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Voila un vrai nanar. Je ne sais par où commencer. On nous sert du réchauffé , lui même réchauffé. Le scénario est ultra prévisible, avec cerise sur le gâteau, un saupoudrage de religion par dessus. Les acteurs essaient de sauver les meubles sans succès. Les effets spéciaux sont tout simplement mauvais ( on se croirait revenu dans une série des années 90 ), les décors en papier mâché font trop kitsch. Le premier opus faisait illusion a l'époque mais voila ce que ça donne quand on essai de rentabiliser une franchise jusqu'a l'os. Bref : ne perdez pas 1h45 avec ce film vous le regretteriez.
Voila un vrai nanar. Je ne sais par où commencer. On nous sert du réchauffé , lui même réchauffé. Le scénario est ultra prévisible, avec cerise sur le gâteau, un saupoudrage de religion par dessus. Les acteurs essaient de sauver les meubles sans succès. Les effets spéciaux sont tout simplement mauvais ( on se croirait revenu dans une série des années 90 ), les décors en papier mâché font trop kitsch. Le premier opus faisait illusion a l'époque mais voila ce que ça donne quand on essai de rentabiliser une franchise jusqu'a l'os. Bref : ne perdez pas 1h45 avec ce film vous le regretteriez.
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Un tout bon, Roger Moore ajoute une touche Humour a Bond. Le cadre de cet épisode est bien trouvé, et on ne s'ennuie pas. J'aime bien moore dans ce role.
Un tout bon, Roger Moore ajoute une touche Humour a Bond. Le cadre de cet épisode est bien trouvé, et on ne s'ennuie pas. J'aime bien moore dans ce role.
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Mélangé sport et cinéma est rarement gage de réussite mais pas pour "Borg vs McEnroe" qui parvient à ma grande surprise à trouver l'alchimie parfaite. L'affrontement de ses deux tennismans est entré dans la légende du sport comme surement la plus grande des rivalités, une rivalité que Janus Metz Pedersen a su parfaitement retranscrire à l'écran. Plutôt que de creuser le fossé entre les deux athlètes en mettant en avant leur différences, le film s'attache à d'avantage à montrer leurs similarités en faisant ressortir leur humanité. On a donc le droit à un portait bouleversant de deux athlètes fantastiques mais qui sont d'avantage montrer comme des être humains remplis de doutes, de défauts et de faiblesses. Pedersen donne une dimension universel à son récit qu'il axe sur le dépassement de soi et la gestion des attentes.Là où le film est le plus efficace, c'est dans ses scènes intimistes où le long-métrage nous présente toute la complexité des personnalités des deux protagonistes. Des scènes de flash back permettent au spectateur de comprendre le parcours des deux sportifs et d'ainsi nous attacher d'autant plus à eux. Certaines scènes sont désarmantes de sincérité et d'émotion avec des plans très travaillés qui imprègnent la rétine. En plus de cela, les deux acteurs sont fantastiques que ce soit Sverrir Gudnason, qui est immense dans ce film, ou Shia LaBeouf qui m'a vraiment surpris. Même si on connait le dénouement du film à l'avance, on est pris de passion pour ce match de titan magnifiquement bien reconstruit qui clôture le long-métrage. Je ne sais pas quoi rajouter sur ce film si ce n'est dire que j'ai pris mon pied. D'un grand moment de sport, Janus Metz Pedersen a réalisé un très beau moment de cinéma, un pari fou mais à mon sens pleinement réussi.
Mélangé sport et cinéma est rarement gage de réussite mais pas pour "Borg vs McEnroe" qui parvient à ma grande surprise à trouver l'alchimie parfaite. L'affrontement de ses deux tennismans est entré dans la légende du sport comme surement la plus grande des rivalités, une rivalité que Janus Metz Pedersen a su parfaitement retranscrire à l'écran. Plutôt que de creuser le fossé entre les deux athlètes en mettant en avant leur différences, le film s'attache à d'avantage à montrer leurs similarités en faisant ressortir leur humanité. On a donc le droit à un portait bouleversant de deux athlètes fantastiques mais qui sont d'avantage montrer comme des être humains remplis de doutes, de défauts et de faiblesses. Pedersen donne une dimension universel à son récit qu'il axe sur le dépassement de soi et la gestion des attentes.Là où le film est le plus efficace, c'est dans ses scènes intimistes où le long-métrage nous présente toute la complexité des personnalités des deux protagonistes. Des scènes de flash back permettent au spectateur de comprendre le parcours des deux sportifs et d'ainsi nous attacher d'autant plus à eux. Certaines scènes sont désarmantes de sincérité et d'émotion avec des plans très travaillés qui imprègnent la rétine. En plus de cela, les deux acteurs sont fantastiques que ce soit Sverrir Gudnason, qui est immense dans ce film, ou Shia LaBeouf qui m'a vraiment surpris. Même si on connait le dénouement du film à l'avance, on est pris de passion pour ce match de titan magnifiquement bien reconstruit qui clôture le long-métrage. Je ne sais pas quoi rajouter sur ce film si ce n'est dire que j'ai pris mon pied. D'un grand moment de sport, Janus Metz Pedersen a réalisé un très beau moment de cinéma, un pari fou mais à mon sens pleinement réussi.
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1,503
Après avoir vu ce film je suis resté figé pendant 2 mn pour essayer de comprendre le sens de ce film. Sans succès.... L'histoire est mal écrite et évolue n'importe comment,il y a trop de questions sans réponses. Qu'est-ce qui arrive aux deux autres? est-ce qu'il y a vraiment eu une créature inconnue ou c'était les cultivateurs ?
Après avoir vu ce film je suis resté figé pendant 2 mn pour essayer de comprendre le sens de ce film. Sans succès.... L'histoire est mal écrite et évolue n'importe comment,il y a trop de questions sans réponses. Qu'est-ce qui arrive aux deux autres? est-ce qu'il y a vraiment eu une créature inconnue ou c'était les cultivateurs ?
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1,504
C'est souvent ce qui arrive lorsque l'on s'attend au pire : on est presque agréablement surpris. En effet, je me suis surpris à sourire de temps en temps face à ces situations absurdes, l'aspect débile étant clairement assumé, tandis que le duo Kad Merad - Clovis Cornillac (surtout le second) fonctionne plutôt bien. Les compliments vont toutefois s'arrêter là, car cela reste tout de même très, très faible. C'est bien de s'assumer « comédie stupide », encore faut-il avoir les moyens de le faire du début jusqu'à la fin, et pas seulement dans une scène sur cinq. De plus, comme dans toute potacherie française qui se respecte, le résultat est formellement sans intérêt et il n'y a en définitive que très peu de surprises, si ce n'est donc cette dimension un peu moins vulgaire qu'on craignait. Ah si : on appréciera la présence d'une Carole Bouquet très classe dans ce qui est probablement le meilleur (moins mauvais) personnage du film. Bon, pour être honnête je brode pas mal depuis tout à l'heure tant le résultat s'est quasi-immédiatement effacé de ma mémoire après visionnage, à l'exception donc de quelques répliques et situations, ce qui est évidemment plus qu'insuffisant pour réussir une bonne comédie populaire. Pas un supplice donc, mais très dispensable.
C'est souvent ce qui arrive lorsque l'on s'attend au pire : on est presque agréablement surpris. En effet, je me suis surpris à sourire de temps en temps face à ces situations absurdes, l'aspect débile étant clairement assumé, tandis que le duo Kad Merad - Clovis Cornillac (surtout le second) fonctionne plutôt bien. Les compliments vont toutefois s'arrêter là, car cela reste tout de même très, très faible. C'est bien de s'assumer « comédie stupide », encore faut-il avoir les moyens de le faire du début jusqu'à la fin, et pas seulement dans une scène sur cinq. De plus, comme dans toute potacherie française qui se respecte, le résultat est formellement sans intérêt et il n'y a en définitive que très peu de surprises, si ce n'est donc cette dimension un peu moins vulgaire qu'on craignait. Ah si : on appréciera la présence d'une Carole Bouquet très classe dans ce qui est probablement le meilleur (moins mauvais) personnage du film. Bon, pour être honnête je brode pas mal depuis tout à l'heure tant le résultat s'est quasi-immédiatement effacé de ma mémoire après visionnage, à l'exception donc de quelques répliques et situations, ce qui est évidemment plus qu'insuffisant pour réussir une bonne comédie populaire. Pas un supplice donc, mais très dispensable.
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La malédiction de la Panthère Rose est pour moi la véritable dernière aventure de l'inspecteur Clouseau!! Peter Sellers est comme de coutume hilarant,Hebert Lome est toujours aussi formidable et Dyan Cannon y est ravissante. Un film culte!!
La malédiction de la Panthère Rose est pour moi la véritable dernière aventure de l'inspecteur Clouseau!! Peter Sellers est comme de coutume hilarant,Hebert Lome est toujours aussi formidable et Dyan Cannon y est ravissante. Un film culte!!
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Chef d'oeuvre des ZAZ ! Leslie Nielsen explose en star burlesque. Non sens, parodies, tout y passe avec rythme et bonheur. On a rarement fait aussi bien que les ZAZ, d'ailleurs. Foncez et marrez vous bien !
Chef d'oeuvre des ZAZ ! Leslie Nielsen explose en star burlesque. Non sens, parodies, tout y passe avec rythme et bonheur. On a rarement fait aussi bien que les ZAZ, d'ailleurs. Foncez et marrez vous bien !
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Un western à la sauce spaghetti, décrié à sa sortie, aujourd'hui considéré comme l'un des plus grands films du cinéma, à juste titre pour ma part. Les personnages principaux sont des mercenaires, ce n'est pas la première fois, dans Vera Cruz ou d'autres ils le sont aussi, mais ils sont traités comme des héros, l'a pas une seule minute. Pour jouer ses brutes, Peckinpah prend des acteurs avec une vraie gueule à l'image d'Ernest Borgnine ou de Warren Oates, loin de Charlton Heston utilisé dans Major Dundee quelques années avant la sortie de ce film. Le scénario est classique, les codes utilisés ne le sont pas, ici il y a de la place que pour la violence, les femmes et les enfants meurent (et oui on n'a pas un spectacle niais américain comme il en existe en pagaille). Avec La Horde Sauvage, Sam Peckinpah signe son film le plus célèbre, son chef-d'œuvre, à ne surtout pas louper.
Un western à la sauce spaghetti, décrié à sa sortie, aujourd'hui considéré comme l'un des plus grands films du cinéma, à juste titre pour ma part. Les personnages principaux sont des mercenaires, ce n'est pas la première fois, dans Vera Cruz ou d'autres ils le sont aussi, mais ils sont traités comme des héros, l'a pas une seule minute. Pour jouer ses brutes, Peckinpah prend des acteurs avec une vraie gueule à l'image d'Ernest Borgnine ou de Warren Oates, loin de Charlton Heston utilisé dans Major Dundee quelques années avant la sortie de ce film. Le scénario est classique, les codes utilisés ne le sont pas, ici il y a de la place que pour la violence, les femmes et les enfants meurent (et oui on n'a pas un spectacle niais américain comme il en existe en pagaille). Avec La Horde Sauvage, Sam Peckinpah signe son film le plus célèbre, son chef-d'œuvre, à ne surtout pas louper.
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Ce film est tout simplement remarquable! Drôle, merveilleusement joué, entre autres par un Louis Garrel époustouflant. Tout sonne juste, la mise en scène, le scénario, le personnage, l'époque, etc, Un zéro faute pour moi, du grand Hazavanicius qui nous donne un vrai moment de bonheur cinématographique. On en redemande. J'adore!
Ce film est tout simplement remarquable! Drôle, merveilleusement joué, entre autres par un Louis Garrel époustouflant. Tout sonne juste, la mise en scène, le scénario, le personnage, l'époque, etc, Un zéro faute pour moi, du grand Hazavanicius qui nous donne un vrai moment de bonheur cinématographique. On en redemande. J'adore!
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Une pauvre histoire avec un scénario accablant. Un film qui traine en longueur et en plus un Nicolas Cage qui fait le minimum, la seule qui tire son épingle du jeu et la jeune actrice qui interprète le rôle de la fille. Si vous n'avez rien d'autre à faire.....faites autre chose !
Une pauvre histoire avec un scénario accablant. Un film qui traine en longueur et en plus un Nicolas Cage qui fait le minimum, la seule qui tire son épingle du jeu et la jeune actrice qui interprète le rôle de la fille. Si vous n'avez rien d'autre à faire.....faites autre chose !
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Si vous voulez des clichés à la pelle et une histoire d'une banalité épouvantable, "Paddington" est fait pour vous. Il y a bien des films d'animation pour enfants avec de l'originalité et des personnages attachants. Ici, on tombe dans le nanar d'animation. On a connu les Anglais plus créatifs en la matière. Tout ce qu'il y a à retenir de ce nounours, qui aurait vraiment mérité meilleure adapation, c'est un enchainement de scènes 'bateau' dont aucune ne fait sourire une seule fois. De plus, il faut se coltiner une famille british horriblement typée bobo, le tout saupoudré d'images de synthèse mal maitrisées sur bien des plans et une Nicole Kidman horripilante. Par ailleurs, les doublages ne correspondent pas vraiment à certains personnages. La conclusion s'impose : circulez, il n'y a rien à voir!
Si vous voulez des clichés à la pelle et une histoire d'une banalité épouvantable, "Paddington" est fait pour vous. Il y a bien des films d'animation pour enfants avec de l'originalité et des personnages attachants. Ici, on tombe dans le nanar d'animation. On a connu les Anglais plus créatifs en la matière. Tout ce qu'il y a à retenir de ce nounours, qui aurait vraiment mérité meilleure adapation, c'est un enchainement de scènes 'bateau' dont aucune ne fait sourire une seule fois. De plus, il faut se coltiner une famille british horriblement typée bobo, le tout saupoudré d'images de synthèse mal maitrisées sur bien des plans et une Nicole Kidman horripilante. Par ailleurs, les doublages ne correspondent pas vraiment à certains personnages. La conclusion s'impose : circulez, il n'y a rien à voir!
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Il est pas déjà sorti l'année dernière ce film?... Non?... Y a 2 ans, alors?
Il est pas déjà sorti l'année dernière ce film?... Non?... Y a 2 ans, alors?
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Mauvaise adaptation du roman de Victor Hugo ! Les personnages sont bien là mais l'histoire a été radicalement changée : elle fait de Gwynplaine un abruti total et détruit toute la candeur du personnage. Malgré que Depardieu est juste, toute la beauté du livre a disparu et c'est bien dommage.
Mauvaise adaptation du roman de Victor Hugo ! Les personnages sont bien là mais l'histoire a été radicalement changée : elle fait de Gwynplaine un abruti total et détruit toute la candeur du personnage. Malgré que Depardieu est juste, toute la beauté du livre a disparu et c'est bien dommage.
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Je me suis surpris à rire de temps à autre alors il évite la catégorie navet et aussi parce que le personnage principal n'est pas un débile boutonneux rattrapé par ses hormones. Mais c'est un film vraiment américain, il ne manquait que ce happy end vu des milliers de fois pour combler un scénario aussi vide que ne peut l'être le vide. On s'ennuie en somme et le mystère qui sert de base au récit est nul.
Je me suis surpris à rire de temps à autre alors il évite la catégorie navet et aussi parce que le personnage principal n'est pas un débile boutonneux rattrapé par ses hormones. Mais c'est un film vraiment américain, il ne manquait que ce happy end vu des milliers de fois pour combler un scénario aussi vide que ne peut l'être le vide. On s'ennuie en somme et le mystère qui sert de base au récit est nul.
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Scénario et mise en scène très mauvais. Pas crédible, tout est prévisible. Malgré un bon casting. Parfois il faut savoir reconnaître que l'on s'est trompé de métier, M. Legris.!!
Scénario et mise en scène très mauvais. Pas crédible, tout est prévisible. Malgré un bon casting. Parfois il faut savoir reconnaître que l'on s'est trompé de métier, M. Legris.!!
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Dernier volet de la trilogie d'Apu, "Le Monde d'Apu" retrouve un peu du lyrisme de "La Complainte du sentier" et beaucoup de l'aspect sombre de "L'Invaincu". On retrouve donc les mêmes ingrédients qui faisaient le succès des deux premiers volets et qui fait aussi celui du troisième Satyajit Ray utilisant encore une fois magistralement les symboles. Les meilleures scènes du film sont celles de couple où on voit Apu avec son épouse imprévue, interprétés à la perfection par Soumitra Chatterjee et Sharmila Tagore, qui allient merveilleusement la drôlerie et l'émotion. La très belle musique de Ravi Shankar finit de rendre cette oeuvre magnifique. Bon ben c'est déjà fini, vivement la vision d'autres oeuvres de ce très grand cinéaste.
Dernier volet de la trilogie d'Apu, "Le Monde d'Apu" retrouve un peu du lyrisme de "La Complainte du sentier" et beaucoup de l'aspect sombre de "L'Invaincu". On retrouve donc les mêmes ingrédients qui faisaient le succès des deux premiers volets et qui fait aussi celui du troisième Satyajit Ray utilisant encore une fois magistralement les symboles. Les meilleures scènes du film sont celles de couple où on voit Apu avec son épouse imprévue, interprétés à la perfection par Soumitra Chatterjee et Sharmila Tagore, qui allient merveilleusement la drôlerie et l'émotion. La très belle musique de Ravi Shankar finit de rendre cette oeuvre magnifique. Bon ben c'est déjà fini, vivement la vision d'autres oeuvres de ce très grand cinéaste.
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Ahh très franchement je n'attendais rien vraiment de ce film comme autant d'autres dans le genre, mais là ! je dis PAS MAL DU TOUT ! et même mieux ! Un bon scénario ENFIN! pas de gore ni de violence fortuites, mais juste une bonne fin comme on les aime , comme on les apprécierait plus tant l'être humain est doté d'imagination. Mais attends ce n'est pas fini CAR en BONUS pour clôturer ma critique sur un Zoom de la la SO SOmptueuse Charisma Carpenter et de sa SO SO lovely sexy coiffure à la Desperate Housewives, qui est juste une bombe un avion un bunker un sous-marin Nucléaire, une fusée aérospatioaulisakjfklhojjhjht .... bon je crois que tu as capté so now à savourer parce qu'il sont rares les films avec un bon scénar ET une belle gonzesse bien racée ! Carpenter for Ever
Ahh très franchement je n'attendais rien vraiment de ce film comme autant d'autres dans le genre, mais là ! je dis PAS MAL DU TOUT ! et même mieux ! Un bon scénario ENFIN! pas de gore ni de violence fortuites, mais juste une bonne fin comme on les aime , comme on les apprécierait plus tant l'être humain est doté d'imagination. Mais attends ce n'est pas fini CAR en BONUS pour clôturer ma critique sur un Zoom de la la SO SOmptueuse Charisma Carpenter et de sa SO SO lovely sexy coiffure à la Desperate Housewives, qui est juste une bombe un avion un bunker un sous-marin Nucléaire, une fusée aérospatioaulisakjfklhojjhjht .... bon je crois que tu as capté so now à savourer parce qu'il sont rares les films avec un bon scénar ET une belle gonzesse bien racée ! Carpenter for Ever
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Western d'une infinie médiocrité : tout est absolument improbable. Les réactions des personnages sont peu crédibles, le scénario semble avoir été écrit par un neuneu... Tout est mal joué, ridicule, grotesque... Le film semble avoir été tourné à la "vas-vite"... On se demande ce que Lee Van Cleef est venu faire là-dedans... Circulez, il n'y a rien à voir...
Western d'une infinie médiocrité : tout est absolument improbable. Les réactions des personnages sont peu crédibles, le scénario semble avoir été écrit par un neuneu... Tout est mal joué, ridicule, grotesque... Le film semble avoir été tourné à la "vas-vite"... On se demande ce que Lee Van Cleef est venu faire là-dedans... Circulez, il n'y a rien à voir...
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Excellent Belle leçon de vie.Que ce film puisse changer les préjugés tant dans les hôpitaux qu'à l'Éducation Nationale. Bravo
Excellent Belle leçon de vie.Que ce film puisse changer les préjugés tant dans les hôpitaux qu'à l'Éducation Nationale. Bravo
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navet, rempli de "star" instagram tous nul. Non seulement nul mais tellement cliché et caricatural, avec des passages bien racistes sur les blanc et les chinois. Encore un énième film pourri oú les enfants sont "intelligents" (pas tous) et les adultes tous completement débiles. A eviter il n'y a rien a en tirer dans ce film.
navet, rempli de "star" instagram tous nul. Non seulement nul mais tellement cliché et caricatural, avec des passages bien racistes sur les blanc et les chinois. Encore un énième film pourri oú les enfants sont "intelligents" (pas tous) et les adultes tous completement débiles. A eviter il n'y a rien a en tirer dans ce film.
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Belle surprise que ce film d'animation ne connaissant pas du tout l'univers dont est tiré le film je débarque avec ce sentiment désagréable d'ignorer une bonne partie de l'histoire de nos deux héros mais ce sentiment s'estompe vite car on est pris dans l'histoire et même si le scénario ne casse pas des briques il est sufisament interessant que pour oublier le reste on se prends vite d'affection pour notre duo de mercenaires les personnages secondaires sont charismatiques et le doublage FR est d'excellente facture. Visuellement c'est magnifique même si je trouve que l'animation des véhicules doit encore nettement progresser pour avoir un rendu réaliste. Un vrai bon film divertissent et bien calibré entre action et émotion.
Belle surprise que ce film d'animation ne connaissant pas du tout l'univers dont est tiré le film je débarque avec ce sentiment désagréable d'ignorer une bonne partie de l'histoire de nos deux héros mais ce sentiment s'estompe vite car on est pris dans l'histoire et même si le scénario ne casse pas des briques il est sufisament interessant que pour oublier le reste on se prends vite d'affection pour notre duo de mercenaires les personnages secondaires sont charismatiques et le doublage FR est d'excellente facture. Visuellement c'est magnifique même si je trouve que l'animation des véhicules doit encore nettement progresser pour avoir un rendu réaliste. Un vrai bon film divertissent et bien calibré entre action et émotion.
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Une idée de départ intéressante et les dix premières minutes prenantes : à partir de la découverte de la chinoise par Statham, le film de Leterrier tombe dans le genre action très cliché, qui se termine par un twist consternant. Il y a d'abord, du point de vue technique, à reprocher le style de la photographie, de plus influencée par l'utilisation du numérique, qui donne une lumière atroce pour les séquences ensoleillées et une vitesse de l'image digne d'un clip musical. Le montage n'arrange rien, si bien que pendant les séquences de poursuite, le spectateur ne sait plus sur quel point de vue on s'appuie sur tel plan. En parlant de poursuite, Leterrier aurait pu s'abstenir de recopier celle des Aventuriers de l'Arche Perdue pour la course des deux camions. Rappelons que l'idée de base était bonne, avec le personnage du Transporteur et ses règles de "travail", mais que le scénario est mauvais, les moments clichés du genre se succèdent, avec des situations involontairement risibles parce que pas crédibles : le combat de vidange, le chauffeur sur la portière glissante, Statham qui se prend une décharge explosive mais qui s'en sort parfaitement indemne, la critique des Allemands, la référence à la Proust complètement ratée ... Sur le casting, pas vraiment grand chose à dire, à part la présence de François Berléand, et ne parlons pas du héros qui ne perd pas une occasion pour afficher son torse hyper musclé et le méchant qui fronce les sourcils parce qu'il est très méchant attention !!! Il est évident de ressentir à fond que le film produit par Besson n'est que marketing de marques comme Orangina et BMW. Décevant pour un film d'action qui frôle la qualification de nanard.
Une idée de départ intéressante et les dix premières minutes prenantes : à partir de la découverte de la chinoise par Statham, le film de Leterrier tombe dans le genre action très cliché, qui se termine par un twist consternant. Il y a d'abord, du point de vue technique, à reprocher le style de la photographie, de plus influencée par l'utilisation du numérique, qui donne une lumière atroce pour les séquences ensoleillées et une vitesse de l'image digne d'un clip musical. Le montage n'arrange rien, si bien que pendant les séquences de poursuite, le spectateur ne sait plus sur quel point de vue on s'appuie sur tel plan. En parlant de poursuite, Leterrier aurait pu s'abstenir de recopier celle des Aventuriers de l'Arche Perdue pour la course des deux camions. Rappelons que l'idée de base était bonne, avec le personnage du Transporteur et ses règles de "travail", mais que le scénario est mauvais, les moments clichés du genre se succèdent, avec des situations involontairement risibles parce que pas crédibles : le combat de vidange, le chauffeur sur la portière glissante, Statham qui se prend une décharge explosive mais qui s'en sort parfaitement indemne, la critique des Allemands, la référence à la Proust complètement ratée ... Sur le casting, pas vraiment grand chose à dire, à part la présence de François Berléand, et ne parlons pas du héros qui ne perd pas une occasion pour afficher son torse hyper musclé et le méchant qui fronce les sourcils parce qu'il est très méchant attention !!! Il est évident de ressentir à fond que le film produit par Besson n'est que marketing de marques comme Orangina et BMW. Décevant pour un film d'action qui frôle la qualification de nanard.
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1,522
Grosse déception. Vagues Invisibles tombe dans le travers hélas fréquent de ce que j'appellerais le film "atmosphérique" asiatique. Des images ultra léchées ne suffisent pas à raconter une histoire, ni même à exprimer quoi que ce soit. En l'absence de scénario et de personnages consistants, la très belle photo blafarde de Chistopher Doyle ne fait que mettre en évidence l'ennui dans lequel se dilue le film ... puis le spectateur. En même temps, ça tient à presque rien car on pourrait sans doute dire la même chose de Ploy, le dernier film de Pen-Ek Ratanaruang, qu'à l'inverse j'ai plutôt aimé.
Grosse déception. Vagues Invisibles tombe dans le travers hélas fréquent de ce que j'appellerais le film "atmosphérique" asiatique. Des images ultra léchées ne suffisent pas à raconter une histoire, ni même à exprimer quoi que ce soit. En l'absence de scénario et de personnages consistants, la très belle photo blafarde de Chistopher Doyle ne fait que mettre en évidence l'ennui dans lequel se dilue le film ... puis le spectateur. En même temps, ça tient à presque rien car on pourrait sans doute dire la même chose de Ploy, le dernier film de Pen-Ek Ratanaruang, qu'à l'inverse j'ai plutôt aimé.
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Un bon film de guerre, prenant et réussi qui ne tombe pas dans le piège d'un remake du très bon "La bataille de Midway" de 1976. Les puristes noteront quelques inexactitudes historiques mais pour le spectateur "de base" que je suis, ça passe plutôt bien. Intéressant.
Un bon film de guerre, prenant et réussi qui ne tombe pas dans le piège d'un remake du très bon "La bataille de Midway" de 1976. Les puristes noteront quelques inexactitudes historiques mais pour le spectateur "de base" que je suis, ça passe plutôt bien. Intéressant.
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1,524
Alors la... autant j’admets pouvoir apprécier certains nanar selon mon gout pour l'histoire ou la direction prise, mais la... Même si je dois reconnaitre que certains éléments du film était assez intéressant, il faut dire que c'est très mal exploité !!! L'histoire est assez banale mais ne reste pas le problème majeur, un éclaireur alien part en reconnaissance sur terre suite a une attaque qu'ils ont lancer sur cette derniere pour éliminer toute existence de l’humanité, on est d'accord il existe pire. Mais le problème est que le tout est très mal construit, la mise en scène pas terrible et il y a beaucoup d’incohérences qui rendent ce film InComPreHenSible... Par exemple, si la scène ou l'enfant laisse un dessin sur le mur, pour prévenir ceux qui le liraient dans le passé de la venue des envahisseurs (ce qui aurait expliquer le dessin découvert par les archéologues) avait été mieux mis en scène ça aurait pu être assez sympa... et bah non pas du tout exploité, ni mis en valeur, ce qui rend cet élément complétement inutile, dommage... La transition entre l'avant et l’après apocalypse est inexistante, donc c'est super agréable... ( je suis ironique...) ça en est tellement perturbant qu'on en perd le fil !!! Quand aux grands points d’incompréhension... comment vous dire... quelqu'un peut m'expliquer d'ou sortent ces dinosaures dans le futur...????? complétement incompréhensible !!! Sans parler de cette fin a se tirer les cheveux, ou l'on se dit après une heure de souffrance, tout ça pour ça??!! Le casting est très mauvais, les costumes, n'en parlons même pas... un alien avec un corps de gorille obèse et un casque de scaphandre... je sais pas ce que fumaient les mecs a l’époque mais a mon avis ils devaient faire de sacrées trips... lol (mais je pense que ca devait etre du a un manque de moyen). Et puis les effets spéciaux sont vraiment pauvres... Al final le pire nanar de série Z que j'ai jamais vu de toute ma vie, pas loin de Plan 9...
Alors la... autant j’admets pouvoir apprécier certains nanar selon mon gout pour l'histoire ou la direction prise, mais la... Même si je dois reconnaitre que certains éléments du film était assez intéressant, il faut dire que c'est très mal exploité !!! L'histoire est assez banale mais ne reste pas le problème majeur, un éclaireur alien part en reconnaissance sur terre suite a une attaque qu'ils ont lancer sur cette derniere pour éliminer toute existence de l’humanité, on est d'accord il existe pire. Mais le problème est que le tout est très mal construit, la mise en scène pas terrible et il y a beaucoup d’incohérences qui rendent ce film InComPreHenSible... Par exemple, si la scène ou l'enfant laisse un dessin sur le mur, pour prévenir ceux qui le liraient dans le passé de la venue des envahisseurs (ce qui aurait expliquer le dessin découvert par les archéologues) avait été mieux mis en scène ça aurait pu être assez sympa... et bah non pas du tout exploité, ni mis en valeur, ce qui rend cet élément complétement inutile, dommage... La transition entre l'avant et l’après apocalypse est inexistante, donc c'est super agréable... ( je suis ironique...) ça en est tellement perturbant qu'on en perd le fil !!! Quand aux grands points d’incompréhension... comment vous dire... quelqu'un peut m'expliquer d'ou sortent ces dinosaures dans le futur...????? complétement incompréhensible !!! Sans parler de cette fin a se tirer les cheveux, ou l'on se dit après une heure de souffrance, tout ça pour ça??!! Le casting est très mauvais, les costumes, n'en parlons même pas... un alien avec un corps de gorille obèse et un casque de scaphandre... je sais pas ce que fumaient les mecs a l’époque mais a mon avis ils devaient faire de sacrées trips... lol (mais je pense que ca devait etre du a un manque de moyen). Et puis les effets spéciaux sont vraiment pauvres... Al final le pire nanar de série Z que j'ai jamais vu de toute ma vie, pas loin de Plan 9...
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Will Ferrell est criant de débilités dans ce film, il gigote dans tous les sens, il est très très lourd, même si quelques passages font sourir, Nicole Kidman est insipide, le scénario est très pauvre, cette histoire d'amour relève du miracle tellement qu'elle est invraisemblable, elle ne tient pas la route. Je n'ai pas souvenir que dans la série les acteurs étaient aussi niais ! Le film se traîne abominablement. J'ai souhaité virer ce film au bout de 10 min, si j'avais su ...
Will Ferrell est criant de débilités dans ce film, il gigote dans tous les sens, il est très très lourd, même si quelques passages font sourir, Nicole Kidman est insipide, le scénario est très pauvre, cette histoire d'amour relève du miracle tellement qu'elle est invraisemblable, elle ne tient pas la route. Je n'ai pas souvenir que dans la série les acteurs étaient aussi niais ! Le film se traîne abominablement. J'ai souhaité virer ce film au bout de 10 min, si j'avais su ...
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Film profondément mélancolique et d'une infinie justesse. Quelle comédienne! Et la réalisation est d'une profonde sensibilité. Un film magnifique.
Film profondément mélancolique et d'une infinie justesse. Quelle comédienne! Et la réalisation est d'une profonde sensibilité. Un film magnifique.
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J'en ai vu des films de merde ! Mais alors là, c'est le ponpon !!! Pire que ça, je vois pas. A part 3/4 scènes qui nous surprenent, il ne se passe rien pendant 1h25. C'est nul de chez nul. Ne gaspillez pas votre argent à aller voir cette bouse cinématographique. C'est du gros foutage de gueule pour ados pré-pubères.
J'en ai vu des films de merde ! Mais alors là, c'est le ponpon !!! Pire que ça, je vois pas. A part 3/4 scènes qui nous surprenent, il ne se passe rien pendant 1h25. C'est nul de chez nul. Ne gaspillez pas votre argent à aller voir cette bouse cinématographique. C'est du gros foutage de gueule pour ados pré-pubères.
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Un petit film plein de bonnes intentions, mais qui s'apparente plus à un Télé Film..Des petits moyens pour une histoire déjà souvent traitée au cinéma. Les vilains de la milice, les braves paysans qui ont recueillis des juifs.Les personnages sont un peu stéréotypés. Les acteurs son bons. Se laisse voir.
Un petit film plein de bonnes intentions, mais qui s'apparente plus à un Télé Film..Des petits moyens pour une histoire déjà souvent traitée au cinéma. Les vilains de la milice, les braves paysans qui ont recueillis des juifs.Les personnages sont un peu stéréotypés. Les acteurs son bons. Se laisse voir.
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1,529
Un casting d'enfer pour un médiocre résultat. La première demi-heure est intéressante et tient la route...Après, on tourne en rond et on s'ennuie ferme. J'ai abandonné au bout d'une heure 15.Géraldine Palhais débite son texte de façon difficile à comprendre...Catherine Deneuve est mauvaise.Un court métrage (1ère demi-heure) aurait été bon!
Un casting d'enfer pour un médiocre résultat. La première demi-heure est intéressante et tient la route...Après, on tourne en rond et on s'ennuie ferme. J'ai abandonné au bout d'une heure 15.Géraldine Palhais débite son texte de façon difficile à comprendre...Catherine Deneuve est mauvaise.Un court métrage (1ère demi-heure) aurait été bon!
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1,530
Blockbuster Coréen de série qui imite ces confrères Américain sans rien rajouter à part un méchant plus tourmenté qu'ordinaire et le contexte politique des 2 Corée. Les scènes d'actions sont du même niveaux et abusent de la caméra à l'épaule, la réalisation manque aussi de puissance et la musique est un repompage des pires B.O. de Michael Bay sans oublier le côté patriotique toujours aussi lourd et un anti-américanisme primaire.Bref c'est largement dispensable.
Blockbuster Coréen de série qui imite ces confrères Américain sans rien rajouter à part un méchant plus tourmenté qu'ordinaire et le contexte politique des 2 Corée. Les scènes d'actions sont du même niveaux et abusent de la caméra à l'épaule, la réalisation manque aussi de puissance et la musique est un repompage des pires B.O. de Michael Bay sans oublier le côté patriotique toujours aussi lourd et un anti-américanisme primaire.Bref c'est largement dispensable.
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spectaculaire histoire et magnifiques décors naturel, les acteurs tiennent la route, vraiment excellent
spectaculaire histoire et magnifiques décors naturel, les acteurs tiennent la route, vraiment excellent
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1,532
Surprenant que cet "homme qui était Superman"! Venu tout droit du cinéma Coréen, cette comédie dramatique réalise une performance sur les deux tableaux. La rencontre de cette journaliste et de ce personnage décalé est le point de départ humoristique de cette histoire originale. Et si l'on se laisse pendant un moment aller à hésiter entre folie et véritable pouvoirs inhibés, le désir d'aide de cet ancien super-héros, son côté infantile et simple, et la performance de l'acteur le rendent immédiatement touchant. Le réalisateur joue visuellement avec habilité entre réel et imaginaire, opposant et mélangeant souvent les deux visions, possible et impossible. Puis, petit à petit, à mesure que cette femme va le découvrir, l'aimer, l'aider, lui qui ne vit que pour ça, la film va glisser vers une seconde partie plus dramatique mais tout aussi prenante. Seul le dénouement plonge un peu trop dans le mélodramatique et même si on est très loin des incalculables fin du Seigneur des anneaux, le film semble se terminer plus d'une fois. Heureusement que la surprise de le voir continuer fait place à des explications partielles bourrées de petits détails qui au final rendent l'oeuvre cohérente et véritablement poétique. Ajoutez à cela le message écolo-humaniste face à une société nombriliste et vous obtenez encore une petite perle du cinéma asiatique.
Surprenant que cet "homme qui était Superman"! Venu tout droit du cinéma Coréen, cette comédie dramatique réalise une performance sur les deux tableaux. La rencontre de cette journaliste et de ce personnage décalé est le point de départ humoristique de cette histoire originale. Et si l'on se laisse pendant un moment aller à hésiter entre folie et véritable pouvoirs inhibés, le désir d'aide de cet ancien super-héros, son côté infantile et simple, et la performance de l'acteur le rendent immédiatement touchant. Le réalisateur joue visuellement avec habilité entre réel et imaginaire, opposant et mélangeant souvent les deux visions, possible et impossible. Puis, petit à petit, à mesure que cette femme va le découvrir, l'aimer, l'aider, lui qui ne vit que pour ça, la film va glisser vers une seconde partie plus dramatique mais tout aussi prenante. Seul le dénouement plonge un peu trop dans le mélodramatique et même si on est très loin des incalculables fin du Seigneur des anneaux, le film semble se terminer plus d'une fois. Heureusement que la surprise de le voir continuer fait place à des explications partielles bourrées de petits détails qui au final rendent l'oeuvre cohérente et véritablement poétique. Ajoutez à cela le message écolo-humaniste face à une société nombriliste et vous obtenez encore une petite perle du cinéma asiatique.
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1,533
Sean Penn nous montre ici qu'il est autant à l'aise devant que derrière une caméra et nous signe ici un thriller sombre et au rythme posé donc un Nicholson âge et terni nous épate encore une fois! Deux grandes pointures du cinéma dans un polar noir assez classique mais diablement bon!
Sean Penn nous montre ici qu'il est autant à l'aise devant que derrière une caméra et nous signe ici un thriller sombre et au rythme posé donc un Nicholson âge et terni nous épate encore une fois! Deux grandes pointures du cinéma dans un polar noir assez classique mais diablement bon!
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Un scénario balisé et prévisible pour un résultat qui manque cruellement de suspens.
Un scénario balisé et prévisible pour un résultat qui manque cruellement de suspens.
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1,535
Vu en festival... malgré une bande annonce alléchante et un casting-marketing paillettes, le film déçoit dès les premières minutes et devient très vite insupportable... autant faire du théâtre ou écrire un roman, pourquoi vouloir réaliser un "film" comme ça ? bref, à fuir !
Vu en festival... malgré une bande annonce alléchante et un casting-marketing paillettes, le film déçoit dès les premières minutes et devient très vite insupportable... autant faire du théâtre ou écrire un roman, pourquoi vouloir réaliser un "film" comme ça ? bref, à fuir !
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Juste divertissant. L'humour ne fait pas dans la finesse. Le jeu des acteurs est très théâtralisé. L'histoire n'est pas palpitante.
Juste divertissant. L'humour ne fait pas dans la finesse. Le jeu des acteurs est très théâtralisé. L'histoire n'est pas palpitante.
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Tranches de vie d'adolescents portés sur le sexe et les soirées en boîte. Pas vraiment de scénario, juste les bribes d'une histoire amour qui s'étiole. On ne sait pas vraiment où le réalisateur a voulu en venir, mais il y a cependant une atmosphère sincère et tendre grâce au beau jeu des acteurs.
Tranches de vie d'adolescents portés sur le sexe et les soirées en boîte. Pas vraiment de scénario, juste les bribes d'une histoire amour qui s'étiole. On ne sait pas vraiment où le réalisateur a voulu en venir, mais il y a cependant une atmosphère sincère et tendre grâce au beau jeu des acteurs.
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1,538
Il s'agit là d'un avis personnel. Cette critique n'engage que moi. Moins tolérant que mes congénères "Batmanophiles", je ne peux pas accepter une adaptation aussi mauvaise. Quand je regarde un comics, j'aime voir un comics. Pas un manga. A chacun son univers. L'histoire de Batman n'est pas respectée. La qualité des dessins est moyenne.Et Batman qui se découvre une fascination pour les armes à feu... Le pompon. Complètement contraire à l'histoire que je connais.C'est d'un ridicule sans nom.
Il s'agit là d'un avis personnel. Cette critique n'engage que moi. Moins tolérant que mes congénères "Batmanophiles", je ne peux pas accepter une adaptation aussi mauvaise. Quand je regarde un comics, j'aime voir un comics. Pas un manga. A chacun son univers. L'histoire de Batman n'est pas respectée. La qualité des dessins est moyenne.Et Batman qui se découvre une fascination pour les armes à feu... Le pompon. Complètement contraire à l'histoire que je connais.C'est d'un ridicule sans nom.
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2 tetes d'affiches qui sont pour moi dans le top 10 de mes comediens préférés. Mais malgres leur immense talent, le film est bien terne et lent.J'attend de les revoir j'espere dans un film a la hauteur de leur statu.
2 tetes d'affiches qui sont pour moi dans le top 10 de mes comediens préférés. Mais malgres leur immense talent, le film est bien terne et lent.J'attend de les revoir j'espere dans un film a la hauteur de leur statu.
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1,540
John Ford file la métaphore identitaire dans ce western atypique, qui voit John Wayne et Jeffrey Hunter partir à la recherche de la jeune Nathalie Wood, enlevée par les indiens. Une réflexion sur l'identité, l'éducation et le racisme.
John Ford file la métaphore identitaire dans ce western atypique, qui voit John Wayne et Jeffrey Hunter partir à la recherche de la jeune Nathalie Wood, enlevée par les indiens. Une réflexion sur l'identité, l'éducation et le racisme.
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1,541
Agréable de découvrir un moment d histoire, belles images, acteurs convaincants, à voir aussi avec des ados !
Agréable de découvrir un moment d histoire, belles images, acteurs convaincants, à voir aussi avec des ados !
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1,542
Déçu, extrêmement déçu. Le choix des comédiens n'est pas judicieux, trop jeunes, pas en adéquation avec l'empreinte laissée lors de la lecture du livre...
Déçu, extrêmement déçu. Le choix des comédiens n'est pas judicieux, trop jeunes, pas en adéquation avec l'empreinte laissée lors de la lecture du livre...
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1,543
Ce film aurait pu être vraiment bon si la réalisateur n'avait pas cherché à en faire trop. Des plans qui durent au maximum 5 secondes, caméra à l'épaule (même lorsque les perso sont immobiles) donnent un "rendu" "épilepsique" et limite "gerbant" à force. Le tout début indique un "bon gros film qui claque", le générique (mal fait) vient "casser" cette bonne impression, le générique ce termine (enfin) et là... "hoooo délivrance"... hey ben non, on se retrouve dans une fausse dynamique, qui finalement nous fait sombrer dans l'embarras. En effet, on est embrasser de s'obstiner à vouloir donner la chance à ce film alors que l'on sait qu'on perd notre temps. Pour ma part je n'ai vu que la première demie-heure... Oui! J'ai mis du temps, 30 minutes environ pour me rendre compte que j'avais d'autres choses à faire de plus important que de regarder ce film, comme par exemple, nourrir mes poissons... alors que je n'en ai pas (lol). Bref, si vous avez bu ne regardez pas ce film, vous risqueriez d'avoir la gerbe. Si vous êtes épileptique, ne le regardez pas non plus, vous risqueriez de faire une crise. Et paradoxalement, si vous êtes fatigués, ne le regardez pas non plus, car l'effet bougeotte de la caméra sur l'épaule (la cadreur devait avoir son épaule en compote à force, d'où les tremblement exagérés), aura tendance à vous bercer et donc à vous endormir (ce qui peut être ennuyeux si vous avez des choses importantes à faire dans la journée). Ce film "indépendant" aurait pu etre vraiment bon sans ce type d'abus (c'est vrai que bon nombre de réalisateur maintenant pensent qu'ils vont gagner un oscar uniquement parce qu'ils ont osé tourner le film entier caméra à l'épaule....). C'est tout de même vraiment dommage car le ralisateur ne semble vraiment pas mauvais du tout, il semble capable de faire de bonnes et belles images. Les acteurs n'ont rien de transcendant, mais pour ce type de film pour l'histoire ça peut être interessant. A vous de voir... à vos risques et périls.
Ce film aurait pu être vraiment bon si la réalisateur n'avait pas cherché à en faire trop. Des plans qui durent au maximum 5 secondes, caméra à l'épaule (même lorsque les perso sont immobiles) donnent un "rendu" "épilepsique" et limite "gerbant" à force. Le tout début indique un "bon gros film qui claque", le générique (mal fait) vient "casser" cette bonne impression, le générique ce termine (enfin) et là... "hoooo délivrance"... hey ben non, on se retrouve dans une fausse dynamique, qui finalement nous fait sombrer dans l'embarras. En effet, on est embrasser de s'obstiner à vouloir donner la chance à ce film alors que l'on sait qu'on perd notre temps. Pour ma part je n'ai vu que la première demie-heure... Oui! J'ai mis du temps, 30 minutes environ pour me rendre compte que j'avais d'autres choses à faire de plus important que de regarder ce film, comme par exemple, nourrir mes poissons... alors que je n'en ai pas (lol). Bref, si vous avez bu ne regardez pas ce film, vous risqueriez d'avoir la gerbe. Si vous êtes épileptique, ne le regardez pas non plus, vous risqueriez de faire une crise. Et paradoxalement, si vous êtes fatigués, ne le regardez pas non plus, car l'effet bougeotte de la caméra sur l'épaule (la cadreur devait avoir son épaule en compote à force, d'où les tremblement exagérés), aura tendance à vous bercer et donc à vous endormir (ce qui peut être ennuyeux si vous avez des choses importantes à faire dans la journée). Ce film "indépendant" aurait pu etre vraiment bon sans ce type d'abus (c'est vrai que bon nombre de réalisateur maintenant pensent qu'ils vont gagner un oscar uniquement parce qu'ils ont osé tourner le film entier caméra à l'épaule....). C'est tout de même vraiment dommage car le ralisateur ne semble vraiment pas mauvais du tout, il semble capable de faire de bonnes et belles images. Les acteurs n'ont rien de transcendant, mais pour ce type de film pour l'histoire ça peut être interessant. A vous de voir... à vos risques et périls.
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"Eastern Plays" où le parcours initiatique violent d'un jeune garçon et la rédemption introspéctive de son frêre qui se demande s'il pourra aimer de nouveau un jour... Un film plus que touchant où le spectateur s'identifie au personnage ... Le premier film d'un cinéaste qui semble vouloir faire des vagues dans le cinéma Bulgare. A voir absolument!!!!
"Eastern Plays" où le parcours initiatique violent d'un jeune garçon et la rédemption introspéctive de son frêre qui se demande s'il pourra aimer de nouveau un jour... Un film plus que touchant où le spectateur s'identifie au personnage ... Le premier film d'un cinéaste qui semble vouloir faire des vagues dans le cinéma Bulgare. A voir absolument!!!!
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1,545
Parmi les multiples sauts d'Akira Kurosawa du côté de l'Occident, l'un des plus beaux, avec «Ran» est «Hakuchi» (Japon, 1951), adaptation de l'ouvrage homonyme de Dostoïevsky. Au retour de la guerre, comme dans «Nora inu», un jeune homme traumatisé, Kameda, se retrouve piégé par sa naïveté et sa propension imparable à dégager un élan de bonté. Kurosawa forme, autour de cette intrigue tragique par son astreinte, une figure récurrente du triangle. Souvent se situe en point hégémonique, la figure vampirique et ensorcelante de Nasu (magnifique Setsuko Hara qui quitte l'émotion douce de chez Ozu pour vêtir un personnage noir et faustien). Dans un cadre souvent composé en triangle, répartissant les points de lecture du cadre en une figure parfaite du dialogue et du mouvement (le triangle et sa disposition parfaite à l'ambivalence n'est-il pas le plus proche du cercle ?) permet à l'esthétique du film de formuler le caractère même de la tragédie : l'angoisse du choix. Pour cette raison, «Hakuchi» avère, par une composition somptueusement signifiante, la place de Kurosawa comme grand tragédien du cinéma. Des facultés du 7ème art à exprimer la condition humaine, sont employés la mise en correspondance au sein même du cadre de différents objets par un positionnement judicieux du regard sur le monde. En choisissant tel angle et tel axe, Kurosawa permet de révèler, par un moyen très expressionniste, la «substantifique moelle» de la scène. Des couteaux, exposés dans une vitrine, qui se dirigent vers le coeur de l'idiot mettent en évidence le suspense de la séquence. Autre moyen de dynamique cinématographique : la mise en correspondance au sein des séquences, parmi les plans. Les fondus ou les volets sont les moyens le plus répandus pour rendre visible cette perpétuelle cinétique. La profonde tristesse du film, outre de prendre place dans les yeux accablés de Kameda, provient de cet insaisissable trialectique entre la vie, la mort et l'amour, entre l'homme, la femme et le destin.
Parmi les multiples sauts d'Akira Kurosawa du côté de l'Occident, l'un des plus beaux, avec «Ran» est «Hakuchi» (Japon, 1951), adaptation de l'ouvrage homonyme de Dostoïevsky. Au retour de la guerre, comme dans «Nora inu», un jeune homme traumatisé, Kameda, se retrouve piégé par sa naïveté et sa propension imparable à dégager un élan de bonté. Kurosawa forme, autour de cette intrigue tragique par son astreinte, une figure récurrente du triangle. Souvent se situe en point hégémonique, la figure vampirique et ensorcelante de Nasu (magnifique Setsuko Hara qui quitte l'émotion douce de chez Ozu pour vêtir un personnage noir et faustien). Dans un cadre souvent composé en triangle, répartissant les points de lecture du cadre en une figure parfaite du dialogue et du mouvement (le triangle et sa disposition parfaite à l'ambivalence n'est-il pas le plus proche du cercle ?) permet à l'esthétique du film de formuler le caractère même de la tragédie : l'angoisse du choix. Pour cette raison, «Hakuchi» avère, par une composition somptueusement signifiante, la place de Kurosawa comme grand tragédien du cinéma. Des facultés du 7ème art à exprimer la condition humaine, sont employés la mise en correspondance au sein même du cadre de différents objets par un positionnement judicieux du regard sur le monde. En choisissant tel angle et tel axe, Kurosawa permet de révèler, par un moyen très expressionniste, la «substantifique moelle» de la scène. Des couteaux, exposés dans une vitrine, qui se dirigent vers le coeur de l'idiot mettent en évidence le suspense de la séquence. Autre moyen de dynamique cinématographique : la mise en correspondance au sein des séquences, parmi les plans. Les fondus ou les volets sont les moyens le plus répandus pour rendre visible cette perpétuelle cinétique. La profonde tristesse du film, outre de prendre place dans les yeux accablés de Kameda, provient de cet insaisissable trialectique entre la vie, la mort et l'amour, entre l'homme, la femme et le destin.
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Non mais quelle idée de pondre une suite au désastre des frères Strause… Quelle idée aussi de prendre une soirée pour la regarder... À l’instar de son prédécesseur, rien ne fonctionne : les effets gores ne suffisent pas à donner de l’impact à une mise en scène à la ramasse échouant en permanence à apporter une quelconque émotion, que ce soit lors des séquences de destruction ou d’affrontement ou celles en huis-clos.
Non mais quelle idée de pondre une suite au désastre des frères Strause… Quelle idée aussi de prendre une soirée pour la regarder... À l’instar de son prédécesseur, rien ne fonctionne : les effets gores ne suffisent pas à donner de l’impact à une mise en scène à la ramasse échouant en permanence à apporter une quelconque émotion, que ce soit lors des séquences de destruction ou d’affrontement ou celles en huis-clos.
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Malheureusement mal joué, mal doublé, mal cadré ! dialogues ultra cliché et sans saveur. Désolé pour Kev Adams mais c'est une mauvaise série...
Malheureusement mal joué, mal doublé, mal cadré ! dialogues ultra cliché et sans saveur. Désolé pour Kev Adams mais c'est une mauvaise série...
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Une comédie très très légère, l’ensemble est bien mené mais les les dialogues sont décevants de banalité et les clichés se comptent par dizaine. Dupontel est moyennement crédible ds son rôle d’écrivain. Heureusement, C Frot campe un personnage haut en couleurs.
Une comédie très très légère, l’ensemble est bien mené mais les les dialogues sont décevants de banalité et les clichés se comptent par dizaine. Dupontel est moyennement crédible ds son rôle d’écrivain. Heureusement, C Frot campe un personnage haut en couleurs.
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1,549
Une excellente surprise de 2012, avec un film qui ne prend pas ses spectateurs pour des imbéciles. Ayant compris que nos attentes concernaient essentiellement les nazis, l'essentiel du film se place de leur côté, suivant leur manoeuvre et utilisant leur réputation pour se livrer à des gags très OSS 117 dans l'esprit. Mais si Iron Sky a tout du délire ludique, il s'enveloppe d'un écrin technique irréprochable, se donnant des airs d'univers spatiaux digne de Star Wars. Avec un dernier acte tenant pleinement ses promesses et du politiquement incorrect égratignant le camp des alliés, Iron Sky est un morceau de bravoure qui évite intelligemment la lourdeur, même si il n'évite pas toujours la baisse de rythme (en milieu de film notamment)... Très largement recommandable.
Une excellente surprise de 2012, avec un film qui ne prend pas ses spectateurs pour des imbéciles. Ayant compris que nos attentes concernaient essentiellement les nazis, l'essentiel du film se place de leur côté, suivant leur manoeuvre et utilisant leur réputation pour se livrer à des gags très OSS 117 dans l'esprit. Mais si Iron Sky a tout du délire ludique, il s'enveloppe d'un écrin technique irréprochable, se donnant des airs d'univers spatiaux digne de Star Wars. Avec un dernier acte tenant pleinement ses promesses et du politiquement incorrect égratignant le camp des alliés, Iron Sky est un morceau de bravoure qui évite intelligemment la lourdeur, même si il n'évite pas toujours la baisse de rythme (en milieu de film notamment)... Très largement recommandable.
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Pas mauvais mauvais, mais on a quand même l'impression que le résultat aurait pu être bien meilleur si son scénario avait mieux exploité son sujet. Son développement fantastique est vraiment son gros point faible.
Pas mauvais mauvais, mais on a quand même l'impression que le résultat aurait pu être bien meilleur si son scénario avait mieux exploité son sujet. Son développement fantastique est vraiment son gros point faible.
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C'est une toute petite aventure. La chasse du dragon est pas du tout émoustillante. La bête est foiré par le manque d'argent, résultat, le FX est hideux. Par contre le jeu des acteurs est correcte, c"est que tu tiens jusqu'au bout.
C'est une toute petite aventure. La chasse du dragon est pas du tout émoustillante. La bête est foiré par le manque d'argent, résultat, le FX est hideux. Par contre le jeu des acteurs est correcte, c"est que tu tiens jusqu'au bout.
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1,552
Un film magnifique! L'histoire est belle, et les acteurs d'une justesse rarement atteinte. Au final, le spectateur ne peut être que bouleversé devant tant de féérie. Incontournable!
Un film magnifique! L'histoire est belle, et les acteurs d'une justesse rarement atteinte. Au final, le spectateur ne peut être que bouleversé devant tant de féérie. Incontournable!
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1,553
Cette nouvelle entreprise dans laquelle nous embarque Pierre Jolivet est, comme son titre l’indique, de plus grande envergure. Pourtant, LA TRES TRES GRANDE ENTREPRISE, tout comme son prédécesseur, marche en mode automatique et se dessert parfois par la facilité un peu surréaliste de ses situations… Mais tout comme son prédécesseur également, elle tire un avantage considérable de son contexte politico-social très contemporain et non-moraliste, de se laisser servir par un groupe d’acteurs tous formidables en altermondialistes, et sachant en plus maintenir un bon sens du rythme, nous réservant les meilleures surprises en flopée sur la dernière partie du film. LA TRES TRES GRANDE ENTREPRISE forme un savoureux mélange de genres, ludique et malin, qui divertit sans abêtir.
Cette nouvelle entreprise dans laquelle nous embarque Pierre Jolivet est, comme son titre l’indique, de plus grande envergure. Pourtant, LA TRES TRES GRANDE ENTREPRISE, tout comme son prédécesseur, marche en mode automatique et se dessert parfois par la facilité un peu surréaliste de ses situations… Mais tout comme son prédécesseur également, elle tire un avantage considérable de son contexte politico-social très contemporain et non-moraliste, de se laisser servir par un groupe d’acteurs tous formidables en altermondialistes, et sachant en plus maintenir un bon sens du rythme, nous réservant les meilleures surprises en flopée sur la dernière partie du film. LA TRES TRES GRANDE ENTREPRISE forme un savoureux mélange de genres, ludique et malin, qui divertit sans abêtir.
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film qui partait de manière trés rythmé on se retrouve d'entrée avec du gunfight à la manière de temps d'autres films d'action. Cepandant par la suite la psychologie des personnages va etre travaillé notemment celle du "méchant" en nous racontant son enfance ainsi que sa famille ce qui rend le personnage plus humain. Cette manière de faire c'est un peu la marque asiatique. bref avi aux amateurs de ce genre
film qui partait de manière trés rythmé on se retrouve d'entrée avec du gunfight à la manière de temps d'autres films d'action. Cepandant par la suite la psychologie des personnages va etre travaillé notemment celle du "méchant" en nous racontant son enfance ainsi que sa famille ce qui rend le personnage plus humain. Cette manière de faire c'est un peu la marque asiatique. bref avi aux amateurs de ce genre
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Une belle réflexion sur la question de l'autonomie psychique, de la violence, de l'abus. Quelles sexualités lorsqu'on est handicapé.e.s ? Comment être parents d'un.e handicapé.e mental.e, respectueux de sa liberté de choix, protecteurs, mais non décideurs pour elle/lui, engagés, mais non intrusifs ? On peut lire une chronique plus détaillée sur Tess magazine...
Une belle réflexion sur la question de l'autonomie psychique, de la violence, de l'abus. Quelles sexualités lorsqu'on est handicapé.e.s ? Comment être parents d'un.e handicapé.e mental.e, respectueux de sa liberté de choix, protecteurs, mais non décideurs pour elle/lui, engagés, mais non intrusifs ? On peut lire une chronique plus détaillée sur Tess magazine...
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1,556
Bof bof ... comme le dit le titre du film, ça parle de gamins, avec des blagues et vannes de gamins. ça fera rire les plus jeunes d'entre nous, à quelques scènes certains adultes, pas de quoi fouetter un Chabat ! Vraiment, je m'attendais à un humour plus caustique et surtout moins prévisible, je suis déçu...
Bof bof ... comme le dit le titre du film, ça parle de gamins, avec des blagues et vannes de gamins. ça fera rire les plus jeunes d'entre nous, à quelques scènes certains adultes, pas de quoi fouetter un Chabat ! Vraiment, je m'attendais à un humour plus caustique et surtout moins prévisible, je suis déçu...
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Rien d'autre à dire que nul.
Rien d'autre à dire que nul.
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Film long et lent même si les acteurs sont excellents.
Film long et lent même si les acteurs sont excellents.
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c'est pas bien... Bebouzze, Besson, deux raisons pour ne pas aimer.
c'est pas bien... Bebouzze, Besson, deux raisons pour ne pas aimer.
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Gilles Béhat réussit un très bon film d'action avec un Bernard-Pierre Donadieu très détestable dans le rôle de la brute, Bernard Giraudeau est impeccable dans le rôle du redresseur de tort complètement dégoûté par la vie. Efficace, réalisation soignée, un film nerveux qui change des films d'action américains (mais je crois que le film est adapté d'un roman américain).
Gilles Béhat réussit un très bon film d'action avec un Bernard-Pierre Donadieu très détestable dans le rôle de la brute, Bernard Giraudeau est impeccable dans le rôle du redresseur de tort complètement dégoûté par la vie. Efficace, réalisation soignée, un film nerveux qui change des films d'action américains (mais je crois que le film est adapté d'un roman américain).
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1,561
Très beau film. Émouvant. On découvre une artiste finalement très mystérieuse. Et puis quelle voix. On a vraiment beaucoup aimé
Très beau film. Émouvant. On découvre une artiste finalement très mystérieuse. Et puis quelle voix. On a vraiment beaucoup aimé
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1,562
la transition Darmon - Elmosnino se fait très bien. Marc Lavoine comme ses copains toujours excellents, voici un 3° volet bien plaisant et plus moral : abordant la maladie, la reconnaissance de paternité.. Vivement le 4°
la transition Darmon - Elmosnino se fait très bien. Marc Lavoine comme ses copains toujours excellents, voici un 3° volet bien plaisant et plus moral : abordant la maladie, la reconnaissance de paternité.. Vivement le 4°
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1,563
Absolument déçue par ce film que j'attendais avec impatience car j'adore l'acteur Channing Tatum et surtout les romances! C'est insipide, on y croit pas une seule seconde, je n'accroche pas mais alors pas du tout avec la performance de Rachel Mcadams, ça aurait pu être cent milles fois mieux surtout que le thème est assez intéressant. Bref un film qui ne restera pas gravé dans les annales et surtout pas dans ma collection de dvds de films d'amour ^^
Absolument déçue par ce film que j'attendais avec impatience car j'adore l'acteur Channing Tatum et surtout les romances! C'est insipide, on y croit pas une seule seconde, je n'accroche pas mais alors pas du tout avec la performance de Rachel Mcadams, ça aurait pu être cent milles fois mieux surtout que le thème est assez intéressant. Bref un film qui ne restera pas gravé dans les annales et surtout pas dans ma collection de dvds de films d'amour ^^
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1,564
Le plus amusant en voyant «Ostrov» (Russie, 2008) de Pavel Lounguine, c’est d’imaginer Luis Bunuel face au film. Le génie du surréalisme aurait certainement bien ri devant tant de bigoterie. Trivialement, ce film de Lounguine se résumerait comme le calvaire rédempteur d’un prêtre facétieux, hanté par le meurtre qu’il a du commettre sous le joug nazi. Le poids de la religion sur la conscience humaine est retranscrit, quelque peu impertinemment, par des paysages sublimes sur-esthétisés d’une île enneigée et par des chants christiques quasi-transcendants. Les images sont chargées, par Andreï Jegalov, directeur de la photographie, d’une oraison mystique aux teintes blêmes. Il y a assurément de l’inspiration picturale dans la composition des plans. La démarche, qui consiste à donner aux choses cinématographiées leur valeur par un appui outrageux de leur apparence, relève du même procédé appliqué par le piètre cinéma de divertissement occidental. Autrement dit, «Ostrov», sous l’apparence d’une culture russe, est confectionné tel un film américain. Il aurait fallu que Lounguine voit les chef d’œuvres de Paradjanov pour savoir que le mystique au cinéma n’est pas une affaire de foi sublime mais plutôt d’icônes, de création d’imaginaire. Ce film à toutefois l’avantage de nous assurer que, non, le cinéma au service de la religion ne donne jamais de films fructueux. Si le cinéma est né à la fin du XIXème siècle, aux horizons en France de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, ce n’est pas par hasard. Quand la religion s’est essoufflée dans le cœur des hommes (dès que Nietzche eût proclamé la mort de Dieu), le cinéma est né, s’est substitué à son rôle de fascination et d’images du monde. Le mélange de ces deux modes d’appréhension du réel délivre souvent une œuvre hybride, bancale, voire pathétique comme dans ce cas-là. «Ostrov» peut susciter le rire involontaire, quoique généralement il dégage la prétention.
Le plus amusant en voyant «Ostrov» (Russie, 2008) de Pavel Lounguine, c’est d’imaginer Luis Bunuel face au film. Le génie du surréalisme aurait certainement bien ri devant tant de bigoterie. Trivialement, ce film de Lounguine se résumerait comme le calvaire rédempteur d’un prêtre facétieux, hanté par le meurtre qu’il a du commettre sous le joug nazi. Le poids de la religion sur la conscience humaine est retranscrit, quelque peu impertinemment, par des paysages sublimes sur-esthétisés d’une île enneigée et par des chants christiques quasi-transcendants. Les images sont chargées, par Andreï Jegalov, directeur de la photographie, d’une oraison mystique aux teintes blêmes. Il y a assurément de l’inspiration picturale dans la composition des plans. La démarche, qui consiste à donner aux choses cinématographiées leur valeur par un appui outrageux de leur apparence, relève du même procédé appliqué par le piètre cinéma de divertissement occidental. Autrement dit, «Ostrov», sous l’apparence d’une culture russe, est confectionné tel un film américain. Il aurait fallu que Lounguine voit les chef d’œuvres de Paradjanov pour savoir que le mystique au cinéma n’est pas une affaire de foi sublime mais plutôt d’icônes, de création d’imaginaire. Ce film à toutefois l’avantage de nous assurer que, non, le cinéma au service de la religion ne donne jamais de films fructueux. Si le cinéma est né à la fin du XIXème siècle, aux horizons en France de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, ce n’est pas par hasard. Quand la religion s’est essoufflée dans le cœur des hommes (dès que Nietzche eût proclamé la mort de Dieu), le cinéma est né, s’est substitué à son rôle de fascination et d’images du monde. Le mélange de ces deux modes d’appréhension du réel délivre souvent une œuvre hybride, bancale, voire pathétique comme dans ce cas-là. «Ostrov» peut susciter le rire involontaire, quoique généralement il dégage la prétention.
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[9.99724730e-01 2.75269932e-04]
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Quelle nullité! Prenez une caméra, filmez tout et n' importe quoi, sans dialogues (les dialogues sont superflus dans le cinéma intello, tout le monde sait cela!) et vous aurez un chef d'oeuvre à la Ferreri! Ferreri, ce même "cinéaste" qui a pondu la Grande Bouffe, autre "chef d' oeuvre" pour ado-provocateur-et-attardé-qui-veut-choquer-le-bourgeois. Bref, un navetissime comme seuls les réalisateurs impuissants et férus de psychololo à deux balles savent en faire. Le présentateur dudit " film" nous averti que cette crotte est un chef d'oeuvre (!). N' en croyez rien, c' est un soporifique d' une facilité inimaginable qui n' enchantera que ceux qui se la joue intellos et qui croient comprendre quelques chose là où il n' y a strictement rien à comprendre si ce n' est l' esbroufe, l'incompétence, l'indigence et la prétention de Ferreri. N'importe quel amateur débutant en fait autant.
Quelle nullité! Prenez une caméra, filmez tout et n' importe quoi, sans dialogues (les dialogues sont superflus dans le cinéma intello, tout le monde sait cela!) et vous aurez un chef d'oeuvre à la Ferreri! Ferreri, ce même "cinéaste" qui a pondu la Grande Bouffe, autre "chef d' oeuvre" pour ado-provocateur-et-attardé-qui-veut-choquer-le-bourgeois. Bref, un navetissime comme seuls les réalisateurs impuissants et férus de psychololo à deux balles savent en faire. Le présentateur dudit " film" nous averti que cette crotte est un chef d'oeuvre (!). N' en croyez rien, c' est un soporifique d' une facilité inimaginable qui n' enchantera que ceux qui se la joue intellos et qui croient comprendre quelques chose là où il n' y a strictement rien à comprendre si ce n' est l' esbroufe, l'incompétence, l'indigence et la prétention de Ferreri. N'importe quel amateur débutant en fait autant.
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Quatre années après le film nommé my left foot, Jim Sheridan retrouve Daniel Day-Lewis pour relater une affaire qui a réellement existé et qu'il intitulera Au nom du père. Le film relate le parcours torturé d'un jeune hippie irlandais qui traverse les pays britanniques de Belfast pour arriver à Londres, qui va s'envoyer en l'air avec une bande de jeunes tous aussi libérés que lui dans le mode social sur le modèle " tu fumes, tu baises" et qui va se trouver au mauvais endroit au mauvais moment et qui va le conduire à être traduit en justice et être condamné à trente ans de prison en emmenant dans sa peine le groupe de hippies et des membres de sa famille. Le scénario est remarquablement bien ficelé et s'il peine à démarrer laissant une place importante dans l'émotion lors des interrogatoires musclés et dans les contacts familiaux, la suite s'étale de façon efficace et sur un rythme effréné. Le film démontre de façon brillante et sans se complaire dans les excès de violence la dureté de la vie en prison et tout est organisé pour délivrer une vision complète de ce genre de situation: règlements de compte, douche froide, rébellion, attaque sur gardien de prison, trafic de drogue... tous ces éléments permettent d'afficher une ambiance particulièrement réaliste. Le film délivre aussi le sentiment d'impression que possèdent certains détenus qui forment des clans contre d'autres. Daniel Day-Lewis impressionne par sa composition ahurissante d'un bout à l'autre du film, passant du statut de petit voleur à un homme prêt à tout pour sauver sa peau et se réaménager une santé de fer afin de ne pas se briser et se relever pour qu'éclate la vérité qu'il connaît et qu'il souhaite faire entendre à travers tout le Royaume-Uni. Le film est une ode au courage et à l'obstination des idées que chacun garde en soi pour parvenir à ses fins. Voici un brillant témoignage de la malhonnêteté d'un système prêt à sacrifier un homme innocent au profit de la tranquillité d'un pays. Un film culte!
Quatre années après le film nommé my left foot, Jim Sheridan retrouve Daniel Day-Lewis pour relater une affaire qui a réellement existé et qu'il intitulera Au nom du père. Le film relate le parcours torturé d'un jeune hippie irlandais qui traverse les pays britanniques de Belfast pour arriver à Londres, qui va s'envoyer en l'air avec une bande de jeunes tous aussi libérés que lui dans le mode social sur le modèle " tu fumes, tu baises" et qui va se trouver au mauvais endroit au mauvais moment et qui va le conduire à être traduit en justice et être condamné à trente ans de prison en emmenant dans sa peine le groupe de hippies et des membres de sa famille. Le scénario est remarquablement bien ficelé et s'il peine à démarrer laissant une place importante dans l'émotion lors des interrogatoires musclés et dans les contacts familiaux, la suite s'étale de façon efficace et sur un rythme effréné. Le film démontre de façon brillante et sans se complaire dans les excès de violence la dureté de la vie en prison et tout est organisé pour délivrer une vision complète de ce genre de situation: règlements de compte, douche froide, rébellion, attaque sur gardien de prison, trafic de drogue... tous ces éléments permettent d'afficher une ambiance particulièrement réaliste. Le film délivre aussi le sentiment d'impression que possèdent certains détenus qui forment des clans contre d'autres. Daniel Day-Lewis impressionne par sa composition ahurissante d'un bout à l'autre du film, passant du statut de petit voleur à un homme prêt à tout pour sauver sa peau et se réaménager une santé de fer afin de ne pas se briser et se relever pour qu'éclate la vérité qu'il connaît et qu'il souhaite faire entendre à travers tout le Royaume-Uni. Le film est une ode au courage et à l'obstination des idées que chacun garde en soi pour parvenir à ses fins. Voici un brillant témoignage de la malhonnêteté d'un système prêt à sacrifier un homme innocent au profit de la tranquillité d'un pays. Un film culte!
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Quelle déception. Rien à voir avec la série de l'époque, les comédiens sont lourds, et Nicole Kidman n'est vraiment pas crédible. On s'ennuie clairement.
Quelle déception. Rien à voir avec la série de l'époque, les comédiens sont lourds, et Nicole Kidman n'est vraiment pas crédible. On s'ennuie clairement.
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Un film où le néant est roi, j'ai beaucoup de mal a adhérer à ce genre d'oeuvre où le scénario ne dépasse pas une page alors que la durée du film excède une heure trente. La mise en scène est d'une lenteur incroyable ce qui nous inflige des longueurs insuportable et des scènes souvent inintéressante. Vraiment pas essentiel.
Un film où le néant est roi, j'ai beaucoup de mal a adhérer à ce genre d'oeuvre où le scénario ne dépasse pas une page alors que la durée du film excède une heure trente. La mise en scène est d'une lenteur incroyable ce qui nous inflige des longueurs insuportable et des scènes souvent inintéressante. Vraiment pas essentiel.
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La montée du fascisme vue par Dino Risi. Gassman et Tognazzi, traîne-savates, bras cassés, s'engagent dans cette marche des pieds-nickekés fascistes où la couardise et la bêtise règnent en maître ! Savoureux !
La montée du fascisme vue par Dino Risi. Gassman et Tognazzi, traîne-savates, bras cassés, s'engagent dans cette marche des pieds-nickekés fascistes où la couardise et la bêtise règnent en maître ! Savoureux !
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Parfait, le drame y est, avec une première partie mystèrieuse plutôt policière sur sa disparition,une seconde très touchante sur son traumatisme et une troisième partie effrayante et géniale sur les extraterrestres. Bref, pas connu mais à voire quand même!!
Parfait, le drame y est, avec une première partie mystèrieuse plutôt policière sur sa disparition,une seconde très touchante sur son traumatisme et une troisième partie effrayante et géniale sur les extraterrestres. Bref, pas connu mais à voire quand même!!
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"Retour à Zombieland est donc un très bon film, dans la droite lignée du 1er épisode. Parmi les défauts, nous noterons une intrigue assez simpliste, parfois prévisible et qui contient quelques facilités scénaristiques. Nous noterons aussi un manque de développement concernant certains personnages principaux. Pour les qualités, nous noterons une intrigue qui reste malgré tout prenante et qui contient quelques bons rebondissements, un univers bien développé, un rythme et une ambiance très bien maîtrisés, une bonne mise en scène, Little Rock (jouée par Abigail Breslin) qui est bien développée, le casting très correct et enfin les décors très bien réalisés. Retour à Zombieland est donc fidèle à son prédécesseur : un très bon film. Rendez-vous en 2029 pour un troisième épisode ?" Critique complète sur cineomax.over-blog.com/
"Retour à Zombieland est donc un très bon film, dans la droite lignée du 1er épisode. Parmi les défauts, nous noterons une intrigue assez simpliste, parfois prévisible et qui contient quelques facilités scénaristiques. Nous noterons aussi un manque de développement concernant certains personnages principaux. Pour les qualités, nous noterons une intrigue qui reste malgré tout prenante et qui contient quelques bons rebondissements, un univers bien développé, un rythme et une ambiance très bien maîtrisés, une bonne mise en scène, Little Rock (jouée par Abigail Breslin) qui est bien développée, le casting très correct et enfin les décors très bien réalisés. Retour à Zombieland est donc fidèle à son prédécesseur : un très bon film. Rendez-vous en 2029 pour un troisième épisode ?" Critique complète sur cineomax.over-blog.com/
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« Cypher » est un film de science fiction aux multiples rebondissements. Il y en a peut être, à ce propos, un peu trop. Mais finalement, le spectateur est, en quelques sortes, fasciné par ce film d’espionnage et de contre-espionnage dans lequel, on doute de tout le monde. Vincenzo Natali réalise avec « Cypher » un film sur l’identité et dépeint un futur (mais est ce vraiment futuriste comme thème ?) impitoyable pour les entreprises. Et il fait cela très bien avec des plans serrés aux belles couleurs, un bon montage et une mise en scène efficace. Le tout dans de splendides décors intemporels mais sophistiqués. On regrettera quelques longueurs mais grâce à cette fin où tout s’éclaire, on lui pardonne largement.
« Cypher » est un film de science fiction aux multiples rebondissements. Il y en a peut être, à ce propos, un peu trop. Mais finalement, le spectateur est, en quelques sortes, fasciné par ce film d’espionnage et de contre-espionnage dans lequel, on doute de tout le monde. Vincenzo Natali réalise avec « Cypher » un film sur l’identité et dépeint un futur (mais est ce vraiment futuriste comme thème ?) impitoyable pour les entreprises. Et il fait cela très bien avec des plans serrés aux belles couleurs, un bon montage et une mise en scène efficace. Le tout dans de splendides décors intemporels mais sophistiqués. On regrettera quelques longueurs mais grâce à cette fin où tout s’éclaire, on lui pardonne largement.
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J'ai adoré ce téléfilm, c'est mon préférée. Il a détrôné Dirty Dancing. J'ai beaucoup rigolé. Je mets 5 étoiles.
J'ai adoré ce téléfilm, c'est mon préférée. Il a détrôné Dirty Dancing. J'ai beaucoup rigolé. Je mets 5 étoiles.
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1,574
Beau film signé par Frank Capra. Apaisant, simple et beau, oui, voici les trois adjectifs qui qualifient le mieux ce classique. C'est un message de paix qui est ici évoqué, mais loin d'être dégoulinant de bons sentiments. Ce message nous touche, au contraire, et même si il peut aujourd'hui paraitre un peu naif, il n'en demeure pas moins puissant, aidé par de somptueux décors et d'excellents personnages. Ronald Colman est d'ailleurs très convaincant, mais on a un faible pour Edward Everett Horton, deux grands seconds roles au sommet de leur art ici. C'est donc apaisé et heureux que l'on ressort de ce film, l'un des plus importants de son metteur en scène. A voir.
Beau film signé par Frank Capra. Apaisant, simple et beau, oui, voici les trois adjectifs qui qualifient le mieux ce classique. C'est un message de paix qui est ici évoqué, mais loin d'être dégoulinant de bons sentiments. Ce message nous touche, au contraire, et même si il peut aujourd'hui paraitre un peu naif, il n'en demeure pas moins puissant, aidé par de somptueux décors et d'excellents personnages. Ronald Colman est d'ailleurs très convaincant, mais on a un faible pour Edward Everett Horton, deux grands seconds roles au sommet de leur art ici. C'est donc apaisé et heureux que l'on ressort de ce film, l'un des plus importants de son metteur en scène. A voir.
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1,575
ce film ne se regarde pas pour la profondeur du scénario, ça c'est sur, mais la dextérité de l'acteur principal, les cascades et autres mouvements font que ce film est très sympa à regarder.
ce film ne se regarde pas pour la profondeur du scénario, ça c'est sur, mais la dextérité de l'acteur principal, les cascades et autres mouvements font que ce film est très sympa à regarder.
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1,576
Un excellent thriller à la fois sulfureux et audacieux dont le trio principal Dillon, Richards et Campbell est impeccable de trahisons et de sensualité. Un scénario béton et rempli de rebondissments à souhait. Et la compositon de Bill Murray apporte une mini touche humouristique qui n'est pas en déplaire. Un très bon film.
Un excellent thriller à la fois sulfureux et audacieux dont le trio principal Dillon, Richards et Campbell est impeccable de trahisons et de sensualité. Un scénario béton et rempli de rebondissments à souhait. Et la compositon de Bill Murray apporte une mini touche humouristique qui n'est pas en déplaire. Un très bon film.
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1,577
Une suite absolument remarquable qui ne trahi en aucun cas l'esprit de la franchise. Les acteurs sont tout bonnement géniaux et le scénario, parsemé de rebondissements nous tient en haleine jusqu'au bout. Merci J.J. Abrams.
Une suite absolument remarquable qui ne trahi en aucun cas l'esprit de la franchise. Les acteurs sont tout bonnement géniaux et le scénario, parsemé de rebondissements nous tient en haleine jusqu'au bout. Merci J.J. Abrams.
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Ce film se situe exactement entre Minnelli et Sirk auquel il emprunte le meilleur et ne verse ni dans l’excès dramatique ni dans l’excès artificiel. Il demeure en permanence dans la vérité du quotidien des personnes ayant eu la chance d’accéder à un entourage suffisamment aisé. Il est beau, lumineux, intelligent et riche d’enseignement pour les jeunes intellectuels. Il est sentimentalement profond et émouvant, bref, il est quasiment parfait. Richard Quine n’est pas n’importe qui et le fait d’avoir réussi entre autres, un film noir aussi juste que ‘’Pushover’’ et une comédie musicale aussi emballante que ‘’My sister Eileen’’ en est une preuve absolue. Il y a dans ‘’ Strangers when we meet’’ une dizaine de plans qui coupent la respiration en mettant en lumière la force des sentiments éprouvés par les deux amants. Inutile d’ajouter l’exceptionnelle qualité des acteurs, tous étant au top de ce que Quine leur demandait.
Ce film se situe exactement entre Minnelli et Sirk auquel il emprunte le meilleur et ne verse ni dans l’excès dramatique ni dans l’excès artificiel. Il demeure en permanence dans la vérité du quotidien des personnes ayant eu la chance d’accéder à un entourage suffisamment aisé. Il est beau, lumineux, intelligent et riche d’enseignement pour les jeunes intellectuels. Il est sentimentalement profond et émouvant, bref, il est quasiment parfait. Richard Quine n’est pas n’importe qui et le fait d’avoir réussi entre autres, un film noir aussi juste que ‘’Pushover’’ et une comédie musicale aussi emballante que ‘’My sister Eileen’’ en est une preuve absolue. Il y a dans ‘’ Strangers when we meet’’ une dizaine de plans qui coupent la respiration en mettant en lumière la force des sentiments éprouvés par les deux amants. Inutile d’ajouter l’exceptionnelle qualité des acteurs, tous étant au top de ce que Quine leur demandait.
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1,579
Luc Besson, fidèle à son image, produit une fois de plus un film pro-américain qui ne parvient pas à éveiller quoi que ce soit. Les scènes d'action comme le reste sont mal foutues. A éviter absolument.
Luc Besson, fidèle à son image, produit une fois de plus un film pro-américain qui ne parvient pas à éveiller quoi que ce soit. Les scènes d'action comme le reste sont mal foutues. A éviter absolument.
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Film a chier... Des blagues a deux balles... Des femmes voilées dans la salle qui crient des qu'il y a une scène avec un bisou.... Arrêtez avec ces clichés de merde!!!!!!!!!!!!
Film a chier... Des blagues a deux balles... Des femmes voilées dans la salle qui crient des qu'il y a une scène avec un bisou.... Arrêtez avec ces clichés de merde!!!!!!!!!!!!
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Longtemps décrié, se reboot de la saga Spider-man, s'il n'atteint pas le niveau des films de Sam Raimi, possède pourtant quelques qualités. Et en premier lieu Andrew Garfield, qui interprète un Peter Parker moins niais que celui de Tobey Maguire et lui confère plus de profondeur. A commencer par le sentiment d'abandon qu'il ressent depuis la disparition de ses parents, "The Amazing Spider-Man" s'attardant plus, et à raison, sur les origines du héros. Et changement de décennie oblige, Peter porte maintenant des lentilles de contact, se déplace en skateboard et ne sort jamais sans son portable ! Emma Stone assure également le contrat, et une belle alchimie existe entre les deux acteurs. On peut également saluer Marc Webb pour avoir osé prendre le contrepied de la tendance actuelle des films de super-héros qui est à la noirceur (la norme depuis les Batman de Christopher Nolan) en lui injectant une bonne dose d'humour, et ce même si se n'est qu'un demi-succès. Si le couple principal est assez bien écrit et interprété, il n'en va pas de même pour le méchant, le Lézard, intéressant mais mal exploité. Or comme disait Hitchcock, plus le méchant est réussi meilleur sera le film. Ici, c'est raté. Dommage également que l'une des meilleures idées du film ne soit pas exploitée en profondeur, à savoir Spider-Man utilisant les caractéristiques propres aux araignées. Intéressant mais utilisé de manière anecdotique à seulement deux reprises, lorsqu'il tisse une toile dans les égouts et se fit aux vibrations des filaments pour repérer les « intrus » et quand il emprisonne le Lézard dans un cocon. Très tourné vers un public jeune et adolescent, "The Amazing Spider-Man" est inégal et maladroit mais avec juste suffisamment de qualités pour nous faire espérer une suite plus réussie.
Longtemps décrié, se reboot de la saga Spider-man, s'il n'atteint pas le niveau des films de Sam Raimi, possède pourtant quelques qualités. Et en premier lieu Andrew Garfield, qui interprète un Peter Parker moins niais que celui de Tobey Maguire et lui confère plus de profondeur. A commencer par le sentiment d'abandon qu'il ressent depuis la disparition de ses parents, "The Amazing Spider-Man" s'attardant plus, et à raison, sur les origines du héros. Et changement de décennie oblige, Peter porte maintenant des lentilles de contact, se déplace en skateboard et ne sort jamais sans son portable ! Emma Stone assure également le contrat, et une belle alchimie existe entre les deux acteurs. On peut également saluer Marc Webb pour avoir osé prendre le contrepied de la tendance actuelle des films de super-héros qui est à la noirceur (la norme depuis les Batman de Christopher Nolan) en lui injectant une bonne dose d'humour, et ce même si se n'est qu'un demi-succès. Si le couple principal est assez bien écrit et interprété, il n'en va pas de même pour le méchant, le Lézard, intéressant mais mal exploité. Or comme disait Hitchcock, plus le méchant est réussi meilleur sera le film. Ici, c'est raté. Dommage également que l'une des meilleures idées du film ne soit pas exploitée en profondeur, à savoir Spider-Man utilisant les caractéristiques propres aux araignées. Intéressant mais utilisé de manière anecdotique à seulement deux reprises, lorsqu'il tisse une toile dans les égouts et se fit aux vibrations des filaments pour repérer les « intrus » et quand il emprisonne le Lézard dans un cocon. Très tourné vers un public jeune et adolescent, "The Amazing Spider-Man" est inégal et maladroit mais avec juste suffisamment de qualités pour nous faire espérer une suite plus réussie.
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Quel ennui ! Peu d'émotions vraies. Des dialogues plats. Des scènes collées les unes après les autres sans donner l'impression qu'il y ai un quelconque schéma directeur. C'est dommage car l'idée initiale était bonne, mais il faut plus qu'une bonne idée pour un faire un bon film.
Quel ennui ! Peu d'émotions vraies. Des dialogues plats. Des scènes collées les unes après les autres sans donner l'impression qu'il y ai un quelconque schéma directeur. C'est dommage car l'idée initiale était bonne, mais il faut plus qu'une bonne idée pour un faire un bon film.
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De Terence Davies, on ne connaît que "Chez les heureux du monde", adaptation d'un roman d'Edith Wharton. Révélé par "Distant Voices", uniquement connu des cinéphiles, ce cinéaste anglais évoque avec une certaine amertume la ville de son enfance, sa ville natale, Liverpool. En partie construit sur des images d'archives (les images tournées pour l'occasion sont moins convaincantes, vidées de nostalgie dans leur tentative de reconsidérer la ville telle qu'elle est aujourd'hui), le travail de Davies - et son talent - naît du montage ; sa profonde recherche d'images (vidéos, rarement colorées, ou photographies), admirablement vivantes et émouvantes d'une époque déchue, traitant de la guerre comme de la pauvreté ou de la naissance de la modernité architecturale, est épatante dans sa canalisation historique, et le rapport que ces images ont entre elles est riche, construit, poétique par les douces notes d'une berceuse de Fauré, conduisant l'image dans le sens de l'Histoire. Leur puissance évocatrice et pessimiste est un appel à la paix, un manifeste humain pour les droits et la morale. La construction est assez virtuose de simplicité pour faire passer les archives comme des séquences spécialement tournées pour être liées les unes aux autres. Le film rappelle aussi la mise en scène soutenant ces images d'époque qui, parce qu'elles sont passées, pourraient faire croire qu'elles n'étaient pas réfléchies (la notion du cadrage, par exemple, est toujours présente) ; "Of Time and the City" devient alors la mise en abyme du cinéma, notamment dans sa glorification, son apogée, voire même son ironique mise en beauté spectaculaire - l'ouverture sur rideau - . L'homosexualité est aussi au coeur de cette bouleversante déclamation en prose à la victoire et aux défaites de l'Homme. Souvent critiqué pour ses choix sexuels, l'auteur évoque subtilement sa condition, pendant que les visages des enfants pauvres jouant dans les rues couleur charbon rappellent la difficulté de vivre en une tell
De Terence Davies, on ne connaît que "Chez les heureux du monde", adaptation d'un roman d'Edith Wharton. Révélé par "Distant Voices", uniquement connu des cinéphiles, ce cinéaste anglais évoque avec une certaine amertume la ville de son enfance, sa ville natale, Liverpool. En partie construit sur des images d'archives (les images tournées pour l'occasion sont moins convaincantes, vidées de nostalgie dans leur tentative de reconsidérer la ville telle qu'elle est aujourd'hui), le travail de Davies - et son talent - naît du montage ; sa profonde recherche d'images (vidéos, rarement colorées, ou photographies), admirablement vivantes et émouvantes d'une époque déchue, traitant de la guerre comme de la pauvreté ou de la naissance de la modernité architecturale, est épatante dans sa canalisation historique, et le rapport que ces images ont entre elles est riche, construit, poétique par les douces notes d'une berceuse de Fauré, conduisant l'image dans le sens de l'Histoire. Leur puissance évocatrice et pessimiste est un appel à la paix, un manifeste humain pour les droits et la morale. La construction est assez virtuose de simplicité pour faire passer les archives comme des séquences spécialement tournées pour être liées les unes aux autres. Le film rappelle aussi la mise en scène soutenant ces images d'époque qui, parce qu'elles sont passées, pourraient faire croire qu'elles n'étaient pas réfléchies (la notion du cadrage, par exemple, est toujours présente) ; "Of Time and the City" devient alors la mise en abyme du cinéma, notamment dans sa glorification, son apogée, voire même son ironique mise en beauté spectaculaire - l'ouverture sur rideau - . L'homosexualité est aussi au coeur de cette bouleversante déclamation en prose à la victoire et aux défaites de l'Homme. Souvent critiqué pour ses choix sexuels, l'auteur évoque subtilement sa condition, pendant que les visages des enfants pauvres jouant dans les rues couleur charbon rappellent la difficulté de vivre en une tell
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[spoiler][spoiler]Une daube [spoiler]monumentale! [spoiler]Remplide plans longs etridicules, d'acteurs bidons, de [spoiler]clichés: les méchants [spoiler][spoiler]sontdeslatinos,[/spoiler] les parents (beaucoup) tropsévères envers leur gamin... Passer votre chemin. pu[spo[/spoiler]iler]b:je vends pleins de jeux à 7 euros chez moi venez : 4 rue bidon (toi! [spoiler]tais toi!) et des gamecubes avec 10 jeux 80 eurose[/spoiler]t une SNintendo avec trois jeux à 130 [/spoiler]euros.[/[/spoiler]spoiler][/spoiler][/spoiler][/spoiler]
[spoiler][spoiler]Une daube [spoiler]monumentale! [spoiler]Remplide plans longs etridicules, d'acteurs bidons, de [spoiler]clichés: les méchants [spoiler][spoiler]sontdeslatinos,[/spoiler] les parents (beaucoup) tropsévères envers leur gamin... Passer votre chemin. pu[spo[/spoiler]iler]b:je vends pleins de jeux à 7 euros chez moi venez : 4 rue bidon (toi! [spoiler]tais toi!) et des gamecubes avec 10 jeux 80 eurose[/spoiler]t une SNintendo avec trois jeux à 130 [/spoiler]euros.[/[/spoiler]spoiler][/spoiler][/spoiler][/spoiler]
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« Tell tale » est un film dont l’idée de base peut paraître séduisante, mais dont le résultat s’avère tout sauf réussi. En deux mots : un homme transplanté du cœur se met à tuer les responsables de la mort de son donneur et de la femme de celui-ci sous la férule d’un cœur qui lui indique par des pics de tachycardie qui ils sont. On a donc un film qui se situe entre thriller et fantastique ; il est d’ailleurs fait mention d’une inspiration (très lointaine vous pouvez me croire) de la nouvelle fantastique « Un cœur révélateur » d’Edgar Alan Poe. Le résultat est un film ennuyeux, aux péripéties absurdes et au jeu d’acteur à la dérive. Si on comprend vite le coup du cœur vengeur, l’absence de personnalité du principal protagoniste et les effets manqués pour traduire sa perte de contrôle dans les meurtres au profit du cœur rendent la dramatique grotesque. Josh Lukas semble incapable de jouer avec un tant soit peu de conviction ce père célibataire momentanément privé de libre arbitre ; la faute à un scénario mal ficelé plus qu’à un manque de talent cela dit. L’histoire d’amour avec le pédiatre de sa fille est boiteuse et la complicité du flic, opportunément ex-amant de la femme de son donneur, confine au risible et à l’agacement devant tant d’outrance scénaristique. La tension qui devrait irriguer le film est aux abonnés absents et confine l’action dans une dynamique proche de l’arythmie cardiaque et ce n’est pas le triste twist final qui arrivera à racheter tant de séquences atones. Bref un film dont l’idée aurait pu donner une petite série B maligne, mais qui accouche finalement d’un nanar indigent dans tous les compartiments et qui laisse le spectateur au bord d’un besoin de réanimation cardiaque pour sortir de sa léthargie.
« Tell tale » est un film dont l’idée de base peut paraître séduisante, mais dont le résultat s’avère tout sauf réussi. En deux mots : un homme transplanté du cœur se met à tuer les responsables de la mort de son donneur et de la femme de celui-ci sous la férule d’un cœur qui lui indique par des pics de tachycardie qui ils sont. On a donc un film qui se situe entre thriller et fantastique ; il est d’ailleurs fait mention d’une inspiration (très lointaine vous pouvez me croire) de la nouvelle fantastique « Un cœur révélateur » d’Edgar Alan Poe. Le résultat est un film ennuyeux, aux péripéties absurdes et au jeu d’acteur à la dérive. Si on comprend vite le coup du cœur vengeur, l’absence de personnalité du principal protagoniste et les effets manqués pour traduire sa perte de contrôle dans les meurtres au profit du cœur rendent la dramatique grotesque. Josh Lukas semble incapable de jouer avec un tant soit peu de conviction ce père célibataire momentanément privé de libre arbitre ; la faute à un scénario mal ficelé plus qu’à un manque de talent cela dit. L’histoire d’amour avec le pédiatre de sa fille est boiteuse et la complicité du flic, opportunément ex-amant de la femme de son donneur, confine au risible et à l’agacement devant tant d’outrance scénaristique. La tension qui devrait irriguer le film est aux abonnés absents et confine l’action dans une dynamique proche de l’arythmie cardiaque et ce n’est pas le triste twist final qui arrivera à racheter tant de séquences atones. Bref un film dont l’idée aurait pu donner une petite série B maligne, mais qui accouche finalement d’un nanar indigent dans tous les compartiments et qui laisse le spectateur au bord d’un besoin de réanimation cardiaque pour sortir de sa léthargie.
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Ça faisait un petit bout de temps que je voulais voir cette adaptation du célèbre "Captain America" et j'ai pas été déçu du voyage. Tout d'abord l'histoire est ridicule et notamment dés le départ avec un "Captain America" qui après être attaché sur un missile par le méchant "Nazi" de service (Alias "Crane Rouge") réussit avec courage à le dévier de sa trajectoire (Ciblé sur la maison blanche) pour s'écraser dans l'antarctique ou il se retrouve congelé pendant 50 ans. Gros "Nanar" des années 90, "Captain America" reste une perle de la connerie. Un costume "Cheap" à mort, une conspiration plus que fumeuse, des combats au bouclier à se tordre de rire, des personnages complètement débiles, bienvenue dans l'univers délirant du super héros le plus patriotique de l'écurie "Marvel". Risible de bout en bout "Captain America" reste une adaptation très casse gueule sur grand écran. Prochaine étape donc : "Thor" (De "Kenneth Branagh"), "Green Lantern" (De "Martin Campbell") sans oublier la nouvelle version "The First Avenger - Captain America" (Signé "Joe Johnston") que je ne manquerais pas d'aller voir au ciné en [3D] juste pour le délire. Cette année aussi, ça va faire mal !
Ça faisait un petit bout de temps que je voulais voir cette adaptation du célèbre "Captain America" et j'ai pas été déçu du voyage. Tout d'abord l'histoire est ridicule et notamment dés le départ avec un "Captain America" qui après être attaché sur un missile par le méchant "Nazi" de service (Alias "Crane Rouge") réussit avec courage à le dévier de sa trajectoire (Ciblé sur la maison blanche) pour s'écraser dans l'antarctique ou il se retrouve congelé pendant 50 ans. Gros "Nanar" des années 90, "Captain America" reste une perle de la connerie. Un costume "Cheap" à mort, une conspiration plus que fumeuse, des combats au bouclier à se tordre de rire, des personnages complètement débiles, bienvenue dans l'univers délirant du super héros le plus patriotique de l'écurie "Marvel". Risible de bout en bout "Captain America" reste une adaptation très casse gueule sur grand écran. Prochaine étape donc : "Thor" (De "Kenneth Branagh"), "Green Lantern" (De "Martin Campbell") sans oublier la nouvelle version "The First Avenger - Captain America" (Signé "Joe Johnston") que je ne manquerais pas d'aller voir au ciné en [3D] juste pour le délire. Cette année aussi, ça va faire mal !
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Il s'agit là d'un thriller bien prenant, bien rythmé et bien ficelé qui tient en haleine et qui est fort intéressant. Tout y est : suspens, action, réalisation efficace. Ce film m'a bien plu.
Il s'agit là d'un thriller bien prenant, bien rythmé et bien ficelé qui tient en haleine et qui est fort intéressant. Tout y est : suspens, action, réalisation efficace. Ce film m'a bien plu.
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L'ensemble des médiocrités qui parsèment le film (qui vont des clichés habituels aux mélo gnangnan) gâchent une fin pas si nulle que ça.
L'ensemble des médiocrités qui parsèment le film (qui vont des clichés habituels aux mélo gnangnan) gâchent une fin pas si nulle que ça.
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"La route" est un voyage éprouvant d'un père et de sont fils vers une survie inespéré dans un monde ou la barbarie et le chaos règne. Une belle réussite. Un film touchant et qui met parfois vraiment mal à l'aise (la scène de la cave est d'une cruauté sans pareille).
"La route" est un voyage éprouvant d'un père et de sont fils vers une survie inespéré dans un monde ou la barbarie et le chaos règne. Une belle réussite. Un film touchant et qui met parfois vraiment mal à l'aise (la scène de la cave est d'une cruauté sans pareille).
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Celles et ceux qui me suivent savent que je n'aime pas les films qui ont une fin n'ayant aucun sens. J'ai toujours laissé aux autres les productions à interpréter. Si je regarde un film, c'est pour rire, ou me divertir, pas pour tenter de mettre un sens à ce que je vois parce que l'histoire ne l'explique pas. Et, ici, si le quasi seul personnage que l'on voit n'est pas mal joué et qu'il y a un suspens qui tient à peu près la route - bien qu'assez faible et n'améliorant pas un scénario peu élaboré - , la fin arrive comme ça, sans explication. Explication que le personnage principal a tenté de trouver depuis quasiment le début, sans succès, comme moi. Heureusement que Nemesis ne dure même pas 1h15.
Celles et ceux qui me suivent savent que je n'aime pas les films qui ont une fin n'ayant aucun sens. J'ai toujours laissé aux autres les productions à interpréter. Si je regarde un film, c'est pour rire, ou me divertir, pas pour tenter de mettre un sens à ce que je vois parce que l'histoire ne l'explique pas. Et, ici, si le quasi seul personnage que l'on voit n'est pas mal joué et qu'il y a un suspens qui tient à peu près la route - bien qu'assez faible et n'améliorant pas un scénario peu élaboré - , la fin arrive comme ça, sans explication. Explication que le personnage principal a tenté de trouver depuis quasiment le début, sans succès, comme moi. Heureusement que Nemesis ne dure même pas 1h15.
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Quel navet, mais quel navet. Obligé de passer certaines scènes en accéléré comme pour 2012 ou autres horreurs cinématographique. A gerber!
Quel navet, mais quel navet. Obligé de passer certaines scènes en accéléré comme pour 2012 ou autres horreurs cinématographique. A gerber!
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Incroyable ! Lorsqu'on regarde les teenage movie americain pas sortie en france au ciné (Sexe, Lycée and videos, American Pie 4,5 et 6...) on devine que ce film sera un gros navet... PAS DU TOUT ! C'est un des seuls films pour ado qui m'a vraiment emballé. L'histoire est comme le scénario, bien ficelé, des acteurs talentueux et une fin qui (contrairement a certains films) tient debout ! Félicitations !
Incroyable ! Lorsqu'on regarde les teenage movie americain pas sortie en france au ciné (Sexe, Lycée and videos, American Pie 4,5 et 6...) on devine que ce film sera un gros navet... PAS DU TOUT ! C'est un des seuls films pour ado qui m'a vraiment emballé. L'histoire est comme le scénario, bien ficelé, des acteurs talentueux et une fin qui (contrairement a certains films) tient debout ! Félicitations !
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Si on ne connaît pas l'histoire, on peut être certain de retenir son souffle du début à la fin car l'histoire est prenante. On appréciera aussi le fait que le film ne s'adresse pas qu'à un public de pré-ado hystériques à l'idée de voir une crinière, comme bien souvent dans les autres films parlant de chevaux ! C'est une histoire bien contée avec une seule chose dommage est encore l'apparition de Marina Hands. Non pas qu'elle soit si mauvaise actrice mais il y a surement d'autre cavalière/comédienne dans le monde (même si elles ne sont pas toute l'ex de Guillaume Canet) Bref, dans tous les cas, c'est une histoire intéressante qui reflète sans trop en montrer, une réalité toute simple avec peut être un peu plus d'amour et moins de compétition que dans la vraie vie.. A voir..
Si on ne connaît pas l'histoire, on peut être certain de retenir son souffle du début à la fin car l'histoire est prenante. On appréciera aussi le fait que le film ne s'adresse pas qu'à un public de pré-ado hystériques à l'idée de voir une crinière, comme bien souvent dans les autres films parlant de chevaux ! C'est une histoire bien contée avec une seule chose dommage est encore l'apparition de Marina Hands. Non pas qu'elle soit si mauvaise actrice mais il y a surement d'autre cavalière/comédienne dans le monde (même si elles ne sont pas toute l'ex de Guillaume Canet) Bref, dans tous les cas, c'est une histoire intéressante qui reflète sans trop en montrer, une réalité toute simple avec peut être un peu plus d'amour et moins de compétition que dans la vraie vie.. A voir..
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Le point de vue défendu par le réalisateur dans ce film a le mérite d'être clair. Et ne le partageant pas, j'ai passé un moment particulièrement désagréable en le visionnant. Sur le plan de la forme c'est de la qualité standard hollywoodienne. Schumacher sait tenir une caméra, c'est déjà ça ! Mais faire un bon film, c'est déjà beaucoup plus compliqué pour lui.
Le point de vue défendu par le réalisateur dans ce film a le mérite d'être clair. Et ne le partageant pas, j'ai passé un moment particulièrement désagréable en le visionnant. Sur le plan de la forme c'est de la qualité standard hollywoodienne. Schumacher sait tenir une caméra, c'est déjà ça ! Mais faire un bon film, c'est déjà beaucoup plus compliqué pour lui.
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J'ai mis un 5/5 juste pour rire sur les débiles commentaires du bas du tableau (bas comme leur niveau de pseudo-conscience intello de bar à 2 balles!) mdr, ce film est un délire total ! ce qui veulent donner un sens profond et philosophique aux films de zombies! franchement! vous croyez vraiment au père noël ! soyez réaliste! les films de zombies sont fait maintenant plus pour l'éclate (éclater des zombies à tout va!!) VIVE la baston sans prise de tête! et ce film le représente terriblement! c'est comme les relations avec les nanas, que des prises de tête pour des bêtises sans queue ni tête! Alors fillette retourner à vos barbies et les beaux films de zombies ou vampires à l'eau de rose ou l'amour gagne toujours, et les acteurs tout droit sortie de magasine de petites lolitas, torse nu musclé et huilé, et les cheveux bien laqué!!! Là on ne joue pas à la poupée! Les zombies sont horribles, moches, rien n'est esthétique, les blagues ne sont pas ceux qu'on raconte devant papa, maman, belle-maman et beau papa, ou pour faire sourire une nana pour prendre son numéro !!! Là c'est cru, tordu, débile et franchement c'est DOGHOUSE!!! AOUUUUUU!!!!..... ^^
J'ai mis un 5/5 juste pour rire sur les débiles commentaires du bas du tableau (bas comme leur niveau de pseudo-conscience intello de bar à 2 balles!) mdr, ce film est un délire total ! ce qui veulent donner un sens profond et philosophique aux films de zombies! franchement! vous croyez vraiment au père noël ! soyez réaliste! les films de zombies sont fait maintenant plus pour l'éclate (éclater des zombies à tout va!!) VIVE la baston sans prise de tête! et ce film le représente terriblement! c'est comme les relations avec les nanas, que des prises de tête pour des bêtises sans queue ni tête! Alors fillette retourner à vos barbies et les beaux films de zombies ou vampires à l'eau de rose ou l'amour gagne toujours, et les acteurs tout droit sortie de magasine de petites lolitas, torse nu musclé et huilé, et les cheveux bien laqué!!! Là on ne joue pas à la poupée! Les zombies sont horribles, moches, rien n'est esthétique, les blagues ne sont pas ceux qu'on raconte devant papa, maman, belle-maman et beau papa, ou pour faire sourire une nana pour prendre son numéro !!! Là c'est cru, tordu, débile et franchement c'est DOGHOUSE!!! AOUUUUUU!!!!..... ^^
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Jeu d'acteur pitoyable, scénario inexistant, film incohérent, aucun intérêt, cela va être difficile de faire pire navet.
Jeu d'acteur pitoyable, scénario inexistant, film incohérent, aucun intérêt, cela va être difficile de faire pire navet.
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1,597
Soporifique, tellement long.
Soporifique, tellement long.
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Nullissime . Comment est il possible en 2014 de produire encore de si gros navet français? Tout est de mauvais goût dans ce film,du choix des acteurs, a l'affiche du film en passant par la bande original, et cela sans parler du niveau lamentable du scenario et de l'intrigue de l'histoire.
Nullissime . Comment est il possible en 2014 de produire encore de si gros navet français? Tout est de mauvais goût dans ce film,du choix des acteurs, a l'affiche du film en passant par la bande original, et cela sans parler du niveau lamentable du scenario et de l'intrigue de l'histoire.
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Louise-Michel est tenu de A à Z par une Yolande Moreau décidemment vouée à des rôles de femme pauvre un peu simple (Enfermés dehors, Séraphine, ...) mais qui est une vraie gueule et donne à elle seule un ton à un film malgré ce scénario original et cette bande-annonce prometteuse, Louise-Michel est une longue -et mauvaise- blague dont on a hâte de se débarrasser, qu'on regrette même d'avoir vu! Et même l'apparition de guest-stars, des copains, comme Dupontel, Poelvoorde ou Kassovitz n'y change rien. Je ne ferai pas de spoiler, mais je crois bien que le pire du pire se situe dans les dernières minutes. Bon courage !
Louise-Michel est tenu de A à Z par une Yolande Moreau décidemment vouée à des rôles de femme pauvre un peu simple (Enfermés dehors, Séraphine, ...) mais qui est une vraie gueule et donne à elle seule un ton à un film malgré ce scénario original et cette bande-annonce prometteuse, Louise-Michel est une longue -et mauvaise- blague dont on a hâte de se débarrasser, qu'on regrette même d'avoir vu! Et même l'apparition de guest-stars, des copains, comme Dupontel, Poelvoorde ou Kassovitz n'y change rien. Je ne ferai pas de spoiler, mais je crois bien que le pire du pire se situe dans les dernières minutes. Bon courage !
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