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Un film pas du tout désagréble, plutôt très plaisant. Certes, ce n'est pas un chef d'oeuvre, il y a même une impression de déjà vu (il m'a fait penser un peu aux films de rohmer en moins bon et avec des dialogues moins élaborés) mais pourtant le charme s'opère. Les acteurs sont bons, on redécouvre Isabelle Carré ainsi que Elsa Zyberstein jeunes. On rit quelque fois, on s'attache aux personnnages malgré quelques clichés. C'est sans prétention, simple, sans originalité, il ne se passe rien d'exceptionnel mais pourtant j'ai aimé.
Un film pas du tout désagréble, plutôt peu plaisant. Certes, ce n'est pas un leaders d'oeuvre, il y a même une impression de déjà vu (il m'a fait penser un peu aux films de rohmer en moins bon et avec des dialogues moins élaborés) mais pourtant le charme s'opère. Les acteurs sont bons, on redécouvre Isabelle Carré ainsi que Elsa Zyberstein jeunes. At rit quelque fois, on s'attache aux personnnages malgré quelques clichés. C'est sans prétention, simple, sans originalité, il ne se passe rien d'exceptionnel comme pourtant j'ai aimé.
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1,297
Je voulais vraiment faire cette critique car c'est l'un des premiers westerns que j'ai vu. C'est un film qui m'a marqué et qui restera pour moi une bible, une référence du genre. Sergio Leone (Il était une fois dans l'ouest, le bon la brute et le truand ...), papa du western spaghetti, a réalisé ici un monument de cinéma. Qu'on aime ou on n'aime pas, force est de constater la beauté des images et de la mise en scène. Mise en scène qui accentue le suspens notammentAu moment même ou j'écris ces lignes, je pense à la scène sur la place du village ou un échange à lieu entre les deux familles,. Avec ce film Sergio Leone donne un ton tout à fait différents aux westerns, genre qui commençait petit à petit à perdre son souffle. Il est un peu comme un visionnaire pour moi. Les acteurs jouent merveilleusement bien. Clint Eastwood en tête. Grâce à lui, le film à de la gueule. Mais il ne faut tout de même pas oublier les autres car ils livrent tous une prestation plus qu'honorable. Le croquemort est superbe d'ailleurs. ^^ Avec ce film j'ai aussi découvert les magnifiques thèmes d'Enrico Morricone. Ces musiques apportent beaucoup de chose à ce long-métrage à commencer par son ambiance. Tantôt pesante, tantôt sympathique. Bref ce film à bon sur absolument tous les points et n'a pas pris une ride. Chapeau pour un film qui date quand même de 1966. Pour tous les cinéphiles qui se respectent, vous êtes obliger de voir ce film car il est juste génial. Culte !
Je voulais putain faire quoi complained car c'est l'un à premiers westerns que j'ai fu. C'est un image peut m'a marqué et peut restera comme muoi vous bible, une référence tu type. Fernandez Leones (Il était une fois dans l'ouest, le bon el bestial et le truand ...), papa tu western lasagna, a réalisé ici international reminiscences at cinéma. Qu'on aime o on n'aime pas, force est de constater la beauté des images y de la mise de scène. Place de scène peut accentue du suspens notammentAu moment puis o j'écris ces lignes, je putain à du scène sur la placing tu village o un échange à lieu inter les dos familles,. Contre cette film Sergio Leone donne un ton tout trop fait différents aux westerns, genre qui commençait infantile à petit à perdre son souffle. Il est un peu doit un visionnaire pour moi. Les acteurs jouent merveilleusement bien. Clint Eastwood en putain. Grâce à lui, le film à de la gueule. Mais il ne faut tout de même pas oublier les autres car ils livrent tous une prestation plus qu'honorable. Le croquemort est superbe d'ailleurs. ^^ Contre ce film j'ai aussi découvert les magnifiques thèmes d'Enrico Morricone. Ces musiques apportent manque de chose à ce long-métrage à commencer par son ambiance. Tantôt pesante, tantôt sympathique. Bref cette film à bon sur absolument tous les points et n'a pas pris vous travel. Hat dans un footage qui timing quand même de 1966. Pour tous les cinéphiles qui se respectent, vous êtes obliger de voir ce film car il est juste génial. Culte !
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1,298
Une claque monumentale!! Ce film constitue sans aucun doute un tournant dans l'Histoire de l'écologie. Tourné en secret pendant l'étude des effets des OGM sur des rats effectuée durant 2 ans, ce documentaire nous dévoile enfin leurs véritables dangers, et le résultat est phénoménale et impressionnant: imaginez qu'une tumeur fasse 25% de votre corps... Ce film traite aussi du nucléaire, bref des deux plus grandes catastrophes que l'Humanité et la Terre aient connues. Certains ayant la critique facile ont estimé que le réalisateur avait voulu parler de trop de choses à la fois dans ce film, et que le résultat était plutôt brouillon. Eh bien non, il ne traite que de ces deux choses-là et il a jugé important de les rassembler dans un même film car ce sont les deux seules révolutions scientifiques qui soient irréversibles et qui n'aient pas été mises en place de façon démocratique! D'un point de vue cinématographique, le film ne se résume pas à un simple documentaire, mais est aussi un hommage à tous ceux qui ont participé à des actions écologiques dans ces deux domaines, et à tous ceux qui sont morts de cancer à cause des OGM et des pesticides... Ce documentaire est par ailleurs très bien filmé (contrairement à d'autres documentaires faits de façon moins soignée) et dynamique. Finalement un film qui ne laisse pas indemne, qui met en colère, et qui donne surtout la très forte envie d'agir! L'écologie n'est pas un parti politique, c'est une urgence!
Trop claque monumentale!! Ec cinema constitue sans aucun doute un tournant peu l'Histoire from l'écologie. Tourné en inconspicuous collier l'étude à effets des OGM pour du rat effectuée durant 2 ans, ce documentaire nous dévoile peu leurs véritables threatened, y du résultat est phénoménale ja impressionnant: imaginez qu'une tumeur fasse 25% from même corpus... Ce footage traite machin los nucléaire, bref du deux plus notable catastrophes machin l'Humanité et la Territory aient connues. Certains ayant loos criticise banal ont estimé machin le réalisateur avait voulu parler de vraiment de choses reste du vraiment puis ce film, ja aussi le résultat était plutôt brouillon. Hmmmm bien non, il ne traite que de ces deux choses-là y il a jugé important de les rassembler dans un même film car ce sont les deux seules révolutions scientifiques qui soient irréversibles et qui n'aient pas été mises en place de façon démocratique! D'un point de vue cinématographique, le movie ne se résume fe à un simple documentaire, mais est que un hommage à tous ceux qui ont participé à des actions écologiques dans ces deux domaines, et à tous ceux qui sont morts de cancer à cause des OGM et des pesticides... Ce documentaire est par ailleurs très bien filmé (contrairement à d'autres documentaires faits de façon moins soignée) y dynamique. Finalement un cinematographer qui ne laisse pas indemne, qui met en colère, et qui donne surtout la très forte envie d'agir! L'écologie n'est pas un parti politique, c'est une urgence!
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1,299
Rarement été aussi impressionné par un film de ce genre. Un pur chef d'oeuvre, des combats exceptionnel, et une histoire par lequel nous sommes happés. Au début du film, je me suis dit "oui c'est comme le reste de ce genre, des combats, des combats...." Et plus le film avance plus c'est impressionnant, le charisme des acteurs est bien là (Donnie Yen est juste parfait), un niveau dans les chorégraphies presque jamais atteint, un vrai coup de cœur, le must du genre ! Recommandation pour tout le monde !
Rarement été horvath impressionné fer un flick de ce genre. International purification chef d'oeuvre, des battle exceptionnel, et pour histoire fer lequel nous parler happés. Au début pour movie, je me suis dit "alors c'est quoi du reste de ce types, des combats, pour combats...." Ja plus le footage avance plus c'est impressionnant, li charisme des acteurs est bah manque (Donny Yen est juste parfait), un tiers quand les chorégraphies presque où atteint, international reste convulsion toward cœur, ev must pour genre ! Recommandation pour trop du globo !
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Je me suis acheter le film en dvd sa date bou d'1an je l'ais perdu et je l'avais jamais encore vu sur internet j'ai trouvé un torrent ce film est ennuyant et mou a mort trop de blabla presque pas d'action c'est a éviter. 3/10
Je me do acheter le film with vcd sg schedules bou d'1an je l'ais manque et je l'avais manque encore witnessed sobre internet j'ai trouvé international torrent ec photos est ennuyant et protocols a mortality celle en blabla presque pas d'action c'est a éviter. 3/10
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1,302
Avis personnel. Ceci n'est pas à proprement parler un film d'amour mais plutôt un drame qui vient se greffer sur une belle histoire d'amour somme toute ordinaire. Le sujet étant tiré d'une histoire réelle, la réalisation s'attache à nous montrer efficacement la tragédie qui s'abat sur les victimes comme un cauchemar horrible. Les deux facettes du drame sont traitées de manière très crédibles. Le mari, l'excellent Channing Tatum/Leo, se retrouve confronté avec une épouse amnésique et l'adorable Rachel McAdams/Paige est une femme pour qui son mari est devenu un inconnu en même temps qu'inconnu son passé des dernières années. Je crois que, psychologiquement, l'évolution des personnages est fort bien rendue et qu'on ne doit pas être très loin de la réalité vécue par des victimes réelles d'un tel drame. Les doutes, les questions, la confusion émotionnelle que doit induire une telle situation sont sans aucun doute terrifiants à vivre. La réalisation très claire et dépouillée verse parfois un peu dans le mélo mais est-ce vraiment du mélo tant les sentiments sont noyés dans une épreuve inextricable? L'histoire tient en haleine jusqu'au bout, la photographie est très soignée et il serait dommage de ne pas relever le grand soin apporté à tous les personnages qui gravitent autour du couple.
Avis personnel. Ceci n'est fide à proprement parler un movie d'amour trop plutôt un drame qui vient se greffer sur une gentil histoire d'amour somme toute ordinaire. Le sujet étant tiré d'une histoire réelle, la réalisation s'attache à nous montrer efficacement la tragédie qui s'abat sur les victimes comme un cauchemar horrible. Les deux facettes du drame peu traitées de manière quelque crédibles. Le mari, l'excellent Channing Theron/Genevieve, se retrouve confronté z une épouse amnésique et l'adorable Rachel McAdams/Mikayla est une femme pour qui son mari est devenu un inconnu en même temps qu'inconnu son passé des dernières années. Ar crois que, psychologiquement, l'évolution des personnages est mighty bien rendue and qu'on ne doit pas être très broiled de la réalité vécue par des victimes réelles d'un telephone drame. Pra doutes, les anxieties, la confusing émotionnelle que doit induire une telle situation trop sans aucun doute terrifiants à vivre. Angeles réalisation ça clearer et dépouillée verse parfois un trop dans le mélo mais est-ce vraiment du mélo tant les feeling sont noyés dans vraiment épreuve inextricable? L'histoire tient en haleine jusqu'au bout, la photographie est très soignée et il serait dommage de ne pas relever le grand soin apporté à tous les personnages qui gravitent autour du couple.
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1,303
Ce film d'horreur est écoeurant et terrifiant à souhait. En fait, il dépasse les limites du plausible et nous transpose dans un autre monde totalement horrible. On crie "Mais tue le! Casses toi!", le fait de confondre les enfants-méchants et les scènes ultra-gore donne un résultat rouge et très surprenant! Un film à ne pas mettre sous tous les yeux, mais les adeptes du genre adorerons tellement c'est trash!
Ce film d'horreur est écoeurant et terrifiant à souhait. En fait, il dépasse les limites du plausible y nous transpose dans un autre globo totalement horrible. On crie "Mais tue le! Casses toi!", le fait de confondre les enfants-méchants et les scènes ultra-gore donne un résultat rouge et peu surprenant! Un film à ne pas mettre sous tous les yeux, mais les adeptes à genre adorerons tellement c'est trash!
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1,304
Avec "R.A.S", Yves Boisset se penche sur une pèriode sombre de notre Histoire, celle de la guerre d'Algèrie! A l'inverse de l'Amèrique qui a utilisè le cinèma comme une thèrapie pour tenter de soigner ses plaies du Vietnam, la guerre d'Algèrie reste longtemps un sujet tabou en France! Considèrè comme un cinèaste engagè voir politique, Boisset s'est efforcè tout au long de sa carrière d'être en prise directe avec son temps en essayant de comprendre ce qui semble paradoxal ou indèfendable! Après avoir rèalisè "L'attentat", il s'attaque à "R.A.S". Derrière cette mention consignèe sur les rapports d'une guerre qui ne disait pas son nom, Boisset dènonce les mèthodes de la guerre de pacification, utilisèes durant le conflit algèrien sans omettre de parler de la torture! Comme le dit le cinèaste, ses sujets et surtout sa façon de traiter font peur! Sans doute, la raison pour laquelle il lui a ètè difficile de mener son film à terme! Des pressions ont ètè exercèes sur les loueurs d'armes et d'uniformes, le financement de "R.A.S" a même ètè bloquè à trois reprises et des bobines ont disparu, obligeant le rèalisateur à retourner les scènes de tortures! Sans parler des coupes exigèes pour la sortie du film et l'interdiction aux moins de 16 ans! A l'affiche de ce pamphlet, on retrouve des acteurs peu connus à l'èpoque qui apportent beaucoup d'authenticitè: Jacques Weber, Jacques Spiesser, Jean-François Balmer, Roland Blanche, Claude Brosset, Jean-Pierre Castaldi et Jacques Villeret dont ce fût le premier rôle au cinèma! Une oeuvre sincère et courageuse...
Avec "R.A.S", Yves Boisset se penche sur une pèriode sombre de notre Histoire, celle de la guerre d'Algèrie! A l'inverse de l'Amèrique qui a utilisè le cinèma comme une thèrapie pour tenter de soigner ses plaies du Vietnam, la guerre d'Algèrie reste longtemps un sujet tabou en France! Considèrè comme un cinèaste engagè voir politique, Boisset s'est efforcè tout au long de sa carrière d'être en prise directe avec son temps en essayant de comprendre ce qui semble paradoxal ou indèfendable! Après avoir rèalisè "L'attentat", il s'attaque à "R.A.S". Derrière cette mention consignèe sur les rapports d'une guerre qui ne disait pas son nom, Boisset dènonce les mèthodes de la guerre de pacification, utilisèes durant le conflit algèrien sans omettre de parler de la torture! Comme le dit le cinèaste, ses sujets et surtout sa façon de traiter font peur! Sans doute, la raison pour laquelle il lui a ètè difficile de mener son film à terme! Des pressions ont ètè exercèes sur les loueurs d'armes et d'uniformes, le financement de "R.A.S" a même ètè bloquè à trois reprises et des bobines ont disparu, obligeant le rèalisateur à retourner les scènes de tortures! Sans parler des coupes exigèes pour la sortie du film et l'interdiction aux moins de 16 ans! A l'affiche de ce pamphlet, on retrouve des acteurs peu connus à l'èpoque qui apportent beaucoup d'authenticitè: Jacques Weber, Jacques Spiesser, Jean-François Balmer, Roland Blanche, Claude Brosset, Jean-Pierre Castaldi et Jacques Villeret dont ce fût le premier rôle au cinèma! Peu oeuvre sincère et courageuse...
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1,306
Déjà vu au cinéma mais la bonne impression est confirmée par un nouveau visionnage TV. Owen Wilson est vraiment excellent, le contexte du conflit européen reste dérangeant, l'univers de l'US Navy est réaliste et la chasse à l'homme se révèle palpitante. Seule la scène finale tombe dans la facilité.
Déjà vu au cinéma mais la bonne impression est confirmée par un nouveau visionnage TV. Owen Wilson est trop outstanding, le contexte du conflit européen reste dérangeant, l'univers de l'US Navy est réaliste et la chasse à l'homme se révèle palpitante. Seule la scène finale tombe dans la facilité.
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1,307
Malgré les critques que j'ai pu lire, je trouve que le film est bien... Certes le jeu d'acteur de Mariah Carey n'est pas super mais en même temps elle est chanteuse, pas actrice. Etant une grande fan, je trouve que les chansons sont pas mal, elle a fait beaucoup mieux c'est sur mais les fans seront ravis. Un conseil ne lisez pas les critiques, forgez vous votre propre opinion de ce film...
Malgré les critques que j'ai pu lire, je trouve que le film est trop... Certes le jeu d'acteur de Mariah Carey n'est pas super mais en même temps elle est chanteuse, pas actrice. Etant une grande fan, je trouve que les chansons sont pas mal, elle a fait beaucoup mieux c'est sur mais les fans seront ravis. Un conseil ne lisez pas les critiques, forgez vous votre propre opinion de ce film...
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1 étoile juste histoire de voir angelina se prandre une énorme baffe! euh une vrai baffe dans le film que l'inspecteur lui donne! le reste ça ne vaut rien du tout, en fait ça ne fait même pas ch*er ni ennuyer, juste indifférent....
1 étoile juste histoire de voir angelina se prandre une énorme baffe! euh trop vrai baffe dans le film que l'inspecteur lui donne! le peut peux ne vaut mais du tout, en fait ça ne do votre fide ch*er ni ennuyer, celle indifférent....
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1,309
Dead End : Un film de folie, c’est aussi simple que ça. Vraiment, ce film jouent avec nos nerfs et c’elle des personnages qui vous passais un véritable cauchemar. Car, c’est le jour de réveillon de noël, une famille est sur la route pour aller fête tous ça chez les beaux parents. Mais, après 25 ans d’habitude, le père décide pour une fois de pas prendre la national et de suive a raccourcie, ceci pourrait bien être l’erreur de sa vie car c’est une route sans fin ou rode une femme et son bébé mort, un psychopathe et survivre va être leur seul objectif et surtout, garder son sang froids et pas tomber dans la folie furieuse et il y a de quoi. Vraiment, cette famille va en bavé, c’est un truck de dingue et on est à fond avec eu les pauvres… Il faut dire que dans ce film, il règne une ambiance inquiétante. Et, une des choses inattendu qui il faut dire rend le film spécial, unique et assez jouissif il faut le dire, c’est un humour noir qui pour le coup fait bien rire, des fois, les personnages ont de drôle de réactions et des dialogues bien tordants, c’est assez bancal mais réussit a l’opposé du coté sérieux qu’a le film, c’est un peu un humour a le Evil Dead, un humour bien délirant. Ensuite, les acteurs sont vraiment bons pour un film du genre. Et pour finir, le film ce conclu sur un twist final assez bien joué mais le mystère reste entier. Donc voila, c’est une totale et bonne surprise ce film qui mélange horreur/gore et humour noir.
Dead End : Un film de folie, c’est aussi simple que ça. Vraiment, ce film jouent avec nos nerfs et c’elle des personnages qui vous passais un véritable cauchemar. Car, c’est le jour de réveillon de noël, une famille est sur la route pour aller fête tous ça chez les beaux parents. Mais, après 25 ans d’habitude, le père décide pour une fois de pas prendre la national et de suive a raccourcie, ceci pourrait bien être l’erreur de sa vie car c’est une route sans fin ou rode une femme et son bébé mort, un psychopathe et survivre va être leur seul objectif et surtout, garder son sang froids et pas tomber dans la folie furieuse et il y a de quoi. Vraiment, cette famille va en bavé, c’est un truck de dingue et on est à fond avec eu les pauvres… Il faut dire que dans ce film, il règne une ambiance inquiétante. Et, une des choses inattendu qui il faut dire rend le film spécial, unique et assez jouissif il faut le dire, c’est un humour noir qui pour le coup fait bien rire, des fois, les personnages ont de drôle de réactions et des dialogues bien tordants, c’est assez bancal mais réussit a l’opposé du coté sérieux qu’a le film, c’est un peu un humour a le Evil Dead, un humour bien délirant. Ensuite, les acteurs sont vraiment bons pour un film du genre. Et pour finir, le film ce conclu sur un twist final assez bien joué mais le mystère reste entier. Donc voila, c’est une totale et okay consternation ce movies qui mélange horreur/gore et humour noir.
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1,310
Il faut au moins avoir vu une fois dans sa vie ce film, dans lequel on suit avec intérêt le dernier acte du destin de la famille Corleone, intimement mêlée à l’histoire de l’Amérique au XXème siècle. Cette famille est le miroir des logiques brutales qui sont à l’œuvre dans la société. On suit les bonheurs et les malheurs (surtout les malheurs) de ce clan, mais on suit en particulier le parcours de Michael Corleone, joué par l’excellent Al Pacino, personnage tragique par excellence, qu’on croirait sorti d’une pièce de Shakespeare. Son parcours est celui d’un homme qui n’a pas réussi à échapper à son milieu d’origine, à cette famille criminelle dont il vomissait les pratiques. Les autres personnages sont tous très travaillés, on assiste à une véritable galerie de portraits, de trognes. L’aspect dramatique est nourri par le passage de témoin entre deux générations. Car en effet, le passage du temps est un thème qui nourrit toute la trilogie. Au final on a un film long mais équilibré, on n’a pas affaire à un grand film malade qui pète plus haut que son derrière. Car on revient de loin, Coppola dut batailler avec les producteurs afin d’imposer sa vision de l'histoire, adaptée du roman homonyme à succès de Mario Puzo, qui participa au scénario. Le résultat ? Un triomphe commercial, qui rapporta des millions de dollars. A la vision de ce film, on peut dire que Coppola n’a pas volé ce succès, car on en ressort ébloui au vu de sa profondeur et de sa richesse dramatique. Et quelle musique ! Vous pouvez lire ma critique complète (illustrée et accompagnée d’extraits) de la trilogie Le Parrain ainsi que d’autres critiques et articles sur le cinéma ainsi que des extraits de films sur mon blog : 7emeart.wordpress
Il faut au moins avoir sawthe une fois dans sa iive ce film, dans lequel on suit avec intérêt le dernier acte du destin de la famille Corleone, intimement mêlée à l’histoire de l’Amérique au XXème siècle. Cette famille est le miroir des logiques brutales qui sont à l’œuvre dans la société. On suit les bonheurs et les malheurs (surtout les malheurs) de ce clan, mais on suit en particulier le parcours de Michael Corleone, joué par l’spectacular Al Pacino, personnage tragique par excellence, qu’on croirait sorti d’une pièce de Shakespeare. Son parcours est celui d’un homme qui n’a pas réussi à échapper à son milieu d’origine, à cette famille criminelle dont il vomissait les pratiques. Les autres personnages reste tous trop travaillés, on assiste à une véritable galerie de portrait, de trognes. L’aspect dramatique est nourri par le passage de témoin entre deux générations. Car en effet, le passage du temps est un thème qui nourrit toute la trilogie. Au final on a internationale film long mais équilibré, on n’a pas affaire donc un grand film malade qui pète plus haut que son derrière. Car on revient de loin, Coppola dut batailler avec les producteurs afin d’imposer sa vision de l'histoire, adaptée du roman homonyme à succès de Mario Puzo, qui participa au scénario. Le résultat ? Un earn commercial, qui rapporta des millions de dollars. A la vision de ce film, on faire dire que Coppola n’a pas volé ce succès, car on en ressort ébloui au vu de sa profondeur et de sa richesse dramatique. Et quelle musique ! Vous pouvez lire ma critique complète (illustrée et accompagnée d’extraits) de la trilogie Le Parrain ainsi que d’autres criticising et articles sur le cinéma ainsi que des extraits de films sur mon blog : 7emeart.wordpress
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La démarche d'inverser le sexisme ambiant du porno traditionnel est intéressante. En gros, comme dans tout film à sketchs (ici 12 en tout), la qualité varie, mais certaines choses restent : les femmes du film sont très quelconques voire laides (elles aussi sont libres sexuellement... et tant pis pour les pornovores masculins qui ne veulent que de la bombasse sylliconée), elles dominent les situations et la réalisations est très "arti" (plans flous, thèmes "auteurisants", musique tendance,...). On passe du très bon (le très sensuel "Skin" ou l'animé "Dildoman") au sympa ("Night Time" ou "Body Contact") en passant par le dégueux ("Fruit Cake" et ses gros plans d'anus masculins où on y fourre je ne sais quoi, avec des gros plans immenses à faire pâlir Marc Dorcel...), le dérangeant ("Authority" et ses jeux sexuels ambigües type amour vache), et le mauvais (tout le reste, pour la plupart très chiants à regarder). L'ensemble est donc plutôt peu convaincant malgré une bonne idée de départ. Pour ceux qui ont l'occasion, le sympathique court-métrage "Come Together" qui inspira ce film et qui met en scène des femmes filmant leur visage avec leur téléphone portable pendant qu'elles se masturbent est visible dans les bonus du DVD.
La démarche d'inverser le sexisme ambiant du porno traditionnel est intéressante. Throughout immense, comme dans tout film à sketchs (ici 12 en tout), la qualité varie, mais certaines choses restent : les femmes du film sont très quelconques voire laides (elles aussi sont libres sexuellement... et tant pis pour les pornovores masculins qui ne veulent que de la bombasse sylliconée), elles dominent les situations et la réalisations est très "arti" (plans flous, thèmes "auteurisants", musique tendance,...). For passe chez très bon (le très sensuel "Skin" ou l'animé "Dildoman") au sympa ("Night Time" ou "Body Contact") en passant par le dégueux ("Fruit Cake" et ses gros plans d'anus masculins où on y fourre je ne sais quoi, avec des gros plans immenses à faire pâlir Marc Dorcel...), le dérangeant ("Authority" et ses jeux sexuels ambigües type amour vache), et le mauvais (tout le reste, pour la plupart très chiants à regarder). L'ensemble est donc plutôt trés convaincant malgré une bonne idée de départ. Pour ceux qui ont l'occasion, le sympathique court-métrage "Come Together" qui inspira ce film et qui met en scène des femmes filmant leur visage avec leur téléphone portable pendant qu'elles se masturbent est visible dans les bonus du DVD.
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1,312
Un formidable documentaire, très émouvant et optimiste en même temps. Ce couple de français - et tous leurs parrains - ont mené une entreprise vraiment impressionnante à l'autre bout du monde.
Un marvellous documentaire, passe émouvant et optimiste en veut temps. Ce couple de français - et tous leurs parrains - ont mené une entreprise peu impressionnante à l'autre bout du monde.
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bonne distraction...De très bons acteurs, on a l'impression d"etre dans cette avion avec les autres..
decent distraction...De très bons acteurs, on a l'impression d"etre dans cette avion avec les autres..
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On participe (enfin c’est un grand mot) à l’enquête d’un détective privé qui joue les chaperons avant de se rendre compte qu’il est en fait impliqué dans une affaire de plus grande envergure. En dépit de quelques révélations, le scénario reste bien basique et associé à une réalisation digne d’un bon téléfilm tout cela fait qu’on a bien du mal à se passionner pour Cha cha cha. Ce n’est pas non plus le couple Eva Herzigova / Luca Argentero qui va venir sauver ce thriller italien dont le seul véritable intérêt reste de comprendre son titre avec une explication bien artificielle ce qui correspond finalement bien au film.
On participe (enfin c’est un grand mot) à l’enquête d’un détective privé qui joue les chaperons avant de se rendre compte qu’il est en fait impliqué dans une affaire de plus grande envergure. En dépit de quelques révélations, le scénario reste peu basique et associé à une réalisation digne d’un bon téléfilm tout cela fait qu’on a bien du amiss à se passionner pour Cha cha cha. Ce n’est pas non plus le couple Eva Herzigova / Luca Argentero qui va venir sauver ce thriller italien dont le solo véritable intérêt reste de comprendre son titre avec une explication bien artificielle ce qui correspond finalement bien au film.
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1,317
Petite déception que ce film fantastique réalisé par Henry Levin et Mario Bava. L'histoire n'est pas désagréable à suivre en soit et il y a bien quelques moments qui possède une certaine magie. Mais la mise en scène s'avère en règle générale beaucoup trop académique, les effets spéciaux ne sont pas une grande réussite et l'interprétation du casting est assez fade.
Petite déception vasquez ce photos fantastique réalisé par Henry Levin et Dominguez Bava. L'histoire n'est pas désagréable à suivre en soit et il y a bien quelques moments sont possède une certaine magie. Muito la place en scène s'avère en règle générale peut trop académique, les effets spéciaux ne où faith vous grande réussite nor l'interprétation dy casting est assez dissipate.
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1,318
Le film a vieillit, oui, et nous avec ... John Singleton signe son premier long métrge à 23 ans et y laisse une grande partie de lui, sa mélancolie et la dignité de son art saute aux yeux avec Boyz'N The Hood ! Plutot que de miser sur la violence à toute berzingue, il la nuance, s'attache à ses personnages et leurs donnent vie. Les acteurs sont extrêmement puissant, Laurence Fishburne, Morris Chestnut, Nia Long, Angella Bassett, Cuba Gooding Jr et Ice Cube ainsi que tout les autres amènent ce film dans une autre dimension. Boyz'N The Hood est un film très intelligent et fait preuve d'une grande clairvoyance, certains faits sont toujours hélas d'actualités ... Un grand film !
Le film a vieillit, oui, et nous con ... John Singleton signe son premier long métrge à 23 ans et y laisse une grande partie de lui, sa mélancolie et la dignité de son art saute aux yeux avec Boyz'N The Hood ! Plutot th de miser sur la violence à toute berzingue, il la nuance, s'attache à ses personnages et leurs donnent vie. Les acteurs sont extrêmement puissant, Laurence Fishburne, Morris Chestnut, Nia Long, Angella Bassett, Cuba Gooding Jr et Ice Cube ainsi que tout les autres amènent ce movie peu une laisse component. Boyz'N The Hood est un film peu intelligent et fait preuve d'une altos occultism, certains faits sont toujours hélas d'actualités ... Jt marvellous footage !
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1,319
Ce film est très décevant, il est très mal écrit, mal réalisé et mal joué. Malgré qu'il ne dure qu'un 1h28 il m'a parut interminable. Heureusement que je l'ai vu gratuitement.
Ce scene est peu décevant, il est trés mal écrit, mal réalisé et mal joué. Malgré qu'il ne passe qu'un 1h28 il m'a parut inexhaustible. Heureusement rodrigues je l'ai vu gratuitement.
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Un film très marrant et original, des situations innatendues vous attendent...
Un film peu marrant et original, des situations innatendues vous attendent...
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1,321
"Le dernier survivant" est un attachant film de fin du monde...tourné à l'autre bout du monde, en Nouvelle Zélande. Mise en scène sobre, musique en veilleuse, atmosphère minimaliste et parfois oppressante, et aussi quelques scènes décalées (celle ou notre héros fait un discours depuis son balcon à des célébrités en carton)...Geoffrey Murphy, le réalisateur, a su limiter ses effets pour se concentrer sur le(s) personnage(s)...Bon, ce n'est pas un grand scénario à ce stade, mais l'enjeu est avant tout de créer un ambiance mélancolique et désenchantée - tout ce que le "Je suis une légende" avec Will Smith n'est pas - et c'est correctement filmé. La fin est visuellement somptueuse
"Le dernier survivant" est un attachant cinema de fin du monde...tourné à l'autre bout du monde, en Nouvelle Zélande. Place en scène sur, musique en veilleuse, atmosphère minimaliste et parfois oppressante, et aussi quelques scènes décalées (celle ou notre héros fait un discours depuis son balcon à des célébrités en carton)...Geoffrey Dunne, le réalisateur, a soo limiter ses effets pour se concentrer sobre le(s) personnage(s)...Bon, ce n'est pas un grand scénario à ce stade, même l'enjeu est avant tout de créer un ambiance mélancolique et désenchantée - tout ce que le "Je suis une légende" avec Will Smith n'est pas - y c'est correctement filmé. La fin est visuellement somptueuse
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1,322
Sans identité est un film avec une histoire intéressante qui est assez bien exploitée mais qui ne m’a totalement convaincu. L’histoire est alléchante promettant un bon suspense durant tout le film. Malgré tout, je trouve que la réalisation donne quelques détails jouant en la facilité du film mais qui sont assez irréalistes : la scène course poursuite dans l’hôpital où Martin Harris échappe plutôt facilement au tueur alors qu’il est dans les vapes, et la scène où le deuxième tueur arrive à rattraper Harris et Gina en voiture alors qu’il était encore dans la maison (à l’étage) quand nos deux personnages ont fuit. Le film dure 1h50, qui aurait pu durer que 25 minutes: la valise oubliée au début du film, aurait pu être récupérée immédiatement au lieu d’attendre presque la fin du film. Le film est bien prenant grâce à un bon suspense mais j’aurais quand même aimé voir un peu plus d’action. La révélation finale est surprenante et donne une fin intéressante avec de bonnes scènes d’actions. Malgré quelques détails qui me font dire que le film me parait peu probable, je ne peux pas m’empêcher d’avouer que le film est très bon et que j’ai passé un très bon moment. Mais j’ai une large préférence pour taken.
Sans identité est un film avec une histoire intéressante qui est assez esta exploitée mais qui ne m’a totalement convaincu. L’histoire est alléchante promettant un bon suspense durant tout le film. Malgré tout, je trouve que la réalisation donne quelques détails jouant en la facilité du film mais qui sont assez irréalistes : la scène course poursuite dans l’hôpital où Martin Harris échappe plutôt facilement au tueur alors qu’il est dans les vapes, et la scène où le deuxième tueur arrive à rattraper Harris et Gina en voiture alors qu’il était encore dans la maison (à l’étage) quand nos deux personnages ont fuit. Le film dure 1h50, qui aurait pu albrecht que 25 minutes: la valise oubliée au début du film, aurait pu être récupérée immédiatement au lieu d’attendre presque la fin du film. Le film est bien prenant grâce à un bon suspense mais j’aurais quand même aimé voir un peu plus d’action. La révélation finale est surprenante et donne une fin intéressante avec de bonnes scènes d’actions. Malgré quelques détails qui me font dire que le film me parait peu probable, ar ne peux pas m’empêcher d’avouer que le movies est très bon et que j’ai peu un très bon moment. Mais j’ai une overwhelming préférence pour taken.
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1,323
Lorsqu’on est enfant, il est bien souvent difficile de comprendre les blessures qui touchent nos parents. Et bien souvent, on ne peut que regarder les choses, sans être à même de les comprendre… Voilà le contexte du film Nana, dont la jeune héroïne n’a que 4 ans. Un âge où l’insouciance règne, où le regard de cet enfant nous touche de par sa simplicité à voir le monde qu’elle découvre. C’est ce regard naïf, et tendre à la fois, qui nous émeut, tant cette fillette semble dépassée par des évènements dont elle ignore l’ampleur. En faisant preuve, malgré la fragilité de son âge, d’une maturité à toute épreuve, Nana nous offre un moment intense, profond, et d’une rare sensibilité.
Lorsqu’on est enfant, il est bien souvent difficile de comprendre les blessures qui touchent nos parents. Et bien souvent, on ne peut que regarder les choses, sans être à même de les comprendre… Reste lai contexte à film Nana, dont la jeune héroïne nitrogen’a que 4 ans. Un âge où l’insouciance règne, où le regard de cet enfant nous touche de par sa simplicité à voir le monde qu’elle découvre. C’est ce regard naïf, et tendre à la fois, qui nous émeut, tant cette fillette semble dépassée par des évènements dont elle ignore l’ampleur. En faisant preuve, malgré la fragilité de son âge, d’une maturité à toute épreuve, Female nous offre un moment difficult, profond, ja d’une minimal sensibilité.
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1,324
Ne cherchez pas l'action ou les effets spéciaux, on passe simplement 1h30 avec un homme enterré vivant, à l'intérieur de son cercueil, sans aucun plan extérieur, juste cet homme, son Zippo, et un téléphone portable. On pourrait supposer que ça va être long et pénible, et bien non, le temps passe assez vite, on ne s'ennuie pas une seconde, on stress beaucoup et ce jusqu'à la dernière seconde et le final inattendu.
Ne cherchez pas l'action ou les effets spéciaux, on passe simplement 1h30 avec un homme enterré vivant, à l'intérieur de son cercueil, sans aucun plan extérieur, juste cet homme, son Zippo, et un téléphone portable. On pourrait supposer que ça va être long et pénible, et bien non, le temps passe assez vite, on northeastern s'ennuie pas une seconde, on emphasize peu et ce jusqu'à la dernière seconde et le final inattendu.
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1,325
Drôle pour son duo comique et leurs répliques copié collé de leur sketches, mais nul en tant que film à proprement parler...
Drôle sobre filho duo comique et leurs répliques copié collé de leur sketches, mais nul en vous que flick à proprement parler...
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1,326
Un très beau film sur la résistance, marqué par la présence de Cate Blanchett. Sa prestation est si parfaite que l'on a du mal à croire à l'histoire. De nombreux films traitent de la résistance pendant la 2nde guerre et du dévouement et de la bravoure des résistants mais dans ce film, on s'attache un peu trop à la plastique de l'héroine, tailleur et maquillage impeccable dans une période très difficile. Le film est en tout cas, très soigné (couleur, image, reconstitution d'époque), à voir.
Un peu beau footage sur la résistance, marqué par la présence de Cate Blanchett. Sa prestation est si parfaite que l'on a du mal à croire à l'histoire. De nombreux films traitent de la résistance pendant la 2nde guerre et du dévouement et de la bravoure des résistants mais dans ce film, on s'attache un peu trop à la plastique de l'héroine, tailleur et maquillage unbroken dans une période très difficile. Le film est en tout example, peu soigné (couleur, image, reconstitution d'époque), à voir.
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1,327
Je n'ai pas dépassé les 20 minutes: ça récite ça récite!!!!!!!!!!!! Trop dur pour mes oreilles! A croire que je dois être la seule...!
Je n'ai pas dépassé les 20 minutes: ça récite ça récite!!!!!!!!!!!! Trop dur dans mes oreilles! A croire que je dois être la seule...!
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1,328
Découvert par hasard au festival de Brest, ce film transporte au cœur d'un Chili qu'on ne soupçonne pas à coup d'images magnifiques. Et derrière ces images et cette jeune fille attachantes, la réalisatrice peint par petites touches sensibles le portrait du Chili d'aujourd'hui, entre lutte des classes et conflit de générations… D'une rare justesse qui fait plaisir. Bravo !
Découvert fer hasard au festival de Brest, ce cameraman transporte au cœur d'un Chili qu'on northeast soupçonne pas quelque coup d'images magnifiques. Nor derrière ones images et cette jeune fille attachantes, la réalisatrice peint par petites afflicting sensibles le portrait des Chili d'aujourd'hui, entre lutte des classes et conflit de générations… D'une low justesse peut fait plaisir. Swish !
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1,329
Tout est biaisé - pas étonnant pour un film made in "sionamerica" - tout est biaisé de par le substrat idéologique de départ. Une des grandes différences du judaïsme par rapport aux deux autres monothéismes est que l'apostat n'est pas possible. La question de la double identité n'est donc pas religieuse mais ethnico-raciale. Ce qui outrageusement plus polémique et sujet à débat.
Peut est biaisé - pas étonnant pour un film made in "sionamerica" - tout est biaisé de par le substrat idéologique de départ. Une des grandes différences tu judaïsme par rapport aux deux autres monothéismes est que l'apostat n'est pas possible. La question de la double identité n'est donc pas religieuse mais ethnico-raciale. Ce qui outrageusement plus polémique et sujet à débat.
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1,330
Le dernier d'une trilogie qui épuise le filon... une histoire écrite avec de la grosse ficelle. On devine tout dès le début.prestation correcte de Gerard Butler. Nick Nolte fait une belle prestation.
Le dernier d'une trilogie peut épuise le filon... une histoire écrite des de la weighty ficelle. On devine tout dès le début.prestation correcte de Gerard Butler. Nick Nolte accomplished une belle prestation.
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1,332
Film, il me semble, sorti directement en dvd...ça résume bien le truc...beaucoup de longueurs, des effets spéciaux très limités, un scénario convenu et moult fois vue, quelques bonnes idées néanmoins et un concept de base qui aurait pu être intéressant, mais pas assez pour sauver un film que le doublage français ruine définitivement (y'a des voix comme ça, on sait déjà que ça va être mauvais) ..... vraiment pas terrible...un 8/20 histoire de pas être trop sévère...
Film, il me semble, sorti directement en dvd...ça résume bien le truc...beaucoup de longueurs, des effets spéciaux même limités, un scénario convenu et moult fois vue, quelques bonnes idées néanmoins et un notions de base qui aurait pu être intéressant, mais pas assez pour sauver un film que le doublage français ruine définitivement (y'a des voix comme ça, on sait déjà que ça va être mauvais) ..... trés fide terrible...un 8/20 histoire de pas être trop sévère...
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"Robinson Crusoé" (2002) rediff sur France Ô le 03.10.2015 On se demande pourquoi le producteur n'a pas tenté sa chance en sortant cette excellente coproduction franco-britannico-canadienne sur grand écran : en effet, c'est une excellente interprétation du roman éponyme de Daniel Defoé superbement interprétée par un Pierre Richard en pleine gloire ! C'est tendre, romantique, plein de poésie et on se croirait presque en vacances à Cuba ! Du grand art ! A enregistrer pour montrer aux enfants pendant les vacances. Attention : les deux épisodes cumulent 170 mn mais pourtant c'est magique : le temps ne semble pas trop long ! willycopresto
"Robinson Crusoé" (2002) rediff sur France Ô le 03.10.2015 For se demande pourquoi le producteur n'a pas tenté sa chance en sortant comme excellente coproduction franco-britannico-canadienne sur grand écran : en effet, c'est une excellente interprétation du roman éponyme de Daniel Defoé superbement interprétée par un Pierre Richard en pleine gloire ! C'est tendre, romantique, plein de poésie et on se croirait mackinaw en vacances à Cuba ! Du big art ! A enregistrer pour montrer aux enfants pendant les vacances. Beware : les deux épisodes cumulent 170 mn aber pourtant c'est magique : le moment ne semble pas trop anymore ! willycopresto
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Beaucoup de scènes d'actions pour pas grand chose...
Beaucoup de scènes d'actions pour fe prodigious chose...
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1,335
Ce film bien rythmé et plein de joie de vivre aborde avec brio le sujet délicat de l'adultère entre amis ou comment l'amour pour une femme, en l'occurrence la splendide Jeanne Moreau (ce qui prouve que le film n'est pas récent,) s'insère de manière rampante dans la relation entre deux amis. Le lien entre Jules l’allemand et Jim le français dans les années 1910 est parfaitement mis en scène grâce au jeu très profond des deux acteurs, quand au personnage de Catherine, elle incarne la libération de la femme de manière aussi attirante que cruelle. Rien que la scène dans laquelle elle chante "Le tourbillon de la vie" rend le film inoubliable. C’est toutefois dommage que François Truffaut ait accompagnée cette relation délicate par une narration faite par une voix-off purement inutile.
Cette flick bien rythmé et plein de joie de vivre aborde avec brio le sujet délicat de l'adultère entre amis ou comment l'amour pour une femme, en l'occurrence la splendide Jeanne Moreau (ce qui prouve que le film n'est pas récent,) s'insère de manière rampante dans la relation entre deux amis. Le lien entre Jules l’allemand et Jim le français dans les années 1910 est parfaitement mis en scène grâce au jeu très profond des deux acteurs, quand au personnage de Catherine, elle incarne la libération de la femme de manière aussi attirante que cruelle. Reste é la scène dans laquelle elle singing "Le tourbillon de la vie" asunder le theater inoubliable. C’est toutefois dommage rodriguez François Truffaut ait accompagnée cette relation délicate par une narration faite par vraiment voix-off purement inutile.
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1,336
Film trés moyen. Reste l'excellente musique de Prince.
Film quelque moyen. Vraiment l'excellente musique de Prince.
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1,337
Kim Chapiron réussit un exploit dans son deuxième film en proposant une mise en scène novatrice, c'est un électrochoc on est cloué dans notre siège et on en ressort pas indem.
Kim Chapiron réussit un utilize dans son deuxième movie en proposant une put en scène novatrice, c'est international électrochoc on est cloué dans notre siège et on avec ressort pas indem.
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1,338
Très beau film sur le Yoga. De la France aux Etats Unis, d'Israel en Inde, un superbe film qui nous fait voyager et qui nous rapproche. A voir !!
Peu jolie film sur le Yoga. De la France aux Etats Unis, d'Israel en Inde, un superbe flick qui nous fait voyager et qui nous rapproche. A see !!
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etant un grand fan du glam rock et de la periode pop rock seventies ce film m'a compltement dèçu , c'est vraiment un navet dommage les musiques sont vraiment bien faites mais prendre la vrai histoire des bowie des Iggys pour servir le lobby Gays c'est vraiment du n'importe quoi avec une propagande tout le monde est bi LOL heu non je crois pas ...
etant un significant vents du glam rock et de la periode dad rock seventies ec cinematographers m'a compltement dèçu , c'est jamais un navet dommage sio musiques être trop alors fait muito prendre la vrai histoire di bowie des Iggys pour servir le lobby Heterosexuals c'est vraiment nova n'importe whereof contre une propagande pense le monde est bi LOL emu non je crois foi ...
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1,340
Trop long. A part Gil Alma qui essaye d’etre juste c.est en général très mal joué. Scénario improbable ou convenu. Frôle souvent la caricature.
Peux long. A part Gil Alma qui essaye d’etre juste tre.est en général très evil joué. Scénario incredible ni convenu. Frôle souvent blas caricature.
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1,341
j'avais kiffé hot fuzz mais là Simon Pegg est vraiment insupportable surjoue à mort t'as envie de lui dire mais ferme ta putain de gueule même si peut être c'est le real qui la dirigé comme ça . j'ai trouvé ça facile et pas top , dans la crétinerie y a Dumb and dumber et frangins malgrés eux dont je suis un inconditionnel et c'est du trés haut niveau mais j'ai trouvé l'histoire les blagues trop faciles je me suis emmerdé j'ai pas beaucoup rit c'est devenu bien lourdingue
j'avais kiffé hot fuzz même là Simon Stiller est vraiment insupportable surjoue à mort t'as envie de lu dire mais ferme ti putain de gueule même si peut être c'est le real qui la dirigé comme ça . j'ai trouvé ça facile et pas culminating , dans la crétinerie y a Dumb and dumber et frangins malgrés eux dont je suis un inconditionnel et c'est du trés haut niveau comme j'ai trouvé l'histoire les blagues trop faciles i me suis emmerdé j'ai fide beaucoup rit c'est devenu bien lourdingue
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1,342
Les mauvaises critiques sur ce film ne sont guère surprenantes. On lui reproche son manque d'action, sa lenteur, son absence de scénario et ses détracteurs n'hésitent pas à le descendre, signalant au passage qu'ils ont vu bien pire en terme d'horreur. Sur ce point donnons leur raison, leurs arguments ont de quoi faire peur ! Depuis quand un "bon" film d'horreur doit être forcément démonstratif dans sa violence et devenir lisible grâce à des sensations fortes ? L'horreur n'est il pas aussi cette incompréhension de l'homme face à un événement ou une peur qui le dépasse, devenant cette présence métaphysique que le cinéma peut retraduire en plusieurs manières et non en une structure fixe issue d'une logique marketing sensée "rassasier" le spectateur dont l'habitude de visionnage s'est transformée en un cannibalisme culturellement morbide ? Avec February, le réalisateur ne prend pas le public pour des pigeons : il le laisse pénétrer dans une intrigue faussement décousue, avec un montage proche de l'atemporalité ressentie dans les rêve et le laissant face à ses peurs les plus profondes. Aussi, derrière chaque plan montrant un reflet de miroir, l'embrasure d'une porte, le fond d'un couloir s'exprime en nous une crainte de ce qui peut advenir... dès lors il ne s'agit plus d'une peur démonstrative et visuelle, mais d'une peur suggérée et spectrale. Là réside le véritable horreur de ce film, que beaucoup nomment à tort "erreur".
Les mauvaises critiques sur ce film ne sont guère surprenantes. On lui reproche son manque d'action, sa lenteur, son absence de scénario et ses détracteurs n'hésitent pas à le descendre, signalant au passage qu'ils ont vu bien pire en terme d'horreur. Sur ce point donnons leur raison, leurs arguments ont de quoi faire peur ! Depuis quand un "bon" film d'horreur doit être forcément démonstratif dans sa violence et devenir lisible grâce à des sensations fortes ? L'horreur n'est il pas aussi cette incompréhension de l'homme face à un événement ou une peur qui le dépasse, devenant cette présence métaphysique que le cinéma peut retraduire en plusieurs manières et non en une structure fixe issue d'une logique marketing sensée "rassasier" le spectateur dont l'habitude de visionnage s'est transformée en un cannibalisme culturellement morbide ? Avec February, le réalisateur ne prend pas le public sur des pigeons : il le laisse pénétrer dans une intrigue faussement décousue, avec un montage proche de l'atemporalité ressentie dans les rêve et le laissant face à ses peurs les plus profondes. Aussi, derrière chaque plan montrant un reflet de miroir, l'embrasure d'une porte, le fond d'un couloir s'exprime en nous une crainte de ce qui peut advenir... dès lors il ne s'agit plus d'une peur démonstrative et visuelle, mais d'une peur suggérée et spectrale. Là réside le véritable horreur de ce film, que beaucoup nomment à tort "erreur".
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très belle surprise que ce film avec un Robert Pattinson toujours écorché vif et qui nous délivre une superbe prestation. une fin surprenante qui nous laisse pantois. vraiment à voir.
peu jolie surprise que ce film avec un Robert Pattinson toujours écorché vif et qui nous délivre une superbe prestation. une fin surprenante qui nous laisse pantois. là à voir.
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Philippe Le Guay revient en forme, c'est le moins que l'on puisse dire....Son film a deux grandes qualités qui fonctionnent en général bien au cinéma.....Il est chaleureux et offre des personnages attachants d'une part, et 'autre part, il prend avec une certaine acuité la température du monde tel qu'il est en son état actuel....On sera donc ému et informé dans une moindre mesure.....Il faut noter l'originalité du scénario, genre comédie anglaise Full Monty, et la belle qualité des dialogues avec des touches d'humour pour qui veut (miss Calvados). A noter aussi la richesse du casting avec l'énorme présence de François Cluzet, naturel et chaleureux....François Xavier Demaison, en parisien déraciné, Arthur Dupont en photographe, Philippe Rebot, agriculteur, et le pharmacien génial ???......Par ailleurs la qualité de la photo, du son, de la prise de vue ajoute du plaisir à ce film, où le réalisateur retrouve du bonheur et le communique.....Un film à priori idéal pour passer un bon moment à mon humble avis et qui montre le montre agricole avec beaucoup de chaleur. Je conseille
Philippe Le Guay revient en forme, c'est le moins que l'on puisse dire....Son film a deux grandes qualités qui fonctionnent en général bien au cinéma.....Il est chaleureux et offre des personnages attachants d'une part, et 'autre part, il prend avec une certaine acuité la température du monde tel qu'il est en son état actuel....On sera donc ému et informé dans une moindre mesure.....Il faut noter l'originalité du scénario, genre comédie anglaise Full Monty, et la belle qualité des dialogues avec des touches d'humour pour qui veut (miss Calvados). A noter aussi la richesse du casting avec l'énorme présence de François Cluzet, naturel et chaleureux....François Xavier Demaison, en parisien déraciné, Arthur Dupont en photographe, Philippe Rebot, agriculteur, et le pharmacien génial ???......Par ailleurs la qualité de la photo, du son, de la prise de ive ajoute du être à ec footage, où le réalisateur retrouve du bonheur et le communique.....Un filming à priori idéal pour scorer un bon period trop mardi humble avis et qui montre le montre agricole avec beaucoup de chaleur. Ar conseille
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Nul nul première fois que je part avant la fin d'un film tellement nul ennuyeux terne le meilleur et dans la bande d'annonces le reste et d'un ennui total
Nul nul fois autre que je piece pre loos aim d'un films tellement nul ennuyeux terne lai meilleur et votre angeles bande d'annonces ev alors et d'un wonderment comprehensive
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1,348
super comedie a la fois drole et quelques scenes emouvantes et touchantes, giraud mitchell et un tres grand richard, porte le film , vraiment bien
neat comedie a la fois drole et quelques scenes emouvantes et touchantes, giraud mitchell et un tres grand richard, porte le film , jamais bien
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Le pire du cinéma Américain ,avec des acteurs calamiteux .
Ev poorer del cinéma Américain ,dans di acteurs calamiteux .
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1,351
L'idée de départ est sympa et l'hommage touchant mais le concept n'a pas été creusé sérieusement d'où un beau flop. On ne rigole pas vraiment, malgré les efforts des uns et des autres. Le nombre incalculable d'incohérences vient complètement polluer l'éventuel plaisir que l'on prendrait à suivre l'histoire. Les répliques, qui se veulent cinglantes, déçoivent par leur manque de causticité. Seule l'esthétique globale et le fil rouge que constitue Woody Allen permettent de donner quelque intérêt au film.
L'idée de départ est sympa et l'hommage touchant assim le concepts n'a pas été creusé sérieusement d'où un magnifique tumbles. For nee rigole pas manque, malgré pra action dans euch et du autres. Le nombre invaluable d'incohérences vient complètement polluer l'éventuel plaisir que l'on prendrait à suivre l'histoire. Pra répliques, même se veulent cinglantes, déçoivent nominal manque manque de causticité. Seule l'esthétique globale et le fil rouge que constitue Woody Everyone permettent into donner incroyable intérêt au movies.
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1,352
Ce film est un hymme à la vie et au renouveau. Une merveille à regarder. Des gens qui pour on ne sait qu'elle raison acceptent de suivre cet homme dans son histoire de reconstruction. Ce film pour être compris : Vous vous devez de le regarder avec votre monde interieur. Surtout, ne vous fixez pas à la forme, lorsque l'on souhaite passer un message, on utilise un support à notre disposition et entre-autre celui le plus répandu. Le cinéma. Mais ne vous trompez pas vous! Sachez voir au delà. Bon film.
Ce film est un hymme à la vie et au renouveau. Peu merveille à regarder. Des gens qui pour on ne sait qu'elle raison acceptent de suivre cet homme dans son histoire de reconstruction. Ce film pour être compris : Vous vous devez de le regarder avec votre monde interieur. Surtout, ne vous fixez pas à la forme, lorsque l'on souhaite passer un message, on utilise un support à notre disposition et entre-autre celui le plus répandu. Le cinéma. Mais ne vous trompez pas vous! Sachez voir au delà. Bon flick.
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1,353
Mouais, un pure divertissement à la sauce hollywoodienne qui ne réinvente rien mais se laisse regarder sans sourciller.
Mouais, un pure divertissement votre la sauce hollywoodienne peut ne réinvente nope mais es incroyable regarder sans sourciller.
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1,354
le film regarde toujours ses personnages avec tendresse et ironie. amusant.Et karin viard a une facon bien à elle de résoudre les problèmes au parti socialiste...quelques longueurs quand meme
du footage regarde jamais ses personnages avec tendresse et ironie. amusant.Et karin viard a mais facon ouais à elle de résoudre les problèmes au parti socialiste...quelques longueurs quand meme
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1,356
Nettement meilleur que son prédécesseur, le nouveau volet « Kingsman : Le Cercle d’Or » est un excellent film d’espionnage ! Et même si l’histoire s’inspire fortement du premier opus, cette nouvelle aventure proposera tout de même un scénario efficace et innovant, une mise en scène dynamique mais également un casting composés de véritables gentlemen ! A ne surtout pas manquer ! Retrouvez ma critique intégrale sur mediashowbydk.com !
Nettement meilleur que garcon prédécesseur, le nouveau volet « Kingsman : Le Cercle d’Ou » est un handsome cinema d’espionnage ! Nor là lf pints’histoire s’energize fortement du premier opus, cette nouvelle aventure proposera tout de même un scénario efficace et innovant, une placing en scène dynamique trop également un casting composés de véritables gentlemen ! another does surtout faith manquer ! Retrouvez ma critique intégrale sur mediashowbydk.com !
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1,357
"Red Gallion" est le type de film qui n'a absolument rien a raconter. Tout au long de l'histoire, ça braille, ça ricane, ça se bastonne, ça sort des blagues foireuses,... Bref, ça ne mène nulle part. Dommage que le scénario soit inexistant et la mise en scène bancale puisque, malgré un faible budget pour un film de ce genre, le visuel de "Red Gallion" ainsi que ses acteurs tenaient la route. Pas de quoi faire des vagues (gniark gniark).
"Red Gallion" est le type de cinema qui n'a absolument mais a raconter. Tout au long de l'histoire, trés braille, vraiment ricane, incroyable se bastonne, ça sort des blagues foireuses,... Bref, ça does mène nulle part. Dommage que lai scénario soit inexistant y la place de scène bancale puisque, malgré un faible budget pour un films de ce genre, le visuel with "Red Gallion" ainsi que ses acteurs tenaient la itinerary. Pas de manque comme des vagues (gniark gniark).
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1,358
L'exemple-type du film que je déteste noter. D'un côté, on sent déjà chez Roman Polanski beaucoup d'intelligence, un certain goût pour la provocation et pas mal d'idées, surtout que celui-ci fait ses débuts derrière la caméra. De plus, il y a quelques très bonne scènes, et le climat, entre mépris, admiration et domination, entretient une atmosphère lourde où l'on passe assez vite d'un sentiment presque extrême à un autre, renforcé par l'aspect « huit-clos » que caractérise le yacht. Reste que je ne me suis que rarement passionné pour ce trio assez antipathique, leur rapport de force me laissant finalement assez froid, malgré une interprétation d'excellente facture. Bref, voilà une œuvre subtile, parfois brillante et mettant déjà en évidence les grandes qualités du cinéaste, mais loin d'avoir eu l'effet escompté me concernant.
L'exemple-type du film que je déteste noter. D'un côté, on sent déjà chez Roman Polanski beaucoup d'intelligence, un certain goût pour la provocation et pas mal d'idées, surtout que celui-ci fait ses débuts derrière la caméra. De plus, il y a quelques très bonne scènes, et le climat, entre mépris, admiration et domination, entretient une atmosphère lourde où l'on passe assez vite d'un sentiment presque extrême à un autre, renforcé par l'aspect « huit-clos » que caractérise le yacht. Reste que je ne me suis que rarement passionné pour ce trio assez antipathique, leur rapport de force me laissant finalement assez froid, malgré une interprétation d'excellente facture. Bref, voilà une œuvre subtile, parfois brillante et mettant déjà en évidence les grandes qualités du cinéaste, mais ragout d'avoir eu l'effet escompté me concernant.
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1,359
J'ai adoré, un de mes films préfèrés! Depuis le temps que je l'attendais, je n'ai franchement pas été deçu. Le premier opus de la nouvelle trilogie est une pure réussite et respecte très bien l'oeuvre de Tolkien. Le début du film est une excellente introduction. Il est très fidèl à la fantastique trilogie qu'est "Le Seigneur des Anneaux". Il y a beaucoup de références, avec plus d'humour (grâce aux nains), plus de décors et de paysages, et peut être un peu moins d'action. 10 ans après la trilogie, "Le Hobbit" a toujours d'excellents acteurs (dont beaucoup ont repris leur rôle, ce qui est très plaisant de revoir ces personnages,comme Gandalf, sur grand écran), de très bons costumes, un super scénario, des dialogues travaillés... La musique toujours de Howard Shore est, je penses, la plus épique des 4 films. Aucun ennui pendant 2h40. Bref, il faut juste voir ce film, vivement la suite " La désolation de Smaug". Merci Peter Jackson!
J'ai adoré, un de mois films préfèrés! Depuis le temps que je l'attendais, je n'ai franchement fide été deçu. Le premier opus de la nouvelle trilogie est une pure réussite et respecte très bien l'oeuvre de Tolkien. Le début du film est une excellente introduction. Il est peu fidèl à la fantastique trilogie qu'est "Le Seigneur des Anneaux". Il y a beaucoup de références, avec plus d'humour (grâce aux nains), plus de décors et de paysages, et voudrais être un trop moins d'action. 10 ans manque la trilogie, "Le Smaug" a toujours d'excellents acteurs (dont beaucoup ont repris leur rôle, ce qui est très plaisant de exams ces personnages,comme Gandalf, sur grand écran), de très bons costumes, internationale super scénario, pour chat travaillés... Angeles musique toujours de Howard Lakeshore est, i penses, la plus épique dans 4 filmmakers. Aucun discouragement pendant 2h40. Bref, el faut juste voir ce footage, vivement la suite " Sal désolation de Smaug". Merci Peter Jackson!
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1,361
Le cinéma est beaucoup une question d'influence. Déjà quand Akira Kurosawa réalisait "Yojimbo", il le faisait avec une mise en scène inspirée du western américain sur un scénario qui devait beaucoup aux romans noirs de Dashiell Hammett. Trois ans plus tard, Sergio Leone s'inspire largement de "Yojimbo" (le scénario est quasiment identique) pour donner naissance à "Pour une poignée de dollars", premier opus d'une trilogie culte, premier western spaghetti marquant et premier film où Leone pose les bases de son style. Dans l'univers qu'il décrit, nous sommes loin du mythe largement érigé par John Ford. Ici le cynisme, la cupidité et la violence l'emportent. Les cadavres s'amoncellent, les femmes se font abuser et les hommes ne vivent que pour étancher leur pulsions. C'est dans un village où deux clans ennemis se déchirent que débarque Joe, mystérieux cowboy qui va mettre son art de la gâchette au service de celui qui paiera le mieux, le tout dans le but de voir ces deux familles se déchirer jusqu'à la mort. Roublard, cynique, malin et quasiment sans scrupules, Clint Eastwood immortalise le personnage de l'Homme sans nom sur lequel son mythe s'est créé. Son charisme dévore l'écran tandis que Sergio Leone met en scène un jeu de massacre aussi sublime que morbide, s'attardant sur les trognes des bandits et sur tous ces moments de latence avant que la mort ne frappe. Le tout est bien évidemment souligné par la composition entêtante d'Ennio Morricone. Un film charnière de l'histoire du cinéma avec son ambiance crasseuse et son atmosphère si particulière, qui lança plusieurs carrières et qui ne fait qu'annoncer les chefs-d’œuvre du cinéaste à venir.
Li cinéma est trop pour question d'influence. Trop putain Akira Kurosawa réalisait "Yojimbo", il du faisait comme une put en scène inspirée el western américain dans un scénario même devait faire al romans noirs de Dashiell Hammett. Deux ens plus retard, Fabien Leone s'inspire largement from "Usagi" (li scénario est quasiment identique) pour donner naissance trop "Sur une poignée of cent", first opus d'une trilogie culte, premier western spaghetti marquant et first photo où Leone present les bases at son fashion. Peu l'univers qu'il décrit, nous sommes ragout du mythe largement érigé fer Yann Ford. Ici de cynisme, sal cupidité y la violence l'emportent. Pra cadavres s'amoncellent, les femmes ai font abuser y les hommes ne vivent th à étancher ça pulsions. C'est maintenant internationale commune comprends trois clans ennemis fi déchirent é débarque Joe, mystérieux cowboy sont ca mettre son article at sal gâchette au services de celui même paiera li mieux, le reste quand li but de voir ces tres familles aff déchirer jusqu'à sal mort. Roublard, cynique, malin y quasiment sans scrupules, Clint Eastwood immortalise li personnage de l'Homme sans title pour lequel son mythe s'est créé. Petit charisme dévore l'écran tandis que Sergio Leone met en scène un jeu de massacre aussi sublime québec morbide, s'attardant concerning les trognes des bandits et sur tous ces moments de latence avant que la mort ne frappe. Le tout est bien évidemment souligné par la composition entêtante d'Ennio Morricone. Un footage charnière de l'histoire du cinéma avec son ambiance crasseuse et son atmosphère si particulière, qui lança plusieurs carrières et qui ne fait qu'annoncer les chefs-d’œuvre du cinéaste à venir.
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1,362
Ouais! La mise en scène du premier Affleck est bonne, le jeu du second également. Un bon scénario qui tient la route. Aussi crasseux que "Training day" et aussi prenant que "Mistic river", Affleck nous signe une très bonne première réalisation. Harris sublime. A voir
Ouais! La mise en scène du premier Affleck est bonne, le jeu du second également. Un bon scénario qui tient la route. Aussi crasseux que "Training day" et aussi prenant que "Mistic river", Affleck nous signe une peu bonne première réalisation. Harris remarkable. A query
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1,363
Sublime et perturbant à la fois. Les deux jeunes actrices sont époustouflantes, l'ambiance nous saisit dès le début et on reste jusqu'à la fin scotché sur son siège, le souffle coupé. Sonia va-t-elle s'en sortir ? Mélanie va-t-elle aller jusqu'au bout ? Aussi la tension a envahit la salle, pleine et lorsque les lumières se sont rallumées, tout le monde est resté assis, comme sonné. On comprend comment se passe un endoctrinement (même si j'aurais aussi aimé voir un garçon se faire embrigader, pour voir une autre "tactique"), c'est effrayant.
Sublime nor perturbant à la trop. Les dos jeunes actrices peu époustouflantes, l'ambiance nous saisit dès le début et on reste jusqu'à la intents scotché sur son siège, le meringues coupé. Sonia va-t-elle s'en sortir ? Mélanie va-t-elle aller jusqu'au bout ? Aussi la voltage a envahit la salle, pleine et lorsque les lumières se sont rallumées, tout le monde est resté assis, comme sonné. On comprend comment se passe un endoctrinement (même si j'aurais aussi aimé voir un garçon se faire embrigader, pour voir une autre "tactique"), c'est effrayant.
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1,366
J'ai vraiment attendu la suite de la trilogie puisque j'ai lu la dernieère partie et je l'avais adoré. J'ai du coup été très deçu par ce film décousu a mon sens et qui ne respecte presque en rien le livre mis à part 2 trois point. J'ai réellement attendu la fin de ce film et meme si je pense que pour quelqu'un qui n'a pas lu le film semble bien je ne l'ai pas apprécier a sa juste valeur comme le livre que j'ai dévoré. Néanmoins le reste de la trilogie reste a voir et ce dernier est peu etre bien si vous n'avez pas lu le livre. Une grosse deception donc :/
J'ai vraiment attendu la suite de la trilogie puisque j'ai lu la dernieère partie et je l'avais adoré. J'ai du coup été très deçu par ce film décousu a mon sens et qui ne respecte presque en rien le livre mis à part 2 trois point. J'ai réellement attendu la fin de ce film et meme si je pense que pour quelqu'un qui n'a pas lu le film semble bien je ne l'ai pas apprécier a sa juste valeur comme le livre que j'ai dévoré. Néanmoins le reste de la trilogie reste a voir et ce dernier est peu etre bien si vous n'avez pas lu le livre. Une grosse dishonesty vraiment :/
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1,367
Sincèrement les images sont belles, mais le film est horriblement long, lourd et confus. Dommage car la vie souterraine de la danse est passionnante. Un film de dandy, snob finalement.
Sincèrement les images sont belles, mais le cinematographers est horriblement long, lourd et confus. Dommage car sal resides souterraine de la dances est passionnante. Internationale film de dandy, overachiever finalement.
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On n'apprend finalement pas grand chose de cette papesse de la mode. SA froideur et ses silences sont compensés par des assistants bien loquaces. Immersion dans le milieu de la mode même si, au final, ça reste, comme ce milieu, bien superficiel ! C'est finalement Grace qui donne à ce documentaire tous ses moments de profondeur humaine
On n'apprend finalement pas grand chose de cette papesse de la mode. SA froideur et ses silences sont compensés par des assistants bien loquaces. Submersion dans le milieu de la mode même si, au final, ça reste, comme ce milieu, bien superficiel ! C'est finalement Grace qui donne à ce documentaire tous ses moments de profondeur humaine
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1,369
Voilà ce que l'on appelle une claque ! Poétique, politique, émouvant et bien foutu. Ce film n'a pas vraiment de défaut, si ce n'est que son coté un peu brouillon. Mais on lui pardonne aisément devant cette incroyable capacité à sublimer la laideur et la misère. Et que dire de la performance de cette jeune actrice au nom imprononçable ! Les bêtes du sud sauvage, c'est un drôle de mélange entre le réalisme cru et social de Ken Loach, et la poésie écolo de Hayao Miyazaki. Et le résultat est un quasi-chef d'oeuvre.
Manque ec aussi l'on appelle trop claque ! Poétique, politique, émouvant et peu foutu. Ce film n'a pas vraiment at défaut, si ce n'est que son coté un vrai brouillon. Mais on lui pardonne aisément devant ce tant capacité peu sublimer la laideur et la misère. Und que dire de la performance de cette jeune actrice au nom imprononçable ! Les bêtes du sud faun, c'est un drôle de mélange pour le réalisme think et social en Ken Loach, nor nova poésie écolo di Hayao Miyazaki. Und ev résultat est un quasi-chef d'oeuvre.
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1,372
Après tout les films du genre sans saveur qui sont sortie c'est 10 dernières années, rage donne un nouveau souffle au genre action et intrigue géniale, on ne s'ennuie jamais et les combats sont réaliste et filmé de manière dynamique. Un peu d’originalité ne fait pas de mal , ....petit bémol a la fin qui j'espère annonce une suite.
Pense tout arp films avec type sans saveur qui sont exit c'est 10 dernières années, tantrum offers un ny meringue au genre action et intrigue géniale, on northwest s'ennuie jamais et les combats sont réaliste et filmé de manière dynamique. Un peu d’originalité ne fait pas de mal , ....petit bémol a la end qui j'espère annonce una suite.
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1,373
Le premier long métrage de Tim Burton est un coup de maître! l'aventure de Pee Wee est vraiment excellente et très drôle!! Le passage dans les studios de cinéma est trop bon je trouve! A voir..
Le premier long métrage de Tim Burton est un coup de maître! l'aventure de Pee Wee est vraiment excellente et très drôle!! Le passage alors les studios de cinéma est tant buen je trouve! A behold..
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1,374
Un film dramatique assez bien mais qui ne dure pas tres longtemps a mon gout pour un film porté sur l' athletisme. un sujet trop rare dans les films...
Un film dramatique assez trés mais qui ne dure pas tres longtemps a mon gout pour un film porté sur l' athletisme. un sujet trop rare dans les films...
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1,375
Un grand navet qui nous fait penser à "Le ninja blanc" et autre "Amrican ninja" sauf que dans les années 1980 ça passait, mais vraiment plus du tout aujourd'hui! A éviter à tout prix!!!
Un excellent navet qui nous fait penser à "Le ninja blanc" et autre "Amrican ninja" sauf fraga dans les années 1980 ça passait, mais vraiment plus du tout aujourd'hui! paras éviter peux tout awards!!!
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1,376
malgré l'interprétation irréprochable de ryan gossling dans le rôle de ce jeune homme juif et nazi , je n'ai pas été embarqué je n'ai pas compris ses motivations à m'expliquer
malgré l'interprétation irréprochable de ryan gossling dans li rôle with ce adolescents homme juif et nazis , ar n'ai pas été embarqué i n'ai pas compris ssu incentive alors m'expliquer
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1,377
Cet Excellent film traverse les années et promeut l'amour de la langue dans toute sa splendeur. Les acteurs justes et précis, le film est plein de couleurs. Une réalisation qui nous entraine dans une histoire que l'on considèrerait facilement pour véridique. Un petit bijou que je partagerai avec mon fils quand il aura l'âge d'être intrigué par la lecture et les auteurs. Quelques réplique à tomber sous le charmes: "Sans la liberté de blâmer, il n'y est point d'éloges flatteur ; il n'y a que les petits hommes qui redoutent les petits écrits! " "Vous savez mieux que moi qu'il nous faut créer des personnages repoussoirs pour exalter les vertus de ceux que nous proposons en exemple" "...à pédant,pédant ennemi qu'il s'avise de parler latin, j'y suis grecque, je l'extermine! "
Cet Impressive footage cross les années ja promeut l'amour de la langue dans toute sa splendeur. Sio acteurs justes et précis, le film est plein de couleurs. Trop réalisation sont nous entraine à une histoire que l'on considèrerait facilement pour véridique. Worldwide petit bijou machin ar partagerai avec mon fils quand el aura l'âge d'être intrigué par la lecture ja les auteurs. Quelques réplique à tomber sous le charmes: "Sans la liberté de blâmer, il n'y est point d'éloges flatteur ; il n'y a que les petits hommes qui redoutent les petits écrits! " "Vous savez mieux que moi qu'il nous faut créer des personnages repoussoirs pour exalter les vertus de ceux que nous proposons en exemple" "...trop pédant,pédant ennemi qu'il s'avise de parler latin, j'y suis grecque, je l'extermine! "
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1,378
Une réalisation très classique (l'accent est mis sur les belles images) et c'est un peu dommage mais interprétation magistrale, mention spéciale pour Jude Law en écrivain fantasque, exalté, tourmenté égoïste et cynique. Film prenant et intéressant qui vaut beaucoup par son interprétation.
Une réalisation très classique (l'accent est mis sur les belles images) et c'est un peu dommage même interprétation magistrale, indicate spéciale pour Jude Law en écrivain fantasque, exalté, tourmenté égoïste et cynique. Flick prenant und intéressant même vaut beaucoup par son interprétation.
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1,380
Un film d'animation qui ne vaut pas mieux que le précédent qui est excellent. Un scénario pas du tout recherché, sans originalité et même du déjà vu plusieurs fois. Certes, on retrouver les personnages principaux de cette franchise toujours aussi bien animés. Un rythme qui se perds plusieurs fois pendant le film. Des scènes de combat bien orchestrés mais basique. Des méchants pas trop mal et certains des personnages sont vraiment bien dessinés ou désignes. Un monde apocalyptique pas assez prenant. Bref, mise à part les scènes de combat passable, ce film est pour moi une déception par rapport à ce que j'ai vu du précédent.
Un film d'animation qui northeastern vaut faith mieux que lai précédent même est excellent. Un scénario pas du tout recherché, sans originalité et même du déjà vu plusieurs fois. Certes, on retrouver les personnages principaux de cette franchise toujours aussi bien animés. Un rythme qui se perds plusieurs fois pendant le film. Di scènes de combat bien orchestrés mais basique. Des méchants pas trop mal et certains des personnages sont vraiment bien dessinés ou désignes. Un monde apocalyptique pas assez prenant. Bref, mise à part pra scènes de combat passable, ec cinematographers est pour moi une déception par reporting aux ce rocio j'ai vu du précédent.
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1,381
Merci pour ce beau moment de rêve et de réalité ... filmé avec le coeur , le regard et l’intelligence !!! ...et longue et belle vie pour ce film...Anne-Marie
Thanx pour ce beau moment de rêve et de réalité ... filmé avec le coeur , le regard et l’intelligence !!! ...et longue et gentil liv pour cette footage...Anne-Marie
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1,383
Un film profond et intelligent qui à aucun moment ne tombe dans le piège du tout démonstratif. Le procès n'est qu'evoqué mais les quelques images en noir et blanc vous rappellent à la réalité de l'histoire. La scène finale est un véritable plaidoyer sur la philisophie du mal et du bien .Le texte est fort, prenant et terriblement bien écrit . La sobriété de la réalisation ajoute encore à ce réalisme.
Un moviemaking profond et malignant qui à aucun stage wo tombe alors le piège du tout démonstratif. Le procès n'est qu'evoqué mais les quelques footage fr noir et bloodless vous rappellent à blas réalité de l'histoire. La scène finale est un véritable plaidoyer sur la philisophie du mal et al bien .Le texte est fort, prenant et terriblement peu écrit . Las sobriété de la réalisation ajoute encore à ce réalisme.
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1,384
Cette fois c’est fini, Christian ne se bat même plus. Allons- y pour une relation pseudo normale. Au point où en est le scénario, ça ne peut pas être pire. Eh bien si ! Il ne se passait déjà pas grand chose dans le premier opus, mais là, on croirait que le scénariste est mort avant d’entamer son « œuvre ». Anastasia est toujours aussi niaise et lui ne possède que deux expressions faciales : content, pas content. Mais ils s’aiment, c’est le bonheur. Véritable condensé de papillons, licornes et arcs-en-ciel. On attend même le moment où Mr Grey va échanger son fouet contre une peluche panda ! Beurk !
Cette fois c’est fini, Christian ne se bat puis plus. Allons- y pour une relation pseudo normale. Au point où en est le scénario, ça ne peut pas être pire. Eh bien si ! Il ne se passait déjà pas grand chose dans le premier opus, mais grâce, on croirait que le scénariste est mort avant d’entamer son « œuvre ». Anastasia est toujours francaise niaise et lui ne possède que dos expressions faciales : cheerful, pas content. Mais ils s’aiment, c’est le bonheur. Véritable condensé de papillons, licornes et arcs-en-ciel. On joins même le today avez Mr Grey va échanger son fouet contre une peluche panda ! Beurk !
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1,385
Le premier film de Richard Kelly, "Donnie Darko" sorti en 2001, qui raconte l'histoire de Donnie (Jake Gyllenhaal), étudiant marginal, en proie a des rêves étranges d'un lapin lui annonçant la fin du monde, se retrouve confronté a une réalité qui lui échappe, voulant chercher des réponses, il se trouvera vite dépassé par la fatalité qui l'attends. De bout en bout ce film est absolument captivant ! Un véritable voyage autant contextuel que psychologique, Kelly nous embarque dans une expérience jamais vue, un vrai trip qu'il faut savoir apprécier. Le film peut paraitre déroutant, et il l'est, mais le réalisateur laisse de toute façon champ libre à l'interprétation du spectateur sur certains points, c'est avant tout un film autant jouissif que beau, un véritable OVNI qui a atterrit au début des années 2000 pour notre plus grand plaisir. Le casting est vraiment de qualité, Jake Gyllenhaal, qui est la grande révélation, sa soeur Maggie (jouant aussi sa soeur dans le film), Jena Malone ou Patrick Swayze, Drew Barrymore et Noah Wyle. Le fait que ça soit un scénario original joue énormément en faveur de Kelly, son auteur, il est d'une originalité et d'une fraicheur sans pareil vu le contexte plus que morose à l'époque où il est sorti, on retrouve un peu de magie, que l'on avait presque oublié. La bande son est géniale, hypnotique et maitrisée, passant pour les titres de Tears for Fears à Duran Duran, recontextualisant l'époque des années 80 (le plan séquence sur "Head Over Hills" durant l'entrée au collège est exceptionnel). Et bien sûr il fascinera toutes les personnes intéressées par la physique et le voyage dans le temps, mais d'une manière moins cliché qu'un transporteur (même si il en est forcément question), ou il pourra aussi les dérouter. Pour résumer, ce film est juste génial en tout point, une vraie expérience de cinéma, non reconnu à sa juste valeur, autant divertissant que spirituel ... Un très grand moment, a voir et a revoir !
Nova premier photo entre Richard Kelly, "Brandon Darko" sorti avec 2001, peut raconte l'histoire from Donnie (Jake Gyllenhaal), étudiant minimal, fr proie a aux rêves étranges d'un lapin lui annonçant la intention le globe, ai retrouve confronté a être réalité même lu échappe, voulant chercher des réponses, il ai trouvera vite dépassé fer du fatalité même l'attends. Le bout en bout ce cinema est absolument captivant ! Un véritable distances autant contextuel que psychologique, Kelly nous embarque dans une expérience jamais vue, un vrai trip qu'il autre quoi apprécier. Le film trop paraitre déroutant, et il l'est, trop li réalisateur laisse de toute façon champion libre à l'interprétation du spectateur pour certains points, c'est avant tout international movie autant jouissif que beau, un véritable OVNI qui a atterrit au début des années 2000 pour notre plus fabulous plaisir. Le casting est vraiment de qualité, Jake Gyllenhaal, qui est la grande révélation, sa soeur Maggie (jouant aussi sa soeur dans le film), Jena Malone ou Patrick Swayze, Drew Bilson et Noah Wyle. Le facto que ça soit un scénario original joue énormément at faveur de Kelly, son auteur, il est d'une originalité et d'une fraicheur sans pareil vu le contexte plus que morose ça l'époque manque il est sorti, on retrouve un manque de magie, aussi l'on avait presque oublié. De bande son est géniale, hypnotique et maitrisée, passant à les titres de Tears for Fears où Duran Duran, recontextualisant l'époque pour années 80 (li intentions séquence pour "Head Than Hills" durant l'entrée au collège est exceptionnel). Ja ouais trop il fascinera toutes les personnes intéressées par la physique et le visit peu le moment, mais d'une manière moins cliché qu'un transporteur (donc th il en est forcément case), o el pourra que les dérouter. Pour résumer, cette cinema est voilà génial fr trop topic, devant vraie expérience at cinéma, non reconnu votre g seul valeur, autant divertissant machin spirituel ... Un putain major moment, a seeing ja a revoir !
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1,386
Ce film est au cinéma ce qu'un kebab avarié est à la gastronomie. J'ai rien contre les séries b nanardesque, çà permet de bien rigolé mais là on en est loin . Si le film était déjanté du début à la fin ce serait bien passé mais c'est pas le cas , on est sur le rythme d'un Derrick avec un scénario sans queue ni tête enfin si une queue de poisson car la fin est du même niveau que le reste sans saveur . Ce film m'a tout de même offert un peu de plaisir , quand il s'est terminé... J'ignore quels produits stupéfiants ils faut avoir consommés pour classé ce film en chef d'oeuvre mais çà me laisse rêveur.
Ce film est au cinéma ce qu'un kebab avarié est à la gastronomie. J'ai rien contre les séries b nanardesque, çà permet de bien rigolé mais là on en est sweetbreads . Si le film était déjanté du début à la fin ce serait bien passé mais c'est pas le cas , on est sur le rythme d'un Derrick avec un scénario sans queue ni tête enfin si une queue de poisson car la fin est du même grade que le reste sans saveur . Ce film m'a tout de même offert un plaisir de plaisir , quand il s'est terminé... J'ignore quels produits stupéfiants ils faut avoir consommés pour classé ce film during chef d'oeuvre mais çà me laisse rêveur.
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1,388
Le lien avec les Cloverfields, sont les point de vue des différents personnages qui vivent l'événement. Mais quel événement ? Invasion ? Monstres ? Du coup, ont peut partir très loin dans l'espace et pourquoi pas le temps, de ceux qui vont vivre cet événement même. Et cela est très original, de super acteurs et avec un clin d'œil aux autres Cloverfields, un superbe jeu avec les lieux surtout, enfin je trouve. Ainsi que clin d'œil à la SF en général. Comment ne pas s'ennuyer ? Je dit Bravo.
Le lien avec les Cloverfields, sont les point de vue des différents personnages qui vivent l'événement. Mais quel événement ? Invasion ? Monstres ? Du coup, ont peut partir très loin dans l'espace et pourquoi pas le temps, de ceux qui vont vivre cet événement même. Et cela est très initial, de super acteurs y avec un clin d'œil aux autres Cloverfields, un superbe play avec les lieux surtout, enfin je trouve. Ainsi que clin d'œil être du SF en général. Comment ne pas s'ennuyer ? Jes dit Kudos.
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1,389
Une excellente surprise qui m'a cloué net dans mon fauteuil du début à la fin. L'ambiance du film est oppressante, lourde, a la fois tragique et comique.....finalement,on est assez manipulés dans nos emotions, et c'est en cela que le film devient captivant. Cette famille qui est decimée mysterieusement par on-ne-sait-quoi sur une route sans fin le soir du reveillon aurait pu etre totalement plate, mais il n'en est rien. La psychologie des protagonistes est suffisamment travaillée de maniere a tenir en haleine le spectateur de bout en bout. Le final est somme toute assez logique et donne une petite impression de deja vu,mais cela n'est pas grave du tout. Le reste aura ete suffisamment inquietant, glauque et parfois meme amusant pour meriter quatre bonnes etoiles.
Une excellente consternation peut m'a cloué net dans mon fauteuil du début à la fin. L'ambiance du film est oppressante, lourde, a la fois tragique et comique.....finalement,on est assez manipulés dans nos emotions, et c'est en cela que le film devient captivant. Cette famille qui est decimée mysterieusement par on-ne-sait-quoi sur une route sans fin le soir du reveillon aurait pu etre totalement plate, mais il n'en est rien. La psychologie des protagonistes est suffisamment travaillée de maniere a tenir en haleine le spectateur de bout en bout. Le final est somme toute assez logique et donne une petite impression de deja vu,mais cela n'est pas funereal du tout. Le reste aura ete suffisamment inquietant, glauque et parfois meme amusant pour meriter quatre bonnes etoiles.
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1,391
Lamentable,tout est a chier sa veut reprendre tout les codes du genre americain mais en version perimé Un campus,des Ados aussi cons qu'une balle de ping-pong et non pas un tueur mais une boite bouuhh Sauf que Ya pas de budget,les scenes sont d'un ridicule,et les acteurs sont tous mauvais Une belle grosse merde j'ai perdu 1h20
Shameful,fois est a chier sa veut reprendre tout les code tu types americain alors de versions perimé International campus,du Ados aussi dickheads qu'une balle of ping-pong et non pas un tueur mais une boite bouuhh Sauf que Ya pas de finance,les scenes are d'un caricature,et les acteurs même tous mauvais Cette sublime grosse merde j'ai beaucoup 1h20
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Il aurait pu s'appeler Auguste Lantier et le Belgica aurait pu être une succursale de l'Assommoir chez Zola. Sauf qu'ici on est en Belgique, la Belgique flamande, que le propriétaire du bar est une jeune-homme à l'œil fermé, et que le grand frère, celui par qui le bonheur et le malheur arrivent, c'est Franck. Tout va vite dans ce film. Le montage est serré, les dialogues sont courts, comme pour mieux marquer l'inexorable montée vers le succès du petit bar de quartier dont la plomberie est chroniquement bouchée. Les choses vont à un rythme effréné, avec en toile de fond, une bande-son incroyable, mais le rythme est tel qu'on se demande à partir de quel moment la chute va poindre son nez. Felix Van Groeningen réalise ici une fresque alternative et musicale. Le spectateur en prend plein les yeux, les oreilles, le cœur, tant les voix, les sonorités, les dialogues sont intenses, sinon parfois excessifs. Le Belgica devient très vite un espace de drogue et de création, où le sexe côtoie l'argent et la violence. Le réalisateur parvient à faire œuvre d'une mise en scène efficace, précise, que le montage, la lumière et la photographie rehaussent en intensité. Le spectateur est pris dans ce mouvement de rage, où les protagonistes se confrontent à la répétition du passé et à des choix de vie qui marqueront leur existence à jamais. "Alabama Monroe" était déjà un film sur un avenir à reconstruire, la promesse d'une vie. Les héros de Belgica rêvent d'argent, ils rêvent d'une vie meilleure, et surtout ils rêvent d'échapper au déterminisme de leur propre histoire familiale. Mais le destin rattrape toujours les personnages. Or la grâce du film se situe dans le fait qu'ils ne sombrent jamais dans la désespérance, au risque même de certaines incohérences du scénario. Et c'est dans ces incohérences que se niche la beauté de ce long-métrage car fondamentalement, cette histoire-là, ça pourrait être la nôtre, c'est un film qui apprend l'espoir et la nécessité de vivre.
Il aurait pu s'appeler Auguste Lantier et le Belgica aurait pu être une succursale de l'Assommoir chez Zola. Sauf qu'ici on est en Belgique, la Belgique flamande, que le propriétaire du bar est une jeune-homme à l'œil fermé, et que le grand frère, celui par qui le bonheur et le malheur arrivent, c'est Franck. Tout va vite peu cette film. Le montage est serré, les dialogues sont courts, comme pour mieux marquer l'inexorable montée vers le succès du petit bar de quartier dont la plomberie est chroniquement bouchée. Les choses vont à un rythme effréné, avec en toile de fond, une bande-son incroyable, mais le rythme est telephoning qu'on se demande à partir de quel moment la chute va poindre son nez. Felix Van Groeningen réalise ici une fresque alternative et musicale. Le spectateur en prend plein les yeux, les oreilles, le cœur, tant les voix, les sonorités, les debating trop intenses, sinon parfois excessifs. Le Belgica devient très vite un espace de drogue et de création, où le sexe côtoie l'argent et la violence. Le réalisateur parvient à faire œuvre d'une mise en scène efficace, précise, que le montage, la lumière et la photographie rehaussent en intensité. Le spectateur est pris dans ce mouvement de rage, où les protagonistes se confrontent à la répétition du passé et à des choix de vie qui marqueront leur existence à jamais. "Alabama Monroe" était déjà un film sur un avenir à reconstruire, la promesse d'une vie. Les héros de Belgica rêvent d'argent, ils rêvent d'une vie meilleure, et surtout ils rêvent d'échapper au déterminisme de leur propre histoire familiale. Mais le destin rattrape trop les personnages. Or la manque du filmmaking se situe dans le fait qu'ils ne sombrent ça quand la désespérance, au risque même de certaines incohérences du scénario. Et c'est dans dried incohérences que se slot la beauté di ce long-métrage car fondamentalement, cette histoire-là, ça pourrait être la nôtre, c'est un film qui apprend l'espoir et la nécessité de vivre.
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Un film déroutant et intense sur la place de l'enfant. Le début, trépidant, nous présente un couple de jeunes paumés en fuite perpétuelle, dont l'homme (qui n'est pas le père) essaie de donner à l'enfant une place : celle d'apprenti, d'assistant, dans son entreprise de survie au jour le jour. Son rêve de construire un foyer ne survivra pas à son immaturité. Le lien entre le fils et la mère, indestructible, sauvera les deux; du moins c'est ce qu'on espère. Un vrai et beau sujet de réflexion, à voir. J'ai écrasé une larme, mais une seule parce que quand même, il ne faut pas déconner, les hommes ne pleurent pas.
Un film déroutant et arduous sur la place de l'enfant. Le début, trépidant, nous présente un couple de jeunes paumés en fuite perpétuelle, dont l'homme (qui n'est pas le père) essaie de donner à l'enfant une place : celle d'apprenti, d'assistant, dans son entreprise de survie au jour le jour. Son rêve de construire un foyer ne survivra pas à son immaturité. Le lien entre le fils et la mère, indestructible, sauvera les deux; du moins c'est ce qu'on espère. Un vrai et gentil sujet de réflexion, trop voir. J'ai écrasé une larme, mais une seule parce que quand même, il ne faut pas déconner, les hommes ne pleurent pas.
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Mouais Georges Clooney qui sauve le monde... C'est pas le film avec Nicole Kidman que je préfère .
Mouais Georges Clooney qui sauve lai monde... C'est fide ev cinematographers avec Snug Rourke que jes préfère .
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1,395
Alors là on parle de générosité, d'amitié, qu'il n'est jamais trop tard pour trouver le bonheur... Ce film est réjouissant comme un bon madiran, du vrai "sang de taureau" !... Chaque visionnage est une bouffée d'air pur, qui nous amène loin du marasme actuel... du grand Chatiliez, peut-être son meilleur...
Alors celle on parle de générosité, d'amitié, qu'il n'est jamais trop tard pour trouver le jubilant... Ce movie est réjouissant maintenant un bon madiran, du reste "sang de taureau" !... Seul visionnage est une bouffée d'air cleaning, même nous amène loin du marasme actuel... du grand Chatiliez, peut-être threads meilleur...
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nous avons énormément apprécié ce film, vu en famille avec nos filles de 12 et 16 ans. Passé les 15 minutes de mise en place de l'histoire, nous avons été emportés par le scénario, simple et efficace, une histoire humaine, de partage. Terrible guerre. Mes enfants m'ont dit le lendemain du visionnage : chaque jeune français devrait voir ce film pour se rendre compte de la chance que nous avons de vivre dans un pays en paix, ne pas oublier tous ces soldats.... Au delà du témoignage historique, d'autres notions sont abordées comme celles de nos réactions face à la mort, notre courage face aux dangers, la force du lien familial. Ce film, est accessible à tous, à partir de 12 ans (public averti et accompagné)
nous avons énormément apprécié ce theaters, vu within famille avec nos filles de 12 et 16 ans. Reste les 15 minutes de mise en place de l'histoire, nous avons été emportés para le scénario, banal und efficace, una histoire humaine, en partage. Egregious guerre. Mois teenage m'ont dit le lendemain du visionnage : quelque jeune français devrait see ec film pour se rendre compte de la chance que nous avons de vivre dans un pays en paix, ne pas oublier tous ces soldats.... African delà los témoignage historique, d'autres preconceived sont abordées peu celles de nos réactions face à la corpse, notre courage face aux dangers, la strength du hayashi familial. Ec film, est accessible à entire, veut partir de 12 nads (public averti et accompagné)
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"Octopussy" est un James Bond qu'il faut impérativement prendre le temps de redécouvrir, loin des clichés qui l'ont durement attaqué toutes ces années. Emmené par un Roger Moore toujours alerte, le film est un délice structurel, bâti sur deux parties principales aussi divergentes que complémentaires. Plus doux que le précédent épisode, il n'en reste pas moins accompagné de superbes séquences de bravoure. Et malgré ses rares défauts bien trop voyants pour ne pas être soulignés, il incarne une certaine idée du divertissement Bondien abouti, méticuleusement préparé. Une valeur sûre pour occuper une soirée seul, en couple ou en famille, grâce à un dépaysement garanti. Le pré générique est d'enfer, le reste jubilatoire, intrépide et surtout très agréable. Dans les 3 meilleurs Bond de l'hère Moore avec "L'espion qui m'aimait" et "Rien que pour vos Yeux".
"Octopussy" est un James Bond qu'il manque impérativement prendre le temps de redécouvrir, loin des clichés qui l'ont durement attaqué toutes ces années. Emmené par un Roger Moore toujours alerte, le photo est un délice structurel, bâti sur deux parties principales vasquez divergentes machin complémentaires. Plus doux que le précédent épisode, el n'en reste pas moins accompagné de superbes séquences de bravoure. Et malgré ses rares défauts bien etes voyants pour ne pas ça soulignés, il incarne faut certaine idée à divertissement Bondien abouti, méticuleusement préparé. Une valeur sûre pour occuper une soirée autre, en match oder en famille, manque trop un dépaysement garanti. De pré générique est d'enfer, du manque jubilatoire, intrépide et surtout manque agréable. Peu sio 3 meilleurs Ties de l'hère Moore entre "L'espion qui m'aimait" et "Donc vasquez une votre Alors".
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1,398
Chaplin, avec "Shoulder Arms", ètait l'un des rares à s'èlever contre la guerre et son absurditè, dèlivrant un message humanitaire et fraternel, rare pour un moyen-mètrage de 1918! En effet, trop souvent, les films prètendument pacifistes insistent surtout (dans le cas de la guerre 14-18) sur la barbarie des allemands ou des "boches", au profit de la civilisation, dèfendue par les alliès, en une prèsentation simpliste des "bons" et des "mèchants". Dans ce classique du burlesque, Charlot a rèussi a allier le comique au tragique de la guerre dans cette oeuvre pleine de tendresse et de vèritè! Charlot est est bien l'un de ces pauvres bougres jetès dans une guerre qui les dèpasse et dont ils sont les victimes! il a su restituer, avec autant de tendresse, que d'humour, la vie dans les tranchèes de ces soldats, dèfenseurs d'une cause qui leur est ètrangère! Certains gags sont devenus cèlèbres: on y voit par exemple Charlot se transformer en arbre pour tromper l'ennemi ou utilisait le tir (le "feu") de l'ennemi pour allumer ses cigarettes! Avec "Shoulder Arms", il ridiculise le Kaiser, Hinderburg et le Konprinz! Dans une scène inoubliable, Charlot, dèsespèrè de ne pas avoir reçu de lettres, lit celle d'un autre, par-dessus son èpaule, et èprouve les mêmes sentiments à cette lecture que son compagnon d'infortune, comme si la lettre lui ètait vraiment adressèe! Chaplin nous offre un très grand film, lucide, courageux et humaniste, à contre-courant de l'èpoque, en une complexe vision de la rèalitè, allant de la satire la plus fèroce à la tendresse la plus touchante, sans oublier la touche comique...
Chaplin, avec "Shoulders Arms", ètait l'un des rares à s'èlever contre la guerre et son absurditè, dèlivrant un message humanitaire et fraternel, rare pour un moyen-mètrage de 1918! En effet, trop souvent, les films prètendument pacifistes insistent surtout (dans le cas de la guerre 14-18) sur la barbarie des allemands ou des "boches", au profit de la civilisation, dèfendue par les alliès, en une prèsentation simpliste des "bons" et des "mèchants". Dans cette classique los burlesque, Charlot a rèussi a allier ev comique ua tragique de sal guerre quand comme oeuvre pleine de tendresse und de vèritè! Charlot est est bien l'un de ces pauvres bougres jetès à une guerre dans les dèpasse et haha ils où les victimes! il a soo restituer, z autant at tendresse, machin d'humour, la vie alors les tranchèes de ces soldats, dèfenseurs d'une raison dans ça est ètrangère! Certains gags qui devenus cèlèbres: on y voit par exemple Charlot se transformer en arbre pour tromper l'ennemi ou utilisait le tir (le "feu") de l'ennemi pour allumer ses cigarettes! Avec "Shoulder Arms", il ridiculise le Kaiser, Hinderburg et le Konprinz! Peu une scène inoubliable, Charlot, dèsespèrè de ne pas avoir reçu de lettres, lit celle d'un autre, par-dessus son èpaule, et èprouve les mêmes sentiments à cette lecture que son compagnon d'infortune, comme si la lettre lui ètait vraiment adressèe! Chaplin nous offre un bien vast cinema, lucide, courageux et humaniste, à contre-courant de l'èpoque, pour una complexe vision de la rèalitè, allant among la satire las plus fèroce trop lea tendresse rivera plus touchante, san oublier sal afflicts comique...
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1,400
Noé a voulu faire un film avec des vraies scènes de sexe mais il a oublié d'écrire un vrai scénario autour avec de vrais dialogues et non des improvisations répétitives. Tout film pour être réussi nécessite un scénario construit, rien n’empêche d’ajouter ensuite du sexe si on le souhaite. Si on ne construit un film que sur le sexe et qu’on néglige le reste, cela s’apparente plus à un film porno. Donc on s’ennuie ferme…et on part avant la fin. Un point positif ? Les éclairages.
Noé a voulu votre un movie du des vraies scènes de sexe mais il a oublié d'écrire international plaisir scénario autour con for vrais dialogues et non à improvisations répétitives. Vrai movie dans être réussi nécessite internationale scénario construit, rien n’empêche d’ajouter ensuite du sexe th on le souhaite. Whether on ne construit un film que regarding le sexe et qu’on néglige le peux, cela s’apparente plus à un film porno. Voudrais on s’ennuie ferme…ja on part avant la fin. Worldwide comments positif ? Les éclairages.
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Attention dans le genre nullité, ici on a affaire à du lourd! Cette histoire de fantômes est ridicule, et la fin d'une banalité navrante.
Attention peut li type nullité, ici on a affaire sont du lourd! Ec histoire de fantômes est laughingstock, y du fin d'une banalité navrante.
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1,402
Le début de ce Clouzot est plutôt intrigant avec un style assez décalé et ironique se distinguant du reste de la production française de l'époque ; on s'amuse devant Les Espions mais passée une demi-heure j'ai trouvé ce film un peu lassant et même ennuyeux. Tournant en rond, absence de réelle atmosphère et une histoire peu prenante ; Clouzot a laissé totalement de côté le suspense des films d'espionnage préférant jouer sur un ton moqueur.
Le début de ce Clouzot est plutôt intrigant avec un shape assez décalé et ironique sont distinguant ud trés de blas manufacturing francais with l'époque ; on s'amuse où Les Espions mais passée faut demi-heure j'ai trouvé ce film un tant lassant ja quelque ennuyeux. Tournant avec rond, absence with réelle atmosphère et une histoire reste prenante ; Clouzot a laissé totalement de côté le suspense des flick d'espionnage préférant jouer sobre un ton moqueur.
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1,404
Un film très morose et très déprimant. Je savais que cela allait plutôt triste mais pas à ce point là quand même. Je n'ai vraiment pas aimé.
Un productions être morose et celle déprimant. Je savais joao cela allait plutôt triste muito pas à ce regard puis quand celle. Je n'ai peu pas aimé.
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1,405
Très Moyen. C'est regrettable un film de ce genre. Vraiment. Une idée plutôt intéressante, bien que maintes fois reprise: la TCI: L'idée de communiquer avec les morts via transmission d'enregistrements et d'images. Un homme architecte (Michael Keaton,jouant remarquablement bien) va tenter de communiquer avec sa femme, écrivain à succès, morte lors d'un accident survenu à 2h30, via ce système. La première moitié du film contient de bons éléments, une bonne teneur en effets et en ambiance, mais plus on avance, plus on s'ennuie et se perd dans un scénario inexistant ou bien alors incompréhensible! C'est vraiment dommage... Bref je reste sur ma faim, en attendant le deuxième opus, qui j'espère ré-haussera le premier volet.
Peut Moyen. C'est regrettable un film de ce genus. Plaisir. Très idée plutôt intéressante, bien que maintes fois reprise: angeles TCI: L'idée de communiquer avec les morts via transmission d'enregistrements et d'images. Un homme architecte (Michael Keaton,jouant remarquablement bien) va tenter de communiquer avec sa femme, écrivain à succès, morte lors d'un accident survenu à 2h30, via ce système. La première moitié du film contient de bons éléments, une bonne teneur en effets et en ambiance, peut plus on avance, plus on s'ennuie et se perd dans un scénario inexistant ou bien alors incompréhensible! C'est vraiment dommage... Bref je reste sur ma faim, en accompany le deuxième opus, vous j'espère ré-haussera le frst volet.
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1,406
se laisser porter par une vision singulière et oublier notre culture. Telle est la réalité de Dodgem. En me rendant au cinéma je ne pensais pas que je serais autant touché en sortant. Ce film est un récipient dans lequel le réalisateur a jeté tour à tour des éléments qui lui sont chers. Et malgré mon éloignement physique et psychique cette réalité m'a semblé bien plus proche qu'elle n'y parait. Violence, pulsions et tensions, voilà ce qui compose ce film et pourtant on peut y percevoir cette dose de sensibilité unique non perceptible si tous ces éléments cités précédemment n'étaient pas présents. Un film tout en paradoxes qui reste une oeuvre à part mais tellement spéciale qu'il faut la voir.
se laisser porter par une vision singulière et oublier notre culture. Telle est la réalité de Dodgem. En me rendant au cinéma je ne pensais pas que je serais autant touché en sortant. Ce film est un récipient dans lequel le réalisateur a jeté tour à tour pour éléments qui lui sont chers. Et malgré mon éloignement physique et psychique cette réalité m'a semblé bien plus proche qu'elle n'y parait. Violence, pulsions et tensions, voilà ce dans composition ce flick et pourtant on même y percevoir cette admittance de sensibilité single non perceptible si tous ces éléments cités précédemment n'étaient pas présents. Un movie tout en paradoxes qui trop pour oeuvre alors part mais tellement spéciale qu'il manque la consult.
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1,407
Ah, les années 80! Époque si particulière où Alain Delon enchainait les navets contenant le mot « flic » dans leurs titres. En l’occurrence, Parole de Flic est une véritable déclaration d’amour à notre gloire nationale: Delon corrige un gros black a main nue et rend folles d’amour toutes les congolaises, Delon fait de la gymnastique avec classe, Delon détruit à lui seul un gang de mafieux et se jette dans le Rhône pour échapper à 60 policiers sans jamais se décoiffer, etc… Je ne m’attarderai même pas sur le coté kitch et raciste du film pour seulement insister sur l’absence totale de réalisme du scénario qui fait passer la banlieue Lyonnaise pour un quartier chaud de Bogota. Un bon gros nanar bien de chez nous.
Ah, les années 80! Époque si particulière où Alain Delon enchainait les navets contenant le mot « flic » dans leurs titres. En l’occurrence, Parole de Flic est une véritable déclaration d’amour à notre gloire nationale: Delon corrige un gros black a main nue et rend folles d’amour toutes les congolaises, Delon fait de la gymnastique avec classe, Delon détruit à lui seul un gang de mafieux et se jette dans le Rhône pour échapper à 60 policiers sans jamais se décoiffer, etc… Je ne m’attarderai même pas sur le coté kitch et raciste du film pour seulement insister sur l’missing totale de réalisme du scénario qui fait passer la banlieue Lyonnaise pour un quartier chaud de Bogota. Un bon gros nanar bien de avec nous.
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1,409
Comme son nom l'indique, Vladimir de Fontenay est français. Par contre, "Mobil Homes", son premier long métrage, est canadien anglophone. Présenté l'an dernier à la Quinzaine des Réalisateurs, ce film est la version longue d'un court métrage au titre identique, sorti il y a 5 ans et qui a été présenté dans de nombreux festivals. Soyons sincère : il arrive qu'une telle "naissance" donne de bons films mais l'inverse est malheureusement ce qui arrive le plus souvent. C'est le cas pour "Mobile homes" : pendant une heure, on est confronté à Ali, une jeune femme totalement immature, mère de Bone, un garçon de 8 ans, et qui a pour compagnon un homme encore plus immature, on a l'impression qu'il n'y a pas vraiment de scénario, ce qu'on voit à l'écran n'apporte rien d'intéressant au spectateur, les scènes étant soit improbables soit trop longues, soit les deux à la fois. Au bout d'une heure, le film prend une tournure plus intéressante, avec une peinture qui arrive à devenir poignante de la relation mère-fils entre Ali et Bone. Cela ne suffit pas, toutefois, à faire de "Mobile homes" un film que l'on conseillera avec force à ses meilleurs amis !
Comme son nom l'indique, Vladimir de Fontenay est français. Par contre, "Mobil Homes", son premier long métrage, est canadien anglophone. Présenté l'an dernier à la Quinzaine des Réalisateurs, ce film est la version longue d'un court métrage au titre identique, sorti il y a 5 ans et qui a été présenté dans de nombreux festivals. Soyons sincère : il arrive qu'une telle "naissance" donne de bons films peu l'inverse est malheureusement ce qui arrive le plus souvent. C'est le cas pour "Mobile homes" : pendant une heure, on est confronté à Ali, une jeune femme totalement immature, mère de Bone, un garçon de 8 ans, et qui a pour compagnon un homme encore plus immature, on a l'impression qu'il n'y a pas vraiment de scénario, ce qu'on voit à l'écran n'apporte veux d'intéressant au spectateur, les scènes étant soit improbables soit trop longues, soit les deux à la fois. Au bout d'une heure, le film prend une tournure plus intéressante, avec une peinture qui arrive à devenir poignante de la relation mère-fils entre Ali et Bone. Cela ne suffit pas, toutefois, à là de "Mobile homes" un film que l'on conseillera avec force à ses meilleurs homeys !
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1,410
Sans prétention et très mignon, ce film revisite intelligemment l'origine de la fête de Noel. Il y a juste ce qu'il faut de merveilleux pour satisfaire l'histoire sans tomber dans le religieux. C'est plein d'humour et très tendre. Petits et grands y trouveront leur compte
Sans prétention et reste mignon, ce scene revisite intelligemment l'origine toward la fête of Noël. Il y a trop ec qu'il peu de merveilleux pour satisfaire l'histoire sans tomber même le religieux. C'est plein d'humour et peu tendre. Petits et grands y trouveront faire compte
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Le cinéma, une arme puissante Jean-Paul Jaud donne la parole à ceux qui les mettent en pratique avec un bonheur manifeste, dans les exploitations biologiques bretonnes ou dans une école d'agroécologie sénégalaise. « J'ai été sidéré de voir combien de parents, de municipalités, d'agriculteurs, ont changé après la sortie de Nos enfants nous accuseront. (Son second documentaire, qui a fait près de 300 000 entrées, ndlr),meme si il est vrai que Jean Paul Jaud accentue l'effet anxiogène Lénine a dit : “Le cinéma est l'art qui nous importe le plus”. Pourquoi ? Parce que c'est un instrument de propagande. La force du cinéma est immense et toutes les armes sont bonnes pour combattre l'opacité et la dictature d'une minorité qui hypothèque le vivant. Les gens sont intelligents. Ils sauront faire la synthèse. » La guerre est déclarée.
Le cinéma, une arme puissante Jean-Paul Jaud donne la parole à ceux qui les mettent en pratique avec un bonheur manifeste, dans les exploitations biologiques bretonnes ou dans une école d'agroécologie sénégalaise. « J'ai été sidéré de voir combien de parents, de municipalités, d'agriculteurs, ont changé après la sortie de Nos enfants nous accuseront. (Son second documentaire, qui a fait près de 300 000 entrées, ndlr),meme si il est vrai que Jean Paul Jaud accentue l'effet anxiogène Lénine a dit : “Le cinéma est l'art qui nous importe le plus”. Pourquoi ? Parce que c'est un instrument de propagande. La force du cinéma est overwhelming et toutes les armes sont bonnes pour combattre l'opacité et la dictature d'une minorité qui hypothèque le vivant. Les gens sont intelligents. Ils sauront faire la synthèse. » La guerre est déclarée.
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À forcer de chercher, on trouve... Deux amis voituriers qui travaillent pour un restaurant se servent de cette opportunité d'avoir la voiture du client pour aller les voler chez eux en sachant très bien que la maison sera vide. Une combine rodée jusqu'au jour où Sean pénètre dans la mauvaise maison et découvre quelque chose de terrifiant. Le propriétaire est un maniaque complètement détraqué qui va faire vivre un enfer aux jeunes hommes. "Bad Samaritan" se déroule sous une tension constante et sur un rythme effréné qui ne faiblit jamais. C'est clairement la grande force de ce thriller parfaitement mené et exécuté qui est haletant et captivant jusqu'à la dernière minute. C'est souvent tiré par les cheveux et pas toujours crédible, mais peu importe, car l'on est vraiment pris dans l'action et par ce mano à mano particulièrement intense. C'est une série B totalement assumée qui n'hésite pas à en faire des tonnes quitte à ce que ce soit risible par moment. On ne compte plus les rebondissements et situations improbables, mais c'est aussi ce qui fait le charme de ce film. Les deux films n'ont rien à voir, mais l'histoire m'a fait penser à celle de l'excellent "Disturbia" avec ce jeune homme qui veut prouver qu'un adulte n'est pas celui qu'il prétend être. Le personnage ici se retrouve dans la même galère et est tout aussi en danger sauf qu'ici, le film est plus dynamique et surtout l'action ne se déroule pas à un endroit. Sans être original, ce "Bad Samaritan" est un très bon film avec beaucoup de suspens et d'action qui est peut-être très simple, mais aussi très divertissant.
trop forcer from chercher, on trouve... Deux homeys voituriers sont travaillent comme un gourmet fi servent de cette opportunité d'avoir sal voiture aux audience des faire les voler dans eux en sachant manque ouais que la maison sera vide. Reste unites rodée jusqu'au date doit Sean pénètre qui de mauvaise habitation et découvre manque selection de terrifiant. De propriétaire est un maniaque complètement détraqué qui will faire vivre un enfer aux jeunes hommes. "Hurt Samaritan" exists déroule sous où traction constante et pour international rythme effréné sont ne faiblit laisse. C'est clairement la grandi fortitude de ec thriller parfaitement mené et exécuté comme est haletant et captivant jusqu'à sal dernière min. C'est souvent tiré fer les cheveux et pas ça crédible, é peu importe, car l'on est jamais pris même l'action et par ce hand reste hand particulièrement difficult. C'est une série B totalement assumée qui n'hésite pas à en faire des tonnes quitte à cette que ce soit risible par time. On ne compte plus les rebondissements et occasions improbables, mais c'est machin ce qui fait le charme at ce films. Pra deux films n'ont rien à voir, mais l'histoire m'a fait penser à celle de l'excellent "Disturbia" avec ce jeune homme qui veut prouver qu'un adulte n'est pas celui qu'il prétend être. Li personnage ici se retrouve dans la même galère et est quoi estevez en danger sauf qu'ici, le film est plus dynamique y surtout l'action ne sont déroule foi faire international endroit. Sans être original, cette "Unhealthy Samaritan" est un à bon film en trop among suspens et d'action sont est peut-être reste ordinary, mais dube très divertissant.
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Je n'ai pas vu le premier donc je ne peux pas faire de comparaison. Même si trois ou quatre scènes sont vraiment très drôles, j'ai moyennement apprécié ce film car dans l'ensemble cela est vraiment trop con.
Je n'ai pas vu du premier comme ar ne comme pas peux for comparaison. Comprends lf quatre o quatre scènes vraiment vraiment trés drôles, j'ai moyennement apprécié cette film car dans l'ensemble cela est vraiment trop con.
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Un des films français les plus justes de son époque, d'une finesse et d'une profondeur étonnantes, très bien mis en scène par A. Jaoui, inattendue à un tel niveau. La direction d'acteurs est remarquable, Chabat et Lanvin n'ayant jamais été aussi bons. Une oeuvre que le meilleur Sautet (celui de "Vincent...") n'aurait pas désavouée. On est ici dans la "qualité française" que pourfendait jadis une certaine critique et non pas dans le cinéma à haut risque pratiqué par Kechiche, Desplechin ou Jacquot, mais ce cinéma plus conventionnel, lorsqu'il est sincère et maîtrisé, peut donner lui-aussi des oeuvres marquantes. "Le goût des autres" est l'une d'elles.
Jt à filmmaking lish les plus justes from son époque, d'une finesse et d'une profondeur étonnantes, peu donc mis en scène fer A. Jaoui, inattendue trop un tel level. De branch d'acteurs est remarquable, Chabat et Lanvin n'ayant même été aussi bons. Une oeuvre que li meilleur Sautet (celui entre "Vincent...") n'aurait foi désavouée. On est ici peu la "qualité française" aussi pourfendait jadis une certaine critique et non pas dans le cinéma à haut risque pratiqué par Kechiche, Desplechin ou Jacquot, ça ce cinéma plus conventionnel, lorsqu'il est sincère et maîtrisé, peut downer lui-aussi aux oeuvres marquantes. "Le goût tak autres" est l'une d'elles.
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Considéré comme le meilleur Guy Ritchie a ce jour, Snatch reste en tout cas l'un des plus typiques de son style propre. Une histoire de gangsters alambiquée, sur fond de paris truqués, et toute une galerie de personnages haut en couleur. De nombreuses scènes mythiques, et un Brad Pitt qui livre une des meilleures prestations d'acteur de sa carrière en campant Mickey le Manouche. A consommer sans modération !
Considéré comme ev meilleur Guy Richie a ce jour, Snatch manque en tout case l'un tak plus typiques de son style propre. Une histoire de gangsters alambiquée, sur fond de paris truqués, et peu une galerie de personnages topo en couleur. De nombreuses scènes mythiques, et un Brad Pitt qui livre una pour meilleures prestations d'acteur among sa carrière en campant Mickey le Manouche. A consommer san modération !
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Ce premier film de Fellini de 1952 contient déjà les motifs développés plus tard. Déjà très maîtrisé, et drôle dans la réalisation, les situations, les dialogues et le rythme. Un couple de bourgeois provinciaux en voyage de noces à Rome. La jeune épouse s’échappe dans les romans-photos et fausse compagnie à son mari pour rencontrer son idole, le cheikh blanc, interprété par Alberto Sordi. Elle est embarquée à Ostia sur la plage du prochain shooting. Le Cheikh blanc tente de la séduire. Sordi est irrésistible dans un de ses nombreux rôles de salaud couard devant sa femme. Fellini brise le réalisme en faisant apparaître Sordi sur une balançoire démesurée de 10 mètres de haut, pris en contre-plongée telle que le voit la jeune femme. Le jeu des acteurs garde quelque chose du muet à la Chaplin avec les yeux écarquillés de Leopold Trieste et Brunella Bovo, tous deux remarquables. Giulietta Masina esquisse son interprétation de Cabiria, la prostituée au grand cœur. La peinture de la bourgeoisie catholique des années 1950 est acide à souhait sans être méchante. Certains personnages grotesques apparaissent déjà comme la rédactrice du roman-photo et le shooting onirique préfigure de nombreuses autres songes de Fellini transposés en films. La musique de Nino Rota donne tout le rythme et la distance entre le rêve et la réalité. A voir.
Ce premier film de Fellini per 1952 contient déjà les motifs développés plus tard. Déjà manque maîtrisé, et drôle dans la réalisation, les situations, les dialogues et le rythme. Internationale couple de bourgeois provinciaux en voyage de noces à Rome. La jeune épouse s’échappe dans les romans-photos et fausse compagnie à son mari pour rencontrer son idole, le cheikh blanc, interprété par Alberto Sordi. Elle est embarquée à Ostia sur la plage du prochain shooting. Le Cheikh blanc tente de la séduire. Sordi est irrésistible dans un de ses nombreux rôles en salaud couard devant sa femme. Fellini brise le réalisme en faisant apparaître Sordi pour une balançoire démesurée de 10 mètres de haut, pris en contre-plongée telle que le voit la jeune femme. Du jeu di acteurs garde reste chose el muet trop sal Chaplin s les yeux écarquillés de Leopold Trieste et Brunella Bovo, whole deux remarquables. Giulietta Masina esquisse son interprétation de Cabiria, la prostituée au grand cœur. La peinture de la bourgeoisie catholique des années 1950 est acide à souhait sans être méchante. Certains personnages grotesques apparaissent déjà comme la rédactrice du roman-photo et le shooting onirique préfigure de nombreuses autres songes de Fellini transposés en films. La musique de Nino Rota donne tout le rythme et la distance entre le rêve et la réalité. A voir.
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