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J'ai été le voir pour comprendre si ce film méritait tout ce bashing. De base, je trouve la chronique d'Éric et Quentin dans Quotidien extrêmement inégale. Mais là je dois avouer que c'est nul. Mais c'est nuuuul... Aie aie aie leurs passages au grand écran est une catastrophe. Pas une seule fois j'ai rigoler, c'est vraiment malaisant. Blague pipi caca prout vu et archi revu, ridicule. Mais qu'est ce qu'ils jouent mal en plus, sans déconner. C'est grave de sortir ça au cinéma. Mieux vaut cuire sous la chaleur plutôt que d'aller voir ce "film".
J'ai été le voir pour comprendre si ce film méritait tout ce bashing. De base, je trouve la chronique d'Éric et Quentin dans Quotidien extrêmement inégale. Mais là je dois avouer que c'est nul. Mais c'est nuuuul... Aie aie aie leurs passages au grand écran est une catastrophe. Pas une seule fois j'ai rigoler, c'est vraiment malaisant. Blague pipi caca prout vu et archi revu, ridicule. Mais qu'est ce qu'ils jouent mal en plus, sans déconner. C'est grave de sortir ça au cinéma. Mieux vaut cuire sous la chaleur plutôt que d'aller voir ce "film".
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701
C'est plat. Le scénario est vraiment très mauvais, un ordinateur aurait pu le générer, le Niéme épisode d'une série lambda en carton est plus attrayant. Pas de rebondissement, pas d'intrigue, ça se résume au pitch. Je met une étoile entière, parce que j'ai déjà vu beaucoup pire, et parce que je soupçonne qu'une ou deux personnes sur les dizaines du tournage ont fait un effort considérable pour relever le tout (en vain).
C'est plat. Le scénario est vraiment très mauvais, un ordinateur aurait pu le générer, le Niéme épisode d'une série lambda en carton est plus attrayant. Pas de rebondissement, pas d'intrigue, ça se résume au pitch. Je met une étoile entière, parce que j'ai déjà vu beaucoup pire, et parce que je soupçonne qu'une ou deux personnes sur les dizaines du tournage ont fait un effort considérable pour relever le tout (en vain).
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702
Pour la dernière collaboration de Carné avec Prévert, «Les Portes de la nuit» (France, 1946) de Marcel Carné filme une France meurtrie, inscrite dans la tradition mélancolique de Carné. Sous une musique de Joseph Kosma qui porte l’œuvre jusque dans les cimes du désespoir, Carné et Prévert prouve que leur cinéma s’est toujours contenté d’être davantage poétique que réaliste. Sous les couverts d’un chant désespéré pour une France meurtrie par l’Occupation et la délation, le film révèle une poétique du destin. Croire au sort de la vie, c’est désengager le rôle qu’ont eu les collaborateurs. De ce postulat, le film de Carné ne vaudrait rien de plus qu’être perçu comme une ignominie. Or Carné peint un destin incapable et faillible, dépassé par la malveillance des collaborateurs. La perte d’une foi que le cinéaste illustre depuis «Le Quai des brumes» et que «Les Portes de la nuit» remet en contexte témoigne du mal qui ronge la société française. L’apparence que prend le Paris tourmenté de Carné et Prévert mêle les décors naturels, qui feront grandement lieux dans «L’Air de Paris», et les décors d’Alexandre Trauner fait de «Les Portes de la nuit» le passage à témoin d’une période poétique de Carné (celle avec Prévert) à sa période réaliste. Paris, personnage favoris de Carné, devient le terrain de jeu d’un fantastique commun. Les personnages du film, parangons des survivants de l’Occupation, se croisent dans les rues de Paris selon les schémas de la Fortune, incarnée par Jean Vilar. Ce grand homme de théâtre à l’interprétation impassible revêt la paralysie de la fatalité. Nietzche eût prononcé en 1883 la mort de Dieu, Carné met en scène cette mort, rend évident la totale responsabilité des êtres humains. Quelque soit l’appréciation qu’on puisse avoir de l’interprétation des acteurs, Carné et Prévert ont la force de faire une œuvre lucide. Dans le cadre du cinéma de Carné, «Les Portes de la nuit» ne révolutionne rien en revanche sinon procède au systématisme du pessimisme.
Pour la dernière collaboration de Carné avec Prévert, «Les Portes de la nuit» (France, 1946) de Marcel Carné filme une France meurtrie, inscrite dans la tradition mélancolique de Carné. Sous une musique de Joseph Kosma qui porte l’œuvre jusque dans les cimes du désespoir, Carné et Prévert prouve que leur cinéma s’est toujours contenté d’être davantage poétique que réaliste. Sous les couverts d’un chant désespéré pour une France meurtrie par l’Occupation et la délation, le film révèle une poétique du destin. Croire au sort de la vie, c’est désengager le rôle qu’ont eu les collaborateurs. De ce postulat, le film de Carné ne vaudrait rien de plus qu’être perçu comme une ignominie. Or Carné peint un destin incapable et faillible, dépassé par la malveillance des collaborateurs. La perte d’une foi que le cinéaste illustre depuis «Le Quai des brumes» et que «Les Portes de la nuit» remet en contexte témoigne du mal qui ronge la société française. L’apparence que prend le Paris tourmenté de Carné et Prévert mêle les décors naturels, qui feront grandement lieux dans «L’Air de Paris», et les décors d’Alexandre Trauner fait de «Les Portes de la nuit» le passage à témoin d’une période poétique de Carné (celle avec Prévert) à sa période réaliste. Paris, personnage favoris de Carné, devient le terrain de jeu d’un fantastique commun. Les personnages du film, parangons des survivants de l’Occupation, se croisent dans les rues de Paris selon les schémas de la Fortune, incarnée par Jean Vilar. Ce grand homme de théâtre à l’interprétation impassible revêt la paralysie de la fatalité. Nietzche eût prononcé en 1883 la mort de Dieu, Carné met en scène cette mort, rend évident la totale responsabilité des êtres humains. Quelque soit l’appréciation qu’on puisse avoir de l’interprétation des acteurs, Carné et Prévert ont la force de faire une œuvre lucide. Dans le cadre du cinéma de Carné, «Les Portes de la nuit» ne révolutionne rien en revanche sinon procède au systématisme du pessimisme.
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703
étrange film. c'est à la fois kitschissime et machiste, mais en même temps assumant totalement la sexualité comme mode de pensée, sans barrière sociale, et donnant aussi, et parallèlement, le rôle de puissance à la femme. étonnant que ce film ait autant cartonné dans les 70's
étrange film. c'est à la fois kitschissime et machiste, mais en même temps assumant totalement la sexualité comme mode de pensée, sans barrière sociale, et donnant aussi, et parallèlement, le rôle de puissance à la femme. étonnant que ce film ait autant cartonné dans les 70's
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704
L'accueil reçue par ce film montre à quel point le chemin est encore long vers l'égalité mais le simple fait qu'il ait quand même réussi à être diffusé, fut-ce sous forme d'un simple téléfilm, quand tant de chef-d'œuvres traitant de ce même genre de sujet, rencontrent encore tant de difficultés à être projetées dans les salles françaises, quand bien même elles font un tabac, à l'instar de "The King and the Clown" de Lee Jun-ik, dans des pays sensés être bien plus étroits d'esprit que celui encore considéré, à tord, comme celui des lumières, nous offre au moins une miette d'espoir de voir un jour un monde meilleur émerger enfin de toutes ces persécutions toujours ici subies mais à jamais impunies.
L'accueil reçue par ce film montre à quel point le chemin est encore long vers l'égalité mais le simple fait qu'il ait quand même réussi à être diffusé, fut-ce sous forme d'un simple téléfilm, quand tant de chef-d'œuvres traitant de ce même genre de sujet, rencontrent encore tant de difficultés à être projetées dans les salles françaises, quand bien même elles font un tabac, à l'instar de "The King and the Clown" de Lee Jun-ik, dans des pays sensés être bien plus étroits d'esprit que celui encore considéré, à tord, comme celui des lumières, nous offre au moins une miette d'espoir de voir un jour un monde meilleur émerger enfin de toutes ces persécutions toujours ici subies mais à jamais impunies.
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705
Je n'ai pas encore vu Her et Him (et je n'attends que ça !) donc impossible de parler de la qualité du concept pour le moment, mais ce Them est déjà magnifique, mystérieux et bouleversant... L'histoire reste banale mais la mise en scène, les répliques, les couleurs, les acteurs, la musique, apportent une touche à la fois fraîche et lourde de tristesse, de mélancolie, de non-dits... C'est beau.
Je n'ai pas encore vu Her et Him (et je n'attends que ça !) donc impossible de parler de la qualité du concept pour le moment, mais ce Them est déjà magnifique, mystérieux et bouleversant... L'histoire reste banale mais la mise en scène, les répliques, les couleurs, les acteurs, la musique, apportent une touche à la fois fraîche et lourde de tristesse, de mélancolie, de non-dits... C'est beau.
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706
Chef d'oeuvre, pas d'hésitation pour moi. La bande son mythique a été reprise dans bon nombre de clip et de bande d'annonce mais il ne faut pas oublier que c'est pour ce film qu'elle à été composée. Les acteurs sont tous parfait vraiment rien a redire, c'est du grand Aronofsky c'est certain. Je préfère de loin requiem for a dream à trainspotting car je le trouve plus fin, du fait qu'il ne traite pas vraiment de la drogue mais plutôt de la dépendance en général. Ors la dépendance c'est quelque chose qui nous touche tous plus ou moins à un moment de notre vie. Ce film est une vrai décente aux enfers. On plonge avec eux, on souffre avec eux. Je me souviens avoir eu envie de vomir dans les 5 dernières minutes du film qui sont à la limite du supportable. Ce que j'aime dans ce film c'est la façon dont le thème est abordé. On voit que la souffrance est multiple mais quel qu'elle soit elle est toujours destructrice. Elle touche à tous les ages, homme comme femme, elle n'épargne personne. On observe avec horreur ce quatuor se déchirer, se faire dévorer jusqu’à se recroqueviller sur eux-même dans la scène finale, fermés au monde, fermés à la vie, fermés à eux même, en position fœtale. Comme un fœtus encore trop prématuré pour respirer, encore trop faible et pour qui l'air vient lui bruler les poumons. Parce qu'ils sont fragiles ces êtres humains, derrière chacun d'eux se cache une blessure: une vieille femme qui se perd dans la solitude et la nostalgie d'une vie révolue, une jeune fille délaissée par ses parents qui n'ont jamais su lui donner l'amour qu'elle aurait dut avoir, l'attente d'une mère envers un fils qui n'aura pas su l'honorer. Tous les personnages sont comme des enfants blessés. des orphelins sans mère qui pleure une vie gâchée. ça touche, ça bouscule, ça ébranle. C'est le genre de film qu'on oublie jamais.
Chef d'oeuvre, pas d'hésitation pour moi. La bande son mythique a été reprise dans bon nombre de clip et de bande d'annonce mais il ne faut pas oublier que c'est pour ce film qu'elle à été composée. Les acteurs sont tous parfait vraiment rien a redire, c'est du grand Aronofsky c'est certain. Je préfère de loin requiem for a dream à trainspotting car je le trouve plus fin, du fait qu'il ne traite pas vraiment de la drogue mais plutôt de la dépendance en général. Ors la dépendance c'est quelque chose qui nous touche tous plus ou moins à un moment de notre vie. Ce film est une vrai décente aux enfers. On plonge avec eux, on souffre avec eux. Je me souviens avoir eu envie de vomir dans les 5 dernières minutes du film qui sont à la limite du supportable. Ce que j'aime dans ce film c'est la façon dont le thème est abordé. On voit que la souffrance est multiple mais quel qu'elle soit elle est toujours destructrice. Elle touche à tous les ages, homme comme femme, elle n'épargne personne. On observe avec horreur ce quatuor se déchirer, se faire dévorer jusqu’à se recroqueviller sur eux-même dans la scène finale, fermés au monde, fermés à la vie, fermés à eux même, en position fœtale. Comme un fœtus encore trop prématuré pour respirer, encore trop faible et pour qui l'air vient lui bruler les poumons. Parce qu'ils sont fragiles ces êtres humains, derrière chacun d'eux se cache une blessure: une vieille femme qui se perd dans la solitude et la nostalgie d'une vie révolue, une jeune fille délaissée par ses parents qui n'ont jamais su lui donner l'amour qu'elle aurait dut avoir, l'attente d'une mère envers un fils qui n'aura pas su l'honorer. Tous les personnages sont comme des enfants blessés. des orphelins sans mère qui pleure une vie gâchée. ça touche, ça bouscule, ça ébranle. C'est le genre de film qu'on oublie jamais.
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Voilà une comédie bien faiblarde, pourtant constituée d'un casting intéressant et d'un scénario prometteur. C'est ce qu'on voit au premier abord qui interpelle, à savoir Jason Biggs en proviseur adjoint d'une école élémentaire publique. Et quelle école! La moins bien cotée de l'état. Un directeur pourrit jusqu'à l'os, qui n'a pour ambition que de vider les caisses et disparaitre de la circulation. Un homme infecte qui ne fonctionne qu'aux pots de vin. Des profs attardés ou démotivés au point de recevoir les leçons de leurs élèves. Bref, un sacré tableau d'honneur. Une lutte peu conventionnelle débute alors entre le directeur et son adjoint, dont l'issue déterminera l'avenir de l'école. Pour Ed Helms, on repassera, car sa présence est inutile. Quant à Eva Longoria, il n'y a pas grand chose à dire de son surjeu et son manque d'implication. En réalité, ce film inspire peu de choses sinon le néant. Peu de choses en tout cas qui mériteraient d'être retenues. Tout juste distrayant. 2/5
Voilà une comédie bien faiblarde, pourtant constituée d'un casting intéressant et d'un scénario prometteur. C'est ce qu'on voit au premier abord qui interpelle, à savoir Jason Biggs en proviseur adjoint d'une école élémentaire publique. Et quelle école! La moins bien cotée de l'état. Un directeur pourrit jusqu'à l'os, qui n'a pour ambition que de vider les caisses et disparaitre de la circulation. Un homme infecte qui ne fonctionne qu'aux pots de vin. Des profs attardés ou démotivés au point de recevoir les leçons de leurs élèves. Bref, un sacré tableau d'honneur. Une lutte peu conventionnelle débute alors entre le directeur et son adjoint, dont l'issue déterminera l'avenir de l'école. Pour Ed Helms, on repassera, car sa présence est inutile. Quant à Eva Longoria, il n'y a pas grand chose à dire de son surjeu et son manque d'implication. En réalité, ce film inspire peu de choses sinon le néant. Peu de choses en tout cas qui mériteraient d'être retenues. Tout juste distrayant. 2/5
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Je n'ai pas dû comprendre la subtilité et le message de ce film, dont j'ai ouï qu'il était culte. Je pense que les deux dernières lettres du mot "culte" ont dû s'égarer.
Je n'ai pas dû comprendre la subtilité et le message de ce film, dont j'ai ouï qu'il était culte. Je pense que les deux dernières lettres du mot "culte" ont dû s'égarer.
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J'arrive chez moi un après-midi, et parmi le bazar je trouve le dvd de "Pathfinder", j'ouvre une bouteille et regarde le film, je ne crois pas avoir oublié à quel point ce film était une catastrophe à cause de l'alcool mais par son tout (clichés, scènes mal filmées, casting de serie Z et j'en passe...)
J'arrive chez moi un après-midi, et parmi le bazar je trouve le dvd de "Pathfinder", j'ouvre une bouteille et regarde le film, je ne crois pas avoir oublié à quel point ce film était une catastrophe à cause de l'alcool mais par son tout (clichés, scènes mal filmées, casting de serie Z et j'en passe...)
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L'un des meilleurs disney: humour, action, fantaisie, féérie et personnages drôles et attachants.
L'un des meilleurs disney: humour, action, fantaisie, féérie et personnages drôles et attachants.
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J'ai adoré ce film... Jeu d'acteur simple, sans grands effets spéciaux mais entremêlé d'un suspense constant du début à la fin. Typiquement Stephen King, à mon avis ce film est la meilleure transposition d'un de ses livres au grand écran. D'habitude je n'aime pas le long suspense mais ici, bizarrement, ça m'a enchanté. Je recommande chaudement. Ce genre de film ne plaît pas à tous, mais celui-ci risque d'en faire changer d'avis quelques un :D
J'ai adoré ce film... Jeu d'acteur simple, sans grands effets spéciaux mais entremêlé d'un suspense constant du début à la fin. Typiquement Stephen King, à mon avis ce film est la meilleure transposition d'un de ses livres au grand écran. D'habitude je n'aime pas le long suspense mais ici, bizarrement, ça m'a enchanté. Je recommande chaudement. Ce genre de film ne plaît pas à tous, mais celui-ci risque d'en faire changer d'avis quelques un :D
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Il est navrant qu'un film aussi fort passe presque inaperçu faute de promotion et de plus de salles disponibles. Des femmes se retrouvent seules, perdues dans le désert hostile du Liban, après que le bus les conduisant à la prison reculée où sont enfermés leurs maris ait été attaqué. Cette surprenante odyssée donne lieu à des scènes inattendues et à de beaux portraits de femmes, tout en stigmatisant avec habileté la situation absurde d'un pays éclaté. Le sentiment du danger est d'autant plus intense que la guerre et la violence qui rodent autour des protagonistes ne sont jamais directement montrées. La seule légère déception vient d'une conclusion pas vraiment maîtrisée. Encore un témoignage majeur du nouveau cinéma du Moyen-Orient.
Il est navrant qu'un film aussi fort passe presque inaperçu faute de promotion et de plus de salles disponibles. Des femmes se retrouvent seules, perdues dans le désert hostile du Liban, après que le bus les conduisant à la prison reculée où sont enfermés leurs maris ait été attaqué. Cette surprenante odyssée donne lieu à des scènes inattendues et à de beaux portraits de femmes, tout en stigmatisant avec habileté la situation absurde d'un pays éclaté. Le sentiment du danger est d'autant plus intense que la guerre et la violence qui rodent autour des protagonistes ne sont jamais directement montrées. La seule légère déception vient d'une conclusion pas vraiment maîtrisée. Encore un témoignage majeur du nouveau cinéma du Moyen-Orient.
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Vouloir mettre en image les événements de 69 sans une mise en scène soignée, voilà ce que l'on obtient : un loupé ! Des comportements stupides et totalement décalés avec la situation rendent le film totalement incohérent. Très orienté (copie ?) de "you're next" et/ou de "funny game", on a ici quelque chose d’insipide ! Navet 1 !!!
Vouloir mettre en image les événements de 69 sans une mise en scène soignée, voilà ce que l'on obtient : un loupé ! Des comportements stupides et totalement décalés avec la situation rendent le film totalement incohérent. Très orienté (copie ?) de "you're next" et/ou de "funny game", on a ici quelque chose d’insipide ! Navet 1 !!!
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Assez mauvais avec une histoire très limités et des dialogues et doublages français très mauvais !! Juste le plaisir de voir Danny Trejo qui se démène comme il peut et un grand plaisir de revoir le vieillissant Danny Glover
Assez mauvais avec une histoire très limités et des dialogues et doublages français très mauvais !! Juste le plaisir de voir Danny Trejo qui se démène comme il peut et un grand plaisir de revoir le vieillissant Danny Glover
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Encore le genre de filmsoù on sait déjà la fin avant d'être entrer dans la salle, bref heureusement que je ne suis pas allée le voir au ciné. J'ai trouvé ce film pathétique, les acteurs sont des clichés ambulants, les répliques sont stupides. Bref le film à ne pas voir !
Encore le genre de filmsoù on sait déjà la fin avant d'être entrer dans la salle, bref heureusement que je ne suis pas allée le voir au ciné. J'ai trouvé ce film pathétique, les acteurs sont des clichés ambulants, les répliques sont stupides. Bref le film à ne pas voir !
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Sans être le meilleur, ce James Bond est bourré de qualité pourvu que l'on accepte le côté parodique caractéristique des films de la série interprétés par Roger Moore, d'autant que là ça va vraiment assez loin. Au titre des faiblesses, il faut bien avouer que Louis Jourdan campe un méchant assez fade, quant au général Orlov, il aurait gagné à être un peu moins agité. Sinon le film est cohérent dans son scénario, et si la partie indienne manque un peu de rythme, la seconde partie nous tient complètement en haleine en se permettant absolument tous les délires.
Sans être le meilleur, ce James Bond est bourré de qualité pourvu que l'on accepte le côté parodique caractéristique des films de la série interprétés par Roger Moore, d'autant que là ça va vraiment assez loin. Au titre des faiblesses, il faut bien avouer que Louis Jourdan campe un méchant assez fade, quant au général Orlov, il aurait gagné à être un peu moins agité. Sinon le film est cohérent dans son scénario, et si la partie indienne manque un peu de rythme, la seconde partie nous tient complètement en haleine en se permettant absolument tous les délires.
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Un autre chef-d'oeuvre de Coppola Avec rien qui manque dans ce thriller Francis ford Coppola est toujours au top
Un autre chef-d'oeuvre de Coppola Avec rien qui manque dans ce thriller Francis ford Coppola est toujours au top
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Le contraire exact de "Clara et moi", une comédie de boulevard superficielle sur des sujets graves filmée avec une caméra cinéma. On a toujours du mal à imaginer la femme bourgeoise d'un bourgeois du Trocadéro tel que Clavier être proche, 40 ans après, des problèmes existentiels des trentenaires de 2004, mais là, comparé au film avec Julie Gayet, ça frise le ridicule. Rien à dire sur le rythme, les rebondissements, la qualité du scénario et même la photographie. Ce qui pêche, ce sont les acteurs, tous issus du théâtre de boulevard ou de fictions TV, mais aussi le côté comédie légère sur laquelle l'émotion n'arrive pas à coller. Un peu à côté de la plaque, quoi, et un humour convenu limite has been, bref, presque moins bon que "pose tes mains sur mes hanches" déjà limite. C'est aussi le côté fourre tout, d'autres choses déjà vues, qui ennuie. Il reste quelques bonnes répliques, et de la bonne humeur.
Le contraire exact de "Clara et moi", une comédie de boulevard superficielle sur des sujets graves filmée avec une caméra cinéma. On a toujours du mal à imaginer la femme bourgeoise d'un bourgeois du Trocadéro tel que Clavier être proche, 40 ans après, des problèmes existentiels des trentenaires de 2004, mais là, comparé au film avec Julie Gayet, ça frise le ridicule. Rien à dire sur le rythme, les rebondissements, la qualité du scénario et même la photographie. Ce qui pêche, ce sont les acteurs, tous issus du théâtre de boulevard ou de fictions TV, mais aussi le côté comédie légère sur laquelle l'émotion n'arrive pas à coller. Un peu à côté de la plaque, quoi, et un humour convenu limite has been, bref, presque moins bon que "pose tes mains sur mes hanches" déjà limite. C'est aussi le côté fourre tout, d'autres choses déjà vues, qui ennuie. Il reste quelques bonnes répliques, et de la bonne humeur.
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La mort d'un enfant à l'âge de trois ans, l'infidélité du mari, son absence ont fait exploser un couple. L'homme est muté à huit h de train de la capitale. Cet éloignement permet au couple à se reconstituer dans le calme. Sur ce thème ultra-classique, Ozu (1903-1963) bâtit un film long et profond (2h20) qui décrit aussi la vie dans les grands bureaux des années 50, les relations entre les employés (amusements, flirts, angoisses, exploitation), leurs famille, le souvenir lancinant de la défaite et des morts de la guerre. Comme toujours son style incomparable et la troupe d'acteurs et de techniciens constituée autour de lui font merveille dans le très beau film Printemps Précoce (1956). Ozu, comme Fassbinder, Bergman, Cassavetes a travaillé toute sa vie avec une troupe d'excellents acteurs, devenus ses amis dans la vie, à l'image des grandes troupes de théâtre d'autrefois.
La mort d'un enfant à l'âge de trois ans, l'infidélité du mari, son absence ont fait exploser un couple. L'homme est muté à huit h de train de la capitale. Cet éloignement permet au couple à se reconstituer dans le calme. Sur ce thème ultra-classique, Ozu (1903-1963) bâtit un film long et profond (2h20) qui décrit aussi la vie dans les grands bureaux des années 50, les relations entre les employés (amusements, flirts, angoisses, exploitation), leurs famille, le souvenir lancinant de la défaite et des morts de la guerre. Comme toujours son style incomparable et la troupe d'acteurs et de techniciens constituée autour de lui font merveille dans le très beau film Printemps Précoce (1956). Ozu, comme Fassbinder, Bergman, Cassavetes a travaillé toute sa vie avec une troupe d'excellents acteurs, devenus ses amis dans la vie, à l'image des grandes troupes de théâtre d'autrefois.
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Super, j'ai trouvé cette comédie romantique très amusante. Les personnages sont drôles et sympathiques surtout le personnage principal et son père. Ouais c'est un peu cliché vers la fin, mais le film dans son ensemble est correct. Un bon petit film pour décompresser.
Super, j'ai trouvé cette comédie romantique très amusante. Les personnages sont drôles et sympathiques surtout le personnage principal et son père. Ouais c'est un peu cliché vers la fin, mais le film dans son ensemble est correct. Un bon petit film pour décompresser.
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Super film plein d'intelligence :) A revoir absolument :)
Super film plein d'intelligence :) A revoir absolument :)
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Film mou et lent au début on n a l impression que ça va être un super film alors que c est nul en plus je m attendais a une fin plus tordu alors que c est d' un pathétique. A la fin on se dit tout ça pour ça ouais...a ne pas aller voir sous n importe quel prétexte
Film mou et lent au début on n a l impression que ça va être un super film alors que c est nul en plus je m attendais a une fin plus tordu alors que c est d' un pathétique. A la fin on se dit tout ça pour ça ouais...a ne pas aller voir sous n importe quel prétexte
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Film qui tourne autour de plusieurs discutions avec comme theme les guerres. Film qui souhaite faire reflechir les spectateurs. Bonne initiative mais cela ressemble plus a un documentaire qu a un film. F inalement on y apprend pas grand chose meme en etant peu documenté..
Film qui tourne autour de plusieurs discutions avec comme theme les guerres. Film qui souhaite faire reflechir les spectateurs. Bonne initiative mais cela ressemble plus a un documentaire qu a un film. F inalement on y apprend pas grand chose meme en etant peu documenté..
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un très joli petit film, idéal en cette période de fêtes. l'histoire est très poétique, et l'humour se mélange bien à l'émotion. j'ai passé un agréable moment, même si j'étais seul dans la salle ^^ Stéphane Guillon est juste, Julie Gayet toujours aussi naturelle et lumineuse. et le gamin est bon aussi, c'est ça la magie de Noël! (et oui, aujourd'hui, on est le 25 décembre)
un très joli petit film, idéal en cette période de fêtes. l'histoire est très poétique, et l'humour se mélange bien à l'émotion. j'ai passé un agréable moment, même si j'étais seul dans la salle ^^ Stéphane Guillon est juste, Julie Gayet toujours aussi naturelle et lumineuse. et le gamin est bon aussi, c'est ça la magie de Noël! (et oui, aujourd'hui, on est le 25 décembre)
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La réalisatrice a sans doute eu les ambitions qu'elle est incapable d'atteindre avec l'adaption du roman Le Hérisson. Tout n'est certes pas a jeter mais deux points sont flagrants : - une trés mauvaise direction des artistes (dont la jeune actrice interprétant Paloma) et globalement un casting qui est en roue libre (Balasko tirant la tronche.... quelle stratagème de la réalisatrice pour habiter le personnage !!!) - un échec total pour créer un univers tant le symbolique est lourdingue (souligné ostentsiblement par des décors maladroits) et la réalisation lente et poussive : pour l'onirique on repassera !!! Au milieu de tout ce désastre, reste quelques scènes qui sonne juste mais pour lesquelles la réalisatrice n'est pas pour grand chose (les pires scènes sont celles des repas où la réalisatrice se croit obligés de créer une athmosphère par un va-et-viens lassant de gros plan puis extra-large sur différents acteurs). Quand au final, sentimentalo à deux balles, il est des plus gâchés...
La réalisatrice a sans doute eu les ambitions qu'elle est incapable d'atteindre avec l'adaption du roman Le Hérisson. Tout n'est certes pas a jeter mais deux points sont flagrants : - une trés mauvaise direction des artistes (dont la jeune actrice interprétant Paloma) et globalement un casting qui est en roue libre (Balasko tirant la tronche.... quelle stratagème de la réalisatrice pour habiter le personnage !!!) - un échec total pour créer un univers tant le symbolique est lourdingue (souligné ostentsiblement par des décors maladroits) et la réalisation lente et poussive : pour l'onirique on repassera !!! Au milieu de tout ce désastre, reste quelques scènes qui sonne juste mais pour lesquelles la réalisatrice n'est pas pour grand chose (les pires scènes sont celles des repas où la réalisatrice se croit obligés de créer une athmosphère par un va-et-viens lassant de gros plan puis extra-large sur différents acteurs). Quand au final, sentimentalo à deux balles, il est des plus gâchés...
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Un film réaliste qui ose dire la vérité. Un film-reportage bien rythmé, émouvant, qui met en valeur ceux qui, dans l'ombre, oeuvrent pour tenter de sauver l'humanité. Un film à voir absolument.
Un film réaliste qui ose dire la vérité. Un film-reportage bien rythmé, émouvant, qui met en valeur ceux qui, dans l'ombre, oeuvrent pour tenter de sauver l'humanité. Un film à voir absolument.
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Ce quatrième opus de la franchise "Phantasm", sorti en 1998 et toujours réalisé par Don Coscarelli est très mauvais et c'est d'ailleurs le plus mauvais de la saga. Et pourtant, avec les trois premiers, je ne pensais pas qu'on pouvait tomber encore plus bas mais visiblement, ce quatrième opus a prouvé le contraire ! Au risque de blesser les fans, je ne comprends effectivement pas du tout cet engouement envers cette saga qui n'a pas évoluée en vingt ans de temps et qui accumule les mêmes défauts sans développer ses faibles qualités ! Mais alors pourquoi ai-je continué jusqu'au quatrième opus ? Tout simplement car j'aime aller au bout des choses et que ma curiosité m'a poussé à savoir le fin mot de l'histoire. Car certes, si je n'aime pas ces films, j'aime cependant beaucoup l'histoire de base qui déborde d'inventivité et d'originalité. Malheureusement, les films partent de plus en plus loin et ce film ne fait pas exception. Nous avons un univers bourré d'incohérences avec des personnages pas du tout travaillés et un méchant qui se fait de plus en plus ridicule et non crédible. C'est très dommage car je pense que cette saga avait pourtant beaucoup de potentiel. Bon, les problèmes sont donc les mêmes, les effets spéciaux sont de plus en plus cheap (pourtant, il date de la fin des années 90 !) et on s'ennuie ferme pendant tout le film, je crois que c'est même le plus mou de tous. Du côté des acteurs, pas de nouveautés, ils sont toujours aussi mauvais mis à part peut-être Angus Scrimm, toujours aussi charismatique. "Phantasm 4 : Aux sources de la Terreur" est donc le plus mauvais film de la saga.
Ce quatrième opus de la franchise "Phantasm", sorti en 1998 et toujours réalisé par Don Coscarelli est très mauvais et c'est d'ailleurs le plus mauvais de la saga. Et pourtant, avec les trois premiers, je ne pensais pas qu'on pouvait tomber encore plus bas mais visiblement, ce quatrième opus a prouvé le contraire ! Au risque de blesser les fans, je ne comprends effectivement pas du tout cet engouement envers cette saga qui n'a pas évoluée en vingt ans de temps et qui accumule les mêmes défauts sans développer ses faibles qualités ! Mais alors pourquoi ai-je continué jusqu'au quatrième opus ? Tout simplement car j'aime aller au bout des choses et que ma curiosité m'a poussé à savoir le fin mot de l'histoire. Car certes, si je n'aime pas ces films, j'aime cependant beaucoup l'histoire de base qui déborde d'inventivité et d'originalité. Malheureusement, les films partent de plus en plus loin et ce film ne fait pas exception. Nous avons un univers bourré d'incohérences avec des personnages pas du tout travaillés et un méchant qui se fait de plus en plus ridicule et non crédible. C'est très dommage car je pense que cette saga avait pourtant beaucoup de potentiel. Bon, les problèmes sont donc les mêmes, les effets spéciaux sont de plus en plus cheap (pourtant, il date de la fin des années 90 !) et on s'ennuie ferme pendant tout le film, je crois que c'est même le plus mou de tous. Du côté des acteurs, pas de nouveautés, ils sont toujours aussi mauvais mis à part peut-être Angus Scrimm, toujours aussi charismatique. "Phantasm 4 : Aux sources de la Terreur" est donc le plus mauvais film de la saga.
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728
Effectivement il y a de la folie dans ce film et des bourgeois comme le titre l'indique ; cette histoire d'adultère est un peu décousue mais c'est plutôt amusant à voir et la distribution est excellente. Folies bourgeoises est un film mineur dans la carrière prolifique du grand Claude Chabrol. A signaler une bonne musique très baroque composée par Manuel De Sica.
Effectivement il y a de la folie dans ce film et des bourgeois comme le titre l'indique ; cette histoire d'adultère est un peu décousue mais c'est plutôt amusant à voir et la distribution est excellente. Folies bourgeoises est un film mineur dans la carrière prolifique du grand Claude Chabrol. A signaler une bonne musique très baroque composée par Manuel De Sica.
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729
Au secours - bon ok il faut bien payer ses factures mais quand même ! Tom Cruise s'est fourvoyé en jouant dans ce nanar - aucun intérêt - histoire remplie d'incohérences et d'imprécisions - bref si vous aimez la baston et les momies zombis allez y - sinon ce "chef-oeuvre " ne manquera pas à votre filmographie ideale.
Au secours - bon ok il faut bien payer ses factures mais quand même ! Tom Cruise s'est fourvoyé en jouant dans ce nanar - aucun intérêt - histoire remplie d'incohérences et d'imprécisions - bref si vous aimez la baston et les momies zombis allez y - sinon ce "chef-oeuvre " ne manquera pas à votre filmographie ideale.
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La Loi et l'Ordre s'avère être un film bien décevant au vu de son casting prestigieux. L'union de ces deux monstres sacrés du cinéma n'empêche pas le scénario d'aller vers les enfers au fur et à mesure que le temps passe, alors qu'il était déjà sans grande envergure au départ. La première partie accumule les clichés du genre et s'avère soporifique alors que ça commençait plutôt bien. La deuxième partie est plus originale avec les soupçons qui pèsent sur le personnage de Robert De Niro mais le rebondissement final est bien trop tardif pour étonner et quelque peu repérable. Mais le défaut majeur est la réalisation plus que moyenne, digne d'un téléfilm ou d'une sortie directe en vidéo! On appréciera juste les quelques blagues plaisantes qui longent le film... [1/4]
La Loi et l'Ordre s'avère être un film bien décevant au vu de son casting prestigieux. L'union de ces deux monstres sacrés du cinéma n'empêche pas le scénario d'aller vers les enfers au fur et à mesure que le temps passe, alors qu'il était déjà sans grande envergure au départ. La première partie accumule les clichés du genre et s'avère soporifique alors que ça commençait plutôt bien. La deuxième partie est plus originale avec les soupçons qui pèsent sur le personnage de Robert De Niro mais le rebondissement final est bien trop tardif pour étonner et quelque peu repérable. Mais le défaut majeur est la réalisation plus que moyenne, digne d'un téléfilm ou d'une sortie directe en vidéo! On appréciera juste les quelques blagues plaisantes qui longent le film... [1/4]
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Ah les aliens: qu'ils soient gentils ou méchants, drôles ou terrifiants, ils ont toujours eu une place dans le septième art. Pour commencer, il faut préciser une chose: le scénario d'ndepence Day ne brille pas par son intelligence mais plutôt par ses incohérences. Mais n'oublions pas que l'objectif principal du film reste de faire le plus de spectacle possible: il y réussit fort bien! Les batailles et attaques extraterrestres sont très impressionnantes et n'ont pas vraiment vieilli. Les acteurs s'en donnent à cœur joie, les décors sont beaux (surtout lorsqu'ils sont en miettes!) et le film possède tout de même des plans très appréciables Un peu trop de patriotisme américain à mon goût, mais cela m'a décroché quelques sourires. Des incohérences, certains choses assez stupides mais c'est pour ça qu'on aime le film!
Ah les aliens: qu'ils soient gentils ou méchants, drôles ou terrifiants, ils ont toujours eu une place dans le septième art. Pour commencer, il faut préciser une chose: le scénario d'ndepence Day ne brille pas par son intelligence mais plutôt par ses incohérences. Mais n'oublions pas que l'objectif principal du film reste de faire le plus de spectacle possible: il y réussit fort bien! Les batailles et attaques extraterrestres sont très impressionnantes et n'ont pas vraiment vieilli. Les acteurs s'en donnent à cœur joie, les décors sont beaux (surtout lorsqu'ils sont en miettes!) et le film possède tout de même des plans très appréciables Un peu trop de patriotisme américain à mon goût, mais cela m'a décroché quelques sourires. Des incohérences, certains choses assez stupides mais c'est pour ça qu'on aime le film!
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Le « Hostel » de trop, celui surtout connu pour son titre et qui fait tâche sur un CV! Rien ne rachète ici la banalitè de la mise en scène et encore moins la stupiditè du script! Au 10ème degrè, c'est plutôt drôle à voir! Au second, c'est consternant! Qu'il semble loin le premier volet d'Eli Roth où trois potes en vacances à Amsterdam faisait la connaissance d'un ètrange individu qui leur conseillait de se rendre en Slovaquie, où la fête battrait son plein! Suivit un horrible traquenard dont la seule issue semblait être la mort. "Hostel II" ètait du même tonneau avec cette fois trois ètudiantes en vacances en Europe qui pensaient se reposer et s'amuser dans un ètablissement de cure! Autant cette suite se justifiait pour en apprendre plus, et se mettait du cotè bourreau avec quelques innovations, autant ce troisième volet est totalement incohèrent avec un effet de surprise qui s'est carrèment volatilisè! Las Vegas prend des allures d'un opus de « Very Bad Trip » qui aurait mal tournè à l'occasion d'un enterrement de vie de garçon! Vous l'aurez compris, "Hostel III", c'est vraiment le dessus du panier! Intèrêt premier, et dernier, de cette bouse fraichement sorti du labo: le talent « multifacette » de Kip Pardue à se glisser dans la peau d’un personnage improbable! On pouffe encore de rire après la projo finie! Pour couronner le tout, c'est le volet le moins gore et le moins malsain de la saga avec un humour sadique absent! Visage arrachè et blattes tout azimut (le joli minois de Zulay Henao mèritait quand même un meilleur sort) ne font plus peur à personne! Même la fin est à fuir, nous renvoyant dans une copie conforme de "The Last House on the Left". Pas difficile à comprendre pourquoi ce chapitre est unanimement dètestè...
Le « Hostel » de trop, celui surtout connu pour son titre et qui fait tâche sur un CV! Rien ne rachète ici la banalitè de la mise en scène et encore moins la stupiditè du script! Au 10ème degrè, c'est plutôt drôle à voir! Au second, c'est consternant! Qu'il semble loin le premier volet d'Eli Roth où trois potes en vacances à Amsterdam faisait la connaissance d'un ètrange individu qui leur conseillait de se rendre en Slovaquie, où la fête battrait son plein! Suivit un horrible traquenard dont la seule issue semblait être la mort. "Hostel II" ètait du même tonneau avec cette fois trois ètudiantes en vacances en Europe qui pensaient se reposer et s'amuser dans un ètablissement de cure! Autant cette suite se justifiait pour en apprendre plus, et se mettait du cotè bourreau avec quelques innovations, autant ce troisième volet est totalement incohèrent avec un effet de surprise qui s'est carrèment volatilisè! Las Vegas prend des allures d'un opus de « Very Bad Trip » qui aurait mal tournè à l'occasion d'un enterrement de vie de garçon! Vous l'aurez compris, "Hostel III", c'est vraiment le dessus du panier! Intèrêt premier, et dernier, de cette bouse fraichement sorti du labo: le talent « multifacette » de Kip Pardue à se glisser dans la peau d’un personnage improbable! On pouffe encore de rire après la projo finie! Pour couronner le tout, c'est le volet le moins gore et le moins malsain de la saga avec un humour sadique absent! Visage arrachè et blattes tout azimut (le joli minois de Zulay Henao mèritait quand même un meilleur sort) ne font plus peur à personne! Même la fin est à fuir, nous renvoyant dans une copie conforme de "The Last House on the Left". Pas difficile à comprendre pourquoi ce chapitre est unanimement dètestè...
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graphiquement rien a redire c'est magnifique , un casting 4 étoiles , une BO magistrale , un film dont le mixte est 300 , le 13eme guerrier et le seigneur des anneau ce qui n'est pas rien ! allez le voir il en vaut vraiment le coup
graphiquement rien a redire c'est magnifique , un casting 4 étoiles , une BO magistrale , un film dont le mixte est 300 , le 13eme guerrier et le seigneur des anneau ce qui n'est pas rien ! allez le voir il en vaut vraiment le coup
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une tension omniprésente et une interprétation magistrale! A voir!
une tension omniprésente et une interprétation magistrale! A voir!
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Très bon film, Luc Besson (Subway, Le Grand Bleu, Nikita, Léon, Jeanne d'Arc, Le Cinquième Elément, Taxi 1,2,3 et 4) a très bien réussit cette adaptation du roman. La musique est sympa, Freddie Highmore (Charlie et la Chocolaterie, A la croisée des Mondes : la Boussole d'Or) joue très bien son rôle d'Arthur. Le monde des minimoys est vraiment très bien fait, les effets spéciaux sont réussit, il y a beaucoup d'humour grâce à Bétamèche qui a beaucoup d'humours. Il y a de l'action, du suspense, des scènes très sympathique à voir, car des fois on ne s'y attend pas. Les créatures de petites sont très bien faite, notamment les petits insectes, comme les moustiques, les verres de terre... Le méchant principale du film, c'est à dire M le maudit, Maltazard, me fait penser étrangement à Voldemort, le méchant de la saga culte d'Harry Potter. Bref, Luc Besson ne m'a pas du tout déçut en réalisant ce film qui est vraiment génial, on ne s'ennuie pas une seconde dans ce film, mais malheureusement Luc Besson realisera des suites, qui seront inférieurs à cet opus mais quand même pas mal. Un Chef d'Oeuvre, 5/5.
Très bon film, Luc Besson (Subway, Le Grand Bleu, Nikita, Léon, Jeanne d'Arc, Le Cinquième Elément, Taxi 1,2,3 et 4) a très bien réussit cette adaptation du roman. La musique est sympa, Freddie Highmore (Charlie et la Chocolaterie, A la croisée des Mondes : la Boussole d'Or) joue très bien son rôle d'Arthur. Le monde des minimoys est vraiment très bien fait, les effets spéciaux sont réussit, il y a beaucoup d'humour grâce à Bétamèche qui a beaucoup d'humours. Il y a de l'action, du suspense, des scènes très sympathique à voir, car des fois on ne s'y attend pas. Les créatures de petites sont très bien faite, notamment les petits insectes, comme les moustiques, les verres de terre... Le méchant principale du film, c'est à dire M le maudit, Maltazard, me fait penser étrangement à Voldemort, le méchant de la saga culte d'Harry Potter. Bref, Luc Besson ne m'a pas du tout déçut en réalisant ce film qui est vraiment génial, on ne s'ennuie pas une seconde dans ce film, mais malheureusement Luc Besson realisera des suites, qui seront inférieurs à cet opus mais quand même pas mal. Un Chef d'Oeuvre, 5/5.
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Voilà un beau film grâce aux beaux yeux de l'héroïne et aux belles couleurs assorties des burkas. Filmé avec un grand souci de l'esthétisme mais sans réusir à faire passer des émotions. Les portraits manquent de sincérité et de crédibilité. Très décevant, peut être parce que sur le même thème de l'Afghanistan sous les talibans, j'ai vu OSAMA avant de voir KANDAHAR. Le DVD contient, en bonus, un documentaire du réalisateur qui traite de la scolarisation des enfants réfugiés afghans en Iran. Pendant de longues minutes, le réalisateur interviewe des enfants de 5 à 9 ans environ: - Quel livre lis-tu? - Qui a écrit le Coran que tu es en train de lire? - Qui est Dieu? - A quoi ressemble Dieu? - Où est Dieu? - Pourquoi aimes-tu Dieu? No comment.
Voilà un beau film grâce aux beaux yeux de l'héroïne et aux belles couleurs assorties des burkas. Filmé avec un grand souci de l'esthétisme mais sans réusir à faire passer des émotions. Les portraits manquent de sincérité et de crédibilité. Très décevant, peut être parce que sur le même thème de l'Afghanistan sous les talibans, j'ai vu OSAMA avant de voir KANDAHAR. Le DVD contient, en bonus, un documentaire du réalisateur qui traite de la scolarisation des enfants réfugiés afghans en Iran. Pendant de longues minutes, le réalisateur interviewe des enfants de 5 à 9 ans environ: - Quel livre lis-tu? - Qui a écrit le Coran que tu es en train de lire? - Qui est Dieu? - A quoi ressemble Dieu? - Où est Dieu? - Pourquoi aimes-tu Dieu? No comment.
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I feel good, voilà l'état dans lequel on se trouve à la sortie de ce grand film. Qu'attend-t-on d'un grand film sinon qu'il nous procure des émotions vives, qu'il nous apporte une réflexion, une vision différente et intelligente du monde, du bonheur tout simplement. Alors oui, définitivement, Kervern et Delépine font du Grand Cinéma, humaniste, réaliste, sans pathos. On en sort grandi, plein d'espoir en se disant que le cinéma peut encore agir pour faire bouger les choses. Yolande Moreau est tout simplement sublime et d'une grande sincérité. Jean Dujardin est excellent dans l'un de ses meilleurs rôles. Cerise sur le gâteau, Mous et Akim apporte toute leur générosité musicale à cette cause qui leur tient particulièrement à cœur. Bref, si on cherchait la définition du Cinéma avec un grand "C", en voilà un bel exemple.
I feel good, voilà l'état dans lequel on se trouve à la sortie de ce grand film. Qu'attend-t-on d'un grand film sinon qu'il nous procure des émotions vives, qu'il nous apporte une réflexion, une vision différente et intelligente du monde, du bonheur tout simplement. Alors oui, définitivement, Kervern et Delépine font du Grand Cinéma, humaniste, réaliste, sans pathos. On en sort grandi, plein d'espoir en se disant que le cinéma peut encore agir pour faire bouger les choses. Yolande Moreau est tout simplement sublime et d'une grande sincérité. Jean Dujardin est excellent dans l'un de ses meilleurs rôles. Cerise sur le gâteau, Mous et Akim apporte toute leur générosité musicale à cette cause qui leur tient particulièrement à cœur. Bref, si on cherchait la définition du Cinéma avec un grand "C", en voilà un bel exemple.
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738
Vraiment pas terrible. En fait, c'est un film d'aventure de plus, avec violence, luttes et crimes. Tous les poncifs du cinéma bis sont là, les méchants, les bons, les traîtres, etc. Aucune profondeur, des dialogues plats, ne restent que quelques décors et costumes, et l'actrice principale qui n'est pas trop mal. Mais l'ensemble est très médiocre, tant du scénario que de la réalisation. Un film sans âme, et sans inspiration.
Vraiment pas terrible. En fait, c'est un film d'aventure de plus, avec violence, luttes et crimes. Tous les poncifs du cinéma bis sont là, les méchants, les bons, les traîtres, etc. Aucune profondeur, des dialogues plats, ne restent que quelques décors et costumes, et l'actrice principale qui n'est pas trop mal. Mais l'ensemble est très médiocre, tant du scénario que de la réalisation. Un film sans âme, et sans inspiration.
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739
Des idées à chaque plan. Une créativité sans limite. Je suis un grand admirateur de Gus Van Sant et ici j'ai retrouvé cette admiration, j'ai vu du Gus Van Sant dans certains plans. Xavier Dolan aime filmer les amours impossible ( j'ai tué ma mère, Laurence Anyways ) et c'est toujours très réussi. Ralenti très bien maîtrisé, musique très belle. Un très bon film.
Des idées à chaque plan. Une créativité sans limite. Je suis un grand admirateur de Gus Van Sant et ici j'ai retrouvé cette admiration, j'ai vu du Gus Van Sant dans certains plans. Xavier Dolan aime filmer les amours impossible ( j'ai tué ma mère, Laurence Anyways ) et c'est toujours très réussi. Ralenti très bien maîtrisé, musique très belle. Un très bon film.
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"Connected" n'est qu'une simple conversion Asiatique (Plus précisément Chinoise) de "Cellular" réalisé par "David R. Ellis" en 2004. Si le thème inchangé reste indéniablement sympathique, le métrage ne semble avoir guère d'intérêt, surtout si vous avez déjà vu la version Américaine. Mis à part le changement de lieu, les nouveaux acteurs ou encore certaines scènes D'Action, on reste clairement dans le "Copié/Collé" typique. Agrémenté d'une "BO" catastrophique (Comme d'habitude avec les productions Chinoises), ce "Connected" n'a définitivement rien d'extraordinaire et ne risque certainement pas de faire de l'ombre au projet initial !
"Connected" n'est qu'une simple conversion Asiatique (Plus précisément Chinoise) de "Cellular" réalisé par "David R. Ellis" en 2004. Si le thème inchangé reste indéniablement sympathique, le métrage ne semble avoir guère d'intérêt, surtout si vous avez déjà vu la version Américaine. Mis à part le changement de lieu, les nouveaux acteurs ou encore certaines scènes D'Action, on reste clairement dans le "Copié/Collé" typique. Agrémenté d'une "BO" catastrophique (Comme d'habitude avec les productions Chinoises), ce "Connected" n'a définitivement rien d'extraordinaire et ne risque certainement pas de faire de l'ombre au projet initial !
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Un des mes films d'animation préférés. Wall e est touchant, marrant, la qualité d'animation est superbe, la rencontre entre le petit robot et Eve est magnifique. J'adores l'idée de baser l'histoire sur un sujet grave (le monde futur en ruine avec les blocs de déchets et les humains gros à cause des actes de la polution ... d'aujourd'hui). Film d'animation incontournable pour enfants et adultes.
Un des mes films d'animation préférés. Wall e est touchant, marrant, la qualité d'animation est superbe, la rencontre entre le petit robot et Eve est magnifique. J'adores l'idée de baser l'histoire sur un sujet grave (le monde futur en ruine avec les blocs de déchets et les humains gros à cause des actes de la polution ... d'aujourd'hui). Film d'animation incontournable pour enfants et adultes.
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742
J'ai trouvé de bons atouts à ce film. Déjà à chaque scène je me suis demandée et ce jusqu'au bout : " mais bordel qu'est -ce qu'il s'est vraiment passé"? Amanda est une jeune femme au comportement bien ambigu, Elle est accusée d'un meurtre en Italie, elle est Américaine, étudiante, et file un parfait amour..... serait-ce parce que les choses de l'amour sont plus simples dans la cité de la botte sacrée du romantisme? En fin de compte, vous choisirez vous-même votre fin, si vous avez bien suivi :-) Bon film !
J'ai trouvé de bons atouts à ce film. Déjà à chaque scène je me suis demandée et ce jusqu'au bout : " mais bordel qu'est -ce qu'il s'est vraiment passé"? Amanda est une jeune femme au comportement bien ambigu, Elle est accusée d'un meurtre en Italie, elle est Américaine, étudiante, et file un parfait amour..... serait-ce parce que les choses de l'amour sont plus simples dans la cité de la botte sacrée du romantisme? En fin de compte, vous choisirez vous-même votre fin, si vous avez bien suivi :-) Bon film !
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743
Quand on dispose d'une histoire vraie aussi fantastique c'est une chance mais aussi une responsabilité et une pression pour être au niveau. Ce film y parvient parfaitement en arrivant à nous faire partager la passion de Philippe Petit pour le funambulisme alors que la plupart d'entre nous est complètement étranger à cette pratique. Casting réussie, réalisation originale et efficace concourent à nous faire adhérer à ce récit et à créer une forme de suspens alors que le dénouement est parfaitement connu. Les histoires d'amour et d'amitié s'intègrent avec harmonie. J'ai vu la version 2D et contrairement à la plupart du temps j'ai regretté la 3D qui compte tenu du spectacle offert apporte sans doute un vrai plus.
Quand on dispose d'une histoire vraie aussi fantastique c'est une chance mais aussi une responsabilité et une pression pour être au niveau. Ce film y parvient parfaitement en arrivant à nous faire partager la passion de Philippe Petit pour le funambulisme alors que la plupart d'entre nous est complètement étranger à cette pratique. Casting réussie, réalisation originale et efficace concourent à nous faire adhérer à ce récit et à créer une forme de suspens alors que le dénouement est parfaitement connu. Les histoires d'amour et d'amitié s'intègrent avec harmonie. J'ai vu la version 2D et contrairement à la plupart du temps j'ai regretté la 3D qui compte tenu du spectacle offert apporte sans doute un vrai plus.
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744
Un moment d'èvasion et de romantisme pour les adolescentes en quête d'histoire à l'eau de rose racontant l'amour improbable entre un beau et gènèreux vampire "vègètarien" et une jeune humaine sensible, innocente mais forte! Le film peine à dèmarrer et certains personnages sont stèrèotypès mais on pardonne assez vite ces petites lacunes grâce à l'alchimie entre les deux jeunes acteurs que sont Kristen Stewart et Robert Pattinson, idèal en "Romèo & Juliette" du cinèma fantastique-romantique adaptè de l'oeuvre de Stephenie Meyer! C'est creux, c'est clichè et c'est très girly! Le seul opus valable pour l'une des franchises les plus mauvaises de tous les temps...
Un moment d'èvasion et de romantisme pour les adolescentes en quête d'histoire à l'eau de rose racontant l'amour improbable entre un beau et gènèreux vampire "vègètarien" et une jeune humaine sensible, innocente mais forte! Le film peine à dèmarrer et certains personnages sont stèrèotypès mais on pardonne assez vite ces petites lacunes grâce à l'alchimie entre les deux jeunes acteurs que sont Kristen Stewart et Robert Pattinson, idèal en "Romèo & Juliette" du cinèma fantastique-romantique adaptè de l'oeuvre de Stephenie Meyer! C'est creux, c'est clichè et c'est très girly! Le seul opus valable pour l'une des franchises les plus mauvaises de tous les temps...
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745
Carpenter est un maitre du cinéma, il l’utilise jusqu’à en abuser ce qui m’empêche ici de mettre une cinquième étoile. Son scénario est superbe et le déroulé cinématographique le suit scrupuleusement à la bonne vitesse…Le rythme lent du récit compensant avec bonheur le manque de budget. C’est d’ailleurs formidable de constater ce que Carpenter peut faire avec si peu de moyens financiers, cela se voit seulement si on y réfléchit. Derrière tous ces personnages plus ou moins effrayants se cache une philosophie intéressante sur les différentes religions qui nous sont plus ou moins imposées durant notre jeunesse. C’est une très bonne chose que d’y repenser avec un tel film où le mal apparaît en métaphores visuelles, le bien restant caché. Ne subsistent que la force de survie et la peur de la mort. La fin est magnifique avec un sacrifice final de toute beauté. Des films d’horreur comme celui ci qui font tant réfléchir, on en redemande.
Carpenter est un maitre du cinéma, il l’utilise jusqu’à en abuser ce qui m’empêche ici de mettre une cinquième étoile. Son scénario est superbe et le déroulé cinématographique le suit scrupuleusement à la bonne vitesse…Le rythme lent du récit compensant avec bonheur le manque de budget. C’est d’ailleurs formidable de constater ce que Carpenter peut faire avec si peu de moyens financiers, cela se voit seulement si on y réfléchit. Derrière tous ces personnages plus ou moins effrayants se cache une philosophie intéressante sur les différentes religions qui nous sont plus ou moins imposées durant notre jeunesse. C’est une très bonne chose que d’y repenser avec un tel film où le mal apparaît en métaphores visuelles, le bien restant caché. Ne subsistent que la force de survie et la peur de la mort. La fin est magnifique avec un sacrifice final de toute beauté. Des films d’horreur comme celui ci qui font tant réfléchir, on en redemande.
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746
Vous vous souvenez du premier volet de "Underworld", notamment du passage de 10 mn lors duquel on nous explique pourquoi les lycans sont en réalité de gentilles bêtes poilues ? Eh bien des pauvres types de Hollywood ont voulu en faire un film entier. L'intérêt est donc nul, si vous avez déjà vu le premier épisode, et quasiment nul si ce n'est pas le cas. Car il ne se passe pas grand chose, on pourrait résumer le film en deux lignes. Oui, c'est très beau visuellement, mais cela ne suffit pas.
Vous vous souvenez du premier volet de "Underworld", notamment du passage de 10 mn lors duquel on nous explique pourquoi les lycans sont en réalité de gentilles bêtes poilues ? Eh bien des pauvres types de Hollywood ont voulu en faire un film entier. L'intérêt est donc nul, si vous avez déjà vu le premier épisode, et quasiment nul si ce n'est pas le cas. Car il ne se passe pas grand chose, on pourrait résumer le film en deux lignes. Oui, c'est très beau visuellement, mais cela ne suffit pas.
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747
Mélancolie… ce film drôle n'est pas si drôle. Il épingle, douloureusement, nos prisons. Prisonniers de nos "goûts" qui ne sont nôtres que parce que nous sommes nés de tel côté de la culture, ou bien, parce qu'évadés, nous sommes désormais coupés de nos origines, exilés. Parce que, trop pareils à nos pairs, nous loupons la rencontre avec l'altérité. parce que la culture pour tous, cela n'existe pas. Jaoui n'avait, dit-elle, pas lu "La Distinction", le livre de Bourdieu, quand elle fit ce film. Elle l'avait par contre absolument compris.
Mélancolie… ce film drôle n'est pas si drôle. Il épingle, douloureusement, nos prisons. Prisonniers de nos "goûts" qui ne sont nôtres que parce que nous sommes nés de tel côté de la culture, ou bien, parce qu'évadés, nous sommes désormais coupés de nos origines, exilés. Parce que, trop pareils à nos pairs, nous loupons la rencontre avec l'altérité. parce que la culture pour tous, cela n'existe pas. Jaoui n'avait, dit-elle, pas lu "La Distinction", le livre de Bourdieu, quand elle fit ce film. Elle l'avait par contre absolument compris.
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Un film noir mais très moral qui traite de pouvoir, de magouille financière, et d'amitié. Roschdy Zem joue dans un registre inabituel: celui inattendu d'un tueur à gages avec une pointe d'humour. Tous les personnages sont habités par leur role. A voir!
Un film noir mais très moral qui traite de pouvoir, de magouille financière, et d'amitié. Roschdy Zem joue dans un registre inabituel: celui inattendu d'un tueur à gages avec une pointe d'humour. Tous les personnages sont habités par leur role. A voir!
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749
Dans La Tête de Charles Swan III est le nouveau film de Roman Coppola (le fils de Francis Ford et le frère de Sofia oui c’est Coppola là!) 12 ans après CQ (Qui l’a vu? Qui s’en souvient?). Autant le dire directement Dans La Tête de Charles Swan III n’est pas un film, mais un clip arty et assez élégant. Un brouillon filmé, c’est plein d’idées visuelles, comiques et même scénaristique, sauf qu’au final ça ne raconte rien. On assiste à un film qui passe à côté de tout ce qui l’entreprend, il aurait pu être un magnifique film d’amour, un film amoureux et dépressif et même un biopic (inavoué) sur Charlie Sheen, mais non. L’essentiel du film réside dans les trouvailles visuelles et les ressorts comique sorti des 80′S, malheureusement c’est tout. LA SUITE DE CETTE CRITIQUE DANS LE LIEN CI-DESSOUS... *FreshBuzzCinéma*
Dans La Tête de Charles Swan III est le nouveau film de Roman Coppola (le fils de Francis Ford et le frère de Sofia oui c’est Coppola là!) 12 ans après CQ (Qui l’a vu? Qui s’en souvient?). Autant le dire directement Dans La Tête de Charles Swan III n’est pas un film, mais un clip arty et assez élégant. Un brouillon filmé, c’est plein d’idées visuelles, comiques et même scénaristique, sauf qu’au final ça ne raconte rien. On assiste à un film qui passe à côté de tout ce qui l’entreprend, il aurait pu être un magnifique film d’amour, un film amoureux et dépressif et même un biopic (inavoué) sur Charlie Sheen, mais non. L’essentiel du film réside dans les trouvailles visuelles et les ressorts comique sorti des 80′S, malheureusement c’est tout. LA SUITE DE CETTE CRITIQUE DANS LE LIEN CI-DESSOUS... *FreshBuzzCinéma*
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Il y a des films que l'on voit sans en attendre grand chose et qui marquent durablement. "The Constant Gardener" fait parti de cette catégorie de films, à mes yeux en tout cas. Ici rien de mélodramatique ni d'appuyé dans le jeu des interprêtes, tout est délicat et dosé avec minutie. Fernando Meirelles conserve le suspens présent dans le Best-Seller de John le Carré et le distille avec savoir-faire tout en prenant son temps. Ralph Fiennes est excellent comme toujours. Un film captivant et aérien.
Il y a des films que l'on voit sans en attendre grand chose et qui marquent durablement. "The Constant Gardener" fait parti de cette catégorie de films, à mes yeux en tout cas. Ici rien de mélodramatique ni d'appuyé dans le jeu des interprêtes, tout est délicat et dosé avec minutie. Fernando Meirelles conserve le suspens présent dans le Best-Seller de John le Carré et le distille avec savoir-faire tout en prenant son temps. Ralph Fiennes est excellent comme toujours. Un film captivant et aérien.
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751
C'est très drole et très divertissant , le trio d'acteur (Nighy-Blunt-Grint) est formidable . Certaines scenes de la seconde moitié sont toutefois un peu longues .
C'est très drole et très divertissant , le trio d'acteur (Nighy-Blunt-Grint) est formidable . Certaines scenes de la seconde moitié sont toutefois un peu longues .
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752
Numéro Quatre est pour moi un film qui reste simplet scénaristiquement mais qui pourtant m'a tenu en haleine jusqu'à la fin. Les effets visuels sont superbement bien réalisés (je pense surtout au combat final entre Quatre, Six et les Mogs). J'ai particulièrement apprécié le personnage de "Six" (qui est une vraie "badass") qu'on ne voit réellement qu'à la fin du film (dommage). A partir de là, par curiosité et par envie d'apprendre à connaître Six, j'ai lu la suite en livre ("Le Pouvoir des Six") et j'ai beaucoup aimé. J'espère sincèrement que ce deuxième tome sera adapté en film car il est dix fois plus puissant que le premier... Un film cool à suivre, à voir sans prise de tête.
Numéro Quatre est pour moi un film qui reste simplet scénaristiquement mais qui pourtant m'a tenu en haleine jusqu'à la fin. Les effets visuels sont superbement bien réalisés (je pense surtout au combat final entre Quatre, Six et les Mogs). J'ai particulièrement apprécié le personnage de "Six" (qui est une vraie "badass") qu'on ne voit réellement qu'à la fin du film (dommage). A partir de là, par curiosité et par envie d'apprendre à connaître Six, j'ai lu la suite en livre ("Le Pouvoir des Six") et j'ai beaucoup aimé. J'espère sincèrement que ce deuxième tome sera adapté en film car il est dix fois plus puissant que le premier... Un film cool à suivre, à voir sans prise de tête.
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753
Ce film de Robert de Niro est un film passionnant sur les coulisses de la CIA, loin de l'image des espions du cinéma. On suit sans ennui la vie, pleine de noirceur, de cet agent de la CIA à travers certaines des pages les plus noir de l'histoire moderne des USA.
Ce film de Robert de Niro est un film passionnant sur les coulisses de la CIA, loin de l'image des espions du cinéma. On suit sans ennui la vie, pleine de noirceur, de cet agent de la CIA à travers certaines des pages les plus noir de l'histoire moderne des USA.
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754
Le Japon, ses conventions, ses traditions sociales et culturelles. Les sentiments qu'ont ne dit pas, et qui n'arrivent même pas à la conscience tellement c'est lourd. Filmé comme un documentaire, surtout au niveau de la prise de son, ces films éveillent en nous le sentiment que le Japon n'a pas encore tout dit, que seuls les japonais peuvent entrevoir cette réalité pourtant évidente que les mots ne se disent pas, qu'ils ne s'expriment pas et que les sentiments doivent rester cachés. Sinon, au hasard d'un déséquilibre, tout bascule inexorablement : le départ de Jun (la femme par qui tout arrive) et le problème des femmes divorcées au Japon, les copines et les relations qui craquent, les adolescents et les rapports amoureux, les conventions, etc. Un excellent film sur cinq épisodes (Japon oblige), qui est parfois long pour un européen mais qu'il faut savoir surmonter. Inutile de chercher de l'action, même si certaines scènes n'en sont pas dépourvues. Inutile de chercher l'humour, même si certaines scènes en comportent. Le thème du suicide arrive forcément à la fin, comme dans tout bon film japonais qui se respecte.
Le Japon, ses conventions, ses traditions sociales et culturelles. Les sentiments qu'ont ne dit pas, et qui n'arrivent même pas à la conscience tellement c'est lourd. Filmé comme un documentaire, surtout au niveau de la prise de son, ces films éveillent en nous le sentiment que le Japon n'a pas encore tout dit, que seuls les japonais peuvent entrevoir cette réalité pourtant évidente que les mots ne se disent pas, qu'ils ne s'expriment pas et que les sentiments doivent rester cachés. Sinon, au hasard d'un déséquilibre, tout bascule inexorablement : le départ de Jun (la femme par qui tout arrive) et le problème des femmes divorcées au Japon, les copines et les relations qui craquent, les adolescents et les rapports amoureux, les conventions, etc. Un excellent film sur cinq épisodes (Japon oblige), qui est parfois long pour un européen mais qu'il faut savoir surmonter. Inutile de chercher de l'action, même si certaines scènes n'en sont pas dépourvues. Inutile de chercher l'humour, même si certaines scènes en comportent. Le thème du suicide arrive forcément à la fin, comme dans tout bon film japonais qui se respecte.
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755
Pour ceux qui souhaiteraient prolonger le plaisir "Twilight", id est un succédané d'intrigue à base d'ados aux pouvoirs hors-normes, donc incompris, et surtout en proie à de vilains pas beaux qui puent de la bouche. La similitude est telle qu'il suffit de remplacer le mot "vampire" par celui "d'extra-terrestre". Plagier c'est déjà moche, mais quand on plagie une bouse c'est carrément inqualifiable. Pour le reste, pas grand chose à déclarer, si ce n'est quelques scènes d'action assez bien ficelées, de jolies couleurs lapis-lazulées à l'écran et enfin des héros tout droit sortis d'un catalogue de chez Elite. Au final, on peut retenir trois choses : 1) les extra-terrestres mangent beaucoup trop de bonbecs, d'où une dentition déplorable et une haleine qui ne l'est pas moins ; 2) le chien est certes le meilleur ami de l'homme, mais aussi celui de l'alien, et faut vraiment pas le faire chier ; 3) "tu étais poussière et nous redeviendra poussière", la preuve irréfutable que Dieu à non seulement créé deux couillons se promenant nus dans le jardin d'Eden, mais il a aussi créé les martines, de là à supposer qu'il est vert avec des antennes il n'y a qu'un opas...
Pour ceux qui souhaiteraient prolonger le plaisir "Twilight", id est un succédané d'intrigue à base d'ados aux pouvoirs hors-normes, donc incompris, et surtout en proie à de vilains pas beaux qui puent de la bouche. La similitude est telle qu'il suffit de remplacer le mot "vampire" par celui "d'extra-terrestre". Plagier c'est déjà moche, mais quand on plagie une bouse c'est carrément inqualifiable. Pour le reste, pas grand chose à déclarer, si ce n'est quelques scènes d'action assez bien ficelées, de jolies couleurs lapis-lazulées à l'écran et enfin des héros tout droit sortis d'un catalogue de chez Elite. Au final, on peut retenir trois choses : 1) les extra-terrestres mangent beaucoup trop de bonbecs, d'où une dentition déplorable et une haleine qui ne l'est pas moins ; 2) le chien est certes le meilleur ami de l'homme, mais aussi celui de l'alien, et faut vraiment pas le faire chier ; 3) "tu étais poussière et nous redeviendra poussière", la preuve irréfutable que Dieu à non seulement créé deux couillons se promenant nus dans le jardin d'Eden, mais il a aussi créé les martines, de là à supposer qu'il est vert avec des antennes il n'y a qu'un opas...
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Un émouvant et magnifique biopic en hommage à un homme de paix et d'amour qui aura mené un long et beau combat contre les inégalités et injustices envers le peuple noir en Afrique du Sud. Les moments importants de sa vie sont mis en avant. On découvre aussi les défauts du personnage. Idris Elba incarne parfaitement le personnage de Mandela malgré une ressemblance peu approximative. On voit également les beaux paysages et les belles musiques de L'Afrique du sud. 4,5/5
Un émouvant et magnifique biopic en hommage à un homme de paix et d'amour qui aura mené un long et beau combat contre les inégalités et injustices envers le peuple noir en Afrique du Sud. Les moments importants de sa vie sont mis en avant. On découvre aussi les défauts du personnage. Idris Elba incarne parfaitement le personnage de Mandela malgré une ressemblance peu approximative. On voit également les beaux paysages et les belles musiques de L'Afrique du sud. 4,5/5
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757
Un chef d'œuvre, une réputation qui le précède, film maudit... Pour moi, ce sont les travers et la mesquinerie de l'Homme qui sont épinglés. De la même façon, une profonde compassion traverse le film. Il cristallise presque le meilleur et le pire de l'Homme. La narration est solide, on a bien une histoire, et on a vraiment une "galerie de personnages", plus qu'une "galerie de monstres". On passe de moments assez poétiques à d'autres carrément flippants (sur la fin). Freaks est à voir.
Un chef d'œuvre, une réputation qui le précède, film maudit... Pour moi, ce sont les travers et la mesquinerie de l'Homme qui sont épinglés. De la même façon, une profonde compassion traverse le film. Il cristallise presque le meilleur et le pire de l'Homme. La narration est solide, on a bien une histoire, et on a vraiment une "galerie de personnages", plus qu'une "galerie de monstres". On passe de moments assez poétiques à d'autres carrément flippants (sur la fin). Freaks est à voir.
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Pas trop mal. Une ambiance froide et étrange.
Pas trop mal. Une ambiance froide et étrange.
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J'ai vu un film... comme on en fait plus. Un brin de colonialisme, l'affirmation de la supériorité des armées européennes sur le monde et la magnificence dans toute sa splendeur de l'armée britannique... Un film comme on n'en fait plus, donc... Le politiquement correct et la lecture de l'histoire l'interdisent aujourd'hui... Un peu comme "Tintin au Congo" qui ne colle plus à l'air du temps... Pour en revenir au film, j'ai été impressionné par la qualité de la réalisation... Alors, certes, il y avait qq coup de sagaies enfoncés un peu mollement, mais dans l'ensemble on vibre à coup de grandiloquence, d'actes de bravoure et de courage. Les paysages, la musique et en particulier les chants rendent hommages à ce beau pays qu'est l'Afrique du Sud... Ce film, outre ces scènes d'action à la "Fort Alamo" posent également quelques questions sur la guerre, la vie ou la mort de ces milliers d'hommes... Ce film n'humanise pas suffisamment les Zoulous pour mesurer la violence, les tueries et la mort de tous ces guerriers Zoulous. Toutefois, on peut aussi relever que pour un film "d'époque", les Zoulous ont été respectés en tant que culture... On n'a pas l'impression d'y voir une parodie de "culture africaine"... C'eut été intéressant d'incarner ces guerriers zoulous par un ou deux visages récurrents qui auraient pu "exprimer" quelques sentiments, sensations, émotions. Par ailleurs, Stanley Baker, ainsi que Michael Caine sont exceptionnels, et ce ne sont pas les seuls...
J'ai vu un film... comme on en fait plus. Un brin de colonialisme, l'affirmation de la supériorité des armées européennes sur le monde et la magnificence dans toute sa splendeur de l'armée britannique... Un film comme on n'en fait plus, donc... Le politiquement correct et la lecture de l'histoire l'interdisent aujourd'hui... Un peu comme "Tintin au Congo" qui ne colle plus à l'air du temps... Pour en revenir au film, j'ai été impressionné par la qualité de la réalisation... Alors, certes, il y avait qq coup de sagaies enfoncés un peu mollement, mais dans l'ensemble on vibre à coup de grandiloquence, d'actes de bravoure et de courage. Les paysages, la musique et en particulier les chants rendent hommages à ce beau pays qu'est l'Afrique du Sud... Ce film, outre ces scènes d'action à la "Fort Alamo" posent également quelques questions sur la guerre, la vie ou la mort de ces milliers d'hommes... Ce film n'humanise pas suffisamment les Zoulous pour mesurer la violence, les tueries et la mort de tous ces guerriers Zoulous. Toutefois, on peut aussi relever que pour un film "d'époque", les Zoulous ont été respectés en tant que culture... On n'a pas l'impression d'y voir une parodie de "culture africaine"... C'eut été intéressant d'incarner ces guerriers zoulous par un ou deux visages récurrents qui auraient pu "exprimer" quelques sentiments, sensations, émotions. Par ailleurs, Stanley Baker, ainsi que Michael Caine sont exceptionnels, et ce ne sont pas les seuls...
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760
Je suis retourné voir le film une troisième fois ! J'emmène à chaque fois des amis différents. Ce film transporte ! Il est plein d'optimisme et ancré dans le présent. C'est aujourd'hui que l'on agit, que nos mentalités changent et que l'on défend notre planète. Nous sommes tous Gardiens de la Terre ! Au delà des messages, les images sont splendides, d'un naturalisme saisissant, la musique est parfaite. Foncez !
Je suis retourné voir le film une troisième fois ! J'emmène à chaque fois des amis différents. Ce film transporte ! Il est plein d'optimisme et ancré dans le présent. C'est aujourd'hui que l'on agit, que nos mentalités changent et que l'on défend notre planète. Nous sommes tous Gardiens de la Terre ! Au delà des messages, les images sont splendides, d'un naturalisme saisissant, la musique est parfaite. Foncez !
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761
Mary Bee Cuddy et Georges Briggs sont deux personnages solitaires, et vont devoir conduire trois femmes folles dans l'Iowa. Tommy Lee Jones reprend donc le thème du voyage, mais parvient à le ménager en péripéties (celles-ci sont d'ailleurs toutes formidables, avec un mélange étonnant de tragique et de burlesque) et à en faire une sorte d'épreuve interminable, avec ce sublime travail sur les ellipses, où les personnages vont véritablement se découvrir. Un film étonnant, qui prend sans cesse le spectateur à contre-pied, que ce soit dans l'évolution de la relation entre Cuddy et Briggs, ou dans la façon dont le récit est mené. Le fait notamment de mettre une demi-heure à présenter ces femmes folles et le personnage d' Hilary Swank, ou encore de mettre en scène des péripéties très brèves et qui seront sans suite est très surprenant. Cela atteste de la liberté d'un film qui parvient à être à la fois violent, avec des images particulièrement dures, drôle et émouvant, avec le regard d'un metteur en scène sur ses personnages qui change en même temps que celui du spectateur. Un western audacieux qui mériterait amplement un prix à Cannes.
Mary Bee Cuddy et Georges Briggs sont deux personnages solitaires, et vont devoir conduire trois femmes folles dans l'Iowa. Tommy Lee Jones reprend donc le thème du voyage, mais parvient à le ménager en péripéties (celles-ci sont d'ailleurs toutes formidables, avec un mélange étonnant de tragique et de burlesque) et à en faire une sorte d'épreuve interminable, avec ce sublime travail sur les ellipses, où les personnages vont véritablement se découvrir. Un film étonnant, qui prend sans cesse le spectateur à contre-pied, que ce soit dans l'évolution de la relation entre Cuddy et Briggs, ou dans la façon dont le récit est mené. Le fait notamment de mettre une demi-heure à présenter ces femmes folles et le personnage d' Hilary Swank, ou encore de mettre en scène des péripéties très brèves et qui seront sans suite est très surprenant. Cela atteste de la liberté d'un film qui parvient à être à la fois violent, avec des images particulièrement dures, drôle et émouvant, avec le regard d'un metteur en scène sur ses personnages qui change en même temps que celui du spectateur. Un western audacieux qui mériterait amplement un prix à Cannes.
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Le Grand Alligator lorgne sans conteste du côté des Dents de la mer et bien que Sergio Martino soit un solide artisan du bis italien ici malgré une réalisation correcte il aura du mal à maintenir jusqu'au bout notre intérêt. Le scénario est plutôt indigeste mais c'est surtout des attaques du grand alligator totalement sans effet et une aventure bien pauvre qui pénalisent ce film raté et complétement dépassé. Mine de rien on peut voir une vague dénonciation de l'exploitation de lieux vierges et naturels dans Le Grand Alligator à des fins purement commerciaux. Cipriani a signé une sympathique musique au son rythmique.
Le Grand Alligator lorgne sans conteste du côté des Dents de la mer et bien que Sergio Martino soit un solide artisan du bis italien ici malgré une réalisation correcte il aura du mal à maintenir jusqu'au bout notre intérêt. Le scénario est plutôt indigeste mais c'est surtout des attaques du grand alligator totalement sans effet et une aventure bien pauvre qui pénalisent ce film raté et complétement dépassé. Mine de rien on peut voir une vague dénonciation de l'exploitation de lieux vierges et naturels dans Le Grand Alligator à des fins purement commerciaux. Cipriani a signé une sympathique musique au son rythmique.
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Aucun intérêt... qu'est-ce-qu'on s'ennuie ! Dommage car il y a de bons acteurs et on peut s'attendre à beaucoup mieux quand on connait le talent d'Alex Lutz et Audrey Lamy.
Aucun intérêt... qu'est-ce-qu'on s'ennuie ! Dommage car il y a de bons acteurs et on peut s'attendre à beaucoup mieux quand on connait le talent d'Alex Lutz et Audrey Lamy.
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764
Un film sur 1 sujet épineux rarement exploré: au lieu d'afficher une fausse vierge innocence et de tournoyer autour du sujet comme c'est le cs dans les oeuvres du même genre la plupart du temps, S.Leroy touche pile au but & nous fait cotoyer un monde de la presse jouxtant lui-même l'excellence - laquelle étant bien évidemment souvent trompeuse -; autre monde de toute façon réservé aux + aguerris: Vêtue de noir, cette C.Carré nous étonne décidément & nous entraîne sur de troubles chemins... Un vrai polar doué de maturité et donc de vrais appétits, et il est vrai que la fausse bonhomie de P.Noiret fait merveille.
Un film sur 1 sujet épineux rarement exploré: au lieu d'afficher une fausse vierge innocence et de tournoyer autour du sujet comme c'est le cs dans les oeuvres du même genre la plupart du temps, S.Leroy touche pile au but & nous fait cotoyer un monde de la presse jouxtant lui-même l'excellence - laquelle étant bien évidemment souvent trompeuse -; autre monde de toute façon réservé aux + aguerris: Vêtue de noir, cette C.Carré nous étonne décidément & nous entraîne sur de troubles chemins... Un vrai polar doué de maturité et donc de vrais appétits, et il est vrai que la fausse bonhomie de P.Noiret fait merveille.
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Film culte des années 1990, Fight Club est aussi dérangeant que violent, sombre et efficace. Optant pour une narration en partie gérée par la voix off du personnage principal, il nous met dans la peau d'un type sans identité précise qui vit seul et subit tout le négatif de la société actuelle. Alors qu'il rencontre Tyler dans un avion, qu'il qualifie lui-même d'ami à usage unique plutôt pas mal, il va devenir membre de son club de combat clandestin, club où de plus en plus d'hommes peuvent se défouler et retrouver leur virilité la plus primitive lors de combats qui les renforcent afin d'aller contrer la société de consommation (l'appartement du perso principal et tous ses meubles Ikéa avaient explosé et donc exclu de tout foyer). Edward Norton n'a aucun nom précis pour bien montrer le manque d'identité que peuvent avoir certains individus de la société actuelle, complètement aseptisés par la télévision, la politique et le capitalisme. La fille avec qui il a des relations instables est jouée par Helena Bonham Carter, habituée des Harry Potter et des films de Tim Burton, qui retranscrit parfaitement le personnage du type à la fois glauque et blasé de tout. Brad Pitt, quant à lui, joue le meneur baraqué, sûr de lui, bon baiseur et fort cogneur qui semble tout diriger sans que les gens extérieurs au club ne se doutent de quelque chose.Et pour cause, l'intérêt du film en prend un coup quand on apprend que Tyler ne fait qu'un avec le perso principal, qu'il représente en fait la personne qu'il veut devenir pour s'extérioriser et dire merde à la société qui le consomme.Le film a peut-être quelques longueurs et des passages étranges, il reste cependant très réussi dans le message qu'il fait passer.
Film culte des années 1990, Fight Club est aussi dérangeant que violent, sombre et efficace. Optant pour une narration en partie gérée par la voix off du personnage principal, il nous met dans la peau d'un type sans identité précise qui vit seul et subit tout le négatif de la société actuelle. Alors qu'il rencontre Tyler dans un avion, qu'il qualifie lui-même d'ami à usage unique plutôt pas mal, il va devenir membre de son club de combat clandestin, club où de plus en plus d'hommes peuvent se défouler et retrouver leur virilité la plus primitive lors de combats qui les renforcent afin d'aller contrer la société de consommation (l'appartement du perso principal et tous ses meubles Ikéa avaient explosé et donc exclu de tout foyer). Edward Norton n'a aucun nom précis pour bien montrer le manque d'identité que peuvent avoir certains individus de la société actuelle, complètement aseptisés par la télévision, la politique et le capitalisme. La fille avec qui il a des relations instables est jouée par Helena Bonham Carter, habituée des Harry Potter et des films de Tim Burton, qui retranscrit parfaitement le personnage du type à la fois glauque et blasé de tout. Brad Pitt, quant à lui, joue le meneur baraqué, sûr de lui, bon baiseur et fort cogneur qui semble tout diriger sans que les gens extérieurs au club ne se doutent de quelque chose.Et pour cause, l'intérêt du film en prend un coup quand on apprend que Tyler ne fait qu'un avec le perso principal, qu'il représente en fait la personne qu'il veut devenir pour s'extérioriser et dire merde à la société qui le consomme.Le film a peut-être quelques longueurs et des passages étranges, il reste cependant très réussi dans le message qu'il fait passer.
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766
L'Impossible monsieur bébé ( Bringin up Baby ) réalisé par Howard Hawks est une comédie ( une screwball comedy ) de 1938 . On peut y voir les aventures totalement dérisoires , hilarantes , tordues et folles d'un paléontologue ( le formidable Cary Grant ) et d'une jeune aventurière , l' héritière ( exceptionnellement interprétée par l'exquise Katharine Hepburn ) . Et , le film fonctionne admirablement car Howard Hawks par une mise en scène qui est juste fabuleuse , extraordinaire arrive à nous captiver d'autant plus que les dialogues fusent à chaque seconde ainsi que les multiples et superbes péripéties et les rebondissements . On notera en particulier comme moments particulièrement et sublimement mis en scène celle avec notre chère Cary Grant marchant dans la rue et qui s'aperçoit que le "Bébé" de Katharine Hepburn ( qui n'est autre qu'un léopard ) se trouve à ses côtés , ou bien celle magistrale où Charles Ruggles et May Robson ( tous deux épatants , soit dit en passant ) se retrouvent dehors et qu'ils imitent les cris des fauves au moment même où rugit un léopard et il faut voir la figure des May Robson qui peut rentrer dans les annales .Bien évidement , on retiendra également la scène mémorable dans la prison et la scène finale où bien-sûr , l'excentrique personnage de Susan ne se gardera point de commettre une autre catastrophe. Un film qui est rempli de moments d'anthologie car il a l'art avec brio et surtout grâce à une écriture de scénario vraiment parfaite et impeccable d'enchaîner les quiproquos . Et c'est un film rempli d'idées , de situations loufoques . Une merveille du cinéma , le chef-d'oeuvre de la comédie .
L'Impossible monsieur bébé ( Bringin up Baby ) réalisé par Howard Hawks est une comédie ( une screwball comedy ) de 1938 . On peut y voir les aventures totalement dérisoires , hilarantes , tordues et folles d'un paléontologue ( le formidable Cary Grant ) et d'une jeune aventurière , l' héritière ( exceptionnellement interprétée par l'exquise Katharine Hepburn ) . Et , le film fonctionne admirablement car Howard Hawks par une mise en scène qui est juste fabuleuse , extraordinaire arrive à nous captiver d'autant plus que les dialogues fusent à chaque seconde ainsi que les multiples et superbes péripéties et les rebondissements . On notera en particulier comme moments particulièrement et sublimement mis en scène celle avec notre chère Cary Grant marchant dans la rue et qui s'aperçoit que le "Bébé" de Katharine Hepburn ( qui n'est autre qu'un léopard ) se trouve à ses côtés , ou bien celle magistrale où Charles Ruggles et May Robson ( tous deux épatants , soit dit en passant ) se retrouvent dehors et qu'ils imitent les cris des fauves au moment même où rugit un léopard et il faut voir la figure des May Robson qui peut rentrer dans les annales .Bien évidement , on retiendra également la scène mémorable dans la prison et la scène finale où bien-sûr , l'excentrique personnage de Susan ne se gardera point de commettre une autre catastrophe. Un film qui est rempli de moments d'anthologie car il a l'art avec brio et surtout grâce à une écriture de scénario vraiment parfaite et impeccable d'enchaîner les quiproquos . Et c'est un film rempli d'idées , de situations loufoques . Une merveille du cinéma , le chef-d'oeuvre de la comédie .
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Par où commencer. Nous étions 2 dans une salle de 400 places pour un film qui fait polémiquer pas grand monde. Le film na aucun intérêt a part si vous aimez voir une fille se faire baffer pendant 30 minutes,on apprend rien sur les tortionnaires ni sur les victimes.Donc un film sans intérêt.
Par où commencer. Nous étions 2 dans une salle de 400 places pour un film qui fait polémiquer pas grand monde. Le film na aucun intérêt a part si vous aimez voir une fille se faire baffer pendant 30 minutes,on apprend rien sur les tortionnaires ni sur les victimes.Donc un film sans intérêt.
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768
Eh ben, il n'en faut pas beaucoup pour vous faire peur. Absolument pas flippant, inefficace au possible, on voit trop vite les choses, du coup plus d'effet de surprise. Je met une étoile pour le côté humoristique des deux personnages qui prennent les photos stéréoscopique et mesurent la maison avec un magnétomètre, bande tranche de rigolage. C'est franchement une grosse série Z qui tache, rien d'un film à grand budget, qui aurait mieux fait de passer en Direct To DVD tellement c'est médiocre. Et la fin n'arrange pas les choses, c'est tellement prévisible qu'on se dit "non, ils n'ont pas osé nous la resservir celle la". Enfin bref, à éviter.
Eh ben, il n'en faut pas beaucoup pour vous faire peur. Absolument pas flippant, inefficace au possible, on voit trop vite les choses, du coup plus d'effet de surprise. Je met une étoile pour le côté humoristique des deux personnages qui prennent les photos stéréoscopique et mesurent la maison avec un magnétomètre, bande tranche de rigolage. C'est franchement une grosse série Z qui tache, rien d'un film à grand budget, qui aurait mieux fait de passer en Direct To DVD tellement c'est médiocre. Et la fin n'arrange pas les choses, c'est tellement prévisible qu'on se dit "non, ils n'ont pas osé nous la resservir celle la". Enfin bref, à éviter.
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Eric Besnard nous avait habitué à bien mieux en tant que scénariste (Le Convoyeur - 2004) & Le Nouveau Protocole - 2008), mais là, en tant que réalisateur, c’est tout autre chose ! Cette fois-ci, il ne signe pas le scénario, juste la réalisation et la première chose qui nous vient à l’esprit c’est « Pourquoi a t’il voulu voir aussi grand ? ». On obtient ici un mix entre The Sting (1974) et un Ocean's Eleven (1961) à la française de piètre qualité, qui se veut plus « bling bling » (chic) qu’autre chose ! Le film accumule sans cesse des intrigues au point d’en perdre le spectateur, un scénario brouillon qui a voulu trop en faire, on se perd en route et on finit par perdre patience. A la fois interminable et très exagéré, Ca$h nous assomme malgré une très belle distribution (Jean Dujardin, Jean Reno, Valeria Golino, Alice Taglioni, François Berléand, Clovis Cornillac & Jocelyn Quivrin) qui aurait du largement satisfaire notre attente, mais hélas c’est peine perdue !
Eric Besnard nous avait habitué à bien mieux en tant que scénariste (Le Convoyeur - 2004) & Le Nouveau Protocole - 2008), mais là, en tant que réalisateur, c’est tout autre chose ! Cette fois-ci, il ne signe pas le scénario, juste la réalisation et la première chose qui nous vient à l’esprit c’est « Pourquoi a t’il voulu voir aussi grand ? ». On obtient ici un mix entre The Sting (1974) et un Ocean's Eleven (1961) à la française de piètre qualité, qui se veut plus « bling bling » (chic) qu’autre chose ! Le film accumule sans cesse des intrigues au point d’en perdre le spectateur, un scénario brouillon qui a voulu trop en faire, on se perd en route et on finit par perdre patience. A la fois interminable et très exagéré, Ca$h nous assomme malgré une très belle distribution (Jean Dujardin, Jean Reno, Valeria Golino, Alice Taglioni, François Berléand, Clovis Cornillac & Jocelyn Quivrin) qui aurait du largement satisfaire notre attente, mais hélas c’est peine perdue !
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film sans aucun intérêt on se demande ce que le réalisateur veut présenter, on ne sait jamais où on en est, dommage pour l'actrice qui fait ce qu'elle peut pour " paraître ", où sont les chansons les plus importantes du si beau répertoire de Barbara? En résumé film nul la note de 1 uniquement pour le travail de l'actrice.
film sans aucun intérêt on se demande ce que le réalisateur veut présenter, on ne sait jamais où on en est, dommage pour l'actrice qui fait ce qu'elle peut pour " paraître ", où sont les chansons les plus importantes du si beau répertoire de Barbara? En résumé film nul la note de 1 uniquement pour le travail de l'actrice.
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tres bon film sur l'evenement historique du basketball americain, le veritable bouleversement créé par un selectionneur qui permit à des noirs de jouer dans le championnat national étudiant, qui declencha l'arrivée des afroamericains dans le monde du basket ball de haut niveau aux cotés des blancs. jai passé un bon moment, regardez le si le sujet vous interesse.
tres bon film sur l'evenement historique du basketball americain, le veritable bouleversement créé par un selectionneur qui permit à des noirs de jouer dans le championnat national étudiant, qui declencha l'arrivée des afroamericains dans le monde du basket ball de haut niveau aux cotés des blancs. jai passé un bon moment, regardez le si le sujet vous interesse.
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Le film part plutôt bien et puis ... bof. C'est sur que la fin surprend, car elle n'a aucun sens.
Le film part plutôt bien et puis ... bof. C'est sur que la fin surprend, car elle n'a aucun sens.
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On connaît bien sûr les adaptations américaines des jeux vidéos à la Uwe Boll avec successions tout azimut de fusillades, explosions, scènes de kung fu et belles nana et plein de méchant cascadeurs qui meurent au ralenti. Eh bien, on a l'envers du décors à savoir tout le contraire des précédents nanars, défauts qu'on retrouve trop souvent dans les oeuvres japonaises. On commence par une overdose de retouches sur l'image, de filtres, rendant l'image immonde à voire. Ensuite, l'absence de scènes d'actions, de développement psychologique des personnages (idem 'ricains). Et par arrogance personnelle et mépris du public, donner au film un genre "pseudo-intellectualiste" avec pour commencer de la musique classique! Non pas que je sois allergique à cette musique, mais disons qu'il faut un réel sens du rythme et véritablement du génie pour éviter de tomber dans le n'importe quoi à mettre des opéras et des marches funéraires à tout va. Ensuite, on essayera de nous bourrer le mou avec un semblant d'intrigue, complètement inintelligible avec le schéma classique de monde réel / monde virtuel, Oshii rate en beauté la création dudit monde. On regrettera aussi un casting de HLM russe du bout du rouleau avec des acteurs dénués de toute conviction et surtout de tout talent d'acteur (j'ai eut du mal à ne pas m'endormir devant tant d'intensité dramatique). Et "cerise sur la mort aux rats", l'absence quasi-constante de dialogues. L'ensemble devenant gonflant, interminable, somnifères mais par moment drôle devant tant de concepts incongrus et assumés jusqu'à la lie, l'absence de toute remise en cause du réalisateur dans cet improbable délire artistique qu'il sera seul à apprécier. Tout le monde sait que les polonais sont plombiers de père en fils, pas acteurs!
On connaît bien sûr les adaptations américaines des jeux vidéos à la Uwe Boll avec successions tout azimut de fusillades, explosions, scènes de kung fu et belles nana et plein de méchant cascadeurs qui meurent au ralenti. Eh bien, on a l'envers du décors à savoir tout le contraire des précédents nanars, défauts qu'on retrouve trop souvent dans les oeuvres japonaises. On commence par une overdose de retouches sur l'image, de filtres, rendant l'image immonde à voire. Ensuite, l'absence de scènes d'actions, de développement psychologique des personnages (idem 'ricains). Et par arrogance personnelle et mépris du public, donner au film un genre "pseudo-intellectualiste" avec pour commencer de la musique classique! Non pas que je sois allergique à cette musique, mais disons qu'il faut un réel sens du rythme et véritablement du génie pour éviter de tomber dans le n'importe quoi à mettre des opéras et des marches funéraires à tout va. Ensuite, on essayera de nous bourrer le mou avec un semblant d'intrigue, complètement inintelligible avec le schéma classique de monde réel / monde virtuel, Oshii rate en beauté la création dudit monde. On regrettera aussi un casting de HLM russe du bout du rouleau avec des acteurs dénués de toute conviction et surtout de tout talent d'acteur (j'ai eut du mal à ne pas m'endormir devant tant d'intensité dramatique). Et "cerise sur la mort aux rats", l'absence quasi-constante de dialogues. L'ensemble devenant gonflant, interminable, somnifères mais par moment drôle devant tant de concepts incongrus et assumés jusqu'à la lie, l'absence de toute remise en cause du réalisateur dans cet improbable délire artistique qu'il sera seul à apprécier. Tout le monde sait que les polonais sont plombiers de père en fils, pas acteurs!
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L' histoire est sympa, Romane Bohringer et Elsa Zylberstein sont attachantes: j'ai passé un bon moment...Un film à voir...
L' histoire est sympa, Romane Bohringer et Elsa Zylberstein sont attachantes: j'ai passé un bon moment...Un film à voir...
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Sorte de faux-biopic sur une star du glam-rock britannique des années 70, "Velvet Goldmine"(1998) permettait surtout à Todd Haynes de parfaire son style baroque et de mettre en avant les minorités ou les marginaux. Mais quand même,il faut s'accorcher pour adhérer au film. Les amateurs de ce style de musique trouveront la représentation de ce milieu bien édulcorée,les autres eux se désintéresserons complètement,la faute à une narration complètement déstructurée. Jonathan-Rhys Meyers change de look à chaque scène,et y va à fond dans le travestissement. A ses côtés,Ewan McGregor et surtout Christian Bale sont très empruntés. La placidité de la mise en scène sied mal à des numéros musicaux qui se veulent hommage à David Bowie ou Iggy Pop par exemple.
Sorte de faux-biopic sur une star du glam-rock britannique des années 70, "Velvet Goldmine"(1998) permettait surtout à Todd Haynes de parfaire son style baroque et de mettre en avant les minorités ou les marginaux. Mais quand même,il faut s'accorcher pour adhérer au film. Les amateurs de ce style de musique trouveront la représentation de ce milieu bien édulcorée,les autres eux se désintéresserons complètement,la faute à une narration complètement déstructurée. Jonathan-Rhys Meyers change de look à chaque scène,et y va à fond dans le travestissement. A ses côtés,Ewan McGregor et surtout Christian Bale sont très empruntés. La placidité de la mise en scène sied mal à des numéros musicaux qui se veulent hommage à David Bowie ou Iggy Pop par exemple.
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attention, attention, c'est un film outrancier, si vous acceptez ce facteur, vous pouvez prendre votre pied... Le film prend pas mal de direction, conte fantastique, film d'horreur, comédie parodique, et farce loufoque....Plusieurs point de vues, plusieurs films en un.... Beaucoup de rythme aussi..... Attention il y a aussi du double sens et l'on peut imaginer un message où le mot "sorcière" est identifié à "Féministe", un passage du film le laisse entendre.... On notera quand même du grand art dans le montage et la philosophie de l'image chez Iglesias.... Chacun de ses films se démarque de la tradition..... Celui ci n'échappe pas à la règle et avec bouffonnerie parcourt beaucoup de genres.... Le scénario est assez élaboré et le jeu d'acteurs savamment orchestré, du savoir faire à chaque plan.... La scène finale de la danse des sorcières est splendide et musicale.... Le film n'est pas pour tous les âges ( notamment la monstrueuse géante nue de la fin du film), mais devrait ravir les sentiments iconoclastes de certains....c'est intéressant et provocateur, ne vous égarez pas.... J'ai aimé....
attention, attention, c'est un film outrancier, si vous acceptez ce facteur, vous pouvez prendre votre pied... Le film prend pas mal de direction, conte fantastique, film d'horreur, comédie parodique, et farce loufoque....Plusieurs point de vues, plusieurs films en un.... Beaucoup de rythme aussi..... Attention il y a aussi du double sens et l'on peut imaginer un message où le mot "sorcière" est identifié à "Féministe", un passage du film le laisse entendre.... On notera quand même du grand art dans le montage et la philosophie de l'image chez Iglesias.... Chacun de ses films se démarque de la tradition..... Celui ci n'échappe pas à la règle et avec bouffonnerie parcourt beaucoup de genres.... Le scénario est assez élaboré et le jeu d'acteurs savamment orchestré, du savoir faire à chaque plan.... La scène finale de la danse des sorcières est splendide et musicale.... Le film n'est pas pour tous les âges ( notamment la monstrueuse géante nue de la fin du film), mais devrait ravir les sentiments iconoclastes de certains....c'est intéressant et provocateur, ne vous égarez pas.... J'ai aimé....
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Une métaphore de la Belle et la Bête sans réelle saveur qui ne saura ravir qu'un public très jeune et très peu exigeant.
Une métaphore de la Belle et la Bête sans réelle saveur qui ne saura ravir qu'un public très jeune et très peu exigeant.
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778
Excellent film. Personnages bien interprétées et assez dense. Histoire passionnante. Idéalisme présent, j'adore!!!!
Excellent film. Personnages bien interprétées et assez dense. Histoire passionnante. Idéalisme présent, j'adore!!!!
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779
Palme d'Or 1986, Barton Fink, le 4ème film des frères Coen, est pétillant d'intelligence. S'inspirant d'une histoire assez simple (un écrivain new yorkais s'essaye à Hollywood mais est confronté au syndrome de la page blanche dans le milieu hollywoodien), Barton Fink est un film complexe, qui fait aller du rire aux larmes avec beaucoup d'efficacité. D'abord, il rejoint cette lignée de films proposant un regard assez critique sur Hollywood (Maps to The Stars, Mulholland Drive, Boulevard du Crépuscule...), avec le personnage du directeur de la scoiété de production, mégalo, ivre de pouvoir et domination sur les autres, qui traitent les émotions du cinéma comme des techniques du vente . Mais c'est loin d'être le seul atout du film ! L'hôtel délabré ,par exemple ,dans lequel loge Barton Fink (John Turturro qui ressemble trait pour trait à Harold Ramis dans SOS Fantômes) est décrit par exemple avec beaucoup de finesse et de détails, tantôt kafkaïen (le papier peint !), tantôt lynchien (les longs plans inquiétants des couloirs). Il semble être responsable du blocage de Barton. De même, le jeu de John Goodman est exceptionnel, passant du gentil copain, affectueux au tueur psychopate. Encore un des éléments qui vient pimenter ce magnifique film Et enfin, la fin, que je ne révèlerai pas, la dernière réplique, qui vient résumer toute la tragique ironie du film. Bref, un film compliqué mais réellement sublime !
Palme d'Or 1986, Barton Fink, le 4ème film des frères Coen, est pétillant d'intelligence. S'inspirant d'une histoire assez simple (un écrivain new yorkais s'essaye à Hollywood mais est confronté au syndrome de la page blanche dans le milieu hollywoodien), Barton Fink est un film complexe, qui fait aller du rire aux larmes avec beaucoup d'efficacité. D'abord, il rejoint cette lignée de films proposant un regard assez critique sur Hollywood (Maps to The Stars, Mulholland Drive, Boulevard du Crépuscule...), avec le personnage du directeur de la scoiété de production, mégalo, ivre de pouvoir et domination sur les autres, qui traitent les émotions du cinéma comme des techniques du vente . Mais c'est loin d'être le seul atout du film ! L'hôtel délabré ,par exemple ,dans lequel loge Barton Fink (John Turturro qui ressemble trait pour trait à Harold Ramis dans SOS Fantômes) est décrit par exemple avec beaucoup de finesse et de détails, tantôt kafkaïen (le papier peint !), tantôt lynchien (les longs plans inquiétants des couloirs). Il semble être responsable du blocage de Barton. De même, le jeu de John Goodman est exceptionnel, passant du gentil copain, affectueux au tueur psychopate. Encore un des éléments qui vient pimenter ce magnifique film Et enfin, la fin, que je ne révèlerai pas, la dernière réplique, qui vient résumer toute la tragique ironie du film. Bref, un film compliqué mais réellement sublime !
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780
Très déçu par cette adaptation du personnage d'Hitman! Le scénario n'est pas terrible et je trouve Timothy Olyphant pas très bon et absolument pas charismatique. Un Hitman avec Vin Diesel, ça aurait eu plus de gueule!
Très déçu par cette adaptation du personnage d'Hitman! Le scénario n'est pas terrible et je trouve Timothy Olyphant pas très bon et absolument pas charismatique. Un Hitman avec Vin Diesel, ça aurait eu plus de gueule!
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781
J'ai trouvé que Wesley Snipes avait un mauvais jeu d'acteur de série b lorsqu'il joue le faux clochard dans le métro et que le scénario manqué totalement de crédibilité.Même les scènes qui essayaient d'être intéressante n'y parvenait pas.
J'ai trouvé que Wesley Snipes avait un mauvais jeu d'acteur de série b lorsqu'il joue le faux clochard dans le métro et que le scénario manqué totalement de crédibilité.Même les scènes qui essayaient d'être intéressante n'y parvenait pas.
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782
grosse daube puissante! aucun intérêt pour ce film qui reprend très mal le manga du même nom! quasiment rien n'y est respecté! à éviter de toute urgence!
grosse daube puissante! aucun intérêt pour ce film qui reprend très mal le manga du même nom! quasiment rien n'y est respecté! à éviter de toute urgence!
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783
Un film qui se passe sur un ton monocorde, l'acteur principal joue tout le long sur la même note, machoire serré et regard noir, Al Pacenou cabotine et sert à rien, K. Holmes en épouse délaissé s'en sort plutôt bien et la fin est du grand n'importe quoi, un film qui rate sa cible.
Un film qui se passe sur un ton monocorde, l'acteur principal joue tout le long sur la même note, machoire serré et regard noir, Al Pacenou cabotine et sert à rien, K. Holmes en épouse délaissé s'en sort plutôt bien et la fin est du grand n'importe quoi, un film qui rate sa cible.
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784
Franchement ennuyeux! Je n'ai pas réussi à rester concentrée, et je n'ai eu peur ni n'ai été angoissée à aucun moment! Déception mais je m'y attendais.
Franchement ennuyeux! Je n'ai pas réussi à rester concentrée, et je n'ai eu peur ni n'ai été angoissée à aucun moment! Déception mais je m'y attendais.
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785
La seule "créativité" est le titre. Cette affaire (ultra tirée par les cheveux - ou les poils de moustache..) essaie d'être, j'imagine, une Illustration de la façon dont les Français (mé)connaissent les "histoires belges". Louable projet, mais exécution calamiteuse. Seul l'apprentissage de "Jessica" en "belgitude" peut être sauvé (quelques minutes/1 h 35), grâce aux acteurs belges qui s'y collent (Jean-Luc Couchard et Charlie Dupont - en beaux-frères). Demaison en franco-belge : bof, bof. Et Marivin (la "princesse") coule à pic, à la première occason. Pochade maladroite, et très rarement rigolote. "Les Portes de la gloire", du même Merret-Palmair (2001) sont bien loin !
La seule "créativité" est le titre. Cette affaire (ultra tirée par les cheveux - ou les poils de moustache..) essaie d'être, j'imagine, une Illustration de la façon dont les Français (mé)connaissent les "histoires belges". Louable projet, mais exécution calamiteuse. Seul l'apprentissage de "Jessica" en "belgitude" peut être sauvé (quelques minutes/1 h 35), grâce aux acteurs belges qui s'y collent (Jean-Luc Couchard et Charlie Dupont - en beaux-frères). Demaison en franco-belge : bof, bof. Et Marivin (la "princesse") coule à pic, à la première occason. Pochade maladroite, et très rarement rigolote. "Les Portes de la gloire", du même Merret-Palmair (2001) sont bien loin !
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Critique de "The Chaser". Un thriller coréen réussi selon moi. Le réalisateur Hong-jin Na propose un film à l'ambiance glauque qui ne manquera pas de nous rappeler Se7en de David Fincher et violent. Le film tourne autour de deux protagonistes, d'un côté le proxénète qui est prête à tout pour retrouver son employée et de l'autre un psychopathe sans scrupule. Deux personnages construits avec un parfaite maîtrise avec une tension permanente. Les ingrédients du thriller réussi sont là. Le scénario est efficace et accrocheur, la touche d'humour est bien rythmée. 4,5/5
Critique de "The Chaser". Un thriller coréen réussi selon moi. Le réalisateur Hong-jin Na propose un film à l'ambiance glauque qui ne manquera pas de nous rappeler Se7en de David Fincher et violent. Le film tourne autour de deux protagonistes, d'un côté le proxénète qui est prête à tout pour retrouver son employée et de l'autre un psychopathe sans scrupule. Deux personnages construits avec un parfaite maîtrise avec une tension permanente. Les ingrédients du thriller réussi sont là. Le scénario est efficace et accrocheur, la touche d'humour est bien rythmée. 4,5/5
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Un biopic complètement fantaisiste de Vidocq. L'histoire nous est conté avec une si belle élégance dans le ton (George Sanders y est parfait) et dans la mise en scène qu'on en oublie le coté farfelu. Un petit bijou à redécouvrir !
Un biopic complètement fantaisiste de Vidocq. L'histoire nous est conté avec une si belle élégance dans le ton (George Sanders y est parfait) et dans la mise en scène qu'on en oublie le coté farfelu. Un petit bijou à redécouvrir !
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Alors si vous avez vu Prison Break faut pas aller + loin, c'est mieux que ça. Le 1 était déjà mieux, on voyait le côté sauvage des hooligans, sans verser dans la violence trop débile et le mauvais jeu d'acteur (mention spéciale pour la chef des gardiens qui se la joue théatre mais de la + mauvaise et insupportable façon qui soit). Cela commence par une baston genre 300 en tôle, qu'on laisse évidemment faire un peu, à croire qu'en prison on fait que ça. Après la vision des hooligans tels des durs capable de tout, selon moi un pilote de ligne il pas assez con pour abandonner sa famille... et se battre comme un maternelle en prison. Puis un match pour la libération de fanatiques dangereux, on y croit, pourquoi pas une réunion du KKK pour les racistes primaires ? Bref une nullité à chier, on s'emmerde à bloc et ia trop d'incohérences (en prison c'est connu on peut tout faire, on a des thunes facile....) et que des faux durs.
Alors si vous avez vu Prison Break faut pas aller + loin, c'est mieux que ça. Le 1 était déjà mieux, on voyait le côté sauvage des hooligans, sans verser dans la violence trop débile et le mauvais jeu d'acteur (mention spéciale pour la chef des gardiens qui se la joue théatre mais de la + mauvaise et insupportable façon qui soit). Cela commence par une baston genre 300 en tôle, qu'on laisse évidemment faire un peu, à croire qu'en prison on fait que ça. Après la vision des hooligans tels des durs capable de tout, selon moi un pilote de ligne il pas assez con pour abandonner sa famille... et se battre comme un maternelle en prison. Puis un match pour la libération de fanatiques dangereux, on y croit, pourquoi pas une réunion du KKK pour les racistes primaires ? Bref une nullité à chier, on s'emmerde à bloc et ia trop d'incohérences (en prison c'est connu on peut tout faire, on a des thunes facile....) et que des faux durs.
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J'en gardais un excellent souvenir : L'image d'une honnete série B de requins, bien réalisée, et très bien jouée (choses rares sur ce type de films). Glaçant de réalisme, les effets spéciaux sont une vrai réussite. A la différence de nombreux films de requins (qui nous ressortent des FX dégueulasses, pas crédibles pour un sou), la bonne idée ici est de peu en montrer. Les prises de vues réelles sont superbes, et très bien intégrées dans l'histoire. D'où une vrai tension tout au long du film : Le danger est là, mais on ne le voit pas! A noter que Warren (celui qui reste sur le bateau) est le sosie de Franck Dubosc!
J'en gardais un excellent souvenir : L'image d'une honnete série B de requins, bien réalisée, et très bien jouée (choses rares sur ce type de films). Glaçant de réalisme, les effets spéciaux sont une vrai réussite. A la différence de nombreux films de requins (qui nous ressortent des FX dégueulasses, pas crédibles pour un sou), la bonne idée ici est de peu en montrer. Les prises de vues réelles sont superbes, et très bien intégrées dans l'histoire. D'où une vrai tension tout au long du film : Le danger est là, mais on ne le voit pas! A noter que Warren (celui qui reste sur le bateau) est le sosie de Franck Dubosc!
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Mêlant l'ambiance d'un Very Bad Trip à celle d'un Spring Breakers, ce duo entre Zac Efron et notre cher De Niro marche du tonnerre. Une comédie vraiment hilarante comme je n'avais pas visionné depuis une éternité. Mêlant tous les clichés possible sur les adolescents en soirée, notre réalisateur à su se démarquer par la mise en scène du film et les plans qui ont une allure de blockbuster avec quelques ralentis géniaux. De Niro est excellent pour les rôles de mafieux mais on vois aussi que ce genre lui correspond parfaitement. Bref, au final une leçon de morale en sors plus ou moins pour qui veut la comprendre. Vraiment hilarant.
Mêlant l'ambiance d'un Very Bad Trip à celle d'un Spring Breakers, ce duo entre Zac Efron et notre cher De Niro marche du tonnerre. Une comédie vraiment hilarante comme je n'avais pas visionné depuis une éternité. Mêlant tous les clichés possible sur les adolescents en soirée, notre réalisateur à su se démarquer par la mise en scène du film et les plans qui ont une allure de blockbuster avec quelques ralentis géniaux. De Niro est excellent pour les rôles de mafieux mais on vois aussi que ce genre lui correspond parfaitement. Bref, au final une leçon de morale en sors plus ou moins pour qui veut la comprendre. Vraiment hilarant.
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791
Tout simplement génial, un film vraiment très drôle, une histoire hilarante, un scénario énorme, bravo !
Tout simplement génial, un film vraiment très drôle, une histoire hilarante, un scénario énorme, bravo !
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The invisible avec un Justin Chatwin purement impeccable dans ce film. Et la fille qui prend conscience de sa faute et la fin. J'adhère ! ils sont d'une crédibilité exemplaire. Belle histoire, fluide et efficace.
The invisible avec un Justin Chatwin purement impeccable dans ce film. Et la fille qui prend conscience de sa faute et la fin. J'adhère ! ils sont d'une crédibilité exemplaire. Belle histoire, fluide et efficace.
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Film sensé revenir sur les origines de la guerre entre Vampires et Lycans, cet Underworld et une vraie déception pour moi. Rhona Mitra ne réussi pas pour moi à remplacer Beckinsale en superhéroine. Certes il y a quelques tentatives de donner de la profondeur à l'ensemble, mais ça ne fonctionne jamais.
Film sensé revenir sur les origines de la guerre entre Vampires et Lycans, cet Underworld et une vraie déception pour moi. Rhona Mitra ne réussi pas pour moi à remplacer Beckinsale en superhéroine. Certes il y a quelques tentatives de donner de la profondeur à l'ensemble, mais ça ne fonctionne jamais.
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Bon déjà avec le titre on n'attend pas le chef d'œuvre de l'année et cela semble d'ailleurs une malédiction pour tous les films incluant Bangkok dans le titre. Le scénario est très faiblard, le jeu des acteurs et les dialogues assez faibles, reste les très nombreuses chorégraphies de combats d'arts martiaux, enchaînés les uns après les autres avec une dominante très voltige. Par moment on dirait même des numéros de cirque tellement c'est une compétition de sauts, mouvements ressemblants à du street parcours et c'est le seul attrait du film pour ceux qui aiment ce style de combats honnêtement plutôt réussis. La présence et je jeu d'une superbe actrice top modèle thaïlandaise, l'héroïne enlevée, n'apporte pas spécialement une note sexy au film.
Bon déjà avec le titre on n'attend pas le chef d'œuvre de l'année et cela semble d'ailleurs une malédiction pour tous les films incluant Bangkok dans le titre. Le scénario est très faiblard, le jeu des acteurs et les dialogues assez faibles, reste les très nombreuses chorégraphies de combats d'arts martiaux, enchaînés les uns après les autres avec une dominante très voltige. Par moment on dirait même des numéros de cirque tellement c'est une compétition de sauts, mouvements ressemblants à du street parcours et c'est le seul attrait du film pour ceux qui aiment ce style de combats honnêtement plutôt réussis. La présence et je jeu d'une superbe actrice top modèle thaïlandaise, l'héroïne enlevée, n'apporte pas spécialement une note sexy au film.
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795
Enfin la suite des 4 fantastique encore bien plus nul que le premier épisode,mais si mais si c'est possible....Mais cette fois ci en plus des mauvais acteurs au physique de serie,et au scénario minable c'est un film a effet spéciaux raté.C'est con ça pour un film ou tout tourne autour des effets visuel de les foirés a ce point,je ne sais quel est la boite qui est responsable de ce résultat mais c'est pas possible elle va fermer,hein dite moi quel va fermer.On dirait que c'est le pote d'un pote qui a été recommandé,parceque quand il était petit c'était son comics préfèré,alors il voudrait vraiment bosser sur les effets du film ça lui ferai super plaisir,en plus y a le surfeur d'argent alors il peut pas manquer ça.Non faut pas déconner je veux bien que tout le monde bosse mais on paye nous pour voir ça.Enfin je me suis bien marré quand meme avec la lourdeur du scénar,et les très bonnes blagues ricaines.Ce film est un navet en puissance,le genre a passer sur TF1 le dimanche puis passer l'été et enfin les jours férié.
Enfin la suite des 4 fantastique encore bien plus nul que le premier épisode,mais si mais si c'est possible....Mais cette fois ci en plus des mauvais acteurs au physique de serie,et au scénario minable c'est un film a effet spéciaux raté.C'est con ça pour un film ou tout tourne autour des effets visuel de les foirés a ce point,je ne sais quel est la boite qui est responsable de ce résultat mais c'est pas possible elle va fermer,hein dite moi quel va fermer.On dirait que c'est le pote d'un pote qui a été recommandé,parceque quand il était petit c'était son comics préfèré,alors il voudrait vraiment bosser sur les effets du film ça lui ferai super plaisir,en plus y a le surfeur d'argent alors il peut pas manquer ça.Non faut pas déconner je veux bien que tout le monde bosse mais on paye nous pour voir ça.Enfin je me suis bien marré quand meme avec la lourdeur du scénar,et les très bonnes blagues ricaines.Ce film est un navet en puissance,le genre a passer sur TF1 le dimanche puis passer l'été et enfin les jours férié.
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796
Un film banal mais distrayant. On a toutefois du mal à reconnaître ici le style de John Woo.
Un film banal mais distrayant. On a toutefois du mal à reconnaître ici le style de John Woo.
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Parmi la cinquantaine de réalisations de Claude Lelouch,"Si c'était à refaire"(1976)a eu le temps de tomber aux oubliettes,alors que paradoxalement,il bénéficie de la présence diaphane de la magnifique et mystérieuse Catherine Deneuve,alors au sommet de sa gloire.Comme toujours chez Lelouch,le script s'efface devant les improvisations à la caméra,les dialogues impromptus et les envolées lyriques si bien coordonnées par la baguette de Francis Laï.Catherine Berger,après 15 ans de prison pour une injustice(elle a tuée l'homme qui voulait la violer),découvre le fils qu'elle n'a jamais connue.Elle tente à la fois de l'apprivoiser et de redonner un sens à sa vie,en devenant vendeuse de lampes.Deneuve,filmée sous tous les angles par Lelouch,est plus inaccessible que jamais.Anouk Aimée,en ex-copine de chambrée,met un bon coup de pied dans la fourmilière par son comportement inconséquent.Lelouch s'interroge sur le sens à donner à une seconde chance.Y a t-il une vie après le drame?Si oui,comment l'appréhender?Le manque de rigueur scénaristique est préjudiciable à cette comédie dramatique féministe et gauchisante(voir le personnage de prof lunaire de Francis Huster),qui a tout de même ses instants de grâce.
Parmi la cinquantaine de réalisations de Claude Lelouch,"Si c'était à refaire"(1976)a eu le temps de tomber aux oubliettes,alors que paradoxalement,il bénéficie de la présence diaphane de la magnifique et mystérieuse Catherine Deneuve,alors au sommet de sa gloire.Comme toujours chez Lelouch,le script s'efface devant les improvisations à la caméra,les dialogues impromptus et les envolées lyriques si bien coordonnées par la baguette de Francis Laï.Catherine Berger,après 15 ans de prison pour une injustice(elle a tuée l'homme qui voulait la violer),découvre le fils qu'elle n'a jamais connue.Elle tente à la fois de l'apprivoiser et de redonner un sens à sa vie,en devenant vendeuse de lampes.Deneuve,filmée sous tous les angles par Lelouch,est plus inaccessible que jamais.Anouk Aimée,en ex-copine de chambrée,met un bon coup de pied dans la fourmilière par son comportement inconséquent.Lelouch s'interroge sur le sens à donner à une seconde chance.Y a t-il une vie après le drame?Si oui,comment l'appréhender?Le manque de rigueur scénaristique est préjudiciable à cette comédie dramatique féministe et gauchisante(voir le personnage de prof lunaire de Francis Huster),qui a tout de même ses instants de grâce.
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J'ai passé un super moment ! J'étais MDR et parfois j'avais la larme à l oeil ! 2 ténors ! vraiment content de les avoir revu sur le ring ! à voir absolument !
J'ai passé un super moment ! J'étais MDR et parfois j'avais la larme à l oeil ! 2 ténors ! vraiment content de les avoir revu sur le ring ! à voir absolument !
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Enfin le film d'action de référence que l'on attendais depuis longtemps en France. Le cinéma de genre est rès rare chez nous, heureusement qu'une nouvelle génération de réalisateur nourri aux "Die hard", films de John Woo ou autres Alien arrive dans nos salles. Florent Emilio-Siri en fait partie et avec son "Nid de guêpes", il livre un somptueux huis-clos teinté de science-fiction (l'ennemi à l'allure d'insectes est souvent une ombre, peu identifiable), de cinéma catastrophe et de western urbain. D'ailleurs ce dernier se revendique comme un excellent remake d'"Assaut" du maître de la série B américaine John Carpenter (lui-même remake de "Rio Bravo") où l'on retrouve différentes similitudes comme l'assassinat d'un père et de son enfant génant l'opération. L'intrigue mêle de jeunes cambrioleurs pas très organisés à des commandos transportant un important prisonnier qui vont devoir faire cause commune devant un ennemi invisible surarmé, enfermés dans un entrepôt faisant clmairement référence à un vaisseau du style Alien. Et c'est là que ce film puise sa force, les clins d'oeil à d'innombrables films foisonnent, le visuel est très impressionnant, il n'y a aucun temps mort et surtout aucun personnage n'est le "héros qui doit s'en sortir", faisant que l'on ne devine pas l'issue à part qu'on aura droit à un bain de sang. Le scénario n'est certes pas très subtil mais distille suffisamment de tension, d'action et de nervosité pour voir devant nos yeux un des meilleurs films d'action à la française grâce au talent de mise en scène du prometteur Florent Emilio-Siri (prouvé sur l'hollywoodien "Otage" avec Bruce Willis).
Enfin le film d'action de référence que l'on attendais depuis longtemps en France. Le cinéma de genre est rès rare chez nous, heureusement qu'une nouvelle génération de réalisateur nourri aux "Die hard", films de John Woo ou autres Alien arrive dans nos salles. Florent Emilio-Siri en fait partie et avec son "Nid de guêpes", il livre un somptueux huis-clos teinté de science-fiction (l'ennemi à l'allure d'insectes est souvent une ombre, peu identifiable), de cinéma catastrophe et de western urbain. D'ailleurs ce dernier se revendique comme un excellent remake d'"Assaut" du maître de la série B américaine John Carpenter (lui-même remake de "Rio Bravo") où l'on retrouve différentes similitudes comme l'assassinat d'un père et de son enfant génant l'opération. L'intrigue mêle de jeunes cambrioleurs pas très organisés à des commandos transportant un important prisonnier qui vont devoir faire cause commune devant un ennemi invisible surarmé, enfermés dans un entrepôt faisant clmairement référence à un vaisseau du style Alien. Et c'est là que ce film puise sa force, les clins d'oeil à d'innombrables films foisonnent, le visuel est très impressionnant, il n'y a aucun temps mort et surtout aucun personnage n'est le "héros qui doit s'en sortir", faisant que l'on ne devine pas l'issue à part qu'on aura droit à un bain de sang. Le scénario n'est certes pas très subtil mais distille suffisamment de tension, d'action et de nervosité pour voir devant nos yeux un des meilleurs films d'action à la française grâce au talent de mise en scène du prometteur Florent Emilio-Siri (prouvé sur l'hollywoodien "Otage" avec Bruce Willis).
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