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La il y a un trop gros manque de moyen. Les acteurs ne sont pas bons. Tout arrive très vite dans une ambiance de film,pas très entraînante le résultat fait qu'on est un peu déçu presque un peu trop
La il y a un trop gros manque de moyen. Les acteurs ne sont pas bons. Tout arrive très vite dans une ambiance de film,pas très entraînante le résultat fait qu'on est un peu déçu presque un peu trop
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201
Un scénario terriblement banal, presque discutable. A vrai dire, le spectacle est ailleurs. Humour noir anglais, répliques cultes, situations vraiment drôle. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas tant ri devant un film. Alors biensur ce n'est pas du grand cinéma mais la salle est ressortie ravie et amusée. Moi aussi. Five stars !! En revanche gros carton rouge pour la traduction française du titre ... mais où vont-ils inventer ça ... ?
Un scénario terriblement banal, presque discutable. A vrai dire, le spectacle est ailleurs. Humour noir anglais, répliques cultes, situations vraiment drôle. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas tant ri devant un film. Alors biensur ce n'est pas du grand cinéma mais la salle est ressortie ravie et amusée. Moi aussi. Five stars !! En revanche gros carton rouge pour la traduction française du titre ... mais où vont-ils inventer ça ... ?
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202
Pas très amateur de danse et de ballets en général, j'avais découvert les danses irlandaises avec le spectacle "Riverdance" et j'avais alors pris une grosse "claque". Une vraie merveille que j'avais visionnée plusieurs fois en DVD et j'avais assisté au spectacle "live" quelques mois plus tard. J'adore ! Ce film ("Jig") m'a beaucoup plu, d'une part à cause de la virtuosité des participants que nous y découvrons, et d'autre part parce que leur passion un peu extrême de cette discipline laisse rêveur. J'ai trouvé un peu de "Billy Eliott" là-dedans. J'ai aussi admiré la maturité de ces jeunes (en ce compris les très jeunes) et leur façon de nous montrer que, malgré leur implication dans cette passion, ils restent quand même "normaux". L'implication des parents est ici comparable à celle des parents de jeunes sportifs de haut niveau, capables de tout sacrifier à la passion et/ou au talent de leur(s) enfant(s). Les quelques scènes finales de palmarès sont très prenantes. Je regrette néanmoins un peu le manque de perspective de ce film : que deviennent ces jeunes prodiges ? En dehors de l'ancien multi-lauréat devenu lui-même professeur, mystère... Le côté un peu kitsch des costumes et des coiffures (surtout pour les filles) fait sourire.
Pas très amateur de danse et de ballets en général, j'avais découvert les danses irlandaises avec le spectacle "Riverdance" et j'avais alors pris une grosse "claque". Une vraie merveille que j'avais visionnée plusieurs fois en DVD et j'avais assisté au spectacle "live" quelques mois plus tard. J'adore ! Ce film ("Jig") m'a beaucoup plu, d'une part à cause de la virtuosité des participants que nous y découvrons, et d'autre part parce que leur passion un peu extrême de cette discipline laisse rêveur. J'ai trouvé un peu de "Billy Eliott" là-dedans. J'ai aussi admiré la maturité de ces jeunes (en ce compris les très jeunes) et leur façon de nous montrer que, malgré leur implication dans cette passion, ils restent quand même "normaux". L'implication des parents est ici comparable à celle des parents de jeunes sportifs de haut niveau, capables de tout sacrifier à la passion et/ou au talent de leur(s) enfant(s). Les quelques scènes finales de palmarès sont très prenantes. Je regrette néanmoins un peu le manque de perspective de ce film : que deviennent ces jeunes prodiges ? En dehors de l'ancien multi-lauréat devenu lui-même professeur, mystère... Le côté un peu kitsch des costumes et des coiffures (surtout pour les filles) fait sourire.
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Le sujet est passionnant et correspond à une expérience vécue par la coréalisatrice du film. Les interdits raconte la vie de la communauté juive dans l'URSS de 1979 et aussi une histoire d'amour entre deux voyageurs français qui vont narguer l'autorité soviétique. Mais aucun des deux thèmes ne prend pas vraiment son essor. Ce n'est pas tant la faute du scénario qui se tient et aborde une quantité de thèmes. Mais de la mise en scène, désespérément plate, qui ne les met aucunement en valeur. L'interprétation de Soko sauve en partie la mise mais de manière insuffisante. C'est rageant car on pouvait attendre bien mieux de cette randonnée hasardeuse derrière le rideau de fer. Berk in the USSR ?
Le sujet est passionnant et correspond à une expérience vécue par la coréalisatrice du film. Les interdits raconte la vie de la communauté juive dans l'URSS de 1979 et aussi une histoire d'amour entre deux voyageurs français qui vont narguer l'autorité soviétique. Mais aucun des deux thèmes ne prend pas vraiment son essor. Ce n'est pas tant la faute du scénario qui se tient et aborde une quantité de thèmes. Mais de la mise en scène, désespérément plate, qui ne les met aucunement en valeur. L'interprétation de Soko sauve en partie la mise mais de manière insuffisante. C'est rageant car on pouvait attendre bien mieux de cette randonnée hasardeuse derrière le rideau de fer. Berk in the USSR ?
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204
Un film d'action comme on en voit tant. Pas une once d'originalité, pas un seul risque pris... Un scénario totalement banal dans le genre : des méchant russe ont volés des ogives nucléaires afin de tout faire péter aux States parce que ces derniers n'ont rien fait lors de la guerre d'ex Yougoslavie. Et puis, le tout est mêlé à des personnages très mal écrit, stéréotypés... C'est là que l'on voit clairement que ce film a été réalisé pour faire de l'argent, il est dépourvu de profondeur (seul l'ennui est profond ici). Mimi Leder nous livre une réalisation ultra conventionelle et plate au possible. C'est vraiment dommage que deux pointures comme Georges Clooney et Nicole Kidman se retrouvent ici. Car là, je suis désolé pour eux, mais je les ai trouvé vraiment moyen... Il faut dire aussi que leur rôles sont nul. Reste des SFX (moyens) et des longues scènes d'action (moyennes). La seule chose pouvant nous consoler est la bande originale du talentueux Hans Zimmer. Bref, un film inintéressant. Aucun intérêt.
Un film d'action comme on en voit tant. Pas une once d'originalité, pas un seul risque pris... Un scénario totalement banal dans le genre : des méchant russe ont volés des ogives nucléaires afin de tout faire péter aux States parce que ces derniers n'ont rien fait lors de la guerre d'ex Yougoslavie. Et puis, le tout est mêlé à des personnages très mal écrit, stéréotypés... C'est là que l'on voit clairement que ce film a été réalisé pour faire de l'argent, il est dépourvu de profondeur (seul l'ennui est profond ici). Mimi Leder nous livre une réalisation ultra conventionelle et plate au possible. C'est vraiment dommage que deux pointures comme Georges Clooney et Nicole Kidman se retrouvent ici. Car là, je suis désolé pour eux, mais je les ai trouvé vraiment moyen... Il faut dire aussi que leur rôles sont nul. Reste des SFX (moyens) et des longues scènes d'action (moyennes). La seule chose pouvant nous consoler est la bande originale du talentueux Hans Zimmer. Bref, un film inintéressant. Aucun intérêt.
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205
Comme le genre èpouvante-horreur est avant tout un business, on n'a trop tendance à lui donner ce qu'il demande! Cependant, lorsqu'on jette un coup d'oeil sur les rayons de DVD à 1 euro, on voit des trucs franchement dèplorables! Avec son atmosphère exotico-horrifique et son casting mèdiocre, "Night Terrors" est de cela! Même si le film est signè par le mythique rèalisateur de "The Texas Chainsaw Massacre" (Tobe Hooper) et interprètè par le cèlèbre croque-mitaine crèè par Wes Craven (Robert Englund), il n'en demeure pas moins complètement ratè avec aucune sèquence effrayante! Plaisir, donner par estime Genie (Zoe Trilling, magnifique blondeur tout en sensualitè et unique distraction du film de Hooper) ne sont que des petits plaisirs moroses de ceux qui ne peuvent satisfaire que le plus grand nombre! Oh, il y a partout des èpines, mais sur le chemin du vice, les rosiers sont couverts de fleurs! La nature ne reflète aucune de nos vertus [...] Avec son oeil de verre, Englund en Marquis De Sade fait chou blanc (la scène ridicule de la crucifixion). Attention tout de même car ce dernier n'assume pas la responsabilitè des pèchès de ses ancêtres! il a l'infortune d'appartenir aussi à une lignèe à jamais dègènèrèe de l'aristocratie! Pas ètonnant...
Comme le genre èpouvante-horreur est avant tout un business, on n'a trop tendance à lui donner ce qu'il demande! Cependant, lorsqu'on jette un coup d'oeil sur les rayons de DVD à 1 euro, on voit des trucs franchement dèplorables! Avec son atmosphère exotico-horrifique et son casting mèdiocre, "Night Terrors" est de cela! Même si le film est signè par le mythique rèalisateur de "The Texas Chainsaw Massacre" (Tobe Hooper) et interprètè par le cèlèbre croque-mitaine crèè par Wes Craven (Robert Englund), il n'en demeure pas moins complètement ratè avec aucune sèquence effrayante! Plaisir, donner par estime Genie (Zoe Trilling, magnifique blondeur tout en sensualitè et unique distraction du film de Hooper) ne sont que des petits plaisirs moroses de ceux qui ne peuvent satisfaire que le plus grand nombre! Oh, il y a partout des èpines, mais sur le chemin du vice, les rosiers sont couverts de fleurs! La nature ne reflète aucune de nos vertus [...] Avec son oeil de verre, Englund en Marquis De Sade fait chou blanc (la scène ridicule de la crucifixion). Attention tout de même car ce dernier n'assume pas la responsabilitè des pèchès de ses ancêtres! il a l'infortune d'appartenir aussi à une lignèe à jamais dègènèrèe de l'aristocratie! Pas ètonnant...
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Mais quelle daube!! Y'a pas une scène qui ne soit pas pompée d'un film déja existant. (Doberman, Natural City, Matrix, Bunker Palace Hotel, Strange Days, Equilibrium, Southland Tales et j'en passe) Impersonel et franchement mal filmé, Chrysalis possède également des dialogues d'une niaiserie sans bornes ainsi qu'une bande sonore médiocre. A oublier très vite .
Mais quelle daube!! Y'a pas une scène qui ne soit pas pompée d'un film déja existant. (Doberman, Natural City, Matrix, Bunker Palace Hotel, Strange Days, Equilibrium, Southland Tales et j'en passe) Impersonel et franchement mal filmé, Chrysalis possède également des dialogues d'une niaiserie sans bornes ainsi qu'une bande sonore médiocre. A oublier très vite .
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Sans doute la première superproduction western du parlant. Walsh a su y imprimer un véritable souffle épique à ce point que les deux sous-intrigues y paraissent anecdotiques. Il y a d'énormes moments de mise en scène, notamment le passage de la rivière, mais aussi un souci du réalisme qui disparaîtra du western que pour renaître a la fin des années 1960, on y meurt beaucoup y compris des enfants. Les indiens sont présentés sans trop de manichéisme, on regrettera juste quelques prêchi-prêcha, mais que voilà un grand film !
Sans doute la première superproduction western du parlant. Walsh a su y imprimer un véritable souffle épique à ce point que les deux sous-intrigues y paraissent anecdotiques. Il y a d'énormes moments de mise en scène, notamment le passage de la rivière, mais aussi un souci du réalisme qui disparaîtra du western que pour renaître a la fin des années 1960, on y meurt beaucoup y compris des enfants. Les indiens sont présentés sans trop de manichéisme, on regrettera juste quelques prêchi-prêcha, mais que voilà un grand film !
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208
Réalisé par le metteur en scène Lucio Fulci ( qui est surtout connu du grand public pour ses films d'horreur comme "l'Au-delà " ou encore " Frayeurs " ), cette version " spaghetti " du classique de Jack London est avant tout destinée au grand public. La mise en scène du réalisateur italien manque considérablement de conviction et, malgré les honnêtes interprétation de Franco Nero ( " Django " ) dans le rôle du journaliste Jason Scott et de Virna Lisi ( " La Tulipe Noire " ) dans le rôle de la Soeur Evangelina et d'une chouette photographie , le tout devient assez vite lassant et propose finalement assez peu de séquences marquantes. Une deception en ce qui me concerne, d'autant que le casting et l'histoire était prometteur.
Réalisé par le metteur en scène Lucio Fulci ( qui est surtout connu du grand public pour ses films d'horreur comme "l'Au-delà " ou encore " Frayeurs " ), cette version " spaghetti " du classique de Jack London est avant tout destinée au grand public. La mise en scène du réalisateur italien manque considérablement de conviction et, malgré les honnêtes interprétation de Franco Nero ( " Django " ) dans le rôle du journaliste Jason Scott et de Virna Lisi ( " La Tulipe Noire " ) dans le rôle de la Soeur Evangelina et d'une chouette photographie , le tout devient assez vite lassant et propose finalement assez peu de séquences marquantes. Une deception en ce qui me concerne, d'autant que le casting et l'histoire était prometteur.
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209
Si vous détestez Elle Est Trop Bien, que les niaiseries éstivales genre 10 Bones Raisons de te Larguer vous font vomir, eh bien j'ai le plaisir de vous présenter une jolie petite parle noire ! Descendue plus bas que terre par la critique, cette comédie mordante est tout à fait jubilatoire, humour noir, embiance trash et plutôt glauque parfois, tout cela sous le joli verni du lycée top branché, c'est explosif, surtout quand Rose McGowan, excellente, s'en mêle! Ajoutez y Judy Greer, jeune actrice montante à Hollywood, qui fait ici ses tout premiers pas en victime pas si nunuche que ça, ainsi que Pam Grier en inspectrice coriace, et vous êtes servi ! Jackie Brown contre des pestes bien plus vicelardes que la moyenne, le combat commence !!!
Si vous détestez Elle Est Trop Bien, que les niaiseries éstivales genre 10 Bones Raisons de te Larguer vous font vomir, eh bien j'ai le plaisir de vous présenter une jolie petite parle noire ! Descendue plus bas que terre par la critique, cette comédie mordante est tout à fait jubilatoire, humour noir, embiance trash et plutôt glauque parfois, tout cela sous le joli verni du lycée top branché, c'est explosif, surtout quand Rose McGowan, excellente, s'en mêle! Ajoutez y Judy Greer, jeune actrice montante à Hollywood, qui fait ici ses tout premiers pas en victime pas si nunuche que ça, ainsi que Pam Grier en inspectrice coriace, et vous êtes servi ! Jackie Brown contre des pestes bien plus vicelardes que la moyenne, le combat commence !!!
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210
C'est un excellent film italien bien troussé, bien rythmé, sans aucun ennui, qui parle bien des êtres humains, de la famille, de l'amour, des conflits, du passé, des projets d'avenir, des rancoeurs ect... J'ai passé un excellent moment et tout un chacun peut aisément se reconnaître dans un des personnages (bien campés).
C'est un excellent film italien bien troussé, bien rythmé, sans aucun ennui, qui parle bien des êtres humains, de la famille, de l'amour, des conflits, du passé, des projets d'avenir, des rancoeurs ect... J'ai passé un excellent moment et tout un chacun peut aisément se reconnaître dans un des personnages (bien campés).
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211
Il est clair que les parodies de films ne sont plus ce qu'elles étaient... Autrefois nous avions Mel Brooks puis l'équipe des ZAZ (David Zucker, Jim Abrahams, Jerry Zucker); aujourd'hui nous avons que ce bon vieux David Zucker, en manque d'inspiration sans ses acolytes, et le duo ringard Jason Friedberg et Aaron Seltzer. Pour ce quatrième opus de la saga Scary Movie, il faut admettre que c'est une petite et agréable surprise. Bien meilleur que son prédécesseur, ce nouvel épisode m'a sincèrement bien fait rigoler malgré la lourdeur de certaines scènes et l'inutilité d'autres (celles du Président Harris par exemple, grotesques et répétitives, l'inénarrable Leslie Nielsen n'étant plus ce qu'il était). Certains gags sont sympathiques voire franchement marrants tandis que d'autres sentent hélas le réchauffé, le frère Zucker ressassant les mêmes gags depuis la fin des années 90. Depuis le troisième opus, les films d'horreur ne sont plus les seuls parodiés et il en est de même ici, la trame se basant principalement sur La guerre des mondes, The Grudge, Saw et Le village. Ainsi, ponctué d'autres pastiches pas franchement drôles tels que Million Dollar Baby ou encore Le secret de Brokeback Mountain, le long-métrage se voit agrémenté de séquences ennuyeuses, comme du remplissage inutile et inapproprié. Heureusement que la ribambelle de nouveaux acteurs apportent un léger vent de folie à toute cette pagaille, des acteurs peu habitués à la parodie comme Bill Pullman, Cloris Leachman ou encore Michael Madsen, accompagnés des ineffaçables Anna Faris, Regina Hall, Carmen Elektra (dans un tout autre rôle que celui du premier film), Leslie Nielsen et même Charlie Sheen. Des effets spéciaux convaincants, un humour moins ringard et des guests stars par dizaine font donc de Scary Movie 4 un divertissement correct malgré une stagnante impression de déjà-vu.
Il est clair que les parodies de films ne sont plus ce qu'elles étaient... Autrefois nous avions Mel Brooks puis l'équipe des ZAZ (David Zucker, Jim Abrahams, Jerry Zucker); aujourd'hui nous avons que ce bon vieux David Zucker, en manque d'inspiration sans ses acolytes, et le duo ringard Jason Friedberg et Aaron Seltzer. Pour ce quatrième opus de la saga Scary Movie, il faut admettre que c'est une petite et agréable surprise. Bien meilleur que son prédécesseur, ce nouvel épisode m'a sincèrement bien fait rigoler malgré la lourdeur de certaines scènes et l'inutilité d'autres (celles du Président Harris par exemple, grotesques et répétitives, l'inénarrable Leslie Nielsen n'étant plus ce qu'il était). Certains gags sont sympathiques voire franchement marrants tandis que d'autres sentent hélas le réchauffé, le frère Zucker ressassant les mêmes gags depuis la fin des années 90. Depuis le troisième opus, les films d'horreur ne sont plus les seuls parodiés et il en est de même ici, la trame se basant principalement sur La guerre des mondes, The Grudge, Saw et Le village. Ainsi, ponctué d'autres pastiches pas franchement drôles tels que Million Dollar Baby ou encore Le secret de Brokeback Mountain, le long-métrage se voit agrémenté de séquences ennuyeuses, comme du remplissage inutile et inapproprié. Heureusement que la ribambelle de nouveaux acteurs apportent un léger vent de folie à toute cette pagaille, des acteurs peu habitués à la parodie comme Bill Pullman, Cloris Leachman ou encore Michael Madsen, accompagnés des ineffaçables Anna Faris, Regina Hall, Carmen Elektra (dans un tout autre rôle que celui du premier film), Leslie Nielsen et même Charlie Sheen. Des effets spéciaux convaincants, un humour moins ringard et des guests stars par dizaine font donc de Scary Movie 4 un divertissement correct malgré une stagnante impression de déjà-vu.
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212
Un sujet très bien traité malgré une certaine lenteur en début de film. Casting très performant et scénario très émouvant. Ce film mérite d'ouvrir réellement le débat sur l'euthanasie en France. En effet, en voyant cette femme devant se rendre en Suisse pour en finir est assez choquant voire frustrant. Âmes sensibles s’abstenir, les 15 dernières minutes m'ont été insoutenables psychologiquement. Une note de 4/5 pour un film extra.
Un sujet très bien traité malgré une certaine lenteur en début de film. Casting très performant et scénario très émouvant. Ce film mérite d'ouvrir réellement le débat sur l'euthanasie en France. En effet, en voyant cette femme devant se rendre en Suisse pour en finir est assez choquant voire frustrant. Âmes sensibles s’abstenir, les 15 dernières minutes m'ont été insoutenables psychologiquement. Une note de 4/5 pour un film extra.
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Un très bon divertissement bien mieux que le premier où Asgard est montré dans sa splendeur magnifique et où les Asgardiens sont mis à l'honneur. Tyr, le dieu de la guerre, fait ainsi une apparition de guerrier. Le début marque la fin d'Avengers et ses répercussions sur Loki(enfermé dès à présent dans un cachot). Les légendaires Elfes Noirs dominent en méchants avec Malekith très bien réussi et Kurse est bien démoniaque à souhait !! Oh! que c'est bon de voir ça au cinéma ! Des événements tragiques se succèdent(la mort de Frigga, ainsi que la (fausse) mort de Loki et Loki sur le trône à la toute fin). Les scènes d'actions y sont spectaculaires. Et Thor montre enfin sa rage. Enfin nous pourrons admirer l'excellent jeu de Jane Foster/Natalie Portman et l'excellent bande originale. Un excellent film dans l'ensemble (qui respecte bien les comics héhé). Il mérite 4.5 mais l'humour en trop grande quantité m'a énervé ce qui fait qu'il aura 4/5.
Un très bon divertissement bien mieux que le premier où Asgard est montré dans sa splendeur magnifique et où les Asgardiens sont mis à l'honneur. Tyr, le dieu de la guerre, fait ainsi une apparition de guerrier. Le début marque la fin d'Avengers et ses répercussions sur Loki(enfermé dès à présent dans un cachot). Les légendaires Elfes Noirs dominent en méchants avec Malekith très bien réussi et Kurse est bien démoniaque à souhait !! Oh! que c'est bon de voir ça au cinéma ! Des événements tragiques se succèdent(la mort de Frigga, ainsi que la (fausse) mort de Loki et Loki sur le trône à la toute fin). Les scènes d'actions y sont spectaculaires. Et Thor montre enfin sa rage. Enfin nous pourrons admirer l'excellent jeu de Jane Foster/Natalie Portman et l'excellent bande originale. Un excellent film dans l'ensemble (qui respecte bien les comics héhé). Il mérite 4.5 mais l'humour en trop grande quantité m'a énervé ce qui fait qu'il aura 4/5.
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pendant le film je n'ait eu qu'une envie, me foutre par la fenêtre. Dieu merci j'habite au rez de chaussé
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Jason Segel, scénariste et acteur principal du film est un énorme fan des Muppets. Cela se sent du début à la fin. Si vous êtes fans de la série originale ou des précédents films (comme je le suis) foncez voir ce film. Je l'ai adoré du début à la fin. Par contre ce film s'adresse vraiment à un public de connaisseurs. Le jeune public qui découvre les Muppets auront plus de mal à rentrer dans le film.
Jason Segel, scénariste et acteur principal du film est un énorme fan des Muppets. Cela se sent du début à la fin. Si vous êtes fans de la série originale ou des précédents films (comme je le suis) foncez voir ce film. Je l'ai adoré du début à la fin. Par contre ce film s'adresse vraiment à un public de connaisseurs. Le jeune public qui découvre les Muppets auront plus de mal à rentrer dans le film.
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Sur la plage abandonnée, non il y à bien du monde et pour cause, c'est la guerre de '40. Henri Verneuil réalisateur du merveilleux Un singe en hiver ne m'emballe pas énormément pour ce long-métrage qui ne manque pas certes de dialogues légèrement savoureux à la surface du sable de Dunkerque, je continue ma balade et petit à petit je n'y trouve pas plus de grains brillants. Reconstitution soigner, bombardements, mais pour y voir tout le long des troupes de soldats en ligne ou éparpillés avec une histoire d'amourette entre une jeune femme et Belmondo dont j'en ai pas strictement mais tristement rien à grenader. Week-end à tourner en rond pour ma part.
Sur la plage abandonnée, non il y à bien du monde et pour cause, c'est la guerre de '40. Henri Verneuil réalisateur du merveilleux Un singe en hiver ne m'emballe pas énormément pour ce long-métrage qui ne manque pas certes de dialogues légèrement savoureux à la surface du sable de Dunkerque, je continue ma balade et petit à petit je n'y trouve pas plus de grains brillants. Reconstitution soigner, bombardements, mais pour y voir tout le long des troupes de soldats en ligne ou éparpillés avec une histoire d'amourette entre une jeune femme et Belmondo dont j'en ai pas strictement mais tristement rien à grenader. Week-end à tourner en rond pour ma part.
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Au nom du père est un film engagé qui marque les esprits, une erreur judiciaire bouleversante d'autant plus violente qu'elle se déroule à une époque particulièrement tragique de l'Irlande.
Au nom du père est un film engagé qui marque les esprits, une erreur judiciaire bouleversante d'autant plus violente qu'elle se déroule à une époque particulièrement tragique de l'Irlande.
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Excellent film. Scénario très original qui traite du thème classique des relations extra conjugales de façon nouvelle : à partir du désir sexuel de la femme, qu'elle assume, de la lassitude de la vie de couple, d'une autre histoire conjugale qui aurait pû être mais surtout de la superposition des âges au présent que l'on a eu.
Excellent film. Scénario très original qui traite du thème classique des relations extra conjugales de façon nouvelle : à partir du désir sexuel de la femme, qu'elle assume, de la lassitude de la vie de couple, d'une autre histoire conjugale qui aurait pû être mais surtout de la superposition des âges au présent que l'on a eu.
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Terminator 2 est un excellent film. Le film possède de très bons effets spéciaux,un bon scénario et beaucoup de scènes d'actions époustouflantes. Terminator 2 est le meilleur de la saga!
Terminator 2 est un excellent film. Le film possède de très bons effets spéciaux,un bon scénario et beaucoup de scènes d'actions époustouflantes. Terminator 2 est le meilleur de la saga!
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Une immense déception, ce film Pokémon n'a pas de scénario nouveau, il reprend les grandes lignes du premier, sauf que ce n'est pas mewtwo en tête d'affiche (qui est juste là pour rappeler le film 1, et pour mettre en avant sa méga évolution), mais les Genesect, qui ne ressemblent plus à des Pokémon. De plus Sasha voit Mewtwo, et lui demande qui il est, alors qu'il l'a vu dans le film 1 (même si sa mémoire a été effacé, mais surtout dans le retour de mewtwo et dans le maitre des mirages) donc on se moque un peu des anciens fans des Pokémon. On sent que le reboot Pokémon est en marche pour attirer les plus jeunes. J'attends le prochain film pour voir si je continuerai à regarder les prochains films Pokémon ou si je m'arrête et reste avec mes anciens films
Une immense déception, ce film Pokémon n'a pas de scénario nouveau, il reprend les grandes lignes du premier, sauf que ce n'est pas mewtwo en tête d'affiche (qui est juste là pour rappeler le film 1, et pour mettre en avant sa méga évolution), mais les Genesect, qui ne ressemblent plus à des Pokémon. De plus Sasha voit Mewtwo, et lui demande qui il est, alors qu'il l'a vu dans le film 1 (même si sa mémoire a été effacé, mais surtout dans le retour de mewtwo et dans le maitre des mirages) donc on se moque un peu des anciens fans des Pokémon. On sent que le reboot Pokémon est en marche pour attirer les plus jeunes. J'attends le prochain film pour voir si je continuerai à regarder les prochains films Pokémon ou si je m'arrête et reste avec mes anciens films
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Une nouvelle vague bulgare vient-elle d'éclore ? En attendant Zift (impressionnant exercice de tyle tarantinien) et The world is big (Sortie en juin), Eastern Plays représente plus qu'une promesse. Tourné avec peu de moyens, éclatant d'authenticité, ce No future au goût bulgare évoque avec réalisme le quotidien de deux frères, symboles de la perte de repères de l'époque post-communiste : l'un est tétanisé par la méthadone et l'alcool, l'autre se réfugie dans le cocon de bandes xénophobes qui tabassent "du turc". Les parents, eux, ont déjà démissionné depuis longtemps. Mais au moment où le destin tragique des ces deux frères semble tout tracé, le scénario de Kamen Kalev a l'intelligence de donner un peu d'espoir et d'humanité (Inject me with love chante un groupe sur scène, la musique étant une composante essentielle du film). Sans mièvrerie et sans utopisme, la dernière partie d'Eastern Plays est lumineuse et peut faire croire en des jours meilleurs. Et elle laisse surtout à penser que Kamen Kalev, dont c'est le premier film, a un bel avenir devant lui.
Une nouvelle vague bulgare vient-elle d'éclore ? En attendant Zift (impressionnant exercice de tyle tarantinien) et The world is big (Sortie en juin), Eastern Plays représente plus qu'une promesse. Tourné avec peu de moyens, éclatant d'authenticité, ce No future au goût bulgare évoque avec réalisme le quotidien de deux frères, symboles de la perte de repères de l'époque post-communiste : l'un est tétanisé par la méthadone et l'alcool, l'autre se réfugie dans le cocon de bandes xénophobes qui tabassent "du turc". Les parents, eux, ont déjà démissionné depuis longtemps. Mais au moment où le destin tragique des ces deux frères semble tout tracé, le scénario de Kamen Kalev a l'intelligence de donner un peu d'espoir et d'humanité (Inject me with love chante un groupe sur scène, la musique étant une composante essentielle du film). Sans mièvrerie et sans utopisme, la dernière partie d'Eastern Plays est lumineuse et peut faire croire en des jours meilleurs. Et elle laisse surtout à penser que Kamen Kalev, dont c'est le premier film, a un bel avenir devant lui.
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Je suis très étonné de voir qu'un si bon film reçoive autant de critiques négatif de la part de la presse ou des spectateurs. Le scénario est suffisamment rythmé pour qu'on ne sentent pas trop passer les 2h40, savant mélange d'action, d'amour et d'humour le film se suit avec plaisir. Il aurait très bien pu s’arrêtait au bout 1h30, mais Baz Luhrmann a eut l'excellente idée d'approfondir la relation entre, Sarah Ashley et le Drover durant toute sa seconde partie. Sur fond de seconde guerre mondiale, l'histoire d'amour qui unit Nicole Kidman et Hugh Jackman au jeune aborigène est vraiment touchante. Les acteurs sont magnifiques et les paysages Australien absolument sublimes, même si je regrette que la plupart des décors filmé soit des incrustation et par des décors naturel et cela est flagrant durant tout le film. Le film donne à la fois son lot de scènes Far-West et de guerre, mais également quelques éléments de réflexion sur l'histoire de l'Australie notamment sur la conditions des Aborigènes a cette époque. Australia reste cependant un film romantique somme toute assez classique mais très sympa a suivre malgré sa durée qui n'est pas un problème ici.
Je suis très étonné de voir qu'un si bon film reçoive autant de critiques négatif de la part de la presse ou des spectateurs. Le scénario est suffisamment rythmé pour qu'on ne sentent pas trop passer les 2h40, savant mélange d'action, d'amour et d'humour le film se suit avec plaisir. Il aurait très bien pu s’arrêtait au bout 1h30, mais Baz Luhrmann a eut l'excellente idée d'approfondir la relation entre, Sarah Ashley et le Drover durant toute sa seconde partie. Sur fond de seconde guerre mondiale, l'histoire d'amour qui unit Nicole Kidman et Hugh Jackman au jeune aborigène est vraiment touchante. Les acteurs sont magnifiques et les paysages Australien absolument sublimes, même si je regrette que la plupart des décors filmé soit des incrustation et par des décors naturel et cela est flagrant durant tout le film. Le film donne à la fois son lot de scènes Far-West et de guerre, mais également quelques éléments de réflexion sur l'histoire de l'Australie notamment sur la conditions des Aborigènes a cette époque. Australia reste cependant un film romantique somme toute assez classique mais très sympa a suivre malgré sa durée qui n'est pas un problème ici.
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Un comédie française signée Eric Lartigau, compagnon de Marina Fois et à qui on doit la super série "H", certains épisodes des guignols. De son passage à Canal+ naitra une collaboration avec Kad et Olivier, avec qui il réalisera "Qui a tué Pamela Rose". On lui doit aussi des beaux films comme "L'homme qui voulait vivre sa vie", la Famille Bélier". Un type de comédie à l'humour un peu débile qui a au moins le mérite d'être drôle. Nous retrouvons ici tout l'univers absurde et décalé de Kad et Olivier et des Robins des bois, il faut aimer. Un bon travail des décors, la salle de contrôle est installé dans la magnifique salle du Parti Communiste Français. Belle réalisation technique.
Un comédie française signée Eric Lartigau, compagnon de Marina Fois et à qui on doit la super série "H", certains épisodes des guignols. De son passage à Canal+ naitra une collaboration avec Kad et Olivier, avec qui il réalisera "Qui a tué Pamela Rose". On lui doit aussi des beaux films comme "L'homme qui voulait vivre sa vie", la Famille Bélier". Un type de comédie à l'humour un peu débile qui a au moins le mérite d'être drôle. Nous retrouvons ici tout l'univers absurde et décalé de Kad et Olivier et des Robins des bois, il faut aimer. Un bon travail des décors, la salle de contrôle est installé dans la magnifique salle du Parti Communiste Français. Belle réalisation technique.
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C'est très gros, on peut se poser beaucoup de questions, ça peut manquer de crédibilité, mais ça marche pourtant parfaitement. "The Truman show" est une expérience unique et bluffante. Jim Carrey signe ici l'un de ses plus beaux rôles dans l'un de ses plus beaux films. Le scénario est juste succulent, intelligent, et intriguant, en nous faisant découvrir le monde de cet inconscient. Un programme de télé-réalité qui surpassera toutes les dimensions en profitant de la naïveté humaine. Un univers magique (dans un contexte cinématographique) qui nous émerveillera par son concept réalisé à la perfection. Ce long-métrage nous prend aux tripes, c'est si précieusement mis en scène et si troublant, qu'on se laisse embarquer sans même le savoir.
C'est très gros, on peut se poser beaucoup de questions, ça peut manquer de crédibilité, mais ça marche pourtant parfaitement. "The Truman show" est une expérience unique et bluffante. Jim Carrey signe ici l'un de ses plus beaux rôles dans l'un de ses plus beaux films. Le scénario est juste succulent, intelligent, et intriguant, en nous faisant découvrir le monde de cet inconscient. Un programme de télé-réalité qui surpassera toutes les dimensions en profitant de la naïveté humaine. Un univers magique (dans un contexte cinématographique) qui nous émerveillera par son concept réalisé à la perfection. Ce long-métrage nous prend aux tripes, c'est si précieusement mis en scène et si troublant, qu'on se laisse embarquer sans même le savoir.
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Les guerres de Yougoslavie s'étant déroulées de 1991 à 1999, l'idée est bonne de raconter 3 histoire de couples où l'un est serbe et l'autre croate, la première histoire se déroulant au début du conflit, la deuxième quelque temps après la fin du conflit et la troisième bien plus longtemps après : 1991, 2001, 2011. Faire jouer les 3 couples par les mêmes comédiens : pourquoi pas. Reste à trouver un scénario pour chacune des 3 histoires, reste à réaliser. Et c'est là que le bat blesse ! Vu le sujet, on pouvait s'attendre à être envahi par l'émotion : on n'en ressent aucune. En fait, lorsqu'on voit le premier épisode de la trilogie, on se dit : bof, bof, espérons que les deux suivants soient meilleurs. Problème : le deuxième est moins bon et le troisième encore pire.
Les guerres de Yougoslavie s'étant déroulées de 1991 à 1999, l'idée est bonne de raconter 3 histoire de couples où l'un est serbe et l'autre croate, la première histoire se déroulant au début du conflit, la deuxième quelque temps après la fin du conflit et la troisième bien plus longtemps après : 1991, 2001, 2011. Faire jouer les 3 couples par les mêmes comédiens : pourquoi pas. Reste à trouver un scénario pour chacune des 3 histoires, reste à réaliser. Et c'est là que le bat blesse ! Vu le sujet, on pouvait s'attendre à être envahi par l'émotion : on n'en ressent aucune. En fait, lorsqu'on voit le premier épisode de la trilogie, on se dit : bof, bof, espérons que les deux suivants soient meilleurs. Problème : le deuxième est moins bon et le troisième encore pire.
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Un divertissement très conventionnel, qui ne réserve aucune surprise dans le scénario même si l'escalade de violence du "méchant" est bien amenée quoique manquant de profondeur psychologique. Tony Scott nous offre une nouvelle mise en scène nerveuse mais plutôt maitrisée dans l'ensemble. Les acteurs ne sont pas bons, à l'image de Robert de Niro qui surjoue trop. Pas fameux du tout.
Un divertissement très conventionnel, qui ne réserve aucune surprise dans le scénario même si l'escalade de violence du "méchant" est bien amenée quoique manquant de profondeur psychologique. Tony Scott nous offre une nouvelle mise en scène nerveuse mais plutôt maitrisée dans l'ensemble. Les acteurs ne sont pas bons, à l'image de Robert de Niro qui surjoue trop. Pas fameux du tout.
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Pour moi on est quand même plus proche du Nanard que d’un Warriors à la française. Principalement parce qu’aucun personnage ou presque ne paraît crédible soit à cause de l’écriture soit à cause de l’interprétation de ces personnages (exception faite de Bernard Giraudeau qui s’en sort pas mal). Tout y est ridicule ou mal fichu, on veut nous décrire un quartier misérable et pourtant les voitures sont des grosses américaines, les gosses sont totalement improbables et jouent horriblement, on voit des figurants qui font plus dandy des années 80 que loubard, quand au scènes de bagarres ... non des chatons qui se chamailleraient cela paraîtrait plus impressionnant. Apparemment gros succès au moment de sa sortie rue barbare est un film qui a terriblement souffert du temps qui passe.
Pour moi on est quand même plus proche du Nanard que d’un Warriors à la française. Principalement parce qu’aucun personnage ou presque ne paraît crédible soit à cause de l’écriture soit à cause de l’interprétation de ces personnages (exception faite de Bernard Giraudeau qui s’en sort pas mal). Tout y est ridicule ou mal fichu, on veut nous décrire un quartier misérable et pourtant les voitures sont des grosses américaines, les gosses sont totalement improbables et jouent horriblement, on voit des figurants qui font plus dandy des années 80 que loubard, quand au scènes de bagarres ... non des chatons qui se chamailleraient cela paraîtrait plus impressionnant. Apparemment gros succès au moment de sa sortie rue barbare est un film qui a terriblement souffert du temps qui passe.
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Clint Eastwood est Bronco Billy, un personnage fier de sa terre et conservateur du rêve américain, il tient une troupe de cirque et anime les yeux des enfants et des adultes avec tout le charme de l'Amérique d'antan et profonde. Les enfants qu'il prénomme je cite "les crapauds ou bien encore grenouille". Vous retrouverez une fois de plus Sondra Locke l'ex de Clint dans la vraie vie. Film très intimiste probablement le plus intime de Clint. J'oublierai pas non plus le passage ou il tente de braquer comme à l'époque un train mais de notre temps , tout simplement hilarant et burlesque.
Clint Eastwood est Bronco Billy, un personnage fier de sa terre et conservateur du rêve américain, il tient une troupe de cirque et anime les yeux des enfants et des adultes avec tout le charme de l'Amérique d'antan et profonde. Les enfants qu'il prénomme je cite "les crapauds ou bien encore grenouille". Vous retrouverez une fois de plus Sondra Locke l'ex de Clint dans la vraie vie. Film très intimiste probablement le plus intime de Clint. J'oublierai pas non plus le passage ou il tente de braquer comme à l'époque un train mais de notre temps , tout simplement hilarant et burlesque.
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Tremors 4 est un très bon dernier volet dans un univers far-west et je trouve ça assez audacieux et plutôt bien réalisé ! Après la petite décéption qu'a été le 3ème volet à mon sens ce dernier m'a réconcilié avec cette saga que j'apprécie vraiment ! Il y a un truc, un petit truc, c'est que un événement comme ça il devrait rester des traces et du coup les gens du 1er film devrait connaître les graboïdes ! Mais ça s'explique par 2 choses 1 : Je ne pense qu'ils savaient qu'ils allaient faire d'autres films lorsqu'ils ont fait le 1er ! Et 2 : Le 1er perdrait tout son intérêt si les gens de Perfection connaissait la menace ! Voilà donc pour moi bonne fin de saga et bonne saga en général !! ;)
Tremors 4 est un très bon dernier volet dans un univers far-west et je trouve ça assez audacieux et plutôt bien réalisé ! Après la petite décéption qu'a été le 3ème volet à mon sens ce dernier m'a réconcilié avec cette saga que j'apprécie vraiment ! Il y a un truc, un petit truc, c'est que un événement comme ça il devrait rester des traces et du coup les gens du 1er film devrait connaître les graboïdes ! Mais ça s'explique par 2 choses 1 : Je ne pense qu'ils savaient qu'ils allaient faire d'autres films lorsqu'ils ont fait le 1er ! Et 2 : Le 1er perdrait tout son intérêt si les gens de Perfection connaissait la menace ! Voilà donc pour moi bonne fin de saga et bonne saga en général !! ;)
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Voila un film dans l’air du temps! Par le prisme du vin, si fédérateur en France, il aborde le sujet délicat des pesticides et leur utilisation à l'excès. Pour un scientifique comme moi, il est important de sensibiliser le grand public sur ces sujets concernant les pesticides et tous ces perturbateurs endocriniens de manière générale. Et Vino veritas est dans la lignée de ces films/documents qui font réfléchir, et même au delà de cela, ils sont d’utilité publique. Donc à voir sans modération!!
Voila un film dans l’air du temps! Par le prisme du vin, si fédérateur en France, il aborde le sujet délicat des pesticides et leur utilisation à l'excès. Pour un scientifique comme moi, il est important de sensibiliser le grand public sur ces sujets concernant les pesticides et tous ces perturbateurs endocriniens de manière générale. Et Vino veritas est dans la lignée de ces films/documents qui font réfléchir, et même au delà de cela, ils sont d’utilité publique. Donc à voir sans modération!!
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pas grand chose à se mettre sous la dent, un des moins bon Van Damme du à un budget dérisoire !!!!
pas grand chose à se mettre sous la dent, un des moins bon Van Damme du à un budget dérisoire !!!!
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Emblématique de la nouvelle vague; "Jules et Jim", adapté du roman portant le même nom de "Henri-Pierre Roché", se caractérise surtout par un cinéma entièrement libre ou rien ne semble interdit. L'efficacité de la mise en scène de Truffaut se fait ressentir dès les premières minutes : narration furtive d'une qualité déconcertante, originalité des plans, mouvements de caméras... Truffaut brille lorsqu'il s'agit de renverser et de tenter de révolutionner le cinéma, "Jules et Jim" en est un parfait exemple. Un chef d'oeuvre de poésie, d'amour mais aussi de musique; un scénario intelligemment écrit et un final d'une grande subtilité : difficile d'en dire plus... Une belle leçon de cinéma
Emblématique de la nouvelle vague; "Jules et Jim", adapté du roman portant le même nom de "Henri-Pierre Roché", se caractérise surtout par un cinéma entièrement libre ou rien ne semble interdit. L'efficacité de la mise en scène de Truffaut se fait ressentir dès les premières minutes : narration furtive d'une qualité déconcertante, originalité des plans, mouvements de caméras... Truffaut brille lorsqu'il s'agit de renverser et de tenter de révolutionner le cinéma, "Jules et Jim" en est un parfait exemple. Un chef d'oeuvre de poésie, d'amour mais aussi de musique; un scénario intelligemment écrit et un final d'une grande subtilité : difficile d'en dire plus... Une belle leçon de cinéma
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film de bas etage, digne des series venus d'allemagne, pourtant c'est russe!!!!!!!!!!!!
film de bas etage, digne des series venus d'allemagne, pourtant c'est russe!!!!!!!!!!!!
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Certes c'est toujours trés drôle et bien réalisé mis on sent malgré tout que la série s'essoufle. Les gags ne sont pas aussi savoureux que dans le opus précédent, dommage...
Certes c'est toujours trés drôle et bien réalisé mis on sent malgré tout que la série s'essoufle. Les gags ne sont pas aussi savoureux que dans le opus précédent, dommage...
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Un certain esthétisme du à son réalisateur, mais un scénario à deux francs six sous gâche l'ensemble .
Un certain esthétisme du à son réalisateur, mais un scénario à deux francs six sous gâche l'ensemble .
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Rien d’étonnant qu’un film dénonçant l’absurdité de la guerre avec à la barre le très sophistiqué Denys de La Patellière et scénarisé par l’excellent Michel Audiard d’après un roman de René Havard ait à ce point fait mouche lors de sa sortie. La présence de grands noms, tels que Lino Ventura,Harry Krueger ou Charles Aznavour, a bien évidemment aidé à rendre populaire ce pamphlet antimilitariste sorti en plein pendant la guerre d’Algérie. Le travail qui est fait sur ces cinq personnages contraints de coexister dans un huis-clos à ciel ouvert et sur l'évolution de leurs relations en fait un drame psychologique plein d’humanisme, digne des meilleures œuvres de Jean Renoir. Sa fin émouvante et surprenante, très rare dans ce genre de films, est un autre élément qui donne à ce très beau long-métrage davantage d’originalité.
Rien d’étonnant qu’un film dénonçant l’absurdité de la guerre avec à la barre le très sophistiqué Denys de La Patellière et scénarisé par l’excellent Michel Audiard d’après un roman de René Havard ait à ce point fait mouche lors de sa sortie. La présence de grands noms, tels que Lino Ventura,Harry Krueger ou Charles Aznavour, a bien évidemment aidé à rendre populaire ce pamphlet antimilitariste sorti en plein pendant la guerre d’Algérie. Le travail qui est fait sur ces cinq personnages contraints de coexister dans un huis-clos à ciel ouvert et sur l'évolution de leurs relations en fait un drame psychologique plein d’humanisme, digne des meilleures œuvres de Jean Renoir. Sa fin émouvante et surprenante, très rare dans ce genre de films, est un autre élément qui donne à ce très beau long-métrage davantage d’originalité.
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La Voix des Morts, malgré une idée de départ alléchante, peine à convaincre. Le film s’essouffle au bout d'une heure, les rebondissements manquent cruellement et la photo, pourtant très propre sur elle, ne fait plus suffisamment illusion, reléguant le tout à une série B à gros budget mais sans saveur. Sans parler d'une fin bidon... Lire notre critique sur le site terreurvision !
La Voix des Morts, malgré une idée de départ alléchante, peine à convaincre. Le film s’essouffle au bout d'une heure, les rebondissements manquent cruellement et la photo, pourtant très propre sur elle, ne fait plus suffisamment illusion, reléguant le tout à une série B à gros budget mais sans saveur. Sans parler d'une fin bidon... Lire notre critique sur le site terreurvision !
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Quelle déception pour ma part à la fin de ce film. Pourtant l'affaire du Watergate est certainement l'une des plus fascinantes avec l'assassinat de Kennedy, qui a marqué l'histoire de la présidence américaine. C'est à l'époque un sujet brulant pour les Etats-Unis, un grand traumatisme et en s'attelant au projet Alan J. Paluka sait qu'il ne pourra pas décevoir ses concitoyens sur la restitution des faits. Là n'est pas le problème puisque les faits sont clairement abordés et plutôt bien d'ailleurs, sauf que c'est long, c'est difficile à comprendre pour quiconque ne connait pas l'histoire dans les détails. Un autre problème avec ce film c'est qu'il ne restitue les faits que jusqu'à la ré investiture de Nixon en 1972, autrement dit le film occulte complètement la fin de l'affaire, n'y faisant allusion que très vaguement sur la fin. Pourquoi ? Pourquoi ne pas parler de l'affaire du début à la fin au lieu de ne parler que de 7 mois d'enquête ? C'est décevant, vraiment très décevant et pas forcément compréhensible. C'est bien dommage car le sujet avait de la profondeur et est finalement plutôt bien traité par Paluka, le début du film est franchement intéressant mais la suite se perd dans un bavardage incessant. Décevant.
Quelle déception pour ma part à la fin de ce film. Pourtant l'affaire du Watergate est certainement l'une des plus fascinantes avec l'assassinat de Kennedy, qui a marqué l'histoire de la présidence américaine. C'est à l'époque un sujet brulant pour les Etats-Unis, un grand traumatisme et en s'attelant au projet Alan J. Paluka sait qu'il ne pourra pas décevoir ses concitoyens sur la restitution des faits. Là n'est pas le problème puisque les faits sont clairement abordés et plutôt bien d'ailleurs, sauf que c'est long, c'est difficile à comprendre pour quiconque ne connait pas l'histoire dans les détails. Un autre problème avec ce film c'est qu'il ne restitue les faits que jusqu'à la ré investiture de Nixon en 1972, autrement dit le film occulte complètement la fin de l'affaire, n'y faisant allusion que très vaguement sur la fin. Pourquoi ? Pourquoi ne pas parler de l'affaire du début à la fin au lieu de ne parler que de 7 mois d'enquête ? C'est décevant, vraiment très décevant et pas forcément compréhensible. C'est bien dommage car le sujet avait de la profondeur et est finalement plutôt bien traité par Paluka, le début du film est franchement intéressant mais la suite se perd dans un bavardage incessant. Décevant.
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Aussi mauvais que le deuxième. Bref a éviter, à zapper.
Aussi mauvais que le deuxième. Bref a éviter, à zapper.
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Critique un peu sévère mais finalement à la hauteur de la déception engendrée par ce film. Le côté lent et sombre de ce dernier aurait pu se révéler un bon choix si le scénario avait été mieux exploité ; mais le cinéaste s'éparpille en de multiples chemins qu'à aucun moment il ne creuse. Tout est bien trop lisse pour paraître crédible et l'idée de départ demeure lettre morte, car l'auteur se cantonne aux problèmes et phobies des personnages principaux sans jamais élever le débat. Il y avait là certainement matière à un film beaucoup plus courageux et un peu moins naïf. Robin Williams confirme son "autre" talent de comédien (quoique quasiment dupliqué depuis "Photo Obsession", et déjà bien ébauché dans "Insomnia"), mais ne suffit pas à renflouer l'entreprise. Quant à la scène finale, elle frise malheureusement le médiocre. Un tel sujet méritait assurément un peu plus d'ambition...
Critique un peu sévère mais finalement à la hauteur de la déception engendrée par ce film. Le côté lent et sombre de ce dernier aurait pu se révéler un bon choix si le scénario avait été mieux exploité ; mais le cinéaste s'éparpille en de multiples chemins qu'à aucun moment il ne creuse. Tout est bien trop lisse pour paraître crédible et l'idée de départ demeure lettre morte, car l'auteur se cantonne aux problèmes et phobies des personnages principaux sans jamais élever le débat. Il y avait là certainement matière à un film beaucoup plus courageux et un peu moins naïf. Robin Williams confirme son "autre" talent de comédien (quoique quasiment dupliqué depuis "Photo Obsession", et déjà bien ébauché dans "Insomnia"), mais ne suffit pas à renflouer l'entreprise. Quant à la scène finale, elle frise malheureusement le médiocre. Un tel sujet méritait assurément un peu plus d'ambition...
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Apres 10 min peu convaincantes, j'ai decide de regarder le film (ou plutot telefilm a ce que je crois comprendre mais ca ne m'etonne pas) et j'ai eu bcp de flair parce que le film a l'air bien nul ! Les gosses jouent pas super bien (on reste soft cette fois), c'est mou et tres froid pr un film pour enfants, sans compter que l'histoire a l'air bien debile...
Apres 10 min peu convaincantes, j'ai decide de regarder le film (ou plutot telefilm a ce que je crois comprendre mais ca ne m'etonne pas) et j'ai eu bcp de flair parce que le film a l'air bien nul ! Les gosses jouent pas super bien (on reste soft cette fois), c'est mou et tres froid pr un film pour enfants, sans compter que l'histoire a l'air bien debile...
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242
Pour moi cet épisode est une erreur. Visiblement à cour d’idées Don Coscarelli veut avec ce Phantasm 4 donner des explications sur le Tall Man et sur ses trois films précédents alors que c’est précisément leur côté étrange qui faisait leur réussite. Comme en plus ces explications paraissent bien foireuses, on peut sans problème le qualifier d’épisode de trop, car si j’étais indulgent avec les précédents, le premier degrés adopté fait que la je n’ai vu que les défauts. Comme pour les autres films si vous vous lancez, essayez de trouver une Vo car la Vf est calamiteuse.
Pour moi cet épisode est une erreur. Visiblement à cour d’idées Don Coscarelli veut avec ce Phantasm 4 donner des explications sur le Tall Man et sur ses trois films précédents alors que c’est précisément leur côté étrange qui faisait leur réussite. Comme en plus ces explications paraissent bien foireuses, on peut sans problème le qualifier d’épisode de trop, car si j’étais indulgent avec les précédents, le premier degrés adopté fait que la je n’ai vu que les défauts. Comme pour les autres films si vous vous lancez, essayez de trouver une Vo car la Vf est calamiteuse.
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Beau casting, quelques scènes sympa, un Jason Statham en dehors de ses sentiers habituels, mais film trop cliché.
Beau casting, quelques scènes sympa, un Jason Statham en dehors de ses sentiers habituels, mais film trop cliché.
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Pas très crédible ce film... La ballade dans les bois, ça va cinq minutes, mais après, ça soule vraiment. On voit les vikings en train de survivre dans un milieu à peine hostile et on ne voit que ça pendant 1h45. Les acteurs sont extraordinairement mauvais, ils ont autant l'air de vikings que moi d'un pingouin du Sahara. La caméra bouge tellement qu'on y voit pas grand chose, ça frôle l'amateurisme.
Pas très crédible ce film... La ballade dans les bois, ça va cinq minutes, mais après, ça soule vraiment. On voit les vikings en train de survivre dans un milieu à peine hostile et on ne voit que ça pendant 1h45. Les acteurs sont extraordinairement mauvais, ils ont autant l'air de vikings que moi d'un pingouin du Sahara. La caméra bouge tellement qu'on y voit pas grand chose, ça frôle l'amateurisme.
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un tre moyen qui ma pas mal soulé rien se pass vraiment dans se film
un tre moyen qui ma pas mal soulé rien se pass vraiment dans se film
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Grease est une des meilleures comédies musicales du cinéma avec deux acteurs au sommet de leur art . Certes c est kitch mais ils y croient tous et les chorégraphies sont excellentes et rythmées. John Travolta après son succès dans la fièvre du samedi soir , surjoue un peu mais le rôle veut ça et il le fait plutôt très bien . Les chansons restent dans notre tête un bon moment.
Grease est une des meilleures comédies musicales du cinéma avec deux acteurs au sommet de leur art . Certes c est kitch mais ils y croient tous et les chorégraphies sont excellentes et rythmées. John Travolta après son succès dans la fièvre du samedi soir , surjoue un peu mais le rôle veut ça et il le fait plutôt très bien . Les chansons restent dans notre tête un bon moment.
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247
Il n'y a absolument aucun intérêt à voir ce film de malfrats, c'est assez mauvais, pas du tout intéressant. On s'ennuie, c'est agaçant, surtout qu'il y a tant de films en ce moment beaucoup mieux. C'est une grande déception.
Il n'y a absolument aucun intérêt à voir ce film de malfrats, c'est assez mauvais, pas du tout intéressant. On s'ennuie, c'est agaçant, surtout qu'il y a tant de films en ce moment beaucoup mieux. C'est une grande déception.
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Enfin un film qui lève le voile et qui démystifie complètement le grand Genghis Khan. Le soucis du détail pour les costumes et les armes est indéniable, sans oublier le côté ludique du film. Oui ludique par son approche du peuple mongole. Coutumes et traditions sont ici bien décrites, et suffisament expliquées afin de rendre le film accéssible à tous. Même aux plus jeunes. Mais il convient de rappeler que ce n'est pas un film sur Genghis Khan, mais sur l'homme qui DEVIENDRA Genghis Khan. D'ailleurs, le final du film est très explicite sur la différence entre Témoundjin et Genghis Khan. Témoundjin poursuivait un rêve, Genghis Khan va le faire entrer dans l'histoire. Et la Bande originale ? Un régale que l'on cherchera à acquérir pour la puretée de sa composition. Un film merveilleux qui ravira les médiévistes et les cinéphiles.
Enfin un film qui lève le voile et qui démystifie complètement le grand Genghis Khan. Le soucis du détail pour les costumes et les armes est indéniable, sans oublier le côté ludique du film. Oui ludique par son approche du peuple mongole. Coutumes et traditions sont ici bien décrites, et suffisament expliquées afin de rendre le film accéssible à tous. Même aux plus jeunes. Mais il convient de rappeler que ce n'est pas un film sur Genghis Khan, mais sur l'homme qui DEVIENDRA Genghis Khan. D'ailleurs, le final du film est très explicite sur la différence entre Témoundjin et Genghis Khan. Témoundjin poursuivait un rêve, Genghis Khan va le faire entrer dans l'histoire. Et la Bande originale ? Un régale que l'on cherchera à acquérir pour la puretée de sa composition. Un film merveilleux qui ravira les médiévistes et les cinéphiles.
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c'est en le revisionnant que j'ai complètement révisé mon jugement sur ce film, tout ce qui m'avait paru faire défaut me semble aujourd'hui être une qualité, la pauvreté des moyens n'en font qu'une œuvre plus noire, et Romero s'est concentré sur l'essentiel, ses personnages.
c'est en le revisionnant que j'ai complètement révisé mon jugement sur ce film, tout ce qui m'avait paru faire défaut me semble aujourd'hui être une qualité, la pauvreté des moyens n'en font qu'une œuvre plus noire, et Romero s'est concentré sur l'essentiel, ses personnages.
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Difficile de faire plus nul ! Sans queue ni tête, si je peux me permettre. Scénario digne d'un QI d'idiot
Difficile de faire plus nul ! Sans queue ni tête, si je peux me permettre. Scénario digne d'un QI d'idiot
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L'OEUVRE D'ART du Cinema ,chaque scène est un Tableau digne des plus grands maitres de l'art pictural.
L'OEUVRE D'ART du Cinema ,chaque scène est un Tableau digne des plus grands maitres de l'art pictural.
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252
Star inconnue en France, l'acteur Sonny Chiba a pourtant connue de belles heures de gloires au Japon après la mort de Bruce Lee. Premier film non pornographique à avoir été interdit aux moins de 18 ans aux Etats-Unis, la saga bénéficiait d'une réputation de fer, notamment avec les paroles de Quentin Tarantino à son sujet. Jusque là impossible de vérifier mais heureusement pour nous, HK Video a eu l'intelligence de sortir un coffret. Avant d'ouvrir le champagne, encore fallait-il justifier les 45 euros investis. Takuma Kutsurugi est tueur à gages. Pas de sniper, de lunettes à infrarouges ni de montres laser mais des poings et des pieds dur comme le fer. Véritable barbare, Kutsurugi est sans cesse aussi tordu que démonique : il arrache les yeux, la glotte, les testicules, casses les bras, fend les têtes et catapulte tout le monde dans le décors. Un jour il se voit offrir la mission de protéger une riche héritière. Je peux vous le dire d'avance, les 45 euros sont bien justifiés. Loin de la morale, loin de la recherche perpétuelle d'une histoire ( John Woo) loin du cérébral, le réalisateur est là pour casser des têtes. Aucun autre objectif d'accrocher le spectateur, de le faire aimer le malsain tueur à gage. Entre tragique et grotesque, le film n'a pas fait son choix et provoque une énorme jouissance. Violent et exagéré, The Street Fighter est une des plus belles représentations du cinéma asiatique. Et en plus de ça il y a 3 autres épisodes Que du bonheur !
Star inconnue en France, l'acteur Sonny Chiba a pourtant connue de belles heures de gloires au Japon après la mort de Bruce Lee. Premier film non pornographique à avoir été interdit aux moins de 18 ans aux Etats-Unis, la saga bénéficiait d'une réputation de fer, notamment avec les paroles de Quentin Tarantino à son sujet. Jusque là impossible de vérifier mais heureusement pour nous, HK Video a eu l'intelligence de sortir un coffret. Avant d'ouvrir le champagne, encore fallait-il justifier les 45 euros investis. Takuma Kutsurugi est tueur à gages. Pas de sniper, de lunettes à infrarouges ni de montres laser mais des poings et des pieds dur comme le fer. Véritable barbare, Kutsurugi est sans cesse aussi tordu que démonique : il arrache les yeux, la glotte, les testicules, casses les bras, fend les têtes et catapulte tout le monde dans le décors. Un jour il se voit offrir la mission de protéger une riche héritière. Je peux vous le dire d'avance, les 45 euros sont bien justifiés. Loin de la morale, loin de la recherche perpétuelle d'une histoire ( John Woo) loin du cérébral, le réalisateur est là pour casser des têtes. Aucun autre objectif d'accrocher le spectateur, de le faire aimer le malsain tueur à gage. Entre tragique et grotesque, le film n'a pas fait son choix et provoque une énorme jouissance. Violent et exagéré, The Street Fighter est une des plus belles représentations du cinéma asiatique. Et en plus de ça il y a 3 autres épisodes Que du bonheur !
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Misérabilisme sur fond de poésie des espaces désolés, Les Bêtes du Sud sauvage ne vaut que pour la porosité avec laquelle son imagerie réussit à mêler réalisme et imaginaire, la caméra jouant ainsi de ce flottement pour composer des plans magnifiques, à l’instar de la visite des enfants dans un bar peu fréquentable en fin de film : un léger flou, un mouvement constant, des couleurs, corps et décors fusionnant ensemble. Le souci, c’est que la beauté ne suffit pas à rattraper l’épanchement lacrymatoire avec lequel est traitée cette histoire certes touchante, mais beaucoup trop chargée pour convaincre : le réalisateur colle toujours au plus près de la réalité qu’il pense restituer dans son exactitude – postulat qui légitime tous les excès – puisque de cette réalité qui grouille devant lui il n’extrait que des paquets compacts dont ne ressort qu’un opportunisme malvenu. Ça grouille, ça piaille, ça crie, on broie le crabe, on s’enlise dans la boue. Une voix off laisse entendre la plus improbable des narrations d’enfant, de cette enfant qui regrette des choses que seul un adulte connaît, qui fait preuve d’une sensibilité en carton-pâte que le film peine à rendre crédible. Du microcosme étouffant au macrocosme glacial des banquises en train de fondre, des errances enfantines au périple d’une tribu de porcs préhistoriques, Les Bêtes du Sud sauvage aimerait brosser un portrait de l’univers à l’échelle d’une cellule familiale en branle, mais ses procédés sont trop grossiers, et sa maîtrise bien trop grande, pour espérer atteindre l’authenticité espérée. Donner ainsi à voir la précarité et les étincelles que produit l’interaction de ses membres rapproche davantage le film d’un chapiteau de cirque que d’un roman de Faulkner.
Misérabilisme sur fond de poésie des espaces désolés, Les Bêtes du Sud sauvage ne vaut que pour la porosité avec laquelle son imagerie réussit à mêler réalisme et imaginaire, la caméra jouant ainsi de ce flottement pour composer des plans magnifiques, à l’instar de la visite des enfants dans un bar peu fréquentable en fin de film : un léger flou, un mouvement constant, des couleurs, corps et décors fusionnant ensemble. Le souci, c’est que la beauté ne suffit pas à rattraper l’épanchement lacrymatoire avec lequel est traitée cette histoire certes touchante, mais beaucoup trop chargée pour convaincre : le réalisateur colle toujours au plus près de la réalité qu’il pense restituer dans son exactitude – postulat qui légitime tous les excès – puisque de cette réalité qui grouille devant lui il n’extrait que des paquets compacts dont ne ressort qu’un opportunisme malvenu. Ça grouille, ça piaille, ça crie, on broie le crabe, on s’enlise dans la boue. Une voix off laisse entendre la plus improbable des narrations d’enfant, de cette enfant qui regrette des choses que seul un adulte connaît, qui fait preuve d’une sensibilité en carton-pâte que le film peine à rendre crédible. Du microcosme étouffant au macrocosme glacial des banquises en train de fondre, des errances enfantines au périple d’une tribu de porcs préhistoriques, Les Bêtes du Sud sauvage aimerait brosser un portrait de l’univers à l’échelle d’une cellule familiale en branle, mais ses procédés sont trop grossiers, et sa maîtrise bien trop grande, pour espérer atteindre l’authenticité espérée. Donner ainsi à voir la précarité et les étincelles que produit l’interaction de ses membres rapproche davantage le film d’un chapiteau de cirque que d’un roman de Faulkner.
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Je ne vais sans doute pas me faire des amis mais, en dépit de certaines audaces scénaristiques ou formelles, j'ai trouvé ce film particulièrement ennuyeux, traînant en longueur dans un récit à la finalité largement éventée dès le départ. Tout se passe dans une atmosphère mélancolique et languissante, et si les comédiens sont effectivement brillants, ils ne parviennent pas à tirer plus que cela leur épingle du jeu, le film alignant les séquences cousues de fil blanc.
Je ne vais sans doute pas me faire des amis mais, en dépit de certaines audaces scénaristiques ou formelles, j'ai trouvé ce film particulièrement ennuyeux, traînant en longueur dans un récit à la finalité largement éventée dès le départ. Tout se passe dans une atmosphère mélancolique et languissante, et si les comédiens sont effectivement brillants, ils ne parviennent pas à tirer plus que cela leur épingle du jeu, le film alignant les séquences cousues de fil blanc.
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Malgré un coté désuet le mélange du fantastique et de la poésie, associés au jeu superbe des acteurs donne au final un très beau film un peu à la manière de la belle et la bête.
Malgré un coté désuet le mélange du fantastique et de la poésie, associés au jeu superbe des acteurs donne au final un très beau film un peu à la manière de la belle et la bête.
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quand j'ai vus que ce film était fini, je me suis dis "enfin !", dailleurs ce film commence vraiment à un moment ou pas ? rien de spécial à dire à part que tout est médiocre, scénario, acteurs ... pas de suspens rien ! nada ! ne perdez pas de temps devant ce film ;)
quand j'ai vus que ce film était fini, je me suis dis "enfin !", dailleurs ce film commence vraiment à un moment ou pas ? rien de spécial à dire à part que tout est médiocre, scénario, acteurs ... pas de suspens rien ! nada ! ne perdez pas de temps devant ce film ;)
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Désolé mais ce film récite un peu trop les poncifs du genre des année 80. Sauf qu’en 2018 ça ne marche pas du tout. Ça ne fait pas peur, il n’y a aucun scénario, aucun suspens. C’est une coquille vide. Pas besoin de spoiler : ce film est une succession de gens qui se font poignarder s dans des scènes sans interêt et aucun frisson. Heureusement il y a la musique toujours aussi géniale.
Désolé mais ce film récite un peu trop les poncifs du genre des année 80. Sauf qu’en 2018 ça ne marche pas du tout. Ça ne fait pas peur, il n’y a aucun scénario, aucun suspens. C’est une coquille vide. Pas besoin de spoiler : ce film est une succession de gens qui se font poignarder s dans des scènes sans interêt et aucun frisson. Heureusement il y a la musique toujours aussi géniale.
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Profond ? Non, prétentieux et creux. Disert ? Non, verbeux et artificiel. Intelligent ? Non, fumeux !!! Quelle déception : un thème intéressant, à défaut d'être inédit (le sang - à la vie, à la mort), et un milieu toujours porteur (la famille) pour un opus interminable - l'abscons remplace l'inspiration. L'interprétation ne sauve rien, les bons acteurs (ailleurs, et même chez Desplechin - dans "Rois et Reines") sont décevants (Amalric, Devos et Consigny). Restons charitables pour les autres, avec cependant une mention "insupportable" pour Roussillon, dont la diction empire à chaque film.
Profond ? Non, prétentieux et creux. Disert ? Non, verbeux et artificiel. Intelligent ? Non, fumeux !!! Quelle déception : un thème intéressant, à défaut d'être inédit (le sang - à la vie, à la mort), et un milieu toujours porteur (la famille) pour un opus interminable - l'abscons remplace l'inspiration. L'interprétation ne sauve rien, les bons acteurs (ailleurs, et même chez Desplechin - dans "Rois et Reines") sont décevants (Amalric, Devos et Consigny). Restons charitables pour les autres, avec cependant une mention "insupportable" pour Roussillon, dont la diction empire à chaque film.
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Ni plus ni moins que du pur Jackie Chan Show dans son intégralité. A un moment, il faudra peut-être penser à se diversifier un peu non ?
Ni plus ni moins que du pur Jackie Chan Show dans son intégralité. A un moment, il faudra peut-être penser à se diversifier un peu non ?
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Remember Me joue à fond la carte du mélodrame à l'eau de rose... En plus d'un scénario aussi léger que possible où l'histoire du fameux pari n'apporte rien au film, on assiste à une composition des comédiens qui passent davantage leur temps à jouer de leur physique, telles les nombreuses vues de profil ou ces balencements étudiés de la tête !!! On se croirait ainsi dans un énorme clip vidéo ! De ce fait, les souffrances de chaque personnage ne sont absolument pas crédibles... Le tout est très délayé et s'étire plus que lentement ! La fin est vraiment la cerise sur le gâteau ! On ne pouvait pas trouver mieux... Dommage, encore un film qui cède aux caprices de la mode et de l'apparence mais les beaux acteurs et cette histoire niaise plairont à coup sûr !
Remember Me joue à fond la carte du mélodrame à l'eau de rose... En plus d'un scénario aussi léger que possible où l'histoire du fameux pari n'apporte rien au film, on assiste à une composition des comédiens qui passent davantage leur temps à jouer de leur physique, telles les nombreuses vues de profil ou ces balencements étudiés de la tête !!! On se croirait ainsi dans un énorme clip vidéo ! De ce fait, les souffrances de chaque personnage ne sont absolument pas crédibles... Le tout est très délayé et s'étire plus que lentement ! La fin est vraiment la cerise sur le gâteau ! On ne pouvait pas trouver mieux... Dommage, encore un film qui cède aux caprices de la mode et de l'apparence mais les beaux acteurs et cette histoire niaise plairont à coup sûr !
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Juste... dommage !! complètement raté, ou alors une série Z moyenne... Les acteurs surjouent (tous), les effets spéciaux sont vraiment bas de gamme, l'histoire aurait pu être vraiment intérressante (même du point de vue musulman, même si exagérément partisane, si c'est bien filmé ça passerait très bien). Le réalisateur aurait dû s'inspirer de film comme "Gladiator" ou "Braveheart" oui ! Si quelqu'un met 5 étoiles à "Constantinople" il met combien à "Gladiator" ou "Braveheart" ?? je me demande lol ! Bref, à regarder en se forçant un peu, mais à vite oublier...
Juste... dommage !! complètement raté, ou alors une série Z moyenne... Les acteurs surjouent (tous), les effets spéciaux sont vraiment bas de gamme, l'histoire aurait pu être vraiment intérressante (même du point de vue musulman, même si exagérément partisane, si c'est bien filmé ça passerait très bien). Le réalisateur aurait dû s'inspirer de film comme "Gladiator" ou "Braveheart" oui ! Si quelqu'un met 5 étoiles à "Constantinople" il met combien à "Gladiator" ou "Braveheart" ?? je me demande lol ! Bref, à regarder en se forçant un peu, mais à vite oublier...
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Ce très joli classique de Jacques Becker sorti en 1949 raconte les chassès-croisès amoureux et les aspirations professionnelles d'une bande de jeunes dans le Paris de l'après-guerre! On y croise un jeune homme qui rêve d'ètudier les pygmées en Afrique, un autre qui ècrit des pièces de thèâtre, un troisième qui joue du jazz dans les caves bondèes de Saint Germain des Près (le Lorientais, où nous entendons Mezz Mezzrow, Rex Stewart et Claude Luter), une jeune ado qui s'imagine brûler les planches ou les plateaux de cinèma, le tout entre joies, dèsirs fous, promesses, rendez-vous de filles et de garçons avec leurs ambitions et leur drôle de voiture-bateau qui traverse la Seine pour èviter les bouchons...Des hèros, pour beaucoup inspirès des personnages rèels, et rencontrè par Becker, qui a travers ce film explore avec un regard d'ethnographe la gènèration de ces enfants! il raconte aussi cette ambiance si particulière et plein d'espoir de l'après guerre dans laquelle cette gènèration ne voit plus d'obstacle pour s'èpanouir! "Rendez-vous de juillet" nous propulse donc à l'intèrieur d'une jeunesse pleine d'optimisme et de dynamisme! Rècompensè par le Prix Louis-Delluc, le cinèaste est complètement en phase avec son èpoque et son score au box-office en atteste puisque 1.8 millions de spectateurs sont allès à sa dècouverte! En montrant un monde qui bascule, "Rendez-vous de juillet" influencera fortement la nouvelle gènèration de cinèastes qui arrive! Par sa facture qui annonce les prèmices de la rèvolution de la nouvelle vague et les comèdiens qu'ils rèvèlent comme Maurice Ronet, Nicole Courcel, Brigitte Auber (surtout) où qu'il consacre, comme Daniel Gèlin! Un portrait sincère et nostalgique d'une jeunesse avide de vivre...
Ce très joli classique de Jacques Becker sorti en 1949 raconte les chassès-croisès amoureux et les aspirations professionnelles d'une bande de jeunes dans le Paris de l'après-guerre! On y croise un jeune homme qui rêve d'ètudier les pygmées en Afrique, un autre qui ècrit des pièces de thèâtre, un troisième qui joue du jazz dans les caves bondèes de Saint Germain des Près (le Lorientais, où nous entendons Mezz Mezzrow, Rex Stewart et Claude Luter), une jeune ado qui s'imagine brûler les planches ou les plateaux de cinèma, le tout entre joies, dèsirs fous, promesses, rendez-vous de filles et de garçons avec leurs ambitions et leur drôle de voiture-bateau qui traverse la Seine pour èviter les bouchons...Des hèros, pour beaucoup inspirès des personnages rèels, et rencontrè par Becker, qui a travers ce film explore avec un regard d'ethnographe la gènèration de ces enfants! il raconte aussi cette ambiance si particulière et plein d'espoir de l'après guerre dans laquelle cette gènèration ne voit plus d'obstacle pour s'èpanouir! "Rendez-vous de juillet" nous propulse donc à l'intèrieur d'une jeunesse pleine d'optimisme et de dynamisme! Rècompensè par le Prix Louis-Delluc, le cinèaste est complètement en phase avec son èpoque et son score au box-office en atteste puisque 1.8 millions de spectateurs sont allès à sa dècouverte! En montrant un monde qui bascule, "Rendez-vous de juillet" influencera fortement la nouvelle gènèration de cinèastes qui arrive! Par sa facture qui annonce les prèmices de la rèvolution de la nouvelle vague et les comèdiens qu'ils rèvèlent comme Maurice Ronet, Nicole Courcel, Brigitte Auber (surtout) où qu'il consacre, comme Daniel Gèlin! Un portrait sincère et nostalgique d'une jeunesse avide de vivre...
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Ce film est bouleversant avec cette jeune actrice qui nous transmet toutes ces émotions comme si l'on était à sa place.
Ce film est bouleversant avec cette jeune actrice qui nous transmet toutes ces émotions comme si l'on était à sa place.
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Ce film me fait penser à alex rider, un gamin qui ne veut rien dire, qui d'un coup, se bats contre les méchants, c'est trop décousu pour etre un bon film, seul vos enfants, s'ils comprennent, y trouveront leur compte
Ce film me fait penser à alex rider, un gamin qui ne veut rien dire, qui d'un coup, se bats contre les méchants, c'est trop décousu pour etre un bon film, seul vos enfants, s'ils comprennent, y trouveront leur compte
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le film d'action de base fait à la rache sans faire attention aux dialogues et à la crédibilité du film bref un film de série b.
le film d'action de base fait à la rache sans faire attention aux dialogues et à la crédibilité du film bref un film de série b.
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Aux premiers abords j'ai trouvé se film très intéressant malgré que morphologiquement il y a une énorme différence avec le vrai iceman mais bon c'est pas grave tant que l'histoire et la psychologie de se tueur est respecté mais malheureusement ce n'est pas le cas le film mélange quelques pauvres séquences en famille et des meurtres enchaînés à la va vite ainsi que les années qui défilent bien trop vite pour qu'on apprécie se film... J'aurai aimé que les personnages de sa femme, ses filles ainsi que d'autres protagonistes soit plus travaillé ce qui aurait permis sûrement de mieux comprendre le iceman, sans oublier j'aurai certainement commencé le film avec sa jeunesse pour qu'on s'attache plus aux personnages quittent à rallonger le film où tout simplement en faire plusieurs parties tant la vie de cette personne fût dense... Assez déçu au final pour ce "faux" biopic...
Aux premiers abords j'ai trouvé se film très intéressant malgré que morphologiquement il y a une énorme différence avec le vrai iceman mais bon c'est pas grave tant que l'histoire et la psychologie de se tueur est respecté mais malheureusement ce n'est pas le cas le film mélange quelques pauvres séquences en famille et des meurtres enchaînés à la va vite ainsi que les années qui défilent bien trop vite pour qu'on apprécie se film... J'aurai aimé que les personnages de sa femme, ses filles ainsi que d'autres protagonistes soit plus travaillé ce qui aurait permis sûrement de mieux comprendre le iceman, sans oublier j'aurai certainement commencé le film avec sa jeunesse pour qu'on s'attache plus aux personnages quittent à rallonger le film où tout simplement en faire plusieurs parties tant la vie de cette personne fût dense... Assez déçu au final pour ce "faux" biopic...
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Elle voit des nains partout est une grotesque farce à l'humour aux ras des pâquerettes. Ridicule, cette comédie (du moins c'est sensé en être une) ne fait jamais rire malgré une bonne idée de départ (parodie de contes de fées). A la poubelle, c'est navrant et pathétique.
Elle voit des nains partout est une grotesque farce à l'humour aux ras des pâquerettes. Ridicule, cette comédie (du moins c'est sensé en être une) ne fait jamais rire malgré une bonne idée de départ (parodie de contes de fées). A la poubelle, c'est navrant et pathétique.
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Réussir trois films d'une même saga est un beau défi, il est relevé haut la main par Wes Craven. Partant sur une scène d'introduction encore énorme, très inventivite et drôle, le réalisateur nous plonge dans une ambiance effrayante. Les scènes chez Sidney fouttent parfois la frousse. Ce troisième opus se différencie par son scénario qui renouvelle le genre et permet à Wes Craven de toujours plus s'amuser. En témoigne l'idée exceptionnelle de mettre en scène l'action du film dans le décor servant à reproduire les meurtres détaillés dans les 2 précédents opus, mélangeant ainsi la réalité et la fiction avec brio. Avec des acteurs toujours convaincants, ce film est un succès et on apprécie de le revoir.
Réussir trois films d'une même saga est un beau défi, il est relevé haut la main par Wes Craven. Partant sur une scène d'introduction encore énorme, très inventivite et drôle, le réalisateur nous plonge dans une ambiance effrayante. Les scènes chez Sidney fouttent parfois la frousse. Ce troisième opus se différencie par son scénario qui renouvelle le genre et permet à Wes Craven de toujours plus s'amuser. En témoigne l'idée exceptionnelle de mettre en scène l'action du film dans le décor servant à reproduire les meurtres détaillés dans les 2 précédents opus, mélangeant ainsi la réalité et la fiction avec brio. Avec des acteurs toujours convaincants, ce film est un succès et on apprécie de le revoir.
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Je pensais être déçu, n'ayant que moyennement aimé the wild bunch, mais patt garret et billy the kid est un film où ne règne aucun manichéisme, pas de bons, pas de méchants, juste des hommes seuls. Un beau film.
Je pensais être déçu, n'ayant que moyennement aimé the wild bunch, mais patt garret et billy the kid est un film où ne règne aucun manichéisme, pas de bons, pas de méchants, juste des hommes seuls. Un beau film.
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Une histoire à la fois très belle et très dure! Un sujet difficile mais très bien adapté! Les trois acteurs principaux sont justes parfaits
Une histoire à la fois très belle et très dure! Un sujet difficile mais très bien adapté! Les trois acteurs principaux sont justes parfaits
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Nat et Josh se marient, grand mariage : château et tout et tout. Immanquable et interminable scène du mariage, Le scénario est convenu et plus que prévisible. Les blagues potaches fusent en boucle. Les dialogues ont une tendance graveleuse volontairement lourde, et pour être lourd c'est réussi ! Seul point positif, la bonne présence de Rose Byrne ,dans le rôle de Nat et celle de Simon Baker que l'on voit trop peu.
Nat et Josh se marient, grand mariage : château et tout et tout. Immanquable et interminable scène du mariage, Le scénario est convenu et plus que prévisible. Les blagues potaches fusent en boucle. Les dialogues ont une tendance graveleuse volontairement lourde, et pour être lourd c'est réussi ! Seul point positif, la bonne présence de Rose Byrne ,dans le rôle de Nat et celle de Simon Baker que l'on voit trop peu.
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Décidément, je n'aime pas ce que fait Xavier Dolan. Déjà, je n'avais pas été fan de "Momy" qui était "too much" et m'avait un peu exaspérée, mais alors là, ça hurle, tous les personnages sonnent faux (Vincent Cassel en méchant qui n'ouvre la bouche que pour proférer des horreurs), Marion Cotillard qui bégaie sans cesse avec de grands yeux éloquents (ça ne suffit pas à faire passer la pilule)... Nathalie Baye est sans doute la plus crédible dans cette horrible histoire filmée en gros plan où à part des hurlements d'une famille qui se déchire et crie sans arrêt, à part le fils (bien joué), mais bon, pas vraiment l'occasion de juger un jeu toujours identique entre regards, mi-sourires, etc..... donc, on se doute dès le début que, vu l'ambiance caricaturale de cette famille, Louis ne pourra pas dire qu'il vient pour annoncer sa mort prochaine..... Et alors ??? C'est du théâtre filmé (j'ai pensé vaguement à "mais qui a peur de Virginia Woolf" où les acteurs passaient leur temps à s'engu.....), mais c'était quand même un cran au-dessus. Non, M. Dolan, votre cinéma ne me plaît pas et je ne crie pas "au génie". Nous sommes ressortis de la salle en nous disant que l'on avait vu le plus mauvais film du mois.... Dommage.... Mais que vous trouvent ceux qui vous encensent ? Je ne comprends vraiment pas.
Décidément, je n'aime pas ce que fait Xavier Dolan. Déjà, je n'avais pas été fan de "Momy" qui était "too much" et m'avait un peu exaspérée, mais alors là, ça hurle, tous les personnages sonnent faux (Vincent Cassel en méchant qui n'ouvre la bouche que pour proférer des horreurs), Marion Cotillard qui bégaie sans cesse avec de grands yeux éloquents (ça ne suffit pas à faire passer la pilule)... Nathalie Baye est sans doute la plus crédible dans cette horrible histoire filmée en gros plan où à part des hurlements d'une famille qui se déchire et crie sans arrêt, à part le fils (bien joué), mais bon, pas vraiment l'occasion de juger un jeu toujours identique entre regards, mi-sourires, etc..... donc, on se doute dès le début que, vu l'ambiance caricaturale de cette famille, Louis ne pourra pas dire qu'il vient pour annoncer sa mort prochaine..... Et alors ??? C'est du théâtre filmé (j'ai pensé vaguement à "mais qui a peur de Virginia Woolf" où les acteurs passaient leur temps à s'engu.....), mais c'était quand même un cran au-dessus. Non, M. Dolan, votre cinéma ne me plaît pas et je ne crie pas "au génie". Nous sommes ressortis de la salle en nous disant que l'on avait vu le plus mauvais film du mois.... Dommage.... Mais que vous trouvent ceux qui vous encensent ? Je ne comprends vraiment pas.
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Simplement drôle et juste en ce qui me concerne, j'adore. Michel Blanc est comme le vin il s'affine avec l'âge. Miou Miou et Melanie Doutey jouent tout aussi bien juste...sans oublier Cyril Descours magnifique dans ce rôle. Emotion et Evolution de la Société en quelques minutes...
Simplement drôle et juste en ce qui me concerne, j'adore. Michel Blanc est comme le vin il s'affine avec l'âge. Miou Miou et Melanie Doutey jouent tout aussi bien juste...sans oublier Cyril Descours magnifique dans ce rôle. Emotion et Evolution de la Société en quelques minutes...
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Je suis allé voir ce film rempli d'espoir, avec mes deux gars de 15 et 16 ans. J'avais adoré la bande annonce, les quelques vidéos qui circulent sur le net, et Pierre Niney dans une distribution est généralement une valeur sûre. Bref, tout pour passer un bon moment... Et bien catastrophe ! Scénario bâclé, personnages extrêmement caricaturaux, vulgaires et grossiers... Aucune profondeur dans les relations entre les personnages. La mayonnaise ne prend pas et aucun gags ne fait mouche à part les 2 scènes extraites pour la bande annonce... Déçu...
Je suis allé voir ce film rempli d'espoir, avec mes deux gars de 15 et 16 ans. J'avais adoré la bande annonce, les quelques vidéos qui circulent sur le net, et Pierre Niney dans une distribution est généralement une valeur sûre. Bref, tout pour passer un bon moment... Et bien catastrophe ! Scénario bâclé, personnages extrêmement caricaturaux, vulgaires et grossiers... Aucune profondeur dans les relations entre les personnages. La mayonnaise ne prend pas et aucun gags ne fait mouche à part les 2 scènes extraites pour la bande annonce... Déçu...
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J'ai eut quelques fou-rires devant des concepts ridicules et crétins assumés jusqu'à la fin du film. Il faut dire que si on voulait créer un personnage de tueur d'élite, le coup du costume et du coupé Audi dans le trou du cul de la Russie avec un crâne rasé, c'est plutôt voyant limite gyrophare! Ce film est mis en scène de manière anonyme, dénué de toute univers à lui, Xavier Gens, notre beauf national (Cauet a de la concurrence) pique des idées un peu partout et transforme le film en successions de scènes copiées sur d'autres. L'opening ira jusqu'à reprendre les rush de Dark Angel (ça saute aux yeux, même pour des spectateurs incultes), on pique l'idée du super-tueur entraîné par une mystérieuse organisation (du Nikita et une foultitude d'autres film ayant suivi), Un type qui fréquente du beau monde et se la pète avec sa belle bagnole et ses super gadgets (un agent 007, ça vous dit quelque chose?), et le coup qu'il a été piégé et qu'il va se fritter avec d'autres camarades et démasquer le complot comme un certain Jason Bourne... On pourra même voir dans le combat avec les katanas (des petits sabres) un hommage à Highlander. La direction d'acteur est catastrophique : Olyphant n'a pas le charisme ni les épaules pour ça, le flic est un habitué aux second rôles à la tv, et la ruskof ne pense qu'à se montrer à... hum, enfin, en petite tenues. Le pire vient dans la pseudo-intrigue du film où la pauv' biquounette parle de son enfance malheureuse avec sa larmichette, et le coup du tueur au sang-froid qui a dû mal à gérer la gente féminine. Tout cela étant invraisemblable dans un film penchant dans le bourrin pour otaku de jeux vidéos. Il n'empêche, le réalisateur adapte au pied de la lettre un jeu vidéo sans se donner la peine de rendre cela crédible, intéressant et divertissant. Une énième adaptation de jeux vidéo ratée, une de plus mais pas réalisé par ce génie incompris d'Uwe Boll (second degré)!
J'ai eut quelques fou-rires devant des concepts ridicules et crétins assumés jusqu'à la fin du film. Il faut dire que si on voulait créer un personnage de tueur d'élite, le coup du costume et du coupé Audi dans le trou du cul de la Russie avec un crâne rasé, c'est plutôt voyant limite gyrophare! Ce film est mis en scène de manière anonyme, dénué de toute univers à lui, Xavier Gens, notre beauf national (Cauet a de la concurrence) pique des idées un peu partout et transforme le film en successions de scènes copiées sur d'autres. L'opening ira jusqu'à reprendre les rush de Dark Angel (ça saute aux yeux, même pour des spectateurs incultes), on pique l'idée du super-tueur entraîné par une mystérieuse organisation (du Nikita et une foultitude d'autres film ayant suivi), Un type qui fréquente du beau monde et se la pète avec sa belle bagnole et ses super gadgets (un agent 007, ça vous dit quelque chose?), et le coup qu'il a été piégé et qu'il va se fritter avec d'autres camarades et démasquer le complot comme un certain Jason Bourne... On pourra même voir dans le combat avec les katanas (des petits sabres) un hommage à Highlander. La direction d'acteur est catastrophique : Olyphant n'a pas le charisme ni les épaules pour ça, le flic est un habitué aux second rôles à la tv, et la ruskof ne pense qu'à se montrer à... hum, enfin, en petite tenues. Le pire vient dans la pseudo-intrigue du film où la pauv' biquounette parle de son enfance malheureuse avec sa larmichette, et le coup du tueur au sang-froid qui a dû mal à gérer la gente féminine. Tout cela étant invraisemblable dans un film penchant dans le bourrin pour otaku de jeux vidéos. Il n'empêche, le réalisateur adapte au pied de la lettre un jeu vidéo sans se donner la peine de rendre cela crédible, intéressant et divertissant. Une énième adaptation de jeux vidéo ratée, une de plus mais pas réalisé par ce génie incompris d'Uwe Boll (second degré)!
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À première vue, « New Kids Turbo » est un de ces films débiles et sans intérêts venant d’un pays étranger. Alors oui c’est débile, oui il n’a pas beaucoup d’intérêt … mais putain de merde qu’est ce que c’est drôle ! « New Kids Turbo » utilise ce que j’appelle de « l’humour con mais intelligent ». Le gag en lui-même est débile mais est amené et vendu d’une manière qui rend le gag excellent ! C’est comme ça durant une heure et vingt minutes. Le fait que le film soit en néerlandais rajoute un côté comique au film, pour nous étranger à la langue. Après avoir vu ce film vous traiterez tout le monde de « Kut » ou de « Homo ». Les personnages sont de véritables antihéros mais tout autant attachants : leur coupe mulet et leur moustache donnant à ces personnages une allure des plus atypiques, forçant le rire. Les cinq acteurs principaux forment un ensemble homogène et complet où différentes personnalités sont présentes. Même si certains des personnages sont effacés par rapport à d’autres, on se retrouve à avoir de la sympathie pour cette bande loufoque. Les acteurs sont tous très bons … car oui, il faut être très bon pour jouer les cons ! « New Kids Turbo » est, au final, un film profondément drôle ! Cependant, l’histoire sur fond de crise permet d’effleurer des sujets difficiles comme l’économie, la crise et le chômage (les scènes de licenciements des New Kids sont assez jubilatoires !). Bon bien sûr, tout ceci est à peine effleuré et n’est qu’une excuse au malheur de nos personnages, mais ils en parlent et c’est ça l’important. Autre point fort du film : tout le monde en prend pour son grade que ce soit les politiciens, les policiers, les trisomiques, les vieux, les merdeux, … « New Kids Turbo » n’est pas du tout politiquement correct. « New Kids Turbo » est un film à ne surtout pas prendre au premier degré, au risque de rester complètement en dehors du film et de ne pas l’apprécier. Un film qui vide la tête et fait rire un bon coup !
À première vue, « New Kids Turbo » est un de ces films débiles et sans intérêts venant d’un pays étranger. Alors oui c’est débile, oui il n’a pas beaucoup d’intérêt … mais putain de merde qu’est ce que c’est drôle ! « New Kids Turbo » utilise ce que j’appelle de « l’humour con mais intelligent ». Le gag en lui-même est débile mais est amené et vendu d’une manière qui rend le gag excellent ! C’est comme ça durant une heure et vingt minutes. Le fait que le film soit en néerlandais rajoute un côté comique au film, pour nous étranger à la langue. Après avoir vu ce film vous traiterez tout le monde de « Kut » ou de « Homo ». Les personnages sont de véritables antihéros mais tout autant attachants : leur coupe mulet et leur moustache donnant à ces personnages une allure des plus atypiques, forçant le rire. Les cinq acteurs principaux forment un ensemble homogène et complet où différentes personnalités sont présentes. Même si certains des personnages sont effacés par rapport à d’autres, on se retrouve à avoir de la sympathie pour cette bande loufoque. Les acteurs sont tous très bons … car oui, il faut être très bon pour jouer les cons ! « New Kids Turbo » est, au final, un film profondément drôle ! Cependant, l’histoire sur fond de crise permet d’effleurer des sujets difficiles comme l’économie, la crise et le chômage (les scènes de licenciements des New Kids sont assez jubilatoires !). Bon bien sûr, tout ceci est à peine effleuré et n’est qu’une excuse au malheur de nos personnages, mais ils en parlent et c’est ça l’important. Autre point fort du film : tout le monde en prend pour son grade que ce soit les politiciens, les policiers, les trisomiques, les vieux, les merdeux, … « New Kids Turbo » n’est pas du tout politiquement correct. « New Kids Turbo » est un film à ne surtout pas prendre au premier degré, au risque de rester complètement en dehors du film et de ne pas l’apprécier. Un film qui vide la tête et fait rire un bon coup !
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277
Avec habilité, Al Pacino réalise un documentaire sur la pièce de Shakespeare, Richard III en parvenant à en raconter la trame, à en démonter les rouages dramatiques et à montrer les comédiens dans leurs travaux. Parmi les passages des plus intéressants, une étude du rythme chez Shakespeare à travers son utilisation des pentametres... C'est souvent passionnant, l'oeuvre devient étonnament accessible, le récit plein de tension malgré le fait d'assister à un Work in Progress. Une oeuvre étonnante qui offre un bel introduction à l'oeuvre de Shakespeare.
Avec habilité, Al Pacino réalise un documentaire sur la pièce de Shakespeare, Richard III en parvenant à en raconter la trame, à en démonter les rouages dramatiques et à montrer les comédiens dans leurs travaux. Parmi les passages des plus intéressants, une étude du rythme chez Shakespeare à travers son utilisation des pentametres... C'est souvent passionnant, l'oeuvre devient étonnament accessible, le récit plein de tension malgré le fait d'assister à un Work in Progress. Une oeuvre étonnante qui offre un bel introduction à l'oeuvre de Shakespeare.
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Jalil Lespert est étonnament bon aux commandes, Benoît Magimel gagne un peu plus en émotion (prendre du poids l'un a fait le plus grand bien apparemment) et le propos se tient jusqu'à la toute dernière seconde. Un drame émouvant.
Jalil Lespert est étonnament bon aux commandes, Benoît Magimel gagne un peu plus en émotion (prendre du poids l'un a fait le plus grand bien apparemment) et le propos se tient jusqu'à la toute dernière seconde. Un drame émouvant.
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Hélas
Hélas
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[0.99573418 0.00426582]
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primale est un mauvais film d'horreur , ni plus ni moin , des faux raccords a la pelle , des acteurs au jeux minable , un scénario ecrit sur le coin de la nappe d'un resto aprés une bonne soirée enfin il n'a rien pour lui ... pour un film d'horreur , en revanche si on s'attarde un peu sur le film on trouve une dimension comique hors du commun , un personnage se fait quand meme morde par un ... lapin garou ( tadaaaa) , un personnage qui ne comprend definitivement pas que sa copine veut le bouffer --' euké , et pour conclure ce film un merite c'est le SEUL film au monde ou un kangourou se prend un plaquage de rugby .
primale est un mauvais film d'horreur , ni plus ni moin , des faux raccords a la pelle , des acteurs au jeux minable , un scénario ecrit sur le coin de la nappe d'un resto aprés une bonne soirée enfin il n'a rien pour lui ... pour un film d'horreur , en revanche si on s'attarde un peu sur le film on trouve une dimension comique hors du commun , un personnage se fait quand meme morde par un ... lapin garou ( tadaaaa) , un personnage qui ne comprend definitivement pas que sa copine veut le bouffer --' euké , et pour conclure ce film un merite c'est le SEUL film au monde ou un kangourou se prend un plaquage de rugby .
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Jean Rollin semble avoir trouvé ses succésseur du XXIeme sciecle Celui qui fut souvent considéré comme le "Ed Wood Français" avait une recette redoutable Une affiche superbe ... et un film dont il était dificile d aller au bout 11 fugitifs lors de la scéance à laquelle j ai assisté dont un dès la fin de la séquence pré-générique :) Personellement je trouve que le film tiend plus de l hommage /pastiche au western spaghetti que du Giallo ; mais bon se n est pas tres important ; n est pas Tarantino qui veut . Toutefois un point positif ; la musique
Jean Rollin semble avoir trouvé ses succésseur du XXIeme sciecle Celui qui fut souvent considéré comme le "Ed Wood Français" avait une recette redoutable Une affiche superbe ... et un film dont il était dificile d aller au bout 11 fugitifs lors de la scéance à laquelle j ai assisté dont un dès la fin de la séquence pré-générique :) Personellement je trouve que le film tiend plus de l hommage /pastiche au western spaghetti que du Giallo ; mais bon se n est pas tres important ; n est pas Tarantino qui veut . Toutefois un point positif ; la musique
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Le 1er épisode d'une grande saga, enfin grande, c'est relatif. Je ne comprend pas comment un truc pareil a pu accrocher tant de gens, à part le buzz et un bon plan marketing. Déjà parce que l'histoire est pourrie. Tu dis à quelqu'un "vient on va se mater une bonne histoire d'amour à l'eau de rose, plein de guimauve et de mièvrerie", personne vient. Bon si tu rajoutes que c'est avec des vampires ça intéresse plus j'avoue, enfin si tu dis que ces vampires sont gentils et que la lumière du jour les fait juste briller, tu perds de nouveau ton auditoire, trop ringard le truc. Ben faut croire que non puisque ça a fait un succès, et pourtant même Pattinson ne croyait pas en cette histoire d'amour et ces films, il les trouve même mauvais, pas si bête le gars, enfin non il trouve que les films n'ont pas de sens, encore pire. Pour une fois que je suis d'accord avec Edward... Quant à Bella, une gamine qui se croit intelligente et qui fonce dans ses bêtises, décidée mais on la laisse faire, topissime.
Le 1er épisode d'une grande saga, enfin grande, c'est relatif. Je ne comprend pas comment un truc pareil a pu accrocher tant de gens, à part le buzz et un bon plan marketing. Déjà parce que l'histoire est pourrie. Tu dis à quelqu'un "vient on va se mater une bonne histoire d'amour à l'eau de rose, plein de guimauve et de mièvrerie", personne vient. Bon si tu rajoutes que c'est avec des vampires ça intéresse plus j'avoue, enfin si tu dis que ces vampires sont gentils et que la lumière du jour les fait juste briller, tu perds de nouveau ton auditoire, trop ringard le truc. Ben faut croire que non puisque ça a fait un succès, et pourtant même Pattinson ne croyait pas en cette histoire d'amour et ces films, il les trouve même mauvais, pas si bête le gars, enfin non il trouve que les films n'ont pas de sens, encore pire. Pour une fois que je suis d'accord avec Edward... Quant à Bella, une gamine qui se croit intelligente et qui fonce dans ses bêtises, décidée mais on la laisse faire, topissime.
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Un cambrioleur chevronné et sacrément ingénieux est le témoin du meurtre d'une jeune et séduisante jeune femme. Un meurtre dans lequel une très très haute personnalité politique est mêlée. Oui, même le grand Clint Eastwood qui a un gros palmarès en tant que réalisateur a aussi fait des films assez décevants, à l'image de ces «Pleins pouvoirs». On ne peut pas dire que Clint s'est planté sur toute la ligne mais il faut constater qu'il est passé quand même à côté de son sujet. Et pourtant, tout démarre très bien. A l'image de cette séquence dans laquelle Clint assiste en direct live au meurtre tout en étant caché derrière une cloison. Un homme influant est directement concerné alors on étouffe l'affaire aussitôt et l'on se met à la recherche d'un coupable. Clint passe du statut de témoin oculaire à celui d'homme à abattre. En terme de qualité intrinsèque, «Les pleins pouvoirs» a des arguments à faire valoir mais est très, voire trop conventionnel aussi bien dans son histoire que dans sa mise en scène. Franchement, Eastwood n'a vraiment pas été très inspiré. Mais rien que sa seule présence fait que l'on regarde ce film, car en plus de dégager son habituel charisme, il est également très bon dans son rôle. A l'instar des autres acteurs comme Ed Harris très bon en flic obstiné ou encore Gene Hackman qui joue très bien le rôle du président pourri et manipulateur. L'interprétation est des plus convaincantes certes, quelques séquences sont bien faites mais l'ensemble manque sérieusement de piquant et a bien du mal à tenir ses promesses.
Un cambrioleur chevronné et sacrément ingénieux est le témoin du meurtre d'une jeune et séduisante jeune femme. Un meurtre dans lequel une très très haute personnalité politique est mêlée. Oui, même le grand Clint Eastwood qui a un gros palmarès en tant que réalisateur a aussi fait des films assez décevants, à l'image de ces «Pleins pouvoirs». On ne peut pas dire que Clint s'est planté sur toute la ligne mais il faut constater qu'il est passé quand même à côté de son sujet. Et pourtant, tout démarre très bien. A l'image de cette séquence dans laquelle Clint assiste en direct live au meurtre tout en étant caché derrière une cloison. Un homme influant est directement concerné alors on étouffe l'affaire aussitôt et l'on se met à la recherche d'un coupable. Clint passe du statut de témoin oculaire à celui d'homme à abattre. En terme de qualité intrinsèque, «Les pleins pouvoirs» a des arguments à faire valoir mais est très, voire trop conventionnel aussi bien dans son histoire que dans sa mise en scène. Franchement, Eastwood n'a vraiment pas été très inspiré. Mais rien que sa seule présence fait que l'on regarde ce film, car en plus de dégager son habituel charisme, il est également très bon dans son rôle. A l'instar des autres acteurs comme Ed Harris très bon en flic obstiné ou encore Gene Hackman qui joue très bien le rôle du président pourri et manipulateur. L'interprétation est des plus convaincantes certes, quelques séquences sont bien faites mais l'ensemble manque sérieusement de piquant et a bien du mal à tenir ses promesses.
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"Eva" n'est rien d'autre qu'une observation sur l'homme et la femme dans le monde actuel! Car Eva et Tyvian sont un couple, avec ses malentendus, ses ambiguïtès, ses dèchirements..."Eva" est un film de transition dans l'oeuvre de Joseph Losey, qui allait par la suite s'èchapper tout à fait du cadre du cinèma policier pour aborder les questions les plus angoissantes dans des oeuvres ambitieuses! Au sommet de son art, Jeanne Moreau en courtisane dont Stanley Baker devient le jouet est absolument superbe! Dans une magnifique Venise et Rome dèsertes en noir et blanc, Losey filme admirablement le vide des êtres et les rapport des forces qui les lient! il y a du Antonioni dans ce film riche en divers niveaux de lecture, qui plonge le spectateur dans une atmosphère ètrange et plastiquement belle! Du grand Losey...
"Eva" n'est rien d'autre qu'une observation sur l'homme et la femme dans le monde actuel! Car Eva et Tyvian sont un couple, avec ses malentendus, ses ambiguïtès, ses dèchirements..."Eva" est un film de transition dans l'oeuvre de Joseph Losey, qui allait par la suite s'èchapper tout à fait du cadre du cinèma policier pour aborder les questions les plus angoissantes dans des oeuvres ambitieuses! Au sommet de son art, Jeanne Moreau en courtisane dont Stanley Baker devient le jouet est absolument superbe! Dans une magnifique Venise et Rome dèsertes en noir et blanc, Losey filme admirablement le vide des êtres et les rapport des forces qui les lient! il y a du Antonioni dans ce film riche en divers niveaux de lecture, qui plonge le spectateur dans une atmosphère ètrange et plastiquement belle! Du grand Losey...
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magnifique, emouvant. a voir absolument. de tres belles images et bons acteurs. j ai deja envie de le revoir.
magnifique, emouvant. a voir absolument. de tres belles images et bons acteurs. j ai deja envie de le revoir.
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Devenu de plus en plus rare, Paul Verhoeven a profité de son retour dans sa Hollande natale pour signer une reconstitution visuellement soignée de l’occupation allemande tel qu’il a lui-même connue dans son enfance. Or, la tendance qu’a toujours eue le réalisateur pour exacerber la noirceur humaine par le biais de ses personnages complexes lui permet de dépeindre ici une page d’histoire avec une ambigüité morale et une violence psychologique à mille lieues des représentations sclérosées de manichéisme et de sentimentalisme mielleux qu’a l’habitude de nous en fournir le cinéma. Sur le schéma à priori classique du film d’espionnage teinté de romantisme, se tisse, autour la dénonciation de la façon qu’avait les nazis de lister leurs victimes, une intrigue intense dont les rebondissements inattendus et les interprétations particulièrement convaincantes (à commencer la belle et encore inconnue Carice Van Houten) provoquent un suspense sans temps mort qui remet constamment en question les limites entre le bien et le mal vis-à-vis de l’impardonnable.
Devenu de plus en plus rare, Paul Verhoeven a profité de son retour dans sa Hollande natale pour signer une reconstitution visuellement soignée de l’occupation allemande tel qu’il a lui-même connue dans son enfance. Or, la tendance qu’a toujours eue le réalisateur pour exacerber la noirceur humaine par le biais de ses personnages complexes lui permet de dépeindre ici une page d’histoire avec une ambigüité morale et une violence psychologique à mille lieues des représentations sclérosées de manichéisme et de sentimentalisme mielleux qu’a l’habitude de nous en fournir le cinéma. Sur le schéma à priori classique du film d’espionnage teinté de romantisme, se tisse, autour la dénonciation de la façon qu’avait les nazis de lister leurs victimes, une intrigue intense dont les rebondissements inattendus et les interprétations particulièrement convaincantes (à commencer la belle et encore inconnue Carice Van Houten) provoquent un suspense sans temps mort qui remet constamment en question les limites entre le bien et le mal vis-à-vis de l’impardonnable.
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Mauvais film, dialogue d'une rare platitude, acteurs plats, beaucoup de longueurs, scénario indigent : surtout n'y allez pas!!!!!!
Mauvais film, dialogue d'une rare platitude, acteurs plats, beaucoup de longueurs, scénario indigent : surtout n'y allez pas!!!!!!
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Film surfait dont le réalisateur paraît obsédé par l'esthétisme et son rendu à l'image. Limite chiant et sans intérêt, suivant l'âge qu'on peut avoir !? Même pas sûr.
Film surfait dont le réalisateur paraît obsédé par l'esthétisme et son rendu à l'image. Limite chiant et sans intérêt, suivant l'âge qu'on peut avoir !? Même pas sûr.
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Une histoire émotionnellement forte mais un brin réactionnaire, mise en scène avec un certain talent, portée par un Denzel Washington en grande forme, peut-être l'un de ses meilleurs rôles et un Dan Hedaya génialement vénéneux en flic raciste et haineux. Un bon film mais quand même desservi par une émotion forcée et une inclination au larmoyant et au poignant trop prégnant.
Une histoire émotionnellement forte mais un brin réactionnaire, mise en scène avec un certain talent, portée par un Denzel Washington en grande forme, peut-être l'un de ses meilleurs rôles et un Dan Hedaya génialement vénéneux en flic raciste et haineux. Un bon film mais quand même desservi par une émotion forcée et une inclination au larmoyant et au poignant trop prégnant.
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Film catastrophe ? On finit par se demander où est la catastrophe ! Et finalement, on y a droit : un gros pétard pète dans les toilettes de l'avion ! Alors, ça fait un trou et tout le monde est décoiffé ! Plus sérieusement, on est gagné plus vite par l'ennui que par l'intérêt. Les comédiens sont fort heureusement assez bons (bien que très old school) pour nous tenir éveillé mais ça ne suffit pas à ce genre de film où l'on attend de l'action, bon sang ! Du bla bla à souhait, on pourrait l'adapter au théâtre ! Je me demande si je dois me risquer à regarder ses suites !
Film catastrophe ? On finit par se demander où est la catastrophe ! Et finalement, on y a droit : un gros pétard pète dans les toilettes de l'avion ! Alors, ça fait un trou et tout le monde est décoiffé ! Plus sérieusement, on est gagné plus vite par l'ennui que par l'intérêt. Les comédiens sont fort heureusement assez bons (bien que très old school) pour nous tenir éveillé mais ça ne suffit pas à ce genre de film où l'on attend de l'action, bon sang ! Du bla bla à souhait, on pourrait l'adapter au théâtre ! Je me demande si je dois me risquer à regarder ses suites !
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Oliver et compagnie, toute mon enfance, vraiment ce Disney est une pure merveille, un pur moment de plaisir et de divertissement avec beaucoup d'humour, d'émotion, de tendresse et de bon humeur. La réalisation est magnifique, les dessins sont somptueux, et font très dessin, peinture et c'est énorme et j'adore. L'histoire est très intéressant a suivre, remplit de surprise, avec des personnages ( chien et chat ) vraiment très attachant. Les chances et les musiques sont juste énorme et excellente et donne envie de chanté avec eux. Vraiment ce dessin animé est excellent, la magie disney marche a merveille. A voir absolument, un dessin animé qui plaira aux petits et aux grands. Un classique Disney mais aussi un chef oeuvre Disney.
Oliver et compagnie, toute mon enfance, vraiment ce Disney est une pure merveille, un pur moment de plaisir et de divertissement avec beaucoup d'humour, d'émotion, de tendresse et de bon humeur. La réalisation est magnifique, les dessins sont somptueux, et font très dessin, peinture et c'est énorme et j'adore. L'histoire est très intéressant a suivre, remplit de surprise, avec des personnages ( chien et chat ) vraiment très attachant. Les chances et les musiques sont juste énorme et excellente et donne envie de chanté avec eux. Vraiment ce dessin animé est excellent, la magie disney marche a merveille. A voir absolument, un dessin animé qui plaira aux petits et aux grands. Un classique Disney mais aussi un chef oeuvre Disney.
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A défaut d'être original, " 1" part d'un concept qui peut faire des étincelles s'il est bien exploité. Dans le cas présent, on ne peut pas dire que ça soit tellement le cas. Long à démarrer, l'intrigue s'égare dans une romance inutile et des passages à vide. Il faut dire que ce long métrage est avant tout calibré pour un public d'ados/jeunes adultes. De plus, s'il y a bien quelques bonnes idées ici et là, l'ensemble est mal maîtrisé et donne un résultat brouillon. C'est pas terrible mais ça aurait pu être pire. Dans le même genre et en plus réussi, je ne peux que vous conseiller "Coherence" de James Ward Byrkit.
A défaut d'être original, " 1" part d'un concept qui peut faire des étincelles s'il est bien exploité. Dans le cas présent, on ne peut pas dire que ça soit tellement le cas. Long à démarrer, l'intrigue s'égare dans une romance inutile et des passages à vide. Il faut dire que ce long métrage est avant tout calibré pour un public d'ados/jeunes adultes. De plus, s'il y a bien quelques bonnes idées ici et là, l'ensemble est mal maîtrisé et donne un résultat brouillon. C'est pas terrible mais ça aurait pu être pire. Dans le même genre et en plus réussi, je ne peux que vous conseiller "Coherence" de James Ward Byrkit.
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je ne m'attendais pas à être aussi émue en regardant ce film dont les quelques extraits passés à la télé laissaient imaginer une comédie légère. L’atmosphère , le jeu des actrices, la musique, et la lumière qui baigne ce film, m'ont offert un vrai moment de bonheur. En dehors de Chantal Lauby, lumineuse, et Camille Chamoux inattendue dans ce rôle de mère dépassée par la vie, les acteurs jouant le rôle de Jacques et celui de Romain, m'ont séduite par leur interprétation. et le petit Giovanni qui a un bel avenir devant lui. Ce film est un vrai rayon de SOLeil.
je ne m'attendais pas à être aussi émue en regardant ce film dont les quelques extraits passés à la télé laissaient imaginer une comédie légère. L’atmosphère , le jeu des actrices, la musique, et la lumière qui baigne ce film, m'ont offert un vrai moment de bonheur. En dehors de Chantal Lauby, lumineuse, et Camille Chamoux inattendue dans ce rôle de mère dépassée par la vie, les acteurs jouant le rôle de Jacques et celui de Romain, m'ont séduite par leur interprétation. et le petit Giovanni qui a un bel avenir devant lui. Ce film est un vrai rayon de SOLeil.
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The reef, il fait partie de ces rares films qui donnent, dès les toutes premières minutes, le sentiment que l'on va assister à un bon film. Cadre paradisiaque, soleil, plage, mer, ciel bleu. Acteur, pour ma part, tous inconnu, mais rapidement attachants. Tous se passe bien pour la petite troupe de touriste jusqu'à ce que leur embarcation ne heurte des récifs et se retourne... En une fraction de seconde on passe du calme plat à la panique général. Le réal maîtrise bien son affaire, car avant même de voir apparaitre le moindre aileron à la surface de l'eau le film réserve quelques passages réellement angoissant ! Et réussir à faire peur sans rien montrer c'est très fort ! Sans parler de la bande-son qui fout bien sûr les nerfs... Ensuite pour ce qui est des requins, la première rencontre est aussi terrorisante qu'inattendu ! Je dois dire que niveau effets spéciaux, j'ai eu beau repassé la scène encore et encore au ralentit, je n'ai pas compris comment ils ont fait cela. On a vraiment l'impression que les acteurs sont en contacts réel avec l'animal contrairement à des films comme Peur bleue ou l'on voit direct que les requins sont trafiquer par ordi, ici ils sont bien réels ! Le réal arrive à créer une peur casi permanente qui nous prend aux tripes du début à la fin avec brio ! Au final The reef n'a pas grand-chose a envié au célèbre Les dents de la mer puisqu'on aura pas fait mieux en matière de film de requin jusqu'ici.
The reef, il fait partie de ces rares films qui donnent, dès les toutes premières minutes, le sentiment que l'on va assister à un bon film. Cadre paradisiaque, soleil, plage, mer, ciel bleu. Acteur, pour ma part, tous inconnu, mais rapidement attachants. Tous se passe bien pour la petite troupe de touriste jusqu'à ce que leur embarcation ne heurte des récifs et se retourne... En une fraction de seconde on passe du calme plat à la panique général. Le réal maîtrise bien son affaire, car avant même de voir apparaitre le moindre aileron à la surface de l'eau le film réserve quelques passages réellement angoissant ! Et réussir à faire peur sans rien montrer c'est très fort ! Sans parler de la bande-son qui fout bien sûr les nerfs... Ensuite pour ce qui est des requins, la première rencontre est aussi terrorisante qu'inattendu ! Je dois dire que niveau effets spéciaux, j'ai eu beau repassé la scène encore et encore au ralentit, je n'ai pas compris comment ils ont fait cela. On a vraiment l'impression que les acteurs sont en contacts réel avec l'animal contrairement à des films comme Peur bleue ou l'on voit direct que les requins sont trafiquer par ordi, ici ils sont bien réels ! Le réal arrive à créer une peur casi permanente qui nous prend aux tripes du début à la fin avec brio ! Au final The reef n'a pas grand-chose a envié au célèbre Les dents de la mer puisqu'on aura pas fait mieux en matière de film de requin jusqu'ici.
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J'ai passé un bon moment avec " Wake" . Carys (Bijou Phillips) est pétillante et rigolote , tandis que Tyler ( Ian Somerhalder) est énigmatique . J'aime leur complicité dans le film . C'est une belle comédie romantique .
J'ai passé un bon moment avec " Wake" . Carys (Bijou Phillips) est pétillante et rigolote , tandis que Tyler ( Ian Somerhalder) est énigmatique . J'aime leur complicité dans le film . C'est une belle comédie romantique .
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Voici encore un incontournable du glorieux cinéma italien d’il y a quelques décennies. Les nations méritent-elles leur peuple ? Quitte à mettre entre parenthèse son intégrité, c’est le difficile cas de conscience auquel va être confronté un juge qui enquête sur la mort d’une jeune prostituée. Il est vrai aussi que l’accusé qui se trouve face à lui endosse l’habit du coupable idéal et représente l’incarnation parfaite de l’ennemi diabolique en termes d’équité. Quelques moments incontournables : le Palais de Justice qui tombe en ruines, l’accusé déguisé en militaire romain qui est interrogé stoïquement par le juge dans ses bureaux de fortune, la dispute mémorable entre l’accusé et son épouse, le père de l’accusé que l’on fera passer pour fou, la scène de la plage et le final célébrant la victoire de l’Italie contre le Royaume-Uni à l’occasion d’un match de football. C’est drôle, très bavard, caustique et terriblement d’actualité. Comment ne pas citer ces deux acteurs magnifiques qu’étaient Ugo Tognazzi et Vittorio Gassman et qui se complètent parfaitement dans ce film d’excellence de Dino Risi.
Voici encore un incontournable du glorieux cinéma italien d’il y a quelques décennies. Les nations méritent-elles leur peuple ? Quitte à mettre entre parenthèse son intégrité, c’est le difficile cas de conscience auquel va être confronté un juge qui enquête sur la mort d’une jeune prostituée. Il est vrai aussi que l’accusé qui se trouve face à lui endosse l’habit du coupable idéal et représente l’incarnation parfaite de l’ennemi diabolique en termes d’équité. Quelques moments incontournables : le Palais de Justice qui tombe en ruines, l’accusé déguisé en militaire romain qui est interrogé stoïquement par le juge dans ses bureaux de fortune, la dispute mémorable entre l’accusé et son épouse, le père de l’accusé que l’on fera passer pour fou, la scène de la plage et le final célébrant la victoire de l’Italie contre le Royaume-Uni à l’occasion d’un match de football. C’est drôle, très bavard, caustique et terriblement d’actualité. Comment ne pas citer ces deux acteurs magnifiques qu’étaient Ugo Tognazzi et Vittorio Gassman et qui se complètent parfaitement dans ce film d’excellence de Dino Risi.
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Trop d'action tue l'action et c'est exactement ce qui se passe, puisqu'on ne ressent aucune empathie pour les personnages, c'est la première erreur, la seconde est la gestion de l'espace, comment voulez vous suivre l'action dans un endroit qui est à peine décrit ? Mais le film est aussi une accumulation de clichés : je veux bien que les méchants organisent un commando pour délivrer leur chef, mais là ils sont combien ? Plus d'une centaine, et armés jusqu'aux dents avec des munitions inépuisables ! En plus ils n'ont pas de bol, ils se font descendre à tous les coups. L'action n'arrête pas et pendant les rares pauses on a droit aux pires poncifs comme la nana qui regarde la photo de son bébé (comme comique involontaire c'est pas mal), ou alors à des répliques débiles. Un mauvais film qui se prend pour un remake d'Assaut de Carpenter, ben c'est raté !
Trop d'action tue l'action et c'est exactement ce qui se passe, puisqu'on ne ressent aucune empathie pour les personnages, c'est la première erreur, la seconde est la gestion de l'espace, comment voulez vous suivre l'action dans un endroit qui est à peine décrit ? Mais le film est aussi une accumulation de clichés : je veux bien que les méchants organisent un commando pour délivrer leur chef, mais là ils sont combien ? Plus d'une centaine, et armés jusqu'aux dents avec des munitions inépuisables ! En plus ils n'ont pas de bol, ils se font descendre à tous les coups. L'action n'arrête pas et pendant les rares pauses on a droit aux pires poncifs comme la nana qui regarde la photo de son bébé (comme comique involontaire c'est pas mal), ou alors à des répliques débiles. Un mauvais film qui se prend pour un remake d'Assaut de Carpenter, ben c'est raté !
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Un documentaire qui réussit à maintenir le spectateur hors de son sommeil.
Un documentaire qui réussit à maintenir le spectateur hors de son sommeil.
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Poir moi le meilleur film de braquage . C'est l'histoire de Dany ocean qui vient tout juste de sortir de prison pour avoir voler des objets de valeurs . A peine sortit de prison il a déjà l'idée d'un nouveau coup celle de braquer les trois casinos de Terry Bénédicte le type qui sort avec son ex femme . Il décide d'engager une équipe de 11 personnes pour l'aider . Les voilà partit pour préparer le casse du siècle sachant que personne n'a jamais réussit a braquer un casino a ce jour . Surtout que les casinos de Terry Bénédicte font partit des casinos les plus sécurisé au monde . La tâche s'avère compliquer. Un casting de prestige . George Clooney excellent dans le rôle de Dany océan qui reunit une équipe de choc pour braquer le casino le plus sécuriser de pas Vegas . Il est entourer des excellents Brad Pitt et Matt damon parfait dans leur rôles respectifs . Ils ont vraiment tous la classe . Sans oublier la ravissante Julia Roberts dans le rôle de l'ex femme de Dany océan et surtout Andy Garcia qui joue a merveille le rôle de Terry Bénédicte patron du plus grand casino de l'as Vegas . Le reste de la distribution est également génial avec des personnages hilarants incarner par de très bons acteurs . Le scénario est excellent . Le film nous tient en haleine de bout en bout . La préparation de ce braquage est passionnante a suivre . On se demande comment ils vont parvenir a réussir leur coup . Le suspense et les rebondissements sont au rendez vous lors de ce braquage de haut vol . L'humour est également présente pour notre plus grand plaisir . Les décors a las Vegas sont superbe surtout dans le casino de Terry Bénédicte ou tout a l'air classe et glamour . La mise en scéne de Steven soderbergh est excellente . Un très bon film .
Poir moi le meilleur film de braquage . C'est l'histoire de Dany ocean qui vient tout juste de sortir de prison pour avoir voler des objets de valeurs . A peine sortit de prison il a déjà l'idée d'un nouveau coup celle de braquer les trois casinos de Terry Bénédicte le type qui sort avec son ex femme . Il décide d'engager une équipe de 11 personnes pour l'aider . Les voilà partit pour préparer le casse du siècle sachant que personne n'a jamais réussit a braquer un casino a ce jour . Surtout que les casinos de Terry Bénédicte font partit des casinos les plus sécurisé au monde . La tâche s'avère compliquer. Un casting de prestige . George Clooney excellent dans le rôle de Dany océan qui reunit une équipe de choc pour braquer le casino le plus sécuriser de pas Vegas . Il est entourer des excellents Brad Pitt et Matt damon parfait dans leur rôles respectifs . Ils ont vraiment tous la classe . Sans oublier la ravissante Julia Roberts dans le rôle de l'ex femme de Dany océan et surtout Andy Garcia qui joue a merveille le rôle de Terry Bénédicte patron du plus grand casino de l'as Vegas . Le reste de la distribution est également génial avec des personnages hilarants incarner par de très bons acteurs . Le scénario est excellent . Le film nous tient en haleine de bout en bout . La préparation de ce braquage est passionnante a suivre . On se demande comment ils vont parvenir a réussir leur coup . Le suspense et les rebondissements sont au rendez vous lors de ce braquage de haut vol . L'humour est également présente pour notre plus grand plaisir . Les décors a las Vegas sont superbe surtout dans le casino de Terry Bénédicte ou tout a l'air classe et glamour . La mise en scéne de Steven soderbergh est excellente . Un très bon film .
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[4.71626199e-04 9.99528374e-01]
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