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Il est évident que si on cherche un film pour son scénario, il vaut mieux passer son chemin. La seule chose bien dans ce film, ce sont les scènes gores où les zombies dévorent les humains. Le reste est médiocre. Mais si on regarde un film pour le gore, on sera servi, il y a pas mal de sang, d'action et de scènes assez choquantes pour l'époque. Un film de zombies comme il en existe beaucoup qui est totalement dépassés par les classiques du genre.
Il est évident que si on cherche un film pour son scénario, il vaut mieux passer son chemin. La seule chose bien dans ce film, ce sont les scènes gores où les zombies dévorent les humains. Le reste est médiocre. Mais si on regarde un film pour le gore, on sera servi, il y a pas mal de sang, d'action et de scènes assez choquantes pour l'époque. Un film de zombies comme il en existe beaucoup qui est totalement dépassés par les classiques du genre.
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401
Beaucoup ont fait la comparaison entre ce Mississippi burning et l'autre film célèbre d'Alan Walker : Midnight express. Pour ma part j'avais énormément d'attentes pour les deux, et là où Midnight express m'a déçu, j'ai été plus que satisfait par Mississippi burning. Et je n'ai paseur de le dire, pour moi ce film est un chef-d'œuvre. Quand j'entends dire que la morale est assez simpliste, j'ai envie de dire, c'est arrivé les gars, souvenez-vous d'Emmet Hill, de Luther King ou de Rosa Parks, ce n'est pas simpliste, c'est vrai. Et ce film gère à la perfection son atmosphère, étouffante à souhait, par cette succession d'évènements de plus en plus choquants et révoltants. C'est en regardant ce film (dans son message) que je me disqu'Einstein avait raison : la bêtise humaine est infinie, le racisme en est la preuve. La tension parvient à atteindre des sommets, aidée par la musique qui accompagne parfaitement le film. Les acteurs sont quand à eux excellents (décidément Dafoe peut tout jouer, et Hackman... C'est Hackman donc lui aussi au top). Un film à l'ambiance sombre, qui prend aux triples de bout en bout.
Beaucoup ont fait la comparaison entre ce Mississippi burning et l'autre film célèbre d'Alan Walker : Midnight express. Pour ma part j'avais énormément d'attentes pour les deux, et là où Midnight express m'a déçu, j'ai été plus que satisfait par Mississippi burning. Et je n'ai paseur de le dire, pour moi ce film est un chef-d'œuvre. Quand j'entends dire que la morale est assez simpliste, j'ai envie de dire, c'est arrivé les gars, souvenez-vous d'Emmet Hill, de Luther King ou de Rosa Parks, ce n'est pas simpliste, c'est vrai. Et ce film gère à la perfection son atmosphère, étouffante à souhait, par cette succession d'évènements de plus en plus choquants et révoltants. C'est en regardant ce film (dans son message) que je me disqu'Einstein avait raison : la bêtise humaine est infinie, le racisme en est la preuve. La tension parvient à atteindre des sommets, aidée par la musique qui accompagne parfaitement le film. Les acteurs sont quand à eux excellents (décidément Dafoe peut tout jouer, et Hackman... C'est Hackman donc lui aussi au top). Un film à l'ambiance sombre, qui prend aux triples de bout en bout.
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402
Une grosse arnaque ! "The Crazies" est un film d'horreur/épouvante qui malgré un scénario assez prometteur s'avère extrêmement décevant. Et pour cause : Breck Eisner se limite à repiocher parmi les oeuvres de ces collègues, accumulant clichés sur clichés, rendant l'ensemble excessivement peu crédible et se permettant en plus d'être prévisible au possible. Pire encore : Les actions ne parviennent jamais à s'envoler, se contentant de rester au ras des pâquerettes et donc, particulièrement ennuyeux voire soporifique. Un téléfilm de samedi après midi pour TF1 aurait fait l'affaire. L'un des pires films que j'ai vu. 0 sur 5. Je dis bien 0, pas 0.5.
Une grosse arnaque ! "The Crazies" est un film d'horreur/épouvante qui malgré un scénario assez prometteur s'avère extrêmement décevant. Et pour cause : Breck Eisner se limite à repiocher parmi les oeuvres de ces collègues, accumulant clichés sur clichés, rendant l'ensemble excessivement peu crédible et se permettant en plus d'être prévisible au possible. Pire encore : Les actions ne parviennent jamais à s'envoler, se contentant de rester au ras des pâquerettes et donc, particulièrement ennuyeux voire soporifique. Un téléfilm de samedi après midi pour TF1 aurait fait l'affaire. L'un des pires films que j'ai vu. 0 sur 5. Je dis bien 0, pas 0.5.
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403
Une reconstitution des années 60 aux accents de série B des années 80 très prononcés, c'est moche et sans intérêt. Eventuellement cela pourra intéresser les nostalgiques des Eighties et les archéo- sociologue.
Une reconstitution des années 60 aux accents de série B des années 80 très prononcés, c'est moche et sans intérêt. Eventuellement cela pourra intéresser les nostalgiques des Eighties et les archéo- sociologue.
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404
quel ennui! pas structuré. On s'y perd . Sommes nous dans l'equipe du film pou dans le film qui est en train de se tourner? on ne sait plus. Pas de chronologie, mais rien pour nous eclairer. Des gens sont partis avant la fin du film. J'ai fait j' effort de rester... seule la musique est agréable!
quel ennui! pas structuré. On s'y perd . Sommes nous dans l'equipe du film pou dans le film qui est en train de se tourner? on ne sait plus. Pas de chronologie, mais rien pour nous eclairer. Des gens sont partis avant la fin du film. J'ai fait j' effort de rester... seule la musique est agréable!
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405
Film culte du début des années 2000, Donnie Darko est un thriller fantastique de haute volée qui en surprendra plus d’un. Porté par un tout jeune Jake Gyllenhaal (mais déjà bourré de talent), le film nous raconte l’histoire de Donnie, un adolescent de seize ans pas comme les autres, qui a pour ami Frank, une créature que lui seul peut voir et entendre. Lorsque Donnie survit par miracle à un accident, Frank lui propose un étrange marché. Des événements bizarres surviennent alors dans cette petite ville tranquille des États-Unis. La grande force du film vient bien sûr de son scénario, génialement écrit par Richard Kelly. Si au premier abord on peut trouver le film bizarre, on se rend finalement compte que toutes les scènes, les actes des personnages sont subtilement liés entre eux et forment un tout cohérent. Je ne vais pas en dire plus sur le scénario car cela serait du spoile mais c’est vraiment très bon, surtout pour un premier film. Côté réalisation, cette dernière est correcte et les acteurs sont tous vraiment bons (Jake Gyllenhaal en tête bien évidement). De plus, j’ai trouvé la bande-son excellente et elle colle parfaitement aux scènes et à l’ambiance du film. Voilà, je ne serais que trop vous conseiller de voir Donnie Darko, ne serait-ce que pour votre culture cinématographique personnelle, mais aussi parce que c’est un excellent thriller fantastique qui mérite largement le coup d’œil. Brillant.
Film culte du début des années 2000, Donnie Darko est un thriller fantastique de haute volée qui en surprendra plus d’un. Porté par un tout jeune Jake Gyllenhaal (mais déjà bourré de talent), le film nous raconte l’histoire de Donnie, un adolescent de seize ans pas comme les autres, qui a pour ami Frank, une créature que lui seul peut voir et entendre. Lorsque Donnie survit par miracle à un accident, Frank lui propose un étrange marché. Des événements bizarres surviennent alors dans cette petite ville tranquille des États-Unis. La grande force du film vient bien sûr de son scénario, génialement écrit par Richard Kelly. Si au premier abord on peut trouver le film bizarre, on se rend finalement compte que toutes les scènes, les actes des personnages sont subtilement liés entre eux et forment un tout cohérent. Je ne vais pas en dire plus sur le scénario car cela serait du spoile mais c’est vraiment très bon, surtout pour un premier film. Côté réalisation, cette dernière est correcte et les acteurs sont tous vraiment bons (Jake Gyllenhaal en tête bien évidement). De plus, j’ai trouvé la bande-son excellente et elle colle parfaitement aux scènes et à l’ambiance du film. Voilà, je ne serais que trop vous conseiller de voir Donnie Darko, ne serait-ce que pour votre culture cinématographique personnelle, mais aussi parce que c’est un excellent thriller fantastique qui mérite largement le coup d’œil. Brillant.
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406
J ai trouvé ce film très intéressant ! On reste sur notre fin malheureusement 😒on ne voit même pas les 2h5 de film tellement c est passionnant ! Ashton très bluffant dans le rôle principal !
J ai trouvé ce film très intéressant ! On reste sur notre fin malheureusement 😒on ne voit même pas les 2h5 de film tellement c est passionnant ! Ashton très bluffant dans le rôle principal !
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407
Sur l'échelle des daubes, ce film pourrait facilement atteindre la première place. Scott Adkins au milieu d'asiatiques est d'un ridicule incroyable.
Sur l'échelle des daubes, ce film pourrait facilement atteindre la première place. Scott Adkins au milieu d'asiatiques est d'un ridicule incroyable.
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408
On aurait dû sans douter : une suite est rarement au niveau du premier, surtout quand le premier opus est une petite pépite! Lourd, redondant, avec les codes repris du premier mais on a perdu le charme, la surprise, la fraîcheur, la saveur... Bref, ce retour aurait mieux fait de ne pas voir le jour afin de ne pas altérer les souvenirs jubilatoires du premier Tanguy!
On aurait dû sans douter : une suite est rarement au niveau du premier, surtout quand le premier opus est une petite pépite! Lourd, redondant, avec les codes repris du premier mais on a perdu le charme, la surprise, la fraîcheur, la saveur... Bref, ce retour aurait mieux fait de ne pas voir le jour afin de ne pas altérer les souvenirs jubilatoires du premier Tanguy!
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cultissime,on sent vraiment la touche Z.A.Z on rit du début à la fin aucun temps mort ce genre de film commence à faire défaut et c'est bien dommage,car on a besoin de rire.
cultissime,on sent vraiment la touche Z.A.Z on rit du début à la fin aucun temps mort ce genre de film commence à faire défaut et c'est bien dommage,car on a besoin de rire.
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Très très décevant. Vain, ennuyeux, antipathique tellement moins réussi que Spring Break. Suis sorti au bout d'une heure.
Très très décevant. Vain, ennuyeux, antipathique tellement moins réussi que Spring Break. Suis sorti au bout d'une heure.
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Alors tout d'abord je me dois de "remercier" les russes pour cette magnifique propagande, d'avoir trainné le nom de Taras Bulba dans la boue et pour le magnifique exemple du "juif" ! Là ils ne pouvaient pas faire mieux je crois. Je suis choqué qu'un tel film puisse exister. Enfin bref , la haine mise de coté ce film "pue la mort" j'ai failli m'endomir : l'action, les dialogues, tout est SOPORIFIQUE. Ps : regardez bien 1:22:24 le "cossack" ce fait décapiter par un polonais avec un sabre mais bizzarement sur le plan d'après le polonais apparait avec une masse/sceptre : cherchez l'erreure. Pour conclure je dirais que c'est plutôt une comédie qu'un film d'action historique.
Alors tout d'abord je me dois de "remercier" les russes pour cette magnifique propagande, d'avoir trainné le nom de Taras Bulba dans la boue et pour le magnifique exemple du "juif" ! Là ils ne pouvaient pas faire mieux je crois. Je suis choqué qu'un tel film puisse exister. Enfin bref , la haine mise de coté ce film "pue la mort" j'ai failli m'endomir : l'action, les dialogues, tout est SOPORIFIQUE. Ps : regardez bien 1:22:24 le "cossack" ce fait décapiter par un polonais avec un sabre mais bizzarement sur le plan d'après le polonais apparait avec une masse/sceptre : cherchez l'erreure. Pour conclure je dirais que c'est plutôt une comédie qu'un film d'action historique.
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J'adore le ptit quinquin qui etait passé sur arte, mais là c'est creux et surjoué. On ne comprend rien à l histoire... Très déçue.
J'adore le ptit quinquin qui etait passé sur arte, mais là c'est creux et surjoué. On ne comprend rien à l histoire... Très déçue.
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Critique de "The Gallows". Je ne vais pas y aller par quatre chemins : ce film est mauvais. Ce film ne procure pas le moindre frisson, je l'ai même trouvé soporifique. Le procédé du found footage trouve vite ses limites dans ce film, on a droit à des scènes totalement illisibles. Ajouté à cela une fin totalement absurde. 1,5/5
Critique de "The Gallows". Je ne vais pas y aller par quatre chemins : ce film est mauvais. Ce film ne procure pas le moindre frisson, je l'ai même trouvé soporifique. Le procédé du found footage trouve vite ses limites dans ce film, on a droit à des scènes totalement illisibles. Ajouté à cela une fin totalement absurde. 1,5/5
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Je sais pas ce que les mecs qui choisissent les titres ont ds la tete...j'imagine que le titre du film fait echo a petits meurtres entre amis qui n'a pas gd chose a voir. Ici les acteurs n'ont pas bcp de charisme le synopsis interessant sur le papier se retrouve ininteressant en vrai, c'est lent et assez chiant, dommage
Je sais pas ce que les mecs qui choisissent les titres ont ds la tete...j'imagine que le titre du film fait echo a petits meurtres entre amis qui n'a pas gd chose a voir. Ici les acteurs n'ont pas bcp de charisme le synopsis interessant sur le papier se retrouve ininteressant en vrai, c'est lent et assez chiant, dommage
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Un beau film esthétique ayant pour sujet les magouilles des laboratoires pharmaceutiques en Afrique. A la fois un bon sujet de société et une histoire d'amour originale. Mérite d'être vu.
Un beau film esthétique ayant pour sujet les magouilles des laboratoires pharmaceutiques en Afrique. A la fois un bon sujet de société et une histoire d'amour originale. Mérite d'être vu.
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Encore un film sur l'homosexualité....ai-je pensé. Erreur ! Par le récit sensible des tabous d'hier, le film révèle les tabous d'aujourd'hui : l'âge, le désir... Voici le film le plus subversif de l'année !! Il présente la vieillesse moderne avec cette même vigueur qui animait les luttes féministes ou homosexuelles hier. Il faut autant d'énergie pour "être" vieux, qu'il en fallu pour exister femme ou homo ! S Lifschitz réussit à nous faire découvrir des vraies personnes en les filmant au delà de leurs personnages, avec une proximité et un respect magnifique. En nous approchant de leur vérité, de leur intimité sincère, il transporte son propos individuel vers l'universel. Voici des vieux enfin vus comme des vivants : on frôle l’obscénité ! C'est leur vie tout entière qui revendique aujourd'hui la possibilité de désirer, d'aimer, d'exister. Ce faisant, le film bouscule les résignations et la morosité du moment, pour nous rappeler que l'espérance et la joie sont des combats qu'on peut gagner...: la preuve en images et en émotions ! Ne vous refusez pas ce plaisir avant les fêtes !
Encore un film sur l'homosexualité....ai-je pensé. Erreur ! Par le récit sensible des tabous d'hier, le film révèle les tabous d'aujourd'hui : l'âge, le désir... Voici le film le plus subversif de l'année !! Il présente la vieillesse moderne avec cette même vigueur qui animait les luttes féministes ou homosexuelles hier. Il faut autant d'énergie pour "être" vieux, qu'il en fallu pour exister femme ou homo ! S Lifschitz réussit à nous faire découvrir des vraies personnes en les filmant au delà de leurs personnages, avec une proximité et un respect magnifique. En nous approchant de leur vérité, de leur intimité sincère, il transporte son propos individuel vers l'universel. Voici des vieux enfin vus comme des vivants : on frôle l’obscénité ! C'est leur vie tout entière qui revendique aujourd'hui la possibilité de désirer, d'aimer, d'exister. Ce faisant, le film bouscule les résignations et la morosité du moment, pour nous rappeler que l'espérance et la joie sont des combats qu'on peut gagner...: la preuve en images et en émotions ! Ne vous refusez pas ce plaisir avant les fêtes !
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Un bon film qui fait du bien, comme on ne sait plus en faire aujourd'hui. Certes un scénario qui peut sembler grossier à certains moments mais le bon jeu des acteurs et la très bonne réalisation en font un film vraiment sympa
Un bon film qui fait du bien, comme on ne sait plus en faire aujourd'hui. Certes un scénario qui peut sembler grossier à certains moments mais le bon jeu des acteurs et la très bonne réalisation en font un film vraiment sympa
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Remake du "Vol du Phénix" de 1965, celui de 2004 est un film aux allures de téléfilm qui ne parvient à dépasser le précèdent. Faire un remake implique de faire mieux, si c'est pour faire pire, autant aller faire des courses ou une ballade en forêt. La photo est bien travaillée, mais de façon inégale pour tous les plans. La musique est assez désagréable et gênante, entre mauvais goût et bruitages, le manque de moyen n'aurait pas dû être un obstacle, par contre le manque de talent est certainement plus préjudiciable. Des personnages insignifiants et plutôt crétins, voire même totalement ridicules pour certain, une absence total de dialogues utiles et une dégradation de la qualité du film au fur et à mesure de sa progression. Qui le rend de plus en plus pénible à supporter jusqu'à une fin un peu coconne. La version de 1965 est donc à conseiller.
Remake du "Vol du Phénix" de 1965, celui de 2004 est un film aux allures de téléfilm qui ne parvient à dépasser le précèdent. Faire un remake implique de faire mieux, si c'est pour faire pire, autant aller faire des courses ou une ballade en forêt. La photo est bien travaillée, mais de façon inégale pour tous les plans. La musique est assez désagréable et gênante, entre mauvais goût et bruitages, le manque de moyen n'aurait pas dû être un obstacle, par contre le manque de talent est certainement plus préjudiciable. Des personnages insignifiants et plutôt crétins, voire même totalement ridicules pour certain, une absence total de dialogues utiles et une dégradation de la qualité du film au fur et à mesure de sa progression. Qui le rend de plus en plus pénible à supporter jusqu'à une fin un peu coconne. La version de 1965 est donc à conseiller.
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En 1954 on pouvait donc faire des films sur le miracle de la foi. Comme en 1987 ("Sous le soleil de Satan" de Pialat), comme en 1996 ("Breaking the waves" de Lars Von Trier) comme en 2007 ("Lumière silencieuse" de Reygadas). "Ordet" est un chef d'œuvre, une œuvre intemporelle, dont la modernité peut encore étonner, malgré son final romantico-mystique. Il décrit un monde de la croyance que j'ai connu, dans lequel j'ai vécu mon enfance, un visage du christianisme qui disparait seulement à la fin du XXème siècle en occident, mais qui reste très vivace en Amérique du sud ou ailleurs, dans ce qu'on appelle les "pays émergeants". Culpabilité, crainte de Dieu, querelle de clochers entre divers courants qui pensent chacun détenir LA vérité. Grande valeur anthropologique donc, et choc visuel, par la perfection de la mise en scène, sa fluidité, son élégance, la qualité des comédiens. Du grand art, dont l'héritier le plus évident me semble être Bela Tarr.
En 1954 on pouvait donc faire des films sur le miracle de la foi. Comme en 1987 ("Sous le soleil de Satan" de Pialat), comme en 1996 ("Breaking the waves" de Lars Von Trier) comme en 2007 ("Lumière silencieuse" de Reygadas). "Ordet" est un chef d'œuvre, une œuvre intemporelle, dont la modernité peut encore étonner, malgré son final romantico-mystique. Il décrit un monde de la croyance que j'ai connu, dans lequel j'ai vécu mon enfance, un visage du christianisme qui disparait seulement à la fin du XXème siècle en occident, mais qui reste très vivace en Amérique du sud ou ailleurs, dans ce qu'on appelle les "pays émergeants". Culpabilité, crainte de Dieu, querelle de clochers entre divers courants qui pensent chacun détenir LA vérité. Grande valeur anthropologique donc, et choc visuel, par la perfection de la mise en scène, sa fluidité, son élégance, la qualité des comédiens. Du grand art, dont l'héritier le plus évident me semble être Bela Tarr.
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(...) Sans message précis, sans rythme, basé sur de grossiers clichés, sans émotions, sans être drôle, avec un casting qui n’est pas à la hauteur, il est bien difficile de donner de bonnes raisons d’aller voir Mohamed Dubois. La réalisation est propre et le film est bien produit. Ce sont les seuls points positifs de ce naufrage collectif. Peut-être que vous serez touché par cet humour mais si vous l’êtes, c’est que vous êtes vraiment TRES TRES TRES bon public. Un beau navet.
(...) Sans message précis, sans rythme, basé sur de grossiers clichés, sans émotions, sans être drôle, avec un casting qui n’est pas à la hauteur, il est bien difficile de donner de bonnes raisons d’aller voir Mohamed Dubois. La réalisation est propre et le film est bien produit. Ce sont les seuls points positifs de ce naufrage collectif. Peut-être que vous serez touché par cet humour mais si vous l’êtes, c’est que vous êtes vraiment TRES TRES TRES bon public. Un beau navet.
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Repo Man avait tout pour être un sympathique petit film mais rapidement il semble mal maîtrisé, les effets comiques donnent l'impression d'être involontaires, Repo Man se veut transgressif et cool à la fois mais le fantastique est un élément qui s'intègre maladroitement au récit. Sans grand intérêt.
Repo Man avait tout pour être un sympathique petit film mais rapidement il semble mal maîtrisé, les effets comiques donnent l'impression d'être involontaires, Repo Man se veut transgressif et cool à la fois mais le fantastique est un élément qui s'intègre maladroitement au récit. Sans grand intérêt.
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La fin est pourrie, tout le long du film j'espérais que Sam et Hope se mettent en couple, mais finalement à la fin Sam se met en couple avec Annie qui n'apparaît pas au début du film . Scénario pourrie . Peut être que si il y aurai eu une histoire d'amour entre Annie et Sam à la fin, le film aurai pu être mieux, mais la fin est pourrie . Bref faire espérait le spectateur du début jusqu'à la fin pour qu'a la fin ce sois une autre fille . Ça tué tout le film .. Dommage
La fin est pourrie, tout le long du film j'espérais que Sam et Hope se mettent en couple, mais finalement à la fin Sam se met en couple avec Annie qui n'apparaît pas au début du film . Scénario pourrie . Peut être que si il y aurai eu une histoire d'amour entre Annie et Sam à la fin, le film aurai pu être mieux, mais la fin est pourrie . Bref faire espérait le spectateur du début jusqu'à la fin pour qu'a la fin ce sois une autre fille . Ça tué tout le film .. Dommage
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Ce film n'a malheureusement aucun intérêt, il ne s'y passe rien, on ne voit rien et on ne comprend rien.
Ce film n'a malheureusement aucun intérêt, il ne s'y passe rien, on ne voit rien et on ne comprend rien.
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Pour une fois stephen king ne fait pas vraiment fait une prouesse. Je troue que l'histoire est trop tirée par les cheveux. Bon moment tout de même. Un peu déçu.
Pour une fois stephen king ne fait pas vraiment fait une prouesse. Je troue que l'histoire est trop tirée par les cheveux. Bon moment tout de même. Un peu déçu.
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Voila le type de thriller malsain que je n'aime pas du tout. Aussi ça commence pas mal , l'intrigue est bien mise en place mais très vite les flashs-backs à la Saw viennent défourailler une mise en scène qui avait pas mal de bonnes idées. Et que dire du dénouement malsain??? Vraiment un film à violences gratuites à éviter...
Voila le type de thriller malsain que je n'aime pas du tout. Aussi ça commence pas mal , l'intrigue est bien mise en place mais très vite les flashs-backs à la Saw viennent défourailler une mise en scène qui avait pas mal de bonnes idées. Et que dire du dénouement malsain??? Vraiment un film à violences gratuites à éviter...
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Nul! franchement nul...... d'autant plus nul qu'il y a sans doute une prétention de folie et de liberté. Quelques ingrédients de base c'est sûr mais aucun n'est développé proprement. N'est pas absurde qui veut... Rien de tel que la fausse impro soutenue par une scénario inexistant. En plus, pas drôle, terriblement ennuyeux. En voyant ce film nous avons pensé aux Profs qui nous ont affligés récemment. Et bien la Fille du 14 Juillet c'est du Profs pour intellos, un grand n'importe quoi sans aucun talent
Nul! franchement nul...... d'autant plus nul qu'il y a sans doute une prétention de folie et de liberté. Quelques ingrédients de base c'est sûr mais aucun n'est développé proprement. N'est pas absurde qui veut... Rien de tel que la fausse impro soutenue par une scénario inexistant. En plus, pas drôle, terriblement ennuyeux. En voyant ce film nous avons pensé aux Profs qui nous ont affligés récemment. Et bien la Fille du 14 Juillet c'est du Profs pour intellos, un grand n'importe quoi sans aucun talent
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Bla bla, bla bla, bla bla... Magimel et Cie vous souhaitent une bonne sieste.
Bla bla, bla bla, bla bla... Magimel et Cie vous souhaitent une bonne sieste.
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Impossible quand on est une fille et qu'on a eu des copines à l'adolescence de ne pas retrouver beaucoup de soi dans ce très joli film. C'est d'autant plus facile que, mis à part dans les scènes "au bureau", le film est très peu daté L'allure des filles, leurs vêtements, leurs histoires de régime et de garçons sont intemporels. Certaines scènes sont extrêmement drôles. L'ambiance de fin de saison d'une station balnéaire est très bien captée. C'est à la fois nostalgique, à la fois vivifiant. Vraiment un très joli film où le temps s'étire comme pendant un mois de vacances au même endroit.
Impossible quand on est une fille et qu'on a eu des copines à l'adolescence de ne pas retrouver beaucoup de soi dans ce très joli film. C'est d'autant plus facile que, mis à part dans les scènes "au bureau", le film est très peu daté L'allure des filles, leurs vêtements, leurs histoires de régime et de garçons sont intemporels. Certaines scènes sont extrêmement drôles. L'ambiance de fin de saison d'une station balnéaire est très bien captée. C'est à la fois nostalgique, à la fois vivifiant. Vraiment un très joli film où le temps s'étire comme pendant un mois de vacances au même endroit.
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429
Documentaire très intéressant sur notre Hitchcock national. Avec ce film Clouzot allait prouver aux présomptueux de la NOuvelle Vague qu'un cinéaste dit "classique" avait aussi le talent nécessaire pour se réinventer. L'idée de faire jouer des scènes inexistantes sur pellicule par Jacques Gamblin et Bérénice Bejo est une idée excellente qui permet de faire travailler notre imagination. En tous cas le doc rend un hommage fort au génie qu'était Henri-George Clouzot.
Documentaire très intéressant sur notre Hitchcock national. Avec ce film Clouzot allait prouver aux présomptueux de la NOuvelle Vague qu'un cinéaste dit "classique" avait aussi le talent nécessaire pour se réinventer. L'idée de faire jouer des scènes inexistantes sur pellicule par Jacques Gamblin et Bérénice Bejo est une idée excellente qui permet de faire travailler notre imagination. En tous cas le doc rend un hommage fort au génie qu'était Henri-George Clouzot.
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Après un premier épisode plutôt mauvais, Tim Story remet ça... en pire. Le scénario, particulièrement niais, enchaînent les facilités avec un insupportable manque d'imagination et les scènes d’action, inabouties, laissent de marbre.
Après un premier épisode plutôt mauvais, Tim Story remet ça... en pire. Le scénario, particulièrement niais, enchaînent les facilités avec un insupportable manque d'imagination et les scènes d’action, inabouties, laissent de marbre.
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Un seul mot à dire : « WA-OUH ! » Un film comme ça, moi, je peux en parler des heures tant il y a de choses à dire dessus. Et pourtant, quand il s'agit de résumer comme c'est le cas en ce moment même pour rédiger cette critique, je n'ai presque plus grand-chose à dire tant ce genre de chef d'œuvre formaliste ne tient sur presque rien. L'histoire est classique, le genre plus que codifié, mais "Drive" m’a malgré tout emporté, et cela c'est grâce à la maestria de sa mise en scène (enfin un prix cannois dans lequel je me retrouve : il y avait longtemps !). J'y suis allé sans rien en savoir si ce n'est que le film était de ce cher Nicolas Winding Refn. Or, pour moi ce mec, c'était celui qui m'avait enivré avec son "Pusher" et embourbé avec son "Valhalla Rising". C'était pile ou face. Tout ou rien. Or, pour ce "Drive", il ne m'a fallu que cinq minutes pour comprendre que j’allais avoir droit au côté clair de la force. Et quel clarté justement ! L'introduction est un symbole de maîtrise, de construction d'univers, d'élaboration d'ambiance. Pas de caméras qui ont la bougeotte, pas de vacarme assourdissant, ni même de bla-bla. Tout est dans la pureté, dans l'esthétisme. Tout est tellement équilibré, cadencé, millimétré, que j'ai succombé au charme. Voilà une perle sans défaut, un bijou dont la beauté tient à la pureté de son éclat et non au caractère tape-à-l'œil qui est à la norme aujourd'hui. Il n'y a pas à dire, avec "Drive" j'ai pris une leçon... J'ai pris une claque... Bref, j'ai pris mon pied, tout simplement...
Un seul mot à dire : « WA-OUH ! » Un film comme ça, moi, je peux en parler des heures tant il y a de choses à dire dessus. Et pourtant, quand il s'agit de résumer comme c'est le cas en ce moment même pour rédiger cette critique, je n'ai presque plus grand-chose à dire tant ce genre de chef d'œuvre formaliste ne tient sur presque rien. L'histoire est classique, le genre plus que codifié, mais "Drive" m’a malgré tout emporté, et cela c'est grâce à la maestria de sa mise en scène (enfin un prix cannois dans lequel je me retrouve : il y avait longtemps !). J'y suis allé sans rien en savoir si ce n'est que le film était de ce cher Nicolas Winding Refn. Or, pour moi ce mec, c'était celui qui m'avait enivré avec son "Pusher" et embourbé avec son "Valhalla Rising". C'était pile ou face. Tout ou rien. Or, pour ce "Drive", il ne m'a fallu que cinq minutes pour comprendre que j’allais avoir droit au côté clair de la force. Et quel clarté justement ! L'introduction est un symbole de maîtrise, de construction d'univers, d'élaboration d'ambiance. Pas de caméras qui ont la bougeotte, pas de vacarme assourdissant, ni même de bla-bla. Tout est dans la pureté, dans l'esthétisme. Tout est tellement équilibré, cadencé, millimétré, que j'ai succombé au charme. Voilà une perle sans défaut, un bijou dont la beauté tient à la pureté de son éclat et non au caractère tape-à-l'œil qui est à la norme aujourd'hui. Il n'y a pas à dire, avec "Drive" j'ai pris une leçon... J'ai pris une claque... Bref, j'ai pris mon pied, tout simplement...
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On n'y croit pas une seconde, d'ailleurs Bana non plus... On enchaine les poncifs et les codes du genre, sans aucune originalité ni creativité. Les acteurs s'en fouttent et la musique ne fait que souligner la médiocrité de la mise en scène! J'ai plus peur d'être possédé quand je fais mes courses chez Carrefour...
On n'y croit pas une seconde, d'ailleurs Bana non plus... On enchaine les poncifs et les codes du genre, sans aucune originalité ni creativité. Les acteurs s'en fouttent et la musique ne fait que souligner la médiocrité de la mise en scène! J'ai plus peur d'être possédé quand je fais mes courses chez Carrefour...
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J'ai commencé à regarder ce film avec une appréhension assez forte.. Peur de me retrouver avec un film LGBT rempli de niaiseries. Eh bien non on a un film certes pas irréprochable techniquement parlant mais c'est un film à dose émotionnelle gigantesque. Je n'ai pas arrêté de pleurer, encore plus lorsque j'ai pris conscience que oui, c'est une histoire vraie. On vient de sortir du débat pour le mariage pour tous, les arguments que l'on entend dans le film sont les mêmes que l'on a entendu par des personnages comme Boutins ou Barjot il y a de celà quelques semaines. J'ai étais touché de pleins fouet par ces 2 heures, on y retrouve tous ce qu'une personne LGBT peut/va/a affronté/er. Et puis quel message !! Cette simple phrase m'a glacé le sang et devrait être récitée à tous les parents " Before you echo Amen in your home or place for worship, think and remember. A child is listening .".. Ais-je besoin de rajouter quelque chose? C'est tout simplement le meilleur téléfilm ( principalement au niveau du fond ) que j'ai vu ! A voir , d'urgence.
J'ai commencé à regarder ce film avec une appréhension assez forte.. Peur de me retrouver avec un film LGBT rempli de niaiseries. Eh bien non on a un film certes pas irréprochable techniquement parlant mais c'est un film à dose émotionnelle gigantesque. Je n'ai pas arrêté de pleurer, encore plus lorsque j'ai pris conscience que oui, c'est une histoire vraie. On vient de sortir du débat pour le mariage pour tous, les arguments que l'on entend dans le film sont les mêmes que l'on a entendu par des personnages comme Boutins ou Barjot il y a de celà quelques semaines. J'ai étais touché de pleins fouet par ces 2 heures, on y retrouve tous ce qu'une personne LGBT peut/va/a affronté/er. Et puis quel message !! Cette simple phrase m'a glacé le sang et devrait être récitée à tous les parents " Before you echo Amen in your home or place for worship, think and remember. A child is listening .".. Ais-je besoin de rajouter quelque chose? C'est tout simplement le meilleur téléfilm ( principalement au niveau du fond ) que j'ai vu ! A voir , d'urgence.
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Hi hi la blague! Ce n'est pas le navet complet, mais on s'en rapproche! En tout cas, moi je vais me remettre à la harpe...
Hi hi la blague! Ce n'est pas le navet complet, mais on s'en rapproche! En tout cas, moi je vais me remettre à la harpe...
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435
Second volet et retour des deux acteurs monstre sous une histoire qui à rien à voir avec le précédent volet. Cette fois le film est plus soft, plus poétique surtout, comme si Takashi voulait faire sont "Takeshi" Kitano bien que perso la pilule passe pas., un humour plus présent également, des scènes qui peuvent paraitre d'ailleurs lourde et avec peu d'intérêt. Pourtant à la base Takeshi tenait à nous démontrer une belle histoire d'amitié, on est face à deux anges qui flingue des personnes scrupuleuse afin d'encaisser du pognon pour aider les enfants de la misère dans le monde. J'ai beaucoup moins accroché sur ce deuxième volet. Voilà à part ça quasi tout le long du film, c'est du flashback un peu agaçant et ambigu, puis une histoire de souvenir de plat de nouille par le passé entre pote.
Second volet et retour des deux acteurs monstre sous une histoire qui à rien à voir avec le précédent volet. Cette fois le film est plus soft, plus poétique surtout, comme si Takashi voulait faire sont "Takeshi" Kitano bien que perso la pilule passe pas., un humour plus présent également, des scènes qui peuvent paraitre d'ailleurs lourde et avec peu d'intérêt. Pourtant à la base Takeshi tenait à nous démontrer une belle histoire d'amitié, on est face à deux anges qui flingue des personnes scrupuleuse afin d'encaisser du pognon pour aider les enfants de la misère dans le monde. J'ai beaucoup moins accroché sur ce deuxième volet. Voilà à part ça quasi tout le long du film, c'est du flashback un peu agaçant et ambigu, puis une histoire de souvenir de plat de nouille par le passé entre pote.
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Ce film a le mérite de ressusciter un moment de l'histoire de la seconde guerre mondiale souvent méconnu des français, à savoir la participation des musulmans à la résistance. Comme toujours Michael LONSDALE est excellent.
Ce film a le mérite de ressusciter un moment de l'histoire de la seconde guerre mondiale souvent méconnu des français, à savoir la participation des musulmans à la résistance. Comme toujours Michael LONSDALE est excellent.
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J'ignorais que le grand Michael Curtiz avait réalisé un film pour patronage, car c'est bien de cela qu'il s'agit. Le remède à la délinquance serait donc l'encadrement de la jeunesse par la religion… Comme naïveté c'est assez gratiné ! Et si encore s'était fait avec subtilité mais la dernière partie du film est carrément à gerber. PS : Il est possible que le film possède des qualités cinématographiques mais quand le fond occulte la forme à ce point-là, cette dernière n'a plus aucune espèce d'importance.
J'ignorais que le grand Michael Curtiz avait réalisé un film pour patronage, car c'est bien de cela qu'il s'agit. Le remède à la délinquance serait donc l'encadrement de la jeunesse par la religion… Comme naïveté c'est assez gratiné ! Et si encore s'était fait avec subtilité mais la dernière partie du film est carrément à gerber. PS : Il est possible que le film possède des qualités cinématographiques mais quand le fond occulte la forme à ce point-là, cette dernière n'a plus aucune espèce d'importance.
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Cloverfield, le nom que des millions de spectateurs ont sur le bout de la langue depuis juillet 2007 suite à un teaser spectaculaire où l'on voyait la tête de la statue de la liberté échouer en pleine rue, le tout filmé par un simple amateur. Il s'en est suivi un buzz monstre matiné d'infos distillées au compte-gouttes. Les mois passent et enfin ce projet tenu top secret débarque sur nos écrans. Vu en avant-première, je n'irais pas par quatre chemins, Cloverfield est un chef d'oeuvre, un véritable coup de poing où j'en suis ressorti chaos, sur les rotules. Le concept est simple, il s'agit d'un film tourné caméra au poing relatant l'histoire d'un groupe d'amis qui tentent de fuir une terrible catastrophe. Il en ressort un film intense qui m'a totalement cloué au siège. Les personnages sont tous attachants, naturels, les effets spéciaux sont plus vrais que nature et la mise en scène permet une immersion totale. En gros, Cloverfield est une véritable expérience sensorielle que l'on vit et moi qui suis un fan de films du genre fin du monde, je peux dire que celui-ci tient tout simplement du fantasme tant il est absolument terrifiant, viscéral et propose des scènes de chaos cauchemardesques et d'autres plus bouleversantes, d'une très grande sensibilité. Bref après des mois d'attentes, Cloverfield se revèle être supérieure à tout ce que je m'étais imaginé et en cela je remercie Matt Reeves, JJ Abrams et tout le reste de l'équipe pour ce grand moment de cinéma qui d'emblée fait partie de mes films favoris. Amateurs de sensations fortes, courez-y !
Cloverfield, le nom que des millions de spectateurs ont sur le bout de la langue depuis juillet 2007 suite à un teaser spectaculaire où l'on voyait la tête de la statue de la liberté échouer en pleine rue, le tout filmé par un simple amateur. Il s'en est suivi un buzz monstre matiné d'infos distillées au compte-gouttes. Les mois passent et enfin ce projet tenu top secret débarque sur nos écrans. Vu en avant-première, je n'irais pas par quatre chemins, Cloverfield est un chef d'oeuvre, un véritable coup de poing où j'en suis ressorti chaos, sur les rotules. Le concept est simple, il s'agit d'un film tourné caméra au poing relatant l'histoire d'un groupe d'amis qui tentent de fuir une terrible catastrophe. Il en ressort un film intense qui m'a totalement cloué au siège. Les personnages sont tous attachants, naturels, les effets spéciaux sont plus vrais que nature et la mise en scène permet une immersion totale. En gros, Cloverfield est une véritable expérience sensorielle que l'on vit et moi qui suis un fan de films du genre fin du monde, je peux dire que celui-ci tient tout simplement du fantasme tant il est absolument terrifiant, viscéral et propose des scènes de chaos cauchemardesques et d'autres plus bouleversantes, d'une très grande sensibilité. Bref après des mois d'attentes, Cloverfield se revèle être supérieure à tout ce que je m'étais imaginé et en cela je remercie Matt Reeves, JJ Abrams et tout le reste de l'équipe pour ce grand moment de cinéma qui d'emblée fait partie de mes films favoris. Amateurs de sensations fortes, courez-y !
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439
Un polar sombre, qui se laisse voir et rappelle le Samouraï de JP Melville. Peu de dialogues et beaucoup de coups de feu. Johnny égal à lui même.
Un polar sombre, qui se laisse voir et rappelle le Samouraï de JP Melville. Peu de dialogues et beaucoup de coups de feu. Johnny égal à lui même.
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440
"A Ghost Story" est définitivement un gros coup de cœur de l'année 2017. David Lowery réalise un film d'une intensité profonde, un film contemplatif et qui pousse à la méditation. Cette réflexion sur l'amour, le temps qui passe, la mort, est absolument fascinante et elle s'impose avec exactitude et justesse. Et cette invitation à la méditation nous est proposée avec une simplicité remarquable. En effet, le film se dispense largement de dialogues, la caméra est souvent fixe, ceci pour permettre de contempler les images proposées comme le fantôme, immobile. Ce fantôme est représenté de manière enfantine avec un simple drap posé sur lui, les personnages n'ont pas de noms mais sont juste les visages des acteurs tels que Casey Affleck ou Rooney Mara. Cette simplicité se retrouve aussi dans le format de l'image, un simple carré aux bords arrondis. Il est certain que la démarche du film peut surprendre aux premiers abords, car les séquences sont parfois longues, très longues, mais cela s'inscrit parfaitement dans la démarche que propose ce film. Ainsi, notre fantôme contemple la vie de la femme qu'il aimait après sa mort, il semble condamner à errer dans la demeure qu'il aimait tant, et constater les dégâts du temps qui passe, un temps destructeur qui ne laissera aucune trace de la vie du personnage. Cette immersion sensorielle est réellement bouleversante, et nous sommes obligés de souligner ici l'excellente bande son de Daniel Hart et plus précisément le brillant morceau de Dark Rooms, "I Get Overwhelmed". Nous aurions presque voulu que ce film dure plus longtemps finalement, pour exploiter encore plus son concept qui est vraiment remarquable. "A Ghost Story" est vraiment un film comme il s'en fait peu, un film qui impressionne par sa simplicité et sa justesse. Brillant !
"A Ghost Story" est définitivement un gros coup de cœur de l'année 2017. David Lowery réalise un film d'une intensité profonde, un film contemplatif et qui pousse à la méditation. Cette réflexion sur l'amour, le temps qui passe, la mort, est absolument fascinante et elle s'impose avec exactitude et justesse. Et cette invitation à la méditation nous est proposée avec une simplicité remarquable. En effet, le film se dispense largement de dialogues, la caméra est souvent fixe, ceci pour permettre de contempler les images proposées comme le fantôme, immobile. Ce fantôme est représenté de manière enfantine avec un simple drap posé sur lui, les personnages n'ont pas de noms mais sont juste les visages des acteurs tels que Casey Affleck ou Rooney Mara. Cette simplicité se retrouve aussi dans le format de l'image, un simple carré aux bords arrondis. Il est certain que la démarche du film peut surprendre aux premiers abords, car les séquences sont parfois longues, très longues, mais cela s'inscrit parfaitement dans la démarche que propose ce film. Ainsi, notre fantôme contemple la vie de la femme qu'il aimait après sa mort, il semble condamner à errer dans la demeure qu'il aimait tant, et constater les dégâts du temps qui passe, un temps destructeur qui ne laissera aucune trace de la vie du personnage. Cette immersion sensorielle est réellement bouleversante, et nous sommes obligés de souligner ici l'excellente bande son de Daniel Hart et plus précisément le brillant morceau de Dark Rooms, "I Get Overwhelmed". Nous aurions presque voulu que ce film dure plus longtemps finalement, pour exploiter encore plus son concept qui est vraiment remarquable. "A Ghost Story" est vraiment un film comme il s'en fait peu, un film qui impressionne par sa simplicité et sa justesse. Brillant !
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Un excellent Damiano traitant des relations SM. La complicité entre Terri Hall et Jamie Gillis provoque des petits miracles sur la pellicule (et pas que sur la pellicule, d'ailleurs). C'était le bon temps où on pouvait faire du cinéma d'auteur porno de qualité, un peu loin maintenant tout ça.
Un excellent Damiano traitant des relations SM. La complicité entre Terri Hall et Jamie Gillis provoque des petits miracles sur la pellicule (et pas que sur la pellicule, d'ailleurs). C'était le bon temps où on pouvait faire du cinéma d'auteur porno de qualité, un peu loin maintenant tout ça.
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L'histoire est ... inexistante et on s'ennuie vite malgré un univers accrocheur et des personnages aussi drôles que mignons.
L'histoire est ... inexistante et on s'ennuie vite malgré un univers accrocheur et des personnages aussi drôles que mignons.
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Je viens de visionner à l'instant I Origins. J'ai pris une claque. Ce film est un vrai chef d'oeuvre ... L'histoire est captivante. Les prises de vues, géniales. Les 3 acteurs principaux sont tellement bons que je me demande pourquoi je ne les ai découvert que dans ce film. Les musiques sont sublimes. Et enfin, c'est un film intelligent. Mélangeant science, religion et un autre principe que je ne peux révéler sans vous spoiler. Un film foutrement intelligent et poétique. J'ai eu une montée de larmes, ce qui ne m'arrive presque jamais.Et MERCI au réalisateur de finir le film comme ça, sans aucun mot, les images parlent seules ...Même si, en tant qu'étudiant en médecine, je n'adhère pas scientifiquement, j'ai vraiment adoré et le recommande sans hésitation ! En revanche, il ne plaira surement pas à tout le monde. Un chef d'oeuvre comme j'aimerai en voir tous les jours ...
Je viens de visionner à l'instant I Origins. J'ai pris une claque. Ce film est un vrai chef d'oeuvre ... L'histoire est captivante. Les prises de vues, géniales. Les 3 acteurs principaux sont tellement bons que je me demande pourquoi je ne les ai découvert que dans ce film. Les musiques sont sublimes. Et enfin, c'est un film intelligent. Mélangeant science, religion et un autre principe que je ne peux révéler sans vous spoiler. Un film foutrement intelligent et poétique. J'ai eu une montée de larmes, ce qui ne m'arrive presque jamais.Et MERCI au réalisateur de finir le film comme ça, sans aucun mot, les images parlent seules ...Même si, en tant qu'étudiant en médecine, je n'adhère pas scientifiquement, j'ai vraiment adoré et le recommande sans hésitation ! En revanche, il ne plaira surement pas à tout le monde. Un chef d'oeuvre comme j'aimerai en voir tous les jours ...
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A mourir d'ennui... Catastrophique ! Tarantino se fait plaisir à recréer un univers qui l'a sans doute fait rêver quand il était gamin. Mais tout est d'un ennui mortel, des scènes longues, longues, longues, où il ne se passe rien, il n'y a pas d'histoire, c'est juste une époque recréée (avec un certain talent, et un budget sans doute conséquent), mais pour quoi faire ? Les scènes de western, qui se veulent parodiques, sont juste d'une platitude infinie. La relation entre les personnages joués par Brad Pitt et Leonardo di Caprio n'a aucun intéret. On se demande ce qu' Al Pacino est venu faire dans cette galère, dans cette caricature stéréotypée du producteur d'origine italienne... Bref. A fuir.
A mourir d'ennui... Catastrophique ! Tarantino se fait plaisir à recréer un univers qui l'a sans doute fait rêver quand il était gamin. Mais tout est d'un ennui mortel, des scènes longues, longues, longues, où il ne se passe rien, il n'y a pas d'histoire, c'est juste une époque recréée (avec un certain talent, et un budget sans doute conséquent), mais pour quoi faire ? Les scènes de western, qui se veulent parodiques, sont juste d'une platitude infinie. La relation entre les personnages joués par Brad Pitt et Leonardo di Caprio n'a aucun intéret. On se demande ce qu' Al Pacino est venu faire dans cette galère, dans cette caricature stéréotypée du producteur d'origine italienne... Bref. A fuir.
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Pas emballée par ce film qui a certes des effets spéciaux mais que je trouve très "dur" sur certaines séquences et je pense que 10 ans c'est encore trop jeune pour le voir et l'assimiler. Il peut faire peur à des enfants sensibles. Je pense qu'il est destiné à des ados. GDG
Pas emballée par ce film qui a certes des effets spéciaux mais que je trouve très "dur" sur certaines séquences et je pense que 10 ans c'est encore trop jeune pour le voir et l'assimiler. Il peut faire peur à des enfants sensibles. Je pense qu'il est destiné à des ados. GDG
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Vraiment déçus de ce film, un film ennuyant où il n'y a aucun enjeux. Le seul bon point est la reconstitution des années 79 et l'apport des divergences politiques sans oublier un fabuleux Eric Elmosnino.
Vraiment déçus de ce film, un film ennuyant où il n'y a aucun enjeux. Le seul bon point est la reconstitution des années 79 et l'apport des divergences politiques sans oublier un fabuleux Eric Elmosnino.
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Guillermo Del Toro est cette fois ci à la production de ce film espagnol signé Juan Antonio Bayona. Et l'on prend tout de suite conscience de l'importance de l'influence des « Autres » d'Amenàbar sur le cinéma d'angoisse espagnol moderne. Ca ne brille certes pas par son originalité dans le concept, d'autres films s'étant de plus engouffrés dans la brèche entre temps, mais la réalisation est tellement impeccable, le suspense tellement bien mis en place, que l'on est tout de suite emporté par l'histoire qui se conclue une nouvelle fois par un twist de bonne qualité, que l'on cherche à anticiper tout au long du développement du film (j'étais pas loin mais ce n'était pas ça...). Bref, on allie plaisir angoissant et travail de la matière grise, ce qui est franchement bienvenu à une époque où une bonne partie des films d'épouvante/horreur joue la carte rentre-dedans pour divertir (les sagas « Saw », du gore à outrance, et « Paranormal activity », du jump scare à outrance, auxquelles je n'accroche pas vraiment). Une certaine poésie se dégage également de « L'orphelinat » et l'actrice Belen Rueda livre une très belle prestation. Elégant et captivant.
Guillermo Del Toro est cette fois ci à la production de ce film espagnol signé Juan Antonio Bayona. Et l'on prend tout de suite conscience de l'importance de l'influence des « Autres » d'Amenàbar sur le cinéma d'angoisse espagnol moderne. Ca ne brille certes pas par son originalité dans le concept, d'autres films s'étant de plus engouffrés dans la brèche entre temps, mais la réalisation est tellement impeccable, le suspense tellement bien mis en place, que l'on est tout de suite emporté par l'histoire qui se conclue une nouvelle fois par un twist de bonne qualité, que l'on cherche à anticiper tout au long du développement du film (j'étais pas loin mais ce n'était pas ça...). Bref, on allie plaisir angoissant et travail de la matière grise, ce qui est franchement bienvenu à une époque où une bonne partie des films d'épouvante/horreur joue la carte rentre-dedans pour divertir (les sagas « Saw », du gore à outrance, et « Paranormal activity », du jump scare à outrance, auxquelles je n'accroche pas vraiment). Une certaine poésie se dégage également de « L'orphelinat » et l'actrice Belen Rueda livre une très belle prestation. Elégant et captivant.
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Dans un Japon au comble de la guerre, où l'empereur est élevé au rang divin et où tous les citoyens sont ces sujets, l'ombre portée de millions de morts et des deux bombes atomiques forgent le destin d'un homme qui retrouve son humanité. En proie au doute, avec l'ennui que suscite une fin en soi, les sujets restent dépossédés de leur conscience, serviles à souhait. Assisté d'un scribe, lui-même épuisé, le portrait digne d'un Hirohito humilié consigne les derniers instants pour la mémoire historique. Pourtant... Plus rien n'a d'importance dans cet univers clos et encerclé par l'américain triomphant. Plus rien ne se joue, pas même les décisions prises dans les bunkers. Comme un songe impassible, l'empereur retrouve peu à peu ses vertus poétiques après une vague de psychose. C'est ainsi que le Japon incarné rédige un testament, le testament de son dieu vivant un soir d'une pleine lune faustienne. Plus que le chemin, beaucoup apprécié ici, je tiens à souligner l'interprétation et l'ambiance sonore qui est pour beaucoup. Cette dernière confine l'atmosphère dans les larsens de la radio, dans le bruit de la ventilation, dans le balancement d'une horloge invisible. La force du film est tout de même d'observer cette invasion américaine qui ne crée pas de troubles majeurs dans le Palais impérial - ce qui permet d'aller au-delà des antagonismes présupposés de la guerre du Pacifique.
Dans un Japon au comble de la guerre, où l'empereur est élevé au rang divin et où tous les citoyens sont ces sujets, l'ombre portée de millions de morts et des deux bombes atomiques forgent le destin d'un homme qui retrouve son humanité. En proie au doute, avec l'ennui que suscite une fin en soi, les sujets restent dépossédés de leur conscience, serviles à souhait. Assisté d'un scribe, lui-même épuisé, le portrait digne d'un Hirohito humilié consigne les derniers instants pour la mémoire historique. Pourtant... Plus rien n'a d'importance dans cet univers clos et encerclé par l'américain triomphant. Plus rien ne se joue, pas même les décisions prises dans les bunkers. Comme un songe impassible, l'empereur retrouve peu à peu ses vertus poétiques après une vague de psychose. C'est ainsi que le Japon incarné rédige un testament, le testament de son dieu vivant un soir d'une pleine lune faustienne. Plus que le chemin, beaucoup apprécié ici, je tiens à souligner l'interprétation et l'ambiance sonore qui est pour beaucoup. Cette dernière confine l'atmosphère dans les larsens de la radio, dans le bruit de la ventilation, dans le balancement d'une horloge invisible. La force du film est tout de même d'observer cette invasion américaine qui ne crée pas de troubles majeurs dans le Palais impérial - ce qui permet d'aller au-delà des antagonismes présupposés de la guerre du Pacifique.
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Certes l'image est belle, la musique très bien choisie (elle rappelle clairement Kavinsky) et l'acteur principal convaincant, mais bon dieu cette fin ! Le manque de budget ne m'a pas dérangé outre mesure car j'ai réellement été happé par le suspense pendant les 3/4 du film, à chercher ce qui pouvait bien se tramer là-dessous, mais j'ai eu beau remettre le dernier 1/4 3 fois de suite, mis à part 2-3 indices parsemés par-ci par-là, on ne comprend pas vraiment où le réalisateur a voulu en venir avec ce mélange fantastico-thriller sans queue ni tête. Vraiment dommage, un scénario moins alambiqué aurait grandement sauvé ce film.
Certes l'image est belle, la musique très bien choisie (elle rappelle clairement Kavinsky) et l'acteur principal convaincant, mais bon dieu cette fin ! Le manque de budget ne m'a pas dérangé outre mesure car j'ai réellement été happé par le suspense pendant les 3/4 du film, à chercher ce qui pouvait bien se tramer là-dessous, mais j'ai eu beau remettre le dernier 1/4 3 fois de suite, mis à part 2-3 indices parsemés par-ci par-là, on ne comprend pas vraiment où le réalisateur a voulu en venir avec ce mélange fantastico-thriller sans queue ni tête. Vraiment dommage, un scénario moins alambiqué aurait grandement sauvé ce film.
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Génial! C'est beau, c'est bon comme du bon vin, on en ressort avec le sourire, la pêche et l'envie d'être encore avec ces néo-viticulteurs qui construisent le monde de demain dans la bonne humeur, la passion de la terre, du goût et du partage!
Génial! C'est beau, c'est bon comme du bon vin, on en ressort avec le sourire, la pêche et l'envie d'être encore avec ces néo-viticulteurs qui construisent le monde de demain dans la bonne humeur, la passion de la terre, du goût et du partage!
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Un enrobage de film d'action, pour une comédie déjanté, voilà comment on pourrait résumé "The Other Guys". Avec un Will Ferrel au sommet de son art, Mark Walhberg excellent (une première découverte dans le registre de la pure comédie), des seconds rôle tous magiques, Adam McKay réalise ici un chef d'oeuvre de comédie burlesque, avec en fond la crise financière et ses excès. Du grand art.
Un enrobage de film d'action, pour une comédie déjanté, voilà comment on pourrait résumé "The Other Guys". Avec un Will Ferrel au sommet de son art, Mark Walhberg excellent (une première découverte dans le registre de la pure comédie), des seconds rôle tous magiques, Adam McKay réalise ici un chef d'oeuvre de comédie burlesque, avec en fond la crise financière et ses excès. Du grand art.
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452
Scénariste de Wes Anderson (dernièrement pour Moonrise Kingdom), on pouvait espérer que le dernier film de Roman Coppola (fils et frère de) offre un divertissement honnête et amusant. Mais, A Glimpse Inside the Mind of Charles Swan III est dépourvu de sens réel. Parfois trop psychédélique (au risque de perdre le spectateur) et parfois trop lente, la réalisation n’est pas transcendante et a a du mal à se trouver son propre style. Le scénario n’est pas intéressant mais là encore il n’est pas novateur et pas fameux. Un réel dommage pour Roman Coppola qui a écrit une histoire plate et déjà toute tracée. Cependant, on peut remarquer parfois les détachements humoristiques des acteurs et de leur personnages : en rendant comique une situation aberrante (ex: l’accident de voiture ou les indiennes). Les pointes humoristiques sont d’ailleurs très drôle par moment et sauvent le film de la faillite. Mais la grande révélation du film est sans aucun doute Charlie Sheen (Charles Swan 3) et son interprétation, sa présence bluffante à l’écran. Une réelle et surprenante composition de l’acteur ! qui devient le seul intérêt au film. On salue aussi les guest stars et leur splendide interprétations et notamment Patricia Arquette (Isabel Swan) et Bill Murray (Saul, le comptable). Pourtant, A Glimpse Inside the Mind of Charles Swan 3 reste un petit film (pas forcément mauvais) dans la lignée de Bottle Rockett (premier film de on) mais dont le visionnage n’est absolument pas indispensable.
Scénariste de Wes Anderson (dernièrement pour Moonrise Kingdom), on pouvait espérer que le dernier film de Roman Coppola (fils et frère de) offre un divertissement honnête et amusant. Mais, A Glimpse Inside the Mind of Charles Swan III est dépourvu de sens réel. Parfois trop psychédélique (au risque de perdre le spectateur) et parfois trop lente, la réalisation n’est pas transcendante et a a du mal à se trouver son propre style. Le scénario n’est pas intéressant mais là encore il n’est pas novateur et pas fameux. Un réel dommage pour Roman Coppola qui a écrit une histoire plate et déjà toute tracée. Cependant, on peut remarquer parfois les détachements humoristiques des acteurs et de leur personnages : en rendant comique une situation aberrante (ex: l’accident de voiture ou les indiennes). Les pointes humoristiques sont d’ailleurs très drôle par moment et sauvent le film de la faillite. Mais la grande révélation du film est sans aucun doute Charlie Sheen (Charles Swan 3) et son interprétation, sa présence bluffante à l’écran. Une réelle et surprenante composition de l’acteur ! qui devient le seul intérêt au film. On salue aussi les guest stars et leur splendide interprétations et notamment Patricia Arquette (Isabel Swan) et Bill Murray (Saul, le comptable). Pourtant, A Glimpse Inside the Mind of Charles Swan 3 reste un petit film (pas forcément mauvais) dans la lignée de Bottle Rockett (premier film de on) mais dont le visionnage n’est absolument pas indispensable.
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Ce film est une blague, une parodie qui regroupe tous les clichés possibles et inimaginables. On dirait le clip de Green Day "wake me up when september ends " adapté au grand écran. C'est juste le film de romance le plus niais qui puisse exister, rien n'est crédible. La scène du baiser sous la pluie soudaine est pathétique. Et comme dans tous les films de romance américain, l'un des 2 personnages principaux a évidemment un proche qui souffre d'une maladie psychologique bizarre juste pour ajouter une touche de dramaturgie. Mais mince on n'y croit pas une seconde.
Ce film est une blague, une parodie qui regroupe tous les clichés possibles et inimaginables. On dirait le clip de Green Day "wake me up when september ends " adapté au grand écran. C'est juste le film de romance le plus niais qui puisse exister, rien n'est crédible. La scène du baiser sous la pluie soudaine est pathétique. Et comme dans tous les films de romance américain, l'un des 2 personnages principaux a évidemment un proche qui souffre d'une maladie psychologique bizarre juste pour ajouter une touche de dramaturgie. Mais mince on n'y croit pas une seconde.
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Film assez déconcertant, j'ai eu beaucoup de mal à suivre la trame de cette histoire, mi gore mi fantastique .
Film assez déconcertant, j'ai eu beaucoup de mal à suivre la trame de cette histoire, mi gore mi fantastique .
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Pour une fois je n'ai pas lu le livre avant de voir le film, tant mieux peut être car je n'ai vraiment pas accroché. Faut dire que le synopsis : film d'horreur avec une vieille voiture qui terrorise tout le monde. Je sais pas pourquoi mais ça fait pas tilt, même si elle prend vie et qu'elle est jalouse, non rien à faire, j'ai du mal à voir le côté terrifiant, comme je ne vois pas l'humour chez Dieudonné. Le problème c'est que ça ne change pas en regardant le film. Même si l'histoire reste sympa et originale, la trame étant plutôt classique, très marquée Stephen King, ça ne décolle jamais. La fin, d'ordinaire clou du spectacle, est là bien fade, le suspens et l'épouvante avant d'y arriver sont juste des scènes troublantes, l'obscurité joue son rôle mais demeure trop légère pour susciter un sentiment quelconque. Sinon les dialogues sont plats, l'ambiance, le décor, les dialogues sont très ricains, le jeu d'acteur est pas terrible, les FX datent pas mal et ça se voit. Au final ça en devient chiant, surtout que les longueurs accentuent le côté pompant. John Carpenter a réussi à intéresser un peu le sujet, à éviter le nanar, mais sans plus, on est bien loin d'Halloween. Néanmoins le côté très 80's, teen movie, le culte de la voiture et l'hésitation entre 2 femmes (très différentes pourtant) sont bien retranscrits, c'est ce que j'ai apprécié.
Pour une fois je n'ai pas lu le livre avant de voir le film, tant mieux peut être car je n'ai vraiment pas accroché. Faut dire que le synopsis : film d'horreur avec une vieille voiture qui terrorise tout le monde. Je sais pas pourquoi mais ça fait pas tilt, même si elle prend vie et qu'elle est jalouse, non rien à faire, j'ai du mal à voir le côté terrifiant, comme je ne vois pas l'humour chez Dieudonné. Le problème c'est que ça ne change pas en regardant le film. Même si l'histoire reste sympa et originale, la trame étant plutôt classique, très marquée Stephen King, ça ne décolle jamais. La fin, d'ordinaire clou du spectacle, est là bien fade, le suspens et l'épouvante avant d'y arriver sont juste des scènes troublantes, l'obscurité joue son rôle mais demeure trop légère pour susciter un sentiment quelconque. Sinon les dialogues sont plats, l'ambiance, le décor, les dialogues sont très ricains, le jeu d'acteur est pas terrible, les FX datent pas mal et ça se voit. Au final ça en devient chiant, surtout que les longueurs accentuent le côté pompant. John Carpenter a réussi à intéresser un peu le sujet, à éviter le nanar, mais sans plus, on est bien loin d'Halloween. Néanmoins le côté très 80's, teen movie, le culte de la voiture et l'hésitation entre 2 femmes (très différentes pourtant) sont bien retranscrits, c'est ce que j'ai apprécié.
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Doté d'une écriture irréprochable, d'une grande richesse thématique, et d'une mise en scène particulièrement réaliste et documentée, "There will be blood" est un super film ! Il est si bien réalisé que je n'ai pas eu l'impression d'avoir affaire à un film de plus de deux heures et demi. Ici, Paul Thomas Anderson va véritablement au bout de sa vision pessimiste de l'"American Dream" et caractérise ses personnages d'une manière singulièrement forte. En plus d'une introspection aboutie la réalisation est aussi superbe dans le rendu d'une atmosphère tendue et crepusculaire et la bande-sonore lancinante renforce cette tension dramatique et ce danger insidieux qui transpire dans ce film. Œuvre somme, dense,très caractérielle et convaincante donc.
Doté d'une écriture irréprochable, d'une grande richesse thématique, et d'une mise en scène particulièrement réaliste et documentée, "There will be blood" est un super film ! Il est si bien réalisé que je n'ai pas eu l'impression d'avoir affaire à un film de plus de deux heures et demi. Ici, Paul Thomas Anderson va véritablement au bout de sa vision pessimiste de l'"American Dream" et caractérise ses personnages d'une manière singulièrement forte. En plus d'une introspection aboutie la réalisation est aussi superbe dans le rendu d'une atmosphère tendue et crepusculaire et la bande-sonore lancinante renforce cette tension dramatique et ce danger insidieux qui transpire dans ce film. Œuvre somme, dense,très caractérielle et convaincante donc.
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Réalisation assez sommaire de la part de Ken Annakin, qui adapte ici l’un des romans du célèbre écrivain : Jack London. L'Appel de la forêt (1972) est une adaptation au budget dérisoire (cela se voit très rapidement), une réalisation qui déçoit aussi, à en voir les nombreux cadrages pour le moins ratés (les gros plans sur les chiens complètement dénaturés) ou encore les rares acteurs sachant jouer face caméras). Une coproduction Européenne (Anglaise, Française, Italienne, Espagnole, Norvégienne et Allemande) trop fauchée pour se permettre de rendre hommage à l’œuvre littéraire de London. Malgré cela, on appréciera tout de même le jeu d’acteur de Charlton Heston & Michèle Mercier (ce qui ne nous fera pas trop regretter d’avoir vu le film au final).
Réalisation assez sommaire de la part de Ken Annakin, qui adapte ici l’un des romans du célèbre écrivain : Jack London. L'Appel de la forêt (1972) est une adaptation au budget dérisoire (cela se voit très rapidement), une réalisation qui déçoit aussi, à en voir les nombreux cadrages pour le moins ratés (les gros plans sur les chiens complètement dénaturés) ou encore les rares acteurs sachant jouer face caméras). Une coproduction Européenne (Anglaise, Française, Italienne, Espagnole, Norvégienne et Allemande) trop fauchée pour se permettre de rendre hommage à l’œuvre littéraire de London. Malgré cela, on appréciera tout de même le jeu d’acteur de Charlton Heston & Michèle Mercier (ce qui ne nous fera pas trop regretter d’avoir vu le film au final).
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De quoi parle ce film? Des quarantenaire, d'un groupe de personnages aux goûts, aux avis différents, qui malgré cela vont devoir rester ensemble durant le film. On y parle du racisme, plus particulièrement d'un homme qui voit du racisme partout, d'une politique féministe, d'un ex caméraman trop réveur pour être bon dans son métier. C'est tout ce que j'arrive à dire de ce film.
De quoi parle ce film? Des quarantenaire, d'un groupe de personnages aux goûts, aux avis différents, qui malgré cela vont devoir rester ensemble durant le film. On y parle du racisme, plus particulièrement d'un homme qui voit du racisme partout, d'une politique féministe, d'un ex caméraman trop réveur pour être bon dans son métier. C'est tout ce que j'arrive à dire de ce film.
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Technique sublime, cadrage superbe, Jeux de lumière envoutants, la plastique du film est travaillée à merveille pour donner naissance à un petit bijou de mise en scène comme sait très bien nous faire le grand KUBRICK. La naissance d'un réalisateur légendaire à travers cette sorte de polar dans les rues magnifiquement filmées de New York.
Technique sublime, cadrage superbe, Jeux de lumière envoutants, la plastique du film est travaillée à merveille pour donner naissance à un petit bijou de mise en scène comme sait très bien nous faire le grand KUBRICK. La naissance d'un réalisateur légendaire à travers cette sorte de polar dans les rues magnifiquement filmées de New York.
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Une oeuvre qui devrait autant convaincre les personnes enclines à la spiritualité que celles qui le sont au matérialisme car elle interroge souvent sur la place de la religion de notre quotidien mais tout en ayant l'intelligence de choisir nous-même les réponses. Dreyer y va à fond dans l'épure, privilégiant à l'extrême le blanc, sa mise en scène est lente et froide. Et pourtant sous la surface, on ressent beaucoup de chaleur et d'émotion à voir cette famille très unie et attachante affronter les épreuves ; ce que ne fait que confirmer une scène finale qui brille par sa profondeur peut-être mystique, certainement humaine et par son optimisme.
Une oeuvre qui devrait autant convaincre les personnes enclines à la spiritualité que celles qui le sont au matérialisme car elle interroge souvent sur la place de la religion de notre quotidien mais tout en ayant l'intelligence de choisir nous-même les réponses. Dreyer y va à fond dans l'épure, privilégiant à l'extrême le blanc, sa mise en scène est lente et froide. Et pourtant sous la surface, on ressent beaucoup de chaleur et d'émotion à voir cette famille très unie et attachante affronter les épreuves ; ce que ne fait que confirmer une scène finale qui brille par sa profondeur peut-être mystique, certainement humaine et par son optimisme.
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Incroyable !!! Le meilleur film d'aventure qu'on est vu depuis longtemps, depuis les indiana Jones. MCConauguey et S.Zahn deux vieux potes archeologues vont se rendre au Mali pour retrouver les carcasses d'un navire tandis que Penelope Cruz part dans le même pays pour trouver l'origine d'une curieuse maladie. Le fleuve Niger va en voir de toute les couleurs avec ces 3 occidentaux. Qu'ils soient deguisé en touareg ou en chercheurs ils nous font rire donc c'est bien.
Incroyable !!! Le meilleur film d'aventure qu'on est vu depuis longtemps, depuis les indiana Jones. MCConauguey et S.Zahn deux vieux potes archeologues vont se rendre au Mali pour retrouver les carcasses d'un navire tandis que Penelope Cruz part dans le même pays pour trouver l'origine d'une curieuse maladie. Le fleuve Niger va en voir de toute les couleurs avec ces 3 occidentaux. Qu'ils soient deguisé en touareg ou en chercheurs ils nous font rire donc c'est bien.
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Contre toute attente donc, j'ai adoré. Coppola nous offre là toute la maestria et la magie de sa mise en scène. Le scénario, bien plus complexe qu'il n'y paraît, nous emmène aux confins de la réalité, du fantastique, du rêve et du fantasme. Mêlant pêle-mêle polar, histoires de fantômes, de sorcières, de vampires et drame familial, celui d'un homme rongé par la culpabilité et l'alcool. Perdu au milieu de nulle part, ce dernier va croiser toute une galerie de personnages aussi étranges et effrayants qu'attachants. Tour à tour, on pense à Stephen King, David Lynch ou même Tim Burton. Tout cela en ayant tout de même une identité propre et une ambiance bien particulière, emprunt d'une belle nostalgie. Plusieurs thèmes sont abordés de façon plus ludique et distrayante que morbide et glauque. Cela part un peu dans tous les sens, mais ce n'est vraiment pas un problème... La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-twixt-103235856.html
Contre toute attente donc, j'ai adoré. Coppola nous offre là toute la maestria et la magie de sa mise en scène. Le scénario, bien plus complexe qu'il n'y paraît, nous emmène aux confins de la réalité, du fantastique, du rêve et du fantasme. Mêlant pêle-mêle polar, histoires de fantômes, de sorcières, de vampires et drame familial, celui d'un homme rongé par la culpabilité et l'alcool. Perdu au milieu de nulle part, ce dernier va croiser toute une galerie de personnages aussi étranges et effrayants qu'attachants. Tour à tour, on pense à Stephen King, David Lynch ou même Tim Burton. Tout cela en ayant tout de même une identité propre et une ambiance bien particulière, emprunt d'une belle nostalgie. Plusieurs thèmes sont abordés de façon plus ludique et distrayante que morbide et glauque. Cela part un peu dans tous les sens, mais ce n'est vraiment pas un problème... La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-twixt-103235856.html
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En voilà une bonne surprise! Atmosphère claustrophobique angoissante, intrigue inédite et palpitante, décors somptueux, révélations au compte-goutte... Eden Log est un petit ovni made in France sur lequel je n'aurai pas misé un seul centime. On ne sait jamais de quoi il s'agit jusqu'à la fin et Clovis Cornillac, à ma grande surprise, est très bon : l'acteur nous entraîne avec lui dans cet univers fantasmagorique proche de l'épouvante. Eden Log est un très bon film qui propulse son réalisateur, Franck Vestiel, au rang de créateur absolu doté d'une originalité à suivre de très près.
En voilà une bonne surprise! Atmosphère claustrophobique angoissante, intrigue inédite et palpitante, décors somptueux, révélations au compte-goutte... Eden Log est un petit ovni made in France sur lequel je n'aurai pas misé un seul centime. On ne sait jamais de quoi il s'agit jusqu'à la fin et Clovis Cornillac, à ma grande surprise, est très bon : l'acteur nous entraîne avec lui dans cet univers fantasmagorique proche de l'épouvante. Eden Log est un très bon film qui propulse son réalisateur, Franck Vestiel, au rang de créateur absolu doté d'une originalité à suivre de très près.
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En voilà une bonne question!
En voilà une bonne question!
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Faire un film du genre "zombie" avec le principe de la caméra amateur, Romero s'y était cassé les dents. Pas plus de réussite ici. Scénario bien léger, image décidément trop moche, VF affligeante... Les bons moments sont bien trop rares. Une question me taraude l'esprit : et si l'on avait fait le tour de ces fameux zombies ? Mon dieu, j'espère que non...
Faire un film du genre "zombie" avec le principe de la caméra amateur, Romero s'y était cassé les dents. Pas plus de réussite ici. Scénario bien léger, image décidément trop moche, VF affligeante... Les bons moments sont bien trop rares. Une question me taraude l'esprit : et si l'on avait fait le tour de ces fameux zombies ? Mon dieu, j'espère que non...
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Un film dont la réalisation, la mise en scène, la musique sont insuffisantes pour ce polar à la francaise des années 80; quant à l'interprétation elle reste convenable grace au talent de Daniel Auteuil, mais surtout du regretté Marcel Bozzuffi dans le role du commissaire ripoux. L'Arbalète alias Marisa Berenson joue son personnage de facon moyenne, ajoutez des cascades souvent limitées et des seconds roles (mis à part Michel Beaune) trop discrets. Bref un film qui a très mal vieilli, on est loin de "La Balance" ou meme du "Marginal".
Un film dont la réalisation, la mise en scène, la musique sont insuffisantes pour ce polar à la francaise des années 80; quant à l'interprétation elle reste convenable grace au talent de Daniel Auteuil, mais surtout du regretté Marcel Bozzuffi dans le role du commissaire ripoux. L'Arbalète alias Marisa Berenson joue son personnage de facon moyenne, ajoutez des cascades souvent limitées et des seconds roles (mis à part Michel Beaune) trop discrets. Bref un film qui a très mal vieilli, on est loin de "La Balance" ou meme du "Marginal".
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467
Film d'horreur très angoissant avec de bons acteurs et un scénario qui tient en haleine !!! De bons sursauts, des moments de tension intense... tout est réuni pour passer un bon moment. Deux petits bémols selon moi, une fin un peu trop molle vu le potentiel et le diable qui est mal représenté mais dans l'ensemble, on flippe bien et comparé aux bouses bourrées d'effets spéciaux qui sortent ces dernières années sur grand écran (Poltergeist, Insidious..) ce film tient la route et fait frémir !!!
Film d'horreur très angoissant avec de bons acteurs et un scénario qui tient en haleine !!! De bons sursauts, des moments de tension intense... tout est réuni pour passer un bon moment. Deux petits bémols selon moi, une fin un peu trop molle vu le potentiel et le diable qui est mal représenté mais dans l'ensemble, on flippe bien et comparé aux bouses bourrées d'effets spéciaux qui sortent ces dernières années sur grand écran (Poltergeist, Insidious..) ce film tient la route et fait frémir !!!
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Même si beaucoup de personnes resteront persuadées que Michael Jackson n'était pas en forme au moment de sa mort, je trouve que ce film démontre totalement le contraire. Certes, les images utilisées ne devaient pas montrer MJ fatigué, c'était dans le contrat. Mais ce film se devait tout d'abord de préserver la légende et le mythe Michael Jackson. Enfin un film qui montre à l'oeuvre l'un des plus grands artistes de tous les temps. On peut enfin observer le perfectionnisme de Michael Jackson dans toute sa splendeur, et on ne peut que remarquer qu'il n'avait rien perdu de son talent et de sa légendaire humilité. Des frissons, des rires, quelques pleurs pour certains, quoiqu'il en soit, le film n'a laissé personne indifférent. Il a permis aux fans de savourer chaque instant, et aux autres de connaître un peu mieux cet homme qui n'était autre que la bonté personnifiée. On ajoute à ça les décors, quelques aperçus des préparatifs incroyables qui avaient été mis en place pour la série de concerts, et on se dit qu'à 3 semaines près, on est tout simplement passés à côté du plus grand événement musical du millénaire. Mais c'est également ça qui entretiendra sa légende et, même si c'est malheureux à dire, sa mort restera toujours mystérieuse, foudroyante et tragique. Et c'est avec un sentiment étrange qu'on se dit que pour un artiste de cette grandeur, qui a eu un tel impact sur le monde entier, cette mort signe une fin absolument gigantesque qui restera à jamais dans les mémoires. La fin tragique DU Michael Jackson, qui n'avait pas touché à la scène depuis 10 ans, qui était prêt à remonter sur scène et qui n'a même pas pu commencer ce projet à 20 jours près afin de prouver qu'il en était encore capable. Ce film est simplement un pur bijou, mais ce n'est vraiment rien à côté de ce qu'il nous avait préparé...
Même si beaucoup de personnes resteront persuadées que Michael Jackson n'était pas en forme au moment de sa mort, je trouve que ce film démontre totalement le contraire. Certes, les images utilisées ne devaient pas montrer MJ fatigué, c'était dans le contrat. Mais ce film se devait tout d'abord de préserver la légende et le mythe Michael Jackson. Enfin un film qui montre à l'oeuvre l'un des plus grands artistes de tous les temps. On peut enfin observer le perfectionnisme de Michael Jackson dans toute sa splendeur, et on ne peut que remarquer qu'il n'avait rien perdu de son talent et de sa légendaire humilité. Des frissons, des rires, quelques pleurs pour certains, quoiqu'il en soit, le film n'a laissé personne indifférent. Il a permis aux fans de savourer chaque instant, et aux autres de connaître un peu mieux cet homme qui n'était autre que la bonté personnifiée. On ajoute à ça les décors, quelques aperçus des préparatifs incroyables qui avaient été mis en place pour la série de concerts, et on se dit qu'à 3 semaines près, on est tout simplement passés à côté du plus grand événement musical du millénaire. Mais c'est également ça qui entretiendra sa légende et, même si c'est malheureux à dire, sa mort restera toujours mystérieuse, foudroyante et tragique. Et c'est avec un sentiment étrange qu'on se dit que pour un artiste de cette grandeur, qui a eu un tel impact sur le monde entier, cette mort signe une fin absolument gigantesque qui restera à jamais dans les mémoires. La fin tragique DU Michael Jackson, qui n'avait pas touché à la scène depuis 10 ans, qui était prêt à remonter sur scène et qui n'a même pas pu commencer ce projet à 20 jours près afin de prouver qu'il en était encore capable. Ce film est simplement un pur bijou, mais ce n'est vraiment rien à côté de ce qu'il nous avait préparé...
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Aurait pu être bien. Cependant il ne fait pas peur. Souffre d'un grand manque d'action et de suspense.
Aurait pu être bien. Cependant il ne fait pas peur. Souffre d'un grand manque d'action et de suspense.
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Anachronisme, n, m : confusion de dates, entre ce qui appartient à une époque et ce qui appartient à une autre. Accroche toi oh oui accroche moi.
Anachronisme, n, m : confusion de dates, entre ce qui appartient à une époque et ce qui appartient à une autre. Accroche toi oh oui accroche moi.
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On ressort de ce film en ayant l'impression de n'avoir rien compris, en ayant l'impression de n'être jamais rentré dans l'univers de Depleschin ou alors d'avoir été pris pour un ignorant, de ne pas faire partie de la bobosphère éclairée ayant déclaré que ce film était un chef d'oeuvre (en particulier énormément de critiques de film) . Or ce film est creux, ennuyeux, boursouflé, ayant ni queue ni tête . Pourtant jusqu'àu bout j'ai pensé que j'aurai enfin l'illumination et rien n'est venu . Ce film est nul il faut bien le dire .
On ressort de ce film en ayant l'impression de n'avoir rien compris, en ayant l'impression de n'être jamais rentré dans l'univers de Depleschin ou alors d'avoir été pris pour un ignorant, de ne pas faire partie de la bobosphère éclairée ayant déclaré que ce film était un chef d'oeuvre (en particulier énormément de critiques de film) . Or ce film est creux, ennuyeux, boursouflé, ayant ni queue ni tête . Pourtant jusqu'àu bout j'ai pensé que j'aurai enfin l'illumination et rien n'est venu . Ce film est nul il faut bien le dire .
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Une pure merveille de Dreamworks, les différents contes pour enfants revisités à la sauce Shrek sont un pur moment de délire et de drôlerie. Difficile de choisir dans le tas une scène marquante. Du pur bonheur pour les petits et sûrement plus pour les grands.
Une pure merveille de Dreamworks, les différents contes pour enfants revisités à la sauce Shrek sont un pur moment de délire et de drôlerie. Difficile de choisir dans le tas une scène marquante. Du pur bonheur pour les petits et sûrement plus pour les grands.
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Créer un compte pour dire à quel point ce film est une arnaque zéro jeux d acteurs décors pitoyable ou l on entend des cigales en pleins désert le bruits des vagues et la caravane digne d une série b de TF1 pour traiter d un sujet si complexe au secours !!!!! À ne pas voir absolument
Créer un compte pour dire à quel point ce film est une arnaque zéro jeux d acteurs décors pitoyable ou l on entend des cigales en pleins désert le bruits des vagues et la caravane digne d une série b de TF1 pour traiter d un sujet si complexe au secours !!!!! À ne pas voir absolument
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Denzel Washington est probablement l'un des acteurs américains les plus mal exploités par l'industrie hollywoodienne : incroyable de voir un tel talent de comédien gâché par une succession de productions furieusement calibrées, dénuées d'âme et de style ! En ce sens le film de Norman Jewison témoigne parfaitement de cette cruelle réalité : Denzel y est impressionnant, conciliant charisme et stoïcisme avec une virtuosité difficilement contestable. Pour le reste Hurricane Carter est un produit standard sans audaces, déjà vu des centaines de fois dans le paysage du cinéma des années 90 : musique sirupeuse, dialogues ronflants et recyclés jusqu'à l'épuisement, cadrages proprets, montage saisissant de platitude... Bref l'ensemble est franchement médiocre mais miraculeusement sauvé par la prestation magnétique de Denzel Washington, acteur que peu de cinéastes ont su diriger à la hauteur de son potentiel - Jonathan Demme peut-être ? Hurricane Carter s'oublie vite, un peu comme on évaluerait une composition correcte d'élève de seconde... Dommage.
Denzel Washington est probablement l'un des acteurs américains les plus mal exploités par l'industrie hollywoodienne : incroyable de voir un tel talent de comédien gâché par une succession de productions furieusement calibrées, dénuées d'âme et de style ! En ce sens le film de Norman Jewison témoigne parfaitement de cette cruelle réalité : Denzel y est impressionnant, conciliant charisme et stoïcisme avec une virtuosité difficilement contestable. Pour le reste Hurricane Carter est un produit standard sans audaces, déjà vu des centaines de fois dans le paysage du cinéma des années 90 : musique sirupeuse, dialogues ronflants et recyclés jusqu'à l'épuisement, cadrages proprets, montage saisissant de platitude... Bref l'ensemble est franchement médiocre mais miraculeusement sauvé par la prestation magnétique de Denzel Washington, acteur que peu de cinéastes ont su diriger à la hauteur de son potentiel - Jonathan Demme peut-être ? Hurricane Carter s'oublie vite, un peu comme on évaluerait une composition correcte d'élève de seconde... Dommage.
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j'ai eu du mal à le trouver ce film, finalement je l'ai chopé un soir sur m6 . je trouve qu'il est sous estimé, il est prenant et puis il y a une critique sociale sur les dechets radioactifs dont veulent se débarrasser les autorités, avec ce petit plus, il arrive tout juste aux 3 étoiles .
j'ai eu du mal à le trouver ce film, finalement je l'ai chopé un soir sur m6 . je trouve qu'il est sous estimé, il est prenant et puis il y a une critique sociale sur les dechets radioactifs dont veulent se débarrasser les autorités, avec ce petit plus, il arrive tout juste aux 3 étoiles .
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476
Un des meilleurs film du tandem Spencer-Hill mais un des moins connus. Une musique entrainante, des bastons exceptionelles (celle dans la salle de sport est géniale !!), des scènes hilarantes (celle de la fête foraine, de la chorale, de la poursuite à moto)et des blagues à gogo. Bud et Terence sont au meilleur de leur forme !!! Un film culte et mythique !!!!
Un des meilleurs film du tandem Spencer-Hill mais un des moins connus. Une musique entrainante, des bastons exceptionelles (celle dans la salle de sport est géniale !!), des scènes hilarantes (celle de la fête foraine, de la chorale, de la poursuite à moto)et des blagues à gogo. Bud et Terence sont au meilleur de leur forme !!! Un film culte et mythique !!!!
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477
Un excellent film qui réunit le monde de Tim Burton! Culte
Un excellent film qui réunit le monde de Tim Burton! Culte
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Les Bronzés, premier du nom m'avait relativement déçu. Mais bon, j'ai gardé espoir en cette saga, et j'ai regardé le second volet dont on m'avait dit qu'il était meilleur que le premier. Et bien là j'ai été satisfait, là je me suis bien marré. On retrouve notre troupe d'amis, mais là, leur caractère est poussé au maximum dans l'excentricité, les gags s'enchaînent et sont bien écrits. Là où le premier m'avait déçu, c'est que les personnages étaient normaux, et que le récit suivait une continuité d'événements normaux, mais là, il n'y a pas de continuité : les gags s'enchaînent sans que leur ordre soit important, les situations sont loufoques et délirantes et on rit ! D'autant plus que les dialogues sont efficaces. On a un Jean-Claude Dusse toujours aussi ridicule et les autres personnages ont leur caractère très évolué et bien poussé, sauf, et là on arrive au gros hic du film : Christiane et Gigi qui sont des personnages banaux par rapport aux autres. C'est dommage, leur caractère aurait pu être plus développé dans l'excès. Les Bronzés font du ski est une suite bien meilleure que le précédent. Même si le film n'atteint pas la puissance comique du Père Noël est une ordure ou du Dîner de cons, c'est quand même drôle et rafraîchissant. À voir.
Les Bronzés, premier du nom m'avait relativement déçu. Mais bon, j'ai gardé espoir en cette saga, et j'ai regardé le second volet dont on m'avait dit qu'il était meilleur que le premier. Et bien là j'ai été satisfait, là je me suis bien marré. On retrouve notre troupe d'amis, mais là, leur caractère est poussé au maximum dans l'excentricité, les gags s'enchaînent et sont bien écrits. Là où le premier m'avait déçu, c'est que les personnages étaient normaux, et que le récit suivait une continuité d'événements normaux, mais là, il n'y a pas de continuité : les gags s'enchaînent sans que leur ordre soit important, les situations sont loufoques et délirantes et on rit ! D'autant plus que les dialogues sont efficaces. On a un Jean-Claude Dusse toujours aussi ridicule et les autres personnages ont leur caractère très évolué et bien poussé, sauf, et là on arrive au gros hic du film : Christiane et Gigi qui sont des personnages banaux par rapport aux autres. C'est dommage, leur caractère aurait pu être plus développé dans l'excès. Les Bronzés font du ski est une suite bien meilleure que le précédent. Même si le film n'atteint pas la puissance comique du Père Noël est une ordure ou du Dîner de cons, c'est quand même drôle et rafraîchissant. À voir.
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479
Qu'est-ce qu'à bien pu faire Tim Burton dans ce projet ?! Toute la substance du livre et du film de Schaffner a ici disparu pour un film fantastique très classique. On ne reconnait pas la patte de Burton, on ressent tout le poids du studio derrière. Les Effets spéciaux sont réussis évidemment (et encore heureux !) après 30 ans. Il ne s'agit ni plus ni moins qu'un banal film SF avec Ken et Barbie qui court partout (pour reprendre une expression !).
Qu'est-ce qu'à bien pu faire Tim Burton dans ce projet ?! Toute la substance du livre et du film de Schaffner a ici disparu pour un film fantastique très classique. On ne reconnait pas la patte de Burton, on ressent tout le poids du studio derrière. Les Effets spéciaux sont réussis évidemment (et encore heureux !) après 30 ans. Il ne s'agit ni plus ni moins qu'un banal film SF avec Ken et Barbie qui court partout (pour reprendre une expression !).
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480
C'est creux, c'est plat, je n'ai absolument ressenti aucune émotion envers les personnages tellement la réalisation est juste inexistante. C'est long, ça se regarde, mais sans réel plaisir pour ma part. J'étais quand même content quand le film était fini.
C'est creux, c'est plat, je n'ai absolument ressenti aucune émotion envers les personnages tellement la réalisation est juste inexistante. C'est long, ça se regarde, mais sans réel plaisir pour ma part. J'étais quand même content quand le film était fini.
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481
Très très beau film! J'ai été très touchée par les errances sentimentales et sexuelles de la jeune héroïne... on parle rarement d'une façon aussi vraie de l'adolescence féminine. Rose n'a rien d'un ange, elle est pourtant très attachante. Elle est menteuse, mauvaise, au bord de l'explosion sexuelle... mais pas séductrice pour autant (par manque d'expérience, peut-être par caractère aussi), parfois dépassée par les événements et pourtant toujours furieusement aux commandes. Elle apprend à se connaitre sans peur de se blesser, ni des dommages collatéraux. Merci à la réalisatrice de nous avoir évité les clichés sur les jeunes filles pour nous livrer un portrait très juste!
Très très beau film! J'ai été très touchée par les errances sentimentales et sexuelles de la jeune héroïne... on parle rarement d'une façon aussi vraie de l'adolescence féminine. Rose n'a rien d'un ange, elle est pourtant très attachante. Elle est menteuse, mauvaise, au bord de l'explosion sexuelle... mais pas séductrice pour autant (par manque d'expérience, peut-être par caractère aussi), parfois dépassée par les événements et pourtant toujours furieusement aux commandes. Elle apprend à se connaitre sans peur de se blesser, ni des dommages collatéraux. Merci à la réalisatrice de nous avoir évité les clichés sur les jeunes filles pour nous livrer un portrait très juste!
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Un film qui se veut résolument noir, développant le thème archiconnu de la machination amoureuse. Dans le ton, Gabriel Le Bomin se situe ostensiblement du côté de feu Claude Chabrol sans en avoir l'œil perçant et malicieux propre à créer une connivence immédiate avec ses personnages . Tout est cousu de fil blanc dans ce scénario plus qu'improbable où deux petites frappes parviennent grâce au charme vénéneux de Laura Smet assez convaincante, à endormir un richissime commissaire priseur de Genève. C'est sans compter sur le frère de Berling (Grégori Dérangère) qui profite de la cupidité des petits malfrats pour assouvir sa vengeance sur un frère qui lui a toujours été préféré. Ce twist final n'ajoute rien à une histoire qui n'a vraiment rien pour nous captiver;
Un film qui se veut résolument noir, développant le thème archiconnu de la machination amoureuse. Dans le ton, Gabriel Le Bomin se situe ostensiblement du côté de feu Claude Chabrol sans en avoir l'œil perçant et malicieux propre à créer une connivence immédiate avec ses personnages . Tout est cousu de fil blanc dans ce scénario plus qu'improbable où deux petites frappes parviennent grâce au charme vénéneux de Laura Smet assez convaincante, à endormir un richissime commissaire priseur de Genève. C'est sans compter sur le frère de Berling (Grégori Dérangère) qui profite de la cupidité des petits malfrats pour assouvir sa vengeance sur un frère qui lui a toujours été préféré. Ce twist final n'ajoute rien à une histoire qui n'a vraiment rien pour nous captiver;
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C’est un poème vibrant d’émotion qu’a dédié ici M. Davies à sa ville natale, Liverpool. Ce qui n’aurait pu être qu’un simple assemblage d’images d’archives est devenu entre les mains du réalisateur une épopée lyrique, érudite et néanmoins poignante, sur le quotidien ouvrier d’après-guerre. Ces documents d’époque font écho à son propre passé, son enfance baignée dans la religion catholique (avant qu’il ne devienne athée…), son homosexualité, très brièvement évoquée, et enfin le faste de la monarchie alors que sa famille - et le peuple en général - avait à peine de quoi survivre. De sa voix profonde et rocailleuse, le cinéaste, citant des auteurs disparus, soulève de nombreuses interrogations sur le temps et ses corollaires, la perte de l’identité et de la mémoire. Et comme j’ai pu le voir dans certains commentaires, il n’embellit pas le passé, loin de là, montrant par ces images que la vie des Liverpuldiens, en grande majorité appartenant à la classe ouvrière, n’a jamais été facile, et certainement pas davantage au sortir de la guerre ( période qui a vu naître Terence Davies) que dans les années 70 marquant la fin du film. En résumé, un bel hommage d’une grande sincérité, quelque peu mélancolique et désenchanté donc, mais pas forcément triste, simplement lucide avec tout juste ce qu’il faut d’humour…
C’est un poème vibrant d’émotion qu’a dédié ici M. Davies à sa ville natale, Liverpool. Ce qui n’aurait pu être qu’un simple assemblage d’images d’archives est devenu entre les mains du réalisateur une épopée lyrique, érudite et néanmoins poignante, sur le quotidien ouvrier d’après-guerre. Ces documents d’époque font écho à son propre passé, son enfance baignée dans la religion catholique (avant qu’il ne devienne athée…), son homosexualité, très brièvement évoquée, et enfin le faste de la monarchie alors que sa famille - et le peuple en général - avait à peine de quoi survivre. De sa voix profonde et rocailleuse, le cinéaste, citant des auteurs disparus, soulève de nombreuses interrogations sur le temps et ses corollaires, la perte de l’identité et de la mémoire. Et comme j’ai pu le voir dans certains commentaires, il n’embellit pas le passé, loin de là, montrant par ces images que la vie des Liverpuldiens, en grande majorité appartenant à la classe ouvrière, n’a jamais été facile, et certainement pas davantage au sortir de la guerre ( période qui a vu naître Terence Davies) que dans les années 70 marquant la fin du film. En résumé, un bel hommage d’une grande sincérité, quelque peu mélancolique et désenchanté donc, mais pas forcément triste, simplement lucide avec tout juste ce qu’il faut d’humour…
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The worst film of the year ! Désolé mais des TRES mauvais acteurs, un scénario DÉBILE avec que des clichés réchauffés. Même pas une scène moyennement drôle ! Que s'est-il donc passé avec les fameux producterus de rom-com anglais Working Title ? C'est simple: ils sont totalement A Bout De Souffle....
The worst film of the year ! Désolé mais des TRES mauvais acteurs, un scénario DÉBILE avec que des clichés réchauffés. Même pas une scène moyennement drôle ! Que s'est-il donc passé avec les fameux producterus de rom-com anglais Working Title ? C'est simple: ils sont totalement A Bout De Souffle....
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Quelque soit la situation, il y a toujours une solution! Même quand on n'est dans la mouise, il faut s'accrocher aux petites choses! C'est ce qui permet de remonter la pente petit à petit! Et quand vous avez vraiment tout perdu, le seul truc qui vous fait avancer, c'est que vous n'avez plus rien à perdre! Dans "SMS", Guillaume de Tonquèdec va l'apprendre à ses dèpens! Le titre du film est une addiction aux tèlèphones portables! Avec un vrai point de vue sur le roman èponyme de Laurent Bènègui, Gabriel Julien-Laferrière n'arrive malheureusement pas faire mieux que le livre avec un côtè brouillon et poussif! On regrette que le film s'essouffle dans une vaine agitation avec des gags souvent mal agencès! De sorte que cette histoire aux 1001 pèripèties n'atteint jamais au dèlire burlesque! Et c'est plutôt dommage car Guillaume de Tonquèdec est plutôt convaincant dans le rôle principal! Bien meilleur en tout cas que Franck Dubosc qui ne s'investit pas des masses en frère ècologiste! Et puis, il aurait fallu Gèraldine Pailhas dans le rôle de Anne Marivin et Anne Marivin dans le rôle de Gèraldine Pailhas pour qu'on y croit un peu plus! A savoir qu'aucun acteur n'a ètè maltraitè sur ce tournage!Quant à la scène où Guillaume de Tonquèdec est menottè devant son fils, elle rappelle curieusement la sèquence finale de "La vita è bella" avec Roberto Benigni et le jeune Giorgio Cantarini...
Quelque soit la situation, il y a toujours une solution! Même quand on n'est dans la mouise, il faut s'accrocher aux petites choses! C'est ce qui permet de remonter la pente petit à petit! Et quand vous avez vraiment tout perdu, le seul truc qui vous fait avancer, c'est que vous n'avez plus rien à perdre! Dans "SMS", Guillaume de Tonquèdec va l'apprendre à ses dèpens! Le titre du film est une addiction aux tèlèphones portables! Avec un vrai point de vue sur le roman èponyme de Laurent Bènègui, Gabriel Julien-Laferrière n'arrive malheureusement pas faire mieux que le livre avec un côtè brouillon et poussif! On regrette que le film s'essouffle dans une vaine agitation avec des gags souvent mal agencès! De sorte que cette histoire aux 1001 pèripèties n'atteint jamais au dèlire burlesque! Et c'est plutôt dommage car Guillaume de Tonquèdec est plutôt convaincant dans le rôle principal! Bien meilleur en tout cas que Franck Dubosc qui ne s'investit pas des masses en frère ècologiste! Et puis, il aurait fallu Gèraldine Pailhas dans le rôle de Anne Marivin et Anne Marivin dans le rôle de Gèraldine Pailhas pour qu'on y croit un peu plus! A savoir qu'aucun acteur n'a ètè maltraitè sur ce tournage!Quant à la scène où Guillaume de Tonquèdec est menottè devant son fils, elle rappelle curieusement la sèquence finale de "La vita è bella" avec Roberto Benigni et le jeune Giorgio Cantarini...
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Nul Sans rythme, des dialogues ineptes, une mise en scène confinant au ridicule. On comprend comment se monte les films en France : personne ne lit le scénario, c'est fatiguant. Tout le monde regarde le casting et écoute vaguement le pitch pour y déceler une once d'originalité. Ca prend 30 secondes. Et ca permet de se faire des réunions sympas et de parler du CINEMA Français.
Nul Sans rythme, des dialogues ineptes, une mise en scène confinant au ridicule. On comprend comment se monte les films en France : personne ne lit le scénario, c'est fatiguant. Tout le monde regarde le casting et écoute vaguement le pitch pour y déceler une once d'originalité. Ca prend 30 secondes. Et ca permet de se faire des réunions sympas et de parler du CINEMA Français.
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un bel exemple de ce qu'un "amateur" peut produire avec un budget de 326 euros et 14 heures de tournage . un film, rentabilisé dès sa première semaine de sortie, et déprogrammé le lendemain. à voir (trois minutes), pour comprendre....
un bel exemple de ce qu'un "amateur" peut produire avec un budget de 326 euros et 14 heures de tournage . un film, rentabilisé dès sa première semaine de sortie, et déprogrammé le lendemain. à voir (trois minutes), pour comprendre....
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Freaks de Tod Browning est sans doute le plus grand classique du cinéma américain. Une oeuvre intelligente qui fut un échec à sa sortie qui démontre pourtant que la normalité se révèle dans la tête des gens et non dans leur physique. Un film poignant peuplé de personnages difformes mais vraiment touchants. Quoi de plus beau pour un cinéaste de se faire cracher dessus pour son oeuvre avant une reconnaissance internationale ??? Rien...
Freaks de Tod Browning est sans doute le plus grand classique du cinéma américain. Une oeuvre intelligente qui fut un échec à sa sortie qui démontre pourtant que la normalité se révèle dans la tête des gens et non dans leur physique. Un film poignant peuplé de personnages difformes mais vraiment touchants. Quoi de plus beau pour un cinéaste de se faire cracher dessus pour son oeuvre avant une reconnaissance internationale ??? Rien...
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Quelle claque ! Tout est bon : scénario, acteurs, bande son, effets speciaux. TARANTINESQUE ! A voir absolument pour tous les fans d'ovnis cinématographique, de films sortant des sentiers batus, de délires maitrisés; d'humour loufoque, ... GENIAL !
Quelle claque ! Tout est bon : scénario, acteurs, bande son, effets speciaux. TARANTINESQUE ! A voir absolument pour tous les fans d'ovnis cinématographique, de films sortant des sentiers batus, de délires maitrisés; d'humour loufoque, ... GENIAL !
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Dites-moi que je rêve!! Ils ont fait ça!!! Ils l'ont fait!! UNE SUITE DE SCREAM 2!!!!! NOON PAS POSSIBLE!!! Le résultat???? Quelle daube spectaculaire!!! Il est tellement raté ce film que je me demande même comment des gens peuvent apprécié le jeu des acteurs!! Ces acteurs qui, semble-t-il, se forçent à crier et à pleurer de peur, tellement ils ont honte de leurs répliques! Je les comprends!! Franchement!! Donc ce film n'est pas un film! Il y a zorro qui se balade entre des couloirs et qui fait oouuuuuhhhhhoouuuuhhh à des petites adolecentes bien mignonnes.. eet qui hurlent: " Nooooooooonn!!!!!!" Mon dieu, c'est affligeant! Maintenant, je me mets à genoux devant mon écran d'ordinateur et prie qu'il n'y ait pas de suite!!
Dites-moi que je rêve!! Ils ont fait ça!!! Ils l'ont fait!! UNE SUITE DE SCREAM 2!!!!! NOON PAS POSSIBLE!!! Le résultat???? Quelle daube spectaculaire!!! Il est tellement raté ce film que je me demande même comment des gens peuvent apprécié le jeu des acteurs!! Ces acteurs qui, semble-t-il, se forçent à crier et à pleurer de peur, tellement ils ont honte de leurs répliques! Je les comprends!! Franchement!! Donc ce film n'est pas un film! Il y a zorro qui se balade entre des couloirs et qui fait oouuuuuhhhhhoouuuuhhh à des petites adolecentes bien mignonnes.. eet qui hurlent: " Nooooooooonn!!!!!!" Mon dieu, c'est affligeant! Maintenant, je me mets à genoux devant mon écran d'ordinateur et prie qu'il n'y ait pas de suite!!
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Quand on regarde un film de ce genre on se dit ok on passe la mise en scéne,le scénario et place aux bastons et à l'incroyable sonny chiba.Mais dans cette suite il est difficile de ne pas faire attention à l'incapacité du réalisateur à choisir des bons cadrages,et à savoir rythmer le tout avec un bon montage.Ce volet montre l'anarchie qui a pu régner durant le montage mais aussi la rapidité dans laquelle il a été pondu.Bref tout le monde veut de l'action mais il y a une facon de le faire.
Quand on regarde un film de ce genre on se dit ok on passe la mise en scéne,le scénario et place aux bastons et à l'incroyable sonny chiba.Mais dans cette suite il est difficile de ne pas faire attention à l'incapacité du réalisateur à choisir des bons cadrages,et à savoir rythmer le tout avec un bon montage.Ce volet montre l'anarchie qui a pu régner durant le montage mais aussi la rapidité dans laquelle il a été pondu.Bref tout le monde veut de l'action mais il y a une facon de le faire.
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Avec ses 60 heures de rushes, Valérie Messadian, pour son premier essai, ne pouvait s'en tenir au format court qu'elle avait prévu à l'origine. Du coup, Nana est devenu un moyen/long métrage d'une durée de 68 minutes. Photographe reconnue, l'apprentie cinéaste a un sens de l'image indéniable et une vision claire de la mise en scène : pas de mouvements de caméra et une abondance de plans larges. Le son, également, est très travaillé. Ces qualités techniques auraient presque tendance à faire passer le scénario au second plan. Il est vrai qu'il est mince et susceptible d'être lu de différentes façons. Un film sur la survie, dans une maison isolée, d'une fillette de 4 ans abandonnée ? Une oeuvre sur la vie et la mort, dans un cadre rural, et dont le premier plan est l'égorgement d'un cochon ? Nana est un conte cruel, avec la découverte de solitude d'une enfant, dans le silence de la nature. Celle-ci n'est jamais oppressante, au contraire, et la petite fille tue le temps en jouant, en babillant (il y a peu d'autres paroles prononcées) et en reproduisant les gestes des adultes. Valérie Messadian voulait sortir des sentiers battus de la narration. Mission accomplie, même si elle impose pour cela un style contemplatif et une esthétique très marquée qui trahissent une volonté de se démarquer ostensiblement de la production courante, sans avoir à sa disposition une histoire suffisamment forte. En revanche, concernant la prestation de la petite Kelyna Lecomte, qui tient le film sur ses frêles épaules, il n'y a que des louanges à tresser. Elle est stupéfiante de naturel.
Avec ses 60 heures de rushes, Valérie Messadian, pour son premier essai, ne pouvait s'en tenir au format court qu'elle avait prévu à l'origine. Du coup, Nana est devenu un moyen/long métrage d'une durée de 68 minutes. Photographe reconnue, l'apprentie cinéaste a un sens de l'image indéniable et une vision claire de la mise en scène : pas de mouvements de caméra et une abondance de plans larges. Le son, également, est très travaillé. Ces qualités techniques auraient presque tendance à faire passer le scénario au second plan. Il est vrai qu'il est mince et susceptible d'être lu de différentes façons. Un film sur la survie, dans une maison isolée, d'une fillette de 4 ans abandonnée ? Une oeuvre sur la vie et la mort, dans un cadre rural, et dont le premier plan est l'égorgement d'un cochon ? Nana est un conte cruel, avec la découverte de solitude d'une enfant, dans le silence de la nature. Celle-ci n'est jamais oppressante, au contraire, et la petite fille tue le temps en jouant, en babillant (il y a peu d'autres paroles prononcées) et en reproduisant les gestes des adultes. Valérie Messadian voulait sortir des sentiers battus de la narration. Mission accomplie, même si elle impose pour cela un style contemplatif et une esthétique très marquée qui trahissent une volonté de se démarquer ostensiblement de la production courante, sans avoir à sa disposition une histoire suffisamment forte. En revanche, concernant la prestation de la petite Kelyna Lecomte, qui tient le film sur ses frêles épaules, il n'y a que des louanges à tresser. Elle est stupéfiante de naturel.
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Encore un film à découvrir deux ans après sa sortie, sur petit écran, pour ressentir la satisfaction d'avoir échappé à la battue médiatique des sorties en salle... et à un gros navet cher du kilo.
Encore un film à découvrir deux ans après sa sortie, sur petit écran, pour ressentir la satisfaction d'avoir échappé à la battue médiatique des sorties en salle... et à un gros navet cher du kilo.
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film pseudo thriller espionnage à la française ennuyeux je préfère mélanie laurent dans d'autres rôles plus crédibles cornillac semble lisse petit film
film pseudo thriller espionnage à la française ennuyeux je préfère mélanie laurent dans d'autres rôles plus crédibles cornillac semble lisse petit film
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Pour préserver l'environnement on devrais recycler les DVDs non achetés. Oh oui, y'en aura pleins a recycler ....
Pour préserver l'environnement on devrais recycler les DVDs non achetés. Oh oui, y'en aura pleins a recycler ....
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Pas mal, pas mal du tout. On n'est finalement pas mécontent de retrouver Keira Knightley et son légendaire charme figé. Un bon point pour James McAvoy qui confirme, grâce à ce film, son nouveau statut d'acteur.
Pas mal, pas mal du tout. On n'est finalement pas mécontent de retrouver Keira Knightley et son légendaire charme figé. Un bon point pour James McAvoy qui confirme, grâce à ce film, son nouveau statut d'acteur.
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greatttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttt
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C'est quoi ça? La loi et l'ordre est à oublier très très vite!
C'est quoi ça? La loi et l'ordre est à oublier très très vite!
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Un bon gros blockbuster plus que divertissant. L'action est jubilatoire, l'humour est bien dosé, les personnages sont charismatiques, les effets spéciaux sont percutants... Tout les ingrédients du parfait défouloir sont réunis en un film, pour notre plus grand bonheur. Un des meilleurs films de super-héros de tout les temps.
Un bon gros blockbuster plus que divertissant. L'action est jubilatoire, l'humour est bien dosé, les personnages sont charismatiques, les effets spéciaux sont percutants... Tout les ingrédients du parfait défouloir sont réunis en un film, pour notre plus grand bonheur. Un des meilleurs films de super-héros de tout les temps.
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[6.18834606e-04 9.99381165e-01]
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