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sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 100 | Avec une très grande dextérité, Claude Chabrol combine un secret honteux de famille bourgeoise avec un pamphlet contre la politique. Pleins de verve, les comédiens se donnent à coeur joie dans l'interprétation des dialogues : Nathalie Baye en tête, incroyablement réaliste en candidate de droite sans aucun scrupule, prête à faire des alliances malsaines avec l'extrême-droite pour remporter l'élection à la mairie. Toute ressemblance avec des faits divers et des partis politiques n'est en aucun cas fortuite! Une fois de plus, l'excellent Chabrol nous bluffe en poussant le cynisme jusqu'à la scène finale, dans un des ses (nombreux) meilleurs films! | Avec une très grande dextérité, Claude Chabrol combine un secret honteux de famille bourgeoise avec un pamphlet contre la politique. Pleins de verve, les comédiens se donnent à coeur joie dans l'interprétation des dialogues : Nathalie Baye en tête, incroyablement réaliste en candidate de droite sans aucun scrupule, prête à faire des alliances malsaines avec l'extrême-droite pour remporter l'élection à la mairie. Toute ressemblance avec des faits divers et des partis politiques n'est en aucun cas fortuite! Une fois de plus, l'excellent Chabrol nous bluffe en poussant le cynisme jusqu'à la scène finale, dans un des ses (nombreux) meilleurs films! | 1 | [5.14589457e-04 9.99485411e-01] | [5.14589457e-04 9.99485411e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 101 | L'humour de Dany Boon devient de plus en plus lourd franchement. 1 ou 2 passages drôle mais pour le reste on s'ennuie. Alice Pol , quant à elle, surjoue fortement. Le scénario manque d'originalité. Il aurait faire un meilleure film pour rendre hommage à ces hommes et femmes qui nous protègent. | L'humour de Dany Boon devient de plus en plus lourd franchement. 1 ou 2 passages drôle mais pour le reste on s'ennuie. Alice Pol , quant à elle, surjoue fortement. Le scénario manque d'originalité. Il aurait faire un meilleure film pour rendre hommage à ces hommes et femmes qui nous protègent. | 0 | [9.99801508e-01 1.98491514e-04] | [9.99801508e-01 1.98491514e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 102 | Est-ce que c'est une blague ? C'est ridicule mais jamais drôle, ils ont dû louper quelque chose si ça devait être drôle... Le seule moment intéressant du film est le retour du zombie tout pourri du 1er épisode, mais dès qu'il dis "Cerveau" c'est terminé. Enfin 1h35 de film pour 10 secondes de plans intéressants c'est pas très rentable. Les acteurs sont mauvais (tous les figurants ont l'air blasés), la photo est parfois sympas mais bon, la réal est bordélique, le scénario lobotomisé, le gore banal et répétitif... Enfin dès le début on est fixés sur la qualité de la suite... Le générique c'est une musique inquiétante sur un 4x4 qui roule la nuit (hum ok, étrange), et ensuite une séquence (dont j'ai pas pigé l'intérêt au vu de la suite...) dans une morgue avec des cadavres. Et un des cadavres... respire très visiblement. Franchement fuyez ce film, à force de mettre des "cerveauuuu" comme réplique pour les zombies il vous montre simplement que ceux qui ont fait ce film en cherchaient désespérement. Malheureusement pour nous ils n'en ont trouvé aucun... | Est-ce que c'est une blague ? C'est ridicule mais jamais drôle, ils ont dû louper quelque chose si ça devait être drôle... Le seule moment intéressant du film est le retour du zombie tout pourri du 1er épisode, mais dès qu'il dis "Cerveau" c'est terminé. Enfin 1h35 de film pour 10 secondes de plans intéressants c'est pas très rentable. Les acteurs sont mauvais (tous les figurants ont l'air blasés), la photo est parfois sympas mais bon, la réal est bordélique, le scénario lobotomisé, le gore banal et répétitif... Enfin dès le début on est fixés sur la qualité de la suite... Le générique c'est une musique inquiétante sur un 4x4 qui roule la nuit (hum ok, étrange), et ensuite une séquence (dont j'ai pas pigé l'intérêt au vu de la suite...) dans une morgue avec des cadavres. Et un des cadavres... respire très visiblement. Franchement fuyez ce film, à force de mettre des "cerveauuuu" comme réplique pour les zombies il vous montre simplement que ceux qui ont fait ce film en cherchaient désespérement. Malheureusement pour nous ils n'en ont trouvé aucun... | 0 | [9.99807182e-01 1.92817586e-04] | [9.99807182e-01 1.92817586e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 103 | Une fable fantastique et délicieusement irrespectueuse qui vous en fout plein la vue. L'introduction en mode foutraque est géniale et toute la seconde partie est un véritable bijou d'inventivité et de mise en scène géniale. Le seul reproche que l'on peut faire à ce film c'est le côté verbeux de toute la partie "road movie", ces gens-là, il faut qu'ils causent, c'est une manie, mais en suite quel régal ! Alors évidemment les ayatollahs du bon gout et les prédicateurs du politiquement correct vont manger leur chapeau puisqu' aujourd'hui on ne peut plus montrer ou parler de femmes méchantes sans être voués aux gémonies par des hordes de fanatiques pour qui tout sens des nuances ne peut être que suspect. Alors laissons grincher les grincheux et disons-le tout net, le sabbat de la seconde partie est probablement le meilleur que nous ait offert le cinéma, filmé avec une maestria inspirée et accompagné d'une bande son diabolique (c'est le cas de le dire) on se régale et on en redemande. Chapeau Monsieur Alex ! | Une fable fantastique et délicieusement irrespectueuse qui vous en fout plein la vue. L'introduction en mode foutraque est géniale et toute la seconde partie est un véritable bijou d'inventivité et de mise en scène géniale. Le seul reproche que l'on peut faire à ce film c'est le côté verbeux de toute la partie "road movie", ces gens-là, il faut qu'ils causent, c'est une manie, mais en suite quel régal ! Alors évidemment les ayatollahs du bon gout et les prédicateurs du politiquement correct vont manger leur chapeau puisqu' aujourd'hui on ne peut plus montrer ou parler de femmes méchantes sans être voués aux gémonies par des hordes de fanatiques pour qui tout sens des nuances ne peut être que suspect. Alors laissons grincher les grincheux et disons-le tout net, le sabbat de la seconde partie est probablement le meilleur que nous ait offert le cinéma, filmé avec une maestria inspirée et accompagné d'une bande son diabolique (c'est le cas de le dire) on se régale et on en redemande. Chapeau Monsieur Alex ! | 1 | [5.18013927e-04 9.99481986e-01] | [5.18013927e-04 9.99481986e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 104 | J'adore le fait de pas pouvoir poster ma critique. Est-ce parce que j'ai mis 0 étoiles ? Parce que je dis que le promoteur du film est le même à qui MJ devait des thunes, et celui qui a engagé le docteur qui a tué Bambi ? Que du coup il se rembourse grassement ? Qu'un film reposant sur des répétitions c'est pas un film déjà, et qu'à part montrer un produit non fini (ce que détestait MJ vu le nombre de chansons enregistrées mais non sorties) pour faire du profit il ne sert à rien ? Que mater du playback et des pas non finis sans engagement c'est triste ? Qu'un son si mauvais bad et un MJ sans son côté showman c'est définitivement naze ? Mouais pas très cool, donc tant pis pour la critique. | J'adore le fait de pas pouvoir poster ma critique. Est-ce parce que j'ai mis 0 étoiles ? Parce que je dis que le promoteur du film est le même à qui MJ devait des thunes, et celui qui a engagé le docteur qui a tué Bambi ? Que du coup il se rembourse grassement ? Qu'un film reposant sur des répétitions c'est pas un film déjà, et qu'à part montrer un produit non fini (ce que détestait MJ vu le nombre de chansons enregistrées mais non sorties) pour faire du profit il ne sert à rien ? Que mater du playback et des pas non finis sans engagement c'est triste ? Qu'un son si mauvais bad et un MJ sans son côté showman c'est définitivement naze ? Mouais pas très cool, donc tant pis pour la critique. | 0 | [9.9952957e-01 4.7042985e-04] | [9.9952957e-01 4.7042985e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 105 | ce film n'a absoluement aucun intérêt, mais qu'est-ce qui est passé par la tête du réalisateur pour faire une merde pareil ?!?! Quel est l'intérêt de faire un tel film ?!?! Il ne se passe rien, tout est plat du début à la fin... Bref un film absoluement nul à chier, que je déconseille fortement!!! | ce film n'a absoluement aucun intérêt, mais qu'est-ce qui est passé par la tête du réalisateur pour faire une merde pareil ?!?! Quel est l'intérêt de faire un tel film ?!?! Il ne se passe rien, tout est plat du début à la fin... Bref un film absoluement nul à chier, que je déconseille fortement!!! | 0 | [9.99781081e-01 2.18919489e-04] | [9.99781081e-01 2.18919489e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 106 | Quel loupé!La déception de ce film est à la hauteur du casting quatre étoiles (Gyllenhaal, Russo, Malkovitch,Colette,...) et les prometteurs (Zawe Ashton, Billy Magnussen). Pourtant c'est Dan Gilroy (l'époustouflant NightCall) à la réalisation et avec deux de ses acteurs fétiches Gyllenhaal et Russo à la barre, mais à la barre d'un navire en détresse. Et c'est bien dommage que le film n'atteigne pas ses promesses alors que l'intrigue aurait pu tenir en haleine : de mystérieux meurtres entachent les personnages de ce film, après la découverte de multiples œuvres d'art d'un homme décédé, qui prennent vie. Dans cet univers très bobo, l'art n'est malheureusement pas mis en valeur et l'ennui pointe le bout de son museau. Pour finalement s'installer définitivement. | Quel loupé!La déception de ce film est à la hauteur du casting quatre étoiles (Gyllenhaal, Russo, Malkovitch,Colette,...) et les prometteurs (Zawe Ashton, Billy Magnussen). Pourtant c'est Dan Gilroy (l'époustouflant NightCall) à la réalisation et avec deux de ses acteurs fétiches Gyllenhaal et Russo à la barre, mais à la barre d'un navire en détresse. Et c'est bien dommage que le film n'atteigne pas ses promesses alors que l'intrigue aurait pu tenir en haleine : de mystérieux meurtres entachent les personnages de ce film, après la découverte de multiples œuvres d'art d'un homme décédé, qui prennent vie. Dans cet univers très bobo, l'art n'est malheureusement pas mis en valeur et l'ennui pointe le bout de son museau. Pour finalement s'installer définitivement. | 0 | [9.99750981e-01 2.49019345e-04] | [9.99750981e-01 2.49019345e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 107 | Santiago Mitre est son premier long métrage (ayant quelques productions ou il faisait apparisition, m'interessant un peu au cinéma argentin) et nous montre une réalisation qui va rendre la politique (parti pri majeur dans le film) passionnant, par là j'entend que l'on la concevrait presque comme un film d'espion... Mais comment va t-il faire??? Apres il y a quand même un peu trop de dialogues politiques qui parfois, et peut être même souvent ; laisseront le spectateur sur le carreau. Puisqu'il s'agit alors de politique du pays... que l'on a pas souvent connu ou du moins approfondi la chose. Pour les Argentins, cela à du être un peu plus simple (puisque expliqué scolairement). On suit donc l'aventure d'El estudiante" et son parcours universitaire, ou l'on nous montre que peu à peu ; il prend part à certaines choses... On se sent avancé comme lui. Mais là encore, la narration nous semble un peu labyrinthe et l'on s'y perd un peu. Non pas dans l'histoire, mais dans les dialogues et l'histoire politique. Mais même sans comprendre certaines choses, on arrive à concevoir que verbalement ; il y a un réel échange. L'immersion au sein du militantisme estudiantin est pourtant captivante (même sans avoir tout compris! D'ailleurs, il faudra que je revois ce film ultèrieurement et lise quelques magazines pour m'informer un peu mieux et ainsi mieux apprécier le film. Auquel apres, je pense ; que je pourrais y rajouter une étoile^^). Mais c'est que je regrette le coté dialogue (et même celui compréhensible^^) qui est un peu trop bavard. Pour amateur. | Santiago Mitre est son premier long métrage (ayant quelques productions ou il faisait apparisition, m'interessant un peu au cinéma argentin) et nous montre une réalisation qui va rendre la politique (parti pri majeur dans le film) passionnant, par là j'entend que l'on la concevrait presque comme un film d'espion... Mais comment va t-il faire??? Apres il y a quand même un peu trop de dialogues politiques qui parfois, et peut être même souvent ; laisseront le spectateur sur le carreau. Puisqu'il s'agit alors de politique du pays... que l'on a pas souvent connu ou du moins approfondi la chose. Pour les Argentins, cela à du être un peu plus simple (puisque expliqué scolairement). On suit donc l'aventure d'El estudiante" et son parcours universitaire, ou l'on nous montre que peu à peu ; il prend part à certaines choses... On se sent avancé comme lui. Mais là encore, la narration nous semble un peu labyrinthe et l'on s'y perd un peu. Non pas dans l'histoire, mais dans les dialogues et l'histoire politique. Mais même sans comprendre certaines choses, on arrive à concevoir que verbalement ; il y a un réel échange. L'immersion au sein du militantisme estudiantin est pourtant captivante (même sans avoir tout compris! D'ailleurs, il faudra que je revois ce film ultèrieurement et lise quelques magazines pour m'informer un peu mieux et ainsi mieux apprécier le film. Auquel apres, je pense ; que je pourrais y rajouter une étoile^^). Mais c'est que je regrette le coté dialogue (et même celui compréhensible^^) qui est un peu trop bavard. Pour amateur. | 0 | [0.96906476 0.03093524] | [0.96906476 0.03093524] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 108 | L'arnaque aux assurances, William Friedkin s'en fiche et ne la filme même pas, ce qui l'intéresse c'est de montrer une famille américaine en marge et dysfonctionnelle. Et le tableau est gratiné. Appat du gain, rapports troubles, inceste qui rode, adultère, violence des rapports, drogues et alcools dans les parages, télé toujours en marche, Friedklin excerce sa misanthropie sur des personnages inconséquents et sans savoir-vivre, experts en débrouille mais pas en intelligence. Sa critique est féroce mais montre sans juger. Mc Conaughey est impressionnant mais la clé de l'intrigue repose sur la jeune Dottie-Juno Temple, symbole de ce qui peut encore rester de pureté, de candeur au sein de sa famille, enfermée constamment dans sa chambre, que chacun cherche à préserver et qui représente le passeport pour une vie meilleure | L'arnaque aux assurances, William Friedkin s'en fiche et ne la filme même pas, ce qui l'intéresse c'est de montrer une famille américaine en marge et dysfonctionnelle. Et le tableau est gratiné. Appat du gain, rapports troubles, inceste qui rode, adultère, violence des rapports, drogues et alcools dans les parages, télé toujours en marche, Friedklin excerce sa misanthropie sur des personnages inconséquents et sans savoir-vivre, experts en débrouille mais pas en intelligence. Sa critique est féroce mais montre sans juger. Mc Conaughey est impressionnant mais la clé de l'intrigue repose sur la jeune Dottie-Juno Temple, symbole de ce qui peut encore rester de pureté, de candeur au sein de sa famille, enfermée constamment dans sa chambre, que chacun cherche à préserver et qui représente le passeport pour une vie meilleure | 1 | [0.01393496 0.98606504] | [0.01393496 0.98606504] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 109 | J’avais aimé tous les films de Quentin Dupieux depuis « Rubber ». Mais là, non, le film déçoit. Peut-être parce que, pour une fois, il a été tourné en France, alors que Dupieux, français, faisait tous ses films aux États-Unis. Peut-être aussi parce que les célèbres coqs-à-l’âne de ses films précédents ont été laissés de côté, au profit d’une seule absurdité, la passion inexplicable de Georges pour ce blouson en daim qu’il a acheté, pour une somme colossale, à un vieillard, lequel, en prime, lui a offert un camescope ayant peu servi. Peut-être, enfin, parce que les deux personnages principaux passent leur temps à expliquer ce qu’ils veulent faire – pas à le faire. La manie de Georges n’aboutit qu’à une situation :il tue tous les personnages qu’il croise et qui portent un blouson,parce qu’il veut être seul dans son cas. Et commeil a blessé un jeune garçon qui ne faisait rien de pire que le regarder, le père du garçon, qui est le patron de de son hôtel, l’abat d’un coup de fusil. Jean Dujardin fait le minimum, beaucoup moins que dans les deux films sur OSS 117, dont le second est passé hier soir à la télévision. Nous n’étions que trois spectateurs dans la salle à la toute première séance parisienne) | J’avais aimé tous les films de Quentin Dupieux depuis « Rubber ». Mais là, non, le film déçoit. Peut-être parce que, pour une fois, il a été tourné en France, alors que Dupieux, français, faisait tous ses films aux États-Unis. Peut-être aussi parce que les célèbres coqs-à-l’âne de ses films précédents ont été laissés de côté, au profit d’une seule absurdité, la passion inexplicable de Georges pour ce blouson en daim qu’il a acheté, pour une somme colossale, à un vieillard, lequel, en prime, lui a offert un camescope ayant peu servi. Peut-être, enfin, parce que les deux personnages principaux passent leur temps à expliquer ce qu’ils veulent faire – pas à le faire. La manie de Georges n’aboutit qu’à une situation :il tue tous les personnages qu’il croise et qui portent un blouson,parce qu’il veut être seul dans son cas. Et commeil a blessé un jeune garçon qui ne faisait rien de pire que le regarder, le père du garçon, qui est le patron de de son hôtel, l’abat d’un coup de fusil. Jean Dujardin fait le minimum, beaucoup moins que dans les deux films sur OSS 117, dont le second est passé hier soir à la télévision. Nous n’étions que trois spectateurs dans la salle à la toute première séance parisienne) | 0 | [9.99697515e-01 3.02485427e-04] | [9.99697515e-01 3.02485427e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 110 | Le film culte du cinéma anglais des années soixante, qui a montré la voie à Ken Loach et à tant d'autres. Dans une société anglaise minée par la pauvreté et la désespérance, les jeunes n'ont d’autre choix que de se révolter ou de se soumettre. C'est une troisième voie, une voie intermédiaire, beaucoup plus courageuse, que va choisir Colin Smith, incarné de façon hallucinante de vérité par Tom Courtenay, quasi débutant alors. Placé en posture de « réussir sa vie » par l'accomplissement dans le sport, le jeune délinquant va, dans un geste de défi insensé, choisir le refus des valeurs jusqu'au bout, quel qu'en soit le prix. La réalisation de Tony Richardson est exemplaire avec dix dernières minutes qui comptent parmi les plus belles de l'histoire du cinéma. L'œuvre est construite sur des flash-back d’une pertinence parfaite puisqu'à la fin le passé rejoint le présent dans une logique psychologique imparable. Le propos de Richardson est ainsi énoncé non pas dans les mots mais essentiellement dans et par les images. L'image avant les mots, c'est pour moi la première et toujours la meilleure définition du cinéma. | Le film culte du cinéma anglais des années soixante, qui a montré la voie à Ken Loach et à tant d'autres. Dans une société anglaise minée par la pauvreté et la désespérance, les jeunes n'ont d’autre choix que de se révolter ou de se soumettre. C'est une troisième voie, une voie intermédiaire, beaucoup plus courageuse, que va choisir Colin Smith, incarné de façon hallucinante de vérité par Tom Courtenay, quasi débutant alors. Placé en posture de « réussir sa vie » par l'accomplissement dans le sport, le jeune délinquant va, dans un geste de défi insensé, choisir le refus des valeurs jusqu'au bout, quel qu'en soit le prix. La réalisation de Tony Richardson est exemplaire avec dix dernières minutes qui comptent parmi les plus belles de l'histoire du cinéma. L'œuvre est construite sur des flash-back d’une pertinence parfaite puisqu'à la fin le passé rejoint le présent dans une logique psychologique imparable. Le propos de Richardson est ainsi énoncé non pas dans les mots mais essentiellement dans et par les images. L'image avant les mots, c'est pour moi la première et toujours la meilleure définition du cinéma. | 1 | [4.04986740e-04 9.99595013e-01] | [4.04986740e-04 9.99595013e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 111 | Autant j'avais apprécié les deux premiers volets du slash movie "Souviens-toi l'été dernier" (tout en sachant clairement que ce n'était déjà pas des films très évolués) mais celui-ci dépasse les limites de l'ennui et, il est sans aucun intérêt. | Autant j'avais apprécié les deux premiers volets du slash movie "Souviens-toi l'été dernier" (tout en sachant clairement que ce n'était déjà pas des films très évolués) mais celui-ci dépasse les limites de l'ennui et, il est sans aucun intérêt. | 0 | [9.99774626e-01 2.25374223e-04] | [9.99774626e-01 2.25374223e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 112 | un film qui montre comment un nazi devient sympa. Filmé comme un documentaire, on ne ressent aucune émotion, c'est d'une platitude pas possible. ce genre de cinéma, c'est pourri | un film qui montre comment un nazi devient sympa. Filmé comme un documentaire, on ne ressent aucune émotion, c'est d'une platitude pas possible. ce genre de cinéma, c'est pourri | 0 | [9.99797294e-01 2.02705938e-04] | [9.99797294e-01 2.02705938e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 113 | J'ai trouvé ce film nul. c'est aussi simple que ça. L'histoire aurait pu etre pas mal mais, meme si l'on a là un film de SF, rien n'est crédible. un jeu de simulation grandeur nature, un univers glauque... ça m'avait semblé si bien, mais c'est mal tourné, mal filmé, les dialogues sont vides, l'ambiance inexistante. Et meme si la fin est "curieusement" presque potable, j'en veux à l'intégralité du film de m'avoir fait boire tant de café pour rester éveillé ! | J'ai trouvé ce film nul. c'est aussi simple que ça. L'histoire aurait pu etre pas mal mais, meme si l'on a là un film de SF, rien n'est crédible. un jeu de simulation grandeur nature, un univers glauque... ça m'avait semblé si bien, mais c'est mal tourné, mal filmé, les dialogues sont vides, l'ambiance inexistante. Et meme si la fin est "curieusement" presque potable, j'en veux à l'intégralité du film de m'avoir fait boire tant de café pour rester éveillé ! | 0 | [9.99808546e-01 1.91453762e-04] | [9.99808546e-01 1.91453762e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 114 | Une excellente surprise. Il s'agit d'une comédie policière complètement déjantée et qui fonctionne parfaitement bien. Il y a des moments de franche rigolade (le petit rôle joué par Rufus est irrésistible). Bien joué, surprenant et divertissant ! Ce qui me fait marrer, c'est ceux qui qui nous disent gentiment "à voir pour les dialogues d'Audiard". Or ce dernier n'a pas participé au film, les dialogues sont de Bertrand Blier (le fis de Bernard) et sont excellent. | Une excellente surprise. Il s'agit d'une comédie policière complètement déjantée et qui fonctionne parfaitement bien. Il y a des moments de franche rigolade (le petit rôle joué par Rufus est irrésistible). Bien joué, surprenant et divertissant ! Ce qui me fait marrer, c'est ceux qui qui nous disent gentiment "à voir pour les dialogues d'Audiard". Or ce dernier n'a pas participé au film, les dialogues sont de Bertrand Blier (le fis de Bernard) et sont excellent. | 1 | [5.89996113e-04 9.99410004e-01] | [5.89996113e-04 9.99410004e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 115 | J'avoue ne pas bien comprendre tout ce ramdam qui a été fait sur ce thriller, plutôt insignifiant au final : c'est très brouillon et assez peu passionnant. Même la relation entre les deux flics n'est pas très bien présentée. Grosse déception ! | J'avoue ne pas bien comprendre tout ce ramdam qui a été fait sur ce thriller, plutôt insignifiant au final : c'est très brouillon et assez peu passionnant. Même la relation entre les deux flics n'est pas très bien présentée. Grosse déception ! | 0 | [9.99762647e-01 2.37352913e-04] | [9.99762647e-01 2.37352913e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 116 | Le plus abouti de la série "Meurtre à ". Un scénario solide, avec des implications politiques, des décors naturels à couper le souffle, un casting recherché avec des personnages attachants (Leslie Medina et Jean Michel Tinivelli) et des "gueules" impressionnantes... La chanson de Vailamana Chavez apporte un moment de charme et de douceur à cette sombre vengeance rituelle ! Dommage que le lieu de tournage soit si éloigné, j'aurais bien aimé une série avec ces personnages ! | Le plus abouti de la série "Meurtre à ". Un scénario solide, avec des implications politiques, des décors naturels à couper le souffle, un casting recherché avec des personnages attachants (Leslie Medina et Jean Michel Tinivelli) et des "gueules" impressionnantes... La chanson de Vailamana Chavez apporte un moment de charme et de douceur à cette sombre vengeance rituelle ! Dommage que le lieu de tournage soit si éloigné, j'aurais bien aimé une série avec ces personnages ! | 1 | [6.36368436e-04 9.99363632e-01] | [6.36368436e-04 9.99363632e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 117 | Un hymne à la jeunesse, viante, passionné et attachante. C'est en effet de beaux portraits que nous offrent ici Jacques Becker, avec une sincérité des plus touchantes et un talent indéniable. Un talent d'abord pour faire ressortir une réelle émotion, puis de se montrer drole également, certains dialogues et personnages étant particulièrement attachants. De plus, ce film comporte plusieurs excellents acteurs, à commencer par Daniel Gélin, épatant ici. Bref, c'est un bien joli film dont il serait dommage de se priver! | Un hymne à la jeunesse, viante, passionné et attachante. C'est en effet de beaux portraits que nous offrent ici Jacques Becker, avec une sincérité des plus touchantes et un talent indéniable. Un talent d'abord pour faire ressortir une réelle émotion, puis de se montrer drole également, certains dialogues et personnages étant particulièrement attachants. De plus, ce film comporte plusieurs excellents acteurs, à commencer par Daniel Gélin, épatant ici. Bref, c'est un bien joli film dont il serait dommage de se priver! | 1 | [5.99554573e-04 9.99400445e-01] | [5.99554573e-04 9.99400445e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 118 | Dans les années 30, un détective privé et un policier font équipe pour enquêter sur la mort d'une connaissance. "City Heat" se veut comme un mélange de film noir et de comédie, mais gère difficilement l'équilibre entre les deux. Il n'y a ainsi que rarement de la tension, et peu de moments vraiment drôles, malgré quelques bonnes idées. D'autant plus que l'intrigue est assez prévisible, et la mise en scène peu inspirée. Toutefois, les décors sont de qualité, et le tandem principal fonctionne très bien : Clint Eastwood en ersatz de Dirty Harry mutique et expéditif, qui convient parfaitement à l'ambiance film noir, et Burt Reynolds, qui a toujours le bon mot en détective insolent et débrouillard. | Dans les années 30, un détective privé et un policier font équipe pour enquêter sur la mort d'une connaissance. "City Heat" se veut comme un mélange de film noir et de comédie, mais gère difficilement l'équilibre entre les deux. Il n'y a ainsi que rarement de la tension, et peu de moments vraiment drôles, malgré quelques bonnes idées. D'autant plus que l'intrigue est assez prévisible, et la mise en scène peu inspirée. Toutefois, les décors sont de qualité, et le tandem principal fonctionne très bien : Clint Eastwood en ersatz de Dirty Harry mutique et expéditif, qui convient parfaitement à l'ambiance film noir, et Burt Reynolds, qui a toujours le bon mot en détective insolent et débrouillard. | 0 | [9.99186151e-01 8.13848852e-04] | [9.99186151e-01 8.13848852e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 119 | En resume: film d'horreur épouvante pas du tout comédie encore moins. Film sans interet et mal joue. | En resume: film d'horreur épouvante pas du tout comédie encore moins. Film sans interet et mal joue. | 0 | [9.99724677e-01 2.75322886e-04] | [9.99724677e-01 2.75322886e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 120 | Décors et costumes grandioses, couleurs éclatantes, personnages charismatiques, des chansons, de la danse et beaucoup d’humour, etc, etc, etc... « le Roi et Moi » est une comédie pimpante comme savait le faire Hollywood et qui ne peut qu’enchanter les amateurs du genre. Engagée pour faire l’éducation des nombreux enfants et concubines de la cour royale du Siam, Anna, une institutrice britannique va se confronter au caractère vaniteux, borné et despotique du Roi. Deborah Kerr donne ici la réplique au grand Yul Brynner, lequel reprend ici le rôle de sa vie, l’ayant interprété à plus de 4600 reprises sur les planches. Film charmant au contraire de son terne remake avec Jodie Foster. | Décors et costumes grandioses, couleurs éclatantes, personnages charismatiques, des chansons, de la danse et beaucoup d’humour, etc, etc, etc... « le Roi et Moi » est une comédie pimpante comme savait le faire Hollywood et qui ne peut qu’enchanter les amateurs du genre. Engagée pour faire l’éducation des nombreux enfants et concubines de la cour royale du Siam, Anna, une institutrice britannique va se confronter au caractère vaniteux, borné et despotique du Roi. Deborah Kerr donne ici la réplique au grand Yul Brynner, lequel reprend ici le rôle de sa vie, l’ayant interprété à plus de 4600 reprises sur les planches. Film charmant au contraire de son terne remake avec Jodie Foster. | 1 | [0.00375909 0.99624091] | [0.00375909 0.99624091] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 121 | Des incohérences dans le scénario et le montage : un personnage apparaît subitement comme s'il était là depuis le début, la fin se résout à toute vitesse, des personnages qui semblent importants ne reviennent plus... Très décevant, sans même s'attendre au niveau d'un sous-Disney. | Des incohérences dans le scénario et le montage : un personnage apparaît subitement comme s'il était là depuis le début, la fin se résout à toute vitesse, des personnages qui semblent importants ne reviennent plus... Très décevant, sans même s'attendre au niveau d'un sous-Disney. | 0 | [9.99578554e-01 4.21446207e-04] | [9.99578554e-01 4.21446207e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 122 | Très bon film d'action réalisé avec beaucoup d'énergie. L'histoire est originale et les cascades surprenantes. Un excellent moment de détente. | Très bon film d'action réalisé avec beaucoup d'énergie. L'histoire est originale et les cascades surprenantes. Un excellent moment de détente. | 1 | [7.15550133e-04 9.99284450e-01] | [7.15550133e-04 9.99284450e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 123 | Un tres tres bon film, de tres bon acteurs (surtout Blanc). Une magnifique comedie sentimentale. J'ai ri, j'ai pleuré, un tres tres bon film | Un tres tres bon film, de tres bon acteurs (surtout Blanc). Une magnifique comedie sentimentale. J'ai ri, j'ai pleuré, un tres tres bon film | 1 | [6.33147291e-04 9.99366853e-01] | [6.33147291e-04 9.99366853e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 124 | Un film magnifique à tous points de vue. Atmosphère, interprétation, émotion. A VOIR ABSOLUMENT. On n'en ressort pas indemne. | Un film magnifique à tous points de vue. Atmosphère, interprétation, émotion. A VOIR ABSOLUMENT. On n'en ressort pas indemne. | 1 | [5.27875504e-04 9.99472124e-01] | [5.27875504e-04 9.99472124e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 125 | "Un mutant à l’énergie dense, jamais conçu pour la production en série, trop bizarre pour vivre et trop rare pour mourir." Cette phrase résume à elle-seule ce qu'est ce film, aux allures bizarroïdes, éloigné des carcans de ces longs-métrages parfois trop pompeux, trop violents ou souvent trop commerciaux. Il n'y ait pas une prise de vue qui soit anodine, par une seule séquence qui ne soit minutieusement étudiée. Le film tourne autour d'un thème sans jamais s'y poser, envoyant balader l'intrigue rassurante qui va de A à Z : ici tout est incohérent, tout force à l'être, à le montrer, à le penser. Les gens qui ont besoin de logique et d'histoire bien ficelée détesteront ce film : tout comme ils détesteront ce qu'il raconte, avec ces deux personnages au comportement décousu qui nous donnent mal au coeur et au crâne. Mais là est le but. Las Vegas parano est une critique de la déchéance humaine à toute échelle sur une note de comédie, si bien que tout le monde y passe : flic comme vieux riches, pauvres types, sans un sou, couple lambda, religieux ou agnostique. Ce film fait partie de ces ovnis du cinéma qui poussent à ce qu'on les déteste et puis...et puis il arrive qu'on ne le puisse pas! | "Un mutant à l’énergie dense, jamais conçu pour la production en série, trop bizarre pour vivre et trop rare pour mourir." Cette phrase résume à elle-seule ce qu'est ce film, aux allures bizarroïdes, éloigné des carcans de ces longs-métrages parfois trop pompeux, trop violents ou souvent trop commerciaux. Il n'y ait pas une prise de vue qui soit anodine, par une seule séquence qui ne soit minutieusement étudiée. Le film tourne autour d'un thème sans jamais s'y poser, envoyant balader l'intrigue rassurante qui va de A à Z : ici tout est incohérent, tout force à l'être, à le montrer, à le penser. Les gens qui ont besoin de logique et d'histoire bien ficelée détesteront ce film : tout comme ils détesteront ce qu'il raconte, avec ces deux personnages au comportement décousu qui nous donnent mal au coeur et au crâne. Mais là est le but. Las Vegas parano est une critique de la déchéance humaine à toute échelle sur une note de comédie, si bien que tout le monde y passe : flic comme vieux riches, pauvres types, sans un sou, couple lambda, religieux ou agnostique. Ce film fait partie de ces ovnis du cinéma qui poussent à ce qu'on les déteste et puis...et puis il arrive qu'on ne le puisse pas! | 1 | [0.00337419 0.99662581] | [0.00337419 0.99662581] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 126 | mon dieu quelle banane, une mega daube, j'ai jamais autant ri tellement que c'est ridicule mais que fait garner dans cette merde infame , les effets spéciaux on dirait bioman heureusement que j'ai vu ce film pendant que je travaillais chez moi | mon dieu quelle banane, une mega daube, j'ai jamais autant ri tellement que c'est ridicule mais que fait garner dans cette merde infame , les effets spéciaux on dirait bioman heureusement que j'ai vu ce film pendant que je travaillais chez moi | 0 | [0.95541398 0.04458602] | [0.95541398 0.04458602] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 127 | Bonne idée que de reprendre deux acteur majeurs Massini et Mastroianni, et de les mettre en scène dans une telle satire sur lle vieillissement de comédiens et la vente du cinéma au privé. Avec raison, Fellini en profite pour régler ses comptes avec un certain Berlusconi. Seulement voilà, le film s'avère par trop bavard avec un humour qui laisse à désirer et les longueurs s'installent progressivement jusqu'à un dénouement tout à fait ordinaire. Un Fellini décevant et revanchard de fin de carrière. | Bonne idée que de reprendre deux acteur majeurs Massini et Mastroianni, et de les mettre en scène dans une telle satire sur lle vieillissement de comédiens et la vente du cinéma au privé. Avec raison, Fellini en profite pour régler ses comptes avec un certain Berlusconi. Seulement voilà, le film s'avère par trop bavard avec un humour qui laisse à désirer et les longueurs s'installent progressivement jusqu'à un dénouement tout à fait ordinaire. Un Fellini décevant et revanchard de fin de carrière. | 0 | [9.99767269e-01 2.32731094e-04] | [9.99767269e-01 2.32731094e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 128 | Très bonne histoire sur la folie et l'obsession amoureuse vécue par la fille de Victor Hugo et c'est une histoire vraie. Isabelle Adjani est magnifique et extrêmement touchante, pression et fragilité psychologique sont des thèmes abordés dans ce film. La mise en scène est esthétiquement très réussie. | Très bonne histoire sur la folie et l'obsession amoureuse vécue par la fille de Victor Hugo et c'est une histoire vraie. Isabelle Adjani est magnifique et extrêmement touchante, pression et fragilité psychologique sont des thèmes abordés dans ce film. La mise en scène est esthétiquement très réussie. | 1 | [5.22263648e-04 9.99477736e-01] | [5.22263648e-04 9.99477736e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 129 | Un véritable petit bijou d'humour, toutefois attention aux oreilles chastes : c'est vulgaire mais très bien fait. | Un véritable petit bijou d'humour, toutefois attention aux oreilles chastes : c'est vulgaire mais très bien fait. | 1 | [0.00110783 0.99889217] | [0.00110783 0.99889217] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 130 | Un sous mad max avec véhicules pittoresques, poursuites, flingages... et toutes les caractéristiques d'un navet risible. Comme souvent dans ces cas là les dialogues sont particulièrement gratinés. Le final pourrait bien être pompé sur celui de "Duel" de Spilberg... | Un sous mad max avec véhicules pittoresques, poursuites, flingages... et toutes les caractéristiques d'un navet risible. Comme souvent dans ces cas là les dialogues sont particulièrement gratinés. Le final pourrait bien être pompé sur celui de "Duel" de Spilberg... | 0 | [0.99806643 0.00193357] | [0.99806643 0.00193357] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 131 | C'est pour des émotions comme ça que j'aime tant les films français. | C'est pour des émotions comme ça que j'aime tant les films français. | 1 | [0.03088805 0.96911195] | [0.03088805 0.96911195] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 132 | Humour potache façon teenage movie, scènes de baston/hip hop pas crédibles, personnages creux. Aucun interêt. | Humour potache façon teenage movie, scènes de baston/hip hop pas crédibles, personnages creux. Aucun interêt. | 0 | [9.99798044e-01 2.01956449e-04] | [9.99798044e-01 2.01956449e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 133 | Au départ j'étais intrigué par l'histoire du film, je prévoyais une histoire haute en couleurs et en rebondissements ; erreur de ma part. Ce film est plat, il est emprunt d'un furieux manque de dynamisme et de crédibilité. En effet, quelles femmes, aussi proches soient elles, trouveraient normal de coucher avec le fils de l'autre ? Si on en croit le scénario, elle ont passé leurs vies ensemble, elles ont vu le fils de l'autre naître, l'ont sans doute langé dans ses plus jeunes années et désormais elles couchent avec. Ce film plaira peut-être aux plus crédules et amateurs de mauvais goût d'entre nous, mais pas à moi. | Au départ j'étais intrigué par l'histoire du film, je prévoyais une histoire haute en couleurs et en rebondissements ; erreur de ma part. Ce film est plat, il est emprunt d'un furieux manque de dynamisme et de crédibilité. En effet, quelles femmes, aussi proches soient elles, trouveraient normal de coucher avec le fils de l'autre ? Si on en croit le scénario, elle ont passé leurs vies ensemble, elles ont vu le fils de l'autre naître, l'ont sans doute langé dans ses plus jeunes années et désormais elles couchent avec. Ce film plaira peut-être aux plus crédules et amateurs de mauvais goût d'entre nous, mais pas à moi. | 0 | [9.99781374e-01 2.18626104e-04] | [9.99781374e-01 2.18626104e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 134 | A l'annonce d'un remake du film de Tobe Hooper, mon petit cœur fan d'horreur s'emballa un peu vite. Ce Poltergeist n'est pas qu'un mauvais remake, c'est un mauvais film. Pas besoin de posséder des talents de prémonition pour deviner le timing exact des nombreux jumpscares qui vont nous sauter à la gueule. Parce que c'est surtout sur la surprise que veut jouer cette daube "cinématographique" qui ne dégage aucune atmosphère. "Surprise prévisible", on notera que c'est un bel oxymore qui ne sied généralement à aucun film, et encore moins à un film d'épouvante. Les dialogues sont catastrophiques, ce qui rend certaines situations incohérentes et ridiculise les personnages (surtout les parents). Rongée par l'ennui, j'ai vraiment hésité à quitter la salle à de nombreuses reprises, mais je suis finalement restée dans l'espoir d'un évènement inattendu. Grosse erreur de ma part, j'avais presque honte devant la tentative d'humour finale. Fuyez pauvres mortels, Poltergeist vous fera perdre votre temps et votre argent. | A l'annonce d'un remake du film de Tobe Hooper, mon petit cœur fan d'horreur s'emballa un peu vite. Ce Poltergeist n'est pas qu'un mauvais remake, c'est un mauvais film. Pas besoin de posséder des talents de prémonition pour deviner le timing exact des nombreux jumpscares qui vont nous sauter à la gueule. Parce que c'est surtout sur la surprise que veut jouer cette daube "cinématographique" qui ne dégage aucune atmosphère. "Surprise prévisible", on notera que c'est un bel oxymore qui ne sied généralement à aucun film, et encore moins à un film d'épouvante. Les dialogues sont catastrophiques, ce qui rend certaines situations incohérentes et ridiculise les personnages (surtout les parents). Rongée par l'ennui, j'ai vraiment hésité à quitter la salle à de nombreuses reprises, mais je suis finalement restée dans l'espoir d'un évènement inattendu. Grosse erreur de ma part, j'avais presque honte devant la tentative d'humour finale. Fuyez pauvres mortels, Poltergeist vous fera perdre votre temps et votre argent. | 0 | [9.99802306e-01 1.97694258e-04] | [9.99802306e-01 1.97694258e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 135 | Bluffée par le réalisme et le rendu, moi qui déteste les films de guerre, j'ai été très agréablement surprise par ce beau film. J'ai pu également apprendre quelque chose au sujet de la seconde guerre, sur cette bataille-clé de Jebsheim. Vu en séance débat, l'entretien de l'ancien combattant m'a laissée scotchée et émue. La proximité entre l'histoire du film et celle de ce monsieur est à peine croyable. Seul bémol, ou la fiction s'écarte un peu de la réalité: le manque de neige, mais hélas les conditions météo ne se contrôlent pas! Bravo donc pour ce projet au cœur gros comme ça! | Bluffée par le réalisme et le rendu, moi qui déteste les films de guerre, j'ai été très agréablement surprise par ce beau film. J'ai pu également apprendre quelque chose au sujet de la seconde guerre, sur cette bataille-clé de Jebsheim. Vu en séance débat, l'entretien de l'ancien combattant m'a laissée scotchée et émue. La proximité entre l'histoire du film et celle de ce monsieur est à peine croyable. Seul bémol, ou la fiction s'écarte un peu de la réalité: le manque de neige, mais hélas les conditions météo ne se contrôlent pas! Bravo donc pour ce projet au cœur gros comme ça! | 1 | [5.56745709e-04 9.99443254e-01] | [5.56745709e-04 9.99443254e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 136 | je crois que je n'ai jamais rien vu d'aussi nul, d'aussi convenu, de pas drôle...mon curé chez les nudistes doit être mieux. les critiques ne sont que complaisance, je ne peux pas croire que quelqu'un ait pu rire à une pareille daube. la seule qui riait dans la salle avait douze ans, et je ne suis pas sûr qu'elle avait tous les neurones rangés dans le bon sens....crétin à un point, on ne peut même pas imaginer que c'est possible....on ne peut pas mettre zéro, et c'est dommage. | je crois que je n'ai jamais rien vu d'aussi nul, d'aussi convenu, de pas drôle...mon curé chez les nudistes doit être mieux. les critiques ne sont que complaisance, je ne peux pas croire que quelqu'un ait pu rire à une pareille daube. la seule qui riait dans la salle avait douze ans, et je ne suis pas sûr qu'elle avait tous les neurones rangés dans le bon sens....crétin à un point, on ne peut même pas imaginer que c'est possible....on ne peut pas mettre zéro, et c'est dommage. | 0 | [9.99605973e-01 3.94027118e-04] | [9.99605973e-01 3.94027118e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 137 | Excellent film, bien qu'un poil trop long pour servir son propos. On a en effet parfois l'impression que l'on a voulu tirer à fond sur des scènes par forcément utile. Malgré tout, il est bon de voir que des gens sont capables de réaliser d'aussi bon films sur un thème et un contexte maintes fois employé. Sophie Nelisse est exceptionnelle, ainsi que Geoffrey Rush et Emily Watson. Pas niais pour un sous, La Voleuse de livres est donc un excellent long-métrage. A noter, deux trois éléments particulièrement savoureux :le choix du narrateur est singulier, mais trés bien pensé : La Mort en personne nous raconte l'histoire ... Tout simplement brillant ! Enfin, une fin assez triste, qui n'a pas manqué l'occasion de me faire verser quelques larmes. | Excellent film, bien qu'un poil trop long pour servir son propos. On a en effet parfois l'impression que l'on a voulu tirer à fond sur des scènes par forcément utile. Malgré tout, il est bon de voir que des gens sont capables de réaliser d'aussi bon films sur un thème et un contexte maintes fois employé. Sophie Nelisse est exceptionnelle, ainsi que Geoffrey Rush et Emily Watson. Pas niais pour un sous, La Voleuse de livres est donc un excellent long-métrage. A noter, deux trois éléments particulièrement savoureux :le choix du narrateur est singulier, mais trés bien pensé : La Mort en personne nous raconte l'histoire ... Tout simplement brillant ! Enfin, une fin assez triste, qui n'a pas manqué l'occasion de me faire verser quelques larmes. | 1 | [8.91536709e-04 9.99108463e-01] | [8.91536709e-04 9.99108463e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 138 | Très fidèle aux 2 premiers films avec un dernier digne de ce à quoi on où a préparé. Le scénario toujours aussi bien et les acteurs jouent toujours à merveille . | Très fidèle aux 2 premiers films avec un dernier digne de ce à quoi on où a préparé. Le scénario toujours aussi bien et les acteurs jouent toujours à merveille . | 1 | [7.32184053e-04 9.99267816e-01] | [7.32184053e-04 9.99267816e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 139 | Enfin le retour des vrais vampires (comme dit l'affiche) avec en prime des lycans monstrueux! On oublie le 3 et on revient aux origines d'Underworld! Sélène nous éblouit avec ses combats ultra rapides et surtout il n'y a qu'elle qui porte la combi en cuir aussi bien!... Tout est bien rythmé et on passe un bon moment cinématrophique. | Enfin le retour des vrais vampires (comme dit l'affiche) avec en prime des lycans monstrueux! On oublie le 3 et on revient aux origines d'Underworld! Sélène nous éblouit avec ses combats ultra rapides et surtout il n'y a qu'elle qui porte la combi en cuir aussi bien!... Tout est bien rythmé et on passe un bon moment cinématrophique. | 1 | [0.00224468 0.99775532] | [0.00224468 0.99775532] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 140 | Un film de SF que j'ai pas accroché. C'est dommage parce que sa aurait pu être plus interessant. L'ambiance est assez étrange, confuse. On est pas embalé dans cette histoire d'extraterrestre. Sinon, il y a de l'originalité, des effets spéciaux et visuels impressionants. Keanu Reeves nous fait reprenser à Néo dans son expression du visage et sa discretion. Mais voilà, c'est dommage, pas vraiment d'interêt. | Un film de SF que j'ai pas accroché. C'est dommage parce que sa aurait pu être plus interessant. L'ambiance est assez étrange, confuse. On est pas embalé dans cette histoire d'extraterrestre. Sinon, il y a de l'originalité, des effets spéciaux et visuels impressionants. Keanu Reeves nous fait reprenser à Néo dans son expression du visage et sa discretion. Mais voilà, c'est dommage, pas vraiment d'interêt. | 0 | [9.99723593e-01 2.76407154e-04] | [9.99723593e-01 2.76407154e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 141 | Un très bon film, je me suis mis aux romans il y a peu et je m attendais à être déçu... Eh bien non. bien sur le film prends quelques libertés par rapport au roman qui sont à mon avis necessaire (le film correspond grosso modo au tome 1, qui aurait été difficilement adaptable tel quel) c est court (trop court?) mais le rythme en est d autant plus soutenu et l histoire bien menée. Donc rassurez vous on a pas un condensé de 8 romans en 1h35... (Messieurs les critiques merci d au moins lire les resumés des romans sur wikipédia avant de parler de "trahison du matériau d origine"). Pour revenir au film le casting est top Idris Elba et Matthew M sont parfait, les fans de viking seront heureux (et surpris) de retrouver Lagerta en mère de famille vulnérable, et mention spécial au jeune acteur qui interprète Jack. En resumé je trouve que ce film est une réussite. | Un très bon film, je me suis mis aux romans il y a peu et je m attendais à être déçu... Eh bien non. bien sur le film prends quelques libertés par rapport au roman qui sont à mon avis necessaire (le film correspond grosso modo au tome 1, qui aurait été difficilement adaptable tel quel) c est court (trop court?) mais le rythme en est d autant plus soutenu et l histoire bien menée. Donc rassurez vous on a pas un condensé de 8 romans en 1h35... (Messieurs les critiques merci d au moins lire les resumés des romans sur wikipédia avant de parler de "trahison du matériau d origine"). Pour revenir au film le casting est top Idris Elba et Matthew M sont parfait, les fans de viking seront heureux (et surpris) de retrouver Lagerta en mère de famille vulnérable, et mention spécial au jeune acteur qui interprète Jack. En resumé je trouve que ce film est une réussite. | 1 | [6.26994876e-04 9.99373005e-01] | [6.26994876e-04 9.99373005e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 142 | Un film-concert d'une dimension jamais égalée. Voilà le plus grand groupe de rock de ces 30 dernières années nous faisant une démonstration de force de leur talent scénique, de composition. Une oeuvre majeure pour tout fan de U2 (que je suis) et de musique en général. Le meilleur film de Phil Joanou. Savourez ... | Un film-concert d'une dimension jamais égalée. Voilà le plus grand groupe de rock de ces 30 dernières années nous faisant une démonstration de force de leur talent scénique, de composition. Une oeuvre majeure pour tout fan de U2 (que je suis) et de musique en général. Le meilleur film de Phil Joanou. Savourez ... | 1 | [4.79343952e-04 9.99520656e-01] | [4.79343952e-04 9.99520656e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 143 | Quand on veut faire du malsain, on s'arrange au moins pour donner de la cohérence à l'ensemble. Ce n'est pas trop le cas ici. Un film mou, fan des raccourcis scénaristiques et des incohérences (cf la scène de prostitution volontaire qui n'as aucun lieu d'être). Le réalisateur tente de nous faire croire à de la folie pour un final qui n'a plus d'intérêt et qui oublie les bases de la psychologie afin que le film ne dure pas plus de 80 minutes!!! Messieurs, évitez d'évoquer certains sujets si vous ne les développez pas. Merci! | Quand on veut faire du malsain, on s'arrange au moins pour donner de la cohérence à l'ensemble. Ce n'est pas trop le cas ici. Un film mou, fan des raccourcis scénaristiques et des incohérences (cf la scène de prostitution volontaire qui n'as aucun lieu d'être). Le réalisateur tente de nous faire croire à de la folie pour un final qui n'a plus d'intérêt et qui oublie les bases de la psychologie afin que le film ne dure pas plus de 80 minutes!!! Messieurs, évitez d'évoquer certains sujets si vous ne les développez pas. Merci! | 0 | [9.99759543e-01 2.40457499e-04] | [9.99759543e-01 2.40457499e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 144 | Sorte de roman-feuilleton s'étalant sur plus de 3 heures,"Géant"(1955)possède le titre adéquat.Il narre l'opposition entre la famille Bénedict,l'une des plus riches du Texas,ayant fait fortune dans l'élevage de bétail,face à son ex-assistant rancher,devenu magnat du pétrole,à la suite de la découverte de multiples gisements sur ses terres.En tout points,cette fresque familiale,retranscrivant 40 ans d'évolution d'un Etat,préfigure la série télévisée "Dallas".Coups bas,course à l'argent et au pouvoir,étendue des plaines arides du Texas,intrigues familiales corsées.Le film fait aussi le constat de la discrimination raciale envers les Mexicains et fustige la mégalomanie de ces parvenus.La légende de James Dean fut enterinée,dès sa mort accidentelle,juste à la fin du tournage.Sa prestation de modeste rebelle,qui perd la raison en même temps qu'il acquiert la fortune est très bonne,mais pas à ce point-là.Rock Hudson,archétype du mâle viril et imposant,confirmait son charisme tranquille,et Elizabeth Taylor,téméraire et caractérielle ensorcelait ces 2 hommes.En dépit de tous ces atouts,cette odyssée romancée laisse un goût de laisser-aller.Si l'on passe sur l'esthétique datée,il y a tout de même à redire sur un scénario terriblement linéaire et conventionnel,empiré de plus par d'injustifiées longueurs.Les sentiments qui se veulent exaltés,transparaissent assez peu,de sorte que l'on n'est pas cueilli.Dur constat. | Sorte de roman-feuilleton s'étalant sur plus de 3 heures,"Géant"(1955)possède le titre adéquat.Il narre l'opposition entre la famille Bénedict,l'une des plus riches du Texas,ayant fait fortune dans l'élevage de bétail,face à son ex-assistant rancher,devenu magnat du pétrole,à la suite de la découverte de multiples gisements sur ses terres.En tout points,cette fresque familiale,retranscrivant 40 ans d'évolution d'un Etat,préfigure la série télévisée "Dallas".Coups bas,course à l'argent et au pouvoir,étendue des plaines arides du Texas,intrigues familiales corsées.Le film fait aussi le constat de la discrimination raciale envers les Mexicains et fustige la mégalomanie de ces parvenus.La légende de James Dean fut enterinée,dès sa mort accidentelle,juste à la fin du tournage.Sa prestation de modeste rebelle,qui perd la raison en même temps qu'il acquiert la fortune est très bonne,mais pas à ce point-là.Rock Hudson,archétype du mâle viril et imposant,confirmait son charisme tranquille,et Elizabeth Taylor,téméraire et caractérielle ensorcelait ces 2 hommes.En dépit de tous ces atouts,cette odyssée romancée laisse un goût de laisser-aller.Si l'on passe sur l'esthétique datée,il y a tout de même à redire sur un scénario terriblement linéaire et conventionnel,empiré de plus par d'injustifiées longueurs.Les sentiments qui se veulent exaltés,transparaissent assez peu,de sorte que l'on n'est pas cueilli.Dur constat. | 0 | [0.99563215 0.00436785] | [0.99563215 0.00436785] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 145 | Un troisième volet vraiment destiné aux plus grands fans des Pokémon, car pour le reste des spectateurs, ce ne sera qu'un insipide et ennuyeux film d'animation. | Un troisième volet vraiment destiné aux plus grands fans des Pokémon, car pour le reste des spectateurs, ce ne sera qu'un insipide et ennuyeux film d'animation. | 0 | [9.99618289e-01 3.81710710e-04] | [9.99618289e-01 3.81710710e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 146 | L’artiste brésilien Vik Muniz, né dans la pauvreté de Rio, connait le succès grâce à ses œuvres d’art. Ce ponte de l’art moderne, comme un retour d’ascenseur, décide d’aller dans la plus grande décharge du monde à Rio afin de créer des œuvres entre portraits de ramasseurs de déchets et les ordures elles mêmes. Ces œuvres d’art doivent permettre de faire connaitre cette population vivant dans la décharge et leur amener les fructueux bénéfices de leur vente. Le bilan de ce projet de documentaire est très mitigé. Montrer la misère et la détresse de cette frange d’exclus de la sociétés a un intérêt humanitaire et humaniste. L’artiste en fin de parcours découvre l’ampleur du changement qu’il a orchestré et l’espoir, sans lendemain, qu’il a fait naître chez ces gens. Avec une naïveté à laquelle j’ai du mal à adhéré, surtout venant d’artistes modernes élevés au rang d’hommes d’affaire avec des équipes de petites mains. L’ambiguïté de la démarche me dérange, même si au final sans sortir de la misère ils sont parvenus à améliorer ponctuellement l’existant. Pas le chef d’œuvre attendu | L’artiste brésilien Vik Muniz, né dans la pauvreté de Rio, connait le succès grâce à ses œuvres d’art. Ce ponte de l’art moderne, comme un retour d’ascenseur, décide d’aller dans la plus grande décharge du monde à Rio afin de créer des œuvres entre portraits de ramasseurs de déchets et les ordures elles mêmes. Ces œuvres d’art doivent permettre de faire connaitre cette population vivant dans la décharge et leur amener les fructueux bénéfices de leur vente. Le bilan de ce projet de documentaire est très mitigé. Montrer la misère et la détresse de cette frange d’exclus de la sociétés a un intérêt humanitaire et humaniste. L’artiste en fin de parcours découvre l’ampleur du changement qu’il a orchestré et l’espoir, sans lendemain, qu’il a fait naître chez ces gens. Avec une naïveté à laquelle j’ai du mal à adhéré, surtout venant d’artistes modernes élevés au rang d’hommes d’affaire avec des équipes de petites mains. L’ambiguïté de la démarche me dérange, même si au final sans sortir de la misère ils sont parvenus à améliorer ponctuellement l’existant. Pas le chef d’œuvre attendu | 0 | [9.99530200e-01 4.69800457e-04] | [9.99530200e-01 4.69800457e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 147 | Interprétation magistrale de Vincent LINDON et d'Hélène VINCENT et de l'ensemble des acteurs. J'ai ressenti une profonde émotion et j'ai adoré ce film qui divise. Je conçois que l'on ne partage pas l'idée générale mais on ne peut rester indifférent et cela nous fait au minimum réfléchir à la fin de vie que nous souhaiterions avoir quelques soient nos idées et principes. A voir absolument. | Interprétation magistrale de Vincent LINDON et d'Hélène VINCENT et de l'ensemble des acteurs. J'ai ressenti une profonde émotion et j'ai adoré ce film qui divise. Je conçois que l'on ne partage pas l'idée générale mais on ne peut rester indifférent et cela nous fait au minimum réfléchir à la fin de vie que nous souhaiterions avoir quelques soient nos idées et principes. A voir absolument. | 1 | [4.94008731e-04 9.99505991e-01] | [4.94008731e-04 9.99505991e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 148 | Grande première pour moi puisque je n'avais jusqu'alors jamais vu de films ni réalisé ni produit par Judd Apatow, je dois reconnaître que la pilule est plutôt bien passée pendant plus d'une heure. Assez drôle et même plutôt enlevé, ce "Funny People", à défaut d'atteindre des sommets de subtilité, s'avère être suffisamment efficace et bien joué pour se faire plaisant et sympathique. Je n'en dirais pas de même pour une deuxième partie presque pénible à suivre, mais qui, heureusement, nous offre tout de même elle aussi de temps à autre de bonnes tranches de rigolade, faisant ainsi passer un peu mieux les balourdises et les plaisanteries régulièrement en-desous de la ceinture. C'est ainsi un léger sentiment d'inachevé que l'on a en regardant un film relativement abouti d'un point de vue comique, mais en revanche beaucoup moins satisfaisant en ce qui concerne la part dramatique. On pourra donc qualifier ce "Funny People" d'honorable comédie, mais pour le présumé génie du sieur Judd Apatow, il faudra repasser... | Grande première pour moi puisque je n'avais jusqu'alors jamais vu de films ni réalisé ni produit par Judd Apatow, je dois reconnaître que la pilule est plutôt bien passée pendant plus d'une heure. Assez drôle et même plutôt enlevé, ce "Funny People", à défaut d'atteindre des sommets de subtilité, s'avère être suffisamment efficace et bien joué pour se faire plaisant et sympathique. Je n'en dirais pas de même pour une deuxième partie presque pénible à suivre, mais qui, heureusement, nous offre tout de même elle aussi de temps à autre de bonnes tranches de rigolade, faisant ainsi passer un peu mieux les balourdises et les plaisanteries régulièrement en-desous de la ceinture. C'est ainsi un léger sentiment d'inachevé que l'on a en regardant un film relativement abouti d'un point de vue comique, mais en revanche beaucoup moins satisfaisant en ce qui concerne la part dramatique. On pourra donc qualifier ce "Funny People" d'honorable comédie, mais pour le présumé génie du sieur Judd Apatow, il faudra repasser... | 0 | [0.93440973 0.06559027] | [0.93440973 0.06559027] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 149 | "Eraserhead" est le premier long-métrage de David Lynch, et c'est sans doutes le plus étrange que j'ai eu l'occasion de voir. Non pas le plus étrange de Lynch, mais le film le plus étrange que j'ai vu de toute ma vie! Un ambiance malsaine, dérangeante, unique! Ce n'est pas un film à regarder en mangeant, c'est le moins que l'on puisse dire! Je n'ai jamais ressenti ça en regardant un film, c'est vraiment une sensation unique et incroyable... Mais pour moi c'est loin d'être le meilleur de Lynch... Je pense qu'il aurait été préférable d'en faire un court métrage, comme prévu au départ par les studios. En fait, et ce encore plus que d'autres 'Lynch', ce film n'est pas vraiment un film, mais plus une énigme à résoudre. Et c'est encore plus compliqué que dans "Mulholland Drive" ou dans "Lost Highway". Par exemple, dans "Mulolland Drive", il faut être concentré, mais si on est attentif, on comprend assez facilement. Et dans "Lost Highway" aussi il y a une frontière entre la fiction et la réalité, et même si elle est plus subtile, elle est perceptible. En même temps, ce n'est pas pour rien que ce film à été rebaptisé 'Labyrinth Man', après le succès du grandiose "Elephant Man". Dans "Eraserhead", j'ai compris ( à ma façon, mais j'ai compris ) pendant la deuxième vision. En fait, comme dans MD, il faut être concentré dès le début, et comprendre les 5 premières minutes ( je parle pour "Eraserhead", car dans MD, il faut comprendre les 30 premières secondes! ). Je n'en dirai pas plus pour ne rien dévoiler sur le film, qui reste mais je finirai en le conseillant vivement à tout les fans de David Lynch! | "Eraserhead" est le premier long-métrage de David Lynch, et c'est sans doutes le plus étrange que j'ai eu l'occasion de voir. Non pas le plus étrange de Lynch, mais le film le plus étrange que j'ai vu de toute ma vie! Un ambiance malsaine, dérangeante, unique! Ce n'est pas un film à regarder en mangeant, c'est le moins que l'on puisse dire! Je n'ai jamais ressenti ça en regardant un film, c'est vraiment une sensation unique et incroyable... Mais pour moi c'est loin d'être le meilleur de Lynch... Je pense qu'il aurait été préférable d'en faire un court métrage, comme prévu au départ par les studios. En fait, et ce encore plus que d'autres 'Lynch', ce film n'est pas vraiment un film, mais plus une énigme à résoudre. Et c'est encore plus compliqué que dans "Mulholland Drive" ou dans "Lost Highway". Par exemple, dans "Mulolland Drive", il faut être concentré, mais si on est attentif, on comprend assez facilement. Et dans "Lost Highway" aussi il y a une frontière entre la fiction et la réalité, et même si elle est plus subtile, elle est perceptible. En même temps, ce n'est pas pour rien que ce film à été rebaptisé 'Labyrinth Man', après le succès du grandiose "Elephant Man". Dans "Eraserhead", j'ai compris ( à ma façon, mais j'ai compris ) pendant la deuxième vision. En fait, comme dans MD, il faut être concentré dès le début, et comprendre les 5 premières minutes ( je parle pour "Eraserhead", car dans MD, il faut comprendre les 30 premières secondes! ). Je n'en dirai pas plus pour ne rien dévoiler sur le film, qui reste mais je finirai en le conseillant vivement à tout les fans de David Lynch! | 1 | [0.01698634 0.98301366] | [0.01698634 0.98301366] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 150 | Vu et Revu et ReRevu .. Pouah le scénario ados US qui partent en week-end et tombe sur un serial-killer c'est d'un banal, ok ils ont voulu rajouter une touche avec "l'histoire" de Mandy mais sa n'accroche tout de même pas, c'est prévisible du début à la fin .. sa en devient plat et ennuyant .. Non franchement passez votre chemin! | Vu et Revu et ReRevu .. Pouah le scénario ados US qui partent en week-end et tombe sur un serial-killer c'est d'un banal, ok ils ont voulu rajouter une touche avec "l'histoire" de Mandy mais sa n'accroche tout de même pas, c'est prévisible du début à la fin .. sa en devient plat et ennuyant .. Non franchement passez votre chemin! | 0 | [9.99772392e-01 2.27607555e-04] | [9.99772392e-01 2.27607555e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 151 | J'avais bien aimé l'acteur dans flashpoint, et étant assez fan des films asiatique je me suis dis tien on va regarder ça... mais là quel déception !!!!!!! Alalalala... je découvre donc un film dont le personnage principal s'appel "Bob" et ce monsieur roule en ford fiesta... là j'en vien a me demander si allociné a pas fait une bourde sur le "long-métrage : chinois" J'ai essayé de mettre ça de coté et de continué à regarder... et quel ennuis j'ai pas du tout accrocher... | J'avais bien aimé l'acteur dans flashpoint, et étant assez fan des films asiatique je me suis dis tien on va regarder ça... mais là quel déception !!!!!!! Alalalala... je découvre donc un film dont le personnage principal s'appel "Bob" et ce monsieur roule en ford fiesta... là j'en vien a me demander si allociné a pas fait une bourde sur le "long-métrage : chinois" J'ai essayé de mettre ça de coté et de continué à regarder... et quel ennuis j'ai pas du tout accrocher... | 0 | [9.99694730e-01 3.05270269e-04] | [9.99694730e-01 3.05270269e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 152 | Ridicule, successions de cliches, jeux d'acteurs et realitions digne d'un gamin de 13 ans sur sa page youtube... heureusement que c'est pas long | Ridicule, successions de cliches, jeux d'acteurs et realitions digne d'un gamin de 13 ans sur sa page youtube... heureusement que c'est pas long | 0 | [9.99582915e-01 4.17084892e-04] | [9.99582915e-01 4.17084892e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 153 | Le problème, lorsqu'il s'agit de juger un documentaire, est qu'on procède souvent par métonymie : on évalue plutôt le sujet étudié que le film lui-même. Ici, le travail de R.J. Cutler permet de s'intéresser aux deux, car il propose d'intéressant partis pris, à défaut de point de vue incisif. Ni propagande pro-mode ni pamphlet sur cette industrie controversée, The September issue a l'humilité de ne pas prétendre livrer un panorama exhaustif du monde de la mode. Il s'attache avant tout à l'institution qu'est Vogue et à sa fabrication, en mettant en avant les choix éditoriaux du magazine. En ce sens, les choix du documentariste sont à prendre ou à laisser : il ne dresse pas, comme on s'y attendait, un portrait percutant d'Anna Wintour, capitaine du navire, mais suit "seulement" la rédaction du numéro le plus important de l'année. Il se verra donc sûrement reprocher de ne pas décrire toute la méchanceté de son personnage principal, qui, nous rappelle la bande-annonce, "a inspiré Le diable s'habille en Prada". Même sans se focaliser autant sur cet aspect que soulignait le plaisant divertissement de David Frankel, The september issue prodigue à certains moments une leçon d'arrogance. Et pourtant, on ne peut que saluer l'initiative de cette Dona Corleone de la mode quand elle soutient l'art, l'esthétique, la recherche, au sein d'un secteur aussi frivole. La beauté de certaines photos, notamment la série fellinienne à Rome avec Sienne Miller, fait regretter qu'on ne puisse pas en voir plus. La force du documentaire réside dans sa volonté de donner à la mode un intérêt qu'on ne lui donnerait pas au premier abord, de lui offrir un espace autre que le papier glacé habituel. C'est une des rares occasions de voir la mode explorée de cette façon sur le grand écran, où son rôle est traditionnellement inconfortable, car il ne doit pas être trop encombrant ni donner lieu à un placement de produit. Ici, la peinture de l'habillage dicte au film sa forme. Ce documentaire célèbre donc | Le problème, lorsqu'il s'agit de juger un documentaire, est qu'on procède souvent par métonymie : on évalue plutôt le sujet étudié que le film lui-même. Ici, le travail de R.J. Cutler permet de s'intéresser aux deux, car il propose d'intéressant partis pris, à défaut de point de vue incisif. Ni propagande pro-mode ni pamphlet sur cette industrie controversée, The September issue a l'humilité de ne pas prétendre livrer un panorama exhaustif du monde de la mode. Il s'attache avant tout à l'institution qu'est Vogue et à sa fabrication, en mettant en avant les choix éditoriaux du magazine. En ce sens, les choix du documentariste sont à prendre ou à laisser : il ne dresse pas, comme on s'y attendait, un portrait percutant d'Anna Wintour, capitaine du navire, mais suit "seulement" la rédaction du numéro le plus important de l'année. Il se verra donc sûrement reprocher de ne pas décrire toute la méchanceté de son personnage principal, qui, nous rappelle la bande-annonce, "a inspiré Le diable s'habille en Prada". Même sans se focaliser autant sur cet aspect que soulignait le plaisant divertissement de David Frankel, The september issue prodigue à certains moments une leçon d'arrogance. Et pourtant, on ne peut que saluer l'initiative de cette Dona Corleone de la mode quand elle soutient l'art, l'esthétique, la recherche, au sein d'un secteur aussi frivole. La beauté de certaines photos, notamment la série fellinienne à Rome avec Sienne Miller, fait regretter qu'on ne puisse pas en voir plus. La force du documentaire réside dans sa volonté de donner à la mode un intérêt qu'on ne lui donnerait pas au premier abord, de lui offrir un espace autre que le papier glacé habituel. C'est une des rares occasions de voir la mode explorée de cette façon sur le grand écran, où son rôle est traditionnellement inconfortable, car il ne doit pas être trop encombrant ni donner lieu à un placement de produit. Ici, la peinture de l'habillage dicte au film sa forme. Ce documentaire célèbre donc | 1 | [0.00234134 0.99765866] | [0.00234134 0.99765866] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 154 | Un film totalement époustouflant sous tous les plans! En parlant de plans,nombre d'entre eux sont bien souvent géniaux,avec le fameux procédé cinématographique instigué par Raimi dans le premier épisode,la "shaky camera",en opposition à la "steadycam",dont l'effet voulu est le tremblement total de la caméra. Certaines scènes sont véritablement géniales (la scène - reprise de la fin du 1er volet - de l'esprit traversant la maison jusqu'à la fuite d'Ash avec sa voiture,etc). Ne serait-ce que pour ça le film en vaut le détour. Ensuite,une poussée dans l'horreur et le gore bien plus poussée et abouti à mon goût,avec un Bruce Campbell en solitaire que je trouve bien meilleur! On oubliera donc les nombreuses gaffes qui transparaissent à l'écran (limites de décors apparaissant,costumes déchirés,trucages filaires visibles,etc) puisque c'est une grosse claque qu'on se prend là avec Evil Dead 2,chef-d'oeuvre du film d'épouvante,brillamment mis en scène scénaristiquement et visuellement! Bijou absolu aux amateurs du genre,et même à ceux qui le sont moins! | Un film totalement époustouflant sous tous les plans! En parlant de plans,nombre d'entre eux sont bien souvent géniaux,avec le fameux procédé cinématographique instigué par Raimi dans le premier épisode,la "shaky camera",en opposition à la "steadycam",dont l'effet voulu est le tremblement total de la caméra. Certaines scènes sont véritablement géniales (la scène - reprise de la fin du 1er volet - de l'esprit traversant la maison jusqu'à la fuite d'Ash avec sa voiture,etc). Ne serait-ce que pour ça le film en vaut le détour. Ensuite,une poussée dans l'horreur et le gore bien plus poussée et abouti à mon goût,avec un Bruce Campbell en solitaire que je trouve bien meilleur! On oubliera donc les nombreuses gaffes qui transparaissent à l'écran (limites de décors apparaissant,costumes déchirés,trucages filaires visibles,etc) puisque c'est une grosse claque qu'on se prend là avec Evil Dead 2,chef-d'oeuvre du film d'épouvante,brillamment mis en scène scénaristiquement et visuellement! Bijou absolu aux amateurs du genre,et même à ceux qui le sont moins! | 1 | [5.04587787e-04 9.99495412e-01] | [5.04587787e-04 9.99495412e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 155 | Dur de croire que Mon voisin Totoro remonte à 1988. Plus de 26 ans après, ce petit chef d'oeuvre d'animation nippone n'a pas pris une seule ride, tout comme ses personnages véritablement intemporels. Sur un postulat de départ très simple, le maître de l'animation japonaise émerveille avec une simplicité déconcertante à travers la vision singulière de ces deux petites filles. Tout ici n'est que subtilité dans la perception des événements avec un rapport à la nature très fort. Personnellement, je trouve qu'il manque malgré tout quelque chose à Mon voisin Totoro pour avoir la densité et la puissance d'un Princesse Mononoké mais il n'en reste pas moins un grand dessin-animé. | Dur de croire que Mon voisin Totoro remonte à 1988. Plus de 26 ans après, ce petit chef d'oeuvre d'animation nippone n'a pas pris une seule ride, tout comme ses personnages véritablement intemporels. Sur un postulat de départ très simple, le maître de l'animation japonaise émerveille avec une simplicité déconcertante à travers la vision singulière de ces deux petites filles. Tout ici n'est que subtilité dans la perception des événements avec un rapport à la nature très fort. Personnellement, je trouve qu'il manque malgré tout quelque chose à Mon voisin Totoro pour avoir la densité et la puissance d'un Princesse Mononoké mais il n'en reste pas moins un grand dessin-animé. | 1 | [5.00470256e-04 9.99499530e-01] | [5.00470256e-04 9.99499530e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 156 | Il paraît que c'est un film culte ! C'est quoi un film culte ? C'est un film qu'on a pas le droit de critiquer ? Je vais me gêner, tiens ! Le concept de base était de se de dire qu'au lieu de montrer des Dracula et des monstres de Frankenstein, pourquoi ne pas montrer de vrais monstres, autrement dit des phénomènes de foire ! Et puisqu'il fallait obligatoirement une morale bien pensante, démontrons que les gens "normaux" sont parfois pires que ceux qui ne le sont pas ! Tout est donc prétexte à voyeurisme de bas étage. Tout est est laid là-dedans mais le politiquement correct empêche de le dire. C'est manichéiste, sans aucune nuance, moraliste au raz des pâquerettes (ah, ce concept mensonger de beauté intérieure !) et on ressort de la vision de ce film avec une étrange sensation de malaise... | Il paraît que c'est un film culte ! C'est quoi un film culte ? C'est un film qu'on a pas le droit de critiquer ? Je vais me gêner, tiens ! Le concept de base était de se de dire qu'au lieu de montrer des Dracula et des monstres de Frankenstein, pourquoi ne pas montrer de vrais monstres, autrement dit des phénomènes de foire ! Et puisqu'il fallait obligatoirement une morale bien pensante, démontrons que les gens "normaux" sont parfois pires que ceux qui ne le sont pas ! Tout est donc prétexte à voyeurisme de bas étage. Tout est est laid là-dedans mais le politiquement correct empêche de le dire. C'est manichéiste, sans aucune nuance, moraliste au raz des pâquerettes (ah, ce concept mensonger de beauté intérieure !) et on ressort de la vision de ce film avec une étrange sensation de malaise... | 0 | [9.99672917e-01 3.27083117e-04] | [9.99672917e-01 3.27083117e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 157 | Un peu lent dans les premières minutes, l'histoire prend corps sous forme d'une enquête avec pas mal d'idées. On est en présence d'un scénario un peu à la Gone Girl, avec 2 actrices qui se sont sans doute bien amusées dans leur rôle parfois décalé. Le final est sympa avec de bonnes surprises | Un peu lent dans les premières minutes, l'histoire prend corps sous forme d'une enquête avec pas mal d'idées. On est en présence d'un scénario un peu à la Gone Girl, avec 2 actrices qui se sont sans doute bien amusées dans leur rôle parfois décalé. Le final est sympa avec de bonnes surprises | 1 | [0.15731057 0.84268943] | [0.15731057 0.84268943] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 158 | Ce film n'a rien à voir avec les autres 'Momie'... la magie n'est plus là et il surf trop sur la tendance zombie.... très déçu | Ce film n'a rien à voir avec les autres 'Momie'... la magie n'est plus là et il surf trop sur la tendance zombie.... très déçu | 0 | [9.99727993e-01 2.72006818e-04] | [9.99727993e-01 2.72006818e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 159 | On reconnait tout de suite la patte de Anderson avec des histoire assez simple mais à l'environnement sophistiqué pas sa simplicté , y a toujours le gros porc de Seymour Hoffman insupportable et Adam Sandler devrait faiure plus de film comme celui ci il est vraiment excellent dans ce registre .un trés bon moment très bon film . | On reconnait tout de suite la patte de Anderson avec des histoire assez simple mais à l'environnement sophistiqué pas sa simplicté , y a toujours le gros porc de Seymour Hoffman insupportable et Adam Sandler devrait faiure plus de film comme celui ci il est vraiment excellent dans ce registre .un trés bon moment très bon film . | 1 | [8.19970977e-04 9.99180029e-01] | [8.19970977e-04 9.99180029e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 160 | un film de merde , aucun scénario la base du film: ces la violence et la torture et j ai vraiment pa aime distribution des roles tout simplement nul. un seul mot: éloignez-vous! | un film de merde , aucun scénario la base du film: ces la violence et la torture et j ai vraiment pa aime distribution des roles tout simplement nul. un seul mot: éloignez-vous! | 0 | [9.99752445e-01 2.47555433e-04] | [9.99752445e-01 2.47555433e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 161 | Une véritable petite nullité !! | Une véritable petite nullité !! | 0 | [9.99753456e-01 2.46544055e-04] | [9.99753456e-01 2.46544055e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 162 | Ce film est un bijou !! Beaucoup d'action, le scénario du film est très bien réalisé, sobre, non prétentieux et nous tient en haleine du début jusqu'a la fin !! Les scènes de combats sont excellent et très bien réalisé ! Le combat final est époustouflant ! Les acteurs sont très bon et Donnie Yen joue a merveille son role et mérite de connaitre le meme chemin que Jackie Chan, Jet Li voir Bruce Lee ! En gros, je le conseille à tout le monde surtout aux amateurs de films d'arts martiaux ! Vivement la suite ! | Ce film est un bijou !! Beaucoup d'action, le scénario du film est très bien réalisé, sobre, non prétentieux et nous tient en haleine du début jusqu'a la fin !! Les scènes de combats sont excellent et très bien réalisé ! Le combat final est époustouflant ! Les acteurs sont très bon et Donnie Yen joue a merveille son role et mérite de connaitre le meme chemin que Jackie Chan, Jet Li voir Bruce Lee ! En gros, je le conseille à tout le monde surtout aux amateurs de films d'arts martiaux ! Vivement la suite ! | 1 | [4.60435250e-04 9.99539565e-01] | [4.60435250e-04 9.99539565e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 163 | Sûrement pas le meileur kaurismaki mais sans aucun doute un essentiel. Un film très noir à l'histoire interessante et c'est très bine fait. A n'en pas douter j'adore Aki Kaurismäki! | Sûrement pas le meileur kaurismaki mais sans aucun doute un essentiel. Un film très noir à l'histoire interessante et c'est très bine fait. A n'en pas douter j'adore Aki Kaurismäki! | 1 | [0.00266091 0.99733909] | [0.00266091 0.99733909] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 164 | Très mauvais film, prétentieux et antipathique. Ce n'est pas un nanar, qui peuvent être très sympa à regarder au second degré. Il accumule tous les mauvais aspects : il a la profondeur d'un scénario de blockbuster combiné au sérieux d'un film de Costa-Gavras. Très avare en effets spéciaux, qui eux-même sont plutôt moyens, il manque terriblement de fun, ce qui dans le même style, l'éloigne du coté sympa "qui se laisse regarder" de Prédictions avec Nicolas Cage. Il aligne si bien les clichés du film apocalyptique(Toute la Terre s'arrête de respirer car un malheureux alien menace un bout de terrain à Central Park) dès le début qu'on pense qu'il va exploiter le coté parodique, que ça va péter de tout les cotés, hé bien non, le réal nous fait de l'anti Michael Bay. Mise en scène minimaliste, une morale écologiste lourdingue surlignée au marqueur(encore un film où nous sommes les grands méchants pollueurs du merveilleux monde que nous empruntons à nos enfants et blablabla), un Keanu Reeves sous Prozac, et en bonus une copie intégrale de toutes les théories du complot illuminati et du Nouvel Ordre Mondial. 0,5 étoile car c'est Allo qui empêche de donner 0 et puis aussi par compassion pour John Cleese et Jennifer Connely(Requiem for a Dream, Un Homme d'Exception) qui ont l'air d'attendre la fin autant que nous... | Très mauvais film, prétentieux et antipathique. Ce n'est pas un nanar, qui peuvent être très sympa à regarder au second degré. Il accumule tous les mauvais aspects : il a la profondeur d'un scénario de blockbuster combiné au sérieux d'un film de Costa-Gavras. Très avare en effets spéciaux, qui eux-même sont plutôt moyens, il manque terriblement de fun, ce qui dans le même style, l'éloigne du coté sympa "qui se laisse regarder" de Prédictions avec Nicolas Cage. Il aligne si bien les clichés du film apocalyptique(Toute la Terre s'arrête de respirer car un malheureux alien menace un bout de terrain à Central Park) dès le début qu'on pense qu'il va exploiter le coté parodique, que ça va péter de tout les cotés, hé bien non, le réal nous fait de l'anti Michael Bay. Mise en scène minimaliste, une morale écologiste lourdingue surlignée au marqueur(encore un film où nous sommes les grands méchants pollueurs du merveilleux monde que nous empruntons à nos enfants et blablabla), un Keanu Reeves sous Prozac, et en bonus une copie intégrale de toutes les théories du complot illuminati et du Nouvel Ordre Mondial. 0,5 étoile car c'est Allo qui empêche de donner 0 et puis aussi par compassion pour John Cleese et Jennifer Connely(Requiem for a Dream, Un Homme d'Exception) qui ont l'air d'attendre la fin autant que nous... | 0 | [9.99778771e-01 2.21229416e-04] | [9.99778771e-01 2.21229416e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 165 | Humour décalé et déroutant souvent grossier et facile. Pas aimé ce film qui se présente comme une succession de gags plus ou moins fins ce qui devient rapidement insupportable. Les acteurs ne semblent pas y croire. | Humour décalé et déroutant souvent grossier et facile. Pas aimé ce film qui se présente comme une succession de gags plus ou moins fins ce qui devient rapidement insupportable. Les acteurs ne semblent pas y croire. | 0 | [9.99792933e-01 2.07067073e-04] | [9.99792933e-01 2.07067073e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 166 | Comme Haute Tension pour Aja un film ultra-maitrisé sur la forme, anxiogène, bourrin, tendu, flippant, mélange parfait des influences, avec un cast' de gueules, et un sens de la mystification des enjeux peu répandus. | Comme Haute Tension pour Aja un film ultra-maitrisé sur la forme, anxiogène, bourrin, tendu, flippant, mélange parfait des influences, avec un cast' de gueules, et un sens de la mystification des enjeux peu répandus. | 1 | [5.5579015e-04 9.9944421e-01] | [5.5579015e-04 9.9944421e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 167 | un mot : sublime. | un mot : sublime. | 1 | [0.00113753 0.99886247] | [0.00113753 0.99886247] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 168 | Euuuuuuuuh.....on s'ennuie a mourir.... Ça fair déjà 30 minutes que je suis devant et franchement.... Gvai laisser tomber.... | Euuuuuuuuh.....on s'ennuie a mourir.... Ça fair déjà 30 minutes que je suis devant et franchement.... Gvai laisser tomber.... | 0 | [9.99669840e-01 3.30160437e-04] | [9.99669840e-01 3.30160437e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 169 | Je n'ai jamais vu un remake aussi nul c'est dingue avec les moyens actuel d'arriver a faire pire aucun fil conducteur un film vraiment mauvais ou bon nombre des scènes d'origine sont raccourcie ou inexistante et je ne parle pas du mauvais jeux des acteurs. Déçue vraiment. | Je n'ai jamais vu un remake aussi nul c'est dingue avec les moyens actuel d'arriver a faire pire aucun fil conducteur un film vraiment mauvais ou bon nombre des scènes d'origine sont raccourcie ou inexistante et je ne parle pas du mauvais jeux des acteurs. Déçue vraiment. | 0 | [9.99767738e-01 2.32261588e-04] | [9.99767738e-01 2.32261588e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 170 | un film chanté pour les nostalgiques des Muppets Kermit veut reformer la troupe pour sauver les anciens studio du Muppets show voué à la démolition pour forage par un grand magnat du pétrole on retrouve tous les Muppets quand j'étais jeune je regardais avec plaisir cette émission, mais le charme n'opère plus gnan gnan à souhait | un film chanté pour les nostalgiques des Muppets Kermit veut reformer la troupe pour sauver les anciens studio du Muppets show voué à la démolition pour forage par un grand magnat du pétrole on retrouve tous les Muppets quand j'étais jeune je regardais avec plaisir cette émission, mais le charme n'opère plus gnan gnan à souhait | 0 | [0.01434068 0.98565932] | [0.01434068 0.98565932] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 171 | Je ne suis pas du genre à aimer les romances mais ce film m'a vraiment plu. | Je ne suis pas du genre à aimer les romances mais ce film m'a vraiment plu. | 1 | [0.00436504 0.99563496] | [0.00436504 0.99563496] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 172 | Attention, film trés trés fort, trés spécial : la façon de filmer un peu comme un documentaire renforce l'authenticité du sujet. Ce film poignant ne peut que nous interpeller sur les rapports enfants parents et sur la mort. bravo aux 2 acteurs : formidable Héléne Vincent, et comme toujours génial Vincent Lindon (par pitié, continues à faire des films !) l'émotion, la vraie sans chichis, tout en retenue, un peu cruelle... | Attention, film trés trés fort, trés spécial : la façon de filmer un peu comme un documentaire renforce l'authenticité du sujet. Ce film poignant ne peut que nous interpeller sur les rapports enfants parents et sur la mort. bravo aux 2 acteurs : formidable Héléne Vincent, et comme toujours génial Vincent Lindon (par pitié, continues à faire des films !) l'émotion, la vraie sans chichis, tout en retenue, un peu cruelle... | 1 | [5.17945916e-04 9.99482054e-01] | [5.17945916e-04 9.99482054e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 173 | Un tres bon film avec de l'action à n'en plus finir, avec une magnifique penelope cruz et de superbes paysages du désert africain. Tout le long du film l'histoire tient debout. A voir. | Un tres bon film avec de l'action à n'en plus finir, avec une magnifique penelope cruz et de superbes paysages du désert africain. Tout le long du film l'histoire tient debout. A voir. | 1 | [6.48779818e-04 9.99351220e-01] | [6.48779818e-04 9.99351220e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 174 | Quel magnifique... NAVET !!! Ce film est une catastrophe, un désastre ambulant, une collection de mauvais clichés éculés, de mauvais acteurs, pas de scénario, aucun intérêt, bref, une perte de temps évidente et malheureusement significative !!! Il ne faut pas s'étonner après ça que le cinéma français ait une si déplorable image à l'étranger : il faut remercier ce cher Guédiguian !!!! | Quel magnifique... NAVET !!! Ce film est une catastrophe, un désastre ambulant, une collection de mauvais clichés éculés, de mauvais acteurs, pas de scénario, aucun intérêt, bref, une perte de temps évidente et malheureusement significative !!! Il ne faut pas s'étonner après ça que le cinéma français ait une si déplorable image à l'étranger : il faut remercier ce cher Guédiguian !!!! | 0 | [9.99746224e-01 2.53775814e-04] | [9.99746224e-01 2.53775814e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 175 | Mon premier visionnage , il y a des années , m' avait laissé une impression plutôt négative . Je l' ai revu dernièrement et mon avis n' a pas évolué . Bien sur on voit l' ambition de " la horde sauvage " ; rompre avec le western classique et dénoncer l' hypocrisie de ses valeurs pour dévoiler la violence crue et la dureté de l' âme humaine . Si la volonté de décaper le genre pour laisser percevoir la noirceur sous la dorure ne manque pas d' intérêt ; le résultat ne me convient pas . Le film accuse de nombreuses longueurs . Mais le principal défaut réside selon moi dans l' aspect beaucoup trop appuyé du film à l'image du jeux des acteurs . " La horde sauvage " déploie constamment une théatralité sans nuance , excessive et premier degré qui vire à plusieurs reprises vers le grotesque . Je pense notamment aux scènes où les mecs se mettent à rire aux éclats collectivement en se donnant des grandes tapes dans le dos façon grand papa . On ne peut s' empêcher de rire nous aussi . On se croirait presque dans un sketch des "nuls" ou des "inconnus " quand ils parodient la classique scène de liesse des personnages. ( Biouman par exemple ) En revanche les scènes de fusillade ont de la gueule avec comme apothéose la tuerie finale évidemment . Je retrouve le génial réalisateur de" chien de paille", "osterman week-end" ou encore " apportez moi la tête d' Alfredo garcia " . Mais cette " horde sauvage " tant saluée me laisse perplexe . C 'est comme ça ... | Mon premier visionnage , il y a des années , m' avait laissé une impression plutôt négative . Je l' ai revu dernièrement et mon avis n' a pas évolué . Bien sur on voit l' ambition de " la horde sauvage " ; rompre avec le western classique et dénoncer l' hypocrisie de ses valeurs pour dévoiler la violence crue et la dureté de l' âme humaine . Si la volonté de décaper le genre pour laisser percevoir la noirceur sous la dorure ne manque pas d' intérêt ; le résultat ne me convient pas . Le film accuse de nombreuses longueurs . Mais le principal défaut réside selon moi dans l' aspect beaucoup trop appuyé du film à l'image du jeux des acteurs . " La horde sauvage " déploie constamment une théatralité sans nuance , excessive et premier degré qui vire à plusieurs reprises vers le grotesque . Je pense notamment aux scènes où les mecs se mettent à rire aux éclats collectivement en se donnant des grandes tapes dans le dos façon grand papa . On ne peut s' empêcher de rire nous aussi . On se croirait presque dans un sketch des "nuls" ou des "inconnus " quand ils parodient la classique scène de liesse des personnages. ( Biouman par exemple ) En revanche les scènes de fusillade ont de la gueule avec comme apothéose la tuerie finale évidemment . Je retrouve le génial réalisateur de" chien de paille", "osterman week-end" ou encore " apportez moi la tête d' Alfredo garcia " . Mais cette " horde sauvage " tant saluée me laisse perplexe . C 'est comme ça ... | 0 | [9.99159737e-01 8.40262979e-04] | [9.99159737e-01 8.40262979e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 176 | Il s'agit d'une bonne comédie sociale, à la fois fraîche, légère et sérieuse et qui pose les bonnes questions. Notamment on y parle des gens que l'on qualifient "d'invisibles" et c'est une bonne chose. Trop de gens sont "exploités" d'ailleurs, pas que certains jeunes. | Il s'agit d'une bonne comédie sociale, à la fois fraîche, légère et sérieuse et qui pose les bonnes questions. Notamment on y parle des gens que l'on qualifient "d'invisibles" et c'est une bonne chose. Trop de gens sont "exploités" d'ailleurs, pas que certains jeunes. | 1 | [0.00687787 0.99312213] | [0.00687787 0.99312213] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 177 | une histoire tres simple et morale, pretexte a des gags un peu lourds mais qui réjouiront toujours les fans du duo dont je fais parti ! il y a cette chanson qui revient en permanence qui vous martele la tête ,les méchants plus bêtes les uns que les autres, la relation d'amitié et d'antagonisme entre les deux heros qui a fait ces preuves ! un de mes préférés avec pair et impair et salut l'ami adieu le trésor! | une histoire tres simple et morale, pretexte a des gags un peu lourds mais qui réjouiront toujours les fans du duo dont je fais parti ! il y a cette chanson qui revient en permanence qui vous martele la tête ,les méchants plus bêtes les uns que les autres, la relation d'amitié et d'antagonisme entre les deux heros qui a fait ces preuves ! un de mes préférés avec pair et impair et salut l'ami adieu le trésor! | 1 | [5.12806891e-04 9.99487193e-01] | [5.12806891e-04 9.99487193e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 178 | 👎🏻👎🏻👎🏻👎🏻 aucun intérêt, j’adore cette actrice mais elle n’est vraiment pas bonne dans ce film ...une très mauvaise copie et aucune alchimie entre les 2 et Abigail pas à la hauteur de la vraie Bebe, Jennifer grey | 👎🏻👎🏻👎🏻👎🏻 aucun intérêt, j’adore cette actrice mais elle n’est vraiment pas bonne dans ce film ...une très mauvaise copie et aucune alchimie entre les 2 et Abigail pas à la hauteur de la vraie Bebe, Jennifer grey | 0 | [9.99751896e-01 2.48103625e-04] | [9.99751896e-01 2.48103625e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 179 | Une pseudo romcom surfaite qui aligne les clichés dans le vide. Dommage parce qu'elle propose quelques situations drôles et quelques punchlines marrantes. Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr | Une pseudo romcom surfaite qui aligne les clichés dans le vide. Dommage parce qu'elle propose quelques situations drôles et quelques punchlines marrantes. Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr | 0 | [9.9955272e-01 4.4727961e-04] | [9.9955272e-01 4.4727961e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 180 | Un deuxième film réussi de Laurent Cantet après Entre les murs. Il réunit des actrices françaises et américaines. Une très bonne adaptation du roman explosif.Un beau plaidoyer contre le viol. | Un deuxième film réussi de Laurent Cantet après Entre les murs. Il réunit des actrices françaises et américaines. Une très bonne adaptation du roman explosif.Un beau plaidoyer contre le viol. | 1 | [0.00113973 0.99886027] | [0.00113973 0.99886027] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 181 | Scénario qui tient sur un mouchoir, hyper cliché qui plus est, des acteurs aussi convaincants qu'une moule pour la plupart... Je donne une étoile aux poursuites et aux combats mais c'est bien tout ce qu'il y a à sauver de ce film qui pourtant repose sur une bonne idée de départ, simplement l'histoire n'est pas assez réfléchie, le choix des acteurs est mauvais et l'univers n'est pas approfondit... Un film que je ne conseillerais pas à moins que vous n'ayez rien de mieux à faire... | Scénario qui tient sur un mouchoir, hyper cliché qui plus est, des acteurs aussi convaincants qu'une moule pour la plupart... Je donne une étoile aux poursuites et aux combats mais c'est bien tout ce qu'il y a à sauver de ce film qui pourtant repose sur une bonne idée de départ, simplement l'histoire n'est pas assez réfléchie, le choix des acteurs est mauvais et l'univers n'est pas approfondit... Un film que je ne conseillerais pas à moins que vous n'ayez rien de mieux à faire... | 0 | [9.99806773e-01 1.93226717e-04] | [9.99806773e-01 1.93226717e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 182 | Un thriller, mêlé d'épouvante, solide et convaincant à défaut d'être génial. L'interprétation de chaque personnage de la famille est tout simplement parfait. Mention spéciale à la gente féminine. Isabelle Fuhrman (Esther) en effrayante enfant psychopathe, à la magnifique Vera Farmiga (Kate Coleman) en mère de famille incomprise mais héroïque et à l'adorable Aryana Engineer (Maxine) dont on imagine à peine le traumatisme enduré. Le tour de force de Jaume Collet-Serra est de réussir à cacher jusqu'au bout la véritable identité de Esther, aussi bien aux personnages qu'aux spectateurs. L'atmosphère très hivernale rajoute une intensité parfaitement rendue par les plans quasiment tous filmés sous la neige, dans une pénombre presque continue, laissant vivre peu de couleurs à part les plus vives. Comme le sang ou le feu... . La bande son orchestrale, Esth... heu austère, est un parfait mariage. Par contre, elle a peu d'originalité pour les scènes redondantes censées montrer un danger qui se révèle toujours inexistant. "Esther" a donc de légers défauts. A commencer par l'étrange adoption d'une orpheline sans avoir plus de renseignement sur elle. On n'adopte pas sur un coup de tête et n'importe quel orphelinat le refuserait probablement. La scène finale parait irréaliste. Alors que Kate, en sueur dans le froid, a reçu une balle, a des bleus partout puis reçoit plusieurs coups de couteaux, elle réussit encore à nager dans une eau à 1°c durant au moins 2 minutes sans avoir d'arrêt cardiaque. Et elle arrive encore à se hisser sur la glace avec les mains gelées et 1 litre de sang en moins! Ca parait un peu exagéré ou alors elle a suivi un stage intensif avec John McClane. Pour finir, on imagine mal le résultat d'une gamine de 5 ans tirant avec un revolver. Vive le cinéma. En dépit de ces défauts, "Esther", dans son genre, fait certainement partie des meilleurs productions de ces dernières années grâce à un scénario bien ficelé et de très bons acteurs. | Un thriller, mêlé d'épouvante, solide et convaincant à défaut d'être génial. L'interprétation de chaque personnage de la famille est tout simplement parfait. Mention spéciale à la gente féminine. Isabelle Fuhrman (Esther) en effrayante enfant psychopathe, à la magnifique Vera Farmiga (Kate Coleman) en mère de famille incomprise mais héroïque et à l'adorable Aryana Engineer (Maxine) dont on imagine à peine le traumatisme enduré. Le tour de force de Jaume Collet-Serra est de réussir à cacher jusqu'au bout la véritable identité de Esther, aussi bien aux personnages qu'aux spectateurs. L'atmosphère très hivernale rajoute une intensité parfaitement rendue par les plans quasiment tous filmés sous la neige, dans une pénombre presque continue, laissant vivre peu de couleurs à part les plus vives. Comme le sang ou le feu... . La bande son orchestrale, Esth... heu austère, est un parfait mariage. Par contre, elle a peu d'originalité pour les scènes redondantes censées montrer un danger qui se révèle toujours inexistant. "Esther" a donc de légers défauts. A commencer par l'étrange adoption d'une orpheline sans avoir plus de renseignement sur elle. On n'adopte pas sur un coup de tête et n'importe quel orphelinat le refuserait probablement. La scène finale parait irréaliste. Alors que Kate, en sueur dans le froid, a reçu une balle, a des bleus partout puis reçoit plusieurs coups de couteaux, elle réussit encore à nager dans une eau à 1°c durant au moins 2 minutes sans avoir d'arrêt cardiaque. Et elle arrive encore à se hisser sur la glace avec les mains gelées et 1 litre de sang en moins! Ca parait un peu exagéré ou alors elle a suivi un stage intensif avec John McClane. Pour finir, on imagine mal le résultat d'une gamine de 5 ans tirant avec un revolver. Vive le cinéma. En dépit de ces défauts, "Esther", dans son genre, fait certainement partie des meilleurs productions de ces dernières années grâce à un scénario bien ficelé et de très bons acteurs. | 1 | [6.00360698e-04 9.99399639e-01] | [6.00360698e-04 9.99399639e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 183 | Un film qui déçoit de part son casting qui présage un bon film mais qui est au final un film passable. | Un film qui déçoit de part son casting qui présage un bon film mais qui est au final un film passable. | 0 | [9.99760270e-01 2.39729718e-04] | [9.99760270e-01 2.39729718e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 184 | Allons-y doucement ! Non, le film n'est pas mal mais... Quand vous donnez quatre étoiles à ce film, que donnez vous à un chef d'oeuvre ? | Allons-y doucement ! Non, le film n'est pas mal mais... Quand vous donnez quatre étoiles à ce film, que donnez vous à un chef d'oeuvre ? | 0 | [0.01060475 0.98939525] | [0.01060475 0.98939525] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 185 | Je me réjouissais déjà d'éviter le navet de la semaine ("Tous les soleils" vous avez compris, j'espère) et je me suis engouffré dans la salle qui projetait "Easey money". C'est policier, c'est en scope, c'est suédois, ça c'est le positif si j'ose dire. Car, pour le reste, le scenario est mal construit, la narration boite, la photo est médiocre (on dirait souvent du 16 gonflé), la prise de son ne vaut guère mieux, l'interprétation est honnête mais systématique. Et la mise en scène, direz-vous ? Ah, c'est vrai, j'oubliais, d'après le générique il y a un réalisateur, je ne m'en étais pas rendu compte ; décidément, je vieillis. Je m'étonne de lire que certains comparent ce film à "Scarface" ou "Quai des orfèvres" !!! Je veux croire qu'ils n'ont découvert ces films que sur de mauvaise copies video car, malgré son âge "Scarface" brille toujours par sa mise en scène ; quant à "Quai des orfèvres", même si on n'est pas un fervent de Clouzot (ce qui est mon cas) on ne peut que louer la qualité du travail très bien fait ; je ne vois vraiment pas le rapport avec l'amateurisme de "Easey money". | Je me réjouissais déjà d'éviter le navet de la semaine ("Tous les soleils" vous avez compris, j'espère) et je me suis engouffré dans la salle qui projetait "Easey money". C'est policier, c'est en scope, c'est suédois, ça c'est le positif si j'ose dire. Car, pour le reste, le scenario est mal construit, la narration boite, la photo est médiocre (on dirait souvent du 16 gonflé), la prise de son ne vaut guère mieux, l'interprétation est honnête mais systématique. Et la mise en scène, direz-vous ? Ah, c'est vrai, j'oubliais, d'après le générique il y a un réalisateur, je ne m'en étais pas rendu compte ; décidément, je vieillis. Je m'étonne de lire que certains comparent ce film à "Scarface" ou "Quai des orfèvres" !!! Je veux croire qu'ils n'ont découvert ces films que sur de mauvaise copies video car, malgré son âge "Scarface" brille toujours par sa mise en scène ; quant à "Quai des orfèvres", même si on n'est pas un fervent de Clouzot (ce qui est mon cas) on ne peut que louer la qualité du travail très bien fait ; je ne vois vraiment pas le rapport avec l'amateurisme de "Easey money". | 0 | [9.99755541e-01 2.44459138e-04] | [9.99755541e-01 2.44459138e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 186 | Le rôle du candide convient à merveille à Eric Judor et son air enfantin. L'ensemble dégage beaucoup de bonne humeur même si le scénario est loin d'être un modèle de cohérence. Sur le schéma classique de l'étranger qui veut s'intégrer dans son nouvel environnement, la comédie moque gentiment les conventions des banlieues. On retrouve avec plaisir Jacky Berroyer dans son rôle du père avec ses intonations bourgeoises et Byoula qui dynamite un repas de famille mémorable "je préfère vivre dans le péché que dans l'hypocrisie"). Largement mieux que ce qu'en disent les critiques Allociné. | Le rôle du candide convient à merveille à Eric Judor et son air enfantin. L'ensemble dégage beaucoup de bonne humeur même si le scénario est loin d'être un modèle de cohérence. Sur le schéma classique de l'étranger qui veut s'intégrer dans son nouvel environnement, la comédie moque gentiment les conventions des banlieues. On retrouve avec plaisir Jacky Berroyer dans son rôle du père avec ses intonations bourgeoises et Byoula qui dynamite un repas de famille mémorable "je préfère vivre dans le péché que dans l'hypocrisie"). Largement mieux que ce qu'en disent les critiques Allociné. | 1 | [0.00180157 0.99819843] | [0.00180157 0.99819843] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 187 | Malheureusement j'ai vu ce film en salle en juillet 1982. Qui avait il d'autres de programmer ce soir là dans la seconde salle je n'en ai pas le moindre souvenir, mais ce qui devait être programmé dans l'autre salle devait être certainement mieux que ce curé chez les nudistes. Mais par contre je garde le souvenir d'avoir vécu une soirée immonde à subit ce navet,j'ai encore en mémoire l'instant ou les lumières se sont rallumées et ou nous avons ma famille et moi quitté la salle. Nous étions comme les autres spectateurs totalement abasourdi par la connerie à laquelle nous venions d'assister,et dont nous avions en plus payé la place. Comme quoi même un bon gros navet peut marquer à vie. | Malheureusement j'ai vu ce film en salle en juillet 1982. Qui avait il d'autres de programmer ce soir là dans la seconde salle je n'en ai pas le moindre souvenir, mais ce qui devait être programmé dans l'autre salle devait être certainement mieux que ce curé chez les nudistes. Mais par contre je garde le souvenir d'avoir vécu une soirée immonde à subit ce navet,j'ai encore en mémoire l'instant ou les lumières se sont rallumées et ou nous avons ma famille et moi quitté la salle. Nous étions comme les autres spectateurs totalement abasourdi par la connerie à laquelle nous venions d'assister,et dont nous avions en plus payé la place. Comme quoi même un bon gros navet peut marquer à vie. | 0 | [9.99595747e-01 4.04252813e-04] | [9.99595747e-01 4.04252813e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 188 | J'ai envie de dire: LOL! Le film se résume ainsi: "Je t'aime, tu m'aimes? - Oui je t'aime et toi tu m'aimes? - Oui mais là je vais me fiancer. Ecoute c'est pas facile... mais j't'écrirai pour t'expliquer tout ca * 10 000 ans plus tard * - Je t'aime, tu m'aimes? - Oui je t'aime mais là c'est chaud, écoute on s'écrit! * fin du scénario * - bon là on a plus d'idée, on reste ensemble? - Ok on s'écrira plus tard..." Si ce résumé plaît, alors n'hésitez pas... FONCEZ!!!! xD | J'ai envie de dire: LOL! Le film se résume ainsi: "Je t'aime, tu m'aimes? - Oui je t'aime et toi tu m'aimes? - Oui mais là je vais me fiancer. Ecoute c'est pas facile... mais j't'écrirai pour t'expliquer tout ca * 10 000 ans plus tard * - Je t'aime, tu m'aimes? - Oui je t'aime mais là c'est chaud, écoute on s'écrit! * fin du scénario * - bon là on a plus d'idée, on reste ensemble? - Ok on s'écrira plus tard..." Si ce résumé plaît, alors n'hésitez pas... FONCEZ!!!! xD | 0 | [0.94514487 0.05485513] | [0.94514487 0.05485513] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 189 | Deuxième film de Billy Wilder, son premier américain puisque le premier, Mauvaise graine avait été réalisé en France, The Major and the Minor (dont le titre anglais rend bien mieux compte que son homologue français du caractère subversif du propos) est une comédie d’allure conventionnelle cachant - comme souvent chez Wilder - un brûlot à ne pas mettre entre toutes les mains. Comme d’habitude, c’est de sexe qu’il s’agit, et plus précisément (ô comble de l’horreur de nos jours où le mot « pédophilie » est sur toutes les lèvres), rien moins que les amours d’un adulte, militaire de surcroît (The Major, au double sens du terme) et d’une fillette de douze ans (The Minor). Bien sûr, pour que la morale soit sauve et le Code Hays prétendument respecté, nous savons depuis le début que la gamine n’en est pas une, mais une adulte déguisée. Son statut supposé lui permet tout de même de dormir dans le même compartiment de chemin de fer qu’un homme (ce qui n’est pas sans nous évoquer le mémorable New York Miami, Frank Capra étant lui même très habile dans l’art subtil du contournement dudit Code Hays)… Bref, voici une comédie savoureuse et piquante, servie par une Ginger Rogers pleine de charme avec nattes et jupe plissée et un Ray Milland qui délaisse momentanément les films noirs pour nous montrer l’étendue de son registre et l’éclectisme de son talent. La mise en scène est redoutable d’efficacité, la direction d’acteurs impeccable et le scénario aux petits oignons… Un film à découvrir et à déguster sans retard. | Deuxième film de Billy Wilder, son premier américain puisque le premier, Mauvaise graine avait été réalisé en France, The Major and the Minor (dont le titre anglais rend bien mieux compte que son homologue français du caractère subversif du propos) est une comédie d’allure conventionnelle cachant - comme souvent chez Wilder - un brûlot à ne pas mettre entre toutes les mains. Comme d’habitude, c’est de sexe qu’il s’agit, et plus précisément (ô comble de l’horreur de nos jours où le mot « pédophilie » est sur toutes les lèvres), rien moins que les amours d’un adulte, militaire de surcroît (The Major, au double sens du terme) et d’une fillette de douze ans (The Minor). Bien sûr, pour que la morale soit sauve et le Code Hays prétendument respecté, nous savons depuis le début que la gamine n’en est pas une, mais une adulte déguisée. Son statut supposé lui permet tout de même de dormir dans le même compartiment de chemin de fer qu’un homme (ce qui n’est pas sans nous évoquer le mémorable New York Miami, Frank Capra étant lui même très habile dans l’art subtil du contournement dudit Code Hays)… Bref, voici une comédie savoureuse et piquante, servie par une Ginger Rogers pleine de charme avec nattes et jupe plissée et un Ray Milland qui délaisse momentanément les films noirs pour nous montrer l’étendue de son registre et l’éclectisme de son talent. La mise en scène est redoutable d’efficacité, la direction d’acteurs impeccable et le scénario aux petits oignons… Un film à découvrir et à déguster sans retard. | 1 | [5.65356510e-04 9.99434643e-01] | [5.65356510e-04 9.99434643e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 190 | un film spectaculaire et inventif, dernier d'une production avec Don simpson et Jerry Bruckheimer, une prise d'otage à ALCATRAZ et pour s'en sortir, Sean Connery qui reprend son rôle d'agent secret à la retraite en hommage à James Bond, qui était le seul et unique et Nicholas Cage qui se révèle convaincant et qui n'égalera jamais la qualité de l'interprétation par la suite. Un casting de poids, David Morse, Tony Todd, Michael Bhien qui redonne la réplique à l'immense Ed Harris, des années après ABYSS. Un film énergique qui ne s'arrête jamais, avec de l'humour, et des scènes d'actions cultes. Un film mémorable d'un Michael Bay qui entra dans le panthéon des MEILLEURS réalisateurs de nos jours avec Bad Boys, Transformers, The island, Pearl Harbor ou Armageddon. | un film spectaculaire et inventif, dernier d'une production avec Don simpson et Jerry Bruckheimer, une prise d'otage à ALCATRAZ et pour s'en sortir, Sean Connery qui reprend son rôle d'agent secret à la retraite en hommage à James Bond, qui était le seul et unique et Nicholas Cage qui se révèle convaincant et qui n'égalera jamais la qualité de l'interprétation par la suite. Un casting de poids, David Morse, Tony Todd, Michael Bhien qui redonne la réplique à l'immense Ed Harris, des années après ABYSS. Un film énergique qui ne s'arrête jamais, avec de l'humour, et des scènes d'actions cultes. Un film mémorable d'un Michael Bay qui entra dans le panthéon des MEILLEURS réalisateurs de nos jours avec Bad Boys, Transformers, The island, Pearl Harbor ou Armageddon. | 1 | [4.93758869e-04 9.99506241e-01] | [4.93758869e-04 9.99506241e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 191 | Drame familial pudique tout en non-dits,"le Fils Préféré"(1994)est trop lymphatique et dénué de charme pour toucher.Nicole Garcia aime filmer des hommes en proie au doute,vulnérables,c'est une évidence,mais elle se repose un peu trop sur ses interprètes au détriment d'une histoire qui ne demandait qu'à prendre de l'ampleur.Un quadragénaire,gérant d'hôtel sur la Côte d'Azur,se voit rattraper par le fisc,et est contraint de demander de l'aide financière à ses 2 frères,dont il n'est pas vraiment proche.Cet évènement oblige à déterrer un passé enfoui.Secrets de famille,figure paternelle vacillante et remise en question des souvenirs communs;Garcia plonge dans la psyché masculine.Gérard Lanvin joue probablement un de ses rôles les plus subtils en homme blessé et blessant.Bernaud Giraudeau en homo qui s'assume et Jean-Marc Barr en entrepreneur prétentieux lui donnent une réplique cohérente,donnant à cette fratrie une certaine épaisseur.Malheureusement,par excès d'épure,par manque d'enjeux explicités et par sa manière languissante de filmer,Nicole Garcia nous endort fermement.Triste. | Drame familial pudique tout en non-dits,"le Fils Préféré"(1994)est trop lymphatique et dénué de charme pour toucher.Nicole Garcia aime filmer des hommes en proie au doute,vulnérables,c'est une évidence,mais elle se repose un peu trop sur ses interprètes au détriment d'une histoire qui ne demandait qu'à prendre de l'ampleur.Un quadragénaire,gérant d'hôtel sur la Côte d'Azur,se voit rattraper par le fisc,et est contraint de demander de l'aide financière à ses 2 frères,dont il n'est pas vraiment proche.Cet évènement oblige à déterrer un passé enfoui.Secrets de famille,figure paternelle vacillante et remise en question des souvenirs communs;Garcia plonge dans la psyché masculine.Gérard Lanvin joue probablement un de ses rôles les plus subtils en homme blessé et blessant.Bernaud Giraudeau en homo qui s'assume et Jean-Marc Barr en entrepreneur prétentieux lui donnent une réplique cohérente,donnant à cette fratrie une certaine épaisseur.Malheureusement,par excès d'épure,par manque d'enjeux explicités et par sa manière languissante de filmer,Nicole Garcia nous endort fermement.Triste. | 0 | [9.99557494e-01 4.42506053e-04] | [9.99557494e-01 4.42506053e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 192 | "Les Innocents" tente de prendre des allures de tragédie grecque, mais n'en trouve la force que par de brefs instants. Le film fonctionne quand il est le plus abstrait, dans des scènes silencieuses, lorsque par exemple Téchiné filme la mer ou des ombres marchant solennellement dans un théâtre. L'ennui, c'est que le film se concentre sur une histoire très concrète et qui accumule les clichés du drame (amour impossible-vengeance-désespoir) sans que ceux-ci soient assimilés. Du coup, l'écriture est d'une grande faiblesse, que ce soit dans le scénario, les dialogues ou encore les personnages (à peine filmés par le cinéaste), ce qui finit par provoquer un désintérêt naturel du spectateur. On retiendra tout de même la présence de Sandrine Bonnaire et d'Abdellatif Kechiche qui tentent tant bien que mal de donner de la vie à un film qui en manque cruellement. | "Les Innocents" tente de prendre des allures de tragédie grecque, mais n'en trouve la force que par de brefs instants. Le film fonctionne quand il est le plus abstrait, dans des scènes silencieuses, lorsque par exemple Téchiné filme la mer ou des ombres marchant solennellement dans un théâtre. L'ennui, c'est que le film se concentre sur une histoire très concrète et qui accumule les clichés du drame (amour impossible-vengeance-désespoir) sans que ceux-ci soient assimilés. Du coup, l'écriture est d'une grande faiblesse, que ce soit dans le scénario, les dialogues ou encore les personnages (à peine filmés par le cinéaste), ce qui finit par provoquer un désintérêt naturel du spectateur. On retiendra tout de même la présence de Sandrine Bonnaire et d'Abdellatif Kechiche qui tentent tant bien que mal de donner de la vie à un film qui en manque cruellement. | 0 | [9.99735778e-01 2.64221915e-04] | [9.99735778e-01 2.64221915e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 193 | A une époque, je ne consommais que des films dans ce genre. Non pas que j'ai totalement abandonné mais je me suis un peu calmé. Là, on est dans le très haut du panier des comédies hip-hop américaines. C'est débile, vulgaire et des fois limite agressif envers les aveugles, les Noirs, les Blancs... Dans le casting 5 étoiles dans son genre, on retrouve en plus des 10 acteurs précités, il y a Mo'nique (horripilante), D.L. Hughley (vraiment drôle), Ryan Pinkston (plus je regarde le film, plus je l'apprécie), Missy Pile (j'adore, je suis fan), Sommore, Sofia Vergara, Terry Crews (à en pleurer de rire sur ses deux scènes), Lil Jon, Big Sam, les Ying Yang Twins, Chris Robinson, Jeris Pointdexter & Richard T.Jones. Bref, il y a de quoi rire. Et entre deux scènes de gags les plus débiles les uns que les autres, surjoués par des acteurs survoltés et qui croient sincèrement dans le script (mention spéciale au grand John Witherspoon et à Godfrey), Bo Zenga et Chuck Wilson tentent de créer une histoire, plus accessoire qu'intéressante mais qui amène à quelques rebondissements vraiment comiques. Pour avoir vu cinq ou six fois le film, et ri toujours au même moment (l'apparition de D.L. Hughley est pour moi le climax du film), tout en sachant apprécier une production The Rza discrète mais efficace, je le conseille pour toute soirée ciné entre potes car il est évident que les éclats de rire seront au rendez-vous. Et puis Spike Lee n'a qu'à pas aller voir le film plutôt que de le critiquer. | A une époque, je ne consommais que des films dans ce genre. Non pas que j'ai totalement abandonné mais je me suis un peu calmé. Là, on est dans le très haut du panier des comédies hip-hop américaines. C'est débile, vulgaire et des fois limite agressif envers les aveugles, les Noirs, les Blancs... Dans le casting 5 étoiles dans son genre, on retrouve en plus des 10 acteurs précités, il y a Mo'nique (horripilante), D.L. Hughley (vraiment drôle), Ryan Pinkston (plus je regarde le film, plus je l'apprécie), Missy Pile (j'adore, je suis fan), Sommore, Sofia Vergara, Terry Crews (à en pleurer de rire sur ses deux scènes), Lil Jon, Big Sam, les Ying Yang Twins, Chris Robinson, Jeris Pointdexter & Richard T.Jones. Bref, il y a de quoi rire. Et entre deux scènes de gags les plus débiles les uns que les autres, surjoués par des acteurs survoltés et qui croient sincèrement dans le script (mention spéciale au grand John Witherspoon et à Godfrey), Bo Zenga et Chuck Wilson tentent de créer une histoire, plus accessoire qu'intéressante mais qui amène à quelques rebondissements vraiment comiques. Pour avoir vu cinq ou six fois le film, et ri toujours au même moment (l'apparition de D.L. Hughley est pour moi le climax du film), tout en sachant apprécier une production The Rza discrète mais efficace, je le conseille pour toute soirée ciné entre potes car il est évident que les éclats de rire seront au rendez-vous. Et puis Spike Lee n'a qu'à pas aller voir le film plutôt que de le critiquer. | 1 | [0.00220793 0.99779207] | [0.00220793 0.99779207] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 194 | Film puissant !! On ressent la plaidoirie finale comme si on y était, on vit la décision comme si c'était nous... Personnages excellemment bien représentés, historie, bien que malheureuse soit-elle, très bien relatée. Enfin Le film fait prendre conscience des répercussions désastreuses que peuvent avoir Le pouvoir des médias, et les discussions de bistrot sur La Vie d'une Famille. Le film soulève également Les failles de notre système juridique, présomption d'innocence bafouée, enquête uniquement à charge, secret De l'instruction inexistant, témoignages sans valeurs... | Film puissant !! On ressent la plaidoirie finale comme si on y était, on vit la décision comme si c'était nous... Personnages excellemment bien représentés, historie, bien que malheureuse soit-elle, très bien relatée. Enfin Le film fait prendre conscience des répercussions désastreuses que peuvent avoir Le pouvoir des médias, et les discussions de bistrot sur La Vie d'une Famille. Le film soulève également Les failles de notre système juridique, présomption d'innocence bafouée, enquête uniquement à charge, secret De l'instruction inexistant, témoignages sans valeurs... | 1 | [4.70882305e-04 9.99529118e-01] | [4.70882305e-04 9.99529118e-01] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 195 | Soporifique et ennuyeux au possible . Debouzze que j'éxècre, est lamentable et le reste , hormis la photographie , parfaitement en adéquation avec sa " performance", c'est à dire immonde. . PS : si vous avez aimé cette "merveille" , je vous recommande vivement jeanne d'arc du même besson tout aussi remarquable ... | Soporifique et ennuyeux au possible . Debouzze que j'éxècre, est lamentable et le reste , hormis la photographie , parfaitement en adéquation avec sa " performance", c'est à dire immonde. . PS : si vous avez aimé cette "merveille" , je vous recommande vivement jeanne d'arc du même besson tout aussi remarquable ... | 0 | [9.99599424e-01 4.00576339e-04] | [9.99599424e-01 4.00576339e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 196 | Comment ne pas aimer un jeune réalisateur comme Emmanuel Mouret qui, comme nous, et à la différence de 99% des gens de sa génération, est fan de Guitry, de Rohmer et de Blake Edwards ? Comment ne pas aimer ce "Fais-moi Plaisir !", finalement un peu en dépit de ces références par trop envahissantes (l'introduction bavarde évoque Guitry, la scène impeccable de la réception travaille le patrimoine de la "Party", et la fin, douce amère, pourrait être un vrai "conte moral") pour d'autres qualités que son côté "bon élève" un peu irritant ? En fait, on aime plutôt que Mouret aime les belles femmes, et sache les filmer (comme Woody Allen ? Bon, arrêtons les références !). Et on admire aussi chez lui une vraie élégance morale, une sorte de courtoisie extraordinairement "dépassée", d'un autre siècle, qui fait de "Fais-moi Plaisir" une sorte d'OVNI ravissant, mais qui en irritera, inévitablement, plus d'un... | Comment ne pas aimer un jeune réalisateur comme Emmanuel Mouret qui, comme nous, et à la différence de 99% des gens de sa génération, est fan de Guitry, de Rohmer et de Blake Edwards ? Comment ne pas aimer ce "Fais-moi Plaisir !", finalement un peu en dépit de ces références par trop envahissantes (l'introduction bavarde évoque Guitry, la scène impeccable de la réception travaille le patrimoine de la "Party", et la fin, douce amère, pourrait être un vrai "conte moral") pour d'autres qualités que son côté "bon élève" un peu irritant ? En fait, on aime plutôt que Mouret aime les belles femmes, et sache les filmer (comme Woody Allen ? Bon, arrêtons les références !). Et on admire aussi chez lui une vraie élégance morale, une sorte de courtoisie extraordinairement "dépassée", d'un autre siècle, qui fait de "Fais-moi Plaisir" une sorte d'OVNI ravissant, mais qui en irritera, inévitablement, plus d'un... | 1 | [0.2035395 0.7964605] | [0.2035395 0.7964605] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 197 | Malgré un troisième épisode assez décevant, j'avoue que j'y croyais à ce « reboot ». J'ai beau vraiment aimer Sam Raimi, je me disais que l'arrivée d'un nouveau réalisateur et d'un nouvel acteur allait donner une impulsion nouvelle à la saga : j'avais tort. Bon, ne tombons pas non plus dans l'excès : ces 135 minutes n'ont rien d'insoutenable, elles sont même plutôt agréables. Les effets spéciaux sont de qualité, le divertissement a de l'allure et l'importance donnée aux personnages dans la précédente trilogie est toujours en vigueur. Oui mais voilà : « The Amazing Spider-Man » a beau être de qualité, il n'apporte strictement rien de nouveau à l'univers du super-héros, si ce n'est un nouveau méchant plutôt honorable. Pire : le film recycle parfois éhontément les moments forts des précédents épisodes, à l'image de ce copier-coller hallucinant concernant la crise existentielle du héros ou encore la mort d'un second rôle important (suspense!). C'est triste à dire, mais on a vraiment l'impression que les studios Sony ont simplement cherché à lancer une nouvelle saga pour lancer une nouvelle saga, sans chercher à donner une quelconque personnalité ou originalité à celle-ci. Après, je le répète : je ne suis pas sorti mécontent de la salle, l'ensemble restant suffisamment professionnel pour que l'on ne regrette pas le déplacement, à l'image d'un affrontement final qui ne manque pas de panache. Non, je regrette simplement toute cette publicité une nouvelle fois grossière nous promettant quelque chose de totalement différent, alors que ce n'est en réalité le cas à quasiment aucun moment (hormis peut-être dans la relation Peter Parker - Gwen Stacy : c'est peu). On ne pourra donc pas reprocher à ces nouvelles aventures de ne pas être divertissante, mais on pourra en revanche aisément leur reprocher de n'être que cela : il fût pourtant un temps pas si lointain où ce cas de figure était à peine envisageable... | Malgré un troisième épisode assez décevant, j'avoue que j'y croyais à ce « reboot ». J'ai beau vraiment aimer Sam Raimi, je me disais que l'arrivée d'un nouveau réalisateur et d'un nouvel acteur allait donner une impulsion nouvelle à la saga : j'avais tort. Bon, ne tombons pas non plus dans l'excès : ces 135 minutes n'ont rien d'insoutenable, elles sont même plutôt agréables. Les effets spéciaux sont de qualité, le divertissement a de l'allure et l'importance donnée aux personnages dans la précédente trilogie est toujours en vigueur. Oui mais voilà : « The Amazing Spider-Man » a beau être de qualité, il n'apporte strictement rien de nouveau à l'univers du super-héros, si ce n'est un nouveau méchant plutôt honorable. Pire : le film recycle parfois éhontément les moments forts des précédents épisodes, à l'image de ce copier-coller hallucinant concernant la crise existentielle du héros ou encore la mort d'un second rôle important (suspense!). C'est triste à dire, mais on a vraiment l'impression que les studios Sony ont simplement cherché à lancer une nouvelle saga pour lancer une nouvelle saga, sans chercher à donner une quelconque personnalité ou originalité à celle-ci. Après, je le répète : je ne suis pas sorti mécontent de la salle, l'ensemble restant suffisamment professionnel pour que l'on ne regrette pas le déplacement, à l'image d'un affrontement final qui ne manque pas de panache. Non, je regrette simplement toute cette publicité une nouvelle fois grossière nous promettant quelque chose de totalement différent, alors que ce n'est en réalité le cas à quasiment aucun moment (hormis peut-être dans la relation Peter Parker - Gwen Stacy : c'est peu). On ne pourra donc pas reprocher à ces nouvelles aventures de ne pas être divertissante, mais on pourra en revanche aisément leur reprocher de n'être que cela : il fût pourtant un temps pas si lointain où ce cas de figure était à peine envisageable... | 0 | [9.99677876e-01 3.22124488e-04] | [9.99677876e-01 3.22124488e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 198 | Grosse déception pour cet anti-biopic que j'attendais avec beaucoup d'impatience. Mathieu Amalric n'arrive jamais à trouver le bon rythme tant les longueurs sont pesantes et soporifiques. On apprend au final que très peu de choses sur Barbara même 'i l'idée de faire découvrir sa vie à travers le regard d'un réalisateur et le jeu d'une actrice parraissait à première vue originale. On ne sait pas trop où va le film, les messages que souhaite faire passer son concepteur et le sens qu'il désire lui donner. On peut ajouter à tout cela des paysages lugubres, des photos mornes et tristes...bref, j'ai failli quitter la salle avant la fin.... | Grosse déception pour cet anti-biopic que j'attendais avec beaucoup d'impatience. Mathieu Amalric n'arrive jamais à trouver le bon rythme tant les longueurs sont pesantes et soporifiques. On apprend au final que très peu de choses sur Barbara même 'i l'idée de faire découvrir sa vie à travers le regard d'un réalisateur et le jeu d'une actrice parraissait à première vue originale. On ne sait pas trop où va le film, les messages que souhaite faire passer son concepteur et le sens qu'il désire lui donner. On peut ajouter à tout cela des paysages lugubres, des photos mornes et tristes...bref, j'ai failli quitter la salle avant la fin.... | 0 | [9.99744466e-01 2.55534441e-04] | [9.99744466e-01 2.55534441e-04] | clean | 0 | 0 |
sentiment | distilcamembert | allocine | none | clean | allocine | 199 | Très bonne surprise que ce polar à la française rappelant le maitre du suspense anglais qu'était Hitchcock. Je croyais, à tort, qu'il s'agissait de l'adaptation d'un livre. Or, c'est bien d'un scénario original qu'il s'agît. Ou comment un homme se croyant brillant écrivain mais n'en ayant, aux yeux des maisons d'édition pas le talent nécessaire pour être publié, va-t-il usurper l'œuvre d'un soldat de la guerre d'Algérie et commettre un véritable plagiat, tant littéraire que dans la vraie vie. OK la fin peut être davantage exploitée mais pour ma part, le tout est brillamment filmé, fort bien interprété et la réflexion sur l'art de plagier et vouloir à tout prix (et je pèse mes mots) garder ce secret est fort bien amené avec une musique parfaitement de circonstance (effectivement inspirée de Hermann le compositeur attitré de Sir Alfred). Au final, à recommander si vous aimez vous faire peur (non par des frissons mais par un faux suspense très habile)... | Très bonne surprise que ce polar à la française rappelant le maitre du suspense anglais qu'était Hitchcock. Je croyais, à tort, qu'il s'agissait de l'adaptation d'un livre. Or, c'est bien d'un scénario original qu'il s'agît. Ou comment un homme se croyant brillant écrivain mais n'en ayant, aux yeux des maisons d'édition pas le talent nécessaire pour être publié, va-t-il usurper l'œuvre d'un soldat de la guerre d'Algérie et commettre un véritable plagiat, tant littéraire que dans la vraie vie. OK la fin peut être davantage exploitée mais pour ma part, le tout est brillamment filmé, fort bien interprété et la réflexion sur l'art de plagier et vouloir à tout prix (et je pèse mes mots) garder ce secret est fort bien amené avec une musique parfaitement de circonstance (effectivement inspirée de Hermann le compositeur attitré de Sir Alfred). Au final, à recommander si vous aimez vous faire peur (non par des frissons mais par un faux suspense très habile)... | 1 | [5.95255984e-04 9.99404744e-01] | [5.95255984e-04 9.99404744e-01] | clean | 0 | 0 |