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Noé a voulu faire un film avec des vraies scènes de sexe mais il a oublié d'écrire un vrai scénario autour avec de vrais dialogues et non des improvisations répétitives. Tout film pour être réussi nécessite un scénario construit, rien n’empêche d’ajouter ensuite du sexe si on le souhaite. Si on ne construit un film que sur le sexe et qu’on néglige le reste, cela s’apparente plus à un film porno. Donc on s’ennuie ferme…et on part avant la fin. Un point positif ? Les éclairages.
Noé a voulu faire un film avec des vraies scènes de sexe mais il a oublié d'écrire un vrai scénario autour avec de vrais dialogues et non des improvisations répétitives. Tout film pour être réussi nécessite un scénario construit, rien n’empêche d’ajouter ensuite du sexe si on le souhaite. Si on ne construit un film que sur le sexe et qu’on néglige le reste, cela s’apparente plus à un film porno. Donc on s’ennuie ferme…et on part avant la fin. Un point positif ? Les éclairages.
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Attention dans le genre nullité, ici on a affaire à du lourd! Cette histoire de fantômes est ridicule, et la fin d'une banalité navrante.
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Le début de ce Clouzot est plutôt intrigant avec un style assez décalé et ironique se distinguant du reste de la production française de l'époque ; on s'amuse devant Les Espions mais passée une demi-heure j'ai trouvé ce film un peu lassant et même ennuyeux. Tournant en rond, absence de réelle atmosphère et une histoire peu prenante ; Clouzot a laissé totalement de côté le suspense des films d'espionnage préférant jouer sur un ton moqueur.
Le début de ce Clouzot est plutôt intrigant avec un style assez décalé et ironique se distinguant du reste de la production française de l'époque ; on s'amuse devant Les Espions mais passée une demi-heure j'ai trouvé ce film un peu lassant et même ennuyeux. Tournant en rond, absence de réelle atmosphère et une histoire peu prenante ; Clouzot a laissé totalement de côté le suspense des films d'espionnage préférant jouer sur un ton moqueur.
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Le risque était de tomber dans les clichés, les caricatures lourdes : voilà, c'est fait... Ennuyeux !
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Un film très morose et très déprimant. Je savais que cela allait plutôt triste mais pas à ce point là quand même. Je n'ai vraiment pas aimé.
Un film très morose et très déprimant. Je savais que cela allait plutôt triste mais pas à ce point là quand même. Je n'ai vraiment pas aimé.
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1,405
Très Moyen. C'est regrettable un film de ce genre. Vraiment. Une idée plutôt intéressante, bien que maintes fois reprise: la TCI: L'idée de communiquer avec les morts via transmission d'enregistrements et d'images. Un homme architecte (Michael Keaton,jouant remarquablement bien) va tenter de communiquer avec sa femme, écrivain à succès, morte lors d'un accident survenu à 2h30, via ce système. La première moitié du film contient de bons éléments, une bonne teneur en effets et en ambiance, mais plus on avance, plus on s'ennuie et se perd dans un scénario inexistant ou bien alors incompréhensible! C'est vraiment dommage... Bref je reste sur ma faim, en attendant le deuxième opus, qui j'espère ré-haussera le premier volet.
Très Moyen. C'est regrettable un film de ce genre. Vraiment. Une idée plutôt intéressante, bien que maintes fois reprise: la TCI: L'idée de communiquer avec les morts via transmission d'enregistrements et d'images. Un homme architecte (Michael Keaton,jouant remarquablement bien) va tenter de communiquer avec sa femme, écrivain à succès, morte lors d'un accident survenu à 2h30, via ce système. La première moitié du film contient de bons éléments, une bonne teneur en effets et en ambiance, mais plus on avance, plus on s'ennuie et se perd dans un scénario inexistant ou bien alors incompréhensible! C'est vraiment dommage... Bref je reste sur ma faim, en attendant le deuxième opus, qui j'espère ré-haussera le premier volet.
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1,406
se laisser porter par une vision singulière et oublier notre culture. Telle est la réalité de Dodgem. En me rendant au cinéma je ne pensais pas que je serais autant touché en sortant. Ce film est un récipient dans lequel le réalisateur a jeté tour à tour des éléments qui lui sont chers. Et malgré mon éloignement physique et psychique cette réalité m'a semblé bien plus proche qu'elle n'y parait. Violence, pulsions et tensions, voilà ce qui compose ce film et pourtant on peut y percevoir cette dose de sensibilité unique non perceptible si tous ces éléments cités précédemment n'étaient pas présents. Un film tout en paradoxes qui reste une oeuvre à part mais tellement spéciale qu'il faut la voir.
se laisser porter par une vision singulière et oublier notre culture. Telle est la réalité de Dodgem. En me rendant au cinéma je ne pensais pas que je serais autant touché en sortant. Ce film est un récipient dans lequel le réalisateur a jeté tour à tour des éléments qui lui sont chers. Et malgré mon éloignement physique et psychique cette réalité m'a semblé bien plus proche qu'elle n'y parait. Violence, pulsions et tensions, voilà ce qui compose ce film et pourtant on peut y percevoir cette dose de sensibilité unique non perceptible si tous ces éléments cités précédemment n'étaient pas présents. Un film tout en paradoxes qui reste une oeuvre à part mais tellement spéciale qu'il faut la voir.
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1,407
Ah, les années 80! Époque si particulière où Alain Delon enchainait les navets contenant le mot « flic » dans leurs titres. En l’occurrence, Parole de Flic est une véritable déclaration d’amour à notre gloire nationale: Delon corrige un gros black a main nue et rend folles d’amour toutes les congolaises, Delon fait de la gymnastique avec classe, Delon détruit à lui seul un gang de mafieux et se jette dans le Rhône pour échapper à 60 policiers sans jamais se décoiffer, etc… Je ne m’attarderai même pas sur le coté kitch et raciste du film pour seulement insister sur l’absence totale de réalisme du scénario qui fait passer la banlieue Lyonnaise pour un quartier chaud de Bogota. Un bon gros nanar bien de chez nous.
Ah, les années 80! Époque si particulière où Alain Delon enchainait les navets contenant le mot « flic » dans leurs titres. En l’occurrence, Parole de Flic est une véritable déclaration d’amour à notre gloire nationale: Delon corrige un gros black a main nue et rend folles d’amour toutes les congolaises, Delon fait de la gymnastique avec classe, Delon détruit à lui seul un gang de mafieux et se jette dans le Rhône pour échapper à 60 policiers sans jamais se décoiffer, etc… Je ne m’attarderai même pas sur le coté kitch et raciste du film pour seulement insister sur l’absence totale de réalisme du scénario qui fait passer la banlieue Lyonnaise pour un quartier chaud de Bogota. Un bon gros nanar bien de chez nous.
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1,408
Lorraine Lévy n'est pas Etienne Chatiliez et son remake à la sauce israëlienne de "la vie est un long fleuve tranquille" a du mal à nous arracher un sourire. Les Groseille et les Le Quesnoy sont ici des Palestiniens ou des Juifs (la belle idée!), et l'échange de bébés à la maternité devient un ressort dramatique un peu fatigué. Quelques scènes intéressantes mais tellement d'autres convenues et maladroites, aucune véritable surprise dans ce scénario qui veut concilier tous les contraires. Les bons sentiments font souvent des films ennuyeux! Aucune invention de mise en scène. Le cadrage, les images sont au niveau d'un téléfilm de quatre sous. Ne peut-on s'entourer de professionnels quand on a un projet aussi ambitieux?
Lorraine Lévy n'est pas Etienne Chatiliez et son remake à la sauce israëlienne de "la vie est un long fleuve tranquille" a du mal à nous arracher un sourire. Les Groseille et les Le Quesnoy sont ici des Palestiniens ou des Juifs (la belle idée!), et l'échange de bébés à la maternité devient un ressort dramatique un peu fatigué. Quelques scènes intéressantes mais tellement d'autres convenues et maladroites, aucune véritable surprise dans ce scénario qui veut concilier tous les contraires. Les bons sentiments font souvent des films ennuyeux! Aucune invention de mise en scène. Le cadrage, les images sont au niveau d'un téléfilm de quatre sous. Ne peut-on s'entourer de professionnels quand on a un projet aussi ambitieux?
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1,409
Comme son nom l'indique, Vladimir de Fontenay est français. Par contre, "Mobil Homes", son premier long métrage, est canadien anglophone. Présenté l'an dernier à la Quinzaine des Réalisateurs, ce film est la version longue d'un court métrage au titre identique, sorti il y a 5 ans et qui a été présenté dans de nombreux festivals. Soyons sincère : il arrive qu'une telle "naissance" donne de bons films mais l'inverse est malheureusement ce qui arrive le plus souvent. C'est le cas pour "Mobile homes" : pendant une heure, on est confronté à Ali, une jeune femme totalement immature, mère de Bone, un garçon de 8 ans, et qui a pour compagnon un homme encore plus immature, on a l'impression qu'il n'y a pas vraiment de scénario, ce qu'on voit à l'écran n'apporte rien d'intéressant au spectateur, les scènes étant soit improbables soit trop longues, soit les deux à la fois. Au bout d'une heure, le film prend une tournure plus intéressante, avec une peinture qui arrive à devenir poignante de la relation mère-fils entre Ali et Bone. Cela ne suffit pas, toutefois, à faire de "Mobile homes" un film que l'on conseillera avec force à ses meilleurs amis !
Comme son nom l'indique, Vladimir de Fontenay est français. Par contre, "Mobil Homes", son premier long métrage, est canadien anglophone. Présenté l'an dernier à la Quinzaine des Réalisateurs, ce film est la version longue d'un court métrage au titre identique, sorti il y a 5 ans et qui a été présenté dans de nombreux festivals. Soyons sincère : il arrive qu'une telle "naissance" donne de bons films mais l'inverse est malheureusement ce qui arrive le plus souvent. C'est le cas pour "Mobile homes" : pendant une heure, on est confronté à Ali, une jeune femme totalement immature, mère de Bone, un garçon de 8 ans, et qui a pour compagnon un homme encore plus immature, on a l'impression qu'il n'y a pas vraiment de scénario, ce qu'on voit à l'écran n'apporte rien d'intéressant au spectateur, les scènes étant soit improbables soit trop longues, soit les deux à la fois. Au bout d'une heure, le film prend une tournure plus intéressante, avec une peinture qui arrive à devenir poignante de la relation mère-fils entre Ali et Bone. Cela ne suffit pas, toutefois, à faire de "Mobile homes" un film que l'on conseillera avec force à ses meilleurs amis !
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Sans prétention et très mignon, ce film revisite intelligemment l'origine de la fête de Noel. Il y a juste ce qu'il faut de merveilleux pour satisfaire l'histoire sans tomber dans le religieux. C'est plein d'humour et très tendre. Petits et grands y trouveront leur compte
Sans prétention et très mignon, ce film revisite intelligemment l'origine de la fête de Noel. Il y a juste ce qu'il faut de merveilleux pour satisfaire l'histoire sans tomber dans le religieux. C'est plein d'humour et très tendre. Petits et grands y trouveront leur compte
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Le cinéma, une arme puissante Jean-Paul Jaud donne la parole à ceux qui les mettent en pratique avec un bonheur manifeste, dans les exploitations biologiques bretonnes ou dans une école d'agroécologie sénégalaise. « J'ai été sidéré de voir combien de parents, de municipalités, d'agriculteurs, ont changé après la sortie de Nos enfants nous accuseront. (Son second documentaire, qui a fait près de 300 000 entrées, ndlr),meme si il est vrai que Jean Paul Jaud accentue l'effet anxiogène Lénine a dit : “Le cinéma est l'art qui nous importe le plus”. Pourquoi ? Parce que c'est un instrument de propagande. La force du cinéma est immense et toutes les armes sont bonnes pour combattre l'opacité et la dictature d'une minorité qui hypothèque le vivant. Les gens sont intelligents. Ils sauront faire la synthèse. » La guerre est déclarée.
Le cinéma, une arme puissante Jean-Paul Jaud donne la parole à ceux qui les mettent en pratique avec un bonheur manifeste, dans les exploitations biologiques bretonnes ou dans une école d'agroécologie sénégalaise. « J'ai été sidéré de voir combien de parents, de municipalités, d'agriculteurs, ont changé après la sortie de Nos enfants nous accuseront. (Son second documentaire, qui a fait près de 300 000 entrées, ndlr),meme si il est vrai que Jean Paul Jaud accentue l'effet anxiogène Lénine a dit : “Le cinéma est l'art qui nous importe le plus”. Pourquoi ? Parce que c'est un instrument de propagande. La force du cinéma est immense et toutes les armes sont bonnes pour combattre l'opacité et la dictature d'une minorité qui hypothèque le vivant. Les gens sont intelligents. Ils sauront faire la synthèse. » La guerre est déclarée.
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À forcer de chercher, on trouve... Deux amis voituriers qui travaillent pour un restaurant se servent de cette opportunité d'avoir la voiture du client pour aller les voler chez eux en sachant très bien que la maison sera vide. Une combine rodée jusqu'au jour où Sean pénètre dans la mauvaise maison et découvre quelque chose de terrifiant. Le propriétaire est un maniaque complètement détraqué qui va faire vivre un enfer aux jeunes hommes. "Bad Samaritan" se déroule sous une tension constante et sur un rythme effréné qui ne faiblit jamais. C'est clairement la grande force de ce thriller parfaitement mené et exécuté qui est haletant et captivant jusqu'à la dernière minute. C'est souvent tiré par les cheveux et pas toujours crédible, mais peu importe, car l'on est vraiment pris dans l'action et par ce mano à mano particulièrement intense. C'est une série B totalement assumée qui n'hésite pas à en faire des tonnes quitte à ce que ce soit risible par moment. On ne compte plus les rebondissements et situations improbables, mais c'est aussi ce qui fait le charme de ce film. Les deux films n'ont rien à voir, mais l'histoire m'a fait penser à celle de l'excellent "Disturbia" avec ce jeune homme qui veut prouver qu'un adulte n'est pas celui qu'il prétend être. Le personnage ici se retrouve dans la même galère et est tout aussi en danger sauf qu'ici, le film est plus dynamique et surtout l'action ne se déroule pas à un endroit. Sans être original, ce "Bad Samaritan" est un très bon film avec beaucoup de suspens et d'action qui est peut-être très simple, mais aussi très divertissant.
À forcer de chercher, on trouve... Deux amis voituriers qui travaillent pour un restaurant se servent de cette opportunité d'avoir la voiture du client pour aller les voler chez eux en sachant très bien que la maison sera vide. Une combine rodée jusqu'au jour où Sean pénètre dans la mauvaise maison et découvre quelque chose de terrifiant. Le propriétaire est un maniaque complètement détraqué qui va faire vivre un enfer aux jeunes hommes. "Bad Samaritan" se déroule sous une tension constante et sur un rythme effréné qui ne faiblit jamais. C'est clairement la grande force de ce thriller parfaitement mené et exécuté qui est haletant et captivant jusqu'à la dernière minute. C'est souvent tiré par les cheveux et pas toujours crédible, mais peu importe, car l'on est vraiment pris dans l'action et par ce mano à mano particulièrement intense. C'est une série B totalement assumée qui n'hésite pas à en faire des tonnes quitte à ce que ce soit risible par moment. On ne compte plus les rebondissements et situations improbables, mais c'est aussi ce qui fait le charme de ce film. Les deux films n'ont rien à voir, mais l'histoire m'a fait penser à celle de l'excellent "Disturbia" avec ce jeune homme qui veut prouver qu'un adulte n'est pas celui qu'il prétend être. Le personnage ici se retrouve dans la même galère et est tout aussi en danger sauf qu'ici, le film est plus dynamique et surtout l'action ne se déroule pas à un endroit. Sans être original, ce "Bad Samaritan" est un très bon film avec beaucoup de suspens et d'action qui est peut-être très simple, mais aussi très divertissant.
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Je n'ai pas vu le premier donc je ne peux pas faire de comparaison. Même si trois ou quatre scènes sont vraiment très drôles, j'ai moyennement apprécié ce film car dans l'ensemble cela est vraiment trop con.
Je n'ai pas vu le premier donc je ne peux pas faire de comparaison. Même si trois ou quatre scènes sont vraiment très drôles, j'ai moyennement apprécié ce film car dans l'ensemble cela est vraiment trop con.
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Un des films français les plus justes de son époque, d'une finesse et d'une profondeur étonnantes, très bien mis en scène par A. Jaoui, inattendue à un tel niveau. La direction d'acteurs est remarquable, Chabat et Lanvin n'ayant jamais été aussi bons. Une oeuvre que le meilleur Sautet (celui de "Vincent...") n'aurait pas désavouée. On est ici dans la "qualité française" que pourfendait jadis une certaine critique et non pas dans le cinéma à haut risque pratiqué par Kechiche, Desplechin ou Jacquot, mais ce cinéma plus conventionnel, lorsqu'il est sincère et maîtrisé, peut donner lui-aussi des oeuvres marquantes. "Le goût des autres" est l'une d'elles.
Un des films français les plus justes de son époque, d'une finesse et d'une profondeur étonnantes, très bien mis en scène par A. Jaoui, inattendue à un tel niveau. La direction d'acteurs est remarquable, Chabat et Lanvin n'ayant jamais été aussi bons. Une oeuvre que le meilleur Sautet (celui de "Vincent...") n'aurait pas désavouée. On est ici dans la "qualité française" que pourfendait jadis une certaine critique et non pas dans le cinéma à haut risque pratiqué par Kechiche, Desplechin ou Jacquot, mais ce cinéma plus conventionnel, lorsqu'il est sincère et maîtrisé, peut donner lui-aussi des oeuvres marquantes. "Le goût des autres" est l'une d'elles.
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Considéré comme le meilleur Guy Ritchie a ce jour, Snatch reste en tout cas l'un des plus typiques de son style propre. Une histoire de gangsters alambiquée, sur fond de paris truqués, et toute une galerie de personnages haut en couleur. De nombreuses scènes mythiques, et un Brad Pitt qui livre une des meilleures prestations d'acteur de sa carrière en campant Mickey le Manouche. A consommer sans modération !
Considéré comme le meilleur Guy Ritchie a ce jour, Snatch reste en tout cas l'un des plus typiques de son style propre. Une histoire de gangsters alambiquée, sur fond de paris truqués, et toute une galerie de personnages haut en couleur. De nombreuses scènes mythiques, et un Brad Pitt qui livre une des meilleures prestations d'acteur de sa carrière en campant Mickey le Manouche. A consommer sans modération !
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Ce premier film de Fellini de 1952 contient déjà les motifs développés plus tard. Déjà très maîtrisé, et drôle dans la réalisation, les situations, les dialogues et le rythme. Un couple de bourgeois provinciaux en voyage de noces à Rome. La jeune épouse s’échappe dans les romans-photos et fausse compagnie à son mari pour rencontrer son idole, le cheikh blanc, interprété par Alberto Sordi. Elle est embarquée à Ostia sur la plage du prochain shooting. Le Cheikh blanc tente de la séduire. Sordi est irrésistible dans un de ses nombreux rôles de salaud couard devant sa femme. Fellini brise le réalisme en faisant apparaître Sordi sur une balançoire démesurée de 10 mètres de haut, pris en contre-plongée telle que le voit la jeune femme. Le jeu des acteurs garde quelque chose du muet à la Chaplin avec les yeux écarquillés de Leopold Trieste et Brunella Bovo, tous deux remarquables. Giulietta Masina esquisse son interprétation de Cabiria, la prostituée au grand cœur. La peinture de la bourgeoisie catholique des années 1950 est acide à souhait sans être méchante. Certains personnages grotesques apparaissent déjà comme la rédactrice du roman-photo et le shooting onirique préfigure de nombreuses autres songes de Fellini transposés en films. La musique de Nino Rota donne tout le rythme et la distance entre le rêve et la réalité. A voir.
Ce premier film de Fellini de 1952 contient déjà les motifs développés plus tard. Déjà très maîtrisé, et drôle dans la réalisation, les situations, les dialogues et le rythme. Un couple de bourgeois provinciaux en voyage de noces à Rome. La jeune épouse s’échappe dans les romans-photos et fausse compagnie à son mari pour rencontrer son idole, le cheikh blanc, interprété par Alberto Sordi. Elle est embarquée à Ostia sur la plage du prochain shooting. Le Cheikh blanc tente de la séduire. Sordi est irrésistible dans un de ses nombreux rôles de salaud couard devant sa femme. Fellini brise le réalisme en faisant apparaître Sordi sur une balançoire démesurée de 10 mètres de haut, pris en contre-plongée telle que le voit la jeune femme. Le jeu des acteurs garde quelque chose du muet à la Chaplin avec les yeux écarquillés de Leopold Trieste et Brunella Bovo, tous deux remarquables. Giulietta Masina esquisse son interprétation de Cabiria, la prostituée au grand cœur. La peinture de la bourgeoisie catholique des années 1950 est acide à souhait sans être méchante. Certains personnages grotesques apparaissent déjà comme la rédactrice du roman-photo et le shooting onirique préfigure de nombreuses autres songes de Fellini transposés en films. La musique de Nino Rota donne tout le rythme et la distance entre le rêve et la réalité. A voir.
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Rien de mieux qu'un critique qui réalise son propre film pour voir son approche du cinéma.Yannick Dahan critique le cinéma des autres seulement il n'y pige absolument rien.Il dit avoir été descendu par la presse française car il a fait un film de genre,mais ce n'est pas le cas,son film est juste ultra mauvais.Et tout est mauvais du scènar a la mise en scène en passant par les dialogues et le scénario,mais le pire du pire reste quand même cette horde d'acteurs plus mauvais les uns que les autres.Il faut voir la débilité du truc,quand un des personnages doit se faire coupé la jambe,avec cette scène(et même en général)Dahan se rêve en Tarantino mais c'est raté et idiot.Tout ça sent a plein nez le studio d’écriture canal,c'est aussi mauvais que n'importe quel série foireuse made in canal .Les cons ça ose tout c'est même a ça qu'on les reconnait.
Rien de mieux qu'un critique qui réalise son propre film pour voir son approche du cinéma.Yannick Dahan critique le cinéma des autres seulement il n'y pige absolument rien.Il dit avoir été descendu par la presse française car il a fait un film de genre,mais ce n'est pas le cas,son film est juste ultra mauvais.Et tout est mauvais du scènar a la mise en scène en passant par les dialogues et le scénario,mais le pire du pire reste quand même cette horde d'acteurs plus mauvais les uns que les autres.Il faut voir la débilité du truc,quand un des personnages doit se faire coupé la jambe,avec cette scène(et même en général)Dahan se rêve en Tarantino mais c'est raté et idiot.Tout ça sent a plein nez le studio d’écriture canal,c'est aussi mauvais que n'importe quel série foireuse made in canal .Les cons ça ose tout c'est même a ça qu'on les reconnait.
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Lamentable... J'adore pourtant Gamblin, Baer et Cornillac mais là, passez votre chemin et reportez vous sur la "vraie" série des brigades du tigre. Je me suis endormi au bout de 45 min et Pujol et Terrasson sont vraiment insupportables...
Lamentable... J'adore pourtant Gamblin, Baer et Cornillac mais là, passez votre chemin et reportez vous sur la "vraie" série des brigades du tigre. Je me suis endormi au bout de 45 min et Pujol et Terrasson sont vraiment insupportables...
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Le meilleur (et le premier) documentaire sur un (faux) groupe de rock. Les scènes sont pour la plupart improvisées sur un thème avec des acteurs totalement imprégnés par leurs personnages. L'humour est très anglais, décalé, insaisissable et très très pertinent. Un film qui ne vieillit quasiment pas et les gags sont hilarants. NB : sur la version DVD, il y a 1h20 de scènes coupées qui constituent un excellent complément au film. A voir si vous êtes musicien et que vous aimez le rock. Tout le monde prend cher, Foreigner et autres groupes FM compris !
Le meilleur (et le premier) documentaire sur un (faux) groupe de rock. Les scènes sont pour la plupart improvisées sur un thème avec des acteurs totalement imprégnés par leurs personnages. L'humour est très anglais, décalé, insaisissable et très très pertinent. Un film qui ne vieillit quasiment pas et les gags sont hilarants. NB : sur la version DVD, il y a 1h20 de scènes coupées qui constituent un excellent complément au film. A voir si vous êtes musicien et que vous aimez le rock. Tout le monde prend cher, Foreigner et autres groupes FM compris !
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Le projet Blair Witch bien que maladroit avait le mérite de proposer une vrai ambiance et de populariser le cinéma subjectif. Dans cette fausse suite , il n'y a rien à en tirer. Absolument tout est risible en passant par la réalisation au scénario ennuyant et des acteurs à côté de la plaque. Certains téléfilm font beaucoup mieux que sa !!
Le projet Blair Witch bien que maladroit avait le mérite de proposer une vrai ambiance et de populariser le cinéma subjectif. Dans cette fausse suite , il n'y a rien à en tirer. Absolument tout est risible en passant par la réalisation au scénario ennuyant et des acteurs à côté de la plaque. Certains téléfilm font beaucoup mieux que sa !!
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1,421
Blake Edwards en petite forme. Ça tourne en rond d'une façon assez incroyable. C'est vraiment mal écrit, y a un problème là dedans. On nous appâte sur un scénario mystérieux et au final pendant les trois quart du film on remplit tant bien que mal (sans parvenir à créer une ambiance) et à la fin les révélations s'accélèrent pour faire croire à un super dénouent. Mais c'est raté du coup, car y a pas d'histoire, y a pas d'enquête, le scénario est vraiment petit, c'est même pas spécialement plaisant à regarder. Bref, c'est vraiment pas terrible.
Blake Edwards en petite forme. Ça tourne en rond d'une façon assez incroyable. C'est vraiment mal écrit, y a un problème là dedans. On nous appâte sur un scénario mystérieux et au final pendant les trois quart du film on remplit tant bien que mal (sans parvenir à créer une ambiance) et à la fin les révélations s'accélèrent pour faire croire à un super dénouent. Mais c'est raté du coup, car y a pas d'histoire, y a pas d'enquête, le scénario est vraiment petit, c'est même pas spécialement plaisant à regarder. Bref, c'est vraiment pas terrible.
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Nul, déçu, sans intérêt. L'histoire commence bien puis tourne vite a une bataille inutile. Au final on ne connaît même pas le dénouement de l'histoire principale.
Nul, déçu, sans intérêt. L'histoire commence bien puis tourne vite a une bataille inutile. Au final on ne connaît même pas le dénouement de l'histoire principale.
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Après s'être déjà planté Outre-Atlantique avec l'odieux remake One Missed Called, notre Éric Valette national réitère l'expérience, tourne ce mini-film d'horreur sans ambition, apprend encore deux/trois trucs sur le petit système hollywoodien, prend son chèque et puis s'en va. Car Hybrid est le genre de productions minimalistes effarantes de médiocrité, le scénario étant intéressant mais ne dispose pas du budget conséquent pour être pris au sérieux, empruntant ici et là à Christine, Predator ou encore Aliens. Réalisé sans réelle passion, le long-métrage est un nanar stupide et mal fagoté dont chaque ligne de dialogues a du être écrite par un adolescent boutonneux (le doublage français renforce la nanardise jusqu'à ses derniers retranchements). Valette, passif et peu impliqué, tourne donc cette histoire de monstre d'origine inconnue pouvant se métamorphoser à volonté qui, en ayant opté pour le look de voitures, commence un carnage à deux balles dans un garage rempli d'être humains aussi bêtes que stéréotypés. Mou du genou, répétitif, sans AUCUN suspense ni action valable, Hybrid omet même de nous servir quelques plans gore, devenant une jolie arnaque à peine croyable. Pourtant filmé avec la fameuse Red One pour un budget de 20 millions de dollars, le long-métrage possède une hideuse photographie amatrice, des acteurs en roue libre et des effets visuels abominables sûrement rejetés par Asylum Productions. Aucune exagération, cette erreur filmique est un réel désastre. Merci d'être revenu en France M. Valette, les États-Unis ont bien failli avoir votre peau.
Après s'être déjà planté Outre-Atlantique avec l'odieux remake One Missed Called, notre Éric Valette national réitère l'expérience, tourne ce mini-film d'horreur sans ambition, apprend encore deux/trois trucs sur le petit système hollywoodien, prend son chèque et puis s'en va. Car Hybrid est le genre de productions minimalistes effarantes de médiocrité, le scénario étant intéressant mais ne dispose pas du budget conséquent pour être pris au sérieux, empruntant ici et là à Christine, Predator ou encore Aliens. Réalisé sans réelle passion, le long-métrage est un nanar stupide et mal fagoté dont chaque ligne de dialogues a du être écrite par un adolescent boutonneux (le doublage français renforce la nanardise jusqu'à ses derniers retranchements). Valette, passif et peu impliqué, tourne donc cette histoire de monstre d'origine inconnue pouvant se métamorphoser à volonté qui, en ayant opté pour le look de voitures, commence un carnage à deux balles dans un garage rempli d'être humains aussi bêtes que stéréotypés. Mou du genou, répétitif, sans AUCUN suspense ni action valable, Hybrid omet même de nous servir quelques plans gore, devenant une jolie arnaque à peine croyable. Pourtant filmé avec la fameuse Red One pour un budget de 20 millions de dollars, le long-métrage possède une hideuse photographie amatrice, des acteurs en roue libre et des effets visuels abominables sûrement rejetés par Asylum Productions. Aucune exagération, cette erreur filmique est un réel désastre. Merci d'être revenu en France M. Valette, les États-Unis ont bien failli avoir votre peau.
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"le mal engendre le mal" d'ou l'attraction "d'alien" sur la planète, l'intelligence supérieure ne serait elle pas en dehors de notre portée....."la sphère" pour son bien absorbe l'énergie électrique et les matériaux ferreux.....un seul être humain parti en mission sur Jupiter ose vis à vis de cette boule, en revient sur la planète, et repart avec, malgré sa manipulation extra-terrestre mentale....le Dr Benson et son fils y refaçonnent en lui sa capacité de réflexion et d'action....pour sauver la terre. SC 2000. à la "Matrix" merci de m'avoir prévenue...à ceux qui comprendront....nous sommes plusieurs......
"le mal engendre le mal" d'ou l'attraction "d'alien" sur la planète, l'intelligence supérieure ne serait elle pas en dehors de notre portée....."la sphère" pour son bien absorbe l'énergie électrique et les matériaux ferreux.....un seul être humain parti en mission sur Jupiter ose vis à vis de cette boule, en revient sur la planète, et repart avec, malgré sa manipulation extra-terrestre mentale....le Dr Benson et son fils y refaçonnent en lui sa capacité de réflexion et d'action....pour sauver la terre. SC 2000. à la "Matrix" merci de m'avoir prévenue...à ceux qui comprendront....nous sommes plusieurs......
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Ce film a été pour moi une véritable bonne surprise. Je me suis vraiment pris d’intérêt pour cet homme que l’on suit dans le quotidien de son travail et pour ce qu’il lui arrive. Il s’agit d’un film qui m’a vraiment fait ressentir certaines émotions et que je recommande vivement.
Ce film a été pour moi une véritable bonne surprise. Je me suis vraiment pris d’intérêt pour cet homme que l’on suit dans le quotidien de son travail et pour ce qu’il lui arrive. Il s’agit d’un film qui m’a vraiment fait ressentir certaines émotions et que je recommande vivement.
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J'ai détesté car pour respecter un format de 1h30, la réalisatrice n'hésite pas à rallonger des plans à l'extrème de voiture qui se gare, du gars qui regarde dans le vide pendant 3 minutes, qui traverse un corridor de morge pendant 2 minutes, qui longe un trottoir pendant 2 minutes et demi, qui écoute son autoradio pendant 4 minutes. Le vide scénaristique est abyssal. L'histoire est abbérante, les situations artificielles, le fond sans intérêt. Le seul plaisir est de regarder le jeu de Jean Pierre Darroussin qui est le principal interet du film (sauf les 20 dernieres minutes debiles). Quand un film n'a pas d'argent, on compense par les idées, les dialogues et l'inventivité, tous absents.
J'ai détesté car pour respecter un format de 1h30, la réalisatrice n'hésite pas à rallonger des plans à l'extrème de voiture qui se gare, du gars qui regarde dans le vide pendant 3 minutes, qui traverse un corridor de morge pendant 2 minutes, qui longe un trottoir pendant 2 minutes et demi, qui écoute son autoradio pendant 4 minutes. Le vide scénaristique est abyssal. L'histoire est abbérante, les situations artificielles, le fond sans intérêt. Le seul plaisir est de regarder le jeu de Jean Pierre Darroussin qui est le principal interet du film (sauf les 20 dernieres minutes debiles). Quand un film n'a pas d'argent, on compense par les idées, les dialogues et l'inventivité, tous absents.
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2h de film, un ennui terrible. Marion Cotillard massacre le peu de crédibilité du scénario. x n'a rien à faire ici, il mérite mieux
2h de film, un ennui terrible. Marion Cotillard massacre le peu de crédibilité du scénario. x n'a rien à faire ici, il mérite mieux
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Très mauvais film basé sur un scénario sans intérêt et dans lequel Christian Bale nous offre (probablement?) sa plus mauvaise prestation. Je déconseille!
Très mauvais film basé sur un scénario sans intérêt et dans lequel Christian Bale nous offre (probablement?) sa plus mauvaise prestation. Je déconseille!
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1,429
Mon Dieu que c'est nul.... mais que c'est mauvais !!! C'est chiant et inintéressant. Je vais pas faire la liste de ce qui est mauvais, puisque tout est mauvais dans ce film ! Les acteurs, c'est soit surjoué ou pas assez. La mise en scène, il y a des petites idées, comme les flash-back en noir et blanc, du classique mais c'est toujours efficace pour des flash-back, mais la c'est tout de même incroyable, tout les flash-back sont en noir et blanc mais la d'un coup, vers 20 minutes de film, un flash-back en couleur... POURQUOI ????? pourquoi mettre des le début des foutus flash-back en noir et blanc si d'un coup tu viens en foutre un en couleur, c'est con. La musique, et surtout le thème principal, est pourri, c'est horrible a écouter et malheureusement c'est pas la seule chose désagréable a écouter.... les bruitages sont vraiment, mais alors vraiment mauvais, on dirait un film amateur. Mais j'ai menti ! tout n'est pas mauvais, d’où ma note, j'ai quand même mis une étoile, pour les costumes qui sont très réussis. Bref évitez ce film il est chiant et mal foutu.
Mon Dieu que c'est nul.... mais que c'est mauvais !!! C'est chiant et inintéressant. Je vais pas faire la liste de ce qui est mauvais, puisque tout est mauvais dans ce film ! Les acteurs, c'est soit surjoué ou pas assez. La mise en scène, il y a des petites idées, comme les flash-back en noir et blanc, du classique mais c'est toujours efficace pour des flash-back, mais la c'est tout de même incroyable, tout les flash-back sont en noir et blanc mais la d'un coup, vers 20 minutes de film, un flash-back en couleur... POURQUOI ????? pourquoi mettre des le début des foutus flash-back en noir et blanc si d'un coup tu viens en foutre un en couleur, c'est con. La musique, et surtout le thème principal, est pourri, c'est horrible a écouter et malheureusement c'est pas la seule chose désagréable a écouter.... les bruitages sont vraiment, mais alors vraiment mauvais, on dirait un film amateur. Mais j'ai menti ! tout n'est pas mauvais, d’où ma note, j'ai quand même mis une étoile, pour les costumes qui sont très réussis. Bref évitez ce film il est chiant et mal foutu.
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Derrick n'a rien à envier de ce réaliste, mais néanmoins très chiant, film policier.
Derrick n'a rien à envier de ce réaliste, mais néanmoins très chiant, film policier.
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Un grand moment de ricicule du cinéma français. Une sorte version du "Tour du monde en 80 jours" pour neuneux. Les rebondissements sont plus farfelus les uns que les autres. Les acteurs ne brillent pas par leur crédibilité, mes préférés étant le pasteur et le Chinois. Je ne sais pas où ils l'ont trouvé ce pasteur, il doit sûrement s'agir du mari de la coiffeuse du réalisateur, il a fait pression pour avoir un rôle dans le film. En outre, ce petit tour du monde est pavé de stéréotypes de la pire espèce, le passage le plus ridicule étant celui en Inde avec la pseudo-révolution de palais. Bref, gros caca.
Un grand moment de ricicule du cinéma français. Une sorte version du "Tour du monde en 80 jours" pour neuneux. Les rebondissements sont plus farfelus les uns que les autres. Les acteurs ne brillent pas par leur crédibilité, mes préférés étant le pasteur et le Chinois. Je ne sais pas où ils l'ont trouvé ce pasteur, il doit sûrement s'agir du mari de la coiffeuse du réalisateur, il a fait pression pour avoir un rôle dans le film. En outre, ce petit tour du monde est pavé de stéréotypes de la pire espèce, le passage le plus ridicule étant celui en Inde avec la pseudo-révolution de palais. Bref, gros caca.
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1,432
Film à la radicalité impressionnante qui finit par envoûter durablement du choix même de son décor qu'Antonioni ou Wenders ne renieraient pas : une sorte de no man's land entre autoroute et voie ferrée dont la plate étendue est coupée régulièrement par d'immenses pylônes électriques, qui deviennent le théâtre de la vie de quatre personnes aux trajectoires mêlées et tragiques. On est subjugués par la beauté des cadres et la complexité des personnages qui installent une ambiance fascinante à la limite d'un fantastique poétique. Loin des pochades habituelles du cinéma du plat pays, ce film témoigne de la vigueur étonnante de la création flamande.
Film à la radicalité impressionnante qui finit par envoûter durablement du choix même de son décor qu'Antonioni ou Wenders ne renieraient pas : une sorte de no man's land entre autoroute et voie ferrée dont la plate étendue est coupée régulièrement par d'immenses pylônes électriques, qui deviennent le théâtre de la vie de quatre personnes aux trajectoires mêlées et tragiques. On est subjugués par la beauté des cadres et la complexité des personnages qui installent une ambiance fascinante à la limite d'un fantastique poétique. Loin des pochades habituelles du cinéma du plat pays, ce film témoigne de la vigueur étonnante de la création flamande.
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1,433
Un film un peu décevant, car l'idée de départ était particulièrement originale et promettait quelque chose de vraiment excellent. Au final, un film moyen, car le réalisateur n'a pas réussi à donner du relief à son sujet et n'a pas su s'intérésser aux choses les plus captivantes de son scénario, ne s'intéréssant qu'à des détails assez banales ou en cherchant à provoquer une certaine angoisse dans certaines scènes, ce qu'il fait plutot correctement d'ailleurs. Les personnages sont eux aussi un peu superficiels, malgré des acteurs plutot convaincants. Cela aurait pu être beaucoup mieux.
Un film un peu décevant, car l'idée de départ était particulièrement originale et promettait quelque chose de vraiment excellent. Au final, un film moyen, car le réalisateur n'a pas réussi à donner du relief à son sujet et n'a pas su s'intérésser aux choses les plus captivantes de son scénario, ne s'intéréssant qu'à des détails assez banales ou en cherchant à provoquer une certaine angoisse dans certaines scènes, ce qu'il fait plutot correctement d'ailleurs. Les personnages sont eux aussi un peu superficiels, malgré des acteurs plutot convaincants. Cela aurait pu être beaucoup mieux.
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1,434
Les effets spéciaux et les scènes d'action ont beau se succéder à un rythme infernal, "D-War" n'est qu'une gigantesque bouffonnerie risible et ennuyeuse qui mêle tous les stéréotypes de la fantaisie et du film catastrophe.
Les effets spéciaux et les scènes d'action ont beau se succéder à un rythme infernal, "D-War" n'est qu'une gigantesque bouffonnerie risible et ennuyeuse qui mêle tous les stéréotypes de la fantaisie et du film catastrophe.
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1,435
Magnifique ! M. Chouraqui parvient durant 2h à nous faire sentir l'odeur de la mort et du desespoir le plus profond à travers les yeux d'une femme que l'amour pousse à entrer dans cette enfer que fut la Yougoslavie en 91. Brutal, violent, choquant, il n'en reste pas moins extrêmement bien joué et bien construit. A méditer sur les derniers évènements de Georgie. Posons-nous également la question de "Comment se fait-il qu'un conflit aussi atroce et aussi sanguinaire soit au porte de l'Europe et que personne ne fait rien ?" A voir au moins une fois dans sa vie.
Magnifique ! M. Chouraqui parvient durant 2h à nous faire sentir l'odeur de la mort et du desespoir le plus profond à travers les yeux d'une femme que l'amour pousse à entrer dans cette enfer que fut la Yougoslavie en 91. Brutal, violent, choquant, il n'en reste pas moins extrêmement bien joué et bien construit. A méditer sur les derniers évènements de Georgie. Posons-nous également la question de "Comment se fait-il qu'un conflit aussi atroce et aussi sanguinaire soit au porte de l'Europe et que personne ne fait rien ?" A voir au moins une fois dans sa vie.
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1,436
Papillon est et restera un classique des seventies. La réalisation est excellente et fait souvent penser à "La planète de singes" mis en scène par le même réalisateur quelque années plus tôt. Le duo des géants que forme Steve McQueen et Dustin Hoffman est une véritable réussite. Cette histoire inspirée des anecdotes de Henry Charrière (le véritable papillon) sur sa détention, son évasion et son besoin sans limite de liberté est captivante. Le seul bémol pour moi dans ces 2H30 de film est la partie "aventure" quand ils arrivent au Honduras, pendant 15-20 minutes le film dérape un peu dans tous les sens, sinon cette œuvre reste un véritable plaisir à voir et à revoir.
Papillon est et restera un classique des seventies. La réalisation est excellente et fait souvent penser à "La planète de singes" mis en scène par le même réalisateur quelque années plus tôt. Le duo des géants que forme Steve McQueen et Dustin Hoffman est une véritable réussite. Cette histoire inspirée des anecdotes de Henry Charrière (le véritable papillon) sur sa détention, son évasion et son besoin sans limite de liberté est captivante. Le seul bémol pour moi dans ces 2H30 de film est la partie "aventure" quand ils arrivent au Honduras, pendant 15-20 minutes le film dérape un peu dans tous les sens, sinon cette œuvre reste un véritable plaisir à voir et à revoir.
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1,437
On peut dire ce qu'on veut, mais Clint Eastwood est un réalisateur de génie. Ce film est une pure merveille. Je ne vois pas comment on peut le noter autrement puisque je ne lui vois aucun défaut. L'histoire nous permet de suivre le destin tragique d'un homme qui perd sa fille assassiné par un inconnu. Tout tourne autour de 3 hommes qui sont des amis d'enfance : le père qui a perdu sa fille et qui est un ancien criminel, le flic qui va enquêter sur le meurtre et celui qui fut violé et torturé plus jeune et qui forcément a de lourdes séquelles psychologiques. L'intensité dramatique, le jeu des acteurs, l'ambiance et le scénario nous plonge dans un univers qui ne laissera personne insensible. Bref : un film à voir et revoir de nombreuses fois !
On peut dire ce qu'on veut, mais Clint Eastwood est un réalisateur de génie. Ce film est une pure merveille. Je ne vois pas comment on peut le noter autrement puisque je ne lui vois aucun défaut. L'histoire nous permet de suivre le destin tragique d'un homme qui perd sa fille assassiné par un inconnu. Tout tourne autour de 3 hommes qui sont des amis d'enfance : le père qui a perdu sa fille et qui est un ancien criminel, le flic qui va enquêter sur le meurtre et celui qui fut violé et torturé plus jeune et qui forcément a de lourdes séquelles psychologiques. L'intensité dramatique, le jeu des acteurs, l'ambiance et le scénario nous plonge dans un univers qui ne laissera personne insensible. Bref : un film à voir et revoir de nombreuses fois !
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De si bons acteurs pour un si mauvais film, c'est incroyable. Ce film est très ennuyeux et incompréhensible. Un vrai calvaire. 0/5
De si bons acteurs pour un si mauvais film, c'est incroyable. Ce film est très ennuyeux et incompréhensible. Un vrai calvaire. 0/5
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1,439
Michael Kohlhaas est l'interprétation contemporaine d'un récit original culte du début du 19ème siècle sur le thème très délicat, et profond, de la justice. Tous les ingrédients étaient à la disposition du réalisateur pour en faire un film fantastique, ainsi que le casting, en plus de ne pas avoir à se préoccuper d'un scénario déjà écrit et très bon. Malheureusement, ce dernier sombre dans une réalisation prétentieuse rendant toute action illisible : très obscure pour ne pas dire complètement dans le noir, que des gros plans et très gros plans rendant l’appréhension de l'espace impossible et l'action incompréhensible, le montage arythmique est très agaçant et non justifié. A part peut être Mads Mikkelsen, les personnages n'ont véritablement aucune contenance, zéro. Je vois difficilement comment le sentiment d'injustice qui est censé jaillir chez le spectateur peut apparaître tant la distanciation est forte, les personnages peu crédibles et pas attachants pour un sou. L'esthétique néanmoins subtile et très épurée ne suffit malheureusement pas du tout à combler ces tares : on a le sentiment d'un soufflet dégonflé, un bon film tué dans l'oeuf, ce film est chiant à souhait, il n'y a même pas une seule baston intéressante pour consoler.
Michael Kohlhaas est l'interprétation contemporaine d'un récit original culte du début du 19ème siècle sur le thème très délicat, et profond, de la justice. Tous les ingrédients étaient à la disposition du réalisateur pour en faire un film fantastique, ainsi que le casting, en plus de ne pas avoir à se préoccuper d'un scénario déjà écrit et très bon. Malheureusement, ce dernier sombre dans une réalisation prétentieuse rendant toute action illisible : très obscure pour ne pas dire complètement dans le noir, que des gros plans et très gros plans rendant l’appréhension de l'espace impossible et l'action incompréhensible, le montage arythmique est très agaçant et non justifié. A part peut être Mads Mikkelsen, les personnages n'ont véritablement aucune contenance, zéro. Je vois difficilement comment le sentiment d'injustice qui est censé jaillir chez le spectateur peut apparaître tant la distanciation est forte, les personnages peu crédibles et pas attachants pour un sou. L'esthétique néanmoins subtile et très épurée ne suffit malheureusement pas du tout à combler ces tares : on a le sentiment d'un soufflet dégonflé, un bon film tué dans l'oeuf, ce film est chiant à souhait, il n'y a même pas une seule baston intéressante pour consoler.
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Bon dieu mais c'est un des pires navets que j'ai vu de ma vie. Non mais mêmes les enfants de la salle s'étaient ennuyés, je m'en rappelle comme si s'était hier. Luc Besson (qui est un réalisateur que je déteste) s'enfonce définitivement avec cette saga animée/live aussi ringarde qu'idiote et sans fondements.Si le premier Arthur se tenait à peu près, car il y avait quand même la surprise de connaître un univers inédit et minéral, cette suite:"Arthur et la vengeance de Malthazard" est une insulte à l'intelligence du public,même les jeunes enfants. Déjà, le film est très long à démarrer(Arthur n'intègre le monde des Minimoys qu'au bout de 40 minutes),il ne se passe vraiment rien scénaristiquement. Le film ne sert a rien et ne sert qu'a élaborer la suite pour se faire plus de fric. Les parents d'Arthur le cherchent bêtement,avec leur jeu plus que mauvais. Arthur,lui,retrouve ses amis qui ont à peine droit à une séquence.Tous les personnages sont stéréotypés et sans aspérités,du Bêtamèche le gaffeur invétéré à la prince Sélénia, superficielle.De plus, Besson se vautre complètement dans les idées reçues sur la banlieue(le langage djeuns)et sur les étrangers(le pizzaïolo à l'accent chantant).Ainsi,sa complainte écologique passe inaperçue.Les effets spéciaux de la société BUF restent intéressants.Un gros nanar exaspérant et à oublier vite! Et encore, ce film m'a tellement marqué a cause de son taux de nullisme que je n'arrive toujours pas à le chasser de ma tête. Je te détestai, je te déteste et je te détesterai pour toujours Besson!
Bon dieu mais c'est un des pires navets que j'ai vu de ma vie. Non mais mêmes les enfants de la salle s'étaient ennuyés, je m'en rappelle comme si s'était hier. Luc Besson (qui est un réalisateur que je déteste) s'enfonce définitivement avec cette saga animée/live aussi ringarde qu'idiote et sans fondements.Si le premier Arthur se tenait à peu près, car il y avait quand même la surprise de connaître un univers inédit et minéral, cette suite:"Arthur et la vengeance de Malthazard" est une insulte à l'intelligence du public,même les jeunes enfants. Déjà, le film est très long à démarrer(Arthur n'intègre le monde des Minimoys qu'au bout de 40 minutes),il ne se passe vraiment rien scénaristiquement. Le film ne sert a rien et ne sert qu'a élaborer la suite pour se faire plus de fric. Les parents d'Arthur le cherchent bêtement,avec leur jeu plus que mauvais. Arthur,lui,retrouve ses amis qui ont à peine droit à une séquence.Tous les personnages sont stéréotypés et sans aspérités,du Bêtamèche le gaffeur invétéré à la prince Sélénia, superficielle.De plus, Besson se vautre complètement dans les idées reçues sur la banlieue(le langage djeuns)et sur les étrangers(le pizzaïolo à l'accent chantant).Ainsi,sa complainte écologique passe inaperçue.Les effets spéciaux de la société BUF restent intéressants.Un gros nanar exaspérant et à oublier vite! Et encore, ce film m'a tellement marqué a cause de son taux de nullisme que je n'arrive toujours pas à le chasser de ma tête. Je te détestai, je te déteste et je te détesterai pour toujours Besson!
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1,441
Difficile d'imaginer plus mauvais: ennui de bout en bout garanti. Une énorme déception face à ces réalisateurs qui sont donc capables du pire comme du meilleur. La palme du pire revient sans conteste à Ave César.
Difficile d'imaginer plus mauvais: ennui de bout en bout garanti. Une énorme déception face à ces réalisateurs qui sont donc capables du pire comme du meilleur. La palme du pire revient sans conteste à Ave César.
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1,442
Cette série est une tâche a l'univers de Star Wars. En toute modestie, le fan des films Star Wars que je suis est accablé de voir cette tirelire 3D se remplir les poche en visant un jeune, voir très jeune public et en lui proposant des histoire absurde dans la chronologie de Star Wars et toujours plus incohérentes les unes par rapport aux autres. Aucune qualité trouvé a cette série...
Cette série est une tâche a l'univers de Star Wars. En toute modestie, le fan des films Star Wars que je suis est accablé de voir cette tirelire 3D se remplir les poche en visant un jeune, voir très jeune public et en lui proposant des histoire absurde dans la chronologie de Star Wars et toujours plus incohérentes les unes par rapport aux autres. Aucune qualité trouvé a cette série...
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1,443
Amateur d'Histoire passe ton chemin. La reconstitution multiplie les invraisemblances, et la superproduction du sujet nous embarque dans un imcomprenhensible fatras de canons, de vizirs, de pontifs en soutanes, et de marrées de globules rouges. Amateur de boucherie Historique, tu trouveras peut etre içi des inédits : une grosse bertha turque, des vizirettes tout juste sorties de la Star-ac, un story telling à la Star Wars, mais façon Kebab :sick:
Amateur d'Histoire passe ton chemin. La reconstitution multiplie les invraisemblances, et la superproduction du sujet nous embarque dans un imcomprenhensible fatras de canons, de vizirs, de pontifs en soutanes, et de marrées de globules rouges. Amateur de boucherie Historique, tu trouveras peut etre içi des inédits : une grosse bertha turque, des vizirettes tout juste sorties de la Star-ac, un story telling à la Star Wars, mais façon Kebab :sick:
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1,444
"L'ami de la famille" est dans la forme encore plus surprenant que "Les Conséqeunces de l'amour", mais dans le fond, moins saisissant et beaucoup plus repoussant... Histoire tordue, malsaine avec ce personnage antipathique et pathétique de Geremia, en contraste avec la belle Rosalba (Laura Chiatti), qu'on a même du mal à comprendre, dès le début du film. La relation entre la jeune mariée et l'usurier est glauque, en fait tout est glauque mais exceptionnellement mis en forme. Les plans et mouvements nerveux de la caméra, le choix des décors, des lumières, le rythme, le montage sont la preuve du talent de Sorrentino en ce qui concerne la mise en scène. Si on ne capte pas pleinement l'histoire, si le personnage s'avère trop souvent affreusement antipathique, la forme relève du génie. Sorrentino est une figure importante dans le renouveau du cinéma italien, jouant avec le cynisme, l'ironie, le pathétique de la situation, en bref un cinéma original.
"L'ami de la famille" est dans la forme encore plus surprenant que "Les Conséqeunces de l'amour", mais dans le fond, moins saisissant et beaucoup plus repoussant... Histoire tordue, malsaine avec ce personnage antipathique et pathétique de Geremia, en contraste avec la belle Rosalba (Laura Chiatti), qu'on a même du mal à comprendre, dès le début du film. La relation entre la jeune mariée et l'usurier est glauque, en fait tout est glauque mais exceptionnellement mis en forme. Les plans et mouvements nerveux de la caméra, le choix des décors, des lumières, le rythme, le montage sont la preuve du talent de Sorrentino en ce qui concerne la mise en scène. Si on ne capte pas pleinement l'histoire, si le personnage s'avère trop souvent affreusement antipathique, la forme relève du génie. Sorrentino est une figure importante dans le renouveau du cinéma italien, jouant avec le cynisme, l'ironie, le pathétique de la situation, en bref un cinéma original.
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Après avoir remis au goût du jour "Aashiqui", Mohit Suri nous propose sa propre version du film coréen "I Saw The Devil", car même s'il reprend la ligne directrice du film, le réalisateur apporte son style et le met à la sauce Bollywood même si on est loin du folklore habituel puisque même s'il y a des interludes musicaux, il n'y a aucune partie chorégraphiée. J'ai trouvé le film excellent, on est directement plongés dans l'ambiance, c'est captivant du début à la fin, le mano-à-mano entre ces deux tueurs ne cesse d'évoluer et est vraiment très intense, Riteish Deshmukh m'a vraiment étonné puisqu'il passe d'un simple tueur qui semble faible puisqu'il s'en prend aux femmes pour être, à la fin, vraiment charismatique et sans scrupules. Ce n'est pas le meilleur scénario possible puisqu'il n'y a quasiment pas de surprises, mais le film est vraiment bien maîtrisé, il y a un bon mélange entre les scènes style thriller et tout ce qui touche à la romance avec une superbe Shraddha Kapoor, ce qui donne un ensemble cohérent et très divertissant.
Après avoir remis au goût du jour "Aashiqui", Mohit Suri nous propose sa propre version du film coréen "I Saw The Devil", car même s'il reprend la ligne directrice du film, le réalisateur apporte son style et le met à la sauce Bollywood même si on est loin du folklore habituel puisque même s'il y a des interludes musicaux, il n'y a aucune partie chorégraphiée. J'ai trouvé le film excellent, on est directement plongés dans l'ambiance, c'est captivant du début à la fin, le mano-à-mano entre ces deux tueurs ne cesse d'évoluer et est vraiment très intense, Riteish Deshmukh m'a vraiment étonné puisqu'il passe d'un simple tueur qui semble faible puisqu'il s'en prend aux femmes pour être, à la fin, vraiment charismatique et sans scrupules. Ce n'est pas le meilleur scénario possible puisqu'il n'y a quasiment pas de surprises, mais le film est vraiment bien maîtrisé, il y a un bon mélange entre les scènes style thriller et tout ce qui touche à la romance avec une superbe Shraddha Kapoor, ce qui donne un ensemble cohérent et très divertissant.
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Encore 1h30 de branlette intellectuelle. Un film où je ne comprends pas où est le réel et la fiction, ça me gonfle, je ne crois pas être stupide pourtant, le scénario est indigent, ce n'est d'ailleurs pas un film, c'est un pseudo-documentaire nombriliste. Aucun intérêt.
Encore 1h30 de branlette intellectuelle. Un film où je ne comprends pas où est le réel et la fiction, ça me gonfle, je ne crois pas être stupide pourtant, le scénario est indigent, ce n'est d'ailleurs pas un film, c'est un pseudo-documentaire nombriliste. Aucun intérêt.
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Il y a un truc qui est énorme dans ce film... Et ce n'est autre qu'Angelina Jolie... Je suis fan.
Il y a un truc qui est énorme dans ce film... Et ce n'est autre qu'Angelina Jolie... Je suis fan.
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Pour le coup, il serait assez hypocrite de blâmer José Alcala d’avoir réalisé un polar noir à connotation sociale qui sent le réchauffé. En revanche, on peut le blâmer car son film vaut que dalle et est aussi ennuyeux que les petits téléfilms lambdas que les mémères de cinquante berges regardent le soir en jouant de la machine à coudre. Ce « Coup d’éclat » est un échec complet, et ce, à tous les points de vue. L’histoire de cette femme flic alcoolique usée par le côté inhumain de son métier qui se met à la recherche du fils d’une prostituée russe ne tient pas la route une seule seconde. La réalisation est ignoble. On a plus l’impression de regarder un film d’amateur qu’autre chose. Je passerai sur le jeu des acteurs qui est à l’image de film: c’est-à-dire bidon. Même Catherine Frot. Le rôle d’une flic portée sur la bouteille ne lui convient pas. On la sent mal à l’aise. De plus, elle a l’air de s’ennuyer copieusement. Le sujet (bien que classique) aurait pu être pas mal, s’il avait été correctement exploité, l’ambiance glauque était là aussi, mais au final, tout ce que l’on obtient c’est navet phénoménal. A la poubelle.
Pour le coup, il serait assez hypocrite de blâmer José Alcala d’avoir réalisé un polar noir à connotation sociale qui sent le réchauffé. En revanche, on peut le blâmer car son film vaut que dalle et est aussi ennuyeux que les petits téléfilms lambdas que les mémères de cinquante berges regardent le soir en jouant de la machine à coudre. Ce « Coup d’éclat » est un échec complet, et ce, à tous les points de vue. L’histoire de cette femme flic alcoolique usée par le côté inhumain de son métier qui se met à la recherche du fils d’une prostituée russe ne tient pas la route une seule seconde. La réalisation est ignoble. On a plus l’impression de regarder un film d’amateur qu’autre chose. Je passerai sur le jeu des acteurs qui est à l’image de film: c’est-à-dire bidon. Même Catherine Frot. Le rôle d’une flic portée sur la bouteille ne lui convient pas. On la sent mal à l’aise. De plus, elle a l’air de s’ennuyer copieusement. Le sujet (bien que classique) aurait pu être pas mal, s’il avait été correctement exploité, l’ambiance glauque était là aussi, mais au final, tout ce que l’on obtient c’est navet phénoménal. A la poubelle.
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1,449
Un excellent film ou le suspens est présent jusqu'au dernier instant! Ron Howard s'est encadré d'un casting au top et d'un scénario en béton armé pour nous concocter un super divertissement. La mise en scène est impeccable, la musique est bonne et les dialogues bien tournés. Bref que du tout bon donc! Un film a voir en famille pour passer un excellent moment!
Un excellent film ou le suspens est présent jusqu'au dernier instant! Ron Howard s'est encadré d'un casting au top et d'un scénario en béton armé pour nous concocter un super divertissement. La mise en scène est impeccable, la musique est bonne et les dialogues bien tournés. Bref que du tout bon donc! Un film a voir en famille pour passer un excellent moment!
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1,450
Je met la 2ème étoiles mais je tiens à préciser que c'est nullement à cause "d'un coup de vieux" complètement dénué de sens. Le problème du film tient à un suspense inexistant (un comble pour Hitchcock) et surtout à deux invraisemblances ; un membres du jury est une connaissance de l'accusée ce qui est impossible, et en plus une contre-enquête réalisé par un ex-membre du jury ?! vraiment trop difficile à croire. Cependant une étoile pour la contre-enquête très intéressante et bien menée.
Je met la 2ème étoiles mais je tiens à préciser que c'est nullement à cause "d'un coup de vieux" complètement dénué de sens. Le problème du film tient à un suspense inexistant (un comble pour Hitchcock) et surtout à deux invraisemblances ; un membres du jury est une connaissance de l'accusée ce qui est impossible, et en plus une contre-enquête réalisé par un ex-membre du jury ?! vraiment trop difficile à croire. Cependant une étoile pour la contre-enquête très intéressante et bien menée.
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1,451
Il faudrait inventer un nouveau mot franglais pour qualifier la médiocrité de ce film: kingdominable? Non, il n' y aucun effet gore (contrairement à ce qu'affirment certaines critiques et qui m'ont poussé à voir ce film). Le dernier effet spéciaux est le plus mauvais et le plus hilarant que j'ai jamais vu et qui mériterait de passer à l'émission "Escale à Nanarland" (si l'émission existe encore). Je ne comprend même pas que ce film ait pu sortir en DVD!
Il faudrait inventer un nouveau mot franglais pour qualifier la médiocrité de ce film: kingdominable? Non, il n' y aucun effet gore (contrairement à ce qu'affirment certaines critiques et qui m'ont poussé à voir ce film). Le dernier effet spéciaux est le plus mauvais et le plus hilarant que j'ai jamais vu et qui mériterait de passer à l'émission "Escale à Nanarland" (si l'émission existe encore). Je ne comprend même pas que ce film ait pu sortir en DVD!
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1,452
Sur la trame archi-usée du film de potes, ici des quinquas un peu cabossés, ce film déroule une série de tableaux à l'esthétique proche de celle des clips publicitaires - les buveurs de lait et autres mangeurs de jambon, si vous voyez ce que je veux dire - certaines scènes n'étant même pas dialoguées. Une histoire de copain condamné par une sale maladie, des couples qui se défont pour le côté mélo, et l'amitié qui rachète toutes les petites misères, du côté comédie. Musique lourdingue, scénario étiré en chewing-gum et donc sans saveur au bout d'une demi-heure, dialogues bâclés, rien ne rachète l'ennui qui s'abat sur le spectateur même le mieux disposé. Cette absence d'originalité écrase les personnalités d'une brochette d'acteurs plutôt mal employés ici et qu'on a connu bien meilleurs. Ne vous attendez ni à Un éléphant ça trompe ni aux Petits mouchoirs qui, visiblement, ont servi de modèle.
Sur la trame archi-usée du film de potes, ici des quinquas un peu cabossés, ce film déroule une série de tableaux à l'esthétique proche de celle des clips publicitaires - les buveurs de lait et autres mangeurs de jambon, si vous voyez ce que je veux dire - certaines scènes n'étant même pas dialoguées. Une histoire de copain condamné par une sale maladie, des couples qui se défont pour le côté mélo, et l'amitié qui rachète toutes les petites misères, du côté comédie. Musique lourdingue, scénario étiré en chewing-gum et donc sans saveur au bout d'une demi-heure, dialogues bâclés, rien ne rachète l'ennui qui s'abat sur le spectateur même le mieux disposé. Cette absence d'originalité écrase les personnalités d'une brochette d'acteurs plutôt mal employés ici et qu'on a connu bien meilleurs. Ne vous attendez ni à Un éléphant ça trompe ni aux Petits mouchoirs qui, visiblement, ont servi de modèle.
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1,453
Mené par l’inénarrable bougon Jean-Pierre Bacri, exceptionnel comme toujours, secondé par Isabelle Carré, Claude Rich et Kristin Scott Thomas, tous exquis, un jeu de pistes ludique et drôle qui a pour objectif de sonder la solitude et la complexité des relations au sein d’une famille française aisée et leur volonté et capacité à s’assister les uns les autres. Les répliques incisives font mouche et certaines scènes sont franchement drôles.
Mené par l’inénarrable bougon Jean-Pierre Bacri, exceptionnel comme toujours, secondé par Isabelle Carré, Claude Rich et Kristin Scott Thomas, tous exquis, un jeu de pistes ludique et drôle qui a pour objectif de sonder la solitude et la complexité des relations au sein d’une famille française aisée et leur volonté et capacité à s’assister les uns les autres. Les répliques incisives font mouche et certaines scènes sont franchement drôles.
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1,454
Un bijou ! Tout simplement. Si vous êtes sensible au kitsch kundérien, si vous avez déjà songé à ce qui restera de notre existence et que le nihilisme ne vous fait pas peur, vous serez touché par la justesse du propos et l'esthétique inhabituelle de ce film. Si vous aimez les histoires avec des gentils, des méchants et des poursuites de voiture, n'entrez surtout pas dans la salle. Danger d'éveil neuronal immédiat.
Un bijou ! Tout simplement. Si vous êtes sensible au kitsch kundérien, si vous avez déjà songé à ce qui restera de notre existence et que le nihilisme ne vous fait pas peur, vous serez touché par la justesse du propos et l'esthétique inhabituelle de ce film. Si vous aimez les histoires avec des gentils, des méchants et des poursuites de voiture, n'entrez surtout pas dans la salle. Danger d'éveil neuronal immédiat.
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1,455
Le cinéma italien est plein de vie en ce moment, en tous cas par le biais de ce que les distributeurs franciliens veulent bien nous faire découvrir. Et le postulat de ce huis-clos en plein air est tellement ubuesque qu’il en est alléchant : deux voitures se font face dans une ruelle de Palerme sans qu’aucune des deux conductrices et leurs passagers ne veuillent céder à faire marche arrière. De là toutes les situations dramatiques, sociales ou comiques pouvaient – et auraient dû – entrer en jeu. Las, on assiste plutôt à un film qui gâche son potentiel dans les grandes largeurs. Surtout que lors de plans larges on constate qu’il y avait largement assez de place pour que les deux voitures puissent passer ! Mais soit. Si le début intrigue avec les scènes présentant les personnages et un très beau plan de cette vieille dame allongée sur une tombe après avoir nourri des chiens, le reste tombe à plat et déconcerte. Le premier tiers est caustique et semble amener le film vers une comédie de la vie où tout un pan de la société sicilienne allait être décortiqué. Mais plus le long-métrage avance et plus la réalisatrice prend des choix hasardeux, entre pari sur qui cédera la première et comportements incompréhensibles. Ni suspense, ni émotion, ni rire mais plutôt un incommensurable ennui qui nous amène à nous fiche de savoir comment se terminera cette anecdote de page de fait divers. Elle loupe l’analyse du microcosme sociétal que ce scénario lui offrait sur un plateau tout comme la comédie à l’italienne et les traits d’humour que cette situation aurait pu provoquer. Pour couronner le tout, la réalisatrice clôt son film sur un interminable et abscons plan de plus de cinq minutes sur la rue et ses habitants ! A éviter !
Le cinéma italien est plein de vie en ce moment, en tous cas par le biais de ce que les distributeurs franciliens veulent bien nous faire découvrir. Et le postulat de ce huis-clos en plein air est tellement ubuesque qu’il en est alléchant : deux voitures se font face dans une ruelle de Palerme sans qu’aucune des deux conductrices et leurs passagers ne veuillent céder à faire marche arrière. De là toutes les situations dramatiques, sociales ou comiques pouvaient – et auraient dû – entrer en jeu. Las, on assiste plutôt à un film qui gâche son potentiel dans les grandes largeurs. Surtout que lors de plans larges on constate qu’il y avait largement assez de place pour que les deux voitures puissent passer ! Mais soit. Si le début intrigue avec les scènes présentant les personnages et un très beau plan de cette vieille dame allongée sur une tombe après avoir nourri des chiens, le reste tombe à plat et déconcerte. Le premier tiers est caustique et semble amener le film vers une comédie de la vie où tout un pan de la société sicilienne allait être décortiqué. Mais plus le long-métrage avance et plus la réalisatrice prend des choix hasardeux, entre pari sur qui cédera la première et comportements incompréhensibles. Ni suspense, ni émotion, ni rire mais plutôt un incommensurable ennui qui nous amène à nous fiche de savoir comment se terminera cette anecdote de page de fait divers. Elle loupe l’analyse du microcosme sociétal que ce scénario lui offrait sur un plateau tout comme la comédie à l’italienne et les traits d’humour que cette situation aurait pu provoquer. Pour couronner le tout, la réalisatrice clôt son film sur un interminable et abscons plan de plus de cinq minutes sur la rue et ses habitants ! A éviter !
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1,456
Un beau sujet, mais malheureusement mal traité, comme un téléfilm à la FR3, avec une musique horrible, des costumes sortis tout droit des cartons du loueur, beaucoup trop de contemplation et de lenteur , l'ensemble sonne faux...dommage.
Un beau sujet, mais malheureusement mal traité, comme un téléfilm à la FR3, avec une musique horrible, des costumes sortis tout droit des cartons du loueur, beaucoup trop de contemplation et de lenteur , l'ensemble sonne faux...dommage.
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1,457
Ne cherchez pas un sens à tout ça, il n'y en a pas. Déjà le début du film est très long, la seconde partie du film c'est du gore gratuit. Après avoir tué accidentellement sa meilleure amie, Alyce devient dingue, tellement dingue et pour une raison inconnue, elle va tuer d'autres personnes. Et attendez 1h10 avant qu'elle fasse son premier meurtre. C'est mal joué, les dialogues frisent parfois le ridicule, c'est incohérent, certaines réactions sont complètement irrationnelles et c'est mal filmé. Ne vous fiez pas a la jaquette et a la phrase mensongère "c'est tuer ou être tuer"
Ne cherchez pas un sens à tout ça, il n'y en a pas. Déjà le début du film est très long, la seconde partie du film c'est du gore gratuit. Après avoir tué accidentellement sa meilleure amie, Alyce devient dingue, tellement dingue et pour une raison inconnue, elle va tuer d'autres personnes. Et attendez 1h10 avant qu'elle fasse son premier meurtre. C'est mal joué, les dialogues frisent parfois le ridicule, c'est incohérent, certaines réactions sont complètement irrationnelles et c'est mal filmé. Ne vous fiez pas a la jaquette et a la phrase mensongère "c'est tuer ou être tuer"
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1,458
Un chef d'oeuvre, racontant le quotidien tragique, fait de désillusions et de petites victoires, d'un flic des stups dans une époque marquée par la recrudescence de la toxicomanie, du sida, et de la crise sociale. Didier Besace, en héros anonyme et un peu perdu, est incroyable d'intensité et chialant d'humanité. A ne pas comprendre comment il a pu avoir une carrière aussi restreinte. Le film n'en reste pas moins d'une qualité extraordinaire, de par sa réalisation épurée mais percutante, ses seconds rôles tous crédibles et intéressants (Torreton !), et par son histoire humble mais pourtant tellement passionnante car réaliste. En écrivant je me rend compte que ce film pourrait très bien être mis en parallèle avec la série The Wire. A VOIR ABSOLUMENT!
Un chef d'oeuvre, racontant le quotidien tragique, fait de désillusions et de petites victoires, d'un flic des stups dans une époque marquée par la recrudescence de la toxicomanie, du sida, et de la crise sociale. Didier Besace, en héros anonyme et un peu perdu, est incroyable d'intensité et chialant d'humanité. A ne pas comprendre comment il a pu avoir une carrière aussi restreinte. Le film n'en reste pas moins d'une qualité extraordinaire, de par sa réalisation épurée mais percutante, ses seconds rôles tous crédibles et intéressants (Torreton !), et par son histoire humble mais pourtant tellement passionnante car réaliste. En écrivant je me rend compte que ce film pourrait très bien être mis en parallèle avec la série The Wire. A VOIR ABSOLUMENT!
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Le Grand Blond avec une chaussure noire : Un classique de la comédie française devenu culte comme on en voit plus de nos jours. Avec un personnage culte et hilarant car il lui arrive des tonne de truck malgré lui. Un magistralement bien interprété par l’amusant et unique Pierre Richard qui me fait rire a chaque fois dans ces comédies (La Chèvre, Les Compères, Le Jouet…) et cette comédie ne déroge pas à la règle. Et puis il joue à merveille son rôle de monsieur tout le monde, un peu maladroit, qui lui arrive des trucks incroyables malgré lui. Et avec lui, on a le droit à un casting en or : Mireille Darc (avec sa robe coupée au dos, on s’en souviendra), Jean Rochefort, Bernard Blier… Et ils sont tous très convaincant et drôle. De plus, le scénario est vraiment amusant à suivre : cette personne prit au hasard (car il avait une chaussure noire ^^) par les services secrets français et qui va devenir une véritable piège a con comme il le dise si bien ^^. Et puis la va s’enchaine avec panache une multitude de gags, de scène cocasse, loufoque, drôle et aussi culte. Les dialogues, réplique et situation sont excellent, comme on avait le génie à l’époque de nous faire rire. Enfin voila, tous y est pour que on passe un très bon moment a rigolé. Un classique de la comédie, une comédie d’espionnage a la française vraiment marrant, à voir absolument car il vaut le coup d’œil et c’est un plaisir a regardé. Pour moi, c’est un coup de cœur.
Le Grand Blond avec une chaussure noire : Un classique de la comédie française devenu culte comme on en voit plus de nos jours. Avec un personnage culte et hilarant car il lui arrive des tonne de truck malgré lui. Un magistralement bien interprété par l’amusant et unique Pierre Richard qui me fait rire a chaque fois dans ces comédies (La Chèvre, Les Compères, Le Jouet…) et cette comédie ne déroge pas à la règle. Et puis il joue à merveille son rôle de monsieur tout le monde, un peu maladroit, qui lui arrive des trucks incroyables malgré lui. Et avec lui, on a le droit à un casting en or : Mireille Darc (avec sa robe coupée au dos, on s’en souviendra), Jean Rochefort, Bernard Blier… Et ils sont tous très convaincant et drôle. De plus, le scénario est vraiment amusant à suivre : cette personne prit au hasard (car il avait une chaussure noire ^^) par les services secrets français et qui va devenir une véritable piège a con comme il le dise si bien ^^. Et puis la va s’enchaine avec panache une multitude de gags, de scène cocasse, loufoque, drôle et aussi culte. Les dialogues, réplique et situation sont excellent, comme on avait le génie à l’époque de nous faire rire. Enfin voila, tous y est pour que on passe un très bon moment a rigolé. Un classique de la comédie, une comédie d’espionnage a la française vraiment marrant, à voir absolument car il vaut le coup d’œil et c’est un plaisir a regardé. Pour moi, c’est un coup de cœur.
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merci beaucoup pour ce film meme si je n'arrête pas à pleurer!! Il est très émouvant mais en même temps léger ! Merci Uliana de l'Ukraine
merci beaucoup pour ce film meme si je n'arrête pas à pleurer!! Il est très émouvant mais en même temps léger ! Merci Uliana de l'Ukraine
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Un des plus grands films sur le monde de la boxe réalisé de façon très moderne et très intelligente par Robert Wise dont c'est un des meilleurs film. Le film vaut aussi et surtout pour l'interprétation grandiose de Paul Newman dont c'est le premier grand rôle et pour lequel il aurait largement mérité l'Oscar. Le reste de la distribution est elle brillante en particulier Pier Angeli et Everett Sloane. Un très grand film.
Un des plus grands films sur le monde de la boxe réalisé de façon très moderne et très intelligente par Robert Wise dont c'est un des meilleurs film. Le film vaut aussi et surtout pour l'interprétation grandiose de Paul Newman dont c'est le premier grand rôle et pour lequel il aurait largement mérité l'Oscar. Le reste de la distribution est elle brillante en particulier Pier Angeli et Everett Sloane. Un très grand film.
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Le pape de l’humour U.S s’attaque à un classique : Robin des Bois et en profite pour parodier la précédente version cinématographique, celle de Kevin Reynolds (Robin des Bois, Prince des voleurs - 1991), ainsi, Sacré Robin des Bois (1993) reprend presque la même histoire, se limitant uniquement à la première partie du film, avec les mêmes personnages, à savoir : Petit jean, l’étranger (appelé ici Atchoum), le Shérif & Marianne. Si la mise en scène s’avère correcte, ce sont plutôt les gags qui lassent. Lourdingues et inappropriés dans ce genre de film, on rit à de très rares moments, si certaines répliques en vallent la peine, c’est bien trop peu pour un film d’une heure trente. Ni son casting : Cary Elwes, Richard Lewis, Dave Chappelle, ni son scripte ne parviendront à satisfaire, autant voir ou revoir les bons vieux classiques !
Le pape de l’humour U.S s’attaque à un classique : Robin des Bois et en profite pour parodier la précédente version cinématographique, celle de Kevin Reynolds (Robin des Bois, Prince des voleurs - 1991), ainsi, Sacré Robin des Bois (1993) reprend presque la même histoire, se limitant uniquement à la première partie du film, avec les mêmes personnages, à savoir : Petit jean, l’étranger (appelé ici Atchoum), le Shérif & Marianne. Si la mise en scène s’avère correcte, ce sont plutôt les gags qui lassent. Lourdingues et inappropriés dans ce genre de film, on rit à de très rares moments, si certaines répliques en vallent la peine, c’est bien trop peu pour un film d’une heure trente. Ni son casting : Cary Elwes, Richard Lewis, Dave Chappelle, ni son scripte ne parviendront à satisfaire, autant voir ou revoir les bons vieux classiques !
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Le premier film de zombies français qu'il m'a été donné de voir. Les dialogues sont grossiers et simplistes, les décors minimalistes puisque le tout se passe dans une tour HLM désaffectée, mais c'est diablement efficace en terme d'adrénaline. On ne s'ennuie pas une seconde. Il y a même de l'humour du à la présence d'un personnage haut en couleurs interprété par Yves Pignot. Ce filme à petit budget dame le pion à de nombreux films de zombies britanniques ou américains dont le manque de moyens n'a pas été compensé par le talent, comme c'est le cas ici. Une grande réussite.
Le premier film de zombies français qu'il m'a été donné de voir. Les dialogues sont grossiers et simplistes, les décors minimalistes puisque le tout se passe dans une tour HLM désaffectée, mais c'est diablement efficace en terme d'adrénaline. On ne s'ennuie pas une seconde. Il y a même de l'humour du à la présence d'un personnage haut en couleurs interprété par Yves Pignot. Ce filme à petit budget dame le pion à de nombreux films de zombies britanniques ou américains dont le manque de moyens n'a pas été compensé par le talent, comme c'est le cas ici. Une grande réussite.
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Après deux films de commande (Elephant Man & Dune) dont il s’est sorti avec les honneurs pour le premier, pas si mal pour le deuxième, David Lynch put enfin (re)mettre en scène une de ses créations. Utilisant son acteur de Dune, Kyle MacLachlan, comme double du spectateur, David Lynch nous plonge, avec Blue Velvet dans une Amérique angélique au premier abord mais dont le Mal suinte de partout, comme ce plan terrifiant sur des insectes grouillant dans un gazon immaculé. Ce thriller un poil érotique et vraiment étrange est le digne successeur d’Eraserhead dans le malaise qu’il procure à son spectateur grâce à son univers décalé et toujours surprenant. Les performances des acteurs sont excellentes, surtout celle de Dennis Hopper, évidemment, exceptionnel en méchant fou furieux, capable de tout et seul personnage autorisé à dire le F-Word dans le film et celle de Dean Stockwell, suave à souhait dans une interprétation étonnante d’In Dreams de Roy Urbison. Elles portent un film déjà bien garni grâce à une mise en scène parfaitement maitrisée avec une musique oppressante, qui ne souffre que d’un troisième acte un peu trop graphique, qui affaiblit vraiment le tout. Dommage, car Blue Velvet en reste une expérience inoubliable, à l’instar d’un Eraserhead, une plongée dans le cerveau dérangé et pourtant jamais indulgent de David Lynch.
Après deux films de commande (Elephant Man & Dune) dont il s’est sorti avec les honneurs pour le premier, pas si mal pour le deuxième, David Lynch put enfin (re)mettre en scène une de ses créations. Utilisant son acteur de Dune, Kyle MacLachlan, comme double du spectateur, David Lynch nous plonge, avec Blue Velvet dans une Amérique angélique au premier abord mais dont le Mal suinte de partout, comme ce plan terrifiant sur des insectes grouillant dans un gazon immaculé. Ce thriller un poil érotique et vraiment étrange est le digne successeur d’Eraserhead dans le malaise qu’il procure à son spectateur grâce à son univers décalé et toujours surprenant. Les performances des acteurs sont excellentes, surtout celle de Dennis Hopper, évidemment, exceptionnel en méchant fou furieux, capable de tout et seul personnage autorisé à dire le F-Word dans le film et celle de Dean Stockwell, suave à souhait dans une interprétation étonnante d’In Dreams de Roy Urbison. Elles portent un film déjà bien garni grâce à une mise en scène parfaitement maitrisée avec une musique oppressante, qui ne souffre que d’un troisième acte un peu trop graphique, qui affaiblit vraiment le tout. Dommage, car Blue Velvet en reste une expérience inoubliable, à l’instar d’un Eraserhead, une plongée dans le cerveau dérangé et pourtant jamais indulgent de David Lynch.
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En dépis de la présence de Rock Hudson, "La Légende de l'épée magique" n'est rien de plus qu'un film d'aventure parmis tant d'autres qui ont pu divertir le monde des années 50. Avec son scénario archi prévisible et ses personnages ultra clichés, ce long-métrage de Nathan Juran a malheureusement perdu de sa fraîcheur avec le temps qui le rend d'autant plus difficile à voir aujourd'hui sans trouver un ennuie difficilement soutenable. On peut tout de même reconnaître la grandeur des décors et leur beauté ainsi que le talent des comédiens qui tentent tant bien que mal de trouver l'inspiration de cette romance à l'eau de rose.
En dépis de la présence de Rock Hudson, "La Légende de l'épée magique" n'est rien de plus qu'un film d'aventure parmis tant d'autres qui ont pu divertir le monde des années 50. Avec son scénario archi prévisible et ses personnages ultra clichés, ce long-métrage de Nathan Juran a malheureusement perdu de sa fraîcheur avec le temps qui le rend d'autant plus difficile à voir aujourd'hui sans trouver un ennuie difficilement soutenable. On peut tout de même reconnaître la grandeur des décors et leur beauté ainsi que le talent des comédiens qui tentent tant bien que mal de trouver l'inspiration de cette romance à l'eau de rose.
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Ce film est pas terrible, enfin il se laisse regarder une fois mais pas plus. Je vous conseille de passer votre chemin. Bon visionnage
Ce film est pas terrible, enfin il se laisse regarder une fois mais pas plus. Je vous conseille de passer votre chemin. Bon visionnage
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Excellent film, le digne successeur du 1er avec Schwarzenegger qui d' ailleurs est évoqué à un moment du film . Adrien Brody est remarquable.
Excellent film, le digne successeur du 1er avec Schwarzenegger qui d' ailleurs est évoqué à un moment du film . Adrien Brody est remarquable.
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Alliant brillamment comédie gros mots et comédie bien pensée, Hamlet 2 fait partie de ces bonnes surprises, celles qui nous font sourire et rire. Point de blagues salaces gratuites, ce sont bien des stéréotypes sur lesquels on tire à boulets rouges. C'n'est pas du lourd pour attirer le juvénile chalant. Mine de rien, on parle de légitimité de l'œuvre artistique, de liberté d'expression et de penser, du rapport des comediens avec les œuvres, l'inspiration artistique... On parle finalement de la place de l'artiste au sein d'une œuvre et son rapport avec la société moderne. Le tout sur fond de tolérance exacerbée au plus au point... Excellent. Marier la comédie effrontée et les idées c'est assez rare pour ne pas passer à côté. Rafraîchissant!
Alliant brillamment comédie gros mots et comédie bien pensée, Hamlet 2 fait partie de ces bonnes surprises, celles qui nous font sourire et rire. Point de blagues salaces gratuites, ce sont bien des stéréotypes sur lesquels on tire à boulets rouges. C'n'est pas du lourd pour attirer le juvénile chalant. Mine de rien, on parle de légitimité de l'œuvre artistique, de liberté d'expression et de penser, du rapport des comediens avec les œuvres, l'inspiration artistique... On parle finalement de la place de l'artiste au sein d'une œuvre et son rapport avec la société moderne. Le tout sur fond de tolérance exacerbée au plus au point... Excellent. Marier la comédie effrontée et les idées c'est assez rare pour ne pas passer à côté. Rafraîchissant!
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J'ai beaucoup aimé. J'avais une certaine appréhension par rapport au sujet qui n'est pas spécialement original. Une femme perd son mari et tente de faire face. Mais finalement une belle histoire! Même si on évite pas quelques clichés. Gerard Butler est génial en joyeux Irlandais immature, et poignant lors de sa maladie. Beaucoup d'émotions bien sur, mais des moments drôles aussi. Notamment avec les amies, Lisa Kudrow et Gina Gershon. Hilary et Gerard forment un beau couple. Je ne pensais pas apprécier Hilary dans ce registre. Une belle B.O qui colle parfaitement à l'ambiance. A noter aussi Kathy Bates, la mère, excellente. Un film donc pas très original mais bien fait, avec de bon acteurs et émouvant. Et les beaux paysages d'Irlande!
J'ai beaucoup aimé. J'avais une certaine appréhension par rapport au sujet qui n'est pas spécialement original. Une femme perd son mari et tente de faire face. Mais finalement une belle histoire! Même si on évite pas quelques clichés. Gerard Butler est génial en joyeux Irlandais immature, et poignant lors de sa maladie. Beaucoup d'émotions bien sur, mais des moments drôles aussi. Notamment avec les amies, Lisa Kudrow et Gina Gershon. Hilary et Gerard forment un beau couple. Je ne pensais pas apprécier Hilary dans ce registre. Une belle B.O qui colle parfaitement à l'ambiance. A noter aussi Kathy Bates, la mère, excellente. Un film donc pas très original mais bien fait, avec de bon acteurs et émouvant. Et les beaux paysages d'Irlande!
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1,470
Je ne comprends pas les gens qui mettent une bonne note à ce film!! Attention je suis une fan invétérée de Will Smith et de certains films de ce réalisateur mais là ce n'est pas possible: tout tient du cliché, c'est terrible:les flash back montrant une tragédie expliquant pourquoi le héros est traumatisé; la terre qui est devenue hostile dans le futur (effet mode)...Certaines répliques de Will Smith font carrément penser à maître Yoda livrant toute sa sagesse: je veux bien que ce soit un personnage très froid, je n'ai aucun problème avec ça, mais c'est pas pour autant que les dialogues doivent être gnan - gnan à ce point! Et enfin, le plus gros défaut que peut avoir un film est que tout est prévisible bien longtemps à l'avance. Ah oui, n'oublions pas les scènes monumentalement ridicules avec en têtel'aigle qui sauve le héros du froid pour le "remercier" d'avoir essayer de sauver ses petits...non mais franchement!! Vachement crédible et pas du tout tiré par les cheveux!! Je veux bien que e soit de la SF mais il y a des limites, en tous cas j'ai bien ri!!
Je ne comprends pas les gens qui mettent une bonne note à ce film!! Attention je suis une fan invétérée de Will Smith et de certains films de ce réalisateur mais là ce n'est pas possible: tout tient du cliché, c'est terrible:les flash back montrant une tragédie expliquant pourquoi le héros est traumatisé; la terre qui est devenue hostile dans le futur (effet mode)...Certaines répliques de Will Smith font carrément penser à maître Yoda livrant toute sa sagesse: je veux bien que ce soit un personnage très froid, je n'ai aucun problème avec ça, mais c'est pas pour autant que les dialogues doivent être gnan - gnan à ce point! Et enfin, le plus gros défaut que peut avoir un film est que tout est prévisible bien longtemps à l'avance. Ah oui, n'oublions pas les scènes monumentalement ridicules avec en têtel'aigle qui sauve le héros du froid pour le "remercier" d'avoir essayer de sauver ses petits...non mais franchement!! Vachement crédible et pas du tout tiré par les cheveux!! Je veux bien que e soit de la SF mais il y a des limites, en tous cas j'ai bien ri!!
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Un excellent divertissement. Où Chabrol est capable de mettre le meilleur de son art au profit d'un polar populaire sans prétentions, et prouve qu'avec un vrai talent on peut très aisément surpasser le gros de la production auteuriste nationale. Personnages parfaitement caractérisés et interprêtés, intrigue au fil du rasoir, et surtout mise en scène simple, intelligente et sans ostentations (et pourtant Dieu sait si les plans ont du sens !). A déguster ce poulet, on penserait presque que la préparation du plat est extrêmement simple ...alors que rien n'est plus délicat que de réussir un classique sans se donner les airs de faire du Grand Art.
Un excellent divertissement. Où Chabrol est capable de mettre le meilleur de son art au profit d'un polar populaire sans prétentions, et prouve qu'avec un vrai talent on peut très aisément surpasser le gros de la production auteuriste nationale. Personnages parfaitement caractérisés et interprêtés, intrigue au fil du rasoir, et surtout mise en scène simple, intelligente et sans ostentations (et pourtant Dieu sait si les plans ont du sens !). A déguster ce poulet, on penserait presque que la préparation du plat est extrêmement simple ...alors que rien n'est plus délicat que de réussir un classique sans se donner les airs de faire du Grand Art.
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Christine : Après avoir vu ce film que j’adore, j’ai décidé de lire le roman original du grand Stephen King. Et il faut dire que encore une fois, l’adaptation de vaut pas le livre qui est beaucoup plus riche et assez différente car par exemple, la météo du livre est plus neigeuse alors que dans le film, c’est plus un temps de pluie : c’est un choix, surement pour l’ambiance mais ça fait tout. Ensuite, il manque pas mal de scène et un des éléments clé du livre n’y est même pas : la possession de Arnie par Lebay (le vendeur de Christine). Donc voila, c’est une adaptation passable car le plus gros y est mais pas l’essence du livre. Mais sinon, parlons du film en lui-même, c’est une œuvre au suspense et a l’ambiance noir parfaitement maitrisée. Déjà par une réalisation signée par le maitre du genre Horreur/suspense : John Carpenter. Ce gars la a un sacré sens de la mise en scène qui est juste grandiose, le cadrage est parfait, l’ambiance et le suspense est en parfait adéquation avec les musiques qui alignements le stress. De plus, elle sont signées par Carpenter lui-même. Non vraiment, ça c’est du grand cinéma. Et puis l’histoire a beau être moyennement adaptée, en l’état, elle reste foutrement prennent et efficace. Cette voiture qui est vivante, a des instincts de meurtres et qui est jalouse des conquêtes de son propriétaire… Et puis, les personnages sont directement attachants et le film montre à merveille le pouvoir que peut avoir une voiture sur son propriétaire. Et pour finir, les acteurs sont plus que convaincants, ils jouent très bien leurs rôles. Donc voila, un classique du genre même si ce n’est pas une bonne adaptation, je peux que m’incliné devant le travail de John Carpenter.
Christine : Après avoir vu ce film que j’adore, j’ai décidé de lire le roman original du grand Stephen King. Et il faut dire que encore une fois, l’adaptation de vaut pas le livre qui est beaucoup plus riche et assez différente car par exemple, la météo du livre est plus neigeuse alors que dans le film, c’est plus un temps de pluie : c’est un choix, surement pour l’ambiance mais ça fait tout. Ensuite, il manque pas mal de scène et un des éléments clé du livre n’y est même pas : la possession de Arnie par Lebay (le vendeur de Christine). Donc voila, c’est une adaptation passable car le plus gros y est mais pas l’essence du livre. Mais sinon, parlons du film en lui-même, c’est une œuvre au suspense et a l’ambiance noir parfaitement maitrisée. Déjà par une réalisation signée par le maitre du genre Horreur/suspense : John Carpenter. Ce gars la a un sacré sens de la mise en scène qui est juste grandiose, le cadrage est parfait, l’ambiance et le suspense est en parfait adéquation avec les musiques qui alignements le stress. De plus, elle sont signées par Carpenter lui-même. Non vraiment, ça c’est du grand cinéma. Et puis l’histoire a beau être moyennement adaptée, en l’état, elle reste foutrement prennent et efficace. Cette voiture qui est vivante, a des instincts de meurtres et qui est jalouse des conquêtes de son propriétaire… Et puis, les personnages sont directement attachants et le film montre à merveille le pouvoir que peut avoir une voiture sur son propriétaire. Et pour finir, les acteurs sont plus que convaincants, ils jouent très bien leurs rôles. Donc voila, un classique du genre même si ce n’est pas une bonne adaptation, je peux que m’incliné devant le travail de John Carpenter.
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Le nouveau Michele Soavi est une petite bombe, un polar nerveux, sadique, glauque, et parfaitement réalisé par le maître italien. On est comme emporté avec le personnage prisonnier de sa spirale de violence, d'un réalisme confondant et superbement jouer, c'est assurément l'un des meilleurs films de l'été avec antibodies et les pusher, loin du blockbuster formaté pirate des caraïbes (même si très divertissant).
Le nouveau Michele Soavi est une petite bombe, un polar nerveux, sadique, glauque, et parfaitement réalisé par le maître italien. On est comme emporté avec le personnage prisonnier de sa spirale de violence, d'un réalisme confondant et superbement jouer, c'est assurément l'un des meilleurs films de l'été avec antibodies et les pusher, loin du blockbuster formaté pirate des caraïbes (même si très divertissant).
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1,474
Un drame avec beaucoup d'idées mais qui sont plombées par une mise en scène très académique voir scolaire. Une femme maltraitée par son compagnon a un accident provoqué par ce dernier, elle part ensuite pour embaucher à son nouveau travail. Elle commence à entendre des sons bizarres et entre dans une relation ambigüe avec son patron... Cette histoire sur fond fantastique est intriguante mais reste trop en surface notamment dans le pourquoi du comment sur le choix d'un patron escroc ou d'une précision sur la véritable condition de l'héroïne (fantôme ou autre chose ?!). Heureusement devant cette caméra statique et peu inventive se trouve Nina Hoss vraiment magnifique.
Un drame avec beaucoup d'idées mais qui sont plombées par une mise en scène très académique voir scolaire. Une femme maltraitée par son compagnon a un accident provoqué par ce dernier, elle part ensuite pour embaucher à son nouveau travail. Elle commence à entendre des sons bizarres et entre dans une relation ambigüe avec son patron... Cette histoire sur fond fantastique est intriguante mais reste trop en surface notamment dans le pourquoi du comment sur le choix d'un patron escroc ou d'une précision sur la véritable condition de l'héroïne (fantôme ou autre chose ?!). Heureusement devant cette caméra statique et peu inventive se trouve Nina Hoss vraiment magnifique.
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1,475
C'est très lourd, c'est très gras et c'est pas du hamburger.
C'est très lourd, c'est très gras et c'est pas du hamburger.
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Ocean's 13 est pour moi mon préféré de la excellent série des Ocean's, ce que j'adore avec cette série, c'est que elle arrive toujours a se renouvelé aux niveaux scénaristique car le scénario est toujours aussi malin et bien ficelé et on a toujours le même plaisir a suivre les aventure de cette équipe Et ce dernier épisode ne déroge pas a la règle. J'ai vraiment adoré cette épisode car il est vraiment excellent, c'est une pure merveille car la face a face est énorme: l'équipe Ocean's toujours aussi malin et intelligente contre le grand The Bank alias Al Pacino qui a mal joué avec un des membre de l'équipe (il a viré Danny et prit un des plus grand casino de Las Végas). Mais bien sur l'équipe Ocean's va pas ce laissé faire et va riposté avec un stratagème vraiment très malin, bien ficelé et très bien huilé. Enfin voila je peut dire que j'ai vraiment adoré le scénario, très passionnante et captivant, remplit de surprise et de rebondissent et surtout humour ce qui fait la force de la série. Et la fin est un coup d’éclat: juste énorme. La réalisation est toujours aussi efficace et splendide et mais bien en valeur les personnages et la ville Lumière: Las Végas. La casting est toujours en diamant: George Clooney, Brad Pitt, Matt Damon et Al Pacino: que demandé de mieux. Voila vraiment excellent épisode, très classe et élegant comme toujours. Un gros coup de coeur mais aussi un vrai chef oeuvre du genre. Bravo.
Ocean's 13 est pour moi mon préféré de la excellent série des Ocean's, ce que j'adore avec cette série, c'est que elle arrive toujours a se renouvelé aux niveaux scénaristique car le scénario est toujours aussi malin et bien ficelé et on a toujours le même plaisir a suivre les aventure de cette équipe Et ce dernier épisode ne déroge pas a la règle. J'ai vraiment adoré cette épisode car il est vraiment excellent, c'est une pure merveille car la face a face est énorme: l'équipe Ocean's toujours aussi malin et intelligente contre le grand The Bank alias Al Pacino qui a mal joué avec un des membre de l'équipe (il a viré Danny et prit un des plus grand casino de Las Végas). Mais bien sur l'équipe Ocean's va pas ce laissé faire et va riposté avec un stratagème vraiment très malin, bien ficelé et très bien huilé. Enfin voila je peut dire que j'ai vraiment adoré le scénario, très passionnante et captivant, remplit de surprise et de rebondissent et surtout humour ce qui fait la force de la série. Et la fin est un coup d’éclat: juste énorme. La réalisation est toujours aussi efficace et splendide et mais bien en valeur les personnages et la ville Lumière: Las Végas. La casting est toujours en diamant: George Clooney, Brad Pitt, Matt Damon et Al Pacino: que demandé de mieux. Voila vraiment excellent épisode, très classe et élegant comme toujours. Un gros coup de coeur mais aussi un vrai chef oeuvre du genre. Bravo.
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Dans la lignée de little miss sunshine Joli film d’une vie ordinaire de gens ordinaires, mis en scène d’une façon drôle et sans ennui Je ne m’y suis pas ennuyée une seconde Je le recommande
Dans la lignée de little miss sunshine Joli film d’une vie ordinaire de gens ordinaires, mis en scène d’une façon drôle et sans ennui Je ne m’y suis pas ennuyée une seconde Je le recommande
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1,478
Navet sans concession que ce Zombies Wicked Little Things, typique du direct to DVD sans recherche aucune, long, chiant et totalement bidon, le tout à la sauce Amityville zombiesque, où une gosse fait amie-amie avec une revenante. Le jeu de la mère est à pleurer de honte tant on s'enfonce dans le ridicule, les personnages ne pètent pas plus haut que le cliché, la réalisation est terne et sans relief, bref, à brûler. J'ai certes vu beaucoup de merdes dans ma vie (et à ce train là, j'ai pas fini d'en voir !), mais j'ai encore l'impression d'en avoir perdu 1h34.
Navet sans concession que ce Zombies Wicked Little Things, typique du direct to DVD sans recherche aucune, long, chiant et totalement bidon, le tout à la sauce Amityville zombiesque, où une gosse fait amie-amie avec une revenante. Le jeu de la mère est à pleurer de honte tant on s'enfonce dans le ridicule, les personnages ne pètent pas plus haut que le cliché, la réalisation est terne et sans relief, bref, à brûler. J'ai certes vu beaucoup de merdes dans ma vie (et à ce train là, j'ai pas fini d'en voir !), mais j'ai encore l'impression d'en avoir perdu 1h34.
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Un très bon compromis entre l'action et la comédie malgré un scénario peu léger, le couple Mel Gibson/Goldie Hawn fonctionne à merveille et nous fait passer un moment très agréable.
Un très bon compromis entre l'action et la comédie malgré un scénario peu léger, le couple Mel Gibson/Goldie Hawn fonctionne à merveille et nous fait passer un moment très agréable.
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1,480
Film brouillon rempli de vulgarité, tout juste sauvé par de bons acteurs et actrices, le seul intérêt de ce film. Bien éloigné du niveau de LOL. Inutile de dépenser une place de cinéma, attendez qu'il passe à la télévision.
Film brouillon rempli de vulgarité, tout juste sauvé par de bons acteurs et actrices, le seul intérêt de ce film. Bien éloigné du niveau de LOL. Inutile de dépenser une place de cinéma, attendez qu'il passe à la télévision.
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1,481
Très bon film a voir ou revoir.bonne réalisation et alors la distribution solide.lino ventura en émile boué pêcheur et bon vivant. et annie girardot en chanteuse de bistrot sont époustouflant.quand a pierre brasseur et michel simon il sont génial avec un concours de cabotinage .
Très bon film a voir ou revoir.bonne réalisation et alors la distribution solide.lino ventura en émile boué pêcheur et bon vivant. et annie girardot en chanteuse de bistrot sont époustouflant.quand a pierre brasseur et michel simon il sont génial avec un concours de cabotinage .
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1,482
Lycéen aisé et promis à un bel avenir (en tout cas, c’est ce que sa mère souhaite), Nick est, un soir, violemment passé à tabac par des camarades, qu’il va s’empresser de retrouver dès le lendemain. Problème : quelque part entre la vie et la mort, Nick est invisible aux yeux de tous, et va devoir trouver un moyen d’interagir avec son agresseur, histoire de revenir à la vie. Autre problème : David S. Goyer est décidément meilleur scénariste (on lui doit le script de “Batman Begins”) que cinéaste. Quoique ce n’est pas tant sa mise en scène qui est en cause, dans cette histoire au croisement de “Sixième sens” et “Ghost”. Avec un filmage précis et fluide, et des effets spéciaux très discrets, il s’oriente d’abord vers le premier, avant de lui préférer le second, dont il nous sert une version adolescente, tartinée d’une bonne dose de guimauve. Partant de l’invisibilité comme métaphore du mal être de certains jeunes, il plombe sa troisième réalisation en bifurquant vers la sempiternelle rédemption sirupeuse et convenue. Sans non plus l’être totalement, “Invisible” est juste à éviter.
Lycéen aisé et promis à un bel avenir (en tout cas, c’est ce que sa mère souhaite), Nick est, un soir, violemment passé à tabac par des camarades, qu’il va s’empresser de retrouver dès le lendemain. Problème : quelque part entre la vie et la mort, Nick est invisible aux yeux de tous, et va devoir trouver un moyen d’interagir avec son agresseur, histoire de revenir à la vie. Autre problème : David S. Goyer est décidément meilleur scénariste (on lui doit le script de “Batman Begins”) que cinéaste. Quoique ce n’est pas tant sa mise en scène qui est en cause, dans cette histoire au croisement de “Sixième sens” et “Ghost”. Avec un filmage précis et fluide, et des effets spéciaux très discrets, il s’oriente d’abord vers le premier, avant de lui préférer le second, dont il nous sert une version adolescente, tartinée d’une bonne dose de guimauve. Partant de l’invisibilité comme métaphore du mal être de certains jeunes, il plombe sa troisième réalisation en bifurquant vers la sempiternelle rédemption sirupeuse et convenue. Sans non plus l’être totalement, “Invisible” est juste à éviter.
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1,483
Je n'ai pas pu regarder le film en entier,c'est trop lent ,trop pénible ,trop confus et les filtres Photoshop Polonais me tapent sur le système. Un bien beau nanar pour un projet aussi ambitieux. Seule la B.O semble tirer son épingle du jeu.
Je n'ai pas pu regarder le film en entier,c'est trop lent ,trop pénible ,trop confus et les filtres Photoshop Polonais me tapent sur le système. Un bien beau nanar pour un projet aussi ambitieux. Seule la B.O semble tirer son épingle du jeu.
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1,484
Underworld (le 1er film) est l' exemple type qui démontre qu' un gros budget n' est pas nécessaire pour faire un bon film. Pour cause de budget de production faible (20 millions $, une misère !), les FX ne sont pas géniaux pour un film de nos jours . Mais ce détail est contrebalancé par la qualité de l' histoire : une femme-vampire tueuse de loup-garous - sans état d' âme (la raison dans le film) - va se trouver face à un dilemme : elle tombe amoureuse d' un humain prit dans le feu de cette guerre . L' humain étant contaminé (devenant ainsi un futur loup-garou), elle doit l' abattre ; ce qu' elle ne fera pas et cela va lui permettre de découvrir que les véritées qu' elle croyait connaitre sur ce conflit sont loin d' être véridiques . Dès lors, la guerre va prendre pour elle un autre visage. Bravo à tous les acteurs (mention spéciale pour Kate BECKINSALE) . Le début d' une superbe saga fantastique associant deux monstres sacrés du cinéma fantastique : vampires et loup-garous . Une réussite incontestable.
Underworld (le 1er film) est l' exemple type qui démontre qu' un gros budget n' est pas nécessaire pour faire un bon film. Pour cause de budget de production faible (20 millions $, une misère !), les FX ne sont pas géniaux pour un film de nos jours . Mais ce détail est contrebalancé par la qualité de l' histoire : une femme-vampire tueuse de loup-garous - sans état d' âme (la raison dans le film) - va se trouver face à un dilemme : elle tombe amoureuse d' un humain prit dans le feu de cette guerre . L' humain étant contaminé (devenant ainsi un futur loup-garou), elle doit l' abattre ; ce qu' elle ne fera pas et cela va lui permettre de découvrir que les véritées qu' elle croyait connaitre sur ce conflit sont loin d' être véridiques . Dès lors, la guerre va prendre pour elle un autre visage. Bravo à tous les acteurs (mention spéciale pour Kate BECKINSALE) . Le début d' une superbe saga fantastique associant deux monstres sacrés du cinéma fantastique : vampires et loup-garous . Une réussite incontestable.
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1,485
Pas d'autre mot pour ce titre représentatif ! Je suis totalement bluffé, je n'aurais pas cru être berné à ce point, je tire mon chapeau ! Dans ce contexte favorable à l'intrique, on se laisse facilement emporter, comme tout figurant du film par le magnifique talent de l'illusionniste Eisenheim ! Oui messieurs, dames, une enquête plein de mystères, alliée à une romance "impossible" ! C'est bien l'une des premières fois qu'un film occupe mon esprit à ce point là, au point où nous perdions le fil conducteur, la vérité à tout cela ! Je devais bien m'en douter, d'où la présence d'Edward Norton ! Essayez donc cette abominable expérience et tâchez de comprendre pourquoi !
Pas d'autre mot pour ce titre représentatif ! Je suis totalement bluffé, je n'aurais pas cru être berné à ce point, je tire mon chapeau ! Dans ce contexte favorable à l'intrique, on se laisse facilement emporter, comme tout figurant du film par le magnifique talent de l'illusionniste Eisenheim ! Oui messieurs, dames, une enquête plein de mystères, alliée à une romance "impossible" ! C'est bien l'une des premières fois qu'un film occupe mon esprit à ce point là, au point où nous perdions le fil conducteur, la vérité à tout cela ! Je devais bien m'en douter, d'où la présence d'Edward Norton ! Essayez donc cette abominable expérience et tâchez de comprendre pourquoi !
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1,486
ce pauvre film de psuedo bobo gaucho parisien , c'est mal joué,mise en scene theatre de boulebvard et encore c'est vraiment à chier surtout la bonne propagande politique
ce pauvre film de psuedo bobo gaucho parisien , c'est mal joué,mise en scene theatre de boulebvard et encore c'est vraiment à chier surtout la bonne propagande politique
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1,487
Film tres fade, un scenario a oublier rapidement, les acteurs s'en sorte bien.
Film tres fade, un scenario a oublier rapidement, les acteurs s'en sorte bien.
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1,488
J'ai eu peur que ça ait vielli ; que nenni ! C'est tordant du début à la fin, humour anglais garanti !
J'ai eu peur que ça ait vielli ; que nenni ! C'est tordant du début à la fin, humour anglais garanti !
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1,489
Film d'aventure fantastique scandinave qui ne marquera pas franchement les esprits, la faute surtout à une mise en scène qui manque clairement de suspense et a une photographie qui n'est guère séduisante, "Beyond, le secret des abysses" possède tout de même à son actif des personnages plutôt attachants et une histoire qui n'est pas désagréable à suivre en soit. A découvrir éventuellement pour un public d'adolescent pour qui il est avant tout destiné.
Film d'aventure fantastique scandinave qui ne marquera pas franchement les esprits, la faute surtout à une mise en scène qui manque clairement de suspense et a une photographie qui n'est guère séduisante, "Beyond, le secret des abysses" possède tout de même à son actif des personnages plutôt attachants et une histoire qui n'est pas désagréable à suivre en soit. A découvrir éventuellement pour un public d'adolescent pour qui il est avant tout destiné.
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1,490
Cell Phone est un film avec un pitch de départ et un casting très intéressants mais n'est pas bien exploité. Même si on se doute qu'il s'agit d'une série B, cette production méritait bien mieux (surtout dans sa deuxième partie). Pourtant, le film démarre très bien avec une bien belle scène dans l'aéroport. Ce sera malheureusement la meilleure scène du film. Le reste dans sa première moitié se suivra sans mal et même avec un rythme à dents de scie, sera divertissant. La seconde partie est nettement moins convaincante : encore moins de rythme. La scène du bar est inintéressante et certains nouveaux personnages sont insignifiants (le petit garçon par exemple). La scène finale est ridicule et prouve que cette production a clairement manqué d'idées. Mise à part ça, j'ai bien apprécié Samuel Jackson : son personnage est très sympathique. L'actrice d'Esther était convaincante. John Cuzack n'est pas un acteur déplaisant mais son personnage au look, aux allures maquillé des yeux, sonne parfois faux. Pourtant le sujet de départ était intéressant avec un virus qui se transmet à partir du téléphone. Avec la dépendance de la plupart des gens aujourd'hui pour cette machine (je ne juge pas je suis comme ça aussi), un sujet comme celui-ci était alléchant. Dommage qu'il n'y a pas de grands producteurs derrière pour ne pas bâcler cette affaire. Le casting principal était déjà assez bon. Cell Phone est donc une production décevante qui méritait une meilleure réalisation.
Cell Phone est un film avec un pitch de départ et un casting très intéressants mais n'est pas bien exploité. Même si on se doute qu'il s'agit d'une série B, cette production méritait bien mieux (surtout dans sa deuxième partie). Pourtant, le film démarre très bien avec une bien belle scène dans l'aéroport. Ce sera malheureusement la meilleure scène du film. Le reste dans sa première moitié se suivra sans mal et même avec un rythme à dents de scie, sera divertissant. La seconde partie est nettement moins convaincante : encore moins de rythme. La scène du bar est inintéressante et certains nouveaux personnages sont insignifiants (le petit garçon par exemple). La scène finale est ridicule et prouve que cette production a clairement manqué d'idées. Mise à part ça, j'ai bien apprécié Samuel Jackson : son personnage est très sympathique. L'actrice d'Esther était convaincante. John Cuzack n'est pas un acteur déplaisant mais son personnage au look, aux allures maquillé des yeux, sonne parfois faux. Pourtant le sujet de départ était intéressant avec un virus qui se transmet à partir du téléphone. Avec la dépendance de la plupart des gens aujourd'hui pour cette machine (je ne juge pas je suis comme ça aussi), un sujet comme celui-ci était alléchant. Dommage qu'il n'y a pas de grands producteurs derrière pour ne pas bâcler cette affaire. Le casting principal était déjà assez bon. Cell Phone est donc une production décevante qui méritait une meilleure réalisation.
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1,491
Un film d'action au sommet interprétés par John Travolta et Christian Slater et réalisé par John Woo. Scènes aériennes, effets spéciaux d'anthologie, suspense et action non-stop, une aventure spectaculaire et inoubliable.
Un film d'action au sommet interprétés par John Travolta et Christian Slater et réalisé par John Woo. Scènes aériennes, effets spéciaux d'anthologie, suspense et action non-stop, une aventure spectaculaire et inoubliable.
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1,492
On a en effet le droit de se poser la question... ( Et quelle différence avec " 300 " ? )
On a en effet le droit de se poser la question... ( Et quelle différence avec " 300 " ? )
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1,493
Depuis le temps que je voulais le voir au vu des critiques plutôt sympas... Quelle déception. La première scène doit apporter un certain mystère mais ne fait que dévoiler le suspense ; de la façon dont est filmée Mandy lane après la chute nous fait déjà comprendre le jeu qui va se préparer. Ensuite le film hésite dans la violence gore ou pas car il n'y a qu'une scène vraiment digne d'un bon film d'horreur autrement c'est un peu timide. Le côté ado en week-end entre dépucelage, drogue et alcool est déjà vu 10000 milles fois. Le côté plus ou moins érotisant est très très timide et n'apporte que de l'émotion au petit puceau du collège même si Amber Heard est canon. Pas de suspense car après le gros indice du début il s'évente entièrement au milieu de film. Les dialogues sont vides et le scénario peu approfondi (on boit on se drogue, on suce, on se baigne comme d'hab donc). Bref rien de bien neuf et aucun rythme.
Depuis le temps que je voulais le voir au vu des critiques plutôt sympas... Quelle déception. La première scène doit apporter un certain mystère mais ne fait que dévoiler le suspense ; de la façon dont est filmée Mandy lane après la chute nous fait déjà comprendre le jeu qui va se préparer. Ensuite le film hésite dans la violence gore ou pas car il n'y a qu'une scène vraiment digne d'un bon film d'horreur autrement c'est un peu timide. Le côté ado en week-end entre dépucelage, drogue et alcool est déjà vu 10000 milles fois. Le côté plus ou moins érotisant est très très timide et n'apporte que de l'émotion au petit puceau du collège même si Amber Heard est canon. Pas de suspense car après le gros indice du début il s'évente entièrement au milieu de film. Les dialogues sont vides et le scénario peu approfondi (on boit on se drogue, on suce, on se baigne comme d'hab donc). Bref rien de bien neuf et aucun rythme.
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[9.99768536e-01 2.31463747e-04]
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1,494
Que c'est beau, ce film est rare alors qu'il est magnifique, c'est presque navrant, l'acteur principal est génialissime, j'ai apprit à l'aimer grace à Shine, tout y est, romance, musique, humour, émotion, drame, scénario, rebondissements, acteurs tous plus méritants les uns que les autres. L'histoire vous gardera en haleine jusqu'à l'apotéose. A voir absolument. C'est un ordre !
Que c'est beau, ce film est rare alors qu'il est magnifique, c'est presque navrant, l'acteur principal est génialissime, j'ai apprit à l'aimer grace à Shine, tout y est, romance, musique, humour, émotion, drame, scénario, rebondissements, acteurs tous plus méritants les uns que les autres. L'histoire vous gardera en haleine jusqu'à l'apotéose. A voir absolument. C'est un ordre !
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[7.00398325e-04 9.99299602e-01]
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1,495
Un film sans grand intérêt, qui se laisse regarder, ni bon ni mauvais! Daniel Auteuil semble s'ennuyer et Sandrine Bonnaire est égale à elle-même, froide! Un couple improbable qui ne se parle pas,un riche héritier qui tantôt dilapide son argent dans les tripots et ensuite retourne chez Maman afin d'élucider une histoire d'argent détourné par l'amant de celle-ci!Film qui touche à tout, sans toucher à rien.. On ne croit jamais aux sentiments qu'éprouve Auteuil! Tous les acteurs s'emmerdent..... Ce film, c'est comme un groupe de personnes à l'arrêt de bus, on cause juste pour tuer le temps! A ne garder dans sa vidéothèque que pour le brillantissime Marielle, égal à lui-même... Un géant!
Un film sans grand intérêt, qui se laisse regarder, ni bon ni mauvais! Daniel Auteuil semble s'ennuyer et Sandrine Bonnaire est égale à elle-même, froide! Un couple improbable qui ne se parle pas,un riche héritier qui tantôt dilapide son argent dans les tripots et ensuite retourne chez Maman afin d'élucider une histoire d'argent détourné par l'amant de celle-ci!Film qui touche à tout, sans toucher à rien.. On ne croit jamais aux sentiments qu'éprouve Auteuil! Tous les acteurs s'emmerdent..... Ce film, c'est comme un groupe de personnes à l'arrêt de bus, on cause juste pour tuer le temps! A ne garder dans sa vidéothèque que pour le brillantissime Marielle, égal à lui-même... Un géant!
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[9.99752361e-01 2.47638706e-04]
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1,496
Spectacle total et enchanteur que ce film Disney mêlant avec une très belle efficacité prises de vue réelles et séquences animées. Julie Andrews comme Dick Van Dyke sont de merveilleux guides dans cet univers teinté de toute la magie de l'enfance. Entre les trouvailles visuelles, les numéros dansants et les chansons cultes, on ne compte plus les morceaux de bravoure de cette œuvre mythique au succès amplement justifié. Même avec les années, c'est toujours aussi délectable.
Spectacle total et enchanteur que ce film Disney mêlant avec une très belle efficacité prises de vue réelles et séquences animées. Julie Andrews comme Dick Van Dyke sont de merveilleux guides dans cet univers teinté de toute la magie de l'enfance. Entre les trouvailles visuelles, les numéros dansants et les chansons cultes, on ne compte plus les morceaux de bravoure de cette œuvre mythique au succès amplement justifié. Même avec les années, c'est toujours aussi délectable.
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1,497
J'y suis allé pour faire plaisir à ma fille, mais même elle a trouvé ce film très ennuyeux, on n'y croit pas du tout, c'est une grosse ineptie, une grosse niaiserie. J'ai perdu mon temps et mon argent.
J'y suis allé pour faire plaisir à ma fille, mais même elle a trouvé ce film très ennuyeux, on n'y croit pas du tout, c'est une grosse ineptie, une grosse niaiserie. J'ai perdu mon temps et mon argent.
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Typiquement le genre de films que j'exècre. Ca va que je ne regardais qu'à moitié parce que sinon j'aurais pas tenu. Tout dans ce film paraît faux, que ce soit l'image horrible (on a constamment l'impression que les personnages sont collés par-dessus les décors) et absolument pas naturelle comme les personnages appuyés et complètement faux. Luhrmann tente de faire passer de l'émotion mais sort une histoire interminable avec le genre de final insipide de que je déteste, avec la belle musique violon bien mièvre et les plans sans fin sur les visages des acteurs les cheveux au vent, tous contents et dans le plus beau des mondes. C'est tellement artificiel que je n'en pouvais plus. Je peux comprendre que ça puisse toucher, mais je suis totalement hermétique à ce style cinématographique à l'humour moyen et aux émotions forcées par des jeux d'acteur exagérés et des séquences d'un ridicule rare. Et puis Over the Rainbow... Manque de bol c'est la musique qui me sort le plus par les oreilles. Avait-on besoin de 2h35 pour raconter ça ??
Typiquement le genre de films que j'exècre. Ca va que je ne regardais qu'à moitié parce que sinon j'aurais pas tenu. Tout dans ce film paraît faux, que ce soit l'image horrible (on a constamment l'impression que les personnages sont collés par-dessus les décors) et absolument pas naturelle comme les personnages appuyés et complètement faux. Luhrmann tente de faire passer de l'émotion mais sort une histoire interminable avec le genre de final insipide de que je déteste, avec la belle musique violon bien mièvre et les plans sans fin sur les visages des acteurs les cheveux au vent, tous contents et dans le plus beau des mondes. C'est tellement artificiel que je n'en pouvais plus. Je peux comprendre que ça puisse toucher, mais je suis totalement hermétique à ce style cinématographique à l'humour moyen et aux émotions forcées par des jeux d'acteur exagérés et des séquences d'un ridicule rare. Et puis Over the Rainbow... Manque de bol c'est la musique qui me sort le plus par les oreilles. Avait-on besoin de 2h35 pour raconter ça ??
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Quel grand film. Le thème est vraiment très intéressant. Youssef Chahine n'aurait pas pût faire mieux.
Quel grand film. Le thème est vraiment très intéressant. Youssef Chahine n'aurait pas pût faire mieux.
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