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sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 300 | Avec ce film, Philippe Graudrieux montre qu'il a définitivement sa place parmi les artistes du cinéma, ceux qui veulent créer avant de vouloir divertir: des réalisateurs comme David Lynch, Bela Tarr, Steve McQueen. "Un lac" est avant tout une oeuvre esthétique d'une beauté fulgurante qui marie à merveille les flous et les tremblements de caméra. Chaque plan est un tableau, et j'avoue avoir eu les larmes aux yeux devant certains. La lumière, souvent naturelle est incroyablement bien captée. Il ne faut pas chercher à comprendre une histoire somme toute assez simple qui pourrait tenir dans un court-métrage: "Un lac" est un film sensationnel, qui se ressent corporellement, avec les tripes. Tout y est sensation animal, tout y vécu par le corps. Le son qui amplifie les bruits de la nature et des protagonaistes le rappelle. Tout comme les acteurs, pour la plupart russes, qui s'expriment dans un français brisé de son sens par les accents. Les mots n'ont pas d'importance, ce sont les sons créés avec le corps qui retiennent l'attention. Nous rappelant l'animal en nous, c'est avec leur chair que les acteurs s'expriment, les yeux n'ayant l'attention du réalisateur qu'à de rares moments, rendant ainsi plus fort le "miroir de l'âme". Il faut être dans un état méditatif pour bien ressentir ce film que je conseille aux amoureux d'un cinéma différent qui change notre regard sur l'univers cinématographique, qui montre qu'il y a autre chose que des comédies et des drames familiaux. | Avec ce film, Philippe Graudrieux montre qu'il a définitivement sa place parmi les artistes du cinéma, ceux qui veulent créer avant de vouloir divertir: des réalisateurs comme David Lynch, Bela Tarr, Steve McQueen. "Un lac" est avant tout une oeuvre esthétique d'une beauté fulgurante qui marie à merveille les flous et les tremblements de caméra. Chaque plan est un tableau, et j'avoue avoir eu les larmes aux yeux devant certains. La lumière, souvent naturelle est incroyablement bien captée. Il ne faut pas chercher à comprendre une histoire somme toute assez simple qui pourrait tenir dans un court-métrage: "Un lac" est un film sensationnel, qui se ressent corporellement, avec les tripes. Tout y est sensation animal, tout y vécu par le corps. Le son qui amplifie les bruits de la nature et des protagonaistes le rappelle. Tout comme les acteurs, pour la plupart russes, qui s'expriment dans un français brisé de son sens par les accents. Les mots n'ont pas d'importance, ce sont les sons créés avec le corps qui retiennent l'attention. Nous rappelant l'animal en nous, c'est avec leur chair que les acteurs s'expriment, les yeux n'ayant l'attention du réalisateur qu'à de rares moments, rendant ainsi plus fort le "miroir de l'âme". Il faut être dans un état méditatif pour bien ressentir ce film que je conseille aux amoureux d'un cinéma différent qui change notre regard sur l'univers cinématographique, qui montre qu'il y a autre chose que des comédies et des drames familiaux. | 1 | [4.40297238e-04 9.99559703e-01] | [4.40297238e-04 9.99559703e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 301 | Un film totalement banal. Avec un Vince Vaughn qui s'est trompé d'interprétation et une Jennifer Aniston égale à elle-même : Sans émotions, sans intrigues, sans rien finalement.. | Un film totalement banal. Avec un Vince Vaughn qui s'est trompé d'interprétation et une Jennifer Aniston égale à elle-même : Sans émotions, sans intrigues, sans rien finalement.. | 0 | [9.99760831e-01 2.39169236e-04] | [9.99760831e-01 2.39169236e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 302 | Un Génie, deux associés, une cloche est un western italien vraiment très médiocre. L'histoire se déroule au xix ème siècle, dans l'Ouest des Etats Unis. Un aventurier, son associé et une jeune femme se réunissent et luttent contre un officier malhonnête. Voilà un film qui se voulait parodique, un peu a l'image de Mon Nom est Personne, mais qui arrive très rarement a nous fare sourire faute à un sénario pas toujours très habile, malgré l'envie des comédiens. Justement le casting est assez surprenant. En effet au côté d'un Terence Hill très bon dans son rôle, nous retrouvons une Miou Miou plaisante et amusante, un Robert Charlebois pas vraiment très convaincant, ou encore un Patrick Mc Goohan étonnant. Mais le gros problême de ce western vient de la mise en scène du réalisateur Damiano Damiani ( l'intéressant El Chuncho et le surprenant Amityville 2 ) qui n'est pas du tout convaincante et même assez maladroite sur certaines scènes clés. Heureusement, il y a la sympathique musique de Ennio Morricone qui nous pousse à regarder le film jusqu'a la fin. Voilà pour moi un western tout de même très décevant, et qui est loin d'être indispensable pour les fans de ce genre. 6,5/20 | Un Génie, deux associés, une cloche est un western italien vraiment très médiocre. L'histoire se déroule au xix ème siècle, dans l'Ouest des Etats Unis. Un aventurier, son associé et une jeune femme se réunissent et luttent contre un officier malhonnête. Voilà un film qui se voulait parodique, un peu a l'image de Mon Nom est Personne, mais qui arrive très rarement a nous fare sourire faute à un sénario pas toujours très habile, malgré l'envie des comédiens. Justement le casting est assez surprenant. En effet au côté d'un Terence Hill très bon dans son rôle, nous retrouvons une Miou Miou plaisante et amusante, un Robert Charlebois pas vraiment très convaincant, ou encore un Patrick Mc Goohan étonnant. Mais le gros problême de ce western vient de la mise en scène du réalisateur Damiano Damiani ( l'intéressant El Chuncho et le surprenant Amityville 2 ) qui n'est pas du tout convaincante et même assez maladroite sur certaines scènes clés. Heureusement, il y a la sympathique musique de Ennio Morricone qui nous pousse à regarder le film jusqu'a la fin. Voilà pour moi un western tout de même très décevant, et qui est loin d'être indispensable pour les fans de ce genre. 6,5/20 | 0 | [9.99765621e-01 2.34379168e-04] | [9.99765621e-01 2.34379168e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 303 | " le bonheur, c'est mieux que la vie " voilà une très belle signature de Claude Lelouch dans ce film sur la vie des parisiens. Un très bon scénario où le réalisateur assume parfaitement bien son rôle que ça soit à l'extérieur ou à l'intérieur du film. Un très bon casting. Particulièrement, j'ai trouvé magnifique le destin de Massimo Ranieri et surtout le dernier très bon rôle de Ticky Holgado, qu'on ne croit pas si bien dire, " Dieu ". Et puis enfin, une B.O. sublîme, signée Francis Lai. Bref, c'est un très bon chef d'oeuvre ! | " le bonheur, c'est mieux que la vie " voilà une très belle signature de Claude Lelouch dans ce film sur la vie des parisiens. Un très bon scénario où le réalisateur assume parfaitement bien son rôle que ça soit à l'extérieur ou à l'intérieur du film. Un très bon casting. Particulièrement, j'ai trouvé magnifique le destin de Massimo Ranieri et surtout le dernier très bon rôle de Ticky Holgado, qu'on ne croit pas si bien dire, " Dieu ". Et puis enfin, une B.O. sublîme, signée Francis Lai. Bref, c'est un très bon chef d'oeuvre ! | 1 | [5.00041336e-04 9.99499959e-01] | [5.00041336e-04 9.99499959e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 304 | L'anime déroute un peu les premières minutes à cause de son mélange pas très esthétique de 2D et de 3D dans l'animation.Après avoir oublié cet petit défaut,on est immergé dans cet univers sublimé par une direction artistique de haute volée.On pourrait retenir le thème de l'écologie,un peu traité grossièrement mais on est plutôt étonné par une représentation intéressante du fossé entre les différentes classes sociales et l'aveuglement des puissants de la réalité sociale dans leurs tours d'argent."Wonderful Days" est aussi une technicité dans l'animation irréprochable et des morceaux de bravoure qu'on a jamais vu ailleurs.Tout ça ne serait rien sans ce qu'apporte Kim Moon-Saeng par ses plans sur un paysage magnifique ou un regard désenchanté d'un personnage pour nous toucher en plein coeur. Mention spéciale à la musique d'un certain Won II qui est tout simplement parfaite et tellement émouvante! | L'anime déroute un peu les premières minutes à cause de son mélange pas très esthétique de 2D et de 3D dans l'animation.Après avoir oublié cet petit défaut,on est immergé dans cet univers sublimé par une direction artistique de haute volée.On pourrait retenir le thème de l'écologie,un peu traité grossièrement mais on est plutôt étonné par une représentation intéressante du fossé entre les différentes classes sociales et l'aveuglement des puissants de la réalité sociale dans leurs tours d'argent."Wonderful Days" est aussi une technicité dans l'animation irréprochable et des morceaux de bravoure qu'on a jamais vu ailleurs.Tout ça ne serait rien sans ce qu'apporte Kim Moon-Saeng par ses plans sur un paysage magnifique ou un regard désenchanté d'un personnage pour nous toucher en plein coeur. Mention spéciale à la musique d'un certain Won II qui est tout simplement parfaite et tellement émouvante! | 1 | [4.72014558e-04 9.99527985e-01] | [4.72014558e-04 9.99527985e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 305 | Film très important, que tout réalisateur de cinéma d'action devrait voir pour savoir ce qu'il ne faut PAS faire ! Sans déconner, j'ai cru que c'était une parodie jusqu'aux trois quarts du film ! C'est surjoué, c'est grossier, c'est ridicule ! On n'y croit pas une seconde, on se dit que ça peut pas être sérieux ! Hé ben si !!! Aaaaah ! | Film très important, que tout réalisateur de cinéma d'action devrait voir pour savoir ce qu'il ne faut PAS faire ! Sans déconner, j'ai cru que c'était une parodie jusqu'aux trois quarts du film ! C'est surjoué, c'est grossier, c'est ridicule ! On n'y croit pas une seconde, on se dit que ça peut pas être sérieux ! Hé ben si !!! Aaaaah ! | 0 | [0.98448273 0.01551727] | [0.98448273 0.01551727] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 306 | j'adore l'univers de ce film avec des filtres typé seventies, la B.O est béton de Mr Seb Tellier, y a vraiment des scènes hilarante avec Poelvoorde, un trés bon scénario c'ets rare de voir d'aussi bon film c'est un petit ovni en plus Canet je le trouve trés bon là | j'adore l'univers de ce film avec des filtres typé seventies, la B.O est béton de Mr Seb Tellier, y a vraiment des scènes hilarante avec Poelvoorde, un trés bon scénario c'ets rare de voir d'aussi bon film c'est un petit ovni en plus Canet je le trouve trés bon là | 1 | [6.45883118e-04 9.99354117e-01] | [6.45883118e-04 9.99354117e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 307 | Une téléréalité sur grand écran ! Le meilleur rôle (pour moi) de Jim Carrey avec "The Mask". Toujours pas d'Oscar (même pas de nominations !) pour le grand JIM. Bonne prestation d'Ed Harris aussi. | Une téléréalité sur grand écran ! Le meilleur rôle (pour moi) de Jim Carrey avec "The Mask". Toujours pas d'Oscar (même pas de nominations !) pour le grand JIM. Bonne prestation d'Ed Harris aussi. | 1 | [0.02712594 0.97287406] | [0.02712594 0.97287406] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 308 | Un titre attirant, une bande annonce aquichante, bref une belle affiche...un film sans rien de pariculier. Lourdeur et morale douteuse dans ce mélodrame où je n'ai pas vraiment compris le message. | Un titre attirant, une bande annonce aquichante, bref une belle affiche...un film sans rien de pariculier. Lourdeur et morale douteuse dans ce mélodrame où je n'ai pas vraiment compris le message. | 0 | [9.99786032e-01 2.13967807e-04] | [9.99786032e-01 2.13967807e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 309 | Un film à la limite du réaliste, sans véritable scénario, nerveux, bizarre. Après, le casting est très bon, Keira Knightley intrigue dans un rôle à contre-emploi. Un film qui veut en mettre plein la vue et qui ne réussit pas franchement. Bilan mitigé... | Un film à la limite du réaliste, sans véritable scénario, nerveux, bizarre. Après, le casting est très bon, Keira Knightley intrigue dans un rôle à contre-emploi. Un film qui veut en mettre plein la vue et qui ne réussit pas franchement. Bilan mitigé... | 0 | [9.99749555e-01 2.50444808e-04] | [9.99749555e-01 2.50444808e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 310 | Très touchante chronique sur la réalité d'un couple homo : amour, partage (des bons comme surtout des mauvais moments) et perception extérieure. Ayant vu le film en totale inconnue (bande-annonce exceptée), ce fut un petit moment de douceur et de tendresse dans un monde de brutes avec un traitement plus que pudique de la relation gay et une immense compassion ressentie envers notre couple. Pour les incarner, 2 magnifiques acteurs : John Lithgow qui depuis la planète des singes : les origines, nous gratifie de rôles très touchants (si l'on excepte sa brève apparition dans Interstellar) à l'opposé de celui de traître qu'il tenait dans Cliffhanger. Et Alfred Molina, que j'espérais tellement voir dans ce type de rôle, répond pleinement à mes attentes (et je n'étais pas le seul apparemment) et nous gratifie de quelques scènes très touchantes (sans jamais atteindre le pathos). Mention très bien également au jeune Charlie Tahan. La mise en scène est sans originalité marquante, si ce n'est les 10 dernières minutes où Sachs se sert d'une musique (la vraie la belle) plutôt que de mots pour laisser le spectateur exprimer ses propres sentiments. Et si, à la sortie, j'en étais un peu désabusé, cette douceur suggérée me hante encore le lendemain de la projection. A recommander... (VO quasi impérative à mon sens)... PS : quel dommage que ce film soit si peu distribué chez vous, ici en Suisse, on ne peut pas trop se plaindre... Et surpris que le mot s...... Soit considère comme vulgaire dans ce sens. Que dire des 12 de Lee Marvin... | Très touchante chronique sur la réalité d'un couple homo : amour, partage (des bons comme surtout des mauvais moments) et perception extérieure. Ayant vu le film en totale inconnue (bande-annonce exceptée), ce fut un petit moment de douceur et de tendresse dans un monde de brutes avec un traitement plus que pudique de la relation gay et une immense compassion ressentie envers notre couple. Pour les incarner, 2 magnifiques acteurs : John Lithgow qui depuis la planète des singes : les origines, nous gratifie de rôles très touchants (si l'on excepte sa brève apparition dans Interstellar) à l'opposé de celui de traître qu'il tenait dans Cliffhanger. Et Alfred Molina, que j'espérais tellement voir dans ce type de rôle, répond pleinement à mes attentes (et je n'étais pas le seul apparemment) et nous gratifie de quelques scènes très touchantes (sans jamais atteindre le pathos). Mention très bien également au jeune Charlie Tahan. La mise en scène est sans originalité marquante, si ce n'est les 10 dernières minutes où Sachs se sert d'une musique (la vraie la belle) plutôt que de mots pour laisser le spectateur exprimer ses propres sentiments. Et si, à la sortie, j'en étais un peu désabusé, cette douceur suggérée me hante encore le lendemain de la projection. A recommander... (VO quasi impérative à mon sens)... PS : quel dommage que ce film soit si peu distribué chez vous, ici en Suisse, on ne peut pas trop se plaindre... Et surpris que le mot s...... Soit considère comme vulgaire dans ce sens. Que dire des 12 de Lee Marvin... | 1 | [6.89819257e-04 9.99310181e-01] | [6.89819257e-04 9.99310181e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 311 | malgré un pitch séducteur au premier abord, ce petit mais vraiment petit film se pourvoit d'un scenario bidon et incohérent qui enterre définitivement son intérêt. 10/20 | malgré un pitch séducteur au premier abord, ce petit mais vraiment petit film se pourvoit d'un scenario bidon et incohérent qui enterre définitivement son intérêt. 10/20 | 0 | [9.99793859e-01 2.06141407e-04] | [9.99793859e-01 2.06141407e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 312 | Alors là, ça, c'est le genre de film à très vite oublier. Le genre de film qui fout en rogne quand on en sort. Robert Guediguian y va au bazooka pour enfoncer ses personnages et rendre le film encore plus dramatique. Cette manière de faire est agaçante, c'est à dire vouloir faire une histoire forte, en accentuant le côté dramatique, pour faire réagir les spectateurs, et leur faire dire: "ah oui c'est terrible"... Guédiguian en fait des tonnes, et ça pourrit sont film. Affligeant. Un vrai calvaire. 0/5 | Alors là, ça, c'est le genre de film à très vite oublier. Le genre de film qui fout en rogne quand on en sort. Robert Guediguian y va au bazooka pour enfoncer ses personnages et rendre le film encore plus dramatique. Cette manière de faire est agaçante, c'est à dire vouloir faire une histoire forte, en accentuant le côté dramatique, pour faire réagir les spectateurs, et leur faire dire: "ah oui c'est terrible"... Guédiguian en fait des tonnes, et ça pourrit sont film. Affligeant. Un vrai calvaire. 0/5 | 0 | [9.99779333e-01 2.20666833e-04] | [9.99779333e-01 2.20666833e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 313 | Jean Rollin nous sert un film très très etc. mauvais. il n'y a pas à dire plus. Mais je lui donne malgré tout une étoile, car cette série Z à en plus un si gros problème dans sa construction que cela en devient désopilant. Enfin éviter si possible, sauf si vous voulez voir des femmes nues. | Jean Rollin nous sert un film très très etc. mauvais. il n'y a pas à dire plus. Mais je lui donne malgré tout une étoile, car cette série Z à en plus un si gros problème dans sa construction que cela en devient désopilant. Enfin éviter si possible, sauf si vous voulez voir des femmes nues. | 0 | [9.99761048e-01 2.38952416e-04] | [9.99761048e-01 2.38952416e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 314 | Un bon film d'aventure | Un bon film d'aventure | 1 | [0.0129453 0.9870547] | [0.0129453 0.9870547] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 315 | très bon thriller, comme d'habitude je n'avais pas lu les critiques ni vu d'extrait sur allociné,bien m'en a pris car tout le film est palpitant l'intrigue très bien ficelée et hormis la fin un peu bancale tout le reste est sublime.un grand romain duris,les césars de 2011 vont être palpitants. | très bon thriller, comme d'habitude je n'avais pas lu les critiques ni vu d'extrait sur allociné,bien m'en a pris car tout le film est palpitant l'intrigue très bien ficelée et hormis la fin un peu bancale tout le reste est sublime.un grand romain duris,les césars de 2011 vont être palpitants. | 1 | [5.09347637e-04 9.99490652e-01] | [5.09347637e-04 9.99490652e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 316 | Après une longue première partie poussive et frôlant les limites du ridicule, Les Visiteurs du soir reçoivent la visite du Diable en personne qui dynamise l'ensemble. Optant pour une apparence de théâtre filmé, Marcel Carné ne rend pas forcément justice à ses interprètes, notamment Arletty. | Après une longue première partie poussive et frôlant les limites du ridicule, Les Visiteurs du soir reçoivent la visite du Diable en personne qui dynamise l'ensemble. Optant pour une apparence de théâtre filmé, Marcel Carné ne rend pas forcément justice à ses interprètes, notamment Arletty. | 0 | [9.99694660e-01 3.05339544e-04] | [9.99694660e-01 3.05339544e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 317 | Sans parler de l'histoire ou du film intrinsèquement, le doublage canadien est une inénarrable abomination sonore! du doublage amateur! on a l'impression qu'un groupe de théâtre d'handicapés mentaux se cache derrière le téléviseur et double les voix la bouche cachée derrière leurs mains... Non, c'est pis, il s'agit sûrement de doubleurs amateurs pas handicapés du tout, mais certainement sans intelligence. Pour le coup, on reste sans voix... | Sans parler de l'histoire ou du film intrinsèquement, le doublage canadien est une inénarrable abomination sonore! du doublage amateur! on a l'impression qu'un groupe de théâtre d'handicapés mentaux se cache derrière le téléviseur et double les voix la bouche cachée derrière leurs mains... Non, c'est pis, il s'agit sûrement de doubleurs amateurs pas handicapés du tout, mais certainement sans intelligence. Pour le coup, on reste sans voix... | 0 | [9.99607686e-01 3.92314055e-04] | [9.99607686e-01 3.92314055e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 318 | Voila un beau film qui confirme si besoin était que Vanessa Paradis est une grande actrice. Coté découverte Vincent Rottiers livre une prestation de tout premier plan. | Voila un beau film qui confirme si besoin était que Vanessa Paradis est une grande actrice. Coté découverte Vincent Rottiers livre une prestation de tout premier plan. | 1 | [0.00423626 0.99576374] | [0.00423626 0.99576374] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 319 | Le nouveau film de Chad Chenouga émeut profondément. D’une impressionnante justesse, il met en scène autour de Yolande Moreau des acteurs non-professionnels débordant d’énergie. (...) Plutôt que de privilégier le récit des parcours de chacun, Chad Chenouga se concentre sur la vitalité des jeunes, et livre ainsi, dans la lignée de "17 rue Bleue", un puissant réquisitoire contre tout ce qui bride la vie. Lire l'intégralité de la critique d'Olivier Barlet sur le site d'Africultures.com | Le nouveau film de Chad Chenouga émeut profondément. D’une impressionnante justesse, il met en scène autour de Yolande Moreau des acteurs non-professionnels débordant d’énergie. (...) Plutôt que de privilégier le récit des parcours de chacun, Chad Chenouga se concentre sur la vitalité des jeunes, et livre ainsi, dans la lignée de "17 rue Bleue", un puissant réquisitoire contre tout ce qui bride la vie. Lire l'intégralité de la critique d'Olivier Barlet sur le site d'Africultures.com | 1 | [0.00130822 0.99869178] | [0.00130822 0.99869178] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 320 | "Un singe en hiver" présente trois intérêts majeurs. Tout d'abord, le tandem jean Gabin/Jean-Paul Belmondo fait des étincelles. Les deux acteurs se donnent à cent pour cent et l'amitié qu'ils se vouent mutuellement transparait à l'écran. Ensuite, la réalisation d'Henri Verneuil contient quelques bonnes surprises notamment avec des plans de caméra bien sentis. Enfin, cerise sur le gâteau, les dialogues sont signés Michel Audiard et cela se remarque. Ces mêmes dialogues subliment une intrigue un peu trop classique et rendent le film délectable. "Un singe en hiver" mérite bien son statut de classique du cinéma. | "Un singe en hiver" présente trois intérêts majeurs. Tout d'abord, le tandem jean Gabin/Jean-Paul Belmondo fait des étincelles. Les deux acteurs se donnent à cent pour cent et l'amitié qu'ils se vouent mutuellement transparait à l'écran. Ensuite, la réalisation d'Henri Verneuil contient quelques bonnes surprises notamment avec des plans de caméra bien sentis. Enfin, cerise sur le gâteau, les dialogues sont signés Michel Audiard et cela se remarque. Ces mêmes dialogues subliment une intrigue un peu trop classique et rendent le film délectable. "Un singe en hiver" mérite bien son statut de classique du cinéma. | 1 | [0.00128578 0.99871422] | [0.00128578 0.99871422] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 321 | Il manque un rythme certain à "The PLedge" pour rendre le film interressant. Sean Penn ne transmet pas d'émotion. Jack Nicholson n'est pas dans son meilleur rôle. La fin est décevante mais assez originale. Heureusement que Sean Penn s'est rattrapé par la suite avec "Into The Wild". Il eu fallut interresser d'avantage le specateur avec un rythme plus soutenu ! | Il manque un rythme certain à "The PLedge" pour rendre le film interressant. Sean Penn ne transmet pas d'émotion. Jack Nicholson n'est pas dans son meilleur rôle. La fin est décevante mais assez originale. Heureusement que Sean Penn s'est rattrapé par la suite avec "Into The Wild". Il eu fallut interresser d'avantage le specateur avec un rythme plus soutenu ! | 0 | [0.99861509 0.00138491] | [0.99861509 0.00138491] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 322 | En décidant d'"écrire" sur ce film, je m aperçois qu'il est à l'opposé de cléo de 5 à 7: mort est éventuelle chez C. , içi elle est certaine, et ce dés la première minute du film narration est linéaire et même continue chez C. (et pour cause , c'est l idée du film). ici elle est un va et vient entre l avant et l aprés mort, dans un montage exceptionnel rythmé par l'apparition des nouveaux personnages 3.C. est exclusivement urbain, içi c'est la ruralité qui domine éo est belle, coquette, soignée , içi les ongles sales et les lacets défaits de la vagabonde ce film est fait un peu sur le modèle de la tragédie grecque: dénouement implacable, et choeur narratif constitué de personnages annexes, presque aussi égarés que l’héroïne principal . Le choeur de la tragédie grecque par Yolande Moreau, voila l'exploit réalisé par Varda: le comique décalé au service du tragique, c'est bien ce qui est la vie La vie où le sain , toujours provisoire, côtoie le malsain: un arbre magnifique mais inquiétant ouvre le film, tandis que d'autres pourrissent, du fait des sauveurs américains, et soignées par d'autres sauveurs, pacifistes ceux là . Exceptionnel et rassurez vous , la restauration est identique à l'original, c'est juste du marketing (varda elle même dixit) | En décidant d'"écrire" sur ce film, je m aperçois qu'il est à l'opposé de cléo de 5 à 7: mort est éventuelle chez C. , içi elle est certaine, et ce dés la première minute du film narration est linéaire et même continue chez C. (et pour cause , c'est l idée du film). ici elle est un va et vient entre l avant et l aprés mort, dans un montage exceptionnel rythmé par l'apparition des nouveaux personnages 3.C. est exclusivement urbain, içi c'est la ruralité qui domine éo est belle, coquette, soignée , içi les ongles sales et les lacets défaits de la vagabonde ce film est fait un peu sur le modèle de la tragédie grecque: dénouement implacable, et choeur narratif constitué de personnages annexes, presque aussi égarés que l’héroïne principal . Le choeur de la tragédie grecque par Yolande Moreau, voila l'exploit réalisé par Varda: le comique décalé au service du tragique, c'est bien ce qui est la vie La vie où le sain , toujours provisoire, côtoie le malsain: un arbre magnifique mais inquiétant ouvre le film, tandis que d'autres pourrissent, du fait des sauveurs américains, et soignées par d'autres sauveurs, pacifistes ceux là . Exceptionnel et rassurez vous , la restauration est identique à l'original, c'est juste du marketing (varda elle même dixit) | 1 | [0.00132129 0.99867871] | [0.00132129 0.99867871] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 323 | Même s'il faut le classer comme TELEFILM que comme FILM, No Good Deed tient la route à merveille. Idris Elba et Taraji Henson jouent admirable bien ce huit clos haletant. J'en ai eu le souffle coupé pendant toute la durée du film. Vous pouvez vous attendre à tous les rebondissements possibles, mais celui-là, il est d'un genre nouveau. Je vous laisse le découvrir. D'ailleurs, je ne comprends pas pourquoi ce film n'est pas sorti en France, que cela soit au cinéma ou à la télévision. Il mérite ses quatre étoiles. | Même s'il faut le classer comme TELEFILM que comme FILM, No Good Deed tient la route à merveille. Idris Elba et Taraji Henson jouent admirable bien ce huit clos haletant. J'en ai eu le souffle coupé pendant toute la durée du film. Vous pouvez vous attendre à tous les rebondissements possibles, mais celui-là, il est d'un genre nouveau. Je vous laisse le découvrir. D'ailleurs, je ne comprends pas pourquoi ce film n'est pas sorti en France, que cela soit au cinéma ou à la télévision. Il mérite ses quatre étoiles. | 1 | [5.86532786e-04 9.99413467e-01] | [5.86532786e-04 9.99413467e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 324 | Ce film est surprenant et j'ai été énormément déboussolée un peut comme dans "Lucy". Pour un film de ce genre, c'est difficile de ne pas perdre le fil mais là c'est super bien métisser. Tout les éléments du film on leurs places. C'est fabuleux!✨ | Ce film est surprenant et j'ai été énormément déboussolée un peut comme dans "Lucy". Pour un film de ce genre, c'est difficile de ne pas perdre le fil mais là c'est super bien métisser. Tout les éléments du film on leurs places. C'est fabuleux!✨ | 1 | [0.001106 0.998894] | [0.001106 0.998894] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 325 | Mêlant divertissement et film d'action sur fond politique Tsui Hark manie a la perfection tout ces thèmes.Cependant la résolution de l'affaire est un peu en dessous du reste.On crois en cette histoire même si les effets numérique chinois ne sont pas les meilleurs du monde,puisque les couleurs des paysages ressemble a celles des tableaux de cascade lumineux aux couleurs saturés accroché aux murs de n'importe quel restaurant asiatique. | Mêlant divertissement et film d'action sur fond politique Tsui Hark manie a la perfection tout ces thèmes.Cependant la résolution de l'affaire est un peu en dessous du reste.On crois en cette histoire même si les effets numérique chinois ne sont pas les meilleurs du monde,puisque les couleurs des paysages ressemble a celles des tableaux de cascade lumineux aux couleurs saturés accroché aux murs de n'importe quel restaurant asiatique. | 1 | [0.00539589 0.99460411] | [0.00539589 0.99460411] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 326 | Un film qui n'a rien à nous raconter réalisé à la paresseuse par Lautner (qui sait pourtant parfois être bon) sur un scénario ridicule et inintéressant qui se contente de glorifier Belmondo omniprésent lequel devient vite aussi pitoyable qu'ennuyeux. | Un film qui n'a rien à nous raconter réalisé à la paresseuse par Lautner (qui sait pourtant parfois être bon) sur un scénario ridicule et inintéressant qui se contente de glorifier Belmondo omniprésent lequel devient vite aussi pitoyable qu'ennuyeux. | 0 | [9.99809266e-01 1.90734320e-04] | [9.99809266e-01 1.90734320e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 327 | Troisème et dernier film de la saga culte " Matrix " cette suite est très bonne bourré d'action bien orchestré avec des effets spéciaux très bon, toujours moins bon que le premier film, ce troisième film conclu très bien cette trilogie avec un final dantesque. | Troisème et dernier film de la saga culte " Matrix " cette suite est très bonne bourré d'action bien orchestré avec des effets spéciaux très bon, toujours moins bon que le premier film, ce troisième film conclu très bien cette trilogie avec un final dantesque. | 1 | [5.38129849e-04 9.99461870e-01] | [5.38129849e-04 9.99461870e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 328 | J'ai détesté pour moi il n'y a pas d'histoire, pas de réalisation seulement des acteurs qui font ce qu'ils peuvent pour sauver le film mais bon quand c'est vide de sens... | J'ai détesté pour moi il n'y a pas d'histoire, pas de réalisation seulement des acteurs qui font ce qu'ils peuvent pour sauver le film mais bon quand c'est vide de sens... | 0 | [9.99786264e-01 2.13736379e-04] | [9.99786264e-01 2.13736379e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 329 | Un film dont le pitch fait de belles promesses mais finalement celui ci est pas terrible, peu convaincant et surtout pas du tout effrayant.Quand on regarde on se demande bien ce que c'est que ce truc... | Un film dont le pitch fait de belles promesses mais finalement celui ci est pas terrible, peu convaincant et surtout pas du tout effrayant.Quand on regarde on se demande bien ce que c'est que ce truc... | 0 | [9.99778779e-01 2.21221085e-04] | [9.99778779e-01 2.21221085e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 330 | Dialogues insipides, mise en scène affligeante, jeux d'acteurs que l'on n'accepterait même pas d'une troupe amateur de village, ce film aurait du terminer au rebus, et s'éviter le ridicule d'une sortie en salles. Peut-être le plus gros navet des vingt dernières années. | Dialogues insipides, mise en scène affligeante, jeux d'acteurs que l'on n'accepterait même pas d'une troupe amateur de village, ce film aurait du terminer au rebus, et s'éviter le ridicule d'une sortie en salles. Peut-être le plus gros navet des vingt dernières années. | 0 | [9.99771403e-01 2.28597168e-04] | [9.99771403e-01 2.28597168e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 331 | Film moyen qui aurait pu être divertissant sans cette abominable bande son, insupportable, beaucoup TROP forte et très ringarde et presque omniprésente, sans doute pour éviter que le spectateur ne s'endorme..... Obligée de me boucher les oreilles pendant la moitié projection, mon compagnon avait mis ses boules quies !!! A part le fait que les dialogues sont en espagnol, l'action aurait pu avoir lieu n'importe où, aucun "exotisme" . A éviter ! | Film moyen qui aurait pu être divertissant sans cette abominable bande son, insupportable, beaucoup TROP forte et très ringarde et presque omniprésente, sans doute pour éviter que le spectateur ne s'endorme..... Obligée de me boucher les oreilles pendant la moitié projection, mon compagnon avait mis ses boules quies !!! A part le fait que les dialogues sont en espagnol, l'action aurait pu avoir lieu n'importe où, aucun "exotisme" . A éviter ! | 0 | [9.99786999e-01 2.13001246e-04] | [9.99786999e-01 2.13001246e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 332 | 100 Women se veut-être une suite thématique de 100 Girls par le même réalisateur. Et là, on peut dire qu'il a totalement foirer son coup!!! Si la préquel tenait du film d'auteur sincère traitant des relations homme/femme, celui-ci tient plus de la comédie pour ados ridicule et attardé, qui arrive à dépassé par la stupidité et le vulgaire American Pie. La représentation des hommes est encore pire que dans le volet précédent (à croire que le réal déteste les hommes), même si il se justifie en nous disant qu'il s'agit d'une représentation des hommes sans les femmes, l'aspect documentaire passe à la trappe pour une narration flash-back, le côté analyse des relations homme/femme est quasi-inexistant et laisse sa place à des vannes pourries et dégoutantes (mais les gags du beeper et du braquage valent le coup!). A croire que Michael Davis avait épuisé tous ses arguments dans le 1er opus, et qu'il a juste fait un second pour remplir son porte-feuille. Car la vérité est là, dans la prequel le titre du film avait un sens, Matthew recherchait sa mystérieuse inconnue parmi 100 nanas qu'il apprenait à connaitre, tandis que dans celui-ci Sam retrouve dès le début la fille et les autres protagonistes féminins (pour l'intérêt qui leur est porté) servent juste à montre leur atout! En gros ce film est comme son héros, dénué d'intérêt!!!! | 100 Women se veut-être une suite thématique de 100 Girls par le même réalisateur. Et là, on peut dire qu'il a totalement foirer son coup!!! Si la préquel tenait du film d'auteur sincère traitant des relations homme/femme, celui-ci tient plus de la comédie pour ados ridicule et attardé, qui arrive à dépassé par la stupidité et le vulgaire American Pie. La représentation des hommes est encore pire que dans le volet précédent (à croire que le réal déteste les hommes), même si il se justifie en nous disant qu'il s'agit d'une représentation des hommes sans les femmes, l'aspect documentaire passe à la trappe pour une narration flash-back, le côté analyse des relations homme/femme est quasi-inexistant et laisse sa place à des vannes pourries et dégoutantes (mais les gags du beeper et du braquage valent le coup!). A croire que Michael Davis avait épuisé tous ses arguments dans le 1er opus, et qu'il a juste fait un second pour remplir son porte-feuille. Car la vérité est là, dans la prequel le titre du film avait un sens, Matthew recherchait sa mystérieuse inconnue parmi 100 nanas qu'il apprenait à connaitre, tandis que dans celui-ci Sam retrouve dès le début la fille et les autres protagonistes féminins (pour l'intérêt qui leur est porté) servent juste à montre leur atout! En gros ce film est comme son héros, dénué d'intérêt!!!! | 0 | [9.99791762e-01 2.08237795e-04] | [9.99791762e-01 2.08237795e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 333 | Ce projet est intéressant et a sûrement une vocation humaine et sociale et resulte sûrement d un petit budget ce qui est honorable. Néanmoins il n a selon moi pas sa place au cinéma. Les chorégraphies se ressemblent souvent, il est plutôt amateur car le style de danse reste limité dans un même univers et manque de technicité . Je regrette qu il est pris la place d une pépite que j aurai aimé voir plus longtemps à l'affiche car digne du septième art (les éléphants ça trompe ...) | Ce projet est intéressant et a sûrement une vocation humaine et sociale et resulte sûrement d un petit budget ce qui est honorable. Néanmoins il n a selon moi pas sa place au cinéma. Les chorégraphies se ressemblent souvent, il est plutôt amateur car le style de danse reste limité dans un même univers et manque de technicité . Je regrette qu il est pris la place d une pépite que j aurai aimé voir plus longtemps à l'affiche car digne du septième art (les éléphants ça trompe ...) | 0 | [0.98783173 0.01216827] | [0.98783173 0.01216827] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 334 | Pour remettre les pendules à l'heure et surtout pour ceux et celle qui n'ont pas suivi, "Halloween 2" de Rob Zombie est un remake inutile de la suite (et non pas la suite du remake) qui, dans le film original, se situe juste après la fin du deuxième èpisode! Dans la nuit d'Halloween (encore et toujours), après leur affrontement tragique, Laurie Strode et Michael Myers sont conduits à l'hôpital (encore une fois pour ne pas changer). L'une aux urgences et l'autre à la morgue! Mais on se rend vite compte qu'il ne s'agit pas du corps de Myers, qui rode encore dans la ville, motivè à retrouver sa soeur...Un Haloween indèfendable car mauvais, qui n'a pas rameuter un large public lors de sa sortie amèricaine (on comprend mieux pourquoi le film n'est pas sorti en France). Michael Myers est mal reprèsentè ainsi que la violence de ses coups interminables! Le terrifiant "Halloween" de Big John semble aujourd'hui très loin... | Pour remettre les pendules à l'heure et surtout pour ceux et celle qui n'ont pas suivi, "Halloween 2" de Rob Zombie est un remake inutile de la suite (et non pas la suite du remake) qui, dans le film original, se situe juste après la fin du deuxième èpisode! Dans la nuit d'Halloween (encore et toujours), après leur affrontement tragique, Laurie Strode et Michael Myers sont conduits à l'hôpital (encore une fois pour ne pas changer). L'une aux urgences et l'autre à la morgue! Mais on se rend vite compte qu'il ne s'agit pas du corps de Myers, qui rode encore dans la ville, motivè à retrouver sa soeur...Un Haloween indèfendable car mauvais, qui n'a pas rameuter un large public lors de sa sortie amèricaine (on comprend mieux pourquoi le film n'est pas sorti en France). Michael Myers est mal reprèsentè ainsi que la violence de ses coups interminables! Le terrifiant "Halloween" de Big John semble aujourd'hui très loin... | 0 | [9.99785411e-01 2.14589415e-04] | [9.99785411e-01 2.14589415e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 335 | Déjà une bande de bras cassés en armure et armée de flèches et d'arcs venant d'un petit duché situé on ne sait pas où qui envahit les Etats-Unis, ce n'est dejà pas très logique, mais qui en plus gagne contre la plus grande puissance mondiale, cela vire dans l'irrationnel le plus total. Et pourtant magie de l'humour anglais, on y croit totalement tellement ces événements nous sont amenés avec une logique imparable. Vous ajoutez en plus un Peter Sellers savoureux dans un triple rôle, dont celui de la Grande Duchesse, face à une charmante Jean Seberg, qui connaitra la gloire l'année suivante avec "A bout de souffle" et cela donne 83 minutes de pur plaisir. | Déjà une bande de bras cassés en armure et armée de flèches et d'arcs venant d'un petit duché situé on ne sait pas où qui envahit les Etats-Unis, ce n'est dejà pas très logique, mais qui en plus gagne contre la plus grande puissance mondiale, cela vire dans l'irrationnel le plus total. Et pourtant magie de l'humour anglais, on y croit totalement tellement ces événements nous sont amenés avec une logique imparable. Vous ajoutez en plus un Peter Sellers savoureux dans un triple rôle, dont celui de la Grande Duchesse, face à une charmante Jean Seberg, qui connaitra la gloire l'année suivante avec "A bout de souffle" et cela donne 83 minutes de pur plaisir. | 1 | [9.38969571e-04 9.99061030e-01] | [9.38969571e-04 9.99061030e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 336 | S'il n'atteint pas la fulgurance et la puissance tragique du parrain, ce film n'en demeure pas moins un excellent film de gangsters qui ne pêche que par quelques faiblesses dans la narration. Pour le reste, un casting quatre étoiles et un duel au sommet entre deux vedettes au sommet de leur forme (la classe de denzel washington permet de ne pas détester son personnage), une réalisation très stylée et quelques scènes d'anthologie (comme lorsque denzel descend en concurrent à bout portant et en pleine rue), une ambiance très seventies... | S'il n'atteint pas la fulgurance et la puissance tragique du parrain, ce film n'en demeure pas moins un excellent film de gangsters qui ne pêche que par quelques faiblesses dans la narration. Pour le reste, un casting quatre étoiles et un duel au sommet entre deux vedettes au sommet de leur forme (la classe de denzel washington permet de ne pas détester son personnage), une réalisation très stylée et quelques scènes d'anthologie (comme lorsque denzel descend en concurrent à bout portant et en pleine rue), une ambiance très seventies... | 1 | [6.99149741e-04 9.99300850e-01] | [6.99149741e-04 9.99300850e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 337 | Un style théâtre filmé pour une comédie romantique inoffensive, seul le casting apporte un petit plus. | Un style théâtre filmé pour une comédie romantique inoffensive, seul le casting apporte un petit plus. | 0 | [9.99627406e-01 3.72594439e-04] | [9.99627406e-01 3.72594439e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 338 | La gamine joue souvent faux (et Vincent Lacoste parfois aussi) ça c'est déjà rédhibitoire. Dialogues plats. Aucune finesse, aucune surprise. Scénario pénible: Utiliser les attentats comme faire-valoir dans leur film j'ai trouvé ça obscène. Quant au climax pendant le match de tennis c'était tout simplement consternant... A éviter. | La gamine joue souvent faux (et Vincent Lacoste parfois aussi) ça c'est déjà rédhibitoire. Dialogues plats. Aucune finesse, aucune surprise. Scénario pénible: Utiliser les attentats comme faire-valoir dans leur film j'ai trouvé ça obscène. Quant au climax pendant le match de tennis c'était tout simplement consternant... A éviter. | 0 | [9.99778698e-01 2.21301884e-04] | [9.99778698e-01 2.21301884e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 339 | Naterris, très très grande entreprise de son état, ne connaît pas la crise, merci pour elle. Sauf qu’elle pollue, beaucoup, et que ce sont les plus petits qui trinquent, tels ces ostréiculteurs, employés et restaurateurs du Sud de la France, qui n’obtiennent qu’un maigre dédommagement. Bien décidés à faire tomber le responsable de leurs malheurs, ils montent à la capitale, direction le siège social, afin de dénicher le petit truc qui pourrait les faire sortir vainqueurs de cette variante du combat de David contre Goliath. Huit après sa “Petite entreprise”, le réalisateur Pierre Jolivet voit donc un peu plus grand (sans que nous ayons ici affaire à une suite), et nous livre cette comédie qui, en ces temps de crise, semble tomber à point nommé. Semble seulement, car l’aspect social est ici réduit à sa plus simple expression (des grandes entreprises font des trucs pas nets… Même Michael Moore n’enfonce pas des portes aussi grandes ouvertes), au détriment de la comédie. Laquelle ne fonctionne pas vraiment à plein régime, dans la mesure où la moitié des répliques et situations tombent à plat, quand on ne frôle pas le mauvais goût, tels ces “traits d’esprit“ autour des homosexuels qui, au début, font très peur, de la part d’un film qui se veut pourtant actuel. Heureusement, après une entrée en matière plutôt laborieuse, “La Très très grande entreprise” améliore son rendement, même si les clichés restent légion jusqu’au bout. Difficile, dans ce cas, de vraiment parler de “personnages” pour qualifier les héros de l’histoire, tant ils sont archétypaux, surtout que, Roschdy Zem et Jean-Paul Rouve mis à part, leurs interprètes ne relèvent pas vraiment le niveau. Ne reste donc de cet “Ocean’s Eleven social” qu’une comédie pas déplaisante et parfois drôle, mais un peu trop creuse, en regard de son sujet, ce qui la rend tout sauf inoubliable. | Naterris, très très grande entreprise de son état, ne connaît pas la crise, merci pour elle. Sauf qu’elle pollue, beaucoup, et que ce sont les plus petits qui trinquent, tels ces ostréiculteurs, employés et restaurateurs du Sud de la France, qui n’obtiennent qu’un maigre dédommagement. Bien décidés à faire tomber le responsable de leurs malheurs, ils montent à la capitale, direction le siège social, afin de dénicher le petit truc qui pourrait les faire sortir vainqueurs de cette variante du combat de David contre Goliath. Huit après sa “Petite entreprise”, le réalisateur Pierre Jolivet voit donc un peu plus grand (sans que nous ayons ici affaire à une suite), et nous livre cette comédie qui, en ces temps de crise, semble tomber à point nommé. Semble seulement, car l’aspect social est ici réduit à sa plus simple expression (des grandes entreprises font des trucs pas nets… Même Michael Moore n’enfonce pas des portes aussi grandes ouvertes), au détriment de la comédie. Laquelle ne fonctionne pas vraiment à plein régime, dans la mesure où la moitié des répliques et situations tombent à plat, quand on ne frôle pas le mauvais goût, tels ces “traits d’esprit“ autour des homosexuels qui, au début, font très peur, de la part d’un film qui se veut pourtant actuel. Heureusement, après une entrée en matière plutôt laborieuse, “La Très très grande entreprise” améliore son rendement, même si les clichés restent légion jusqu’au bout. Difficile, dans ce cas, de vraiment parler de “personnages” pour qualifier les héros de l’histoire, tant ils sont archétypaux, surtout que, Roschdy Zem et Jean-Paul Rouve mis à part, leurs interprètes ne relèvent pas vraiment le niveau. Ne reste donc de cet “Ocean’s Eleven social” qu’une comédie pas déplaisante et parfois drôle, mais un peu trop creuse, en regard de son sujet, ce qui la rend tout sauf inoubliable. | 0 | [9.99278481e-01 7.21519286e-04] | [9.99278481e-01 7.21519286e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 340 | 1H38 de contre-vérités scientifiques. Lamentable surtout quand on pense au fric que se fait Al Gore dans l'histoire. | 1H38 de contre-vérités scientifiques. Lamentable surtout quand on pense au fric que se fait Al Gore dans l'histoire. | 0 | [0.99891115 0.00108885] | [0.99891115 0.00108885] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 341 | Très bonne surprise . Une belle histoire de vie d’ados qui diffère des autres films . On passe un excellent moment . | Très bonne surprise . Une belle histoire de vie d’ados qui diffère des autres films . On passe un excellent moment . | 1 | [7.60397219e-04 9.99239603e-01] | [7.60397219e-04 9.99239603e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 342 | Des dialogues tellement pauvres, des acteurs aucunement crédibles, d'un longueur longissime = un film nullement réaliste... Dommage le sujet était intéressant ! | Des dialogues tellement pauvres, des acteurs aucunement crédibles, d'un longueur longissime = un film nullement réaliste... Dommage le sujet était intéressant ! | 0 | [9.99788715e-01 2.11284570e-04] | [9.99788715e-01 2.11284570e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 343 | Mon premier film russe ! Eh bien, j'aurai préféré une meilleure expérience. Non pas que la réalisation russe est trop dépaysante, je l'ai trouvé plutôt pas mal même, c'est surtout au niveau du scénario. De nombreuses incohérences puis un scénario confus et, parfois, ennuyeux et sans originalité mettent ce film au rang de simple "petit film sympathique", mas sans plus. | Mon premier film russe ! Eh bien, j'aurai préféré une meilleure expérience. Non pas que la réalisation russe est trop dépaysante, je l'ai trouvé plutôt pas mal même, c'est surtout au niveau du scénario. De nombreuses incohérences puis un scénario confus et, parfois, ennuyeux et sans originalité mettent ce film au rang de simple "petit film sympathique", mas sans plus. | 0 | [0.99860425 0.00139575] | [0.99860425 0.00139575] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 344 | Un régal ! Découragé par les critiques à l'époque de la sortie, j'attendais avec impatience une occasion de voir l'ampleur du désastre. Pas question toutefois de l'acheter, ne serait-ce que 3 euros. Donc, c'est un ami qui l'a gravé et me l'a prêté. ET JE JUBILE ! C'est indescriptible de nullité. Comment peut-on avoir obtenu un financement pour pondre une telle bouse ? Tout le monde joue mal, voire très mal. Que sont venues faire dans cette GALERE Rossy de Palma et Victoria Abril ? Weber confirme qu'il n'est décidément pas un grand comédien. Quand on accepte une telle proposition, on est vraiment tombé bien bas. Quant à Armelle, elle rate en beauté son entrée dans le cinéma. Son rôle de bru autrichienne est ridicule. Elle nous fait un accent tout sauf autrichhien et perd donc le peu de crédibilité que son rôle pouvait avoir. SVP, Mme de Turckheim, laissez faire les comédies à de vrais réalisateurs, arrêtez de vous prendre pour une cinéaste. Ce n'est pas votre premier navet mais c'est de loin le plus POURRI ! | Un régal ! Découragé par les critiques à l'époque de la sortie, j'attendais avec impatience une occasion de voir l'ampleur du désastre. Pas question toutefois de l'acheter, ne serait-ce que 3 euros. Donc, c'est un ami qui l'a gravé et me l'a prêté. ET JE JUBILE ! C'est indescriptible de nullité. Comment peut-on avoir obtenu un financement pour pondre une telle bouse ? Tout le monde joue mal, voire très mal. Que sont venues faire dans cette GALERE Rossy de Palma et Victoria Abril ? Weber confirme qu'il n'est décidément pas un grand comédien. Quand on accepte une telle proposition, on est vraiment tombé bien bas. Quant à Armelle, elle rate en beauté son entrée dans le cinéma. Son rôle de bru autrichienne est ridicule. Elle nous fait un accent tout sauf autrichhien et perd donc le peu de crédibilité que son rôle pouvait avoir. SVP, Mme de Turckheim, laissez faire les comédies à de vrais réalisateurs, arrêtez de vous prendre pour une cinéaste. Ce n'est pas votre premier navet mais c'est de loin le plus POURRI ! | 0 | [9.99291248e-01 7.08751883e-04] | [9.99291248e-01 7.08751883e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 345 | Ricky vous chavirera d'ennui. Après la bande-annonce qui révélait le principal sujet du film, le film se retrouve dénué de son plus grand intérêt, du coup on est indifférent à la monté de la tension jusqu'à la "révélation". | Ricky vous chavirera d'ennui. Après la bande-annonce qui révélait le principal sujet du film, le film se retrouve dénué de son plus grand intérêt, du coup on est indifférent à la monté de la tension jusqu'à la "révélation". | 0 | [9.99758062e-01 2.41937571e-04] | [9.99758062e-01 2.41937571e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 346 | J'ai vu ce film tout à fait par hasard : le cinéma avait commis une erreur sur l'horaire du film que j'étais venu voir ("Michel Petrucciani"), alors je me suis rabattu sur l'horaire le plus proche : "The Future". Ma critique sera brève : un couple de trentenaires complètement chtarbés s'emmerdent ferme en pianotant chacun de son côté sur Internet. Nous entrons alors dans leur monde et nous nous emmerdons avec eux pendant 1h30. C'est plat, c'est vide, j'ai failli partir avant la fin, je me demande comment un producteur peut investir ne serait-ce qu'une thune dans un truc aussi nul. En plus les acteurs jouent mal : il faut reconnaître à leur décharge que les dialogues sont lamentables. Allez donc vous motiver dans de telles conditions ! A fuir comme la peste. | J'ai vu ce film tout à fait par hasard : le cinéma avait commis une erreur sur l'horaire du film que j'étais venu voir ("Michel Petrucciani"), alors je me suis rabattu sur l'horaire le plus proche : "The Future". Ma critique sera brève : un couple de trentenaires complètement chtarbés s'emmerdent ferme en pianotant chacun de son côté sur Internet. Nous entrons alors dans leur monde et nous nous emmerdons avec eux pendant 1h30. C'est plat, c'est vide, j'ai failli partir avant la fin, je me demande comment un producteur peut investir ne serait-ce qu'une thune dans un truc aussi nul. En plus les acteurs jouent mal : il faut reconnaître à leur décharge que les dialogues sont lamentables. Allez donc vous motiver dans de telles conditions ! A fuir comme la peste. | 0 | [9.99780033e-01 2.19966690e-04] | [9.99780033e-01 2.19966690e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 347 | Je dois sans doute être devenu un vieux con aigri et pourtant je n'ai que 33 ans... Mais alors quelle nullité! Depuis le début de l'année 2014, entre les 3 frères, supercondriaque et ce film, voici 3 comédies franchouilardes au ras des pâquerettes. Le pire c'est que les salles sont pleines et rient à gorge déployée. Un film caricatural, raciste, bourré de clichés, mal joué, Clavier fait du de funes. Qu'est venue faire Chantal Lauby dans ce navet? Et moi qu'est ce que j'ai fait au bon dieu pour mériter une telle purge?! Si vous avez de l'argent à dépenser et du temps à perdre mais laissez vos neurones à l'entrée. Triste France qui devient bidochon, facho et inculte... | Je dois sans doute être devenu un vieux con aigri et pourtant je n'ai que 33 ans... Mais alors quelle nullité! Depuis le début de l'année 2014, entre les 3 frères, supercondriaque et ce film, voici 3 comédies franchouilardes au ras des pâquerettes. Le pire c'est que les salles sont pleines et rient à gorge déployée. Un film caricatural, raciste, bourré de clichés, mal joué, Clavier fait du de funes. Qu'est venue faire Chantal Lauby dans ce navet? Et moi qu'est ce que j'ai fait au bon dieu pour mériter une telle purge?! Si vous avez de l'argent à dépenser et du temps à perdre mais laissez vos neurones à l'entrée. Triste France qui devient bidochon, facho et inculte... | 0 | [9.99787272e-01 2.12727757e-04] | [9.99787272e-01 2.12727757e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 348 | Dans la lignée de Chat Noir, Chat Blanc, une comédie d'action complètement déjantée : Kusturica fournit une nouvelle fois un travail colossal dans la richesse des plans, et dans l'intégration d'une BO omniprésente. Le coté burlesque est parfois un peu trop exagéré mais qu'importe, c'est du grand cinéma pour peu que l'on adhère au style ! | Dans la lignée de Chat Noir, Chat Blanc, une comédie d'action complètement déjantée : Kusturica fournit une nouvelle fois un travail colossal dans la richesse des plans, et dans l'intégration d'une BO omniprésente. Le coté burlesque est parfois un peu trop exagéré mais qu'importe, c'est du grand cinéma pour peu que l'on adhère au style ! | 1 | [5.30087341e-04 9.99469913e-01] | [5.30087341e-04 9.99469913e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 349 | J'ai entendu avec tristesse que les spectateurs n'étaient pas au rendes-vous, mais je pense plutôt que c'est le sujet qui n'intéresse pas les plus jeunes, Moi, j'ai 60 ans passés et j'ai adoré retrouvé l'ambiance des années 68, la nouvelle vague, Godard et ses doutes, ses questionnements. Les acteurs sont incroyables de justesse. Bravo Monsieur HAZANAVICIUS! J'espère que la pente va remonter. | J'ai entendu avec tristesse que les spectateurs n'étaient pas au rendes-vous, mais je pense plutôt que c'est le sujet qui n'intéresse pas les plus jeunes, Moi, j'ai 60 ans passés et j'ai adoré retrouvé l'ambiance des années 68, la nouvelle vague, Godard et ses doutes, ses questionnements. Les acteurs sont incroyables de justesse. Bravo Monsieur HAZANAVICIUS! J'espère que la pente va remonter. | 1 | [7.23342515e-04 9.99276657e-01] | [7.23342515e-04 9.99276657e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 350 | N'ayant pas lu le livre de King, je ne peux faire la comparaison. Mais j'ai adoré ce film, Carpenter reste égale à lui même. Toujours dans son univers space et sa musique derangeante et hors du commun. Les effets spéciaux sont très réussis et les acteurs très bons. Le film reste assez flippant et bien mené avec un rythme maintenu à la perfection. Un très bon film. | N'ayant pas lu le livre de King, je ne peux faire la comparaison. Mais j'ai adoré ce film, Carpenter reste égale à lui même. Toujours dans son univers space et sa musique derangeante et hors du commun. Les effets spéciaux sont très réussis et les acteurs très bons. Le film reste assez flippant et bien mené avec un rythme maintenu à la perfection. Un très bon film. | 1 | [5.05287843e-04 9.99494712e-01] | [5.05287843e-04 9.99494712e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 351 | Un film vraiment puissant. Une plongée dans un univers apocalyptique où l'humanité est redevenu primitive, et où les recoins les plus sombres de notre nature peuvent s'exprimer. L'histoire d'un père et son fils fuyant vers un paradis pour échapper à l'enfer. La route est un film qui remue les tripes. Un film terrifiant car nous montrant de nombreuses choses commisent par des humains au lieu des habituels zombies. Une plongée en enfer avec les personnages dans cet univers incroyablement écris, souligne par des plans sublimes et une réalisation des plus inspirée. Un film sublime et déprimant, trop déprimant en fait. C'est la le défaut du film. Il est vraiment trop déprimant et triste, ne nous laissant aucune lueur d'espoir excepte a la fin. Il est également parsemé de longueurs qui viennent un peu gâchée l'expérience. Mais ça reste un super film qui m'a donné des sueurs froide devant une telle violence et monstruosité de la part de cette humanité que nous chérissons tant. Un super film, mais ne soyez surtout pas déprimé en le voyant... | Un film vraiment puissant. Une plongée dans un univers apocalyptique où l'humanité est redevenu primitive, et où les recoins les plus sombres de notre nature peuvent s'exprimer. L'histoire d'un père et son fils fuyant vers un paradis pour échapper à l'enfer. La route est un film qui remue les tripes. Un film terrifiant car nous montrant de nombreuses choses commisent par des humains au lieu des habituels zombies. Une plongée en enfer avec les personnages dans cet univers incroyablement écris, souligne par des plans sublimes et une réalisation des plus inspirée. Un film sublime et déprimant, trop déprimant en fait. C'est la le défaut du film. Il est vraiment trop déprimant et triste, ne nous laissant aucune lueur d'espoir excepte a la fin. Il est également parsemé de longueurs qui viennent un peu gâchée l'expérience. Mais ça reste un super film qui m'a donné des sueurs froide devant une telle violence et monstruosité de la part de cette humanité que nous chérissons tant. Un super film, mais ne soyez surtout pas déprimé en le voyant... | 1 | [4.64507844e-04 9.99535492e-01] | [4.64507844e-04 9.99535492e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 352 | L'histoire du film avait l'air intéressante, mais la réalisation est beaucoup trop molle, Les acteurs peu convaincants, les personnages sont sans profondeurs. J'ai laché le film au bout de 30 minutes car rien ne se passait. Quel ennui! | L'histoire du film avait l'air intéressante, mais la réalisation est beaucoup trop molle, Les acteurs peu convaincants, les personnages sont sans profondeurs. J'ai laché le film au bout de 30 minutes car rien ne se passait. Quel ennui! | 0 | [9.99763431e-01 2.36569162e-04] | [9.99763431e-01 2.36569162e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 353 | Le talent de mes amis est somme toute totalement symbolique de la direction très inquiétante prise par le cinéma français populaire depuis quelques années. On prend un humoriste télé possédant quelques aptitudes et on le balance cinéaste sans filet et sans filtre lui faisant miroiter qu'il sera peut être le nouveau Woody Allen ou Jacques Tati. Et au final on accouche d'une comédie laide, prévisible, lourde et pire de tout poseuse sur les atermoiements de quadragénaires, véritable tarte à la crème thématique de notre cinéma hexagonal. Au final, rien, rien que de l'ennui voire de la consternation devant ce spectacle pour le moins pénible. Que l'on se serve, que diable, du talent des humoristes pour écrire des dialogues des personnages, des situations, cadrés par un producteur intelligent et mis en scène par de vrais cinéastes. L'égo de ces notoriétés télévisuelles plus ou moins éphémères en souffrira peut être, mais le niveau général des comédies françaises et la patience sans borne des pauvres spectateurs en seront franchement reconnaissants. | Le talent de mes amis est somme toute totalement symbolique de la direction très inquiétante prise par le cinéma français populaire depuis quelques années. On prend un humoriste télé possédant quelques aptitudes et on le balance cinéaste sans filet et sans filtre lui faisant miroiter qu'il sera peut être le nouveau Woody Allen ou Jacques Tati. Et au final on accouche d'une comédie laide, prévisible, lourde et pire de tout poseuse sur les atermoiements de quadragénaires, véritable tarte à la crème thématique de notre cinéma hexagonal. Au final, rien, rien que de l'ennui voire de la consternation devant ce spectacle pour le moins pénible. Que l'on se serve, que diable, du talent des humoristes pour écrire des dialogues des personnages, des situations, cadrés par un producteur intelligent et mis en scène par de vrais cinéastes. L'égo de ces notoriétés télévisuelles plus ou moins éphémères en souffrira peut être, mais le niveau général des comédies françaises et la patience sans borne des pauvres spectateurs en seront franchement reconnaissants. | 0 | [9.99801878e-01 1.98121953e-04] | [9.99801878e-01 1.98121953e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 354 | En dépit d'une bande-annonce alléchante et d'un sujet pour le coup vraiment original, le tâcheron (a.k.a Ridley Scott) nous livre un énième film de bandits et de flingues avec des scènes épileptiques de-la-mort-qui-tue. Et pourtant le film avait de quoi intéresser s'il nous avait réellement fait comprendre la vie de Domino Harvey, ce qui a poussé une fille du show-biz à devenir chasseur de prime, mais non. Ridley Scott, comme à son habitude, préfère tout miser sur les effets de photographiques, images léchées, déformées, baveuses, etc. plutôt que de passer du temps et de l'énergie pour que l'on s'attache à Domino et livrer des réflexions qui ne manquaient pas : la corruption par l'argent, la violence aux USA, le culte des armes. On suit donc, avec en plus un côté "religieux destin sauver le monde par des petits rien et sauver vos âmes", où nos trois compères, sorte de nouvelle Trinité armés de calibre 12, emmenés par un gros dur baroudeur (Mickey Rourke), un gentil garçon romantique Choco-blanc qui se transforme en un psychopathe, Choco-Dark, lorsqu'il relâche sa queue de cheval, et une ancienne mannequin qui joue la dure et veut faire comme les grands (Keira). Heureusement qu'elle est là, la sublime Keira Knightley, au moins, elle fait passer le temps (joli postérieur en passant). Le plus étonnant reste que les fans de Ridley soient incapable de voir les similitudes (effets de déjà-vu) dans la filmographie du benjamin Scott : toujours le même final depuis True Romance. Et puis Domino-poisson-rouge (ceux qui ont vu le film comprendront) revient chez maman-chérie et tout est bien qui finit mieux, terminée la vie de gangster et l'adrénaline (ou la mescaline, au choix), la vie d'une fille d'acteur pété de tunes, c'est quand même mieux pour se la couler douce dans sa piscine à Beverly Hills. | En dépit d'une bande-annonce alléchante et d'un sujet pour le coup vraiment original, le tâcheron (a.k.a Ridley Scott) nous livre un énième film de bandits et de flingues avec des scènes épileptiques de-la-mort-qui-tue. Et pourtant le film avait de quoi intéresser s'il nous avait réellement fait comprendre la vie de Domino Harvey, ce qui a poussé une fille du show-biz à devenir chasseur de prime, mais non. Ridley Scott, comme à son habitude, préfère tout miser sur les effets de photographiques, images léchées, déformées, baveuses, etc. plutôt que de passer du temps et de l'énergie pour que l'on s'attache à Domino et livrer des réflexions qui ne manquaient pas : la corruption par l'argent, la violence aux USA, le culte des armes. On suit donc, avec en plus un côté "religieux destin sauver le monde par des petits rien et sauver vos âmes", où nos trois compères, sorte de nouvelle Trinité armés de calibre 12, emmenés par un gros dur baroudeur (Mickey Rourke), un gentil garçon romantique Choco-blanc qui se transforme en un psychopathe, Choco-Dark, lorsqu'il relâche sa queue de cheval, et une ancienne mannequin qui joue la dure et veut faire comme les grands (Keira). Heureusement qu'elle est là, la sublime Keira Knightley, au moins, elle fait passer le temps (joli postérieur en passant). Le plus étonnant reste que les fans de Ridley soient incapable de voir les similitudes (effets de déjà-vu) dans la filmographie du benjamin Scott : toujours le même final depuis True Romance. Et puis Domino-poisson-rouge (ceux qui ont vu le film comprendront) revient chez maman-chérie et tout est bien qui finit mieux, terminée la vie de gangster et l'adrénaline (ou la mescaline, au choix), la vie d'une fille d'acteur pété de tunes, c'est quand même mieux pour se la couler douce dans sa piscine à Beverly Hills. | 0 | [9.99611863e-01 3.88136506e-04] | [9.99611863e-01 3.88136506e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 355 | Je ne savais pas dans quoi je m'engageais, mais je ne regrette pas cette séance matinale. J'ai pris une belle claque de cinéma, avec de vrais partis pris esthétiques, des performances d'acteurs incroyables et j'en suis ressorti frissonnant et avec des images en tête pour longtemps. Je ne connaissais pas Paul Marchand, et cette histoire en zone grise pose de vraies questions sur le métier de journaliste de guerre, son implication, son voyeurisme, sa responsabilité... Bref, n'hesitez pas et foncez voir ce petit bijou dans les rares salles qui le proposent. (et c'est un PREMIER film !!! Quelle force pour cette oeuvre fondatrice, hâte de suivre le chemin du réalisateur et les prochains sujets auxquels il va s'attaquer) | Je ne savais pas dans quoi je m'engageais, mais je ne regrette pas cette séance matinale. J'ai pris une belle claque de cinéma, avec de vrais partis pris esthétiques, des performances d'acteurs incroyables et j'en suis ressorti frissonnant et avec des images en tête pour longtemps. Je ne connaissais pas Paul Marchand, et cette histoire en zone grise pose de vraies questions sur le métier de journaliste de guerre, son implication, son voyeurisme, sa responsabilité... Bref, n'hesitez pas et foncez voir ce petit bijou dans les rares salles qui le proposent. (et c'est un PREMIER film !!! Quelle force pour cette oeuvre fondatrice, hâte de suivre le chemin du réalisateur et les prochains sujets auxquels il va s'attaquer) | 1 | [4.30340837e-04 9.99569659e-01] | [4.30340837e-04 9.99569659e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 356 | Vraiment une très bonne surprise, un peu comme Serpico il y a une semaine, le polar New Yorkais des années 70, il y a pas à dire mais ça en jette ! Alors c'est pas parfait, la réalisation est parfois hasardeuse, l'enquête un peu illisible parfois. Mais franchement qu'est-ce que c'est beau !! New York est sale, mal famée, sombre, le grain est juste hallucinant. Il y a un vrai cachet qui est donné à la photographie, c'est le genre de film où le réalisateur arriver à faire de sa ville un personnage à part entière (Collateral, Heat, ou Night Call récemment) et ça fait tout. Parce que dans un polar l'ambiance c'est primordial. En plus on a de la caméra à l'épaule une bonne partie du film, il y a quelque chose qui se passe à chaque fois avec la caméra. On sent que c'est hésitant des fois, mais ça fonctionne parfaitement le reste du temps. La fameuse course-poursuite, c'est quelque chose. Un vrai morceau de bravoure de bien 10 minutes, complètement lisible, haletant, et là encore avec une réalisation somptueuse (mouvement de caméra, angle, focale) tout y passe! Les acteurs ne sont pas en reste, Gene Hackman en tête, en policier têtu, aimant boire mais aimant avant tout son boulot. Le film est une belle déclaration d'amour à la police, j'ai trouvé ça bien fait, on n'en fait pas des héros, mais on montre le quotidien, l'envie, la rage qui peut les habiter. | Vraiment une très bonne surprise, un peu comme Serpico il y a une semaine, le polar New Yorkais des années 70, il y a pas à dire mais ça en jette ! Alors c'est pas parfait, la réalisation est parfois hasardeuse, l'enquête un peu illisible parfois. Mais franchement qu'est-ce que c'est beau !! New York est sale, mal famée, sombre, le grain est juste hallucinant. Il y a un vrai cachet qui est donné à la photographie, c'est le genre de film où le réalisateur arriver à faire de sa ville un personnage à part entière (Collateral, Heat, ou Night Call récemment) et ça fait tout. Parce que dans un polar l'ambiance c'est primordial. En plus on a de la caméra à l'épaule une bonne partie du film, il y a quelque chose qui se passe à chaque fois avec la caméra. On sent que c'est hésitant des fois, mais ça fonctionne parfaitement le reste du temps. La fameuse course-poursuite, c'est quelque chose. Un vrai morceau de bravoure de bien 10 minutes, complètement lisible, haletant, et là encore avec une réalisation somptueuse (mouvement de caméra, angle, focale) tout y passe! Les acteurs ne sont pas en reste, Gene Hackman en tête, en policier têtu, aimant boire mais aimant avant tout son boulot. Le film est une belle déclaration d'amour à la police, j'ai trouvé ça bien fait, on n'en fait pas des héros, mais on montre le quotidien, l'envie, la rage qui peut les habiter. | 1 | [4.29376139e-04 9.99570624e-01] | [4.29376139e-04 9.99570624e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 357 | Voici un très joli film une superbe ode à l'amitié et tout les acteurs sans exception sont formidables voilà un film à consommer sans modération pour une fois les papys et les mamies étais de sortie dans une salle presque comble | Voici un très joli film une superbe ode à l'amitié et tout les acteurs sans exception sont formidables voilà un film à consommer sans modération pour une fois les papys et les mamies étais de sortie dans une salle presque comble | 1 | [6.58276021e-04 9.99341724e-01] | [6.58276021e-04 9.99341724e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 358 | "Don't Be Afraid of the Dark" se distingue de la masse par la présence à la fois de Guillermo Del Toro au scénario et à la production mais aussipar son casting regroupant Katie Holmes et Guy Pearce. Toutefois, des noms connus ne font pas nécessairement un bon film et le cas présent en est un bon exemple. Ce long métrage cumule les clichés inhérents au genre horrifique. Les ressorts scénaristiques sont réchauffés et usés et le cinéaste ne réussit même pas le minimum pour un tel film: effrayer le spectateur. La faute principalement à ce fléau du cinéma d'épouvante actuel qui est de trop en montrer. On connait rapidement le physique et la forme de la menace alors que la suggérer seulement aurait eu plus d'impact. De plus, la réalisation souffre de plusieurs maladresse comme, par exemple, de couper en plein milieu une scène horrifique pour placer une histoire parallèle.C'est le cas du passage dans la salle de bain. | "Don't Be Afraid of the Dark" se distingue de la masse par la présence à la fois de Guillermo Del Toro au scénario et à la production mais aussipar son casting regroupant Katie Holmes et Guy Pearce. Toutefois, des noms connus ne font pas nécessairement un bon film et le cas présent en est un bon exemple. Ce long métrage cumule les clichés inhérents au genre horrifique. Les ressorts scénaristiques sont réchauffés et usés et le cinéaste ne réussit même pas le minimum pour un tel film: effrayer le spectateur. La faute principalement à ce fléau du cinéma d'épouvante actuel qui est de trop en montrer. On connait rapidement le physique et la forme de la menace alors que la suggérer seulement aurait eu plus d'impact. De plus, la réalisation souffre de plusieurs maladresse comme, par exemple, de couper en plein milieu une scène horrifique pour placer une histoire parallèle.C'est le cas du passage dans la salle de bain. | 0 | [9.99793976e-01 2.06024296e-04] | [9.99793976e-01 2.06024296e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 359 | malgré plein d'imperfections et un doublage affligeant, quelques scènes me faisait tenir le coup, mais avec ce final ridicule le film bascule dans le nanar sans difficulté aucune. | malgré plein d'imperfections et un doublage affligeant, quelques scènes me faisait tenir le coup, mais avec ce final ridicule le film bascule dans le nanar sans difficulté aucune. | 0 | [9.99796284e-01 2.03715995e-04] | [9.99796284e-01 2.03715995e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 360 | Ya pas de notes en dessous de 0? | Ya pas de notes en dessous de 0? | 0 | [0.92047143 0.07952857] | [0.92047143 0.07952857] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 361 | Ce thriller malgrè son age amène du suspense pendant tout le film. Ewan mac gregor joue plutot bien et on est plutot dans le mystère. A voir. | Ce thriller malgrè son age amène du suspense pendant tout le film. Ewan mac gregor joue plutot bien et on est plutot dans le mystère. A voir. | 1 | [0.04325226 0.95674774] | [0.04325226 0.95674774] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 362 | Shanghai Triad demeure une excellente fiction sur la mafia chinoise à travers les yeux d’un jeune garçon, encore innocent, qui découvre la cruauté du monde, via une superbe photographie, une musique de qualité et par l’interprétation de Gong Li, qui déjà à cette époque, montre d’évidentes qualités pour le monde du cinéma et de ses possibilités artistiques. | Shanghai Triad demeure une excellente fiction sur la mafia chinoise à travers les yeux d’un jeune garçon, encore innocent, qui découvre la cruauté du monde, via une superbe photographie, une musique de qualité et par l’interprétation de Gong Li, qui déjà à cette époque, montre d’évidentes qualités pour le monde du cinéma et de ses possibilités artistiques. | 1 | [0.00107597 0.99892403] | [0.00107597 0.99892403] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 363 | Dans la plupart des film HIP HOP ,il n'y a pratiquement que du sex , de la drogue ,des gangsters ,et tous ce qui va avec .Mais BROWN SUGAR est exeptionnel et très surprenant .Il ne se résume pas aux putes ,aux frcs ,aux joints et aus guns .Non.Dans ce film ,il y a quelque chose ,quelque chose dont certains ignorent l'existence .Ce quelque chose s'apelle :l'amour .Oui.L'amour que l'on a pour le HIP HOP ,pour cette culture .BRONW SUGAR révèle que le HIP HOP est plus profond que ce que l'on croit . | Dans la plupart des film HIP HOP ,il n'y a pratiquement que du sex , de la drogue ,des gangsters ,et tous ce qui va avec .Mais BROWN SUGAR est exeptionnel et très surprenant .Il ne se résume pas aux putes ,aux frcs ,aux joints et aus guns .Non.Dans ce film ,il y a quelque chose ,quelque chose dont certains ignorent l'existence .Ce quelque chose s'apelle :l'amour .Oui.L'amour que l'on a pour le HIP HOP ,pour cette culture .BRONW SUGAR révèle que le HIP HOP est plus profond que ce que l'on croit . | 1 | [0.00208824 0.99791176] | [0.00208824 0.99791176] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 364 | Les arts martiaux de Shaolin est un film sans intérêt. Rien ne le différencie de la masse d'autres films du genre. Malgré quelques doses d'humour, le scénario ne nous emporte pas, et les combats sont beaucoup trop hachés. Finalement Jet Li met plus de rage dans ses katas que lors des vrais affrontements. Les chorégraphies sont basiques et à aucun moment on se dit "ouah, ça c'est cool". On s'endormirait presque devant un tel manque d'originalité et de virtuosité. | Les arts martiaux de Shaolin est un film sans intérêt. Rien ne le différencie de la masse d'autres films du genre. Malgré quelques doses d'humour, le scénario ne nous emporte pas, et les combats sont beaucoup trop hachés. Finalement Jet Li met plus de rage dans ses katas que lors des vrais affrontements. Les chorégraphies sont basiques et à aucun moment on se dit "ouah, ça c'est cool". On s'endormirait presque devant un tel manque d'originalité et de virtuosité. | 0 | [9.99800646e-01 1.99353656e-04] | [9.99800646e-01 1.99353656e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 365 | Aaah ! J'attendais un Disney digne de ce nom et le voilà ! Tellement frais et pétillant, il est impossible de s'ennuyer. Par ailleurs, pour l'avoir vu au cinéma, je peux vous garantir que c'est l'une des meilleurs 3D que j'ai eu à voir (notamment avec la scène de la barque et des lampions). Une belle reprise d'un conte très violent à la base et qui retrouve ici une seconde jeunesse. 5/5 pour ma part ! | Aaah ! J'attendais un Disney digne de ce nom et le voilà ! Tellement frais et pétillant, il est impossible de s'ennuyer. Par ailleurs, pour l'avoir vu au cinéma, je peux vous garantir que c'est l'une des meilleurs 3D que j'ai eu à voir (notamment avec la scène de la barque et des lampions). Une belle reprise d'un conte très violent à la base et qui retrouve ici une seconde jeunesse. 5/5 pour ma part ! | 1 | [5.13362468e-04 9.99486638e-01] | [5.13362468e-04 9.99486638e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 366 | Film coup de poing on en prend plein la tronche ce film reflète avec un réalisme saisissant le monde carcéral même si cette histoire se passe dans une maison de correction pour ados mais les règles sont les mêmes que dans une prison !!! J’avais déjà apprécié ce film a sa sortie je viens de le revoir en DVD franchement achetez il est très bon vous ne le regretterez pas !!! | Film coup de poing on en prend plein la tronche ce film reflète avec un réalisme saisissant le monde carcéral même si cette histoire se passe dans une maison de correction pour ados mais les règles sont les mêmes que dans une prison !!! J’avais déjà apprécié ce film a sa sortie je viens de le revoir en DVD franchement achetez il est très bon vous ne le regretterez pas !!! | 1 | [5.03701658e-04 9.99496298e-01] | [5.03701658e-04 9.99496298e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 367 | Une histoire d'amour complexe et à la fois simple. C'est toute l'hésitation d'un homme qui aime sa liberté et qui tombe réellement amoureux ce qui signifie, à ses yeux, s'enchaîner à cette femme. Les personnages sont poignant et l'on se surprend à vouloir botter le cul à Renaud dans la façon dont il traite Geneviève. Deux magnifiques acteurs au service d'une mis en scène bien réglée. | Une histoire d'amour complexe et à la fois simple. C'est toute l'hésitation d'un homme qui aime sa liberté et qui tombe réellement amoureux ce qui signifie, à ses yeux, s'enchaîner à cette femme. Les personnages sont poignant et l'on se surprend à vouloir botter le cul à Renaud dans la façon dont il traite Geneviève. Deux magnifiques acteurs au service d'une mis en scène bien réglée. | 1 | [0.00128087 0.99871913] | [0.00128087 0.99871913] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 368 | On s'aperçoit très vite que le personnage principal de ce film est en réalité la cigarette. Du début à la fin, les personnages fument, ont des paquets de cigarettes à la main, et lorsqu'ils en allument une le son du tabac qui grille est exagérément fort pour bien la mettre en valeur... A tel point que j'ai l'impression que ce film n'a pas été réalisé dans un but artistique, mais uniquement pour promouvoir l'industrie du tabac. Bref c'est juste insupportable !!! Je ne sais pas combien le réalisateur a touché pour ce placement de produit, mais sans doute beaucoup plus que ce qu'a pu rapporter le film lui-même. A cela on peut ajouter les invraisemblances du scénario, le fait que l'actrice principale soit en réalité plus âgée que le personnage qu'elle est censée incarner (et ça se voit clairement), la fin bâclée... | On s'aperçoit très vite que le personnage principal de ce film est en réalité la cigarette. Du début à la fin, les personnages fument, ont des paquets de cigarettes à la main, et lorsqu'ils en allument une le son du tabac qui grille est exagérément fort pour bien la mettre en valeur... A tel point que j'ai l'impression que ce film n'a pas été réalisé dans un but artistique, mais uniquement pour promouvoir l'industrie du tabac. Bref c'est juste insupportable !!! Je ne sais pas combien le réalisateur a touché pour ce placement de produit, mais sans doute beaucoup plus que ce qu'a pu rapporter le film lui-même. A cela on peut ajouter les invraisemblances du scénario, le fait que l'actrice principale soit en réalité plus âgée que le personnage qu'elle est censée incarner (et ça se voit clairement), la fin bâclée... | 0 | [9.99793360e-01 2.06639577e-04] | [9.99793360e-01 2.06639577e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 369 | Une petite merveille de pudeur et de sensibilité portée, dansée pourrait-on dire par deux acteurs touchés par la grâce : P.Chesnais, tout en silences éloquents, et A.Consigny, vibrante et retenue à la fois, un couple dont l'alchimie fonctionne dans les nuances, les non-dits et la danse qui les réunit. L'huissier de justice sinistre, la cinquantaine lasse, le sire à la triste figure, croise dans un cours de tango, le sourire, la douceur et la grâce, et sa vie sans joie, qui se limite à de tristes visites à son vieux père, râleur et bougon, emmerdeur notoire ( Georges Wilson génial dans ce personnage qui a verrouillé en apparence son amour filial), s'illumine à ce contact... C'est un peu le tango des sentiments : deux pas en avant, deux en arrière, mais Jean-Claude et Françoise sont faits l'un pour l'autre, et le cinéaste filme simplement, s'attardant sur un regard, un sourire, un geste en attente...Un très joli film où "le silence est plus éloquent que les mots". | Une petite merveille de pudeur et de sensibilité portée, dansée pourrait-on dire par deux acteurs touchés par la grâce : P.Chesnais, tout en silences éloquents, et A.Consigny, vibrante et retenue à la fois, un couple dont l'alchimie fonctionne dans les nuances, les non-dits et la danse qui les réunit. L'huissier de justice sinistre, la cinquantaine lasse, le sire à la triste figure, croise dans un cours de tango, le sourire, la douceur et la grâce, et sa vie sans joie, qui se limite à de tristes visites à son vieux père, râleur et bougon, emmerdeur notoire ( Georges Wilson génial dans ce personnage qui a verrouillé en apparence son amour filial), s'illumine à ce contact... C'est un peu le tango des sentiments : deux pas en avant, deux en arrière, mais Jean-Claude et Françoise sont faits l'un pour l'autre, et le cinéaste filme simplement, s'attardant sur un regard, un sourire, un geste en attente...Un très joli film où "le silence est plus éloquent que les mots". | 1 | [7.06758260e-04 9.99293242e-01] | [7.06758260e-04 9.99293242e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 370 | Un film d’animation magnifique avec une bonne histoire qui n'est pas à ce qu'on pourrait le penser (comme moi avant de voir le film) une histoire toute banale. En plus, c'est pour moi le meilleur album des Daft Punk donc que dire de plus ? A voir et à revoir pour les fans de Daft Punk et de leur excellent album Discovery. | Un film d’animation magnifique avec une bonne histoire qui n'est pas à ce qu'on pourrait le penser (comme moi avant de voir le film) une histoire toute banale. En plus, c'est pour moi le meilleur album des Daft Punk donc que dire de plus ? A voir et à revoir pour les fans de Daft Punk et de leur excellent album Discovery. | 1 | [7.36616630e-04 9.99263383e-01] | [7.36616630e-04 9.99263383e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 371 | Atypique metteur en scène que ce Barbet Schroeder. Après nous avoir offert un documentaire des plus estimables ("L'Avocat de la terreur"), voila le réalisateur qui nous revient avec un thriller qui a de quoi laisser perplexe. Car si on peut être au départ séduit par les ruptures de ton plutôt intelligentes et nous plongeant alors dans un monde d'indécision et de malaise. Cela dit, la réussite totale est loin d'être au rendez-vous, tant Schroeder semble assez incapable de pouvoir maitriser de quelconque manière le rythme de son récit, si bien qu'on a une très systématique tendance à s'ennuyer, d'autant plus que certaines s'avèrent terriblement téléphonés et sans réelle saveur. La fin, quant à elle, est très loin d'être une immense surprise pour le spectateur, qui, au moins une fois durant le film, avait du envisager cette solution. A cause de toute ces approximations, le film mériterait donc sans doute une étoile. Pourtant, et même si ces moments sont loin d'être assz nombreux, on ressent parfois de véritables éclairs dans la mis een scène de Schroeder, qui a le mérite de filmer le Japon de manière assez originale et ne se complaisant quasiment jamais dans des considérations sans intérêt. Ce Japon devient alors un monde de théâtre, d'illusions, de cartes postale, mais toujours assumé et pouvant paraitre finalement assez malin. De plus, il y a parfois cette beauté plastique qui se dégage, notamment quant à une certaine recherche dans les couleurs qui s'avèrent parfois d'une réelle beauté, à l'image de la fin du film, décevante dans son dénouement mais réussie dans sa mise en scène. On reconnaitra donc volontiers quelques belles qualités techniques du film, qui n'excusent cependant pas cet ennui souvent profond dans lequel on est plongé et un scénario qui aurait pu s'avérer assez passionnant, mais qui, hélas, se contente du minimum syndical au grand désarroi du spectateur. Dommage, il y avait sans doute quelques chose de très beau à réussir avec cet "Inju". | Atypique metteur en scène que ce Barbet Schroeder. Après nous avoir offert un documentaire des plus estimables ("L'Avocat de la terreur"), voila le réalisateur qui nous revient avec un thriller qui a de quoi laisser perplexe. Car si on peut être au départ séduit par les ruptures de ton plutôt intelligentes et nous plongeant alors dans un monde d'indécision et de malaise. Cela dit, la réussite totale est loin d'être au rendez-vous, tant Schroeder semble assez incapable de pouvoir maitriser de quelconque manière le rythme de son récit, si bien qu'on a une très systématique tendance à s'ennuyer, d'autant plus que certaines s'avèrent terriblement téléphonés et sans réelle saveur. La fin, quant à elle, est très loin d'être une immense surprise pour le spectateur, qui, au moins une fois durant le film, avait du envisager cette solution. A cause de toute ces approximations, le film mériterait donc sans doute une étoile. Pourtant, et même si ces moments sont loin d'être assz nombreux, on ressent parfois de véritables éclairs dans la mis een scène de Schroeder, qui a le mérite de filmer le Japon de manière assez originale et ne se complaisant quasiment jamais dans des considérations sans intérêt. Ce Japon devient alors un monde de théâtre, d'illusions, de cartes postale, mais toujours assumé et pouvant paraitre finalement assez malin. De plus, il y a parfois cette beauté plastique qui se dégage, notamment quant à une certaine recherche dans les couleurs qui s'avèrent parfois d'une réelle beauté, à l'image de la fin du film, décevante dans son dénouement mais réussie dans sa mise en scène. On reconnaitra donc volontiers quelques belles qualités techniques du film, qui n'excusent cependant pas cet ennui souvent profond dans lequel on est plongé et un scénario qui aurait pu s'avérer assez passionnant, mais qui, hélas, se contente du minimum syndical au grand désarroi du spectateur. Dommage, il y avait sans doute quelques chose de très beau à réussir avec cet "Inju". | 0 | [0.99887386 0.00112614] | [0.99887386 0.00112614] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 372 | Souvent, très souvent même, les remakes ne sont rien d'autres que des objets inutiles. Bon, il est vrai que parfois, on tombe sur des remakes de bonne facture, mais c'est rare. Et, celui de Tom Savini rejoint les rangs des objets inutiles. Tout est mauvais là-dedans, rien de ce qui faisait le charme de l'original n'est présent. C'est un échec complet. Dans l'absolu, il n'y a rien de mal à dépoussiérer des classiques, certains le méritent amplement, mais faut-il encore que cela soit fait convenablement. Ce qui n'est pas le cas ici. A fuir. | Souvent, très souvent même, les remakes ne sont rien d'autres que des objets inutiles. Bon, il est vrai que parfois, on tombe sur des remakes de bonne facture, mais c'est rare. Et, celui de Tom Savini rejoint les rangs des objets inutiles. Tout est mauvais là-dedans, rien de ce qui faisait le charme de l'original n'est présent. C'est un échec complet. Dans l'absolu, il n'y a rien de mal à dépoussiérer des classiques, certains le méritent amplement, mais faut-il encore que cela soit fait convenablement. Ce qui n'est pas le cas ici. A fuir. | 0 | [9.99758127e-01 2.41873395e-04] | [9.99758127e-01 2.41873395e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 373 | Le scénario est osé quoique depuis HAL 9000 (ou CARL 500) dans « 2001, l’Odyssée de l’espace » (1968) on sache, au cinéma du moins, qu’une intelligence artificielle puisse vouloir prendre le contrôle sur la vie de celui qu’elle est censée assister. Ce que fait donc ici, peu à peu, Yves le réfrigérateur connecté… HAL 9000 fut débranché tant bien que mal, Yvesfinira à la flottemaiss’en tirera grâce à son programme de survie. Bon, ça en devient loufoque, la science-fiction n’étant pas le registre revendiqué de ce film. C’est donc une comédie mais d’un genre assez indéfinissable. Une histoire malheureusement assez rapidement ennuyeuse, voire soporifique, finissant seulement vers la fin par être un peu (un tout petit peu) sauvée par quelques rebonds aux relents d’une fable métaphorique et surréaliste (la scène, assez dingue,du procès entre Yves et le testeur auquel il a été confié, suivie d’une joute verbale publique pour savoir lequel saura clasher l’autre). Pour cinéphile averti qui pourra apprécier l’imagination apportée par un scénariste un peu fou-fou. Un peu trop, certainement. | Le scénario est osé quoique depuis HAL 9000 (ou CARL 500) dans « 2001, l’Odyssée de l’espace » (1968) on sache, au cinéma du moins, qu’une intelligence artificielle puisse vouloir prendre le contrôle sur la vie de celui qu’elle est censée assister. Ce que fait donc ici, peu à peu, Yves le réfrigérateur connecté… HAL 9000 fut débranché tant bien que mal, Yvesfinira à la flottemaiss’en tirera grâce à son programme de survie. Bon, ça en devient loufoque, la science-fiction n’étant pas le registre revendiqué de ce film. C’est donc une comédie mais d’un genre assez indéfinissable. Une histoire malheureusement assez rapidement ennuyeuse, voire soporifique, finissant seulement vers la fin par être un peu (un tout petit peu) sauvée par quelques rebonds aux relents d’une fable métaphorique et surréaliste (la scène, assez dingue,du procès entre Yves et le testeur auquel il a été confié, suivie d’une joute verbale publique pour savoir lequel saura clasher l’autre). Pour cinéphile averti qui pourra apprécier l’imagination apportée par un scénariste un peu fou-fou. Un peu trop, certainement. | 0 | [9.99645983e-01 3.54016759e-04] | [9.99645983e-01 3.54016759e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 374 | Interprétation faiblarde, effets spéciaux mal vieillissant, dialogues débiles, mise en scène risible, scénario puant... De la science-fiction nanardesque comme il s'en est fait beaucoup à l'époque. À fuir ! Vous perdrez moins votre temps à voir Barbarella ou Starcrash que ce film. | Interprétation faiblarde, effets spéciaux mal vieillissant, dialogues débiles, mise en scène risible, scénario puant... De la science-fiction nanardesque comme il s'en est fait beaucoup à l'époque. À fuir ! Vous perdrez moins votre temps à voir Barbarella ou Starcrash que ce film. | 0 | [9.99784625e-01 2.15374893e-04] | [9.99784625e-01 2.15374893e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 375 | Je vais faire simple ,ce film est comme un soufflet en train de cuire dans un four ,il gonfle ,il gonfle,il gonfle ,la tu te dis que tu vas te régaler vu son apparence appétissante et au moment juste ou tu le sors tout gonflé toi la bave a la bouche pppssssshhhhittttt !!!!!!!!! on passe de soufflé à paté .Voila c'est ca Avalon ,un soufflet qui se transforme au dernier moment en Paté.Mais bon comme je le dis souvent "faut le voir pour me croire". | Je vais faire simple ,ce film est comme un soufflet en train de cuire dans un four ,il gonfle ,il gonfle,il gonfle ,la tu te dis que tu vas te régaler vu son apparence appétissante et au moment juste ou tu le sors tout gonflé toi la bave a la bouche pppssssshhhhittttt !!!!!!!!! on passe de soufflé à paté .Voila c'est ca Avalon ,un soufflet qui se transforme au dernier moment en Paté.Mais bon comme je le dis souvent "faut le voir pour me croire". | 0 | [0.93709207 0.06290793] | [0.93709207 0.06290793] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 376 | Une jolie carte postale pour servir de support à une histoire profondément amorale. On espère quelques surprises en cours de route, mais non, tout ce que l'on pouvait craindre de ce scénario arrive effectivement. Regrettable au moins autant que le propos sous-jacent, car dans le même temps le casting est plutôt de bonne qualité, mais la réalisation gâche tout: lenteur insondable, des clichés enfilés comme autant de perles. | Une jolie carte postale pour servir de support à une histoire profondément amorale. On espère quelques surprises en cours de route, mais non, tout ce que l'on pouvait craindre de ce scénario arrive effectivement. Regrettable au moins autant que le propos sous-jacent, car dans le même temps le casting est plutôt de bonne qualité, mais la réalisation gâche tout: lenteur insondable, des clichés enfilés comme autant de perles. | 0 | [0.99882348 0.00117652] | [0.99882348 0.00117652] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 377 | Beaucoup de subtilité et d'humour. Je le recommande! | Beaucoup de subtilité et d'humour. Je le recommande! | 1 | [5.48567204e-04 9.99451433e-01] | [5.48567204e-04 9.99451433e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 378 | Plutôt un bon western, nanti d'un sous-texte que l'on pourra trouver assez évident, jouant habilement avec les codes du genre mais aussi le contexte de l'époque, même si le réalisateur A. Dwan s'est toujours défendu d'avoir voulu coller à ce dernier. Les acteurs sont bons, les personnages plutôt bien dessinés, la volonté de représenter la foule sous son aspect le plus déplaisant est particulièrement efficace, appuyé par une narration solide, même si le déroulement des événements est parfois un peu forcé et grossier. Visuellement, Dwan n'avait pas à sa disposition un budget ébouriffant, mais il compense par un découpage solide, certains plans fabuleux (travellings latéral, cascades spectaculaires, montage énergique) et une bonne intensité dramatique. Un classique du genre qui vaut encore largement le coup d’œil aujourd'hui, et pas seulement à cause de son sous-texte. Abouti visuellement et raconté avec soin. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com | Plutôt un bon western, nanti d'un sous-texte que l'on pourra trouver assez évident, jouant habilement avec les codes du genre mais aussi le contexte de l'époque, même si le réalisateur A. Dwan s'est toujours défendu d'avoir voulu coller à ce dernier. Les acteurs sont bons, les personnages plutôt bien dessinés, la volonté de représenter la foule sous son aspect le plus déplaisant est particulièrement efficace, appuyé par une narration solide, même si le déroulement des événements est parfois un peu forcé et grossier. Visuellement, Dwan n'avait pas à sa disposition un budget ébouriffant, mais il compense par un découpage solide, certains plans fabuleux (travellings latéral, cascades spectaculaires, montage énergique) et une bonne intensité dramatique. Un classique du genre qui vaut encore largement le coup d’œil aujourd'hui, et pas seulement à cause de son sous-texte. Abouti visuellement et raconté avec soin. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com | 1 | [0.00127033 0.99872967] | [0.00127033 0.99872967] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 379 | J'éspère qu'il va sortir en france :) | J'éspère qu'il va sortir en france :) | 1 | [0.02311503 0.97688497] | [0.02311503 0.97688497] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 380 | Pas ressenti autant d'émotions aussi fortes depuis les Innocents de Clayton. La Résidence, film méconnu, est pourtant un authentique chef d'oeuvre. Le film aux allures giallesques fait admirablement cotoyer l'érotisme et le fantastique. Je crois même que le film a sans doute inspiré le Suspiria d'Argento. Une directrice qui dirige d'une main de fer l'établissement est incarnée à merveille par Lili Palmer. Cette dernière détient le rôle le plus troublant, entre inceste envers son fils et tentation homosexuelle envers une des filles résidentes. Huis clos éprouvant, la Résidence est aussi tout en suggestion, des plans noirs comme la nuit où l'on devine la présence du mystérieux rôdeur jusqu'aux scènes bunuesques où la sexualité prend toute ses formes. La photographie et la musique sont tout aussi sublimes. Une pièce maîtresse pour ce film difficilement classable. | Pas ressenti autant d'émotions aussi fortes depuis les Innocents de Clayton. La Résidence, film méconnu, est pourtant un authentique chef d'oeuvre. Le film aux allures giallesques fait admirablement cotoyer l'érotisme et le fantastique. Je crois même que le film a sans doute inspiré le Suspiria d'Argento. Une directrice qui dirige d'une main de fer l'établissement est incarnée à merveille par Lili Palmer. Cette dernière détient le rôle le plus troublant, entre inceste envers son fils et tentation homosexuelle envers une des filles résidentes. Huis clos éprouvant, la Résidence est aussi tout en suggestion, des plans noirs comme la nuit où l'on devine la présence du mystérieux rôdeur jusqu'aux scènes bunuesques où la sexualité prend toute ses formes. La photographie et la musique sont tout aussi sublimes. Une pièce maîtresse pour ce film difficilement classable. | 1 | [5.06193648e-04 9.99493806e-01] | [5.06193648e-04 9.99493806e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 381 | Jubilatoire...... | Jubilatoire...... | 1 | [0.00190873 0.99809127] | [0.00190873 0.99809127] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 382 | Bonne idée, un film différent à Noel, pour réfléchir. Facile à comprendre notamment par ceux qui vivent en France en 2009 et quand on parle de l’ « identité nationale » et ..des nouveaux « murs ». Un film qui nourrit la réflexion et les sentiments qui n’ont pas besoin de passeport pour exister. Faible budget mais très grand richesse et pureté. Aimeront par ceux qui n’aiment pas s’endormir sur leur vie. Garantie sans déception. | Bonne idée, un film différent à Noel, pour réfléchir. Facile à comprendre notamment par ceux qui vivent en France en 2009 et quand on parle de l’ « identité nationale » et ..des nouveaux « murs ». Un film qui nourrit la réflexion et les sentiments qui n’ont pas besoin de passeport pour exister. Faible budget mais très grand richesse et pureté. Aimeront par ceux qui n’aiment pas s’endormir sur leur vie. Garantie sans déception. | 1 | [8.04554807e-04 9.99195445e-01] | [8.04554807e-04 9.99195445e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 383 | J'ai vu un film... ou plutôt j'ai revu un film qui m'avait bcp marqué lors de sa sortie... Je l'avais trouvé génialissime à l'époque... C'était encore le XXème siècle ! Il m'a apparu porteur d'une innovation incroyable en terme de mise en scène, de maîtrise technique, de BO, de scénario... Puis, j'ai suivi Guy Ritchie dans ces différentes oeuvres (à l'exception de Revolver), et j'ai été impressionné à chaque fois... Mais, car il y a un mais... 10 après, "Arnaques...", si innnovant, si moderne, si impressionnant a bcp perdu de sa superbe... la réalisation a pris un sacré coup de vieux... beaucoup d'aspects de ce film restent réussis, mais la fraîcheur a disparu. On passe quand même un bon moment. Si vous ne connaissez pas encore l'oeuvre de Guy Ritchie, avant d'aller voir SNATCH, regardez "Arnaques...". | J'ai vu un film... ou plutôt j'ai revu un film qui m'avait bcp marqué lors de sa sortie... Je l'avais trouvé génialissime à l'époque... C'était encore le XXème siècle ! Il m'a apparu porteur d'une innovation incroyable en terme de mise en scène, de maîtrise technique, de BO, de scénario... Puis, j'ai suivi Guy Ritchie dans ces différentes oeuvres (à l'exception de Revolver), et j'ai été impressionné à chaque fois... Mais, car il y a un mais... 10 après, "Arnaques...", si innnovant, si moderne, si impressionnant a bcp perdu de sa superbe... la réalisation a pris un sacré coup de vieux... beaucoup d'aspects de ce film restent réussis, mais la fraîcheur a disparu. On passe quand même un bon moment. Si vous ne connaissez pas encore l'oeuvre de Guy Ritchie, avant d'aller voir SNATCH, regardez "Arnaques...". | 1 | [0.16082942 0.83917058] | [0.16082942 0.83917058] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 384 | Si Harrison Ford est très bon dans son rôle, les autres acteurs sont plutôt mauvais. C'est également le cas de la réalisation: que c'est long jusqu'à ce que ce film démarre, pour finalement aboutir sur une aventure en terre ennemie complètement ridicule et une fin très maladroitement mise en scène. Pas grand intérêt pour ce film. | Si Harrison Ford est très bon dans son rôle, les autres acteurs sont plutôt mauvais. C'est également le cas de la réalisation: que c'est long jusqu'à ce que ce film démarre, pour finalement aboutir sur une aventure en terre ennemie complètement ridicule et une fin très maladroitement mise en scène. Pas grand intérêt pour ce film. | 0 | [9.99777132e-01 2.22868403e-04] | [9.99777132e-01 2.22868403e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 385 | Un formidable message de tolérance et d'humanité. Je tire mon chapeau à ce téléfilm et à la performance de Sigourney Weaver. | Un formidable message de tolérance et d'humanité. Je tire mon chapeau à ce téléfilm et à la performance de Sigourney Weaver. | 1 | [8.58766171e-04 9.99141234e-01] | [8.58766171e-04 9.99141234e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 386 | Petite comédie française classique qui ne sort pas du lot et qui ne nous restera pas en mémoire. Dommage car le casting reste correct. Sans plus... ----Novembre 2014---- | Petite comédie française classique qui ne sort pas du lot et qui ne nous restera pas en mémoire. Dommage car le casting reste correct. Sans plus... ----Novembre 2014---- | 0 | [9.99665469e-01 3.34530843e-04] | [9.99665469e-01 3.34530843e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 387 | Attention navet ! Il existe des films ratés, par manque d'expérience, de moyens ou toutes autres raisons valables mais là rien n'est à sauver. Le scénario est inconsistant au possible, pas drôle, poussif, vu et revu. La mise en scène ne dépasse pas le niveau d'un très mauvais épisode d'une très mauvaise série TV. Le pompon pour l'interprétation, c'est à celui qui sera le plus mauvais. Cette pauvre Meg Ryan de retour tellement liftée et botoxée qu'on a du mal à la reconnaitre, heureusement qu'il y a son nom au générique. Pour les autres même pas le minimum syndical. Le nanar du mois est là. | Attention navet ! Il existe des films ratés, par manque d'expérience, de moyens ou toutes autres raisons valables mais là rien n'est à sauver. Le scénario est inconsistant au possible, pas drôle, poussif, vu et revu. La mise en scène ne dépasse pas le niveau d'un très mauvais épisode d'une très mauvaise série TV. Le pompon pour l'interprétation, c'est à celui qui sera le plus mauvais. Cette pauvre Meg Ryan de retour tellement liftée et botoxée qu'on a du mal à la reconnaitre, heureusement qu'il y a son nom au générique. Pour les autres même pas le minimum syndical. Le nanar du mois est là. | 0 | [9.99788526e-01 2.11474022e-04] | [9.99788526e-01 2.11474022e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 388 | Houla ! Cela faisait très longtemps que je n'avais pas ri autant. Je crois que ceux qui attendaient un vrai film de SF sont déçus, et pourtant il était clair dès la bande annonce que le second degré serait de la partie. C'est un film plus intelligent qu'il n'y paraît, et qui ne peut marcher sans avoir une bonne culture générale, sur le nazisme, les Etats-Unis, le film "La Chute" et la Corée du Nord (attention : spoiler !). C'est quand même énorme, les States dirigés par Sarah Palin se défendant contre des nazis plus abrutis et bêtes les un que les autres, le tout avec une bande son de Laibach, groupe slovène pourtant réputé pro-nazi qui joue ici à fond dans la confusion des genres. Franchement, il fallait oser. Comme le disait un autre internaute, c'est assez proche de Tarantino, surtout si on se rapporte à "Inglorious Basterds". Les femmes y ont, comme chez lui, un rôle important et valorisant, même si certaines sont complètement barrées à l'image de la métis asiatique qui dirige l'agence de communication de la présidente . C'est très jouissif et tout le monde en prend pour son grade. Si le film avait été américain, il serait sorti sur les écrans. Hélas il n'est que scandiniavo-australien et se contente d'une piètre sortie en DVD. C'est bien dommage, car il vaut largement bon nombre de films US de base sans saveur et convenus qu'on nous balance à longueur de mois. | Houla ! Cela faisait très longtemps que je n'avais pas ri autant. Je crois que ceux qui attendaient un vrai film de SF sont déçus, et pourtant il était clair dès la bande annonce que le second degré serait de la partie. C'est un film plus intelligent qu'il n'y paraît, et qui ne peut marcher sans avoir une bonne culture générale, sur le nazisme, les Etats-Unis, le film "La Chute" et la Corée du Nord (attention : spoiler !). C'est quand même énorme, les States dirigés par Sarah Palin se défendant contre des nazis plus abrutis et bêtes les un que les autres, le tout avec une bande son de Laibach, groupe slovène pourtant réputé pro-nazi qui joue ici à fond dans la confusion des genres. Franchement, il fallait oser. Comme le disait un autre internaute, c'est assez proche de Tarantino, surtout si on se rapporte à "Inglorious Basterds". Les femmes y ont, comme chez lui, un rôle important et valorisant, même si certaines sont complètement barrées à l'image de la métis asiatique qui dirige l'agence de communication de la présidente . C'est très jouissif et tout le monde en prend pour son grade. Si le film avait été américain, il serait sorti sur les écrans. Hélas il n'est que scandiniavo-australien et se contente d'une piètre sortie en DVD. C'est bien dommage, car il vaut largement bon nombre de films US de base sans saveur et convenus qu'on nous balance à longueur de mois. | 1 | [7.44844605e-04 9.99255155e-01] | [7.44844605e-04 9.99255155e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 389 | Stephen Daldry (Billy Elliot - 2000) adapte ici le roman homonyme de Michael Cunningham. The Hours (2003) est à lui seul un film fleuve, une oeuvre contemplative qui se délivre à nous sous la forme d’un triptyque. L’histoire de trois femmes vivants toutes des difficultés surmontables ou insurmontables. Un mal être qui pour certaines, leurs ôtent toute envie de vivre ou qui leurs plombent tout simplement le moral. Trois femmes qui se distinguent par leur mal être et où le mot bonheur ne signifie plus rien. Une œuvre qui se veut « dépressive » ou complexe tant par la dureté des propos que par l’osmose qui peut y renier. Trois actrices impressionnantes, aux charismes forts et qui nous laissent dans la gêne et l’incompréhension la plus totale. Une très belle distribution qui réunie trois belles femmes (Julianne Moore, Meryl Streep et la plus méconnaissable de toutes : Nicole Kidman). Avec à leurs côtés, le touchant Ed Harris, Claire Danes, Toni Collette, John C. Reilly & Jeff Daniels. Une réalisation particulière pour une œuvre qui l’est tout autant mais portée par des actrices magnifiques et touchantes. Sans oublier le talent de Philip Glass qui signe une B.O subtile et envoûtante ! | Stephen Daldry (Billy Elliot - 2000) adapte ici le roman homonyme de Michael Cunningham. The Hours (2003) est à lui seul un film fleuve, une oeuvre contemplative qui se délivre à nous sous la forme d’un triptyque. L’histoire de trois femmes vivants toutes des difficultés surmontables ou insurmontables. Un mal être qui pour certaines, leurs ôtent toute envie de vivre ou qui leurs plombent tout simplement le moral. Trois femmes qui se distinguent par leur mal être et où le mot bonheur ne signifie plus rien. Une œuvre qui se veut « dépressive » ou complexe tant par la dureté des propos que par l’osmose qui peut y renier. Trois actrices impressionnantes, aux charismes forts et qui nous laissent dans la gêne et l’incompréhension la plus totale. Une très belle distribution qui réunie trois belles femmes (Julianne Moore, Meryl Streep et la plus méconnaissable de toutes : Nicole Kidman). Avec à leurs côtés, le touchant Ed Harris, Claire Danes, Toni Collette, John C. Reilly & Jeff Daniels. Une réalisation particulière pour une œuvre qui l’est tout autant mais portée par des actrices magnifiques et touchantes. Sans oublier le talent de Philip Glass qui signe une B.O subtile et envoûtante ! | 1 | [0.02550516 0.97449484] | [0.02550516 0.97449484] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 390 | Très jolie film émouvant et splendide impossible de ne pas verser une larme à la fin une kerry Washington excellente dans ce rôle vraiment à regarder absolument !!!! | Très jolie film émouvant et splendide impossible de ne pas verser une larme à la fin une kerry Washington excellente dans ce rôle vraiment à regarder absolument !!!! | 1 | [4.92110458e-04 9.99507890e-01] | [4.92110458e-04 9.99507890e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 391 | Un film vue en avant premiere. C'est un film qui fait réagir, réfléchir, qui te fait ressentir des émotions. Allez le voir, c'est un des tres beau film de début d'année. | Un film vue en avant premiere. C'est un film qui fait réagir, réfléchir, qui te fait ressentir des émotions. Allez le voir, c'est un des tres beau film de début d'année. | 1 | [4.88514070e-04 9.99511486e-01] | [4.88514070e-04 9.99511486e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 392 | Peut-être existe-t-il encore, quelque part en France, des personnes qui continuent à considèrer, plus de trente ans après La boum 1 et 2, Sophie Marceau comme un sex-symbol. C’est en tout cas ce sur quoi a voulu miser Tonie Marshall en la mettant face à Patrick Bruel dans les rôles de deux obsédés attirés l’un par l’autre, espérant miser sur le charme et la popularité du couple pour assurer le succès de sa petite comédie de mœurs. Le choix de casting ne s’avérera pas judicieux tant, à force d’en faire trop, aucun des deux acteurs ne parvient à être crédible une seule seconde. Leur insupportable surjeu peut être mis sur le dos d’une direction d’acteurs déplorable puisqu’ils sont en fait à la hauteur de la réalisation du long-métrage, à savoir celle d’un téléfilm à peine digne d’une diffusion lors d’une après-midi automnale sur TF1. Avoir voulu traiter avec légèreté de l’addiction sexuelle aurait pu être un sujet aguicheur, et peut-même un brin insolent, si le scénario de ce film ne se contentait pas de multiplier des dialogues creux et mal écrits et les gimmicks les plus nunuches des comédies romantiques édulcorées et inoffensives. | Peut-être existe-t-il encore, quelque part en France, des personnes qui continuent à considèrer, plus de trente ans après La boum 1 et 2, Sophie Marceau comme un sex-symbol. C’est en tout cas ce sur quoi a voulu miser Tonie Marshall en la mettant face à Patrick Bruel dans les rôles de deux obsédés attirés l’un par l’autre, espérant miser sur le charme et la popularité du couple pour assurer le succès de sa petite comédie de mœurs. Le choix de casting ne s’avérera pas judicieux tant, à force d’en faire trop, aucun des deux acteurs ne parvient à être crédible une seule seconde. Leur insupportable surjeu peut être mis sur le dos d’une direction d’acteurs déplorable puisqu’ils sont en fait à la hauteur de la réalisation du long-métrage, à savoir celle d’un téléfilm à peine digne d’une diffusion lors d’une après-midi automnale sur TF1. Avoir voulu traiter avec légèreté de l’addiction sexuelle aurait pu être un sujet aguicheur, et peut-même un brin insolent, si le scénario de ce film ne se contentait pas de multiplier des dialogues creux et mal écrits et les gimmicks les plus nunuches des comédies romantiques édulcorées et inoffensives. | 0 | [9.99800865e-01 1.99134804e-04] | [9.99800865e-01 1.99134804e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 393 | Ca commence pas mal, quelques scènes loufoques assez drôles et des personnages auxquels on pense pouvoir s'identifier, et puis c'est la chute, on s'ennuie ferme. Dommage car ces acteurs pas très connus ne sont pas mauvais. | Ca commence pas mal, quelques scènes loufoques assez drôles et des personnages auxquels on pense pouvoir s'identifier, et puis c'est la chute, on s'ennuie ferme. Dommage car ces acteurs pas très connus ne sont pas mauvais. | 0 | [9.99773340e-01 2.26660204e-04] | [9.99773340e-01 2.26660204e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 394 | Le personnage principal est antipathique et ses tribulations amoureuses ne sont pas très crédibles... | Le personnage principal est antipathique et ses tribulations amoureuses ne sont pas très crédibles... | 0 | [9.99559457e-01 4.40542630e-04] | [9.99559457e-01 4.40542630e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 395 | j'ai adoré, j'ai passé un très bon moment. comme d'habitude je ne comprends pas les critiques presses heureusement je n'y prête plus attention. | j'ai adoré, j'ai passé un très bon moment. comme d'habitude je ne comprends pas les critiques presses heureusement je n'y prête plus attention. | 1 | [7.34897046e-04 9.99265103e-01] | [7.34897046e-04 9.99265103e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 396 | Un excellent thriller pour le premier film réalisé par Ben Affleck. C'est ici l’adaptation du roman de Dennis Lehane qui également l'auteur de Mystic River. Le film est captivant du début à la fin, avec des fausses pistes, des rebondissements, c’est sombre, troublant, fort avec une fin qui fait réfléchir. Une histoire qui parle des enfants qui sont fait kidnappée et la musique de Harry Gregson-Williams est magnifique. Avec un très bon casting : Casey Affleck, Michelle Monaghan, Morgan Freeman, Ed Harris, John Ashton, Amy Ryan, Amy Madigan et Titus Welliver. | Un excellent thriller pour le premier film réalisé par Ben Affleck. C'est ici l’adaptation du roman de Dennis Lehane qui également l'auteur de Mystic River. Le film est captivant du début à la fin, avec des fausses pistes, des rebondissements, c’est sombre, troublant, fort avec une fin qui fait réfléchir. Une histoire qui parle des enfants qui sont fait kidnappée et la musique de Harry Gregson-Williams est magnifique. Avec un très bon casting : Casey Affleck, Michelle Monaghan, Morgan Freeman, Ed Harris, John Ashton, Amy Ryan, Amy Madigan et Titus Welliver. | 1 | [4.38128156e-04 9.99561872e-01] | [4.38128156e-04 9.99561872e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 397 | Le premier film d'une grande saga policière dirigée par Richard Donner avec dans les rôles titres Mel Gibson et Danny Glover. Un polar haletant, drôle et avec beaucoup d'action, tortures, fusillades et courses poursuites. Dans la lignée de la saga Die Hard. Génial! | Le premier film d'une grande saga policière dirigée par Richard Donner avec dans les rôles titres Mel Gibson et Danny Glover. Un polar haletant, drôle et avec beaucoup d'action, tortures, fusillades et courses poursuites. Dans la lignée de la saga Die Hard. Génial! | 1 | [5.23488074e-04 9.99476512e-01] | [5.23488074e-04 9.99476512e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 398 | “The Grudge” est à l’origine un film d’horreur japonais sorti en 2002 et nous raconte l’histoire d’une maison sur laquelle pèse une malédiction entre meurtres et disparitions. Ayant eu deux suites, le film a également eu son remake en 2004 avec Sarah Michelle Gellar, qui lui-même a eu deux suites. “The Grudge” version 2020 est donc le septième épisode et se veut comme un reboot, situé par-ci par là entre le remake 2004 et sa suite de 2006. Une malédiction frappe de nouveau une maison de Tokyo. Quiconque franchit le seuil de la demeure est maudit. Pourtant la détective Muldoon va chercher à comprendre ce qui se passe dans la maison après avoir trouvé un corps calciné avec son collègue Goodman. Vont alors s’enchaîner des explications incompréhensibles et des scènes plus gores qu’horrifiques. Rien ne fait peur, rien n’étonne, rien n’intéresse. Cette version est de trop c’est certain et même la mise en scène a deux décennies de retard. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com | “The Grudge” est à l’origine un film d’horreur japonais sorti en 2002 et nous raconte l’histoire d’une maison sur laquelle pèse une malédiction entre meurtres et disparitions. Ayant eu deux suites, le film a également eu son remake en 2004 avec Sarah Michelle Gellar, qui lui-même a eu deux suites. “The Grudge” version 2020 est donc le septième épisode et se veut comme un reboot, situé par-ci par là entre le remake 2004 et sa suite de 2006. Une malédiction frappe de nouveau une maison de Tokyo. Quiconque franchit le seuil de la demeure est maudit. Pourtant la détective Muldoon va chercher à comprendre ce qui se passe dans la maison après avoir trouvé un corps calciné avec son collègue Goodman. Vont alors s’enchaîner des explications incompréhensibles et des scènes plus gores qu’horrifiques. Rien ne fait peur, rien n’étonne, rien n’intéresse. Cette version est de trop c’est certain et même la mise en scène a deux décennies de retard. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com | 0 | [9.99696682e-01 3.03317696e-04] | [9.99696682e-01 3.03317696e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 399 | Autant j'étais amoureux de la série mais honnetement ici rien ne marche, même pas la petite romance entre kidman et farell | Autant j'étais amoureux de la série mais honnetement ici rien ne marche, même pas la petite romance entre kidman et farell | 0 | [9.99732174e-01 2.67826364e-04] | [9.99732174e-01 2.67826364e-04] | clean | 0 | 0 |