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On rit tellement c'est drôle, de cet humour britannique, tout en versant des larmes d'émotion et de tristesse. Super beau film, avec des acteurs inconnus, mais irréprochables.
On rit tellement c'est drôle, de cet humour britannique, tout en versant des larmes d'émotion et de tristesse. Super beau film, avec des acteurs inconnus, mais irréprochables.
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601
Pour son premier film Evan Glodell s'investit totalement et nous livre une œuvre unique en son genre qui commence par une histoire d'amour et finit dans une violence surprenante. Au cours du film, Woodrow (joué par Glodell lui-même) aura le cœur brisé d'où la descente vers la violence qui surprend le tout sur fond de semi-apocalypse que Woodrow et son ami Aiden imaginent venir alors ils ont construit une voiture et un lance-flammes pour survivre, inspirés par "Mad Max". "Bellflower" est avant tout l'histoire d'un homme brisé par une femme qui l'a trompé et la manière que le cinéaste a d'aborder son sujet est originale, on sent le basculement au fur et à mesure du film, grâce au montage et à la musique. Mais il faut aussi saluer la superbe photographie, très exposée qui donne le ton dès le début. On sent l'apocalypse dès le début et pourtant on se fait sans cesse surprendre que ce soit par le scénario ou les interprètes ce qui met Glodell dans la file des cinéastes à suivre.
Pour son premier film Evan Glodell s'investit totalement et nous livre une œuvre unique en son genre qui commence par une histoire d'amour et finit dans une violence surprenante. Au cours du film, Woodrow (joué par Glodell lui-même) aura le cœur brisé d'où la descente vers la violence qui surprend le tout sur fond de semi-apocalypse que Woodrow et son ami Aiden imaginent venir alors ils ont construit une voiture et un lance-flammes pour survivre, inspirés par "Mad Max". "Bellflower" est avant tout l'histoire d'un homme brisé par une femme qui l'a trompé et la manière que le cinéaste a d'aborder son sujet est originale, on sent le basculement au fur et à mesure du film, grâce au montage et à la musique. Mais il faut aussi saluer la superbe photographie, très exposée qui donne le ton dès le début. On sent l'apocalypse dès le début et pourtant on se fait sans cesse surprendre que ce soit par le scénario ou les interprètes ce qui met Glodell dans la file des cinéastes à suivre.
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602
Je pensais me voir un bon nanar, mais en fait, j'ai dû le passer en avancer accélérée pour éviter l'endormissement le plus total… Ce sous mad max n'a rien pour lui, même pas le comique involontaire.
Je pensais me voir un bon nanar, mais en fait, j'ai dû le passer en avancer accélérée pour éviter l'endormissement le plus total… Ce sous mad max n'a rien pour lui, même pas le comique involontaire.
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603
Campan est plutôt bon devant comme derrière la camera (pour la forme), le sujet n'est pas inintéressant et l'idée de départ aussi. Mais tellement que la monotonie, la mélancolie et l'ennuie ont prit le dessus sur ces personnages et tellement l'histoire est plate, que le film en devient lui aussi ennuyeux.
Campan est plutôt bon devant comme derrière la camera (pour la forme), le sujet n'est pas inintéressant et l'idée de départ aussi. Mais tellement que la monotonie, la mélancolie et l'ennuie ont prit le dessus sur ces personnages et tellement l'histoire est plate, que le film en devient lui aussi ennuyeux.
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604
Purée, ça fait longtemps que j'avais pas vu un film french aussi bon, il fait son effet. Je partais avec l'a priori petit film french, petit budget, donc pas de miracle, et même s'il n'y en a pas, le résultat est bon, très bon même. On a une vision de la banlieue moderne, des liens familiaux, la vengeance... Le tout avec des grands malades entourés de zombies. Alors ok ils sont pas super bien fait, mais le film fait peur qu'un 30 jours de nuit, comme quoi sans moyen, en s'attachant aux effets et à l'histoire on pond un bon truc. Sombre, glauque, gore (un peu trop parfois mais on s'y attend), une fin pas franchement originale, une musique comme il faut où il faut, pas vraiment de jeu d'acteur (bonne surprise, que des inconnus ça fait plaisir) mais le tout rend très bien. Je recommande, sauf aux âmes sensibles.
Purée, ça fait longtemps que j'avais pas vu un film french aussi bon, il fait son effet. Je partais avec l'a priori petit film french, petit budget, donc pas de miracle, et même s'il n'y en a pas, le résultat est bon, très bon même. On a une vision de la banlieue moderne, des liens familiaux, la vengeance... Le tout avec des grands malades entourés de zombies. Alors ok ils sont pas super bien fait, mais le film fait peur qu'un 30 jours de nuit, comme quoi sans moyen, en s'attachant aux effets et à l'histoire on pond un bon truc. Sombre, glauque, gore (un peu trop parfois mais on s'y attend), une fin pas franchement originale, une musique comme il faut où il faut, pas vraiment de jeu d'acteur (bonne surprise, que des inconnus ça fait plaisir) mais le tout rend très bien. Je recommande, sauf aux âmes sensibles.
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605
Pas très intéressant et qui a trop mal vieilli. [Votre critique n'a pas été publiée. Elle doit faire 50 caractères minimum pour être validée.] [Maintenant elle les fait]
Pas très intéressant et qui a trop mal vieilli. [Votre critique n'a pas été publiée. Elle doit faire 50 caractères minimum pour être validée.] [Maintenant elle les fait]
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Je vais surement paraitre puritain, mais que ce film est vulgaire! Les acteurs surjouent, essaient de dégager une ambiance jeune et urbain, ce qu'ils n'arrivent en rien. Le scénario est vide, des personnages dénués de charisme et la fin est trop brutale.
Je vais surement paraitre puritain, mais que ce film est vulgaire! Les acteurs surjouent, essaient de dégager une ambiance jeune et urbain, ce qu'ils n'arrivent en rien. Le scénario est vide, des personnages dénués de charisme et la fin est trop brutale.
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607
Une fois passée l'exposition, le film tient en haleine par un système de flash-backs entremêlés qui à la fois mélangent les points de vue mais donne aussi une direction intéressante au propos final. Le coup de théâtre final assourdissant est bien amené et justifie le montage. Certaines séquences sont poignantes et les acteurs sont resplendissants. On pourra regretter une certaine lenteur, surtout au début. L'ensemble tient vraiment la route. Denis Villeneuve commençait là, pour la première fois, à s'amuser avec le spectateur. Étonnant et dramatiquement juste.
Une fois passée l'exposition, le film tient en haleine par un système de flash-backs entremêlés qui à la fois mélangent les points de vue mais donne aussi une direction intéressante au propos final. Le coup de théâtre final assourdissant est bien amené et justifie le montage. Certaines séquences sont poignantes et les acteurs sont resplendissants. On pourra regretter une certaine lenteur, surtout au début. L'ensemble tient vraiment la route. Denis Villeneuve commençait là, pour la première fois, à s'amuser avec le spectateur. Étonnant et dramatiquement juste.
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Un chef d'oeuvre épique à apprécier dans sa version intégrale, plus profonde et moins manichéenne. John Woo signe un film ample et flamboyant où les morceaux de bravoure mémorables se succèdent. Le cinéaste illustre à merveille ce récit légendaire.
Un chef d'oeuvre épique à apprécier dans sa version intégrale, plus profonde et moins manichéenne. John Woo signe un film ample et flamboyant où les morceaux de bravoure mémorables se succèdent. Le cinéaste illustre à merveille ce récit légendaire.
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Ce film m'a fait penser à ces très longs pets que l'on lâche en période de gastro-entérite et qui nécessitent d'être à proximité du trône pour éviter tout débordement.
Ce film m'a fait penser à ces très longs pets que l'on lâche en période de gastro-entérite et qui nécessitent d'être à proximité du trône pour éviter tout débordement.
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Heu MDR j ai deja vu des navets mais alors la c est le ponpon !!! Les acteurs sont d'une nulités incroyable (le personnage principal est une vraie tete à claque c'est impressionnant) l'histoire (ha y en a une???!!) est à dormir debout,aucun suspence aucune action et 3 pages de script maxi.Comment peut on sortir des films pareil c est une honte
Heu MDR j ai deja vu des navets mais alors la c est le ponpon !!! Les acteurs sont d'une nulités incroyable (le personnage principal est une vraie tete à claque c'est impressionnant) l'histoire (ha y en a une???!!) est à dormir debout,aucun suspence aucune action et 3 pages de script maxi.Comment peut on sortir des films pareil c est une honte
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Parce qu’un film est chinois, a contourné la censure et parle d’homosexualité, faut-il forcément lui tresser des couronnes ? Trois garçons et une fille. L’un des garçons vit avec la fille mais couche avec un autre garçon. La fille le fait suivre par un troisième, qui tombe amoureux de l’un des deux. Puis, vers le milieu du récit, l’un des garçons se suicide sans qu’on sache vraiment pourquoi. Suivent alors une kyrielle de scènes où les personnages se téléphonent beaucoup, où tous pleurent, où les deux garçons survivants se disputent au bord d’une route, et où, enfin, la fille tente d’égorger l’un des deux garçons avec un tesson de boutielle. Mais il en réchappe et se fait tatouer un rameau fleuri sur la poitrine. Tout cela est filmé avec une caméra portée qui gigote sans arrêt, toutes les images sont laides, on ne comprend guère ce qui se passe, et la conclusion, après un interminable panoramique dans un crépuscule blafard sur cette horreur qu’est la ville de Nankin, consiste en la lecture d’un long poèmede 1923, destiné à justifier le titre, qui n’avait rien à voir avec l’histoire. Dans la grande salle quasi-vide où je me trouvais, plusieurs spectateurs n’ont pas enduré jusqu’au bout ce pensum, et ont déserté. On les comprend.
Parce qu’un film est chinois, a contourné la censure et parle d’homosexualité, faut-il forcément lui tresser des couronnes ? Trois garçons et une fille. L’un des garçons vit avec la fille mais couche avec un autre garçon. La fille le fait suivre par un troisième, qui tombe amoureux de l’un des deux. Puis, vers le milieu du récit, l’un des garçons se suicide sans qu’on sache vraiment pourquoi. Suivent alors une kyrielle de scènes où les personnages se téléphonent beaucoup, où tous pleurent, où les deux garçons survivants se disputent au bord d’une route, et où, enfin, la fille tente d’égorger l’un des deux garçons avec un tesson de boutielle. Mais il en réchappe et se fait tatouer un rameau fleuri sur la poitrine. Tout cela est filmé avec une caméra portée qui gigote sans arrêt, toutes les images sont laides, on ne comprend guère ce qui se passe, et la conclusion, après un interminable panoramique dans un crépuscule blafard sur cette horreur qu’est la ville de Nankin, consiste en la lecture d’un long poèmede 1923, destiné à justifier le titre, qui n’avait rien à voir avec l’histoire. Dans la grande salle quasi-vide où je me trouvais, plusieurs spectateurs n’ont pas enduré jusqu’au bout ce pensum, et ont déserté. On les comprend.
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Je savais pas qu'on pouvait autant s'ennuyer dans une salle de cinéma (et pourtant, j'en ai vu des films à endormir un insomniaque sous cocaine). J'en ai des frissons dans le dos quand j'y repense d'ailleurs. Mission accomplie donc.
Je savais pas qu'on pouvait autant s'ennuyer dans une salle de cinéma (et pourtant, j'en ai vu des films à endormir un insomniaque sous cocaine). J'en ai des frissons dans le dos quand j'y repense d'ailleurs. Mission accomplie donc.
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613
Avec "Le premier cercle", Laurent Tuel nous tricote un petit polar qui manque singulièrement de punch, de profondeur des personnages et une relation père fils qui n'est pas assez accentuèe pour qu'on puisse y croire! Niveau scènario, c’est très basique: la prèparation d’un casse, la police qui veille, un amour impossible et un hèritage familial lourd à porter...Malgrè une mise en scène soignèe et la beautè lumineuse de Vahina Giocante, l'enquête policière manque de rythme, traînant en longueur (sauf pour le hold-up) et le film manque ègalement d'un minimum de vèritè notamment Jean Rèno, inexpressif en chef de clan! Une dèception au final car le jeune Gaspard Ulliel ètait parfaitement à l'aise en fils de truand et les dècors naturels superbes...
Avec "Le premier cercle", Laurent Tuel nous tricote un petit polar qui manque singulièrement de punch, de profondeur des personnages et une relation père fils qui n'est pas assez accentuèe pour qu'on puisse y croire! Niveau scènario, c’est très basique: la prèparation d’un casse, la police qui veille, un amour impossible et un hèritage familial lourd à porter...Malgrè une mise en scène soignèe et la beautè lumineuse de Vahina Giocante, l'enquête policière manque de rythme, traînant en longueur (sauf pour le hold-up) et le film manque ègalement d'un minimum de vèritè notamment Jean Rèno, inexpressif en chef de clan! Une dèception au final car le jeune Gaspard Ulliel ètait parfaitement à l'aise en fils de truand et les dècors naturels superbes...
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The Major and the minor est le premier film de Billy Wilder seul et, comme il le fera toujours en tant que scénariste, c'est lui qui l'a co-écrit. Certes, on n'est pas encore dans les chefs-d'oeuvres de maturité du maître, mais il s'agit véritablement d'une plongée dans l'univers de Wilder, avec ses quiproquos désopilants, ses dialogues irrésistibles et ses personnages doubles-jeux malgré eux. Ginger Rogers joue à merveille ses rôles de fillette-jeune fille/femme - mère/ grand-mère, et se joue avec plaisir de tous les naïfs qu'elle croise, à commencer par Ray Milland. On est transporté de fil en aiguille depuis New-York dans un train pour l'Iowa, et puis dans un camp de militaires aux allures de camp scouts, avec des plaisanteries et des pirouettes typiques de Wilder. Billy Wilder, habitué des scénarios sophistiqués, assure d'emblée de jeu une mise en scène solide, même si elle n'a pas été reconnue avant Le Poison. Pourtant, son génie crève les yeux, et c'est toujours avec délice qu'on peut revoir ses premières, qui ne sont pas même effacées par les plus grands succès de Wilder.
The Major and the minor est le premier film de Billy Wilder seul et, comme il le fera toujours en tant que scénariste, c'est lui qui l'a co-écrit. Certes, on n'est pas encore dans les chefs-d'oeuvres de maturité du maître, mais il s'agit véritablement d'une plongée dans l'univers de Wilder, avec ses quiproquos désopilants, ses dialogues irrésistibles et ses personnages doubles-jeux malgré eux. Ginger Rogers joue à merveille ses rôles de fillette-jeune fille/femme - mère/ grand-mère, et se joue avec plaisir de tous les naïfs qu'elle croise, à commencer par Ray Milland. On est transporté de fil en aiguille depuis New-York dans un train pour l'Iowa, et puis dans un camp de militaires aux allures de camp scouts, avec des plaisanteries et des pirouettes typiques de Wilder. Billy Wilder, habitué des scénarios sophistiqués, assure d'emblée de jeu une mise en scène solide, même si elle n'a pas été reconnue avant Le Poison. Pourtant, son génie crève les yeux, et c'est toujours avec délice qu'on peut revoir ses premières, qui ne sont pas même effacées par les plus grands succès de Wilder.
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Bof bof vraiment. C'est un film convenu, pas très original, pas du tout palpitant ni drôle, ni émouvant. C'est le film le moins bien de ce réalisateur. "Barbecue" et "Retour chez ma mère" étaient vraiment beaucoup mieux. En plus, cette femme qui s'épanche dans un bouquin (en parlant aussi de ses proches) et qui trompe carrément son mari (même s'il est devenu impuissant), c'est tout simplement agaçant. Je n'ai pas bien adhéré à cette histoire qui, de surcroît, est assez banale, terne, sans envergure.
Bof bof vraiment. C'est un film convenu, pas très original, pas du tout palpitant ni drôle, ni émouvant. C'est le film le moins bien de ce réalisateur. "Barbecue" et "Retour chez ma mère" étaient vraiment beaucoup mieux. En plus, cette femme qui s'épanche dans un bouquin (en parlant aussi de ses proches) et qui trompe carrément son mari (même s'il est devenu impuissant), c'est tout simplement agaçant. Je n'ai pas bien adhéré à cette histoire qui, de surcroît, est assez banale, terne, sans envergure.
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616
Le film est mauvais , le scénario attendu , tout ce passe comme prévu , aucun vrai rébondissement , Jeffrey dean Morgan n'est pas crédible , en plus de mettre christopher lee sur l'affiche du film est juste pitoyable alors qu'il a 3 scènes , donc un conseil evitez - le !
Le film est mauvais , le scénario attendu , tout ce passe comme prévu , aucun vrai rébondissement , Jeffrey dean Morgan n'est pas crédible , en plus de mettre christopher lee sur l'affiche du film est juste pitoyable alors qu'il a 3 scènes , donc un conseil evitez - le !
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Dialogues grossiers, clichés à la pelle, des acteurs qui en fond des tonnes, même le casting élogieux ne sauve pas cette "comédie" barbante. A éviter
Dialogues grossiers, clichés à la pelle, des acteurs qui en fond des tonnes, même le casting élogieux ne sauve pas cette "comédie" barbante. A éviter
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Peu légitime dans le cinéma engagé Bolognini s’est attaché le très politisé Ugo Pirro, auteur des scénarii d'�Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon� et “La Classe ouvrière va au paradis� pour Elio Petri. Il retravaillera avec lui sur “L’héritage� quatre années plus tard. « Chronique d’un homicide » commence par une manifestation bâclée avec au total un trentaine de figurants (ce sera encore plus nul lors de l’affrontement avec les fascistes, un peu plus tard) et un côté caméra à l’épaule qui dans la confusion des plans permet de masquer l’absence de moyen. Heureusement il y a la suite, même si la pesante et inappropriée musique d’Ennio Morricone amène un côté balourd qui contraste avec la finesse du propos. Cette histoire d’abord profondément engagée à gauche, va peu à peu basculer dans un drame générationnel et la fin à ce titre, est plutôt éloignée des conventions de ce genre de film. Le réalisateur condamne les extrêmes, et s’appuie sur un trio d’acteurs remarquables, avec une sobriété des décors qui ne laissent aucune place à la digression. Massimo Ranieri retranscrit bien la progression implacable vers l’abandon de tout sentiment au profit de la logique révolutionnaire pure et dure, finissant par n’opposer que du mépris à sa famille bourgeoise, dans des scènes douloureuses où sa mère (Valentina Cortese) ira de détresse en détresse. Enfin Martin Balsam joue avec beaucoup de complexité cet homme à la fois juge intègre qui résiste aux pressions des deux issues jouées d’avances et père aimant qui voudrait comprendre comment la jeunesse en est arrivée à de tels extrêmes. Malheureusement, le reste du casting n’est clairement pas à la hauteur et il est regrettable, que la médiocre Petra Pauly soit utilisée essentiellement pour figurer dans une scène où on la voit seins nus avec une autre fille. Y viennent faire quoi les nichons??
Peu légitime dans le cinéma engagé Bolognini s’est attaché le très politisé Ugo Pirro, auteur des scénarii d'�Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon� et “La Classe ouvrière va au paradis� pour Elio Petri. Il retravaillera avec lui sur “L’héritage� quatre années plus tard. « Chronique d’un homicide » commence par une manifestation bâclée avec au total un trentaine de figurants (ce sera encore plus nul lors de l’affrontement avec les fascistes, un peu plus tard) et un côté caméra à l’épaule qui dans la confusion des plans permet de masquer l’absence de moyen. Heureusement il y a la suite, même si la pesante et inappropriée musique d’Ennio Morricone amène un côté balourd qui contraste avec la finesse du propos. Cette histoire d’abord profondément engagée à gauche, va peu à peu basculer dans un drame générationnel et la fin à ce titre, est plutôt éloignée des conventions de ce genre de film. Le réalisateur condamne les extrêmes, et s’appuie sur un trio d’acteurs remarquables, avec une sobriété des décors qui ne laissent aucune place à la digression. Massimo Ranieri retranscrit bien la progression implacable vers l’abandon de tout sentiment au profit de la logique révolutionnaire pure et dure, finissant par n’opposer que du mépris à sa famille bourgeoise, dans des scènes douloureuses où sa mère (Valentina Cortese) ira de détresse en détresse. Enfin Martin Balsam joue avec beaucoup de complexité cet homme à la fois juge intègre qui résiste aux pressions des deux issues jouées d’avances et père aimant qui voudrait comprendre comment la jeunesse en est arrivée à de tels extrêmes. Malheureusement, le reste du casting n’est clairement pas à la hauteur et il est regrettable, que la médiocre Petra Pauly soit utilisée essentiellement pour figurer dans une scène où on la voit seins nus avec une autre fille. Y viennent faire quoi les nichons??
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C'est long, très long, prétentieux et mortellement ennuyeux. Des plans fixes interminables et inutiles. Aucune émotion. Le générique de fin est le meilleur moment du film.
C'est long, très long, prétentieux et mortellement ennuyeux. Des plans fixes interminables et inutiles. Aucune émotion. Le générique de fin est le meilleur moment du film.
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Frederick Wiseman est un documentariste passionnant. Sa méthode consiste à s'immerger dans un lieu ou un institution et à l'observer avec discrétion (ni commentaire ni entretien). Cela conduit à un tournage intense (ici, 12 semaines de tournage de janvier à mars 2012) pour en repartir avec une matière importante (ici, 160 heures de rushes) puis à un long et patient travail de montage où le film émerge peu à peu. Ainsi, avec un sens assuré du cadre et du rythme, il nous plonge au cœur du fonctionnement d'un musée qui depuis son origine place l'Art au cœur de la Cité (le musée est situé à Trafalgar Square, soit au cœur de Londres).
Frederick Wiseman est un documentariste passionnant. Sa méthode consiste à s'immerger dans un lieu ou un institution et à l'observer avec discrétion (ni commentaire ni entretien). Cela conduit à un tournage intense (ici, 12 semaines de tournage de janvier à mars 2012) pour en repartir avec une matière importante (ici, 160 heures de rushes) puis à un long et patient travail de montage où le film émerge peu à peu. Ainsi, avec un sens assuré du cadre et du rythme, il nous plonge au cœur du fonctionnement d'un musée qui depuis son origine place l'Art au cœur de la Cité (le musée est situé à Trafalgar Square, soit au cœur de Londres).
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pas du tout a mon gout trop absurde aussi drôle que les mauvaises blague carambar. a voir pour la curiosité si il pleut et que vous avez vraiment rien d'autre a regarder. desolé pour ceux qui ont aimé
pas du tout a mon gout trop absurde aussi drôle que les mauvaises blague carambar. a voir pour la curiosité si il pleut et que vous avez vraiment rien d'autre a regarder. desolé pour ceux qui ont aimé
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L'ambiance des films allemand des années 20 a souvent un petit coté sinistre involontaire du coup on passe de la vie normale des personnages à l'intrigue sans vraiment voir la différence. Donc ça rend ce film muet assez ennuyeux malgré la présence de Marlène.
L'ambiance des films allemand des années 20 a souvent un petit coté sinistre involontaire du coup on passe de la vie normale des personnages à l'intrigue sans vraiment voir la différence. Donc ça rend ce film muet assez ennuyeux malgré la présence de Marlène.
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La-men-table. Sidéré par tant de médiocrité. Une réalisation à l’emporte pièce, un début poussif et une présentation des protagonistes lente et douloureuse, tant elle n’est ni drôle, ni captivante. Tout sonne faux : Les liens d’amitié, les histoires de coeur. Tout est caricatural à l’excès. Même cette bande de dépressifs, au mieux débiles légers (le gardien de la piscine) ne parvient pas à donner le change sur la nature de leurs relations, ni même sur le fond. Parfois joyeux, toujours déprimants. Comment ne pas vouloir fuir ce spectacle sans saveur au bout de 45 minutes ? En étant coincé dans le milieu de la rangée. Un léger sursaut avec l’apparition d’une nouvelle coach sans jambe, tyrannique et vulgaire, qui parvient à arracher quelques sourires. Une fin caricatural, au gout amer de happy end. Écœurant jusqu’au bout. Ce film, un feel good ? A fuir.
La-men-table. Sidéré par tant de médiocrité. Une réalisation à l’emporte pièce, un début poussif et une présentation des protagonistes lente et douloureuse, tant elle n’est ni drôle, ni captivante. Tout sonne faux : Les liens d’amitié, les histoires de coeur. Tout est caricatural à l’excès. Même cette bande de dépressifs, au mieux débiles légers (le gardien de la piscine) ne parvient pas à donner le change sur la nature de leurs relations, ni même sur le fond. Parfois joyeux, toujours déprimants. Comment ne pas vouloir fuir ce spectacle sans saveur au bout de 45 minutes ? En étant coincé dans le milieu de la rangée. Un léger sursaut avec l’apparition d’une nouvelle coach sans jambe, tyrannique et vulgaire, qui parvient à arracher quelques sourires. Une fin caricatural, au gout amer de happy end. Écœurant jusqu’au bout. Ce film, un feel good ? A fuir.
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Comment dire??? Des monstres et des robots géants. C'est tout se qui a de bien dans ce film. Bof bof bof bof!!!!
Comment dire??? Des monstres et des robots géants. C'est tout se qui a de bien dans ce film. Bof bof bof bof!!!!
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Une soupe de plus, non même une vrai daube. A éviter
Une soupe de plus, non même une vrai daube. A éviter
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Primé trois fois au Festival de Cannes 1991 (Palme d'Or, prix de la Mise en Scène, Prix d'Interprétation Masculine), "Barton Fink" est un des films les plus étranges de la filmographie des frères Coen. S'inspirant du blocage qu'ils ont rencontré lors de l'écriture de "Miller's Crossing", ils nous livrent ici une réflexion sur les affres de la création au cœur de l'Hollywood des années 40 où les studios étaient tout-puissants et où la créativité des auteurs étaient brimés par leurs contrats, menant certains à l'alcoolisme. L'époque n'est pas choisie au hasard et certains personnages sont fortement inspirés par des figures emblématiques du cinéma de ces années-là. Mais au-delà de brimer Hollywood ("jette une pierre ici, elle tombera forcément sur un scénariste" dira un producteur dans le film), le film va plus loin et nous montre un personnage en proie au doute, incapable d'écrire un film de série B sur le monde du catch, tellement coincé par ses idées sur la dramaturgie qu'il oublie d'écouter les autres. C'est dans cette atmosphère étrange et moite (surtout lors des scènes dans l'hôtel) qu'évolue le film qui finit par nous dérouter complètement pour mieux nous intriguer et nous pousser à la réflexion. En effet, "Barton Fink" est un film à plusieurs niveaux de lecture comme en témoigne certains objets (le cadre dans la chambre, le paquet de Charlie) ou le personnage de John Goodman, tour à tour amical, jovial, inquiétant et surtout intriguant. Et au cœur de cet univers, le personnage de Barton Fink se débat du mieux qu'il peut pour s'en sortir, coincé entre son blocage d'écriture et des personnes qui ne font rien pour l'aider (l'écrivain alcoolique inspiré de Faulkner, le producteur qui réclame la touche "Fink" sans pour autant laisser parler son interlocuteur). John Turturro, dans le rôle complexe et torturé de Fink, offre d'ailleurs là une de ses meilleures prestations.
Primé trois fois au Festival de Cannes 1991 (Palme d'Or, prix de la Mise en Scène, Prix d'Interprétation Masculine), "Barton Fink" est un des films les plus étranges de la filmographie des frères Coen. S'inspirant du blocage qu'ils ont rencontré lors de l'écriture de "Miller's Crossing", ils nous livrent ici une réflexion sur les affres de la création au cœur de l'Hollywood des années 40 où les studios étaient tout-puissants et où la créativité des auteurs étaient brimés par leurs contrats, menant certains à l'alcoolisme. L'époque n'est pas choisie au hasard et certains personnages sont fortement inspirés par des figures emblématiques du cinéma de ces années-là. Mais au-delà de brimer Hollywood ("jette une pierre ici, elle tombera forcément sur un scénariste" dira un producteur dans le film), le film va plus loin et nous montre un personnage en proie au doute, incapable d'écrire un film de série B sur le monde du catch, tellement coincé par ses idées sur la dramaturgie qu'il oublie d'écouter les autres. C'est dans cette atmosphère étrange et moite (surtout lors des scènes dans l'hôtel) qu'évolue le film qui finit par nous dérouter complètement pour mieux nous intriguer et nous pousser à la réflexion. En effet, "Barton Fink" est un film à plusieurs niveaux de lecture comme en témoigne certains objets (le cadre dans la chambre, le paquet de Charlie) ou le personnage de John Goodman, tour à tour amical, jovial, inquiétant et surtout intriguant. Et au cœur de cet univers, le personnage de Barton Fink se débat du mieux qu'il peut pour s'en sortir, coincé entre son blocage d'écriture et des personnes qui ne font rien pour l'aider (l'écrivain alcoolique inspiré de Faulkner, le producteur qui réclame la touche "Fink" sans pour autant laisser parler son interlocuteur). John Turturro, dans le rôle complexe et torturé de Fink, offre d'ailleurs là une de ses meilleures prestations.
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Quel gâchis : de bons acteurs, un pitch qui aurait pu être intéressant ... et un film TOTALEMENT RATE !!!! Ce film est une grosse, très grosse merde, taillée comme un blockbuster ! Même Disney ne fait pas aussi mièvre dans ses films adressés au moins de 10 ans !!!!!!!!!!!! Si vous avez un cerveau, fuyez !
Quel gâchis : de bons acteurs, un pitch qui aurait pu être intéressant ... et un film TOTALEMENT RATE !!!! Ce film est une grosse, très grosse merde, taillée comme un blockbuster ! Même Disney ne fait pas aussi mièvre dans ses films adressés au moins de 10 ans !!!!!!!!!!!! Si vous avez un cerveau, fuyez !
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J'ai sèrieusement du mal à comprendre les critiques négatives envers "La légende de Beowulf". Quand j'entends que le scénario est nul ou que c'est moche, ou qu'il n'y a pas de rythme je deviens fou. Comment ne peut on pas voir ici le meilleur film d'héroic fantasy depuis "Le seigneur des anneaux", le cadeau ultime pour les geeks et les fans de fantasy élevé à "Conan le barbare" ? Epique, barbare, bad ass, violent, politiquement incorrect, spectaculaire, "La légende de Beowulf" s'inscrit comme le digne héritier du barbare cimmérien. Visuellement proche des écrits de Howard et de Tolkien, scènes d'actions extrêmement inspiré de la démeusure spectacuaire de "God of war", scénario en bêton armé écrit par Roger Avary, co-auteur de "Pulp Fiction", alliant grand spectacle et personnages pronfonds, racontant les démons et les faiblesses d'un homme, les démons des hommes. "Entre la vértié et la légende, mieux vaut imprimer la légende" c'est la phrase clé du western de John Ford "L'homme qui tua Liberty Valence" et cette phrase colle parfaitement à ce qu'est Beowulf. La mise en scène ultra virtuose en fait certes parfois un peu trop, Zemeckis prenant un plaisir fou avec ses nouveaux jouets, la performance capture étant encore experimental à l'époque. Peu de monde voyait l'intêret de cette technologie, d'ou son échec commercial. A mes yeux, "La légende de Beowulf" représente l'anti "300" en terme de film de barbare. L'un étant involontairement drôle et statique, l'autre bad ass et spectaculaire. Et pour une fois, on a droit à un blockbuster pour adultes et pas pour mioches avec des "Narnias" et compagnie tout pourris. "La légende de Beowulf" a tout d'un classique du genre.
J'ai sèrieusement du mal à comprendre les critiques négatives envers "La légende de Beowulf". Quand j'entends que le scénario est nul ou que c'est moche, ou qu'il n'y a pas de rythme je deviens fou. Comment ne peut on pas voir ici le meilleur film d'héroic fantasy depuis "Le seigneur des anneaux", le cadeau ultime pour les geeks et les fans de fantasy élevé à "Conan le barbare" ? Epique, barbare, bad ass, violent, politiquement incorrect, spectaculaire, "La légende de Beowulf" s'inscrit comme le digne héritier du barbare cimmérien. Visuellement proche des écrits de Howard et de Tolkien, scènes d'actions extrêmement inspiré de la démeusure spectacuaire de "God of war", scénario en bêton armé écrit par Roger Avary, co-auteur de "Pulp Fiction", alliant grand spectacle et personnages pronfonds, racontant les démons et les faiblesses d'un homme, les démons des hommes. "Entre la vértié et la légende, mieux vaut imprimer la légende" c'est la phrase clé du western de John Ford "L'homme qui tua Liberty Valence" et cette phrase colle parfaitement à ce qu'est Beowulf. La mise en scène ultra virtuose en fait certes parfois un peu trop, Zemeckis prenant un plaisir fou avec ses nouveaux jouets, la performance capture étant encore experimental à l'époque. Peu de monde voyait l'intêret de cette technologie, d'ou son échec commercial. A mes yeux, "La légende de Beowulf" représente l'anti "300" en terme de film de barbare. L'un étant involontairement drôle et statique, l'autre bad ass et spectaculaire. Et pour une fois, on a droit à un blockbuster pour adultes et pas pour mioches avec des "Narnias" et compagnie tout pourris. "La légende de Beowulf" a tout d'un classique du genre.
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"Lost Horizon" de Frank Capra est sans doute le plus cèlèbre de ces films qui ont pour thème la dècouverte d'une civilisation perdue, vèritable paradis terrestre par ailleurs! (il s'agit encore une fois de l'adaptation d'un roman de James Hilton, en l'occurence). Luis Bunuel, en diverses occasions, exprima son admiration pour cette oeuvre, et cela n'a rien d'ètonnant! L'histoire, assez romantique, est celle d'une expèdition en avion parvenant au pays (de pure fiction) de Shangri-La! La mystique tibètaine aidant, les habitants, des immortels, y vivent dans une paix perpètuelle! Tout cela baigne dans une profonde poèsie onirique! L'imagination qu'y dèploie Capra est bien èloignèe de celle des comèdies prètendument rèalistes auxquelles il doit sa cèlèbritè! Dans ce classique injustement oubliè, il nous fait entendre quelque chose qui est en chacun de nous et qui brille du même èclat que les neiges du Shangri-La: l'appel vers l'inaccessible! De plus les dècors sont superbes et l'interprètation (Ronald Colman surtout) remarquable! Un formidable hymne à la paix et à l'amour qu'il faut rèhabiliter de toute urgence...
"Lost Horizon" de Frank Capra est sans doute le plus cèlèbre de ces films qui ont pour thème la dècouverte d'une civilisation perdue, vèritable paradis terrestre par ailleurs! (il s'agit encore une fois de l'adaptation d'un roman de James Hilton, en l'occurence). Luis Bunuel, en diverses occasions, exprima son admiration pour cette oeuvre, et cela n'a rien d'ètonnant! L'histoire, assez romantique, est celle d'une expèdition en avion parvenant au pays (de pure fiction) de Shangri-La! La mystique tibètaine aidant, les habitants, des immortels, y vivent dans une paix perpètuelle! Tout cela baigne dans une profonde poèsie onirique! L'imagination qu'y dèploie Capra est bien èloignèe de celle des comèdies prètendument rèalistes auxquelles il doit sa cèlèbritè! Dans ce classique injustement oubliè, il nous fait entendre quelque chose qui est en chacun de nous et qui brille du même èclat que les neiges du Shangri-La: l'appel vers l'inaccessible! De plus les dècors sont superbes et l'interprètation (Ronald Colman surtout) remarquable! Un formidable hymne à la paix et à l'amour qu'il faut rèhabiliter de toute urgence...
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Android Chaotique... Il ne se passe rien et si action il y à, alors vous vous retrouvez avec les protagonistes qui font de la poursuite surplace dans un désert, plus avec des petits z'avion robotique, navrant et ennuyeux.
Android Chaotique... Il ne se passe rien et si action il y à, alors vous vous retrouvez avec les protagonistes qui font de la poursuite surplace dans un désert, plus avec des petits z'avion robotique, navrant et ennuyeux.
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Les 2 actrices sont exelentes,mais le scenario est plat et ca devient ennuyeux.
Les 2 actrices sont exelentes,mais le scenario est plat et ca devient ennuyeux.
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comédie gentillette qui s'oublie très vite PLV : à réserver aux fans de Michael J. Fox toujours aussi sympathique.
comédie gentillette qui s'oublie très vite PLV : à réserver aux fans de Michael J. Fox toujours aussi sympathique.
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Famille, rédemption, baseball : infernal triptique du cinéma US. Un fermier entend une voix qui lui dit de construire un terrain de base ball. - > Il le fait et voit débarquer sur ce terrain une glorieuse équipe de joueurs morts. Puis la voix persiste et l'envoie chercher un écrivain noir à l'autre bout des US, puis c'est l'affichage d'un stade qui l'envoie quérir un médecin, mort aussi, dans le Minesota Au retour sur ses champs de maïs, c'est in fine son père mort qui revient en baseballeur pour qu'ils puissent se réconcilier (et le médecin va servir pour sauver sa fille et un public drainé par la voix (?), va se payer un match à l'ancienne pour sauver la ferme de la faillite). Incroyable gloubiboulga à base de métempsychose et de guimauve familiale. Sidérante mélasse qui concourrait en son temps pour l'oscar du meilleur film !! Bon, y'en a qui aiment. Mais ceux qui craignent le genre seront prévenus.
Famille, rédemption, baseball : infernal triptique du cinéma US. Un fermier entend une voix qui lui dit de construire un terrain de base ball. - > Il le fait et voit débarquer sur ce terrain une glorieuse équipe de joueurs morts. Puis la voix persiste et l'envoie chercher un écrivain noir à l'autre bout des US, puis c'est l'affichage d'un stade qui l'envoie quérir un médecin, mort aussi, dans le Minesota Au retour sur ses champs de maïs, c'est in fine son père mort qui revient en baseballeur pour qu'ils puissent se réconcilier (et le médecin va servir pour sauver sa fille et un public drainé par la voix (?), va se payer un match à l'ancienne pour sauver la ferme de la faillite). Incroyable gloubiboulga à base de métempsychose et de guimauve familiale. Sidérante mélasse qui concourrait en son temps pour l'oscar du meilleur film !! Bon, y'en a qui aiment. Mais ceux qui craignent le genre seront prévenus.
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634
Premier long-métrage pour Abel Ferry qui s’est attelé à un film de genre avec Vertige (anciennement titré "Ferrata") où l’on se retrouve en pleine montagne aux côtés d’un groupe d’amis fin près à escalader une montagne réputée pour les sensations qu’elle procure ! Le film se découpe en deux parties, la première est assez redondante car elle traite des phobies (peur du vide essentiellement), avec quelques passages pour le moins calme (trop calme ?). Puis la seconde partie prend un virage à 180 degrés et vire au survival (le groupe se retrouve pourchassé par un psychotique pouilleux). Si Abel Ferry ne révolutionne pas le genre, il distrait aisément (à partir de la deuxième partie), grâce à ses comédiens efficaces et sa mise en scène qui alterne avec des plans subjectifs. Vertiges & adrénalines sont au programme de ce survival estival !
Premier long-métrage pour Abel Ferry qui s’est attelé à un film de genre avec Vertige (anciennement titré "Ferrata") où l’on se retrouve en pleine montagne aux côtés d’un groupe d’amis fin près à escalader une montagne réputée pour les sensations qu’elle procure ! Le film se découpe en deux parties, la première est assez redondante car elle traite des phobies (peur du vide essentiellement), avec quelques passages pour le moins calme (trop calme ?). Puis la seconde partie prend un virage à 180 degrés et vire au survival (le groupe se retrouve pourchassé par un psychotique pouilleux). Si Abel Ferry ne révolutionne pas le genre, il distrait aisément (à partir de la deuxième partie), grâce à ses comédiens efficaces et sa mise en scène qui alterne avec des plans subjectifs. Vertiges & adrénalines sont au programme de ce survival estival !
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Facture classique, biographie tronquée : cette description de "la faille" sentimentale d'Oscar Wilde donne envie d'en savoir davantage sur l'avant-gardiste qu'il semblait être en pleine époque victorienne, quand le rang social positionnait l'individu, le plus aristocrate pouvant aussi se voir couper les vivres. Le grand homme (acteur Stephen Fry de haute stature) plus mère ou père de substitution qu'amant du jeune à la peau douce (Jude Law, qui fait tout gracile à côté). La cruauté juvénile décuple la compréhension déjà évidente du conteur attitré de ses propres enfants. Bosie, intrigant à fuir après consommation, sera cause de l'opprobre, alors que les choix d'admirateurs semblaient inépuisables... Distribution étincelante, situation claires, contraste entre les acteurs, permissivité sexuelle pour mettre à l'épreuve les liens. Une société intellectuellement capable mais puritaine jusqu'à l'os. Dialogues délectables, je pense à la présentation des deux "combattants", à l'intervention du Maître au théâtre ou à la barre... Nul doute qu'il maîtrisait l'art de dire les choses sans les dire, toujours armé de sa verve littéraire. Peinture de moeurs, homos ou hétéros s'y retrouvent tellement c'est la passion dans tous ses états. Elégance, capacité à assumer le pire, jamais rien de trop trivial si l'analyste (et sociologue avant l'heure) Oscar Wilde était dans les parages, en tous cas si l'on en croit ce portrait.
Facture classique, biographie tronquée : cette description de "la faille" sentimentale d'Oscar Wilde donne envie d'en savoir davantage sur l'avant-gardiste qu'il semblait être en pleine époque victorienne, quand le rang social positionnait l'individu, le plus aristocrate pouvant aussi se voir couper les vivres. Le grand homme (acteur Stephen Fry de haute stature) plus mère ou père de substitution qu'amant du jeune à la peau douce (Jude Law, qui fait tout gracile à côté). La cruauté juvénile décuple la compréhension déjà évidente du conteur attitré de ses propres enfants. Bosie, intrigant à fuir après consommation, sera cause de l'opprobre, alors que les choix d'admirateurs semblaient inépuisables... Distribution étincelante, situation claires, contraste entre les acteurs, permissivité sexuelle pour mettre à l'épreuve les liens. Une société intellectuellement capable mais puritaine jusqu'à l'os. Dialogues délectables, je pense à la présentation des deux "combattants", à l'intervention du Maître au théâtre ou à la barre... Nul doute qu'il maîtrisait l'art de dire les choses sans les dire, toujours armé de sa verve littéraire. Peinture de moeurs, homos ou hétéros s'y retrouvent tellement c'est la passion dans tous ses états. Elégance, capacité à assumer le pire, jamais rien de trop trivial si l'analyste (et sociologue avant l'heure) Oscar Wilde était dans les parages, en tous cas si l'on en croit ce portrait.
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A éviter à tout prix, tout est tellement médiocre, que dis-je... MAUVAIS que je ne sais par où commencer. Entre le jeu d'acteur lamentable, le scénario bidon, la mise en scène pathétique l'équation est parfaite pour avoir Messieurs et Mesdames le navet du siècle !
A éviter à tout prix, tout est tellement médiocre, que dis-je... MAUVAIS que je ne sais par où commencer. Entre le jeu d'acteur lamentable, le scénario bidon, la mise en scène pathétique l'équation est parfaite pour avoir Messieurs et Mesdames le navet du siècle !
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Ocean's Eleven est un film à voir en tant que pur divertissement. Mais divertissement ne rime pas obligatoirement avec sans intérêt (sinon, ce serait quand même dommage). Un casting en or qui remplit son cahier des charges hormis Julia Roberts que je trouve un peu trop lisse, les acteurs sont tous attachants et drôles (surtout Carl Reiner en vieux braqueur à la retraite, absolument délicieux). Le scénario est très bien écrit, et s'il paraît simple au début, il se complexifie au fil du braquage, pour un résultat parfait. Drôle, bien écrit, et pourtant pas trop bling-bling, Ocean's Eleven est ce que l'on peut appeler un bon film.
Ocean's Eleven est un film à voir en tant que pur divertissement. Mais divertissement ne rime pas obligatoirement avec sans intérêt (sinon, ce serait quand même dommage). Un casting en or qui remplit son cahier des charges hormis Julia Roberts que je trouve un peu trop lisse, les acteurs sont tous attachants et drôles (surtout Carl Reiner en vieux braqueur à la retraite, absolument délicieux). Le scénario est très bien écrit, et s'il paraît simple au début, il se complexifie au fil du braquage, pour un résultat parfait. Drôle, bien écrit, et pourtant pas trop bling-bling, Ocean's Eleven est ce que l'on peut appeler un bon film.
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Un film extraordinaire, un OVNI qui ne peut laisser indifférent. Je comprends que l'on puisse détester ce film viscéral, obscur (comme son titre l'indique), fillm de sensations pures qui laisse toute sa part à l'imagination du spectateur. Bande-son magnifique, images jamais vues, "Sombre" est une expérience. Moi j'ai vraiment beaucoup aimé !
Un film extraordinaire, un OVNI qui ne peut laisser indifférent. Je comprends que l'on puisse détester ce film viscéral, obscur (comme son titre l'indique), fillm de sensations pures qui laisse toute sa part à l'imagination du spectateur. Bande-son magnifique, images jamais vues, "Sombre" est une expérience. Moi j'ai vraiment beaucoup aimé !
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"Cosmopolis" fait preuve d'une indéniable qualité cinématographique tant les images sont soignées et très intéressantes... Les cadrages et la lumière sont extrêmement bien étudiés et flattent au plus au point l'œil du spectateur... De plus, le thème induit par le roman qui a inspiré ce film était particulièrement attrayant mais il y a malgré tout un MAIS de taille qu'on ne peut pas passer sous silence... ! En effet, les dialogues, les paroles qui font tout de même l'histoire risquent d'en rebuter plus d'un même si les échanges sont parfois très riches et très justes ! On commence d'abord par bien s'accrocher, on persévère un peu,... beaucoup, on essaie de comprendre, d'interpréter puis tout finit par lasser... Bien sûr, on pourra toujours se dire que l'incohérence de l'ensemble des situations reflète le chaos général vécu par Robert Pattinson très en forme et très bon dans ce rôle de traider ruiné qui finit par déraisonner totalement ! La relation que le héros a avec les quelques personnages, est pour le moins assez étrange et décousue tout comme les lieux qui se succèdent sans logique apparente... On pourra certes toujours extrapoler et trouver une justification et une explication à ce parcours en limousine, car au fond ce n'est pas si compliqué ... Mais pourquoi toujours vouloir se démarquer au point de faire un cinéma confus, abstrait et hermétique à ce point et au final prétentieux et ennuyeux qu'un certain public encensera ou fera pour le moins semblant ! Après le classique mais néanmoins très bon "A Dangerous Method", David Cronenberg fait donc le choix d'un cinéma plus abstrait mais peu accessible et c'est bien dommage...
"Cosmopolis" fait preuve d'une indéniable qualité cinématographique tant les images sont soignées et très intéressantes... Les cadrages et la lumière sont extrêmement bien étudiés et flattent au plus au point l'œil du spectateur... De plus, le thème induit par le roman qui a inspiré ce film était particulièrement attrayant mais il y a malgré tout un MAIS de taille qu'on ne peut pas passer sous silence... ! En effet, les dialogues, les paroles qui font tout de même l'histoire risquent d'en rebuter plus d'un même si les échanges sont parfois très riches et très justes ! On commence d'abord par bien s'accrocher, on persévère un peu,... beaucoup, on essaie de comprendre, d'interpréter puis tout finit par lasser... Bien sûr, on pourra toujours se dire que l'incohérence de l'ensemble des situations reflète le chaos général vécu par Robert Pattinson très en forme et très bon dans ce rôle de traider ruiné qui finit par déraisonner totalement ! La relation que le héros a avec les quelques personnages, est pour le moins assez étrange et décousue tout comme les lieux qui se succèdent sans logique apparente... On pourra certes toujours extrapoler et trouver une justification et une explication à ce parcours en limousine, car au fond ce n'est pas si compliqué ... Mais pourquoi toujours vouloir se démarquer au point de faire un cinéma confus, abstrait et hermétique à ce point et au final prétentieux et ennuyeux qu'un certain public encensera ou fera pour le moins semblant ! Après le classique mais néanmoins très bon "A Dangerous Method", David Cronenberg fait donc le choix d'un cinéma plus abstrait mais peu accessible et c'est bien dommage...
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Quelques bonnes vannes, quelques bons moments, mais n'étant pas fan de Judd Apatow, j'ai finalement trouvé ça sans style : ni drôle, ni émouvant, ni attachant. A la limite du vide!
Quelques bonnes vannes, quelques bons moments, mais n'étant pas fan de Judd Apatow, j'ai finalement trouvé ça sans style : ni drôle, ni émouvant, ni attachant. A la limite du vide!
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Francis Ford Coppola revient en grande forme avec ce petit film plein d'envie qui rappelle le début de sa carrière chez Roger Corman et l'économie des moyens! Un trip visuel accompagné par une voix off glaçante qui donne une forte impression de lente agonie. Une psychologie pour Coppola mais aussi un cauchemar perpétuel pour les spectateurs! Jouant de toutes les forces de sa filmographie (le temps, la création, la famille...) Coppola irrigue littéralement son dernier film en la personne de Val Kilmer qui vit ici peut être son second souffle. Ellen Fanning continue, quand à elle de prouver qu'elle est l'enfant star de cette décennie avec Chloé Moretz ! Un Bruce Dern qui fait froid dans le dos et un scénario entortiller, complexe et surtout qui s'axe autour de l'oeuvre d'Edgar Allan Poe (sobrement interprété par Ben Chaplin). Bref, un grand moment de cinéma indépendant qui prouve enfin que le rêve du Nouvel Hollywood pouvait arriver à termes!
Francis Ford Coppola revient en grande forme avec ce petit film plein d'envie qui rappelle le début de sa carrière chez Roger Corman et l'économie des moyens! Un trip visuel accompagné par une voix off glaçante qui donne une forte impression de lente agonie. Une psychologie pour Coppola mais aussi un cauchemar perpétuel pour les spectateurs! Jouant de toutes les forces de sa filmographie (le temps, la création, la famille...) Coppola irrigue littéralement son dernier film en la personne de Val Kilmer qui vit ici peut être son second souffle. Ellen Fanning continue, quand à elle de prouver qu'elle est l'enfant star de cette décennie avec Chloé Moretz ! Un Bruce Dern qui fait froid dans le dos et un scénario entortiller, complexe et surtout qui s'axe autour de l'oeuvre d'Edgar Allan Poe (sobrement interprété par Ben Chaplin). Bref, un grand moment de cinéma indépendant qui prouve enfin que le rêve du Nouvel Hollywood pouvait arriver à termes!
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Voila un bon thriller avec des acteurs, des dialogues et une intrigue qui m'ont plu. L'intrigue s’avérera peut-être trop simple, mais ce qui est certain c'est que les personnages ne le sont pas. Ils portent tous un masque, et quand ils le tombent ils sont moins beaux. A vrai dire c'est un très bon film. Pour une fois qu'on ressent de l'empathie, du dégoût, n'importe quoi, c'est la preuve que c'en est un. Appréciez aussi la bande son, elle mérite qu'on s'y attarde.
Voila un bon thriller avec des acteurs, des dialogues et une intrigue qui m'ont plu. L'intrigue s’avérera peut-être trop simple, mais ce qui est certain c'est que les personnages ne le sont pas. Ils portent tous un masque, et quand ils le tombent ils sont moins beaux. A vrai dire c'est un très bon film. Pour une fois qu'on ressent de l'empathie, du dégoût, n'importe quoi, c'est la preuve que c'en est un. Appréciez aussi la bande son, elle mérite qu'on s'y attarde.
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Une catastrophe absolue, indigne de la série, laide, stupide, aux frontières de ce qui est humainement supportable en terme d'ennui.
Une catastrophe absolue, indigne de la série, laide, stupide, aux frontières de ce qui est humainement supportable en terme d'ennui.
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franchement film ennuyant j'ai perdu mon temps a le regardé passé votre chemin rien de vraiment intérréssant si ce n'est la musique angoissante a coup de violon mais franchement le film est d'un ennui total!
franchement film ennuyant j'ai perdu mon temps a le regardé passé votre chemin rien de vraiment intérréssant si ce n'est la musique angoissante a coup de violon mais franchement le film est d'un ennui total!
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Chiant mal joué ,moche ,Le film le plus nul de Rob Zombie
Chiant mal joué ,moche ,Le film le plus nul de Rob Zombie
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On voit de moins en moins de western de nos jours, au cinéma. Le plus souvent, ce ne sont plus des westerns à l’ancienne, mais des réflexions sur le genre. Sherif Jackson se place entre les deux. En effet, si on retrouve les éléments chers au western dans Sherif Jackson, surtout dans les personnages stéréotypés (le banquier véreux et à la solde du grand méchant, les nouveaux arrivants mal vus, la maison close…), on est bien plus dans une histoire de vengeance pure et simple. Si les distributeurs français ont centré le titre du film sur le personnage secondaire d’Ed Harris, le long métrage est bien plus centré sur le personnage de January Jones. Malheureusement, aucun de ces deux acteurs (voire même les autres) ne sont bien castés. Même s’ils sont plutôt bons (surtout Eduardo Noriega), ils ne sont pas crédibles dans les rôles ui leurs sont attribués. Le film se veut être original. Là, les frères Miller ne se sont pas loupés, le film est vraiment original. Mais l’originalité ne fait pas tout : il faut garder une certaine cohérence dans les personnages, dans leurs évolutions, dans leurs interactions avec les autres, une certaine cohérence dans l’intrigue, à partir du moment où on choisit d’en avoir, afin que le spectateur puisse croire ce qu’il se passe. Et ceci n’arrive absolument jamais dans Sherif Jackson. Pour deux ou trois scènes réussies (dont celle du repas où s’invite le Shérif Jackson), le film est particulièrement ennuyeux, très mal réalisé (le climax est catastrophique) et se trouve être bien trop long, même à 90 minutes seulement. Sherif Jackson est un vrai loupé, un film ennuyeux, qui monte crescendo jusqu’à une fin catastrophique. Malheureusement pour les frères Miller, à ce point-là du film, le spectateur ne s’intéresse déjà plus à ce qu’il se passe.
On voit de moins en moins de western de nos jours, au cinéma. Le plus souvent, ce ne sont plus des westerns à l’ancienne, mais des réflexions sur le genre. Sherif Jackson se place entre les deux. En effet, si on retrouve les éléments chers au western dans Sherif Jackson, surtout dans les personnages stéréotypés (le banquier véreux et à la solde du grand méchant, les nouveaux arrivants mal vus, la maison close…), on est bien plus dans une histoire de vengeance pure et simple. Si les distributeurs français ont centré le titre du film sur le personnage secondaire d’Ed Harris, le long métrage est bien plus centré sur le personnage de January Jones. Malheureusement, aucun de ces deux acteurs (voire même les autres) ne sont bien castés. Même s’ils sont plutôt bons (surtout Eduardo Noriega), ils ne sont pas crédibles dans les rôles ui leurs sont attribués. Le film se veut être original. Là, les frères Miller ne se sont pas loupés, le film est vraiment original. Mais l’originalité ne fait pas tout : il faut garder une certaine cohérence dans les personnages, dans leurs évolutions, dans leurs interactions avec les autres, une certaine cohérence dans l’intrigue, à partir du moment où on choisit d’en avoir, afin que le spectateur puisse croire ce qu’il se passe. Et ceci n’arrive absolument jamais dans Sherif Jackson. Pour deux ou trois scènes réussies (dont celle du repas où s’invite le Shérif Jackson), le film est particulièrement ennuyeux, très mal réalisé (le climax est catastrophique) et se trouve être bien trop long, même à 90 minutes seulement. Sherif Jackson est un vrai loupé, un film ennuyeux, qui monte crescendo jusqu’à une fin catastrophique. Malheureusement pour les frères Miller, à ce point-là du film, le spectateur ne s’intéresse déjà plus à ce qu’il se passe.
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Film vu en philo et intelligemment choisi d'un point de vue pédagogique. Cinématographiquement parlant, ce long-métrage néo-zélandais (réalisé par une Niki Caro qui a depuis fait ses preuves à Hollywood) mondialement récompensé (les Festivals indépendants lui ont fait la part belle) est à l'inverse très loin d'être abouti bien que pas désagréable. La culture maori n'est que très peu connue en Occident, aussi un traitement de ce thème semblait plus qu'intéressant, qui plus est sans se noyer dans une fresque historique ou je ne sais quoi de ce genre... Le début du film se révèle donc forcément intriguant, attisant notre curiosité sur des normes et valeurs dont nous ne sommes pas forcément familiers. L'introduction complètement ratée jette malheureusement un froid, entre ralentis inappropriés, montage tape-à-l'oeil et choix sonores très discutables. Une petite voix-off termine d'exposer maladroitement les faits avant que l'oeuvre ne puisse enfin réellement démarrer. Durant disons une heure, les personnages (attachants) maintiennent à flots une production peu inspirée visuellement qui parvient malgré tout à retenir l'attention de par les émotions véhiculées. Les valeurs de respect et de tolérance ne m'ont bien évidemment pas laissé insensible dans la mesure où elles ne sont pas trop lourdement mises en avant. L'interprétation de qualité (notamment la petite fille) a de quoi convaincre, et ce malgré les grossièretés du récit. Et puis, dans le derniers tiers, ça se gâte : les sentiments ne sont plus présents que pour servir un gros mélo, exagéré, alourdi par une réalisation pesante en plus d'être conformiste ; les travers observés lors de l'ouverture refont leur apparition jusqu'au point de saturation pour le spectateur. Bien évidemment, il est difficile d'en vouloir à "Paï", petit film parmi tant d'autres qui est parvenu à nous captiver une bonne partie du temps mais dont les maladresses récurrentes finissent par le plomber, malgré de bonnes intentions incontestables.
Film vu en philo et intelligemment choisi d'un point de vue pédagogique. Cinématographiquement parlant, ce long-métrage néo-zélandais (réalisé par une Niki Caro qui a depuis fait ses preuves à Hollywood) mondialement récompensé (les Festivals indépendants lui ont fait la part belle) est à l'inverse très loin d'être abouti bien que pas désagréable. La culture maori n'est que très peu connue en Occident, aussi un traitement de ce thème semblait plus qu'intéressant, qui plus est sans se noyer dans une fresque historique ou je ne sais quoi de ce genre... Le début du film se révèle donc forcément intriguant, attisant notre curiosité sur des normes et valeurs dont nous ne sommes pas forcément familiers. L'introduction complètement ratée jette malheureusement un froid, entre ralentis inappropriés, montage tape-à-l'oeil et choix sonores très discutables. Une petite voix-off termine d'exposer maladroitement les faits avant que l'oeuvre ne puisse enfin réellement démarrer. Durant disons une heure, les personnages (attachants) maintiennent à flots une production peu inspirée visuellement qui parvient malgré tout à retenir l'attention de par les émotions véhiculées. Les valeurs de respect et de tolérance ne m'ont bien évidemment pas laissé insensible dans la mesure où elles ne sont pas trop lourdement mises en avant. L'interprétation de qualité (notamment la petite fille) a de quoi convaincre, et ce malgré les grossièretés du récit. Et puis, dans le derniers tiers, ça se gâte : les sentiments ne sont plus présents que pour servir un gros mélo, exagéré, alourdi par une réalisation pesante en plus d'être conformiste ; les travers observés lors de l'ouverture refont leur apparition jusqu'au point de saturation pour le spectateur. Bien évidemment, il est difficile d'en vouloir à "Paï", petit film parmi tant d'autres qui est parvenu à nous captiver une bonne partie du temps mais dont les maladresses récurrentes finissent par le plomber, malgré de bonnes intentions incontestables.
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Je suis une grande fan de Barbara et attendais la sortie du film avec impatience: immense déception !! Je ne comprends pas le propos du film et ne retrouve pas Barbara ou si peu... et tellement exagérée, caricaturée, ce film manque cruellement de finesse et de subtilité.
Je suis une grande fan de Barbara et attendais la sortie du film avec impatience: immense déception !! Je ne comprends pas le propos du film et ne retrouve pas Barbara ou si peu... et tellement exagérée, caricaturée, ce film manque cruellement de finesse et de subtilité.
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Incroyable ! Ce film est soporifique comme on en voit peu, très long et dont le suspence est plus fort sur l'affiche que dans le film. Alors que des acteurs formidables le portent à bouts de bras, Colin Firth, Gary Oldman, et puis plein d'autres, l'intrigue (enfin "intrigue", c'est un bien grand mot) n'existe pas ! Résumé : Une taupe est là, qui est-ce ? ..D'accord...Mais on est où exactement ? Et la taupe espionnerait quoi puisqu'il n'y a rien voir, et quel est son interêt ? Bref, je n'ai pas compris du tout l'histoire. Nul
Incroyable ! Ce film est soporifique comme on en voit peu, très long et dont le suspence est plus fort sur l'affiche que dans le film. Alors que des acteurs formidables le portent à bouts de bras, Colin Firth, Gary Oldman, et puis plein d'autres, l'intrigue (enfin "intrigue", c'est un bien grand mot) n'existe pas ! Résumé : Une taupe est là, qui est-ce ? ..D'accord...Mais on est où exactement ? Et la taupe espionnerait quoi puisqu'il n'y a rien voir, et quel est son interêt ? Bref, je n'ai pas compris du tout l'histoire. Nul
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Mauvais, mauvais, mauvais, mauvais, mauvais !!! Comment est-il possible aujourd'hui de rater à ce point un film ? Cela m'a fait pensé à une mauvaise série Z, pire que les navrants téléfilms de France 2, c'est dire le niveau ! Il paraît que c'est une comédie, mais sans humour, j'ai vraiment du mal à rire. Narco ressemble aux mauvaises comédies dramatiques des frères Farrelly, mais sans la volonté de dérider le spectateur. J'espère vraiment qu'ils en resteront là, car le film atteint des summums de ratage dans la mise en scène, n'importe qui aurais fait mieux. On retiendra une narration totalement inadaptée, une esthétique particulièrement laide et des plus ringarde, des personnages pitoyables et un casting de fond de tiroir. Guillaume Canet est translucide (il paraît que c'est lui la vedette du film?) et s'avère incapable de s'imposer à l'écran, ridicule avec sa barbe et son torse à l'air ; Zabou Breitman en fait le moins possible (à défaut d'être actrice, j'espère qu'elle est bonne réalisatrice), elle n'arrive pas à donner une quelconque dimension à son personnage de femme ayant perdue ses illusions et échouée là. Quant à Benoît Poelvoorde, au vu de ses prestations minables et pathétiques, campant ici un fan de Van Damme et karatéka raté, on préfèrerait qu'il laisse le grand écran à des gens sérieux et retourne faire mumuse à la tv, où il lui arrivait au moins quelque fois d'être drôle (si si je vous assure!). Il est inadmissible qu'on puisse trouver des financements avec un scénario aussi mal écrit. Le film passant complètement à côté de la force dramatique du sujet, la narcolepsie. Il ira jusqu'à faire l'apologie de la médiocrité et de la complaisance dans la bêtise, ce qui a le dont de m'insupporter.
Mauvais, mauvais, mauvais, mauvais, mauvais !!! Comment est-il possible aujourd'hui de rater à ce point un film ? Cela m'a fait pensé à une mauvaise série Z, pire que les navrants téléfilms de France 2, c'est dire le niveau ! Il paraît que c'est une comédie, mais sans humour, j'ai vraiment du mal à rire. Narco ressemble aux mauvaises comédies dramatiques des frères Farrelly, mais sans la volonté de dérider le spectateur. J'espère vraiment qu'ils en resteront là, car le film atteint des summums de ratage dans la mise en scène, n'importe qui aurais fait mieux. On retiendra une narration totalement inadaptée, une esthétique particulièrement laide et des plus ringarde, des personnages pitoyables et un casting de fond de tiroir. Guillaume Canet est translucide (il paraît que c'est lui la vedette du film?) et s'avère incapable de s'imposer à l'écran, ridicule avec sa barbe et son torse à l'air ; Zabou Breitman en fait le moins possible (à défaut d'être actrice, j'espère qu'elle est bonne réalisatrice), elle n'arrive pas à donner une quelconque dimension à son personnage de femme ayant perdue ses illusions et échouée là. Quant à Benoît Poelvoorde, au vu de ses prestations minables et pathétiques, campant ici un fan de Van Damme et karatéka raté, on préfèrerait qu'il laisse le grand écran à des gens sérieux et retourne faire mumuse à la tv, où il lui arrivait au moins quelque fois d'être drôle (si si je vous assure!). Il est inadmissible qu'on puisse trouver des financements avec un scénario aussi mal écrit. Le film passant complètement à côté de la force dramatique du sujet, la narcolepsie. Il ira jusqu'à faire l'apologie de la médiocrité et de la complaisance dans la bêtise, ce qui a le dont de m'insupporter.
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Réalisé avec sobriété Frost/Nixon, s'avère être un film passionnant, car très bien documenté. En mettant en scène le dernier combat de Richard Nixon, Ron Howard a signé un film simple, porté par deux grands acteurs.
Réalisé avec sobriété Frost/Nixon, s'avère être un film passionnant, car très bien documenté. En mettant en scène le dernier combat de Richard Nixon, Ron Howard a signé un film simple, porté par deux grands acteurs.
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digne du 1er opus , encore du gore comme on les aime , tres grand moment , dommage que tout les films d'horreur sont pareil : le 1er est tres bon , le 2 , nul , le 3 , excellent , et ainsi de suite .... je pense notamment a saw , detour mortel , destination finale , entre autres ..... vivement qu'un realisateur nous en mette plein la vue du 1er au dernier opus !
digne du 1er opus , encore du gore comme on les aime , tres grand moment , dommage que tout les films d'horreur sont pareil : le 1er est tres bon , le 2 , nul , le 3 , excellent , et ainsi de suite .... je pense notamment a saw , detour mortel , destination finale , entre autres ..... vivement qu'un realisateur nous en mette plein la vue du 1er au dernier opus !
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Séduit par l'affiche et le résumé, le film nous présente une ravissante actrice dans un film assez banal en ambiance et rebondissements (dans la veine de la porte des secrets et get out) . Problème de rythme sur la seconde partie.L'introduction dans le passé nous laisse trop comprendre ce qui va arriver dans le présent.Dommage on sent que la volonté était là
Séduit par l'affiche et le résumé, le film nous présente une ravissante actrice dans un film assez banal en ambiance et rebondissements (dans la veine de la porte des secrets et get out) . Problème de rythme sur la seconde partie.L'introduction dans le passé nous laisse trop comprendre ce qui va arriver dans le présent.Dommage on sent que la volonté était là
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Un film sensible qui donne une approche particulièrement juste et touchante du grand tabou français, l'alcoolisme. Le casting est brillant, le film évolue dans la lenteur voulue d'une longue remontée à la surface. Un hymne à la vie qui ne tombe jamais dans le mélo ni n'essaie de nous donner de leçon. Une réussite!
Un film sensible qui donne une approche particulièrement juste et touchante du grand tabou français, l'alcoolisme. Le casting est brillant, le film évolue dans la lenteur voulue d'une longue remontée à la surface. Un hymne à la vie qui ne tombe jamais dans le mélo ni n'essaie de nous donner de leçon. Une réussite!
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Une intrigue à ce point tirée par les cheveux qu'un skin head sortirait de là avec la même touffe qu'un Baba cool à Woodstock! Du grand n'importe quoi avec en prime un Kurgan à bouclettes, une Jamie lee curtis aussi séduisante qu'une cellule de prison et un Ron silver qui en fait tellement qu'il devait sûrement se voir déjà avec un oscar entre les mains!!!
Une intrigue à ce point tirée par les cheveux qu'un skin head sortirait de là avec la même touffe qu'un Baba cool à Woodstock! Du grand n'importe quoi avec en prime un Kurgan à bouclettes, une Jamie lee curtis aussi séduisante qu'une cellule de prison et un Ron silver qui en fait tellement qu'il devait sûrement se voir déjà avec un oscar entre les mains!!!
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Je dois dire que je me suis rarement aussi ennuyé devant un film. Pourtant je suis loin d'être réfractaire à ce genre de huis-clos sur fond de sado-masochisme mais le scénario est franchement grotesque. On ne peut pas reprocher au réalisateur Joseph Losey de vouloir être ambitieux mais en plus de son scénario nullement convaincant, le film souffre de très nombreuses longueurs. Et ce n'est pas les interprétations grossières d'Elisabeth Taylor et de Mia Farrow qui arrangent le tout. En fait, seul Robert Mitchum apporte un peu d'âme au film. Si certaines personnes l'ont trouvé bien, tant mieux car j'ai dû passer à côté de quelque chose mais je ne vois pas du tout quoi.
Je dois dire que je me suis rarement aussi ennuyé devant un film. Pourtant je suis loin d'être réfractaire à ce genre de huis-clos sur fond de sado-masochisme mais le scénario est franchement grotesque. On ne peut pas reprocher au réalisateur Joseph Losey de vouloir être ambitieux mais en plus de son scénario nullement convaincant, le film souffre de très nombreuses longueurs. Et ce n'est pas les interprétations grossières d'Elisabeth Taylor et de Mia Farrow qui arrangent le tout. En fait, seul Robert Mitchum apporte un peu d'âme au film. Si certaines personnes l'ont trouvé bien, tant mieux car j'ai dû passer à côté de quelque chose mais je ne vois pas du tout quoi.
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Si vous voulez effrayer vos enfants, allez voir se film. Glauque, terrifiant et violent avec une morale a deux balle. En feffet, se fameux monsieur Scrooge change de personnalité juste parcequ'il a peur! mais vraiment, quelle poesie! Le film idéal pour terrifier les enfants a la veille de noël.
Si vous voulez effrayer vos enfants, allez voir se film. Glauque, terrifiant et violent avec une morale a deux balle. En feffet, se fameux monsieur Scrooge change de personnalité juste parcequ'il a peur! mais vraiment, quelle poesie! Le film idéal pour terrifier les enfants a la veille de noël.
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Ma première découverte avec Carol Reed s'était mal passée. Pourtant avec un de ses cultes, le troisième homme. Mais moi je suis pas du genre à me décourager - j'ai bien du voir cinq WKW avant d'en apprécier un, quand je vous disais que moi j'avais pas peur de ça -, et je ne regrette pas. Déjà la claque vient de l'esthétisme du film. Le noir et blanc est magnifique et il est sublimé par une photographie et une mise en scène vraiment excellentes. C'est d'une grande grande beauté classique. Je trouve que c'est un film intelligent sur l'enfance, c'est bien foutu, c'est pas plombant, c'est pas lourd, c'est pas naïf, c'est pas con.
Ma première découverte avec Carol Reed s'était mal passée. Pourtant avec un de ses cultes, le troisième homme. Mais moi je suis pas du genre à me décourager - j'ai bien du voir cinq WKW avant d'en apprécier un, quand je vous disais que moi j'avais pas peur de ça -, et je ne regrette pas. Déjà la claque vient de l'esthétisme du film. Le noir et blanc est magnifique et il est sublimé par une photographie et une mise en scène vraiment excellentes. C'est d'une grande grande beauté classique. Je trouve que c'est un film intelligent sur l'enfance, c'est bien foutu, c'est pas plombant, c'est pas lourd, c'est pas naïf, c'est pas con.
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Heureusement qu'il y a le casting, et encore faut aimer Ashley Judd et Hugh Jackman....... pour le reste c'est pas vraiment le film romantique de l'année, juste celui d'1h33 et c'est long...............
Heureusement qu'il y a le casting, et encore faut aimer Ashley Judd et Hugh Jackman....... pour le reste c'est pas vraiment le film romantique de l'année, juste celui d'1h33 et c'est long...............
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Belle histoire, très bien interprétée, dans un environnement visuel et sonore magnifique
Belle histoire, très bien interprétée, dans un environnement visuel et sonore magnifique
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Il y a bien longtemps qu'un film ne m'avait autant scotchée que celui-là. Beau et scintillant comme un iceberg sous le soleil, il donne à voir dans un premier temps presque trop de beauté : les actrices/acteurs, les paysages etc... Tout est attirant comme dans le monde magique des enfants. Chacun sait toutefois que la partie immergée des icebergs est de la loin la plus importante et la plus dangereuse .... L'intelligence de la réalisatrice consiste à laisser le spectateur faire aussi sa partie du travail et là, eh oui, on comprend que ce dont il s'agit vraiment c'est de la relation fusionnelle entre ces deux femmes et d'un vécu d'inceste interposé (car c'est bien de ça dont il est question). L'envie du monde extérieur n'est finalement pas suffisamment forte pour contrer l'incapacité de sortir de cette bulle d'attraction vénéneuse. Alors forcément, le piège se referme (définitivement ?) sur les protagonistes. C'est beau, profond, amer, comme la catégorisation du film le précise, c'est un drame,... et à revoir absolument !
Il y a bien longtemps qu'un film ne m'avait autant scotchée que celui-là. Beau et scintillant comme un iceberg sous le soleil, il donne à voir dans un premier temps presque trop de beauté : les actrices/acteurs, les paysages etc... Tout est attirant comme dans le monde magique des enfants. Chacun sait toutefois que la partie immergée des icebergs est de la loin la plus importante et la plus dangereuse .... L'intelligence de la réalisatrice consiste à laisser le spectateur faire aussi sa partie du travail et là, eh oui, on comprend que ce dont il s'agit vraiment c'est de la relation fusionnelle entre ces deux femmes et d'un vécu d'inceste interposé (car c'est bien de ça dont il est question). L'envie du monde extérieur n'est finalement pas suffisamment forte pour contrer l'incapacité de sortir de cette bulle d'attraction vénéneuse. Alors forcément, le piège se referme (définitivement ?) sur les protagonistes. C'est beau, profond, amer, comme la catégorisation du film le précise, c'est un drame,... et à revoir absolument !
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Trois ans après le foisonnant Magnolia et cinq avant le crépusculaire There Will be blood, Paul Thomas Anderson signe un film moins ambitieux avec Punch-drunk love qui tendait à renouveler le champ de la rom-com. Et le résultat est assez mitigé, trop en tout cas pour convaincre réellement. Dès les premières minutes on sent que l'on va avoir à faire avec un film expérimental : donc soit on adhère soit on décroche (vous avez deviné je pense dans quel cas de figure je me range). Non pas que Punch-drunk Love soit un mauvais film mais je le qualifierais de film autiste comme son personnage principal, replié sur lui-même, incapable de fédérer son public et s'enfermant dans ses propres partis pris esthétiques (la bande-son à ce titre, composée essentiellement de percussions de tous types, me gêne considérablement, tout comme les arrangements transitoires kaléidoscopiques plutôt douteux). L'histoire décousue n'a pas vraiment ni de queue ni de tête à force de mélanger les influences de genres divers : on a l'impression de voir le croisement dégénéré du Dude de The Big Lebowski, de Dustin Hoffmann dans Rain Man et de Forrest Gump, le tout saupoudré d'une histoire d'amour finalement secondaire et inintéressante car d'une vacuité vertigineuse. Qui plus est, sur seulement 1h27 de film, le personnage de Barry Egan semble franchement baclé et celui de Lena encore plus. Reste l'interprétation des acteurs qui sauve la mise avec un Adam Sandler métamorphosé, aux antipodes de ses anciens films et celle de Seymour Hoffmann complètement délurée. C'est somme toute insuffisant pour contrebalancer les déceptions multiples que j'ai ressenti à la fin de ce film. Punch-Drunk Love restera comme un film mineur dans la filmographie de Paul Thomas Anderson.
Trois ans après le foisonnant Magnolia et cinq avant le crépusculaire There Will be blood, Paul Thomas Anderson signe un film moins ambitieux avec Punch-drunk love qui tendait à renouveler le champ de la rom-com. Et le résultat est assez mitigé, trop en tout cas pour convaincre réellement. Dès les premières minutes on sent que l'on va avoir à faire avec un film expérimental : donc soit on adhère soit on décroche (vous avez deviné je pense dans quel cas de figure je me range). Non pas que Punch-drunk Love soit un mauvais film mais je le qualifierais de film autiste comme son personnage principal, replié sur lui-même, incapable de fédérer son public et s'enfermant dans ses propres partis pris esthétiques (la bande-son à ce titre, composée essentiellement de percussions de tous types, me gêne considérablement, tout comme les arrangements transitoires kaléidoscopiques plutôt douteux). L'histoire décousue n'a pas vraiment ni de queue ni de tête à force de mélanger les influences de genres divers : on a l'impression de voir le croisement dégénéré du Dude de The Big Lebowski, de Dustin Hoffmann dans Rain Man et de Forrest Gump, le tout saupoudré d'une histoire d'amour finalement secondaire et inintéressante car d'une vacuité vertigineuse. Qui plus est, sur seulement 1h27 de film, le personnage de Barry Egan semble franchement baclé et celui de Lena encore plus. Reste l'interprétation des acteurs qui sauve la mise avec un Adam Sandler métamorphosé, aux antipodes de ses anciens films et celle de Seymour Hoffmann complètement délurée. C'est somme toute insuffisant pour contrebalancer les déceptions multiples que j'ai ressenti à la fin de ce film. Punch-Drunk Love restera comme un film mineur dans la filmographie de Paul Thomas Anderson.
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Film d’action pas crédible, un jeu d’acteurs pas terrible, un scénario un peu simpliste également. Un vieillard de 60 ans qui sanctionne tout le monde, on a du mal à le prendre sérieusement... bref à éviter d’après moi
Film d’action pas crédible, un jeu d’acteurs pas terrible, un scénario un peu simpliste également. Un vieillard de 60 ans qui sanctionne tout le monde, on a du mal à le prendre sérieusement... bref à éviter d’après moi
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Hormis ses plans photographiques honorables, ce film soit disant historique n'a absolument rien de captivant, et se contente d'énumérer des faits de manière random. Quelle prouesse de montage!!! Et quel casting!! Hollywood n'a qu'à bien se tenir!! Tout simplement insupportable, et cela se prolonge sur deux longues heures pour les plus téméraires. Le grand guerrier Mongole n'a plus qu'a retourner dans sa tombe, l'honneur bafoué. 1/5
Hormis ses plans photographiques honorables, ce film soit disant historique n'a absolument rien de captivant, et se contente d'énumérer des faits de manière random. Quelle prouesse de montage!!! Et quel casting!! Hollywood n'a qu'à bien se tenir!! Tout simplement insupportable, et cela se prolonge sur deux longues heures pour les plus téméraires. Le grand guerrier Mongole n'a plus qu'a retourner dans sa tombe, l'honneur bafoué. 1/5
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film vraiment magnifique !! tres belle histoire très beau decors et tres bon jeu d'acteur !! bref a voir absolument
film vraiment magnifique !! tres belle histoire très beau decors et tres bon jeu d'acteur !! bref a voir absolument
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666
J'ai réussi à tenir 1h15 et je ne sais toujours pas comment j'ai pu résister autant de temps .. sujet qui mérite d'être traité soit .. mais de cette façon la c'est juste risible !! scénario, dialogue et jeux d'acteurs (si nous pouvons appeler ça des acteurs !) juste pitoyable. Sans compter le summum du summum à savoir le décor du film censé se dérouler au moyen orient mais qui en réalité à été tourné à bas coup dans la première forêt venue. Tout n'est que caricature et médiocrité .. Un bon conseil FUYEZ ! Lorsque l'on a pas les budgets nécessaires pour réaliser un film digne de cette appellation on s'abstient ! Surtout pour traiter d'un sujet aussi délicat.
J'ai réussi à tenir 1h15 et je ne sais toujours pas comment j'ai pu résister autant de temps .. sujet qui mérite d'être traité soit .. mais de cette façon la c'est juste risible !! scénario, dialogue et jeux d'acteurs (si nous pouvons appeler ça des acteurs !) juste pitoyable. Sans compter le summum du summum à savoir le décor du film censé se dérouler au moyen orient mais qui en réalité à été tourné à bas coup dans la première forêt venue. Tout n'est que caricature et médiocrité .. Un bon conseil FUYEZ ! Lorsque l'on a pas les budgets nécessaires pour réaliser un film digne de cette appellation on s'abstient ! Surtout pour traiter d'un sujet aussi délicat.
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Les infortunes (jubilatoires) de quatre ‘desperate housewives' : des scènes comiques sur un fond dramatique, sincère et réaliste, abordant les questions de l'argent, des relations conjugales et amicales, du statut social, Une peinture finalement plutôt bien vue, avec des personnages attachants et recherchés, dans lesquels on se reconnaîtra sûrement. Il m'est d'ailleurs assez étonnant que les critiques soient si mauvaises ; mais après tout le côté psychologique du film ne peut pas séduire tout le monde. Egalement porté par de superbes actrices : Catherine Keener, Frances McDormand, Joan Cusack et Jennifer Aniston, qui, après « The Good Girl » en 2003, renoue encore une fois avec la comédie dramatique, et avec énormément de succès. A noter que les présences masculines sont également très remarquées, notamment celle de Scott Caan.
Les infortunes (jubilatoires) de quatre ‘desperate housewives' : des scènes comiques sur un fond dramatique, sincère et réaliste, abordant les questions de l'argent, des relations conjugales et amicales, du statut social, Une peinture finalement plutôt bien vue, avec des personnages attachants et recherchés, dans lesquels on se reconnaîtra sûrement. Il m'est d'ailleurs assez étonnant que les critiques soient si mauvaises ; mais après tout le côté psychologique du film ne peut pas séduire tout le monde. Egalement porté par de superbes actrices : Catherine Keener, Frances McDormand, Joan Cusack et Jennifer Aniston, qui, après « The Good Girl » en 2003, renoue encore une fois avec la comédie dramatique, et avec énormément de succès. A noter que les présences masculines sont également très remarquées, notamment celle de Scott Caan.
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Sans doute le meilleur film d'Emmanuel Mouret, un trésor de grâce et de fantaisie. À part son moyen-métrage de fin d'études à la Femis - "Promène-toi donc tout nu" - Mouret n'a jamais été aussi drôle et original, aussi frais et revivifiant.
Sans doute le meilleur film d'Emmanuel Mouret, un trésor de grâce et de fantaisie. À part son moyen-métrage de fin d'études à la Femis - "Promène-toi donc tout nu" - Mouret n'a jamais été aussi drôle et original, aussi frais et revivifiant.
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Des films réalisés par Dany Boon seul les Ch’tis m’avait fait rire. Même si le succès colossal était assez incompréhensible. A la recherche du nanar de l’année, j’ai testé pour vous RAID dingue. A chaque fois le nouveau film de l’acteur/réalisateur est un peu plus mauvais que le précédent. Il n’y a rien, mais alors vraiment rien à retirer de celui-ci. Je n’ai pas ri une seule fois. Seul Yvan Attal ...
Des films réalisés par Dany Boon seul les Ch’tis m’avait fait rire. Même si le succès colossal était assez incompréhensible. A la recherche du nanar de l’année, j’ai testé pour vous RAID dingue. A chaque fois le nouveau film de l’acteur/réalisateur est un peu plus mauvais que le précédent. Il n’y a rien, mais alors vraiment rien à retirer de celui-ci. Je n’ai pas ri une seule fois. Seul Yvan Attal ...
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Un film improbable qui suscite pourtant beaucoup d'émotion même si j'ai trouvé le début un peu long. On est pris par la vie de chacun des personnages pour qui la participation à cette chorale est un défi qui contraste avec leur âge et leur santé. Etonnamment, ce film si particulier a été apprécié autant par les jeunes que par les moins jeunes.
Un film improbable qui suscite pourtant beaucoup d'émotion même si j'ai trouvé le début un peu long. On est pris par la vie de chacun des personnages pour qui la participation à cette chorale est un défi qui contraste avec leur âge et leur santé. Etonnamment, ce film si particulier a été apprécié autant par les jeunes que par les moins jeunes.
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Une mise en abîme plutôt astucieuse et une interrogation intelligente sur la façon dont on peut filmer la nudité et les scènes de sexe frontales au cinéma.
Une mise en abîme plutôt astucieuse et une interrogation intelligente sur la façon dont on peut filmer la nudité et les scènes de sexe frontales au cinéma.
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Beaucoup aimé ce film!! Très bon casting pour ce film .Michel Blanc est magistral, Miou Miou un peu transparente, belle decouverte avec Cyril Descours qui est vraiment excellent, Bac-6 Gilles Lellouche et melanie doutey tres bien aussi... bref, ce film m'a fait passé un tres bon moment . Le film, je trouve, est de mieux en mieux plus on avance dans l'histoire . bref, je le recommande .
Beaucoup aimé ce film!! Très bon casting pour ce film .Michel Blanc est magistral, Miou Miou un peu transparente, belle decouverte avec Cyril Descours qui est vraiment excellent, Bac-6 Gilles Lellouche et melanie doutey tres bien aussi... bref, ce film m'a fait passé un tres bon moment . Le film, je trouve, est de mieux en mieux plus on avance dans l'histoire . bref, je le recommande .
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Une histoire avec une bonne idée de départ, un rocher ou se livre un homme face à une armée de barbares de cachette en cachette mais une grosse déception malgré un casting alléchant. Le film de Kevin Dillington, cinéaste qui a du se faire oublier dans le septième art, nous livre une oeuvre à la violence gratuite, une visite d'un ile avec un phare qui dure deux heures en repassant dans les memes coins comme quoi qu'ils devaient pas trop savoir ou poser les caméras sur le tournage (rire), un scénario inexistant, Yul Brynner que j'ai connu leilleur dans l'interprétation. Un médiocre film d'aventure des années 70 auquel ma seule étoile va à Kirk Douglas qui sauve ce long métrage du néant. A éviter.
Une histoire avec une bonne idée de départ, un rocher ou se livre un homme face à une armée de barbares de cachette en cachette mais une grosse déception malgré un casting alléchant. Le film de Kevin Dillington, cinéaste qui a du se faire oublier dans le septième art, nous livre une oeuvre à la violence gratuite, une visite d'un ile avec un phare qui dure deux heures en repassant dans les memes coins comme quoi qu'ils devaient pas trop savoir ou poser les caméras sur le tournage (rire), un scénario inexistant, Yul Brynner que j'ai connu leilleur dans l'interprétation. Un médiocre film d'aventure des années 70 auquel ma seule étoile va à Kirk Douglas qui sauve ce long métrage du néant. A éviter.
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Pas fameux. Au départ, on a l'impression que l'intrigue sera fouillée et pleines de rebondissement, un peu dans le style Agatha Christie, mais on se rend compte petit à petit que le scénario est assez vide et donc sans grand intérêt. Certaines scènes semblent inutiles, comme arrachées du livre sans le contexte qui leur aurait donné un sens. Le dénouement n'en est pas un et ne tient pas debout. I. Huppert est excellente, comme d'habitudes, mais les autres acteurs sont médiocres. La jeune héroïne, en plus de jouer mal, est particulièrement désagréable.
Pas fameux. Au départ, on a l'impression que l'intrigue sera fouillée et pleines de rebondissement, un peu dans le style Agatha Christie, mais on se rend compte petit à petit que le scénario est assez vide et donc sans grand intérêt. Certaines scènes semblent inutiles, comme arrachées du livre sans le contexte qui leur aurait donné un sens. Le dénouement n'en est pas un et ne tient pas debout. I. Huppert est excellente, comme d'habitudes, mais les autres acteurs sont médiocres. La jeune héroïne, en plus de jouer mal, est particulièrement désagréable.
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D'un point de vue cinématographique, c'est un bon divertissement même si les effets spéciaux sont grossiers et que les combats au sabre font penser à un film de ninjas volants et non pas à une bataille du milieu du XVème siècle. Quant à la présentation des faits historiques, elle est largement inexacte et ce film turc est une oeuvre d'auto-glorification nationale et de propagande. On nous présente, d'un côté, des byzantins vils, perfides, sadiques, une papauté du même acabit et, d'un autre côté, des turcs et un sultan gentils, n'aspirant qu'à la paix, mais contraints à faire la guerre. Le summum est à la fin : Giustiniani est tué par Hassan lors d'un duel homérique (alors que, en réalité, le génois a été gravement blessé par un carreau ou une balle) et ensuite, ce dernier, transpercé de flèches qui le font ressembler à un hérisson, plante le drapeau turc en haut d'une tour. Le pillage de la ville - qui a duré 2 jours - est passé sous silence et on voit le gentil Mehmet entrer dans Saint-Sophie et prendre dans ses bras une petite fille qui s'était réfugiée dans la cathédrale. Bref, c'est de la propagande grossière.
D'un point de vue cinématographique, c'est un bon divertissement même si les effets spéciaux sont grossiers et que les combats au sabre font penser à un film de ninjas volants et non pas à une bataille du milieu du XVème siècle. Quant à la présentation des faits historiques, elle est largement inexacte et ce film turc est une oeuvre d'auto-glorification nationale et de propagande. On nous présente, d'un côté, des byzantins vils, perfides, sadiques, une papauté du même acabit et, d'un autre côté, des turcs et un sultan gentils, n'aspirant qu'à la paix, mais contraints à faire la guerre. Le summum est à la fin : Giustiniani est tué par Hassan lors d'un duel homérique (alors que, en réalité, le génois a été gravement blessé par un carreau ou une balle) et ensuite, ce dernier, transpercé de flèches qui le font ressembler à un hérisson, plante le drapeau turc en haut d'une tour. Le pillage de la ville - qui a duré 2 jours - est passé sous silence et on voit le gentil Mehmet entrer dans Saint-Sophie et prendre dans ses bras une petite fille qui s'était réfugiée dans la cathédrale. Bref, c'est de la propagande grossière.
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Que dire devant un tel film ? "La Horde Sauvage", en plus d'être un des trois plus grands westerns du cinéma (les deux autres sont "Il était une fois dans l'Ouest" et "Little Big Man" - trois westerns de trois styles différents, au fait), est un monument du 7ème art. Tout simplement. Une scène ultra violente en ouverture, un autres encore plus violente en clôture, mais le reste est plutôt nonchalant. Bref, les amateurs de films ultra-violents à la "Kill Bill" (dont le volume 2 puise légèrement dans le style, il me semble) seront un peu déçus au départ. Le film n'est pas aussi violent que ça. Enfin, si, mais c'est plus une brutalité de tous les instants, une amoralité profonde, un machisme brutal, propre à Peckinpah ("Apportez-moi la tête d'Alfredo Garcia" ira plus loin dans le registre). Impossible de ne pas avoir envie de revoir le film une fois le générique de fin achevé.
Que dire devant un tel film ? "La Horde Sauvage", en plus d'être un des trois plus grands westerns du cinéma (les deux autres sont "Il était une fois dans l'Ouest" et "Little Big Man" - trois westerns de trois styles différents, au fait), est un monument du 7ème art. Tout simplement. Une scène ultra violente en ouverture, un autres encore plus violente en clôture, mais le reste est plutôt nonchalant. Bref, les amateurs de films ultra-violents à la "Kill Bill" (dont le volume 2 puise légèrement dans le style, il me semble) seront un peu déçus au départ. Le film n'est pas aussi violent que ça. Enfin, si, mais c'est plus une brutalité de tous les instants, une amoralité profonde, un machisme brutal, propre à Peckinpah ("Apportez-moi la tête d'Alfredo Garcia" ira plus loin dans le registre). Impossible de ne pas avoir envie de revoir le film une fois le générique de fin achevé.
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Je me sens si con. Si con... Je lis toutes ces critiques d'âmes sensibles, capables de capter les émotions, capables de ressentir la poésie homérique de ce film. Je me sens si con quand tant de critiques comprennent si bien les métaphores spirituelles de poisson-chat, de la grotte, de cette fin dans la chambre, quand tant de critiques louent le rythme indolent mais hypnotisant du cinéaste thaïlandais... Je me sens si con quand je constate avec effroi que je partage le même avis que ces crétins cartésiens insensibles et hermétiques à tout ce qui n'appartient pas au prêt-à-penser... Tout cela est tellement triste.
Je me sens si con. Si con... Je lis toutes ces critiques d'âmes sensibles, capables de capter les émotions, capables de ressentir la poésie homérique de ce film. Je me sens si con quand tant de critiques comprennent si bien les métaphores spirituelles de poisson-chat, de la grotte, de cette fin dans la chambre, quand tant de critiques louent le rythme indolent mais hypnotisant du cinéaste thaïlandais... Je me sens si con quand je constate avec effroi que je partage le même avis que ces crétins cartésiens insensibles et hermétiques à tout ce qui n'appartient pas au prêt-à-penser... Tout cela est tellement triste.
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Une parfaite immersion dans une famille Nord Irlandaise déchirée par des années de guerre , d'une noirceur et d'une tension permanente ,le scénario et la sublime interprétation du casting vous tiendra en haleine jusqu'au coup de théâtre final .
Une parfaite immersion dans une famille Nord Irlandaise déchirée par des années de guerre , d'une noirceur et d'une tension permanente ,le scénario et la sublime interprétation du casting vous tiendra en haleine jusqu'au coup de théâtre final .
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Le duo ne fonctionne pas et la mayonnaise ne prend pas. Sans être franchement mauvais mais sans saveur, ce film n'est pas le meilleur du genre et les acteurs nous ont habitués à mieux. Les répliques censées nous faire rire sont ratées et l'histoire est bancale. A voir par les inconditionnels du genre.
Le duo ne fonctionne pas et la mayonnaise ne prend pas. Sans être franchement mauvais mais sans saveur, ce film n'est pas le meilleur du genre et les acteurs nous ont habitués à mieux. Les répliques censées nous faire rire sont ratées et l'histoire est bancale. A voir par les inconditionnels du genre.
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Excellent film basé sur des faits réel, avec une interprétation comme on en a l'habitude du grand Al Pacino. Une belle surprise de Levinson.
Excellent film basé sur des faits réel, avec une interprétation comme on en a l'habitude du grand Al Pacino. Une belle surprise de Levinson.
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[5.99680589e-04 9.99400319e-01]
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Un des premiers films de Istvan Szabo. L'histoire d'un jeune homme hongrois, qui vit deux relations amoureuses, sans aboutir à une relation durable. C'est un film psychologique, avec beaucoup de dialogues, c'est assez bien filmé, dans un beau noir et blanc, et dans des extérieurs intéressants (rues de ville), on découvre aussi un mode de vie à la hongroise à l'époque communiste, les acteurs sont bons, et le cinéaste fait bien ressentir un sentiment de tristesse dans toutes ces relations humaines. Le film pâtit un peu de cette monotonie et de cette ambiance délétère. Intérêt cinématographique pour les rues de Budapest. (séquence mémorable, le double enterrement)
Un des premiers films de Istvan Szabo. L'histoire d'un jeune homme hongrois, qui vit deux relations amoureuses, sans aboutir à une relation durable. C'est un film psychologique, avec beaucoup de dialogues, c'est assez bien filmé, dans un beau noir et blanc, et dans des extérieurs intéressants (rues de ville), on découvre aussi un mode de vie à la hongroise à l'époque communiste, les acteurs sont bons, et le cinéaste fait bien ressentir un sentiment de tristesse dans toutes ces relations humaines. Le film pâtit un peu de cette monotonie et de cette ambiance délétère. Intérêt cinématographique pour les rues de Budapest. (séquence mémorable, le double enterrement)
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S'il y a bien un plaisir qu'on ne saura bouder dans cet "Hannibal Rising" c'est bien celui que nous procurent le troublant charisme de Gaspard Ulliel et le charme inégalable de Gong Li. Passé cela, force nous est de constater que ce nouvel opus d'Hannibal le cannibale n'importe rien de nouveau et ne fait qu'un peu plus tirer sur la corde pourtant bien usée du "Silence des Agneaux". Pas une catastrophe donc, mais pas un film estimable non plus.
S'il y a bien un plaisir qu'on ne saura bouder dans cet "Hannibal Rising" c'est bien celui que nous procurent le troublant charisme de Gaspard Ulliel et le charme inégalable de Gong Li. Passé cela, force nous est de constater que ce nouvel opus d'Hannibal le cannibale n'importe rien de nouveau et ne fait qu'un peu plus tirer sur la corde pourtant bien usée du "Silence des Agneaux". Pas une catastrophe donc, mais pas un film estimable non plus.
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"Drive" est tout simplement une très grande réussite à tous niveaux !!! Tout y est ! De très bons acteurs et surtout Ryan Gosling extraordinaire d'efficacité, de puissance ! Des images et des lumières époustouflantes ! Un scénario qui monte en tension imperceptiblement ! Des dialogues peu nombreux mais choisis sur le fil ! Des scènes incroyables dotées d'un impact redoutable ! Un très grand film à voir et à revoir...
"Drive" est tout simplement une très grande réussite à tous niveaux !!! Tout y est ! De très bons acteurs et surtout Ryan Gosling extraordinaire d'efficacité, de puissance ! Des images et des lumières époustouflantes ! Un scénario qui monte en tension imperceptiblement ! Des dialogues peu nombreux mais choisis sur le fil ! Des scènes incroyables dotées d'un impact redoutable ! Un très grand film à voir et à revoir...
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Franchement EXCELLENT, très original, on rit, y a de l'action, superbes images, scénario qui tient très bien la route, on ne s'ennuie pas du tout, et le casting exceptionnel : Mary-Louise Parker, Jeff Bridges, Kevin Baconet,... (bon je vais pas faire tout le casting! lol seul hic, la statut de sel : "Ryan Reynolds" !! toujours le même problème avec lui, il ne dégage RIEN ! du vide! il avait déjà flingué Green Lantern, et plein d'autre à cause de son non-expression du visage et du corps!! c'est pas possible !!!! Alors STP Ryan, rien de perso, abandonne le fantastique! moi c'est mon dada, je sais pas, reste dans les films pour nanas, ou les drames,... bon, ok tu peux le fantastique ANIMEE! ça tu peux! ok man? merci
Franchement EXCELLENT, très original, on rit, y a de l'action, superbes images, scénario qui tient très bien la route, on ne s'ennuie pas du tout, et le casting exceptionnel : Mary-Louise Parker, Jeff Bridges, Kevin Baconet,... (bon je vais pas faire tout le casting! lol seul hic, la statut de sel : "Ryan Reynolds" !! toujours le même problème avec lui, il ne dégage RIEN ! du vide! il avait déjà flingué Green Lantern, et plein d'autre à cause de son non-expression du visage et du corps!! c'est pas possible !!!! Alors STP Ryan, rien de perso, abandonne le fantastique! moi c'est mon dada, je sais pas, reste dans les films pour nanas, ou les drames,... bon, ok tu peux le fantastique ANIMEE! ça tu peux! ok man? merci
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ultra émouvant et je comprend pas pourquoi il a de si mauvaise critiques! Je vous le conseil fortement
ultra émouvant et je comprend pas pourquoi il a de si mauvaise critiques! Je vous le conseil fortement
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Dans ce film on va de surprise en surprise. Un gars dans le coma se réveille au bout de cinq ans mais il est aveugle. Alors après les surprises continuent : On roule jusqu’au pays basque à 80 kilomètres heures dans une porche. A Biarritz y a la mer avec des grosses vagues pour faire du surf. On passe les vacances dans une maison avec une piscine pour se baigner. On cause entre filles , on bronze. On court avec un survêtement de marque Nike. On peut manger en amoureux dans un bon restaurant. Et puis Alexandra Lamy joue le rôle principal.
Dans ce film on va de surprise en surprise. Un gars dans le coma se réveille au bout de cinq ans mais il est aveugle. Alors après les surprises continuent : On roule jusqu’au pays basque à 80 kilomètres heures dans une porche. A Biarritz y a la mer avec des grosses vagues pour faire du surf. On passe les vacances dans une maison avec une piscine pour se baigner. On cause entre filles , on bronze. On court avec un survêtement de marque Nike. On peut manger en amoureux dans un bon restaurant. Et puis Alexandra Lamy joue le rôle principal.
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Un film magnifique avec un Robert Redford en salaud au coeur tendre et un Morgan Freeman comme on l'aime. La prestation de Jennifer Lopez est pour le moins que le puisse dire net et sans bavure. Un scénario peut-être un peu bateau mais c'est une belle histoire avec de belles musiques et des paysages magiques, tout ce qu'on aime. (3,5/4)
Un film magnifique avec un Robert Redford en salaud au coeur tendre et un Morgan Freeman comme on l'aime. La prestation de Jennifer Lopez est pour le moins que le puisse dire net et sans bavure. Un scénario peut-être un peu bateau mais c'est une belle histoire avec de belles musiques et des paysages magiques, tout ce qu'on aime. (3,5/4)
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Bien sûr, les fans de Cronenberg retrouveront dans son adaptation du roman de Don DeLillo beaucoup des thèmes qui lui sont si chers, à savoir le rapport entre l’humain et la technologie ou la mystification massive, mais ici ils ne sont traités ni grâce à une analyse psychanalytique ni à travers des excès de trash visuel, puisque tout passe par une série de dialogues interminables. Tandis que les personnages, tous écrits sans la moindre profondeur, ne font que s’échanger des inepties sur la situation économique défaillante, la mise en scène s’empâte mollement. Les problématiques de l’anticapitalisme et de la bêtise de la jeunesse se retrouvent noyés dans un flots de paroles ineptes et de métaphores grotesques. La bonne idée qu’était de réduire l’espace à l’intérieur d’une limousine n’est même pas respectée sur l’ensemble du film. Les trop courtes apparitions de Juliette Binoche et de Mathieu Amalrich sont surprenantes mais ils ne sont que des clichés parmi tant d’autres. Robert Pattinson est l’atout commercial du film mais son interprétation dans la peau d’un trader dépressif est bancale. Par moment, il est assez convaincant mais parfois il est aussi mou que dans Twilight… Le réalisateur canadien signe là le film le plus soporifique de sa carrière!
Bien sûr, les fans de Cronenberg retrouveront dans son adaptation du roman de Don DeLillo beaucoup des thèmes qui lui sont si chers, à savoir le rapport entre l’humain et la technologie ou la mystification massive, mais ici ils ne sont traités ni grâce à une analyse psychanalytique ni à travers des excès de trash visuel, puisque tout passe par une série de dialogues interminables. Tandis que les personnages, tous écrits sans la moindre profondeur, ne font que s’échanger des inepties sur la situation économique défaillante, la mise en scène s’empâte mollement. Les problématiques de l’anticapitalisme et de la bêtise de la jeunesse se retrouvent noyés dans un flots de paroles ineptes et de métaphores grotesques. La bonne idée qu’était de réduire l’espace à l’intérieur d’une limousine n’est même pas respectée sur l’ensemble du film. Les trop courtes apparitions de Juliette Binoche et de Mathieu Amalrich sont surprenantes mais ils ne sont que des clichés parmi tant d’autres. Robert Pattinson est l’atout commercial du film mais son interprétation dans la peau d’un trader dépressif est bancale. Par moment, il est assez convaincant mais parfois il est aussi mou que dans Twilight… Le réalisateur canadien signe là le film le plus soporifique de sa carrière!
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[9.99812040e-01 1.87959722e-04]
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Un film français de plus, qui ressemble à tous les autres films français de ces dernières années. Un film français de trop, donc.
Un film français de plus, qui ressemble à tous les autres films français de ces dernières années. Un film français de trop, donc.
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690
Tout simplement adoré ! Isla Fisher est magnifique dedans et j'adore l'histoire qui se rapproche bien mais pas trop du livre ;) !
Tout simplement adoré ! Isla Fisher est magnifique dedans et j'adore l'histoire qui se rapproche bien mais pas trop du livre ;) !
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C'est tellement grotesque et accablant que s'en est risible , à fuir toute affaire cessante .
C'est tellement grotesque et accablant que s'en est risible , à fuir toute affaire cessante .
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692
Un sixième opus nostalgique !!! L’ultime voyage de l'équipage de Kirk et Spock !!!! Complot , trahison autour de la paix universelle !!! Une métaphore sur la guerre froide !!! Le Goulag est représenté par une planète glaciale !!!
Un sixième opus nostalgique !!! L’ultime voyage de l'équipage de Kirk et Spock !!!! Complot , trahison autour de la paix universelle !!! Une métaphore sur la guerre froide !!! Le Goulag est représenté par une planète glaciale !!!
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693
Un remarquable scénario hitchcockien maîtrisée de bout en bout et dominé par l'interprétation magistrale de Geneviève Bujold. C'est vraiment très bien fait à ce point que si pendant la vision du film on relève des détails qui nous paraissent absurdes, leurs évidences éclatent au fur et à mesure que la vérité se fait jour. Un très grand De Palma mais qui fera encore mieux dans Pulsions et dans Body Double. On notera au passage la superbe musique de Bernard Herrmann.
Un remarquable scénario hitchcockien maîtrisée de bout en bout et dominé par l'interprétation magistrale de Geneviève Bujold. C'est vraiment très bien fait à ce point que si pendant la vision du film on relève des détails qui nous paraissent absurdes, leurs évidences éclatent au fur et à mesure que la vérité se fait jour. Un très grand De Palma mais qui fera encore mieux dans Pulsions et dans Body Double. On notera au passage la superbe musique de Bernard Herrmann.
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[4.59296061e-04 9.99540704e-01]
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694
Un excellent film qui touchera tout le monde avec un "vrai" coeur et un brin d'hunamité (oublier ces critiques prétencienx à la con qui ne font que se ragarder le nombril et sont TOUS des cinéastes frustrés). Les acteurs sont tous excellents et la réalisation est très réussi et originale. Bref, un phénomène rare: un film français qui marche à tous les niveaux. Un petit faut pas, la scène à la Brasserie Lipp à Paris n'est pas très crédible: la scène n'aurait pas dû se passer au premier étage :-)
Un excellent film qui touchera tout le monde avec un "vrai" coeur et un brin d'hunamité (oublier ces critiques prétencienx à la con qui ne font que se ragarder le nombril et sont TOUS des cinéastes frustrés). Les acteurs sont tous excellents et la réalisation est très réussi et originale. Bref, un phénomène rare: un film français qui marche à tous les niveaux. Un petit faut pas, la scène à la Brasserie Lipp à Paris n'est pas très crédible: la scène n'aurait pas dû se passer au premier étage :-)
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[4.62363646e-04 9.99537636e-01]
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695
J'attendais cette suite et je suis franchement déçu. Déjà la blessure de Myers à l'oeil, ça ne tient pas debout. On voit bien dans l'Halloween de 1978 à la fin quand il enlève son masque qu'il n'a pas de blessure à l'oeil. De plus Lorie Strode qui se transforme en Sarah Conor, ça me fait doucement rire. Elle a fait appelle à Mc Gyver pour installer les pièges dans la maison?! Dommage, encore un épisode de raté.
J'attendais cette suite et je suis franchement déçu. Déjà la blessure de Myers à l'oeil, ça ne tient pas debout. On voit bien dans l'Halloween de 1978 à la fin quand il enlève son masque qu'il n'a pas de blessure à l'oeil. De plus Lorie Strode qui se transforme en Sarah Conor, ça me fait doucement rire. Elle a fait appelle à Mc Gyver pour installer les pièges dans la maison?! Dommage, encore un épisode de raté.
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[9.99737918e-01 2.62081729e-04]
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696
Pour son deuxième film, Kevin Smith continue dans la même lignée que "Clerks" et nous livre une ode aux glandeurs, à ces geeks un peu en marge qui sont néanmoins romantiques. "Les Glandeurs" (auquel on préférera tout de même le titre original "Mallrats") se déroule donc en une journée, alors que l'on suit les péripéties de deux amis qui viennent de se faire larguer et qui trompent l'ennui dans un centre commercial, philosophant sur l'existence et réfléchissant aux moyens de reconquérir leurs copines. Si le film met du temps à démarrer, une fois que les personnages (dont l'un irrésistible incarné par Jason Lee) sont bien en place, on passe un très bon moment en compagnie de toute cette galerie de bras cassés (avec le retour de Jay et Silent Bon mais aussi un mémorable Stan Lee) qui nous réserve de savoureux dialogues et des scènes assez mémorables. Sans prétentions, voilà du cinéma qui fait du bien, drôle et intelligent.
Pour son deuxième film, Kevin Smith continue dans la même lignée que "Clerks" et nous livre une ode aux glandeurs, à ces geeks un peu en marge qui sont néanmoins romantiques. "Les Glandeurs" (auquel on préférera tout de même le titre original "Mallrats") se déroule donc en une journée, alors que l'on suit les péripéties de deux amis qui viennent de se faire larguer et qui trompent l'ennui dans un centre commercial, philosophant sur l'existence et réfléchissant aux moyens de reconquérir leurs copines. Si le film met du temps à démarrer, une fois que les personnages (dont l'un irrésistible incarné par Jason Lee) sont bien en place, on passe un très bon moment en compagnie de toute cette galerie de bras cassés (avec le retour de Jay et Silent Bon mais aussi un mémorable Stan Lee) qui nous réserve de savoureux dialogues et des scènes assez mémorables. Sans prétentions, voilà du cinéma qui fait du bien, drôle et intelligent.
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J'ai adoré mais je ne sais pas très bien exprimer pourquoi ! Peut-être parce que ce film prend des sentiers inconnus et qu'il ne se perd pas une seconde. La réalisation est tout en réserve, subtilité, sans dire un mot tout est dit !! A tout cela s'ajoute le talent de Toni Collette parfaite qui joue tout en nuance. De plus, j'ai découvert Gotaro Tsunashima très doué.
J'ai adoré mais je ne sais pas très bien exprimer pourquoi ! Peut-être parce que ce film prend des sentiers inconnus et qu'il ne se perd pas une seconde. La réalisation est tout en réserve, subtilité, sans dire un mot tout est dit !! A tout cela s'ajoute le talent de Toni Collette parfaite qui joue tout en nuance. De plus, j'ai découvert Gotaro Tsunashima très doué.
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[5.19717108e-04 9.99480283e-01]
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À voir et à recommander ! Un beau documentaire sur le mouvement « Nuit debout » vécu de l’intérieur, les personnes qui ont créé et animé les commissions, lieux de débat public. Le film permet de relancer le débat, à la fin de la projection avec la réalisatrice et l’un des Nuitdeboutistes mais également après car il aborde des questions de société, notamment l’appropriation de l’espace public, le vivre ensemble.
À voir et à recommander ! Un beau documentaire sur le mouvement « Nuit debout » vécu de l’intérieur, les personnes qui ont créé et animé les commissions, lieux de débat public. Le film permet de relancer le débat, à la fin de la projection avec la réalisatrice et l’un des Nuitdeboutistes mais également après car il aborde des questions de société, notamment l’appropriation de l’espace public, le vivre ensemble.
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[4.96350941e-04 9.99503649e-01]
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Je ne sais pas si "Peter Ibbetson" est le meilleur film de Henry Hathaway. Mais il ne doit pas en être très loin, en partie grâce à son histoire que j'ai rarement connu aussi romantique et à une réalisation très poétique et qui marque les esprits - notamment en ce qui concerne les séquences des rêves qui sont magnifiquement filmées . Quant à Gary Cooper, il est franchement exceptionnel à travers son personnage qui est aussi un des plus beau qu'il n'est jamais posséder. En bref, on est en présence d'un immense chef d'oeuvre qui possède en plus un photographie et des décors inoubliable. A découvrir absolument.
Je ne sais pas si "Peter Ibbetson" est le meilleur film de Henry Hathaway. Mais il ne doit pas en être très loin, en partie grâce à son histoire que j'ai rarement connu aussi romantique et à une réalisation très poétique et qui marque les esprits - notamment en ce qui concerne les séquences des rêves qui sont magnifiquement filmées . Quant à Gary Cooper, il est franchement exceptionnel à travers son personnage qui est aussi un des plus beau qu'il n'est jamais posséder. En bref, on est en présence d'un immense chef d'oeuvre qui possède en plus un photographie et des décors inoubliable. A découvrir absolument.
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[5.01002685e-04 9.99498997e-01]
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