville de New York a été particulièrement touchée par l'ouragan Sandy qui a ravagé le nord-est du pays en début de semaine. Michael Bloomberg pense que Barack Obama, qui vise un second mandat face au républicain Mitt Romney, a pris des mesures significatives de réduction de la consommation de carbone. « Je suis honoré d’avoir le soutien du maire de New York » a déclaré Barack Obama lorsqu'il apprit la nouvelle. Indépendant depuis 2007, le maire de New York prend peu de risque : « tous les sites de paris en ligne voient en Obama le grand favori ». |
"élection présidentielle américaine, maire, vote, michael bloomberg, barack obama, mitt romney, soutien, soutien du maire de new york". Ecris 1 à 5 phrases sur les concepts précédents. | Élection présidentielle américaine de 2012 : le maire de New York appelle à voter Obama Le maire de New York, Michael Bloomberg, appelle cet après-midi à voter pour Barack Obama à l'élection présidentielle de mardi prochain aux États-Unis, prônant le bilan du président sortant dans la lutte contre le changement climatique. « Notre climat change. L'augmentation des phénomènes climatiques extrêmes que nous avons vécus à New York et dans le monde peut être ou ne pas être le résultat de ce changement, mais le risque qu'il puisse l'être, compte tenu des dégâts de cette semaine, devrait obliger tous les dirigeants élus à prendre des mesures immédiates » déclare-t-il dans une libre opinion publiée sur Bloomberg View. Il reconnait que Sandy a influencé son choix. En effet, la ville de New York a été particulièrement touchée par l'ouragan Sandy qui a ravagé le nord-est du pays en début de semaine. Michael Bloomberg pense que Barack Obama, qui vise un second mandat face au républicain Mitt Romney, a pris des mesures significatives de réduction de la consommation de carbone. « Je suis honoré d’avoir le soutien du maire de New York » a déclaré Barack Obama lorsqu'il apprit la nouvelle. Indépendant depuis 2007, le maire de New York prend peu de risque : « tous les sites de paris en ligne voient en Obama le grand favori ». |
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Rédiger un texte avec : "élection présidentielle américaine, maire, vote, michael bloomberg, barack obama, mitt romney, soutien, soutien du maire de new york". | Élection présidentielle américaine de 2012 : le maire de New York appelle à voter Obama Le maire de New York, Michael Bloomberg, appelle cet après-midi à voter pour Barack Obama à l'élection présidentielle de mardi prochain aux États-Unis, prônant le bilan du président sortant dans la lutte contre le changement climatique. « Notre climat change. L'augmentation des phénomènes climatiques extrêmes que nous avons vécus à New York et dans le monde peut être ou ne pas être le résultat de ce changement, mais le risque qu'il puisse l'être, compte tenu des dégâts de cette semaine, devrait obliger tous les dirigeants élus à prendre des mesures immédiates » déclare-t-il dans une libre opinion publiée sur Bloomberg View. Il reconnait que Sandy a influencé son choix. En effet, la ville de New York a été particulièrement touchée par l'ouragan Sandy qui a ravagé le nord-est du pays en début de semaine. Michael Bloomberg pense que Barack Obama, qui vise un second mandat face au républicain Mitt Romney, a pris des mesures significatives de réduction de la consommation de carbone. « Je suis honoré d’avoir le soutien du maire de New York » a déclaré Barack Obama lorsqu'il apprit la nouvelle. Indépendant depuis 2007, le maire de New York prend peu de risque : « tous les sites de paris en ligne voient en Obama le grand favori ». |
Rédige un texte avec : "élection présidentielle américaine, maire, vote, michael bloomberg, barack obama, mitt romney, soutien, soutien du maire de new york". | Élection présidentielle américaine de 2012 : le maire de New York appelle à voter Obama Le maire de New York, Michael Bloomberg, appelle cet après-midi à voter pour Barack Obama à l'élection présidentielle de mardi prochain aux États-Unis, prônant le bilan du président sortant dans la lutte contre le changement climatique. « Notre climat change. L'augmentation des phénomènes climatiques extrêmes que nous avons vécus à New York et dans le monde peut être ou ne pas être le résultat de ce changement, mais le risque qu'il puisse l'être, compte tenu des dégâts de cette semaine, devrait obliger tous les dirigeants élus à prendre des mesures immédiates » déclare-t-il dans une libre opinion publiée sur Bloomberg View. Il reconnait que Sandy a influencé son choix. En effet, la ville de New York a été particulièrement touchée par l'ouragan Sandy qui a ravagé le nord-est du pays en début de semaine. Michael Bloomberg pense que Barack Obama, qui vise un second mandat face au républicain Mitt Romney, a pris des mesures significatives de réduction de la consommation de carbone. « Je suis honoré d’avoir le soutien du maire de New York » a déclaré Barack Obama lorsqu'il apprit la nouvelle. Indépendant depuis 2007, le maire de New York prend peu de risque : « tous les sites de paris en ligne voient en Obama le grand favori ». |
Rédigez un texte avec : "élection présidentielle américaine, maire, vote, michael bloomberg, barack obama, mitt romney, soutien, soutien du maire de new york". | Élection présidentielle américaine de 2012 : le maire de New York appelle à voter Obama Le maire de New York, Michael Bloomberg, appelle cet après-midi à voter pour Barack Obama à l'élection présidentielle de mardi prochain aux États-Unis, prônant le bilan du président sortant dans la lutte contre le changement climatique. « Notre climat change. L'augmentation des phénomènes climatiques extrêmes que nous avons vécus à New York et dans le monde peut être ou ne pas être le résultat de ce changement, mais le risque qu'il puisse l'être, compte tenu des dégâts de cette semaine, devrait obliger tous les dirigeants élus à prendre des mesures immédiates » déclare-t-il dans une libre opinion publiée sur Bloomberg View. Il reconnait que Sandy a influencé son choix. En effet, la ville de New York a été particulièrement touchée par l'ouragan Sandy qui a ravagé le nord-est du pays en début de semaine. Michael Bloomberg pense que Barack Obama, qui vise un second mandat face au républicain Mitt Romney, a pris des mesures significatives de réduction de la consommation de carbone. « Je suis honoré d’avoir le soutien du maire de New York » a déclaré Barack Obama lorsqu'il apprit la nouvelle. Indépendant depuis 2007, le maire de New York prend peu de risque : « tous les sites de paris en ligne voient en Obama le grand favori ». |
Écrire un texte sur les concepts suivants : "élection présidentielle américaine, maire, vote, michael bloomberg, barack obama, mitt romney, soutien, soutien du maire de new york". | Élection présidentielle américaine de 2012 : le maire de New York appelle à voter Obama Le maire de New York, Michael Bloomberg, appelle cet après-midi à voter pour Barack Obama à l'élection présidentielle de mardi prochain aux États-Unis, prônant le bilan du président sortant dans la lutte contre le changement climatique. « Notre climat change. L'augmentation des phénomènes climatiques extrêmes que nous avons vécus à New York et dans le monde peut être ou ne pas être le résultat de ce changement, mais le risque qu'il puisse l'être, compte tenu des dégâts de cette semaine, devrait obliger tous les dirigeants élus à prendre des mesures immédiates » déclare-t-il dans une libre opinion publiée sur Bloomberg View. Il reconnait que Sandy a influencé son choix. En effet, la ville de New York a été particulièrement touchée par l'ouragan Sandy qui a ravagé le nord-est du pays en début de semaine. Michael Bloomberg pense que Barack Obama, qui vise un second mandat face au républicain Mitt Romney, a pris des mesures significatives de réduction de la consommation de carbone. « Je suis honoré d’avoir le soutien du maire de New York » a déclaré Barack Obama lorsqu'il apprit la nouvelle. Indépendant depuis 2007, le maire de New York prend peu de risque : « tous les sites de paris en ligne voient en Obama le grand favori ». |
Écris un texte sur les concepts suivants : "élection présidentielle américaine, maire, vote, michael bloomberg, barack obama, mitt romney, soutien, soutien du maire de new york". | Élection présidentielle américaine de 2012 : le maire de New York appelle à voter Obama Le maire de New York, Michael Bloomberg, appelle cet après-midi à voter pour Barack Obama à l'élection présidentielle de mardi prochain aux États-Unis, prônant le bilan du président sortant dans la lutte contre le changement climatique. « Notre climat change. L'augmentation des phénomènes climatiques extrêmes que nous avons vécus à New York et dans le monde peut être ou ne pas être le résultat de ce changement, mais le risque qu'il puisse l'être, compte tenu des dégâts de cette semaine, devrait obliger tous les dirigeants élus à prendre des mesures immédiates » déclare-t-il dans une libre opinion publiée sur Bloomberg View. Il reconnait que Sandy a influencé son choix. En effet, la ville de New York a été particulièrement touchée par l'ouragan Sandy qui a ravagé le nord-est du pays en début de semaine. Michael Bloomberg pense que Barack Obama, qui vise un second mandat face au républicain Mitt Romney, a pris des mesures significatives de réduction de la consommation de carbone. « Je suis honoré d’avoir le soutien du maire de New York » a déclaré Barack Obama lorsqu'il apprit la nouvelle. Indépendant depuis 2007, le maire de New York prend peu de risque : « tous les sites de paris en ligne voient en Obama le grand favori ». |
Écrivez un texte sur les concepts suivants : "élection présidentielle américaine, maire, vote, michael bloomberg, barack obama, mitt romney, soutien, soutien du maire de new york". | Élection présidentielle américaine de 2012 : le maire de New York appelle à voter Obama Le maire de New York, Michael Bloomberg, appelle cet après-midi à voter pour Barack Obama à l'élection présidentielle de mardi prochain aux États-Unis, prônant le bilan du président sortant dans la lutte contre le changement climatique. « Notre climat change. L'augmentation des phénomènes climatiques extrêmes que nous avons vécus à New York et dans le monde peut être ou ne pas être le résultat de ce changement, mais le risque qu'il puisse l'être, compte tenu des dégâts de cette semaine, devrait obliger tous les dirigeants élus à prendre des mesures immédiates » déclare-t-il dans une libre opinion publiée sur Bloomberg View. Il reconnait que Sandy a influencé son choix. En effet, la ville de New York a été particulièrement touchée par l'ouragan Sandy qui a ravagé le nord-est du pays en début de semaine. Michael Bloomberg pense que Barack Obama, qui vise un second mandat face au républicain Mitt Romney, a pris des mesures significatives de réduction de la consommation de carbone. « Je suis honoré d’avoir le soutien du maire de New York » a déclaré Barack Obama lorsqu'il apprit la nouvelle. Indépendant depuis 2007, le maire de New York prend peu de risque : « tous les sites de paris en ligne voient en Obama le grand favori ». |
Assembler les concepts suivants pour former une phrase : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
Assemble les concepts suivants pour former une phrase : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
Assemblez les concepts suivants pour former une phrase : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
Étant donné la liste des concepts : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". Générer une phrase avec tous les concepts : | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
Étant donné la liste des concepts : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". Génère une phrase avec tous les concepts : | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
Étant donné la liste des concepts : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". Générez une phrase avec tous les concepts : | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
Convertir les concepts en une phrase : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
Convertis les concepts en une phrase : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
Convertissez les concepts en une phrase : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
Combiner tous les concepts suivants dans un texte concis et grammaticalement correct "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". Texte : | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
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Générer une phrase à partir des informations fournies ci-contre : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
Génère une phrase à partir des informations fournies ci-contre : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
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Verbaliser les concepts suivants séparés par une virgule : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
Verbalise les concepts suivants séparés par une virgule : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
Verbalisez les concepts suivants séparés par une virgule : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
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Générez un texte intégrant les concepts suivants lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". Texte : | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
"lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". Ecrire 1 à 5 phrases sur les concepts précédents. | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
"lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". Ecris 1 à 5 phrases sur les concepts précédents. | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
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Rédiger un texte avec : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
Rédige un texte avec : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
Rédigez un texte avec : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
Écrire un texte sur les concepts suivants : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
Écris un texte sur les concepts suivants : "lancement, fusée, fusée falcon 9, spacex, capsule dragon, station, iss, nasa, orbite". | États-Unis : Lancement réussi pour Space X Dragon La fusée Falcon 9, développée par une société privée : SpaceX, a décollé sans problème ce matin à 7h44 UTC. 22 mai 2012. - Prévu initialement pour samedi dernier, le lancement a été reporté à la dernière seconde, suite à la défaillance d'une valve dans un des neuf moteurs du premier étage du lanceur. Le lanceur a décollé du site de lancement du pas de tir 40 (SLC-40) de la base de Cape Canaveral en Floride, qui était autrefois utilisé pour les fusées Titan III et IV et qui a été reconverti pour ce lanceur. Falcon 9 emporte avec lui la capsule Dragon qui devrait, dans quelques jours, être arrimée à la station spatiale internationale (ISS). Moins de quarante cinq minutes après le départ, la NASA indiquait : « La capsule SpaceX-Dragon est en orbite avec ses panneaux solaires déployés après un lancement réussi ». C'est une première car la capsule et le lanceur ont tous deux été mis au point par la société SpaceX, qui réalise ainsi, en partenariat avec la NASA, la première mission d’un transporteur spatial privé vers l'ISS. La capsule restera 18 jours accrochée à la station. Elle transporte 521 kg de matériel pour l’ISS et doit en ramener 660 kg. Il est prévu que, contrairement à l’ATV qui se détruit lors de son retour dans l’atmosphère, la capsule Dragon amortisse sa descente avec un parachute avant de se poser dans l’océan Pacifique, à 450 km environ des côtes américaines. Pour l'instant, ce lanceur est destiné uniquement à la mise en orbite de matériel mais, dans un futur proche, ses missions pourraient s’étendre aux vols habités en orbite basse. |
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Assembler les concepts suivants pour former une phrase : "barack obama, président, proclamation des résultats, résultats, soirée électorale, victoire, grands électeurs, républicain, démocrate". | Barack Obama : « le meilleur reste à venir pour les Etats-Unis ! » C’est à Chicago que le président Barack Obama a attendu la proclamation des résultats. La soirée électorale a culminé en une victoire nette au niveau du Collège des Grands Electeurs, ce corps de 538 personnages (suivant le nombre de sénateurs et représentants au Congrès) qui vont, dans un peu plus d’un mois, choisir le chef de l’exécutif américain. Sans la Floride, où le résultat final n’était pas encore connu hier soir, B. Obama a recueilli 303 grands électeurs, soit 33 de plus que les 270 requis pour remporter la présidence. Devant des milliers de partisans en délire qui ont attendu au McCormick Place jusque tard dans la nuit, le président a déclaré que la lutte pour le changement n’est pas terminée. Il a promis de travailler de concert avec les républicains pour résoudre les graves problèmes auxquels fait face la nation, en premier lieu l’économie et la dette nationale. Il a aussi exprimé le vœu de s’attaquer au problème de l’immigration, un thème quasi-absent de la campagne électorale. Rappelons qu’au Congrès, selon les projections et résultats déjà confirmés, les républicains auront à nouveau le contrôle de la Chambre des représentants, tandis que les démocrates resteront majoritaires au Sénat. Quelques victoires importantes au Sénat pour les démocrates : dans le Massachusetts, le sénateur Scott Brown n’a pas été réélu. Il a perdu face à Elizabeth Warren, artisane de la création d’une nouvelle agence fédérale de protection des consommateurs. En Virginie, où la course était très serrée, l'ancien gouverneur républicain George Allen a concédé la victoire à l'ancien gouverneur démocrate Tim Kaine. Dans l’Ohio, le sénateur démocrate Sherrod Brown a conservé son poste malgré un sérieux challenge du jeune républicain Josh Mandel. Bon résultat aussi pour les démocrates dans l'Indiana, où Joe Donnelly a battu Richard Mourdock. Cette course a attiré l'attention nationale après que Mourdock a fait des remarques controversées sur le viol et l'avortement. Todd Akin, un autre candidat républicain qui a fait des remarques controversées sur le même sujet, a perdu dans le Missouri face à la sénatrice démocrate Claire McCaskill. En Floride, le démocrate Bill Nelson a conservé son poste. Son rival était le républicain Connie Mack. Trente-trois sièges étaient à pourvoir au Sénat. L’ensemble des 435 sièges de la chambre basse étaient en jeu. Les résultats complets seront disponibles dans les prochains jours. |
Assemble les concepts suivants pour former une phrase : "barack obama, président, proclamation des résultats, résultats, soirée électorale, victoire, grands électeurs, républicain, démocrate". | Barack Obama : « le meilleur reste à venir pour les Etats-Unis ! » C’est à Chicago que le président Barack Obama a attendu la proclamation des résultats. La soirée électorale a culminé en une victoire nette au niveau du Collège des Grands Electeurs, ce corps de 538 personnages (suivant le nombre de sénateurs et représentants au Congrès) qui vont, dans un peu plus d’un mois, choisir le chef de l’exécutif américain. Sans la Floride, où le résultat final n’était pas encore connu hier soir, B. Obama a recueilli 303 grands électeurs, soit 33 de plus que les 270 requis pour remporter la présidence. Devant des milliers de partisans en délire qui ont attendu au McCormick Place jusque tard dans la nuit, le président a déclaré que la lutte pour le changement n’est pas terminée. Il a promis de travailler de concert avec les républicains pour résoudre les graves problèmes auxquels fait face la nation, en premier lieu l’économie et la dette nationale. Il a aussi exprimé le vœu de s’attaquer au problème de l’immigration, un thème quasi-absent de la campagne électorale. Rappelons qu’au Congrès, selon les projections et résultats déjà confirmés, les républicains auront à nouveau le contrôle de la Chambre des représentants, tandis que les démocrates resteront majoritaires au Sénat. Quelques victoires importantes au Sénat pour les démocrates : dans le Massachusetts, le sénateur Scott Brown n’a pas été réélu. Il a perdu face à Elizabeth Warren, artisane de la création d’une nouvelle agence fédérale de protection des consommateurs. En Virginie, où la course était très serrée, l'ancien gouverneur républicain George Allen a concédé la victoire à l'ancien gouverneur démocrate Tim Kaine. Dans l’Ohio, le sénateur démocrate Sherrod Brown a conservé son poste malgré un sérieux challenge du jeune républicain Josh Mandel. Bon résultat aussi pour les démocrates dans l'Indiana, où Joe Donnelly a battu Richard Mourdock. Cette course a attiré l'attention nationale après que Mourdock a fait des remarques controversées sur le viol et l'avortement. Todd Akin, un autre candidat républicain qui a fait des remarques controversées sur le même sujet, a perdu dans le Missouri face à la sénatrice démocrate Claire McCaskill. En Floride, le démocrate Bill Nelson a conservé son poste. Son rival était le républicain Connie Mack. Trente-trois sièges étaient à pourvoir au Sénat. L’ensemble des 435 sièges de la chambre basse étaient en jeu. Les résultats complets seront disponibles dans les prochains jours. |
Assemblez les concepts suivants pour former une phrase : "barack obama, président, proclamation des résultats, résultats, soirée électorale, victoire, grands électeurs, républicain, démocrate". | Barack Obama : « le meilleur reste à venir pour les Etats-Unis ! » C’est à Chicago que le président Barack Obama a attendu la proclamation des résultats. La soirée électorale a culminé en une victoire nette au niveau du Collège des Grands Electeurs, ce corps de 538 personnages (suivant le nombre de sénateurs et représentants au Congrès) qui vont, dans un peu plus d’un mois, choisir le chef de l’exécutif américain. Sans la Floride, où le résultat final n’était pas encore connu hier soir, B. Obama a recueilli 303 grands électeurs, soit 33 de plus que les 270 requis pour remporter la présidence. Devant des milliers de partisans en délire qui ont attendu au McCormick Place jusque tard dans la nuit, le président a déclaré que la lutte pour le changement n’est pas terminée. Il a promis de travailler de concert avec les républicains pour résoudre les graves problèmes auxquels fait face la nation, en premier lieu l’économie et la dette nationale. Il a aussi exprimé le vœu de s’attaquer au problème de l’immigration, un thème quasi-absent de la campagne électorale. Rappelons qu’au Congrès, selon les projections et résultats déjà confirmés, les républicains auront à nouveau le contrôle de la Chambre des représentants, tandis que les démocrates resteront majoritaires au Sénat. Quelques victoires importantes au Sénat pour les démocrates : dans le Massachusetts, le sénateur Scott Brown n’a pas été réélu. Il a perdu face à Elizabeth Warren, artisane de la création d’une nouvelle agence fédérale de protection des consommateurs. En Virginie, où la course était très serrée, l'ancien gouverneur républicain George Allen a concédé la victoire à l'ancien gouverneur démocrate Tim Kaine. Dans l’Ohio, le sénateur démocrate Sherrod Brown a conservé son poste malgré un sérieux challenge du jeune républicain Josh Mandel. Bon résultat aussi pour les démocrates dans l'Indiana, où Joe Donnelly a battu Richard Mourdock. Cette course a attiré l'attention nationale après que Mourdock a fait des remarques controversées sur le viol et l'avortement. Todd Akin, un autre candidat républicain qui a fait des remarques controversées sur le même sujet, a perdu dans le Missouri face à la sénatrice démocrate Claire McCaskill. En Floride, le démocrate Bill Nelson a conservé son poste. Son rival était le républicain Connie Mack. Trente-trois sièges étaient à pourvoir au Sénat. L’ensemble des 435 sièges de la chambre basse étaient en jeu. Les résultats complets seront disponibles dans les prochains jours. |
Étant donné la liste des concepts : "barack obama, président, proclamation des résultats, résultats, soirée électorale, victoire, grands électeurs, républicain, démocrate". Générer une phrase avec tous les concepts : | Barack Obama : « le meilleur reste à venir pour les Etats-Unis ! » C’est à Chicago que le président Barack Obama a attendu la proclamation des résultats. La soirée électorale a culminé en une victoire nette au niveau du Collège des Grands Electeurs, ce corps de 538 personnages (suivant le nombre de sénateurs et représentants au Congrès) qui vont, dans un peu plus d’un mois, choisir le chef de l’exécutif américain. Sans la Floride, où le résultat final n’était pas encore connu hier soir, B. Obama a recueilli 303 grands électeurs, soit 33 de plus que les 270 requis pour remporter la présidence. Devant des milliers de partisans en délire qui ont attendu au McCormick Place jusque tard dans la nuit, le président a déclaré que la lutte pour le changement n’est pas terminée. Il a promis de travailler de concert avec les républicains pour résoudre les graves problèmes auxquels fait face la nation, en premier lieu l’économie et la dette nationale. Il a aussi exprimé le vœu de s’attaquer au problème de l’immigration, un thème quasi-absent de la campagne électorale. Rappelons qu’au Congrès, selon les projections et résultats déjà confirmés, les républicains auront à nouveau le contrôle de la Chambre des représentants, tandis que les démocrates resteront majoritaires au Sénat. Quelques victoires importantes au Sénat pour les démocrates : dans le Massachusetts, le sénateur Scott Brown n’a pas été réélu. Il a perdu face à Elizabeth Warren, artisane de la création d’une nouvelle agence fédérale de protection des consommateurs. En Virginie, où la course était très serrée, l'ancien gouverneur républicain George Allen a concédé la victoire à l'ancien gouverneur démocrate Tim Kaine. Dans l’Ohio, le sénateur démocrate Sherrod Brown a conservé son poste malgré un sérieux challenge du jeune républicain Josh Mandel. Bon résultat aussi pour les démocrates dans l'Indiana, où Joe Donnelly a battu Richard Mourdock. Cette course a attiré l'attention nationale après que Mourdock a fait des remarques controversées sur le viol et l'avortement. Todd Akin, un autre candidat républicain qui a fait des remarques controversées sur le même sujet, a perdu dans le Missouri face à la sénatrice démocrate Claire McCaskill. En Floride, le démocrate Bill Nelson a conservé son poste. Son rival était le républicain Connie Mack. Trente-trois sièges étaient à pourvoir au Sénat. L’ensemble des 435 sièges de la chambre basse étaient en jeu. Les résultats complets seront disponibles dans les prochains jours. |
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Convertis les concepts en une phrase : "barack obama, président, proclamation des résultats, résultats, soirée électorale, victoire, grands électeurs, républicain, démocrate". | Barack Obama : « le meilleur reste à venir pour les Etats-Unis ! » C’est à Chicago que le président Barack Obama a attendu la proclamation des résultats. La soirée électorale a culminé en une victoire nette au niveau du Collège des Grands Electeurs, ce corps de 538 personnages (suivant le nombre de sénateurs et représentants au Congrès) qui vont, dans un peu plus d’un mois, choisir le chef de l’exécutif américain. Sans la Floride, où le résultat final n’était pas encore connu hier soir, B. Obama a recueilli 303 grands électeurs, soit 33 de plus que les 270 requis pour remporter la présidence. Devant des milliers de partisans en délire qui ont attendu au McCormick Place jusque tard dans la nuit, le président a déclaré que la lutte pour le changement n’est pas terminée. Il a promis de travailler de concert avec les républicains pour résoudre les graves problèmes auxquels fait face la nation, en premier lieu l’économie et la dette nationale. Il a aussi exprimé le vœu de s’attaquer au problème de l’immigration, un thème quasi-absent de la campagne électorale. Rappelons qu’au Congrès, selon les projections et résultats déjà confirmés, les républicains auront à nouveau le contrôle de la Chambre des représentants, tandis que les démocrates resteront majoritaires au Sénat. Quelques victoires importantes au Sénat pour les démocrates : dans le Massachusetts, le sénateur Scott Brown n’a pas été réélu. Il a perdu face à Elizabeth Warren, artisane de la création d’une nouvelle agence fédérale de protection des consommateurs. En Virginie, où la course était très serrée, l'ancien gouverneur républicain George Allen a concédé la victoire à l'ancien gouverneur démocrate Tim Kaine. Dans l’Ohio, le sénateur démocrate Sherrod Brown a conservé son poste malgré un sérieux challenge du jeune républicain Josh Mandel. Bon résultat aussi pour les démocrates dans l'Indiana, où Joe Donnelly a battu Richard Mourdock. Cette course a attiré l'attention nationale après que Mourdock a fait des remarques controversées sur le viol et l'avortement. Todd Akin, un autre candidat républicain qui a fait des remarques controversées sur le même sujet, a perdu dans le Missouri face à la sénatrice démocrate Claire McCaskill. En Floride, le démocrate Bill Nelson a conservé son poste. Son rival était le républicain Connie Mack. Trente-trois sièges étaient à pourvoir au Sénat. L’ensemble des 435 sièges de la chambre basse étaient en jeu. Les résultats complets seront disponibles dans les prochains jours. |
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Combiner tous les concepts suivants dans un texte concis et grammaticalement correct "barack obama, président, proclamation des résultats, résultats, soirée électorale, victoire, grands électeurs, républicain, démocrate". Texte : | Barack Obama : « le meilleur reste à venir pour les Etats-Unis ! » C’est à Chicago que le président Barack Obama a attendu la proclamation des résultats. La soirée électorale a culminé en une victoire nette au niveau du Collège des Grands Electeurs, ce corps de 538 personnages (suivant le nombre de sénateurs et représentants au Congrès) qui vont, dans un peu plus d’un mois, choisir le chef de l’exécutif américain. Sans la Floride, où le résultat final n’était pas encore connu hier soir, B. Obama a recueilli 303 grands électeurs, soit 33 de plus que les 270 requis pour remporter la présidence. Devant des milliers de partisans en délire qui ont attendu au McCormick Place jusque tard dans la nuit, le président a déclaré que la lutte pour le changement n’est pas terminée. Il a promis de travailler de concert avec les républicains pour résoudre les graves problèmes auxquels fait face la nation, en premier lieu l’économie et la dette nationale. Il a aussi exprimé le vœu de s’attaquer au problème de l’immigration, un thème quasi-absent de la campagne électorale. Rappelons qu’au Congrès, selon les projections et résultats déjà confirmés, les républicains auront à nouveau le contrôle de la Chambre des représentants, tandis que les démocrates resteront majoritaires au Sénat. Quelques victoires importantes au Sénat pour les démocrates : dans le Massachusetts, le sénateur Scott Brown n’a pas été réélu. Il a perdu face à Elizabeth Warren, artisane de la création d’une nouvelle agence fédérale de protection des consommateurs. En Virginie, où la course était très serrée, l'ancien gouverneur républicain George Allen a concédé la victoire à l'ancien gouverneur démocrate Tim Kaine. Dans l’Ohio, le sénateur démocrate Sherrod Brown a conservé son poste malgré un sérieux challenge du jeune républicain Josh Mandel. Bon résultat aussi pour les démocrates dans l'Indiana, où Joe Donnelly a battu Richard Mourdock. Cette course a attiré l'attention nationale après que Mourdock a fait des remarques controversées sur le viol et l'avortement. Todd Akin, un autre candidat républicain qui a fait des remarques controversées sur le même sujet, a perdu dans le Missouri face à la sénatrice démocrate Claire McCaskill. En Floride, le démocrate Bill Nelson a conservé son poste. Son rival était le républicain Connie Mack. Trente-trois sièges étaient à pourvoir au Sénat. L’ensemble des 435 sièges de la chambre basse étaient en jeu. Les résultats complets seront disponibles dans les prochains jours. |
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Générer une phrase à partir des informations fournies ci-contre : "barack obama, président, proclamation des résultats, résultats, soirée électorale, victoire, grands électeurs, républicain, démocrate". | Barack Obama : « le meilleur reste à venir pour les Etats-Unis ! » C’est à Chicago que le président Barack Obama a attendu la proclamation des résultats. La soirée électorale a culminé en une victoire nette au niveau du Collège des Grands Electeurs, ce corps de 538 personnages (suivant le nombre de sénateurs et représentants au Congrès) qui vont, dans un peu plus d’un mois, choisir le chef de l’exécutif américain. Sans la Floride, où le résultat final n’était pas encore connu hier soir, B. Obama a recueilli 303 grands électeurs, soit 33 de plus que les 270 requis pour remporter la présidence. Devant des milliers de partisans en délire qui ont attendu au McCormick Place jusque tard dans la nuit, le président a déclaré que la lutte pour le changement n’est pas terminée. Il a promis de travailler de concert avec les républicains pour résoudre les graves problèmes auxquels fait face la nation, en premier lieu l’économie et la dette nationale. Il a aussi exprimé le vœu de s’attaquer au problème de l’immigration, un thème quasi-absent de la campagne électorale. Rappelons qu’au Congrès, selon les projections et résultats déjà confirmés, les républicains auront à nouveau le contrôle de la Chambre des représentants, tandis que les démocrates resteront majoritaires au Sénat. Quelques victoires importantes au Sénat pour les démocrates : dans le Massachusetts, le sénateur Scott Brown n’a pas été réélu. Il a perdu face à Elizabeth Warren, artisane de la création d’une nouvelle agence fédérale de protection des consommateurs. En Virginie, où la course était très serrée, l'ancien gouverneur républicain George Allen a concédé la victoire à l'ancien gouverneur démocrate Tim Kaine. Dans l’Ohio, le sénateur démocrate Sherrod Brown a conservé son poste malgré un sérieux challenge du jeune républicain Josh Mandel. Bon résultat aussi pour les démocrates dans l'Indiana, où Joe Donnelly a battu Richard Mourdock. Cette course a attiré l'attention nationale après que Mourdock a fait des remarques controversées sur le viol et l'avortement. Todd Akin, un autre candidat républicain qui a fait des remarques controversées sur le même sujet, a perdu dans le Missouri face à la sénatrice démocrate Claire McCaskill. En Floride, le démocrate Bill Nelson a conservé son poste. Son rival était le républicain Connie Mack. Trente-trois sièges étaient à pourvoir au Sénat. L’ensemble des 435 sièges de la chambre basse étaient en jeu. Les résultats complets seront disponibles dans les prochains jours. |
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Verbaliser les concepts suivants séparés par une virgule : "barack obama, président, proclamation des résultats, résultats, soirée électorale, victoire, grands électeurs, républicain, démocrate". | Barack Obama : « le meilleur reste à venir pour les Etats-Unis ! » C’est à Chicago que le président Barack Obama a attendu la proclamation des résultats. La soirée électorale a culminé en une victoire nette au niveau du Collège des Grands Electeurs, ce corps de 538 personnages (suivant le nombre de sénateurs et représentants au Congrès) qui vont, dans un peu plus d’un mois, choisir le chef de l’exécutif américain. Sans la Floride, où le résultat final n’était pas encore connu hier soir, B. Obama a recueilli 303 grands électeurs, soit 33 de plus que les 270 requis pour remporter la présidence. Devant des milliers de partisans en délire qui ont attendu au McCormick Place jusque tard dans la nuit, le président a déclaré que la lutte pour le changement n’est pas terminée. Il a promis de travailler de concert avec les républicains pour résoudre les graves problèmes auxquels fait face la nation, en premier lieu l’économie et la dette nationale. Il a aussi exprimé le vœu de s’attaquer au problème de l’immigration, un thème quasi-absent de la campagne électorale. Rappelons qu’au Congrès, selon les projections et résultats déjà confirmés, les républicains auront à nouveau le contrôle de la Chambre des représentants, tandis que les démocrates resteront majoritaires au Sénat. Quelques victoires importantes au Sénat pour les démocrates : dans le Massachusetts, le sénateur Scott Brown n’a pas été réélu. Il a perdu face à Elizabeth Warren, artisane de la création d’une nouvelle agence fédérale de protection des consommateurs. En Virginie, où la course était très serrée, l'ancien gouverneur républicain George Allen a concédé la victoire à l'ancien gouverneur démocrate Tim Kaine. Dans l’Ohio, le sénateur démocrate Sherrod Brown a conservé son poste malgré un sérieux challenge du jeune républicain Josh Mandel. Bon résultat aussi pour les démocrates dans l'Indiana, où Joe Donnelly a battu Richard Mourdock. Cette course a attiré l'attention nationale après que Mourdock a fait des remarques controversées sur le viol et l'avortement. Todd Akin, un autre candidat républicain qui a fait des remarques controversées sur le même sujet, a perdu dans le Missouri face à la sénatrice démocrate Claire McCaskill. En Floride, le démocrate Bill Nelson a conservé son poste. Son rival était le républicain Connie Mack. Trente-trois sièges étaient à pourvoir au Sénat. L’ensemble des 435 sièges de la chambre basse étaient en jeu. Les résultats complets seront disponibles dans les prochains jours. |
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Générer un texte intégrant les concepts suivants barack obama, président, proclamation des résultats, résultats, soirée électorale, victoire, grands électeurs, républicain, démocrate". Texte : | Barack Obama : « le meilleur reste à venir pour les Etats-Unis ! » C’est à Chicago que le président Barack Obama a attendu la proclamation des résultats. La soirée électorale a culminé en une victoire nette au niveau du Collège des Grands Electeurs, ce corps de 538 personnages (suivant le nombre de sénateurs et représentants au Congrès) qui vont, dans un peu plus d’un mois, choisir le chef de l’exécutif américain. Sans la Floride, où le résultat final n’était pas encore connu hier soir, B. Obama a recueilli 303 grands électeurs, soit 33 de plus que les 270 requis pour remporter la présidence. Devant des milliers de partisans en délire qui ont attendu au McCormick Place jusque tard dans la nuit, le président a déclaré que la lutte pour le changement n’est pas terminée. Il a promis de travailler de concert avec les républicains pour résoudre les graves problèmes auxquels fait face la nation, en premier lieu l’économie et la dette nationale. Il a aussi exprimé le vœu de s’attaquer au problème de l’immigration, un thème quasi-absent de la campagne électorale. Rappelons qu’au Congrès, selon les projections et résultats déjà confirmés, les républicains auront à nouveau le contrôle de la Chambre des représentants, tandis que les démocrates resteront majoritaires au Sénat. Quelques victoires importantes au Sénat pour les démocrates : dans le Massachusetts, le sénateur Scott Brown n’a pas été réélu. Il a perdu face à Elizabeth Warren, artisane de la création d’une nouvelle agence fédérale de protection des consommateurs. En Virginie, où la course était très serrée, l'ancien gouverneur républicain George Allen a concédé la victoire à l'ancien gouverneur démocrate Tim Kaine. Dans l’Ohio, le sénateur démocrate Sherrod Brown a conservé son poste malgré un sérieux challenge du jeune républicain Josh Mandel. Bon résultat aussi pour les démocrates dans l'Indiana, où Joe Donnelly a battu Richard Mourdock. Cette course a attiré l'attention nationale après que Mourdock a fait des remarques controversées sur le viol et l'avortement. Todd Akin, un autre candidat républicain qui a fait des remarques controversées sur le même sujet, a perdu dans le Missouri face à la sénatrice démocrate Claire McCaskill. En Floride, le démocrate Bill Nelson a conservé son poste. Son rival était le républicain Connie Mack. Trente-trois sièges étaient à pourvoir au Sénat. L’ensemble des 435 sièges de la chambre basse étaient en jeu. Les résultats complets seront disponibles dans les prochains jours. |
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"barack obama, président, proclamation des résultats, résultats, soirée électorale, victoire, grands électeurs, républicain, démocrate". Ecrire 1 à 5 phrases sur les concepts précédents. | Barack Obama : « le meilleur reste à venir pour les Etats-Unis ! » C’est à Chicago que le président Barack Obama a attendu la proclamation des résultats. La soirée électorale a culminé en une victoire nette au niveau du Collège des Grands Electeurs, ce corps de 538 personnages (suivant le nombre de sénateurs et représentants au Congrès) qui vont, dans un peu plus d’un mois, choisir le chef de l’exécutif américain. Sans la Floride, où le résultat final n’était pas encore connu hier soir, B. Obama a recueilli 303 grands électeurs, soit 33 de plus que les 270 requis pour remporter la présidence. Devant des milliers de partisans en délire qui ont attendu au McCormick Place jusque tard dans la nuit, le président a déclaré que la lutte pour le changement n’est pas terminée. Il a promis de travailler de concert avec les républicains pour résoudre les graves problèmes auxquels fait face la nation, en premier lieu l’économie et la dette nationale. Il a aussi exprimé le vœu de s’attaquer au problème de l’immigration, un thème quasi-absent de la campagne électorale. Rappelons qu’au Congrès, selon les projections et résultats déjà confirmés, les républicains auront à nouveau le contrôle de la Chambre des représentants, tandis que les démocrates resteront majoritaires au Sénat. Quelques victoires importantes au Sénat pour les démocrates : dans le Massachusetts, le sénateur Scott Brown n’a pas été réélu. Il a perdu face à Elizabeth Warren, artisane de la création d’une nouvelle agence fédérale de protection des consommateurs. En Virginie, où la course était très serrée, l'ancien gouverneur républicain George Allen a concédé la victoire à l'ancien gouverneur démocrate Tim Kaine. Dans l’Ohio, le sénateur démocrate Sherrod Brown a conservé son poste malgré un sérieux challenge du jeune républicain Josh Mandel. Bon résultat aussi pour les démocrates dans l'Indiana, où Joe Donnelly a battu Richard Mourdock. Cette course a attiré l'attention nationale après que Mourdock a fait des remarques controversées sur le viol et l'avortement. Todd Akin, un autre candidat républicain qui a fait des remarques controversées sur le même sujet, a perdu dans le Missouri face à la sénatrice démocrate Claire McCaskill. En Floride, le démocrate Bill Nelson a conservé son poste. Son rival était le républicain Connie Mack. Trente-trois sièges étaient à pourvoir au Sénat. L’ensemble des 435 sièges de la chambre basse étaient en jeu. Les résultats complets seront disponibles dans les prochains jours. |
"barack obama, président, proclamation des résultats, résultats, soirée électorale, victoire, grands électeurs, républicain, démocrate". Ecris 1 à 5 phrases sur les concepts précédents. | Barack Obama : « le meilleur reste à venir pour les Etats-Unis ! » C’est à Chicago que le président Barack Obama a attendu la proclamation des résultats. La soirée électorale a culminé en une victoire nette au niveau du Collège des Grands Electeurs, ce corps de 538 personnages (suivant le nombre de sénateurs et représentants au Congrès) qui vont, dans un peu plus d’un mois, choisir le chef de l’exécutif américain. Sans la Floride, où le résultat final n’était pas encore connu hier soir, B. Obama a recueilli 303 grands électeurs, soit 33 de plus que les 270 requis pour remporter la présidence. Devant des milliers de partisans en délire qui ont attendu au McCormick Place jusque tard dans la nuit, le président a déclaré que la lutte pour le changement n’est pas terminée. Il a promis de travailler de concert avec les républicains pour résoudre les graves problèmes auxquels fait face la nation, en premier lieu l’économie et la dette nationale. Il a aussi exprimé le vœu de s’attaquer au problème de l’immigration, un thème quasi-absent de la campagne électorale. Rappelons qu’au Congrès, selon les projections et résultats déjà confirmés, les républicains auront à nouveau le contrôle de la Chambre des représentants, tandis que les démocrates resteront majoritaires au Sénat. Quelques victoires importantes au Sénat pour les démocrates : dans le Massachusetts, le sénateur Scott Brown n’a pas été réélu. Il a perdu face à Elizabeth Warren, artisane de la création d’une nouvelle agence fédérale de protection des consommateurs. En Virginie, où la course était très serrée, l'ancien gouverneur républicain George Allen a concédé la victoire à l'ancien gouverneur démocrate Tim Kaine. Dans l’Ohio, le sénateur démocrate Sherrod Brown a conservé son poste malgré un sérieux challenge du jeune républicain Josh Mandel. Bon résultat aussi pour les démocrates dans l'Indiana, où Joe Donnelly a battu Richard Mourdock. Cette course a attiré l'attention nationale après que Mourdock a fait des remarques controversées sur le viol et l'avortement. Todd Akin, un autre candidat républicain qui a fait des remarques controversées sur le même sujet, a perdu dans le Missouri face à la sénatrice démocrate Claire McCaskill. En Floride, le démocrate Bill Nelson a conservé son poste. Son rival était le républicain Connie Mack. Trente-trois sièges étaient à pourvoir au Sénat. L’ensemble des 435 sièges de la chambre basse étaient en jeu. Les résultats complets seront disponibles dans les prochains jours. |
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Assembler les concepts suivants pour former une phrase : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Assemble les concepts suivants pour former une phrase : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Assemblez les concepts suivants pour former une phrase : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Étant donné la liste des concepts : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". Générer une phrase avec tous les concepts : | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Étant donné la liste des concepts : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". Génère une phrase avec tous les concepts : | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Étant donné la liste des concepts : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". Générez une phrase avec tous les concepts : | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Convertir les concepts en une phrase : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Convertis les concepts en une phrase : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Convertissez les concepts en une phrase : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Combiner tous les concepts suivants dans un texte concis et grammaticalement correct "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". Texte : | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Combine tous les concepts suivants dans un texte concis et grammaticalement correct "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". Texte : | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Combinez tous les concepts suivants dans un texte concis et grammaticalement correct "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". Texte : | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Générer une phrase à partir des informations fournies ci-contre : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Génère une phrase à partir des informations fournies ci-contre : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Générez une phrase à partir des informations fournies ci-contre : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Verbaliser les concepts suivants séparés par une virgule : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Verbalise les concepts suivants séparés par une virgule : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Verbalisez les concepts suivants séparés par une virgule : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Générer un texte intégrant les concepts suivants îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". Texte : | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Génère un texte intégrant les concepts suivants îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". Texte : | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Générez un texte intégrant les concepts suivants îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". Texte : | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
"îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". Ecrire 1 à 5 phrases sur les concepts précédents. | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
"îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". Ecris 1 à 5 phrases sur les concepts précédents. | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
"îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". Ecrivez 1 à 5 phrases sur les concepts précédents. | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Rédiger un texte avec : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
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Rédigez un texte avec : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Écrire un texte sur les concepts suivants : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Écris un texte sur les concepts suivants : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |
Écrivez un texte sur les concepts suivants : "îles baléares, exclut, député, antoni pastor, langue, catalan, unanimité, député-maire, discipline, vote, normalisation, faute, politique linguistique, décision, positions en faveur du catalan". | Îles Baléares : le Parti populaire exclut le député Antoni Pastor pour avoir défendu la langue catalane Le Parti populaire espagnol[1] a exclu, hier, à l'unanimité, Antoni Pastor, député-maire de Manacor. Son parti lui faisait grief d'avoir rompu la discipline de vote en ce qui concerne le projet de loi gouvernemental modifiant la normalisation linguistique et éliminant le droit de ses habitants de s'adresser à l'administration publique en catalan. Estimant que « le catalan est notre propre langue », il vota contre avec l'opposition socialiste par deux fois lors de la session extraordinaire du 19 juin. Il fut déjà exclu de son groupe parlementaire ces jours-là et déclara alors : « Quand on affronte une situation limite, il faut savoir quel est le scénario limite. » Surpris par la politique linguistique du président José Ramón Bauzà, il déclara : « Il est évident que je ne pensais pas que le PP pût prendre une décision comme celle-ci concernant la langue. » Le PP a considéré qu'Antoni Pastor avait commis une faute très grave justifiant ainsi sa décision. En réalité, il lui reproche de ne pas être en fait un député godillot. Ses positions en faveur du catalan furent considérées comme un crime de lèse-majesté. La France a connu également la même chose, notamment, au cours de la présidence de Nicolas Sarkozy. Ce dernier imposa à ses députés une telle discipline, allant jusqu'à interdire leur présence dans l'hémicycle lors du débat et du vote de certaines propositions de loi de l'opposition socialiste. Ce fut notamment le cas du débat sur la suppression du crédit renouvelable (revolving). |