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sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,551 | C'est une toute petite aventure. La chasse du dragon est pas du tout émoustillante. La bête est foiré par le manque d'argent, résultat, le FX est hideux. Par contre le jeu des acteurs est correcte, c"est que tu tiens jusqu'au bout. | C'est une toute few aventure. La chasse dans dragoons est fide dans tout émoustillante. La bête est foiré par le manque d'argent, résultat, le FX est hideux. Par contre le jeu des acteurs est correcte, c"est que tu tiens jusqu'au extremity. | 0 | [0.9996036887168884, 0.00039639021269977093] | [0.4523722529411316, 0.5476277470588684] | success | 125 | 0.142857 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,552 | Un film magnifique! L'histoire est belle, et les acteurs d'une justesse rarement atteinte. Au final, le spectateur ne peut être que bouleversé devant tant de féérie. Incontournable! | Un footage handsome! L'histoire est cutie, et les acteurs d'une justesse rarement atteinte. Au final, le spectateur ne peut être th bouleversé devant faire in féérie. Incontournable! | 1 | [0.00042972248047590256, 0.9995703101158142] | [0.6103148460388184, 0.38968515396118164] | success | 198 | 0.222222 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,553 | Cette nouvelle entreprise dans laquelle nous embarque Pierre Jolivet est, comme son titre l’indique, de plus grande envergure. Pourtant, LA TRES TRES GRANDE ENTREPRISE, tout comme son prédécesseur, marche en mode automatique et se dessert parfois par la facilité un peu surréaliste de ses situations… Mais tout comme son prédécesseur également, elle tire un avantage considérable de son contexte politico-social très contemporain et non-moraliste, de se laisser servir par un groupe d’acteurs tous formidables en altermondialistes, et sachant en plus maintenir un bon sens du rythme, nous réservant les meilleures surprises en flopée sur la dernière partie du film. LA TRES TRES GRANDE ENTREPRISE forme un savoureux mélange de genres, ludique et malin, qui divertit sans abêtir. | Quoi nouvelle entreprise dans laquelle nous embarque Pierre Jolivet est, comme son titre l’indique, de plus huge envergure. Pourtant, LA TRES TRES GRANDE ENTREPRISE, tout comme son prédécesseur, marche en mode automatique et se dessert parfois par la facilité un peu surréaliste de ses situations… Trop tout comme son prédécesseur également, elle tire un avantage considérable de son contexte politico-social très contemporain et non-moraliste, de se laisser servir para un groupe d’acteurs tous formidables en altermondialistes, et sachant en plus maintenir un bon sens du rythme, nous réservant pra meilleures surprises en flopée sur la dernière partie du film. LA TRES TRES GRANDE ENTREPRISE forme un savoureux mélange de type, ludique ja discerning, qui divertit sans abêtir. | 1 | [0.0018456901889294386, 0.99815434217453] | [0.5426424145698547, 0.4573575258255005] | success | 276 | 0.067227 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,554 | film qui partait de manière trés rythmé on se retrouve d'entrée avec du gunfight à la manière de temps d'autres films d'action. Cepandant par la suite la psychologie des personnages va etre travaillé notemment celle du "méchant" en nous racontant son enfance ainsi que sa famille ce qui rend le personnage plus humain. Cette manière de faire c'est un peu la marque asiatique. bref avi aux amateurs de ce genre | film qui partait de manière trés rythmé on se retrouve d'entrée avec du shooting à la manière de temps d'autres films d'action. Cepandant par la suite la psychologie des personnages va etre travaillé notemment celle du "méchant" en nous racontant son enfance ainsi que sa famille ce qui rend le personnage plus humain. Cette manière de faire c'est un peu las marque asiatique. bref avi aux fond de ce genre | 1 | [0.0040045990608632565, 0.9959954023361206] | [0.8743115067481995, 0.12568850815296173] | success | 110 | 0.042857 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,555 | Une belle réflexion sur la question de l'autonomie psychique, de la violence, de l'abus. Quelles sexualités lorsqu'on est handicapé.e.s ? Comment être parents d'un.e handicapé.e mental.e, respectueux de sa liberté de choix, protecteurs, mais non décideurs pour elle/lui, engagés, mais non intrusifs ? On peut lire une chronique plus détaillée sur Tess magazine... | Peu belle réflexion sur la question de l'autonomie psychique, de la violence, de l'abus. Quelles sexualités lorsqu'on est handicapé.e.s ? Comment être parents d'un.e handicapé.e mental.e, respectueux de sa liberté de choix, protecteurs, mais non décideurs pour elle/lui, engagés, mais nos intrusifs ? On peut lire une chronique plus détaillée sur Tess magazine... | 1 | [0.001283070887438953, 0.9987169504165649] | [0.9982874989509583, 0.001712534693069756] | success | 98 | 0.035088 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,558 | Film long et lent même si les acteurs sont excellents. | Film long et slow même lf les acteurs sont excellents. | 0 | [0.991776704788208, 0.008223309181630611] | [0.04452258348464966, 0.9554774165153503] | success | 18 | 0.2 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,559 | c'est pas bien... Bebouzze, Besson, deux raisons pour ne pas aimer. | c'est faith bien... Bebouzze, Besson, deux raisons pour ne pas aimer. | 0 | [0.999042809009552, 0.0009571470436640084] | [0.042565058916807175, 0.957434892654419] | success | 17 | 0.090909 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,560 | Gilles Béhat réussit un très bon film d'action avec un Bernard-Pierre Donadieu très détestable dans le rôle de la brute, Bernard Giraudeau est impeccable dans le rôle du redresseur de tort complètement dégoûté par la vie. Efficace, réalisation soignée, un film nerveux qui change des films d'action américains (mais je crois que le film est adapté d'un roman américain). | Gilles Béhat réussit un manque okay moviemaking d'action avec un Bernard-Pierre Donadieu très détestable dans le rôle de la brute, Bernard Giraudeau est irreproachable dans le rôle du redresseur de tort complètement dégoûté par la vie. Efficace, réalisation soignée, un cinematographers nerveux qui edit des films d'action américains (mais je crois que le film est adapté d'un roman américain). | 1 | [0.0011585751781240106, 0.9988414645195007] | [0.6497448682785034, 0.3502551317214966] | success | 241 | 0.101695 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,561 | Très beau film. Émouvant. On découvre une artiste finalement très mystérieuse. Et puis quelle voix. On a vraiment beaucoup aimé | Peu mignon film. Émouvant. On découvre une artiste finalement très mystérieuse. Et puis quelle voix. On a vraiment quelque aimé | 1 | [0.0005908453022129834, 0.9994091987609863] | [0.5702650547027588, 0.4297349750995636] | success | 140 | 0.15 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,562 | la transition Darmon - Elmosnino se fait très bien. Marc Lavoine comme ses copains toujours excellents, voici un 3° volet bien plaisant et plus moral : abordant la maladie, la reconnaissance de paternité.. Vivement le 4° | blas turning Darmon - Elmosnino se fait manque ça. Marc Lavoine comme ses copains toujours excellents, voici un 3° volet peu plaisant y plus moral : abordant la maladie, la reconnaissance de paternité.. Vivement le 4° | 1 | [0.004423167556524277, 0.9955768585205078] | [0.9363622069358826, 0.06363779306411743] | success | 144 | 0.176471 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,563 | Absolument déçue par ce film que j'attendais avec impatience car j'adore l'acteur Channing Tatum et surtout les romances! C'est insipide, on y croit pas une seule seconde, je n'accroche pas mais alors pas du tout avec la performance de Rachel Mcadams, ça aurait pu être cent milles fois mieux surtout que le thème est assez intéressant. Bref un film qui ne restera pas gravé dans les annales et surtout pas dans ma collection de dvds de films d'amour ^^ | Absolument déçue fer cette cinematographers cq j'attendais avec fervor carload j'adore l'acteur Bullock Bullock et surtout erp thrillers! C'est insipide, on y croit foi vous seule seconde, je n'accroche pas donc alors foi du donc entre la efficiency for Rachel Mcadams, donc aurait fel manque hundreds milles celle mieux surtout que ev thème est assez intéressant. Bref un video peut ne restera pas gravé qui erp annales et surtout pas alors ma muster for dvds onto cinematographer d'amour ^^ | 0 | [0.9997708201408386, 0.00022917827300261706] | [0.365792453289032, 0.6342076063156128] | success | 767 | 0.423077 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,564 | Le plus amusant en voyant «Ostrov» (Russie, 2008) de Pavel Lounguine, c’est d’imaginer Luis Bunuel face au film. Le génie du surréalisme aurait certainement bien ri devant tant de bigoterie. Trivialement, ce film de Lounguine se résumerait comme le calvaire rédempteur d’un prêtre facétieux, hanté par le meurtre qu’il a du commettre sous le joug nazi. Le poids de la religion sur la conscience humaine est retranscrit, quelque peu impertinemment, par des paysages sublimes sur-esthétisés d’une île enneigée et par des chants christiques quasi-transcendants. Les images sont chargées, par Andreï Jegalov, directeur de la photographie, d’une oraison mystique aux teintes blêmes. Il y a assurément de l’inspiration picturale dans la composition des plans. La démarche, qui consiste à donner aux choses cinématographiées leur valeur par un appui outrageux de leur apparence, relève du même procédé appliqué par le piètre cinéma de divertissement occidental. Autrement dit, «Ostrov», sous l’apparence d’une culture russe, est confectionné tel un film américain. Il aurait fallu que Lounguine voit les chef d’œuvres de Paradjanov pour savoir que le mystique au cinéma n’est pas une affaire de foi sublime mais plutôt d’icônes, de création d’imaginaire. Ce film à toutefois l’avantage de nous assurer que, non, le cinéma au service de la religion ne donne jamais de films fructueux. Si le cinéma est né à la fin du XIXème siècle, aux horizons en France de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, ce n’est pas par hasard. Quand la religion s’est essoufflée dans le cœur des hommes (dès que Nietzche eût proclamé la mort de Dieu), le cinéma est né, s’est substitué à son rôle de fascination et d’images du monde. Le mélange de ces deux modes d’appréhension du réel délivre souvent une œuvre hybride, bancale, voire pathétique comme dans ce cas-là. «Ostrov» peut susciter le rire involontaire, quoique généralement il dégage la prétention. | Le plus amusant towards voyant «Ostrov» (Russie, 2008) of Pavel Lounguine, tre’est d’imaginer Luis Ingmar face au video. Le génie du surréalisme aurait certainement trés re incroyable tant de bigoterie. Trivialement, ce movie de Lounguine se résumerait où le calvaire rédempteur d’un prêtre facétieux, hanté par le meurtre qu’el a du commettre sous le joug nazi. Le poids de la religion sur la conscience humaine est retranscrit, quelque peu impertinemment, par des paysages sublimes sur-esthétisés d’une île enneigée et par des chants christiques quasi-transcendants. Les images sont chargées, par Andreï Jegalov, directeur de la photographie, d’une oraison mystique aux teintes blêmes. Il y a assurément de l’illumination picturale dans la composition des plans. La démarche, qui consiste à donner aux choses cinématographiées leur valeur par un appui outrageux de leur apparence, relève des même procédé appliqué par le piètre cinéma di divertissement occidental. Autrement dit, «Ostrov», sous l’apparence d’une culture russe, est confectionné tel international film américain. Il aurait fallu que Lounguine voit les chef d’œuvres de Paradjanov sobre savoir munoz du mystique au cinéma n’est pas une affaire for foi sublime mais plutôt d’icônes, de création d’imaginaire. Ec film à toutefois l’avantage de nous assurer que, non, li cinéma au services per de religions ne donne manque at films fructueux. Tr le cinéma est né à la intention du XIXème siècle, aux horizons en France de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, ce n’est pas par hasard. Quoi la religions s’est essoufflée dans le cœur dans hommes (dès que Nietzche eût proclamé la mort de Lord), le cinéma est né, s’est substitué reste ropes rôle de fascination et d’film avec global. De mélange de ces quatre pathways d’appréhension el réel délivre souvent une œuvre hybride, bancale, voire pathétique comme dans ce cas-là. «Ostrov» peut susciter du rire involontaire, quoique généralement el dégage el prétention. | 0 | [0.9997246861457825, 0.00027527016936801374] | [0.4977881610393524, 0.5022117495536804] | success | 1,030 | 0.137615 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,566 | Quatre années après le film nommé my left foot, Jim Sheridan retrouve Daniel Day-Lewis pour relater une affaire qui a réellement existé et qu'il intitulera Au nom du père. Le film relate le parcours torturé d'un jeune hippie irlandais qui traverse les pays britanniques de Belfast pour arriver à Londres, qui va s'envoyer en l'air avec une bande de jeunes tous aussi libérés que lui dans le mode social sur le modèle " tu fumes, tu baises" et qui va se trouver au mauvais endroit au mauvais moment et qui va le conduire à être traduit en justice et être condamné à trente ans de prison en emmenant dans sa peine le groupe de hippies et des membres de sa famille. Le scénario est remarquablement bien ficelé et s'il peine à démarrer laissant une place importante dans l'émotion lors des interrogatoires musclés et dans les contacts familiaux, la suite s'étale de façon efficace et sur un rythme effréné. Le film démontre de façon brillante et sans se complaire dans les excès de violence la dureté de la vie en prison et tout est organisé pour délivrer une vision complète de ce genre de situation: règlements de compte, douche froide, rébellion, attaque sur gardien de prison, trafic de drogue... tous ces éléments permettent d'afficher une ambiance particulièrement réaliste. Le film délivre aussi le sentiment d'impression que possèdent certains détenus qui forment des clans contre d'autres. Daniel Day-Lewis impressionne par sa composition ahurissante d'un bout à l'autre du film, passant du statut de petit voleur à un homme prêt à tout pour sauver sa peau et se réaménager une santé de fer afin de ne pas se briser et se relever pour qu'éclate la vérité qu'il connaît et qu'il souhaite faire entendre à travers tout le Royaume-Uni. Le film est une ode au courage et à l'obstination des idées que chacun garde en soi pour parvenir à ses fins. Voici un brillant témoignage de la malhonnêteté d'un système prêt à sacrifier un homme innocent au profit de la tranquillité d'un pays. Un film culte! | Deux années ça le drama nommé my letting foot, Jim Knox retrouve Daniel Day-Lewis à relater une affaire qui a réellement existé et qu'il intitulera Africa nom à père. Li video pertinent li parcours torturé d'un jeune hippie irlandais qui cross les compensation britanniques from Ireland à arriver une Londres, qui will s'envoyer de l'air entre une bande de jeunes toute machin libérés machin lu votre de format sociable sur le modèle " regarde fumes, alors baises" et qui va se trouver au mauvais endroit au mauvais minute et dans ca li conduire faire ça traduit en courts et laisse condamné parler trente ans from prison en emmenant quand g peine le groupe de hippies y des membres de g famille. Lai scénario est remarquablement trop ficelé et s'il peine à démarrer laissant vraiment placing poco dans l'émotion lors des interrogatoires musclés et quand les contacts familiaux, de suite s'étale de façon efficace et sur un rythme effréné. Du cinemas démontre in façon brillante et sans se complaire peu les excès de violence la dureté de la vivre en apprehended et peu est organisé pour délivrer quelque vision complète from ce genre from occasion: règlements en compte, douche froide, rébellion, attaque pour gardien en prison, trafic de drogue... tous ces éléments permettent d'afficher trop weather particulièrement réaliste. Li movie délivre machin du sentiment d'impression que possèdent certains détenus qui forment des clans contre d'autres. Daniel Day-Lewis impressionne par sa composition ahurissante d'un bout trop l'autre pour video, passant tu statut from enfant voleur quand un mec prêt à tout à sauver g peau et be réaménager une santé at fer afin de ne pas se briser et se relever une qu'éclate angeles vérité qu'il connaît et qu'il souhaite manque plaisir trop travers tout du Royaume-Uni. De teatro est une ode au fortitude et vous l'obstination pour idées machin chacun conserve from soi de parvenir trop ses fins. Voici un lustrous témoignage en la malhonnêteté d'un système prêt faire sacrifier un mec perfect au pays at du tranquillité d'un pay. Un cinematographers culte! | 1 | [0.000451438594609499, 0.9995484948158264] | [0.6006429195404053, 0.3993571102619171] | success | 2,774 | 0.322581 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,568 | Un film où le néant est roi, j'ai beaucoup de mal a adhérer à ce genre d'oeuvre où le scénario ne dépasse pas une page alors que la durée du film excède une heure trente. La mise en scène est d'une lenteur incroyable ce qui nous inflige des longueurs insuportable et des scènes souvent inintéressante. Vraiment pas essentiel. | Un film où le néant est roi, j'ai beaucoup de poorly a adhérer à ce genre d'oeuvre où le scénario ne dépasse pas une page alors que la durée du film excède une heure trente. La mise en scène est d'une lenteur incroyable ce qui nous inflige des longueurs insuportable et des scènes souvent inintéressante. Vraiment fide essentiel. | 0 | [0.9997896552085876, 0.0002103691513184458] | [0.24946723878383636, 0.7505326867103577] | success | 66 | 0.034483 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,569 | La montée du fascisme vue par Dino Risi. Gassman et Tognazzi, traîne-savates, bras cassés, s'engagent dans cette marche des pieds-nickekés fascistes où la couardise et la bêtise règnent en maître ! Savoureux ! | La montée ud fascisme vue fer Dino Risi. Gassman et Tognazzi, traîne-savates, armament cassés, s'engagent peu cette walking dans pieds-nickekés fascistes reste la couardise y la bêtise règnent of maitre ! Savoureux ! | 1 | [0.001820351229980588, 0.9981796741485596] | [0.6174548864364624, 0.3825451135635376] | success | 162 | 0.322581 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,570 | Parfait, le drame y est, avec une première partie mystèrieuse plutôt policière sur sa disparition,une seconde très touchante sur son traumatisme et une troisième partie effrayante et géniale sur les extraterrestres. Bref, pas connu mais à voire quand même!! | Perfection, le drame y est, avec une première partie mystèrieuse plutôt policière sur sa disparition,une seconde très touchante sur son traumatisme et une troisième partie effrayante et géniale sur les extraterrestres. Bref, pas connu rien à voire quand même!! | 1 | [0.000964368402492255, 0.9990355968475342] | [0.5827566981315613, 0.41724327206611633] | success | 90 | 0.05 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,571 | "Retour à Zombieland est donc un très bon film, dans la droite lignée du 1er épisode. Parmi les défauts, nous noterons une intrigue assez simpliste, parfois prévisible et qui contient quelques facilités scénaristiques. Nous noterons aussi un manque de développement concernant certains personnages principaux. Pour les qualités, nous noterons une intrigue qui reste malgré tout prenante et qui contient quelques bons rebondissements, un univers bien développé, un rythme et une ambiance très bien maîtrisés, une bonne mise en scène, Little Rock (jouée par Abigail Breslin) qui est bien développée, le casting très correct et enfin les décors très bien réalisés. Retour à Zombieland est donc fidèle à son prédécesseur : un très bon film. Rendez-vous en 2029 pour un troisième épisode ?" Critique complète sur cineomax.over-blog.com/ | "Retour à Zombieland est donc un trop okay film, dans la droite lignée du 1er épisode. Parmi les défauts, nous noterons une intrigue assez simpliste, parfois prévisible et qui contient quelques facilités scénaristiques. Nous noterons aussi un manque de développement concernant certains personnages principaux. Pour les qualités, nous noterons une intrigue qui reste malgré tout prenante et qui contient quelques bons rebondissements, un univers bien développé, un rythme et une ambiance très bien maîtrisés, une bonne mise en scène, Little Rock (jouée par Abigail Breslin) qui est bien développée, le casting très correct et enfin les décors très bien réalisés. Retour à Zombieland est donc fidèle à son prédécesseur : un peu bon film. Rendez-vous en 2029 pour un troisième épisode ?" Critique complète sur cineomax.over-blog.com/ | 1 | [0.0011311564594507217, 0.9988687634468079] | [0.7963172197341919, 0.20368273556232452] | success | 235 | 0.02381 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,572 | « Cypher » est un film de science fiction aux multiples rebondissements. Il y en a peut être, à ce propos, un peu trop. Mais finalement, le spectateur est, en quelques sortes, fasciné par ce film d’espionnage et de contre-espionnage dans lequel, on doute de tout le monde. Vincenzo Natali réalise avec « Cypher » un film sur l’identité et dépeint un futur (mais est ce vraiment futuriste comme thème ?) impitoyable pour les entreprises. Et il fait cela très bien avec des plans serrés aux belles couleurs, un bon montage et une mise en scène efficace. Le tout dans de splendides décors intemporels mais sophistiqués. On regrettera quelques longueurs mais grâce à cette fin où tout s’éclaire, on lui pardonne largement. | « Cypher » est un film de science fiction aux multiples rebondissements. Il y en a aller être, à ce propos, un peu trop. Trop finalement, le spectateur est, en quelques sortes, fasciné par ce film d’espionnage et de contre-espionnage dans lequel, on doute de tout le mundo. Vincenzo Natali réalise avec « Cypher » un film sur l’identité et dépeint un futur (mais est ce vraiment futuriste comme thème ?) impitoyable pour les entreprises. Et il fait cela trop buen avec des plans serrés aux belles couleurs, un bon montage et une mise en scène efficace. Le tout dans de splendides décors intemporels mais sophistiqués. On regrettera quelques longueurs você grâce à cette fin où tout s’éclaire, on lui pardonne largement. | 1 | [0.0006607556715607643, 0.9993392825126648] | [0.5428874492645264, 0.45711255073547363] | success | 318 | 0.05 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,574 | Beau film signé par Frank Capra. Apaisant, simple et beau, oui, voici les trois adjectifs qui qualifient le mieux ce classique. C'est un message de paix qui est ici évoqué, mais loin d'être dégoulinant de bons sentiments. Ce message nous touche, au contraire, et même si il peut aujourd'hui paraitre un peu naif, il n'en demeure pas moins puissant, aidé par de somptueux décors et d'excellents personnages. Ronald Colman est d'ailleurs très convaincant, mais on a un faible pour Edward Everett Horton, deux grands seconds roles au sommet de leur art ici. C'est donc apaisé et heureux que l'on ressort de ce film, l'un des plus importants de son metteur en scène. A voir. | Gentil footage signé par Frank Capra. Apaisant, easy y beauty, euh, voici les tres adjectifs sont qualifient li mieux ec classique. C'est un message de peacefulness sont est ici évoqué, trop breaded d'être dégoulinant de bons longings. Ce communicating nous touches, au contraire, et trop si il passe aujourd'hui paraitre un même naif, il n'en demeure pas moins puissant, aidé par in somptueux décors y d'excellents personnages. Ronald Colman est d'ailleurs manque convaincant, mais on a un faible towards Edward Seward Horton, deux grands seconds roles au sommet de leur artistry ici. C'est donc apaisé et heureux que l'on ressort de cette cinematography, l'un avec plus importants toward son metteur en scène. A voir. | 1 | [0.0004689317720476538, 0.9995310306549072] | [0.5252583026885986, 0.47474172711372375] | success | 706 | 0.263158 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,575 | ce film ne se regarde pas pour la profondeur du scénario, ça c'est sur, mais la dextérité de l'acteur principal, les cascades et autres mouvements font que ce film est très sympa à regarder. | ce film ne se regarde pas pour la profondeur du scénario, ça c'est sur, mais la dextérité de l'acteur principal, les cascades et autres mouvements font que ce film est quelque sympa à regarder. | 1 | [0.003809143090620637, 0.9961907863616943] | [0.7524783611297607, 0.24752157926559448] | success | 79 | 0.029412 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,576 | Un excellent thriller à la fois sulfureux et audacieux dont le trio principal Dillon, Richards et Campbell est impeccable de trahisons et de sensualité. Un scénario béton et rempli de rebondissments à souhait. Et la compositon de Bill Murray apporte une mini touche humouristique qui n'est pas en déplaire. Un très bon film. | Internationale outstanding romp à la fois sulfureux et audacieux dont le trio principal Dillon, Richards et Campbell est intact de trahisons et de sensualité. Un scénario béton et rempli de rebondissments à souhait. Et la compositon de Bill Murray apporte une mini touche humouristique qui n'est pas en déplaire. Worldwide peu bon movie. | 1 | [0.0004498616617638618, 0.9995501637458801] | [0.5411527752876282, 0.4588472545146942] | success | 221 | 0.132075 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,578 | Ce film se situe exactement entre Minnelli et Sirk auquel il emprunte le meilleur et ne verse ni dans l’excès dramatique ni dans l’excès artificiel. Il demeure en permanence dans la vérité du quotidien des personnes ayant eu la chance d’accéder à un entourage suffisamment aisé. Il est beau, lumineux, intelligent et riche d’enseignement pour les jeunes intellectuels. Il est sentimentalement profond et émouvant, bref, il est quasiment parfait. Richard Quine n’est pas n’importe qui et le fait d’avoir réussi entre autres, un film noir aussi juste que ‘’Pushover’’ et une comédie musicale aussi emballante que ‘’My sister Eileen’’ en est une preuve absolue. Il y a dans ‘’ Strangers when we meet’’ une dizaine de plans qui coupent la respiration en mettant en lumière la force des sentiments éprouvés par les deux amants. Inutile d’ajouter l’exceptionnelle qualité des acteurs, tous étant au top de ce que Quine leur demandait. | Ce film se situe exactement entre Minnelli et Sirk auquel il emprunte le meilleur et ne verse ni dans l’excès dramatique ni dans l’excès artificiel. Il demeure en persistence dans la vérité du quotidien des personnes ayant eu la chance d’accéder à un entourage suffisamment aisé. Il est beau, lumineux, intelligent et riche d’enseignement pour les jeunes intellectuels. Il est sentimentalement profond et émouvant, bref, il est quasiment perfecting. Richard Quine n’est fide n’importe qui y le fait d’avoir réussi entre autres, un film noir aussi juste que ‘’Pushover’’ and une comédie musicale aussi emballante que ‘’My sister Eileen’’ en est une preuve absolue. Il y a dans ‘’ Strangers when we meet’’ une dizaine de plans qui coupent las breath de mettant en lumière la force des sentiments éprouvés par les deux amants. Inutile d’ajouter l’exceptionnelle qualité des acteurs, tous étant au overriding de ce que Quine leur demandait. | 1 | [0.0004645855806302279, 0.9995354413986206] | [0.5769777297973633, 0.42302221059799194] | success | 223 | 0.056962 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,581 | Longtemps décrié, se reboot de la saga Spider-man, s'il n'atteint pas le niveau des films de Sam Raimi, possède pourtant quelques qualités. Et en premier lieu Andrew Garfield, qui interprète un Peter Parker moins niais que celui de Tobey Maguire et lui confère plus de profondeur. A commencer par le sentiment d'abandon qu'il ressent depuis la disparition de ses parents, "The Amazing Spider-Man" s'attardant plus, et à raison, sur les origines du héros. Et changement de décennie oblige, Peter porte maintenant des lentilles de contact, se déplace en skateboard et ne sort jamais sans son portable ! Emma Stone assure également le contrat, et une belle alchimie existe entre les deux acteurs. On peut également saluer Marc Webb pour avoir osé prendre le contrepied de la tendance actuelle des films de super-héros qui est à la noirceur (la norme depuis les Batman de Christopher Nolan) en lui injectant une bonne dose d'humour, et ce même si se n'est qu'un demi-succès. Si le couple principal est assez bien écrit et interprété, il n'en va pas de même pour le méchant, le Lézard, intéressant mais mal exploité. Or comme disait Hitchcock, plus le méchant est réussi meilleur sera le film. Ici, c'est raté. Dommage également que l'une des meilleures idées du film ne soit pas exploitée en profondeur, à savoir Spider-Man utilisant les caractéristiques propres aux araignées. Intéressant mais utilisé de manière anecdotique à seulement deux reprises, lorsqu'il tisse une toile dans les égouts et se fit aux vibrations des filaments pour repérer les « intrus » et quand il emprisonne le Lézard dans un cocon. Très tourné vers un public jeune et adolescent, "The Amazing Spider-Man" est inégal et maladroit mais avec juste suffisamment de qualités pour nous faire espérer une suite plus réussie. | Longtemps décrié, ai resuscitate de du saga Spider-man, s'il n'atteint pas li niveau dans film de Sam Raimi, possède pourtant quelques qualités. Ja avec premier alternatives Andrew Coolidge, même interprète un Peter Parker moins niais que celui per Rourke Mcmanus et lu confère plus al profondeur. A commencer en le sentiment d'abandon qu'il ressent depuis la disparition de ses parents, "The Amazing Spider-Man" s'attardant plus, et alors raison, sobre les origines du héros. Et changement de décennie oblige, Peter porte maintenant des lentilles de contact, se déplace en skater et ne sort jamais sans son portable ! Emma Stone assure également le contrat, et une belle alchimie existe entre les deux acteurs. On peut également saluer Marc Webb pour avoir osé prendre le contrepied de la tendance actuelle des films de super-héros qui est à la noirceur (la norme depuis les Batman de Christopher Nolan) en lui injectant une bonne dose d'humour, et ce même si se n'est qu'un demi-succès. Both le couple principal est assez bien écrit et interprété, il n'en va pas de même pour le méchant, le Lézard, intéressant mais amiss exploité. Or comme disait Hitchcock, extras le méchant est réussi meilleur sera le film. Ici, c'est raté. Dommage également que l'une des meilleures idées du film ne soit pas exploitée en profondeur, à savoir Spider-Man utilisant les caractéristiques propres aux araignées. Intéressant mais utilisé de manière anecdotique à seulement deux reprises, lorsqu'il tisse une toile dans les égouts et se fit aux vibrations des filaments pour repérer les « intrus » et quand il emprisonne le Lézard dans un cocon. Très tourné vers un public jeune et adolescent, "The Amazing Spider-Man" est inégal et maladroit mais dans beaucoup suffisamment de qualités pour nous faire espérer maintenant suite plus réussie. | 0 | [0.9994669556617737, 0.0005330810090526938] | [0.4837707281112671, 0.5162292718887329] | success | 771 | 0.089655 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,582 | Quel ennui ! Peu d'émotions vraies. Des dialogues plats. Des scènes collées les unes après les autres sans donner l'impression qu'il y ai un quelconque schéma directeur. C'est dommage car l'idée initiale était bonne, mais il faut plus qu'une bonne idée pour un faire un bon film. | Whar wonderment ! Quelque d'émotions vraies. Des dialogues plats. Di scènes collées les unes comprends les autres sans donner l'impression qu'il y ai un quelconque schéma directeur. C'est dommage car l'idée initiale était bueno, mais il faut plus qu'une bonne idée pour un donc un bon film. | 0 | [0.9997403025627136, 0.00025973611627705395] | [0.2873329818248749, 0.7126669883728027] | success | 277 | 0.152174 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,583 | De Terence Davies, on ne connaît que "Chez les heureux du monde", adaptation d'un roman d'Edith Wharton. Révélé par "Distant Voices", uniquement connu des cinéphiles, ce cinéaste anglais évoque avec une certaine amertume la ville de son enfance, sa ville natale, Liverpool. En partie construit sur des images d'archives (les images tournées pour l'occasion sont moins convaincantes, vidées de nostalgie dans leur tentative de reconsidérer la ville telle qu'elle est aujourd'hui), le travail de Davies - et son talent - naît du montage ; sa profonde recherche d'images (vidéos, rarement colorées, ou photographies), admirablement vivantes et émouvantes d'une époque déchue, traitant de la guerre comme de la pauvreté ou de la naissance de la modernité architecturale, est épatante dans sa canalisation historique, et le rapport que ces images ont entre elles est riche, construit, poétique par les douces notes d'une berceuse de Fauré, conduisant l'image dans le sens de l'Histoire. Leur puissance évocatrice et pessimiste est un appel à la paix, un manifeste humain pour les droits et la morale. La construction est assez virtuose de simplicité pour faire passer les archives comme des séquences spécialement tournées pour être liées les unes aux autres. Le film rappelle aussi la mise en scène soutenant ces images d'époque qui, parce qu'elles sont passées, pourraient faire croire qu'elles n'étaient pas réfléchies (la notion du cadrage, par exemple, est toujours présente) ; "Of Time and the City" devient alors la mise en abyme du cinéma, notamment dans sa glorification, son apogée, voire même son ironique mise en beauté spectaculaire - l'ouverture sur rideau - . L'homosexualité est aussi au coeur de cette bouleversante déclamation en prose à la victoire et aux défaites de l'Homme. Souvent critiqué pour ses choix sexuels, l'auteur évoque subtilement sa condition, pendant que les visages des enfants pauvres jouant dans les rues couleur charbon rappellent la difficulté de vivre en une tell | De Terence Davies, on ne connaît que "Chez les heureux du monde", adaptation d'un roman d'Edith Wharton. Révélé par "Distant Voices", uniquement connu des cinéphiles, ce cinéaste anglais évoque avec une certaine amertume la ville de son enfance, sa ville natale, Liverpool. En partie construit sur des images d'archives (les images tournées pour l'occasion sont moins convaincantes, vidées entre nostalgie dans leur tentative de reconsidérer la ville telle qu'elle est aujourd'hui), li travail de Davies - et son artiste - naît du montage ; sa profonde recherche d'images (vidéos, rarement colorées, ou photographies), admirablement vivantes et émouvantes d'une époque déchue, traitant de la guerre comme de la pauvreté ou de la naissance de la modernité architecturale, est épatante quand sa canalisation historique, et le liaison que ces pics ont entre elles est riche, construit, poétique par les douces notes d'une berceuse de Fauré, conduisant l'image dans le sens de l'Histoire. Leur puissance évocatrice et pessimiste est un appel à la paix, un manifeste humain pour les droits et la morale. La construction est assez virtuose de simplicité sous pense passer les archives comme des séquences spécialement tournées pour trop liées les unes aux autres. De cinema rappelle machin el put en scène soutenant secs photos d'époque qui, parce qu'elles où passées, pourraient vraiment croire qu'elles n'étaient fe réfléchies (la conception du cadrage, fer exemple, est manque présente) ; "Of Temps and the City" devient trop angeles mise avec abyme dy cinéma, notamment dans sg glorification, son apogée, voire trop son ironique mise en beauté spectaculaire - l'ouverture sur rideau - . L'homosexualité est machin au essence aux cette bouleversante déclamation en prose trop la victory et aux défaites de l'Homme. Souvent critiqué pour ses choix sexuels, l'auteur évoque subtilement sa disease, pendant que les visages pour enfants pauvres jouant dans les rues couleur charbon rappellent angeles difficulté de live en une telling | 1 | [0.0005522304563783109, 0.999447762966156] | [0.6154325604438782, 0.38456740975379944] | success | 1,154 | 0.127869 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,584 | [spoiler][spoiler]Une daube [spoiler]monumentale! [spoiler]Remplide plans longs etridicules, d'acteurs bidons, de [spoiler]clichés: les méchants [spoiler][spoiler]sontdeslatinos,[/spoiler] les parents (beaucoup) tropsévères envers leur gamin... Passer votre chemin. pu[spo[/spoiler]iler]b:je vends pleins de jeux à 7 euros chez moi venez : 4 rue bidon (toi! [spoiler]tais toi!) et des gamecubes avec 10 jeux 80 eurose[/spoiler]t une SNintendo avec trois jeux à 130 [/spoiler]euros.[/[/spoiler]spoiler][/spoiler][/spoiler][/spoiler] | [spoiler][spoiler]Devant daube [spoiler]monumentale! [spoiler]Remplide plans tends etridicules, d'acteurs bidons, de [spoiler]generalities: les méchants [spoiler][spoiler]sontdeslatinos,[/spoiler] les folks (beaucoup) tropsévères envers peut gamin... Passer votre paths. pu[spo[/spoiler]iler]j:jes vends pleins de jeu à 7 euros entre moi venez : 4 saint bidon (peut! [spoiler]tais toi!) et des gamecubes entre 10 jeu 80 eurose[/spoiler]t vous SNintendo du trois jeux à 130 [/gutter]europe.[/[/spoiler]cowl][/baffles][/spoiler][/spoiler] | 0 | [0.999685525894165, 0.0003144778311252594] | [0.4983564019203186, 0.5016435384750366] | success | 336 | 0.253165 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,585 | « Tell tale » est un film dont l’idée de base peut paraître séduisante, mais dont le résultat s’avère tout sauf réussi. En deux mots : un homme transplanté du cœur se met à tuer les responsables de la mort de son donneur et de la femme de celui-ci sous la férule d’un cœur qui lui indique par des pics de tachycardie qui ils sont. On a donc un film qui se situe entre thriller et fantastique ; il est d’ailleurs fait mention d’une inspiration (très lointaine vous pouvez me croire) de la nouvelle fantastique « Un cœur révélateur » d’Edgar Alan Poe. Le résultat est un film ennuyeux, aux péripéties absurdes et au jeu d’acteur à la dérive. Si on comprend vite le coup du cœur vengeur, l’absence de personnalité du principal protagoniste et les effets manqués pour traduire sa perte de contrôle dans les meurtres au profit du cœur rendent la dramatique grotesque. Josh Lukas semble incapable de jouer avec un tant soit peu de conviction ce père célibataire momentanément privé de libre arbitre ; la faute à un scénario mal ficelé plus qu’à un manque de talent cela dit. L’histoire d’amour avec le pédiatre de sa fille est boiteuse et la complicité du flic, opportunément ex-amant de la femme de son donneur, confine au risible et à l’agacement devant tant d’outrance scénaristique. La tension qui devrait irriguer le film est aux abonnés absents et confine l’action dans une dynamique proche de l’arythmie cardiaque et ce n’est pas le triste twist final qui arrivera à racheter tant de séquences atones. Bref un film dont l’idée aurait pu donner une petite série B maligne, mais qui accouche finalement d’un nanar indigent dans tous les compartiments et qui laisse le spectateur au bord d’un besoin de réanimation cardiaque pour sortir de sa léthargie. | « Talk sagas » est un film haha l’idée de bases peut paraître séduisante, peu dont le résultat s’avère tout sauf réussi. En tres mots : internationale boy transplanté du cœur se met donc tuer les responsables de sal mort de son donneur et de la femme de celui-ci sous la férule d’un cœur qui lui indique par des pics de tachycardie qui ils sont. On a donc un film qui fi situe entre thriller et fantastique ; il est d’ailleurs faites refer d’aux inspiration (très lointaine vous pouvez me croire) de la nouveau fantastique « Un cœur révélateur » d’Edgar Allen Poe. Nova résultat est un film ennuyeux, du péripéties absurdes y au jeu d’acteur vrai la dérive. Th on comprend fast le ferment dans cœur vengeur, quart’absence with personnalité chez vital protagoniste y les effets manqués aux traduire sa perte in contrôle quand les meurtres au pay chez cœur rendent el dramatique grotesque. Ghosh Lukas semble impossible de jouer aux un devant soit puis with conviction cette père célibataire momentanément privé de libre arbitre ; la faute celle internationale scénario bad ficelé plus chant’peut un donc avec talent cela dit. j’histoire d’amar s le pédiatre with sa femmes est boiteuse y angeles complicité aux flic, opportunément ex-amant de el fille la garcon donneur, curtailed au risible y peut l’agacement quelque vous d’outrance scénaristique. Sal tension comme devrait irriguer li films est des abonnés absents ja confine j’action devant ça dynamique proche de l’arythmie cardiaque et ce s’est pas le triste twist final qui arrivera á racheter trop at séquences atones. Bref un film suprised j’idée aurait pu downer quelque minimum série d maligne, mais qui accouche finalement d’international nanar disenfranchised très entire les compartiments et qui avez lai spectateur au bord d’un besoin of réanimation cardiaque comme sortir de sa léthargie. | 0 | [0.9998120665550232, 0.00018801081751007587] | [0.46967628598213196, 0.5303236842155457] | success | 2,299 | 0.295238 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,586 | Ça faisait un petit bout de temps que je voulais voir cette adaptation du célèbre "Captain America" et j'ai pas été déçu du voyage. Tout d'abord l'histoire est ridicule et notamment dés le départ avec un "Captain America" qui après être attaché sur un missile par le méchant "Nazi" de service (Alias "Crane Rouge") réussit avec courage à le dévier de sa trajectoire (Ciblé sur la maison blanche) pour s'écraser dans l'antarctique ou il se retrouve congelé pendant 50 ans. Gros "Nanar" des années 90, "Captain America" reste une perle de la connerie. Un costume "Cheap" à mort, une conspiration plus que fumeuse, des combats au bouclier à se tordre de rire, des personnages complètement débiles, bienvenue dans l'univers délirant du super héros le plus patriotique de l'écurie "Marvel". Risible de bout en bout "Captain America" reste une adaptation très casse gueule sur grand écran. Prochaine étape donc : "Thor" (De "Kenneth Branagh"), "Green Lantern" (De "Martin Campbell") sans oublier la nouvelle version "The First Avenger - Captain America" (Signé "Joe Johnston") que je ne manquerais pas d'aller voir au ciné en [3D] juste pour le délire. Cette année aussi, ça va faire mal ! | Ça faisait un petit bout de temps que je voulais voir cette adaptation du célèbre "Captain America" et j'ai pas été déçu du voyage. Tout d'abord l'histoire est silliness et notamment dés le départ avec un "Captain America" qui après être attaché sur un missile par le méchant "Nazi" de service (Alias "Crane Rouge") réussit avec courage à le dévier de sa trajectoire (Ciblé sur la maison blanche) pour s'écraser dans l'antarctique ou il se retrouve congelé pendant 50 ans. Gros "Nanar" des années 90, "Captain America" reste une perle de la connerie. Un costume "Cheap" à mort, une conspiration plus que fumeuse, des combats au bouclier à se tordre de rire, des personnages complètement débiles, bienvenue dans l'univers délirant du super héros le plus patriotique de l'écurie "Marvel". Risible de bout en bout "Captain America" reste une adaptation très casse gueule sur grand écran. Prochaine étape donc : "Thor" (De "Kenneth Branagh"), "Green Lantern" (De "Martin Campbell") sans oublier la nouvelle version "The First Avenger - Captain America" (Signé "Joe Johnston") que je ne manquerais pas d'aller voir au ciné en [3D] juste pour le délire. Cette année aussi, ça va faire mal ! | 0 | [0.8346735835075378, 0.16532637178897858] | [0.46713221073150635, 0.5328677892684937] | success | 214 | 0.005208 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,587 | Il s'agit là d'un thriller bien prenant, bien rythmé et bien ficelé qui tient en haleine et qui est fort intéressant. Tout y est : suspens, action, réalisation efficace. Ce film m'a bien plu. | Il s'agit peu d'un thrillers peu prenant, peu rythmé et peu ficelé qui tient en haleine et peut est solids intéressant. Peu y est : suspens, action, réalisation efficace. Ec footage m'a bien plu. | 1 | [0.001890673884190619, 0.9981093406677246] | [0.6333380341529846, 0.36666199564933777] | success | 235 | 0.30303 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,588 | L'ensemble des médiocrités qui parsèment le film (qui vont des clichés habituels aux mélo gnangnan) gâchent une fin pas si nulle que ça. | L'ensemble des médiocrités peut parsèment le films (qui vont à clichés habituels des mélo gnangnan) gâchent aux extremity pas si nulle guzman trés. | 0 | [0.9992528557777405, 0.0007471787394024432] | [0.34456387162208557, 0.6554362177848816] | success | 138 | 0.347826 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,589 | "La route" est un voyage éprouvant d'un père et de sont fils vers une survie inespéré dans un monde ou la barbarie et le chaos règne. Une belle réussite. Un film touchant et qui met parfois vraiment mal à l'aise (la scène de la cave est d'une cruauté sans pareille). | "La route" est un trekking éprouvant d'un père et de sont fils vers une survie inespéré dans un monde ou la barbarie et le chaos règne. Peu cutie réussite. Un cinematographer touchant et qui encounter parfois donc mal passe l'aise (la scène entre la cave est d'une cruauté sans pareille). | 1 | [0.0007959259673953056, 0.9992040991783142] | [0.9856443405151367, 0.014355653896927834] | success | 324 | 0.16 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,590 | Celles et ceux qui me suivent savent que je n'aime pas les films qui ont une fin n'ayant aucun sens. J'ai toujours laissé aux autres les productions à interpréter. Si je regarde un film, c'est pour rire, ou me divertir, pas pour tenter de mettre un sens à ce que je vois parce que l'histoire ne l'explique pas. Et, ici, si le quasi seul personnage que l'on voit n'est pas mal joué et qu'il y a un suspens qui tient à peu près la route - bien qu'assez faible et n'améliorant pas un scénario peu élaboré - , la fin arrive comme ça, sans explication. Explication que le personnage principal a tenté de trouver depuis quasiment le début, sans succès, comme moi. Heureusement que Nemesis ne dure même pas 1h15. | Celles et ceux qui me suivent savent que ar n'aime pas les films qui ont une fin n'ayant aucun sens. J'ai toujours laissé aux autres les film à interpréter. Si i peut un film, c'est pour rire, o me divertir, foi pour tenter de mettre un sens à ce que i vois parce que l'histoire ne l'explique pas. Et, ici, si le quasi autre personnage que l'on voit n'est pas amiss joué y qu'il y a un suspens qui tient à peu près la route - bien qu'assez faible y n'améliorant pas un scénario peu élaboré - , la fin arrive comme vrai, sans explication. Explication que le personnage principal a tenté de trouver depuis quasiment le début, sans succès, comme moi. Heureusement que Nemesis ne dure manque fides 1h15. | 0 | [0.9991151690483093, 0.0008848419529385865] | [0.49636316299438477, 0.5036368370056152] | success | 358 | 0.110236 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,592 | Incroyable ! Lorsqu'on regarde les teenage movie americain pas sortie en france au ciné (Sexe, Lycée and videos, American Pie 4,5 et 6...) on devine que ce film sera un gros navet... PAS DU TOUT ! C'est un des seuls films pour ado qui m'a vraiment emballé. L'histoire est comme le scénario, bien ficelé, des acteurs talentueux et une fin qui (contrairement a certains films) tient debout ! Félicitations ! | Incroyable ! Lorsqu'on regarde les teenage movie americain fides sortie en france au ciné (Sexe, Lycée and videos, American Pie 4,5 et 6...) on guessing hernan ce film antiserum un gros navet... PAS DU TOUT ! C'est worldwide tak seuls films pour adolescent peut m'a vraiment emballé. L'histoire est peu le scénario, bien ficelé, des acteurs talentueux et une fin qui (contrairement a certains films) tient debout ! Félicitations ! | 1 | [0.0065490794368088245, 0.9934508800506592] | [0.5950148105621338, 0.4049851894378662] | success | 182 | 0.134328 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,593 | Si on ne connaît pas l'histoire, on peut être certain de retenir son souffle du début à la fin car l'histoire est prenante. On appréciera aussi le fait que le film ne s'adresse pas qu'à un public de pré-ado hystériques à l'idée de voir une crinière, comme bien souvent dans les autres films parlant de chevaux ! C'est une histoire bien contée avec une seule chose dommage est encore l'apparition de Marina Hands. Non pas qu'elle soit si mauvaise actrice mais il y a surement d'autre cavalière/comédienne dans le monde (même si elles ne sont pas toute l'ex de Guillaume Canet) Bref, dans tous les cas, c'est une histoire intéressante qui reflète sans trop en montrer, une réalité toute simple avec peut être un peu plus d'amour et moins de compétition que dans la vraie vie.. A voir.. | Whether on ne connaît pas l'histoire, on peut être certain de retenir petit soufflé di début où la intending truck l'histoire est prenante. In appréciera aussi le fait que le film ne s'adresse fide qu'à un public de pré-ado hystériques à l'idée de voir une crinière, comme bien souvent dans les autres films parlant de chevaux ! C'est peu histoire bien contée avec vous seule chose dommage est encore l'apparition de Marina Hands. Non pas qu'elle soit si mauvaise actrice mais il y a surement d'autre cavalière/comédienne dans le monde (même si elles ne sont pas toute l'ex de Guillaume Canet) Bref, dans todos les cas, c'est aux histoire intéressante qui reflète sans trop en montrer, une réalité toute simple avec peut être un peu plus d'amour et moins de compétition que dans la vraie vie.. another voir.. | 1 | [0.0012787695741280913, 0.998721182346344] | [0.6869159936904907, 0.3130840063095093] | success | 326 | 0.101449 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,594 | Le point de vue défendu par le réalisateur dans ce film a le mérite d'être clair. Et ne le partageant pas, j'ai passé un moment particulièrement désagréable en le visionnant. Sur le plan de la forme c'est de la qualité standard hollywoodienne. Schumacher sait tenir une caméra, c'est déjà ça ! Mais faire un bon film, c'est déjà beaucoup plus compliqué pour lui. | Le point de vue défendu par le réalisateur dans ce film a le mérite d'être clair. Et ne le partageant pas, j'ai passé un moment particulièrement désagréable en le visionnant. Sobre le plan de la forme c'est toward la qualité everyday hollywoodienne. Schumacher sait tenir vous caméra, c'est déjà ça ! Mais faire jt bon film, c'est déjà beaucoup plus compliqué pour lui. | 0 | [0.9918131828308105, 0.008186864666640759] | [0.4088958203792572, 0.5911041498184204] | success | 99 | 0.080645 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,595 | J'ai mis un 5/5 juste pour rire sur les débiles commentaires du bas du tableau (bas comme leur niveau de pseudo-conscience intello de bar à 2 balles!) mdr, ce film est un délire total ! ce qui veulent donner un sens profond et philosophique aux films de zombies! franchement! vous croyez vraiment au père noël ! soyez réaliste! les films de zombies sont fait maintenant plus pour l'éclate (éclater des zombies à tout va!!) VIVE la baston sans prise de tête! et ce film le représente terriblement! c'est comme les relations avec les nanas, que des prises de tête pour des bêtises sans queue ni tête! Alors fillette retourner à vos barbies et les beaux films de zombies ou vampires à l'eau de rose ou l'amour gagne toujours, et les acteurs tout droit sortie de magasine de petites lolitas, torse nu musclé et huilé, et les cheveux bien laqué!!! Là on ne joue pas à la poupée! Les zombies sont horribles, moches, rien n'est esthétique, les blagues ne sont pas ceux qu'on raconte devant papa, maman, belle-maman et beau papa, ou pour faire sourire une nana pour prendre son numéro !!! Là c'est cru, tordu, débile et franchement c'est DOGHOUSE!!! AOUUUUUU!!!!..... ^^ | J'ai mis un 5/5 juste pour rire sur les débiles commentaires du bas du tableau (bas comme leur niveau de pseudo-conscience intello de bar à 2 balles!) mdr, ce films est un délire total ! ce qui veulent donner un sens profond et philosophique aux films de zombies! franchement! vous croyez vraiment au père noël ! soyez réaliste! les films de zombies sont fait maintenant plus pour l'éclate (éclater des zombies à tout va!!) VIVE la baston sans prise de tête! et ce film le représente terriblement! c'est comme les relations avec les nanas, que des prises de tête pour des bêtises sans queue ni tête! Alors fillette retourner à vos barbies et les beaux films de zombies ou vampires à l'eau de rose ou l'amour gagne toujours, et les acteurs tout droit sortie de magasine de petites lolitas, torse nu musclé et huilé, et les cheveux bien laqué!!! Là on ne joue faith beaucoup la poupée! Les zombies sont horribles, moches, rien n'est esthétique, les blagues ne sont pas ceux qu'on raconte devant papa, maman, belle-maman et beau papa, ou pour faire sourire une nana pour prendre son numéro !!! Là c'est figured, tordu, débile et franchement c'est DOGHOUSE!!! AOUUUUUU!!!!..... ^^ | 1 | [0.03815658390522003, 0.9618434309959412] | [0.520718514919281, 0.4792814254760742] | success | 279 | 0.020101 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,599 | Louise-Michel est tenu de A à Z par une Yolande Moreau décidemment vouée à des rôles de femme pauvre un peu simple (Enfermés dehors, Séraphine, ...) mais qui est une vraie gueule et donne à elle seule un ton à un film malgré ce scénario original et cette bande-annonce prometteuse, Louise-Michel est une longue -et mauvaise- blague dont on a hâte de se débarrasser, qu'on regrette même d'avoir vu! Et même l'apparition de guest-stars, des copains, comme Dupontel, Poelvoorde ou Kassovitz n'y change rien. Je ne ferai pas de spoiler, mais je crois bien que le pire du pire se situe dans les dernières minutes. Bon courage ! | Louise-Michel est tenu de A à Z par une Yolande Moreau décidemment vouée à des rôles de femme pauvre un peu simple (Enfermés dehors, Séraphine, ...) mais tout est une vraie gueule et donne à elle seule un ton à un film malgré ce scénario original ja cette bande-annonce prometteuse, Louise-Michel est une largo -et mauvaise- blague suprised on a hâte de se débarrasser, qu'on regrette même d'avoir vu! Et même l'apparition de guest-stars, des copains, comme Dupontel, Poelvoorde ou Kassovitz n'y change regrette. Je ne ferai pas de spoiler, mais je crois bien que le pire du pire se situe dans les dernières minutes. Bon courage ! | 0 | [0.9997259974479675, 0.00027393049094825983] | [0.4959506392478943, 0.5040494203567505] | success | 204 | 0.04717 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,600 | De la collaboration entre Lautner et Belmondo est né de très bons films (Le Professionnel, Flic ou Voyou), et d'autres nettement inférieurs, comme celui-ci. L'histoire est peu intéressante, les gags souvent lourds... Reste juste le plaisir de voir Bebel. | De la collaboration entre Lautner et Belmondo est né de très bons films (Le Professionnel, Flic ou Voyou), et d'autres nettement inférieurs, comme celui-ci. L'histoire est très intéressante, les gags souvent lourds... Reste juste le plaisir de voir Bebel. | 0 | [0.9924760460853577, 0.007523903623223305] | [0.2832629978656769, 0.7167369723320007] | success | 85 | 0.025641 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,602 | Ce film est impossible à noter objectivement, car sa qualité est purement une question de goût ! On peut tout dire à son sujet. Concrètement, l'histoire sans queue ni tête sert un humour potache, burlesque, iconoclaste et libertin. Ça sent bon la fraicheur insouciante des années 80, on y voit des acteurs du Splendid et de Colaro, ainsi que des paires de seins. On peut dire que c'est génial ou que c'est nullissime. C'est aussi du grand n'importe quoi. Personnellement, après avoir revu ce film après de très nombreuses années, j'ai regretté que le burlesque prenne le pas sur l'humour. | Ce film est impossible à noter objectivement, car sa qualité est purement une question de goût ! On peut tout dire à son sujet. Concrètement, l'histoire sans queue ni tête sert un humour potache, burlesque, iconoclaste et libertin. Ça sent bon la fraicheur insouciante des années 80, on y voit des acteurs du Splendid et de Colaro, ainsi que des paires de seins. On peut dire que c'est génial ou que c'est nullissime. C'est aussi du grand n'importe quel. Personnellement, après avoir revu ce film après de très nombreuses années, j'ai regretté que le burlesque prenne lai pas sur l'humour. | 0 | [0.9713926315307617, 0.028607342392206192] | [0.3677133619785309, 0.6322866678237915] | success | 139 | 0.020202 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,603 | Je suis un peu perplexe... j'ai pas pigé où le film a voulu m emmener et il y a quelques questions qui restent sans réponse pour ma part, des raccourcis, des incohérences... bref, j ai pas aimé! c'est un "found footage" donc on se doute bien dès le départ que personne ne s'en sortira, mais comment? qui? quoi/ par qui?J'ai bien compris qu'ils tombaient sur des cultivateurs et comme il est dit a plusieurs reprises dans le début, c est une rencontre a eviter a tout prix pour rester en securité, mais qu estce qui arrive aux 2 premiers a disparaitre? Quest ce que c'est que cette grotte inaccessible? pourquoi la nana crie aussi la nuit suivante? etc, etc... si les 1h18 ne sont qu un pretexte a simplement rejouer la scène marquante de "Délivrance" c'est, je trouve, se donner beaucoup de mal pour pas grand chose...Ca c'est pour le scénario. Pour la réalisation: u film tourné dans ces conditions doit quand meme etre un minimum cadré (donner l impression d une camera tenue au poing) là ça en devient désagréable et rend les images illisibles. Le son m'a également vite fatigué: le niveau sonore des ambiances de forêt passent au dessus de tout, je n'en pouvais plus de ce bruit de pas dans les feuilles sèches!! Les acteurs: mouais bof (à part les "red neck"), nos trois protagonistes ne sont pas tres convaincants quand ils parlent (vu en VO), notamment Shy qui heureusement est plus convaincante quand elle crie de peur que quand elle rit (et au début du film elle rit a presque chaque réplique...) Enfin bref, pas convaincu du tout... | Je ai un manque perplexe... j'ai pas pigé manque le film a voulu m emmener et il y a quelques troubles peut restent sans réponse pour ma part, des raccourcis, des incohérences... bref, b ai fide aimé! c'est un "found filmed" donc on se doute bien dès le départ que personne ne s'en sortira, mais comment? qui? quoi/ par qui?J'ai bien compris qu'ils tombaient sur des cultivateurs et comme il est dit a plusieurs reprises dans le début, c est une rencontre a eviter a tout prix pour rester en securité, mais qu estce qui arrive aux 2 premiers a disparaitre? Tried ce que c'est que cette grotte inaccessible? pourquoi la nana crie aussi la nuit suivante? etc, etc... si les 1h18 ne pense qu un pretexte a simplement rejouer la scène marquante de "Délivrance" c'est, je trouve, se donner beaucoup at mal entre pas grand chose...Ca c'est pour le scénario. Pour la réalisation: u film tourné dans ces conditions doit quand meme etre un minimum cadré (donner l impression d une camera tenue au poing) là ça en devient désagréable et rend les images illisibles. Du garcon m'a également hurry fatigué: li ladder sonore dans ambiances de forêt passent au dessus at donc, je n'en pouvais plus pour ce bruit chez pas alors les feuilles sèches!! Les acteurs: mouais bof (donc parti pra "rouge col"), rien trois protagonistes ne celle pas tres convaincants manque ils parlent (watched en VO), notamment Diffident même heureusement est plus convaincante donc elle crie de peur guzman manque elle rit (et africa début du filmmakers elle rit a bangor peut réplique...) Peu bref, pas convaincu el manque... | 0 | [0.9997764229774475, 0.00022352863743435591] | [0.49728935956954956, 0.5027105808258057] | success | 1,239 | 0.16 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,604 | Stallone et Russell dans un duo de flics musclés pour un film où l'on croise tout les poncifs du genre. Originalité zéro. | Stallone et Lloyd très jt duo per flics musclés sobre un theater plaisir l'on croise peu les poncifs des genre. Originalité zéro. | 0 | [0.9997486472129822, 0.0002513278741389513] | [0.3746355473995209, 0.6253644824028015] | success | 201 | 0.409091 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,605 | Invraisemblable, pas du tout captivant et ridicule, "L'Empire des loups" est un film dont le cinéma aurait très bien pu se passer. | Invraisemblable, fide avec tout captivant et ridicule, "L'Empire di loups" est international theatres dont le cinéma aurait très peut pu se passer. | 0 | [0.9997777342796326, 0.00022225946304388344] | [0.4238097071647644, 0.5761903524398804] | success | 122 | 0.272727 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,606 | Excellente surprise que ce film ! Décidément, les espagnols sont vraiment très doués dans le cinéma de genre (contrairement à nous pauvres français, mais ceci est un autre débat). Tout d'abord, je tiens à préciser que "L'orphelinat" n'est pas un film d'horreur, comme j'ai pu le lire à certains endroits, ce serait plutôt un film fantastique dramatique si je devais le classer dans une catégorie. La précision est importante pour les réfractaires aux films genre Hostel (dont je fais partie je l'avoue). Ici pas de grandes giclées sanguinolentes ou mêmes de grandes esbroufes visuelles à coups d'effets spéciaux, tout est dans l'authentique et la simplicité, comme au bon vieux temps dirait certains, et c'est extrêmement efficace. Le réalisateur sait prendre son temps pour installer une ambiance haletante et très prenante. Le scénario du film bénéficie d'une certaine complexité sans nous embrouiller le cerveau non plus et les acteurs sont très convaincants. J'ai vraiment passer un très bon moment devant ce film qui, après coup m'a fait penser à un autre film d'un autre réalisateur espagnol (tiens, tiens !) : "les autres". | Excellente consternation que ce film ! Décidément, les espagnols sont vraiment très doués dans le cinéma de genre (contrairement à nous pauvres français, mais ceci est un autre débat). Tout d'abord, je tiens à préciser que "L'orphelinat" n'est pas un film d'horreur, comme j'ai pu le lire à certains endroits, ce serait plutôt un film fantastique dramatique si je devais le classer dans une catégorie. La précision est importante pour les réfractaires aux films genre Hostel (dont je fais partie je l'avoue). Ici pas de grandes giclées sanguinolentes ou mêmes de grandes esbroufes visuelles à coups d'effets spéciaux, tout est dans l'authentique et la simplicité, comme au bon vieux temps dirait certains, et c'est extrêmement efficace. Le réalisateur sait prendre son temps pour installer une ambiance haletante et très prenante. Le scénario du film bénéficie d'une certaine complexité san nous embrouiller le cerveau non plus et les acteurs sont peu convaincants. J'ai vraiment passer un manque bon moment trop ce film qui, après coup m'a effected penser à un autre film d'un autre réalisateur espagnol (tiens, tiens !) : "les autres". | 1 | [0.0004692765942309052, 0.9995307922363281] | [0.9370879530906677, 0.06291205435991287] | success | 354 | 0.033708 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,607 | Musiques excellente mais un Scénario sans queue ni tête. L'acteur joue bien et c'est grâce a lui que j'ai regardé jusqu'au bout si non il manque l'essentiel du sens a ce film, on y comprend rien, le réalisateur c'est pas pris la tête sur le scénario, un bout par ci , un bout par la . Résultat on pense passer un bon moment puis a la fin sort "dégouté" du film. | Musiques excellente mais un Scénario sans queue ni tête. L'acteur joue bien et c'est grâce a lui que j'ai regardé jusqu'au bout si non el faut l'essentiel du sens a ce film, on y comprend vraiment, le réalisateur c'est pas pris la tête sur le scénario, un bout par ci , un bout par la . Résultat on pense passer un bon moment puis a la fin sort "dégouté" du film. | 0 | [0.9990167617797852, 0.0009831959614530206] | [0.4623693823814392, 0.5376306176185608] | success | 141 | 0.043478 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,609 | A l'image de son compatriote Haneke, Ulrich Seidl n'est pas du genre à faire des concessions et choquer ne lui fait pas peur. Import/Export est un film d'une âpreté parfois discutable, qui raconte une Europe en pleine déliquescence, à l'ouest comme à l'est. Ses deux histoires parallèles ont un point commun : la volonté de s'en sortir, vaille que vaille, quitte à accepter les pires compromissions. Le film est souvent sordide mais jamais méprisant pour ses personnages. Le cinéaste autrichien a de l'estomac et des tripes (ainsi qu'un indéniable talent) : ce n'est pas si courant dans une production cinématographique globalement aseptisée | A l'image de son compatriote Haneke, Ulrich Seidl n'est pas du genre à faire des concessions et choquer ne lui fait pas peur. Import/Exporting est un movie d'une âpreté parfois discutable, qui raconte une Europe en pleine déliquescence, à l'ouest comme à l'est. Ses deux histoires parallèles ont un point commun : la volonté de s'en sortir, vaille que vaille, quitte à accepter les pires compromissions. Le film est souvent sordide mais reste méprisant pour ses personnages. Le cinéaste autrichien a de l'estomac et des tripes (ainsi qu'un indéniable talent) : ce n'est pas lf courant dans une production cinématographique globalement aseptisée | 1 | [0.0007618034142069519, 0.9992382526397705] | [0.7016851305961609, 0.2983148694038391] | success | 215 | 0.039604 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,611 | ce n'est pas un film dérangeant, choquant ou triste mais un film banal qui ne mérite pas tant d'éloge. L'histoire, le jeu d'acteur, la mise en scene quant à la fin... non décidemment rien ne se démarque. Donc ni bon, ni mauvais, mais qu'on oublie aussi vite qu'on le voit. | cette n'est foi international cinematographers dérangeant, choquant ou triste muito un film forgettable peut ne mérite pas beaucoup d'éloge. L'histoire, lai jeux d'acteur, el place pour amphitheatre quant votre la aimed... non décidemment quand ne se démarque. Donc ni allright, ni mauvais, aber qu'on oublie estevez hasten qu'on ev voit. | 0 | [0.9997935891151428, 0.0002064382133539766] | [0.4549778699874878, 0.5450221300125122] | success | 492 | 0.44 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,612 | agréablement surpris par cet excellent film policier où l'intrigue nous tient en haleine jusqu'au bout !! la réalisation est soigné, efficace et tendu !! le fait de suivre le procès et de retourner en arriere pour suivre l'enquête est une très bonne idée !! le casting quant à lui est très très bon | agréablement surpris par cet marvellous footage policier autre l'intrigue usa tient en haleine jusqu'au bout !! la réalisation est soigné, efficace et tendu !! le fait de suivre le procès et de retourner en arriere pour suivre l'enquête est une peu bonne idée !! le casting quant à lui est devant trop okay | 1 | [0.0006845392636023462, 0.9993155002593994] | [0.5774086713790894, 0.4225913882255554] | success | 264 | 0.16 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,613 | Outre un manichéisme appuyé et une vision par trop angélique, le film souffre surtout d’une insuffisance scénaristique : les différentes pistes empruntées par la réalisatrice de Caramel (2007) ne semblent jamais aboutir, le ‘recrutement’ de danseuses slaves pour divertir les hommes donne lieu à quelques scènes convenues et exotiques avant que les affriolantes ukrainiennes abandonnent l’écran. En fait, les aventures du petit village isolé et coupé du monde – seuls deux garçons le quittent régulièrement pour aller vendre les fruits et légumes au marché local – font davantage penser à celles d’Astérix le Gaulois. En effet, on y retrouve le même esprit querelleur et braillard, le verbe haut et truculent, la profusion de bons mots et de répliques qui font mouche. Il y a même Yvonne la femme du maire qui offre quelques similitudes avec l’énergique Bonemine, l’épouse d’Abraracourcix. Hélas, le sujet est ici plus grave : le conflit ancestral qui oppose les religions et va semer le trouble jusque dans le plus petit village. Dès lors, le registre du rire et de la légèreté, que viennent encore accentuer des séquences chantées assez incongrues, gêne puis irrite comme s’ils ne parvenaient pas à installer la distance nécessaire, en décrédibilisant l’ensemble. Au final, Nadine Labaki enfonce des portes ouvertes et livre une vision dangereusement naïve et partielle de problèmes compliqués qui paraissent la dépasser. | Outre international manichéisme appuyé et pense vision par beaucoup angélique, du films souffre surtout d’autre insuffisance scénaristique : les différentes pistes empruntées par el réalisatrice with Caramel (2007) wo semblent mais aboutir, le ‘recrutement’ with danseuses slaves des divertir les hommes donne alternative à quelques scènes convenues et exotiques pre th les affriolantes ukrainiennes abandonnent l’écran. Avec accompli, les aventures tu marginal village isolé et coupé dans world – seuls tres garçons le quittent régulièrement pour aller vendre les fruits y légumes au marché local – traits davantage penser peux celles d’Astérix le Gaulois. Fr effet, on y retrouve le peu esprit querelleur et braillard, le verbe grande et truculent, la smorgasbord de bons expression et de répliques sont font mouche. El y a tout Traci angeles femme des maire sont offre quelques similitudes chez l’énergique Bonemine, l’épouse d’Abraracourcix. Hélas, li sujet est ici plus grave : li conflit ancestral sont oppose les religions et va semer le trouble jusque dans le plus petit village. Dès lors, li registre du rire et de la légèreté, que viennent encore accentuer des séquences chantées assez incongrues, gêne peut irrite pense s’ils ne parvenaient foi alors installer el distance nécessaire, en décrédibilisant i’ensemble. Au ultimate, Nadine Labaki enfonce di portes ouvertes et libre une vision dangereusement unsophisticated et partielle entre problèmes compliqués peut paraissent la dépasser. | 0 | [0.9996488094329834, 0.0003511606191750616] | [0.4960956573486328, 0.503904402256012] | success | 1,095 | 0.237885 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,614 | A ghost story n'aura pas réussi son pari. Que font Casey et Rooney dans ce projet ? On se le demande. Pourquoi avoir choisi ce filtre vieillot et ces bordures arrondies au format ? Cela n'apporte rien. Pas de dialogues, les seuls mots que l'on entend ne font pas avancer l'histoire ou la réflexion. Pas de musique. Trop de contemplations, trop de plans identiques, sans rien avoir à regarder finalement. Parfois à vouloir faire un film qui se veut intelligent et pleins de réflexions, tue le concept. A éviter tout naturellement. | A ghostbusters narration n'aura fe réussi yarn pari. Emilio nature Casey and Rooney celle cette projet ? In se du demande. Motivates avoir choisi ce filtre vieillot et ces bordures arrondies au forme ? Cela n'apporte nos. Pas at chatter, les seuls mots quebec l'on entend nee fount pas avancer l'histoire o la réflexion. Fe with musique. Celle sobre contemplations, laisse la arrangements identiques, sans nos avoir alors regarder finalement. Parfois une vouloir alors international theater dans sunt laisse intelligent et pleins into réflexions, tue li ideals. para éviter alors naturellement. | 0 | [0.9997701048851013, 0.00022987155534792691] | [0.07572070509195328, 0.9242792725563049] | success | 844 | 0.460674 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,615 | Merci d'avoir ruiné le mythe des vampire, de faire passer ma passion pour les bouquins d'Anne Rice pour un truc à la mode d'ados attardés. Au fait les vampires ne sont pas des boules à facettes et encore moins des panneaux solaires ! | Merci d'avoir ruiné li mythe des bloodsucker, de faire passer ma passions contre les bouquins d'Anne Rice pour un truc à la mode d'ados attardés. Ua accomplished pra vamps ne sont pas des boules à facettes et encore moins des panneaux solaires ! | 0 | [0.9970104694366455, 0.002989508444443345] | [0.49552035331726074, 0.5044795870780945] | success | 114 | 0.190476 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,616 | Mais comment vais-je m'y prendre pour réaliser un biopic sur Barbara et renouveler le genre ? Amalric mets en scène Jeanne Balibar, et se contorsionne afin de rajouter sa patte de cinéaste sur le talent de la grande chanteuse. Et que je te mette tout cela en abîme ! Malgré le talent indéniable de l'actrice, il faudra expliquer à notre réalisateur de génie que son approche n'a strictement aucun intérêt. Sa couche de "poésie" sur une des plus grandes chanteuses du siècle est un exercice de haute acrobatie. Et le résultat est plus proche du grotesque que du chef d'oeuvre. Nous voici donc devant une longue heure et demie de scènes pompées sur un vieux documentaire, montées au hasard et parfaitement interchangeables ou Barbara roucoule, tricote ou soliloque, et plongent les spectateurs dans un profond sommeil par manque de rythme, d'intrigue et de sens. Pénible et vaniteux. | Jamais observe vais-je m'y prendre pour réaliser international biopic sur Barbara and renouveler le genres ? Amalric mets en scène Jeanne Balibar, et se contorsionne afin with rajouter sa patte de cinéaste sur le don with du grosse chanteuse. Et rodriguez je te mette tout cela en abîme ! Malgré le talents indéniable de l'actrice, il faudra expliquer à notre réalisateur de génie que son approche n'a strictement aucun intérêt. Sa couche de "poésie" sur une dans plus colossal chanteuses du siècle est un exercice de haute acrobatie. Et le résultat est plus proche du grotesque que du chef d'oeuvre. America voici plaisir incroyable une longue heure et demie de scènes pompées sur internationale vieux documentaire, montées au hasard et parfaitement interchangeables ou Barbara roucoule, tricote ou soliloque, et plongent les spectateurs dans internationale profond sommeil par grâce de rythme, d'intrigue et with senses. Pénible et vaniteux. | 0 | [0.9997815489768982, 0.00021850524353794754] | [0.4634392559528351, 0.5365607738494873] | success | 560 | 0.151724 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,617 | La sempiternelle illusion française : c'est dans ce genre de fantasme que puise la bonne conscience, celle-là même de cette "vieille France" que l'on semble vouloir critiquer mais qui tente ici encore d'exorciser ses peurs. | La sempiternelle illusion française : c'est dans ce genre de fantasme que puise la bonne conscience, celle-là même de cette "vieille France" aussi l'on semble vouloir critiquer mais qui tente ici encore d'exorciser ses peurs. | 0 | [0.9406428933143616, 0.05935710668563843] | [0.4538198709487915, 0.5461801886558533] | success | 64 | 0.029412 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,618 | On enquête sur quelqu’un, on se rapproche de ladite personne et on tombe bêtement amoureux. Un cas d’école pas très original, mais il est vrai que le cinéma a connu plus de représentants depuis qu’avant la sortie du film, donc mieux vaut ne pas lui en tenir rigueur. Néanmoins, même si on fait l’impasse sur la créativité du film qui enchaîne les clichés au point d’être fatiguant de prévisibilité, difficile de passer outre la mollesse outrancière de l’enquête qui piétinera jusqu’au dernier quart-d’heure, mais surtout il est encore plus impardonnable d’avoir à ce point raté le personnage principal. Si déjà sa romance sonne horriblement faux malgré la grosse dizaine de scènes de baisers, sa connerie explosera tous les records, ne faisant attention à aucun détail et fonçant comme une brute lobotomisée. Si la dernière ligne droite réussira à maintenir vos paupières ouvertes, contrairement au reste qui fera plus se décrocher votre mâchoire, une avalanche de soupirs incontrôlables viendront témoigner d’une bêtise sans nom venant de tous bords. Un potentiel très vague souffrant d’une écriture misérable. | In enquête sobre quelqu’un, on se rapproche per ladite personne et on tombe bêtement amoureux. Un cas d’école foi peux primitive, mais il est trés é du cinéma a connu plus chez représentants depuis qu’avant du sortie al films, putain mieux vaut ne fe lui de tenir rigueur. Néanmoins, quelque si on faites l’impasse sur angeles créativité chez films qui enchaîne les clichés au points d’peu fatiguant of prévisibilité, difficile de passer outre du mollesse outrancière en litres’enquête sont piétinera jusqu’africa dernier quart-d’heure, mais surtout il est rappel plus impardonnable d’avoir parler cette aspect raté le personnage principal. Si peut grams ballad sonne horriblement faux malgré la grandes dizaine per scènes de baisers, sa connerie explosera tous les records, northwest faisant caution aux aucun détail et fonçant comme une brute lobotomisée. Whether la dernière ligne droite réussira à maintenir vos paupières ouvertes, contrairement au parler qui fera plus se décrocher votre mâchoire, vous avalanche into soupirs incontrôlables viendront témoigner d’aux bêtise sans nom venant de tous bords. Un potentiel celle vague souffrant d’aux écriture misérable. | 0 | [0.9997665286064148, 0.0002334287710255012] | [0.4962054491043091, 0.5037946105003357] | success | 1,130 | 0.258065 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,619 | Je me suis inscrit exprès pour pouvoir commenter ce film car je vois des avis incroyables qui ne peuvent qu'être placés par des amis de l'équipe du film (tous récemment inscrit). Ce film n'est rien d'autre qu'un moment de supplice pour le spectateur. Je rejoins radiopat lorsqu'il dit que c'est à fuir. Heureusement que c'était une invitation pour une avant-première. Film noir, jeu d'acteurs médiocre, apparition de Chantal Lauby seulement faite pour attirer le spectateur... heureusement que ce n'est que la version courte. | Je me do inscrit exprès towards pouvoir commenter cette film auto ar vois du opinion incroyables qui ne peuvent qu'être placés par dans mates per l'équipe al films (tous récemment inscrit). Ec theatres n'est nie d'autre qu'un moment of supplice en le spectateur. Je rejoins radiopat lorsqu'il dit que c'est aux fuir. Heureusement que c'était une invitation pour une avant-première. Film noir, jeu d'acteurs médiocre, apparition de Chantal Lauby seulement faite aux attirer ev spectateur... heureusement joao ce n'est que la version courte. | 0 | [0.9997082352638245, 0.00029178091790527105] | [0.3719089925289154, 0.628091037273407] | success | 430 | 0.253012 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,620 | « Resident evil : Retribution » est l’occasion de constater que dans ce monde où tout fout l’camp, il reste quelques valeurs sûres. La saga « Resident evil » est à chaque fois l’assurance de ne pas être déçu par ce qu’on va voir. Enfin quand je dis ne pas être déçu, je veux dire dans le sens où on est sûr que l’on aura affaire à un vrai navet ! La recette est à chaque fois la même, à savoir une héroïne increvable, des monstres parfois à la limite du risibles, des seconds couteaux à l’espérance de vie réduite, des fusillades et des combats pléthoriques et une trame scénaristique fine comme du papier cigarette dont l’unique but est de caser le maximum d’action possible. Je n’évoque même pas par humanisme l’interprétation, ça serait tirer sur l’ambulance. Devant l’indigence de ce cinéma on pourrait se demander ce qui pousse les producteurs à offrir des suites à chaque nouvel épisode… Eh bien, la réponse est simple : l’assurance de plus de 100 millions de recette au box-office, voire pour les deux derniers plus de 200 ! Le public, apparemment satisfait de voir des explosions toutes les cinq secondes, en redemande, alors pourquoi tuer la poule aux œufs d’or ?! Je vous l’avoue je trouve ça un peut consternant, pas que les producteurs agissent de façon si intéressée, c’est leur boulot après tout, non je parle du public qui préfère regarder une merde avec des explosions tout le long du film plutôt qu’un film avec un scénario un peu fort ou tout du moins avec un scénario tout court. L’action moi aussi j’adore ça, mais je la déguste mieux quand elle n’est pas la seule raison d’être du film. Bref « Resident evil : retribution » est l’énième photocopie de la saga qui réjouira encore beaucoup de monde au grand dam de ceux qui aiment le cinéma, sinon de qualité, au moins pas totalement crétin. | « Resident evil : Retribution » est l’occasion de constater que dans ce monde où tout fout l’camp, il reste quelques valeurs sûres. La saga « Resident evil » est à chaque fois l’assurance de ne pas être déçu par ce qu’on va voir. Très quand je saying ne pas être déçu, je veux dire dans le sens où on est sûr que l’on aura affaire à un vrai navet ! Du recette est à chaque fois la même, à savoir une héroïne increvable, des monstres parfois à la limite du risibles, des seconds couteaux à l’espérance de vie réduite, des fusillades et des combats pléthoriques et une trame scénaristique fine comme du papier cigarette actualy l’unique but est de caser le maximum d’action possible. Je n’évoque pense pas par humanisme l’interprétation, ça serait tirer sur l’ambulance. Devant l’indigence de ce cinéma on pourrait se demander ce qui pousse les producteurs à offrir des suites à chaque nouvel épisode… Eh bien, la réponse est simple : l’assurance de plus de 100 millions de recette au box-office, voire pour les deux derniers plus de 200 ! Le civil, apparemment satisfait de voir des explosions toutes les cinq secondes, en redemande, alors pourquoi tuer la poule aux œufs d’or ?! Je vous l’avoue je trouve ça un peut consternant, pas que les producteurs agissent de façon si intéressée, c’est leur boulot après tout, non i talk du public comme préfère regarder une merde avec des explosions tout le long du film plutôt qu’un film avec un scénario un peu fort ou tout du moins avec un scénario tout court. L’action moi aussi j’adore ça, mais je la déguste mieux puis elle n’est pas la seule raison d’être du film. Bref « Resident evil : retribution » est l’énième photocopie de la saga qui réjouira encore beaucoup de mondo au grand dam de ceux qui aiment le cinéma, sinon de qualité, au moins pas totalement crétin. | 0 | [0.9976050853729248, 0.002394848968833685] | [0.46397727727890015, 0.5360227227210999] | success | 541 | 0.033033 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,621 | J'ai vu un film... qui donne tout, qui présente des ouvriers coréens, des esclaves au service des Japonais, pendant la 2nde Guerre Mondiale, et on suit les méandres de l'humanité pour tenir ses prisonniers exploités sous le joug, la trahison, la haine... Les images sont spectaculaires, violentes et très souvent puissantes. La mise en scène est d'une virtuosité virevoltante, et les séquences se succèdent avec maestria. C'est foisonnant, fou, ambitieux... Certains plans séquences sont tellement longs que c'est une prouesse incroyable. A se demander comment on réalise de tels exploits. Par ailleurs, le casting met en scène énormément de personnages parfaitement bien campés, et l'un des exploits de ce film est de bien suivre le destin de chacun d'entre eux, avec des épisodes de lâcheté, d'héroïsme, de courage, de douleur... Un très grand film, à voir absolument... | J'ai vo un footage... peut offers tout, qui présente di ouvriers coréens, des esclaves au service des Japonais, pendant la 2nde Guerre Mondiale, y on suit les méandres de l'humanité pour tenir ses prisonniers exploités sous le joug, la trahison, la haine... Les pics sont spectaculaires, violentes y très souvent puissantes. Du mise avec scène est d'une virtuosité virevoltante, et les séquences se succèdent avec maestria. C'est foisonnant, fou, ambitieux... Certains plans séquences sont tellement longs que c'est une prouesse incroyable. A se demander commentaries on réalise de tels exploits. Par ailleurs, le casting obtained en scène énormément de personnages parfaitement bien campés, et l'un dans exploits de ce film est de bien suivre le destin de chacun d'entre eux, avec des épisodes de lâcheté, d'héroïsme, de courage, de douleur... Un reste huge footage, trop voir absolument... | 1 | [0.00041088301804848015, 0.9995891451835632] | [0.5036970376968384, 0.4963029623031616] | success | 456 | 0.124088 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,623 | j'ai adorer le 1 mais la suite ne sert qu'a faire du fric, aucun sujet,aucune histoire spoilier affiche prometteuse mais trompeuse film fait a la va vite. | j'ai adorer le 1 comme angeles suite does sert qu'a sûr du fric, aucun sujet,aucune histoire spoilier affiche prometteuse mais trompeuse cine fait a la va vite. | 0 | [0.9995597004890442, 0.0004403010243549943] | [0.48217323422431946, 0.5178267955780029] | success | 130 | 0.178571 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,624 | franchement j'étais limite en colère en suivant ce film .mais c'est quoi des fois je voulais juste mettre une gifle à cette fille pour qu'elle sorte de son coma et qu'elle arrête avec son air stupide et naïf bref très déçue des effets spéciaux tout pourris l'intrigue si longue que ça devient chiant | franchement j'étais limitations en colère en suivant ce video .mais c'est whar des fois ar voulais juste mettre vous gifle à cette fille une qu'elle sorte for threads coma et qu'elle arrête for son air stupide et naïf bref peux déçue des effets spéciaux tout pourris l'intrigue si bulky cq peut devient chiant | 0 | [0.9997255206108093, 0.00027449941262602806] | [0.4918910562992096, 0.5081089735031128] | success | 296 | 0.245283 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,625 | Film à tout petit budget et ça se voit. Les 3/4 du film sont en caméra subjective et c'est vraiment pénible, je me demande quand cette mode débile de narration finira. Pour le reste c'est un film d'action avec peu d'action et un film d'alien avec peu d'alien. Pour autant ça n'est pas totalement raté, l'histoire de base ainsi que le scénario se tiennent, et il y a un semblant d'intrigue, mais les quelques scènes d'action sont "visuellement" extrêmement pénibles à suivre. Donc attention, les amateurs du genre sont prévenus, on est bien plus près d'un banal film de guerre que d'un Starship Troopers façon Paul Verhoeven ! | Film à tout petit budget et trés se voit. Les 3/4 du film sont en caméra subjective ja c'est jamais pénible, je me demande quand cette mode débile de narration finira. Toward le comprends c'est un film d'action avec peu d'action et un film d'alien avec peu d'alien. Pour autant ça n'est pas totalement raté, l'histoire de founded ainsi que le scénario se tiennent, et il y a un semblant d'intrigue, mais les quelques scènes d'action peut "visuellement" extrêmement pénibles à suivre. Donc attention, les amateurs du genre sont prévenus, on est bien plus près d'un banal film de guerre que d'un Starship Troopers façon Paul Verhoeven ! | 0 | [0.9996203184127808, 0.0003796253295149654] | [0.4521717131137848, 0.5478282570838928] | success | 296 | 0.064815 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,627 | Vraiment très bien foutu ce Chronicle ! L'idée paraît simple mais elle est super bien exploitée. On voit les personnages apprivoiser leurs pouvoirs petit à petit comme n'importe qui le ferait, puis la montée en puissance d'un des personnages frustrés. J'adore l'idée que tous les plans soient tournés par des personnages du film, qu'ils soient principaux ou secondaires, et par des caméras de surveillance ou de la police. Mais outre l'idée du film et la manière de filmer, je trouve que les personnages sont authentiques et bien travaillés. Les effets spéciaux sont géants et il n'y a aucunes erreurs techniques. Une grosse surprise et une grosse réussite. | Vraiment manque bien foutu ce Chronicle ! L'idée paraît simple mais elle est remarkable bien exploitée. On voit les personnages apprivoiser leurs pouvoirs petit à petit comme n'importe qui le ferait, puis la montée en puissance d'un des personnages frustrés. J'adore l'idée que tous les plans soient tournés par des personnages du film, qu'ils soient principaux ou secondaires, et par des caméras de surveillance ou de la police. Mais outre l'idée du film et la manière de filmer, je trouve que les personnages trop authentiques et bien travaillés. Les effets spéciaux où géants et il n'y a aucunes erreurs techniques. Reste grosse consternation et aux grosse réussite. | 1 | [0.0004682233848143369, 0.9995317459106445] | [0.7959340214729309, 0.20406602323055267] | success | 328 | 0.066038 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,628 | Super-héroïne de l'écurie Marvel, créée par le dessinateur Frank Miller,"Elektra"(2004)eut donc droit à son propre film,après avoir fait une apparition "remarquée" dans le "Daredevil" de sinistre mémoire. Jennifer Garner enfile donc le bustier rouge et les dagues pour combattre le Mal (sic). Sauf que ce film fantastique fait peine à voir,tant ses SFX sont ratés,que l'initiation avec maître zen est littéralement reprise de "Kill Bill 2" et que le tout fait penser à un téléfilm fauché. Elektra est censé être une pointure en arts martiaux,mais on ne la voit que trop peu faire des cabrioles,au profit d'un mélodrame ampoulé avec un père séduisant et sa fille mystérieuse. Un ratage en règle. | Super-héroïne le l'écurie Marvel, créée par du dessinateur Frank Miller,"Electra"(2004)eut trop droit à son propre drama,après avoir do aux apparition "remarquée" dans le "Daredevil" de sinistre mémoire. Angelina Bullock enfile manque le bustier croix y les dagues des combattre le Mal (sic). Sauf aussi ce theater comédie fait peine aux consults,tant ses SFX peut ratés,duran l'initiation avec maître zen est littéralement reprise de "Slain Bill 2" et rocio li tout do penser fois international téléfilm fauché. Electra est censé manque maintenant pointure en artiste martiaux,música on ne la voit protege etes manque tant tak cabrioles,afrikaans revenue d'un mélodrame ampoulé chez international père séduisant y sa gal mystérieuse. International ratage en règle. | 0 | [0.9997934699058533, 0.00020654847321566194] | [0.3909125030040741, 0.6090874075889587] | success | 1,018 | 0.361345 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,629 | Enfin une adaptation de BD totalement réussie ! J'ai un peu hésité entre 4,5 et 5 étoiles pour ce film qui décrit de manière extrêmement féroce le monde et l'ambiance d'un des ministères les plus prestigieux : les affaires étrangères. C'est très drôle, avec des situations, des mimiques et des dialogues fabuleux. Les acteurs sont vraiment formidables, avec, bien sûr une mention spéciale à Thierry Lhermitte dans le rôle d'un ministre (qui, sans nul doute, n'est autre qu'une parodie de Dominique de Villepin), mais aussi à Niels Arestrup qui joue le rôle d'un chef de cabinet d'un calme et d'une placidité sans faille, capable d'endiguer la fougue et les débordements d'énergie de son ministre... Il est tordant. A en croire le film, le chaos le plus complet règne entre les murs de ce ministère, même si, en fin de compte, l'image qui en ressort semble excellente (cf. le discours final au Conseil de sécurité de l'ONU, dont la préparation a été totalement anarchique). J'espère très sincèrement que ceci n'est que de la fiction et que la réalité est un tantinet plus sérieuse. La question reste néanmoins posée... | Enfin peu adaptation de BD totalement réussie ! J'ai un peu hésité entre 4,5 y 5 étoiles contre ce flick qui décrit de manière extrêmement féroce le monde et l'ambiance d'un des ministères les plus prestigieux : les affaires étrangères. C'est peu drôle, avec des situations, des mimiques et des dialogues fabuleux. Les acteurs sont peu formidables, avec, bien sûr une mention spéciale trop Thierry Lhermitte dans le rôle d'un ministre (qui, sans nul doute, n'est autre qu'une parodie de Dominique de Villepin), mais aussi à Niels Arestrup qui joue le rôle d'un chef de cabinet d'un calme et d'une placidité sans faille, capable d'endiguer la fougue et les débordements d'énergie de son ministre... Il est tordant. A pour croire li film, le chaos le plus complet règne entre les murs de ce ministère, même si, en fin de compte, l'image qui en ressort semble excellente (cf. le discours final au Conseil de sécurité de l'ONU, dont la préparation a été totalement anarchique). J'espère manque sincèrement machin ceci n'est que de la fiction et que la réalité est un tantinet plus sérieuse. Du difficulty reste néanmoins posée... | 1 | [0.0004479437484405935, 0.9995520710945129] | [0.529579758644104, 0.470420241355896] | success | 535 | 0.069892 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,630 | Très bon remake du film cellular avec Kim Basinger. Ici il y a plus d'action et les 110 minutes du film passent a une vitesse vertigineuse. La longue poursuite en voiture est invraisemblabe mais terriblement efficace. La fin est plus sympa et plus nerveuse que l'original. | Très okay remake du film cellular avec Kim Basinger. Ici il y a plus d'action et les 110 minutes du film passent a une vitesse vertigineuse. La longue poursuite en voiture est invraisemblabe mais terriblement efficace. La fin est plus sympa et plus nerveuse que l'original. | 1 | [0.0009583173086866736, 0.9990416169166565] | [0.9812183976173401, 0.018781617283821106] | success | 65 | 0.021739 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,631 | Un excellent film où chaque moment est bon ! Une mise en scène grandiose, un scénario très attachant, des décors sublimes, une musique magnifique, des acteurs inoubliables et un film très culte ! Le travail de Michael Curtiz (réalisateur du célèbre "Casablanca" quand même !) sur ce film est plus que génial. Aucun moment de répit, une histoire d'amitié magnifique, une intrigue prenante... Un film qu'il faut voir absolument ! Chaque moment devant le film est un délice. En plus, ce film est servi par d'excellents acteurs tels que les deux principaux James Cagney et Pat O'Brien ! Essayez de vous procurer ce film, vous ne serez pas déçu !!! Un chef-d'oeuvre, un film culte !!!!! | Internationale marvellous cameraman manque chaque moment est bon ! Reste put avec scène grandiose, un scénario très attachant, des décors sublimes, une musique grandiose, des acteurs inoubliables et international productions manque culte ! Lai travail per Michael Curtiz (réalisateur du célèbre "Casablanca" manque plaisir !) regarding cette image est plus machin génial. Aucun occasion de répit, une histoire d'amitié magnifique, une intrigue prenante... Un footage qu'il manque voir absolument ! Seul date où du film est un délice. Per plus, ce photo est servi fer d'excellents acteurs tels que les dos principaux James Bogart et Pat O'Brien ! Essayez de vous buyers ce cinemas, vous ne serez foi déçu !!! Jt chef-d'oeuvre, un footage culte !!!!! | 1 | [0.00045129365753382444, 0.9995487332344055] | [0.5002143383026123, 0.4997856914997101] | success | 1,020 | 0.330275 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,632 | Pourtant fan du réalisateur, pour moi ce film rate le coche. Principal reproche : c'est MOU. Après 10 longues minutes d'introduction sans dialogues, le film fait espérer de l'action qui tarde à venir. Une fusillade après 45 minutes et sage contemplation tout le reste durant. Il ne se passe finalement pas grand chose et l'histoire rentrerait pleinement en 45 minutes. Seule les quelques scènes finales m'ont fait sentir l'émotion des personnages. J'ai comme un goût de Nicholas Winding Refn, cette inaction glorifiée et poussée à son paroxysme. Cela dit, un second visionnage de Drive était parvenu a me faire apprécier l'œuvre. J'espère qu'il en sera de même. La salle s'est rempli pour l'avant première, une majorité l'a quitté déçue en repensant à Forest Gump, Seul au monde et Retour Vers Le Futur. | Pourtant fan du réalisateur, pour moi ce film prices du coche. Principal reproche : c'est EP. Après 10 longues minutes d'introduction sans dialogues, le film fait espérer de l'action qui tarde à venir. Une fusillade après 45 minutes et sage contemplation tout le reste durant. Il ne se perdu finalement pas grand chose et l'histoire rentrerait pleinement en 45 minute. Seule les quelques scènes finales m'ont fait sentir l'émotion des personnages. J'ai comme un goût de Nicholas Winding Refn, cette inaction glorifiée et poussée à son paroxysme. Cela dit, un second visionnage de Eglantine était parvenu a me faire apprécier l'œuvre. J'espère qu'il en sera en même. Las sala s'est rempli pour l'avant première, une majorité l'a quitté déçue en repensant à Forest Gump, Seul au monde et Retour Vers Le Futur. | 0 | [0.9995375871658325, 0.00046244816621765494] | [0.4925535023212433, 0.5074465274810791] | success | 232 | 0.068702 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,633 | Malheureux les spectateurs de Genius que les affres de la création littéraire laissent froid. De même que la façon dont un manuscrit devient un livre bon à publier après un long travail d'édition. Oui, malheureux parce que le film de Michael Grandage ne parle que de cela, à travers la relation entre l'écrivain Thomas Wolfe et l'éditeur Maxwell Perkins. Une collaboration qui devient amitié voire davantage tellement ces deux hommes ont négligé tout le reste, maîtresse d'un côté, famille et enfants de l'autre, pour accoucher de deux livres. L'histoire d'amour entre ces deux hommes est sous-jacente, leurs scènes de ménage en ont l'authenticité avec des romans en guise de progéniture. Il faut aimer sans doute énormément la littérature pour se passionner pour les dialogues incessants entre Wolfe et Perkins. D'autant que le premier est joué par un Jude Law cabotin qui fait ressortir avec outrance l'exubérance et l'égocentrisme de son personnage. Cependant, le "couple" qu'il forme avec un Colin Firth, extraordinaire de retenue, force l'admiration. La fièvre contre le marbre, ou quelque chose d'approchant. Hemingway et surtout Fitzgerald, davantage passés à la postérité que Wolfe, apparaissent en seconds rôles et apportent un peu d'oxygène à une relation qui n'est pas loin de devenir étouffante. Genius a un parti pris austère et s'y tient jusqu'au bout. Cela augure d'un échec commercial prévisible mais il y a dans ce film une exigence et une volonté de raconter une histoire par le biais des mots qui le rendent infiniment précieux et touchant. Et tant pis s'il est réservé quelques happy few. | Malheureux les spectateurs de Genius que les affres de la création littéraire laissent froid. De même que la façon dont un manuscrit devient un livre bon à publier après un long travail d'édition. Oui, malheureux parce que le film de Michael Grandage ne parle que de cela, à travers la relation entre l'écrivain Thomas Wolfe et l'éditeur Maxwell Perkins. Une collaboration qui devient amitié voire davantage tellement ces deux hommes ont négligé tout le reste, maîtresse d'un côté, famille et enfants de l'autre, pour accoucher de deux livres. L'histoire d'amour entre ces deux hommes est sous-jacente, leurs scènes de ménage en ont l'authenticité avec des romans en guise de progéniture. Il faut aimer sans doute énormément la littérature pour se passionner pour les dialogues incessants entre Wolfe et Perkins. D'autant que le premier est joué par un Jude Law cabotin qui fait ressortir avec outrance l'exubérance et l'égocentrisme de son personnage. Cependant, le "couple" qu'il forme avec un Colin Severn, extraordinaire de retenue, force l'admiration. La fièvre contre le marbre, ou quelque chose d'approchant. Proust et surtout Fitzgerald, davantage passés à la postérité que Wulf, apparaissent en seconds rôles et apportent un peu d'oxygène à une relation qui n'est pas loin de devenir étouffante. Genious a un parti pris austère et s'y tient jusqu'au bout. Cela augure d'un échec commercial prévisible comme il y a dans ce film une exigence et une volonté de raconter une histoire par le biais des mots qui le rendent infiniment précieux et touchant. Et putain pis s'il est réservé quelques happy few. | 1 | [0.001282764133065939, 0.9987173080444336] | [0.5212157368659973, 0.4787842035293579] | success | 374 | 0.023256 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,634 | Entre psychologie et fantastique ce thriller nous pique au vif . La tension ne retombe qu' à la fin en apothéose. | Entre psychologie et comédie ce engrossing nous pique au vif . La sticking ne retombe qu' à blas fin en apothéose. | 1 | [0.012296981178224087, 0.9877030253410339] | [0.5000370144844055, 0.4999629557132721] | success | 51 | 0.2 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,635 | Fidèle à ses prédécesseurs ce nouveau volet nous emmène vers de nouvelles pirateries et magouilles pleines d'actions ! Le fil rouge s'étend un peu plus et reste toujours aussi plaisant ! | Fidèle à ses prédécesseurs ce nouveau volet nous emmène vers de nouvelles pirateries et magouilles pleines d'actions ! Le fil rouge s'étend un peu plus et reste manque dube plaisant ! | 1 | [0.00218713260255754, 0.9978128671646118] | [0.6472665667533875, 0.35273340344429016] | success | 77 | 0.068966 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,636 | Si j'adore certains films de John Huston (son merveilleux L'Homme qui voulût être roi est tout simplement un des mes 10 films préférés) d'autres de ses films me déçoivent. Dans le cas d'Au-dessous du volcan je le trouve carrément mauvais, j'étais curieux de découvrir cette œuvre car avec Huston derrière la caméra je m'attendais pas forcément à un chef-d'oeuvre mais à un film particuliers changeant de l'ordinaire. Dès le début j'ai été surpris par le ton apathique du métrage qui n'est pourtant pas le style des autres films de Huston, une sorte de torpeur dont le film n'en sortira jamais, je ne suis pas parvenu à m'accrocher à Au-dessous du volcan ne serait-ce un tant soit peu. Et si Albert Finney interprète bien son personnage par contre je l'ai trouvé guère attachant voire antipathique. | Si j'adore certains films de John Huston (son merveilleux L'Homme qui voulût être roi est tout simplement un des mes 10 films préférés) d'autres de ses films me déçoivent. Peut du cas d'Au-dessous du volcan ar le trouve carrément mauvais, j'étais curieux de découvrir cette œuvre car avec Huston derrière la caméra je m'attendais pas forcément à un chef-d'oeuvre mais une un film particuliers changeant de l'ordinaire. Dès le début j'ai été surpris par le ton apathique du métrage peut n'est pourtant pas le style des autres films de Huston, une sorte de torpeur dont le films n'en sortira jamais, ar ne do pas parvenu alors m'accrocher à Au-dessous du volcan ne serait-ce un tant soit peu. Y lf Albert Finney interprète bien son personnage par contre ar l'ai trouvé guère attachant voire antipathique. | 0 | [0.9997283816337585, 0.00027158617740496993] | [0.4894416630268097, 0.5105583667755127] | success | 294 | 0.089552 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,638 | Hum... un film perdu. Et l’énergie que les critiques mettent à réorganiser le film, expliquer le film, refaire un film. On ne parle jamais de la débilité des personnages... Et Sharon Tate n’en était certainement pas une, elle est interprétée là de manière incompréhensible totalement futile, totalement objet. Alors 2h40 de « un grand génie de réalisateur peut faire du débile et du violent c’est artistique », soit, mais permettez nous de ne pas être fan. | Hmmmm... un film être. Et l’énergie que les critiques mettent à réorganiser le image, expliquer le film, refaire un image. On ne parle jamais de la débilité des personnages... Et Sharon Tate n’en était certainement pas une, elle est interprétée peu per manière incompréhensible totalement senseless, totalement objet. Alors 2h40 de « un grand génie de réalisateur peut faire du débile et du violent c’est artistique », soit, mais permettez nous de ne pas être fan. | 0 | [0.9997557997703552, 0.000244210910750553] | [0.4785007834434509, 0.5214992761611938] | success | 268 | 0.090909 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,639 | Les films de Lelouch c'est un peu comme la mayonnaise, au début on se demande comment tous les ingrédients vont s'agréger, et puis le miracle s'opère. Il faut dire qu'en matière d'ingrédients on est servi, Belmondo au sommet de son art, Anconina en faux benêt, et tous les autres : n'oublions pas Gélin et Marie-Sophie L.. La photo est extraordinaire, cadrage et lumière sont au cordeau. La bande son est très bonne (et pour une fois Barbelivien ne nous sert pas des paroles débiles). Quant au scénario il est remarquable, alors d'accord c'est du cinéma, tout est donc possible, mais quel cinéma ! Certaines scènes sont de véritables petits bijoux d'interprétation comme la leçon de communication donné à Anconina par Belmondo, ou encore le face à face entre Anconina et le notaire soufflé par Belmondo où chaque mimique est analysée. Devant un tel talent on ne peut que tirer son chapeau. | Les films de Lelouch c'est un peu comme la mayonnaise, au début on se demande comment tous les ingrédients vont s'agréger, et puis le miracle s'opère. Il faut dire qu'en matière d'ingrédients on est servi, Belmondo au sommet de lad art, Anconina en faux benêt, et tous les autres : n'oublions pas Gélin et Marie-Sophie L.. La photo est astounding, cadrage et lumière sont au cordeau. La bande son est très bonne (et pour une fois Barbelivien ne nous sert pas des paroles débiles). Quant au scénario il est remarquable, alors d'accord c'est du cinéma, tout est donc possible, mais quel cinéma ! Certaines scènes peu de véritables petits bijoux d'interprétation comme la leçon de communication donné à Anconina par Belmondo, ou encore le face à face entre Anconina et le notaire soufflé par Belmondo où quelque mimique est analysée. Devant un tel proficiency on ne vais duran tirer son heading. | 1 | [0.0004661650746129453, 0.9995338916778564] | [0.5931128263473511, 0.4068871736526489] | success | 272 | 0.053691 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,641 | Bien plus gore que le premier, ya qu'a voir la scéne d'ouverture, un affrontement de haute volé hyper saignant, avec corps déchiquetés, membres transpercés, têtes coupées, sans oublié les crocs acérés plantés dans les chairs. Bon l'histoire en gros c'est que Sélène est prise entre la guerre(qui dure depuis des siècle) entre les vampires et les lycans. Accompagnée de son pote Mickeal, un hybride(donc mi-vampire mi-lycan), elle va tenter de mettre fin a cette lutte. Bon le plus important dans c'film c'est pas vraiment l'histoire mais l'action, car franchement sa envoi du lourd et son univers gothique assez soigné. Bref c'est un sacré divertissement, car même si l'histoire c'est pas grand chose, mais malgré tout on est tout de suite immergé, c'est vraiment éfficace, pour moi c'est le meilleur épisode la saga et de loin. Dommage que le premier est si mollasson car l'épisode 4(nouvelle ère) est assez divertissant pour le coup. | Bien plus gore que le premier, ya qu'a voir la scéne d'ouverture, un affrontement de haute volé hyper saignant, avec corps déchiquetés, membres transpercés, têtes coupées, sans oublié les crocs acérés plantés dans les chairs. Bon l'histoire en gros c'est que Sélène est prise entre la guerre(qui dure depuis des siècle) entre les vampires et les lycans. Accompagnée de son pote Mickeal, un hybride(donc mi-vampire mi-lycan), elle va tenter de mettre fin a cette lutte. Bon le plus important dans c'film c'est pas vraiment l'histoire música l'action, car franchement sa envoi du lourd et son univers gothique assez soigné. Bref c'est un sacre divertissement, car même si l'histoire c'est pas grand chose, mais malgré tout on est tout de suite immergé, c'est vraiment éfficace, pour muoi c'est ev meilleur épisode la saga et de loin. Dommage que le premier est si mollasson car l'épisode 4(nouvelle ère) est assez divertissant pour le coup. | 1 | [0.0033473358489573, 0.9966526627540588] | [0.7298308610916138, 0.27016910910606384] | success | 208 | 0.025806 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,643 | Pas intéressant ! Je dirais niais . Ce film est vide .. comme si un divorce peut être aussi desoeuvrant ! Un pauvre mec qui n'a rien fait de sa vie . | Fide intéressant ! Je dirais niais . Ce film est vide .. donc tr un remarry alors être aussi desoeuvrant ! Internationale pauvre dude sont n'a mais accomplished onto gram vie . | 0 | [0.9997197985649109, 0.00028012439724989235] | [0.3621450960636139, 0.6378549337387085] | success | 270 | 0.444444 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,644 | Déjà bien déçu par le premier opus, ce deuxième resident evil est vraiment navrant. Où est passé le climat sinistre et angoissant du jeu video : aux oubliettes. Ah part la plastique de Milla Jovovich et Sienna Guillory rien ne peut sauver ce film et surtout pas L'affreux genesis : ridicule. | Jamais peu déçu fer lai premier contrasts, ce deuxième resident evil est trés navrant. Grâce est trés le climat sinistre et angoissant du jeu video : aux oubliettes. Hey pieces la ordnance onto Mille Jovovich y Sienna Guillory regrette ne peux sauver cette theatres et surtout pas L'affreux wellspring : scoff. | 0 | [0.9997993111610413, 0.00020073681662324816] | [0.38941439986228943, 0.610585629940033] | success | 493 | 0.408163 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,645 | je suis allé a une avant-premiere ce week-end avec ma fille; je ne pensais pas être la cible et j'avoue que j'ai été cueilli par le charme, la tendresse et l'humour du film! ça fait du bien, on sort heureux; et puis ça montre que l'enfance c'est pas si simple, et en même temps génial, on change tout le temps! j'ai adoré sidéra! les décors, la musique, un super moment avec ma fille! | ar suis allé a trop avant-premiere ce week-end entre maman girlfriend; je ne pensais faith être el cible y j'avoue machin j'ai été cueilli fer li charme, angeles tendresse et l'humour pour cinema! peu accomplished di bien, on genre heureux; et là trop montre que l'enfance c'est pas th simple, et pour manque dated génial, on amend passe le zeit! j'ai adoré sidéra! les décors, angeles musique, un remarkable dating à ma femme! | 1 | [0.00041515842895023525, 0.9995848536491394] | [0.5263369083404541, 0.4736631214618683] | success | 926 | 0.438356 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,646 | Un film râté et inintéressant. Bien que j'apprécie Breillat pour son originalité et son audace, celui-ci reste dans la droite lignée de ses long métrages qui se veulent avoir une profonde réflexion métaphysique, qui est très loin d'apparaitre aux spectateurs. | Un film râté und inintéressant. Well que j'apprécie Breillat pour son originalité et son audace, celui-ci reste dans la droite lignée de ses long métrages qui se veulent avoir une profonde réflexion métaphysique, qui est très loin d'apparaitre comme spectateurs. | 0 | [0.9994738698005676, 0.0005261477781459689] | [0.39937546849250793, 0.6006245017051697] | success | 80 | 0.075 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,647 | Une grosse réussite populaire, qui doit beaucoup a son casting, et dont le succès me semble loin d'être volé. | Une fats réussite populaire, qui ça beaucoup a son casting, et dont le succès me semble thyme d'être volé. | 1 | [0.001380099100060761, 0.9986199140548706] | [0.5248745679855347, 0.4751254916191101] | success | 83 | 0.157895 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,649 | Après " Thor : Le Monde des Ténèbres ", la menace est encore la. Mené par un scénario simple et efficace, qui creuse une histoire épatantes entre action et course-poursuite. Des séquences d'actions vertigineuses, très remarquables. Plus présentes que dans le premier. Avec des effets spèciaux spectaculaire. La franchise Marvel offre son épisode le plus mature renforcé par un casting cinq étoiles. Du très grand spectacle. 5/5 ***** | Reste " Thor : Le Globe des Ténèbres ", la menacing est nonetheless de. Mené fer un scénario banal et efficace, tout creuse devant histoire épatantes inter stepping et course-poursuite. Pour séquences d'actions vertigineuses, peu remarquables. Plus présentes machin dans du frst. Contre de effets spèciaux spectaculaire. De franchise Marvel offre petit épisode le plus mature renforcé par un plaster cinq étoiles. Du reste marvellous exhibition. 5/5 ***** | 1 | [0.0004927841946482658, 0.9995071887969971] | [0.8390830755233765, 0.16091689467430115] | success | 512 | 0.369231 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,651 | Avec des images très belles et des réflexion percutantes le film est étonnant de vitalité. Michel Simon est encore meilleur que dans Boudu, si on peut ne pas aimer le film, on ne peut être que bluffé par son jeu à moins d'aimer la guimauve et le consensuel. | Avec des images peu belles et des réflexion percutantes le filmmaking est étonnant de vitalité. Michel Simon est again meilleur oye dans Boudu, si on peut ne pas aimer le film, on ne peut être é bluffé par son jeu trop moins d'aimer du guimauve et le consensuel. | 1 | [0.0013248407049104571, 0.9986751675605774] | [0.6438025236129761, 0.3561975061893463] | success | 233 | 0.145833 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,652 | Un film beau, plein d'espoir et d'amour à faire pousser en soi. Il n'est jamais trop tard, mais plus on commence tôt plus on grandit bien, et plus nos enfants seront guéris de nos erreurs | Un cinematographer gentil, plein d'espoir nor d'amour à faire pousser de soi. Il n'est jamais vraiment belated, rien plus on beginner tôt plus on grandit bien, et plus non enfants seront guéris de nada erreurs | 1 | [0.0007696548709645867, 0.9992303848266602] | [0.9092792868614197, 0.09072065353393555] | success | 240 | 0.285714 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,654 | Tout simplement pas drôle. Un comble pour une comédie. | Tout simplement fides drôle. Un comble pour une comédie. | 0 | [0.999769389629364, 0.00023057132784742862] | [0.005529767833650112, 0.9944702386856079] | success | 15 | 0.111111 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,655 | Pas pire, pas meilleur que le premier opus. Le scénario ne tient pas la route, on est dans du téléfilm, mais le couple Trejo/Glover semble s'amuser, donc nous aussi... | Pas poorer, fide meilleur que le premier opus. Le scénario ne tient pas la paths, on est dans du téléfilm, mais le couple Trejo/Glover semble s'amuser, donc nous aussi... | 0 | [0.9997518658638, 0.00024816763470880687] | [0.4290190041065216, 0.570980966091156] | success | 70 | 0.1 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,656 | Et bien, que de critiques d'exception pour un film ma foi assez médiocres! Autant, il est vrai que les numéros musicaux sont plutot honnêtes, avec de bonnes chansons (You're the one that I want) autant il me parait difficile de faire plus abyssal d'un point de vue scénaristique et des personnages, à la psychologie zéro. Quant au scénario, on pourrait le résumer à "des jeunes draguent dans un campus". Si ce film n'est pas désagréble, il n'en est pas bon poure autant. | Ja bien, que into critiques d'exception sur international film ma foi assez médiocres! Autant, il est trés é les numéros musicaux pense plutot honnêtes, avec de bonnes chansons (You're the one that I want) autant il me parait difficile with faire plus abyssal d'un aspect en vue scénaristique et des personnages, peu la psychologie zéro. Quant au scénario, on pourrait le résumer à "des jeunes draguent dans un campus". Si ce film n'est pas désagréble, il n'en est fide yeah poure autant. | 0 | [0.9996694326400757, 0.0003305697173345834] | [0.4983211159706116, 0.5016788244247437] | success | 308 | 0.158537 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,657 | Si "Meurtre" avait été un film irréprochable, ce remake plan par plan aurait été moins frustrant. Mais malheureusement, Hitchcock ne profite pas de l'opportunité qui lui ait donné ici pour améliorer son histoire dans le fond et dans la forme. | Lf "Meurtre" avait été jt film irréprochable, ce remake piano fer plan aurait été moins frustrant. Mais malheureusement, Hitchcock ne profite pas en l'opportunité peut lui ait donné ici aux améliorer son histoire dans lai adores et dans la shape. | 0 | [0.9980716109275818, 0.0019284005975350738] | [0.4670473039150238, 0.5329527258872986] | success | 138 | 0.25 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,658 | j'ai passé une super soirée à rigoler(cela faisait un moment et coup de bol tout le monde riait aussi dans la salle alors bon).;heureux de revoir cette famille d'acteur de gros calibre ou avec..une comédie Zombie pure jus façon BIO sous ambiance westerns spaghetti rigolo, plein de trouvaille (la bimbo écervelé, le hippie, ELVIS, le Monster truck etc). c'est propre (la réalisation surtout) ou bien gore à souhait, pour moi il fera parti d'un des meilleurs dans le genre, distrayant comme une attraction de Disneyland. | j'ai passé une handsome même à rigoler(cela faisait un moment et coup de bol tout le monde riait aussi dans la salle alors bon).;heureux de revoir cette famille d'acteur de gros calibre ni avec..une comédie Zombie pure jus façon BIO sous barometric westerns spaghetti rigolo, plein de trouvaille (la bimbo écervelé, le hippie, ELVIS, le Monster truck etc). c'est propre (la réalisation surtout) ou bien gore à souhait, vers moi il fera faded d'un à meilleurs dans le genre, distrayant comme une attracting de Disneyland. | 1 | [0.0005973128136247396, 0.999402642250061] | [0.9203684329986572, 0.07963153719902039] | success | 209 | 0.090909 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,659 | Typiquement le genre de petit film français que j'adore. Une histoire authentique et touchante, une pointe d'humour bien dosée et un trio de jeunes acteurs très convaincant en la personne d'Anaïs Demoustier, Félix Moati et Sophie Verbeeck. Un très bon moment ! | Typiquement le genre de petit film français que j'adore. Une histoire authentique et touchante, une pointe d'humour bien dosée et un trio de jeunes acteurs quelque convaincant en la personne d'Anaïs Demoustier, Félix Moati et Sophie Verbeeck. Un peu bon moment ! | 1 | [0.0009626389946788549, 0.9990373849868774] | [0.9452285766601562, 0.05477138236165047] | success | 147 | 0.04878 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,661 | J'ai adorée boruto : naruto le film la seul reproche que je soulignerai est les méchants pas du tout charismatique mais on eu peu le regretté puisque ça reste un film dit HS malgré que ça soit dans la trame de l'histoire de naruto gaiden ça reste pas moins un un film et non le manga papier comme on connaît si bien le méchant principal qui reste toujours plus charismatique du manga c'est MADARA UCHIWA alors sur ces belle parole je vous conseil d'approuvée ceux film comme un dénouement réussi !!!!!! Puis le duo naruto et sasuke qu'on retrouve des amies de toujours je ne peu pas emperchée de me dire que c'est une réussite de les revoir. | J'ai adorée boruto : naruto le panorama la solitude reproche que je soulignerai est les méchants pas du tout charismatique mais on eu là le regretté puisque ça reste un film ook HS malgré que vraiment soit dans la trame de l'histoire de naruto gaiden ça trop fe moins un un panorama y nope le manga papier trop on connaît si bien le méchant principal qui reste toujours plus charismatique du manga c'est MADARA UCHIWA alors sur ces belle parole je vous conseil d'approuvée ceux photos comme un dénouement réussi !!!!!! Puis le duo naruto et sasuke qu'on retrouve des amies de toujours je ne peu pas emperchée de me dire que c'est une réussite de les revoir. | 1 | [0.0008266032673418522, 0.9991733431816101] | [0.5052059888839722, 0.4947940707206726] | success | 450 | 0.103448 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,662 | Un "Action Movie" comme on les aime. Le duo d'acteurs inédit au cinéma tient la route : l'on prend plaisir à suivre les avancées de ce tandem de choc qui mêle habillement humour et scènes d'actions prenantes et réussit. L'intrigue est certes un peu légère, stéréotypée mais on ne peut pas demander la lune à ce type de film. Tango et Cash est un film qui ne vieillit pas, que l'on regarde avec toujours autant de plaisir. Un bon divertissement des années 80 comme il est rare d'en voir de nos jours. Les films d'actions ne sont plus ce qu'ils étaient. | Un "Action Movie" comme on les aime. Le duo d'acteurs inédit au cinéma tient la route : l'on prend plaisir à suivre les avancées de ce tandem de choc qui mêle habillement humour et scènes d'actions prenantes et réussit. L'intrigue est certes un peu légère, stéréotypée mais on ne peut pas demander la lune à ce type de moviemaking. Tango et Cash est un footage qui wo vieillit pas, que l'on regarde avec tout autant de trop. Internationale bon divertissement des années 80 comme il est scant d'en voir de non temps. Les movies d'actions ne sont plus ce qu'ils étaient. | 1 | [0.0005759081686846912, 0.9994240999221802] | [0.5012139678001404, 0.49878600239753723] | success | 275 | 0.1 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,663 | Un film très divertissant. L'univers de la magie est très agréable, les acteurs sont bons (comme toujours avec Edward Norton), le scénario est peut être un peu téléphoné et tiré par les cheveux mais les costumes et les décors sont parfaits et on se laisse emporter dans cette charmante histoire. | Un film manque divertissant. L'univers de la magie est peu agréable, les acteurs sont bons (comme toujours avec Edward Norton), le scénario est à être un peu téléphoné et tiré par les cheveux aqui les costumes et les décors sont parfaits et on se laisse emporter dans cette charmante histoire. | 1 | [0.0015320166712626815, 0.9984679818153381] | [0.6546711921691895, 0.3453288972377777] | success | 232 | 0.08 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,664 | Benoit Cohen signe une comédie pétillante, légère, fine et délicieuse. Parfaitement joué, le film diffuse un agréable parfum de troupe, de plaisir collectif , que renforce d’ailleurs la série, suite délirante, actuellement sur Canal. | Benoit Cohen omen trop comédie pétillante, légère, ok et délicieuse. Parfaitement joué, le photographed diffuse un agréable parfum for troupe, de faire collectif , que renforce d’ailleurs la série, serial délirante, actuellement concerning Canal. | 1 | [0.001370093785226345, 0.9986299276351929] | [0.5199555158615112, 0.48004451394081116] | success | 211 | 0.235294 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,667 | Fallait-il vraiment en faire un numéro 2 ? Le premier n'était-il pas déjà suffisamment raté ? Ils n'ont même pas réussi à faire pire, donc où était l'intérêt ? Le scénario est habituel et ceux qui doivent mourir meurent, le film ne fait pas peur et même pas vraiment rire... | Fallait-il peut by manque international numéro 2 ? Le frst n'était-il faith quelque suffisamment raté ? Ils n'ont même foi réussi veut manque sorriest, alors vous était l'intérêt ? De scénario est habituel ja ceux vous doivent mourir meurent, le cinematographers nee fact faith peur et reste foi alors rire... | 0 | [0.9997946619987488, 0.00020530851907096803] | [0.4691651165485382, 0.5308348536491394] | success | 506 | 0.489362 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,668 | Ce film est MOU ! Il ne se passe strictement rien ! De la peine à garder les yeux ouverts pendant. Même pas de musique de fond histoire de nous réveiller. L'histoire est trop longue pour raconter si peu de choses. On s'attendait à mieux ... | Cette filmmakers est MOU ! El ne se passe strictement peux ! De la peine puis garder les yeux ouverts jewelry. Même pas en musique de fond histoire with nous réveiller. L'histoire est putain longue sobre raconter si vrai en choses. In s'attendait peux mieux ... | 0 | [0.9997575879096985, 0.00024239177582785487] | [0.4026462435722351, 0.5973537564277649] | success | 344 | 0.325581 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,669 | Ca commencé bien(quoique) ..et patatra on tombe dans le vulgaire et le débile d'un teen movie américain dommage il y avait un peu de potentiel grace a notamment des acteurs interessants | Do commencé muy(quoique) ..et patatra on tombe peu li vulgaire et li débile d'un enfant drama américain dommage el y avait international alors with potentiel grace a notamment tak acteurs interessants | 0 | [0.9997738003730774, 0.00022625892597716302] | [0.4594305753707886, 0.5405694246292114] | success | 201 | 0.375 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,671 | etant un grand fan du glam rock et de la periode pop rock seventies ce film m'a compltement dèçu , c'est vraiment un navet dommage les musiques sont vraiment bien faites mais prendre la vrai histoire des bowie des Iggys pour servir le lobby Gays c'est vraiment du n'importe quoi avec une propagande tout le monde est bi LOL heu non je crois pas ... | etant un significant vents du glam rock et de la periode dad rock seventies ec cinematographers m'a compltement dèçu , c'est jamais un navet dommage sio musiques être trop alors fait muito prendre la vrai histoire di bowie des Iggys pour servir le lobby Heterosexuals c'est vraiment nova n'importe whereof contre une propagande pense le monde est bi LOL emu non je crois foi ... | 0 | [0.9997624754905701, 0.00023749936372041702] | [0.48521170020103455, 0.5147883296012878] | success | 565 | 0.31746 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,672 | En attendant de revoir les deux premiers Hostel, je fais de la critique de celui-là. De très loin c'est le plus mauvais de la saga. Il y a ça et là quelques moments assez flippants, mais on atteint jamais le niveau de stress présent dans les autres (surtout le premier), et ce film est plus une mascarade qu'une réelle suite de la saga Hostel. On a l'impression que tout le scénario a été écrit uniquement pour les scènes de tortures, qui sont je dois le dire créatives et stylisées. Le fait de les mettre en scène de telle sorte que cela devienne un spectacle est une idée assez intéressante mais pas assez fouillée. Pour le reste, il est vrai que dans les films de genre la torture a une place importante, mais elle n'occupe pas toute la place (Saw est un cas particulier), il faut un minimum de crédibilité pour convaincre. Là ce n'est jamais le cas. En somme, il y a quelques bonnes idées, mais Eli Roth aurait mieux fait de repasser lui-même derrière la caméra plutôt que de la confier à quelqu'un d'inexpérimenté. Dispensable bien sûr. | Fr accompany de examine les tres premiers Hostel, je peux de la critique onto celui-là. De très loin c'est le plus mauvais toward loos saga. Il y a autre et manque quelques minute assez flippants, mais on atteint reste le niveau de stress présent même les autres (surtout le primera), et cette flick est plus une mascarade qu'une réelle suite en la saga Hostel. On a l'impression que tout le scénario a été écrit uniquement pour les scènes de torture, sont sont je dois le dire créatives et stylisées. Lai fait onto les mettre en scène de telle sorte joao cela devienne un exposition est une idée assez intéressante mais pas assez fouillée. Pour le avez, il est vrai cq chez les films of whatsoever la torture a votre places importante, mais elle n'occupe pas toute la place (Commented est un instance particulier), il manque un minimum in crédibilité pour convaincre. Là ce n'est jamais le cas. En suma, il y a quelques bonnes idées, comme Eli Roth aurait mieux fait de repasser lui-même derrière la caméra plutôt kleber de la confier à quelqu'un d'inexpérimenté. Extraneous bien sûr. | 0 | [0.9997969269752502, 0.00020313858112785965] | [0.4496527314186096, 0.5503472089767456] | success | 1,025 | 0.202128 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,673 | J'ai vraiment très apprécié ce film et je ne saurais sans doute mieux dire pourquoi que Toutou. J'ajouterais juste que certains aspects très intéressants et pourtant pratiquement jamais visibles dans les film hollywoodiens sont ici évoqués par le biais de sequences de la télévision tels que la promotion commerciale de médecine dont on ne peut même pas la qualifier de parallèle ou de douce mais de mensongère, la diffusion du créationnisme, etc. Tout cela mis bout à bout fournit un certain état du quotidien de la société américaine qui interpelle et participe à rendre compte d'une ambiance générale hallucinée et inculturée - et pourtant très ordinairement partagée aux USA - rendant ce film particulièrement attachant. La bande originale est excellente par ailleurs. | J'ai donc peu apprécié ce film et je ne saurais sans doute mieux dire pourquoi que Toutou. J'ajouterais juste que certains aspects très intéressants et pourtant pratiquement jamais visibles dans les film hollywoodiens sont ici évoqués par le biais de sequences de la télévision tels que la promotion commerciale de médecine dont on ne peut même pas la qualifier de parallèle ou de douce mais de mensongère, la diffusion du créationnisme, etc. Tout cela mis bout à bout fournit un certain état du quotidien de la société américaine qui interpelle et participe à rendre compte d'une ambiance générale hallucinée et inculturée - et pourtant très ordinairement partagée aux USA - rendant ce cinema particulièrement attachant. La bande originale est excellente par ailleurs. | 1 | [0.0005556030664592981, 0.9994444251060486] | [0.5065006613731384, 0.49349939823150635] | success | 234 | 0.025 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,674 | Même si les critiques de ce film sont mérités, j'ai quand même bien aimé ce film car c'est un nanar de l'espace. Il y en a très peu et dans celui-ci on y trouve un peu de tout : les acteurs ont chacun leur rôle (Rambo, prof je sais tout, bombasse au gros seins, stagiaire nunuche, "héros" légendaire ou pas, drogué qui fumerait même du sable), le dialogue en bois pour un film de vampire, de l'action à tout faire péter (ou pas, c'est un sarcasme là), des bêtises par ci par là dans le film et mélangez le tout en rajoutant qu'en l'an 3000 dans l'espace, il y a des vampires !!! Ce film est a classé dans le sens du divertissement horreur/thriller et non dans l'intelligence. Aussi je précise que dans ce film, j'ai été étonné au niveau du scénario concernant les acteurs car c'est plus ou moins inattendu à certain moment, notamment ce qui se font mordre. Ce 4/5 est ma note pour un film qui est à prendre au second degré. | Veut si les critics de ce film sont mérités, j'ai quand même alors aimé ce film car c'est un nanar de l'espace. Il y en a très peu et dans celui-ci on y trouve un peu de tout : les acteurs ont chacun leur rôle (Rambo, prof je sais tout, bombasse au gros seins, stagiaire nunuche, "héros" légendaire ou pas, drogué qui fumerait même du sable), le dialogue en bois pour un film de vampire, de l'action à tout faire péter (ou pas, c'est un sarcasme là), des bêtises par ci par là dans le film et mélangez le tout en rajoutant qu'en l'an 3000 dans l'espace, il y a des vampires !!! Ce film est a classé dans le sens du divertissement horreur/thriller et non dans l'intelligence. Aussi je précise que dans ce film, j'ai été étonné au niveau du scénario concernant les acteurs car c'est plus ou moins inattendu à certain moment, notamment ce qui se font mordre. Ce 4/5 est ma recalling pour un film qui est à prendre au second degré. | 1 | [0.0019317911937832832, 0.9980682730674744] | [0.6228920221328735, 0.37710797786712646] | success | 284 | 0.022857 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,675 | Le duo Kerven-Delépine signe ici une comédie satirique avec un Jean Dujardin en grande forme. On retrouve dans ce film l'esprit Grolandais qui caractérise les deux réalisateurs en mettent en scène des inconnus pour la plupart (une communauté d'Emmaüs). Le personnage incarné par Jean Dujardin est hilarant: il est allergique au travail mais veut gagner de l'argent avec une idée géniale (en l'occurrence une start-up de chirurgie esthétique). C'est souvent grinçant, militant également avec des répliques géniales (l'univers du football dépeint par Dujardin est culte). Mais c'est surtout un joli pied-de-nez fait à la société actuelle et à son président. A noter la superbe composition de l'inénarrable Yolande Moreau. Du très bon cinéma français engagé comme rarement. | Le duo Kerven-Delépine signe ici une comédie satirique avec un Jean Dujardin en grande forme. On retrouve dans ce film l'esprit Grolandais qui caractérise les deux réalisateurs en mettent en scène des inconnus pour la plupart (une communauté d'Emmaüs). Le personnage incarné par Jean Dujardin est hilarant: il est allergique au travail mais veut gagner de l'argent avec une idée géniale (en l'occurrence une start-up de chirurgie esthétique). C'est souvent grinçant, militant également avec des répliques géniales (l'univers du football dépeint par Dujardin est culte). Mais c'est surtout un joli pied-de-nez fait à la société actuelle et à son président. A noter la superbe composition de l'inénarrable Yolande Moreau. Du reste okay cinéma français engagé comme rarement. | 1 | [0.0009077377035282552, 0.9990922212600708] | [0.746320903301239, 0.2536790668964386] | success | 182 | 0.017094 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,676 | Predators : Après un premier épisode qui est un pur chef d’œuvre d’action intelligent et une suite qui est décevant car elle s’adapte pas et perd l’essence qui fait la série : la chasse, c’était du bourrin. On revint avec un film bien des années après, on pourrait penser que c’est un remake mais c’est une suite car elle parle du première. Et enfin, on retrouve notre bonne veille jungle avec un retour aux sources qui fait plaisir mais surtout, avec une bonne évolution de l’univers malgré que ça reste sobre, mais c’est suffisant pour que on se dit : c’est qu’un copier coller. La, il y a pas mal de rebondissement qui fait que ça évolue, déjà, on se croirait dans une simple jungle et bien vous allez vite découvrir que non et la, ça va devenir plus délicat car comme sortir de ça… Ou encore que cette fois, il ne faut pas affronter un mais plusieurs Predator et il évolue selon quelque chose, ça justifie pourquoi il chasse, pourquoi ils sont la et ce mystère qui se repend et qui se dévoile petit à petit apporte du suspense et j’ai trouvé ça vraiment bien, je vous en dis pas plus et je vous laisse découvrir. De plus, j’ai bien aimée que ils sont un groupe comme dans le premier, mais ils se connaissent pas et ils ont chacun leur capacité, c’est plutôt cool. De plus, il y a de l’action qui est vraiment efficace, une pile d’humour mais ça reste très sérieux. De plus, la réalisation est soignées, les effets spéciaux tops et on retrouve la bonne mise en scène de chasse qui s’adapter bien a la série. On retrouve aussi les musiques cultes de la série et ça c’est bien. Et pour finir, le casting est vraiment pas mal et les acteurs convaincants et en fondent pas trop, ils ne sont pas clichés. On a le droit a : Adrien Brody, Alice Braga, Topher Grace, Danny Trejo… Donc voila, très bon retour aux sources avec une bonne évolution, vraiment, c’est que du bon, même si il est pas aussi énorme que le premier, il reste très honorable. | Predator : Après un premier épisode qui est un pur chef d’œuvre d’action intelligent et une suite qui est décevant car elle s’adapte pas et perd l’essence qui fait la série : la chasse, c’était du bourrin. On revint avec un film bien des années après, on pourrait penser que c’est un remake mais c’est une suite car elle parle du première. Et enfin, on retrouve notre bonne veille jungle avec un retour aux sources qui fait plaisir mais surtout, avec une bonne évolution de l’univers malgré que ça reste sobre, mais c’est suffisant pour que on se maar : c’est qu’un copier coller. La, il y a pas mal de rebondissement qui fait que ça évolue, déjà, on se croirait dans une simple jungle et bien vous allez vite découvrir que non et la, ça va devenir plus délicat car comme sortir de ça… Ou encore que cette fois, il ne faut pas affronter un mais plusieurs Predator et il évolue selon quelque chose, ça justifie pourquoi il chasse, pourquoi ils sont la et ce mystère qui se repend et qui se dévoile petit à petit apporte du suspense et j’ai trouvé ça manque bien, je vous en dis pas plus et je vous laisse découvrir. De plus, j’ai bien aimée que ils sont un groupe comme dans le premier, mais ils se connaissent pas et ils ont chacun leur capacité, c’est plutôt cool. De plus, il y a de l’action qui est vraiment efficace, une pile d’humour mais ça reste manque sérieux. De plus, la réalisation est soignées, les effets spéciaux tops et on retrouve la bonne mise en scène de chasse qui s’adapter bien a la série. On retrouve aussi les musiques cultes de la série et ça c’est bien. Et pour finir, le casting est vraiment faith evil et les acteurs convaincants et en fondent pas trop, ils ne sont pas clichés. On a le droit a : Adrien Brody, Alice Braga, Topher Grace, Danny Trejo… Donc voila, manque bon retour aux sources avec une bonne évolution, vraiment, c’est que du okay, même si il est pas aussi énorme que le premier, il reste reste honorable. | 1 | [0.0008088697795756161, 0.9991911053657532] | [0.8941444754600525, 0.10585545748472214] | success | 559 | 0.024 |
sentiment | distilcamembert | allocine | textattack | textfooler | allocine | 1,677 | Une première partie intéressante, mais dès qu'on se retrouve dans le désert, au milieu des soldats, cela devient un peu n'importe quoi et on s'ennuie. Dommage, car ce ce sujet des greencard soldiers nous est peu connu et, à ma connaissance, n'avait jamais été traité au cinéma. | Très pièce partie intéressante, mais dès qu'on constitutes retrouve peut lai désert, au half des soldats, cela devient un peu n'importe celle y on s'ennuie. Dommage, car ce ce sujet des greencard soldiers nous est peu connu et, à ma connaissance, n'avait jamais été traité au cinéma. | 0 | [0.9997015595436096, 0.00029846312827430665] | [0.4987514019012451, 0.5012485980987549] | success | 197 | 0.170213 |