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11.5.2_10.1.1.2.6_1_2018_yyyy_mm_dd_J_{lang} | An alle akkreditierten Journalisten
des Bundesgerichts
Lausanne, 15. Juni 2018
Kein Embargo
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Bundesgericht begrüsst Botschaft zur Revision des Bundesgerichtsgesetzes mit Vorbehalt zur subsidiären Verfassungsbeschwerde
Das Bundesgericht begrüsst die heutige Verabschiedung der Botschaft zur Revision
des Bundesgerichtsgesetzes durch den Bundesrat. Es unterstützt das mit der
Vorlage verfolgte Ziel, den Rechtsschutz für Betroffene zu erweitern, indem der
Beschwerdeweg ans Bundesgericht in bisher ausgeschlossenen Rechtsbereichen
geöffnet wird, sofern sich eine rechtliche Grundsatzfrage stellt oder sonst ein
bedeutender Fall vorliegt. Das Bundesgericht kann vor diesem Hintergrund der Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde nicht zustimmen.
2007 wurde das Bundesgerichtsgesetz (BGG) eingeführt, mit dem unter anderem eine
nachhaltige Entlastung des Bundesgerichts beabsichtigt war. Angesichts der seither
eingetretenen massiven Zunahme der Beschwerdeeingänge (im Jahr 2017 erstmals
über 8000 neue Fälle) kann davon nicht die Rede sein. Die Revision des BGG ist damit
eine absolute Notwendigkeit geworden, um auch in Zukunft das gute Funktionieren des
höchsten Gerichts sicherzustellen und insbesondere die Qualität der Begründung der
Urteile zu gewährleisten. Das Bundesgericht begrüsst es deshalb, dass der Bundesrat
nun die Botschaft zur Revision des BGG verabschiedet hat.
Die Vorlage zielt zur Hauptsache darauf ab, den Beschwerdeweg ans Bundesgericht in
bisher ausgeschlossenen Rechtsgebieten zu öffnen, sofern sich eine rechtliche Grundsatzfrage stellt oder sonst ein besonders bedeutender Fall vorliegt. Damit wird der
Rechtsschutz für Betroffene auf Bereiche erweitert, die einer Prüfung durch das oberste
Gericht bisher entzogen waren. Das Bundesgericht wird dadurch in die Lage versetzt,
seine verfassungsmässige Aufgabe als höchstes Gericht der Schweiz in nahezu allen
Rechtsmaterien wahrzunehmen, wobei der Zugang ans Bundesgericht in den weitaus
meisten Rechtsgebieten weiterhin uneingeschränkt möglich sein wird.
Vor diesem Hintergrund macht die vom Bundesrat vorgeschlagene Beibehaltung der
subsidiären Verfassungsbeschwerde aus Sicht des Bundesgerichts keinen Sinn. Die seit
2007 gesammelten Erfahrungen mit der subsidiären Verfassungsbeschwerde haben
gezeigt, dass diese den Rechtsuchenden praktisch nichts bringt. Daran wird sich mit der
Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde gemäss bundesrätlichem Vorschlag nichts ändern. Die in der Vorlage vorgesehene Möglichkeit zur Beschwerde,
wenn eine rechtliche Grundsatzfrage oder sonst ein besonders bedeutender Fall vorliegt, stellt demgegenüber den bisher mit der subsidiären Verfassungsbeschwerde
gewährten Rechtsschutz weiterhin sicher und erweitert diesen ganz erheblich.
Die Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde gemäss dem Konzept des
Bundesrates würde zudem mindestens zur Verdoppelung der Eingänge von subsidiären
Verfassungsbeschwerden, wenn nicht zu einer Vervielfachung führen, ohne dass die
Rechtsuchenden davon profitieren könnten. Die angestrebte Wirkung der Vorlage, das
Bundesgericht zu entlasten, würde damit in ihr Gegenteil verkehrt.
Konkret: Im Jahre 2017 konnten von 429 beurteilten subsidiären Verfassungsbeschwerden nur gerade 8 (1,86 Prozent) ganz oder teilweise gutgeheissen werden. Für
nahezu alle Rechtsuchenden, die mittels der subsidiären Verfassungsbeschwerde ans
Bundesgericht gelangten, blieben im Ergebnis nur Kosten und Frustration übrig. Dies
führt zu einem Verlust des Vertrauens in die Justiz.
Sollte bei diesen Gegebenheiten im Verlauf der parlamentarischen Beratungen die
subsidiäre Verfassungsbeschwerde in der Vorlage verbleiben, würde das Bundesgericht
diese insgesamt ablehnen.
| A tous les journalistes accrédités auprès
du Tribunal fédéral
Lausanne, le 15 juin 2018
Pas d'embargo
Communiqué de presse du Tribunal fédéral
Le Tribunal fédéral accueille favorablement le message sur la
révision de la Loi sur le Tribunal fédéral sous réserve du recours
constitutionnel subsidiaire
Le Tribunal fédéral accueille favorablement le message sur la révision de la Loi sur le
Tribunal fédéral adopté aujourd'hui par le Conseil fédéral. Il soutient l'objectif
recherché par ce texte, à savoir élargir la protection juridique des personnes
concernées en leur permettant de recourir au Tribunal fédéral dans des domaines
juridiques jusqu'alors exclus, dans la mesure où il existe une question juridique de
principe ou un cas particulièrement important pour d'autres motifs. Au vu de ce
contexte, le Tribunal fédéral ne peut pas approuver le maintien du recours
constitutionnel subsidiaire.
La Loi sur le Tribunal fédéral (LTF) est entrée en vigueur en 2007 et avait notamment
pour objectif de décharger durablement le Tribunal fédéral. Au vu de l'augmentation
massive du nombre de recours introduits depuis lors (en 2017 pour la première fois plus
de 8000 nouvelles affaires), cet objectif ne peut pas être considéré comme atteint. Il en
résulte que la révision de la LTF est devenue absolument nécessaire afin de garantir à
l'avenir aussi, le bon fonctionnement de la Cour suprême et en particulier la qualité de la
motivation de ses décisions. C'est la raison pour laquelle le Tribunal fédéral accueille
favorablement le fait que le Conseil fédéral ait adopté maintenant le message sur la
révision de la LTF.
Le texte présenté a pour objectif principal d'ouvrir les voies de recours au Tribunal
fédéral dans des domaines juridiques jusqu'alors exclus dans la mesure où il existe une
question juridique de principe ou un cas particulièrement important pour d'autres motifs.
Il en résulte une protection juridique accrue pour les personnes concernées dans des
domaines qui jusqu'alors ne pouvaient pas être examinés par la Cour suprême. Le
Tribunal fédéral sera à même par ces mesures d'assumer sa fonction constitutionnelle
de Cour suprême de la Suisse dans pratiquement tous les domaines juridiques et à
l'avenir l'accès au Tribunal fédéral continuera d'être non-limité dans la grande majorité
des domaines juridiques.
Dans ce contexte, le maintien du recours constitutionnel subsidiaire proposé par le
Conseil fédéral n'est pas utile du point de vue du Tribunal fédéral. Les expériences
faites depuis 2007 avec le recours constitutionnel subsidiaire ont démontré que celui-ci
n'apportait pratiquement rien aux justiciables. Cette situation ne devrait pas changer
avec le maintien du recours constitutionnel subsidiaire prévu dans la proposition du
Conseil fédéral. La possibilité introduite dans le texte, de pouvoir déposer un recours
lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas
particulièrement important pour d'autres motifs, procure une protection juridique
équivalente à celle accordée jusqu'à ce jour par le recours constitutionnel subsidiaire et
l'élargit même considérablement.
Le maintien du recours constitutionnel subsidiaire selon le concept du Conseil fédéral
engendrerait en outre au moins un doublement du nombre de recours constitutionnels
subsidiaires déposés, si ce n'est une augmentation encore plus importante, sans que le
justiciable puisse en profiter. L'effet contraire à celui recherché dans le texte présenté,
de décharger le Tribunal fédéral, serait alors atteint.
Concrètement, en 2017, seul 8 recours constitutionnels subsidiaires (1,86%) sur 429 ont
pu être admis ou partiellement admis. Ainsi, pour presque tous les justiciables qui se
sont adressés au Tribunal fédéral par la voie du recours constitutionnel subsidiaire, il
n'en est résulté que des coûts et de la frustration. Cette situation contribue à une perte
de confiance dans la justice.
Si à l'issue des débats parlementaires et au vu de la situation actuelle le recours
constitutionnel subsidiaire devait rester dans le texte présenté, le Tribunal fédéral le
rejetterait dans son entier.
| A tutti i giornalisti accreditati presso il
Tribunale federale
Losanna, 15 giugno 2018
Nessun embargo
Comunicato stampa del Tribunale federale
Il Tribunale federale accoglie favorevolmente il messaggio
concernente la revisione della legge sul Tribunale federale con
una riserva attinente al ricorso sussidiario in materia
costituzionale
Il Tribunale federale accoglie favorevolmente il messaggio concernente la revisione
della legge sul Tribunale federale licenziato in data odierna dal Consiglio federale.
Esso appoggia l'obiettivo del progetto volto ad ampliare la protezione giuridica degli
interessati attraverso la possibilità, in presenza di questioni di diritto di importanza
fondamentale o casi particolarmente importanti, di interporre ricorso in ambiti
giuridici in cui tale eventualità era finora esclusa. In questo contesto, il Tribunale
federale non può concordare sul mantenimento del ricorso sussidiario in materia
costituzionale.
Fra gli scopi perseguiti dalla legge sul Tribunale federale (LTF) entrata in vigore nel
2007 vi era anche quello di alleviare durevolmente il carico di lavoro del Tribunale
federale. Tale obiettivo non è stato raggiunto, come dimostrato dal considerevole
aumento del numero di ricorsi introdotti a partire da tale data (nel 2017, il numero di
nuovi casi ha per la prima volta superato le 8000 unità). Ciò premesso, la revisione della
LTF costituisce un'assoluta necessità per garantire il futuro buon funzionamento del
tribunale supremo e, in particolare, la qualità della motivazione delle sentenze. Pertanto,
il Tribunale federale accoglie favorevolmente l'odierno licenziamento del messaggio
concernente la revisione della LTF da parte del Consiglio federale.
Il progetto persegue principalmente l'obiettivo d'aprire la via ricorsuale dinanzi al
Tribunale federale in ambiti giuridici dove tale possibilità risulta oggi esclusa, nella
misura in cui il caso pone una questione di diritto d'importanza fondamentale oppure
riveste particolare importanza. La protezione giuridica viene pertanto estesa ad ambiti
precedentemente esclusi dal controllo da parte del Tribunale federale. Esso potrà così
adempiere al suo mandato costituzionale di corte suprema in quasi tutte le materie
giuridiche, premesso come l'accesso illimitato al Tribunale federale rimarrà garantito
nella grande maggioranza delle aree del diritto.
In questo contesto, il Tribunale federale è d'avviso che un mantenimento del ricorso
sussidiario in materia costituzionale, conformemente alla proposta del Consiglio
federale, non abbia alcun senso. Le esperienze raccolte a far tempo dal 2007 mostrano
come tale ricorso manchi di portata pratica per gli interessati e ciò indipendentemente
da un suo mantenimento conformemente alla proposta del Consiglio federale. La
proposta contenuta nel progetto, volta a introdurre la possibilità di interporre ricorso
dinanzi al Tribunale federale in presenza di questioni di diritto di importanza
fondamentale o casi particolarmente importanti, garantisce ed estende notevolmente la
protezione giuridica finora garantita dal ricorso sussidiario in materia costituzionale.
Inoltre, il mantenimento del ricorso sussidiario in materia costituzionale, così come
concepito dal Consiglio federale, avrà quale conseguenza il raddoppio, se non la
moltiplicazione, del numero di detti ricorsi e ciò senza alcun profitto per gli interessati. E
gli effetti di sgravio a favore del Tribunale federale perseguiti dal progetto si
trasformeranno nel loro esatto contrario.
Concretamente, dei 429 ricorsi sussidiari in materia costituzionale evasi nel 2017, solo 8
(pari all'1,86%) sono stati integralmente o parzialmente accolti. Quasi tutti coloro che
hanno inoltrato un ricorso sussidiario in materia costituzionale dinanzi al Tribunale
federale, al termine della procedura sono stati confrontati unicamente a costi e
frustrazione. Tale situazione conduce a una perdita della fiducia riposta nella giustizia.
Nella misura in cui nel corso dei dibattiti parlamentari il ricorso sussidiario in materia
costituzionale dovesse essere mantenuto nel progetto, il Tribunale federale lo
respingerà nella sua globalità.
| 3 |
11.5.2_10.1.1.2.6_1_2018_yyyy_mm_dd_T_{lang} | Lausanne, 15. Juni 2018
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Bundesgericht begrüsst Botschaft zur Revision des Bundesgerichtsgesetzes mit Vorbehalt zur subsidiären Verfassungsbeschwerde
Das Bundesgericht begrüsst die heutige Verabschiedung der Botschaft zur Revision
des Bundesgerichtsgesetzes durch den Bundesrat. Es unterstützt das mit der
Vorlage verfolgte Ziel, den Rechtsschutz für Betroffene zu erweitern, indem der
Beschwerdeweg ans Bundesgericht in bisher ausgeschlossenen Rechtsbereichen
geöffnet wird, sofern sich eine rechtliche Grundsatzfrage stellt oder sonst ein
bedeutender Fall vorliegt. Das Bundesgericht kann vor diesem Hintergrund der Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde nicht zustimmen.
2007 wurde das Bundesgerichtsgesetz (BGG) eingeführt, mit dem unter anderem eine
nachhaltige Entlastung des Bundesgerichts beabsichtigt war. Angesichts der seither
eingetretenen massiven Zunahme der Beschwerdeeingänge (im Jahr 2017 erstmals
über 8000 neue Fälle) kann davon nicht die Rede sein. Die Revision des BGG ist damit
eine absolute Notwendigkeit geworden, um auch in Zukunft das gute Funktionieren des
höchsten Gerichts sicherzustellen und insbesondere die Qualität der Begründung der
Urteile zu gewährleisten. Das Bundesgericht begrüsst es deshalb, dass der Bundesrat
nun die Botschaft zur Revision des BGG verabschiedet hat.
Die Vorlage zielt zur Hauptsache darauf ab, den Beschwerdeweg ans Bundesgericht in
bisher ausgeschlossenen Rechtsgebieten zu öffnen, sofern sich eine rechtliche Grundsatzfrage stellt oder sonst ein besonders bedeutender Fall vorliegt. Damit wird der
Rechtsschutz für Betroffene auf Bereiche erweitert, die einer Prüfung durch das oberste
Gericht bisher entzogen waren. Das Bundesgericht wird dadurch in die Lage versetzt,
seine verfassungsmässige Aufgabe als höchstes Gericht der Schweiz in nahezu allen
Rechtsmaterien wahrzunehmen, wobei der Zugang ans Bundesgericht in den weitaus
meisten Rechtsgebieten weiterhin uneingeschränkt möglich sein wird.
Vor diesem Hintergrund macht die vom Bundesrat vorgeschlagene Beibehaltung der
subsidiären Verfassungsbeschwerde aus Sicht des Bundesgerichts keinen Sinn. Die seit
2007 gesammelten Erfahrungen mit der subsidiären Verfassungsbeschwerde haben
gezeigt, dass diese den Rechtsuchenden praktisch nichts bringt. Daran wird sich mit der
Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde gemäss bundesrätlichem Vorschlag nichts ändern. Die in der Vorlage vorgesehene Möglichkeit zur Beschwerde,
wenn eine rechtliche Grundsatzfrage oder sonst ein besonders bedeutender Fall vorliegt, stellt demgegenüber den bisher mit der subsidiären Verfassungsbeschwerde
gewährten Rechtsschutz weiterhin sicher und erweitert diesen ganz erheblich.
Die Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde gemäss dem Konzept des
Bundesrates würde zudem mindestens zur Verdoppelung der Eingänge von subsidiären
Verfassungsbeschwerden, wenn nicht zu einer Vervielfachung führen, ohne dass die
Rechtsuchenden davon profitieren könnten. Die angestrebte Wirkung der Vorlage, das
Bundesgericht zu entlasten, würde damit in ihr Gegenteil verkehrt.
Konkret: Im Jahre 2017 konnten von 429 beurteilten subsidiären Verfassungsbeschwerden nur gerade 8 (1,86 Prozent) ganz oder teilweise gutgeheissen werden. Für
nahezu alle Rechtsuchenden, die mittels der subsidiären Verfassungsbeschwerde ans
Bundesgericht gelangten, blieben im Ergebnis nur Kosten und Frustration übrig. Dies
führt zu einem Verlust des Vertrauens in die Justiz.
Sollte bei diesen Gegebenheiten im Verlauf der parlamentarischen Beratungen die
subsidiäre Verfassungsbeschwerde in der Vorlage verbleiben, würde das Bundesgericht
diese insgesamt ablehnen.
| Lausanne, le 15 juin 2018
Communiqué de presse du Tribunal fédéral
Le Tribunal fédéral accueille favorablement le message sur la
révision de la Loi sur le Tribunal fédéral sous réserve du recours
constitutionnel subsidiaire
Le Tribunal fédéral accueille favorablement le message sur la révision de la Loi sur le
Tribunal fédéral adopté aujourd'hui par le Conseil fédéral. Il soutient l'objectif
recherché par ce texte, à savoir élargir la protection juridique des personnes
concernées en leur permettant de recourir au Tribunal fédéral dans des domaines
juridiques jusqu'alors exclus, dans la mesure où il existe une question juridique de
principe ou un cas particulièrement important pour d'autres motifs. Au vu de ce
contexte, le Tribunal fédéral ne peut pas approuver le maintien du recours
constitutionnel subsidiaire.
La Loi sur le Tribunal fédéral (LTF) est entrée en vigueur en 2007 et avait notamment
pour objectif de décharger durablement le Tribunal fédéral. Au vu de l'augmentation
massive du nombre de recours introduits depuis lors (en 2017 pour la première fois plus
de 8000 nouvelles affaires), cet objectif ne peut pas être considéré comme atteint. Il en
résulte que la révision de la LTF est devenue absolument nécessaire afin de garantir à
l'avenir aussi, le bon fonctionnement de la Cour suprême et en particulier la qualité de la
motivation de ses décisions. C'est la raison pour laquelle le Tribunal fédéral accueille
favorablement le fait que le Conseil fédéral ait adopté maintenant le message sur la
révision de la LTF.
Le texte présenté a pour objectif principal d'ouvrir les voies de recours au Tribunal
fédéral dans des domaines juridiques jusqu'alors exclus dans la mesure où il existe une
question juridique de principe ou un cas particulièrement important pour d'autres motifs.
Il en résulte une protection juridique accrue pour les personnes concernées dans des
domaines qui jusqu'alors ne pouvaient pas être examinés par la Cour suprême. Le
Tribunal fédéral sera à même par ces mesures d'assumer sa fonction constitutionnelle
de Cour suprême de la Suisse dans pratiquement tous les domaines juridiques et à
l'avenir l'accès au Tribunal fédéral continuera d'être non-limité dans la grande majorité
des domaines juridiques.
Dans ce contexte, le maintien du recours constitutionnel subsidiaire proposé par le
Conseil fédéral n'est pas utile du point de vue du Tribunal fédéral. Les expériences
faites depuis 2007 avec le recours constitutionnel subsidiaire ont démontré que celui-ci
n'apportait pratiquement rien aux justiciables. Cette situation ne devrait pas changer
avec le maintien du recours constitutionnel subsidiaire prévu dans la proposition du
Conseil fédéral. La possibilité introduite dans le texte, de pouvoir déposer un recours
lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas
particulièrement important pour d'autres motifs, procure une protection juridique
équivalente à celle accordée jusqu'à ce jour par le recours constitutionnel subsidiaire et
l'élargit même considérablement.
Le maintien du recours constitutionnel subsidiaire selon le concept du Conseil fédéral
engendrerait en outre au moins un doublement du nombre de recours constitutionnels
subsidiaires déposés, si ce n'est une augmentation encore plus importante, sans que le
justiciable puisse en profiter. L'effet contraire à celui recherché dans le texte présenté,
de décharger le Tribunal fédéral, serait alors atteint.
Concrètement, en 2017, seul 8 recours constitutionnels subsidiaires (1,86%) sur 429 ont
pu être admis ou partiellement admis. Ainsi, pour presque tous les justiciables qui se
sont adressés au Tribunal fédéral par la voie du recours constitutionnel subsidiaire, il
n'en est résulté que des coûts et de la frustration. Cette situation contribue à une perte
de confiance dans la justice.
Si à l'issue des débats parlementaires et au vu de la situation actuelle le recours
constitutionnel subsidiaire devait rester dans le texte présenté, le Tribunal fédéral le
rejetterait dans son entier.
| Losanna, 15 giugno 2018
Comunicato stampa del Tribunale federale
Il Tribunale federale accoglie favorevolmente il messaggio
concernente la revisione della legge sul Tribunale federale con
una riserva attinente al ricorso sussidiario in materia
costituzionale
Il Tribunale federale accoglie favorevolmente il messaggio concernente la revisione
della legge sul Tribunale federale licenziato in data odierna dal Consiglio federale.
Esso appoggia l'obiettivo del progetto volto ad ampliare la protezione giuridica degli
interessati attraverso la possibilità, in presenza di questioni di diritto di importanza
fondamentale o casi particolarmente importanti, di interporre ricorso in ambiti
giuridici in cui tale eventualità era finora esclusa. In questo contesto, il Tribunale
federale non può concordare sul mantenimento del ricorso sussidiario in materia
costituzionale.
Fra gli scopi perseguiti dalla legge sul Tribunale federale (LTF) entrata in vigore nel
2007 vi era anche quello di alleviare durevolmente il carico di lavoro del Tribunale
federale. Tale obiettivo non è stato raggiunto, come dimostrato dal considerevole
aumento del numero di ricorsi introdotti a partire da tale data (nel 2017, il numero di
nuovi casi ha per la prima volta superato le 8000 unità). Ciò premesso, la revisione della
LTF costituisce un'assoluta necessità per garantire il futuro buon funzionamento del
tribunale supremo e, in particolare, la qualità della motivazione delle sentenze. Pertanto,
il Tribunale federale accoglie favorevolmente l'odierno licenziamento del messaggio
concernente la revisione della LTF da parte del Consiglio federale.
Il progetto persegue principalmente l'obiettivo d'aprire la via ricorsuale dinanzi al
Tribunale federale in ambiti giuridici dove tale possibilità risulta oggi esclusa, nella
misura in cui il caso pone una questione di diritto d'importanza fondamentale oppure
riveste particolare importanza. La protezione giuridica viene pertanto estesa ad ambiti
precedentemente esclusi dal controllo da parte del Tribunale federale. Esso potrà così
adempiere al suo mandato costituzionale di corte suprema in quasi tutte le materie
giuridiche, premesso come l'accesso illimitato al Tribunale federale rimarrà garantito
nella grande maggioranza delle aree del diritto.
In questo contesto, il Tribunale federale è d'avviso che un mantenimento del ricorso
sussidiario in materia costituzionale, conformemente alla proposta del Consiglio
federale, non abbia alcun senso. Le esperienze raccolte a far tempo dal 2007 mostrano
come tale ricorso manchi di portata pratica per gli interessati e ciò indipendentemente
da un suo mantenimento conformemente alla proposta del Consiglio federale. La
proposta contenuta nel progetto, volta a introdurre la possibilità di interporre ricorso
dinanzi al Tribunale federale in presenza di questioni di diritto di importanza
fondamentale o casi particolarmente importanti, garantisce ed estende notevolmente la
protezione giuridica finora garantita dal ricorso sussidiario in materia costituzionale.
Inoltre, il mantenimento del ricorso sussidiario in materia costituzionale, così come
concepito dal Consiglio federale, avrà quale conseguenza il raddoppio, se non la
moltiplicazione, del numero di detti ricorsi e ciò senza alcun profitto per gli interessati. E
gli effetti di sgravio a favore del Tribunale federale perseguiti dal progetto si
trasformeranno nel loro esatto contrario.
Concretamente, dei 429 ricorsi sussidiari in materia costituzionale evasi nel 2017, solo 8
(pari all'1,86%) sono stati integralmente o parzialmente accolti. Quasi tutti coloro che
hanno inoltrato un ricorso sussidiario in materia costituzionale dinanzi al Tribunale
federale, al termine della procedura sono stati confrontati unicamente a costi e
frustrazione. Tale situazione conduce a una perdita della fiducia riposta nella giustizia.
Nella misura in cui nel corso dei dibattiti parlamentari il ricorso sussidiario in materia
costituzionale dovesse essere mantenuto nel progetto, il Tribunale federale lo
respingerà nella sua globalità.
| 3 |
11.5.2_14.3.8_yyyy_mm_dd_J_{lang} | An alle akkreditierten Journalisten
des Bundesgerichts
Lausanne, 8. September 2014
Kein Embargo
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Treffen der obersten deutschsprachigen Verwaltungsgerichte
Das Bundesgericht empfängt am kommenden Mittwoch in Lausanne Richterdelegationen aus Deutschland, Österreich und dem Fürstentum Liechtenstein zum
traditionellen Treffen der obersten deutschsprachigen Verwaltungsgerichte. Der vier
Tage dauernde Anlass dient dem grenzüberschreitenden Gedankenaustausch zu
aktuellen juristischen Themen und wird von einem Rahmenprogramm begleitet.
Das Treffen der obersten deutschsprachigen Verwaltungsgerichte findet seit 1977 alle
zwei Jahre statt. Dieses Jahr wird der Anlass vom 10. bis zum 13. September vom
Bundesgericht in Lausanne durchgeführt. An der Veranstaltung nehmen die Präsidenten
sowie Richterinnen und Richter des Verwaltungsgerichtshofs Österreich, des Bundesverwaltungsgerichts Deutschland, des Verwaltungsgerichtshofs Fürstentum Liechtenstein und des Bundesgerichts teil.
Das Treffen dient dem grenzüberschreitenden Gedankenaustausch über die aktuelle
Rechtsprechung sowie über Problemstellungen und Tendenzen im Verwaltungsrecht.
Themenschwerpunkte der Arbeitssitzungen bilden der Grundrechts- insbesondere der
Datenschutz im Lichte der elektronischen Technologien (z.B. Veröffentlichungen im
Internet, Google Street View, Überwachung des öffentlichen Raums), Internationalrechtliche Verfahrensgarantien und rechtliche Fragen im Zusammenhang mit Spielbanken, Lotterien und Wetten. Der fachliche Austausch unter den Richtern wird begleitet
von einem Rahmenprogramm, das unter anderem einen Besuch im Olympischen
Museum in Lausanne und im CERN in Genf vorsieht.
| A tous les journalistes accrédités auprès
du Tribunal fédéral
Lausanne, le 8 septembre 2014
Pas d'embargo
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Rencontre des cours administratives suprêmes germanophones
Le Tribunal fédéral reçoit ce mercredi, à Lausanne, une délégation composée de
juges d’Allemagne, d’Autriche et du Liechtenstein pour la traditionnelle rencontre
des cours administratives suprêmes germanophones. La réunion, d’une durée de
quatre jours, a pour but un échange d’opinions au-delà des frontières sur des
thèmes juridiques actuels. Un programme culturel sera également proposé en marge
de cette rencontre.
La rencontre entre les cours administratives suprêmes germanophones a lieu tous les
deux ans depuis 1977. Le Tribunal fédéral organise la présente édition du 10 au
13 septembre 2014. Les présidents ainsi que des juges des cours administratives
suprêmes d’Autriche, d’Allemagne, du Liechtenstein et du Tribunal fédéral suisse
prendront part à cette rencontre.
La rencontre servira à un échange d’opinions transfrontalier sur la jurisprudence
actuelle ainsi que sur les problèmes et tendances dans le droit administratif. Les points
forts des séances de travail seront la protection des droits fondamentaux, en particulier
la protection des données en relation avec les technologies électroniques (par exemple,
publications sur internet, Google Street View, surveillance du domaine public), les
garanties de procédure fondées sur le droit international ainsi que les questions de droit
relatives aux maisons de jeu, aux loteries et aux paris. L’échange d'expériences
professionnelles entre les juges sera accompagné d’un programme culturel, prévoyant
notamment une visite du Musée olympique de Lausanne et du CERN à Genève.
| 2 |
|
11.5.2_14.3.8_yyyy_mm_dd_T_{lang} | Lausanne, 8. September 2014
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Treffen der obersten deutschsprachigen Verwaltungsgerichte
Das Bundesgericht empfängt am kommenden Mittwoch in Lausanne Richterdelegationen aus Deutschland, Österreich und dem Fürstentum Liechtenstein zum
traditionellen Treffen der obersten deutschsprachigen Verwaltungsgerichte. Der vier
Tage dauernde Anlass dient dem grenzüberschreitenden Gedankenaustausch zu
aktuellen juristischen Themen und wird von einem Rahmenprogramm begleitet.
Das Treffen der obersten deutschsprachigen Verwaltungsgerichte findet seit 1977 alle
zwei Jahre statt. Dieses Jahr wird der Anlass vom 10. bis zum 13. September vom
Bundesgericht in Lausanne durchgeführt. An der Veranstaltung nehmen die Präsidenten
sowie Richterinnen und Richter des Verwaltungsgerichtshofs Österreich, des Bundesverwaltungsgerichts Deutschland, des Verwaltungsgerichtshofs Fürstentum Liechtenstein und des Bundesgerichts teil.
Das Treffen dient dem grenzüberschreitenden Gedankenaustausch über die aktuelle
Rechtsprechung sowie über Problemstellungen und Tendenzen im Verwaltungsrecht.
Themenschwerpunkte der Arbeitssitzungen bilden der Grundrechts- insbesondere der
Datenschutz im Lichte der elektronischen Technologien (z.B. Veröffentlichungen im
Internet, Google Street View, Überwachung des öffentlichen Raums), Internationalrechtliche Verfahrensgarantien und rechtliche Fragen im Zusammenhang mit Spielbanken, Lotterien und Wetten. Der fachliche Austausch unter den Richtern wird begleitet
von einem Rahmenprogramm, das unter anderem einen Besuch im Olympischen
Museum in Lausanne und im CERN in Genf vorsieht.
| Lausanne, le 8 septembre 2014
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Rencontre des cours administratives suprêmes germanophones
Le Tribunal fédéral reçoit ce mercredi, à Lausanne, une délégation composée de
juges d’Allemagne, d’Autriche et du Liechtenstein pour la traditionnelle rencontre
des cours administratives suprêmes germanophones. La réunion, d’une durée de
quatre jours, a pour but un échange d’opinions au-delà des frontières sur des
thèmes juridiques actuels. Un programme culturel sera également proposé en marge
de cette rencontre.
La rencontre entre les cours administratives suprêmes germanophones a lieu tous les
deux ans depuis 1977. Le Tribunal fédéral organise la présente édition du 10 au
13 septembre 2014. Les présidents ainsi que des juges des cours administratives
suprêmes d’Autriche, d’Allemagne, du Liechtenstein et du Tribunal fédéral suisse
prendront part à cette rencontre.
La rencontre servira à un échange d’opinions transfrontalier sur la jurisprudence
actuelle ainsi que sur les problèmes et tendances dans le droit administratif. Les points
forts des séances de travail seront la protection des droits fondamentaux, en particulier
la protection des données en relation avec les technologies électroniques (par exemple,
publications sur internet, Google Street View, surveillance du domaine public), les
garanties de procédure fondées sur le droit international ainsi que les questions de droit
relatives aux maisons de jeu, aux loteries et aux paris. L’échange d'expériences
professionnelles entre les juges sera accompagné d’un programme culturel, prévoyant
notamment une visite du Musée olympique de Lausanne et du CERN à Genève.
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11.5.2_14.6.14.2_1_2015_yyyy_mm_dd_J_{lang} | An alle akkreditierten Journalisten
des Bundesgerichts
Lausanne, 20. Mai 2015
Kein Embargo
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Kongress ACCPUF vom 3. bis 7. Juni in Lausanne
Das Bundesgericht richtet in Lausanne vom 3. bis zum 7. Juni 2015 den Kongress
und die Generalversammlung der Vereinigung der französischsprachigen Verfassungsgerichte (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage
l'Usage du Français) aus. An der Veranstaltung unter dem Titel "La suprématie de la
constitution" (Der Vorrang der Verfassung) nehmen rund 100 Personen aus 48
Ländern teil. Im Rahmen der Konferenz finden Arbeitssitzungen der Vertreter der beteiligten Gerichte sowie Sitzungen der ACCPUF-Organe statt.
Am kommenden 3. Juni treffen in Lausanne rund 100 Teilnehmer zum dreijährlich stattfindenden Kongress der ACCPUF ein. Die Konferenz unter dem Titel "La suprématie de
la constitution" wird vom Schweizerischen Bundesgericht organisiert und durchgeführt.
Zahlreiche Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter des Bundesgerichts helfen bei der Durchführung des Anlasses mit.
Im Rahmen der Eröffnungsfeier vom 4. Juni wird neben anderen Frau Bundespräsidentin Simonetta Sommaruga eine Ansprache halten. Während der Konferenz
finden Arbeitssitzungen der Vertreter der beteiligten Gerichte, die Generalversammlung
sowie Sitzungen der Organe der ACCPUF statt. Der Kongress dauert bis zum 7. Juni
und wird von einem Rahmenprogramm ergänzt, das auch einen Besuch des Bundeshauses in Bern vorsieht.
Die ACCPUF wurde 1997 gegründet; heute gehören ihr 45 Verfassungsgerichte aus
Afrika, Europa, Amerika und Asien an; drei weitere Verfassungsgerichte haben Beobachterstatus. Gemäss den Statuten der ACCPUF können Institutionen aus Ländern
aufgenommen werden, in denen die französische Sprache verwendet wird und die – unabhängig von ihrer konkreten Bezeichnung – in letzter Instanz über "Streitigkeiten zur
Vereinbarkeit mit der Verfassung" entscheiden. ACCPUF hat zum Ziel, durch die Entwicklung der Beziehungen unter den beteiligten Gerichten die Rechtsstaatlichkeit zu
fördern. Eine Mitgliedschaft bei der ACCPUF beinhaltet keinerlei Bestrebungen zur
Änderung der aktuellen Überprüfungsbefugnisse der beteiligten Gerichte in Verfassungsfragen. Das Bundesgericht wurde 1997 in die ACCPUF aufgenommen. Aktuell
wird die Vereinigung von Herr Mohamed Achargui präsidiert, dem Präsidenten des
Verfassungsrates des Königreichs Marokko, wo 2012 der letzte Kongress der ACCPUF
stattgefunden hat. Dabei wurde dem Bundesgericht das erste Vizepräsidium des Büros
der ACCPUF und die Ausrichtung des nun stattfindenden Kongresses übertragen.
| A tous les journalistes accrédités auprès
du Tribunal fédéral
Lausanne, le 20 mai 2015
Pas d'embargo
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Congrès de l'ACCPUF du 3 au 7 juin à Lausanne
Le Tribunal fédéral organise à Lausanne, du 3 au 7 juin 2015, le Congrès et
l'Assemblée générale de l'Association des Cours Constitutionnelles ayant en Partage
l'Usage du Français (ACCPUF). Environ 100 personnes provenant de 48 pays
prendront part à cette manifestation qui aura pour thème « La suprématie de la
Constitution ». Des séances de travail des représentants des Cours participantes
ainsi que des réunions des organes de l'Association auront lieu dans le cadre de
cette Conférence.
Le 3 juin prochain, environ 100 participants se réuniront à Lausanne pour assister au
Congrès triennal de l'ACCPUF. La Conférence sur le thème « La suprématie de la
Constitution » est organisée par le Tribunal fédéral suisse. De nombreux employés du
Tribunal fédéral apporteront leur soutien au bon déroulement de la manifestation.
La cérémonie d'ouverture du 4 juin accueillera entre autres orateurs la Présidente de la
Confédération suisse Simonetta Sommaruga. Pendant la Conférence, auront lieu des
séances de travail des représentants des Cours participantes, l'Assemblée générale
ainsi que des réunions des organes de l'Association. Le Congrès se terminera le 7 juin
et finira par une excursion incluant notamment une visite du Palais fédéral à Berne.
L'ACCPUF a été fondée en 1997 et est composée à ce jour de 45 Cours
constitutionnelles d'Afrique, d'Europe, d'Amérique et d'Asie; trois autres Cours
constitutionnelles y ont un statut d'observateur. Selon les statuts de l'ACCPUF, peuvent
devenir membres les institutions, quelles que soient leurs appellations, qui proviennent
de pays ayant en partage l'usage du français et qui tranchent en dernière instance les
litiges de conformité à la Constitution. L'ACCPUF a pour but de favoriser
l'approfondissement de l'Etat de droit par un développement des relations entre les
membres. La qualité de membre n'implique aucunement l'obligation, de la part des
institutions participantes, de modifier leur pouvoir de contrôle actuel sur les questions
constitutionnelles. Le Tribunal fédéral est entré dans l'ACCPUF en 1997. Actuellement,
l'Association est présidée par Monsieur Mohamed Achargui, Président du Conseil
constitutionnel du Royaume du Maroc, pays qui a accueilli en 2012 le dernier Congrès
de l'ACCPUF. A cette occasion, le Tribunal fédéral a été élu à la première viceprésidence du Bureau et s'est vu confier l'organisation du présent Congrès.
| A tutti i giornalisti accreditati presso il
Tribunale federale
Losanna, 20 maggio 2015
Nessun Embargo
Comunicato stampa del Tribunale federale
Congresso ACCPUF dal 3 al 7 giugno a Losanna
Il Tribunale federale organizzerà a Losanna dal 3 al 7 giugno 2015 il Congresso e
l'Assemblea Generale dell'Associazione delle Corti costituzionali che hanno in
comune l'uso della lingua francese (ACCPUF: Association des Cours
Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français). All'evento, intitolato "La
supremazia della Costituzione" (La suprématie de la Constitution), parteciperanno
circa 100 persone provenienti da 48 paesi. Durante il congresso avranno luogo delle
riunioni dei rappresentanti dei tribunali membri e degli organi dell'ACCPUF.
Un centinaio di partecipanti si riuniranno il 3 giugno prossimo a Losanna per assistere al
Congresso dell'ACCPUF, che si tiene ogni 3 anni. Il Congresso, intitolato "La
supremazia della Costituzione" (La suprématie de la Constitution), è organizzato dal
Tribunale federale svizzero. Numerose collaboratrici e collaboratori del Tribunale
federale parteciperanno all'organizzazione e allo svolgimento del Congresso.
Alla cerimonia inaugurale del 4 giugno interverrà, tra gli altri, la Presidente della
Confederazione svizzera Simonetta Sommaruga. Durante tutta la durata del Congresso
avranno luogo delle riunioni dei rappresentanti dei tribunali membri e degli organi
dell'ACCPUF. Il Congresso si concluderà il 7 giugno con un'escursione durante la quale
è segnatamente prevista una visita del Parlamento federale a Berna.
L'ACCPUF, fondata nel 1997, è attualmente composta da 45 corti costituzionali africane,
europee, americane e asiatiche. Tre ulteriori corti costituzionali hanno dal canto loro lo
statuto di osservatrici. Secondo gli statuti dell'ACCPUF possono aderire all'associazione
le istituzioni dei Paesi che hanno in comune l'uso della lingua francese che – indipendentemente dalla loro denominazione – decidono in ultima istanza sui litigi
concernenti la costituzionalità. Obbiettivo di ACCPUF è di promuovere lo stato di diritto
attraverso lo sviluppo delle relazioni tra i suoi membri. L'appartenenza all'ACCPUF non
prospetta una modifica dell'attuale competenza dei tribunali membri nell'ambito del
controllo costituzionale. Il Tribunale federale è entrato a far parte dell'ACCPUF nel
1997. L'associazione è attualmente presieduta da Mohamed Achargui, Presidente del
Consiglio costituzionale del Regno del Marocco, dove nel 2012 ha avuto luogo l'ultima
edizione del Congresso. In quell'occasione, il Tribunale federale svizzero è stato eletto
alla prima Vicepresidenza dell'ACCPUF ed incaricato dell'organizzazione del presente
congresso.
| 3 |
11.5.2_14.6.14.2_1_2015_yyyy_mm_dd_T_{lang} | Lausanne, 20. Mai 2015
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Kongress ACCPUF vom 3. bis 7. Juni in Lausanne
Das Bundesgericht richtet in Lausanne vom 3. bis zum 7. Juni 2015 den Kongress
und die Generalversammlung der Vereinigung der französischsprachigen Verfassungsgerichte (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage
l'Usage du Français) aus. An der Veranstaltung unter dem Titel "La suprématie de la
constitution" (Der Vorrang der Verfassung) nehmen rund 100 Personen aus 48
Ländern teil. Im Rahmen der Konferenz finden Arbeitssitzungen der Vertreter der beteiligten Gerichte sowie Sitzungen der ACCPUF-Organe statt.
Am kommenden 3. Juni treffen in Lausanne rund 100 Teilnehmer zum dreijährlich stattfindenden Kongress der ACCPUF ein. Die Konferenz unter dem Titel "La suprématie de
la constitution" wird vom Schweizerischen Bundesgericht organisiert und durchgeführt.
Zahlreiche Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter des Bundesgerichts helfen bei der Durchführung des Anlasses mit.
Im Rahmen der Eröffnungsfeier vom 4. Juni wird neben anderen Frau Bundespräsidentin Simonetta Sommaruga eine Ansprache halten. Während der Konferenz
finden Arbeitssitzungen der Vertreter der beteiligten Gerichte, die Generalversammlung
sowie Sitzungen der Organe der ACCPUF statt. Der Kongress dauert bis zum 7. Juni
und wird von einem Rahmenprogramm ergänzt, das auch einen Besuch des Bundeshauses in Bern vorsieht.
Die ACCPUF wurde 1997 gegründet; heute gehören ihr 45 Verfassungsgerichte aus
Afrika, Europa, Amerika und Asien an; drei weitere Verfassungsgerichte haben Beobachterstatus. Gemäss den Statuten der ACCPUF können Institutionen aus Ländern
aufgenommen werden, in denen die französische Sprache verwendet wird und die – unabhängig von ihrer konkreten Bezeichnung – in letzter Instanz über "Streitigkeiten zur
Vereinbarkeit mit der Verfassung" entscheiden. ACCPUF hat zum Ziel, durch die Entwicklung der Beziehungen unter den beteiligten Gerichten die Rechtsstaatlichkeit zu
fördern. Eine Mitgliedschaft bei der ACCPUF beinhaltet keinerlei Bestrebungen zur
Änderung der aktuellen Überprüfungsbefugnisse der beteiligten Gerichte in Verfassungsfragen. Das Bundesgericht wurde 1997 in die ACCPUF aufgenommen. Aktuell
wird die Vereinigung von Herr Mohamed Achargui präsidiert, dem Präsidenten des
Verfassungsrates des Königreichs Marokko, wo 2012 der letzte Kongress der ACCPUF
stattgefunden hat. Dabei wurde dem Bundesgericht das erste Vizepräsidium des Büros
der ACCPUF und die Ausrichtung des nun stattfindenden Kongresses übertragen.
| Lausanne, le 20 mai 2015
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Congrès de l'ACCPUF du 3 au 7 juin à Lausanne
Le Tribunal fédéral organise à Lausanne, du 3 au 7 juin 2015, le Congrès et
l'Assemblée générale de l'Association des Cours Constitutionnelles ayant en Partage
l'Usage du Français (ACCPUF). Environ 100 personnes provenant de 48 pays
prendront part à cette manifestation qui aura pour thème « La suprématie de la
Constitution ». Des séances de travail des représentants des Cours participantes
ainsi que des réunions des organes de l'Association auront lieu dans le cadre de
cette Conférence.
Le 3 juin prochain, environ 100 participants se réuniront à Lausanne pour assister au
Congrès triennal de l'ACCPUF. La Conférence sur le thème « La suprématie de la
Constitution » est organisée par le Tribunal fédéral suisse. De nombreux employés du
Tribunal fédéral apporteront leur soutien au bon déroulement de la manifestation.
La cérémonie d'ouverture du 4 juin accueillera entre autres orateurs la Présidente de la
Confédération suisse Simonetta Sommaruga. Pendant la Conférence, auront lieu des
séances de travail des représentants des Cours participantes, l'Assemblée générale
ainsi que des réunions des organes de l'Association. Le Congrès se terminera le 7 juin
et finira par une excursion incluant notamment une visite du Palais fédéral à Berne.
L'ACCPUF a été fondée en 1997 et est composée à ce jour de 45 Cours
constitutionnelles d'Afrique, d'Europe, d'Amérique et d'Asie; trois autres Cours
constitutionnelles y ont un statut d'observateur. Selon les statuts de l'ACCPUF, peuvent
devenir membres les institutions, quelles que soient leurs appellations, qui proviennent
de pays ayant en partage l'usage du français et qui tranchent en dernière instance les
litiges de conformité à la Constitution. L'ACCPUF a pour but de favoriser
l'approfondissement de l'Etat de droit par un développement des relations entre les
membres. La qualité de membre n'implique aucunement l'obligation, de la part des
institutions participantes, de modifier leur pouvoir de contrôle actuel sur les questions
constitutionnelles. Le Tribunal fédéral est entré dans l'ACCPUF en 1997. Actuellement,
l'Association est présidée par Monsieur Mohamed Achargui, Président du Conseil
constitutionnel du Royaume du Maroc, pays qui a accueilli en 2012 le dernier Congrès
de l'ACCPUF. A cette occasion, le Tribunal fédéral a été élu à la première viceprésidence du Bureau et s'est vu confier l'organisation du présent Congrès.
| Losanna, 20 maggio 2015
Comunicato stampa del Tribunale federale
Congresso ACCPUF dal 3 al 7 giugno a Losanna
Il Tribunale federale organizzerà a Losanna dal 3 al 7 giugno 2015 il Congresso e
l'Assemblea Generale dell'Associazione delle Corti costituzionali che hanno in
comune l'uso della lingua francese (ACCPUF: Association des Cours
Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français). All'evento, intitolato "La
supremazia della Costituzione" (La suprématie de la Constitution), parteciperanno
circa 100 persone provenienti da 48 paesi. Durante il congresso avranno luogo delle
riunioni dei rappresentanti dei tribunali membri e degli organi dell'ACCPUF.
Un centinaio di partecipanti si riuniranno il 3 giugno prossimo a Losanna per assistere al
Congresso dell'ACCPUF, che si tiene ogni 3 anni. Il Congresso, intitolato "La
supremazia della Costituzione" (La suprématie de la Constitution), è organizzato dal
Tribunale federale svizzero. Numerose collaboratrici e collaboratori del Tribunale
federale parteciperanno all'organizzazione e allo svolgimento del Congresso.
Alla cerimonia inaugurale del 4 giugno interverrà, tra gli altri, la Presidente della
Confederazione svizzera Simonetta Sommaruga. Durante tutta la durata del Congresso
avranno luogo delle riunioni dei rappresentanti dei tribunali membri e degli organi
dell'ACCPUF. Il Congresso si concluderà il 7 giugno con un'escursione durante la quale
è segnatamente prevista una visita del Parlamento federale a Berna.
L'ACCPUF, fondata nel 1997, è attualmente composta da 45 corti costituzionali africane,
europee, americane e asiatiche. Tre ulteriori corti costituzionali hanno dal canto loro lo
statuto di osservatrici. Secondo gli statuti dell'ACCPUF possono aderire all'associazione
le istituzioni dei Paesi che hanno in comune l'uso della lingua francese che – indipendentemente dalla loro denominazione – decidono in ultima istanza sui litigi
concernenti la costituzionalità. Obbiettivo di ACCPUF è di promuovere lo stato di diritto
attraverso lo sviluppo delle relazioni tra i suoi membri. L'appartenenza all'ACCPUF non
prospetta una modifica dell'attuale competenza dei tribunali membri nell'ambito del
controllo costituzionale. Il Tribunale federale è entrato a far parte dell'ACCPUF nel
1997. L'associazione è attualmente presieduta da Mohamed Achargui, Presidente del
Consiglio costituzionale del Regno del Marocco, dove nel 2012 ha avuto luogo l'ultima
edizione del Congresso. In quell'occasione, il Tribunale federale svizzero è stato eletto
alla prima Vicepresidenza dell'ACCPUF ed incaricato dell'organizzazione del presente
congresso.
| 3 |
11.5.2_14.6.14.2_3_2015_yyyy_mm_dd_J_{lang} | An alle akkreditierten Journalisten
des Bundesgerichts
Lausanne, 11. Juni 2015
Kein Embargo
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Bundesgerichtspräsident präsidiert ACCPUF bis 2018
Der Präsident des Schweizerischen Bundesgerichts präsidiert die nächsten drei
Jahre die Vereinigung der französischsprachigen Verfassungsgerichte (ACCPUF:
Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français). Das
Präsidium wurde von der Generalversammlung der ACCPUF an ihrer Konferenz von
vergangener Woche in Lausanne übertragen.
Vom 3. Juni bis zum 7. Juni 2015 fand in Lausanne der Kongress der ACCPUF statt.
Anlässlich der Generalversammlung der ACCPUF vom vergangenen Freitag wurde dem
Präsidenten des Schweizerischen Bundesgerichts das Präsidium für die Jahre 2015 bis
2018 übertragen. Von 2012 bis 2015 hatte das Bundesgericht das Vizepräsidium des
Büros der ACCPUF ausgeübt und in diesem Rahmen den Kongress der ACCPUF von
letzter Woche in Lausanne organisiert. Die Konferenz, bei deren Durchführung zahlreiche Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter des Bundesgerichts mitgeholfen haben, fand
zum Thema "La suprématie de la constitution" (Der Vorrang der Verfassung) statt.
Während der Konferenz nahmen die rund 100 Teilnehmerinnen und Teilnehmer aus
über 30 Ländern an mehreren Arbeitssitzungen teil. Ein Gesamtbericht und die Schlussfolgerungen zu den Konferenzergebnissen werden zu einem späteren Zeitpunkt veröffentlicht.
Weitere Informationen zum ACCPUF-Kongress entnehmen Sie bitte unserer
Medienmitteilung vom 20. Mai 2015, abrufbar unter:
http://www.bger.ch/index/press/press-inherit-template/press-mitteilungen.htm
| A tous les journalistes accrédités auprès
du Tribunal fédéral
Lausanne, le 11 juin 2015
Pas d'embargo
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Le Président du Tribunal fédéral préside l'ACCPUF jusqu'en 2018
Le Président du Tribunal fédéral suisse préside les trois prochaines années
l'Association des Cours Constitutionnelles ayant en Partage l'Usage du Français
(ACCPUF). La Présidence a été confiée par l'Assemblée générale de l'ACCPUF lors
de son Congrès de la semaine passée à Lausanne.
Le Congrès de l'ACCPUF a eu lieu du 3 au 7 juin 2015 à Lausanne. A l'occasion de
l'Assemblée générale de l'ACCPUF de vendredi dernier, la Présidence de l'ACCPUF a
été confiée au Président du Tribunal fédéral suisse pour les années 2015 à 2018. De
2012 à 2015, le Tribunal fédéral a exercé la vice-présidence du Bureau de l'ACCPUF et,
dans ce cadre, a organisé le Congrès de l'ACCPUF de la semaine passée à Lausanne.
La Conférence, pour laquelle de nombreux employés du Tribunal fédéral ont apporté
leur soutien, a eu pour thème « La suprématie de la constitution ». Lors de cette
Conférence environ 100 participantes et participants de plus de 30 pays ont participé
aux différentes séances de travail. Un rapport général ainsi que les conclusions des
résultats de la Conférence seront publiés ultérieurement.
Vous trouverez de plus amples informations dans notre communiqué aux médias du
20 mai 2015, disponible sur:
http://www.bger.ch/fr/index/press/press-inherit-template/press-mitteilungen.htm
| A tutti i giornalisti accreditati presso il
Tribunale federale
Losanna, 11 giugno 2015
Nessun Embargo
Comunicato stampa del Tribunale federale
Il Presidente del Tribunale federale presiederà ACCPUF sino al
2018
Il Presidente dell Tribunale federale svizzero presiederà per i prossimi tre anni
l'Associazione delle Corti costituzionali che hanno in comune l'uso della lingua
francese (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage
l'Usage du Français). L'assegnazione della presidenza è avvenuta durante il
Congresso e l'Assemblea generale dell'ACCPUF, che hanno avuto luogo ad inizio
giugno a Losanna.
Il Congresso dell'ACCPUF si è svolto dal 3 al 7 giugno a Losanna. In occasione
dell'Assemblea generale dell'ACCPUF, avvenuta venerdì 5 giugno, al Presidente del
Tribunale federale svizzero è stata assegnata la presidenza dell'associazione dal 2015
al 2018. Il Tribunale federale è stato vicepresidente dell'Associazione dal 2012 al 2015 e
in quanto tale ha organizzato il Congresso che si è tenuto a Losanna. La conferenza,
all'organizzazione della quale hanno partecipato numerosi collaboratori e collaboratrici
del Tribunale federale, era intitolata "La supremazia della Costituzione" (La suprématie
de la Constitution). Un centinaio di partecipanti, provenienti da oltre 30 paesi, hanno
preso parte alle sedute di lavoro. Un rapporto completo, con le conclusioni e le
conseguenze delle Conferenze, verrà pubblicato ulteriormente.
Per altre informazioni sul Congresso dell'ACCPUF vi invitiamo a consultare il nostro
comunicato stampa del 20 maggio 2015, disponibile all'indirizzo:
http://www.bger.ch/index/press/press-inherit-template/press-mitteilungen.htm
| 3 |
11.5.2_14.6.14.2_3_2015_yyyy_mm_dd_T_{lang} | Lausanne, 11. Juni 2015
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Bundesgerichtspräsident präsidiert ACCPUF bis 2018
Der Präsident des Schweizerischen Bundesgerichts präsidiert die nächsten drei
Jahre die Vereinigung der französischsprachigen Verfassungsgerichte (ACCPUF:
Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français). Das
Präsidium wurde von der Generalversammlung der ACCPUF an ihrer Konferenz von
vergangener Woche in Lausanne übertragen.
Vom 3. Juni bis zum 7. Juni 2015 fand in Lausanne der Kongress der ACCPUF statt.
Anlässlich der Generalversammlung der ACCPUF vom vergangenen Freitag wurde dem
Präsidenten des Schweizerischen Bundesgerichts das Präsidium für die Jahre 2015 bis
2018 übertragen. Von 2012 bis 2015 hatte das Bundesgericht das Vizepräsidium des
Büros der ACCPUF ausgeübt und in diesem Rahmen den Kongress der ACCPUF von
letzter Woche in Lausanne organisiert. Die Konferenz, bei deren Durchführung zahlreiche Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter des Bundesgerichts mitgeholfen haben, fand
zum Thema "La suprématie de la constitution" (Der Vorrang der Verfassung) statt.
Während der Konferenz nahmen die rund 100 Teilnehmerinnen und Teilnehmer aus
über 30 Ländern an mehreren Arbeitssitzungen teil. Ein Gesamtbericht und die Schlussfolgerungen zu den Konferenzergebnissen werden zu einem späteren Zeitpunkt veröffentlicht.
Weitere Informationen zum ACCPUF-Kongress entnehmen Sie bitte unserer
Medienmitteilung vom 20. Mai 2015, abrufbar unter:
http://www.bger.ch/index/press/press-inherit-template/press-mitteilungen.htm
| Lausanne, le 11 juin 2015
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Le Président du Tribunal fédéral préside l'ACCPUF jusqu'en 2018
Le Président du Tribunal fédéral suisse préside les trois prochaines années
l'Association des Cours Constitutionnelles ayant en Partage l'Usage du Français
(ACCPUF). La Présidence a été confiée par l'Assemblée générale de l'ACCPUF lors
de son Congrès de la semaine passée à Lausanne.
Le Congrès de l'ACCPUF a eu lieu du 3 au 7 juin 2015 à Lausanne. A l'occasion de
l'Assemblée générale de l'ACCPUF de vendredi dernier, la Présidence de l'ACCPUF a
été confiée au Président du Tribunal fédéral suisse pour les années 2015 à 2018. De
2012 à 2015, le Tribunal fédéral a exercé la vice-présidence du Bureau de l'ACCPUF et,
dans ce cadre, a organisé le Congrès de l'ACCPUF de la semaine passée à Lausanne.
La Conférence, pour laquelle de nombreux employés du Tribunal fédéral ont apporté
leur soutien, a eu pour thème « La suprématie de la constitution ». Lors de cette
Conférence environ 100 participantes et participants de plus de 30 pays ont participé
aux différentes séances de travail. Un rapport général ainsi que les conclusions des
résultats de la Conférence seront publiés ultérieurement.
Vous trouverez de plus amples informations dans notre communiqué aux médias du
20 mai 2015, disponible sur:
http://www.bger.ch/fr/index/press/press-inherit-template/press-mitteilungen.htm
| Losanna, 11 giugno 2015
Comunicato stampa del Tribunale federale
Il Presidente del Tribunale federale presiederà ACCPUF sino al
2018
Il Presidente dell Tribunale federale svizzero presiederà per i prossimi tre anni
l'Associazione delle Corti costituzionali che hanno in comune l'uso della lingua
francese (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage
l'Usage du Français). L'assegnazione della presidenza è avvenuta durante il
Congresso e l'Assemblea generale dell'ACCPUF, che hanno avuto luogo ad inizio
giugno a Losanna.
Il Congresso dell'ACCPUF si è svolto dal 3 al 7 giugno a Losanna. In occasione
dell'Assemblea generale dell'ACCPUF, avvenuta venerdì 5 giugno, al Presidente del
Tribunale federale svizzero è stata assegnata la presidenza dell'associazione dal 2015
al 2018. Il Tribunale federale è stato vicepresidente dell'Associazione dal 2012 al 2015 e
in quanto tale ha organizzato il Congresso che si è tenuto a Losanna. La conferenza,
all'organizzazione della quale hanno partecipato numerosi collaboratori e collaboratrici
del Tribunale federale, era intitolata "La supremazia della Costituzione" (La suprématie
de la Constitution). Un centinaio di partecipanti, provenienti da oltre 30 paesi, hanno
preso parte alle sedute di lavoro. Un rapporto completo, con le conclusioni e le
conseguenze delle Conferenze, verrà pubblicato ulteriormente.
Per altre informazioni sul Congresso dell'ACCPUF vi invitiamo a consultare il nostro
comunicato stampa del 20 maggio 2015, disponibile all'indirizzo:
http://www.bger.ch/index/press/press-inherit-template/press-mitteilungen.htm
| 3 |
11.5.2_14.6.1_01_2019_yyyy_mm_dd_J_{lang} | An alle akkreditierten Journalisten
des Bundesgerichts
Lausanne, 5. Februar 2019
Kein Embargo
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Besuch des französischen Conseil d'État
Das Bundesgericht in Lausanne hat am Sonntagabend eine Delegation des
französischen Conseil d'État empfangen. Am Montag haben die Vertreter der beiden
Institutionen bei gemeinsamen Arbeitssitzungen aktuelle juristische Fragen
besprochen.
Der französische Conseil d'État wurde von seinem Vizepräsidenten Bruno Lassere und
fünf weiteren Mitgliedern vertreten. Die Delegation des Bundesgerichts umfasste neben
Gerichtspräsident Ulrich Meyer fünf Richterinnen und Richter sowie den
Generalsekretär. Die Teilnehmer trafen sich im Verlauf des Montags zu drei
Arbeitssitzungen. Themenschwerpunkte bildeten dabei die Bioethik, die Bedingung des
Bürgerrechtserwerbs und Fragen um grosse Infrastrukturprojekte. Am Montagabend
reiste die französische Delegation wieder ab.
| A tous les journalistes accrédités auprès
du Tribunal fédéral
Lausanne, le 5 février 2019
Pas d'embargo
Communiqué de presse du Tribunal fédéral
Visite du Conseil d’État français
Le Tribunal fédéral a accueilli à Lausanne dimanche soir une délégation du Conseil
d’État français. Lors de la réunion de travail de lundi, les représentants des deux
institutions ont discuté de questions juridiques actuelles.
Le Conseil d’État français est représenté par son Vice-Président, M. Bruno Lassere,
ainsi que par cinq autres membres. La délégation du Tribunal fédéral est composée de
son Président, M. le Juge Ulrich Meyer, ainsi que de cinq autres juges et du Secrétaire
général. Les participants se sont réunis lundi pour trois séances de travail. Les sujets
principaux abordés étaient la bioéthique, les conditions d'acquisition de la nationalité et
des questions relatives aux grands projets d'infrastructure. La délégation française a
quitté la Suisse lundi soir.
| A tutti i giornalisti accreditati presso il
Tribunale federale
Losanna, 5 febbraio 2019
Nessun embargo
Comunicato stampa del Tribunale federale
Visita del Consiglio di Stato della Repubblica francese
Il Tribunale federale ha accolto domenica sera a Losanna una delegazione del
Consiglio di Stato francese. Le riunioni di lavoro hanno avuto luogo lunedì e si sono
concentrate su questioni giuridiche d'attualità.
Il Consiglio di Stato francese è rappresentato dal suo Vicepresidente Bruno Lassere e
da cinque ulteriori membri. La delegazione del Tribunale federale è composta dal suo
Presidente Ulrich Meyer, da cinque giudici federali e dal Segretario generale supplente.
I partecipanti si sono incontrati durante la giornata di lunedì per tre riunioni di lavoro. I
temi principali sono stati la bioetica, le condizioni per l'acquisizione della cittadinanza e
questioni relative ai grandi progetti di infrastruttura. La delegazione francese ha lasciato
la Svizzera lunedì sera.
| 3 |
11.5.2_14.6.1_01_2019_yyyy_mm_dd_T_{lang} | Lausanne, 5. Februar 2019
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Besuch des französischen Conseil d'État
Das Bundesgericht in Lausanne hat am Sonntagabend eine Delegation des
französischen Conseil d'État empfangen. Am Montag haben die Vertreter der beiden
Institutionen bei gemeinsamen Arbeitssitzungen aktuelle juristische Fragen
besprochen.
Der französische Conseil d'État wurde von seinem Vizepräsidenten Bruno Lassere und
fünf weiteren Mitgliedern vertreten. Die Delegation des Bundesgerichts umfasste neben
Gerichtspräsident Ulrich Meyer fünf Richterinnen und Richter sowie den
Generalsekretär. Die Teilnehmer trafen sich im Verlauf des Montags zu drei
Arbeitssitzungen. Themenschwerpunkte bildeten dabei die Bioethik, die Bedingung des
Bürgerrechtserwerbs und Fragen um grosse Infrastrukturprojekte. Am Montagabend
reiste die französische Delegation wieder ab.
| Lausanne, le 5 février 2019
Communiqué de presse du Tribunal fédéral
Visite du Conseil d’État français
Le Tribunal fédéral a accueilli à Lausanne dimanche soir une délégation du Conseil
d’État français. Lors de la réunion de travail de lundi, les représentants des deux
institutions ont discuté de questions juridiques actuelles.
Le Conseil d’État français est représenté par son Vice-Président, M. Bruno Lassere,
ainsi que par cinq autres membres. La délégation du Tribunal fédéral est composée de
son Président, M. le Juge Ulrich Meyer, ainsi que de cinq autres juges et du Secrétaire
général. Les participants se sont réunis lundi pour trois séances de travail. Les sujets
principaux abordés étaient la bioéthique, les conditions d'acquisition de la nationalité et
des questions relatives aux grands projets d'infrastructure. La délégation française a
quitté la Suisse lundi soir.
| Losanna, 5 febbraio 2019
Comunicato stampa del Tribunale federale
Visita del Consiglio di Stato della Repubblica francese
Il Tribunale federale ha accolto domenica sera a Losanna una delegazione del
Consiglio di Stato francese. Le riunioni di lavoro hanno avuto luogo lunedì e si sono
concentrate su questioni giuridiche d'attualità.
Il Consiglio di Stato francese è rappresentato dal suo Vicepresidente Bruno Lassere e
da cinque ulteriori membri. La delegazione del Tribunale federale è composta dal suo
Presidente Ulrich Meyer, da cinque giudici federali e dal Segretario generale supplente.
I partecipanti si sono incontrati durante la giornata di lunedì per tre riunioni di lavoro. I
temi principali sono stati la bioetica, le condizioni per l'acquisizione della cittadinanza e
questioni relative ai grandi progetti di infrastruttura. La delegazione francese ha lasciato
la Svizzera lunedì sera.
| 3 |
11.5.2_14.6.1_1_2014_yyyy_mm_dd_J_{lang} | An alle akkreditierten Journalisten
des Bundesgerichts
Lausanne, 14. November 2014
Kein Embargo
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Besuch des französischen Conseil d'État
Das Bundesgericht in Lausanne hat am Donnerstagabend eine Delegation des
französischen Conseil d'État empfangen. Am Freitag haben die Vertreter der beiden
Institutionen bei gemeinsamen Arbeitssitzungen aktuelle juristische Fragen besprochen.
Der Besuch des französischen Conseil d'État erfolgt in seiner Funktion als oberstes
Verwaltungsgericht Frankreichs. Der Conseil d'État wird von seinem Vizepräsidenten
Jean-Marc Sauvé und vier weiteren Mitgliedern vertreten. Die Delegation des Bundesgerichts umfasst neben Gerichtspräsident Gilbert Kolly fünf weitere Richterinnen und
Richter sowie den stellvertretenden Generalsekretär.
Die Teilnehmer trafen sich im Verlauf des Freitags zu drei Arbeitssitzungen. Themenschwerpunkte bildeten dabei die Grund- und Freiheitsrechte im Lichte der digitalen
Technologien (Internet, Google Street View u.a.), das Recht auf ein faires Verfahren
sowie die Koordination sich widersprechender öffentlicher Interessen im Bereich des
Umweltschutzes. Am Freitagabend reist die französische Delegation wieder ab.
| A tous les journalistes accrédités auprès
du Tribunal fédéral
Lausanne, le 14 novembre 2014
Pas d'embargo
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Visite du Conseil d’État français
Le Tribunal fédéral a accueilli à Lausanne jeudi soir une délégation du Conseil d’État
français. Lors de la réunion de travail de vendredi, les représentants des deux
institutions ont discuté de questions juridiques actuelles.
Le Conseil d’État français est reçu en sa qualité de juridiction administrative suprême de
la France. Il est représenté par son Vice-Président, M. Jean-Marc Sauvé, ainsi que par
quatre autres membres. La délégation du Tribunal fédéral est composée de son
Président, M. le Juge Gilbert Kolly, ainsi que de cinq autres membres et du Secrétaire
général suppléant.
Les participants se sont réunis vendredi pour trois séances de travail. Les sujets
principaux abordés étaient les droits fondamentaux à la lumière des nouvelles technologies (Internet, Google Street View, etc.), le droit à un procès équitable et la coordination d'intérêts publics contradictoires en matière de protection de l'environnement. La
délégation française quitte la Suisse vendredi soir.
| A tutti i giornalisti accreditati presso il
Tribunale federale
Losanna, 14 novembre 2014
Nessun Embargo
Comunicato stampa del Tribunale federale
Visita del Consiglio di Stato della Repubblica francese
Il Tribunale federale ha accolto giovedì sera a Losanna una delegazione del
Consiglio di Stato francese. Le riunioni di lavoro hanno avuto luogo venerdì e si
sono concentrate su questioni giuridiche d'attualità.
Il Consiglio di Stato, rappresentato dal suo vicepresidente Jean-Marc Sauvé e da
quattro ulteriori membri, rende visita al Tribunale federale nella sua veste di tribunale
amministrativo supremo della Repubblica francese. La delegazione del Tribunale
federale è composta dal presidente Gilbert Kolly, da cinque giudici federali e dal
segretario generale supplente.
Le delegazioni si sono incontrate durante la giornata di venerdì per tre riunioni di lavoro.
I temi principali sono stati i diritti e le libertà fondamentali alla luce delle tecnologie
digitali (Internet, Google Street View, ecc.), il diritto a un'equa procedura nonché la
coordinazione di interessi pubblici contraddittori nell'ambito della protezione dell'ambiente. La delegazione francese ripartirà venerdì sera.
| 3 |
11.5.2_14.6.1_1_2014_yyyy_mm_dd_T_{lang} | Lausanne, 14. November 2014
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Besuch des französischen Conseil d'État
Das Bundesgericht in Lausanne hat am Donnerstagabend eine Delegation des
französischen Conseil d'État empfangen. Am Freitag haben die Vertreter der beiden
Institutionen bei gemeinsamen Arbeitssitzungen aktuelle juristische Fragen besprochen.
Der Besuch des französischen Conseil d'État erfolgt in seiner Funktion als oberstes
Verwaltungsgericht Frankreichs. Der Conseil d'État wird von seinem Vizepräsidenten
Jean-Marc Sauvé und vier weiteren Mitgliedern vertreten. Die Delegation des Bundesgerichts umfasst neben Gerichtspräsident Gilbert Kolly fünf weitere Richterinnen und
Richter sowie den stellvertretenden Generalsekretär.
Die Teilnehmer trafen sich im Verlauf des Freitags zu drei Arbeitssitzungen. Themenschwerpunkte bildeten dabei die Grund- und Freiheitsrechte im Lichte der digitalen
Technologien (Internet, Google Street View u.a.), das Recht auf ein faires Verfahren
sowie die Koordination sich widersprechender öffentlicher Interessen im Bereich des
Umweltschutzes. Am Freitagabend reist die französische Delegation wieder ab.
| Lausanne, le 14 novembre 2014
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Visite du Conseil d’État français
Le Tribunal fédéral a accueilli à Lausanne jeudi soir une délégation du Conseil d’État
français. Lors de la réunion de travail de vendredi, les représentants des deux
institutions ont discuté de questions juridiques actuelles.
Le Conseil d’État français est reçu en sa qualité de juridiction administrative suprême de
la France. Il est représenté par son Vice-Président, M. Jean-Marc Sauvé, ainsi que par
quatre autres membres. La délégation du Tribunal fédéral est composée de son
Président, M. le Juge Gilbert Kolly, ainsi que de cinq autres membres et du Secrétaire
général suppléant.
Les participants se sont réunis vendredi pour trois séances de travail. Les sujets
principaux abordés étaient les droits fondamentaux à la lumière des nouvelles technologies (Internet, Google Street View, etc.), le droit à un procès équitable et la coordination d'intérêts publics contradictoires en matière de protection de l'environnement. La
délégation française quitte la Suisse vendredi soir.
| Losanna, 14 novembre 2014
Comunicato stampa del Tribunale federale
Visita del Consiglio di Stato della Repubblica francese
Il Tribunale federale ha accolto giovedì sera a Losanna una delegazione del
Consiglio di Stato francese. Le riunioni di lavoro hanno avuto luogo venerdì e si
sono concentrate su questioni giuridiche d'attualità.
Il Consiglio di Stato, rappresentato dal suo vicepresidente Jean-Marc Sauvé e da
quattro ulteriori membri, rende visita al Tribunale federale nella sua veste di tribunale
amministrativo supremo della Repubblica francese. La delegazione del Tribunale
federale è composta dal presidente Gilbert Kolly, da cinque giudici federali e dal
segretario generale supplente.
Le delegazioni si sono incontrate durante la giornata di venerdì per tre riunioni di lavoro.
I temi principali sono stati i diritti e le libertà fondamentali alla luce delle tecnologie
digitali (Internet, Google Street View, ecc.), il diritto a un'equa procedura nonché la
coordinazione di interessi pubblici contraddittori nell'ambito della protezione dell'ambiente. La delegazione francese ripartirà venerdì sera.
| 3 |
11.5.2_14.6.1_1_2015_yyyy_mm_dd_J_{lang} | An alle akkreditierten Journalisten
des Bundesgerichts
Lausanne, 20. Februar 2015
Kein Embargo
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Besuch des Bundesfinanzhofs Deutschland
Das Bundesgericht hat am Donnerstag an seinem Sitz in Lausanne eine Delegation
des Bundesfinanzhofs Deutschland empfangen. Während dem bis zum Freitag
dauernden Besuch fanden mehrere Arbeitssitzungen statt, in denen vorwiegend
aktuelle steuerrechtliche Fragen besprochen wurden.
Der deutsche Bundesfinanzhof wurde von seinem Präsidenten Rudolf Mellinghoff und
drei weiteren Mitgliedern vertreten. Die Delegation des Bundesgerichts umfasste neben
Bundesgerichtspräsident Gilbert Kolly den Abteilungspräsidenten Andreas Zünd und
drei weitere Richter der für Steuerrecht zuständigen Zweiten öffentlich-rechtlichen
Abteilung sowie zwei Vertreter des Generalsekretariats. Die Teilnehmer trafen sich am
Donnerstag und am Freitag zu fünf Arbeitssitzungen. Schwerpunkt bildeten dabei
aktuelle steuerrechtliche Fragen, unter anderem die Rolle des Europäischen
Gerichtshofs beziehungsweise des Europarechts für Deutschland und die Schweiz im
Bereich des Steuerrechts. Ein weiteres Diskussionsthema betraf die Digitalisierung
gerichtlicher Streitverfahren.
| A tous les journalistes accrédités auprès
du Tribunal fédéral
Lausanne, le 20 février 2015
Pas d'embargo
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Visite de la Cour fédérale des finances allemande
Le Tribunal fédéral a reçu jeudi à son siège de Lausanne une délégation de la Cour
fédérale des finances allemande (Bundesfinanzhof). Durant la visite, qui s'est
conclue vendredi, plusieurs séances de travail ont eu lieu, principalement
consacrées à des questions actuelles de droit fiscal.
La Cour fédérale des finances allemande était représentée par son Président Rudolf
Mellinghoff et trois autres membres. La délégation du Tribunal fédéral était composée
du Président du Tribunal fédéral Gilbert Kolly, du Président de la cour Andreas Zünd et
de trois autres juges de la IIe Cour de droit public, compétente en matière de droit fiscal,
ainsi que de deux représentants du Secrétariat général. Les participants se sont réunis
jeudi et vendredi lors de cinq séances de travail, principalement consacrées à des
questions actuelles de droit fiscal. Parmi les sujets traités figuraient le rôle de la Cour de
Justice Européenne, respectivement du droit européen pour l'Allemagne et la Suisse
dans le domaine du droit fiscal, ainsi que la digitalisation des procédures judiciaires
contentieuses.
| A tutti i giornalisti accreditati presso il
Tribunale federale
Losanna, 20 febbraio 2015
Nessun Embargo
Comunicato stampa del Tribunale federale
Visita della Corte federale delle finanze tedesca
Il Tribunale federale ha ricevuto giovedì nella sua sede di Losanna la visita di una
delegazione della Corte federale delle finanze tedesca (Bundesfinanzhof). La visita,
che si è protratta sino a venerdì, prevedeva delle riunioni di lavoro focalizzate su
questioni attuali di diritto fiscale.
La Corte federale delle finanze tedesca è stata rappresentata dal suo presidente Rudolf
Mellinghoff e da tre altri membri. La delegazione del Tribunale federale svizzero, dal
canto suo, era composta dal presidente del Tribunale federale Gilbert Kolly, dal
presidente di corte Andreas Zünd e da tre giudici della seconda Corte di diritto pubblico,
responsabile del diritto fiscale, e da due membri del Segretariato generale.
I partecipanti si sono incontrati giovedì e venerdì durante cinque riunioni di lavoro per
discutere di questioni attuali di diritto fiscale. Tra queste figuravano il ruolo della Corte
europea di giustizia, rispettivamente del diritto europeo, nell'ambito del diritto fiscale di
Svizzera e Germania, e la digitalizzazione delle procedure litigiose da parte dei tribunali.
| 3 |
11.5.2_14.6.1_1_2015_yyyy_mm_dd_T_{lang} | Lausanne, 20. Februar 2015
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Besuch des Bundesfinanzhofs Deutschland
Das Bundesgericht hat am Donnerstag an seinem Sitz in Lausanne eine Delegation
des Bundesfinanzhofs Deutschland empfangen. Während dem bis zum Freitag
dauernden Besuch fanden mehrere Arbeitssitzungen statt, in denen vorwiegend
aktuelle steuerrechtliche Fragen besprochen wurden.
Der deutsche Bundesfinanzhof wurde von seinem Präsidenten Rudolf Mellinghoff und
drei weiteren Mitgliedern vertreten. Die Delegation des Bundesgerichts umfasste neben
Bundesgerichtspräsident Gilbert Kolly den Abteilungspräsidenten Andreas Zünd und
drei weitere Richter der für Steuerrecht zuständigen Zweiten öffentlich-rechtlichen
Abteilung sowie zwei Vertreter des Generalsekretariats. Die Teilnehmer trafen sich am
Donnerstag und am Freitag zu fünf Arbeitssitzungen. Schwerpunkt bildeten dabei
aktuelle steuerrechtliche Fragen, unter anderem die Rolle des Europäischen
Gerichtshofs beziehungsweise des Europarechts für Deutschland und die Schweiz im
Bereich des Steuerrechts. Ein weiteres Diskussionsthema betraf die Digitalisierung
gerichtlicher Streitverfahren.
| Lausanne, le 20 février 2015
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Visite de la Cour fédérale des finances allemande
Le Tribunal fédéral a reçu jeudi à son siège de Lausanne une délégation de la Cour
fédérale des finances allemande (Bundesfinanzhof). Durant la visite, qui s'est
conclue vendredi, plusieurs séances de travail ont eu lieu, principalement
consacrées à des questions actuelles de droit fiscal.
La Cour fédérale des finances allemande était représentée par son Président Rudolf
Mellinghoff et trois autres membres. La délégation du Tribunal fédéral était composée
du Président du Tribunal fédéral Gilbert Kolly, du Président de la cour Andreas Zünd et
de trois autres juges de la IIe Cour de droit public, compétente en matière de droit fiscal,
ainsi que de deux représentants du Secrétariat général. Les participants se sont réunis
jeudi et vendredi lors de cinq séances de travail, principalement consacrées à des
questions actuelles de droit fiscal. Parmi les sujets traités figuraient le rôle de la Cour de
Justice Européenne, respectivement du droit européen pour l'Allemagne et la Suisse
dans le domaine du droit fiscal, ainsi que la digitalisation des procédures judiciaires
contentieuses.
| Losanna, 20 febbraio 2015
Comunicato stampa del Tribunale federale
Visita della Corte federale delle finanze tedesca
Il Tribunale federale ha ricevuto giovedì nella sua sede di Losanna la visita di una
delegazione della Corte federale delle finanze tedesca (Bundesfinanzhof). La visita,
che si è protratta sino a venerdì, prevedeva delle riunioni di lavoro focalizzate su
questioni attuali di diritto fiscale.
La Corte federale delle finanze tedesca è stata rappresentata dal suo presidente Rudolf
Mellinghoff e da tre altri membri. La delegazione del Tribunale federale svizzero, dal
canto suo, era composta dal presidente del Tribunale federale Gilbert Kolly, dal
presidente di corte Andreas Zünd e da tre giudici della seconda Corte di diritto pubblico,
responsabile del diritto fiscale, e da due membri del Segretariato generale.
I partecipanti si sono incontrati giovedì e venerdì durante cinque riunioni di lavoro per
discutere di questioni attuali di diritto fiscale. Tra queste figuravano il ruolo della Corte
europea di giustizia, rispettivamente del diritto europeo, nell'ambito del diritto fiscale di
Svizzera e Germania, e la digitalizzazione delle procedure litigiose da parte dei tribunali.
| 3 |
11.5.2_14.6.1_1_2018_yyyy_mm_dd_J_{lang} | An alle akkreditierten Journalisten
des Bundesgerichts
Lausanne, 28. März 2018
Kein Embargo
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Besuch des Bundesverfassungsgerichts Deutschland
Eine Delegation des Bundesverfassungsgerichts Deutschland hat von Montagabend
bis Mittwoch das Schweizerische Bundesgericht an seinem Sitz in Lausanne besucht. In mehreren Arbeitssitzungen wurden aktuelle juristische Themen erörtert.
Von Seiten des Bundesverfassungsgerichts Deutschland nahmen an dem Besuch dessen Präsident Andreas Vosskuhle, vier Richterinnen und Richter sowie der Direktor des
Bundesverfassungsgerichts teil. Die Delegation des Bundesgerichts umfasste neben
Bundesgerichtspräsident Ulrich Meyer und Bundesgerichtsvizepräsidentin Martha
Niquille sechs weitere Richterinnen und Richter und den Generalsekretär des Bundesgerichts.
Die Teilnehmer des Anlasses trafen sich während des Besuchs zu mehreren Arbeitssitzungen, an denen aktuelle juristische Themen erörtert wurden. Besprochen wurden
unter anderem Fragen zum Föderalismus, zur Datenaufbewahrung, zum Umgang des
Staates mit gefährlichen Straftätern sowie zur Schiedsgerichtsbarkeit anstelle staatlicher
Justiz im demokratischen Verfassungsstaat.
| A tous les journalistes accrédités auprès
du Tribunal fédéral
Lausanne, le 28 mars 2018
Pas d'embargo
Communiqué de presse du Tribunal fédéral
Visite de la Cour constitutionnelle fédérale allemande
Une délégation de la Cour constitutionnelle fédérale allemande a rendu visite au
Tribunal fédéral suisse à son siège à Lausanne de lundi soir à mercredi. Des thèmes
juridiques d'actualité ont été débattus lors de plusieurs séances de travail.
Du côté de la Cour constitutionnelle fédérale allemande, ont participé à la visite son
Président Andreas Vosskuhle, quatre juges ainsi que son Directeur. Outre le Président
du Tribunal fédéral Ulrich Meyer et la Vice-présidente Martha Niquille, la délégation du
Tribunal fédéral comprenait six autres juges et le Secrétaire général du Tribunal fédéral.
Durant cette visite, les participants se sont rencontrés lors de plusieurs séances de
travail au cours desquelles des thèmes juridiques d'actualité ont été débattus. Les
discussions ont notamment porté sur des questions en rapport avec le fédéralisme, la
conservation des données, la manière pour l'Etat d'agir avec les délinquants dangereux
ainsi que le recours à l'arbitrage plutôt qu'à la justice étatique dans un Etat constitutionnel démocratique.
| A tutti i giornalisti accreditati presso il
Tribunale federale
Losanna, 28 marzo 2018
Nessun embargo
Comunicato stampa del Tribunale federale
Visita della Corte costituzionale federale tedesca
Una delegazione della Corte costituzionale federale tedesca ha effettuato da lunedì
sera a mercoledì una visita del Tribunale federale svizzero presso la sua sede a
Losanna. Durante diverse sessioni di lavoro sono stati discussi temi giuridici attuali.
All'incontro erano presenti per la Corte costituzionale federale tedesca il suo Presidente
Andreas Vosskuhle, quattro giudici e il suo Direttore. Oltre al Presidente del Tribunale
federale Ulrich Meyer e alla Vicepresidente Martha Niquille, la delegazione del Tribunale
federale era composta da altri sei giudici e dal suo Segretario generale.
Durante la visita i partecipanti all'evento si sono riuniti in diverse sessioni di lavoro dove
sono stati discussi temi giuridici attuali, in particolare questioni concernenti il federalismo, la conservazione dei dati, il modo di agire dello Stato nei confronti dei
delinquenti pericolosi e il ricorso all'arbitrato anziché alla giurisdizione statale in uno
Stato costituzionale democratico.
| 3 |
11.5.2_14.6.1_1_2018_yyyy_mm_dd_T_{lang} | Lausanne, 28. März 2018
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Besuch des Bundesverfassungsgerichts Deutschland
Eine Delegation des Bundesverfassungsgerichts Deutschland hat von Montagabend
bis Mittwoch das Schweizerische Bundesgericht an seinem Sitz in Lausanne besucht. In mehreren Arbeitssitzungen wurden aktuelle juristische Themen erörtert.
Von Seiten des Bundesverfassungsgerichts Deutschland nahmen an dem Besuch dessen Präsident Andreas Vosskuhle, vier Richterinnen und Richter sowie der Direktor des
Bundesverfassungsgerichts teil. Die Delegation des Bundesgerichts umfasste neben
Bundesgerichtspräsident Ulrich Meyer und Bundesgerichtsvizepräsidentin Martha
Niquille sechs weitere Richterinnen und Richter und den Generalsekretär des Bundesgerichts.
Die Teilnehmer des Anlasses trafen sich während des Besuchs zu mehreren Arbeitssitzungen, an denen aktuelle juristische Themen erörtert wurden. Besprochen wurden
unter anderem Fragen zum Föderalismus, zur Datenaufbewahrung, zum Umgang des
Staates mit gefährlichen Straftätern sowie zur Schiedsgerichtsbarkeit anstelle staatlicher
Justiz im demokratischen Verfassungsstaat.
| Lausanne, le 28 mars 2018
Communiqué de presse du Tribunal fédéral
Visite de la Cour constitutionnelle fédérale allemande
Une délégation de la Cour constitutionnelle fédérale allemande a rendu visite au
Tribunal fédéral suisse à son siège à Lausanne de lundi soir à mercredi. Des thèmes
juridiques d'actualité ont été débattus lors de plusieurs séances de travail.
Du côté de la Cour constitutionnelle fédérale allemande, ont participé à la visite son
Président Andreas Vosskuhle, quatre juges ainsi que son Directeur. Outre le Président
du Tribunal fédéral Ulrich Meyer et la Vice-présidente Martha Niquille, la délégation du
Tribunal fédéral comprenait six autres juges et le Secrétaire général du Tribunal fédéral.
Durant cette visite, les participants se sont rencontrés lors de plusieurs séances de
travail au cours desquelles des thèmes juridiques d'actualité ont été débattus. Les
discussions ont notamment porté sur des questions en rapport avec le fédéralisme, la
conservation des données, la manière pour l'Etat d'agir avec les délinquants dangereux
ainsi que le recours à l'arbitrage plutôt qu'à la justice étatique dans un Etat constitutionnel démocratique.
| Losanna, 28 marzo 2018
Comunicato stampa del Tribunale federale
Visita della Corte costituzionale federale tedesca
Una delegazione della Corte costituzionale federale tedesca ha effettuato da lunedì
sera a mercoledì una visita del Tribunale federale svizzero presso la sua sede a
Losanna. Durante diverse sessioni di lavoro sono stati discussi temi giuridici attuali.
All'incontro erano presenti per la Corte costituzionale federale tedesca il suo Presidente
Andreas Vosskuhle, quattro giudici e il suo Direttore. Oltre al Presidente del Tribunale
federale Ulrich Meyer e alla Vicepresidente Martha Niquille, la delegazione del Tribunale
federale era composta da altri sei giudici e dal suo Segretario generale.
Durante la visita i partecipanti all'evento si sono riuniti in diverse sessioni di lavoro dove
sono stati discussi temi giuridici attuali, in particolare questioni concernenti il federalismo, la conservazione dei dati, il modo di agire dello Stato nei confronti dei
delinquenti pericolosi e il ricorso all'arbitrato anziché alla giurisdizione statale in uno
Stato costituzionale democratico.
| 3 |
11.5.2_15.0.0.3_01_2016_yyyy_mm_dd_J_{lang} | An alle akkreditierten Journalisten
des Bundesgerichts
Lausanne, 27. April 2016
Kein Embargo
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Filmaufnahmen zu öffentlichen Urteilsberatungen
Das Bundesgericht stellt künftig Filmaufnahmen zu ausgewählten öffentlichen
Urteilsberatungen zur Verfügung. Gezeigt werden in den mehrminütigen Filmbeiträgen jeweils die Eröffnung der Verhandlung sowie die Verkündung des Urteils. Die
Filmaufnahmen können nach der Beratung auf der Homepage des Bundesgerichts
angeschaut und heruntergeladen werden. Eine erste Filmaufnahme wurde heute Mittwoch veröffentlicht.
Das Bundesgericht wird künftig zu ausgewählten öffentlichen Urteilsberatungen Filmaufnahmen zur Verfügung stellen. Gezeigt wird jeweils die Eröffnung der Verhandlung
unter Nennung des Verfahrensgegenstandes sowie die Verkündung des Urteils am
Ende der Beratung. Nicht aufgenommen wird die eigentliche Diskussion des Falles
durch das Richtergremium, die oft mehrere Stunden dauern kann. Vorgesehen ist, pro
Jahr zu mehreren ausgewählten Beratungen entsprechende Aufnahmen zu machen, die
dann gleichentags auf der Homepage des Bundesgerichts (www.bger.ch) veröffentlicht
werden. Die Beiträge können dort auf der "Medienplattform" unter der Rubrik
"Presse/Aktuelles" angeschaut und heruntergeladen werden. An gleicher Stelle sind
auch Fotografien zur jeweiligen Sitzung verfügbar. Die von einem Filmteam im Auftrag
des Bundesgerichts erstellten Aufnahmen dauern einige Minuten. Ein erster Film wurde
heute Mittwoch 27. April 2016 zur öffentlichen Beratung betreffend die Stimmrechtsbeschwerde im Zusammenhang mit der Teilrevision des Zürcher Richtplans zur
künftigen Nutzung des Flugplatzareals Dübendorf veröffentlicht.
Urteile des Bundesgerichts werden dann in einer öffentlichen Beratung gefällt, wenn die
beteiligten Richter sich nicht einig sind, wenn der Abteilungspräsident dies anordnet
oder wenn ein Richter es verlangt. Nach der Diskussion des Falles wird durch Handerheben abgestimmt. Anschliessend wird das Urteilsdispositiv eröffnet.
| A tous les journalistes accrédités auprès
du Tribunal fédéral
Lausanne, le 27 avril 2016
Pas d'embargo
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Prises de vue lors de séances publiques
A l'avenir, le Tribunal fédéral mettra à disposition des séquences filmées d'une
sélection de délibérations publiques. Ces enregistrements de plusieurs minutes
montreront l'ouverture de l'audience ainsi que le prononcé de la décision. Ils pourront être visionnés et téléchargés après la séance sur le site internet du Tribunal
fédéral. Les images d'un premier tournage ont été publiées aujourd'hui.
A l'avenir, le Tribunal fédéral mettra à disposition des séquences filmées de certaines
délibérations publiques montrant l'ouverture de l'audience qui comprend l'énoncé de
l'objet de la procédure, ainsi que le prononcé de la décision en fin de séance. Cependant, la discussion de l'affaire elle-même entre les juges, qui peut durer plusieurs
heures, ne sera pas enregistrée. Il est prévu de filmer chaque année une sélection de
séances publiques et de les publier le jour même sur le site internet du Tribunal fédéral
(www.tribunal-federal.ch). Les enregistrements pourront être visionnés et téléchargés
sur la « Plateforme des médias » sous la rubrique « Presse/Actualité ». Cette plateforme
comprendra aussi des photos de la séance concernée. Une équipe de tournage mandatée par le Tribunal fédéral réalisera ces séquences de quelques minutes. Un premier
film a été publié aujourd'hui, mercredi 27 avril 2016. Il montre la séance publique portant
sur le recours pour violation du droit de vote dans le cadre de la révision partielle du
plan directeur zurichois concernant l'utilisation future du territoire aéroportuaire de
Dübendorf.
Une affaire est jugée en séance publique lorsqu'il n'y a pas unanimité parmi les juges,
lorsque le président de la cour l'ordonne ou un juge le demande. A l'issue des délibérations les juges votent à main levée. Ensuite, le dispositif de l'arrêt est prononcé.
| A tutti i giornalisti accreditati presso il
Tribunale federale
Losanna, 27 aprile 2016
Nessun embargo
Comunicato stampa del Tribunale federale
Riprese video delle sedute pubbliche
Il Tribunale federale metterà d'ora in poi a disposizione una scelta di riprese video
concernenti delle sedute pubbliche. Le sequenze, della durata di alcuni minuti,
mostreranno l'apertura del dibattimento e la pronuncia della sentenza. Le immagini
potranno essere visionate sul sito internet del Tribunale federale e da esso scaricate.
Le prime riprese video sono state pubblicate oggi.
Il Tribunale federale metterà d'ora in poi a disposizione una scelta di riprese video
concernenti delle sedute pubbliche. Le sequenze mostreranno l'apertura del
dibattimento con l'annuncio dell'oggetto della procedura e la pronuncia della sentenza al
termine della deliberazione. Non verrà, invece, filmata la discussione del caso da parte
del collegio giudicante, che spesso si protrae per diverse ore. Ogni anno saranno
realizzate delle riprese video di diverse sedute pubbliche, le quali saranno pubblicate il
giorno stesso sul sito internet del Tribunale federale (www.tribunale-federale.ch). Tali
sequenze potranno essere visionate e scaricate sull'Hub multimediale della rubrica
"Stampa/Attualità", dove saranno disponibili pure delle fotografie relative alle sedute. Le
riprese saranno effettuate da un team attivo su mandato del Tribunale federale e
dureranno pochi minuti. II primo video è stato pubblicato oggi, mercoledì 27 aprile 2016,
e concerne la seduta pubblica relativa alla revisione parziale del piano direttore per la
futura utilizzazione del campo d'aviazione di Dübendorf.
Le decisioni del Tribunale federale sono pronunciate in occasione di una seduta
pubblica se non vi è unanimità fra i giudici, se lo ordina il presidente della corte oppure
su richiesta di un giudice. Al termine della discussione, i giudici votano per alzata di
mano. Il dispositivo della decisione è notificato successivamente.
| 3 |
11.5.2_15.0.0.3_01_2016_yyyy_mm_dd_T_{lang} | Lausanne, 27. April 2016
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Filmaufnahmen zu öffentlichen Urteilsberatungen
Das Bundesgericht stellt künftig Filmaufnahmen zu ausgewählten öffentlichen
Urteilsberatungen zur Verfügung. Gezeigt werden in den mehrminütigen Filmbeiträgen jeweils die Eröffnung der Verhandlung sowie die Verkündung des Urteils. Die
Filmaufnahmen können nach der Beratung auf der Homepage des Bundesgerichts
angeschaut und heruntergeladen werden. Eine erste Filmaufnahme wurde heute Mittwoch veröffentlicht.
Das Bundesgericht wird künftig zu ausgewählten öffentlichen Urteilsberatungen Filmaufnahmen zur Verfügung stellen. Gezeigt wird jeweils die Eröffnung der Verhandlung
unter Nennung des Verfahrensgegenstandes sowie die Verkündung des Urteils am
Ende der Beratung. Nicht aufgenommen wird die eigentliche Diskussion des Falles
durch das Richtergremium, die oft mehrere Stunden dauern kann. Vorgesehen ist, pro
Jahr zu mehreren ausgewählten Beratungen entsprechende Aufnahmen zu machen, die
dann gleichentags auf der Homepage des Bundesgerichts (www.bger.ch) veröffentlicht
werden. Die Beiträge können dort auf der "Medienplattform" unter der Rubrik
"Presse/Aktuelles" angeschaut und heruntergeladen werden. An gleicher Stelle sind
auch Fotografien zur jeweiligen Sitzung verfügbar. Die von einem Filmteam im Auftrag
des Bundesgerichts erstellten Aufnahmen dauern einige Minuten. Ein erster Film wurde
heute Mittwoch 27. April 2016 zur öffentlichen Beratung betreffend die Stimmrechtsbeschwerde im Zusammenhang mit der Teilrevision des Zürcher Richtplans zur
künftigen Nutzung des Flugplatzareals Dübendorf veröffentlicht.
Urteile des Bundesgerichts werden dann in einer öffentlichen Beratung gefällt, wenn die
beteiligten Richter sich nicht einig sind, wenn der Abteilungspräsident dies anordnet
oder wenn ein Richter es verlangt. Nach der Diskussion des Falles wird durch Handerheben abgestimmt. Anschliessend wird das Urteilsdispositiv eröffnet.
| Lausanne, le 27 avril 2016
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Prises de vue lors de séances publiques
A l'avenir, le Tribunal fédéral mettra à disposition des séquences filmées d'une
sélection de délibérations publiques. Ces enregistrements de plusieurs minutes
montreront l'ouverture de l'audience ainsi que le prononcé de la décision. Ils pourront être visionnés et téléchargés après la séance sur le site internet du Tribunal
fédéral. Les images d'un premier tournage ont été publiées aujourd'hui.
A l'avenir, le Tribunal fédéral mettra à disposition des séquences filmées de certaines
délibérations publiques montrant l'ouverture de l'audience qui comprend l'énoncé de
l'objet de la procédure, ainsi que le prononcé de la décision en fin de séance. Cependant, la discussion de l'affaire elle-même entre les juges, qui peut durer plusieurs
heures, ne sera pas enregistrée. Il est prévu de filmer chaque année une sélection de
séances publiques et de les publier le jour même sur le site internet du Tribunal fédéral
(www.tribunal-federal.ch). Les enregistrements pourront être visionnés et téléchargés
sur la « Plateforme des médias » sous la rubrique « Presse/Actualité ». Cette plateforme
comprendra aussi des photos de la séance concernée. Une équipe de tournage mandatée par le Tribunal fédéral réalisera ces séquences de quelques minutes. Un premier
film a été publié aujourd'hui, mercredi 27 avril 2016. Il montre la séance publique portant
sur le recours pour violation du droit de vote dans le cadre de la révision partielle du
plan directeur zurichois concernant l'utilisation future du territoire aéroportuaire de
Dübendorf.
Une affaire est jugée en séance publique lorsqu'il n'y a pas unanimité parmi les juges,
lorsque le président de la cour l'ordonne ou un juge le demande. A l'issue des délibérations les juges votent à main levée. Ensuite, le dispositif de l'arrêt est prononcé.
| Losanna, 27 aprile 2016
Comunicato stampa del Tribunale federale
Riprese video delle sedute pubbliche
Il Tribunale federale metterà d'ora in poi a disposizione una scelta di riprese video
concernenti delle sedute pubbliche. Le sequenze, della durata di alcuni minuti,
mostreranno l'apertura del dibattimento e la pronuncia della sentenza. Le immagini
potranno essere visionate sul sito internet del Tribunale federale e da esso scaricate.
Le prime riprese video sono state pubblicate oggi.
Il Tribunale federale metterà d'ora in poi a disposizione una scelta di riprese video
concernenti delle sedute pubbliche. Le sequenze mostreranno l'apertura del
dibattimento con l'annuncio dell'oggetto della procedura e la pronuncia della sentenza al
termine della deliberazione. Non verrà, invece, filmata la discussione del caso da parte
del collegio giudicante, che spesso si protrae per diverse ore. Ogni anno saranno
realizzate delle riprese video di diverse sedute pubbliche, le quali saranno pubblicate il
giorno stesso sul sito internet del Tribunale federale (www.tribunale-federale.ch). Tali
sequenze potranno essere visionate e scaricate sull'Hub multimediale della rubrica
"Stampa/Attualità", dove saranno disponibili pure delle fotografie relative alle sedute. Le
riprese saranno effettuate da un team attivo su mandato del Tribunale federale e
dureranno pochi minuti. II primo video è stato pubblicato oggi, mercoledì 27 aprile 2016,
e concerne la seduta pubblica relativa alla revisione parziale del piano direttore per la
futura utilizzazione del campo d'aviazione di Dübendorf.
Le decisioni del Tribunale federale sono pronunciate in occasione di una seduta
pubblica se non vi è unanimità fra i giudici, se lo ordina il presidente della corte oppure
su richiesta di un giudice. Al termine della discussione, i giudici votano per alzata di
mano. Il dispositivo della decisione è notificato successivamente.
| 3 |
11.5.2_33.1.8_yyyy_mm_dd_J_{lang} | An alle akkreditierten Journalisten
des Bundesgerichts
Lausanne, 23. Oktober 2014
Kein Embargo
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Gutachten zur Zulässigkeit des Projekts OpenJustitia
Das Bundesgericht reagiert auf das Gutachten zur Freigabe von Informatiklösungen
der Bundesverwaltung als Open-Source-Software. Das Gericht ergreift Massnahmen
zu den im Gutachten geäusserten Vorbehalten bei der kostenlosen Nutzung seiner
Gerichtssoftware OpenJustitia durch die Kantone.
OpenJustitia ist ein Paket gerichtsspezifischer Software, die auf Open-SourceKomponenten aufbaut. Die Anwendungen wurden vom Bundesgericht ab 2006 mangels
geeigneter Marktangebote selber entwickelt und fortlaufend den Bedürfnissen des
Gerichts angepasst. Seit September 2011 wurde das OpenJustitia-Paket vom Bundesgericht im Rahmen der Grundsätze von Open-Source interessierten Nutzern kostenlos
zur Verfügung gestellt. Aktuell gehören 18 Mitglieder zur OpenJustitia-Community,
wobei fast ausschliesslich eine Nutzung durch Gerichte in Betracht fällt. Die unentgeltliche Weitergabe von OpenJustitia ist geeignet, die Informatik-Kosten der öffentlichen
Hand zu senken und den Steuerzahler zu entlasten. Das Bundesgericht kann seinerseits von den Weiterentwicklungen anderer Teilnehmer profitieren.
Auf eine Interpellation hin entschied der Bundesrat im Februar 2013, ein juristisches
Gutachten zur Zulässigkeit der Freigabe von Informatiklösungen der Bundesverwaltung
als Open-Source-Software erstellen zu lassen, mit spezifischen Fragen betreffend
OpenJustitia. Das nun veröffentlichte Gutachten von Prof. Dr. iur Georg Müller und
PD Dr. iur. Stefan Vogel kommt unter anderem zum Schluss, dass ein Zusammenwirken
des Bundesgerichts mit kantonalen Gerichten im Rahmen einer Open-SourceCommunity möglich ist, aber einer gesetzlichen Grundlage bedarf. Der Einbezug von
Privaten in Open-Source-Projekte des Bundesgerichts ist gemäss dem Gutachten
problematisch und grundsätzlich unzulässig.
Bei seinem Entscheid zur Freigabe von OpenJustitia im Rahmen einer Open-SourceCommunity ging das Bundesgericht davon aus, dass dieser Schritt mit den geltenden
rechtlichen Bestimmungen vereinbar ist. Insbesondere vertrat es die Auffassung, dass
es bei der kostenlosen Öffnung des Zugangs zur OpenJustita-Software nicht gewerblich
tätig ist und dass das OpenJustitia-Projekt dem im Finanzhaushaltgesetz festgelegten
Grundsatz entspricht, wonach der Bund für einen wirksamen und wirtschaftlichen Einsatz der Mittel zu sorgen hat 1. Zudem stützte es seinen Freigabe-Entscheid auf die
E-Government-Strategie des Bundesrates 2 und die entsprechende öffentlich-rechtliche
Rahmenvereinbarung zwischen Bund und Kantonen 3 ab, gemäss denen der "Mehrfachnutzung von Daten und Leistungen" eine zentrale Bedeutung zukommt.
Das Bundesgericht nimmt zur Kenntnis, dass das Gutachten teilweise zu gegenteiligen
Schlüssen kommt, die vom Gericht vorgesehene Open-Source-Nutzung von
OpenJustitia im Rahmen der im Gutachten formulierten Kriterien aber nicht ausschliesst.
Das Bundesgericht wird eine Standortbestimmung vornehmen und den Subkommissionen Gerichte/BA der Geschäftsprüfungskommissionen bis 22. Dezember 2014
Bericht erstatten. Was die aktuelle Nutzung von OpenJustitia im Rahmen der OpenSource-Community betrifft, handelt es sich dabei ausschliesslich um die Verwendung
durch kantonale Gerichte oder im Auftrag von kantonalen Gerichten. Dem im Gutachten
gemachten Vorbehalt der fehlenden gesetzlichen Grundlage trägt das Bundesgericht
insofern Rechnung, als es vorerst keine Weiterentwicklungen allgemein zugänglich
veröffentlicht. Es wird allenfalls Sache des Parlaments sein, über die Schaffung der
gesetzlichen Grundlage zu entscheiden. Soweit das Gutachten bei Leistungsbeziehungen zwischen dem Bundesgericht und Dritten gewisse Bedenken hinsichtlich der
Unabhängigkeit der Justiz formuliert, wird das Bundesgericht den massgebenden
Grundsätzen weiterhin vorbehaltlos Rechnung tragen.
| A tous les journalistes accrédités auprès
du Tribunal fédéral
Lausanne, le 23 octobre 2014
Pas d'embargo
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Expertise relative à l'admissibilité du projet OpenJustitia
Le Tribunal fédéral se prononce sur l'expertise relative à la mise à disposition de
solutions informatiques de l'administration fédérale comme logiciels libres. Le
Tribunal prend des mesures pour donner suite aux réserves exprimées dans
l'expertise relative à l'utilisation gratuite par les cantons de son logiciel pour
tribunaux OpenJustitia.
OpenJustitia est un ensemble de logiciels spécifiques pour tribunaux basés sur des
composants open source. Le Tribunal fédéral les a développés lui-même à partir de
2006 en raison de l'absence de produits appropriés disponibles sur le marché, puis les a
adaptés à ses besoins. Depuis septembre 2011, les modules OpenJustitia du Tribunal
fédéral sont mis à disposition gratuitement des utilisateurs intéressés dans le respect
des règles régissant les logiciels libres. Actuellement la communauté OpenJustitia
compte 18 membres; ce sont presque exclusivement des tribunaux qui ont utilisé des
modules de ce logiciel libre. La remise gratuite d'OpenJustitia constitue un moyen
approprié pour réduire les coûts informatiques des pouvoirs publics et pour diminuer la
charge fiscale pesant sur les contribuables. De son côté, le Tribunal fédéral peut profiter
des nouveaux développements effectués par d'autres participants de la communauté.
Pour donner suite à une interpellation, le Conseil fédéral a décidé en février 2013 de
faire établir une expertise juridique sur l'admissibilité de la mise à disposition de
solutions informatiques par l'administration fédérale comme logiciels libres; le mandat
d'expertise contenait aussi des questions spécifiques relatives à OpenJustitia.
L'expertise, publiée aujourd'hui, des Professeurs Georg Müller et Stefan Vogel conclut
notamment qu'une collaboration du Tribunal fédéral avec les tribunaux cantonaux est
possible dans le cadre d'une communauté open source; cependant elle doit reposer sur
une base légale. L'intégration d'entreprises privées dans les projets open source du
Tribunal fédéral est, selon l'expertise, problématique et n'est en principe pas admissible.
Lorsque le Tribunal fédéral avait décidé de mettre à disposition les modules
OpenJustitia dans le cadre d'une communauté open source, il était d'avis que cette
façon de faire était conforme aux dispositions légales en vigueur. En particulier, il avait
estimé qu'il n’exerçait aucune activité commerciale par la mise à disposition gratuite du
logiciel OpenJustitia et que le projet OpenJustitia respectait les principes de la loi sur les
finances de la Confédération selon laquelle la Confédération veille à un emploi efficace
et autonome des fonds 1. En outre, il avait fondé sa décision de mise à disposition du
logiciel libre sur la Stratégie suisse de Cyberadministration ( « E-Government ») du
Conseil fédéral2 ainsi que sur la Convention-cadre de droit public entre la Confédération
et les cantons3 y relative préconisant « une utilisation multiple » des données et des
prestations.
Le Tribunal fédéral prend acte que l'expertise aboutit partiellement à des conclusions
inverses, mais qu'elle n’exclut pas l'utilisation des logiciels libres OpenJustitia telle que
prévue par le Tribunal dans les limites décrites dans l'expertise. Le Tribunal fédéral va
apprécier la situation et rendre un rapport aux sous-commissions tribunaux/Ministère
public des commissions de gestion d'ici au 22 décembre 2014. Actuellement, au sein de
la communauté open source, des modules OpenJustitia sont utilisés exclusivement par
des tribunaux cantonaux ou des entreprises mandatées par eux. Le Tribunal fédéral
prend en considération les réserves relatives à l'absence de base légale formulées dans
l'expertise et renonce provisoirement à donner un accès public aux nouveaux
développements du logiciel. Le cas échéant, il incombera au Parlement de se prononcer
sur l'adoption d'une base légale. En ce qui concerne certaines réserves, mentionnées
dans l'expertise, en relation avec l’indépendance de la justice concernant des
prestations entre le Tribunal et des tiers, le Tribunal fédéral va continuer de se
conformer pleinement aux principes énoncés.
| A tutti i giornalisti accreditati presso il
Tribunale federale
Losanna, 23 ottobre 2014
Nessun Embargo
Comunicato stampa del Tribunale federale
Perizia concernente l'ammissibilità del progetto OpenJustitia
Il Tribunale federale si pronuncia in merito alla perizia concernente la messa a
disposizione di soluzioni informatiche dell'Amministrazione federale quali
programmi open source. Il Tribunale prende delle misure a seguito delle riserve
espresse nella perizia in merito all'utilizzazione gratuita da parte dei Cantoni del suo
programma per tribunale OpenJustitia.
OpenJustitia è un insieme di programmi informatici specificatamente sviluppati per le
esigenze dei tribunali sulla base di componenti open source. Il Tribunale federale ha
iniziato a sviluppare questi programmi a partire dal 2006 a causa della mancanza sul
mercato di tali prodotti. In seguito, il Tribunale ha adattato nel tempo questi programmi
per rispondere ai propri bisogni. Da settembre 2011, l'insieme dei programmi informatici
OpenJustitia è gratuitamente a disposizione degli utilizzatori interessati al loro impiego
nel rispetto dei principi open source. La comunità open source è attualmente composta
da 18 membri, fra i quali si contano quasi esclusivamente dei tribunali. La trasmissione
gratuita di OpenJustitia rappresenta un mezzo appropriato per ridurre i costi informatici
del potere pubblico e diminuire il carico fiscale del contribuente. Da parte sua, il
Tribunale federale può approfittare degli sviluppi apportati ai programmi dagli altri
membri della comunità.
Dando seguito ad un'interpellanza, nel corso del mese di febbraio 2013 il Consiglio
federale ha chiesto l'allestimento di una perizia giuridica sull'ammissibilità della messa a
disposizione di soluzioni informatiche dell'Amministrazione federale quali programmi
open source. Tale mandato peritale conteneva specifiche domande concernenti
OpenJustitia. La perizia allestita dai professori Georg Müller e Stefan Vogel appena
pubblicata giunge, fra l'altro, alla conclusione che una collaborazione del Tribunale
federale con i tribunali cantonali nell'ambito di una comunità open source è possibile,
ma deve poggiare su di una base legale. La partecipazione di privati a progetti open
source del Tribunale federale è, secondo la medesima perizia, problematica e di
principio inammissibile.
Quando ha deciso di mettere a disposizione della comunità open source i suoi
programmi informatici OpenJustitia, il Tribunale federale credeva nella compatibilità del
suo agire con le disposizioni legali vigenti. Il Tribunale era segnatamente d'avviso che la
messa a disposizione gratuita dei programmi OpenJustitia non costituiva alcuna attività
commerciale e che tale progetto era conforme al principio enunciato nella legge federale
sulle finanze della Confederazione che prevede un impiego efficace ed economico dei
fondi1. Inoltre, il Tribunale federale aveva preso questa decisione fondandosi sulla
strategia di e-government Svizzera del Consiglio federale 2 e sulla convenzione quadro
di diritto pubblico fra la Confederazione e i Cantoni 3, le quali prevedono una "molteplice
utilizzazione" dei dati e delle prestazioni.
Il Tribunale federale constata che la perizia esperita giunge a conclusioni parzialmente
contrarie, ma che non esclude, nel rispetto dei criteri enunciati nella stessa, la prevista
utilizzazione open source dell'insieme dei programmi OpenJustitia. Il Tribunale federale
analizzerà la situazione e consegnerà un rapporto all'attenzione delle sottocommissioni
Tribunali/MPC delle commissioni della gestione entro il 22 dicembre 2014. Par quanto
riguarda l'attuale utilizzazione di OpenJustitia da parte della comunità open source, tali
programmi sono esclusivamente utilizzati da tribunali cantonali o da ditte attive su loro
mandato. In considerazione della riserva concernente l'assenza di una base legale
contenuta nella perizia, il Tribunale federale decide di rinunciare, per il momento, alla
messa a disposizione di terzi di ulteriori sviluppi dei propri programmi. Se del caso,
incomberà al Parlamento pronunciarsi sull'adozione di una base legale. Per quanto
riguarda le riserve formulate nella perizia in merito all'indipendenza della giustizia in
relazione ai rapporti di prestazione intrattenuti dal Tribunale federale con terzi, il
Tribunale continuerà ad attenersi scrupolosamente ai principi enunciati.
| 3 |
11.5.2_33.1.8_yyyy_mm_dd_T_{lang} | Lausanne, 23. Oktober 2014
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Gutachten zur Zulässigkeit des Projekts OpenJustitia
Das Bundesgericht reagiert auf das Gutachten zur Freigabe von Informatiklösungen
der Bundesverwaltung als Open-Source-Software. Das Gericht ergreift Massnahmen
zu den im Gutachten geäusserten Vorbehalten bei der kostenlosen Nutzung seiner
Gerichtssoftware OpenJustitia durch die Kantone.
OpenJustitia ist ein Paket gerichtsspezifischer Software, die auf Open-SourceKomponenten aufbaut. Die Anwendungen wurden vom Bundesgericht ab 2006 mangels
geeigneter Marktangebote selber entwickelt und fortlaufend den Bedürfnissen des
Gerichts angepasst. Seit September 2011 wurde das OpenJustitia-Paket vom Bundesgericht im Rahmen der Grundsätze von Open-Source interessierten Nutzern kostenlos
zur Verfügung gestellt. Aktuell gehören 18 Mitglieder zur OpenJustitia-Community,
wobei fast ausschliesslich eine Nutzung durch Gerichte in Betracht fällt. Die unentgeltliche Weitergabe von OpenJustitia ist geeignet, die Informatik-Kosten der öffentlichen
Hand zu senken und den Steuerzahler zu entlasten. Das Bundesgericht kann seinerseits von den Weiterentwicklungen anderer Teilnehmer profitieren.
Auf eine Interpellation hin entschied der Bundesrat im Februar 2013, ein juristisches
Gutachten zur Zulässigkeit der Freigabe von Informatiklösungen der Bundesverwaltung
als Open-Source-Software erstellen zu lassen, mit spezifischen Fragen betreffend
OpenJustitia. Das nun veröffentlichte Gutachten von Prof. Dr. iur Georg Müller und
PD Dr. iur. Stefan Vogel kommt unter anderem zum Schluss, dass ein Zusammenwirken
des Bundesgerichts mit kantonalen Gerichten im Rahmen einer Open-SourceCommunity möglich ist, aber einer gesetzlichen Grundlage bedarf. Der Einbezug von
Privaten in Open-Source-Projekte des Bundesgerichts ist gemäss dem Gutachten
problematisch und grundsätzlich unzulässig.
Bei seinem Entscheid zur Freigabe von OpenJustitia im Rahmen einer Open-SourceCommunity ging das Bundesgericht davon aus, dass dieser Schritt mit den geltenden
rechtlichen Bestimmungen vereinbar ist. Insbesondere vertrat es die Auffassung, dass
es bei der kostenlosen Öffnung des Zugangs zur OpenJustita-Software nicht gewerblich
tätig ist und dass das OpenJustitia-Projekt dem im Finanzhaushaltgesetz festgelegten
Grundsatz entspricht, wonach der Bund für einen wirksamen und wirtschaftlichen Einsatz der Mittel zu sorgen hat 1. Zudem stützte es seinen Freigabe-Entscheid auf die
E-Government-Strategie des Bundesrates 2 und die entsprechende öffentlich-rechtliche
Rahmenvereinbarung zwischen Bund und Kantonen 3 ab, gemäss denen der "Mehrfachnutzung von Daten und Leistungen" eine zentrale Bedeutung zukommt.
Das Bundesgericht nimmt zur Kenntnis, dass das Gutachten teilweise zu gegenteiligen
Schlüssen kommt, die vom Gericht vorgesehene Open-Source-Nutzung von
OpenJustitia im Rahmen der im Gutachten formulierten Kriterien aber nicht ausschliesst.
Das Bundesgericht wird eine Standortbestimmung vornehmen und den Subkommissionen Gerichte/BA der Geschäftsprüfungskommissionen bis 22. Dezember 2014
Bericht erstatten. Was die aktuelle Nutzung von OpenJustitia im Rahmen der OpenSource-Community betrifft, handelt es sich dabei ausschliesslich um die Verwendung
durch kantonale Gerichte oder im Auftrag von kantonalen Gerichten. Dem im Gutachten
gemachten Vorbehalt der fehlenden gesetzlichen Grundlage trägt das Bundesgericht
insofern Rechnung, als es vorerst keine Weiterentwicklungen allgemein zugänglich
veröffentlicht. Es wird allenfalls Sache des Parlaments sein, über die Schaffung der
gesetzlichen Grundlage zu entscheiden. Soweit das Gutachten bei Leistungsbeziehungen zwischen dem Bundesgericht und Dritten gewisse Bedenken hinsichtlich der
Unabhängigkeit der Justiz formuliert, wird das Bundesgericht den massgebenden
Grundsätzen weiterhin vorbehaltlos Rechnung tragen.
| Lausanne, le 23 octobre 2014
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Expertise relative à l'admissibilité du projet OpenJustitia
Le Tribunal fédéral se prononce sur l'expertise relative à la mise à disposition de
solutions informatiques de l'administration fédérale comme logiciels libres. Le
Tribunal prend des mesures pour donner suite aux réserves exprimées dans
l'expertise relative à l'utilisation gratuite par les cantons de son logiciel pour
tribunaux OpenJustitia.
OpenJustitia est un ensemble de logiciels spécifiques pour tribunaux basés sur des
composants open source. Le Tribunal fédéral les a développés lui-même à partir de
2006 en raison de l'absence de produits appropriés disponibles sur le marché, puis les a
adaptés à ses besoins. Depuis septembre 2011, les modules OpenJustitia du Tribunal
fédéral sont mis à disposition gratuitement des utilisateurs intéressés dans le respect
des règles régissant les logiciels libres. Actuellement la communauté OpenJustitia
compte 18 membres; ce sont presque exclusivement des tribunaux qui ont utilisé des
modules de ce logiciel libre. La remise gratuite d'OpenJustitia constitue un moyen
approprié pour réduire les coûts informatiques des pouvoirs publics et pour diminuer la
charge fiscale pesant sur les contribuables. De son côté, le Tribunal fédéral peut profiter
des nouveaux développements effectués par d'autres participants de la communauté.
Pour donner suite à une interpellation, le Conseil fédéral a décidé en février 2013 de
faire établir une expertise juridique sur l'admissibilité de la mise à disposition de
solutions informatiques par l'administration fédérale comme logiciels libres; le mandat
d'expertise contenait aussi des questions spécifiques relatives à OpenJustitia.
L'expertise, publiée aujourd'hui, des Professeurs Georg Müller et Stefan Vogel conclut
notamment qu'une collaboration du Tribunal fédéral avec les tribunaux cantonaux est
possible dans le cadre d'une communauté open source; cependant elle doit reposer sur
une base légale. L'intégration d'entreprises privées dans les projets open source du
Tribunal fédéral est, selon l'expertise, problématique et n'est en principe pas admissible.
Lorsque le Tribunal fédéral avait décidé de mettre à disposition les modules
OpenJustitia dans le cadre d'une communauté open source, il était d'avis que cette
façon de faire était conforme aux dispositions légales en vigueur. En particulier, il avait
estimé qu'il n’exerçait aucune activité commerciale par la mise à disposition gratuite du
logiciel OpenJustitia et que le projet OpenJustitia respectait les principes de la loi sur les
finances de la Confédération selon laquelle la Confédération veille à un emploi efficace
et autonome des fonds 1. En outre, il avait fondé sa décision de mise à disposition du
logiciel libre sur la Stratégie suisse de Cyberadministration ( « E-Government ») du
Conseil fédéral2 ainsi que sur la Convention-cadre de droit public entre la Confédération
et les cantons3 y relative préconisant « une utilisation multiple » des données et des
prestations.
Le Tribunal fédéral prend acte que l'expertise aboutit partiellement à des conclusions
inverses, mais qu'elle n’exclut pas l'utilisation des logiciels libres OpenJustitia telle que
prévue par le Tribunal dans les limites décrites dans l'expertise. Le Tribunal fédéral va
apprécier la situation et rendre un rapport aux sous-commissions tribunaux/Ministère
public des commissions de gestion d'ici au 22 décembre 2014. Actuellement, au sein de
la communauté open source, des modules OpenJustitia sont utilisés exclusivement par
des tribunaux cantonaux ou des entreprises mandatées par eux. Le Tribunal fédéral
prend en considération les réserves relatives à l'absence de base légale formulées dans
l'expertise et renonce provisoirement à donner un accès public aux nouveaux
développements du logiciel. Le cas échéant, il incombera au Parlement de se prononcer
sur l'adoption d'une base légale. En ce qui concerne certaines réserves, mentionnées
dans l'expertise, en relation avec l’indépendance de la justice concernant des
prestations entre le Tribunal et des tiers, le Tribunal fédéral va continuer de se
conformer pleinement aux principes énoncés.
| Losanna, 23 ottobre 2014
Comunicato stampa del Tribunale federale
Perizia concernente l'ammissibilità del progetto OpenJustitia
Il Tribunale federale si pronuncia in merito alla perizia concernente la messa a
disposizione di soluzioni informatiche dell'Amministrazione federale quali
programmi open source. Il Tribunale prende delle misure a seguito delle riserve
espresse nella perizia in merito all'utilizzazione gratuita da parte dei Cantoni del suo
programma per tribunale OpenJustitia.
OpenJustitia è un insieme di programmi informatici specificatamente sviluppati per le
esigenze dei tribunali sulla base di componenti open source. Il Tribunale federale ha
iniziato a sviluppare questi programmi a partire dal 2006 a causa della mancanza sul
mercato di tali prodotti. In seguito, il Tribunale ha adattato nel tempo questi programmi
per rispondere ai propri bisogni. Da settembre 2011, l'insieme dei programmi informatici
OpenJustitia è gratuitamente a disposizione degli utilizzatori interessati al loro impiego
nel rispetto dei principi open source. La comunità open source è attualmente composta
da 18 membri, fra i quali si contano quasi esclusivamente dei tribunali. La trasmissione
gratuita di OpenJustitia rappresenta un mezzo appropriato per ridurre i costi informatici
del potere pubblico e diminuire il carico fiscale del contribuente. Da parte sua, il
Tribunale federale può approfittare degli sviluppi apportati ai programmi dagli altri
membri della comunità.
Dando seguito ad un'interpellanza, nel corso del mese di febbraio 2013 il Consiglio
federale ha chiesto l'allestimento di una perizia giuridica sull'ammissibilità della messa a
disposizione di soluzioni informatiche dell'Amministrazione federale quali programmi
open source. Tale mandato peritale conteneva specifiche domande concernenti
OpenJustitia. La perizia allestita dai professori Georg Müller e Stefan Vogel appena
pubblicata giunge, fra l'altro, alla conclusione che una collaborazione del Tribunale
federale con i tribunali cantonali nell'ambito di una comunità open source è possibile,
ma deve poggiare su di una base legale. La partecipazione di privati a progetti open
source del Tribunale federale è, secondo la medesima perizia, problematica e di
principio inammissibile.
Quando ha deciso di mettere a disposizione della comunità open source i suoi
programmi informatici OpenJustitia, il Tribunale federale credeva nella compatibilità del
suo agire con le disposizioni legali vigenti. Il Tribunale era segnatamente d'avviso che la
messa a disposizione gratuita dei programmi OpenJustitia non costituiva alcuna attività
commerciale e che tale progetto era conforme al principio enunciato nella legge federale
sulle finanze della Confederazione che prevede un impiego efficace ed economico dei
fondi1. Inoltre, il Tribunale federale aveva preso questa decisione fondandosi sulla
strategia di e-government Svizzera del Consiglio federale 2 e sulla convenzione quadro
di diritto pubblico fra la Confederazione e i Cantoni 3, le quali prevedono una "molteplice
utilizzazione" dei dati e delle prestazioni.
Il Tribunale federale constata che la perizia esperita giunge a conclusioni parzialmente
contrarie, ma che non esclude, nel rispetto dei criteri enunciati nella stessa, la prevista
utilizzazione open source dell'insieme dei programmi OpenJustitia. Il Tribunale federale
analizzerà la situazione e consegnerà un rapporto all'attenzione delle sottocommissioni
Tribunali/MPC delle commissioni della gestione entro il 22 dicembre 2014. Par quanto
riguarda l'attuale utilizzazione di OpenJustitia da parte della comunità open source, tali
programmi sono esclusivamente utilizzati da tribunali cantonali o da ditte attive su loro
mandato. In considerazione della riserva concernente l'assenza di una base legale
contenuta nella perizia, il Tribunale federale decide di rinunciare, per il momento, alla
messa a disposizione di terzi di ulteriori sviluppi dei propri programmi. Se del caso,
incomberà al Parlamento pronunciarsi sull'adozione di una base legale. Per quanto
riguarda le riserve formulate nella perizia in merito all'indipendenza della giustizia in
relazione ai rapporti di prestazione intrattenuti dal Tribunale federale con terzi, il
Tribunale continuerà ad attenersi scrupolosamente ai principi enunciati.
| 3 |
11.5.2_39_2015_yyyy_mm_dd_J_{lang} | An alle akkreditierten Journalisten
des Bundesgerichts
Lausanne, 8. Oktober 2015
Kein Embargo
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Auszugsweise französische Übersetzung des Grundsatzurteils zur
somatoformen Schmerzstörung und zu vergleichbaren psychosomatischen Leiden in der IV
Das Bundesgericht stellt sein Grundsatzurteil vom vergangenen Juni betreffend die
Beurteilung des Anspruchs auf eine Invalidenrente bei somatoformer Schmerzstörung und vergleichbaren psychosomatischen Leiden auszugsweise in französischer Übersetzung zur Verfügung.
Mit seinem Urteil 9C_492/2014 vom 3. Juni 2015 hatte das Bundesgericht seine Praxis
zur Beurteilung des Anspruchs auf eine Invalidenrente wegen somatoformer Schmerzstörungen und vergleichbarer psychosomatischer Leiden angepasst. Über den
Entscheid informierte das Bundesgericht die Öffentlichkeit am 17. Juni 2015 mit einer
Medienmitteilung in Deutsch und Französisch. Die zuständige Abteilung des Bundesgerichts hat aufgrund der besonderen Bedeutung des in deutsch verfassten Urteils
entschieden, Interessierten die wesentlichen Erwägungen des Entscheides selber in
einer französischen Übersetzung zur Verfügung zu stellen. Der französische Text kann
auf der Homepage des Bundesgerichts ( www.bger.ch ) in der Rubrik "Presse / Aktuelles"
/ "Medienmitteilungen" unter dem Datum 08.10.2015 zusammen mit der vorliegenden
Medienmitteilung abgerufen werden. Die französische Übersetzung ist ein nichtamtliches Dokument. Als massgebliches Urteil gilt ausschliesslich der deutsche Wortlaut
der amtlichen und publizierten Fassung. Diese ist auf der Webseite des Bundesgerichts
(www.bger.ch ) in der Rubrik "Rechtsprechung (gratis)"/"Weitere Urteile ab 2000" unter
Eingabe der Urteilsreferenz 9C_492/2014 zu finden.
| A tous les journalistes accrédités auprès
du Tribunal fédéral
Lausanne, le 8 octobre 2015
Pas d'embargo
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Traduction en français des extraits de l'arrêt de principe sur les
troubles somatoformes douloureux et les troubles psychosomatiques comparables dans l'AI
Le Tribunal fédéral met à disposition une traduction en français d'extraits de son
arrêt de principe de juin 2015 sur l'évaluation du droit à une rente de l'assuranceinvalidité en cas de troubles somatoformes douloureux et de troubles
psychosomatiques com parables.
Avec l'arrêt 9C_492/2014 du 3 juin 2015, le Tribunal fédéral a adapté sa jurisprudence
sur l'évaluation du droit à une rente d'invalidité en cas de troubles somatoformes
douloureux et de troubles psychosomatiques analogues. Le 17 juin 2015, le Tribunal
fédéral a informé le public de son arrêt par un communiqué de presse en allemand et en
français. En raison de l'importance particulière de l'arrêt rédigé en allemand, la Cour
compétente du Tribunal fédéral a décidé de mettre à disposition des personnes
intéressées sa propre traduction des considérants essentiels de la décision. Le texte
français peut être consulté sur le site Internet du Tribunal fédéral ( www.tribunalfederal.ch ) sous la rubrique "Presse/Actualité"/"Communiqués aux médias" sous la date
08.10.2015, avec le présent communiqué de presse. La traduction française n'est pas
un document officiel. Seule la version en allemand officielle et publiée de l'arrêt est
déterminante; cette version peut être consultée sur le site Internet du Tribunal fédéral
(www.tribunal-federal.ch ) sous la rubrique "Jurisprudence (gratuit)"/"Autres arrêts dès
2000" en introduisant la référence de l'arrêt 9C_492/2014.
| 2 |
|
11.5.2_39_2015_yyyy_mm_dd_T_{lang} | Lausanne, 8. Oktober 2015
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Auszugsweise französische Übersetzung des Grundsatzurteils zur
somatoformen Schmerzstörung und zu vergleichbaren psychosomatischen Leiden in der IV
Das Bundesgericht stellt sein Grundsatzurteil vom vergangenen Juni betreffend die
Beurteilung des Anspruchs auf eine Invalidenrente bei somatoformer Schmerzstörung und vergleichbaren psychosomatischen Leiden auszugsweise in französischer Übersetzung zur Verfügung.
Mit seinem Urteil 9C_492/2014 vom 3. Juni 2015 hatte das Bundesgericht seine Praxis
zur Beurteilung des Anspruchs auf eine Invalidenrente wegen somatoformer Schmerzstörungen und vergleichbarer psychosomatischer Leiden angepasst. Über den
Entscheid informierte das Bundesgericht die Öffentlichkeit am 17. Juni 2015 mit einer
Medienmitteilung in Deutsch und Französisch. Die zuständige Abteilung des Bundesgerichts hat aufgrund der besonderen Bedeutung des in deutsch verfassten Urteils
entschieden, Interessierten die wesentlichen Erwägungen des Entscheides selber in
einer französischen Übersetzung zur Verfügung zu stellen. Der französische Text kann
auf der Homepage des Bundesgerichts ( www.bger.ch ) in der Rubrik "Presse / Aktuelles"
/ "Medienmitteilungen" unter dem Datum 08.10.2015 zusammen mit der vorliegenden
Medienmitteilung abgerufen werden. Die französische Übersetzung ist ein nichtamtliches Dokument. Als massgebliches Urteil gilt ausschliesslich der deutsche Wortlaut
der amtlichen und publizierten Fassung. Diese ist auf der Webseite des Bundesgerichts
(www.bger.ch ) in der Rubrik "Rechtsprechung (gratis)"/"Weitere Urteile ab 2000" unter
Eingabe der Urteilsreferenz 9C_492/2014 zu finden.
| Lausanne, le 8 octobre 2015
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Traduction en français des extraits de l'arrêt de principe sur les
troubles somatoformes douloureux et les troubles psychosomatiques comparables dans l'AI
Le Tribunal fédéral met à disposition une traduction en français d'extraits de son
arrêt de principe de juin 2015 sur l'évaluation du droit à une rente de l'assuranceinvalidité en cas de troubles somatoformes douloureux et de troubles
psychosomatiques com parables.
Avec l'arrêt 9C_492/2014 du 3 juin 2015, le Tribunal fédéral a adapté sa jurisprudence
sur l'évaluation du droit à une rente d'invalidité en cas de troubles somatoformes
douloureux et de troubles psychosomatiques analogues. Le 17 juin 2015, le Tribunal
fédéral a informé le public de son arrêt par un communiqué de presse en allemand et en
français. En raison de l'importance particulière de l'arrêt rédigé en allemand, la Cour
compétente du Tribunal fédéral a décidé de mettre à disposition des personnes
intéressées sa propre traduction des considérants essentiels de la décision. Le texte
français peut être consulté sur le site Internet du Tribunal fédéral ( www.tribunalfederal.ch ) sous la rubrique "Presse/Actualité"/"Communiqués aux médias" sous la date
08.10.2015, avec le présent communiqué de presse. La traduction française n'est pas
un document officiel. Seule la version en allemand officielle et publiée de l'arrêt est
déterminante; cette version peut être consultée sur le site Internet du Tribunal fédéral
(www.tribunal-federal.ch ) sous la rubrique "Jurisprudence (gratuit)"/"Autres arrêts dès
2000" en introduisant la référence de l'arrêt 9C_492/2014.
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11.5.2_5.1_yyyy_mm_dd_J_{lang} | An alle akkreditierten Journalisten
des Bundesgerichts
Lausanne, 20. März 2014
Kein Embargo
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Vorschläge zur Anpassung des Bundesgerichtsgesetzes
Das Bundesgericht schlägt im Rahmen der laufenden Bestrebungen zur Anpassung
des Bundesgerichtsgesetzes vor, Massnahmen zur Stärkung seiner verfassungsmässigen Rolle als oberstes Gericht zu treffen. Die Beurteilungskompetenz des
Bundesgerichts sollte sachlich ausgedehnt und gleichzeitig auf wichtige Fragen
beschränkt werden.
In seiner letztjährigen Evaluation zur Totalrevision der Bundesrechtspflege von 2007
hatte der Bundesrat gesetzgeberische Massnahmen vorgeschlagen, um die zunehmende Belastung des Bundesgerichts zu reduzieren und gewisse Rechtsschutzlücken
zu schliessen. Das Eidgenössische Justiz- und Polizeidepartement wurde mit der
Ausarbeitung einer entsprechenden Vernehmlassungsvorlage beauftragt. Gewisse
Änderungen am Bundesgerichtsgesetz werden zudem im Postulat Caroni verlangt, das
der Nationalrat im vergangenen Dezember angenommen hat.
Die Vollversammlung der Bundesrichterinnen und Bundesrichter hat als Beitrag zu
diesen laufenden Arbeitsprozessen am vergangenen Montag mehrere Vorschläge
verabschiedet. Mit den Anregungen strebt das Bundesgericht an, seine verfassungsmässige Funktion als oberste Gerichtsinstanz der Eidgenossenschaft zu stärken.
Als einen zentralen Punkt zur Verwirklichung dieses Ziels schlägt das Gericht vor, den
Zugang ans Bundesgericht zu erweitern. Die ordentliche Beschwerde sollte künftig in
zusätzlichen Gebieten des Zivilrechts und des öffentlichen Rechts erhoben werden
können. In limitiertem Umfang wären davon auch Asylentscheide des Bundesverwaltungsgerichts betroffen, die der bundesgerichtlichen Prüfung aktuell weitgehend
entzogen sind. Die ordentliche Beschwerde soll in diesen zusätzlichen Bereichen
allerdings nur möglich sein, wenn sich eine Rechtsfrage von grundsätzlicher Bedeutung
stellt oder wenn es sich aus anderen Gründen um einen besonders bedeutenden Fall
handelt. Im Asylbereich wären noch weitere Einschränkungen vorzusehen.
Damit die Überprüfung durch das Bundesgericht in den neu hinzukommenden
Rechtsgebieten tatsächlich auf die objektiv wichtigen Fragen beschränkt bleibt, muss in
den übrigen Fällen konsequenterweise die subsidiäre Verfassungsbeschwerde ausgeschlossen werden.
Um die mit der Öffnung verbundene Mehrbelastung des Bundesgerichts zu kompensieren, wären die Regelungen zur Konzentration auf die Grundsatzfragen in weiteren
Materien anzuwenden, insbesondere im Ausländerrecht, wo die ordentliche Beschwerde
heute unbeschränkt zur Verfügung steht. Die Limitierungen müssten ebenfalls gelten bei
Entscheiden über vorsorgliche Massnahmen, Geldforderungen von weniger als 30'000
Franken (in gewissen Gebieten 15'000 Franken) und Strafurteilen, die nicht im
Strafregister eingetragen werden. Weiter sollten grundsätzlich nur Strafentscheide einer
zweiten gerichtlichen Instanz ans Bundesgericht weitergezogen werden können. Das
wäre mit einem Ausbau der Beschwerdemöglichkeiten an die Vorinstanzen verbunden.
Die Legitimation zur strafrechtlichen Beschwerde wäre zudem auf Geschädigte zu
beschränken, welche die Opfereigenschaft erfüllen. Schliesslich ist nach Ansicht des
Gerichts bei Entscheiden im Bereich der Militär- und Unfallversicherung der Sachverhalt
künftig nicht mehr umfassend, sondern nur auf Willkür zu prüfen.
| A tous les journalistes accrédités auprès
du Tribunal fédéral
Lausanne, le 20 mars 2014
Pas d'embargo
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Propositions d’adaptation de la loi sur le Tribunal fédéral
Dans le cadre des travaux en cours d'adaptation de la loi sur le Tribunal fédéral, le
Tribunal fédéral propose des mesures visant à renforcer son rôle constitutionnel de
Cour suprême. Les domaines de compétence du Tribunal fédéral devraient être
étendus et en même temps restreints aux questions importantes.
L'année dernière, le Conseil fédéral a évalué la révision totale de l'organisation
judiciaire fédérale de 2007 et a proposé des mesures législatives afin de réduire la
charge de travail croissante du Tribunal fédéral et de combler certaines lacunes de la
protection juridique. Le Département fédéral de Justice et Police a été chargé de
préparer un projet destiné à être mis en consultation. En outre, un certain nombre de
modifications de la loi sur le Tribunal fédéral ont été demandées dans le postulat Caroni
qui a été accepté par le Conseil national en décembre dernier.
La Cour plénière, qui réunit l'ensemble des juges du Tribunal, a approuvé lundi dernier
plusieurs propositions destinées à servir de contribution aux travaux en cours. Le Tribunal fédéral recherche par ses vœux à renforcer son rôle constitutionnel de Cour suprême de la Confédération.
Le point central proposé par le Tribunal pour réaliser cet objectif est d'élargir l'accès au
Tribunal fédéral. A l'avenir, le recours ordinaire devrait être possible dans des matières
supplémentaires du droit civil et du droit public. Les décisions du Tribunal administratif
fédéral en matière d'asile qui, à l'heure actuelle, ne peuvent pour la plupart pas être
examinées par le Tribunal fédéral, seraient aussi concernées mais d'une façon limitée.
Le recours ordinaire ne devrait toutefois être recevable dans ces domaines
supplémentaires que lorsqu'une question juridique de principe est soulevée ou lorsque,
pour d'autres motifs, il s'agit d'une affaire revêtant une importance particulière. En
matière d'asile, des restrictions supplémentaires devraient être prévues. Afin que
l'examen par le Tribunal fédéral des nouveaux domaines se limite effectivement aux
questions objectivement importantes, il conviendrait d'exclure de façon conséquente le
recours constitutionnel subsidiaire dans les autres affaires.
Afin de compenser la charge accrue du Tribunal fédéral, engendrée par ces
compétences supplémentaires, il conviendrait d'étendre l'application de la règle
autorisant le Tribunal à ne se prononcer que sur les questions juridiques de principe à
d'autres matières, en particulier au droit des étrangers où le recours ordinaire ne
connaît aucune restriction dans le droit actuel. Ces restrictions devraient aussi être
appliquées aux décisions concernant des mesures provisionnelles, des prétentions
pécuniaires inférieures à 30'000 francs (dans certains domaines, à 15'000 francs) et
dans des affaires pénales qui ne font pas l'objet d'une inscription au casier judiciaire. En
outre, seules des décisions pénales d'une deuxième instance judiciaire devraient en
règle générale pouvoir être portées devant le Tribunal fédéral. Ce point suppose la
création d'une possibilité de recours aux instances précédentes. De plus, la qualité pour
recourir dans le cadre des recours en matière pénale devrait être limitée aux lésés qui
ont qualité de victime. Enfin, de l'avis du Tribunal, l'examen de l'état de fait dans les
domaines de l'assurance militaire et de l'assurance-accidents ne devrait plus être
complet mais limité à l'arbitraire.
| A tutti i giornalisti accreditati presso il
Tribunale federale
Losanna, 20 marzo 2014
Nessun Embargo
Comunicato stampa del Tribunale federale
Proposte per l'adattamento della legge sul Tribunale federale
Nell'ambito dei lavori in corso per l'adattamento della legge sul Tribunale federale, il
Tribunale federale propone delle misure volte a rafforzare il suo ruolo costituzionale
di Corte suprema. La competenza decisionale del Tribunale federale dovrebbe essere
estesa dal profilo materiale e contemporaneamente limitata alle questioni importanti.
Nella sua ultima valutazione della revisione totale dell'organizzazione giudiziaria
federale del 2007, il Consiglio federale ha proposto misure legislative per ridurre il
crescente carico di lavoro del Tribunale federale e colmare determinate lacune nella
protezione giuridica. Il Dipartimento federale di giustizia e polizia è stato incaricato del
relativo progetto di consultazione. Certe modifiche della legge sul Tribunale federale
sono inoltre richieste dal postulato Caroni, che il Consiglio nazionale ha accettato lo
scorso mese di dicembre.
La Corte plenaria dei giudici del Tribunale federale ha emanato lunedì scorso diverse
proposte destinate a contribuire a questo processo lavorativo aperto. Con i
suggerimenti, il Tribunale federale auspica che sia rafforzata la sua funzione di Corte
suprema della Confederazione.
Il Tribunale propone quale punto centrale per realizzare questo obiettivo che sia esteso
l'accesso al Tribunale federale. In futuro, il ricorso ordinario dovrebbe essere proponibile
in ambiti supplementari del diritto civile e del diritto pubblico. Dovrebbero essere
interessate in misura limitata anche le decisioni del Tribunale amministrativo federale in
materia di asilo, che attualmente sono in gran parte sottratte all'esame del Tribunale
federale. Il ricorso ordinario in questi campi supplementari dovrebbe tuttavia essere
possibile solo quando si presenta una questione di diritto d'importanza fondamentale o
quando, per altri motivi, si tratta di un caso particolarmente importante. In materia di
asilo, sarebbero da prevedere ulteriori restrizioni.
Affinché l'esame da parte del Tribunale federale nei nuovi ambiti rimanga effettivamente
limitato alle questioni oggettivamente importanti, il ricorso sussidiario in materia
costituzionale nei casi rimanenti deve essere escluso in modo conseguente.
Per compensare il carico supplementare del Tribunale federale legato a questa
apertura, occorrerebbe applicare la regolamentazione relativa alla concentrazione su
questioni di principio anche ad altre materie, segnatamente al diritto degli stranieri, in
cui il ricorso ordinario è attualmente aperto senza limitazioni. Le restrizioni dovrebbero
pure valere per le decisioni in materia di misure cautelari, pretese pecuniarie inferiori a
fr. 30'000.-- (in determinati campi a fr. 15'000.--) e giudizi penali che non sono oggetto di
iscrizione nel casellario giudiziale. Inoltre, soltanto le decisioni penali emanate da una
seconda istanza giudiziaria dovrebbero di principio poter essere impugnabili al Tribunale
federale. Questo aspetto è legato alla realizzazione di un ampliamento delle possibilità
di ricorso dinanzi alle istanze precedenti. La legittimazione a presentare ricorso in
materia penale dovrebbe altresì essere limitata ai danneggiati che hanno qualità di
vittima. Infine, secondo il parere del Tribunale, in materia di assicurazione militare e di
assicurazione contro gli infortuni, in futuro l'esame degli accertamenti di fatto non
dovrebbe essere completo, ma limitato all'arbitrio.
| 3 |
11.5.2_5.1_yyyy_mm_dd_T_{lang} | Lausanne, 20. März 2014
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Vorschläge zur Anpassung des Bundesgerichtsgesetzes
Das Bundesgericht schlägt im Rahmen der laufenden Bestrebungen zur Anpassung
des Bundesgerichtsgesetzes vor, Massnahmen zur Stärkung seiner verfassungsmässigen Rolle als oberstes Gericht zu treffen. Die Beurteilungskompetenz des
Bundesgerichts sollte sachlich ausgedehnt und gleichzeitig auf wichtige Fragen
beschränkt werden.
In seiner letztjährigen Evaluation zur Totalrevision der Bundesrechtspflege von 2007
hatte der Bundesrat gesetzgeberische Massnahmen vorgeschlagen, um die zunehmende Belastung des Bundesgerichts zu reduzieren und gewisse Rechtsschutzlücken
zu schliessen. Das Eidgenössische Justiz- und Polizeidepartement wurde mit der
Ausarbeitung einer entsprechenden Vernehmlassungsvorlage beauftragt. Gewisse
Änderungen am Bundesgerichtsgesetz werden zudem im Postulat Caroni verlangt, das
der Nationalrat im vergangenen Dezember angenommen hat.
Die Vollversammlung der Bundesrichterinnen und Bundesrichter hat als Beitrag zu
diesen laufenden Arbeitsprozessen am vergangenen Montag mehrere Vorschläge
verabschiedet. Mit den Anregungen strebt das Bundesgericht an, seine verfassungsmässige Funktion als oberste Gerichtsinstanz der Eidgenossenschaft zu stärken.
Als einen zentralen Punkt zur Verwirklichung dieses Ziels schlägt das Gericht vor, den
Zugang ans Bundesgericht zu erweitern. Die ordentliche Beschwerde sollte künftig in
zusätzlichen Gebieten des Zivilrechts und des öffentlichen Rechts erhoben werden
können. In limitiertem Umfang wären davon auch Asylentscheide des Bundesverwaltungsgerichts betroffen, die der bundesgerichtlichen Prüfung aktuell weitgehend
entzogen sind. Die ordentliche Beschwerde soll in diesen zusätzlichen Bereichen
allerdings nur möglich sein, wenn sich eine Rechtsfrage von grundsätzlicher Bedeutung
stellt oder wenn es sich aus anderen Gründen um einen besonders bedeutenden Fall
handelt. Im Asylbereich wären noch weitere Einschränkungen vorzusehen.
Damit die Überprüfung durch das Bundesgericht in den neu hinzukommenden
Rechtsgebieten tatsächlich auf die objektiv wichtigen Fragen beschränkt bleibt, muss in
den übrigen Fällen konsequenterweise die subsidiäre Verfassungsbeschwerde ausgeschlossen werden.
Um die mit der Öffnung verbundene Mehrbelastung des Bundesgerichts zu kompensieren, wären die Regelungen zur Konzentration auf die Grundsatzfragen in weiteren
Materien anzuwenden, insbesondere im Ausländerrecht, wo die ordentliche Beschwerde
heute unbeschränkt zur Verfügung steht. Die Limitierungen müssten ebenfalls gelten bei
Entscheiden über vorsorgliche Massnahmen, Geldforderungen von weniger als 30'000
Franken (in gewissen Gebieten 15'000 Franken) und Strafurteilen, die nicht im
Strafregister eingetragen werden. Weiter sollten grundsätzlich nur Strafentscheide einer
zweiten gerichtlichen Instanz ans Bundesgericht weitergezogen werden können. Das
wäre mit einem Ausbau der Beschwerdemöglichkeiten an die Vorinstanzen verbunden.
Die Legitimation zur strafrechtlichen Beschwerde wäre zudem auf Geschädigte zu
beschränken, welche die Opfereigenschaft erfüllen. Schliesslich ist nach Ansicht des
Gerichts bei Entscheiden im Bereich der Militär- und Unfallversicherung der Sachverhalt
künftig nicht mehr umfassend, sondern nur auf Willkür zu prüfen.
| Lausanne, le 20 mars 2014
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Propositions d’adaptation de la loi sur le Tribunal fédéral
Dans le cadre des travaux en cours d'adaptation de la loi sur le Tribunal fédéral, le
Tribunal fédéral propose des mesures visant à renforcer son rôle constitutionnel de
Cour suprême. Les domaines de compétence du Tribunal fédéral devraient être
étendus et en même temps restreints aux questions importantes.
L'année dernière, le Conseil fédéral a évalué la révision totale de l'organisation
judiciaire fédérale de 2007 et a proposé des mesures législatives afin de réduire la
charge de travail croissante du Tribunal fédéral et de combler certaines lacunes de la
protection juridique. Le Département fédéral de Justice et Police a été chargé de
préparer un projet destiné à être mis en consultation. En outre, un certain nombre de
modifications de la loi sur le Tribunal fédéral ont été demandées dans le postulat Caroni
qui a été accepté par le Conseil national en décembre dernier.
La Cour plénière, qui réunit l'ensemble des juges du Tribunal, a approuvé lundi dernier
plusieurs propositions destinées à servir de contribution aux travaux en cours. Le Tribunal fédéral recherche par ses vœux à renforcer son rôle constitutionnel de Cour suprême de la Confédération.
Le point central proposé par le Tribunal pour réaliser cet objectif est d'élargir l'accès au
Tribunal fédéral. A l'avenir, le recours ordinaire devrait être possible dans des matières
supplémentaires du droit civil et du droit public. Les décisions du Tribunal administratif
fédéral en matière d'asile qui, à l'heure actuelle, ne peuvent pour la plupart pas être
examinées par le Tribunal fédéral, seraient aussi concernées mais d'une façon limitée.
Le recours ordinaire ne devrait toutefois être recevable dans ces domaines
supplémentaires que lorsqu'une question juridique de principe est soulevée ou lorsque,
pour d'autres motifs, il s'agit d'une affaire revêtant une importance particulière. En
matière d'asile, des restrictions supplémentaires devraient être prévues. Afin que
l'examen par le Tribunal fédéral des nouveaux domaines se limite effectivement aux
questions objectivement importantes, il conviendrait d'exclure de façon conséquente le
recours constitutionnel subsidiaire dans les autres affaires.
Afin de compenser la charge accrue du Tribunal fédéral, engendrée par ces
compétences supplémentaires, il conviendrait d'étendre l'application de la règle
autorisant le Tribunal à ne se prononcer que sur les questions juridiques de principe à
d'autres matières, en particulier au droit des étrangers où le recours ordinaire ne
connaît aucune restriction dans le droit actuel. Ces restrictions devraient aussi être
appliquées aux décisions concernant des mesures provisionnelles, des prétentions
pécuniaires inférieures à 30'000 francs (dans certains domaines, à 15'000 francs) et
dans des affaires pénales qui ne font pas l'objet d'une inscription au casier judiciaire. En
outre, seules des décisions pénales d'une deuxième instance judiciaire devraient en
règle générale pouvoir être portées devant le Tribunal fédéral. Ce point suppose la
création d'une possibilité de recours aux instances précédentes. De plus, la qualité pour
recourir dans le cadre des recours en matière pénale devrait être limitée aux lésés qui
ont qualité de victime. Enfin, de l'avis du Tribunal, l'examen de l'état de fait dans les
domaines de l'assurance militaire et de l'assurance-accidents ne devrait plus être
complet mais limité à l'arbitraire.
| Losanna, 20 marzo 2014
Comunicato stampa del Tribunale federale
Proposte per l'adattamento della legge sul Tribunale federale
Nell'ambito dei lavori in corso per l'adattamento della legge sul Tribunale federale, il
Tribunale federale propone delle misure volte a rafforzare il suo ruolo costituzionale
di Corte suprema. La competenza decisionale del Tribunale federale dovrebbe essere
estesa dal profilo materiale e contemporaneamente limitata alle questioni importanti.
Nella sua ultima valutazione della revisione totale dell'organizzazione giudiziaria
federale del 2007, il Consiglio federale ha proposto misure legislative per ridurre il
crescente carico di lavoro del Tribunale federale e colmare determinate lacune nella
protezione giuridica. Il Dipartimento federale di giustizia e polizia è stato incaricato del
relativo progetto di consultazione. Certe modifiche della legge sul Tribunale federale
sono inoltre richieste dal postulato Caroni, che il Consiglio nazionale ha accettato lo
scorso mese di dicembre.
La Corte plenaria dei giudici del Tribunale federale ha emanato lunedì scorso diverse
proposte destinate a contribuire a questo processo lavorativo aperto. Con i
suggerimenti, il Tribunale federale auspica che sia rafforzata la sua funzione di Corte
suprema della Confederazione.
Il Tribunale propone quale punto centrale per realizzare questo obiettivo che sia esteso
l'accesso al Tribunale federale. In futuro, il ricorso ordinario dovrebbe essere proponibile
in ambiti supplementari del diritto civile e del diritto pubblico. Dovrebbero essere
interessate in misura limitata anche le decisioni del Tribunale amministrativo federale in
materia di asilo, che attualmente sono in gran parte sottratte all'esame del Tribunale
federale. Il ricorso ordinario in questi campi supplementari dovrebbe tuttavia essere
possibile solo quando si presenta una questione di diritto d'importanza fondamentale o
quando, per altri motivi, si tratta di un caso particolarmente importante. In materia di
asilo, sarebbero da prevedere ulteriori restrizioni.
Affinché l'esame da parte del Tribunale federale nei nuovi ambiti rimanga effettivamente
limitato alle questioni oggettivamente importanti, il ricorso sussidiario in materia
costituzionale nei casi rimanenti deve essere escluso in modo conseguente.
Per compensare il carico supplementare del Tribunale federale legato a questa
apertura, occorrerebbe applicare la regolamentazione relativa alla concentrazione su
questioni di principio anche ad altre materie, segnatamente al diritto degli stranieri, in
cui il ricorso ordinario è attualmente aperto senza limitazioni. Le restrizioni dovrebbero
pure valere per le decisioni in materia di misure cautelari, pretese pecuniarie inferiori a
fr. 30'000.-- (in determinati campi a fr. 15'000.--) e giudizi penali che non sono oggetto di
iscrizione nel casellario giudiziale. Inoltre, soltanto le decisioni penali emanate da una
seconda istanza giudiziaria dovrebbero di principio poter essere impugnabili al Tribunale
federale. Questo aspetto è legato alla realizzazione di un ampliamento delle possibilità
di ricorso dinanzi alle istanze precedenti. La legittimazione a presentare ricorso in
materia penale dovrebbe altresì essere limitata ai danneggiati che hanno qualità di
vittima. Infine, secondo il parere del Tribunale, in materia di assicurazione militare e di
assicurazione contro gli infortuni, in futuro l'esame degli accertamenti di fatto non
dovrebbe essere completo, ma limitato all'arbitrio.
| 3 |
11.5.2_9.1.1.1_01_2016_yyyy_mm_dd_J_{lang} | An alle akkreditierten Journalisten
des Bundesgerichts
Lausanne, 22. Februar 2016
Kein Embargo
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Rücktritt Bundesrichter Rudolf Ursprung
Herr Bundesrichter Rudolf Ursprung tritt auf Ende des laufenden Jahres von seinem
Amt zurück. Rudolf Ursprung wurde 2001 zum Bundesrichter gewählt und ist in der
Ersten sozialrechtlichen Abteilung des Bundesgerichts in Luzern tätig.
Herr Bundesrichter Rudolf Ursprung wurde am 20. März 2001 zum Mitglied des
damaligen Eidgenössischen Versicherungsgerichts (EVG) gewählt, das 2007 mit dem
Bundesgericht vereinigt wurde. Bundesrichter Ursprung ist Mitglied der Ersten
sozialrechtlichen Abteilung in Luzern, die er in den Jahren 2007 bis 2012 präsidierte. Er
gehört der Rekurskommission des Bundesgerichts an und amtet seit 2013 als deren
Präsident.
Bundesrichter Rudolf Ursprung hat entschieden, auf Ende des Jahres 2016 von seinem
Amt als Bundesrichter zurückzutreten. Seine Nachfolgerin oder sein Nachfolger wird von
der Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht
bekannt.
| A tous les journalistes accrédités auprès
du Tribunal fédéral
Lausanne, le 22 février 2016
Pas d'embargo
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Départ de Monsieur le Juge fédéral Rudolf Ursprung
Monsieur le Juge fédéral Rudolf Ursprung quittera sa fonction à la fin de l'année en
cours. Rudolf Ursprung a été élu juge fédéral en 2001 et exerce son activité
juridictionnelle au sein de la première Cour de droit social du Tribunal fédéral à
Lucerne.
Monsieur Rudolf Ursprung a été élu le 20 mars 2001 comme juge au sein de l'ancien
Tribunal fédéral des assurances (TFA), qui a fusionné en 2007 avec le Tribunal fédéral.
Il exerce ses fonctions au sein de la première Cour de droit social dont il a été le
Président de 2007 à 2012. Il fait partie de la Commission de recours du Tribunal fédéral
qu'il préside depuis 2013.
Monsieur le Juge Ursprung a décidé de remettre son mandat de juge fédéral pour la fin
décembre 2016. Son successeur sera élu par l'Assemblée fédérale. La date n'est pas
encore connue.
| A tutti i giornalisti accreditati presso il
Tribunale federale
Losanna, 22 febbraio 2016
Nessun embargo
Comunicato stampa del Tribunale federale
Dimissioni del Giudice federale Rudolf Ursprung
Il Giudice federale Rudolf Ursprung lascerà la sua funzione alla fine dell'anno. Rudolf
Ursprung è stato eletto quale giudice federale nel 2001 e svolge la sua funzione in
seno alla prima Corte di diritto sociale a Lucerna.
Il Giudice federale Rudolf Ursprung è stato eletto nel 2001 al Tribunale federale delle
assicurazioni (TFA), quest'ultimo integrato al Tribunale federale nel 2007. Egli è
membro della prima Corte di diritto sociale a Lucerna, di cui è stato presidente dal 2007
fino al 2012, e della Commissione di ricorso del Tribunale federale, che presiede dal
2013.
Il Giudice federale Rudolf Ursprung ha deciso di lasciare la funzione alla fine dell'anno.
Il suo successore sarà eletto dall'Assemblea federale. La data non è ancora nota.
| 3 |
11.5.2_9.1.1.1_01_2016_yyyy_mm_dd_T_{lang} | Lausanne, 22. Februar 2016
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Rücktritt Bundesrichter Rudolf Ursprung
Herr Bundesrichter Rudolf Ursprung tritt auf Ende des laufenden Jahres von seinem
Amt zurück. Rudolf Ursprung wurde 2001 zum Bundesrichter gewählt und ist in der
Ersten sozialrechtlichen Abteilung des Bundesgerichts in Luzern tätig.
Herr Bundesrichter Rudolf Ursprung wurde am 20. März 2001 zum Mitglied des
damaligen Eidgenössischen Versicherungsgerichts (EVG) gewählt, das 2007 mit dem
Bundesgericht vereinigt wurde. Bundesrichter Ursprung ist Mitglied der Ersten
sozialrechtlichen Abteilung in Luzern, die er in den Jahren 2007 bis 2012 präsidierte. Er
gehört der Rekurskommission des Bundesgerichts an und amtet seit 2013 als deren
Präsident.
Bundesrichter Rudolf Ursprung hat entschieden, auf Ende des Jahres 2016 von seinem
Amt als Bundesrichter zurückzutreten. Seine Nachfolgerin oder sein Nachfolger wird von
der Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht
bekannt.
| Lausanne, le 22 février 2016
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Départ de Monsieur le Juge fédéral Rudolf Ursprung
Monsieur le Juge fédéral Rudolf Ursprung quittera sa fonction à la fin de l'année en
cours. Rudolf Ursprung a été élu juge fédéral en 2001 et exerce son activité
juridictionnelle au sein de la première Cour de droit social du Tribunal fédéral à
Lucerne.
Monsieur Rudolf Ursprung a été élu le 20 mars 2001 comme juge au sein de l'ancien
Tribunal fédéral des assurances (TFA), qui a fusionné en 2007 avec le Tribunal fédéral.
Il exerce ses fonctions au sein de la première Cour de droit social dont il a été le
Président de 2007 à 2012. Il fait partie de la Commission de recours du Tribunal fédéral
qu'il préside depuis 2013.
Monsieur le Juge Ursprung a décidé de remettre son mandat de juge fédéral pour la fin
décembre 2016. Son successeur sera élu par l'Assemblée fédérale. La date n'est pas
encore connue.
| Losanna, 22 febbraio 2016
Comunicato stampa del Tribunale federale
Dimissioni del Giudice federale Rudolf Ursprung
Il Giudice federale Rudolf Ursprung lascerà la sua funzione alla fine dell'anno. Rudolf
Ursprung è stato eletto quale giudice federale nel 2001 e svolge la sua funzione in
seno alla prima Corte di diritto sociale a Lucerna.
Il Giudice federale Rudolf Ursprung è stato eletto nel 2001 al Tribunale federale delle
assicurazioni (TFA), quest'ultimo integrato al Tribunale federale nel 2007. Egli è
membro della prima Corte di diritto sociale a Lucerna, di cui è stato presidente dal 2007
fino al 2012, e della Commissione di ricorso del Tribunale federale, che presiede dal
2013.
Il Giudice federale Rudolf Ursprung ha deciso di lasciare la funzione alla fine dell'anno.
Il suo successore sarà eletto dall'Assemblea federale. La data non è ancora nota.
| 3 |
11.5.2_9.1.1.1_02_2016_yyyy_mm_dd_J_{lang} | An alle akkreditierten Journalisten
des Bundesgerichts
Lausanne, 8. März 2016
Kein Embargo
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Wechsel des Präsidiums in der Zweiten öffentlich-rechtlichen
Abteilung
Auf den 1. April 2016 wechselt das Präsidium in der Zweiten öffentlich-rechtlichen
Abteilung. Herr Bundesrichter Andreas Zünd tritt infolge Ablaufs der maximalen
Amtszeit von sechs Jahren als Abteilungspräsident ab. Als Nachfolger wurde vom
Gesamtgericht Herr Bundesrichter Hans Georg Seiler gewählt.
Der aktuelle Abteilungspräsident Herr Bundesrichter Andreas Zünd übt das Amt seit
dem 1. April 2010 aus. Nach Ablauf der maximalen Amtszeit von sechs Jahren gibt Herr
Bundesrichter Zünd das Präsidium auf den 1. April 2016 ab. Er wird als Bundesrichter
weiter in der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung tätig sein. Als neuen Präsidenten
der Abteilung wählte das Gesamtgericht am 20. Januar 2016 Herrn Bundesrichter Hans
Georg Seiler. Er wurde 2005 zum Bundesrichter gewählt und gehört der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung als Richter seit 2011 an.
| A tous les journalistes accrédités auprès
du Tribunal fédéral
Lausanne, le 8 mars 2016
Pas d'embargo
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Changement de présidence à la deuxième Cour de droit public
Le 1er avril 2016 aura lieu un changement de présidence à la deuxième Cour de droit
public. Monsieur le Juge fédéral Andreas Zünd quittera la présidence de la Cour
après avoir exercé cette fonction pendant la durée maximale prévue de six ans. La
Cour plénière a élu Monsieur le Juge fédéral Hans Georg Seiler pour lui succéder.
L'actuel Président de Cour, Monsieur le Juge fédéral Andreas Zünd, exerce cette fonction depuis le 1er avril 2010. Après la période de fonction maximale de six ans, Monsieur
le Juge fédéral Zünd quittera cette présidence au 1 er avril 2016. Il continuera d'exercer
sa fonction de juge fédéral au sein de la deuxième Cour de droit public. La Cour
plénière a élu Monsieur le juge fédéral Hans Georg Seiler en qualité de nouveau
Président de Cour le 20 janvier 2016. Il a été élu juge fédéral en 2005 et est affecté à la
deuxième Cour de droit public, en tant que juge, depuis 2011.
| A tutti i giornalisti accreditati presso il
Tribunale federale
Losanna, 8 marzo 2016
Nessun embargo
Comunicato stampa del Tribunale federale
Avvicendamento alla Presidenza della seconda Corte di diritto
pubblico
Il 1° aprile 2016 interverrà un avvicendamento alla Presidenza della seconda Corte di
diritto pubblico. Il Giudice federale Andreas Zünd lascerà la funzione di presidente di
corte al termine del periodo di carica massimo previsto. La Corte plenaria ha eletto
quale suo successore il Giudice federale Hans Georg Seiler.
Il Giudice federale Andreas Zünd è attivo quale presidente di corte dal 1° aprile 2010.
Egli lascerà tale funzione al termine del periodo di carica massimo di sei anni e continuerà ad essere attivo in seno alla seconda Corte di diritto pubblico in qualità di giudice
federale. La Corte plenaria ha eletto il 20 gennaio 2016 il Giudice federale Hans Georg
Seiler quale nuovo presidente di corte. Egli è stato eletto quale giudice federale nel
2005 e svolge tale funzione in seno alla seconda Corte di diritto pubblico dal 2011.
| 3 |
11.5.2_9.1.1.1_02_2016_yyyy_mm_dd_T_{lang} | Lausanne, 8. März 2016
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Wechsel des Präsidiums in der Zweiten öffentlich-rechtlichen
Abteilung
Auf den 1. April 2016 wechselt das Präsidium in der Zweiten öffentlich-rechtlichen
Abteilung. Herr Bundesrichter Andreas Zünd tritt infolge Ablaufs der maximalen
Amtszeit von sechs Jahren als Abteilungspräsident ab. Als Nachfolger wurde vom
Gesamtgericht Herr Bundesrichter Hans Georg Seiler gewählt.
Der aktuelle Abteilungspräsident Herr Bundesrichter Andreas Zünd übt das Amt seit
dem 1. April 2010 aus. Nach Ablauf der maximalen Amtszeit von sechs Jahren gibt Herr
Bundesrichter Zünd das Präsidium auf den 1. April 2016 ab. Er wird als Bundesrichter
weiter in der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung tätig sein. Als neuen Präsidenten
der Abteilung wählte das Gesamtgericht am 20. Januar 2016 Herrn Bundesrichter Hans
Georg Seiler. Er wurde 2005 zum Bundesrichter gewählt und gehört der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung als Richter seit 2011 an.
| Lausanne, le 8 mars 2016
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Changement de présidence à la deuxième Cour de droit public
Le 1er avril 2016 aura lieu un changement de présidence à la deuxième Cour de droit
public. Monsieur le Juge fédéral Andreas Zünd quittera la présidence de la Cour
après avoir exercé cette fonction pendant la durée maximale prévue de six ans. La
Cour plénière a élu Monsieur le Juge fédéral Hans Georg Seiler pour lui succéder.
L'actuel Président de Cour, Monsieur le Juge fédéral Andreas Zünd, exerce cette fonction depuis le 1er avril 2010. Après la période de fonction maximale de six ans, Monsieur
le Juge fédéral Zünd quittera cette présidence au 1 er avril 2016. Il continuera d'exercer
sa fonction de juge fédéral au sein de la deuxième Cour de droit public. La Cour
plénière a élu Monsieur le juge fédéral Hans Georg Seiler en qualité de nouveau
Président de Cour le 20 janvier 2016. Il a été élu juge fédéral en 2005 et est affecté à la
deuxième Cour de droit public, en tant que juge, depuis 2011.
| Losanna, 8 marzo 2016
Comunicato stampa del Tribunale federale
Avvicendamento alla Presidenza della seconda Corte di diritto
pubblico
Il 1° aprile 2016 interverrà un avvicendamento alla Presidenza della seconda Corte di
diritto pubblico. Il Giudice federale Andreas Zünd lascerà la funzione di presidente di
corte al termine del periodo di carica massimo previsto. La Corte plenaria ha eletto
quale suo successore il Giudice federale Hans Georg Seiler.
Il Giudice federale Andreas Zünd è attivo quale presidente di corte dal 1° aprile 2010.
Egli lascerà tale funzione al termine del periodo di carica massimo di sei anni e continuerà ad essere attivo in seno alla seconda Corte di diritto pubblico in qualità di giudice
federale. La Corte plenaria ha eletto il 20 gennaio 2016 il Giudice federale Hans Georg
Seiler quale nuovo presidente di corte. Egli è stato eletto quale giudice federale nel
2005 e svolge tale funzione in seno alla seconda Corte di diritto pubblico dal 2011.
| 3 |
11.5.2_9.1.1.1_03_2016_yyyy_mm_dd_J_{lang} | An alle akkreditierten Journalisten
des Bundesgerichts
Lausanne, 2. Juni 2016
Kein Embargo
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Rücktritt Bundesrichter Gilbert Kolly
Herr Bundesrichter Gilbert Kolly, Bundesgerichtspräsident und Mitglied der I. zivilrechtlichen Abteilung, scheidet auf Ende Jahr aus dem Bundesgericht aus. Er ist seit
1999 Richter am Bundesgericht und seit 2013 dessen Präsident.
Bundesrichter Gilbert Kolly wurde am 7. Oktober 1998 zum ordentlichen Mitglied des
Bundesgerichts gewählt. Von 1999 bis 2006 war er Mitglied der Strafrechtlichen Abteilung, seither gehört er der I. zivilrechtlichen Abteilung an. In den Jahren 2011 und
2012 war Gilbert Kolly Vizepräsident des Bundesgerichts, seit 2013 präsidiert er das
Bundesgericht.
Das Gesetz beschränkt die Amtsdauer des Bundesgerichtspräsidenten auf zwei Jahre;
einmalige Wiederwahl ist zulässig (Artikel 14 Absatz 2 Bundesgerichtsgesetz). Bundesrichter Kolly nimmt das Ende seiner Amtszeit als Bundesgerichtspräsident per Ende
2016 zum Anlass, auf diesen Zeitpunkt hin auch als Mitglied des Bundesgerichts zurückzutreten.
Sein Nachfolger oder seine Nachfolgerin im Amt des Bundesrichters wird von der
Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht bekannt.
Die Vereinigte Bundesversammlung wird zudem auf Vorschlag des Gesamtgerichts hin
einen neuen Bundesgerichtspräsidenten bzw. eine neue Bundesgerichtspräsidentin
wählen.
| A tous les journalistes accrédités auprès
du Tribunal fédéral
Lausanne, le 2 juin 2016
Pas d'embargo
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Départ de Monsieur le Juge fédéral Gilbert Kolly
Monsieur le Juge fédéral Gilbert Kolly, Président du Tribunal fédéral et membre de la
Ire Cour de droit civil, quittera ses fonctions à la fin de l'année. Il est juge au Tribunal
fédéral depuis 1999 et en est le Président depuis 2013.
Monsieur Gilbert Kolly a été élu juge au Tribunal fédéral le 7 octobre 1998. Il a exercé
ses fonctions au sein de la Cour de droit pénal de 1999 à 2006 et, depuis, au sein de la
Ire Cour de droit civil. Monsieur Gilbert Kolly était Vice-président du Tribunal fédéral de
2011 à 2012 et, depuis 2013, il exerce la fonction de Président du Tribunal fédéral.
La loi limite la durée de la présidence à deux ans; ce mandat peut être reconduit une
seule fois (article 14 alinéa 2 Loi sur le Tribunal fédéral). Le mandat présidentiel du juge
fédéral Kolly échoit à la fin de l'année en cours. Il souhaite faire coïncider la fin de sa
présidence avec son départ du Tribunal fédéral et quittera donc sa fonction de juge fin
2016.
Son successeur en tant que juge fédéral sera élu par l'Assemblée fédérale. La date
n'est pas encore connue. De plus, l'Assemblée fédéral élira, sur proposition de la Cour
plénière, un nouveau Président ou une nouvelle Présidente du Tribunal fédéral.
| A tutti i giornalisti accreditati presso il
Tribunale federale
Losanna, 2 giugno 2016
Nessun embargo
Comunicato stampa del Tribunale federale
Dimissioni del Giudice federale Gilbert Kolly
Il Giudice federale Gilbert Kolly, Presidente del Tribunale federale e membro della
prima Corte di diritto civile, lascerà la sua funzione presso il Tribunale federale alla
fine dell'anno. Egli è giudice al Tribunale federale dal 1999 e suo Presidente dal 2013.
Il Giudice federale Gilbert Kolly è stato eletto giudice ordinario al Tribunale federale il
7 ottobre 1998. Dal 1999 al 2006 è stato membro della Corte di diritto penale e dal 2006
esercita la sua funzione in seno alla prima Corte di diritto civile. Gilbert Kolly ha assunto
la vicepresidenza del Tribunale federale durante gli anni 2011 e 2012, divenendone in
seguito Presidente nel 2013.
In virtù della legge, la durata della presidenza è limitata a due anni; questo mandato può
essere rinnovato una volta (articolo 14 capoverso 2 della legge sul Tribunale federale). Il
mandato presidenziale del Giudice federale Kolly terminerà alla fine di quest'anno e alla
stessa data si dimetterà anche dalla funzione di giudice del Tribunale federale.
Il successore del Giudice federale Gilbert Kolly sarà eletto dall'Assemblea federale
plenaria. La data di tale elezione non è ancora nota. Inoltre, l'Assemblea federale
plenaria eleggerà, su proposta della Corte plenaria, un nuovo o una nuova Presidente
del Tribunale federale.
| 3 |
11.5.2_9.1.1.1_03_2016_yyyy_mm_dd_T_{lang} | Lausanne, 2. Juni 2016
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Rücktritt Bundesrichter Gilbert Kolly
Herr Bundesrichter Gilbert Kolly, Bundesgerichtspräsident und Mitglied der I. zivilrechtlichen Abteilung, scheidet auf Ende Jahr aus dem Bundesgericht aus. Er ist seit
1999 Richter am Bundesgericht und seit 2013 dessen Präsident.
Bundesrichter Gilbert Kolly wurde am 7. Oktober 1998 zum ordentlichen Mitglied des
Bundesgerichts gewählt. Von 1999 bis 2006 war er Mitglied der Strafrechtlichen Abteilung, seither gehört er der I. zivilrechtlichen Abteilung an. In den Jahren 2011 und
2012 war Gilbert Kolly Vizepräsident des Bundesgerichts, seit 2013 präsidiert er das
Bundesgericht.
Das Gesetz beschränkt die Amtsdauer des Bundesgerichtspräsidenten auf zwei Jahre;
einmalige Wiederwahl ist zulässig (Artikel 14 Absatz 2 Bundesgerichtsgesetz). Bundesrichter Kolly nimmt das Ende seiner Amtszeit als Bundesgerichtspräsident per Ende
2016 zum Anlass, auf diesen Zeitpunkt hin auch als Mitglied des Bundesgerichts zurückzutreten.
Sein Nachfolger oder seine Nachfolgerin im Amt des Bundesrichters wird von der
Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht bekannt.
Die Vereinigte Bundesversammlung wird zudem auf Vorschlag des Gesamtgerichts hin
einen neuen Bundesgerichtspräsidenten bzw. eine neue Bundesgerichtspräsidentin
wählen.
| Lausanne, le 2 juin 2016
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Départ de Monsieur le Juge fédéral Gilbert Kolly
Monsieur le Juge fédéral Gilbert Kolly, Président du Tribunal fédéral et membre de la
Ire Cour de droit civil, quittera ses fonctions à la fin de l'année. Il est juge au Tribunal
fédéral depuis 1999 et en est le Président depuis 2013.
Monsieur Gilbert Kolly a été élu juge au Tribunal fédéral le 7 octobre 1998. Il a exercé
ses fonctions au sein de la Cour de droit pénal de 1999 à 2006 et, depuis, au sein de la
Ire Cour de droit civil. Monsieur Gilbert Kolly était Vice-président du Tribunal fédéral de
2011 à 2012 et, depuis 2013, il exerce la fonction de Président du Tribunal fédéral.
La loi limite la durée de la présidence à deux ans; ce mandat peut être reconduit une
seule fois (article 14 alinéa 2 Loi sur le Tribunal fédéral). Le mandat présidentiel du juge
fédéral Kolly échoit à la fin de l'année en cours. Il souhaite faire coïncider la fin de sa
présidence avec son départ du Tribunal fédéral et quittera donc sa fonction de juge fin
2016.
Son successeur en tant que juge fédéral sera élu par l'Assemblée fédérale. La date
n'est pas encore connue. De plus, l'Assemblée fédéral élira, sur proposition de la Cour
plénière, un nouveau Président ou une nouvelle Présidente du Tribunal fédéral.
| Losanna, 2 giugno 2016
Comunicato stampa del Tribunale federale
Dimissioni del Giudice federale Gilbert Kolly
Il Giudice federale Gilbert Kolly, Presidente del Tribunale federale e membro della
prima Corte di diritto civile, lascerà la sua funzione presso il Tribunale federale alla
fine dell'anno. Egli è giudice al Tribunale federale dal 1999 e suo Presidente dal 2013.
Il Giudice federale Gilbert Kolly è stato eletto giudice ordinario al Tribunale federale il
7 ottobre 1998. Dal 1999 al 2006 è stato membro della Corte di diritto penale e dal 2006
esercita la sua funzione in seno alla prima Corte di diritto civile. Gilbert Kolly ha assunto
la vicepresidenza del Tribunale federale durante gli anni 2011 e 2012, divenendone in
seguito Presidente nel 2013.
In virtù della legge, la durata della presidenza è limitata a due anni; questo mandato può
essere rinnovato una volta (articolo 14 capoverso 2 della legge sul Tribunale federale). Il
mandato presidenziale del Giudice federale Kolly terminerà alla fine di quest'anno e alla
stessa data si dimetterà anche dalla funzione di giudice del Tribunale federale.
Il successore del Giudice federale Gilbert Kolly sarà eletto dall'Assemblea federale
plenaria. La data di tale elezione non è ancora nota. Inoltre, l'Assemblea federale
plenaria eleggerà, su proposta della Corte plenaria, un nuovo o una nuova Presidente
del Tribunale federale.
| 3 |
11.5.2_9.1.1.1_04_2016_yyyy_mm_dd_J_{lang} | An alle akkreditierten Journalisten
des Bundesgerichts
Lausanne, 11. Oktober 2016
Kein Embargo
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Wahlvorschlag für Präsidium / Vizepräsidium ab 1. Januar 2017
und Wahl Leitungsorgane
Das Bundesgericht schlägt der Bundesversammlung Herrn Bundesrichter Ulrich
Meyer zur Wahl als Bundesgerichtspräsidenten und Frau Bundesrichterin Martha
Niquille-Eberle zur Wahl als Vizepräsidentin vor. Als drittes Mitglied der Verwaltungskommission hat das Gesamtgericht Herrn Bundesrichter Yves Donzallaz gewählt. In
zwei der sieben Abteilungen des Bundesgerichts kommt es auf Anfang 2017 zu
einem Wechsel des Präsidiums.
In der Dezembersession wird die Bundesversammlung auf Vorschlag des Bundesgerichts hin das Präsidium und das Vizepräsidium des Bundesgerichts für die Amtsperiode
2017 bis 2018 wählen. Die Vollversammlung der ordentlichen Bundesrichterinnen und
Bundesrichter (Gesamtgericht) hat am 10. Oktober 2016 beschlossen, den amtierenden
Vizepräsidenten des Bundesgerichts, Herrn Bundesrichter Ulrich Meyer, zur Wahl als
neuen Präsidenten des Bundesgerichts vorzuschlagen. Der aktuelle Bundesgerichtspräsident, Herr Bundesrichter Gilbert Kolly, tritt auf Ende Jahr von seinem Amt als
Bundesrichter zurück. Als neue Vizepräsidentin schlägt das Gesamtgericht Frau
Bundesrichterin Martha Niquille-Eberle zur Wahl vor. Der neue Präsident und die neue
Vizepräsidentin nehmen von Gesetzes wegen auch in der Verwaltungskommission des
Bundesgerichts Einsitz. Als drittes Mitglied der Verwaltungskommission hat das
Gesamtgericht am Montag Herrn Bundesrichter Yves Donzallaz gewählt.
Auf Anfang 2017 kommt es in zwei der sieben Abteilungen des Bundesgerichts zu
einem Wechsel des Präsidiums. Herr Bundesrichter Jean Fonjallaz gibt Ende 2016 das
Amt als Abteilungspräsident der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung ab. Als seinen
Nachfolger hat das Gesamtgericht Herrn Bundesrichter Thomas Merkli gewählt. Frau
Bundesrichterin Brigitte Pfiffner löst auf Anfang 2017 Frau Bundesrichterin Lucrezia
Glanzmann als Präsidentin der Zweiten sozialrechtlichen Abteilung in Luzern ab. Die
Präsidien der übrigen fünf Abteilungen bleiben unverändert (Zweite öffentlich-rechtliche
Abteilung: Bundesrichter Hans Georg Seiler, Erste zivilrechtliche Abteilung: Bundesrichterin Christina Kiss, Zweite zivilrechtliche Abteilung: Bundesrichter Nicolas von
Werdt, Strafrechtliche Abteilung: Bundesrichter Christian Denys, Erste sozialrechtliche
Abteilung: Bundesrichter Marcel Maillard).
Weiter hat das Bundesgericht als Mitglieder seiner Rekurskommission für die Amtsperiode 2017 bis 2018 Herrn Bundesrichter Luca Marazzi (neu Vorsitz) und Herrn
Bundesrichter François Chaix bestätigt sowie Frau Bundesrichterin Alexia Heine neu
gewählt.
Die am 28. September 2016 von der Bundesversammlung neu gewählte Bundesrichterin
Daniela Viscione wird der Ersten sozialrechtlichen Abteilung zugeteilt, die neu gewählte
Bundesrichterin Marie-Chantal May Canellas der Ersten zivilrechtlichen Abteilung.
| A tous les journalistes accrédités auprès
du Tribunal fédéral
Lausanne, le 11 octobre 2016
Pas d'embargo
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Proposition pour l'élection à la Présidence et à la Vice-Prési dence
dès le 1er janvier 2017 et élection des organes de direc tion
Le Tribunal fédéral propose à l'Assemblée fédérale d'élire Monsieur le Juge Ulrich
Meyer en qualité de Président du Tribunal fédéral et Madame la Juge Martha NiquilleEberle comme Vice-Présidente. La Cour plénière a élu Monsieur le Juge Yves
Donzallaz comme troisième membre de la Commission administrative. Au début de
l'année 2017, le Tribunal fédéral comptera deux nouveaux présidents de cour sur
sept.
Lors de la session de décembre, l'Assemblée fédérale élira, sur proposition du Tribunal
fédéral, le Président et la Vice-Présidente du Tribunal fédéral pour la période 2017 à
2018. La Cour plénière, composée de tous les juges fédéraux, a décidé le 10 octobre
2016 de proposer l'actuel Vice-Président du Tribunal fédéral, Monsieur le Juge Ulrich
Meyer, pour l'élection en tant que nouveau Président du Tribunal fédéral. Le Président
actuel du Tribunal fédéral, Monsieur le Juge Gilbert Kolly, quittera sa fonction de Juge
fédéral à la fin de l'année en cours. La Cour plénière propose d'élire Madame la Juge
Martha Niquille-Eberle à la fonction de Vice-Présidente. Le nouveau Président et la
nouvelle Vice-Présidente sont membres de la Commission administrative du Tribunal
fédéral de par la loi. La Cour plénière a élu lundi Monsieur le Juge Yves Donzallaz en
qualité de troisième membre de la Commission administrative.
Au début de l'année 2017, deux des sept cours du Tribunal fédéral auront un nouveau
président ou une nouvelle présidente. Monsieur le Juge Jean Fonjallaz termine à la fin
de 2016 son mandat comme Président de la Première Cour de droit public. Monsieur le
Juge Thomas Merkli a été élu à sa succession par la Cour plénière. Madame la Juge
Brigitte Pfiffner remplace dès le 1 er janvier 2017 Madame la Juge Lucrezia Glanzmann
comme Présidente de la Deuxième Cour de droit social à Lucerne. Les présidences des
cinq autres cours restent inchangées (II e Cour de droit public : Monsieur le Juge Hans
Georg Seiler, Ire Cour de droit civil : Madame la Juge Christina Kiss, II e Cour de droit
civil : Monsieur le Juge Nicolas von Werdt, Cour de droit pénal : Monsieur le Juge
Christian Denys, I re Cour de droit social : Monsieur le Juge Marcel Maillard).
De plus, le Tribunal fédéral a confirmé les membres de sa Commission de recours pour
la période 2017 à 2018, à savoir Monsieur le Juge Luca Marazzi (nouveau Président)
ainsi que Monsieur le Juge François Chaix et a élu Madame la Juge Alexia Heine en
qualité de nouvelle membre de cette commission.
Madame la Juge Daniela Viscione a été affectée à la I re Cour de droit social et Madame
la Juge Marie-Chantal May Canellas à la I re Cour de droit civil; toutes deux avaient été
élues par l'Assemblée fédérale le 28 septembre 2016.
| A tutti i giornalisti accreditati presso il
Tribunale federale
Losanna, 11 ottobre 2016
Nessun embargo
Comunicato stampa del Tribunale federale
Proposta di elezione per la presidenza e la vicepresidenza dal
1° gennaio 2017 ed elezione degli organi direttivi
Il Tribunale federale propone all'Assemblea federale di eleggere il Giudice federale
Ulrich Meyer alla presidenza del Tribunale federale e la Giudice federale Martha
Niquille-Eberle alla vicepresidenza. La Corte plenaria ha eletto il Giudice federale
Yves Donzallaz quale terzo membro della Commissione amministrativa. Ad inizio
2017, due delle sette Corti del Tribunale federale conosceranno un nuovo Presidente.
Durante la sessione di dicembre, l'Assemblea federale procederà all'elezione, su proposta del Tribunale federale, del Presidente e del Vicepresidente del Tribunale federale
per il periodo 2017-2018. Il 10 ottobre 2016, la Corte plenaria ha proposto di eleggere il
Vicepresidente in carica, Giudice federale Ulrich Meyer, quale nuovo Presidente del
Tribunale federale. L'attuale Presidente del Tribunale federale, Giudice federale Gilbert
Kolly, lascerà la sua funzione alla fine dell'anno. La Corte plenaria propone, inoltre, di
eleggere la Giudice federale Martha Niquille-Eberle alla vicepresidenza. Il nuovo Presidente e la nuova Vicepresidente siedono per legge nella Commissione amministrativa.
Quale terzo membro di questa Commissione, la Corte plenaria ha eletto lunedì il
Giudice federale Yves Donzallaz.
Ad inizio 2017, due delle sette Corti conosceranno un nuovo Presidente. Il Giudice federale Jean Fonjallaz lascerà la carica di Presidente della Prima Corte di diritto pubblico
alla fine del 2016. Al suo posto, la Corte plenaria ha eletto il Giudice federale Thomas
Merkli. La Giudice federale Brigitte Pfiffner succede il 1° gennaio 2017 alla Giudice
federale Lucrezia Glanzmann come Presidente della Seconda Corte di diritto sociale a
Lucerna. Al suo posto è stata eletta la Giudice federale Brigitte Pfiffner. I Presidi delle
altre cinque Corti restano immutati (Seconda Corte di diritto pubblico: Giudice federale
Hans Georg Seiler, Prima Corte di diritto civile: Giudice federale Christina Kiss,
Seconda Corte di diritto civile: Giudice federale Nicolas von Werdt, Corte di diritto
penale: Giudice federale Christian Denys, Prima Corte di diritto sociale: Giudice federale
Marcel Maillard).
Inoltre, il Tribunale federale ha confermato i Giudici federali Luca Marazzi (nuovo Presidente) e François Chaix, nonché eletto la Giudice federale Alexia Heine quali membri
della sua Commissione di ricorso per il periodo di carica 2017-2018.
La Giudice federale Daniela Viscione, eletta dall'Assemblea federale in data 28 settembre 2016, è stata attribuita alla Prima Corte di diritto sociale. La Giudice federale
Marie-Chantal May Canellas, anch'essa eletta il 28 settembre 2016, eserciterà la sua
funzione in seno alla Prima Corte di diritto civile.
| 3 |
11.5.2_9.1.1.1_04_2016_yyyy_mm_dd_T_{lang} | Lausanne, 11. Oktober 2016
Medienmitteilung des Bundesgerichts
Wahlvorschlag für Präsidium / Vizepräsidium ab 1. Januar 2017
und Wahl Leitungsorgane
Das Bundesgericht schlägt der Bundesversammlung Herrn Bundesrichter Ulrich
Meyer zur Wahl als Bundesgerichtspräsidenten und Frau Bundesrichterin Martha
Niquille-Eberle zur Wahl als Vizepräsidentin vor. Als drittes Mitglied der Verwaltungskommission hat das Gesamtgericht Herrn Bundesrichter Yves Donzallaz gewählt. In
zwei der sieben Abteilungen des Bundesgerichts kommt es auf Anfang 2017 zu
einem Wechsel des Präsidiums.
In der Dezembersession wird die Bundesversammlung auf Vorschlag des Bundesgerichts hin das Präsidium und das Vizepräsidium des Bundesgerichts für die Amtsperiode
2017 bis 2018 wählen. Die Vollversammlung der ordentlichen Bundesrichterinnen und
Bundesrichter (Gesamtgericht) hat am 10. Oktober 2016 beschlossen, den amtierenden
Vizepräsidenten des Bundesgerichts, Herrn Bundesrichter Ulrich Meyer, zur Wahl als
neuen Präsidenten des Bundesgerichts vorzuschlagen. Der aktuelle Bundesgerichtspräsident, Herr Bundesrichter Gilbert Kolly, tritt auf Ende Jahr von seinem Amt als
Bundesrichter zurück. Als neue Vizepräsidentin schlägt das Gesamtgericht Frau
Bundesrichterin Martha Niquille-Eberle zur Wahl vor. Der neue Präsident und die neue
Vizepräsidentin nehmen von Gesetzes wegen auch in der Verwaltungskommission des
Bundesgerichts Einsitz. Als drittes Mitglied der Verwaltungskommission hat das
Gesamtgericht am Montag Herrn Bundesrichter Yves Donzallaz gewählt.
Auf Anfang 2017 kommt es in zwei der sieben Abteilungen des Bundesgerichts zu
einem Wechsel des Präsidiums. Herr Bundesrichter Jean Fonjallaz gibt Ende 2016 das
Amt als Abteilungspräsident der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung ab. Als seinen
Nachfolger hat das Gesamtgericht Herrn Bundesrichter Thomas Merkli gewählt. Frau
Bundesrichterin Brigitte Pfiffner löst auf Anfang 2017 Frau Bundesrichterin Lucrezia
Glanzmann als Präsidentin der Zweiten sozialrechtlichen Abteilung in Luzern ab. Die
Präsidien der übrigen fünf Abteilungen bleiben unverändert (Zweite öffentlich-rechtliche
Abteilung: Bundesrichter Hans Georg Seiler, Erste zivilrechtliche Abteilung: Bundesrichterin Christina Kiss, Zweite zivilrechtliche Abteilung: Bundesrichter Nicolas von
Werdt, Strafrechtliche Abteilung: Bundesrichter Christian Denys, Erste sozialrechtliche
Abteilung: Bundesrichter Marcel Maillard).
Weiter hat das Bundesgericht als Mitglieder seiner Rekurskommission für die Amtsperiode 2017 bis 2018 Herrn Bundesrichter Luca Marazzi (neu Vorsitz) und Herrn
Bundesrichter François Chaix bestätigt sowie Frau Bundesrichterin Alexia Heine neu
gewählt.
Die am 28. September 2016 von der Bundesversammlung neu gewählte Bundesrichterin
Daniela Viscione wird der Ersten sozialrechtlichen Abteilung zugeteilt, die neu gewählte
Bundesrichterin Marie-Chantal May Canellas der Ersten zivilrechtlichen Abteilung.
| Lausanne, le 11 octobre 2016
Communiqué aux médias du Tribunal fédéral
Proposition pour l'élection à la Présidence et à la Vice-Prési dence
dès le 1er janvier 2017 et élection des organes de direc tion
Le Tribunal fédéral propose à l'Assemblée fédérale d'élire Monsieur le Juge Ulrich
Meyer en qualité de Président du Tribunal fédéral et Madame la Juge Martha NiquilleEberle comme Vice-Présidente. La Cour plénière a élu Monsieur le Juge Yves
Donzallaz comme troisième membre de la Commission administrative. Au début de
l'année 2017, le Tribunal fédéral comptera deux nouveaux présidents de cour sur
sept.
Lors de la session de décembre, l'Assemblée fédérale élira, sur proposition du Tribunal
fédéral, le Président et la Vice-Présidente du Tribunal fédéral pour la période 2017 à
2018. La Cour plénière, composée de tous les juges fédéraux, a décidé le 10 octobre
2016 de proposer l'actuel Vice-Président du Tribunal fédéral, Monsieur le Juge Ulrich
Meyer, pour l'élection en tant que nouveau Président du Tribunal fédéral. Le Président
actuel du Tribunal fédéral, Monsieur le Juge Gilbert Kolly, quittera sa fonction de Juge
fédéral à la fin de l'année en cours. La Cour plénière propose d'élire Madame la Juge
Martha Niquille-Eberle à la fonction de Vice-Présidente. Le nouveau Président et la
nouvelle Vice-Présidente sont membres de la Commission administrative du Tribunal
fédéral de par la loi. La Cour plénière a élu lundi Monsieur le Juge Yves Donzallaz en
qualité de troisième membre de la Commission administrative.
Au début de l'année 2017, deux des sept cours du Tribunal fédéral auront un nouveau
président ou une nouvelle présidente. Monsieur le Juge Jean Fonjallaz termine à la fin
de 2016 son mandat comme Président de la Première Cour de droit public. Monsieur le
Juge Thomas Merkli a été élu à sa succession par la Cour plénière. Madame la Juge
Brigitte Pfiffner remplace dès le 1 er janvier 2017 Madame la Juge Lucrezia Glanzmann
comme Présidente de la Deuxième Cour de droit social à Lucerne. Les présidences des
cinq autres cours restent inchangées (II e Cour de droit public : Monsieur le Juge Hans
Georg Seiler, Ire Cour de droit civil : Madame la Juge Christina Kiss, II e Cour de droit
civil : Monsieur le Juge Nicolas von Werdt, Cour de droit pénal : Monsieur le Juge
Christian Denys, I re Cour de droit social : Monsieur le Juge Marcel Maillard).
De plus, le Tribunal fédéral a confirmé les membres de sa Commission de recours pour
la période 2017 à 2018, à savoir Monsieur le Juge Luca Marazzi (nouveau Président)
ainsi que Monsieur le Juge François Chaix et a élu Madame la Juge Alexia Heine en
qualité de nouvelle membre de cette commission.
Madame la Juge Daniela Viscione a été affectée à la I re Cour de droit social et Madame
la Juge Marie-Chantal May Canellas à la I re Cour de droit civil; toutes deux avaient été
élues par l'Assemblée fédérale le 28 septembre 2016.
| Losanna, 11 ottobre 2016
Comunicato stampa del Tribunale federale
Proposta di elezione per la presidenza e la vicepresidenza dal
1° gennaio 2017 ed elezione degli organi direttivi
Il Tribunale federale propone all'Assemblea federale di eleggere il Giudice federale
Ulrich Meyer alla presidenza del Tribunale federale e la Giudice federale Martha
Niquille-Eberle alla vicepresidenza. La Corte plenaria ha eletto il Giudice federale
Yves Donzallaz quale terzo membro della Commissione amministrativa. Ad inizio
2017, due delle sette Corti del Tribunale federale conosceranno un nuovo Presidente.
Durante la sessione di dicembre, l'Assemblea federale procederà all'elezione, su proposta del Tribunale federale, del Presidente e del Vicepresidente del Tribunale federale
per il periodo 2017-2018. Il 10 ottobre 2016, la Corte plenaria ha proposto di eleggere il
Vicepresidente in carica, Giudice federale Ulrich Meyer, quale nuovo Presidente del
Tribunale federale. L'attuale Presidente del Tribunale federale, Giudice federale Gilbert
Kolly, lascerà la sua funzione alla fine dell'anno. La Corte plenaria propone, inoltre, di
eleggere la Giudice federale Martha Niquille-Eberle alla vicepresidenza. Il nuovo Presidente e la nuova Vicepresidente siedono per legge nella Commissione amministrativa.
Quale terzo membro di questa Commissione, la Corte plenaria ha eletto lunedì il
Giudice federale Yves Donzallaz.
Ad inizio 2017, due delle sette Corti conosceranno un nuovo Presidente. Il Giudice federale Jean Fonjallaz lascerà la carica di Presidente della Prima Corte di diritto pubblico
alla fine del 2016. Al suo posto, la Corte plenaria ha eletto il Giudice federale Thomas
Merkli. La Giudice federale Brigitte Pfiffner succede il 1° gennaio 2017 alla Giudice
federale Lucrezia Glanzmann come Presidente della Seconda Corte di diritto sociale a
Lucerna. Al suo posto è stata eletta la Giudice federale Brigitte Pfiffner. I Presidi delle
altre cinque Corti restano immutati (Seconda Corte di diritto pubblico: Giudice federale
Hans Georg Seiler, Prima Corte di diritto civile: Giudice federale Christina Kiss,
Seconda Corte di diritto civile: Giudice federale Nicolas von Werdt, Corte di diritto
penale: Giudice federale Christian Denys, Prima Corte di diritto sociale: Giudice federale
Marcel Maillard).
Inoltre, il Tribunale federale ha confermato i Giudici federali Luca Marazzi (nuovo Presidente) e François Chaix, nonché eletto la Giudice federale Alexia Heine quali membri
della sua Commissione di ricorso per il periodo di carica 2017-2018.
La Giudice federale Daniela Viscione, eletta dall'Assemblea federale in data 28 settembre 2016, è stata attribuita alla Prima Corte di diritto sociale. La Giudice federale
Marie-Chantal May Canellas, anch'essa eletta il 28 settembre 2016, eserciterà la sua
funzione in seno alla Prima Corte di diritto civile.
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Dataset Card for Swiss Supreme Court Press Release Translations
This dataset card describes a collection of press releases from the Swiss Federal Supreme Court, provided in German, French, and Italian. It is a parallel dataset enabling multilingual translation and analysis of legal press releases.
Dataset Details
Dataset Description
This dataset consists of press releases from the Swiss Federal Supreme Court in three official languages: German, French, and Italian. Each release provides essential information on recent decisions, legal updates, and notable cases. The dataset supports multilingual tasks and can be used for machine translation, text alignment, or legal document processing and analysis.
- Curated by: Joel Niklaus
- Source: Swiss Federal Supreme Court Press Releases
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: Press release content in Italian.
Example Code
from datasets import load_dataset
# Load the press release dataset
press_release_dataset = load_dataset('joelniklaus/SwissSupremeCourtPressReleases', name='press_release', trust_remote_code=True)
# Print dataset for inspection
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Dataset Creation
Curation Rationale
The dataset was created to support multilingual legal research and media analysis. By providing structured press releases in three languages, it enables a variety of tasks in legal translation and text processing.
Source Data
The dataset is derived from publicly available Swiss Supreme Court press releases.
Data Collection and Processing
The press releases were collected, cleaned, and structured in German, French, and Italian. Each release is saved in a standardized format with a unique filename.
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Bias, Risks, and Limitations
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Joel Niklaus
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