scenario
stringclasses 1
value | target_model
stringclasses 1
value | target_model_train_dataset
stringclasses 1
value | attack_toolchain
stringclasses 2
values | attack_name
stringclasses 7
values | target_dataset
stringclasses 1
value | test_index
int64 0
20k
| original_text
stringlengths 3
2k
| perturbed_text
stringlengths 1
2.09k
| ground_truth
int64 0
1
| original_output
stringlengths 17
44
| perturbed_output
stringlengths 17
44
| status
stringclasses 2
values | num_queries
int64 0
2.77k
| frac_words_changed
float64 0
1
|
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,100 | Bon alors Dahan a souvent rendu hommage à steeven Seagal dans ces critiques et bien l'élève dépasse le maître ! Au niveau dialogue et personnage jeu d'acteur, on est très au-delà de ce que Seagal déjà commis. La horde est une énorme bouse et on a très envie de les voir mourir très vite ces personnages. La horde n'est pas sauvage cette fois-ci, elle est très très con. | Bon alors Dahan a souvent rendu hommage à steeven Seagal dans ces critiques et bien l'élève dépasse le maître ! Au niveau dialogue et personnage jeu d'acteur, on est très au-delà de ce que Seagal déjà commis. La horde est une énorme bouse et on a très envie de les voir mourir très vite ces personnages. La horde n'est pas sauvage cette fois-ci, elle est très très con. | 0 | [0.90914241 0.09085759] | [0.90914241 0.09085759] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,101 | je suis dur mais c'est parce que je suis decu , j avais vraiment bien aimer le film precedent le remake de rob zombie sur comment mike myers est devenu mike myers en 2008 MAIS la c'est du n'importe quoi il y a des fantomes je veux dire la mere de myers et mike myers enfant ce qu 'au debut j'ai cru a des hallucination de myers puisque c'est un psycotique ce qui est normal mais non meme la fille les vois et est retenu prisonnieres par ces fantomes et la je me suis dis c est du n importe quoi certe rob zombie a certainement voulu - expliquer comment mike myers arrive a survivre et donner une expliction du pourquoi il tue et veux avoir sa soeur MAIS c'est vraiment naze et je le redis c'est n importe quoi.pourtant je m attendais a vraiment mieux de la part de se realisateur qui m avais fait reaimer halloween il y a 2 ans . MAIS LA IL A TOUT GACHER aucune scene a r(etenir | je suis dur mais c'est parce que je suis decu , j avais vraiment bien aimer le film precedent le remake de rob zombie sur comment mike myers est devenu mike myers en 2008 MAIS la c'est du n'importe quoi il y a des fantomes je veux dire la mere de myers et mike myers enfant ce qu 'au debut j'ai cru a des hallucination de myers puisque c'est un psycotique ce qui est normal mais non meme la fille les vois et est retenu prisonnieres par ces fantomes et la je me suis dis c est du n importe quoi certe rob zombie a certainement voulu - expliquer comment mike myers arrive a survivre et donner une expliction du pourquoi il tue et veux avoir sa soeur MAIS c'est vraiment naze et je le redis c'est n importe quoi.pourtant je m attendais a vraiment mieux de la part de se realisateur qui m avais fait reaimer halloween il y a 2 ans . MAIS LA IL A TOUT GACHER aucune scene a r(etenir | 0 | [9.99649371e-01 3.50628735e-04] | [9.99649371e-01 3.50628735e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,102 | Ennuyeux , pour une fois fidèle à la bande-annonce. | Ennuyeux , pour une fois fidèle à la bande-annonce. | 0 | [9.99696819e-01 3.03181235e-04] | [9.99696819e-01 3.03181235e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,103 | ok en un mot comme en cent: sans intret, même pas drole et previsible | ok en un mot comme en cent: sans intret, même pas drole et previsible | 0 | [9.99774839e-01 2.25161265e-04] | [9.99774839e-01 2.25161265e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,104 | un film sombre et farfelu dans lequel Jean Reno et Jocelyn Quivrin ne donne pas entière satisfaction !!!! | un film sombre et farfelu dans lequel Jean Reno et Jocelyn Quivrin ne donne pas entière satisfaction !!!! | 0 | [9.99774847e-01 2.25152677e-04] | [9.99774847e-01 2.25152677e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,105 | c'est une tannée ce film , mon dieu que cette famille pue le bonheur ,entre boboland et politiquement correcte tout est téléphoné , les parents pseudos cool gaucho semi bourge c'est clihé à donf y a pas une once de sincérité dans ce film vraiment à chier heureusement que je l'ai vu sur la tnt en train de me faire sucer y avait rien d'autre à foutre ce soir là. | c'est une tannée ce film , mon dieu que cette famille pue le bonheur ,entre boboland et politiquement correcte tout est téléphoné , les parents pseudos cool gaucho semi bourge c'est clihé à donf y a pas une once de sincérité dans ce film vraiment à chier heureusement que je l'ai vu sur la tnt en train de me faire sucer y avait rien d'autre à foutre ce soir là. | 0 | [9.99607833e-01 3.92166636e-04] | [9.99607833e-01 3.92166636e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,106 | Patrick Chesnais, parfait. Anne Consigny, sublime. Et Georges Wilson, donc! Des acteurs merveilleux au service d'une intrigue un peu mince, mais finement et intelligemment écrite et filmée. | Patrick Chesnais, parfait. Anne Consigny, sublime. Et Georges Wilson, donc! Des acteurs merveilleux au service d'une intrigue un peu mince, mais finement et intelligemment écrite et filmée. | 1 | [0.00130517 0.99869483] | [0.00130517 0.99869483] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,107 | La première rèalisation de Forest Whitaker est plus que moyenne, dont le succès outre-Atlantique, a pris l'ampleur d'un phènomène de sociètè! Les femmes afro-amèricaines se sont reconnue dans les dèboires sentimentaux stèrèotypès de ces quatre beautès noires en butte au machisme ou à l'inconsèquence de leur mec! Filmèe sur le mode de l'humour, cette petite guèguerre des sexes est portèe par l'abattage d'Angela Bassett et de Whitney Houston! Dans les seconds rôles on pourra reconnaitre un très grand comèdien disparu depuis: Gregory Hines! Une chronique de moeurs passable èvoquant les dèboires de ses quatre amies insèparables entre maris, amants et piteux compagnons d'un soir... | La première rèalisation de Forest Whitaker est plus que moyenne, dont le succès outre-Atlantique, a pris l'ampleur d'un phènomène de sociètè! Les femmes afro-amèricaines se sont reconnue dans les dèboires sentimentaux stèrèotypès de ces quatre beautès noires en butte au machisme ou à l'inconsèquence de leur mec! Filmèe sur le mode de l'humour, cette petite guèguerre des sexes est portèe par l'abattage d'Angela Bassett et de Whitney Houston! Dans les seconds rôles on pourra reconnaitre un très grand comèdien disparu depuis: Gregory Hines! Une chronique de moeurs passable èvoquant les dèboires de ses quatre amies insèparables entre maris, amants et piteux compagnons d'un soir... | 0 | [9.99652396e-01 3.47603773e-04] | [9.99652396e-01 3.47603773e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,108 | On frôle l'exercice de style, mais pourtant non, "Eden Log" n'en est pas un. Et pour une seule raison : c'est la façon dont le cinéaste (premier film...) ponctue son oeuvre de clins-d'oeils. D'aspect, cet étrange labyrinthe de questionnements sans réponses concrêtes, reflète une part de "The fountain", autant que "Cube", "The descent", "Renaissance" et "Blade runner". Et pour qui a vu le très réçent "Chrysalis", on peut retrouver des similitudes esthétiques tenant dans l'utilisation du gris sombre et du gris métallique. Mais attention, le film de Franck Vestiel ne copie aucunement tout ces films. S'il revêt l'apparence mystique de l'un et qu'il déploie le principe mouvant de l'autre, qu'il se permet les frayeurs de celui-ci et l'étrangeté de celui-là tout en mettant en avant un certain côté visionnaire, "Eden Log" n'a rien d'un pot-pourri des meilleurs tubes SF-épouvante. Il est personnel au-delà des clins-d'oeils, et, de sa mise en scène d'où résonnent facilement l'effroi du personnage, ressort une aventure complètement viscérale, une sorte d'immense machine à broyer les émotions. Un truc novateur et ambitieux, d'où émerge 36 scènes cultes et une atmosphère poisseuse des plus réussies. Pour simplifier, jamais la SF française n'a connu aussi bon résultat. De plus, le réalisateur se permet tout, et ce avec un budget rikiki : une scène d'ouverture aveuglante mais qui procure un effet hors du commun, un Clovis Cornillac dont on ne saura trop juger le jeu (tout en cris profonds), ou encore une fin imprévisible (comme le reste du film) et sismique. Lorsque l'écran se plonge dans l'obscurité, d'une façon si subite d'ailleurs, on est encore scotché sur le fauteuil, comme si tout cela pouvait continuer à l'infini, cette sorte de poursuite effrénée de vérité, recherche de l'issue introuvable, avancée vers l'inconnu. Pour être honnête, "Eden Log" n'est pas exempt de défauts, si par exemple l'on part du principe que ne pas avoir de scénario en est un, mais ici le cinéaste se c | On frôle l'exercice de style, mais pourtant non, "Eden Log" n'en est pas un. Et pour une seule raison : c'est la façon dont le cinéaste (premier film...) ponctue son oeuvre de clins-d'oeils. D'aspect, cet étrange labyrinthe de questionnements sans réponses concrêtes, reflète une part de "The fountain", autant que "Cube", "The descent", "Renaissance" et "Blade runner". Et pour qui a vu le très réçent "Chrysalis", on peut retrouver des similitudes esthétiques tenant dans l'utilisation du gris sombre et du gris métallique. Mais attention, le film de Franck Vestiel ne copie aucunement tout ces films. S'il revêt l'apparence mystique de l'un et qu'il déploie le principe mouvant de l'autre, qu'il se permet les frayeurs de celui-ci et l'étrangeté de celui-là tout en mettant en avant un certain côté visionnaire, "Eden Log" n'a rien d'un pot-pourri des meilleurs tubes SF-épouvante. Il est personnel au-delà des clins-d'oeils, et, de sa mise en scène d'où résonnent facilement l'effroi du personnage, ressort une aventure complètement viscérale, une sorte d'immense machine à broyer les émotions. Un truc novateur et ambitieux, d'où émerge 36 scènes cultes et une atmosphère poisseuse des plus réussies. Pour simplifier, jamais la SF française n'a connu aussi bon résultat. De plus, le réalisateur se permet tout, et ce avec un budget rikiki : une scène d'ouverture aveuglante mais qui procure un effet hors du commun, un Clovis Cornillac dont on ne saura trop juger le jeu (tout en cris profonds), ou encore une fin imprévisible (comme le reste du film) et sismique. Lorsque l'écran se plonge dans l'obscurité, d'une façon si subite d'ailleurs, on est encore scotché sur le fauteuil, comme si tout cela pouvait continuer à l'infini, cette sorte de poursuite effrénée de vérité, recherche de l'issue introuvable, avancée vers l'inconnu. Pour être honnête, "Eden Log" n'est pas exempt de défauts, si par exemple l'on part du principe que ne pas avoir de scénario en est un, mais ici le cinéaste se c | 1 | [6.86578629e-04 9.99313421e-01] | [6.86578629e-04 9.99313421e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,109 | 2002. Une infirmière retraitée, Philomena (Judi Dench), décide de rompre le silence sur un drame qui l'a frappée 50 ans plus tôt, dans son Irlande natale, quand ado et orpheline de mère, ignorant tout de la vie, elle se retrouve enceinte, et contrainte par son père de vivre dans une institution religieuse pour "filles perdues", comme elle. Son petit Anthony de 3 ans est adopté sans préavis, et elle perd sa trace. Un ex-journaliste désabusé, le mondain Martin Sixsmith (Steve Coogan), reprend du service à cette occasion, et va l'aider. Ces deux êtres, que tout sépare, vont apprendre à se connaître et s'apprécier lors de l'enquête commune, de Roscrea en Irlande jusqu'aux E.-U, enquête qui doit permettre à Martin d'écrire – exercice inédit pour lui – « un récit sur des gens ordinaires, qui sera lu par des gens ordinaires ». La trame de « Philomena » est tirée d'une histoire vraie - ce n'est donc pas un "conte de fées", ni un mélo sirupeux, mais un récit de chair, de larmes, mais aussi d'amour. Le scénario (récompensé à la dernière Mostra) est cosigné par Coogan - c'est un petit bijou. D'émotion, de drôlerie, d'humanité. Jamais simpliste, toujours simple (ce qui est bien différent !), où personne n'est tout blanc, ou tout noir - car la vie est plus nuancée que les a priori, et autres préjugés. La mise en scène est subtile et fluide. La distribution remarquable : Frears retrouve l'immense "dame" Dench (10 ans après l'excellent "Mrs Henderson présente") - elle rayonne dans ce rôle délicat de mère éperdue, trouvant la force de briser 50 ans de culpabilité(s) ; son partenaire, Steve Coogan, est tout aussi digne d'éloges, en intello revenu de tout, dont la morgue vient se briser sur le roc Philomena, en agnostique caustique aussi, conquis malgré lui par la foi candide de la vieille dame. 1 h 43 de grand bonheur – ce qui change agréablement des productions françaises récemment visionnées, toutes plus mal foutues et/ou insipides les unes que les autres ! | 2002. Une infirmière retraitée, Philomena (Judi Dench), décide de rompre le silence sur un drame qui l'a frappée 50 ans plus tôt, dans son Irlande natale, quand ado et orpheline de mère, ignorant tout de la vie, elle se retrouve enceinte, et contrainte par son père de vivre dans une institution religieuse pour "filles perdues", comme elle. Son petit Anthony de 3 ans est adopté sans préavis, et elle perd sa trace. Un ex-journaliste désabusé, le mondain Martin Sixsmith (Steve Coogan), reprend du service à cette occasion, et va l'aider. Ces deux êtres, que tout sépare, vont apprendre à se connaître et s'apprécier lors de l'enquête commune, de Roscrea en Irlande jusqu'aux E.-U, enquête qui doit permettre à Martin d'écrire – exercice inédit pour lui – « un récit sur des gens ordinaires, qui sera lu par des gens ordinaires ». La trame de « Philomena » est tirée d'une histoire vraie - ce n'est donc pas un "conte de fées", ni un mélo sirupeux, mais un récit de chair, de larmes, mais aussi d'amour. Le scénario (récompensé à la dernière Mostra) est cosigné par Coogan - c'est un petit bijou. D'émotion, de drôlerie, d'humanité. Jamais simpliste, toujours simple (ce qui est bien différent !), où personne n'est tout blanc, ou tout noir - car la vie est plus nuancée que les a priori, et autres préjugés. La mise en scène est subtile et fluide. La distribution remarquable : Frears retrouve l'immense "dame" Dench (10 ans après l'excellent "Mrs Henderson présente") - elle rayonne dans ce rôle délicat de mère éperdue, trouvant la force de briser 50 ans de culpabilité(s) ; son partenaire, Steve Coogan, est tout aussi digne d'éloges, en intello revenu de tout, dont la morgue vient se briser sur le roc Philomena, en agnostique caustique aussi, conquis malgré lui par la foi candide de la vieille dame. 1 h 43 de grand bonheur – ce qui change agréablement des productions françaises récemment visionnées, toutes plus mal foutues et/ou insipides les unes que les autres ! | 1 | [4.19000526e-04 9.99580999e-01] | [4.19000526e-04 9.99580999e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,110 | Film extraordinaire, qui réveille, pose questions, inspire, et rend justice à l'humanité. Énorme fresque "punk" en noir et blanc d'une dictature futuriste plus qu'oppressante, étonnamment sanguinaire. Tourné exclusivement en pleine nuit car "le ciel était obscurci par des éruptions volcaniques", avec des portraits du dictateur Nirvano Navarra, grotesque et colérique, qui sont dignes de Garcia Marquez ou de Chaplin, c'est un film rempli d'absurdité (surtout l'absurdité de la violence), de musique noise perçante et magnifique, de silences, d'action, mais sachant rester surtout un film / théorème sur la nécessite de protéger les plus faibles : les enfants. À regarder jusqu'à la fin. | Film extraordinaire, qui réveille, pose questions, inspire, et rend justice à l'humanité. Énorme fresque "punk" en noir et blanc d'une dictature futuriste plus qu'oppressante, étonnamment sanguinaire. Tourné exclusivement en pleine nuit car "le ciel était obscurci par des éruptions volcaniques", avec des portraits du dictateur Nirvano Navarra, grotesque et colérique, qui sont dignes de Garcia Marquez ou de Chaplin, c'est un film rempli d'absurdité (surtout l'absurdité de la violence), de musique noise perçante et magnifique, de silences, d'action, mais sachant rester surtout un film / théorème sur la nécessite de protéger les plus faibles : les enfants. À regarder jusqu'à la fin. | 1 | [5.38625434e-04 9.99461375e-01] | [5.38625434e-04 9.99461375e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,111 | Un film très long pour fort peu de choses. En effet, si le message est encore d'actualité, le prétexte historique est vraiment très discutable. Averroès est ici posé comme le bon musulman irréprochable, mille fois supérieurs aux fanatiques, présentés comme des véritables incultes bafouant les fondements de l'islam. Y a-t-il pire prosélytisme ? Le fanatisme est une conséquence obligée de toutes les religions, surtout avec l'islam qui est guidé par le livre le plus vindicatif et haineux qui soit. Ainsi, je trouve léger de diviser avec pareil manichéisme les gens faisant appel aux mêmes fondements. Après l'insupportable parti pris religieux de ce film, la plastique est pour le moins pitoyable. Des couleurs délavées, un cadrage discutable et surtout ne s'attachant pas à l'essentiel. Ajoutons à cela un film qui traîne sur la longueur, on se demande instamment quand arrivera enfin l'aboutissement de toutes ces tribulations dénuées d'intérêts. Des acteurs ridicules, une bande-originale que je ne cautionnerais pas tant elle est de mauvais goût et enfin un scénario qui emboîte de manière peu cohérente les différentes histoires dont il nous fait part. Non, chahine n'attise pas notre sensibilité bien qu'il est prêt à tout pour le faire, jusqu'à s'accorder des bassesses inqualifiables. | Un film très long pour fort peu de choses. En effet, si le message est encore d'actualité, le prétexte historique est vraiment très discutable. Averroès est ici posé comme le bon musulman irréprochable, mille fois supérieurs aux fanatiques, présentés comme des véritables incultes bafouant les fondements de l'islam. Y a-t-il pire prosélytisme ? Le fanatisme est une conséquence obligée de toutes les religions, surtout avec l'islam qui est guidé par le livre le plus vindicatif et haineux qui soit. Ainsi, je trouve léger de diviser avec pareil manichéisme les gens faisant appel aux mêmes fondements. Après l'insupportable parti pris religieux de ce film, la plastique est pour le moins pitoyable. Des couleurs délavées, un cadrage discutable et surtout ne s'attachant pas à l'essentiel. Ajoutons à cela un film qui traîne sur la longueur, on se demande instamment quand arrivera enfin l'aboutissement de toutes ces tribulations dénuées d'intérêts. Des acteurs ridicules, une bande-originale que je ne cautionnerais pas tant elle est de mauvais goût et enfin un scénario qui emboîte de manière peu cohérente les différentes histoires dont il nous fait part. Non, chahine n'attise pas notre sensibilité bien qu'il est prêt à tout pour le faire, jusqu'à s'accorder des bassesses inqualifiables. | 0 | [9.99809223e-01 1.90776880e-04] | [9.99809223e-01 1.90776880e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,112 | Ce film est mon préféré je m'attendais a un film tout pourrie quand on m'en avait parler mais en vraie c'est trop bien ça déchire le combat finale ma plus franchement j'aime trop ce film il m'inspire j'adore il faut absolument qu'il sorte le 5 j'ai remarquer je crois que leur film sors tout les 3 ans car le premier est sorti en 2003 le 2 en 2006 le 3 en 2009 et le 4 en 2012 donc le 5 risque de sortir en 2015 je ne me trompe pas est la fin du 4 montrer qu'il y avait une suite. | Ce film est mon préféré je m'attendais a un film tout pourrie quand on m'en avait parler mais en vraie c'est trop bien ça déchire le combat finale ma plus franchement j'aime trop ce film il m'inspire j'adore il faut absolument qu'il sorte le 5 j'ai remarquer je crois que leur film sors tout les 3 ans car le premier est sorti en 2003 le 2 en 2006 le 3 en 2009 et le 4 en 2012 donc le 5 risque de sortir en 2015 je ne me trompe pas est la fin du 4 montrer qu'il y avait une suite. | 1 | [5.72942768e-04 9.99427057e-01] | [5.72942768e-04 9.99427057e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,113 | Le roi du cadrage frontal a encore frappé. Plans de face millimétrés, travellings exactement latéraux… "The Grand Budapest Hotel" est un nouveau festival de ces compositions méticuleuses et drolatiques. Au scénario, cette fois (après les habituels complices, Owen Wilson, Noah Baumbach et Roman Coppola), Wes Anderson fait équipe avec un nouvel entrant, le peintre Hugo Guinness. Nous voici donc dans les années 30, dans une Europe centrale d’opérette (on pense beaucoup à la Syldavie de Tintin). On suit les aventures cartoonesques de M. Gustave, concierge du palace local, et de Zero Moustafa, le jeune groom qu’il a pris sous son aile. Victimes d’une terrible machination et bientôt rattrapés par l’histoire, les improbables duettistes (le distingué défenseur d’une élégance old-fashion, et l’orphelin apatride balloté par les guerres) nous entrainent dans un récit haletant. Anderson s’amuse comme un fou, convoquant un casting de rêve (grands rôles comme caméos), multipliant les trouvailles, enchâssant les histoires, variant même les formats en fonction des périodes... Mené à toute berzingue, et formellement parfait, "The Grand Budapest Hotel" est une imparable démonstration de sa maestria. Je regrette juste un peu ce qui pour moi faisait le prix de "La vie aquatique" ou de "Moonrise Kingdom" : l’émotion qui surgissait soudain, on ne sait pourquoi, au milieu du burlesque. | Le roi du cadrage frontal a encore frappé. Plans de face millimétrés, travellings exactement latéraux… "The Grand Budapest Hotel" est un nouveau festival de ces compositions méticuleuses et drolatiques. Au scénario, cette fois (après les habituels complices, Owen Wilson, Noah Baumbach et Roman Coppola), Wes Anderson fait équipe avec un nouvel entrant, le peintre Hugo Guinness. Nous voici donc dans les années 30, dans une Europe centrale d’opérette (on pense beaucoup à la Syldavie de Tintin). On suit les aventures cartoonesques de M. Gustave, concierge du palace local, et de Zero Moustafa, le jeune groom qu’il a pris sous son aile. Victimes d’une terrible machination et bientôt rattrapés par l’histoire, les improbables duettistes (le distingué défenseur d’une élégance old-fashion, et l’orphelin apatride balloté par les guerres) nous entrainent dans un récit haletant. Anderson s’amuse comme un fou, convoquant un casting de rêve (grands rôles comme caméos), multipliant les trouvailles, enchâssant les histoires, variant même les formats en fonction des périodes... Mené à toute berzingue, et formellement parfait, "The Grand Budapest Hotel" est une imparable démonstration de sa maestria. Je regrette juste un peu ce qui pour moi faisait le prix de "La vie aquatique" ou de "Moonrise Kingdom" : l’émotion qui surgissait soudain, on ne sait pourquoi, au milieu du burlesque. | 1 | [6.80181186e-04 9.99319819e-01] | [6.80181186e-04 9.99319819e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,114 | On peut dire que Siegel déçoit grandement avec ce polar moi qui m'attendait à un polar urbain extrêmement nerveux ce serait plutôt Molesse sur la ville que ce film devrait s'intituler. A part un bon début et un bon final ce polar traînasse allègrement entre des scènes de blabla et autres scènes avec les femmes des policiers mais on s'en fiche on voulait voir nos 2 flics traqués sans répit à travers le labyrinthe urbain celui qui a volé leurs armes de service. Servi par 2 grands acteurs américains (dont je ne suis pas particulièrement fan) Widmark et Fonda mais ce dernier a un rôle peu intéressant et servant mal l'intrigue. Siegel se rattrapera quelques années plus tard avec l'extra L'inspecteur Harry. | On peut dire que Siegel déçoit grandement avec ce polar moi qui m'attendait à un polar urbain extrêmement nerveux ce serait plutôt Molesse sur la ville que ce film devrait s'intituler. A part un bon début et un bon final ce polar traînasse allègrement entre des scènes de blabla et autres scènes avec les femmes des policiers mais on s'en fiche on voulait voir nos 2 flics traqués sans répit à travers le labyrinthe urbain celui qui a volé leurs armes de service. Servi par 2 grands acteurs américains (dont je ne suis pas particulièrement fan) Widmark et Fonda mais ce dernier a un rôle peu intéressant et servant mal l'intrigue. Siegel se rattrapera quelques années plus tard avec l'extra L'inspecteur Harry. | 0 | [9.99681495e-01 3.18505184e-04] | [9.99681495e-01 3.18505184e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,115 | Très beau film d'amour, fin, poétique, sensuel, romantique, bcp de nostalgie, touchant voire bouleverssant. "Le coeur a ses raisons que la raison ne connait point..." En revanche, il faut avoir un minimum de vécu et de sensibilité pour savourer vraiment ce film. La voix-off de Jeanne Moeau est tout simplement magnifique, qui pour moi, resprésente au mieux la beauté de la langue française... | Très beau film d'amour, fin, poétique, sensuel, romantique, bcp de nostalgie, touchant voire bouleverssant. "Le coeur a ses raisons que la raison ne connait point..." En revanche, il faut avoir un minimum de vécu et de sensibilité pour savourer vraiment ce film. La voix-off de Jeanne Moeau est tout simplement magnifique, qui pour moi, resprésente au mieux la beauté de la langue française... | 1 | [5.09489788e-04 9.99490510e-01] | [5.09489788e-04 9.99490510e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,116 | Niveau roman photo des années 70. Un gueulard qui ne ment pas sauf pour cacher des cafards dans l'appartement que sa fille veut habiter. Lanvin gueule engueule, on se demande ce qu'il fait d'autre car le restau doit tourner sans lui et les copains (?) sont redevables. Comme par hasard il y a l'homo de service. ça ne valait pas un divan chez DRUCKER. D’ailleurs tout est à l'avenant. Belle la vie pour ces gens............... | Niveau roman photo des années 70. Un gueulard qui ne ment pas sauf pour cacher des cafards dans l'appartement que sa fille veut habiter. Lanvin gueule engueule, on se demande ce qu'il fait d'autre car le restau doit tourner sans lui et les copains (?) sont redevables. Comme par hasard il y a l'homo de service. ça ne valait pas un divan chez DRUCKER. D’ailleurs tout est à l'avenant. Belle la vie pour ces gens............... | 0 | [0.9960462 0.0039538] | [0.9960462 0.0039538] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,117 | Hier j'ai regardé "Dillinger est mort". Ce film a beaucoup plus à ceux pour qui le scénario au cinéma n'est pas un élément insipensable. Moi je n'aime pas quand il n'y a pas d'histoire, si encore c'était beau, mais ce n'est pas le cas. J'ai donc perdu 90 minuutes de ma vie. Le lendemain matin j'ai regardé ma voisine d'en face repasser son linge en petite tenue, c'était bein plus joli. | Hier j'ai regardé "Dillinger est mort". Ce film a beaucoup plus à ceux pour qui le scénario au cinéma n'est pas un élément insipensable. Moi je n'aime pas quand il n'y a pas d'histoire, si encore c'était beau, mais ce n'est pas le cas. J'ai donc perdu 90 minuutes de ma vie. Le lendemain matin j'ai regardé ma voisine d'en face repasser son linge en petite tenue, c'était bein plus joli. | 0 | [9.99586277e-01 4.13723007e-04] | [9.99586277e-01 4.13723007e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,118 | Caméras épileptiques, traitement de l'image nauséeux et personnages caricaturaux au possible. Tony Scott enchaîne toutes les fautes de goût dès les cinq premières minutes de son film si bien que l'on a déjà envie de partir pendant que le générique de début passe à l'écran. Tous ceux qui espéraient la mise en valeur d'un personnage ambigu doivent passer leur chemin! La domino Harvey que nous sert Scott est une pin-up tout droit sorti d'un clip de R n'B qui fait des streap-teases pour savoir où se cachent ceux qu'elle cherche (authentique, je ne ment pas!)En somme, si par le plus grand des hasards Tony Scott venait à tomber sur cette critique, je lui conseillerai vivement de retourner faire des pubs pour des 4X4 et des gels douches car il n'a rien compris au cinéma. | Caméras épileptiques, traitement de l'image nauséeux et personnages caricaturaux au possible. Tony Scott enchaîne toutes les fautes de goût dès les cinq premières minutes de son film si bien que l'on a déjà envie de partir pendant que le générique de début passe à l'écran. Tous ceux qui espéraient la mise en valeur d'un personnage ambigu doivent passer leur chemin! La domino Harvey que nous sert Scott est une pin-up tout droit sorti d'un clip de R n'B qui fait des streap-teases pour savoir où se cachent ceux qu'elle cherche (authentique, je ne ment pas!)En somme, si par le plus grand des hasards Tony Scott venait à tomber sur cette critique, je lui conseillerai vivement de retourner faire des pubs pour des 4X4 et des gels douches car il n'a rien compris au cinéma. | 0 | [9.99736739e-01 2.63260596e-04] | [9.99736739e-01 2.63260596e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,119 | Documentaire époustouflant sur une chanteuse qui vous transporte par sa voix et sa musique. Une réflexion profonde sur l'identité et les racines. Je le conseille de tout cœur! | Documentaire époustouflant sur une chanteuse qui vous transporte par sa voix et sa musique. Une réflexion profonde sur l'identité et les racines. Je le conseille de tout cœur! | 1 | [4.60815497e-04 9.99539185e-01] | [4.60815497e-04 9.99539185e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,120 | Quand remonter le temps permet de comprendre le présent. Haletant, empathique, une réussite éminemment utile ! | Quand remonter le temps permet de comprendre le présent. Haletant, empathique, une réussite éminemment utile ! | 1 | [0.00134867 0.99865133] | [0.00134867 0.99865133] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,121 | Un film qui nous prend aux tripes tout le long, l'interprétation de Romain Duris est exceptionnelle! A ne surtout pas louper | Un film qui nous prend aux tripes tout le long, l'interprétation de Romain Duris est exceptionnelle! A ne surtout pas louper | 1 | [5.64186776e-04 9.99435813e-01] | [5.64186776e-04 9.99435813e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,122 | Tout simplement le meilleur film de la saga naruto ! The last était super bien mais Boruto est encore mieux je trouve ! Super bons moments et musiques excellentes ! La VO est TOP. Pour le coup dans ce film le vrai thème est la relation entre Naruto et Boruto. Donc les combats ne sont vraiment pas importants. | Tout simplement le meilleur film de la saga naruto ! The last était super bien mais Boruto est encore mieux je trouve ! Super bons moments et musiques excellentes ! La VO est TOP. Pour le coup dans ce film le vrai thème est la relation entre Naruto et Boruto. Donc les combats ne sont vraiment pas importants. | 1 | [0.00196019 0.99803981] | [0.00196019 0.99803981] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,123 | Que d'incohérence et d'amateurisme dans ce film de guerre ! Malgré de bon moyens (avions, chars, jeeps...) l'histoire tourne autour d'un petit groupe d'américains qui tentent de se sortir de derrière les lignes ennemies. Casting ? :deux mannequins en guise d' infirmière (???), encore des beaux gosses chez l'ennemi qui parlent non pas allemand (ni même français avec un pseudo accent allemand), non, il parlent aussi bien français que les alliés, c'est nul ! Sans parler qu'ils semblent allégrement être eux aussi américain ! Quel arnaque ! Pire la musique n'a rien à voir avec ce style de film (on se rapproche du film Tron, style futuriste). C'est un très mauvais film de guerre qui manque outrageusement de crédibilité malgré quelques potentiels. | Que d'incohérence et d'amateurisme dans ce film de guerre ! Malgré de bon moyens (avions, chars, jeeps...) l'histoire tourne autour d'un petit groupe d'américains qui tentent de se sortir de derrière les lignes ennemies. Casting ? :deux mannequins en guise d' infirmière (???), encore des beaux gosses chez l'ennemi qui parlent non pas allemand (ni même français avec un pseudo accent allemand), non, il parlent aussi bien français que les alliés, c'est nul ! Sans parler qu'ils semblent allégrement être eux aussi américain ! Quel arnaque ! Pire la musique n'a rien à voir avec ce style de film (on se rapproche du film Tron, style futuriste). C'est un très mauvais film de guerre qui manque outrageusement de crédibilité malgré quelques potentiels. | 0 | [9.99795369e-01 2.04630577e-04] | [9.99795369e-01 2.04630577e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,124 | Certainement l'un des films de zombies le plus bizarre et le plus malsain qu'il m'ait été donné de voir pour l'instant. J'étais tombé dessus sur la chaîne Ciné FX, cousine rétro de Scyfy. Ce film est particulier dans la mesure où il intègre à son récit horrifique quelques scènes "olé olé" dont une particulièrement malsaine d'inceste entre une mère et son fils. Tordu à tel point que j'ai cru à un moment donné que cette "merveille" était l'oeuvre du très équilibré Joe d'Amato, ce réalisateur italien spécialiste du film de cul et du film d'horreur, parfois même du mélange des deux genres, toujours à bas budget. Que nenni, il s'agit du forfait du dénommé Andrea Bianchi, un proche cousin sûrement vu sa filmo, qui ne lésine pas sur le gore dégueu mal fait et n'a que peu de considération pour l'esthétisme des créatures. Bref, un bon gros nanar d'horreur italien des années 70/80 (pléonasme?). | Certainement l'un des films de zombies le plus bizarre et le plus malsain qu'il m'ait été donné de voir pour l'instant. J'étais tombé dessus sur la chaîne Ciné FX, cousine rétro de Scyfy. Ce film est particulier dans la mesure où il intègre à son récit horrifique quelques scènes "olé olé" dont une particulièrement malsaine d'inceste entre une mère et son fils. Tordu à tel point que j'ai cru à un moment donné que cette "merveille" était l'oeuvre du très équilibré Joe d'Amato, ce réalisateur italien spécialiste du film de cul et du film d'horreur, parfois même du mélange des deux genres, toujours à bas budget. Que nenni, il s'agit du forfait du dénommé Andrea Bianchi, un proche cousin sûrement vu sa filmo, qui ne lésine pas sur le gore dégueu mal fait et n'a que peu de considération pour l'esthétisme des créatures. Bref, un bon gros nanar d'horreur italien des années 70/80 (pléonasme?). | 0 | [0.95288285 0.04711715] | [0.95288285 0.04711715] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,125 | Il n'y a pas d'histoire, pas de tram principal qui part d'un point A jusqu'à un point B : le gros défaut du film. En dépit de cela, les points forts du film sont : - les acteurs qui jouent merveilleusement bien surtout dans ces " circonstances " quelque peu gênantes. - et les visuels qui sont juste MAGNIFIQUE, souvent c'est filmé de nuit sur les gratte-ciels illuminés ou alors dans les appartements luxueux de Christian Grey - et les musiques qui font ressentir quand même quelque chose d'assez bien ciblé par la réalisatrice. Je n'irai pas jusqu'à dire que c'est une " merde " mais on va pas se le cacher qu'il n'y a que des scènes de sexe et puis l'histoire est baclée. Le passé de Mr. Grey est révelé mais sans plus quoi... | Il n'y a pas d'histoire, pas de tram principal qui part d'un point A jusqu'à un point B : le gros défaut du film. En dépit de cela, les points forts du film sont : - les acteurs qui jouent merveilleusement bien surtout dans ces " circonstances " quelque peu gênantes. - et les visuels qui sont juste MAGNIFIQUE, souvent c'est filmé de nuit sur les gratte-ciels illuminés ou alors dans les appartements luxueux de Christian Grey - et les musiques qui font ressentir quand même quelque chose d'assez bien ciblé par la réalisatrice. Je n'irai pas jusqu'à dire que c'est une " merde " mais on va pas se le cacher qu'il n'y a que des scènes de sexe et puis l'histoire est baclée. Le passé de Mr. Grey est révelé mais sans plus quoi... | 0 | [0.82606686 0.17393314] | [0.82606686 0.17393314] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,126 | Fantastiquement bizarre et original! Alors certes prendre les rêves comme cause du problème principal est pas très original, mais c'est la façon dont elle est traitée qui est originale. Grâce à de petits appareils que l'on pose sur le crâne, on arrive à vivre et à se rappeler de l'intégralité de nos souvenirs. Utile donc pour résoudre une "enquête". Paprika est une sorte de personnage vivant seulement dans les rêves et qui aident les dormeurs. Compliqué mais on arrive à suivre. L'histoire est captivante, accompagné d'une partition juste géniale, mélangeant la J-pop et l'électronique. Et que dire des dessins qui sont de la dernière beauté. Très beau donc, avec les paysages du Tokyo SPOIL détruit SPOIL et avec des personnages et des situations hautes en couleurs et incroyablement mature (dans la veine d' "Akira" et "Ghost in the Shell"), on peut prendre part à ce récit hors norme. | Fantastiquement bizarre et original! Alors certes prendre les rêves comme cause du problème principal est pas très original, mais c'est la façon dont elle est traitée qui est originale. Grâce à de petits appareils que l'on pose sur le crâne, on arrive à vivre et à se rappeler de l'intégralité de nos souvenirs. Utile donc pour résoudre une "enquête". Paprika est une sorte de personnage vivant seulement dans les rêves et qui aident les dormeurs. Compliqué mais on arrive à suivre. L'histoire est captivante, accompagné d'une partition juste géniale, mélangeant la J-pop et l'électronique. Et que dire des dessins qui sont de la dernière beauté. Très beau donc, avec les paysages du Tokyo SPOIL détruit SPOIL et avec des personnages et des situations hautes en couleurs et incroyablement mature (dans la veine d' "Akira" et "Ghost in the Shell"), on peut prendre part à ce récit hors norme. | 1 | [5.60228517e-04 9.99439771e-01] | [5.60228517e-04 9.99439771e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,127 | Tous les ingrédients de Pagnol sont dans ce film... Drame social parsemé d'une fraicheur toute provençale et d'un humour du terroir parfaitement écrit. Le charme opère à chaque minute notamment grâce au casting tout "pagnolien", des habitué de la première heure qui retransmettent à la perfection l'univers de Pagnol. Fernandel est touchant et prend une dimension qui ajoute un atout indéniable à cette adaptation. Un très beau film à voir et à revoir. | Tous les ingrédients de Pagnol sont dans ce film... Drame social parsemé d'une fraicheur toute provençale et d'un humour du terroir parfaitement écrit. Le charme opère à chaque minute notamment grâce au casting tout "pagnolien", des habitué de la première heure qui retransmettent à la perfection l'univers de Pagnol. Fernandel est touchant et prend une dimension qui ajoute un atout indéniable à cette adaptation. Un très beau film à voir et à revoir. | 1 | [4.83398099e-04 9.99516602e-01] | [4.83398099e-04 9.99516602e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,128 | 7 Vies est un bon film très émouvant qui possède toutes ses qualités sur sa deuxième partie. L’histoire est très belle et unique en son genre. Seulement dommage que la première moitié du film n’est pas plus booster que ça. Le film a la force de tenir le secret jusqu’au meilleur moment (à la fin). Cela va rendre la fin encore plus émouvante qu’elle ne l’ait déjà. Elle est n’empêche assez prévisible (merci pour la scène du début !). 7 Vies est donc une très belle histoire, très émouvante mais à ne surtout pas se laisser aller sur la première partie. | 7 Vies est un bon film très émouvant qui possède toutes ses qualités sur sa deuxième partie. L’histoire est très belle et unique en son genre. Seulement dommage que la première moitié du film n’est pas plus booster que ça. Le film a la force de tenir le secret jusqu’au meilleur moment (à la fin). Cela va rendre la fin encore plus émouvante qu’elle ne l’ait déjà. Elle est n’empêche assez prévisible (merci pour la scène du début !). 7 Vies est donc une très belle histoire, très émouvante mais à ne surtout pas se laisser aller sur la première partie. | 1 | [6.26317593e-04 9.99373682e-01] | [6.26317593e-04 9.99373682e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,129 | Une nouvelle version de cette reine légendaire Padmavati et de ce peuple de guerriers valeureux d'une partie de l'inde avec toujours le romanesque et le combat se heurtant et avec également l'opposition et le conflit entre religion et culture musulmane et hindou. Une version au titre remaniée et qui se veut inspirée de, tant la polémique fut rude et violente en Inde pour dénoncer et faire interdire ce film soit disant offensant pour l'histoire de ce peuple et de cette reine, insinuant des scènes de sexe qui n'existent pas et trahissant la vérité alors que ceci n'est au départ qu'une légende et non un fait historique. Quoi qu'il en soit nouvelle version plus moderne, plus rythmée, plus sensuelle aussi que les précédentes même si la version avec la sublime Aishwarya Rai est déjà un petit chef d'oeuvre du cinéma indien. Cette version plus libre, plus contemporaine dans son traitement, moins traditionnelle et traditionaliste est une magnifique production bollywood une fois de plus à très grand spectacle avec Deepika Padukone qui éclaire l'écran de son talent et de sa beauté en incarnant avec crédibilité cette reine forte, de caractère, sensuelle et guerrière, Diane chasseresse envoûtante pour finit en apothéose sur une scène finale d'anthologie dramatique, mais superbe de fierté et courage, le tout avec le souffle des grands films romantiques. Un spectacle, un film merveilleux, porté également par le talent et le charisme de l'acteur Ranveer Singh qui donne une personnalité intense et dangereuse à son personnage. Film épique et spectaculaire et merveilleux exemple de la production bollywoodienne actuelle. | Une nouvelle version de cette reine légendaire Padmavati et de ce peuple de guerriers valeureux d'une partie de l'inde avec toujours le romanesque et le combat se heurtant et avec également l'opposition et le conflit entre religion et culture musulmane et hindou. Une version au titre remaniée et qui se veut inspirée de, tant la polémique fut rude et violente en Inde pour dénoncer et faire interdire ce film soit disant offensant pour l'histoire de ce peuple et de cette reine, insinuant des scènes de sexe qui n'existent pas et trahissant la vérité alors que ceci n'est au départ qu'une légende et non un fait historique. Quoi qu'il en soit nouvelle version plus moderne, plus rythmée, plus sensuelle aussi que les précédentes même si la version avec la sublime Aishwarya Rai est déjà un petit chef d'oeuvre du cinéma indien. Cette version plus libre, plus contemporaine dans son traitement, moins traditionnelle et traditionaliste est une magnifique production bollywood une fois de plus à très grand spectacle avec Deepika Padukone qui éclaire l'écran de son talent et de sa beauté en incarnant avec crédibilité cette reine forte, de caractère, sensuelle et guerrière, Diane chasseresse envoûtante pour finit en apothéose sur une scène finale d'anthologie dramatique, mais superbe de fierté et courage, le tout avec le souffle des grands films romantiques. Un spectacle, un film merveilleux, porté également par le talent et le charisme de l'acteur Ranveer Singh qui donne une personnalité intense et dangereuse à son personnage. Film épique et spectaculaire et merveilleux exemple de la production bollywoodienne actuelle. | 1 | [3.88082765e-04 9.99611917e-01] | [3.88082765e-04 9.99611917e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,130 | "Un homme qui me plait" est un film magnifique sur deux personnes qui ne sont pas libres, mais qui tombent quand même amoureux l'un de l'autre malgré tout. Pour eux ce sont des vacances, ils voyagent ensemble en faisant le tour des Etats-Unis jusqu'au jour ou la réalité et leurs responsabilités vont les rappeler. Une fin très émouvante et déchirante. Un classique du cinéma Français au même titre que "A bout de souffle". | "Un homme qui me plait" est un film magnifique sur deux personnes qui ne sont pas libres, mais qui tombent quand même amoureux l'un de l'autre malgré tout. Pour eux ce sont des vacances, ils voyagent ensemble en faisant le tour des Etats-Unis jusqu'au jour ou la réalité et leurs responsabilités vont les rappeler. Une fin très émouvante et déchirante. Un classique du cinéma Français au même titre que "A bout de souffle". | 1 | [6.74120157e-04 9.99325880e-01] | [6.74120157e-04 9.99325880e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,131 | Version très romancé et très "Disney Touch" de la vie de Vince Papale, mais qui est trés sympa a voir, qu'on aime ou pas le foot US. Les persos sont attachants (mention speciale pour Greg Kinnear). C'est Rocky au foot US par Disney. Go Eagles ! | Version très romancé et très "Disney Touch" de la vie de Vince Papale, mais qui est trés sympa a voir, qu'on aime ou pas le foot US. Les persos sont attachants (mention speciale pour Greg Kinnear). C'est Rocky au foot US par Disney. Go Eagles ! | 1 | [0.00166326 0.99833674] | [0.00166326 0.99833674] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,132 | Je crois que c'est le film le plus sombre que j'ai vu bon malgré ça le scénario est pas mal et le score bien fait mais bon il ne vaut pas 2 étoiles | Je crois que c'est le film le plus sombre que j'ai vu bon malgré ça le scénario est pas mal et le score bien fait mais bon il ne vaut pas 2 étoiles | 0 | [0.99815754 0.00184246] | [0.99815754 0.00184246] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,133 | J'ai choisi de critiquer ce film non dans sa réalisation, mais dans son message, et je suis étonné d'être apparemment le seul . NON , le but poursuivi par les 2 "héros" n'est en rien estimable, bien au contraire , et on essaye de nous faire partager leur volonté de restitution d'une oeuvre que, en effet, l'inspiratrice avait légué à l'Autriche en son temps ( qu'elle n'en ait pas eu le droit est une argutie juridique, mais MORALEMENT c'était sans contexte sa volonté ) . Ici, l'avocat et la descendante veulent récupérer un tableau pour des motifs mercantiles, ou de principe, soit, mais rien à voir avec la spoliation des Juifs, comme on aimerait nous le faire croire. Ou alors, de la top société juive autrichienne bourrée de fric qui n,'a rien pour nous émouvoir. Bref, très malsain comme ambiance. Les USA , une fois de plus, sortent vainqueurs : impérialisme pur , vis à vis d'une autriche actuelle qui, précisemment, entend se racheter . Mais par à n'importe quel prix : peu importe, l'avocat US est tout puissant , as usual... Tout ceci pue, désolé, et c'est pourquoi je deteste de film , parce qu'un film , oui, véhicule un message , et ici, le message est délétère. Poster sa critique, c'est aussi critiquer le fond, pas seulement la forme. | J'ai choisi de critiquer ce film non dans sa réalisation, mais dans son message, et je suis étonné d'être apparemment le seul . NON , le but poursuivi par les 2 "héros" n'est en rien estimable, bien au contraire , et on essaye de nous faire partager leur volonté de restitution d'une oeuvre que, en effet, l'inspiratrice avait légué à l'Autriche en son temps ( qu'elle n'en ait pas eu le droit est une argutie juridique, mais MORALEMENT c'était sans contexte sa volonté ) . Ici, l'avocat et la descendante veulent récupérer un tableau pour des motifs mercantiles, ou de principe, soit, mais rien à voir avec la spoliation des Juifs, comme on aimerait nous le faire croire. Ou alors, de la top société juive autrichienne bourrée de fric qui n,'a rien pour nous émouvoir. Bref, très malsain comme ambiance. Les USA , une fois de plus, sortent vainqueurs : impérialisme pur , vis à vis d'une autriche actuelle qui, précisemment, entend se racheter . Mais par à n'importe quel prix : peu importe, l'avocat US est tout puissant , as usual... Tout ceci pue, désolé, et c'est pourquoi je deteste de film , parce qu'un film , oui, véhicule un message , et ici, le message est délétère. Poster sa critique, c'est aussi critiquer le fond, pas seulement la forme. | 0 | [9.99429087e-01 5.70913148e-04] | [9.99429087e-01 5.70913148e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,134 | film assez bidon avec une histoire banal, le fantastique est mal développé et la mise en scène est pathétique, pas grand chose à retenir | film assez bidon avec une histoire banal, le fantastique est mal développé et la mise en scène est pathétique, pas grand chose à retenir | 0 | [9.99804974e-01 1.95025850e-04] | [9.99804974e-01 1.95025850e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,135 | Court-métrage à propagande peut-être mais la réalisation et le jeu d'acteur de Chaplin sont une fois de plus divins. | Court-métrage à propagande peut-être mais la réalisation et le jeu d'acteur de Chaplin sont une fois de plus divins. | 1 | [0.65561391 0.34438609] | [0.65561391 0.34438609] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,136 | Cet ensemble de CourtMétrages essentiellement Iraniens (5 films sur les 6) présente l'intérêt majeur de constituer un savant assemblage de différentes techniques d'animation (animation 2D, animation 3D, stop motion, Éléments découpés,...). Ces techniques se retrouvent au service d'histoires sans paroles où le charme bucolique des images rajoute à la poésie certaine des personnages. Dès 4 ans, les enfants (et les parents) seront charmés par ces histoires qui permettent d'explorer leur imaginaire autour de la magie de l'amitié. Je rajoute un "plus plus" pour le magnifique "Le moineau et l'épouvantail". Bonne séance ;-) | Cet ensemble de CourtMétrages essentiellement Iraniens (5 films sur les 6) présente l'intérêt majeur de constituer un savant assemblage de différentes techniques d'animation (animation 2D, animation 3D, stop motion, Éléments découpés,...). Ces techniques se retrouvent au service d'histoires sans paroles où le charme bucolique des images rajoute à la poésie certaine des personnages. Dès 4 ans, les enfants (et les parents) seront charmés par ces histoires qui permettent d'explorer leur imaginaire autour de la magie de l'amitié. Je rajoute un "plus plus" pour le magnifique "Le moineau et l'épouvantail". Bonne séance ;-) | 1 | [0.00297252 0.99702748] | [0.00297252 0.99702748] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,137 | Un grand chef d'oeuvre! Le Seigneur des Anneaux est ma trilogie préfèrée. Ce dernier opus est le plus spectaculaire. Je l'adores autant que le premier. La bataille finale est la plus épique que je connaisse, tout simplement. On retrouve bien nos parfaits acteurs, les sombtueux paysages, les parfaits dialogues, les costumes géniaux, le scénario excellent et la musique épique by Howard Shore... Bref, rien à dire de négatif. On ne s'ennuie pendant les 3h10 du film qui a su conclure parfaitement cette incroyable et passionnante trilogie qui ne devra pas être oubliée. Trilogie à voir absolument, si possible en version longue dont les scènes inédites sont vraiments parfaites et bien incorporées dans les films du maître de l'adaptaion des romans de Tolkien: Peter Jackson! | Un grand chef d'oeuvre! Le Seigneur des Anneaux est ma trilogie préfèrée. Ce dernier opus est le plus spectaculaire. Je l'adores autant que le premier. La bataille finale est la plus épique que je connaisse, tout simplement. On retrouve bien nos parfaits acteurs, les sombtueux paysages, les parfaits dialogues, les costumes géniaux, le scénario excellent et la musique épique by Howard Shore... Bref, rien à dire de négatif. On ne s'ennuie pendant les 3h10 du film qui a su conclure parfaitement cette incroyable et passionnante trilogie qui ne devra pas être oubliée. Trilogie à voir absolument, si possible en version longue dont les scènes inédites sont vraiments parfaites et bien incorporées dans les films du maître de l'adaptaion des romans de Tolkien: Peter Jackson! | 1 | [5.38205896e-04 9.99461794e-01] | [5.38205896e-04 9.99461794e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,138 | Je ne peux m'empêcher de garder en mémoire, LA TETE EN FRICHE : le film est joli d'un bout à l'autre. En ce qui concerne ce dernier film, je n'ai même pas réussi à aller jusqu'à la fin, tellement la jeune actrice joue faux !!!! | Je ne peux m'empêcher de garder en mémoire, LA TETE EN FRICHE : le film est joli d'un bout à l'autre. En ce qui concerne ce dernier film, je n'ai même pas réussi à aller jusqu'à la fin, tellement la jeune actrice joue faux !!!! | 0 | [9.99274516e-01 7.25484337e-04] | [9.99274516e-01 7.25484337e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,139 | Parfaitement abouti, ce dernier volet conclut parfaitement la saga imaginé il y a bien longtemps par J.R.R Tolkien, avec des effets spéciaux plus vrais que nature, des scènes de combats magnifiquement orchestrés. Le film repartira avec les éloges du public et 11 oscars, devenant le film le plus titré de l'histoire avec Titanic. | Parfaitement abouti, ce dernier volet conclut parfaitement la saga imaginé il y a bien longtemps par J.R.R Tolkien, avec des effets spéciaux plus vrais que nature, des scènes de combats magnifiquement orchestrés. Le film repartira avec les éloges du public et 11 oscars, devenant le film le plus titré de l'histoire avec Titanic. | 1 | [6.19526682e-04 9.99380473e-01] | [6.19526682e-04 9.99380473e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,140 | Un film dont l'unique intérêt repose sur la qualité et surtout la quantité d'effets spéciaux, comme la plupart des productions de Roland Emmerich d'ailleurs. Même en tenant compte du fait qu'il s'agit d'un film de science-fiction, c'est affligeant d'invraisemblances, comme le "recrutement" de pilotes de chasse parmi les réfugiés arrivés en camping-cars, ou bien le virus informatique made in USA injecté dans l'ordinateur central du vaisseau aliens (qui tourne sous Windows comme tout le monde le sait)... Bref du blockbuster simplex dans la pure tradition Américaine. | Un film dont l'unique intérêt repose sur la qualité et surtout la quantité d'effets spéciaux, comme la plupart des productions de Roland Emmerich d'ailleurs. Même en tenant compte du fait qu'il s'agit d'un film de science-fiction, c'est affligeant d'invraisemblances, comme le "recrutement" de pilotes de chasse parmi les réfugiés arrivés en camping-cars, ou bien le virus informatique made in USA injecté dans l'ordinateur central du vaisseau aliens (qui tourne sous Windows comme tout le monde le sait)... Bref du blockbuster simplex dans la pure tradition Américaine. | 0 | [0.99808999 0.00191001] | [0.99808999 0.00191001] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,141 | Encore un petit bijou de documentaire, comme plusieurs ont fleuri sur les écrans ces derniers temps (Les rêves dansants, L'empire du milieu du sud ...). Et un film beaucoup plus accessible qu'on ne pourrait le penser : pour les amateurs de musique classique, dont je suis, c'est génial ... et pour les autres, aussi ! | Encore un petit bijou de documentaire, comme plusieurs ont fleuri sur les écrans ces derniers temps (Les rêves dansants, L'empire du milieu du sud ...). Et un film beaucoup plus accessible qu'on ne pourrait le penser : pour les amateurs de musique classique, dont je suis, c'est génial ... et pour les autres, aussi ! | 1 | [4.34821431e-04 9.99565179e-01] | [4.34821431e-04 9.99565179e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,142 | Le générique de "Grease" nous met déjà dans l'ambiance avec ses paroles de chanson très niaises (en plus "grease" est traduit par "graisse", lol), mais la suite est tellement pire ! On ne s'embrasse pas quand on est amoureux sur la plage, "ça gâcherait tout" selon miss Newton-John ! :o Les acteurs et actrices ont des attitudes risibles au possible, et tellement immatures : ceux qui devaient passer (?) pour des rebelles à l'époque nous laissent aujourd'hui une large impression de toquards ultimes ! Comme quoi, jouer sur les modes ne peut s'avérer durable dans le temps. Et Travolta... il est tellement efféminé dans sa démarche - comme la plupart de ses compères - qu'il en devient parfaitement ridicule. Des clichés à gogo et des dialogues bien nazes terminent d'enfoncer cette comédie musicale sans scénario le plus bas possible, malgré les 2-3 morceaux chorégraphiés ultra-connus, un peu moins pathétiques... Une étoile pour Olivia Newton-John en cuir moulant... et puis c'est tout ! Ringard. | Le générique de "Grease" nous met déjà dans l'ambiance avec ses paroles de chanson très niaises (en plus "grease" est traduit par "graisse", lol), mais la suite est tellement pire ! On ne s'embrasse pas quand on est amoureux sur la plage, "ça gâcherait tout" selon miss Newton-John ! :o Les acteurs et actrices ont des attitudes risibles au possible, et tellement immatures : ceux qui devaient passer (?) pour des rebelles à l'époque nous laissent aujourd'hui une large impression de toquards ultimes ! Comme quoi, jouer sur les modes ne peut s'avérer durable dans le temps. Et Travolta... il est tellement efféminé dans sa démarche - comme la plupart de ses compères - qu'il en devient parfaitement ridicule. Des clichés à gogo et des dialogues bien nazes terminent d'enfoncer cette comédie musicale sans scénario le plus bas possible, malgré les 2-3 morceaux chorégraphiés ultra-connus, un peu moins pathétiques... Une étoile pour Olivia Newton-John en cuir moulant... et puis c'est tout ! Ringard. | 0 | [9.99753601e-01 2.46399004e-04] | [9.99753601e-01 2.46399004e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,143 | Les Derniers affranchis est mortellement plaisant et fun à souhait, on retrouve nos bon vieux Pacino/Walken/Arkin dans ce film complètement barré, ne vous attendez pas à de l'action ou à un bon vieux film de mafia (exemple: les affranchis) car ce n'est pas du tout cela, on tire vraiment du coté de la comédie et du déjanté, et c'est vraiment cool de retrouver ce trio accompagné d'un superbe casting dans un film de ce genre. | Les Derniers affranchis est mortellement plaisant et fun à souhait, on retrouve nos bon vieux Pacino/Walken/Arkin dans ce film complètement barré, ne vous attendez pas à de l'action ou à un bon vieux film de mafia (exemple: les affranchis) car ce n'est pas du tout cela, on tire vraiment du coté de la comédie et du déjanté, et c'est vraiment cool de retrouver ce trio accompagné d'un superbe casting dans un film de ce genre. | 1 | [7.40898606e-04 9.99259101e-01] | [7.40898606e-04 9.99259101e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,144 | J’ai adoré ce film, van damme y est magistral, ce film est hyper réaliste avec des répliques construites intelligemment, la musique est top, les scènes de combat très bien filmé... cette histoire vraie est une réussite totale... | J’ai adoré ce film, van damme y est magistral, ce film est hyper réaliste avec des répliques construites intelligemment, la musique est top, les scènes de combat très bien filmé... cette histoire vraie est une réussite totale... | 1 | [4.46891251e-04 9.99553109e-01] | [4.46891251e-04 9.99553109e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,145 | Seul le casting parvient à nous éblouir dans cette vision bien simpliste de la vie de Gengis Kahn, c'est avant tout un film d'aventures (la vérité historique est complètement occulté) mais même de ce point de vue là Genghis Khan n'a rien d'exaltant. | Seul le casting parvient à nous éblouir dans cette vision bien simpliste de la vie de Gengis Kahn, c'est avant tout un film d'aventures (la vérité historique est complètement occulté) mais même de ce point de vue là Genghis Khan n'a rien d'exaltant. | 0 | [9.99642908e-01 3.57092232e-04] | [9.99642908e-01 3.57092232e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,146 | Entre les matchs de foot à la télé qui vont nous envahir et les films américains aux histoires tellement prévisibles et bourrés d'effets spéciaux, il devient difficile de trouver autre chose à voir. Une année polaire est une pépite de dépaysement, un voyage dans une contrée fascinante même si on n'a pas envie d'aller vivre la vie d'Anders et des habitants de ce petit village. La barrière de la langue est la véritable raison de l'incompréhension entre eux et il est évident que si Anders a la plus petite chance de s'acclimater, c'est à lui de faire l'effort d'apprendre la langue des autres et de comprendre qu'il est perçu comme un colonisateur, donc un perturbateur au sein d'une communauté qui a réussi à survivre avec ses valeurs depuis sans doute des millénaires. | Entre les matchs de foot à la télé qui vont nous envahir et les films américains aux histoires tellement prévisibles et bourrés d'effets spéciaux, il devient difficile de trouver autre chose à voir. Une année polaire est une pépite de dépaysement, un voyage dans une contrée fascinante même si on n'a pas envie d'aller vivre la vie d'Anders et des habitants de ce petit village. La barrière de la langue est la véritable raison de l'incompréhension entre eux et il est évident que si Anders a la plus petite chance de s'acclimater, c'est à lui de faire l'effort d'apprendre la langue des autres et de comprendre qu'il est perçu comme un colonisateur, donc un perturbateur au sein d'une communauté qui a réussi à survivre avec ses valeurs depuis sans doute des millénaires. | 1 | [0.73461368 0.26538632] | [0.73461368 0.26538632] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,147 | bon film , assez stressant parfois, ou l'intrigue reste bien presente. | bon film , assez stressant parfois, ou l'intrigue reste bien presente. | 1 | [0.02021496 0.97978504] | [0.02021496 0.97978504] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,148 | Un film assez émouvant et très beau. Une ressemblance vient à l'esprit: "lettre d'une inconnue". On retrouve cette douceur de film, la narration, ce joli noir et blanc, gina lolobridgda écorchée, triste et sans amour dès le début de sa vie. C'est une très belle histoire qui a comme point de départ un secret de famille. Quand vient le tragique au 2/3 du film l'ambiance devient plus lourde mais l'amour triomphe toujours et c'est une jolie fin qui nous est donnée. | Un film assez émouvant et très beau. Une ressemblance vient à l'esprit: "lettre d'une inconnue". On retrouve cette douceur de film, la narration, ce joli noir et blanc, gina lolobridgda écorchée, triste et sans amour dès le début de sa vie. C'est une très belle histoire qui a comme point de départ un secret de famille. Quand vient le tragique au 2/3 du film l'ambiance devient plus lourde mais l'amour triomphe toujours et c'est une jolie fin qui nous est donnée. | 1 | [6.37674815e-04 9.99362325e-01] | [6.37674815e-04 9.99362325e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,149 | L'autopsie du rêve américain à travers une comédie transgressive, subversive et jubilatoire ! L'illustration graphique est jouissive au possible, que ce soit dans les décors, la photographie, la façon de filmer, ou encore l'imaginaire. La direction artistique est géniale et fourmille de détails et de trouvailles, et souvent pour dénoncer un nombre incalculable de choses comme la société de consommation avec la parabole sur Las Vegas, les corporations avec par exemple la remise en cause de l'institution journalistique ou bien de la flicaille locale, particulièrement vicelarde. La narration en voix-off permet le fil conducteur entre ces différents gags, tous plus réussis les uns que les autres (la course de motos dans le désert, le manège du casino... etc) et son style d'écriture très maniériste, surréel, qui adopte les métaphores et les figures de style, est très amusant. Les flash-back sont amenés avec originalité dans l'idée et le montage. Terry Gilliam s'est donné les moyens pour retranscrire à merveille les idées du livre d'un point de vue visuel et narratif, ça se sent immédiatement. La mise en scène est à mon sens la plus grande réussite de ce film. Les cadrages rapprochés sur les visages des protagonistes sont là pour capter au plus près la folie introspective et paranoiaque des acteurs (qui campent ici l'extrême, la dépravation et la déchéance avec grand talent), de même que le jeu de caméra virevoltant est là pour accompagner la folie furieuse des bonhommes. Un très bon Gilliam qui exploite bien la richesse thématique du livre et où la forme est vraiment au service du fond, peut-être même trop, ce qui est dangereux pour passer le message. La contre-culture prônée par l'œuvre peut sinon être assimilée à un caractère réactionnaire, c'est en ce sens que ce genre de films sont osés et trop rares. | L'autopsie du rêve américain à travers une comédie transgressive, subversive et jubilatoire ! L'illustration graphique est jouissive au possible, que ce soit dans les décors, la photographie, la façon de filmer, ou encore l'imaginaire. La direction artistique est géniale et fourmille de détails et de trouvailles, et souvent pour dénoncer un nombre incalculable de choses comme la société de consommation avec la parabole sur Las Vegas, les corporations avec par exemple la remise en cause de l'institution journalistique ou bien de la flicaille locale, particulièrement vicelarde. La narration en voix-off permet le fil conducteur entre ces différents gags, tous plus réussis les uns que les autres (la course de motos dans le désert, le manège du casino... etc) et son style d'écriture très maniériste, surréel, qui adopte les métaphores et les figures de style, est très amusant. Les flash-back sont amenés avec originalité dans l'idée et le montage. Terry Gilliam s'est donné les moyens pour retranscrire à merveille les idées du livre d'un point de vue visuel et narratif, ça se sent immédiatement. La mise en scène est à mon sens la plus grande réussite de ce film. Les cadrages rapprochés sur les visages des protagonistes sont là pour capter au plus près la folie introspective et paranoiaque des acteurs (qui campent ici l'extrême, la dépravation et la déchéance avec grand talent), de même que le jeu de caméra virevoltant est là pour accompagner la folie furieuse des bonhommes. Un très bon Gilliam qui exploite bien la richesse thématique du livre et où la forme est vraiment au service du fond, peut-être même trop, ce qui est dangereux pour passer le message. La contre-culture prônée par l'œuvre peut sinon être assimilée à un caractère réactionnaire, c'est en ce sens que ce genre de films sont osés et trop rares. | 1 | [4.42170622e-04 9.99557829e-01] | [4.42170622e-04 9.99557829e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,150 | 3 ados de 16 ans dans la salle : Elles s'esclaffaient de ces répliques vulgaires, sexistes, de ces attitudes irresponsables. Sans savoir vraiment s'il fallait en rire ou en pleurer. Un film sur nos jeunes ? Pour nos jeunes ? Quels portraits de vie à montrer. Même pas une morale finale ! C'est à 1000 lieux de l'auberge espagnole. | 3 ados de 16 ans dans la salle : Elles s'esclaffaient de ces répliques vulgaires, sexistes, de ces attitudes irresponsables. Sans savoir vraiment s'il fallait en rire ou en pleurer. Un film sur nos jeunes ? Pour nos jeunes ? Quels portraits de vie à montrer. Même pas une morale finale ! C'est à 1000 lieux de l'auberge espagnole. | 0 | [0.97488335 0.02511665] | [0.97488335 0.02511665] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,151 | Quelle Bon film Jamel Debboze s'y trouv émouvant et touchant du tres bon cinéma | Quelle Bon film Jamel Debboze s'y trouv émouvant et touchant du tres bon cinéma | 1 | [0.00196886 0.99803114] | [0.00196886 0.99803114] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,152 | Une Réussite Total. Aprés un Premier Volet Mémorable,Le Cinéaste Guillermo Del Toro succède dignement a Stephen Norrington en nous livrant une Suite Plus Mouvementer et Sombre que le précédant Film. Pour Commencer la Réalisation est plus Nerveuse et Stylisé avec des Plans Séquences au Ralentis visuellement somptueuse en étant accompagné d'une BO qui déménage en apportant une énergie folle au long métrage. Ensuite le Scénario est plus Prenante tout en réservant son lot de Rebondissements inattendus tout en étant mener a un rythme Frénétique sans temps morts,Ajouter a tout ceci des Séquences D'Actions plus nombreuses mais aussi plus Spectaculaires grâce a des Chorégraphies majestueux sans oublier des Effets Spéciaux Époustouflants a souhait qui n'oublie pas pour autant son lot d'Humour Noir toujours aussi Piquant ainsi que son lot d’Hémoglobine qui donne lieu a des Scenes particulièrement Violentes et Dérangeante pour les amateurs de sensations fortes. Enfin Le Casting est impeccable avec en tête le Comédien Wesley Snipes qui reprend pour notre plus grand plaisir le rôle emblématique du chasseur de vampires charismatique et dangereux connu sous le nom de Blade qui est contraint de s'associé a ses pires ennemis pour affronter une nouvelle espèce de Créatures assoiffées de sang qui sont mener par le Terrifiant Nomak qui est interprété avec brio par Luke Goss qui excelle avec panache dans la peau de cette adversaire hors normes qui est rejoint par une multitude de Seconds Roles au top tels que Ron Perlman,Norman Reedus,Léonor Varela,Thomas Kretschmann,Kris Kristofferson et Donnie Yen qui livrent une performance trés convaincante a leurs personnages respectifs. En Conclusion, Blade 2 est une remarquable Suite qui Surpasse a tous les niveaux son prédécesseur en étant a la fois Jouissif,Intense,Glauque et Sanglant tout en entrant au panthéon des Meilleurs adaptations Marvels qui ravira a coup sur les amateurs du Genre qui est a voir de toute urgence. | Une Réussite Total. Aprés un Premier Volet Mémorable,Le Cinéaste Guillermo Del Toro succède dignement a Stephen Norrington en nous livrant une Suite Plus Mouvementer et Sombre que le précédant Film. Pour Commencer la Réalisation est plus Nerveuse et Stylisé avec des Plans Séquences au Ralentis visuellement somptueuse en étant accompagné d'une BO qui déménage en apportant une énergie folle au long métrage. Ensuite le Scénario est plus Prenante tout en réservant son lot de Rebondissements inattendus tout en étant mener a un rythme Frénétique sans temps morts,Ajouter a tout ceci des Séquences D'Actions plus nombreuses mais aussi plus Spectaculaires grâce a des Chorégraphies majestueux sans oublier des Effets Spéciaux Époustouflants a souhait qui n'oublie pas pour autant son lot d'Humour Noir toujours aussi Piquant ainsi que son lot d’Hémoglobine qui donne lieu a des Scenes particulièrement Violentes et Dérangeante pour les amateurs de sensations fortes. Enfin Le Casting est impeccable avec en tête le Comédien Wesley Snipes qui reprend pour notre plus grand plaisir le rôle emblématique du chasseur de vampires charismatique et dangereux connu sous le nom de Blade qui est contraint de s'associé a ses pires ennemis pour affronter une nouvelle espèce de Créatures assoiffées de sang qui sont mener par le Terrifiant Nomak qui est interprété avec brio par Luke Goss qui excelle avec panache dans la peau de cette adversaire hors normes qui est rejoint par une multitude de Seconds Roles au top tels que Ron Perlman,Norman Reedus,Léonor Varela,Thomas Kretschmann,Kris Kristofferson et Donnie Yen qui livrent une performance trés convaincante a leurs personnages respectifs. En Conclusion, Blade 2 est une remarquable Suite qui Surpasse a tous les niveaux son prédécesseur en étant a la fois Jouissif,Intense,Glauque et Sanglant tout en entrant au panthéon des Meilleurs adaptations Marvels qui ravira a coup sur les amateurs du Genre qui est a voir de toute urgence. | 1 | [4.82862277e-04 9.99517138e-01] | [4.82862277e-04 9.99517138e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,153 | Excellent film sur le milieu carcéral. Le scénario tien parfaitement la route. Un grand bravo à Val Kilmer qui joue à merveille. Stefen Dorff s'en sort très bien lui aussi. La réalisation est soignée, originale et maîtrisée. Un film qui aurait mérité plus de bruit !!! | Excellent film sur le milieu carcéral. Le scénario tien parfaitement la route. Un grand bravo à Val Kilmer qui joue à merveille. Stefen Dorff s'en sort très bien lui aussi. La réalisation est soignée, originale et maîtrisée. Un film qui aurait mérité plus de bruit !!! | 1 | [6.96920546e-04 9.99303079e-01] | [6.96920546e-04 9.99303079e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,154 | Qui a dit que les chiens et les chats ne pouvaient pas s'entendre ? Certainement pas les Studios Disney qui, avec "Oliver et compagnie", signent un film d'animation drôle et èmouvant, inspirè de "Oliver Twist" de Charles Dickens! Abandonnè dans les rues de New York, Oliver le petit chaton est recueilli par un groupe de chiens dèbrouillards! Pour survivre, la bande commet divers larcins mais le coeur d'Oliver n'a d'ègal que sa maladresse et sa carrière de voleurs s'annonce bien mal! Heureusement, quand il se fait surprendre, c'est par Jenny, une charmante petite fille qui va changer à jamais son destin! Ce gentil film d'animation sèduira petits et grands par son humour, mais aussi par ses chansons, interprètèes par des artistes tels que Billy Joel, Bette Midler ou Ruben Blades! Et les nostalgiques fredonneront la chanson culte d'Anne Meson: "Oliver Oh Oliver, tu n'as pas peur, les embûches et les embrouilles tu les connais par cœur"... | Qui a dit que les chiens et les chats ne pouvaient pas s'entendre ? Certainement pas les Studios Disney qui, avec "Oliver et compagnie", signent un film d'animation drôle et èmouvant, inspirè de "Oliver Twist" de Charles Dickens! Abandonnè dans les rues de New York, Oliver le petit chaton est recueilli par un groupe de chiens dèbrouillards! Pour survivre, la bande commet divers larcins mais le coeur d'Oliver n'a d'ègal que sa maladresse et sa carrière de voleurs s'annonce bien mal! Heureusement, quand il se fait surprendre, c'est par Jenny, une charmante petite fille qui va changer à jamais son destin! Ce gentil film d'animation sèduira petits et grands par son humour, mais aussi par ses chansons, interprètèes par des artistes tels que Billy Joel, Bette Midler ou Ruben Blades! Et les nostalgiques fredonneront la chanson culte d'Anne Meson: "Oliver Oh Oliver, tu n'as pas peur, les embûches et les embrouilles tu les connais par cœur"... | 1 | [0.23272537 0.76727463] | [0.23272537 0.76727463] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,155 | Ce cinquième opus de la saga "Rocky" marque un nouveau tournant dans la vie de ce dernier. En ce sens, "Rocky 5" est essentiel et demeure une pièce importante de la série qui traite avec noirceur et brio la descente aux enfers d'un grand boxeur. Nous avons coutume de dire qu'il s'agit du moins bon épisode de la saga... Je trouve cette affirmation fausse dans la mesure où Sly ne laisse rien au hasard. En effet, l'idée d'un grand champion de boxe passé de l'ombre à la lumière pour finalement finir ruiné est intéressante. Le film met donc en avant les choses vitales et importantes de la vie de tous les jours à savoir l'amour de nos proches, la santé de ces derniers, la fidélité d'un public conquis en cours d'une carrière éblouissante. C'est donc ici que ce "Rocky 5" frappe fort sans parler bien évidemment de la nostalgie très justement évoqué dans cet opus. La nostalgie de Rocky est présente partout dans cette réalisation et s'immisce même dans le coeur des spectateurs. Les fans de Rocky ressentent eux aussi cette nostalgie omniprésente. Après sa, inutile de vous dire qu'il demeure urgent de reprendre la saga "Rocky" depuis le début. | Ce cinquième opus de la saga "Rocky" marque un nouveau tournant dans la vie de ce dernier. En ce sens, "Rocky 5" est essentiel et demeure une pièce importante de la série qui traite avec noirceur et brio la descente aux enfers d'un grand boxeur. Nous avons coutume de dire qu'il s'agit du moins bon épisode de la saga... Je trouve cette affirmation fausse dans la mesure où Sly ne laisse rien au hasard. En effet, l'idée d'un grand champion de boxe passé de l'ombre à la lumière pour finalement finir ruiné est intéressante. Le film met donc en avant les choses vitales et importantes de la vie de tous les jours à savoir l'amour de nos proches, la santé de ces derniers, la fidélité d'un public conquis en cours d'une carrière éblouissante. C'est donc ici que ce "Rocky 5" frappe fort sans parler bien évidemment de la nostalgie très justement évoqué dans cet opus. La nostalgie de Rocky est présente partout dans cette réalisation et s'immisce même dans le coeur des spectateurs. Les fans de Rocky ressentent eux aussi cette nostalgie omniprésente. Après sa, inutile de vous dire qu'il demeure urgent de reprendre la saga "Rocky" depuis le début. | 1 | [5.46918731e-04 9.99453081e-01] | [5.46918731e-04 9.99453081e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,156 | Comme dans l'opus précédent, le manque de style de l'ensemble ne sert pas correctement l'histoire qui méritait une réalisation nettement plus inventive. | Comme dans l'opus précédent, le manque de style de l'ensemble ne sert pas correctement l'histoire qui méritait une réalisation nettement plus inventive. | 0 | [9.99092341e-01 9.07658653e-04] | [9.99092341e-01 9.07658653e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,157 | Le personnage principal du film est magnifique : c'est le Lac Majeur.... après il y a Ugo Tognazzi et Ornella Muti qui jouent un couple improbable tout comme l'amitié entre Tognazzi et Patrick Dewaere, étrangement sous exploité. Un drôle de film où l'on voit une sorte de satyre lubrique sautant sur tout ce qui bouge avec la complaisance des gens autour de lui....... pas d'amour au sortir de la guerre (l'action se passe en 1946) mais du sexe et la mort... le massacre des sentiments..... très beau film de Risi | Le personnage principal du film est magnifique : c'est le Lac Majeur.... après il y a Ugo Tognazzi et Ornella Muti qui jouent un couple improbable tout comme l'amitié entre Tognazzi et Patrick Dewaere, étrangement sous exploité. Un drôle de film où l'on voit une sorte de satyre lubrique sautant sur tout ce qui bouge avec la complaisance des gens autour de lui....... pas d'amour au sortir de la guerre (l'action se passe en 1946) mais du sexe et la mort... le massacre des sentiments..... très beau film de Risi | 1 | [0.00110278 0.99889722] | [0.00110278 0.99889722] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,158 | Subordination, n. f. : fait d'être soumis (à une autorité) Ou comment apprendre la vie sous l'ombre tutélaire. | Subordination, n. f. : fait d'être soumis (à une autorité) Ou comment apprendre la vie sous l'ombre tutélaire. | 0 | [0.05284854 0.94715146] | [0.05284854 0.94715146] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,159 | Bouli Lanners a un sérieux talent de comédien, moi je dis ! Des films comme ça, j'en veux tous les jours ! | Bouli Lanners a un sérieux talent de comédien, moi je dis ! Des films comme ça, j'en veux tous les jours ! | 1 | [0.14200177 0.85799823] | [0.14200177 0.85799823] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,160 | Film bien sur le proncipe des beaux murs du chateau de Versailles. Je suis ressorti déçu : scénario mauvais, mal joué, et quelque peu inadapté aux lieux, à l'histoire, l'époque. Ce fût malgré tout un plaisir de voir ces belles actrices françaises. | Film bien sur le proncipe des beaux murs du chateau de Versailles. Je suis ressorti déçu : scénario mauvais, mal joué, et quelque peu inadapté aux lieux, à l'histoire, l'époque. Ce fût malgré tout un plaisir de voir ces belles actrices françaises. | 0 | [9.99579722e-01 4.20278024e-04] | [9.99579722e-01 4.20278024e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,161 | TRES SYMPA . POUR TOUS CEUX QUI AIMENT LES COMEDIES ROMANTIQUES ; | TRES SYMPA . POUR TOUS CEUX QUI AIMENT LES COMEDIES ROMANTIQUES ; | 1 | [0.06276408 0.93723592] | [0.06276408 0.93723592] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,162 | Après 2 opus franchement bon, la saga revient ! Malheureusement, le résultat n'est pas du tout à la hauteur. Le réalisateur n'est plus le même, et force est de constater que l'ambiance en prend un coup. Ce film n'est plus de tout dans le même style que les deux autres. Il ressemble davantage à Wolfman qu'à un vrai Underworld. Au niveau des scènes d'action c'est en-dessous des deux autres. Et pour l'histoire... Bah c'est simple on la connait déjà comme elle a été résumé dans le premier. Reste de bon acteur et des Lycans convaincants. | Après 2 opus franchement bon, la saga revient ! Malheureusement, le résultat n'est pas du tout à la hauteur. Le réalisateur n'est plus le même, et force est de constater que l'ambiance en prend un coup. Ce film n'est plus de tout dans le même style que les deux autres. Il ressemble davantage à Wolfman qu'à un vrai Underworld. Au niveau des scènes d'action c'est en-dessous des deux autres. Et pour l'histoire... Bah c'est simple on la connait déjà comme elle a été résumé dans le premier. Reste de bon acteur et des Lycans convaincants. | 0 | [9.99538563e-01 4.61436597e-04] | [9.99538563e-01 4.61436597e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,163 | Probablement conscients que leur petit manège allait se retourner contre eux s'ils s'obstinaient dans cette voie là, Scream 3 s'efforce de rehausser un peu la barre tombée dramatiquement bas au second opus en prenant le temps d'avoir un vrai scénario plutôt qu'une succession de scénettes reliées entre elles par des purs moments d'inepties d'un teenage movie mièvre à l'Américaine. Hélas, si l'on peut concéder une bonne intention de la part des auteurs (la principale étant l'éviction de Kevin Williamson à l'écriture) le résultat s'avère on ne peut plus désastreux dans cette volonté de vouloir s'imposer comme le modèle indépassable d'un genre qui vivait là ses derniers instants (le slasher). La faute en grande partie à une absence totale d'enjeux (franchement, à ce stade on se fout même de savoir si c'est le chien ou la cuvette des toilettes qui assassine) les personnages n'étant que des victimes en puissance et les motivations du tueur un détail parmi tant d'autres. Un film auto satisfait, célébrant sa propre gloire (le chassé croisé casting original versus interprètes du produit dérivé Stab) dont les artifices strictement hollywoodien (l'appareil servant à modifier les voix) ne font même pas kiffer. | Probablement conscients que leur petit manège allait se retourner contre eux s'ils s'obstinaient dans cette voie là, Scream 3 s'efforce de rehausser un peu la barre tombée dramatiquement bas au second opus en prenant le temps d'avoir un vrai scénario plutôt qu'une succession de scénettes reliées entre elles par des purs moments d'inepties d'un teenage movie mièvre à l'Américaine. Hélas, si l'on peut concéder une bonne intention de la part des auteurs (la principale étant l'éviction de Kevin Williamson à l'écriture) le résultat s'avère on ne peut plus désastreux dans cette volonté de vouloir s'imposer comme le modèle indépassable d'un genre qui vivait là ses derniers instants (le slasher). La faute en grande partie à une absence totale d'enjeux (franchement, à ce stade on se fout même de savoir si c'est le chien ou la cuvette des toilettes qui assassine) les personnages n'étant que des victimes en puissance et les motivations du tueur un détail parmi tant d'autres. Un film auto satisfait, célébrant sa propre gloire (le chassé croisé casting original versus interprètes du produit dérivé Stab) dont les artifices strictement hollywoodien (l'appareil servant à modifier les voix) ne font même pas kiffer. | 0 | [9.99734005e-01 2.65994703e-04] | [9.99734005e-01 2.65994703e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,164 | Je m'attendais à vraiment autre chose ! Le scénario est catastrophique ! A fuir ! | Je m'attendais à vraiment autre chose ! Le scénario est catastrophique ! A fuir ! | 0 | [9.99759988e-01 2.40011996e-04] | [9.99759988e-01 2.40011996e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,165 | Chef d'oeuvre.Superproduction américaine jouée parc des acteurs britanniques sur l'histoire de Rome avec la b.o. d'un hongrois, le tout tiré d'un roman polonais. Et si l'on tenait avec ce chef d'oeuvre intemporel du 7ième art un des bénéfices de la perverse mondialisation ? La mode dans les années 50 était aux péplums et malgré quelques ratages, ce genre a donné lieu à plusieurs chef d'oeuvres qui ont traversé le temps pour faire la joie des rediffusions des longs après-midi de jours fériés de printemps. Quo Vadis n'a néanmoins pas l'aura d'autres chef-d'oeuvres du genre car il lui manque l'ingrédient principal pour cela : un Charlton Heston ! Robert Taylor est immense dans le rôle de Marcus Vinicius mais il lui manque un léger souffle épique pour le mettre au niveau de Moise ou Judah Ben-Hur. Malgré cela et malgré un certain proséletisme de base quasiment indispensable dans ces films, Quo Vadis reste un modèle de ce genre qui comme les dinosaures de la Préhistoire a disparu de la surface de la terre : le PEPLUM. | Chef d'oeuvre.Superproduction américaine jouée parc des acteurs britanniques sur l'histoire de Rome avec la b.o. d'un hongrois, le tout tiré d'un roman polonais. Et si l'on tenait avec ce chef d'oeuvre intemporel du 7ième art un des bénéfices de la perverse mondialisation ? La mode dans les années 50 était aux péplums et malgré quelques ratages, ce genre a donné lieu à plusieurs chef d'oeuvres qui ont traversé le temps pour faire la joie des rediffusions des longs après-midi de jours fériés de printemps. Quo Vadis n'a néanmoins pas l'aura d'autres chef-d'oeuvres du genre car il lui manque l'ingrédient principal pour cela : un Charlton Heston ! Robert Taylor est immense dans le rôle de Marcus Vinicius mais il lui manque un léger souffle épique pour le mettre au niveau de Moise ou Judah Ben-Hur. Malgré cela et malgré un certain proséletisme de base quasiment indispensable dans ces films, Quo Vadis reste un modèle de ce genre qui comme les dinosaures de la Préhistoire a disparu de la surface de la terre : le PEPLUM. | 1 | [0.0012177 0.9987823] | [0.0012177 0.9987823] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,166 | Regardez donc la bande annonce et vous aurez vu le film , acteur moyen histoire peu intéressante , vu et revu mille fois , aucune tension , pas de suspense , bref a éviter . | Regardez donc la bande annonce et vous aurez vu le film , acteur moyen histoire peu intéressante , vu et revu mille fois , aucune tension , pas de suspense , bref a éviter . | 0 | [9.99763302e-01 2.36697764e-04] | [9.99763302e-01 2.36697764e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,167 | Et à la fin du film le gentil animateur posa la question : qu'est ce que le film vous a apporté ? Alors euh rien ! Commençons par le scénario, je ne sais où se passe l'action mais en France la libération sous caution, ça n'existe pas, mais bon on ne va pas en faire un plat. La réalisation, les décors et la direction d'acteurs sont minimalistes, on n'a aucune empathie pour les personnages, on se fout de ce qui leur arrive, Brecht appelait ça de la distanciation et disait que ça aidait à réfléchir ! Mais réfléchir à quoi ? C'est laid, c'est glauque, inintéressant, ça ne procure aucune émotion, on se raccroche à quoi ? Alors euh : à rien | Et à la fin du film le gentil animateur posa la question : qu'est ce que le film vous a apporté ? Alors euh rien ! Commençons par le scénario, je ne sais où se passe l'action mais en France la libération sous caution, ça n'existe pas, mais bon on ne va pas en faire un plat. La réalisation, les décors et la direction d'acteurs sont minimalistes, on n'a aucune empathie pour les personnages, on se fout de ce qui leur arrive, Brecht appelait ça de la distanciation et disait que ça aidait à réfléchir ! Mais réfléchir à quoi ? C'est laid, c'est glauque, inintéressant, ça ne procure aucune émotion, on se raccroche à quoi ? Alors euh : à rien | 0 | [9.99787787e-01 2.12212585e-04] | [9.99787787e-01 2.12212585e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,168 | Le père n'offre pas le cheval et encore moins un cheval magique qui vole.... C'est ridicule. Il relate la vie des nomades, les Travellers, rejetés par la société actuelle irlandaise, de leur refus de la propriété, de l'attachement à la terre (la sédentarité) et de l'importance de la culture orale. Ce film est une belle réussite. Vous serez surpris. Le lien sur la bande annonce du film: http://www.youtube.com/watch?v=TOAb-sUCm7U&feature=related | Le père n'offre pas le cheval et encore moins un cheval magique qui vole.... C'est ridicule. Il relate la vie des nomades, les Travellers, rejetés par la société actuelle irlandaise, de leur refus de la propriété, de l'attachement à la terre (la sédentarité) et de l'importance de la culture orale. Ce film est une belle réussite. Vous serez surpris. Le lien sur la bande annonce du film: http://www.youtube.com/watch?v=TOAb-sUCm7U&feature=related | 1 | [0.00500632 0.99499368] | [0.00500632 0.99499368] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,169 | Vu, revu et archivu ! Rien de nouveau sous le soleil romain, même si l'acteur principal est impressionnant (ah, la scène où il se bat nu contre trois agresseurs... mais pas la peine d'y aller pour ça). Donc film de l'été dispensable, sauf pour ceux qui recherchent de la clim... | Vu, revu et archivu ! Rien de nouveau sous le soleil romain, même si l'acteur principal est impressionnant (ah, la scène où il se bat nu contre trois agresseurs... mais pas la peine d'y aller pour ça). Donc film de l'été dispensable, sauf pour ceux qui recherchent de la clim... | 0 | [9.99767984e-01 2.32015908e-04] | [9.99767984e-01 2.32015908e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,170 | Sans intérêt, ce film ne cherche qu'à raconter la vie d'un gamin frimeur qui n'a à ce jour que 16 ans! | Sans intérêt, ce film ne cherche qu'à raconter la vie d'un gamin frimeur qui n'a à ce jour que 16 ans! | 0 | [9.99752415e-01 2.47585351e-04] | [9.99752415e-01 2.47585351e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,171 | Ridicule, interminable, exagéré et bien trop loin de la réalité pour ma part. | Ridicule, interminable, exagéré et bien trop loin de la réalité pour ma part. | 0 | [9.99791346e-01 2.08653675e-04] | [9.99791346e-01 2.08653675e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,172 | « This is Spinal Tap » reprend le principe de « The Rutles: All You Need Is Cash » sorti quelques années plus tôt et mettant en scène un groupe, parodie des Beatles. Le concept est le même mais cette fois, on suit dans ce faux documentaire les déboires d'un groupe de Hard Rock (fictif) has-been qui rappelle assez « Anvil » ( groupe de Heavy Metal réel dont on peut suivre aussi leurs mésaventures dans le documentaire « Anvil »). Certes, peu originale, l'idée de départ pouvait néanmoins donner lieu à une comédie hilarante jouant sur les codes du genre musical. Cependant, rares sont les passages où l'on réussi à rire et malgré quelques bonnes trouvailles (le coup des amplis à 11 par exemple), celles-ci sont trop peu nombreuses et l'on s'ennuie rapidement face à la platitude des dialogues et du scénar'. Aujourd'hui culte, ce « rockumentaire » humoristique m'a déçu et même au 3ème degré, la sauce ne prend pas. A noter que comme les Rutles avant eux, Spinal Tap est passé par la suite du statut de groupe fictif à celui de réel. | « This is Spinal Tap » reprend le principe de « The Rutles: All You Need Is Cash » sorti quelques années plus tôt et mettant en scène un groupe, parodie des Beatles. Le concept est le même mais cette fois, on suit dans ce faux documentaire les déboires d'un groupe de Hard Rock (fictif) has-been qui rappelle assez « Anvil » ( groupe de Heavy Metal réel dont on peut suivre aussi leurs mésaventures dans le documentaire « Anvil »). Certes, peu originale, l'idée de départ pouvait néanmoins donner lieu à une comédie hilarante jouant sur les codes du genre musical. Cependant, rares sont les passages où l'on réussi à rire et malgré quelques bonnes trouvailles (le coup des amplis à 11 par exemple), celles-ci sont trop peu nombreuses et l'on s'ennuie rapidement face à la platitude des dialogues et du scénar'. Aujourd'hui culte, ce « rockumentaire » humoristique m'a déçu et même au 3ème degré, la sauce ne prend pas. A noter que comme les Rutles avant eux, Spinal Tap est passé par la suite du statut de groupe fictif à celui de réel. | 0 | [9.99789929e-01 2.10070983e-04] | [9.99789929e-01 2.10070983e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,173 | Après avoir vu ce film j'ai rapidement compris pourquoi il était passé directement par la case DVD en zappant l'option cinémas... Les seules ficeles de ce film réside dans le replongeon vers l'univers du 1 mais en bien moins réussi car répétitif. A oublier vite. | Après avoir vu ce film j'ai rapidement compris pourquoi il était passé directement par la case DVD en zappant l'option cinémas... Les seules ficeles de ce film réside dans le replongeon vers l'univers du 1 mais en bien moins réussi car répétitif. A oublier vite. | 0 | [9.99761331e-01 2.38668995e-04] | [9.99761331e-01 2.38668995e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,174 | Un film que j'ai decouvert un aprés-midi sur tf1 et qui ma laissé un bon souvenir. J'ai accroché à cette histoire d'ados recherchant son passé dans un hopital entourés de cancereux. Le film fonctionne grâces au couple Elijah Wood/ Rachel leigh Cook assez touchant tous les deux. Un film qui fonctionne surtout aux sentiments et sans beaucoup d'action qui dégage une odeur de rêve eveillé, ce qui ne plaira pas à tous le monde. | Un film que j'ai decouvert un aprés-midi sur tf1 et qui ma laissé un bon souvenir. J'ai accroché à cette histoire d'ados recherchant son passé dans un hopital entourés de cancereux. Le film fonctionne grâces au couple Elijah Wood/ Rachel leigh Cook assez touchant tous les deux. Un film qui fonctionne surtout aux sentiments et sans beaucoup d'action qui dégage une odeur de rêve eveillé, ce qui ne plaira pas à tous le monde. | 1 | [0.00879144 0.99120856] | [0.00879144 0.99120856] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,175 | Sans doute l'un des films les plus pourris que j'aie jamais vus. Histoire débilissime, personnages sans intérêt, jeu d'acteurs catastrophique, réalisation minable, images d'une laideur absolue, dialogues crétins... | Sans doute l'un des films les plus pourris que j'aie jamais vus. Histoire débilissime, personnages sans intérêt, jeu d'acteurs catastrophique, réalisation minable, images d'une laideur absolue, dialogues crétins... | 0 | [9.99286454e-01 7.13545731e-04] | [9.99286454e-01 7.13545731e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,176 | Prétendument chef d'œuvre "crépusculaire" de la période américaine du maître, ses admirateurs devraient déjà se renseigner et assimiler le fait que Fritz Lang a renié ce film ! C'est tiré d'un roman pour enfants, et si on enlève les scènes de tavernes (pas si mal) ça nous fait effectivement un film pour enfants. L'intrigue n'a ni queue ni tête, Stewart Granger joue comme une savate, Georges Sanders a l'air de se demander ce qu'il est venu faire dans cette galère, le môme est une vraie tête à claques, c'est rempli d'invraisemblances, de clichés et d'erreurs de script. Les images sont jolies, la musique aussi mais ça ne suffit pas à faire un film | Prétendument chef d'œuvre "crépusculaire" de la période américaine du maître, ses admirateurs devraient déjà se renseigner et assimiler le fait que Fritz Lang a renié ce film ! C'est tiré d'un roman pour enfants, et si on enlève les scènes de tavernes (pas si mal) ça nous fait effectivement un film pour enfants. L'intrigue n'a ni queue ni tête, Stewart Granger joue comme une savate, Georges Sanders a l'air de se demander ce qu'il est venu faire dans cette galère, le môme est une vraie tête à claques, c'est rempli d'invraisemblances, de clichés et d'erreurs de script. Les images sont jolies, la musique aussi mais ça ne suffit pas à faire un film | 0 | [9.99793468e-01 2.06532325e-04] | [9.99793468e-01 2.06532325e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,177 | Film lent sans rythme, a la fin on se demande ou voulais en venir le realisateur, bref déçu | Film lent sans rythme, a la fin on se demande ou voulais en venir le realisateur, bref déçu | 0 | [9.99774612e-01 2.25387653e-04] | [9.99774612e-01 2.25387653e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,178 | Le problème n’est pas tant dans le scénario obscur ou dans les dialogues artificiels, qui font aussi partie du charme des bons films d’Assayas. Qu’on n’y comprenne pas grand-chose n’empêche pas d’apprécier la capacité du réalisateur à filmer l’invisible, à faire vibrer une présence presque surnaturelle au coeur de ses œuvres. Par contre, le fait qu’on finisse pas se foutre éperdument de ces histoires de sites porno et de multinationales est plus embêtant. En voulant capter une inquiétude liée à la virtualité grandissante des rapports humains, le film se condamne d’une part à vieillir aussi vite que l’Internet lui-même et d’autre part à embrasser l’absence de chair du monde qu’il met en scène. Un film prometteur qui devient vite pénible. | Le problème n’est pas tant dans le scénario obscur ou dans les dialogues artificiels, qui font aussi partie du charme des bons films d’Assayas. Qu’on n’y comprenne pas grand-chose n’empêche pas d’apprécier la capacité du réalisateur à filmer l’invisible, à faire vibrer une présence presque surnaturelle au coeur de ses œuvres. Par contre, le fait qu’on finisse pas se foutre éperdument de ces histoires de sites porno et de multinationales est plus embêtant. En voulant capter une inquiétude liée à la virtualité grandissante des rapports humains, le film se condamne d’une part à vieillir aussi vite que l’Internet lui-même et d’autre part à embrasser l’absence de chair du monde qu’il met en scène. Un film prometteur qui devient vite pénible. | 0 | [9.99644079e-01 3.55920617e-04] | [9.99644079e-01 3.55920617e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,179 | Excellent !!! Idée originale et très intéressante, développée par-ci par-là sur plusieurs points de vue. Et si on pense à certains clichés pour quelques personnages à première vue, ils ne sont finalement pas si anodins que ça. Robin Williams reste irréprochable. | Excellent !!! Idée originale et très intéressante, développée par-ci par-là sur plusieurs points de vue. Et si on pense à certains clichés pour quelques personnages à première vue, ils ne sont finalement pas si anodins que ça. Robin Williams reste irréprochable. | 1 | [8.62509953e-04 9.99137490e-01] | [8.62509953e-04 9.99137490e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,180 | Sublime dessin animé musical, Interstella 5555 nous entraîne dans le monde psychédélique de l'album "Discovery" de Daft Punk. La musique est donc géniale (pour les fans comme moi) et l'ambiance qui se dégage de cette oeuvre atypique est tout bonnement ennivrante! | Sublime dessin animé musical, Interstella 5555 nous entraîne dans le monde psychédélique de l'album "Discovery" de Daft Punk. La musique est donc géniale (pour les fans comme moi) et l'ambiance qui se dégage de cette oeuvre atypique est tout bonnement ennivrante! | 1 | [5.27495256e-04 9.99472505e-01] | [5.27495256e-04 9.99472505e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,181 | La mise en scène et la bande son misent sur les bruits de fonds, les bruits de la ville, les dialogues monocordes et les plans larges pour donner un ton un peu reportage, un peu distant, un peu brut de décoffrage au film. Pas mal, mais l'action met du temps à venir, et c'est à partir de 1h08 seulement, sur 2h38 quand même, que cette manière froide de filmer donne sa dimension au film (lorsque les méchants, sans humanité aucune, passent à l'action, mais je ne veux pas en dire plus). On est loin de la fantaisie et du speed de "L'arme fatale", même si Mel Gibson tire une dizaine de balles sans recharger son revolver 6 coups... Un polar différent donc, avec un côté underground qui donne le la. | La mise en scène et la bande son misent sur les bruits de fonds, les bruits de la ville, les dialogues monocordes et les plans larges pour donner un ton un peu reportage, un peu distant, un peu brut de décoffrage au film. Pas mal, mais l'action met du temps à venir, et c'est à partir de 1h08 seulement, sur 2h38 quand même, que cette manière froide de filmer donne sa dimension au film (lorsque les méchants, sans humanité aucune, passent à l'action, mais je ne veux pas en dire plus). On est loin de la fantaisie et du speed de "L'arme fatale", même si Mel Gibson tire une dizaine de balles sans recharger son revolver 6 coups... Un polar différent donc, avec un côté underground qui donne le la. | 1 | [0.09896594 0.90103406] | [0.09896594 0.90103406] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,182 | Raconter le parcours d’un visionnaire qui prônait la prise de risque en choisissant de ne prendre strictement aucun risque prouve à quel point remettre la réalisation d’un tel projet à un réalisateur aussi peu talentueux que Joshua Michael Stern était l’assurance d’une impasse cinématographique. Revenir sur le parcours de Steve Jobs quelques mois à peine après la mort de celui-ci semblait déjà un peu bancal comme point de départ, l’expérience nous ayant appris que le recul est la meilleure source d’inspiration pour de tels biopics, mais après tout lui rendre ainsi hommage était un exercice que ne pouvait s’empêcher les studios hollywoodiens tant le personnage représente encore pour beaucoup un symbole du rêve américain. C’est d’ailleurs surement pour ça que Marc Hulme, producteur à l’origine du projet, a trouvé plus vendeur que faire de son scénario une héliographie bien pompeuse faisant du fondateur d’Apple une véritable figure messianique, s’interdisant de risquer toute controverse, et d’appuyer sa morale dans une scène finale déclamatoire au possible. Comme attendu, Ashton Kuchter, malgré tous ses efforts et sa soi-disant ressemblance physique, est bien loin d’avoir le charisme qui caractérisait Jobs ni même le talent pour interpréter un rôle d’une telle ampleur. Un autre film sur Steve Jobs serait en cours de préparation en réponse à celui-ci et appuyé par des proches du défunt informaticien, attendons-le pour découvrir qui était réellement cet homme en plus de cette étiquette publicitaire à laquelle peut se résumer ce Jobs. | Raconter le parcours d’un visionnaire qui prônait la prise de risque en choisissant de ne prendre strictement aucun risque prouve à quel point remettre la réalisation d’un tel projet à un réalisateur aussi peu talentueux que Joshua Michael Stern était l’assurance d’une impasse cinématographique. Revenir sur le parcours de Steve Jobs quelques mois à peine après la mort de celui-ci semblait déjà un peu bancal comme point de départ, l’expérience nous ayant appris que le recul est la meilleure source d’inspiration pour de tels biopics, mais après tout lui rendre ainsi hommage était un exercice que ne pouvait s’empêcher les studios hollywoodiens tant le personnage représente encore pour beaucoup un symbole du rêve américain. C’est d’ailleurs surement pour ça que Marc Hulme, producteur à l’origine du projet, a trouvé plus vendeur que faire de son scénario une héliographie bien pompeuse faisant du fondateur d’Apple une véritable figure messianique, s’interdisant de risquer toute controverse, et d’appuyer sa morale dans une scène finale déclamatoire au possible. Comme attendu, Ashton Kuchter, malgré tous ses efforts et sa soi-disant ressemblance physique, est bien loin d’avoir le charisme qui caractérisait Jobs ni même le talent pour interpréter un rôle d’une telle ampleur. Un autre film sur Steve Jobs serait en cours de préparation en réponse à celui-ci et appuyé par des proches du défunt informaticien, attendons-le pour découvrir qui était réellement cet homme en plus de cette étiquette publicitaire à laquelle peut se résumer ce Jobs. | 0 | [9.99650977e-01 3.49022837e-04] | [9.99650977e-01 3.49022837e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,183 | Voilà un excellent film d'époque très réussi, captivant, parfaitement bien joué avec des dialogues aux petits oignons. J'ai adoré et en général j'apprécie tout particulièrement ce genre de films. Excellent à tous niveaux : réalisation, interprétation, décors... | Voilà un excellent film d'époque très réussi, captivant, parfaitement bien joué avec des dialogues aux petits oignons. J'ai adoré et en général j'apprécie tout particulièrement ce genre de films. Excellent à tous niveaux : réalisation, interprétation, décors... | 1 | [4.46188268e-04 9.99553812e-01] | [4.46188268e-04 9.99553812e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,184 | L'immense Denis Hopper vole la vedette à Keanu Reeves et Sandra Bullock dans ce thriller culte des années 90. Le film bénéficie d'une mise en scène nerveuse et d'une histoire passionnante. | L'immense Denis Hopper vole la vedette à Keanu Reeves et Sandra Bullock dans ce thriller culte des années 90. Le film bénéficie d'une mise en scène nerveuse et d'une histoire passionnante. | 1 | [0.00199593 0.99800407] | [0.00199593 0.99800407] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,185 | Décevant. Trop de genres mélangés sans que la mayonnaise prenne. Et pourtant je suis bon public. Dommage... | Décevant. Trop de genres mélangés sans que la mayonnaise prenne. Et pourtant je suis bon public. Dommage... | 0 | [9.99760065e-01 2.39934661e-04] | [9.99760065e-01 2.39934661e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,186 | dommage qu'il soit long à se mettre en place, malgré cela charlize theron est impeccable et magnifique !!!! | dommage qu'il soit long à se mettre en place, malgré cela charlize theron est impeccable et magnifique !!!! | 0 | [0.12900519 0.87099481] | [0.12900519 0.87099481] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,187 | même les paysages se sont pas beaux. tout est noir au propre et au figuré. l'amitié qui se détruit. un personnage qui surgit et qui casse tout. on a beau essayer de creuser le sujet mais c'est tellement vide qu'il n'y a rien a faire . une erreur dans tout. des actions qui commencent et ne finissent pas des scenes longues et sans interet, des personnages excités, des jeux de sexe inutiles. un fouillis qui donne envie de quitter la salle. | même les paysages se sont pas beaux. tout est noir au propre et au figuré. l'amitié qui se détruit. un personnage qui surgit et qui casse tout. on a beau essayer de creuser le sujet mais c'est tellement vide qu'il n'y a rien a faire . une erreur dans tout. des actions qui commencent et ne finissent pas des scenes longues et sans interet, des personnages excités, des jeux de sexe inutiles. un fouillis qui donne envie de quitter la salle. | 0 | [9.99768175e-01 2.31824524e-04] | [9.99768175e-01 2.31824524e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,188 | Sentiment très mitigé... Je ne pense pas que ce film mérite vraiment le buzz énorme qu'il à encensé avant sa sortie. La bande-annonce qui à tournée et le marketing promotionel fait autour de "Paranormal activity" sont un gros coup de business, fait pour faire saliver, un bon coup de pub pour que les gens ai envie de s'y ruer. Donc on s'attend à voir le film d'épouvante du siècle est en fait, pas vraiment... C'est long à se mettre en place, pas super captivant au début et puis le rythme est meilleur ensuite. Il est vrai que certaines scènes peuvent être flippantes ou angoissantes, mais elles se comptent sur les doigts d'une seule main. L'ambiance n'est pas mauvaise, mais elle ne met pas "le trouillomètre" à zéro, quelques petites bonnes idées, 2-3 effets assez réussis, un final plutôt pas mal, mais le film ne se montre pas vraiment oppressant, pas réellement dérangeant, ça manque souvent d'originalité. Et puis je ne suis pas un grand fan de la façon dont est fait ce genre de film. "Blair witch" m'avait plus endormi qu'appeuré, même si "Rec" m'avait bien peu plus séduit. Je trouve le fait de faire croire que l'histoire soit vraie avec toute une fausse propagande commerciale autour plutôt médiocre, limite grotesque (surtout quand Spielberg déclare ne pas avoir pu sortir de chez lui pendant 15 jours après l'avoir vu, alors qu'il à quasiment "produit" le film) et que ça dénature tout. Et que ce soit du point de vue d'un couple qui se filme sans arrêt comme si les images que l'on voyait été leurs propres prises de vues, améne à des plans et des scènes un peu improbables qui nuisent à la crédibilité (qui se filme en buvant son café, en se lavant les dents, en téléphonant ou filme ce qu'il regarde sur l'écran de son pc ??). Mais bon si on le regarde seul chez soi dans l'obscurité et qu'ensuite on dort dans un grand endroit isolé tout en étant assez frileux, il est possible d'avoir quelques légers frissons. Mais pas autant que ce qu'on était en droit d'attendre... | Sentiment très mitigé... Je ne pense pas que ce film mérite vraiment le buzz énorme qu'il à encensé avant sa sortie. La bande-annonce qui à tournée et le marketing promotionel fait autour de "Paranormal activity" sont un gros coup de business, fait pour faire saliver, un bon coup de pub pour que les gens ai envie de s'y ruer. Donc on s'attend à voir le film d'épouvante du siècle est en fait, pas vraiment... C'est long à se mettre en place, pas super captivant au début et puis le rythme est meilleur ensuite. Il est vrai que certaines scènes peuvent être flippantes ou angoissantes, mais elles se comptent sur les doigts d'une seule main. L'ambiance n'est pas mauvaise, mais elle ne met pas "le trouillomètre" à zéro, quelques petites bonnes idées, 2-3 effets assez réussis, un final plutôt pas mal, mais le film ne se montre pas vraiment oppressant, pas réellement dérangeant, ça manque souvent d'originalité. Et puis je ne suis pas un grand fan de la façon dont est fait ce genre de film. "Blair witch" m'avait plus endormi qu'appeuré, même si "Rec" m'avait bien peu plus séduit. Je trouve le fait de faire croire que l'histoire soit vraie avec toute une fausse propagande commerciale autour plutôt médiocre, limite grotesque (surtout quand Spielberg déclare ne pas avoir pu sortir de chez lui pendant 15 jours après l'avoir vu, alors qu'il à quasiment "produit" le film) et que ça dénature tout. Et que ce soit du point de vue d'un couple qui se filme sans arrêt comme si les images que l'on voyait été leurs propres prises de vues, améne à des plans et des scènes un peu improbables qui nuisent à la crédibilité (qui se filme en buvant son café, en se lavant les dents, en téléphonant ou filme ce qu'il regarde sur l'écran de son pc ??). Mais bon si on le regarde seul chez soi dans l'obscurité et qu'ensuite on dort dans un grand endroit isolé tout en étant assez frileux, il est possible d'avoir quelques légers frissons. Mais pas autant que ce qu'on était en droit d'attendre... | 0 | [9.99776884e-01 2.23116099e-04] | [9.99776884e-01 2.23116099e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,189 | Un film original, complexe. On ne s'attend jamais à ce qui va se film m'a surtout touché parce que j'avais l'impression qu'il me racontait une histoire d'amour qui ne m'avait jamais été racontée. Peu de films font ça. J'ai vachement aimé également comment le film se situait vis-à-vis des genres qu'il convoquait - histoire d'amour, film d'espionnage, film historique, film politique - et trouvait la place qui lui était propre. Tout baigne dans une atmosphère très forte qui donne sa cohésion au film, qui lie les contraires tant amoureux que social ou politique. Un vrai plaisir | Un film original, complexe. On ne s'attend jamais à ce qui va se film m'a surtout touché parce que j'avais l'impression qu'il me racontait une histoire d'amour qui ne m'avait jamais été racontée. Peu de films font ça. J'ai vachement aimé également comment le film se situait vis-à-vis des genres qu'il convoquait - histoire d'amour, film d'espionnage, film historique, film politique - et trouvait la place qui lui était propre. Tout baigne dans une atmosphère très forte qui donne sa cohésion au film, qui lie les contraires tant amoureux que social ou politique. Un vrai plaisir | 1 | [4.74975719e-04 9.99525024e-01] | [4.74975719e-04 9.99525024e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,190 | "Merci pour le chocolat" (2000) HD1 le 31.07.2016 Ce chocolat est complètement indigeste : on ne retrouve pas le talent habituel de Chabrol dont l'inspiration semble tarie : le scénario est nul et le réalisateur semble pressé d'en finir ! Vous vous ferez d'ailleurs votre fin vous-même... Si l'on excepte Huppert qui est bien la seule à croire en son personnage, le casting est à pleurer tellement il est mauvais, et ce n'est pas la présence de Dutronc qui arrange les choses : aussi détestable comédien qu'il ne fut chanteur le "crac, boum, hue"... Enfin, ce n'est plus un film, c'est une entreprise familiale avec Aurore Chabrol (sa femme) au script, et Mathieu Chabrol comme pseudo-compositeur. En fait il plombe littéralement le film en se l'accaparant à son profit en concert de piano accompagné d'images sans intérêt ! Où est donc passé l'histoire ? S'agit-il des mémoires d'un piano ? C'est un peu comme si vous aviez un voisin qui vous infligerait ses gammes du matin au soir et qui donnerait envie de fuir le bastringue ! Non, décidément, ce chocolat n'est bon qu'à, provoquer des crises de foie, où d'urticaire... Non merci ! willycopresto | "Merci pour le chocolat" (2000) HD1 le 31.07.2016 Ce chocolat est complètement indigeste : on ne retrouve pas le talent habituel de Chabrol dont l'inspiration semble tarie : le scénario est nul et le réalisateur semble pressé d'en finir ! Vous vous ferez d'ailleurs votre fin vous-même... Si l'on excepte Huppert qui est bien la seule à croire en son personnage, le casting est à pleurer tellement il est mauvais, et ce n'est pas la présence de Dutronc qui arrange les choses : aussi détestable comédien qu'il ne fut chanteur le "crac, boum, hue"... Enfin, ce n'est plus un film, c'est une entreprise familiale avec Aurore Chabrol (sa femme) au script, et Mathieu Chabrol comme pseudo-compositeur. En fait il plombe littéralement le film en se l'accaparant à son profit en concert de piano accompagné d'images sans intérêt ! Où est donc passé l'histoire ? S'agit-il des mémoires d'un piano ? C'est un peu comme si vous aviez un voisin qui vous infligerait ses gammes du matin au soir et qui donnerait envie de fuir le bastringue ! Non, décidément, ce chocolat n'est bon qu'à, provoquer des crises de foie, où d'urticaire... Non merci ! willycopresto | 0 | [9.99791977e-01 2.08022976e-04] | [9.99791977e-01 2.08022976e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,191 | Une suite encore plus jouissive avec, en prime, une super introduction. Kate Beckinsale y est toujours aussi parfaite et sexy. A quand un troisième opus ? | Une suite encore plus jouissive avec, en prime, une super introduction. Kate Beckinsale y est toujours aussi parfaite et sexy. A quand un troisième opus ? | 1 | [0.00112538 0.99887462] | [0.00112538 0.99887462] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,192 | Une très lourde réputation de "film de filles pré-pubertes" pèse sur ce film, et c'est bien dommage, car son histoire est bien écrite, bien mise en scène, et on partage les émotions des jeunes héros. | Une très lourde réputation de "film de filles pré-pubertes" pèse sur ce film, et c'est bien dommage, car son histoire est bien écrite, bien mise en scène, et on partage les émotions des jeunes héros. | 1 | [0.03409889 0.96590111] | [0.03409889 0.96590111] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,193 | très beau film que j'ai vu en avant première il décrit parfaitement l'engrenage de ceux qui cultivent la terre pour nous apporter la bonne nourriture mais qui hélàs sont si souvent pris dans l'engrenage de notre monde ou seul le rendement et le profit compte aux dépends de ces agriculteurs qui s'endettent et ne peuvent plus en sortir. n'est ce pas a nous consommateurs avec eux acheter directement leur produits consommer moins car il faut la qualité et non la quantité. laisser de coté cette industrie ce monde de production intense.oui nous seuls pourront changer le monde.merci au réalisateur qui hélàs en a payé un drame terrible qui le marquera a vie. merci a Guillaume canet qui a joliment interprété le personnage et a tous les autres acteurs. je recommande d'aller le voir et d'y aller nombreux pour dire merci a notre monde agricole qui en a bien besoin. | très beau film que j'ai vu en avant première il décrit parfaitement l'engrenage de ceux qui cultivent la terre pour nous apporter la bonne nourriture mais qui hélàs sont si souvent pris dans l'engrenage de notre monde ou seul le rendement et le profit compte aux dépends de ces agriculteurs qui s'endettent et ne peuvent plus en sortir. n'est ce pas a nous consommateurs avec eux acheter directement leur produits consommer moins car il faut la qualité et non la quantité. laisser de coté cette industrie ce monde de production intense.oui nous seuls pourront changer le monde.merci au réalisateur qui hélàs en a payé un drame terrible qui le marquera a vie. merci a Guillaume canet qui a joliment interprété le personnage et a tous les autres acteurs. je recommande d'aller le voir et d'y aller nombreux pour dire merci a notre monde agricole qui en a bien besoin. | 1 | [4.79484590e-04 9.99520515e-01] | [4.79484590e-04 9.99520515e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,194 | On retrouve une Jenifer Aniston dans un rôle tout à fait inattendu. Loin de la girl next door, ce rôle lui convient parfaitement. L'histoire sur un fond années 70 est bien ficelée. Une fin plutôt amusante..Bref, on ne s'ennuie pas !On reconnait à peine Tim Robbins. | On retrouve une Jenifer Aniston dans un rôle tout à fait inattendu. Loin de la girl next door, ce rôle lui convient parfaitement. L'histoire sur un fond années 70 est bien ficelée. Une fin plutôt amusante..Bref, on ne s'ennuie pas !On reconnait à peine Tim Robbins. | 1 | [0.00296928 0.99703072] | [0.00296928 0.99703072] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,195 | Un film très original ... De l humour , du décalage , des effets spéciaux ... On passe un très bon moment | Un film très original ... De l humour , du décalage , des effets spéciaux ... On passe un très bon moment | 1 | [8.93043466e-04 9.99106957e-01] | [8.93043466e-04 9.99106957e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,196 | Grand et beau film de Yoshida. Film en 2 parties (plus de 3 heures). Une bonne connaissance du Japon contemporain est nécessaire pour apprécier pleinement les dialogues, bien que certaines séquences et certains thèmes sont universels : la violence politique, la révolution, la liberté dans le couple, le militantisme. C'est un film d'intellectuel qui pose et se pose les bonnes questions. Revoir le film pour l'aspect politique et philosophique. Par contre, le film est un chef d'oeuvre par sa réalisation technique, sa beauté picturale, sa mise en scène très recherchée et justifiée, également aussi par ses acteurs et actrices. Un film bien dans l'esprit des pseudo-révolutionnaires de 1968, mais ici transposé esthétiquement (ordre bourgeois non récusé par le cinéaste, mais récusé par Godard et autres). C'est un film de grande valeur esthétique et historique. | Grand et beau film de Yoshida. Film en 2 parties (plus de 3 heures). Une bonne connaissance du Japon contemporain est nécessaire pour apprécier pleinement les dialogues, bien que certaines séquences et certains thèmes sont universels : la violence politique, la révolution, la liberté dans le couple, le militantisme. C'est un film d'intellectuel qui pose et se pose les bonnes questions. Revoir le film pour l'aspect politique et philosophique. Par contre, le film est un chef d'oeuvre par sa réalisation technique, sa beauté picturale, sa mise en scène très recherchée et justifiée, également aussi par ses acteurs et actrices. Un film bien dans l'esprit des pseudo-révolutionnaires de 1968, mais ici transposé esthétiquement (ordre bourgeois non récusé par le cinéaste, mais récusé par Godard et autres). C'est un film de grande valeur esthétique et historique. | 1 | [5.24201845e-04 9.99475798e-01] | [5.24201845e-04 9.99475798e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,197 | Un Dupontel totalement perché, des répliques cultes et un scénario déjanté.. Bernie en quelque mots. Il n'y a pas d'explications à donner, il faut le voir. On adore ou on déteste, sans demi-mesure. Pour ma part j'ai adoré ! | Un Dupontel totalement perché, des répliques cultes et un scénario déjanté.. Bernie en quelque mots. Il n'y a pas d'explications à donner, il faut le voir. On adore ou on déteste, sans demi-mesure. Pour ma part j'ai adoré ! | 1 | [6.42737723e-04 9.99357262e-01] | [6.42737723e-04 9.99357262e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,198 | "Tango & Cash" remplit son rôle de film policier musclé avec ses fusillades et ses explosions, ses acteurs aux gros bras, et son scénario aussi mince que prévisible. | "Tango & Cash" remplit son rôle de film policier musclé avec ses fusillades et ses explosions, ses acteurs aux gros bras, et son scénario aussi mince que prévisible. | 0 | [9.99462479e-01 5.37521480e-04] | [9.99462479e-01 5.37521480e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 1,199 | L'APRES FRIENDS. Au niveau ciné, c'est toujours aussi difficile pour Jennifer Aniston. Entouré de stars féminines, la petite histoire sympathique de Nicole Holofcener n'a rien d'euphorique. | L'APRES FRIENDS. Au niveau ciné, c'est toujours aussi difficile pour Jennifer Aniston. Entouré de stars féminines, la petite histoire sympathique de Nicole Holofcener n'a rien d'euphorique. | 0 | [9.99781690e-01 2.18309798e-04] | [9.99781690e-01 2.18309798e-04] | clean | 0 | 0 |