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En regardant ce genre de film, il ne faut pas s'attendre à voir du grand art, au contraire même. La trame est tracée d'avance et elle n'est pas des plus intéressante. Malgré cela, on passe un bon moment devant notre télévision.
En regardant ce genre de film, il ne faut pas s'attendre à voir du grand art, au contraire même. La trame est tracée d'avance et elle n'est pas des plus intéressante. Malgré cela, on passe un bon moment devant notre télévision.
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Magnifique, Fincher prouve ici son réel talent ! Un film certe violent, mais qui a une certaine profondeur dans le scénario malgré tout ! Les acteurs sont superbes. Ils n'y a aucune longueurs et les dialogues sont tout bonnement magnifiques ! Un grand film à prendre au second degré ! 20/20
Magnifique, Fincher prouve ici son réel talent ! Un film certe violent, mais qui a une certaine profondeur dans le scénario malgré tout ! Les acteurs sont superbes. Ils n'y a aucune longueurs et les dialogues sont tout bonnement magnifiques ! Un grand film à prendre au second degré ! 20/20
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Réalisateur prolifique mais à la filmographie plus que douteuse, capable du pire (La Mort en ligne - 2005) comme du meilleur (Ichi the killer - 2001),Takashi Miike adapte ici en prises de vues réelles, un célèbre manga au Japon et en restitue une œuvre complètement affligeante de débilité et de crétinerie infantile pour adolescents attardés. Un film totalement surréaliste et consternant, dans lequel des adolescents grimés en héros-masqués essaient tant bien que mal de faire régner l’ordre face à des méchants ultra stéréotypés (crétins et débiles à souhait). Takashi Miike nous avais déjà prouvé ses talents en réalisant à la fois des œuvres majeurs et des pures Séries B, cette fois-ci, avec Yatterman (2009), il touche le fond de plein fouet. Yatter ! Yatter ! Yatterman !
Réalisateur prolifique mais à la filmographie plus que douteuse, capable du pire (La Mort en ligne - 2005) comme du meilleur (Ichi the killer - 2001),Takashi Miike adapte ici en prises de vues réelles, un célèbre manga au Japon et en restitue une œuvre complètement affligeante de débilité et de crétinerie infantile pour adolescents attardés. Un film totalement surréaliste et consternant, dans lequel des adolescents grimés en héros-masqués essaient tant bien que mal de faire régner l’ordre face à des méchants ultra stéréotypés (crétins et débiles à souhait). Takashi Miike nous avais déjà prouvé ses talents en réalisant à la fois des œuvres majeurs et des pures Séries B, cette fois-ci, avec Yatterman (2009), il touche le fond de plein fouet. Yatter ! Yatter ! Yatterman !
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Difficile de trouver des défauts à ce film. Esthétiquement magnifique, une touche d'onirisme, un peu de romance, et l'épopée d'un gamin avec qui la vie n'a pas toujours été tendre qui ne va jamais se laisser abattre. C'est toujours difficile de mettre le doigt sur les points spécifiques qui différencient un excellent film d'un correct, mais ici, l'histoire haletante et les personnages charismatiques le placent sans aucune hésitation dans la première catégorie de mon point de vue.
Difficile de trouver des défauts à ce film. Esthétiquement magnifique, une touche d'onirisme, un peu de romance, et l'épopée d'un gamin avec qui la vie n'a pas toujours été tendre qui ne va jamais se laisser abattre. C'est toujours difficile de mettre le doigt sur les points spécifiques qui différencient un excellent film d'un correct, mais ici, l'histoire haletante et les personnages charismatiques le placent sans aucune hésitation dans la première catégorie de mon point de vue.
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1,204
5 mn pour s'installer confortablement...et puis plus rien d'autre qu'un ennui profond. Le scénario ne parvient jamais à nous tenir en halène. Le rythme est lent et les personnages dénués de personnalité. Au départ, il y avait certainement une idée, mais très vite il n'y a plus eu d'histoire et on décroche bien avant la chute. Finalement, mon canapé était assez inconfortable...
5 mn pour s'installer confortablement...et puis plus rien d'autre qu'un ennui profond. Le scénario ne parvient jamais à nous tenir en halène. Le rythme est lent et les personnages dénués de personnalité. Au départ, il y avait certainement une idée, mais très vite il n'y a plus eu d'histoire et on décroche bien avant la chute. Finalement, mon canapé était assez inconfortable...
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1,205
ambitieux, élégant, prenant... Dans la Brume est très réussi, Duris est parfait ! Le film est tendu , la promesse tenue ! Paris dans un film d'anticipation , génial !!
ambitieux, élégant, prenant... Dans la Brume est très réussi, Duris est parfait ! Le film est tendu , la promesse tenue ! Paris dans un film d'anticipation , génial !!
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Pour la forme, La Antena bénéficie d'une plastique merveilleuse avec de délicieuses références (Métropolis bien sûr, Le voyage dans la lune, Le Dictateur, Nosferatu, etc). Pour le fond, on croirait un conte à la Burton ou à la Méliès, cocon d'un pamphlet qui laisse méditatif. Esteban Sapir a tout compris à l'expressionnisme, en le posant comme le moyen d'expression de personnages dénués de leurs sens (parole et vue). Cela ne fait qu'accroitre la puissance poétique inhérente à celui-ci et fait de ce film un bijou, comme l'on n'en voit que très rarement de nos jours.
Pour la forme, La Antena bénéficie d'une plastique merveilleuse avec de délicieuses références (Métropolis bien sûr, Le voyage dans la lune, Le Dictateur, Nosferatu, etc). Pour le fond, on croirait un conte à la Burton ou à la Méliès, cocon d'un pamphlet qui laisse méditatif. Esteban Sapir a tout compris à l'expressionnisme, en le posant comme le moyen d'expression de personnages dénués de leurs sens (parole et vue). Cela ne fait qu'accroitre la puissance poétique inhérente à celui-ci et fait de ce film un bijou, comme l'on n'en voit que très rarement de nos jours.
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1,207
Ce volet est plus sombre (qu'est-ce que je peux adorer la bande son..) mais je l'ai trouvé aussi efficace que les deux premiers. La tension et le suspens sont toujours là. Au niveau du scénario, c'est le meilleur volet, j'ai adoré l'idée du demi-frère. Vivement le 4ème !!!!
Ce volet est plus sombre (qu'est-ce que je peux adorer la bande son..) mais je l'ai trouvé aussi efficace que les deux premiers. La tension et le suspens sont toujours là. Au niveau du scénario, c'est le meilleur volet, j'ai adoré l'idée du demi-frère. Vivement le 4ème !!!!
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1,208
EES adapte une de ses nouvelles et signe une petite fable d'une mièvrerie confondante qui oppose de façon très binaire le peuple (les gens pas très malins mais qui ont la joie de vivre) et les intellos (méprisants, cyniques, frustrés). Du coup, absolument tous les personnages sont traités avec une condescendance et un mépris qui font froid dans le dos. Les acteurs font ce qu'ils peuvent pour éviter le naufrage...
EES adapte une de ses nouvelles et signe une petite fable d'une mièvrerie confondante qui oppose de façon très binaire le peuple (les gens pas très malins mais qui ont la joie de vivre) et les intellos (méprisants, cyniques, frustrés). Du coup, absolument tous les personnages sont traités avec une condescendance et un mépris qui font froid dans le dos. Les acteurs font ce qu'ils peuvent pour éviter le naufrage...
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1,209
Wim Wenders peut aller se rhabiller avec Le sel de la terre. Vivian Maier n’aura pas eu la chance d’être récompensée pour son brillant travail de photographe à titre posthume. Aux dernières cérémonies des Oscars, la statuette est en effet revenue à Laura Poitras pour Citizenfour. Concluant sa trilogie sur l’Amérique post 11 septembre, son travail met en image l’une des personnalités les plus importantes de ces dernières années : Edward Snowden, ou l’homme qui n’a pas eu peur de dénoncer les activités d’espionnage de la CIA. Rien à redire sur le propos (la défense contre vents et marées pour la sauvegarde de nos libertés individuelles), on reproche cependant à ce documentaire son angle d’attaque, trop étroit. Ressemblant à un huis-clos dans une chambre d’hôtel, ce documentaire bizarrement récompensé par un Oscar n’arrive pas à capter son public. Lassé de voir une histoire qu’il connait déjà, ce dernier s’agacera devant des plans interminables et répétitifs sur l’inactivité la plus totale de Snowden. La réalisatrice force son propos et manque d’objectivité en s’attachant exclusivement aux réactions de celui-ci. D’autres témoins ou entretiens auraient permis à Citizenfour de développer une véritable réflexion sur ce scandale qui est loin d’être fini. Au lieu de cela, les mêmes thèses sont évoquées pendant près de deux heures sans ajouter de relief à l’ensemble narratif. La réalisatrice a néanmoins le courage d’affirmer les valeurs qu’elle croit justes. Militant par l’intermédiaire de la caméra, elle expose comment chaque citoyen devrait se défendre, en refusant la peur et la soumission. Voilà où réside la force de cette œuvre, qui n’empêche pas sa maladresse.
Wim Wenders peut aller se rhabiller avec Le sel de la terre. Vivian Maier n’aura pas eu la chance d’être récompensée pour son brillant travail de photographe à titre posthume. Aux dernières cérémonies des Oscars, la statuette est en effet revenue à Laura Poitras pour Citizenfour. Concluant sa trilogie sur l’Amérique post 11 septembre, son travail met en image l’une des personnalités les plus importantes de ces dernières années : Edward Snowden, ou l’homme qui n’a pas eu peur de dénoncer les activités d’espionnage de la CIA. Rien à redire sur le propos (la défense contre vents et marées pour la sauvegarde de nos libertés individuelles), on reproche cependant à ce documentaire son angle d’attaque, trop étroit. Ressemblant à un huis-clos dans une chambre d’hôtel, ce documentaire bizarrement récompensé par un Oscar n’arrive pas à capter son public. Lassé de voir une histoire qu’il connait déjà, ce dernier s’agacera devant des plans interminables et répétitifs sur l’inactivité la plus totale de Snowden. La réalisatrice force son propos et manque d’objectivité en s’attachant exclusivement aux réactions de celui-ci. D’autres témoins ou entretiens auraient permis à Citizenfour de développer une véritable réflexion sur ce scandale qui est loin d’être fini. Au lieu de cela, les mêmes thèses sont évoquées pendant près de deux heures sans ajouter de relief à l’ensemble narratif. La réalisatrice a néanmoins le courage d’affirmer les valeurs qu’elle croit justes. Militant par l’intermédiaire de la caméra, elle expose comment chaque citoyen devrait se défendre, en refusant la peur et la soumission. Voilà où réside la force de cette œuvre, qui n’empêche pas sa maladresse.
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Pas vraiment drôle à de rares exceptions. Pas vraiment satyrique tellement le trait est caricatural et présenté lourdement (le redressement du candidat déprimé par la mort de sa mère en 3 phrases bateaux par le "héros" est pour le coup risible). J'ai trouvé la première moitié du film carrément ennuyeuse, la seconde un peu plus intéressante mais de peu. Il y a de jolies partitions d'acteurs mais ça ne suffit pas à faire un film amusant / prenant / intéressant. Un déception.
Pas vraiment drôle à de rares exceptions. Pas vraiment satyrique tellement le trait est caricatural et présenté lourdement (le redressement du candidat déprimé par la mort de sa mère en 3 phrases bateaux par le "héros" est pour le coup risible). J'ai trouvé la première moitié du film carrément ennuyeuse, la seconde un peu plus intéressante mais de peu. Il y a de jolies partitions d'acteurs mais ça ne suffit pas à faire un film amusant / prenant / intéressant. Un déception.
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1,211
Retour sur les origines, "Ring 0" est le moins bon des volets! Le rèalisateur Hideo Nakata laisse sa place à Norio Tsuruta qui revient trente ans avant les èvènements! Voyant des choses ètranges (un puits et une maison), Sadako possèdait les mêmes pouvoirs que sa mère et on apprend qu'elle avait une peur irraisonnèe de l'ocèan! La vie est moins effrayante depuis qu'elle fait du thèâtre (selon le toubib, cette passion est le meilleur des traitements). Ici, les moments d'angoisses sont quasi-inexistants, la peur se transforme en paranormal et en sèance de thèrapie! Seul point fort, Yukie Nakama, belle et ènigmatique dans le rôle de Sadako, maintient l'intèrêt de l'histoire! Mais n’en demandez pas plus...
Retour sur les origines, "Ring 0" est le moins bon des volets! Le rèalisateur Hideo Nakata laisse sa place à Norio Tsuruta qui revient trente ans avant les èvènements! Voyant des choses ètranges (un puits et une maison), Sadako possèdait les mêmes pouvoirs que sa mère et on apprend qu'elle avait une peur irraisonnèe de l'ocèan! La vie est moins effrayante depuis qu'elle fait du thèâtre (selon le toubib, cette passion est le meilleur des traitements). Ici, les moments d'angoisses sont quasi-inexistants, la peur se transforme en paranormal et en sèance de thèrapie! Seul point fort, Yukie Nakama, belle et ènigmatique dans le rôle de Sadako, maintient l'intèrêt de l'histoire! Mais n’en demandez pas plus...
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film pour gaminette qui gloussent a chaque scène et en font des éloges de ce pseudo Twilight .... tant que ca rapporte , ne changeons rien !! sourire
film pour gaminette qui gloussent a chaque scène et en font des éloges de ce pseudo Twilight .... tant que ca rapporte , ne changeons rien !! sourire
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On vit ce film comme un puzzle. On se pause des tas de questions, tout le long. Vers la moitié du film, tout est chamboulé et tout devient vite incompréhensible, mais on a envie d'en savoir plus. Alors, on rentre bien dans le film et on essaie à tout prix de comprendre. Qui est cette fille qui prétend être Lisa ? Que cache-t-elle ? Où est la VRAiE Lisa ? Lisa & Matt vont-ils se retrouver ? On dirait à chaque fois que non, ils sont tout prêts mais se ratent toujours. On s'énervent, on s'inquiètent ... Puis on voit l'histoire sous un autre angle. Tout s'éclair. Et après une dernière peur que leur chance d'être enfin ensemble s'envole une fois de plus, on reste sans voix devant ce final où est tout est dit dans les gestes et les regards. Bref, en un seul mot, ce film est : FABULEUX !
On vit ce film comme un puzzle. On se pause des tas de questions, tout le long. Vers la moitié du film, tout est chamboulé et tout devient vite incompréhensible, mais on a envie d'en savoir plus. Alors, on rentre bien dans le film et on essaie à tout prix de comprendre. Qui est cette fille qui prétend être Lisa ? Que cache-t-elle ? Où est la VRAiE Lisa ? Lisa & Matt vont-ils se retrouver ? On dirait à chaque fois que non, ils sont tout prêts mais se ratent toujours. On s'énervent, on s'inquiètent ... Puis on voit l'histoire sous un autre angle. Tout s'éclair. Et après une dernière peur que leur chance d'être enfin ensemble s'envole une fois de plus, on reste sans voix devant ce final où est tout est dit dans les gestes et les regards. Bref, en un seul mot, ce film est : FABULEUX !
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Comment décrire ce film? Je sais pas vraiment comment décrire ce film, on suit un jeune homme qui va découvrir l'amour, qui rêve beaucoup, qui va faire une promesse et qui va tout faire pour la tenir au détriment des autres choses. Qu'est ce que j'ai pensé de ce film? Pas grand chose, on arrive pas toujours à comprendre le héros, s'est difficile de toujours le suivre dans ces actes et ses choix, ce qui destabilise un peu, c'est pas un film qui m'a pris et voila c'est tout.
Comment décrire ce film? Je sais pas vraiment comment décrire ce film, on suit un jeune homme qui va découvrir l'amour, qui rêve beaucoup, qui va faire une promesse et qui va tout faire pour la tenir au détriment des autres choses. Qu'est ce que j'ai pensé de ce film? Pas grand chose, on arrive pas toujours à comprendre le héros, s'est difficile de toujours le suivre dans ces actes et ses choix, ce qui destabilise un peu, c'est pas un film qui m'a pris et voila c'est tout.
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Un film de qualité. Will Smith prouve qu'il a un certain talent et michael Mann qu'il est vraiment un grand metteur en scène, notamment lors des scènes de boxe. Toutefois, ce film n'emballe pas, du fait que son personnage principal n'est en aucun cas attachant et que ce film souffre d'un évident manque d'émotion, même si ce n'était pas son but premier. Dommage donc, car ce film a de grandes qualités.
Un film de qualité. Will Smith prouve qu'il a un certain talent et michael Mann qu'il est vraiment un grand metteur en scène, notamment lors des scènes de boxe. Toutefois, ce film n'emballe pas, du fait que son personnage principal n'est en aucun cas attachant et que ce film souffre d'un évident manque d'émotion, même si ce n'était pas son but premier. Dommage donc, car ce film a de grandes qualités.
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Ce film est un vrai régal, de ceux qui vous laissent un sourire indélébile sur la figure même plusieurs heures après la fin. Serrault, Mitchell et Azema sont savoureux. Une comédie qui agit comme un puissant anti-depresseur !
Ce film est un vrai régal, de ceux qui vous laissent un sourire indélébile sur la figure même plusieurs heures après la fin. Serrault, Mitchell et Azema sont savoureux. Une comédie qui agit comme un puissant anti-depresseur !
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Décidément les cinéastes français sont inspirés par la ruralité ... Aprés le dernier Depardon, ce sublime documentaire tisse avec une subtilité impressionnante la vie d'un adolescent à jamais brisé par le divorce de ses parents qui se traine entre famille décomposée et projet professionnel avorté tout juste aéré par les interludes d'espoir des premiers flirts. Splendidement filmé et caractérisant des personnages complexes et charismtiques (l'adolescent et le cultivateur) le film illustre avec grandeur une multitude de sujets. Tout simplement le meilleur film francais de l'année !! A voir absolument !
Décidément les cinéastes français sont inspirés par la ruralité ... Aprés le dernier Depardon, ce sublime documentaire tisse avec une subtilité impressionnante la vie d'un adolescent à jamais brisé par le divorce de ses parents qui se traine entre famille décomposée et projet professionnel avorté tout juste aéré par les interludes d'espoir des premiers flirts. Splendidement filmé et caractérisant des personnages complexes et charismtiques (l'adolescent et le cultivateur) le film illustre avec grandeur une multitude de sujets. Tout simplement le meilleur film francais de l'année !! A voir absolument !
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1,218
Un film qui part sur une idée de départ très intéressante mais qui hélas passe à côté. La faute à des personnages creux, des dialogues pauvres, une mise en scène laborieuse. C'est long, très long...très très long... Seul point positif : la mise en scène des textos à l'écran qui rappelle le cinéma muet. Pour le reste : ZZZzzZzzzzZ...!
Un film qui part sur une idée de départ très intéressante mais qui hélas passe à côté. La faute à des personnages creux, des dialogues pauvres, une mise en scène laborieuse. C'est long, très long...très très long... Seul point positif : la mise en scène des textos à l'écran qui rappelle le cinéma muet. Pour le reste : ZZZzzZzzzzZ...!
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1,219
Le scenario aurait du etre interessant mais la mise en scene tres lente devient rapidement ennuyeuse excepte le dernier quart d'heure.
Le scenario aurait du etre interessant mais la mise en scene tres lente devient rapidement ennuyeuse excepte le dernier quart d'heure.
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Les drames sociaux c'est pas trop ma tasse de thé mais de temps en temps j'aime varier les genres et regarder ce que je n'ai pas l'habitude d'affectionner. Avec Travail au noir de Jerzy Skolimowski je suis très bien tombé car franchement je ne pensais pas que ce film me plairait autant. Travail au noir c'est presque un thriller social, je trouve que ce film est un peu construit comme un thriller et l'humour noir est bienvenu. Travail au noir tourne essentiellement autour du Polonais joué par Jeremy Irons qui nous fait bien partager ses inquiétudes et ses problèmes, j'ai bien aimé les scènes se passant dans le supermarché. Le seul instant véritablement raté dans Travail au noir c'est la fin.
Les drames sociaux c'est pas trop ma tasse de thé mais de temps en temps j'aime varier les genres et regarder ce que je n'ai pas l'habitude d'affectionner. Avec Travail au noir de Jerzy Skolimowski je suis très bien tombé car franchement je ne pensais pas que ce film me plairait autant. Travail au noir c'est presque un thriller social, je trouve que ce film est un peu construit comme un thriller et l'humour noir est bienvenu. Travail au noir tourne essentiellement autour du Polonais joué par Jeremy Irons qui nous fait bien partager ses inquiétudes et ses problèmes, j'ai bien aimé les scènes se passant dans le supermarché. Le seul instant véritablement raté dans Travail au noir c'est la fin.
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1,221
Charles Dickens est, après William Shakespeare, l'auteur le plus adapté au cinéma en très très grande partie grâce à son "Chant de Noël". Ce dernier a donné lieu à du bon, à du moyen, à du mauvais, à du très mauvais et à du méga-mauvais. Ce film fait partie de cette dernière catégorie. Alors on utilise le format du petit chef d'oeuvre littéraire de Dickens pour foutre une morale hyper-simpliste façon "c'est pas bien de se taper toutes les gonzesses sans tenir compte de leurs sentiments parce qu'en plus rien n'est plus beau que le mariage et de se jurer fidèlité!". C'est d'une crétinerie incroyable, lénifiante, pitoyable. La seule chose que cela donne envie de faire c'est de se jeter sur tout ce qui est majeur, agréable à regarder et féminin (et/ou masculin c'est selon!). Encore si les acteurs avaient été bons, mais non. Dire que Matthew McConaughey n'est pas du tout convaincant en Don Juan est un euphémisme. Si lui a la séduction et le talent pour interpréter ce type de rôle alors le regretté Paul le Poulpe à côté c'est Cary Grant et George Clooney réunis. Michael Douglas et Jennifer Garner étant platement dirigés, rien ne vient sauver le film au niveau de l'interprétation. Ajoutons à cela des rebondissements scénaristiques et un rythme minables, et vous avez un film totalement nul. Dans le genre "Don Juan qui s'aperçoit du vide de son existence", regardez plutôt le beaucoup plus subtil et intelligent "Alfie" avec l'excellent Michael Caine.
Charles Dickens est, après William Shakespeare, l'auteur le plus adapté au cinéma en très très grande partie grâce à son "Chant de Noël". Ce dernier a donné lieu à du bon, à du moyen, à du mauvais, à du très mauvais et à du méga-mauvais. Ce film fait partie de cette dernière catégorie. Alors on utilise le format du petit chef d'oeuvre littéraire de Dickens pour foutre une morale hyper-simpliste façon "c'est pas bien de se taper toutes les gonzesses sans tenir compte de leurs sentiments parce qu'en plus rien n'est plus beau que le mariage et de se jurer fidèlité!". C'est d'une crétinerie incroyable, lénifiante, pitoyable. La seule chose que cela donne envie de faire c'est de se jeter sur tout ce qui est majeur, agréable à regarder et féminin (et/ou masculin c'est selon!). Encore si les acteurs avaient été bons, mais non. Dire que Matthew McConaughey n'est pas du tout convaincant en Don Juan est un euphémisme. Si lui a la séduction et le talent pour interpréter ce type de rôle alors le regretté Paul le Poulpe à côté c'est Cary Grant et George Clooney réunis. Michael Douglas et Jennifer Garner étant platement dirigés, rien ne vient sauver le film au niveau de l'interprétation. Ajoutons à cela des rebondissements scénaristiques et un rythme minables, et vous avez un film totalement nul. Dans le genre "Don Juan qui s'aperçoit du vide de son existence", regardez plutôt le beaucoup plus subtil et intelligent "Alfie" avec l'excellent Michael Caine.
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Film qui m'a bouleversée et basée sur la plus grande erreur judiciaire des usa. Ce film qui soulève les pbs de racisme egalement est tiré d"une histoire vraie. A voir absolument. c'est un chef d'oeuvre
Film qui m'a bouleversée et basée sur la plus grande erreur judiciaire des usa. Ce film qui soulève les pbs de racisme egalement est tiré d"une histoire vraie. A voir absolument. c'est un chef d'oeuvre
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1,223
Un film d'épouvante très reussis malgré le très faible budget. Une angoisse mélée à un humoir noir très présent bien réussi. Des scenes glauques, stressantes, effrayantes et surtout originales. Tout le long du film se déroule sur une et même route, pas beaucoup de lenteur si on decide d'écouter les dialogue interressant des personnages. Le film est accompagné d'une bande son qui nous met dans l'ambiance macabre avec un décors de la foret particulièrement effrayant, les personnages se retrouvent confrontés à une situations de plus en plus frissonnante, beaucoup de scenes sont suggerées mais ça nous laisse imaginé plusieurs chose qu'on a peut-etre pas envie de voir pour eviter la crise cardiaque si on est âme sensible. Un element qui nous rappel aussi une legende urbaine que l'on se raconte lors de notre enfance pour s'effrayer: une femme en blanc sur le bord d'une route que les personnages prennent en auto-stop, cet element nous fait penser sans aucun doute à la "Dame Blanche" et c'est à partir de là que notre inquietude, notre peur et notre stresse s'installent. Très bien réussie, merci à J.B Andrea et à Fabrice Canepa pour cette perle qui est sans doute un des meilleurs film d'épouvante de sa generation pour son angoisse et son frisson non-stop et un twist final qui nous impressionne surtout si on revoit le film afin de voir plusieurs petites choses qui ont vraiment un rapport avec la fin. Et surtout, je vous conseille vivement de regarder les scenes coupées si vous avez le DVD car ils sont très très interressant et nous dévoile beaucoup de choses interressantes. 5/5
Un film d'épouvante très reussis malgré le très faible budget. Une angoisse mélée à un humoir noir très présent bien réussi. Des scenes glauques, stressantes, effrayantes et surtout originales. Tout le long du film se déroule sur une et même route, pas beaucoup de lenteur si on decide d'écouter les dialogue interressant des personnages. Le film est accompagné d'une bande son qui nous met dans l'ambiance macabre avec un décors de la foret particulièrement effrayant, les personnages se retrouvent confrontés à une situations de plus en plus frissonnante, beaucoup de scenes sont suggerées mais ça nous laisse imaginé plusieurs chose qu'on a peut-etre pas envie de voir pour eviter la crise cardiaque si on est âme sensible. Un element qui nous rappel aussi une legende urbaine que l'on se raconte lors de notre enfance pour s'effrayer: une femme en blanc sur le bord d'une route que les personnages prennent en auto-stop, cet element nous fait penser sans aucun doute à la "Dame Blanche" et c'est à partir de là que notre inquietude, notre peur et notre stresse s'installent. Très bien réussie, merci à J.B Andrea et à Fabrice Canepa pour cette perle qui est sans doute un des meilleurs film d'épouvante de sa generation pour son angoisse et son frisson non-stop et un twist final qui nous impressionne surtout si on revoit le film afin de voir plusieurs petites choses qui ont vraiment un rapport avec la fin. Et surtout, je vous conseille vivement de regarder les scenes coupées si vous avez le DVD car ils sont très très interressant et nous dévoile beaucoup de choses interressantes. 5/5
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Un film d'une époque révolue mais qui a le mérite de toucher encore la trentenaire que je suis. Je ne me lasse jamais de le revoir même si avec presque 20 ans de plus, je trouve le couple Lindon-Marceau assez improbable (physiquement parlant). Mais bravo pour le jeu d'acteurs!
Un film d'une époque révolue mais qui a le mérite de toucher encore la trentenaire que je suis. Je ne me lasse jamais de le revoir même si avec presque 20 ans de plus, je trouve le couple Lindon-Marceau assez improbable (physiquement parlant). Mais bravo pour le jeu d'acteurs!
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J'ai vu que ce film allais passer sur NRJ12 (En même temps cette chaîne n'est pas vraiment réputée pour passer de bon films) et je me suis vu retourner 8 ans en arrière, quand on à du aller voir ce navet au ciné par un jour de mauvais temps en vacances. Franchement se jour là on aurais mieux fait d'aller se baigner sous la pluie. Dans mes souvenirs c'était: Un jeux d'acteur à la limite d'un spectacle d'écoliers et des décors tiré d'une série B des années 50. C'est le seul film qui m'a autant marqué (8 ans et je m'en souviens encore) par sa piètre performance.
J'ai vu que ce film allais passer sur NRJ12 (En même temps cette chaîne n'est pas vraiment réputée pour passer de bon films) et je me suis vu retourner 8 ans en arrière, quand on à du aller voir ce navet au ciné par un jour de mauvais temps en vacances. Franchement se jour là on aurais mieux fait d'aller se baigner sous la pluie. Dans mes souvenirs c'était: Un jeux d'acteur à la limite d'un spectacle d'écoliers et des décors tiré d'une série B des années 50. C'est le seul film qui m'a autant marqué (8 ans et je m'en souviens encore) par sa piètre performance.
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Malgré quelques bonnes intentions de mise en scène, cette énième copycat du fameux Jack matinée à la Hitchcock ne convainc jamais tant son déroulement est tiré par les cheveux !
Malgré quelques bonnes intentions de mise en scène, cette énième copycat du fameux Jack matinée à la Hitchcock ne convainc jamais tant son déroulement est tiré par les cheveux !
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Inégale,voilà comment est ce film.Un acteur principal qui se débrouille bien,mais les acteurs secondaires sont eux très moyens,pour ne pas dire mauvais.La réalisation est correcte,certains plans étant exellent et meme quelques rares fois superbes,mais l'ensemble de la réalisation demeure moyenne.L'histoire est intéressante mais pas non plus exellente,mais un événement innatendu du film en fait repartir l'intéret en cours de route.Un thriller moyen donc,avec quelques bons moments mais globalement décevant.
Inégale,voilà comment est ce film.Un acteur principal qui se débrouille bien,mais les acteurs secondaires sont eux très moyens,pour ne pas dire mauvais.La réalisation est correcte,certains plans étant exellent et meme quelques rares fois superbes,mais l'ensemble de la réalisation demeure moyenne.L'histoire est intéressante mais pas non plus exellente,mais un événement innatendu du film en fait repartir l'intéret en cours de route.Un thriller moyen donc,avec quelques bons moments mais globalement décevant.
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Comment ? Je suis seulement le troisième à écrire une critique de ce film...Bud Spencer sans barbe et baston, Van cleef en moitié de clochard sympathique, un bon scénario, une bonne ambiance qui évolue, un vrai salopard qui joue d'ailleurs dans "Le coup du parapluie", y'a aussile mec qui jouait le valet dans "L'amour du risque"...Y'a pas que le bon, la brute... on le trouve en dvd...du tout bon...
Comment ? Je suis seulement le troisième à écrire une critique de ce film...Bud Spencer sans barbe et baston, Van cleef en moitié de clochard sympathique, un bon scénario, une bonne ambiance qui évolue, un vrai salopard qui joue d'ailleurs dans "Le coup du parapluie", y'a aussile mec qui jouait le valet dans "L'amour du risque"...Y'a pas que le bon, la brute... on le trouve en dvd...du tout bon...
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QUELLE BELLE SURPRISE "I AM A MOTHER" !!! Un film qui ravira les amateurs de S.F. qui ont trop souvent été déçus par la médiocrité d'autres films du genre. Une excellente réflexion sur les Intelligences Artificielles et notre propre humanité. "I Am A Mother" aurait pu être un préquel de "Terminator". Un très bon film à ne pas rater. Enfin, c'est mon avis.
QUELLE BELLE SURPRISE "I AM A MOTHER" !!! Un film qui ravira les amateurs de S.F. qui ont trop souvent été déçus par la médiocrité d'autres films du genre. Une excellente réflexion sur les Intelligences Artificielles et notre propre humanité. "I Am A Mother" aurait pu être un préquel de "Terminator". Un très bon film à ne pas rater. Enfin, c'est mon avis.
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trés bon film de parker qui maîtrise bien son sujet sans tomber dans le pateux larmoyant americano politico correcte comme savent le faire els productions américaines traitant les sujets de racisme comme le pire film à ce sujet amercan history X
trés bon film de parker qui maîtrise bien son sujet sans tomber dans le pateux larmoyant americano politico correcte comme savent le faire els productions américaines traitant les sujets de racisme comme le pire film à ce sujet amercan history X
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Je trouve fort dommage que la plupart des films contiennent maintenant des scène qui se passent au lit. Pour une comédie on se retrouve perdu entre film pour ado, adulte et porno. Il y a pas mal de propos et actes sexistes, ce qui peut être compréhensible au vu de l'âge des acteurs, mais en 2019, je pense que l'on peut évoluer et sortir du stade de l'homme préhistorique, Je vous mentirai si je ne vous disais pas que je pense avoir perdu 2 heures de mon existence pour une pseudo-comédie. Je donne donc une étoile et demi à ce film et l'étoile je la donne pour le temps passé à la production et à la réalisation de ce film qui ne mérite qu'une demi-étoile.
Je trouve fort dommage que la plupart des films contiennent maintenant des scène qui se passent au lit. Pour une comédie on se retrouve perdu entre film pour ado, adulte et porno. Il y a pas mal de propos et actes sexistes, ce qui peut être compréhensible au vu de l'âge des acteurs, mais en 2019, je pense que l'on peut évoluer et sortir du stade de l'homme préhistorique, Je vous mentirai si je ne vous disais pas que je pense avoir perdu 2 heures de mon existence pour une pseudo-comédie. Je donne donc une étoile et demi à ce film et l'étoile je la donne pour le temps passé à la production et à la réalisation de ce film qui ne mérite qu'une demi-étoile.
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Parfait final de cette trilogie bien construite techniquement et scénaristiquement. Une excellente conclusion dialoguée qu'une suite commerciale douteuse et sans intérêt réduirait à néant : - Tu relâcheras les prisonniers comme tu en as donné ta parole - Bien sûr, tu me prends pour un Humain !!! Tout a été dit.
Parfait final de cette trilogie bien construite techniquement et scénaristiquement. Une excellente conclusion dialoguée qu'une suite commerciale douteuse et sans intérêt réduirait à néant : - Tu relâcheras les prisonniers comme tu en as donné ta parole - Bien sûr, tu me prends pour un Humain !!! Tout a été dit.
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une étoile c'est tout ce qu'il mérite. un film d'horreur pas très bon malgré quelques scènes marrante. les zombie sont bien fait mais l'histoire ne tient pas la route, bref "cerveauuuu"!!!
une étoile c'est tout ce qu'il mérite. un film d'horreur pas très bon malgré quelques scènes marrante. les zombie sont bien fait mais l'histoire ne tient pas la route, bref "cerveauuuu"!!!
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c est un téléfilm de l'aprés midi,donc pour un téléfilm cela se regarde!
c est un téléfilm de l'aprés midi,donc pour un téléfilm cela se regarde!
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mal filmé, mal joué, mal écrit, mal éclairé. On ne comprend rien, on perd notre temps à contempler une vie de famille sans aucun intérêt (et qui prend la moitié du film, autant vous dire que l'on s'ennuie ferme) Le réalisateur n'a pas compris l’intérêt de son personnage. Il a cru que la tronche de Michael Shannon suffirait. A aucun moment le réalisateur ne parvient à capter la tension qui doit peser à la situation.
mal filmé, mal joué, mal écrit, mal éclairé. On ne comprend rien, on perd notre temps à contempler une vie de famille sans aucun intérêt (et qui prend la moitié du film, autant vous dire que l'on s'ennuie ferme) Le réalisateur n'a pas compris l’intérêt de son personnage. Il a cru que la tronche de Michael Shannon suffirait. A aucun moment le réalisateur ne parvient à capter la tension qui doit peser à la situation.
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Scénario original au départ : faire le tour du monde avec 5 sous en poche. D'où une suite d'aventures plus ou moins bienvenues avec Fernandel en héros. C'est donc une suite de sketches qui se veulent drôles mais qui ne le sont pas toujours. Cela a beaucoup vieilli, d'autant que la réalisation est plutôt plate (à part la course à vélo, à la fin du film). Film d'acteurs. A voir pour Fernandel.
Scénario original au départ : faire le tour du monde avec 5 sous en poche. D'où une suite d'aventures plus ou moins bienvenues avec Fernandel en héros. C'est donc une suite de sketches qui se veulent drôles mais qui ne le sont pas toujours. Cela a beaucoup vieilli, d'autant que la réalisation est plutôt plate (à part la course à vélo, à la fin du film). Film d'acteurs. A voir pour Fernandel.
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Une fois de plus Clint Eastwood fait mouche avec ce Western des temps modernes. Du grand Clint...
Une fois de plus Clint Eastwood fait mouche avec ce Western des temps modernes. Du grand Clint...
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C'est vrai qu'il y a des similitudes au cube mais contrairement au cube la on apprend rien sur leur captivité ce qui est dommage car au final on se retrouve avec un film assez mou même si on s'ennuie pas vraiment mais on a l'impression que les scénariste n'avaient déjà plus d"idée pour terminer ce film car on peut pas vraiment se satisfaire d'une fin pareil. Avec plus de monde et un avancement rapide de pièce en pièce on aurait pu avoir un meilleur film parce que le monologue du mec pendant la 1ere partie avec "ses gars" est vraiment énervant.
C'est vrai qu'il y a des similitudes au cube mais contrairement au cube la on apprend rien sur leur captivité ce qui est dommage car au final on se retrouve avec un film assez mou même si on s'ennuie pas vraiment mais on a l'impression que les scénariste n'avaient déjà plus d"idée pour terminer ce film car on peut pas vraiment se satisfaire d'une fin pareil. Avec plus de monde et un avancement rapide de pièce en pièce on aurait pu avoir un meilleur film parce que le monologue du mec pendant la 1ere partie avec "ses gars" est vraiment énervant.
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Sur le thème du suicide chez des adolescents, "Everything is fine" est assez loin de valoir une référence-chef-d'oeuvre comme "Virgin suicides". Le premier film de Yves Christian Fournier est certes assez bien réaliste mais il ne parvient pas à être très émouvant. Si l'histoire s'inspire de ce qu'a connu personnellement le réalisateur il n'empêche qu'il est frustrant et qu'on peut lui reprocher de ne pas dévoiler la raison qui a poussé ce groupe de 5 amis à vouloir se suicider. D'autant plus que ça nuit à la crédibilité en laissant l'impression que cet acte collectif simultané est un peu trop gros pour être vrai. L'explication est clairement donnée que pour un seul des suicidés(mais de là à ce que ça va jusqu'à entraîner les autres on n'y croit pas) et elle est réduite au silence lors de la diffusion des vidéos qui peuvent la révéler à la fin alors qu'elle est pourtant amenée avec du suspense; ce qui peut avoir comme effet de décevoir le spectateur. Dans "Virgin Suicides" l'explication n'est certes pas non plus directement donnée mais à l'inverse on peut imaginer beaucoup mieux ce qui a poussé les suicides alors que dans "Tout est parfait" la vie de ces ados est peut-être plate comme le dit le père de Thomas mais dans tous les flashbacks on ne voit quasiment pas du tout le mal-être au sein du groupe d'amis qui sont bien liés entre eux(même pas par exemple une dépression de l'ex-petit ami de Mia). Il aurait été plus intéressant de voir le film plonger bien plus en profondeur dans ce qui a amené le drame que de s'appesantir un peu trop sur les conséquences que cela a eu sur Josh dont le comportement est montré de façon un peu trop répétitive car on reste un peu sur la faim en prenant une histoire en cours de route dont il nous manque le début,l'origine. Il y a donc une carence évidente en terme de psychologie à l'image de "Paranoid Park" de Gus Van Sant avec lequel il y a une ressemblance sur la réalisation.
Sur le thème du suicide chez des adolescents, "Everything is fine" est assez loin de valoir une référence-chef-d'oeuvre comme "Virgin suicides". Le premier film de Yves Christian Fournier est certes assez bien réaliste mais il ne parvient pas à être très émouvant. Si l'histoire s'inspire de ce qu'a connu personnellement le réalisateur il n'empêche qu'il est frustrant et qu'on peut lui reprocher de ne pas dévoiler la raison qui a poussé ce groupe de 5 amis à vouloir se suicider. D'autant plus que ça nuit à la crédibilité en laissant l'impression que cet acte collectif simultané est un peu trop gros pour être vrai. L'explication est clairement donnée que pour un seul des suicidés(mais de là à ce que ça va jusqu'à entraîner les autres on n'y croit pas) et elle est réduite au silence lors de la diffusion des vidéos qui peuvent la révéler à la fin alors qu'elle est pourtant amenée avec du suspense; ce qui peut avoir comme effet de décevoir le spectateur. Dans "Virgin Suicides" l'explication n'est certes pas non plus directement donnée mais à l'inverse on peut imaginer beaucoup mieux ce qui a poussé les suicides alors que dans "Tout est parfait" la vie de ces ados est peut-être plate comme le dit le père de Thomas mais dans tous les flashbacks on ne voit quasiment pas du tout le mal-être au sein du groupe d'amis qui sont bien liés entre eux(même pas par exemple une dépression de l'ex-petit ami de Mia). Il aurait été plus intéressant de voir le film plonger bien plus en profondeur dans ce qui a amené le drame que de s'appesantir un peu trop sur les conséquences que cela a eu sur Josh dont le comportement est montré de façon un peu trop répétitive car on reste un peu sur la faim en prenant une histoire en cours de route dont il nous manque le début,l'origine. Il y a donc une carence évidente en terme de psychologie à l'image de "Paranoid Park" de Gus Van Sant avec lequel il y a une ressemblance sur la réalisation.
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très déçue par ce (télé)film, le seul personnage intéressant c'est Marseille... l'idée de départ est bonne, ça pourrait être intéressant mais j'ai décroché assez vite, à quoi ça tient ? trop de naïveté dans le propos peut être, on ne croit pas à l'histoire... en principe il s'agit d'un crime et dans ce cas comment imaginer qu'en retirant une plainte le voleur pourrait sortir de prison ? dans le film, on sent presque un regret que ce ne soit pas possible... dans quelle société vivrait on ? il suffirait de faire pression sur les victimes et les voleurs pourraient retrouver une vie normale de rapine et d'extorsion ??
très déçue par ce (télé)film, le seul personnage intéressant c'est Marseille... l'idée de départ est bonne, ça pourrait être intéressant mais j'ai décroché assez vite, à quoi ça tient ? trop de naïveté dans le propos peut être, on ne croit pas à l'histoire... en principe il s'agit d'un crime et dans ce cas comment imaginer qu'en retirant une plainte le voleur pourrait sortir de prison ? dans le film, on sent presque un regret que ce ne soit pas possible... dans quelle société vivrait on ? il suffirait de faire pression sur les victimes et les voleurs pourraient retrouver une vie normale de rapine et d'extorsion ??
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1,241
Entre 2 matches de coupe du monde, j'ai trouvé le temps d'aller au cinéma, et je ne l'ai pas regretté... Interrail est un film très fin, qui ne tombe dans aucun des poncifs du teen-movie ou du road-movie... loin des problématiques artificielles façon "Les affamés" (je n'ai pas vu le film, je ne veux pas trop en parler, mais la jeunesse qui se met en grève, ça fait un peu fabriqué), le regard porté sur la jeunesse est constamment juste, peut-être parce que la réalisatrice a 25 ans ! On est en plein dans la génération Y, ultra connectée, mais qui n'en fait pas une affaire (c'est juste là, comme l'air qu'on respire), et ce qui frappe pourtant, c'est la profonde nostalgie qui se dégage du film, comme si cette génération avait intériorisé, avec un peu de fatalité mâtiné d'un fond de tristesse, la fin de cet âge d'or (le plus "bel" de la vie ?), l'imminence des difficultés à venir. Rien n'est manichéen, rien n'est définitif, que ce soit dans le rapports amoureux, d'amitié, tout est subtil et dosé, authentique - autant que peut en juger quelqu'un dont les 20 ans sont bien loin :-)
Entre 2 matches de coupe du monde, j'ai trouvé le temps d'aller au cinéma, et je ne l'ai pas regretté... Interrail est un film très fin, qui ne tombe dans aucun des poncifs du teen-movie ou du road-movie... loin des problématiques artificielles façon "Les affamés" (je n'ai pas vu le film, je ne veux pas trop en parler, mais la jeunesse qui se met en grève, ça fait un peu fabriqué), le regard porté sur la jeunesse est constamment juste, peut-être parce que la réalisatrice a 25 ans ! On est en plein dans la génération Y, ultra connectée, mais qui n'en fait pas une affaire (c'est juste là, comme l'air qu'on respire), et ce qui frappe pourtant, c'est la profonde nostalgie qui se dégage du film, comme si cette génération avait intériorisé, avec un peu de fatalité mâtiné d'un fond de tristesse, la fin de cet âge d'or (le plus "bel" de la vie ?), l'imminence des difficultés à venir. Rien n'est manichéen, rien n'est définitif, que ce soit dans le rapports amoureux, d'amitié, tout est subtil et dosé, authentique - autant que peut en juger quelqu'un dont les 20 ans sont bien loin :-)
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Aujourd'hui, si vous dites que vous aimez Bruno Dumont, vous vous faites bien voir : c'est intello, austère, ça se la joue "underground", c'est soi-disant dérangeant (sex and violence please)... Bref, vous passez pour un cinéphile averti, qui plus est en phase avec son époque, ouvert à un cinéma jeune et indépendant. La grande classe ! Alors, par curiosité, j'ai été emprunter à la médiathèque "TwentyNine Palms" : sélectionné à la Mostra de Venise, un peu barge sur les bords, je me dis que cela devrait me convenir. Que nenni ! Franchement, que voulez vous que je dise à propos d'un long-métrage puant l'auto-satisfaction du début à la fin ? Quel commentaire y-a-t-il à faire à propos d'un cinéaste se paluchant sans cesse, tant intellectuellement que physiquement ? Apparemment, le réalisateur a une libido, ça tombe bien nous aussi. Il a décidé de nous la faire partager : un peu exhib' comme démarche mais disons que l'art sert à dévoiler ses pulsions et peut être perçu comme un échappatoire à la vie réelle où l'on y développe tout ce qui est tabou... Donc à la limite, j'accepte le point de départ. A l'inverse, cela ne me plaît pas du tout d'assister à un long-métrage se dévoilant à un rythme d'escargot, où absolument rien ne se passe, où les personnages sont des caricatures, le romantisme (macabre) gnangan, les scènes caricaturales, le propos outrancier... Ca baise, ça se regarde un petit quart d'heure, ça re-baise... Oh, on voit un pénis qui se raidit, oulala un couple en pleine action avec gros plan sur les féfesses et les testicules qui dépassent. Mais que voulez-vous, c'est de l'art ! Même si les râles sont ridicules, même si les personnages en viennent presque à pleurer lorsqu'ils jouissent... "TwentyNine Palms" ressemble à l'image populaire simplette des films d'art et essai, où on s'emmerde profondément du début à la fin et où l'auteur (satisfaisant par ailleurs ses fantasmes non-avoués) regarde de façon méprisante son public, convaincu de sa supériorité à la noix.
Aujourd'hui, si vous dites que vous aimez Bruno Dumont, vous vous faites bien voir : c'est intello, austère, ça se la joue "underground", c'est soi-disant dérangeant (sex and violence please)... Bref, vous passez pour un cinéphile averti, qui plus est en phase avec son époque, ouvert à un cinéma jeune et indépendant. La grande classe ! Alors, par curiosité, j'ai été emprunter à la médiathèque "TwentyNine Palms" : sélectionné à la Mostra de Venise, un peu barge sur les bords, je me dis que cela devrait me convenir. Que nenni ! Franchement, que voulez vous que je dise à propos d'un long-métrage puant l'auto-satisfaction du début à la fin ? Quel commentaire y-a-t-il à faire à propos d'un cinéaste se paluchant sans cesse, tant intellectuellement que physiquement ? Apparemment, le réalisateur a une libido, ça tombe bien nous aussi. Il a décidé de nous la faire partager : un peu exhib' comme démarche mais disons que l'art sert à dévoiler ses pulsions et peut être perçu comme un échappatoire à la vie réelle où l'on y développe tout ce qui est tabou... Donc à la limite, j'accepte le point de départ. A l'inverse, cela ne me plaît pas du tout d'assister à un long-métrage se dévoilant à un rythme d'escargot, où absolument rien ne se passe, où les personnages sont des caricatures, le romantisme (macabre) gnangan, les scènes caricaturales, le propos outrancier... Ca baise, ça se regarde un petit quart d'heure, ça re-baise... Oh, on voit un pénis qui se raidit, oulala un couple en pleine action avec gros plan sur les féfesses et les testicules qui dépassent. Mais que voulez-vous, c'est de l'art ! Même si les râles sont ridicules, même si les personnages en viennent presque à pleurer lorsqu'ils jouissent... "TwentyNine Palms" ressemble à l'image populaire simplette des films d'art et essai, où on s'emmerde profondément du début à la fin et où l'auteur (satisfaisant par ailleurs ses fantasmes non-avoués) regarde de façon méprisante son public, convaincu de sa supériorité à la noix.
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Le cinéma Israélien s’offre depuis peu une belle percée sur les écrans du monde. Après l’insolent et fulminant « The bubble » d’Ethan Fox en juillet dernier, arrive « Les méduses » qui a reçu la Caméra d’Or à Cannes. Il serait difficile de comparer les deux puisque la démarche cinématographique est fondamentalement différente. Le premier s’ancre dramatiquement dans la dure réalité du pays. Celui-ci nous propose plutôt une vision décalée, hors du temps, s’attachant à la solitude de personnages qui évoluent en destins croisés. Sorte de film choral à quatre groupes, l’intérêt réside sur la portée psychologique de chacun. Le film est d’une fluidité presque aquatique tant la mise en scène se veut suave. Des décors hors saison, des prises de vues feutrées tout contribue à mettre en évidence le destin entre parenthèses des ces femmes et du couple. D’un passé douloureux à un avenir incertain, chacun se cherche et sous cette apparente naïveté la parabole d’un pays en devenir en devient évidente. Avec très peu d’effets, les réalisateurs frappent fort et délivrent un message teinté d’un pertinent espoir optimiste. Un excellent film à découvrir interprété par des acteurs en état de grâce.
Le cinéma Israélien s’offre depuis peu une belle percée sur les écrans du monde. Après l’insolent et fulminant « The bubble » d’Ethan Fox en juillet dernier, arrive « Les méduses » qui a reçu la Caméra d’Or à Cannes. Il serait difficile de comparer les deux puisque la démarche cinématographique est fondamentalement différente. Le premier s’ancre dramatiquement dans la dure réalité du pays. Celui-ci nous propose plutôt une vision décalée, hors du temps, s’attachant à la solitude de personnages qui évoluent en destins croisés. Sorte de film choral à quatre groupes, l’intérêt réside sur la portée psychologique de chacun. Le film est d’une fluidité presque aquatique tant la mise en scène se veut suave. Des décors hors saison, des prises de vues feutrées tout contribue à mettre en évidence le destin entre parenthèses des ces femmes et du couple. D’un passé douloureux à un avenir incertain, chacun se cherche et sous cette apparente naïveté la parabole d’un pays en devenir en devient évidente. Avec très peu d’effets, les réalisateurs frappent fort et délivrent un message teinté d’un pertinent espoir optimiste. Un excellent film à découvrir interprété par des acteurs en état de grâce.
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Lynch nous fais du Lynch, malheureusement la sauce n'a pas la même saveur que dans la série. Les intentions de du show télé ne trouvent pas leurs place dans ce long métrage qui est bien long d'ailleurs. Presque inutile, l'histoire n'apporte pas grand chose, les acteurs sont essoufflés et la réalisation bloquée dans une autre dimension. Il y avait surement mieux à faire, surement une saison 3 plutôt qu'un film four tous.
Lynch nous fais du Lynch, malheureusement la sauce n'a pas la même saveur que dans la série. Les intentions de du show télé ne trouvent pas leurs place dans ce long métrage qui est bien long d'ailleurs. Presque inutile, l'histoire n'apporte pas grand chose, les acteurs sont essoufflés et la réalisation bloquée dans une autre dimension. Il y avait surement mieux à faire, surement une saison 3 plutôt qu'un film four tous.
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1,245
Avant, j'aimais bien les films Marvel... Mais ça, c'était avant. Alors OK : c'était en VF et la connasse allumant son portable toutes les cinq minutes juste devant moi n'a pas aidé. Mais quand même ! Pourtant j'y croyais avec la nomination d'Alan Taylor, l'un des piliers de l'immense « Game of Thrones » : peine perdue. On sent qu'il y a un budget colossal, mais on ne fait que le sentir tant celui-ci n'apporte rien au plaisir, ni pour les scènes d'action, ni pour l'immersion, à peine pour les décors, pourtant très imposants. De plus, si le scénario est rarement le point fort dans ces productions, il a en général le mérite d'être solide. Ce n'est même pas le cas ici, n'ayant pratiquement rien compris aux divers enjeux et motivations des uns et des autres, perdus dans un déluge d'effets visuels rarement maîtrisés et finalement peu excitants. Je ne me suis pas vraiment ennuyé (enfin, un peu quand même), c'est juste que j'en avais légèrement rien à foutre de qui allait triompher de cette « guerre ancestrale » aux méchants quasi-transparents (Loki excepté) et à la subtilité plus que relative. C'était bien la peine de mobiliser un casting quatre étoiles d'ailleurs en petite forme (ma Natalie chérie exceptée), si ce n'est pour un léger second degré et quelques auto-références sympas, dont un twist final savoureux et les habituels bonus post-génériques. Trop peu pour rendre « Thor : Le Monde des ténèbres » attrayant, assurément la plus faible adaptation Marvel que j'ai eu l'occasion de voir.
Avant, j'aimais bien les films Marvel... Mais ça, c'était avant. Alors OK : c'était en VF et la connasse allumant son portable toutes les cinq minutes juste devant moi n'a pas aidé. Mais quand même ! Pourtant j'y croyais avec la nomination d'Alan Taylor, l'un des piliers de l'immense « Game of Thrones » : peine perdue. On sent qu'il y a un budget colossal, mais on ne fait que le sentir tant celui-ci n'apporte rien au plaisir, ni pour les scènes d'action, ni pour l'immersion, à peine pour les décors, pourtant très imposants. De plus, si le scénario est rarement le point fort dans ces productions, il a en général le mérite d'être solide. Ce n'est même pas le cas ici, n'ayant pratiquement rien compris aux divers enjeux et motivations des uns et des autres, perdus dans un déluge d'effets visuels rarement maîtrisés et finalement peu excitants. Je ne me suis pas vraiment ennuyé (enfin, un peu quand même), c'est juste que j'en avais légèrement rien à foutre de qui allait triompher de cette « guerre ancestrale » aux méchants quasi-transparents (Loki excepté) et à la subtilité plus que relative. C'était bien la peine de mobiliser un casting quatre étoiles d'ailleurs en petite forme (ma Natalie chérie exceptée), si ce n'est pour un léger second degré et quelques auto-références sympas, dont un twist final savoureux et les habituels bonus post-génériques. Trop peu pour rendre « Thor : Le Monde des ténèbres » attrayant, assurément la plus faible adaptation Marvel que j'ai eu l'occasion de voir.
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Ce film historique est très bien. La réalisation et l'interprétation sont soignées. Les deux acteurs principaux sont parfaits. L'ensemble est intéressant et instructif. A voir.
Ce film historique est très bien. La réalisation et l'interprétation sont soignées. Les deux acteurs principaux sont parfaits. L'ensemble est intéressant et instructif. A voir.
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1,247
Cry baby est mieux, c'est sûr. Mais Hairspray reste, pour moi qui adore le Rock'n Roll, une belle référence. Le scénario est simplissime, n'y cherchez pas de rebondissements spectaculaires. Mais l'esprit John Waters et les présences de Sonny Bono et de Deborah Harry suffisent à donner du relief au fim. Ma scène préférée demeure la rencontre entre les héros et les beatniks de 63 ... certains passages de Kérouac me sont immédiatement revenus en tête.
Cry baby est mieux, c'est sûr. Mais Hairspray reste, pour moi qui adore le Rock'n Roll, une belle référence. Le scénario est simplissime, n'y cherchez pas de rebondissements spectaculaires. Mais l'esprit John Waters et les présences de Sonny Bono et de Deborah Harry suffisent à donner du relief au fim. Ma scène préférée demeure la rencontre entre les héros et les beatniks de 63 ... certains passages de Kérouac me sont immédiatement revenus en tête.
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Bon film d'aventure, réussi.
Bon film d'aventure, réussi.
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Un film vide, mal interprété, rempli de blancs dans les dialogues et sans histoire.
Un film vide, mal interprété, rempli de blancs dans les dialogues et sans histoire.
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1,250
une belle surprise que ce film scandinave qui évoque la vie peu ordinaire d'une bande de seniors qui ont la patate ! plein de sensibilité, d'humour, de finesse… je conseille vivement à toutes les générations d'y aller, cela fait voyager avec les yeux et avec le cerveau.
une belle surprise que ce film scandinave qui évoque la vie peu ordinaire d'une bande de seniors qui ont la patate ! plein de sensibilité, d'humour, de finesse… je conseille vivement à toutes les générations d'y aller, cela fait voyager avec les yeux et avec le cerveau.
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1,251
J'ai commencé à entrer doucement dans le film en espérant avoir une sorte de 300 sauce médiévale. Et ça partait très bien : une teinte bichromatique et de l'hémoglobine comme il en fallait pour planter l'ambiance. Tout ça jusqu'à ce que ça dérive vers le nawak le plus pur. Malgré la prestation de l'acteur principal (dont on a peine à croire que pareille coupe de cheveux était réglementaire à l'époque), j'ai décroché après 3/4 d'heure (je m'en suis surpris moi même). Le scénario indigent et les scènes trop artificielles ont perdu ce film qui aurait pu, et même dû, obtenir un réel succès. Mais voilà, on sent qu'il n'y avait pas de capitaine à la barre de la réalisation ou que celui-ci était là en intérim car tout retombe à plat rapidement et s'enlise dans l'incongruité la plus totale. En définitive, un film qui promettait énormément et qui de fait de son ratage fait place à pas mal de déception.
J'ai commencé à entrer doucement dans le film en espérant avoir une sorte de 300 sauce médiévale. Et ça partait très bien : une teinte bichromatique et de l'hémoglobine comme il en fallait pour planter l'ambiance. Tout ça jusqu'à ce que ça dérive vers le nawak le plus pur. Malgré la prestation de l'acteur principal (dont on a peine à croire que pareille coupe de cheveux était réglementaire à l'époque), j'ai décroché après 3/4 d'heure (je m'en suis surpris moi même). Le scénario indigent et les scènes trop artificielles ont perdu ce film qui aurait pu, et même dû, obtenir un réel succès. Mais voilà, on sent qu'il n'y avait pas de capitaine à la barre de la réalisation ou que celui-ci était là en intérim car tout retombe à plat rapidement et s'enlise dans l'incongruité la plus totale. En définitive, un film qui promettait énormément et qui de fait de son ratage fait place à pas mal de déception.
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1,252
6ème film de la saga, Le prince de sang-mêlé peut se diviser en 2 parties : la 1ère pour montrer les démons de l'adolescence et les prémices des 1ers amours, une 1ère partie sans grand intérêt, puis la 2ème qui se révèle magnifiquement intense pour terminer avec une force inégalé jusque là. Cela vaut vraiment le coup de tenir et de regarder le film jusqu'au bout. Bref : un film au finish magistral ! Grandiose !!
6ème film de la saga, Le prince de sang-mêlé peut se diviser en 2 parties : la 1ère pour montrer les démons de l'adolescence et les prémices des 1ers amours, une 1ère partie sans grand intérêt, puis la 2ème qui se révèle magnifiquement intense pour terminer avec une force inégalé jusque là. Cela vaut vraiment le coup de tenir et de regarder le film jusqu'au bout. Bref : un film au finish magistral ! Grandiose !!
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1,253
une véritable supercherie.
une véritable supercherie.
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1,254
C'est niais, attendu, sans surprise. Tout est lourdement souligné (voire surligné), déjà vu (pour tout dire, la filiation - en termes de qualité finale - avec les téléfilms produits par un grande chaine française très grand public - oui, celle-là ! - m'a traversé l'esprit deux ou trois fois durant la projection : rien de dérangeant, du lisse, du facile, du mignon. On se croirait presque dans une formidable série télé française, avec un ange gardien... et des bons sentiments. Pleins.)
C'est niais, attendu, sans surprise. Tout est lourdement souligné (voire surligné), déjà vu (pour tout dire, la filiation - en termes de qualité finale - avec les téléfilms produits par un grande chaine française très grand public - oui, celle-là ! - m'a traversé l'esprit deux ou trois fois durant la projection : rien de dérangeant, du lisse, du facile, du mignon. On se croirait presque dans une formidable série télé française, avec un ange gardien... et des bons sentiments. Pleins.)
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1,255
Une comédie romantique cousue de fil blanc, clichée et accumulant les scènes répétitives et les personnages caricaturaux (Bruno, la femme de ménage, la secrétaire). Petit coup de cœur néanmoins pour César Domboy qui réussit à tirer sa carte du jeu.
Une comédie romantique cousue de fil blanc, clichée et accumulant les scènes répétitives et les personnages caricaturaux (Bruno, la femme de ménage, la secrétaire). Petit coup de cœur néanmoins pour César Domboy qui réussit à tirer sa carte du jeu.
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Très bon thriller psychologique. On rentre très vite dans l'histoire avec le beau paysage de l'île et surtout les personnages secondaires qui sont excellents et montrent la particularité de leur communauté. Les deux actrices principales sont merveilleuses, surtout celle qui joue Dorothy et ses personnages multiples.
Très bon thriller psychologique. On rentre très vite dans l'histoire avec le beau paysage de l'île et surtout les personnages secondaires qui sont excellents et montrent la particularité de leur communauté. Les deux actrices principales sont merveilleuses, surtout celle qui joue Dorothy et ses personnages multiples.
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Moi qui adore toni collette , quelle déception! arf !!! Le lost in translation du pauvre , voilà l'impression que m'a laissé ce minable japanese story.
Moi qui adore toni collette , quelle déception! arf !!! Le lost in translation du pauvre , voilà l'impression que m'a laissé ce minable japanese story.
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Nul ! Un scénario prévisible, bourré d'incohérences énormes et de clichés plus gros les uns que les autres ! 1 étoiles quand même pour certaines corégraphies bien orchestrés mais rien de mieux !
Nul ! Un scénario prévisible, bourré d'incohérences énormes et de clichés plus gros les uns que les autres ! 1 étoiles quand même pour certaines corégraphies bien orchestrés mais rien de mieux !
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Liebmann raconte avec beaucoup de finesse l'histoire d'un homme poursuivi par son passé amoureux. Les acteurs sont formidables, la mise en scène audacieuse et quand on sait que tout ça a été fait avec 3 bouts de ficelle et un micro budget on tombe des nus ! Allez y vite, il est en ce moment au St André à Paris !
Liebmann raconte avec beaucoup de finesse l'histoire d'un homme poursuivi par son passé amoureux. Les acteurs sont formidables, la mise en scène audacieuse et quand on sait que tout ça a été fait avec 3 bouts de ficelle et un micro budget on tombe des nus ! Allez y vite, il est en ce moment au St André à Paris !
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Pour un film d'épouvante il n'y a rien d'épouvante ni horreur,pas une goutte de sang,je suis vraiment déçue !!!
Pour un film d'épouvante il n'y a rien d'épouvante ni horreur,pas une goutte de sang,je suis vraiment déçue !!!
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Des dialogues pitoyables, un scénario tiré par les cheveux; en général quand je n'ai pas aimé un film bien estimé par la critique je doute de moi-même mais pour ce qui est de ce film, je doute clairement de la critique.
Des dialogues pitoyables, un scénario tiré par les cheveux; en général quand je n'ai pas aimé un film bien estimé par la critique je doute de moi-même mais pour ce qui est de ce film, je doute clairement de la critique.
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L'affiche est hideuse, j'ai cru que c'était un film d'animation, le titre est peu raccoleur et pourtant allez voir ce film ! C'est une fiction proche d'un documentaire, et j'ai été extrêment touché. L'interprétation est excellente, Danis Tanovic a veillé à faire peu de prises, pour faire passer cette sincérité si rare, qui fait du cinéma un moment magique. Quelle patience dans cette famille, socialement misérable, face aux instances médicales. Quelle dignité !
L'affiche est hideuse, j'ai cru que c'était un film d'animation, le titre est peu raccoleur et pourtant allez voir ce film ! C'est une fiction proche d'un documentaire, et j'ai été extrêment touché. L'interprétation est excellente, Danis Tanovic a veillé à faire peu de prises, pour faire passer cette sincérité si rare, qui fait du cinéma un moment magique. Quelle patience dans cette famille, socialement misérable, face aux instances médicales. Quelle dignité !
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même si j'adore Fernandel et que son sourire et sa bonne humeur son communicatif le film n'est pas bon . on s'ennuie vite et puis il y a quelque incohérence scénaristique. Le film ma fait sourire à quelque reprise mais rire non pas du tout c'est dommage pour une comédie. Le talent de la légende Fernandel ne sauve pas le film
même si j'adore Fernandel et que son sourire et sa bonne humeur son communicatif le film n'est pas bon . on s'ennuie vite et puis il y a quelque incohérence scénaristique. Le film ma fait sourire à quelque reprise mais rire non pas du tout c'est dommage pour une comédie. Le talent de la légende Fernandel ne sauve pas le film
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J'ai été très déçu par "Les fils de l'Homme", car il avait tout pour être bon : un bon réalisateur, des bons acteurs ( Clive Owen et Michael Caine en s'en sortent pas trop mal, et Julianne Moore ne tient tellement pas longtemps que l'on se demande tout le film si elle va revenir d'entre les morts... ), une bonne idée de départ ( dans une Angleterre raciste, stérile et immorale, ils vont tenter de sauver une noire enceinte... ) Mais cette bonne idée de départ va vite dégénérer dans un grand n'importe quoi! Le film se passe comme prévu et la fin est triste... de nullité! Désolé pour ceux qui ont aimé, mais pour moi ce film est plus que décevant...
J'ai été très déçu par "Les fils de l'Homme", car il avait tout pour être bon : un bon réalisateur, des bons acteurs ( Clive Owen et Michael Caine en s'en sortent pas trop mal, et Julianne Moore ne tient tellement pas longtemps que l'on se demande tout le film si elle va revenir d'entre les morts... ), une bonne idée de départ ( dans une Angleterre raciste, stérile et immorale, ils vont tenter de sauver une noire enceinte... ) Mais cette bonne idée de départ va vite dégénérer dans un grand n'importe quoi! Le film se passe comme prévu et la fin est triste... de nullité! Désolé pour ceux qui ont aimé, mais pour moi ce film est plus que décevant...
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"Wilde" est un bon film biographique. Stephen Fry dans le rôle de l'écrivain est tout simplement excellent, un vrai régal ! Pour moi le défaut majeur du film est le fait qu'il n'aille pas jusqu'à la mort de Wilde et qu'il n'attache pas une grande importance au devenir de la petite famille de l'auteur par la suite. J'aurais aussi aimé voir Wilde à l'université, malheureusement le film débute sur ses conférences en Amérique. Il ne s'agit pas d'un chef-d'oeuvre mais l'ensemble est plutôt très satisfaisant pour les amateurs.
"Wilde" est un bon film biographique. Stephen Fry dans le rôle de l'écrivain est tout simplement excellent, un vrai régal ! Pour moi le défaut majeur du film est le fait qu'il n'aille pas jusqu'à la mort de Wilde et qu'il n'attache pas une grande importance au devenir de la petite famille de l'auteur par la suite. J'aurais aussi aimé voir Wilde à l'université, malheureusement le film débute sur ses conférences en Amérique. Il ne s'agit pas d'un chef-d'oeuvre mais l'ensemble est plutôt très satisfaisant pour les amateurs.
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A voir uniquement pour les cascades, et encore, vous ne soufreret pas de ne jamais connaitre se film. Sénario trés faible et extremement stéréotypé (gentil jeune de banlieux qui ne respectent pas la loi mais qui on raison de le faire, méchant flic et bourgeois et medecins). Pour les soir ou vous ne voulez vraiment pas avoir à réfléchir
A voir uniquement pour les cascades, et encore, vous ne soufreret pas de ne jamais connaitre se film. Sénario trés faible et extremement stéréotypé (gentil jeune de banlieux qui ne respectent pas la loi mais qui on raison de le faire, méchant flic et bourgeois et medecins). Pour les soir ou vous ne voulez vraiment pas avoir à réfléchir
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Je m'arrête rarement sur un film, on est loin des Hooooooooolywood à la noix avec des filles parfaites, dans une vie "parfaite", avec des fictions irréelles ... traite de vrai problème de la vie, de religion, de souffrance, La fin de ce film, pour moi elle est à double tranchant, on peut trouver cela misérable ou bien penser que c'est une délivrance face à un pays ou les gens survivent ... c'est un avis personnel! je vous conseil de le voir, Si vous préférez les culs parfaits, les dents parfaites et tablette de chocolat, passez votre chemin!
Je m'arrête rarement sur un film, on est loin des Hooooooooolywood à la noix avec des filles parfaites, dans une vie "parfaite", avec des fictions irréelles ... traite de vrai problème de la vie, de religion, de souffrance, La fin de ce film, pour moi elle est à double tranchant, on peut trouver cela misérable ou bien penser que c'est une délivrance face à un pays ou les gens survivent ... c'est un avis personnel! je vous conseil de le voir, Si vous préférez les culs parfaits, les dents parfaites et tablette de chocolat, passez votre chemin!
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Excellent ! Tout simplement un excellent moment de cinéma.... Christophe Duthuron a su parfaitement respecter et adapter la bande dessinée, en y ajoutant une sensibilité qui nous fait passer du rire au larmes. C'est bien filmé, les acteurs sont parfaits, et l'impression de "surjoué" que l'on peut avoir de temps en temps n'est que le reflet des caractères extrêmes des personnage de la BD. C'est plutôt du "très bien joué". On retrouve par moment des dialogues à la "Audiard", ce qui ajoute au plaisir. Un film français de très bon cinéma.
Excellent ! Tout simplement un excellent moment de cinéma.... Christophe Duthuron a su parfaitement respecter et adapter la bande dessinée, en y ajoutant une sensibilité qui nous fait passer du rire au larmes. C'est bien filmé, les acteurs sont parfaits, et l'impression de "surjoué" que l'on peut avoir de temps en temps n'est que le reflet des caractères extrêmes des personnage de la BD. C'est plutôt du "très bien joué". On retrouve par moment des dialogues à la "Audiard", ce qui ajoute au plaisir. Un film français de très bon cinéma.
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Il y a une véritable richesse thématique dans ce film de Philippe Lioret qui amène l'auteur à s'éparpiller par moment. Mais il parvient à recentrer son film sur son personnage principal et à négocier parfaitement son final.
Il y a une véritable richesse thématique dans ce film de Philippe Lioret qui amène l'auteur à s'éparpiller par moment. Mais il parvient à recentrer son film sur son personnage principal et à négocier parfaitement son final.
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une etoile pour les acteurs
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Pendant un long moment on ne sais pas trop quoi penser de cette paisible bourgade où rien ne se passe. Ou plutôt le quotidien routinier d'une triste réalité où les habitants ne sont que des acteurs. Finalement lorsque l'on compare cette réalité illusoire avec notre vie de tous les jours, il n'y a pas grande différence, si se n'est que nous ne sommes pas épiés du matin jusqu'au soir par des millions de personnes, hagardes dans leur divan à éplucher niaisement les moindres détailles de la vie d'un pauvre innocent. Jim Carrey est magnifique dans son rôle de victime de la télé réalité. Peter Weir se démarque comme un visionnaire avec une satyre si réfléchie car en 1998 la télé réalité n'avait pas l'influence qu'elle a aujourd'hui. Ce qu'il n'avait peut être pas prévu est qu'aujourd'hui la connerie humaine pousse certaines personnes à exhiber leur vie en échange d'un salaire alléchant (sans vouloir évoquer Loana et autre Nabila). Je ne suis pas à même de juger ces personnes par rapport à l’intelligence suprême de leurs actes, mais j'aurais tendance à penser que le Truman Show est nettement moins malsain dans le fond. Jusqu'au moment où le subterfuge tombe à l'eau bien sur car le pauvre Truman reçois 40 ans de trahison en pleine gueule. Une fiction intéressante pas si fictive quand on y réfléchit bien. 4,5/5
Pendant un long moment on ne sais pas trop quoi penser de cette paisible bourgade où rien ne se passe. Ou plutôt le quotidien routinier d'une triste réalité où les habitants ne sont que des acteurs. Finalement lorsque l'on compare cette réalité illusoire avec notre vie de tous les jours, il n'y a pas grande différence, si se n'est que nous ne sommes pas épiés du matin jusqu'au soir par des millions de personnes, hagardes dans leur divan à éplucher niaisement les moindres détailles de la vie d'un pauvre innocent. Jim Carrey est magnifique dans son rôle de victime de la télé réalité. Peter Weir se démarque comme un visionnaire avec une satyre si réfléchie car en 1998 la télé réalité n'avait pas l'influence qu'elle a aujourd'hui. Ce qu'il n'avait peut être pas prévu est qu'aujourd'hui la connerie humaine pousse certaines personnes à exhiber leur vie en échange d'un salaire alléchant (sans vouloir évoquer Loana et autre Nabila). Je ne suis pas à même de juger ces personnes par rapport à l’intelligence suprême de leurs actes, mais j'aurais tendance à penser que le Truman Show est nettement moins malsain dans le fond. Jusqu'au moment où le subterfuge tombe à l'eau bien sur car le pauvre Truman reçois 40 ans de trahison en pleine gueule. Une fiction intéressante pas si fictive quand on y réfléchit bien. 4,5/5
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Un pur nanar, à éviter d'urgence!!! Tout est à jeter, jusqu'aux dialogues qui ne feront progresser personne en vocabuaire
Un pur nanar, à éviter d'urgence!!! Tout est à jeter, jusqu'aux dialogues qui ne feront progresser personne en vocabuaire
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C'est moi ou Jean-Basptiste Maunier n'est pas du tout crédible tout d'abord en adulte, ensuite en professeur et enfin en amoureux transi?! Selon moi, il joue tellement mal que le film en devient exaspérant alors qu'il avait un vrai potentiel de divertissement.
C'est moi ou Jean-Basptiste Maunier n'est pas du tout crédible tout d'abord en adulte, ensuite en professeur et enfin en amoureux transi?! Selon moi, il joue tellement mal que le film en devient exaspérant alors qu'il avait un vrai potentiel de divertissement.
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Pour le coup j'ai été agréablement surprise ! J'ai beaucoup aimé ce volet de DOA. Takashi Miike nous a joué la carte de la sensibilité. J'ai presque aimé Riki Takeuchi, c'est tout dire !
Pour le coup j'ai été agréablement surprise ! J'ai beaucoup aimé ce volet de DOA. Takashi Miike nous a joué la carte de la sensibilité. J'ai presque aimé Riki Takeuchi, c'est tout dire !
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Intéressent pour un film chinois, il est vrai que le scénario est très léger, et que les acteurs jouent pas super bien, certains passages sont franchement moyens, et aussi que le dragon ressemble plus a un serpent qu'a autre chose, mais au moins il y a de l'action!! La chine a du dépensé tous sont argent attribuer de l'année pour ce film, car les effets spéciaux sont incroyable, l'action est intense, ça pète dans tous les sans et on et pris dans un festival d'action, alors oui ce n'es pas le film de l'année mais au moins on voir pas le temps passé, on s'ennuie pas une seconde. Et la et le principale.
Intéressent pour un film chinois, il est vrai que le scénario est très léger, et que les acteurs jouent pas super bien, certains passages sont franchement moyens, et aussi que le dragon ressemble plus a un serpent qu'a autre chose, mais au moins il y a de l'action!! La chine a du dépensé tous sont argent attribuer de l'année pour ce film, car les effets spéciaux sont incroyable, l'action est intense, ça pète dans tous les sans et on et pris dans un festival d'action, alors oui ce n'es pas le film de l'année mais au moins on voir pas le temps passé, on s'ennuie pas une seconde. Et la et le principale.
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Vincent Garenq semble se faire une spécialité de films de cinéma tirés de célèbres faits-divers : voici "L'Enquête", sur l'affaire Clearstream (ou plutôt les affaires Clearstream - sans que le découpage dramaturgique soit cependant bien clair entre les deux !), après "Présumé coupable" (Outreau), et avant "Kalinka" (l'affaire Bamberski). Le vrai Denis Robert avait fait de son "Enquête" un documentaire (de 1 h 10) en 2001 : "Les Dissimulateurs". Jamais sorti en salles.... Là, il a collaboré au scénario du "long" de Garenq, classé parmi les "thrillers". Reprenant des faits réels, politico-financiers. Alors, quid de "L'Enquête" ? Au mieux, c'est une introduction à cette affaire complexe, entre frégates de Taïwan et opacité généralisée de la compensation internationale.... Pas de style personnel, pas de suspense haletant, pas de subtilité dans le récit... On est très loin de l'équivalent cinématographique anglo-saxon, dans ce genre de scandales financiers, sur fond de secret bancaire et de "secret défense". Un produit plus télévisuel qu'autre chose - mais sans la rigueur d'un reportage.... Gilles Lellouche ne ressemble en rien au journaliste, mais fait (dans l'absolu, à défaut de la vraisemblance) une composition honnête.
Vincent Garenq semble se faire une spécialité de films de cinéma tirés de célèbres faits-divers : voici "L'Enquête", sur l'affaire Clearstream (ou plutôt les affaires Clearstream - sans que le découpage dramaturgique soit cependant bien clair entre les deux !), après "Présumé coupable" (Outreau), et avant "Kalinka" (l'affaire Bamberski). Le vrai Denis Robert avait fait de son "Enquête" un documentaire (de 1 h 10) en 2001 : "Les Dissimulateurs". Jamais sorti en salles.... Là, il a collaboré au scénario du "long" de Garenq, classé parmi les "thrillers". Reprenant des faits réels, politico-financiers. Alors, quid de "L'Enquête" ? Au mieux, c'est une introduction à cette affaire complexe, entre frégates de Taïwan et opacité généralisée de la compensation internationale.... Pas de style personnel, pas de suspense haletant, pas de subtilité dans le récit... On est très loin de l'équivalent cinématographique anglo-saxon, dans ce genre de scandales financiers, sur fond de secret bancaire et de "secret défense". Un produit plus télévisuel qu'autre chose - mais sans la rigueur d'un reportage.... Gilles Lellouche ne ressemble en rien au journaliste, mais fait (dans l'absolu, à défaut de la vraisemblance) une composition honnête.
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La force de la parole : c'est le sujet de ce documentaire, cet instrument que nous avons tous et qui peut devenir un incroyable pouvoir si on apprend à l'utiliser. Et pour nous le faire comprendre, le documentaire suit durant six semaines une classe qui se prépare au concours du meilleur orateur du 93. On découvre les profils de chacun des candidats, tous différents, tous souhaitant apprendre à utiliser leur voix dans un but bien précis. C'est touchant, drôle, enivrant et surprenant la manière dont ces étudiants apprennent rapidement à maîtriser leur voix avec un avocat, des cours de théâtre, de slam et des uns et des autres. Le film est bien rythmé et ne laisse pas de place à l'ennui. À voir à tout prix !
La force de la parole : c'est le sujet de ce documentaire, cet instrument que nous avons tous et qui peut devenir un incroyable pouvoir si on apprend à l'utiliser. Et pour nous le faire comprendre, le documentaire suit durant six semaines une classe qui se prépare au concours du meilleur orateur du 93. On découvre les profils de chacun des candidats, tous différents, tous souhaitant apprendre à utiliser leur voix dans un but bien précis. C'est touchant, drôle, enivrant et surprenant la manière dont ces étudiants apprennent rapidement à maîtriser leur voix avec un avocat, des cours de théâtre, de slam et des uns et des autres. Le film est bien rythmé et ne laisse pas de place à l'ennui. À voir à tout prix !
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Beau récit de vies avec d'excellents comédiens !
Beau récit de vies avec d'excellents comédiens !
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1,279
Les Portes du Temps est un film fantastique que j'ai trouver assez ennuyeux. Ce long métrage de David Cunningham est l'adaptation du roman de Susan Cooper " Au Delà des Ténèbres " que je n'ai pas lu. Mais autant dire que le film ne me tente pas de lire le roman, car j'ai trouver l'histoire vraiment inintéressante. L'interprétation est franchement assez quelconque et la mise en scène du réalisateur extrémement banale. Voilà un film qui m'a donc extremement ennuyer et que je ne conseille qu'au plus jeune. 7/20
Les Portes du Temps est un film fantastique que j'ai trouver assez ennuyeux. Ce long métrage de David Cunningham est l'adaptation du roman de Susan Cooper " Au Delà des Ténèbres " que je n'ai pas lu. Mais autant dire que le film ne me tente pas de lire le roman, car j'ai trouver l'histoire vraiment inintéressante. L'interprétation est franchement assez quelconque et la mise en scène du réalisateur extrémement banale. Voilà un film qui m'a donc extremement ennuyer et que je ne conseille qu'au plus jeune. 7/20
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1,280
Un film Hammer contemporain auquel pour qu'il fasse plus Hammer que le Leerdammer (euh désolé ...!!!) on a mis le grand Christopher Lee. Mais Christopher Lee fait plus office de figurant que d'acteur ici vu que son personnage qui aurait pu donner une dimension inquiétante est vite totalement négligé. Et c'est loin d'être le seul truc qui ne va pas là-dedans. On nous donne tout dès le premier quart d'heure, aucun mystère après cela, aucune tension, aucun suspense, nada... Jeffrey Dean Morgan a une forte ressemblance avec Javier Bardem mais certainement pas son talent et son charisme, la preuve ici. Seule Hillary Swank sauve quelques meubles mais le naufrage est inévitablement quasi-complet.
Un film Hammer contemporain auquel pour qu'il fasse plus Hammer que le Leerdammer (euh désolé ...!!!) on a mis le grand Christopher Lee. Mais Christopher Lee fait plus office de figurant que d'acteur ici vu que son personnage qui aurait pu donner une dimension inquiétante est vite totalement négligé. Et c'est loin d'être le seul truc qui ne va pas là-dedans. On nous donne tout dès le premier quart d'heure, aucun mystère après cela, aucune tension, aucun suspense, nada... Jeffrey Dean Morgan a une forte ressemblance avec Javier Bardem mais certainement pas son talent et son charisme, la preuve ici. Seule Hillary Swank sauve quelques meubles mais le naufrage est inévitablement quasi-complet.
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1,281
Coup de coeur pour ce cul du loup : beaucoup d'humanité, de beauté dans cette production franco-belge avec le choc de la rencontre sensible de deux univers : le pays noir et la haute Corse , superbe. Christelle Cornil est merveilleuse, les autres acteurs l'accompagnent très bien . A voir !
Coup de coeur pour ce cul du loup : beaucoup d'humanité, de beauté dans cette production franco-belge avec le choc de la rencontre sensible de deux univers : le pays noir et la haute Corse , superbe. Christelle Cornil est merveilleuse, les autres acteurs l'accompagnent très bien . A voir !
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1,282
Si le but était de montrer la fin du grand cinéma italien on dire que c'est une réussite, on retrouve les éléments qui on fait le succés d'un grand nombre de films mais ici tout amène à l'ennui.
Si le but était de montrer la fin du grand cinéma italien on dire que c'est une réussite, on retrouve les éléments qui on fait le succés d'un grand nombre de films mais ici tout amène à l'ennui.
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Suite décevante : le film est déstructuré et très rapidement on n'a plus grand chose à faire de l'héroïne, ce qui fait grandement baisser la tension. La psychologie qui est assez crédible dans H1 est vraiment grotesque dans H2, jouant l'abstraction dans des scènes mièvres et déjà vus.
Suite décevante : le film est déstructuré et très rapidement on n'a plus grand chose à faire de l'héroïne, ce qui fait grandement baisser la tension. La psychologie qui est assez crédible dans H1 est vraiment grotesque dans H2, jouant l'abstraction dans des scènes mièvres et déjà vus.
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1,284
Un film de très bonne facture, agrémenté par une bonne interprétation (surtout d'Idris Elba) et un scénario convaincant (malgré quelques invraisemblances) avec un retournement final assez intelligent.
Un film de très bonne facture, agrémenté par une bonne interprétation (surtout d'Idris Elba) et un scénario convaincant (malgré quelques invraisemblances) avec un retournement final assez intelligent.
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1,285
Après Eastwood, Sean Penn, Robert Redford et Georges Clooney, voici que DeNiro se met à réaliser un film. Ils doivent être à court de personnel à Hollywood pour mettre n'importe qui derrière la caméra... Parce qu'à la base, c'est pas un bon acteur (malgré sa renommée), mais alors en tant que réalisateur c'est la catastrophe du 7ème art. Le film est d'une longueur tuante, me rappelant l'irrémédiable désastre cinématographique qu'était Il était une fois en Amérique. Un film profondément soporifique, chiant, avec des personnages inintéressants, aucune réflexion sur la nature humaine ou le rôle de la CIA, rien. Les acteurs sont très mal dirigés, ils sont tous sans saveurs, sans charme, Matt Damon étant tellement frigide et silencieux durant tout le film, qu'on a l'impression d'avoir filmé pendant près de 3 heures les murs d'une prison. Le film restera inintelligible et sans finalité artistique jusqu'au bout. Allez donc savoir ce qui est passé par la tête de DeNiro. Un effet secondaire du LSD, peut-être ? À bannir et jeter les copies des dvd au feu. Plus jamais ça!
Après Eastwood, Sean Penn, Robert Redford et Georges Clooney, voici que DeNiro se met à réaliser un film. Ils doivent être à court de personnel à Hollywood pour mettre n'importe qui derrière la caméra... Parce qu'à la base, c'est pas un bon acteur (malgré sa renommée), mais alors en tant que réalisateur c'est la catastrophe du 7ème art. Le film est d'une longueur tuante, me rappelant l'irrémédiable désastre cinématographique qu'était Il était une fois en Amérique. Un film profondément soporifique, chiant, avec des personnages inintéressants, aucune réflexion sur la nature humaine ou le rôle de la CIA, rien. Les acteurs sont très mal dirigés, ils sont tous sans saveurs, sans charme, Matt Damon étant tellement frigide et silencieux durant tout le film, qu'on a l'impression d'avoir filmé pendant près de 3 heures les murs d'une prison. Le film restera inintelligible et sans finalité artistique jusqu'au bout. Allez donc savoir ce qui est passé par la tête de DeNiro. Un effet secondaire du LSD, peut-être ? À bannir et jeter les copies des dvd au feu. Plus jamais ça!
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1,286
Honnêtement, ce film mérite son grand succès en salle, j'ai ri du début à la fin. Rien à dire, une très bonne comédie française à voir en famille ou entre amis pour passer un bon moment de détente. J'aime le cinéma "populaire" comme celui-là quand il n'a pas d'autre vocation que de faire rire le plus grand nombre et qu'il déplait aux bobos (petit pic à Chronic'art). Le problème de certaines critiques vient du fait que ce film ne doit pas être visionné en pensant "politique, communautés, religions", la majorité du public l'a compris et est allé voir ce film pour se détendre et se payer une bonne tranche de rire, et dans ce sens le film est une réussite. Donc un conseil : il faut voir ce film en mode "déconnecté", tout le monde en prend pour son grade de toute façon, les dialogues fusent, et pour une fois Clavier n'en fait pas des tonnes, c'était ma seule crainte avant la séance.
Honnêtement, ce film mérite son grand succès en salle, j'ai ri du début à la fin. Rien à dire, une très bonne comédie française à voir en famille ou entre amis pour passer un bon moment de détente. J'aime le cinéma "populaire" comme celui-là quand il n'a pas d'autre vocation que de faire rire le plus grand nombre et qu'il déplait aux bobos (petit pic à Chronic'art). Le problème de certaines critiques vient du fait que ce film ne doit pas être visionné en pensant "politique, communautés, religions", la majorité du public l'a compris et est allé voir ce film pour se détendre et se payer une bonne tranche de rire, et dans ce sens le film est une réussite. Donc un conseil : il faut voir ce film en mode "déconnecté", tout le monde en prend pour son grade de toute façon, les dialogues fusent, et pour une fois Clavier n'en fait pas des tonnes, c'était ma seule crainte avant la séance.
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Domage que les derniers 3/4 heure du film de soit pas aussi bon que le debut et milieux du film. Quelques carence égale scénaristique avec des enchainement un peu facile, téléphoné et pas crédible. Scène au honduras avec les indient et les bonne soeur totalement inutile...
Domage que les derniers 3/4 heure du film de soit pas aussi bon que le debut et milieux du film. Quelques carence égale scénaristique avec des enchainement un peu facile, téléphoné et pas crédible. Scène au honduras avec les indient et les bonne soeur totalement inutile...
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se dessin et pas trop mal mai sai vite soulent surtout pour les tout petit
se dessin et pas trop mal mai sai vite soulent surtout pour les tout petit
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Sorte de Who's Who du polar français à la Melville revisité par un réalisateur italien sur le déclin(Michele Placido), "Le Guetteur" s'enfonce dans les abîmes nanaresques du scénario capilo-tracté et de toute façon incohérent. Tout y passe: l'image poisseuse qui vire au gris désaturé, les échanges de coups de feu aux airs de règlement de compte,le commissaire qui crie vengeance(Daniel Auteuil,assoupi),le tireur fou mais pas si fou que ça(Matthieu Kassovitz,bêtifiant),le pseudo serial-killer... Comme le film n'en est plus à une ânerie,il se termine franchement en queue de poisson,dans un Paris désert(comme si c'était possible...). Honteux.
Sorte de Who's Who du polar français à la Melville revisité par un réalisateur italien sur le déclin(Michele Placido), "Le Guetteur" s'enfonce dans les abîmes nanaresques du scénario capilo-tracté et de toute façon incohérent. Tout y passe: l'image poisseuse qui vire au gris désaturé, les échanges de coups de feu aux airs de règlement de compte,le commissaire qui crie vengeance(Daniel Auteuil,assoupi),le tireur fou mais pas si fou que ça(Matthieu Kassovitz,bêtifiant),le pseudo serial-killer... Comme le film n'en est plus à une ânerie,il se termine franchement en queue de poisson,dans un Paris désert(comme si c'était possible...). Honteux.
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J'aimais bien à une époque les polars à rebondissements, bourrés de « coups de théâtre ». Seulement, le cinéma nous en offre désormais tellement souvent que je dois avouer une certaine lassitude vis-à-vis de ces derniers, d'autant qu'à force, l'originalité des intrigues et de leurs déroulements a logiquement été mis à mal. Cet « Insoupçonnable » ne vient clairement pas changer la donne : mou et en définitive très peu excitant, la faute à un duo d'acteurs complètement défaillant (Marc-André Grondin n'est ici que l'ombre de lui-même, tandis que Laura Smet signe l'une des pires prestations de l'année, voire de la décennie), l'ensemble ne suscite pas grand chose, à l'exception tout de même de quelques moments bien sentis, pas vraiment originaux, mais toujours efficaces, à l'image de cette question des faux-semblants et des apparences, toujours bienvenue. Reste les dernières images, où l'on trouve (enfin!!) cette passion, cette flamme qui avait jusqu'ici manqué cruellement au film, où l'amour fou, criminel, fait disparaître tout le reste. Une belle conclusion pour un film qui, toutefois, ne restera pas dans les annales.
J'aimais bien à une époque les polars à rebondissements, bourrés de « coups de théâtre ». Seulement, le cinéma nous en offre désormais tellement souvent que je dois avouer une certaine lassitude vis-à-vis de ces derniers, d'autant qu'à force, l'originalité des intrigues et de leurs déroulements a logiquement été mis à mal. Cet « Insoupçonnable » ne vient clairement pas changer la donne : mou et en définitive très peu excitant, la faute à un duo d'acteurs complètement défaillant (Marc-André Grondin n'est ici que l'ombre de lui-même, tandis que Laura Smet signe l'une des pires prestations de l'année, voire de la décennie), l'ensemble ne suscite pas grand chose, à l'exception tout de même de quelques moments bien sentis, pas vraiment originaux, mais toujours efficaces, à l'image de cette question des faux-semblants et des apparences, toujours bienvenue. Reste les dernières images, où l'on trouve (enfin!!) cette passion, cette flamme qui avait jusqu'ici manqué cruellement au film, où l'amour fou, criminel, fait disparaître tout le reste. Une belle conclusion pour un film qui, toutefois, ne restera pas dans les annales.
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Kore-eda et Bong Joon-ho sont des cinéastes très différents, mais tous les deux extrêmement talentueux et dont leurs films récemment palmés ont pas mal de points communs, à commencer par le portrait d'une famille amorale dans une société où la fracture entre pauvres et nantis est de plus en plus béante. Mais foin des comparaisons, Parasite est avant tout un film qui porte farouchement la signature de Bong qui y transcende de nombreuses thématiques développées dans ses oeuvres précédentes. Le plus admirable est sans aucun doute la maîtrise du mélange des genres et la splendeur d'une mise en scène, jamais outrageusement voyante, pourtant, et presque entièrement confinée entre les 4 murs d'une somptueuse maison qui pue littéralement la réussite financière. Et quoi de plus jubilatoire que de voir la Corée d'en bas envahir cet espace avec sa tribu incongrue mais ô combien rusée. La fluidité de Parasite est exceptionnelle, cachant dans ses recoins une complexité narrative ébouriffante qui ne l'étouffe jamais avec son tempo de thriller qui sait ménager des pauses avant de repartir de plus belle avec moult surprises à la clé et un mauvais esprit (quoique) permanent. Il y a un côté inhumain dans ce film ou plus exactement tellement humain qui est irréfragable et quasi insoutenable si ce n'était l'humour noir et l'aspect ludique qui sont permanents. Comédie sociale XXL, avec ses private jokes (les actualités de Corée du Nord), Parasite est d'une richesse insensée et confirme la puissance d'un cinéaste qui n'est pas loin d'être le meilleur au monde actuellement, si tant est qu'un qu'un classement puisse être établi en la matière.
Kore-eda et Bong Joon-ho sont des cinéastes très différents, mais tous les deux extrêmement talentueux et dont leurs films récemment palmés ont pas mal de points communs, à commencer par le portrait d'une famille amorale dans une société où la fracture entre pauvres et nantis est de plus en plus béante. Mais foin des comparaisons, Parasite est avant tout un film qui porte farouchement la signature de Bong qui y transcende de nombreuses thématiques développées dans ses oeuvres précédentes. Le plus admirable est sans aucun doute la maîtrise du mélange des genres et la splendeur d'une mise en scène, jamais outrageusement voyante, pourtant, et presque entièrement confinée entre les 4 murs d'une somptueuse maison qui pue littéralement la réussite financière. Et quoi de plus jubilatoire que de voir la Corée d'en bas envahir cet espace avec sa tribu incongrue mais ô combien rusée. La fluidité de Parasite est exceptionnelle, cachant dans ses recoins une complexité narrative ébouriffante qui ne l'étouffe jamais avec son tempo de thriller qui sait ménager des pauses avant de repartir de plus belle avec moult surprises à la clé et un mauvais esprit (quoique) permanent. Il y a un côté inhumain dans ce film ou plus exactement tellement humain qui est irréfragable et quasi insoutenable si ce n'était l'humour noir et l'aspect ludique qui sont permanents. Comédie sociale XXL, avec ses private jokes (les actualités de Corée du Nord), Parasite est d'une richesse insensée et confirme la puissance d'un cinéaste qui n'est pas loin d'être le meilleur au monde actuellement, si tant est qu'un qu'un classement puisse être établi en la matière.
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Abel Ferrara plagie Scorsese sans la manière. Tout paraît gratuit! Les scènes qui auraient pu être dérangeantes, palpitantes et ainsi nous emmener dans un monde glauque des plus appréciable nous lassent tant elles sont fausses, maladroites et perdues dans ce film peu cohérent : la scène de la branlette ou celle du viol, par exemple. Ce qui, pour moi, manque, c'est un peu (beaucoup) de fond aux propos du film, de liant et de cohérence. Le personnage de Keitel n'évolue pas assez, sa "descente aux enfers" est peu justifiée, l'interaction entre le contexte et le personnage est quasi absente (ce qui, paradoxalement, montre bien sa perte et sa solitude dans cet univers), son combat pour la défense de la nonne me paraît sans raison, bref, tout m'empêche d'y croire et tend à être éreintant. Et pourtant j'aurais bien aimé y croire à ce film : j'adore NY et l'ambiance du film à tout pour me plaire mais c'est du déjà vu cent fois. La touche personnelle de Ferrara aurait pu rattraper le tout mais elle ne se dissimule qu'au travers de scènes clichées... bref, où se cache-t-elle?
Abel Ferrara plagie Scorsese sans la manière. Tout paraît gratuit! Les scènes qui auraient pu être dérangeantes, palpitantes et ainsi nous emmener dans un monde glauque des plus appréciable nous lassent tant elles sont fausses, maladroites et perdues dans ce film peu cohérent : la scène de la branlette ou celle du viol, par exemple. Ce qui, pour moi, manque, c'est un peu (beaucoup) de fond aux propos du film, de liant et de cohérence. Le personnage de Keitel n'évolue pas assez, sa "descente aux enfers" est peu justifiée, l'interaction entre le contexte et le personnage est quasi absente (ce qui, paradoxalement, montre bien sa perte et sa solitude dans cet univers), son combat pour la défense de la nonne me paraît sans raison, bref, tout m'empêche d'y croire et tend à être éreintant. Et pourtant j'aurais bien aimé y croire à ce film : j'adore NY et l'ambiance du film à tout pour me plaire mais c'est du déjà vu cent fois. La touche personnelle de Ferrara aurait pu rattraper le tout mais elle ne se dissimule qu'au travers de scènes clichées... bref, où se cache-t-elle?
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Plus qu'un chef d’œuvre : l'un des plus beaux films de tous les temps ! On serait bien en peine de dénicher un seul défaut à ce film qui frôle la perfection absolue. De la beauté des plans (ah, ces longues courses dans les roseaux), de la remarquable direction d'acteurs, de la beauté de la jeune paysanne (Jitsuko Yoshimura) et de l'érotisme à la fois discret et torride qu'elle diffuse, de la dernière partie où apparaît l'épouvante, tout cela se déguste avec émerveillement. Certains ont cherché un message, je ne suis pas sûr qu'il y en ait un, ce qui n'empêche pas le réalisateur de donner au passage de façon allusive son avis sur les croyances religieuses, et sur la prédominance du sexe.
Plus qu'un chef d’œuvre : l'un des plus beaux films de tous les temps ! On serait bien en peine de dénicher un seul défaut à ce film qui frôle la perfection absolue. De la beauté des plans (ah, ces longues courses dans les roseaux), de la remarquable direction d'acteurs, de la beauté de la jeune paysanne (Jitsuko Yoshimura) et de l'érotisme à la fois discret et torride qu'elle diffuse, de la dernière partie où apparaît l'épouvante, tout cela se déguste avec émerveillement. Certains ont cherché un message, je ne suis pas sûr qu'il y en ait un, ce qui n'empêche pas le réalisateur de donner au passage de façon allusive son avis sur les croyances religieuses, et sur la prédominance du sexe.
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1,294
257 cigarettes (dont 6 électroniques) fumées en moins de 2 heures, 124 tournants passés en voiture sous la neige, des syllabes détachées, des personnages faux, une intrigue niaise, de loin le plus mauvais film de l'année. Seul point positif: les quelques titres de Christophe entendus dans la BO.
257 cigarettes (dont 6 électroniques) fumées en moins de 2 heures, 124 tournants passés en voiture sous la neige, des syllabes détachées, des personnages faux, une intrigue niaise, de loin le plus mauvais film de l'année. Seul point positif: les quelques titres de Christophe entendus dans la BO.
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1,295
Deuxième incursion de Kirk Douglas dans l'univers de Jules Verne, "Le Phare du bout du monde" n'est qu'un film de divertissement sans prétentions qui mise surtout sur l'exotisme de ses décors (l'île, le phare, le bateau échoué à moitié inondé) et la qualité de ses acteurs pour charmer le spectateur. En effet, Kirk Douglas est toujours aussi charismatique et Yul Brynner campe un méchant assez convaincant. On pardonne donc au film ses longueurs et sa mise en scène impersonnelle puisque le divertissement est là.
Deuxième incursion de Kirk Douglas dans l'univers de Jules Verne, "Le Phare du bout du monde" n'est qu'un film de divertissement sans prétentions qui mise surtout sur l'exotisme de ses décors (l'île, le phare, le bateau échoué à moitié inondé) et la qualité de ses acteurs pour charmer le spectateur. En effet, Kirk Douglas est toujours aussi charismatique et Yul Brynner campe un méchant assez convaincant. On pardonne donc au film ses longueurs et sa mise en scène impersonnelle puisque le divertissement est là.
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1,296
Un film pas du tout désagréble, plutôt très plaisant. Certes, ce n'est pas un chef d'oeuvre, il y a même une impression de déjà vu (il m'a fait penser un peu aux films de rohmer en moins bon et avec des dialogues moins élaborés) mais pourtant le charme s'opère. Les acteurs sont bons, on redécouvre Isabelle Carré ainsi que Elsa Zyberstein jeunes. On rit quelque fois, on s'attache aux personnnages malgré quelques clichés. C'est sans prétention, simple, sans originalité, il ne se passe rien d'exceptionnel mais pourtant j'ai aimé.
Un film pas du tout désagréble, plutôt très plaisant. Certes, ce n'est pas un chef d'oeuvre, il y a même une impression de déjà vu (il m'a fait penser un peu aux films de rohmer en moins bon et avec des dialogues moins élaborés) mais pourtant le charme s'opère. Les acteurs sont bons, on redécouvre Isabelle Carré ainsi que Elsa Zyberstein jeunes. On rit quelque fois, on s'attache aux personnnages malgré quelques clichés. C'est sans prétention, simple, sans originalité, il ne se passe rien d'exceptionnel mais pourtant j'ai aimé.
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Je voulais vraiment faire cette critique car c'est l'un des premiers westerns que j'ai vu. C'est un film qui m'a marqué et qui restera pour moi une bible, une référence du genre. Sergio Leone (Il était une fois dans l'ouest, le bon la brute et le truand ...), papa du western spaghetti, a réalisé ici un monument de cinéma. Qu'on aime ou on n'aime pas, force est de constater la beauté des images et de la mise en scène. Mise en scène qui accentue le suspens notammentAu moment même ou j'écris ces lignes, je pense à la scène sur la place du village ou un échange à lieu entre les deux familles,. Avec ce film Sergio Leone donne un ton tout à fait différents aux westerns, genre qui commençait petit à petit à perdre son souffle. Il est un peu comme un visionnaire pour moi. Les acteurs jouent merveilleusement bien. Clint Eastwood en tête. Grâce à lui, le film à de la gueule. Mais il ne faut tout de même pas oublier les autres car ils livrent tous une prestation plus qu'honorable. Le croquemort est superbe d'ailleurs. ^^ Avec ce film j'ai aussi découvert les magnifiques thèmes d'Enrico Morricone. Ces musiques apportent beaucoup de chose à ce long-métrage à commencer par son ambiance. Tantôt pesante, tantôt sympathique. Bref ce film à bon sur absolument tous les points et n'a pas pris une ride. Chapeau pour un film qui date quand même de 1966. Pour tous les cinéphiles qui se respectent, vous êtes obliger de voir ce film car il est juste génial. Culte !
Je voulais vraiment faire cette critique car c'est l'un des premiers westerns que j'ai vu. C'est un film qui m'a marqué et qui restera pour moi une bible, une référence du genre. Sergio Leone (Il était une fois dans l'ouest, le bon la brute et le truand ...), papa du western spaghetti, a réalisé ici un monument de cinéma. Qu'on aime ou on n'aime pas, force est de constater la beauté des images et de la mise en scène. Mise en scène qui accentue le suspens notammentAu moment même ou j'écris ces lignes, je pense à la scène sur la place du village ou un échange à lieu entre les deux familles,. Avec ce film Sergio Leone donne un ton tout à fait différents aux westerns, genre qui commençait petit à petit à perdre son souffle. Il est un peu comme un visionnaire pour moi. Les acteurs jouent merveilleusement bien. Clint Eastwood en tête. Grâce à lui, le film à de la gueule. Mais il ne faut tout de même pas oublier les autres car ils livrent tous une prestation plus qu'honorable. Le croquemort est superbe d'ailleurs. ^^ Avec ce film j'ai aussi découvert les magnifiques thèmes d'Enrico Morricone. Ces musiques apportent beaucoup de chose à ce long-métrage à commencer par son ambiance. Tantôt pesante, tantôt sympathique. Bref ce film à bon sur absolument tous les points et n'a pas pris une ride. Chapeau pour un film qui date quand même de 1966. Pour tous les cinéphiles qui se respectent, vous êtes obliger de voir ce film car il est juste génial. Culte !
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1,298
Une claque monumentale!! Ce film constitue sans aucun doute un tournant dans l'Histoire de l'écologie. Tourné en secret pendant l'étude des effets des OGM sur des rats effectuée durant 2 ans, ce documentaire nous dévoile enfin leurs véritables dangers, et le résultat est phénoménale et impressionnant: imaginez qu'une tumeur fasse 25% de votre corps... Ce film traite aussi du nucléaire, bref des deux plus grandes catastrophes que l'Humanité et la Terre aient connues. Certains ayant la critique facile ont estimé que le réalisateur avait voulu parler de trop de choses à la fois dans ce film, et que le résultat était plutôt brouillon. Eh bien non, il ne traite que de ces deux choses-là et il a jugé important de les rassembler dans un même film car ce sont les deux seules révolutions scientifiques qui soient irréversibles et qui n'aient pas été mises en place de façon démocratique! D'un point de vue cinématographique, le film ne se résume pas à un simple documentaire, mais est aussi un hommage à tous ceux qui ont participé à des actions écologiques dans ces deux domaines, et à tous ceux qui sont morts de cancer à cause des OGM et des pesticides... Ce documentaire est par ailleurs très bien filmé (contrairement à d'autres documentaires faits de façon moins soignée) et dynamique. Finalement un film qui ne laisse pas indemne, qui met en colère, et qui donne surtout la très forte envie d'agir! L'écologie n'est pas un parti politique, c'est une urgence!
Une claque monumentale!! Ce film constitue sans aucun doute un tournant dans l'Histoire de l'écologie. Tourné en secret pendant l'étude des effets des OGM sur des rats effectuée durant 2 ans, ce documentaire nous dévoile enfin leurs véritables dangers, et le résultat est phénoménale et impressionnant: imaginez qu'une tumeur fasse 25% de votre corps... Ce film traite aussi du nucléaire, bref des deux plus grandes catastrophes que l'Humanité et la Terre aient connues. Certains ayant la critique facile ont estimé que le réalisateur avait voulu parler de trop de choses à la fois dans ce film, et que le résultat était plutôt brouillon. Eh bien non, il ne traite que de ces deux choses-là et il a jugé important de les rassembler dans un même film car ce sont les deux seules révolutions scientifiques qui soient irréversibles et qui n'aient pas été mises en place de façon démocratique! D'un point de vue cinématographique, le film ne se résume pas à un simple documentaire, mais est aussi un hommage à tous ceux qui ont participé à des actions écologiques dans ces deux domaines, et à tous ceux qui sont morts de cancer à cause des OGM et des pesticides... Ce documentaire est par ailleurs très bien filmé (contrairement à d'autres documentaires faits de façon moins soignée) et dynamique. Finalement un film qui ne laisse pas indemne, qui met en colère, et qui donne surtout la très forte envie d'agir! L'écologie n'est pas un parti politique, c'est une urgence!
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Rarement été aussi impressionné par un film de ce genre. Un pur chef d'oeuvre, des combats exceptionnel, et une histoire par lequel nous sommes happés. Au début du film, je me suis dit "oui c'est comme le reste de ce genre, des combats, des combats...." Et plus le film avance plus c'est impressionnant, le charisme des acteurs est bien là (Donnie Yen est juste parfait), un niveau dans les chorégraphies presque jamais atteint, un vrai coup de cœur, le must du genre ! Recommandation pour tout le monde !
Rarement été aussi impressionné par un film de ce genre. Un pur chef d'oeuvre, des combats exceptionnel, et une histoire par lequel nous sommes happés. Au début du film, je me suis dit "oui c'est comme le reste de ce genre, des combats, des combats...." Et plus le film avance plus c'est impressionnant, le charisme des acteurs est bien là (Donnie Yen est juste parfait), un niveau dans les chorégraphies presque jamais atteint, un vrai coup de cœur, le must du genre ! Recommandation pour tout le monde !
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[4.73177610e-04 9.99526822e-01]
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