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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 15. Juni 2018 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Bundesgericht begrüsst Botschaft zur Revision des Bundesgerichtsgesetzes mit Vorbehalt zur subsidiären Verfassungsbeschwerde Das Bundesgericht begrüsst die heutige Verabschiedung der Botschaft zur Revision des Bundesgerichtsgesetzes durch den Bundesrat. Es unterstützt das mit der Vorlage verfolgte Ziel, den Rechtsschutz für Betroffene zu erweitern, indem der Beschwerdeweg ans Bundesgericht in bisher ausgeschlossenen Rechtsbereichen geöffnet wird, sofern sich eine rechtliche Grundsatzfrage stellt oder sonst ein bedeutender Fall vorliegt. Das Bundesgericht kann vor diesem Hintergrund der Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde nicht zustimmen. 2007 wurde das Bundesgerichtsgesetz (BGG) eingeführt, mit dem unter anderem eine nachhaltige Entlastung des Bundesgerichts beabsichtigt war. Angesichts der seither eingetretenen massiven Zunahme der Beschwerdeeingänge (im Jahr 2017 erstmals über 8000 neue Fälle) kann davon nicht die Rede sein. Die Revision des BGG ist damit eine absolute Notwendigkeit geworden, um auch in Zukunft das gute Funktionieren des höchsten Gerichts sicherzustellen und insbesondere die Qualität der Begründung der Urteile zu gewährleisten. Das Bundesgericht begrüsst es deshalb, dass der Bundesrat nun die Botschaft zur Revision des BGG verabschiedet hat. Die Vorlage zielt zur Hauptsache darauf ab, den Beschwerdeweg ans Bundesgericht in bisher ausgeschlossenen Rechtsgebieten zu öffnen, sofern sich eine rechtliche Grundsatzfrage stellt oder sonst ein besonders bedeutender Fall vorliegt. Damit wird der Rechtsschutz für Betroffene auf Bereiche erweitert, die einer Prüfung durch das oberste Gericht bisher entzogen waren. Das Bundesgericht wird dadurch in die Lage versetzt, seine verfassungsmässige Aufgabe als höchstes Gericht der Schweiz in nahezu allen Rechtsmaterien wahrzunehmen, wobei der Zugang ans Bundesgericht in den weitaus meisten Rechtsgebieten weiterhin uneingeschränkt möglich sein wird. Vor diesem Hintergrund macht die vom Bundesrat vorgeschlagene Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde aus Sicht des Bundesgerichts keinen Sinn. Die seit 2007 gesammelten Erfahrungen mit der subsidiären Verfassungsbeschwerde haben gezeigt, dass diese den Rechtsuchenden praktisch nichts bringt. Daran wird sich mit der Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde gemäss bundesrätlichem Vorschlag nichts ändern. Die in der Vorlage vorgesehene Möglichkeit zur Beschwerde, wenn eine rechtliche Grundsatzfrage oder sonst ein besonders bedeutender Fall vorliegt, stellt demgegenüber den bisher mit der subsidiären Verfassungsbeschwerde gewährten Rechtsschutz weiterhin sicher und erweitert diesen ganz erheblich. Die Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde gemäss dem Konzept des Bundesrates würde zudem mindestens zur Verdoppelung der Eingänge von subsidiären Verfassungsbeschwerden, wenn nicht zu einer Vervielfachung führen, ohne dass die Rechtsuchenden davon profitieren könnten. Die angestrebte Wirkung der Vorlage, das Bundesgericht zu entlasten, würde damit in ihr Gegenteil verkehrt. Konkret: Im Jahre 2017 konnten von 429 beurteilten subsidiären Verfassungsbeschwerden nur gerade 8 (1,86 Prozent) ganz oder teilweise gutgeheissen werden. Für nahezu alle Rechtsuchenden, die mittels der subsidiären Verfassungsbeschwerde ans Bundesgericht gelangten, blieben im Ergebnis nur Kosten und Frustration übrig. Dies führt zu einem Verlust des Vertrauens in die Justiz. Sollte bei diesen Gegebenheiten im Verlauf der parlamentarischen Beratungen die subsidiäre Verfassungsbeschwerde in der Vorlage verbleiben, würde das Bundesgericht diese insgesamt ablehnen.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 15 juin 2018 Pas d'embargo Communiqué de presse du Tribunal fédéral Le Tribunal fédéral accueille favorablement le message sur la révision de la Loi sur le Tribunal fédéral sous réserve du recours constitutionnel subsidiaire Le Tribunal fédéral accueille favorablement le message sur la révision de la Loi sur le Tribunal fédéral adopté aujourd'hui par le Conseil fédéral. Il soutient l'objectif recherché par ce texte, à savoir élargir la protection juridique des personnes concernées en leur permettant de recourir au Tribunal fédéral dans des domaines juridiques jusqu'alors exclus, dans la mesure où il existe une question juridique de principe ou un cas particulièrement important pour d'autres motifs. Au vu de ce contexte, le Tribunal fédéral ne peut pas approuver le maintien du recours constitutionnel subsidiaire. La Loi sur le Tribunal fédéral (LTF) est entrée en vigueur en 2007 et avait notamment pour objectif de décharger durablement le Tribunal fédéral. Au vu de l'augmentation massive du nombre de recours introduits depuis lors (en 2017 pour la première fois plus de 8000 nouvelles affaires), cet objectif ne peut pas être considéré comme atteint. Il en résulte que la révision de la LTF est devenue absolument nécessaire afin de garantir à l'avenir aussi, le bon fonctionnement de la Cour suprême et en particulier la qualité de la motivation de ses décisions. C'est la raison pour laquelle le Tribunal fédéral accueille favorablement le fait que le Conseil fédéral ait adopté maintenant le message sur la révision de la LTF. Le texte présenté a pour objectif principal d'ouvrir les voies de recours au Tribunal fédéral dans des domaines juridiques jusqu'alors exclus dans la mesure où il existe une question juridique de principe ou un cas particulièrement important pour d'autres motifs. Il en résulte une protection juridique accrue pour les personnes concernées dans des domaines qui jusqu'alors ne pouvaient pas être examinés par la Cour suprême. Le Tribunal fédéral sera à même par ces mesures d'assumer sa fonction constitutionnelle de Cour suprême de la Suisse dans pratiquement tous les domaines juridiques et à l'avenir l'accès au Tribunal fédéral continuera d'être non-limité dans la grande majorité des domaines juridiques. Dans ce contexte, le maintien du recours constitutionnel subsidiaire proposé par le Conseil fédéral n'est pas utile du point de vue du Tribunal fédéral. Les expériences faites depuis 2007 avec le recours constitutionnel subsidiaire ont démontré que celui-ci n'apportait pratiquement rien aux justiciables. Cette situation ne devrait pas changer avec le maintien du recours constitutionnel subsidiaire prévu dans la proposition du Conseil fédéral. La possibilité introduite dans le texte, de pouvoir déposer un recours lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, procure une protection juridique équivalente à celle accordée jusqu'à ce jour par le recours constitutionnel subsidiaire et l'élargit même considérablement. Le maintien du recours constitutionnel subsidiaire selon le concept du Conseil fédéral engendrerait en outre au moins un doublement du nombre de recours constitutionnels subsidiaires déposés, si ce n'est une augmentation encore plus importante, sans que le justiciable puisse en profiter. L'effet contraire à celui recherché dans le texte présenté, de décharger le Tribunal fédéral, serait alors atteint. Concrètement, en 2017, seul 8 recours constitutionnels subsidiaires (1,86%) sur 429 ont pu être admis ou partiellement admis. Ainsi, pour presque tous les justiciables qui se sont adressés au Tribunal fédéral par la voie du recours constitutionnel subsidiaire, il n'en est résulté que des coûts et de la frustration. Cette situation contribue à une perte de confiance dans la justice. Si à l'issue des débats parlementaires et au vu de la situation actuelle le recours constitutionnel subsidiaire devait rester dans le texte présenté, le Tribunal fédéral le rejetterait dans son entier.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 15 giugno 2018 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Il Tribunale federale accoglie favorevolmente il messaggio concernente la revisione della legge sul Tribunale federale con una riserva attinente al ricorso sussidiario in materia costituzionale Il Tribunale federale accoglie favorevolmente il messaggio concernente la revisione della legge sul Tribunale federale licenziato in data odierna dal Consiglio federale. Esso appoggia l'obiettivo del progetto volto ad ampliare la protezione giuridica degli interessati attraverso la possibilità, in presenza di questioni di diritto di importanza fondamentale o casi particolarmente importanti, di interporre ricorso in ambiti giuridici in cui tale eventualità era finora esclusa. In questo contesto, il Tribunale federale non può concordare sul mantenimento del ricorso sussidiario in materia costituzionale. Fra gli scopi perseguiti dalla legge sul Tribunale federale (LTF) entrata in vigore nel 2007 vi era anche quello di alleviare durevolmente il carico di lavoro del Tribunale federale. Tale obiettivo non è stato raggiunto, come dimostrato dal considerevole aumento del numero di ricorsi introdotti a partire da tale data (nel 2017, il numero di nuovi casi ha per la prima volta superato le 8000 unità). Ciò premesso, la revisione della LTF costituisce un'assoluta necessità per garantire il futuro buon funzionamento del tribunale supremo e, in particolare, la qualità della motivazione delle sentenze. Pertanto, il Tribunale federale accoglie favorevolmente l'odierno licenziamento del messaggio concernente la revisione della LTF da parte del Consiglio federale. Il progetto persegue principalmente l'obiettivo d'aprire la via ricorsuale dinanzi al Tribunale federale in ambiti giuridici dove tale possibilità risulta oggi esclusa, nella misura in cui il caso pone una questione di diritto d'importanza fondamentale oppure riveste particolare importanza. La protezione giuridica viene pertanto estesa ad ambiti precedentemente esclusi dal controllo da parte del Tribunale federale. Esso potrà così adempiere al suo mandato costituzionale di corte suprema in quasi tutte le materie giuridiche, premesso come l'accesso illimitato al Tribunale federale rimarrà garantito nella grande maggioranza delle aree del diritto. In questo contesto, il Tribunale federale è d'avviso che un mantenimento del ricorso sussidiario in materia costituzionale, conformemente alla proposta del Consiglio federale, non abbia alcun senso. Le esperienze raccolte a far tempo dal 2007 mostrano come tale ricorso manchi di portata pratica per gli interessati e ciò indipendentemente da un suo mantenimento conformemente alla proposta del Consiglio federale. La proposta contenuta nel progetto, volta a introdurre la possibilità di interporre ricorso dinanzi al Tribunale federale in presenza di questioni di diritto di importanza fondamentale o casi particolarmente importanti, garantisce ed estende notevolmente la protezione giuridica finora garantita dal ricorso sussidiario in materia costituzionale. Inoltre, il mantenimento del ricorso sussidiario in materia costituzionale, così come concepito dal Consiglio federale, avrà quale conseguenza il raddoppio, se non la moltiplicazione, del numero di detti ricorsi e ciò senza alcun profitto per gli interessati. E gli effetti di sgravio a favore del Tribunale federale perseguiti dal progetto si trasformeranno nel loro esatto contrario. Concretamente, dei 429 ricorsi sussidiari in materia costituzionale evasi nel 2017, solo 8 (pari all'1,86%) sono stati integralmente o parzialmente accolti. Quasi tutti coloro che hanno inoltrato un ricorso sussidiario in materia costituzionale dinanzi al Tribunale federale, al termine della procedura sono stati confrontati unicamente a costi e frustrazione. Tale situazione conduce a una perdita della fiducia riposta nella giustizia. Nella misura in cui nel corso dei dibattiti parlamentari il ricorso sussidiario in materia costituzionale dovesse essere mantenuto nel progetto, il Tribunale federale lo respingerà nella sua globalità.
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Lausanne, 15. Juni 2018 Medienmitteilung des Bundesgerichts Bundesgericht begrüsst Botschaft zur Revision des Bundesgerichtsgesetzes mit Vorbehalt zur subsidiären Verfassungsbeschwerde Das Bundesgericht begrüsst die heutige Verabschiedung der Botschaft zur Revision des Bundesgerichtsgesetzes durch den Bundesrat. Es unterstützt das mit der Vorlage verfolgte Ziel, den Rechtsschutz für Betroffene zu erweitern, indem der Beschwerdeweg ans Bundesgericht in bisher ausgeschlossenen Rechtsbereichen geöffnet wird, sofern sich eine rechtliche Grundsatzfrage stellt oder sonst ein bedeutender Fall vorliegt. Das Bundesgericht kann vor diesem Hintergrund der Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde nicht zustimmen. 2007 wurde das Bundesgerichtsgesetz (BGG) eingeführt, mit dem unter anderem eine nachhaltige Entlastung des Bundesgerichts beabsichtigt war. Angesichts der seither eingetretenen massiven Zunahme der Beschwerdeeingänge (im Jahr 2017 erstmals über 8000 neue Fälle) kann davon nicht die Rede sein. Die Revision des BGG ist damit eine absolute Notwendigkeit geworden, um auch in Zukunft das gute Funktionieren des höchsten Gerichts sicherzustellen und insbesondere die Qualität der Begründung der Urteile zu gewährleisten. Das Bundesgericht begrüsst es deshalb, dass der Bundesrat nun die Botschaft zur Revision des BGG verabschiedet hat. Die Vorlage zielt zur Hauptsache darauf ab, den Beschwerdeweg ans Bundesgericht in bisher ausgeschlossenen Rechtsgebieten zu öffnen, sofern sich eine rechtliche Grundsatzfrage stellt oder sonst ein besonders bedeutender Fall vorliegt. Damit wird der Rechtsschutz für Betroffene auf Bereiche erweitert, die einer Prüfung durch das oberste Gericht bisher entzogen waren. Das Bundesgericht wird dadurch in die Lage versetzt, seine verfassungsmässige Aufgabe als höchstes Gericht der Schweiz in nahezu allen Rechtsmaterien wahrzunehmen, wobei der Zugang ans Bundesgericht in den weitaus meisten Rechtsgebieten weiterhin uneingeschränkt möglich sein wird. Vor diesem Hintergrund macht die vom Bundesrat vorgeschlagene Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde aus Sicht des Bundesgerichts keinen Sinn. Die seit 2007 gesammelten Erfahrungen mit der subsidiären Verfassungsbeschwerde haben gezeigt, dass diese den Rechtsuchenden praktisch nichts bringt. Daran wird sich mit der Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde gemäss bundesrätlichem Vorschlag nichts ändern. Die in der Vorlage vorgesehene Möglichkeit zur Beschwerde, wenn eine rechtliche Grundsatzfrage oder sonst ein besonders bedeutender Fall vorliegt, stellt demgegenüber den bisher mit der subsidiären Verfassungsbeschwerde gewährten Rechtsschutz weiterhin sicher und erweitert diesen ganz erheblich. Die Beibehaltung der subsidiären Verfassungsbeschwerde gemäss dem Konzept des Bundesrates würde zudem mindestens zur Verdoppelung der Eingänge von subsidiären Verfassungsbeschwerden, wenn nicht zu einer Vervielfachung führen, ohne dass die Rechtsuchenden davon profitieren könnten. Die angestrebte Wirkung der Vorlage, das Bundesgericht zu entlasten, würde damit in ihr Gegenteil verkehrt. Konkret: Im Jahre 2017 konnten von 429 beurteilten subsidiären Verfassungsbeschwerden nur gerade 8 (1,86 Prozent) ganz oder teilweise gutgeheissen werden. Für nahezu alle Rechtsuchenden, die mittels der subsidiären Verfassungsbeschwerde ans Bundesgericht gelangten, blieben im Ergebnis nur Kosten und Frustration übrig. Dies führt zu einem Verlust des Vertrauens in die Justiz. Sollte bei diesen Gegebenheiten im Verlauf der parlamentarischen Beratungen die subsidiäre Verfassungsbeschwerde in der Vorlage verbleiben, würde das Bundesgericht diese insgesamt ablehnen.
Lausanne, le 15 juin 2018 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Le Tribunal fédéral accueille favorablement le message sur la révision de la Loi sur le Tribunal fédéral sous réserve du recours constitutionnel subsidiaire Le Tribunal fédéral accueille favorablement le message sur la révision de la Loi sur le Tribunal fédéral adopté aujourd'hui par le Conseil fédéral. Il soutient l'objectif recherché par ce texte, à savoir élargir la protection juridique des personnes concernées en leur permettant de recourir au Tribunal fédéral dans des domaines juridiques jusqu'alors exclus, dans la mesure où il existe une question juridique de principe ou un cas particulièrement important pour d'autres motifs. Au vu de ce contexte, le Tribunal fédéral ne peut pas approuver le maintien du recours constitutionnel subsidiaire. La Loi sur le Tribunal fédéral (LTF) est entrée en vigueur en 2007 et avait notamment pour objectif de décharger durablement le Tribunal fédéral. Au vu de l'augmentation massive du nombre de recours introduits depuis lors (en 2017 pour la première fois plus de 8000 nouvelles affaires), cet objectif ne peut pas être considéré comme atteint. Il en résulte que la révision de la LTF est devenue absolument nécessaire afin de garantir à l'avenir aussi, le bon fonctionnement de la Cour suprême et en particulier la qualité de la motivation de ses décisions. C'est la raison pour laquelle le Tribunal fédéral accueille favorablement le fait que le Conseil fédéral ait adopté maintenant le message sur la révision de la LTF. Le texte présenté a pour objectif principal d'ouvrir les voies de recours au Tribunal fédéral dans des domaines juridiques jusqu'alors exclus dans la mesure où il existe une question juridique de principe ou un cas particulièrement important pour d'autres motifs. Il en résulte une protection juridique accrue pour les personnes concernées dans des domaines qui jusqu'alors ne pouvaient pas être examinés par la Cour suprême. Le Tribunal fédéral sera à même par ces mesures d'assumer sa fonction constitutionnelle de Cour suprême de la Suisse dans pratiquement tous les domaines juridiques et à l'avenir l'accès au Tribunal fédéral continuera d'être non-limité dans la grande majorité des domaines juridiques. Dans ce contexte, le maintien du recours constitutionnel subsidiaire proposé par le Conseil fédéral n'est pas utile du point de vue du Tribunal fédéral. Les expériences faites depuis 2007 avec le recours constitutionnel subsidiaire ont démontré que celui-ci n'apportait pratiquement rien aux justiciables. Cette situation ne devrait pas changer avec le maintien du recours constitutionnel subsidiaire prévu dans la proposition du Conseil fédéral. La possibilité introduite dans le texte, de pouvoir déposer un recours lorsqu'il soulève une question juridique de principe ou qu'il porte sur un cas particulièrement important pour d'autres motifs, procure une protection juridique équivalente à celle accordée jusqu'à ce jour par le recours constitutionnel subsidiaire et l'élargit même considérablement. Le maintien du recours constitutionnel subsidiaire selon le concept du Conseil fédéral engendrerait en outre au moins un doublement du nombre de recours constitutionnels subsidiaires déposés, si ce n'est une augmentation encore plus importante, sans que le justiciable puisse en profiter. L'effet contraire à celui recherché dans le texte présenté, de décharger le Tribunal fédéral, serait alors atteint. Concrètement, en 2017, seul 8 recours constitutionnels subsidiaires (1,86%) sur 429 ont pu être admis ou partiellement admis. Ainsi, pour presque tous les justiciables qui se sont adressés au Tribunal fédéral par la voie du recours constitutionnel subsidiaire, il n'en est résulté que des coûts et de la frustration. Cette situation contribue à une perte de confiance dans la justice. Si à l'issue des débats parlementaires et au vu de la situation actuelle le recours constitutionnel subsidiaire devait rester dans le texte présenté, le Tribunal fédéral le rejetterait dans son entier.
Losanna, 15 giugno 2018 Comunicato stampa del Tribunale federale Il Tribunale federale accoglie favorevolmente il messaggio concernente la revisione della legge sul Tribunale federale con una riserva attinente al ricorso sussidiario in materia costituzionale Il Tribunale federale accoglie favorevolmente il messaggio concernente la revisione della legge sul Tribunale federale licenziato in data odierna dal Consiglio federale. Esso appoggia l'obiettivo del progetto volto ad ampliare la protezione giuridica degli interessati attraverso la possibilità, in presenza di questioni di diritto di importanza fondamentale o casi particolarmente importanti, di interporre ricorso in ambiti giuridici in cui tale eventualità era finora esclusa. In questo contesto, il Tribunale federale non può concordare sul mantenimento del ricorso sussidiario in materia costituzionale. Fra gli scopi perseguiti dalla legge sul Tribunale federale (LTF) entrata in vigore nel 2007 vi era anche quello di alleviare durevolmente il carico di lavoro del Tribunale federale. Tale obiettivo non è stato raggiunto, come dimostrato dal considerevole aumento del numero di ricorsi introdotti a partire da tale data (nel 2017, il numero di nuovi casi ha per la prima volta superato le 8000 unità). Ciò premesso, la revisione della LTF costituisce un'assoluta necessità per garantire il futuro buon funzionamento del tribunale supremo e, in particolare, la qualità della motivazione delle sentenze. Pertanto, il Tribunale federale accoglie favorevolmente l'odierno licenziamento del messaggio concernente la revisione della LTF da parte del Consiglio federale. Il progetto persegue principalmente l'obiettivo d'aprire la via ricorsuale dinanzi al Tribunale federale in ambiti giuridici dove tale possibilità risulta oggi esclusa, nella misura in cui il caso pone una questione di diritto d'importanza fondamentale oppure riveste particolare importanza. La protezione giuridica viene pertanto estesa ad ambiti precedentemente esclusi dal controllo da parte del Tribunale federale. Esso potrà così adempiere al suo mandato costituzionale di corte suprema in quasi tutte le materie giuridiche, premesso come l'accesso illimitato al Tribunale federale rimarrà garantito nella grande maggioranza delle aree del diritto. In questo contesto, il Tribunale federale è d'avviso che un mantenimento del ricorso sussidiario in materia costituzionale, conformemente alla proposta del Consiglio federale, non abbia alcun senso. Le esperienze raccolte a far tempo dal 2007 mostrano come tale ricorso manchi di portata pratica per gli interessati e ciò indipendentemente da un suo mantenimento conformemente alla proposta del Consiglio federale. La proposta contenuta nel progetto, volta a introdurre la possibilità di interporre ricorso dinanzi al Tribunale federale in presenza di questioni di diritto di importanza fondamentale o casi particolarmente importanti, garantisce ed estende notevolmente la protezione giuridica finora garantita dal ricorso sussidiario in materia costituzionale. Inoltre, il mantenimento del ricorso sussidiario in materia costituzionale, così come concepito dal Consiglio federale, avrà quale conseguenza il raddoppio, se non la moltiplicazione, del numero di detti ricorsi e ciò senza alcun profitto per gli interessati. E gli effetti di sgravio a favore del Tribunale federale perseguiti dal progetto si trasformeranno nel loro esatto contrario. Concretamente, dei 429 ricorsi sussidiari in materia costituzionale evasi nel 2017, solo 8 (pari all'1,86%) sono stati integralmente o parzialmente accolti. Quasi tutti coloro che hanno inoltrato un ricorso sussidiario in materia costituzionale dinanzi al Tribunale federale, al termine della procedura sono stati confrontati unicamente a costi e frustrazione. Tale situazione conduce a una perdita della fiducia riposta nella giustizia. Nella misura in cui nel corso dei dibattiti parlamentari il ricorso sussidiario in materia costituzionale dovesse essere mantenuto nel progetto, il Tribunale federale lo respingerà nella sua globalità.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 8. September 2014 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Treffen der obersten deutschsprachigen Verwaltungsgerichte Das Bundesgericht empfängt am kommenden Mittwoch in Lausanne Richterdelegationen aus Deutschland, Österreich und dem Fürstentum Liechtenstein zum traditionellen Treffen der obersten deutschsprachigen Verwaltungsgerichte. Der vier Tage dauernde Anlass dient dem grenzüberschreitenden Gedankenaustausch zu aktuellen juristischen Themen und wird von einem Rahmenprogramm begleitet. Das Treffen der obersten deutschsprachigen Verwaltungsgerichte findet seit 1977 alle zwei Jahre statt. Dieses Jahr wird der Anlass vom 10. bis zum 13. September vom Bundesgericht in Lausanne durchgeführt. An der Veranstaltung nehmen die Präsidenten sowie Richterinnen und Richter des Verwaltungsgerichtshofs Österreich, des Bundesverwaltungsgerichts Deutschland, des Verwaltungsgerichtshofs Fürstentum Liechtenstein und des Bundesgerichts teil. Das Treffen dient dem grenzüberschreitenden Gedankenaustausch über die aktuelle Rechtsprechung sowie über Problemstellungen und Tendenzen im Verwaltungsrecht. Themenschwerpunkte der Arbeitssitzungen bilden der Grundrechts- insbesondere der Datenschutz im Lichte der elektronischen Technologien (z.B. Veröffentlichungen im Internet, Google Street View, Überwachung des öffentlichen Raums), Internationalrechtliche Verfahrensgarantien und rechtliche Fragen im Zusammenhang mit Spielbanken, Lotterien und Wetten. Der fachliche Austausch unter den Richtern wird begleitet von einem Rahmenprogramm, das unter anderem einen Besuch im Olympischen Museum in Lausanne und im CERN in Genf vorsieht.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 8 septembre 2014 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Rencontre des cours administratives suprêmes germanophones Le Tribunal fédéral reçoit ce mercredi, à Lausanne, une délégation composée de juges d’Allemagne, d’Autriche et du Liechtenstein pour la traditionnelle rencontre des cours administratives suprêmes germanophones. La réunion, d’une durée de quatre jours, a pour but un échange d’opinions au-delà des frontières sur des thèmes juridiques actuels. Un programme culturel sera également proposé en marge de cette rencontre. La rencontre entre les cours administratives suprêmes germanophones a lieu tous les deux ans depuis 1977. Le Tribunal fédéral organise la présente édition du 10 au 13 septembre 2014. Les présidents ainsi que des juges des cours administratives suprêmes d’Autriche, d’Allemagne, du Liechtenstein et du Tribunal fédéral suisse prendront part à cette rencontre. La rencontre servira à un échange d’opinions transfrontalier sur la jurisprudence actuelle ainsi que sur les problèmes et tendances dans le droit administratif. Les points forts des séances de travail seront la protection des droits fondamentaux, en particulier la protection des données en relation avec les technologies électroniques (par exemple, publications sur internet, Google Street View, surveillance du domaine public), les garanties de procédure fondées sur le droit international ainsi que les questions de droit relatives aux maisons de jeu, aux loteries et aux paris. L’échange d'expériences professionnelles entre les juges sera accompagné d’un programme culturel, prévoyant notamment une visite du Musée olympique de Lausanne et du CERN à Genève.
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Lausanne, 8. September 2014 Medienmitteilung des Bundesgerichts Treffen der obersten deutschsprachigen Verwaltungsgerichte Das Bundesgericht empfängt am kommenden Mittwoch in Lausanne Richterdelegationen aus Deutschland, Österreich und dem Fürstentum Liechtenstein zum traditionellen Treffen der obersten deutschsprachigen Verwaltungsgerichte. Der vier Tage dauernde Anlass dient dem grenzüberschreitenden Gedankenaustausch zu aktuellen juristischen Themen und wird von einem Rahmenprogramm begleitet. Das Treffen der obersten deutschsprachigen Verwaltungsgerichte findet seit 1977 alle zwei Jahre statt. Dieses Jahr wird der Anlass vom 10. bis zum 13. September vom Bundesgericht in Lausanne durchgeführt. An der Veranstaltung nehmen die Präsidenten sowie Richterinnen und Richter des Verwaltungsgerichtshofs Österreich, des Bundesverwaltungsgerichts Deutschland, des Verwaltungsgerichtshofs Fürstentum Liechtenstein und des Bundesgerichts teil. Das Treffen dient dem grenzüberschreitenden Gedankenaustausch über die aktuelle Rechtsprechung sowie über Problemstellungen und Tendenzen im Verwaltungsrecht. Themenschwerpunkte der Arbeitssitzungen bilden der Grundrechts- insbesondere der Datenschutz im Lichte der elektronischen Technologien (z.B. Veröffentlichungen im Internet, Google Street View, Überwachung des öffentlichen Raums), Internationalrechtliche Verfahrensgarantien und rechtliche Fragen im Zusammenhang mit Spielbanken, Lotterien und Wetten. Der fachliche Austausch unter den Richtern wird begleitet von einem Rahmenprogramm, das unter anderem einen Besuch im Olympischen Museum in Lausanne und im CERN in Genf vorsieht.
Lausanne, le 8 septembre 2014 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Rencontre des cours administratives suprêmes germanophones Le Tribunal fédéral reçoit ce mercredi, à Lausanne, une délégation composée de juges d’Allemagne, d’Autriche et du Liechtenstein pour la traditionnelle rencontre des cours administratives suprêmes germanophones. La réunion, d’une durée de quatre jours, a pour but un échange d’opinions au-delà des frontières sur des thèmes juridiques actuels. Un programme culturel sera également proposé en marge de cette rencontre. La rencontre entre les cours administratives suprêmes germanophones a lieu tous les deux ans depuis 1977. Le Tribunal fédéral organise la présente édition du 10 au 13 septembre 2014. Les présidents ainsi que des juges des cours administratives suprêmes d’Autriche, d’Allemagne, du Liechtenstein et du Tribunal fédéral suisse prendront part à cette rencontre. La rencontre servira à un échange d’opinions transfrontalier sur la jurisprudence actuelle ainsi que sur les problèmes et tendances dans le droit administratif. Les points forts des séances de travail seront la protection des droits fondamentaux, en particulier la protection des données en relation avec les technologies électroniques (par exemple, publications sur internet, Google Street View, surveillance du domaine public), les garanties de procédure fondées sur le droit international ainsi que les questions de droit relatives aux maisons de jeu, aux loteries et aux paris. L’échange d'expériences professionnelles entre les juges sera accompagné d’un programme culturel, prévoyant notamment une visite du Musée olympique de Lausanne et du CERN à Genève.
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11.5.2_14.6.14.2_1_2015_yyyy_mm_dd_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 20. Mai 2015 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Kongress ACCPUF vom 3. bis 7. Juni in Lausanne Das Bundesgericht richtet in Lausanne vom 3. bis zum 7. Juni 2015 den Kongress und die Generalversammlung der Vereinigung der französischsprachigen Verfassungsgerichte (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français) aus. An der Veranstaltung unter dem Titel "La suprématie de la constitution" (Der Vorrang der Verfassung) nehmen rund 100 Personen aus 48 Ländern teil. Im Rahmen der Konferenz finden Arbeitssitzungen der Vertreter der beteiligten Gerichte sowie Sitzungen der ACCPUF-Organe statt. Am kommenden 3. Juni treffen in Lausanne rund 100 Teilnehmer zum dreijährlich stattfindenden Kongress der ACCPUF ein. Die Konferenz unter dem Titel "La suprématie de la constitution" wird vom Schweizerischen Bundesgericht organisiert und durchgeführt. Zahlreiche Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter des Bundesgerichts helfen bei der Durchführung des Anlasses mit. Im Rahmen der Eröffnungsfeier vom 4. Juni wird neben anderen Frau Bundespräsidentin Simonetta Sommaruga eine Ansprache halten. Während der Konferenz finden Arbeitssitzungen der Vertreter der beteiligten Gerichte, die Generalversammlung sowie Sitzungen der Organe der ACCPUF statt. Der Kongress dauert bis zum 7. Juni und wird von einem Rahmenprogramm ergänzt, das auch einen Besuch des Bundeshauses in Bern vorsieht. Die ACCPUF wurde 1997 gegründet; heute gehören ihr 45 Verfassungsgerichte aus Afrika, Europa, Amerika und Asien an; drei weitere Verfassungsgerichte haben Beobachterstatus. Gemäss den Statuten der ACCPUF können Institutionen aus Ländern aufgenommen werden, in denen die französische Sprache verwendet wird und die – unabhängig von ihrer konkreten Bezeichnung – in letzter Instanz über "Streitigkeiten zur Vereinbarkeit mit der Verfassung" entscheiden. ACCPUF hat zum Ziel, durch die Entwicklung der Beziehungen unter den beteiligten Gerichten die Rechtsstaatlichkeit zu fördern. Eine Mitgliedschaft bei der ACCPUF beinhaltet keinerlei Bestrebungen zur Änderung der aktuellen Überprüfungsbefugnisse der beteiligten Gerichte in Verfassungsfragen. Das Bundesgericht wurde 1997 in die ACCPUF aufgenommen. Aktuell wird die Vereinigung von Herr Mohamed Achargui präsidiert, dem Präsidenten des Verfassungsrates des Königreichs Marokko, wo 2012 der letzte Kongress der ACCPUF stattgefunden hat. Dabei wurde dem Bundesgericht das erste Vizepräsidium des Büros der ACCPUF und die Ausrichtung des nun stattfindenden Kongresses übertragen.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 20 mai 2015 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Congrès de l'ACCPUF du 3 au 7 juin à Lausanne Le Tribunal fédéral organise à Lausanne, du 3 au 7 juin 2015, le Congrès et l'Assemblée générale de l'Association des Cours Constitutionnelles ayant en Partage l'Usage du Français (ACCPUF). Environ 100 personnes provenant de 48 pays prendront part à cette manifestation qui aura pour thème « La suprématie de la Constitution ». Des séances de travail des représentants des Cours participantes ainsi que des réunions des organes de l'Association auront lieu dans le cadre de cette Conférence. Le 3 juin prochain, environ 100 participants se réuniront à Lausanne pour assister au Congrès triennal de l'ACCPUF. La Conférence sur le thème « La suprématie de la Constitution » est organisée par le Tribunal fédéral suisse. De nombreux employés du Tribunal fédéral apporteront leur soutien au bon déroulement de la manifestation. La cérémonie d'ouverture du 4 juin accueillera entre autres orateurs la Présidente de la Confédération suisse Simonetta Sommaruga. Pendant la Conférence, auront lieu des séances de travail des représentants des Cours participantes, l'Assemblée générale ainsi que des réunions des organes de l'Association. Le Congrès se terminera le 7 juin et finira par une excursion incluant notamment une visite du Palais fédéral à Berne. L'ACCPUF a été fondée en 1997 et est composée à ce jour de 45 Cours constitutionnelles d'Afrique, d'Europe, d'Amérique et d'Asie; trois autres Cours constitutionnelles y ont un statut d'observateur. Selon les statuts de l'ACCPUF, peuvent devenir membres les institutions, quelles que soient leurs appellations, qui proviennent de pays ayant en partage l'usage du français et qui tranchent en dernière instance les litiges de conformité à la Constitution. L'ACCPUF a pour but de favoriser l'approfondissement de l'Etat de droit par un développement des relations entre les membres. La qualité de membre n'implique aucunement l'obligation, de la part des institutions participantes, de modifier leur pouvoir de contrôle actuel sur les questions constitutionnelles. Le Tribunal fédéral est entré dans l'ACCPUF en 1997. Actuellement, l'Association est présidée par Monsieur Mohamed Achargui, Président du Conseil constitutionnel du Royaume du Maroc, pays qui a accueilli en 2012 le dernier Congrès de l'ACCPUF. A cette occasion, le Tribunal fédéral a été élu à la première viceprésidence du Bureau et s'est vu confier l'organisation du présent Congrès.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 20 maggio 2015 Nessun Embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Congresso ACCPUF dal 3 al 7 giugno a Losanna Il Tribunale federale organizzerà a Losanna dal 3 al 7 giugno 2015 il Congresso e l'Assemblea Generale dell'Associazione delle Corti costituzionali che hanno in comune l'uso della lingua francese (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français). All'evento, intitolato "La supremazia della Costituzione" (La suprématie de la Constitution), parteciperanno circa 100 persone provenienti da 48 paesi. Durante il congresso avranno luogo delle riunioni dei rappresentanti dei tribunali membri e degli organi dell'ACCPUF. Un centinaio di partecipanti si riuniranno il 3 giugno prossimo a Losanna per assistere al Congresso dell'ACCPUF, che si tiene ogni 3 anni. Il Congresso, intitolato "La supremazia della Costituzione" (La suprématie de la Constitution), è organizzato dal Tribunale federale svizzero. Numerose collaboratrici e collaboratori del Tribunale federale parteciperanno all'organizzazione e allo svolgimento del Congresso. Alla cerimonia inaugurale del 4 giugno interverrà, tra gli altri, la Presidente della Confederazione svizzera Simonetta Sommaruga. Durante tutta la durata del Congresso avranno luogo delle riunioni dei rappresentanti dei tribunali membri e degli organi dell'ACCPUF. Il Congresso si concluderà il 7 giugno con un'escursione durante la quale è segnatamente prevista una visita del Parlamento federale a Berna. L'ACCPUF, fondata nel 1997, è attualmente composta da 45 corti costituzionali africane, europee, americane e asiatiche. Tre ulteriori corti costituzionali hanno dal canto loro lo statuto di osservatrici. Secondo gli statuti dell'ACCPUF possono aderire all'associazione le istituzioni dei Paesi che hanno in comune l'uso della lingua francese che – indipendentemente dalla loro denominazione – decidono in ultima istanza sui litigi concernenti la costituzionalità. Obbiettivo di ACCPUF è di promuovere lo stato di diritto attraverso lo sviluppo delle relazioni tra i suoi membri. L'appartenenza all'ACCPUF non prospetta una modifica dell'attuale competenza dei tribunali membri nell'ambito del controllo costituzionale. Il Tribunale federale è entrato a far parte dell'ACCPUF nel 1997. L'associazione è attualmente presieduta da Mohamed Achargui, Presidente del Consiglio costituzionale del Regno del Marocco, dove nel 2012 ha avuto luogo l'ultima edizione del Congresso. In quell'occasione, il Tribunale federale svizzero è stato eletto alla prima Vicepresidenza dell'ACCPUF ed incaricato dell'organizzazione del presente congresso.
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Lausanne, 20. Mai 2015 Medienmitteilung des Bundesgerichts Kongress ACCPUF vom 3. bis 7. Juni in Lausanne Das Bundesgericht richtet in Lausanne vom 3. bis zum 7. Juni 2015 den Kongress und die Generalversammlung der Vereinigung der französischsprachigen Verfassungsgerichte (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français) aus. An der Veranstaltung unter dem Titel "La suprématie de la constitution" (Der Vorrang der Verfassung) nehmen rund 100 Personen aus 48 Ländern teil. Im Rahmen der Konferenz finden Arbeitssitzungen der Vertreter der beteiligten Gerichte sowie Sitzungen der ACCPUF-Organe statt. Am kommenden 3. Juni treffen in Lausanne rund 100 Teilnehmer zum dreijährlich stattfindenden Kongress der ACCPUF ein. Die Konferenz unter dem Titel "La suprématie de la constitution" wird vom Schweizerischen Bundesgericht organisiert und durchgeführt. Zahlreiche Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter des Bundesgerichts helfen bei der Durchführung des Anlasses mit. Im Rahmen der Eröffnungsfeier vom 4. Juni wird neben anderen Frau Bundespräsidentin Simonetta Sommaruga eine Ansprache halten. Während der Konferenz finden Arbeitssitzungen der Vertreter der beteiligten Gerichte, die Generalversammlung sowie Sitzungen der Organe der ACCPUF statt. Der Kongress dauert bis zum 7. Juni und wird von einem Rahmenprogramm ergänzt, das auch einen Besuch des Bundeshauses in Bern vorsieht. Die ACCPUF wurde 1997 gegründet; heute gehören ihr 45 Verfassungsgerichte aus Afrika, Europa, Amerika und Asien an; drei weitere Verfassungsgerichte haben Beobachterstatus. Gemäss den Statuten der ACCPUF können Institutionen aus Ländern aufgenommen werden, in denen die französische Sprache verwendet wird und die – unabhängig von ihrer konkreten Bezeichnung – in letzter Instanz über "Streitigkeiten zur Vereinbarkeit mit der Verfassung" entscheiden. ACCPUF hat zum Ziel, durch die Entwicklung der Beziehungen unter den beteiligten Gerichten die Rechtsstaatlichkeit zu fördern. Eine Mitgliedschaft bei der ACCPUF beinhaltet keinerlei Bestrebungen zur Änderung der aktuellen Überprüfungsbefugnisse der beteiligten Gerichte in Verfassungsfragen. Das Bundesgericht wurde 1997 in die ACCPUF aufgenommen. Aktuell wird die Vereinigung von Herr Mohamed Achargui präsidiert, dem Präsidenten des Verfassungsrates des Königreichs Marokko, wo 2012 der letzte Kongress der ACCPUF stattgefunden hat. Dabei wurde dem Bundesgericht das erste Vizepräsidium des Büros der ACCPUF und die Ausrichtung des nun stattfindenden Kongresses übertragen.
Lausanne, le 20 mai 2015 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Congrès de l'ACCPUF du 3 au 7 juin à Lausanne Le Tribunal fédéral organise à Lausanne, du 3 au 7 juin 2015, le Congrès et l'Assemblée générale de l'Association des Cours Constitutionnelles ayant en Partage l'Usage du Français (ACCPUF). Environ 100 personnes provenant de 48 pays prendront part à cette manifestation qui aura pour thème « La suprématie de la Constitution ». Des séances de travail des représentants des Cours participantes ainsi que des réunions des organes de l'Association auront lieu dans le cadre de cette Conférence. Le 3 juin prochain, environ 100 participants se réuniront à Lausanne pour assister au Congrès triennal de l'ACCPUF. La Conférence sur le thème « La suprématie de la Constitution » est organisée par le Tribunal fédéral suisse. De nombreux employés du Tribunal fédéral apporteront leur soutien au bon déroulement de la manifestation. La cérémonie d'ouverture du 4 juin accueillera entre autres orateurs la Présidente de la Confédération suisse Simonetta Sommaruga. Pendant la Conférence, auront lieu des séances de travail des représentants des Cours participantes, l'Assemblée générale ainsi que des réunions des organes de l'Association. Le Congrès se terminera le 7 juin et finira par une excursion incluant notamment une visite du Palais fédéral à Berne. L'ACCPUF a été fondée en 1997 et est composée à ce jour de 45 Cours constitutionnelles d'Afrique, d'Europe, d'Amérique et d'Asie; trois autres Cours constitutionnelles y ont un statut d'observateur. Selon les statuts de l'ACCPUF, peuvent devenir membres les institutions, quelles que soient leurs appellations, qui proviennent de pays ayant en partage l'usage du français et qui tranchent en dernière instance les litiges de conformité à la Constitution. L'ACCPUF a pour but de favoriser l'approfondissement de l'Etat de droit par un développement des relations entre les membres. La qualité de membre n'implique aucunement l'obligation, de la part des institutions participantes, de modifier leur pouvoir de contrôle actuel sur les questions constitutionnelles. Le Tribunal fédéral est entré dans l'ACCPUF en 1997. Actuellement, l'Association est présidée par Monsieur Mohamed Achargui, Président du Conseil constitutionnel du Royaume du Maroc, pays qui a accueilli en 2012 le dernier Congrès de l'ACCPUF. A cette occasion, le Tribunal fédéral a été élu à la première viceprésidence du Bureau et s'est vu confier l'organisation du présent Congrès.
Losanna, 20 maggio 2015 Comunicato stampa del Tribunale federale Congresso ACCPUF dal 3 al 7 giugno a Losanna Il Tribunale federale organizzerà a Losanna dal 3 al 7 giugno 2015 il Congresso e l'Assemblea Generale dell'Associazione delle Corti costituzionali che hanno in comune l'uso della lingua francese (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français). All'evento, intitolato "La supremazia della Costituzione" (La suprématie de la Constitution), parteciperanno circa 100 persone provenienti da 48 paesi. Durante il congresso avranno luogo delle riunioni dei rappresentanti dei tribunali membri e degli organi dell'ACCPUF. Un centinaio di partecipanti si riuniranno il 3 giugno prossimo a Losanna per assistere al Congresso dell'ACCPUF, che si tiene ogni 3 anni. Il Congresso, intitolato "La supremazia della Costituzione" (La suprématie de la Constitution), è organizzato dal Tribunale federale svizzero. Numerose collaboratrici e collaboratori del Tribunale federale parteciperanno all'organizzazione e allo svolgimento del Congresso. Alla cerimonia inaugurale del 4 giugno interverrà, tra gli altri, la Presidente della Confederazione svizzera Simonetta Sommaruga. Durante tutta la durata del Congresso avranno luogo delle riunioni dei rappresentanti dei tribunali membri e degli organi dell'ACCPUF. Il Congresso si concluderà il 7 giugno con un'escursione durante la quale è segnatamente prevista una visita del Parlamento federale a Berna. L'ACCPUF, fondata nel 1997, è attualmente composta da 45 corti costituzionali africane, europee, americane e asiatiche. Tre ulteriori corti costituzionali hanno dal canto loro lo statuto di osservatrici. Secondo gli statuti dell'ACCPUF possono aderire all'associazione le istituzioni dei Paesi che hanno in comune l'uso della lingua francese che – indipendentemente dalla loro denominazione – decidono in ultima istanza sui litigi concernenti la costituzionalità. Obbiettivo di ACCPUF è di promuovere lo stato di diritto attraverso lo sviluppo delle relazioni tra i suoi membri. L'appartenenza all'ACCPUF non prospetta una modifica dell'attuale competenza dei tribunali membri nell'ambito del controllo costituzionale. Il Tribunale federale è entrato a far parte dell'ACCPUF nel 1997. L'associazione è attualmente presieduta da Mohamed Achargui, Presidente del Consiglio costituzionale del Regno del Marocco, dove nel 2012 ha avuto luogo l'ultima edizione del Congresso. In quell'occasione, il Tribunale federale svizzero è stato eletto alla prima Vicepresidenza dell'ACCPUF ed incaricato dell'organizzazione del presente congresso.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 11. Juni 2015 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Bundesgerichtspräsident präsidiert ACCPUF bis 2018 Der Präsident des Schweizerischen Bundesgerichts präsidiert die nächsten drei Jahre die Vereinigung der französischsprachigen Verfassungsgerichte (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français). Das Präsidium wurde von der Generalversammlung der ACCPUF an ihrer Konferenz von vergangener Woche in Lausanne übertragen. Vom 3. Juni bis zum 7. Juni 2015 fand in Lausanne der Kongress der ACCPUF statt. Anlässlich der Generalversammlung der ACCPUF vom vergangenen Freitag wurde dem Präsidenten des Schweizerischen Bundesgerichts das Präsidium für die Jahre 2015 bis 2018 übertragen. Von 2012 bis 2015 hatte das Bundesgericht das Vizepräsidium des Büros der ACCPUF ausgeübt und in diesem Rahmen den Kongress der ACCPUF von letzter Woche in Lausanne organisiert. Die Konferenz, bei deren Durchführung zahlreiche Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter des Bundesgerichts mitgeholfen haben, fand zum Thema "La suprématie de la constitution" (Der Vorrang der Verfassung) statt. Während der Konferenz nahmen die rund 100 Teilnehmerinnen und Teilnehmer aus über 30 Ländern an mehreren Arbeitssitzungen teil. Ein Gesamtbericht und die Schlussfolgerungen zu den Konferenzergebnissen werden zu einem späteren Zeitpunkt veröffentlicht. Weitere Informationen zum ACCPUF-Kongress entnehmen Sie bitte unserer Medienmitteilung vom 20. Mai 2015, abrufbar unter: http://www.bger.ch/index/press/press-inherit-template/press-mitteilungen.htm
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 11 juin 2015 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Le Président du Tribunal fédéral préside l'ACCPUF jusqu'en 2018 Le Président du Tribunal fédéral suisse préside les trois prochaines années l'Association des Cours Constitutionnelles ayant en Partage l'Usage du Français (ACCPUF). La Présidence a été confiée par l'Assemblée générale de l'ACCPUF lors de son Congrès de la semaine passée à Lausanne. Le Congrès de l'ACCPUF a eu lieu du 3 au 7 juin 2015 à Lausanne. A l'occasion de l'Assemblée générale de l'ACCPUF de vendredi dernier, la Présidence de l'ACCPUF a été confiée au Président du Tribunal fédéral suisse pour les années 2015 à 2018. De 2012 à 2015, le Tribunal fédéral a exercé la vice-présidence du Bureau de l'ACCPUF et, dans ce cadre, a organisé le Congrès de l'ACCPUF de la semaine passée à Lausanne. La Conférence, pour laquelle de nombreux employés du Tribunal fédéral ont apporté leur soutien, a eu pour thème « La suprématie de la constitution ». Lors de cette Conférence environ 100 participantes et participants de plus de 30 pays ont participé aux différentes séances de travail. Un rapport général ainsi que les conclusions des résultats de la Conférence seront publiés ultérieurement. Vous trouverez de plus amples informations dans notre communiqué aux médias du 20 mai 2015, disponible sur: http://www.bger.ch/fr/index/press/press-inherit-template/press-mitteilungen.htm
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 11 giugno 2015 Nessun Embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Il Presidente del Tribunale federale presiederà ACCPUF sino al 2018 Il Presidente dell Tribunale federale svizzero presiederà per i prossimi tre anni l'Associazione delle Corti costituzionali che hanno in comune l'uso della lingua francese (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français). L'assegnazione della presidenza è avvenuta durante il Congresso e l'Assemblea generale dell'ACCPUF, che hanno avuto luogo ad inizio giugno a Losanna. Il Congresso dell'ACCPUF si è svolto dal 3 al 7 giugno a Losanna. In occasione dell'Assemblea generale dell'ACCPUF, avvenuta venerdì 5 giugno, al Presidente del Tribunale federale svizzero è stata assegnata la presidenza dell'associazione dal 2015 al 2018. Il Tribunale federale è stato vicepresidente dell'Associazione dal 2012 al 2015 e in quanto tale ha organizzato il Congresso che si è tenuto a Losanna. La conferenza, all'organizzazione della quale hanno partecipato numerosi collaboratori e collaboratrici del Tribunale federale, era intitolata "La supremazia della Costituzione" (La suprématie de la Constitution). Un centinaio di partecipanti, provenienti da oltre 30 paesi, hanno preso parte alle sedute di lavoro. Un rapporto completo, con le conclusioni e le conseguenze delle Conferenze, verrà pubblicato ulteriormente. Per altre informazioni sul Congresso dell'ACCPUF vi invitiamo a consultare il nostro comunicato stampa del 20 maggio 2015, disponibile all'indirizzo: http://www.bger.ch/index/press/press-inherit-template/press-mitteilungen.htm
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Lausanne, 11. Juni 2015 Medienmitteilung des Bundesgerichts Bundesgerichtspräsident präsidiert ACCPUF bis 2018 Der Präsident des Schweizerischen Bundesgerichts präsidiert die nächsten drei Jahre die Vereinigung der französischsprachigen Verfassungsgerichte (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français). Das Präsidium wurde von der Generalversammlung der ACCPUF an ihrer Konferenz von vergangener Woche in Lausanne übertragen. Vom 3. Juni bis zum 7. Juni 2015 fand in Lausanne der Kongress der ACCPUF statt. Anlässlich der Generalversammlung der ACCPUF vom vergangenen Freitag wurde dem Präsidenten des Schweizerischen Bundesgerichts das Präsidium für die Jahre 2015 bis 2018 übertragen. Von 2012 bis 2015 hatte das Bundesgericht das Vizepräsidium des Büros der ACCPUF ausgeübt und in diesem Rahmen den Kongress der ACCPUF von letzter Woche in Lausanne organisiert. Die Konferenz, bei deren Durchführung zahlreiche Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter des Bundesgerichts mitgeholfen haben, fand zum Thema "La suprématie de la constitution" (Der Vorrang der Verfassung) statt. Während der Konferenz nahmen die rund 100 Teilnehmerinnen und Teilnehmer aus über 30 Ländern an mehreren Arbeitssitzungen teil. Ein Gesamtbericht und die Schlussfolgerungen zu den Konferenzergebnissen werden zu einem späteren Zeitpunkt veröffentlicht. Weitere Informationen zum ACCPUF-Kongress entnehmen Sie bitte unserer Medienmitteilung vom 20. Mai 2015, abrufbar unter: http://www.bger.ch/index/press/press-inherit-template/press-mitteilungen.htm
Lausanne, le 11 juin 2015 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Le Président du Tribunal fédéral préside l'ACCPUF jusqu'en 2018 Le Président du Tribunal fédéral suisse préside les trois prochaines années l'Association des Cours Constitutionnelles ayant en Partage l'Usage du Français (ACCPUF). La Présidence a été confiée par l'Assemblée générale de l'ACCPUF lors de son Congrès de la semaine passée à Lausanne. Le Congrès de l'ACCPUF a eu lieu du 3 au 7 juin 2015 à Lausanne. A l'occasion de l'Assemblée générale de l'ACCPUF de vendredi dernier, la Présidence de l'ACCPUF a été confiée au Président du Tribunal fédéral suisse pour les années 2015 à 2018. De 2012 à 2015, le Tribunal fédéral a exercé la vice-présidence du Bureau de l'ACCPUF et, dans ce cadre, a organisé le Congrès de l'ACCPUF de la semaine passée à Lausanne. La Conférence, pour laquelle de nombreux employés du Tribunal fédéral ont apporté leur soutien, a eu pour thème « La suprématie de la constitution ». Lors de cette Conférence environ 100 participantes et participants de plus de 30 pays ont participé aux différentes séances de travail. Un rapport général ainsi que les conclusions des résultats de la Conférence seront publiés ultérieurement. Vous trouverez de plus amples informations dans notre communiqué aux médias du 20 mai 2015, disponible sur: http://www.bger.ch/fr/index/press/press-inherit-template/press-mitteilungen.htm
Losanna, 11 giugno 2015 Comunicato stampa del Tribunale federale Il Presidente del Tribunale federale presiederà ACCPUF sino al 2018 Il Presidente dell Tribunale federale svizzero presiederà per i prossimi tre anni l'Associazione delle Corti costituzionali che hanno in comune l'uso della lingua francese (ACCPUF: Association des Cours Constitutionelles ayant en Partage l'Usage du Français). L'assegnazione della presidenza è avvenuta durante il Congresso e l'Assemblea generale dell'ACCPUF, che hanno avuto luogo ad inizio giugno a Losanna. Il Congresso dell'ACCPUF si è svolto dal 3 al 7 giugno a Losanna. In occasione dell'Assemblea generale dell'ACCPUF, avvenuta venerdì 5 giugno, al Presidente del Tribunale federale svizzero è stata assegnata la presidenza dell'associazione dal 2015 al 2018. Il Tribunale federale è stato vicepresidente dell'Associazione dal 2012 al 2015 e in quanto tale ha organizzato il Congresso che si è tenuto a Losanna. La conferenza, all'organizzazione della quale hanno partecipato numerosi collaboratori e collaboratrici del Tribunale federale, era intitolata "La supremazia della Costituzione" (La suprématie de la Constitution). Un centinaio di partecipanti, provenienti da oltre 30 paesi, hanno preso parte alle sedute di lavoro. Un rapporto completo, con le conclusioni e le conseguenze delle Conferenze, verrà pubblicato ulteriormente. Per altre informazioni sul Congresso dell'ACCPUF vi invitiamo a consultare il nostro comunicato stampa del 20 maggio 2015, disponibile all'indirizzo: http://www.bger.ch/index/press/press-inherit-template/press-mitteilungen.htm
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 5. Februar 2019 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Besuch des französischen Conseil d'État Das Bundesgericht in Lausanne hat am Sonntagabend eine Delegation des französischen Conseil d'État empfangen. Am Montag haben die Vertreter der beiden Institutionen bei gemeinsamen Arbeitssitzungen aktuelle juristische Fragen besprochen. Der französische Conseil d'État wurde von seinem Vizepräsidenten Bruno Lassere und fünf weiteren Mitgliedern vertreten. Die Delegation des Bundesgerichts umfasste neben Gerichtspräsident Ulrich Meyer fünf Richterinnen und Richter sowie den Generalsekretär. Die Teilnehmer trafen sich im Verlauf des Montags zu drei Arbeitssitzungen. Themenschwerpunkte bildeten dabei die Bioethik, die Bedingung des Bürgerrechtserwerbs und Fragen um grosse Infrastrukturprojekte. Am Montagabend reiste die französische Delegation wieder ab.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 5 février 2019 Pas d'embargo Communiqué de presse du Tribunal fédéral Visite du Conseil d’État français Le Tribunal fédéral a accueilli à Lausanne dimanche soir une délégation du Conseil d’État français. Lors de la réunion de travail de lundi, les représentants des deux institutions ont discuté de questions juridiques actuelles. Le Conseil d’État français est représenté par son Vice-Président, M. Bruno Lassere, ainsi que par cinq autres membres. La délégation du Tribunal fédéral est composée de son Président, M. le Juge Ulrich Meyer, ainsi que de cinq autres juges et du Secrétaire général. Les participants se sont réunis lundi pour trois séances de travail. Les sujets principaux abordés étaient la bioéthique, les conditions d'acquisition de la nationalité et des questions relatives aux grands projets d'infrastructure. La délégation française a quitté la Suisse lundi soir.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 5 febbraio 2019 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Visita del Consiglio di Stato della Repubblica francese Il Tribunale federale ha accolto domenica sera a Losanna una delegazione del Consiglio di Stato francese. Le riunioni di lavoro hanno avuto luogo lunedì e si sono concentrate su questioni giuridiche d'attualità. Il Consiglio di Stato francese è rappresentato dal suo Vicepresidente Bruno Lassere e da cinque ulteriori membri. La delegazione del Tribunale federale è composta dal suo Presidente Ulrich Meyer, da cinque giudici federali e dal Segretario generale supplente. I partecipanti si sono incontrati durante la giornata di lunedì per tre riunioni di lavoro. I temi principali sono stati la bioetica, le condizioni per l'acquisizione della cittadinanza e questioni relative ai grandi progetti di infrastruttura. La delegazione francese ha lasciato la Svizzera lunedì sera.
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Lausanne, 5. Februar 2019 Medienmitteilung des Bundesgerichts Besuch des französischen Conseil d'État Das Bundesgericht in Lausanne hat am Sonntagabend eine Delegation des französischen Conseil d'État empfangen. Am Montag haben die Vertreter der beiden Institutionen bei gemeinsamen Arbeitssitzungen aktuelle juristische Fragen besprochen. Der französische Conseil d'État wurde von seinem Vizepräsidenten Bruno Lassere und fünf weiteren Mitgliedern vertreten. Die Delegation des Bundesgerichts umfasste neben Gerichtspräsident Ulrich Meyer fünf Richterinnen und Richter sowie den Generalsekretär. Die Teilnehmer trafen sich im Verlauf des Montags zu drei Arbeitssitzungen. Themenschwerpunkte bildeten dabei die Bioethik, die Bedingung des Bürgerrechtserwerbs und Fragen um grosse Infrastrukturprojekte. Am Montagabend reiste die französische Delegation wieder ab.
Lausanne, le 5 février 2019 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Visite du Conseil d’État français Le Tribunal fédéral a accueilli à Lausanne dimanche soir une délégation du Conseil d’État français. Lors de la réunion de travail de lundi, les représentants des deux institutions ont discuté de questions juridiques actuelles. Le Conseil d’État français est représenté par son Vice-Président, M. Bruno Lassere, ainsi que par cinq autres membres. La délégation du Tribunal fédéral est composée de son Président, M. le Juge Ulrich Meyer, ainsi que de cinq autres juges et du Secrétaire général. Les participants se sont réunis lundi pour trois séances de travail. Les sujets principaux abordés étaient la bioéthique, les conditions d'acquisition de la nationalité et des questions relatives aux grands projets d'infrastructure. La délégation française a quitté la Suisse lundi soir.
Losanna, 5 febbraio 2019 Comunicato stampa del Tribunale federale Visita del Consiglio di Stato della Repubblica francese Il Tribunale federale ha accolto domenica sera a Losanna una delegazione del Consiglio di Stato francese. Le riunioni di lavoro hanno avuto luogo lunedì e si sono concentrate su questioni giuridiche d'attualità. Il Consiglio di Stato francese è rappresentato dal suo Vicepresidente Bruno Lassere e da cinque ulteriori membri. La delegazione del Tribunale federale è composta dal suo Presidente Ulrich Meyer, da cinque giudici federali e dal Segretario generale supplente. I partecipanti si sono incontrati durante la giornata di lunedì per tre riunioni di lavoro. I temi principali sono stati la bioetica, le condizioni per l'acquisizione della cittadinanza e questioni relative ai grandi progetti di infrastruttura. La delegazione francese ha lasciato la Svizzera lunedì sera.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 14. November 2014 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Besuch des französischen Conseil d'État Das Bundesgericht in Lausanne hat am Donnerstagabend eine Delegation des französischen Conseil d'État empfangen. Am Freitag haben die Vertreter der beiden Institutionen bei gemeinsamen Arbeitssitzungen aktuelle juristische Fragen besprochen. Der Besuch des französischen Conseil d'État erfolgt in seiner Funktion als oberstes Verwaltungsgericht Frankreichs. Der Conseil d'État wird von seinem Vizepräsidenten Jean-Marc Sauvé und vier weiteren Mitgliedern vertreten. Die Delegation des Bundesgerichts umfasst neben Gerichtspräsident Gilbert Kolly fünf weitere Richterinnen und Richter sowie den stellvertretenden Generalsekretär. Die Teilnehmer trafen sich im Verlauf des Freitags zu drei Arbeitssitzungen. Themenschwerpunkte bildeten dabei die Grund- und Freiheitsrechte im Lichte der digitalen Technologien (Internet, Google Street View u.a.), das Recht auf ein faires Verfahren sowie die Koordination sich widersprechender öffentlicher Interessen im Bereich des Umweltschutzes. Am Freitagabend reist die französische Delegation wieder ab.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 14 novembre 2014 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Visite du Conseil d’État français Le Tribunal fédéral a accueilli à Lausanne jeudi soir une délégation du Conseil d’État français. Lors de la réunion de travail de vendredi, les représentants des deux institutions ont discuté de questions juridiques actuelles. Le Conseil d’État français est reçu en sa qualité de juridiction administrative suprême de la France. Il est représenté par son Vice-Président, M. Jean-Marc Sauvé, ainsi que par quatre autres membres. La délégation du Tribunal fédéral est composée de son Président, M. le Juge Gilbert Kolly, ainsi que de cinq autres membres et du Secrétaire général suppléant. Les participants se sont réunis vendredi pour trois séances de travail. Les sujets principaux abordés étaient les droits fondamentaux à la lumière des nouvelles technologies (Internet, Google Street View, etc.), le droit à un procès équitable et la coordination d'intérêts publics contradictoires en matière de protection de l'environnement. La délégation française quitte la Suisse vendredi soir.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 14 novembre 2014 Nessun Embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Visita del Consiglio di Stato della Repubblica francese Il Tribunale federale ha accolto giovedì sera a Losanna una delegazione del Consiglio di Stato francese. Le riunioni di lavoro hanno avuto luogo venerdì e si sono concentrate su questioni giuridiche d'attualità. Il Consiglio di Stato, rappresentato dal suo vicepresidente Jean-Marc Sauvé e da quattro ulteriori membri, rende visita al Tribunale federale nella sua veste di tribunale amministrativo supremo della Repubblica francese. La delegazione del Tribunale federale è composta dal presidente Gilbert Kolly, da cinque giudici federali e dal segretario generale supplente. Le delegazioni si sono incontrate durante la giornata di venerdì per tre riunioni di lavoro. I temi principali sono stati i diritti e le libertà fondamentali alla luce delle tecnologie digitali (Internet, Google Street View, ecc.), il diritto a un'equa procedura nonché la coordinazione di interessi pubblici contraddittori nell'ambito della protezione dell'ambiente. La delegazione francese ripartirà venerdì sera.
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Lausanne, 14. November 2014 Medienmitteilung des Bundesgerichts Besuch des französischen Conseil d'État Das Bundesgericht in Lausanne hat am Donnerstagabend eine Delegation des französischen Conseil d'État empfangen. Am Freitag haben die Vertreter der beiden Institutionen bei gemeinsamen Arbeitssitzungen aktuelle juristische Fragen besprochen. Der Besuch des französischen Conseil d'État erfolgt in seiner Funktion als oberstes Verwaltungsgericht Frankreichs. Der Conseil d'État wird von seinem Vizepräsidenten Jean-Marc Sauvé und vier weiteren Mitgliedern vertreten. Die Delegation des Bundesgerichts umfasst neben Gerichtspräsident Gilbert Kolly fünf weitere Richterinnen und Richter sowie den stellvertretenden Generalsekretär. Die Teilnehmer trafen sich im Verlauf des Freitags zu drei Arbeitssitzungen. Themenschwerpunkte bildeten dabei die Grund- und Freiheitsrechte im Lichte der digitalen Technologien (Internet, Google Street View u.a.), das Recht auf ein faires Verfahren sowie die Koordination sich widersprechender öffentlicher Interessen im Bereich des Umweltschutzes. Am Freitagabend reist die französische Delegation wieder ab.
Lausanne, le 14 novembre 2014 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Visite du Conseil d’État français Le Tribunal fédéral a accueilli à Lausanne jeudi soir une délégation du Conseil d’État français. Lors de la réunion de travail de vendredi, les représentants des deux institutions ont discuté de questions juridiques actuelles. Le Conseil d’État français est reçu en sa qualité de juridiction administrative suprême de la France. Il est représenté par son Vice-Président, M. Jean-Marc Sauvé, ainsi que par quatre autres membres. La délégation du Tribunal fédéral est composée de son Président, M. le Juge Gilbert Kolly, ainsi que de cinq autres membres et du Secrétaire général suppléant. Les participants se sont réunis vendredi pour trois séances de travail. Les sujets principaux abordés étaient les droits fondamentaux à la lumière des nouvelles technologies (Internet, Google Street View, etc.), le droit à un procès équitable et la coordination d'intérêts publics contradictoires en matière de protection de l'environnement. La délégation française quitte la Suisse vendredi soir.
Losanna, 14 novembre 2014 Comunicato stampa del Tribunale federale Visita del Consiglio di Stato della Repubblica francese Il Tribunale federale ha accolto giovedì sera a Losanna una delegazione del Consiglio di Stato francese. Le riunioni di lavoro hanno avuto luogo venerdì e si sono concentrate su questioni giuridiche d'attualità. Il Consiglio di Stato, rappresentato dal suo vicepresidente Jean-Marc Sauvé e da quattro ulteriori membri, rende visita al Tribunale federale nella sua veste di tribunale amministrativo supremo della Repubblica francese. La delegazione del Tribunale federale è composta dal presidente Gilbert Kolly, da cinque giudici federali e dal segretario generale supplente. Le delegazioni si sono incontrate durante la giornata di venerdì per tre riunioni di lavoro. I temi principali sono stati i diritti e le libertà fondamentali alla luce delle tecnologie digitali (Internet, Google Street View, ecc.), il diritto a un'equa procedura nonché la coordinazione di interessi pubblici contraddittori nell'ambito della protezione dell'ambiente. La delegazione francese ripartirà venerdì sera.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 20. Februar 2015 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Besuch des Bundesfinanzhofs Deutschland Das Bundesgericht hat am Donnerstag an seinem Sitz in Lausanne eine Delegation des Bundesfinanzhofs Deutschland empfangen. Während dem bis zum Freitag dauernden Besuch fanden mehrere Arbeitssitzungen statt, in denen vorwiegend aktuelle steuerrechtliche Fragen besprochen wurden. Der deutsche Bundesfinanzhof wurde von seinem Präsidenten Rudolf Mellinghoff und drei weiteren Mitgliedern vertreten. Die Delegation des Bundesgerichts umfasste neben Bundesgerichtspräsident Gilbert Kolly den Abteilungspräsidenten Andreas Zünd und drei weitere Richter der für Steuerrecht zuständigen Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung sowie zwei Vertreter des Generalsekretariats. Die Teilnehmer trafen sich am Donnerstag und am Freitag zu fünf Arbeitssitzungen. Schwerpunkt bildeten dabei aktuelle steuerrechtliche Fragen, unter anderem die Rolle des Europäischen Gerichtshofs beziehungsweise des Europarechts für Deutschland und die Schweiz im Bereich des Steuerrechts. Ein weiteres Diskussionsthema betraf die Digitalisierung gerichtlicher Streitverfahren.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 20 février 2015 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Visite de la Cour fédérale des finances allemande Le Tribunal fédéral a reçu jeudi à son siège de Lausanne une délégation de la Cour fédérale des finances allemande (Bundesfinanzhof). Durant la visite, qui s'est conclue vendredi, plusieurs séances de travail ont eu lieu, principalement consacrées à des questions actuelles de droit fiscal. La Cour fédérale des finances allemande était représentée par son Président Rudolf Mellinghoff et trois autres membres. La délégation du Tribunal fédéral était composée du Président du Tribunal fédéral Gilbert Kolly, du Président de la cour Andreas Zünd et de trois autres juges de la IIe Cour de droit public, compétente en matière de droit fiscal, ainsi que de deux représentants du Secrétariat général. Les participants se sont réunis jeudi et vendredi lors de cinq séances de travail, principalement consacrées à des questions actuelles de droit fiscal. Parmi les sujets traités figuraient le rôle de la Cour de Justice Européenne, respectivement du droit européen pour l'Allemagne et la Suisse dans le domaine du droit fiscal, ainsi que la digitalisation des procédures judiciaires contentieuses.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 20 febbraio 2015 Nessun Embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Visita della Corte federale delle finanze tedesca Il Tribunale federale ha ricevuto giovedì nella sua sede di Losanna la visita di una delegazione della Corte federale delle finanze tedesca (Bundesfinanzhof). La visita, che si è protratta sino a venerdì, prevedeva delle riunioni di lavoro focalizzate su questioni attuali di diritto fiscale. La Corte federale delle finanze tedesca è stata rappresentata dal suo presidente Rudolf Mellinghoff e da tre altri membri. La delegazione del Tribunale federale svizzero, dal canto suo, era composta dal presidente del Tribunale federale Gilbert Kolly, dal presidente di corte Andreas Zünd e da tre giudici della seconda Corte di diritto pubblico, responsabile del diritto fiscale, e da due membri del Segretariato generale. I partecipanti si sono incontrati giovedì e venerdì durante cinque riunioni di lavoro per discutere di questioni attuali di diritto fiscale. Tra queste figuravano il ruolo della Corte europea di giustizia, rispettivamente del diritto europeo, nell'ambito del diritto fiscale di Svizzera e Germania, e la digitalizzazione delle procedure litigiose da parte dei tribunali.
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Lausanne, 20. Februar 2015 Medienmitteilung des Bundesgerichts Besuch des Bundesfinanzhofs Deutschland Das Bundesgericht hat am Donnerstag an seinem Sitz in Lausanne eine Delegation des Bundesfinanzhofs Deutschland empfangen. Während dem bis zum Freitag dauernden Besuch fanden mehrere Arbeitssitzungen statt, in denen vorwiegend aktuelle steuerrechtliche Fragen besprochen wurden. Der deutsche Bundesfinanzhof wurde von seinem Präsidenten Rudolf Mellinghoff und drei weiteren Mitgliedern vertreten. Die Delegation des Bundesgerichts umfasste neben Bundesgerichtspräsident Gilbert Kolly den Abteilungspräsidenten Andreas Zünd und drei weitere Richter der für Steuerrecht zuständigen Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung sowie zwei Vertreter des Generalsekretariats. Die Teilnehmer trafen sich am Donnerstag und am Freitag zu fünf Arbeitssitzungen. Schwerpunkt bildeten dabei aktuelle steuerrechtliche Fragen, unter anderem die Rolle des Europäischen Gerichtshofs beziehungsweise des Europarechts für Deutschland und die Schweiz im Bereich des Steuerrechts. Ein weiteres Diskussionsthema betraf die Digitalisierung gerichtlicher Streitverfahren.
Lausanne, le 20 février 2015 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Visite de la Cour fédérale des finances allemande Le Tribunal fédéral a reçu jeudi à son siège de Lausanne une délégation de la Cour fédérale des finances allemande (Bundesfinanzhof). Durant la visite, qui s'est conclue vendredi, plusieurs séances de travail ont eu lieu, principalement consacrées à des questions actuelles de droit fiscal. La Cour fédérale des finances allemande était représentée par son Président Rudolf Mellinghoff et trois autres membres. La délégation du Tribunal fédéral était composée du Président du Tribunal fédéral Gilbert Kolly, du Président de la cour Andreas Zünd et de trois autres juges de la IIe Cour de droit public, compétente en matière de droit fiscal, ainsi que de deux représentants du Secrétariat général. Les participants se sont réunis jeudi et vendredi lors de cinq séances de travail, principalement consacrées à des questions actuelles de droit fiscal. Parmi les sujets traités figuraient le rôle de la Cour de Justice Européenne, respectivement du droit européen pour l'Allemagne et la Suisse dans le domaine du droit fiscal, ainsi que la digitalisation des procédures judiciaires contentieuses.
Losanna, 20 febbraio 2015 Comunicato stampa del Tribunale federale Visita della Corte federale delle finanze tedesca Il Tribunale federale ha ricevuto giovedì nella sua sede di Losanna la visita di una delegazione della Corte federale delle finanze tedesca (Bundesfinanzhof). La visita, che si è protratta sino a venerdì, prevedeva delle riunioni di lavoro focalizzate su questioni attuali di diritto fiscale. La Corte federale delle finanze tedesca è stata rappresentata dal suo presidente Rudolf Mellinghoff e da tre altri membri. La delegazione del Tribunale federale svizzero, dal canto suo, era composta dal presidente del Tribunale federale Gilbert Kolly, dal presidente di corte Andreas Zünd e da tre giudici della seconda Corte di diritto pubblico, responsabile del diritto fiscale, e da due membri del Segretariato generale. I partecipanti si sono incontrati giovedì e venerdì durante cinque riunioni di lavoro per discutere di questioni attuali di diritto fiscale. Tra queste figuravano il ruolo della Corte europea di giustizia, rispettivamente del diritto europeo, nell'ambito del diritto fiscale di Svizzera e Germania, e la digitalizzazione delle procedure litigiose da parte dei tribunali.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 28. März 2018 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Besuch des Bundesverfassungsgerichts Deutschland Eine Delegation des Bundesverfassungsgerichts Deutschland hat von Montagabend bis Mittwoch das Schweizerische Bundesgericht an seinem Sitz in Lausanne besucht. In mehreren Arbeitssitzungen wurden aktuelle juristische Themen erörtert. Von Seiten des Bundesverfassungsgerichts Deutschland nahmen an dem Besuch dessen Präsident Andreas Vosskuhle, vier Richterinnen und Richter sowie der Direktor des Bundesverfassungsgerichts teil. Die Delegation des Bundesgerichts umfasste neben Bundesgerichtspräsident Ulrich Meyer und Bundesgerichtsvizepräsidentin Martha Niquille sechs weitere Richterinnen und Richter und den Generalsekretär des Bundesgerichts. Die Teilnehmer des Anlasses trafen sich während des Besuchs zu mehreren Arbeitssitzungen, an denen aktuelle juristische Themen erörtert wurden. Besprochen wurden unter anderem Fragen zum Föderalismus, zur Datenaufbewahrung, zum Umgang des Staates mit gefährlichen Straftätern sowie zur Schiedsgerichtsbarkeit anstelle staatlicher Justiz im demokratischen Verfassungsstaat.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 28 mars 2018 Pas d'embargo Communiqué de presse du Tribunal fédéral Visite de la Cour constitutionnelle fédérale allemande Une délégation de la Cour constitutionnelle fédérale allemande a rendu visite au Tribunal fédéral suisse à son siège à Lausanne de lundi soir à mercredi. Des thèmes juridiques d'actualité ont été débattus lors de plusieurs séances de travail. Du côté de la Cour constitutionnelle fédérale allemande, ont participé à la visite son Président Andreas Vosskuhle, quatre juges ainsi que son Directeur. Outre le Président du Tribunal fédéral Ulrich Meyer et la Vice-présidente Martha Niquille, la délégation du Tribunal fédéral comprenait six autres juges et le Secrétaire général du Tribunal fédéral. Durant cette visite, les participants se sont rencontrés lors de plusieurs séances de travail au cours desquelles des thèmes juridiques d'actualité ont été débattus. Les discussions ont notamment porté sur des questions en rapport avec le fédéralisme, la conservation des données, la manière pour l'Etat d'agir avec les délinquants dangereux ainsi que le recours à l'arbitrage plutôt qu'à la justice étatique dans un Etat constitutionnel démocratique.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 28 marzo 2018 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Visita della Corte costituzionale federale tedesca Una delegazione della Corte costituzionale federale tedesca ha effettuato da lunedì sera a mercoledì una visita del Tribunale federale svizzero presso la sua sede a Losanna. Durante diverse sessioni di lavoro sono stati discussi temi giuridici attuali. All'incontro erano presenti per la Corte costituzionale federale tedesca il suo Presidente Andreas Vosskuhle, quattro giudici e il suo Direttore. Oltre al Presidente del Tribunale federale Ulrich Meyer e alla Vicepresidente Martha Niquille, la delegazione del Tribunale federale era composta da altri sei giudici e dal suo Segretario generale. Durante la visita i partecipanti all'evento si sono riuniti in diverse sessioni di lavoro dove sono stati discussi temi giuridici attuali, in particolare questioni concernenti il federalismo, la conservazione dei dati, il modo di agire dello Stato nei confronti dei delinquenti pericolosi e il ricorso all'arbitrato anziché alla giurisdizione statale in uno Stato costituzionale democratico.
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Lausanne, 28. März 2018 Medienmitteilung des Bundesgerichts Besuch des Bundesverfassungsgerichts Deutschland Eine Delegation des Bundesverfassungsgerichts Deutschland hat von Montagabend bis Mittwoch das Schweizerische Bundesgericht an seinem Sitz in Lausanne besucht. In mehreren Arbeitssitzungen wurden aktuelle juristische Themen erörtert. Von Seiten des Bundesverfassungsgerichts Deutschland nahmen an dem Besuch dessen Präsident Andreas Vosskuhle, vier Richterinnen und Richter sowie der Direktor des Bundesverfassungsgerichts teil. Die Delegation des Bundesgerichts umfasste neben Bundesgerichtspräsident Ulrich Meyer und Bundesgerichtsvizepräsidentin Martha Niquille sechs weitere Richterinnen und Richter und den Generalsekretär des Bundesgerichts. Die Teilnehmer des Anlasses trafen sich während des Besuchs zu mehreren Arbeitssitzungen, an denen aktuelle juristische Themen erörtert wurden. Besprochen wurden unter anderem Fragen zum Föderalismus, zur Datenaufbewahrung, zum Umgang des Staates mit gefährlichen Straftätern sowie zur Schiedsgerichtsbarkeit anstelle staatlicher Justiz im demokratischen Verfassungsstaat.
Lausanne, le 28 mars 2018 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Visite de la Cour constitutionnelle fédérale allemande Une délégation de la Cour constitutionnelle fédérale allemande a rendu visite au Tribunal fédéral suisse à son siège à Lausanne de lundi soir à mercredi. Des thèmes juridiques d'actualité ont été débattus lors de plusieurs séances de travail. Du côté de la Cour constitutionnelle fédérale allemande, ont participé à la visite son Président Andreas Vosskuhle, quatre juges ainsi que son Directeur. Outre le Président du Tribunal fédéral Ulrich Meyer et la Vice-présidente Martha Niquille, la délégation du Tribunal fédéral comprenait six autres juges et le Secrétaire général du Tribunal fédéral. Durant cette visite, les participants se sont rencontrés lors de plusieurs séances de travail au cours desquelles des thèmes juridiques d'actualité ont été débattus. Les discussions ont notamment porté sur des questions en rapport avec le fédéralisme, la conservation des données, la manière pour l'Etat d'agir avec les délinquants dangereux ainsi que le recours à l'arbitrage plutôt qu'à la justice étatique dans un Etat constitutionnel démocratique.
Losanna, 28 marzo 2018 Comunicato stampa del Tribunale federale Visita della Corte costituzionale federale tedesca Una delegazione della Corte costituzionale federale tedesca ha effettuato da lunedì sera a mercoledì una visita del Tribunale federale svizzero presso la sua sede a Losanna. Durante diverse sessioni di lavoro sono stati discussi temi giuridici attuali. All'incontro erano presenti per la Corte costituzionale federale tedesca il suo Presidente Andreas Vosskuhle, quattro giudici e il suo Direttore. Oltre al Presidente del Tribunale federale Ulrich Meyer e alla Vicepresidente Martha Niquille, la delegazione del Tribunale federale era composta da altri sei giudici e dal suo Segretario generale. Durante la visita i partecipanti all'evento si sono riuniti in diverse sessioni di lavoro dove sono stati discussi temi giuridici attuali, in particolare questioni concernenti il federalismo, la conservazione dei dati, il modo di agire dello Stato nei confronti dei delinquenti pericolosi e il ricorso all'arbitrato anziché alla giurisdizione statale in uno Stato costituzionale democratico.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 27. April 2016 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Filmaufnahmen zu öffentlichen Urteilsberatungen Das Bundesgericht stellt künftig Filmaufnahmen zu ausgewählten öffentlichen Urteilsberatungen zur Verfügung. Gezeigt werden in den mehrminütigen Filmbeiträgen jeweils die Eröffnung der Verhandlung sowie die Verkündung des Urteils. Die Filmaufnahmen können nach der Beratung auf der Homepage des Bundesgerichts angeschaut und heruntergeladen werden. Eine erste Filmaufnahme wurde heute Mittwoch veröffentlicht. Das Bundesgericht wird künftig zu ausgewählten öffentlichen Urteilsberatungen Filmaufnahmen zur Verfügung stellen. Gezeigt wird jeweils die Eröffnung der Verhandlung unter Nennung des Verfahrensgegenstandes sowie die Verkündung des Urteils am Ende der Beratung. Nicht aufgenommen wird die eigentliche Diskussion des Falles durch das Richtergremium, die oft mehrere Stunden dauern kann. Vorgesehen ist, pro Jahr zu mehreren ausgewählten Beratungen entsprechende Aufnahmen zu machen, die dann gleichentags auf der Homepage des Bundesgerichts (www.bger.ch) veröffentlicht werden. Die Beiträge können dort auf der "Medienplattform" unter der Rubrik "Presse/Aktuelles" angeschaut und heruntergeladen werden. An gleicher Stelle sind auch Fotografien zur jeweiligen Sitzung verfügbar. Die von einem Filmteam im Auftrag des Bundesgerichts erstellten Aufnahmen dauern einige Minuten. Ein erster Film wurde heute Mittwoch 27. April 2016 zur öffentlichen Beratung betreffend die Stimmrechtsbeschwerde im Zusammenhang mit der Teilrevision des Zürcher Richtplans zur künftigen Nutzung des Flugplatzareals Dübendorf veröffentlicht. Urteile des Bundesgerichts werden dann in einer öffentlichen Beratung gefällt, wenn die beteiligten Richter sich nicht einig sind, wenn der Abteilungspräsident dies anordnet oder wenn ein Richter es verlangt. Nach der Diskussion des Falles wird durch Handerheben abgestimmt. Anschliessend wird das Urteilsdispositiv eröffnet.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 27 avril 2016 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Prises de vue lors de séances publiques A l'avenir, le Tribunal fédéral mettra à disposition des séquences filmées d'une sélection de délibérations publiques. Ces enregistrements de plusieurs minutes montreront l'ouverture de l'audience ainsi que le prononcé de la décision. Ils pourront être visionnés et téléchargés après la séance sur le site internet du Tribunal fédéral. Les images d'un premier tournage ont été publiées aujourd'hui. A l'avenir, le Tribunal fédéral mettra à disposition des séquences filmées de certaines délibérations publiques montrant l'ouverture de l'audience qui comprend l'énoncé de l'objet de la procédure, ainsi que le prononcé de la décision en fin de séance. Cependant, la discussion de l'affaire elle-même entre les juges, qui peut durer plusieurs heures, ne sera pas enregistrée. Il est prévu de filmer chaque année une sélection de séances publiques et de les publier le jour même sur le site internet du Tribunal fédéral (www.tribunal-federal.ch). Les enregistrements pourront être visionnés et téléchargés sur la « Plateforme des médias » sous la rubrique « Presse/Actualité ». Cette plateforme comprendra aussi des photos de la séance concernée. Une équipe de tournage mandatée par le Tribunal fédéral réalisera ces séquences de quelques minutes. Un premier film a été publié aujourd'hui, mercredi 27 avril 2016. Il montre la séance publique portant sur le recours pour violation du droit de vote dans le cadre de la révision partielle du plan directeur zurichois concernant l'utilisation future du territoire aéroportuaire de Dübendorf. Une affaire est jugée en séance publique lorsqu'il n'y a pas unanimité parmi les juges, lorsque le président de la cour l'ordonne ou un juge le demande. A l'issue des délibérations les juges votent à main levée. Ensuite, le dispositif de l'arrêt est prononcé.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 27 aprile 2016 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Riprese video delle sedute pubbliche Il Tribunale federale metterà d'ora in poi a disposizione una scelta di riprese video concernenti delle sedute pubbliche. Le sequenze, della durata di alcuni minuti, mostreranno l'apertura del dibattimento e la pronuncia della sentenza. Le immagini potranno essere visionate sul sito internet del Tribunale federale e da esso scaricate. Le prime riprese video sono state pubblicate oggi. Il Tribunale federale metterà d'ora in poi a disposizione una scelta di riprese video concernenti delle sedute pubbliche. Le sequenze mostreranno l'apertura del dibattimento con l'annuncio dell'oggetto della procedura e la pronuncia della sentenza al termine della deliberazione. Non verrà, invece, filmata la discussione del caso da parte del collegio giudicante, che spesso si protrae per diverse ore. Ogni anno saranno realizzate delle riprese video di diverse sedute pubbliche, le quali saranno pubblicate il giorno stesso sul sito internet del Tribunale federale (www.tribunale-federale.ch). Tali sequenze potranno essere visionate e scaricate sull'Hub multimediale della rubrica "Stampa/Attualità", dove saranno disponibili pure delle fotografie relative alle sedute. Le riprese saranno effettuate da un team attivo su mandato del Tribunale federale e dureranno pochi minuti. II primo video è stato pubblicato oggi, mercoledì 27 aprile 2016, e concerne la seduta pubblica relativa alla revisione parziale del piano direttore per la futura utilizzazione del campo d'aviazione di Dübendorf. Le decisioni del Tribunale federale sono pronunciate in occasione di una seduta pubblica se non vi è unanimità fra i giudici, se lo ordina il presidente della corte oppure su richiesta di un giudice. Al termine della discussione, i giudici votano per alzata di mano. Il dispositivo della decisione è notificato successivamente.
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11.5.2_15.0.0.3_01_2016_yyyy_mm_dd_T_{lang}
Lausanne, 27. April 2016 Medienmitteilung des Bundesgerichts Filmaufnahmen zu öffentlichen Urteilsberatungen Das Bundesgericht stellt künftig Filmaufnahmen zu ausgewählten öffentlichen Urteilsberatungen zur Verfügung. Gezeigt werden in den mehrminütigen Filmbeiträgen jeweils die Eröffnung der Verhandlung sowie die Verkündung des Urteils. Die Filmaufnahmen können nach der Beratung auf der Homepage des Bundesgerichts angeschaut und heruntergeladen werden. Eine erste Filmaufnahme wurde heute Mittwoch veröffentlicht. Das Bundesgericht wird künftig zu ausgewählten öffentlichen Urteilsberatungen Filmaufnahmen zur Verfügung stellen. Gezeigt wird jeweils die Eröffnung der Verhandlung unter Nennung des Verfahrensgegenstandes sowie die Verkündung des Urteils am Ende der Beratung. Nicht aufgenommen wird die eigentliche Diskussion des Falles durch das Richtergremium, die oft mehrere Stunden dauern kann. Vorgesehen ist, pro Jahr zu mehreren ausgewählten Beratungen entsprechende Aufnahmen zu machen, die dann gleichentags auf der Homepage des Bundesgerichts (www.bger.ch) veröffentlicht werden. Die Beiträge können dort auf der "Medienplattform" unter der Rubrik "Presse/Aktuelles" angeschaut und heruntergeladen werden. An gleicher Stelle sind auch Fotografien zur jeweiligen Sitzung verfügbar. Die von einem Filmteam im Auftrag des Bundesgerichts erstellten Aufnahmen dauern einige Minuten. Ein erster Film wurde heute Mittwoch 27. April 2016 zur öffentlichen Beratung betreffend die Stimmrechtsbeschwerde im Zusammenhang mit der Teilrevision des Zürcher Richtplans zur künftigen Nutzung des Flugplatzareals Dübendorf veröffentlicht. Urteile des Bundesgerichts werden dann in einer öffentlichen Beratung gefällt, wenn die beteiligten Richter sich nicht einig sind, wenn der Abteilungspräsident dies anordnet oder wenn ein Richter es verlangt. Nach der Diskussion des Falles wird durch Handerheben abgestimmt. Anschliessend wird das Urteilsdispositiv eröffnet.
Lausanne, le 27 avril 2016 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Prises de vue lors de séances publiques A l'avenir, le Tribunal fédéral mettra à disposition des séquences filmées d'une sélection de délibérations publiques. Ces enregistrements de plusieurs minutes montreront l'ouverture de l'audience ainsi que le prononcé de la décision. Ils pourront être visionnés et téléchargés après la séance sur le site internet du Tribunal fédéral. Les images d'un premier tournage ont été publiées aujourd'hui. A l'avenir, le Tribunal fédéral mettra à disposition des séquences filmées de certaines délibérations publiques montrant l'ouverture de l'audience qui comprend l'énoncé de l'objet de la procédure, ainsi que le prononcé de la décision en fin de séance. Cependant, la discussion de l'affaire elle-même entre les juges, qui peut durer plusieurs heures, ne sera pas enregistrée. Il est prévu de filmer chaque année une sélection de séances publiques et de les publier le jour même sur le site internet du Tribunal fédéral (www.tribunal-federal.ch). Les enregistrements pourront être visionnés et téléchargés sur la « Plateforme des médias » sous la rubrique « Presse/Actualité ». Cette plateforme comprendra aussi des photos de la séance concernée. Une équipe de tournage mandatée par le Tribunal fédéral réalisera ces séquences de quelques minutes. Un premier film a été publié aujourd'hui, mercredi 27 avril 2016. Il montre la séance publique portant sur le recours pour violation du droit de vote dans le cadre de la révision partielle du plan directeur zurichois concernant l'utilisation future du territoire aéroportuaire de Dübendorf. Une affaire est jugée en séance publique lorsqu'il n'y a pas unanimité parmi les juges, lorsque le président de la cour l'ordonne ou un juge le demande. A l'issue des délibérations les juges votent à main levée. Ensuite, le dispositif de l'arrêt est prononcé.
Losanna, 27 aprile 2016 Comunicato stampa del Tribunale federale Riprese video delle sedute pubbliche Il Tribunale federale metterà d'ora in poi a disposizione una scelta di riprese video concernenti delle sedute pubbliche. Le sequenze, della durata di alcuni minuti, mostreranno l'apertura del dibattimento e la pronuncia della sentenza. Le immagini potranno essere visionate sul sito internet del Tribunale federale e da esso scaricate. Le prime riprese video sono state pubblicate oggi. Il Tribunale federale metterà d'ora in poi a disposizione una scelta di riprese video concernenti delle sedute pubbliche. Le sequenze mostreranno l'apertura del dibattimento con l'annuncio dell'oggetto della procedura e la pronuncia della sentenza al termine della deliberazione. Non verrà, invece, filmata la discussione del caso da parte del collegio giudicante, che spesso si protrae per diverse ore. Ogni anno saranno realizzate delle riprese video di diverse sedute pubbliche, le quali saranno pubblicate il giorno stesso sul sito internet del Tribunale federale (www.tribunale-federale.ch). Tali sequenze potranno essere visionate e scaricate sull'Hub multimediale della rubrica "Stampa/Attualità", dove saranno disponibili pure delle fotografie relative alle sedute. Le riprese saranno effettuate da un team attivo su mandato del Tribunale federale e dureranno pochi minuti. II primo video è stato pubblicato oggi, mercoledì 27 aprile 2016, e concerne la seduta pubblica relativa alla revisione parziale del piano direttore per la futura utilizzazione del campo d'aviazione di Dübendorf. Le decisioni del Tribunale federale sono pronunciate in occasione di una seduta pubblica se non vi è unanimità fra i giudici, se lo ordina il presidente della corte oppure su richiesta di un giudice. Al termine della discussione, i giudici votano per alzata di mano. Il dispositivo della decisione è notificato successivamente.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 23. Oktober 2014 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Gutachten zur Zulässigkeit des Projekts OpenJustitia Das Bundesgericht reagiert auf das Gutachten zur Freigabe von Informatiklösungen der Bundesverwaltung als Open-Source-Software. Das Gericht ergreift Massnahmen zu den im Gutachten geäusserten Vorbehalten bei der kostenlosen Nutzung seiner Gerichtssoftware OpenJustitia durch die Kantone. OpenJustitia ist ein Paket gerichtsspezifischer Software, die auf Open-SourceKomponenten aufbaut. Die Anwendungen wurden vom Bundesgericht ab 2006 mangels geeigneter Marktangebote selber entwickelt und fortlaufend den Bedürfnissen des Gerichts angepasst. Seit September 2011 wurde das OpenJustitia-Paket vom Bundesgericht im Rahmen der Grundsätze von Open-Source interessierten Nutzern kostenlos zur Verfügung gestellt. Aktuell gehören 18 Mitglieder zur OpenJustitia-Community, wobei fast ausschliesslich eine Nutzung durch Gerichte in Betracht fällt. Die unentgeltliche Weitergabe von OpenJustitia ist geeignet, die Informatik-Kosten der öffentlichen Hand zu senken und den Steuerzahler zu entlasten. Das Bundesgericht kann seinerseits von den Weiterentwicklungen anderer Teilnehmer profitieren. Auf eine Interpellation hin entschied der Bundesrat im Februar 2013, ein juristisches Gutachten zur Zulässigkeit der Freigabe von Informatiklösungen der Bundesverwaltung als Open-Source-Software erstellen zu lassen, mit spezifischen Fragen betreffend OpenJustitia. Das nun veröffentlichte Gutachten von Prof. Dr. iur Georg Müller und PD Dr. iur. Stefan Vogel kommt unter anderem zum Schluss, dass ein Zusammenwirken des Bundesgerichts mit kantonalen Gerichten im Rahmen einer Open-SourceCommunity möglich ist, aber einer gesetzlichen Grundlage bedarf. Der Einbezug von Privaten in Open-Source-Projekte des Bundesgerichts ist gemäss dem Gutachten problematisch und grundsätzlich unzulässig. Bei seinem Entscheid zur Freigabe von OpenJustitia im Rahmen einer Open-SourceCommunity ging das Bundesgericht davon aus, dass dieser Schritt mit den geltenden rechtlichen Bestimmungen vereinbar ist. Insbesondere vertrat es die Auffassung, dass es bei der kostenlosen Öffnung des Zugangs zur OpenJustita-Software nicht gewerblich tätig ist und dass das OpenJustitia-Projekt dem im Finanzhaushaltgesetz festgelegten Grundsatz entspricht, wonach der Bund für einen wirksamen und wirtschaftlichen Einsatz der Mittel zu sorgen hat 1. Zudem stützte es seinen Freigabe-Entscheid auf die E-Government-Strategie des Bundesrates 2 und die entsprechende öffentlich-rechtliche Rahmenvereinbarung zwischen Bund und Kantonen 3 ab, gemäss denen der "Mehrfachnutzung von Daten und Leistungen" eine zentrale Bedeutung zukommt. Das Bundesgericht nimmt zur Kenntnis, dass das Gutachten teilweise zu gegenteiligen Schlüssen kommt, die vom Gericht vorgesehene Open-Source-Nutzung von OpenJustitia im Rahmen der im Gutachten formulierten Kriterien aber nicht ausschliesst. Das Bundesgericht wird eine Standortbestimmung vornehmen und den Subkommissionen Gerichte/BA der Geschäftsprüfungskommissionen bis 22. Dezember 2014 Bericht erstatten. Was die aktuelle Nutzung von OpenJustitia im Rahmen der OpenSource-Community betrifft, handelt es sich dabei ausschliesslich um die Verwendung durch kantonale Gerichte oder im Auftrag von kantonalen Gerichten. Dem im Gutachten gemachten Vorbehalt der fehlenden gesetzlichen Grundlage trägt das Bundesgericht insofern Rechnung, als es vorerst keine Weiterentwicklungen allgemein zugänglich veröffentlicht. Es wird allenfalls Sache des Parlaments sein, über die Schaffung der gesetzlichen Grundlage zu entscheiden. Soweit das Gutachten bei Leistungsbeziehungen zwischen dem Bundesgericht und Dritten gewisse Bedenken hinsichtlich der Unabhängigkeit der Justiz formuliert, wird das Bundesgericht den massgebenden Grundsätzen weiterhin vorbehaltlos Rechnung tragen.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 23 octobre 2014 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Expertise relative à l'admissibilité du projet OpenJustitia Le Tribunal fédéral se prononce sur l'expertise relative à la mise à disposition de solutions informatiques de l'administration fédérale comme logiciels libres. Le Tribunal prend des mesures pour donner suite aux réserves exprimées dans l'expertise relative à l'utilisation gratuite par les cantons de son logiciel pour tribunaux OpenJustitia. OpenJustitia est un ensemble de logiciels spécifiques pour tribunaux basés sur des composants open source. Le Tribunal fédéral les a développés lui-même à partir de 2006 en raison de l'absence de produits appropriés disponibles sur le marché, puis les a adaptés à ses besoins. Depuis septembre 2011, les modules OpenJustitia du Tribunal fédéral sont mis à disposition gratuitement des utilisateurs intéressés dans le respect des règles régissant les logiciels libres. Actuellement la communauté OpenJustitia compte 18 membres; ce sont presque exclusivement des tribunaux qui ont utilisé des modules de ce logiciel libre. La remise gratuite d'OpenJustitia constitue un moyen approprié pour réduire les coûts informatiques des pouvoirs publics et pour diminuer la charge fiscale pesant sur les contribuables. De son côté, le Tribunal fédéral peut profiter des nouveaux développements effectués par d'autres participants de la communauté. Pour donner suite à une interpellation, le Conseil fédéral a décidé en février 2013 de faire établir une expertise juridique sur l'admissibilité de la mise à disposition de solutions informatiques par l'administration fédérale comme logiciels libres; le mandat d'expertise contenait aussi des questions spécifiques relatives à OpenJustitia. L'expertise, publiée aujourd'hui, des Professeurs Georg Müller et Stefan Vogel conclut notamment qu'une collaboration du Tribunal fédéral avec les tribunaux cantonaux est possible dans le cadre d'une communauté open source; cependant elle doit reposer sur une base légale. L'intégration d'entreprises privées dans les projets open source du Tribunal fédéral est, selon l'expertise, problématique et n'est en principe pas admissible. Lorsque le Tribunal fédéral avait décidé de mettre à disposition les modules OpenJustitia dans le cadre d'une communauté open source, il était d'avis que cette façon de faire était conforme aux dispositions légales en vigueur. En particulier, il avait estimé qu'il n’exerçait aucune activité commerciale par la mise à disposition gratuite du logiciel OpenJustitia et que le projet OpenJustitia respectait les principes de la loi sur les finances de la Confédération selon laquelle la Confédération veille à un emploi efficace et autonome des fonds 1. En outre, il avait fondé sa décision de mise à disposition du logiciel libre sur la Stratégie suisse de Cyberadministration ( « E-Government ») du Conseil fédéral2 ainsi que sur la Convention-cadre de droit public entre la Confédération et les cantons3 y relative préconisant « une utilisation multiple » des données et des prestations. Le Tribunal fédéral prend acte que l'expertise aboutit partiellement à des conclusions inverses, mais qu'elle n’exclut pas l'utilisation des logiciels libres OpenJustitia telle que prévue par le Tribunal dans les limites décrites dans l'expertise. Le Tribunal fédéral va apprécier la situation et rendre un rapport aux sous-commissions tribunaux/Ministère public des commissions de gestion d'ici au 22 décembre 2014. Actuellement, au sein de la communauté open source, des modules OpenJustitia sont utilisés exclusivement par des tribunaux cantonaux ou des entreprises mandatées par eux. Le Tribunal fédéral prend en considération les réserves relatives à l'absence de base légale formulées dans l'expertise et renonce provisoirement à donner un accès public aux nouveaux développements du logiciel. Le cas échéant, il incombera au Parlement de se prononcer sur l'adoption d'une base légale. En ce qui concerne certaines réserves, mentionnées dans l'expertise, en relation avec l’indépendance de la justice concernant des prestations entre le Tribunal et des tiers, le Tribunal fédéral va continuer de se conformer pleinement aux principes énoncés.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 23 ottobre 2014 Nessun Embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Perizia concernente l'ammissibilità del progetto OpenJustitia Il Tribunale federale si pronuncia in merito alla perizia concernente la messa a disposizione di soluzioni informatiche dell'Amministrazione federale quali programmi open source. Il Tribunale prende delle misure a seguito delle riserve espresse nella perizia in merito all'utilizzazione gratuita da parte dei Cantoni del suo programma per tribunale OpenJustitia. OpenJustitia è un insieme di programmi informatici specificatamente sviluppati per le esigenze dei tribunali sulla base di componenti open source. Il Tribunale federale ha iniziato a sviluppare questi programmi a partire dal 2006 a causa della mancanza sul mercato di tali prodotti. In seguito, il Tribunale ha adattato nel tempo questi programmi per rispondere ai propri bisogni. Da settembre 2011, l'insieme dei programmi informatici OpenJustitia è gratuitamente a disposizione degli utilizzatori interessati al loro impiego nel rispetto dei principi open source. La comunità open source è attualmente composta da 18 membri, fra i quali si contano quasi esclusivamente dei tribunali. La trasmissione gratuita di OpenJustitia rappresenta un mezzo appropriato per ridurre i costi informatici del potere pubblico e diminuire il carico fiscale del contribuente. Da parte sua, il Tribunale federale può approfittare degli sviluppi apportati ai programmi dagli altri membri della comunità. Dando seguito ad un'interpellanza, nel corso del mese di febbraio 2013 il Consiglio federale ha chiesto l'allestimento di una perizia giuridica sull'ammissibilità della messa a disposizione di soluzioni informatiche dell'Amministrazione federale quali programmi open source. Tale mandato peritale conteneva specifiche domande concernenti OpenJustitia. La perizia allestita dai professori Georg Müller e Stefan Vogel appena pubblicata giunge, fra l'altro, alla conclusione che una collaborazione del Tribunale federale con i tribunali cantonali nell'ambito di una comunità open source è possibile, ma deve poggiare su di una base legale. La partecipazione di privati a progetti open source del Tribunale federale è, secondo la medesima perizia, problematica e di principio inammissibile. Quando ha deciso di mettere a disposizione della comunità open source i suoi programmi informatici OpenJustitia, il Tribunale federale credeva nella compatibilità del suo agire con le disposizioni legali vigenti. Il Tribunale era segnatamente d'avviso che la messa a disposizione gratuita dei programmi OpenJustitia non costituiva alcuna attività commerciale e che tale progetto era conforme al principio enunciato nella legge federale sulle finanze della Confederazione che prevede un impiego efficace ed economico dei fondi1. Inoltre, il Tribunale federale aveva preso questa decisione fondandosi sulla strategia di e-government Svizzera del Consiglio federale 2 e sulla convenzione quadro di diritto pubblico fra la Confederazione e i Cantoni 3, le quali prevedono una "molteplice utilizzazione" dei dati e delle prestazioni. Il Tribunale federale constata che la perizia esperita giunge a conclusioni parzialmente contrarie, ma che non esclude, nel rispetto dei criteri enunciati nella stessa, la prevista utilizzazione open source dell'insieme dei programmi OpenJustitia. Il Tribunale federale analizzerà la situazione e consegnerà un rapporto all'attenzione delle sottocommissioni Tribunali/MPC delle commissioni della gestione entro il 22 dicembre 2014. Par quanto riguarda l'attuale utilizzazione di OpenJustitia da parte della comunità open source, tali programmi sono esclusivamente utilizzati da tribunali cantonali o da ditte attive su loro mandato. In considerazione della riserva concernente l'assenza di una base legale contenuta nella perizia, il Tribunale federale decide di rinunciare, per il momento, alla messa a disposizione di terzi di ulteriori sviluppi dei propri programmi. Se del caso, incomberà al Parlamento pronunciarsi sull'adozione di una base legale. Per quanto riguarda le riserve formulate nella perizia in merito all'indipendenza della giustizia in relazione ai rapporti di prestazione intrattenuti dal Tribunale federale con terzi, il Tribunale continuerà ad attenersi scrupolosamente ai principi enunciati.
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Lausanne, 23. Oktober 2014 Medienmitteilung des Bundesgerichts Gutachten zur Zulässigkeit des Projekts OpenJustitia Das Bundesgericht reagiert auf das Gutachten zur Freigabe von Informatiklösungen der Bundesverwaltung als Open-Source-Software. Das Gericht ergreift Massnahmen zu den im Gutachten geäusserten Vorbehalten bei der kostenlosen Nutzung seiner Gerichtssoftware OpenJustitia durch die Kantone. OpenJustitia ist ein Paket gerichtsspezifischer Software, die auf Open-SourceKomponenten aufbaut. Die Anwendungen wurden vom Bundesgericht ab 2006 mangels geeigneter Marktangebote selber entwickelt und fortlaufend den Bedürfnissen des Gerichts angepasst. Seit September 2011 wurde das OpenJustitia-Paket vom Bundesgericht im Rahmen der Grundsätze von Open-Source interessierten Nutzern kostenlos zur Verfügung gestellt. Aktuell gehören 18 Mitglieder zur OpenJustitia-Community, wobei fast ausschliesslich eine Nutzung durch Gerichte in Betracht fällt. Die unentgeltliche Weitergabe von OpenJustitia ist geeignet, die Informatik-Kosten der öffentlichen Hand zu senken und den Steuerzahler zu entlasten. Das Bundesgericht kann seinerseits von den Weiterentwicklungen anderer Teilnehmer profitieren. Auf eine Interpellation hin entschied der Bundesrat im Februar 2013, ein juristisches Gutachten zur Zulässigkeit der Freigabe von Informatiklösungen der Bundesverwaltung als Open-Source-Software erstellen zu lassen, mit spezifischen Fragen betreffend OpenJustitia. Das nun veröffentlichte Gutachten von Prof. Dr. iur Georg Müller und PD Dr. iur. Stefan Vogel kommt unter anderem zum Schluss, dass ein Zusammenwirken des Bundesgerichts mit kantonalen Gerichten im Rahmen einer Open-SourceCommunity möglich ist, aber einer gesetzlichen Grundlage bedarf. Der Einbezug von Privaten in Open-Source-Projekte des Bundesgerichts ist gemäss dem Gutachten problematisch und grundsätzlich unzulässig. Bei seinem Entscheid zur Freigabe von OpenJustitia im Rahmen einer Open-SourceCommunity ging das Bundesgericht davon aus, dass dieser Schritt mit den geltenden rechtlichen Bestimmungen vereinbar ist. Insbesondere vertrat es die Auffassung, dass es bei der kostenlosen Öffnung des Zugangs zur OpenJustita-Software nicht gewerblich tätig ist und dass das OpenJustitia-Projekt dem im Finanzhaushaltgesetz festgelegten Grundsatz entspricht, wonach der Bund für einen wirksamen und wirtschaftlichen Einsatz der Mittel zu sorgen hat 1. Zudem stützte es seinen Freigabe-Entscheid auf die E-Government-Strategie des Bundesrates 2 und die entsprechende öffentlich-rechtliche Rahmenvereinbarung zwischen Bund und Kantonen 3 ab, gemäss denen der "Mehrfachnutzung von Daten und Leistungen" eine zentrale Bedeutung zukommt. Das Bundesgericht nimmt zur Kenntnis, dass das Gutachten teilweise zu gegenteiligen Schlüssen kommt, die vom Gericht vorgesehene Open-Source-Nutzung von OpenJustitia im Rahmen der im Gutachten formulierten Kriterien aber nicht ausschliesst. Das Bundesgericht wird eine Standortbestimmung vornehmen und den Subkommissionen Gerichte/BA der Geschäftsprüfungskommissionen bis 22. Dezember 2014 Bericht erstatten. Was die aktuelle Nutzung von OpenJustitia im Rahmen der OpenSource-Community betrifft, handelt es sich dabei ausschliesslich um die Verwendung durch kantonale Gerichte oder im Auftrag von kantonalen Gerichten. Dem im Gutachten gemachten Vorbehalt der fehlenden gesetzlichen Grundlage trägt das Bundesgericht insofern Rechnung, als es vorerst keine Weiterentwicklungen allgemein zugänglich veröffentlicht. Es wird allenfalls Sache des Parlaments sein, über die Schaffung der gesetzlichen Grundlage zu entscheiden. Soweit das Gutachten bei Leistungsbeziehungen zwischen dem Bundesgericht und Dritten gewisse Bedenken hinsichtlich der Unabhängigkeit der Justiz formuliert, wird das Bundesgericht den massgebenden Grundsätzen weiterhin vorbehaltlos Rechnung tragen.
Lausanne, le 23 octobre 2014 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Expertise relative à l'admissibilité du projet OpenJustitia Le Tribunal fédéral se prononce sur l'expertise relative à la mise à disposition de solutions informatiques de l'administration fédérale comme logiciels libres. Le Tribunal prend des mesures pour donner suite aux réserves exprimées dans l'expertise relative à l'utilisation gratuite par les cantons de son logiciel pour tribunaux OpenJustitia. OpenJustitia est un ensemble de logiciels spécifiques pour tribunaux basés sur des composants open source. Le Tribunal fédéral les a développés lui-même à partir de 2006 en raison de l'absence de produits appropriés disponibles sur le marché, puis les a adaptés à ses besoins. Depuis septembre 2011, les modules OpenJustitia du Tribunal fédéral sont mis à disposition gratuitement des utilisateurs intéressés dans le respect des règles régissant les logiciels libres. Actuellement la communauté OpenJustitia compte 18 membres; ce sont presque exclusivement des tribunaux qui ont utilisé des modules de ce logiciel libre. La remise gratuite d'OpenJustitia constitue un moyen approprié pour réduire les coûts informatiques des pouvoirs publics et pour diminuer la charge fiscale pesant sur les contribuables. De son côté, le Tribunal fédéral peut profiter des nouveaux développements effectués par d'autres participants de la communauté. Pour donner suite à une interpellation, le Conseil fédéral a décidé en février 2013 de faire établir une expertise juridique sur l'admissibilité de la mise à disposition de solutions informatiques par l'administration fédérale comme logiciels libres; le mandat d'expertise contenait aussi des questions spécifiques relatives à OpenJustitia. L'expertise, publiée aujourd'hui, des Professeurs Georg Müller et Stefan Vogel conclut notamment qu'une collaboration du Tribunal fédéral avec les tribunaux cantonaux est possible dans le cadre d'une communauté open source; cependant elle doit reposer sur une base légale. L'intégration d'entreprises privées dans les projets open source du Tribunal fédéral est, selon l'expertise, problématique et n'est en principe pas admissible. Lorsque le Tribunal fédéral avait décidé de mettre à disposition les modules OpenJustitia dans le cadre d'une communauté open source, il était d'avis que cette façon de faire était conforme aux dispositions légales en vigueur. En particulier, il avait estimé qu'il n’exerçait aucune activité commerciale par la mise à disposition gratuite du logiciel OpenJustitia et que le projet OpenJustitia respectait les principes de la loi sur les finances de la Confédération selon laquelle la Confédération veille à un emploi efficace et autonome des fonds 1. En outre, il avait fondé sa décision de mise à disposition du logiciel libre sur la Stratégie suisse de Cyberadministration ( « E-Government ») du Conseil fédéral2 ainsi que sur la Convention-cadre de droit public entre la Confédération et les cantons3 y relative préconisant « une utilisation multiple » des données et des prestations. Le Tribunal fédéral prend acte que l'expertise aboutit partiellement à des conclusions inverses, mais qu'elle n’exclut pas l'utilisation des logiciels libres OpenJustitia telle que prévue par le Tribunal dans les limites décrites dans l'expertise. Le Tribunal fédéral va apprécier la situation et rendre un rapport aux sous-commissions tribunaux/Ministère public des commissions de gestion d'ici au 22 décembre 2014. Actuellement, au sein de la communauté open source, des modules OpenJustitia sont utilisés exclusivement par des tribunaux cantonaux ou des entreprises mandatées par eux. Le Tribunal fédéral prend en considération les réserves relatives à l'absence de base légale formulées dans l'expertise et renonce provisoirement à donner un accès public aux nouveaux développements du logiciel. Le cas échéant, il incombera au Parlement de se prononcer sur l'adoption d'une base légale. En ce qui concerne certaines réserves, mentionnées dans l'expertise, en relation avec l’indépendance de la justice concernant des prestations entre le Tribunal et des tiers, le Tribunal fédéral va continuer de se conformer pleinement aux principes énoncés.
Losanna, 23 ottobre 2014 Comunicato stampa del Tribunale federale Perizia concernente l'ammissibilità del progetto OpenJustitia Il Tribunale federale si pronuncia in merito alla perizia concernente la messa a disposizione di soluzioni informatiche dell'Amministrazione federale quali programmi open source. Il Tribunale prende delle misure a seguito delle riserve espresse nella perizia in merito all'utilizzazione gratuita da parte dei Cantoni del suo programma per tribunale OpenJustitia. OpenJustitia è un insieme di programmi informatici specificatamente sviluppati per le esigenze dei tribunali sulla base di componenti open source. Il Tribunale federale ha iniziato a sviluppare questi programmi a partire dal 2006 a causa della mancanza sul mercato di tali prodotti. In seguito, il Tribunale ha adattato nel tempo questi programmi per rispondere ai propri bisogni. Da settembre 2011, l'insieme dei programmi informatici OpenJustitia è gratuitamente a disposizione degli utilizzatori interessati al loro impiego nel rispetto dei principi open source. La comunità open source è attualmente composta da 18 membri, fra i quali si contano quasi esclusivamente dei tribunali. La trasmissione gratuita di OpenJustitia rappresenta un mezzo appropriato per ridurre i costi informatici del potere pubblico e diminuire il carico fiscale del contribuente. Da parte sua, il Tribunale federale può approfittare degli sviluppi apportati ai programmi dagli altri membri della comunità. Dando seguito ad un'interpellanza, nel corso del mese di febbraio 2013 il Consiglio federale ha chiesto l'allestimento di una perizia giuridica sull'ammissibilità della messa a disposizione di soluzioni informatiche dell'Amministrazione federale quali programmi open source. Tale mandato peritale conteneva specifiche domande concernenti OpenJustitia. La perizia allestita dai professori Georg Müller e Stefan Vogel appena pubblicata giunge, fra l'altro, alla conclusione che una collaborazione del Tribunale federale con i tribunali cantonali nell'ambito di una comunità open source è possibile, ma deve poggiare su di una base legale. La partecipazione di privati a progetti open source del Tribunale federale è, secondo la medesima perizia, problematica e di principio inammissibile. Quando ha deciso di mettere a disposizione della comunità open source i suoi programmi informatici OpenJustitia, il Tribunale federale credeva nella compatibilità del suo agire con le disposizioni legali vigenti. Il Tribunale era segnatamente d'avviso che la messa a disposizione gratuita dei programmi OpenJustitia non costituiva alcuna attività commerciale e che tale progetto era conforme al principio enunciato nella legge federale sulle finanze della Confederazione che prevede un impiego efficace ed economico dei fondi1. Inoltre, il Tribunale federale aveva preso questa decisione fondandosi sulla strategia di e-government Svizzera del Consiglio federale 2 e sulla convenzione quadro di diritto pubblico fra la Confederazione e i Cantoni 3, le quali prevedono una "molteplice utilizzazione" dei dati e delle prestazioni. Il Tribunale federale constata che la perizia esperita giunge a conclusioni parzialmente contrarie, ma che non esclude, nel rispetto dei criteri enunciati nella stessa, la prevista utilizzazione open source dell'insieme dei programmi OpenJustitia. Il Tribunale federale analizzerà la situazione e consegnerà un rapporto all'attenzione delle sottocommissioni Tribunali/MPC delle commissioni della gestione entro il 22 dicembre 2014. Par quanto riguarda l'attuale utilizzazione di OpenJustitia da parte della comunità open source, tali programmi sono esclusivamente utilizzati da tribunali cantonali o da ditte attive su loro mandato. In considerazione della riserva concernente l'assenza di una base legale contenuta nella perizia, il Tribunale federale decide di rinunciare, per il momento, alla messa a disposizione di terzi di ulteriori sviluppi dei propri programmi. Se del caso, incomberà al Parlamento pronunciarsi sull'adozione di una base legale. Per quanto riguarda le riserve formulate nella perizia in merito all'indipendenza della giustizia in relazione ai rapporti di prestazione intrattenuti dal Tribunale federale con terzi, il Tribunale continuerà ad attenersi scrupolosamente ai principi enunciati.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 8. Oktober 2015 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Auszugsweise französische Übersetzung des Grundsatzurteils zur somatoformen Schmerzstörung und zu vergleichbaren psychosomatischen Leiden in der IV Das Bundesgericht stellt sein Grundsatzurteil vom vergangenen Juni betreffend die Beurteilung des Anspruchs auf eine Invalidenrente bei somatoformer Schmerzstörung und vergleichbaren psychosomatischen Leiden auszugsweise in französischer Übersetzung zur Verfügung. Mit seinem Urteil 9C_492/2014 vom 3. Juni 2015 hatte das Bundesgericht seine Praxis zur Beurteilung des Anspruchs auf eine Invalidenrente wegen somatoformer Schmerzstörungen und vergleichbarer psychosomatischer Leiden angepasst. Über den Entscheid informierte das Bundesgericht die Öffentlichkeit am 17. Juni 2015 mit einer Medienmitteilung in Deutsch und Französisch. Die zuständige Abteilung des Bundesgerichts hat aufgrund der besonderen Bedeutung des in deutsch verfassten Urteils entschieden, Interessierten die wesentlichen Erwägungen des Entscheides selber in einer französischen Übersetzung zur Verfügung zu stellen. Der französische Text kann auf der Homepage des Bundesgerichts ( www.bger.ch ) in der Rubrik "Presse / Aktuelles" / "Medienmitteilungen" unter dem Datum 08.10.2015 zusammen mit der vorliegenden Medienmitteilung abgerufen werden. Die französische Übersetzung ist ein nichtamtliches Dokument. Als massgebliches Urteil gilt ausschliesslich der deutsche Wortlaut der amtlichen und publizierten Fassung. Diese ist auf der Webseite des Bundesgerichts (www.bger.ch ) in der Rubrik "Rechtsprechung (gratis)"/"Weitere Urteile ab 2000" unter Eingabe der Urteilsreferenz 9C_492/2014 zu finden.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 8 octobre 2015 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Traduction en français des extraits de l'arrêt de principe sur les troubles somatoformes douloureux et les troubles psychosomatiques comparables dans l'AI Le Tribunal fédéral met à disposition une traduction en français d'extraits de son arrêt de principe de juin 2015 sur l'évaluation du droit à une rente de l'assuranceinvalidité en cas de troubles somatoformes douloureux et de troubles psychosomatiques com parables. Avec l'arrêt 9C_492/2014 du 3 juin 2015, le Tribunal fédéral a adapté sa jurisprudence sur l'évaluation du droit à une rente d'invalidité en cas de troubles somatoformes douloureux et de troubles psychosomatiques analogues. Le 17 juin 2015, le Tribunal fédéral a informé le public de son arrêt par un communiqué de presse en allemand et en français. En raison de l'importance particulière de l'arrêt rédigé en allemand, la Cour compétente du Tribunal fédéral a décidé de mettre à disposition des personnes intéressées sa propre traduction des considérants essentiels de la décision. Le texte français peut être consulté sur le site Internet du Tribunal fédéral ( www.tribunalfederal.ch ) sous la rubrique "Presse/Actualité"/"Communiqués aux médias" sous la date 08.10.2015, avec le présent communiqué de presse. La traduction française n'est pas un document officiel. Seule la version en allemand officielle et publiée de l'arrêt est déterminante; cette version peut être consultée sur le site Internet du Tribunal fédéral (www.tribunal-federal.ch ) sous la rubrique "Jurisprudence (gratuit)"/"Autres arrêts dès 2000" en introduisant la référence de l'arrêt 9C_492/2014.
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Lausanne, 8. Oktober 2015 Medienmitteilung des Bundesgerichts Auszugsweise französische Übersetzung des Grundsatzurteils zur somatoformen Schmerzstörung und zu vergleichbaren psychosomatischen Leiden in der IV Das Bundesgericht stellt sein Grundsatzurteil vom vergangenen Juni betreffend die Beurteilung des Anspruchs auf eine Invalidenrente bei somatoformer Schmerzstörung und vergleichbaren psychosomatischen Leiden auszugsweise in französischer Übersetzung zur Verfügung. Mit seinem Urteil 9C_492/2014 vom 3. Juni 2015 hatte das Bundesgericht seine Praxis zur Beurteilung des Anspruchs auf eine Invalidenrente wegen somatoformer Schmerzstörungen und vergleichbarer psychosomatischer Leiden angepasst. Über den Entscheid informierte das Bundesgericht die Öffentlichkeit am 17. Juni 2015 mit einer Medienmitteilung in Deutsch und Französisch. Die zuständige Abteilung des Bundesgerichts hat aufgrund der besonderen Bedeutung des in deutsch verfassten Urteils entschieden, Interessierten die wesentlichen Erwägungen des Entscheides selber in einer französischen Übersetzung zur Verfügung zu stellen. Der französische Text kann auf der Homepage des Bundesgerichts ( www.bger.ch ) in der Rubrik "Presse / Aktuelles" / "Medienmitteilungen" unter dem Datum 08.10.2015 zusammen mit der vorliegenden Medienmitteilung abgerufen werden. Die französische Übersetzung ist ein nichtamtliches Dokument. Als massgebliches Urteil gilt ausschliesslich der deutsche Wortlaut der amtlichen und publizierten Fassung. Diese ist auf der Webseite des Bundesgerichts (www.bger.ch ) in der Rubrik "Rechtsprechung (gratis)"/"Weitere Urteile ab 2000" unter Eingabe der Urteilsreferenz 9C_492/2014 zu finden.
Lausanne, le 8 octobre 2015 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Traduction en français des extraits de l'arrêt de principe sur les troubles somatoformes douloureux et les troubles psychosomatiques comparables dans l'AI Le Tribunal fédéral met à disposition une traduction en français d'extraits de son arrêt de principe de juin 2015 sur l'évaluation du droit à une rente de l'assuranceinvalidité en cas de troubles somatoformes douloureux et de troubles psychosomatiques com parables. Avec l'arrêt 9C_492/2014 du 3 juin 2015, le Tribunal fédéral a adapté sa jurisprudence sur l'évaluation du droit à une rente d'invalidité en cas de troubles somatoformes douloureux et de troubles psychosomatiques analogues. Le 17 juin 2015, le Tribunal fédéral a informé le public de son arrêt par un communiqué de presse en allemand et en français. En raison de l'importance particulière de l'arrêt rédigé en allemand, la Cour compétente du Tribunal fédéral a décidé de mettre à disposition des personnes intéressées sa propre traduction des considérants essentiels de la décision. Le texte français peut être consulté sur le site Internet du Tribunal fédéral ( www.tribunalfederal.ch ) sous la rubrique "Presse/Actualité"/"Communiqués aux médias" sous la date 08.10.2015, avec le présent communiqué de presse. La traduction française n'est pas un document officiel. Seule la version en allemand officielle et publiée de l'arrêt est déterminante; cette version peut être consultée sur le site Internet du Tribunal fédéral (www.tribunal-federal.ch ) sous la rubrique "Jurisprudence (gratuit)"/"Autres arrêts dès 2000" en introduisant la référence de l'arrêt 9C_492/2014.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 20. März 2014 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Vorschläge zur Anpassung des Bundesgerichtsgesetzes Das Bundesgericht schlägt im Rahmen der laufenden Bestrebungen zur Anpassung des Bundesgerichtsgesetzes vor, Massnahmen zur Stärkung seiner verfassungsmässigen Rolle als oberstes Gericht zu treffen. Die Beurteilungskompetenz des Bundesgerichts sollte sachlich ausgedehnt und gleichzeitig auf wichtige Fragen beschränkt werden. In seiner letztjährigen Evaluation zur Totalrevision der Bundesrechtspflege von 2007 hatte der Bundesrat gesetzgeberische Massnahmen vorgeschlagen, um die zunehmende Belastung des Bundesgerichts zu reduzieren und gewisse Rechtsschutzlücken zu schliessen. Das Eidgenössische Justiz- und Polizeidepartement wurde mit der Ausarbeitung einer entsprechenden Vernehmlassungsvorlage beauftragt. Gewisse Änderungen am Bundesgerichtsgesetz werden zudem im Postulat Caroni verlangt, das der Nationalrat im vergangenen Dezember angenommen hat. Die Vollversammlung der Bundesrichterinnen und Bundesrichter hat als Beitrag zu diesen laufenden Arbeitsprozessen am vergangenen Montag mehrere Vorschläge verabschiedet. Mit den Anregungen strebt das Bundesgericht an, seine verfassungsmässige Funktion als oberste Gerichtsinstanz der Eidgenossenschaft zu stärken. Als einen zentralen Punkt zur Verwirklichung dieses Ziels schlägt das Gericht vor, den Zugang ans Bundesgericht zu erweitern. Die ordentliche Beschwerde sollte künftig in zusätzlichen Gebieten des Zivilrechts und des öffentlichen Rechts erhoben werden können. In limitiertem Umfang wären davon auch Asylentscheide des Bundesverwaltungsgerichts betroffen, die der bundesgerichtlichen Prüfung aktuell weitgehend entzogen sind. Die ordentliche Beschwerde soll in diesen zusätzlichen Bereichen allerdings nur möglich sein, wenn sich eine Rechtsfrage von grundsätzlicher Bedeutung stellt oder wenn es sich aus anderen Gründen um einen besonders bedeutenden Fall handelt. Im Asylbereich wären noch weitere Einschränkungen vorzusehen. Damit die Überprüfung durch das Bundesgericht in den neu hinzukommenden Rechtsgebieten tatsächlich auf die objektiv wichtigen Fragen beschränkt bleibt, muss in den übrigen Fällen konsequenterweise die subsidiäre Verfassungsbeschwerde ausgeschlossen werden. Um die mit der Öffnung verbundene Mehrbelastung des Bundesgerichts zu kompensieren, wären die Regelungen zur Konzentration auf die Grundsatzfragen in weiteren Materien anzuwenden, insbesondere im Ausländerrecht, wo die ordentliche Beschwerde heute unbeschränkt zur Verfügung steht. Die Limitierungen müssten ebenfalls gelten bei Entscheiden über vorsorgliche Massnahmen, Geldforderungen von weniger als 30'000 Franken (in gewissen Gebieten 15'000 Franken) und Strafurteilen, die nicht im Strafregister eingetragen werden. Weiter sollten grundsätzlich nur Strafentscheide einer zweiten gerichtlichen Instanz ans Bundesgericht weitergezogen werden können. Das wäre mit einem Ausbau der Beschwerdemöglichkeiten an die Vorinstanzen verbunden. Die Legitimation zur strafrechtlichen Beschwerde wäre zudem auf Geschädigte zu beschränken, welche die Opfereigenschaft erfüllen. Schliesslich ist nach Ansicht des Gerichts bei Entscheiden im Bereich der Militär- und Unfallversicherung der Sachverhalt künftig nicht mehr umfassend, sondern nur auf Willkür zu prüfen.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 20 mars 2014 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Propositions d’adaptation de la loi sur le Tribunal fédéral Dans le cadre des travaux en cours d'adaptation de la loi sur le Tribunal fédéral, le Tribunal fédéral propose des mesures visant à renforcer son rôle constitutionnel de Cour suprême. Les domaines de compétence du Tribunal fédéral devraient être étendus et en même temps restreints aux questions importantes. L'année dernière, le Conseil fédéral a évalué la révision totale de l'organisation judiciaire fédérale de 2007 et a proposé des mesures législatives afin de réduire la charge de travail croissante du Tribunal fédéral et de combler certaines lacunes de la protection juridique. Le Département fédéral de Justice et Police a été chargé de préparer un projet destiné à être mis en consultation. En outre, un certain nombre de modifications de la loi sur le Tribunal fédéral ont été demandées dans le postulat Caroni qui a été accepté par le Conseil national en décembre dernier. La Cour plénière, qui réunit l'ensemble des juges du Tribunal, a approuvé lundi dernier plusieurs propositions destinées à servir de contribution aux travaux en cours. Le Tribunal fédéral recherche par ses vœux à renforcer son rôle constitutionnel de Cour suprême de la Confédération. Le point central proposé par le Tribunal pour réaliser cet objectif est d'élargir l'accès au Tribunal fédéral. A l'avenir, le recours ordinaire devrait être possible dans des matières supplémentaires du droit civil et du droit public. Les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière d'asile qui, à l'heure actuelle, ne peuvent pour la plupart pas être examinées par le Tribunal fédéral, seraient aussi concernées mais d'une façon limitée. Le recours ordinaire ne devrait toutefois être recevable dans ces domaines supplémentaires que lorsqu'une question juridique de principe est soulevée ou lorsque, pour d'autres motifs, il s'agit d'une affaire revêtant une importance particulière. En matière d'asile, des restrictions supplémentaires devraient être prévues. Afin que l'examen par le Tribunal fédéral des nouveaux domaines se limite effectivement aux questions objectivement importantes, il conviendrait d'exclure de façon conséquente le recours constitutionnel subsidiaire dans les autres affaires. Afin de compenser la charge accrue du Tribunal fédéral, engendrée par ces compétences supplémentaires, il conviendrait d'étendre l'application de la règle autorisant le Tribunal à ne se prononcer que sur les questions juridiques de principe à d'autres matières, en particulier au droit des étrangers où le recours ordinaire ne connaît aucune restriction dans le droit actuel. Ces restrictions devraient aussi être appliquées aux décisions concernant des mesures provisionnelles, des prétentions pécuniaires inférieures à 30'000 francs (dans certains domaines, à 15'000 francs) et dans des affaires pénales qui ne font pas l'objet d'une inscription au casier judiciaire. En outre, seules des décisions pénales d'une deuxième instance judiciaire devraient en règle générale pouvoir être portées devant le Tribunal fédéral. Ce point suppose la création d'une possibilité de recours aux instances précédentes. De plus, la qualité pour recourir dans le cadre des recours en matière pénale devrait être limitée aux lésés qui ont qualité de victime. Enfin, de l'avis du Tribunal, l'examen de l'état de fait dans les domaines de l'assurance militaire et de l'assurance-accidents ne devrait plus être complet mais limité à l'arbitraire.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 20 marzo 2014 Nessun Embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Proposte per l'adattamento della legge sul Tribunale federale Nell'ambito dei lavori in corso per l'adattamento della legge sul Tribunale federale, il Tribunale federale propone delle misure volte a rafforzare il suo ruolo costituzionale di Corte suprema. La competenza decisionale del Tribunale federale dovrebbe essere estesa dal profilo materiale e contemporaneamente limitata alle questioni importanti. Nella sua ultima valutazione della revisione totale dell'organizzazione giudiziaria federale del 2007, il Consiglio federale ha proposto misure legislative per ridurre il crescente carico di lavoro del Tribunale federale e colmare determinate lacune nella protezione giuridica. Il Dipartimento federale di giustizia e polizia è stato incaricato del relativo progetto di consultazione. Certe modifiche della legge sul Tribunale federale sono inoltre richieste dal postulato Caroni, che il Consiglio nazionale ha accettato lo scorso mese di dicembre. La Corte plenaria dei giudici del Tribunale federale ha emanato lunedì scorso diverse proposte destinate a contribuire a questo processo lavorativo aperto. Con i suggerimenti, il Tribunale federale auspica che sia rafforzata la sua funzione di Corte suprema della Confederazione. Il Tribunale propone quale punto centrale per realizzare questo obiettivo che sia esteso l'accesso al Tribunale federale. In futuro, il ricorso ordinario dovrebbe essere proponibile in ambiti supplementari del diritto civile e del diritto pubblico. Dovrebbero essere interessate in misura limitata anche le decisioni del Tribunale amministrativo federale in materia di asilo, che attualmente sono in gran parte sottratte all'esame del Tribunale federale. Il ricorso ordinario in questi campi supplementari dovrebbe tuttavia essere possibile solo quando si presenta una questione di diritto d'importanza fondamentale o quando, per altri motivi, si tratta di un caso particolarmente importante. In materia di asilo, sarebbero da prevedere ulteriori restrizioni. Affinché l'esame da parte del Tribunale federale nei nuovi ambiti rimanga effettivamente limitato alle questioni oggettivamente importanti, il ricorso sussidiario in materia costituzionale nei casi rimanenti deve essere escluso in modo conseguente. Per compensare il carico supplementare del Tribunale federale legato a questa apertura, occorrerebbe applicare la regolamentazione relativa alla concentrazione su questioni di principio anche ad altre materie, segnatamente al diritto degli stranieri, in cui il ricorso ordinario è attualmente aperto senza limitazioni. Le restrizioni dovrebbero pure valere per le decisioni in materia di misure cautelari, pretese pecuniarie inferiori a fr. 30'000.-- (in determinati campi a fr. 15'000.--) e giudizi penali che non sono oggetto di iscrizione nel casellario giudiziale. Inoltre, soltanto le decisioni penali emanate da una seconda istanza giudiziaria dovrebbero di principio poter essere impugnabili al Tribunale federale. Questo aspetto è legato alla realizzazione di un ampliamento delle possibilità di ricorso dinanzi alle istanze precedenti. La legittimazione a presentare ricorso in materia penale dovrebbe altresì essere limitata ai danneggiati che hanno qualità di vittima. Infine, secondo il parere del Tribunale, in materia di assicurazione militare e di assicurazione contro gli infortuni, in futuro l'esame degli accertamenti di fatto non dovrebbe essere completo, ma limitato all'arbitrio.
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Lausanne, 20. März 2014 Medienmitteilung des Bundesgerichts Vorschläge zur Anpassung des Bundesgerichtsgesetzes Das Bundesgericht schlägt im Rahmen der laufenden Bestrebungen zur Anpassung des Bundesgerichtsgesetzes vor, Massnahmen zur Stärkung seiner verfassungsmässigen Rolle als oberstes Gericht zu treffen. Die Beurteilungskompetenz des Bundesgerichts sollte sachlich ausgedehnt und gleichzeitig auf wichtige Fragen beschränkt werden. In seiner letztjährigen Evaluation zur Totalrevision der Bundesrechtspflege von 2007 hatte der Bundesrat gesetzgeberische Massnahmen vorgeschlagen, um die zunehmende Belastung des Bundesgerichts zu reduzieren und gewisse Rechtsschutzlücken zu schliessen. Das Eidgenössische Justiz- und Polizeidepartement wurde mit der Ausarbeitung einer entsprechenden Vernehmlassungsvorlage beauftragt. Gewisse Änderungen am Bundesgerichtsgesetz werden zudem im Postulat Caroni verlangt, das der Nationalrat im vergangenen Dezember angenommen hat. Die Vollversammlung der Bundesrichterinnen und Bundesrichter hat als Beitrag zu diesen laufenden Arbeitsprozessen am vergangenen Montag mehrere Vorschläge verabschiedet. Mit den Anregungen strebt das Bundesgericht an, seine verfassungsmässige Funktion als oberste Gerichtsinstanz der Eidgenossenschaft zu stärken. Als einen zentralen Punkt zur Verwirklichung dieses Ziels schlägt das Gericht vor, den Zugang ans Bundesgericht zu erweitern. Die ordentliche Beschwerde sollte künftig in zusätzlichen Gebieten des Zivilrechts und des öffentlichen Rechts erhoben werden können. In limitiertem Umfang wären davon auch Asylentscheide des Bundesverwaltungsgerichts betroffen, die der bundesgerichtlichen Prüfung aktuell weitgehend entzogen sind. Die ordentliche Beschwerde soll in diesen zusätzlichen Bereichen allerdings nur möglich sein, wenn sich eine Rechtsfrage von grundsätzlicher Bedeutung stellt oder wenn es sich aus anderen Gründen um einen besonders bedeutenden Fall handelt. Im Asylbereich wären noch weitere Einschränkungen vorzusehen. Damit die Überprüfung durch das Bundesgericht in den neu hinzukommenden Rechtsgebieten tatsächlich auf die objektiv wichtigen Fragen beschränkt bleibt, muss in den übrigen Fällen konsequenterweise die subsidiäre Verfassungsbeschwerde ausgeschlossen werden. Um die mit der Öffnung verbundene Mehrbelastung des Bundesgerichts zu kompensieren, wären die Regelungen zur Konzentration auf die Grundsatzfragen in weiteren Materien anzuwenden, insbesondere im Ausländerrecht, wo die ordentliche Beschwerde heute unbeschränkt zur Verfügung steht. Die Limitierungen müssten ebenfalls gelten bei Entscheiden über vorsorgliche Massnahmen, Geldforderungen von weniger als 30'000 Franken (in gewissen Gebieten 15'000 Franken) und Strafurteilen, die nicht im Strafregister eingetragen werden. Weiter sollten grundsätzlich nur Strafentscheide einer zweiten gerichtlichen Instanz ans Bundesgericht weitergezogen werden können. Das wäre mit einem Ausbau der Beschwerdemöglichkeiten an die Vorinstanzen verbunden. Die Legitimation zur strafrechtlichen Beschwerde wäre zudem auf Geschädigte zu beschränken, welche die Opfereigenschaft erfüllen. Schliesslich ist nach Ansicht des Gerichts bei Entscheiden im Bereich der Militär- und Unfallversicherung der Sachverhalt künftig nicht mehr umfassend, sondern nur auf Willkür zu prüfen.
Lausanne, le 20 mars 2014 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Propositions d’adaptation de la loi sur le Tribunal fédéral Dans le cadre des travaux en cours d'adaptation de la loi sur le Tribunal fédéral, le Tribunal fédéral propose des mesures visant à renforcer son rôle constitutionnel de Cour suprême. Les domaines de compétence du Tribunal fédéral devraient être étendus et en même temps restreints aux questions importantes. L'année dernière, le Conseil fédéral a évalué la révision totale de l'organisation judiciaire fédérale de 2007 et a proposé des mesures législatives afin de réduire la charge de travail croissante du Tribunal fédéral et de combler certaines lacunes de la protection juridique. Le Département fédéral de Justice et Police a été chargé de préparer un projet destiné à être mis en consultation. En outre, un certain nombre de modifications de la loi sur le Tribunal fédéral ont été demandées dans le postulat Caroni qui a été accepté par le Conseil national en décembre dernier. La Cour plénière, qui réunit l'ensemble des juges du Tribunal, a approuvé lundi dernier plusieurs propositions destinées à servir de contribution aux travaux en cours. Le Tribunal fédéral recherche par ses vœux à renforcer son rôle constitutionnel de Cour suprême de la Confédération. Le point central proposé par le Tribunal pour réaliser cet objectif est d'élargir l'accès au Tribunal fédéral. A l'avenir, le recours ordinaire devrait être possible dans des matières supplémentaires du droit civil et du droit public. Les décisions du Tribunal administratif fédéral en matière d'asile qui, à l'heure actuelle, ne peuvent pour la plupart pas être examinées par le Tribunal fédéral, seraient aussi concernées mais d'une façon limitée. Le recours ordinaire ne devrait toutefois être recevable dans ces domaines supplémentaires que lorsqu'une question juridique de principe est soulevée ou lorsque, pour d'autres motifs, il s'agit d'une affaire revêtant une importance particulière. En matière d'asile, des restrictions supplémentaires devraient être prévues. Afin que l'examen par le Tribunal fédéral des nouveaux domaines se limite effectivement aux questions objectivement importantes, il conviendrait d'exclure de façon conséquente le recours constitutionnel subsidiaire dans les autres affaires. Afin de compenser la charge accrue du Tribunal fédéral, engendrée par ces compétences supplémentaires, il conviendrait d'étendre l'application de la règle autorisant le Tribunal à ne se prononcer que sur les questions juridiques de principe à d'autres matières, en particulier au droit des étrangers où le recours ordinaire ne connaît aucune restriction dans le droit actuel. Ces restrictions devraient aussi être appliquées aux décisions concernant des mesures provisionnelles, des prétentions pécuniaires inférieures à 30'000 francs (dans certains domaines, à 15'000 francs) et dans des affaires pénales qui ne font pas l'objet d'une inscription au casier judiciaire. En outre, seules des décisions pénales d'une deuxième instance judiciaire devraient en règle générale pouvoir être portées devant le Tribunal fédéral. Ce point suppose la création d'une possibilité de recours aux instances précédentes. De plus, la qualité pour recourir dans le cadre des recours en matière pénale devrait être limitée aux lésés qui ont qualité de victime. Enfin, de l'avis du Tribunal, l'examen de l'état de fait dans les domaines de l'assurance militaire et de l'assurance-accidents ne devrait plus être complet mais limité à l'arbitraire.
Losanna, 20 marzo 2014 Comunicato stampa del Tribunale federale Proposte per l'adattamento della legge sul Tribunale federale Nell'ambito dei lavori in corso per l'adattamento della legge sul Tribunale federale, il Tribunale federale propone delle misure volte a rafforzare il suo ruolo costituzionale di Corte suprema. La competenza decisionale del Tribunale federale dovrebbe essere estesa dal profilo materiale e contemporaneamente limitata alle questioni importanti. Nella sua ultima valutazione della revisione totale dell'organizzazione giudiziaria federale del 2007, il Consiglio federale ha proposto misure legislative per ridurre il crescente carico di lavoro del Tribunale federale e colmare determinate lacune nella protezione giuridica. Il Dipartimento federale di giustizia e polizia è stato incaricato del relativo progetto di consultazione. Certe modifiche della legge sul Tribunale federale sono inoltre richieste dal postulato Caroni, che il Consiglio nazionale ha accettato lo scorso mese di dicembre. La Corte plenaria dei giudici del Tribunale federale ha emanato lunedì scorso diverse proposte destinate a contribuire a questo processo lavorativo aperto. Con i suggerimenti, il Tribunale federale auspica che sia rafforzata la sua funzione di Corte suprema della Confederazione. Il Tribunale propone quale punto centrale per realizzare questo obiettivo che sia esteso l'accesso al Tribunale federale. In futuro, il ricorso ordinario dovrebbe essere proponibile in ambiti supplementari del diritto civile e del diritto pubblico. Dovrebbero essere interessate in misura limitata anche le decisioni del Tribunale amministrativo federale in materia di asilo, che attualmente sono in gran parte sottratte all'esame del Tribunale federale. Il ricorso ordinario in questi campi supplementari dovrebbe tuttavia essere possibile solo quando si presenta una questione di diritto d'importanza fondamentale o quando, per altri motivi, si tratta di un caso particolarmente importante. In materia di asilo, sarebbero da prevedere ulteriori restrizioni. Affinché l'esame da parte del Tribunale federale nei nuovi ambiti rimanga effettivamente limitato alle questioni oggettivamente importanti, il ricorso sussidiario in materia costituzionale nei casi rimanenti deve essere escluso in modo conseguente. Per compensare il carico supplementare del Tribunale federale legato a questa apertura, occorrerebbe applicare la regolamentazione relativa alla concentrazione su questioni di principio anche ad altre materie, segnatamente al diritto degli stranieri, in cui il ricorso ordinario è attualmente aperto senza limitazioni. Le restrizioni dovrebbero pure valere per le decisioni in materia di misure cautelari, pretese pecuniarie inferiori a fr. 30'000.-- (in determinati campi a fr. 15'000.--) e giudizi penali che non sono oggetto di iscrizione nel casellario giudiziale. Inoltre, soltanto le decisioni penali emanate da una seconda istanza giudiziaria dovrebbero di principio poter essere impugnabili al Tribunale federale. Questo aspetto è legato alla realizzazione di un ampliamento delle possibilità di ricorso dinanzi alle istanze precedenti. La legittimazione a presentare ricorso in materia penale dovrebbe altresì essere limitata ai danneggiati che hanno qualità di vittima. Infine, secondo il parere del Tribunale, in materia di assicurazione militare e di assicurazione contro gli infortuni, in futuro l'esame degli accertamenti di fatto non dovrebbe essere completo, ma limitato all'arbitrio.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 22. Februar 2016 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Rücktritt Bundesrichter Rudolf Ursprung Herr Bundesrichter Rudolf Ursprung tritt auf Ende des laufenden Jahres von seinem Amt zurück. Rudolf Ursprung wurde 2001 zum Bundesrichter gewählt und ist in der Ersten sozialrechtlichen Abteilung des Bundesgerichts in Luzern tätig. Herr Bundesrichter Rudolf Ursprung wurde am 20. März 2001 zum Mitglied des damaligen Eidgenössischen Versicherungsgerichts (EVG) gewählt, das 2007 mit dem Bundesgericht vereinigt wurde. Bundesrichter Ursprung ist Mitglied der Ersten sozialrechtlichen Abteilung in Luzern, die er in den Jahren 2007 bis 2012 präsidierte. Er gehört der Rekurskommission des Bundesgerichts an und amtet seit 2013 als deren Präsident. Bundesrichter Rudolf Ursprung hat entschieden, auf Ende des Jahres 2016 von seinem Amt als Bundesrichter zurückzutreten. Seine Nachfolgerin oder sein Nachfolger wird von der Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht bekannt.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 22 février 2016 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Départ de Monsieur le Juge fédéral Rudolf Ursprung Monsieur le Juge fédéral Rudolf Ursprung quittera sa fonction à la fin de l'année en cours. Rudolf Ursprung a été élu juge fédéral en 2001 et exerce son activité juridictionnelle au sein de la première Cour de droit social du Tribunal fédéral à Lucerne. Monsieur Rudolf Ursprung a été élu le 20 mars 2001 comme juge au sein de l'ancien Tribunal fédéral des assurances (TFA), qui a fusionné en 2007 avec le Tribunal fédéral. Il exerce ses fonctions au sein de la première Cour de droit social dont il a été le Président de 2007 à 2012. Il fait partie de la Commission de recours du Tribunal fédéral qu'il préside depuis 2013. Monsieur le Juge Ursprung a décidé de remettre son mandat de juge fédéral pour la fin décembre 2016. Son successeur sera élu par l'Assemblée fédérale. La date n'est pas encore connue.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 22 febbraio 2016 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Dimissioni del Giudice federale Rudolf Ursprung Il Giudice federale Rudolf Ursprung lascerà la sua funzione alla fine dell'anno. Rudolf Ursprung è stato eletto quale giudice federale nel 2001 e svolge la sua funzione in seno alla prima Corte di diritto sociale a Lucerna. Il Giudice federale Rudolf Ursprung è stato eletto nel 2001 al Tribunale federale delle assicurazioni (TFA), quest'ultimo integrato al Tribunale federale nel 2007. Egli è membro della prima Corte di diritto sociale a Lucerna, di cui è stato presidente dal 2007 fino al 2012, e della Commissione di ricorso del Tribunale federale, che presiede dal 2013. Il Giudice federale Rudolf Ursprung ha deciso di lasciare la funzione alla fine dell'anno. Il suo successore sarà eletto dall'Assemblea federale. La data non è ancora nota.
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Lausanne, 22. Februar 2016 Medienmitteilung des Bundesgerichts Rücktritt Bundesrichter Rudolf Ursprung Herr Bundesrichter Rudolf Ursprung tritt auf Ende des laufenden Jahres von seinem Amt zurück. Rudolf Ursprung wurde 2001 zum Bundesrichter gewählt und ist in der Ersten sozialrechtlichen Abteilung des Bundesgerichts in Luzern tätig. Herr Bundesrichter Rudolf Ursprung wurde am 20. März 2001 zum Mitglied des damaligen Eidgenössischen Versicherungsgerichts (EVG) gewählt, das 2007 mit dem Bundesgericht vereinigt wurde. Bundesrichter Ursprung ist Mitglied der Ersten sozialrechtlichen Abteilung in Luzern, die er in den Jahren 2007 bis 2012 präsidierte. Er gehört der Rekurskommission des Bundesgerichts an und amtet seit 2013 als deren Präsident. Bundesrichter Rudolf Ursprung hat entschieden, auf Ende des Jahres 2016 von seinem Amt als Bundesrichter zurückzutreten. Seine Nachfolgerin oder sein Nachfolger wird von der Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht bekannt.
Lausanne, le 22 février 2016 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Départ de Monsieur le Juge fédéral Rudolf Ursprung Monsieur le Juge fédéral Rudolf Ursprung quittera sa fonction à la fin de l'année en cours. Rudolf Ursprung a été élu juge fédéral en 2001 et exerce son activité juridictionnelle au sein de la première Cour de droit social du Tribunal fédéral à Lucerne. Monsieur Rudolf Ursprung a été élu le 20 mars 2001 comme juge au sein de l'ancien Tribunal fédéral des assurances (TFA), qui a fusionné en 2007 avec le Tribunal fédéral. Il exerce ses fonctions au sein de la première Cour de droit social dont il a été le Président de 2007 à 2012. Il fait partie de la Commission de recours du Tribunal fédéral qu'il préside depuis 2013. Monsieur le Juge Ursprung a décidé de remettre son mandat de juge fédéral pour la fin décembre 2016. Son successeur sera élu par l'Assemblée fédérale. La date n'est pas encore connue.
Losanna, 22 febbraio 2016 Comunicato stampa del Tribunale federale Dimissioni del Giudice federale Rudolf Ursprung Il Giudice federale Rudolf Ursprung lascerà la sua funzione alla fine dell'anno. Rudolf Ursprung è stato eletto quale giudice federale nel 2001 e svolge la sua funzione in seno alla prima Corte di diritto sociale a Lucerna. Il Giudice federale Rudolf Ursprung è stato eletto nel 2001 al Tribunale federale delle assicurazioni (TFA), quest'ultimo integrato al Tribunale federale nel 2007. Egli è membro della prima Corte di diritto sociale a Lucerna, di cui è stato presidente dal 2007 fino al 2012, e della Commissione di ricorso del Tribunale federale, che presiede dal 2013. Il Giudice federale Rudolf Ursprung ha deciso di lasciare la funzione alla fine dell'anno. Il suo successore sarà eletto dall'Assemblea federale. La data non è ancora nota.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 8. März 2016 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Wechsel des Präsidiums in der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung Auf den 1. April 2016 wechselt das Präsidium in der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung. Herr Bundesrichter Andreas Zünd tritt infolge Ablaufs der maximalen Amtszeit von sechs Jahren als Abteilungspräsident ab. Als Nachfolger wurde vom Gesamtgericht Herr Bundesrichter Hans Georg Seiler gewählt. Der aktuelle Abteilungspräsident Herr Bundesrichter Andreas Zünd übt das Amt seit dem 1. April 2010 aus. Nach Ablauf der maximalen Amtszeit von sechs Jahren gibt Herr Bundesrichter Zünd das Präsidium auf den 1. April 2016 ab. Er wird als Bundesrichter weiter in der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung tätig sein. Als neuen Präsidenten der Abteilung wählte das Gesamtgericht am 20. Januar 2016 Herrn Bundesrichter Hans Georg Seiler. Er wurde 2005 zum Bundesrichter gewählt und gehört der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung als Richter seit 2011 an.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 8 mars 2016 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Changement de présidence à la deuxième Cour de droit public Le 1er avril 2016 aura lieu un changement de présidence à la deuxième Cour de droit public. Monsieur le Juge fédéral Andreas Zünd quittera la présidence de la Cour après avoir exercé cette fonction pendant la durée maximale prévue de six ans. La Cour plénière a élu Monsieur le Juge fédéral Hans Georg Seiler pour lui succéder. L'actuel Président de Cour, Monsieur le Juge fédéral Andreas Zünd, exerce cette fonction depuis le 1er avril 2010. Après la période de fonction maximale de six ans, Monsieur le Juge fédéral Zünd quittera cette présidence au 1 er avril 2016. Il continuera d'exercer sa fonction de juge fédéral au sein de la deuxième Cour de droit public. La Cour plénière a élu Monsieur le juge fédéral Hans Georg Seiler en qualité de nouveau Président de Cour le 20 janvier 2016. Il a été élu juge fédéral en 2005 et est affecté à la deuxième Cour de droit public, en tant que juge, depuis 2011.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 8 marzo 2016 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Avvicendamento alla Presidenza della seconda Corte di diritto pubblico Il 1° aprile 2016 interverrà un avvicendamento alla Presidenza della seconda Corte di diritto pubblico. Il Giudice federale Andreas Zünd lascerà la funzione di presidente di corte al termine del periodo di carica massimo previsto. La Corte plenaria ha eletto quale suo successore il Giudice federale Hans Georg Seiler. Il Giudice federale Andreas Zünd è attivo quale presidente di corte dal 1° aprile 2010. Egli lascerà tale funzione al termine del periodo di carica massimo di sei anni e continuerà ad essere attivo in seno alla seconda Corte di diritto pubblico in qualità di giudice federale. La Corte plenaria ha eletto il 20 gennaio 2016 il Giudice federale Hans Georg Seiler quale nuovo presidente di corte. Egli è stato eletto quale giudice federale nel 2005 e svolge tale funzione in seno alla seconda Corte di diritto pubblico dal 2011.
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Lausanne, 8. März 2016 Medienmitteilung des Bundesgerichts Wechsel des Präsidiums in der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung Auf den 1. April 2016 wechselt das Präsidium in der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung. Herr Bundesrichter Andreas Zünd tritt infolge Ablaufs der maximalen Amtszeit von sechs Jahren als Abteilungspräsident ab. Als Nachfolger wurde vom Gesamtgericht Herr Bundesrichter Hans Georg Seiler gewählt. Der aktuelle Abteilungspräsident Herr Bundesrichter Andreas Zünd übt das Amt seit dem 1. April 2010 aus. Nach Ablauf der maximalen Amtszeit von sechs Jahren gibt Herr Bundesrichter Zünd das Präsidium auf den 1. April 2016 ab. Er wird als Bundesrichter weiter in der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung tätig sein. Als neuen Präsidenten der Abteilung wählte das Gesamtgericht am 20. Januar 2016 Herrn Bundesrichter Hans Georg Seiler. Er wurde 2005 zum Bundesrichter gewählt und gehört der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung als Richter seit 2011 an.
Lausanne, le 8 mars 2016 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Changement de présidence à la deuxième Cour de droit public Le 1er avril 2016 aura lieu un changement de présidence à la deuxième Cour de droit public. Monsieur le Juge fédéral Andreas Zünd quittera la présidence de la Cour après avoir exercé cette fonction pendant la durée maximale prévue de six ans. La Cour plénière a élu Monsieur le Juge fédéral Hans Georg Seiler pour lui succéder. L'actuel Président de Cour, Monsieur le Juge fédéral Andreas Zünd, exerce cette fonction depuis le 1er avril 2010. Après la période de fonction maximale de six ans, Monsieur le Juge fédéral Zünd quittera cette présidence au 1 er avril 2016. Il continuera d'exercer sa fonction de juge fédéral au sein de la deuxième Cour de droit public. La Cour plénière a élu Monsieur le juge fédéral Hans Georg Seiler en qualité de nouveau Président de Cour le 20 janvier 2016. Il a été élu juge fédéral en 2005 et est affecté à la deuxième Cour de droit public, en tant que juge, depuis 2011.
Losanna, 8 marzo 2016 Comunicato stampa del Tribunale federale Avvicendamento alla Presidenza della seconda Corte di diritto pubblico Il 1° aprile 2016 interverrà un avvicendamento alla Presidenza della seconda Corte di diritto pubblico. Il Giudice federale Andreas Zünd lascerà la funzione di presidente di corte al termine del periodo di carica massimo previsto. La Corte plenaria ha eletto quale suo successore il Giudice federale Hans Georg Seiler. Il Giudice federale Andreas Zünd è attivo quale presidente di corte dal 1° aprile 2010. Egli lascerà tale funzione al termine del periodo di carica massimo di sei anni e continuerà ad essere attivo in seno alla seconda Corte di diritto pubblico in qualità di giudice federale. La Corte plenaria ha eletto il 20 gennaio 2016 il Giudice federale Hans Georg Seiler quale nuovo presidente di corte. Egli è stato eletto quale giudice federale nel 2005 e svolge tale funzione in seno alla seconda Corte di diritto pubblico dal 2011.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 2. Juni 2016 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Rücktritt Bundesrichter Gilbert Kolly Herr Bundesrichter Gilbert Kolly, Bundesgerichtspräsident und Mitglied der I. zivilrechtlichen Abteilung, scheidet auf Ende Jahr aus dem Bundesgericht aus. Er ist seit 1999 Richter am Bundesgericht und seit 2013 dessen Präsident. Bundesrichter Gilbert Kolly wurde am 7. Oktober 1998 zum ordentlichen Mitglied des Bundesgerichts gewählt. Von 1999 bis 2006 war er Mitglied der Strafrechtlichen Abteilung, seither gehört er der I. zivilrechtlichen Abteilung an. In den Jahren 2011 und 2012 war Gilbert Kolly Vizepräsident des Bundesgerichts, seit 2013 präsidiert er das Bundesgericht. Das Gesetz beschränkt die Amtsdauer des Bundesgerichtspräsidenten auf zwei Jahre; einmalige Wiederwahl ist zulässig (Artikel 14 Absatz 2 Bundesgerichtsgesetz). Bundesrichter Kolly nimmt das Ende seiner Amtszeit als Bundesgerichtspräsident per Ende 2016 zum Anlass, auf diesen Zeitpunkt hin auch als Mitglied des Bundesgerichts zurückzutreten. Sein Nachfolger oder seine Nachfolgerin im Amt des Bundesrichters wird von der Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht bekannt. Die Vereinigte Bundesversammlung wird zudem auf Vorschlag des Gesamtgerichts hin einen neuen Bundesgerichtspräsidenten bzw. eine neue Bundesgerichtspräsidentin wählen.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 2 juin 2016 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Départ de Monsieur le Juge fédéral Gilbert Kolly Monsieur le Juge fédéral Gilbert Kolly, Président du Tribunal fédéral et membre de la Ire Cour de droit civil, quittera ses fonctions à la fin de l'année. Il est juge au Tribunal fédéral depuis 1999 et en est le Président depuis 2013. Monsieur Gilbert Kolly a été élu juge au Tribunal fédéral le 7 octobre 1998. Il a exercé ses fonctions au sein de la Cour de droit pénal de 1999 à 2006 et, depuis, au sein de la Ire Cour de droit civil. Monsieur Gilbert Kolly était Vice-président du Tribunal fédéral de 2011 à 2012 et, depuis 2013, il exerce la fonction de Président du Tribunal fédéral. La loi limite la durée de la présidence à deux ans; ce mandat peut être reconduit une seule fois (article 14 alinéa 2 Loi sur le Tribunal fédéral). Le mandat présidentiel du juge fédéral Kolly échoit à la fin de l'année en cours. Il souhaite faire coïncider la fin de sa présidence avec son départ du Tribunal fédéral et quittera donc sa fonction de juge fin 2016. Son successeur en tant que juge fédéral sera élu par l'Assemblée fédérale. La date n'est pas encore connue. De plus, l'Assemblée fédéral élira, sur proposition de la Cour plénière, un nouveau Président ou une nouvelle Présidente du Tribunal fédéral.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 2 giugno 2016 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Dimissioni del Giudice federale Gilbert Kolly Il Giudice federale Gilbert Kolly, Presidente del Tribunale federale e membro della prima Corte di diritto civile, lascerà la sua funzione presso il Tribunale federale alla fine dell'anno. Egli è giudice al Tribunale federale dal 1999 e suo Presidente dal 2013. Il Giudice federale Gilbert Kolly è stato eletto giudice ordinario al Tribunale federale il 7 ottobre 1998. Dal 1999 al 2006 è stato membro della Corte di diritto penale e dal 2006 esercita la sua funzione in seno alla prima Corte di diritto civile. Gilbert Kolly ha assunto la vicepresidenza del Tribunale federale durante gli anni 2011 e 2012, divenendone in seguito Presidente nel 2013. In virtù della legge, la durata della presidenza è limitata a due anni; questo mandato può essere rinnovato una volta (articolo 14 capoverso 2 della legge sul Tribunale federale). Il mandato presidenziale del Giudice federale Kolly terminerà alla fine di quest'anno e alla stessa data si dimetterà anche dalla funzione di giudice del Tribunale federale. Il successore del Giudice federale Gilbert Kolly sarà eletto dall'Assemblea federale plenaria. La data di tale elezione non è ancora nota. Inoltre, l'Assemblea federale plenaria eleggerà, su proposta della Corte plenaria, un nuovo o una nuova Presidente del Tribunale federale.
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11.5.2_9.1.1.1_03_2016_yyyy_mm_dd_T_{lang}
Lausanne, 2. Juni 2016 Medienmitteilung des Bundesgerichts Rücktritt Bundesrichter Gilbert Kolly Herr Bundesrichter Gilbert Kolly, Bundesgerichtspräsident und Mitglied der I. zivilrechtlichen Abteilung, scheidet auf Ende Jahr aus dem Bundesgericht aus. Er ist seit 1999 Richter am Bundesgericht und seit 2013 dessen Präsident. Bundesrichter Gilbert Kolly wurde am 7. Oktober 1998 zum ordentlichen Mitglied des Bundesgerichts gewählt. Von 1999 bis 2006 war er Mitglied der Strafrechtlichen Abteilung, seither gehört er der I. zivilrechtlichen Abteilung an. In den Jahren 2011 und 2012 war Gilbert Kolly Vizepräsident des Bundesgerichts, seit 2013 präsidiert er das Bundesgericht. Das Gesetz beschränkt die Amtsdauer des Bundesgerichtspräsidenten auf zwei Jahre; einmalige Wiederwahl ist zulässig (Artikel 14 Absatz 2 Bundesgerichtsgesetz). Bundesrichter Kolly nimmt das Ende seiner Amtszeit als Bundesgerichtspräsident per Ende 2016 zum Anlass, auf diesen Zeitpunkt hin auch als Mitglied des Bundesgerichts zurückzutreten. Sein Nachfolger oder seine Nachfolgerin im Amt des Bundesrichters wird von der Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht bekannt. Die Vereinigte Bundesversammlung wird zudem auf Vorschlag des Gesamtgerichts hin einen neuen Bundesgerichtspräsidenten bzw. eine neue Bundesgerichtspräsidentin wählen.
Lausanne, le 2 juin 2016 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Départ de Monsieur le Juge fédéral Gilbert Kolly Monsieur le Juge fédéral Gilbert Kolly, Président du Tribunal fédéral et membre de la Ire Cour de droit civil, quittera ses fonctions à la fin de l'année. Il est juge au Tribunal fédéral depuis 1999 et en est le Président depuis 2013. Monsieur Gilbert Kolly a été élu juge au Tribunal fédéral le 7 octobre 1998. Il a exercé ses fonctions au sein de la Cour de droit pénal de 1999 à 2006 et, depuis, au sein de la Ire Cour de droit civil. Monsieur Gilbert Kolly était Vice-président du Tribunal fédéral de 2011 à 2012 et, depuis 2013, il exerce la fonction de Président du Tribunal fédéral. La loi limite la durée de la présidence à deux ans; ce mandat peut être reconduit une seule fois (article 14 alinéa 2 Loi sur le Tribunal fédéral). Le mandat présidentiel du juge fédéral Kolly échoit à la fin de l'année en cours. Il souhaite faire coïncider la fin de sa présidence avec son départ du Tribunal fédéral et quittera donc sa fonction de juge fin 2016. Son successeur en tant que juge fédéral sera élu par l'Assemblée fédérale. La date n'est pas encore connue. De plus, l'Assemblée fédéral élira, sur proposition de la Cour plénière, un nouveau Président ou une nouvelle Présidente du Tribunal fédéral.
Losanna, 2 giugno 2016 Comunicato stampa del Tribunale federale Dimissioni del Giudice federale Gilbert Kolly Il Giudice federale Gilbert Kolly, Presidente del Tribunale federale e membro della prima Corte di diritto civile, lascerà la sua funzione presso il Tribunale federale alla fine dell'anno. Egli è giudice al Tribunale federale dal 1999 e suo Presidente dal 2013. Il Giudice federale Gilbert Kolly è stato eletto giudice ordinario al Tribunale federale il 7 ottobre 1998. Dal 1999 al 2006 è stato membro della Corte di diritto penale e dal 2006 esercita la sua funzione in seno alla prima Corte di diritto civile. Gilbert Kolly ha assunto la vicepresidenza del Tribunale federale durante gli anni 2011 e 2012, divenendone in seguito Presidente nel 2013. In virtù della legge, la durata della presidenza è limitata a due anni; questo mandato può essere rinnovato una volta (articolo 14 capoverso 2 della legge sul Tribunale federale). Il mandato presidenziale del Giudice federale Kolly terminerà alla fine di quest'anno e alla stessa data si dimetterà anche dalla funzione di giudice del Tribunale federale. Il successore del Giudice federale Gilbert Kolly sarà eletto dall'Assemblea federale plenaria. La data di tale elezione non è ancora nota. Inoltre, l'Assemblea federale plenaria eleggerà, su proposta della Corte plenaria, un nuovo o una nuova Presidente del Tribunale federale.
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11.5.2_9.1.1.1_04_2016_yyyy_mm_dd_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 11. Oktober 2016 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Wahlvorschlag für Präsidium / Vizepräsidium ab 1. Januar 2017 und Wahl Leitungsorgane Das Bundesgericht schlägt der Bundesversammlung Herrn Bundesrichter Ulrich Meyer zur Wahl als Bundesgerichtspräsidenten und Frau Bundesrichterin Martha Niquille-Eberle zur Wahl als Vizepräsidentin vor. Als drittes Mitglied der Verwaltungskommission hat das Gesamtgericht Herrn Bundesrichter Yves Donzallaz gewählt. In zwei der sieben Abteilungen des Bundesgerichts kommt es auf Anfang 2017 zu einem Wechsel des Präsidiums. In der Dezembersession wird die Bundesversammlung auf Vorschlag des Bundesgerichts hin das Präsidium und das Vizepräsidium des Bundesgerichts für die Amtsperiode 2017 bis 2018 wählen. Die Vollversammlung der ordentlichen Bundesrichterinnen und Bundesrichter (Gesamtgericht) hat am 10. Oktober 2016 beschlossen, den amtierenden Vizepräsidenten des Bundesgerichts, Herrn Bundesrichter Ulrich Meyer, zur Wahl als neuen Präsidenten des Bundesgerichts vorzuschlagen. Der aktuelle Bundesgerichtspräsident, Herr Bundesrichter Gilbert Kolly, tritt auf Ende Jahr von seinem Amt als Bundesrichter zurück. Als neue Vizepräsidentin schlägt das Gesamtgericht Frau Bundesrichterin Martha Niquille-Eberle zur Wahl vor. Der neue Präsident und die neue Vizepräsidentin nehmen von Gesetzes wegen auch in der Verwaltungskommission des Bundesgerichts Einsitz. Als drittes Mitglied der Verwaltungskommission hat das Gesamtgericht am Montag Herrn Bundesrichter Yves Donzallaz gewählt. Auf Anfang 2017 kommt es in zwei der sieben Abteilungen des Bundesgerichts zu einem Wechsel des Präsidiums. Herr Bundesrichter Jean Fonjallaz gibt Ende 2016 das Amt als Abteilungspräsident der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung ab. Als seinen Nachfolger hat das Gesamtgericht Herrn Bundesrichter Thomas Merkli gewählt. Frau Bundesrichterin Brigitte Pfiffner löst auf Anfang 2017 Frau Bundesrichterin Lucrezia Glanzmann als Präsidentin der Zweiten sozialrechtlichen Abteilung in Luzern ab. Die Präsidien der übrigen fünf Abteilungen bleiben unverändert (Zweite öffentlich-rechtliche Abteilung: Bundesrichter Hans Georg Seiler, Erste zivilrechtliche Abteilung: Bundesrichterin Christina Kiss, Zweite zivilrechtliche Abteilung: Bundesrichter Nicolas von Werdt, Strafrechtliche Abteilung: Bundesrichter Christian Denys, Erste sozialrechtliche Abteilung: Bundesrichter Marcel Maillard). Weiter hat das Bundesgericht als Mitglieder seiner Rekurskommission für die Amtsperiode 2017 bis 2018 Herrn Bundesrichter Luca Marazzi (neu Vorsitz) und Herrn Bundesrichter François Chaix bestätigt sowie Frau Bundesrichterin Alexia Heine neu gewählt. Die am 28. September 2016 von der Bundesversammlung neu gewählte Bundesrichterin Daniela Viscione wird der Ersten sozialrechtlichen Abteilung zugeteilt, die neu gewählte Bundesrichterin Marie-Chantal May Canellas der Ersten zivilrechtlichen Abteilung.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 11 octobre 2016 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Proposition pour l'élection à la Présidence et à la Vice-Prési dence dès le 1er janvier 2017 et élection des organes de direc tion Le Tribunal fédéral propose à l'Assemblée fédérale d'élire Monsieur le Juge Ulrich Meyer en qualité de Président du Tribunal fédéral et Madame la Juge Martha NiquilleEberle comme Vice-Présidente. La Cour plénière a élu Monsieur le Juge Yves Donzallaz comme troisième membre de la Commission administrative. Au début de l'année 2017, le Tribunal fédéral comptera deux nouveaux présidents de cour sur sept. Lors de la session de décembre, l'Assemblée fédérale élira, sur proposition du Tribunal fédéral, le Président et la Vice-Présidente du Tribunal fédéral pour la période 2017 à 2018. La Cour plénière, composée de tous les juges fédéraux, a décidé le 10 octobre 2016 de proposer l'actuel Vice-Président du Tribunal fédéral, Monsieur le Juge Ulrich Meyer, pour l'élection en tant que nouveau Président du Tribunal fédéral. Le Président actuel du Tribunal fédéral, Monsieur le Juge Gilbert Kolly, quittera sa fonction de Juge fédéral à la fin de l'année en cours. La Cour plénière propose d'élire Madame la Juge Martha Niquille-Eberle à la fonction de Vice-Présidente. Le nouveau Président et la nouvelle Vice-Présidente sont membres de la Commission administrative du Tribunal fédéral de par la loi. La Cour plénière a élu lundi Monsieur le Juge Yves Donzallaz en qualité de troisième membre de la Commission administrative. Au début de l'année 2017, deux des sept cours du Tribunal fédéral auront un nouveau président ou une nouvelle présidente. Monsieur le Juge Jean Fonjallaz termine à la fin de 2016 son mandat comme Président de la Première Cour de droit public. Monsieur le Juge Thomas Merkli a été élu à sa succession par la Cour plénière. Madame la Juge Brigitte Pfiffner remplace dès le 1 er janvier 2017 Madame la Juge Lucrezia Glanzmann comme Présidente de la Deuxième Cour de droit social à Lucerne. Les présidences des cinq autres cours restent inchangées (II e Cour de droit public : Monsieur le Juge Hans Georg Seiler, Ire Cour de droit civil : Madame la Juge Christina Kiss, II e Cour de droit civil : Monsieur le Juge Nicolas von Werdt, Cour de droit pénal : Monsieur le Juge Christian Denys, I re Cour de droit social : Monsieur le Juge Marcel Maillard). De plus, le Tribunal fédéral a confirmé les membres de sa Commission de recours pour la période 2017 à 2018, à savoir Monsieur le Juge Luca Marazzi (nouveau Président) ainsi que Monsieur le Juge François Chaix et a élu Madame la Juge Alexia Heine en qualité de nouvelle membre de cette commission. Madame la Juge Daniela Viscione a été affectée à la I re Cour de droit social et Madame la Juge Marie-Chantal May Canellas à la I re Cour de droit civil; toutes deux avaient été élues par l'Assemblée fédérale le 28 septembre 2016.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 11 ottobre 2016 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Proposta di elezione per la presidenza e la vicepresidenza dal 1° gennaio 2017 ed elezione degli organi direttivi Il Tribunale federale propone all'Assemblea federale di eleggere il Giudice federale Ulrich Meyer alla presidenza del Tribunale federale e la Giudice federale Martha Niquille-Eberle alla vicepresidenza. La Corte plenaria ha eletto il Giudice federale Yves Donzallaz quale terzo membro della Commissione amministrativa. Ad inizio 2017, due delle sette Corti del Tribunale federale conosceranno un nuovo Presidente. Durante la sessione di dicembre, l'Assemblea federale procederà all'elezione, su proposta del Tribunale federale, del Presidente e del Vicepresidente del Tribunale federale per il periodo 2017-2018. Il 10 ottobre 2016, la Corte plenaria ha proposto di eleggere il Vicepresidente in carica, Giudice federale Ulrich Meyer, quale nuovo Presidente del Tribunale federale. L'attuale Presidente del Tribunale federale, Giudice federale Gilbert Kolly, lascerà la sua funzione alla fine dell'anno. La Corte plenaria propone, inoltre, di eleggere la Giudice federale Martha Niquille-Eberle alla vicepresidenza. Il nuovo Presidente e la nuova Vicepresidente siedono per legge nella Commissione amministrativa. Quale terzo membro di questa Commissione, la Corte plenaria ha eletto lunedì il Giudice federale Yves Donzallaz. Ad inizio 2017, due delle sette Corti conosceranno un nuovo Presidente. Il Giudice federale Jean Fonjallaz lascerà la carica di Presidente della Prima Corte di diritto pubblico alla fine del 2016. Al suo posto, la Corte plenaria ha eletto il Giudice federale Thomas Merkli. La Giudice federale Brigitte Pfiffner succede il 1° gennaio 2017 alla Giudice federale Lucrezia Glanzmann come Presidente della Seconda Corte di diritto sociale a Lucerna. Al suo posto è stata eletta la Giudice federale Brigitte Pfiffner. I Presidi delle altre cinque Corti restano immutati (Seconda Corte di diritto pubblico: Giudice federale Hans Georg Seiler, Prima Corte di diritto civile: Giudice federale Christina Kiss, Seconda Corte di diritto civile: Giudice federale Nicolas von Werdt, Corte di diritto penale: Giudice federale Christian Denys, Prima Corte di diritto sociale: Giudice federale Marcel Maillard). Inoltre, il Tribunale federale ha confermato i Giudici federali Luca Marazzi (nuovo Presidente) e François Chaix, nonché eletto la Giudice federale Alexia Heine quali membri della sua Commissione di ricorso per il periodo di carica 2017-2018. La Giudice federale Daniela Viscione, eletta dall'Assemblea federale in data 28 settembre 2016, è stata attribuita alla Prima Corte di diritto sociale. La Giudice federale Marie-Chantal May Canellas, anch'essa eletta il 28 settembre 2016, eserciterà la sua funzione in seno alla Prima Corte di diritto civile.
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11.5.2_9.1.1.1_04_2016_yyyy_mm_dd_T_{lang}
Lausanne, 11. Oktober 2016 Medienmitteilung des Bundesgerichts Wahlvorschlag für Präsidium / Vizepräsidium ab 1. Januar 2017 und Wahl Leitungsorgane Das Bundesgericht schlägt der Bundesversammlung Herrn Bundesrichter Ulrich Meyer zur Wahl als Bundesgerichtspräsidenten und Frau Bundesrichterin Martha Niquille-Eberle zur Wahl als Vizepräsidentin vor. Als drittes Mitglied der Verwaltungskommission hat das Gesamtgericht Herrn Bundesrichter Yves Donzallaz gewählt. In zwei der sieben Abteilungen des Bundesgerichts kommt es auf Anfang 2017 zu einem Wechsel des Präsidiums. In der Dezembersession wird die Bundesversammlung auf Vorschlag des Bundesgerichts hin das Präsidium und das Vizepräsidium des Bundesgerichts für die Amtsperiode 2017 bis 2018 wählen. Die Vollversammlung der ordentlichen Bundesrichterinnen und Bundesrichter (Gesamtgericht) hat am 10. Oktober 2016 beschlossen, den amtierenden Vizepräsidenten des Bundesgerichts, Herrn Bundesrichter Ulrich Meyer, zur Wahl als neuen Präsidenten des Bundesgerichts vorzuschlagen. Der aktuelle Bundesgerichtspräsident, Herr Bundesrichter Gilbert Kolly, tritt auf Ende Jahr von seinem Amt als Bundesrichter zurück. Als neue Vizepräsidentin schlägt das Gesamtgericht Frau Bundesrichterin Martha Niquille-Eberle zur Wahl vor. Der neue Präsident und die neue Vizepräsidentin nehmen von Gesetzes wegen auch in der Verwaltungskommission des Bundesgerichts Einsitz. Als drittes Mitglied der Verwaltungskommission hat das Gesamtgericht am Montag Herrn Bundesrichter Yves Donzallaz gewählt. Auf Anfang 2017 kommt es in zwei der sieben Abteilungen des Bundesgerichts zu einem Wechsel des Präsidiums. Herr Bundesrichter Jean Fonjallaz gibt Ende 2016 das Amt als Abteilungspräsident der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung ab. Als seinen Nachfolger hat das Gesamtgericht Herrn Bundesrichter Thomas Merkli gewählt. Frau Bundesrichterin Brigitte Pfiffner löst auf Anfang 2017 Frau Bundesrichterin Lucrezia Glanzmann als Präsidentin der Zweiten sozialrechtlichen Abteilung in Luzern ab. Die Präsidien der übrigen fünf Abteilungen bleiben unverändert (Zweite öffentlich-rechtliche Abteilung: Bundesrichter Hans Georg Seiler, Erste zivilrechtliche Abteilung: Bundesrichterin Christina Kiss, Zweite zivilrechtliche Abteilung: Bundesrichter Nicolas von Werdt, Strafrechtliche Abteilung: Bundesrichter Christian Denys, Erste sozialrechtliche Abteilung: Bundesrichter Marcel Maillard). Weiter hat das Bundesgericht als Mitglieder seiner Rekurskommission für die Amtsperiode 2017 bis 2018 Herrn Bundesrichter Luca Marazzi (neu Vorsitz) und Herrn Bundesrichter François Chaix bestätigt sowie Frau Bundesrichterin Alexia Heine neu gewählt. Die am 28. September 2016 von der Bundesversammlung neu gewählte Bundesrichterin Daniela Viscione wird der Ersten sozialrechtlichen Abteilung zugeteilt, die neu gewählte Bundesrichterin Marie-Chantal May Canellas der Ersten zivilrechtlichen Abteilung.
Lausanne, le 11 octobre 2016 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Proposition pour l'élection à la Présidence et à la Vice-Prési dence dès le 1er janvier 2017 et élection des organes de direc tion Le Tribunal fédéral propose à l'Assemblée fédérale d'élire Monsieur le Juge Ulrich Meyer en qualité de Président du Tribunal fédéral et Madame la Juge Martha NiquilleEberle comme Vice-Présidente. La Cour plénière a élu Monsieur le Juge Yves Donzallaz comme troisième membre de la Commission administrative. Au début de l'année 2017, le Tribunal fédéral comptera deux nouveaux présidents de cour sur sept. Lors de la session de décembre, l'Assemblée fédérale élira, sur proposition du Tribunal fédéral, le Président et la Vice-Présidente du Tribunal fédéral pour la période 2017 à 2018. La Cour plénière, composée de tous les juges fédéraux, a décidé le 10 octobre 2016 de proposer l'actuel Vice-Président du Tribunal fédéral, Monsieur le Juge Ulrich Meyer, pour l'élection en tant que nouveau Président du Tribunal fédéral. Le Président actuel du Tribunal fédéral, Monsieur le Juge Gilbert Kolly, quittera sa fonction de Juge fédéral à la fin de l'année en cours. La Cour plénière propose d'élire Madame la Juge Martha Niquille-Eberle à la fonction de Vice-Présidente. Le nouveau Président et la nouvelle Vice-Présidente sont membres de la Commission administrative du Tribunal fédéral de par la loi. La Cour plénière a élu lundi Monsieur le Juge Yves Donzallaz en qualité de troisième membre de la Commission administrative. Au début de l'année 2017, deux des sept cours du Tribunal fédéral auront un nouveau président ou une nouvelle présidente. Monsieur le Juge Jean Fonjallaz termine à la fin de 2016 son mandat comme Président de la Première Cour de droit public. Monsieur le Juge Thomas Merkli a été élu à sa succession par la Cour plénière. Madame la Juge Brigitte Pfiffner remplace dès le 1 er janvier 2017 Madame la Juge Lucrezia Glanzmann comme Présidente de la Deuxième Cour de droit social à Lucerne. Les présidences des cinq autres cours restent inchangées (II e Cour de droit public : Monsieur le Juge Hans Georg Seiler, Ire Cour de droit civil : Madame la Juge Christina Kiss, II e Cour de droit civil : Monsieur le Juge Nicolas von Werdt, Cour de droit pénal : Monsieur le Juge Christian Denys, I re Cour de droit social : Monsieur le Juge Marcel Maillard). De plus, le Tribunal fédéral a confirmé les membres de sa Commission de recours pour la période 2017 à 2018, à savoir Monsieur le Juge Luca Marazzi (nouveau Président) ainsi que Monsieur le Juge François Chaix et a élu Madame la Juge Alexia Heine en qualité de nouvelle membre de cette commission. Madame la Juge Daniela Viscione a été affectée à la I re Cour de droit social et Madame la Juge Marie-Chantal May Canellas à la I re Cour de droit civil; toutes deux avaient été élues par l'Assemblée fédérale le 28 septembre 2016.
Losanna, 11 ottobre 2016 Comunicato stampa del Tribunale federale Proposta di elezione per la presidenza e la vicepresidenza dal 1° gennaio 2017 ed elezione degli organi direttivi Il Tribunale federale propone all'Assemblea federale di eleggere il Giudice federale Ulrich Meyer alla presidenza del Tribunale federale e la Giudice federale Martha Niquille-Eberle alla vicepresidenza. La Corte plenaria ha eletto il Giudice federale Yves Donzallaz quale terzo membro della Commissione amministrativa. Ad inizio 2017, due delle sette Corti del Tribunale federale conosceranno un nuovo Presidente. Durante la sessione di dicembre, l'Assemblea federale procederà all'elezione, su proposta del Tribunale federale, del Presidente e del Vicepresidente del Tribunale federale per il periodo 2017-2018. Il 10 ottobre 2016, la Corte plenaria ha proposto di eleggere il Vicepresidente in carica, Giudice federale Ulrich Meyer, quale nuovo Presidente del Tribunale federale. L'attuale Presidente del Tribunale federale, Giudice federale Gilbert Kolly, lascerà la sua funzione alla fine dell'anno. La Corte plenaria propone, inoltre, di eleggere la Giudice federale Martha Niquille-Eberle alla vicepresidenza. Il nuovo Presidente e la nuova Vicepresidente siedono per legge nella Commissione amministrativa. Quale terzo membro di questa Commissione, la Corte plenaria ha eletto lunedì il Giudice federale Yves Donzallaz. Ad inizio 2017, due delle sette Corti conosceranno un nuovo Presidente. Il Giudice federale Jean Fonjallaz lascerà la carica di Presidente della Prima Corte di diritto pubblico alla fine del 2016. Al suo posto, la Corte plenaria ha eletto il Giudice federale Thomas Merkli. La Giudice federale Brigitte Pfiffner succede il 1° gennaio 2017 alla Giudice federale Lucrezia Glanzmann come Presidente della Seconda Corte di diritto sociale a Lucerna. Al suo posto è stata eletta la Giudice federale Brigitte Pfiffner. I Presidi delle altre cinque Corti restano immutati (Seconda Corte di diritto pubblico: Giudice federale Hans Georg Seiler, Prima Corte di diritto civile: Giudice federale Christina Kiss, Seconda Corte di diritto civile: Giudice federale Nicolas von Werdt, Corte di diritto penale: Giudice federale Christian Denys, Prima Corte di diritto sociale: Giudice federale Marcel Maillard). Inoltre, il Tribunale federale ha confermato i Giudici federali Luca Marazzi (nuovo Presidente) e François Chaix, nonché eletto la Giudice federale Alexia Heine quali membri della sua Commissione di ricorso per il periodo di carica 2017-2018. La Giudice federale Daniela Viscione, eletta dall'Assemblea federale in data 28 settembre 2016, è stata attribuita alla Prima Corte di diritto sociale. La Giudice federale Marie-Chantal May Canellas, anch'essa eletta il 28 settembre 2016, eserciterà la sua funzione in seno alla Prima Corte di diritto civile.
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11.5.2_9.1.1.1_04_2018_yyyy_mm_dd_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 16. Oktober 2018 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Wahlvorschlag für Präsidium / Vizepräsidium ab 1. Januar 2019 und Wahl Leitungsorgane Das Bundesgericht schlägt der Bundesversammlung Herrn Bundesrichter Ulrich Meyer zur Wiederwahl als Bundesgerichtspräsidenten und Frau Bundesrichterin Martha Niquille zur Wiederwahl als Vizepräsidentin vor. Als drittes Mitglied der Verwaltungskommission hat das Gesamtgericht Herrn Bundesrichter Yves Donzallaz bestätigt. In zwei der sieben Abteilungen des Bundesgerichts kommt es auf Anfang 2019 zu einem Wechsel des Präsidiums. In der Dezembersession wird die Bundesversammlung auf Vorschlag des Bundesgerichts das Präsidium und das Vizepräsidium des Bundesgerichts für die Amtsperiode 2019 bis 2020 wählen. Die Vollversammlung der ordentlichen Bundesrichterinnen und Bundesrichter (Gesamtgericht) hat am 15. Oktober 2018 beschlossen, den amtierenden Bundesgerichtspräsidenten, Herrn Bundesrichter Ulrich Meyer, und die amtierende Vizepräsidentin, Frau Bundesrichterin Martha Niquille, für eine weitere Amtsperiode vorzuschlagen. Sie nehmen von Gesetzes wegen auch Einsitz in der Verwaltungskommission des Bundesgerichts. Als drittes Mitglied der Verwaltungskommission hat das Gesamtgericht am Montag Herrn Bundesrichter Yves Donzallaz bestätigt. Auf Anfang 2019 kommt es in zwei der sieben Abteilungen des Bundesgerichts zu einem Wechsel des Präsidiums. Herr Bundesrichter Thomas Merkli gibt Ende 2018 das Amt als Abteilungspräsident der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung ab. Als seinen Nachfolger hat das Gesamtgericht Herrn Bundesrichter François Chaix gewählt. Herr Bundesrichter Nicolas von Werdt tritt auf Ende 2018 als Abteilungspräsident der Zweiten zivilrechtlichen Abteilung zurück. Als seinen Nachfolger hat das Gesamtgericht Herrn Bundesrichter Christian Herrmann gewählt. Die Präsidien der übrigen fünf Abteilungen bleiben unverändert (Zweite öffentlich-rechtliche Abteilung: Bundesrichter Hans Georg Seiler, Erste zivilrechtliche Abteilung: Bundesrichterin Christina Kiss, Strafrechtliche Abteilung: Bundesrichter Christian Denys, Erste sozialrechtliche Abteilung: Bundesrichter Marcel Maillard, Zweite sozialrechtliche Abteilung: Bundesrichterin Brigitte Pfiffner). Weiter hat das Bundesgericht als Mitglieder seiner Rekurskommission für die Amtsperiode 2019 bis 2020 Herrn Bundesrichter Luca Marazzi (Vorsitz) und Frau Bundesrichterin Alexia Heine bestätigt und Frau Bundesrichterin Florence Aubry Girardin neu gewählt. Der am 26. September 2018 von der Bundesversammlung neu gewählte Bundesrichter Giuseppe Muschietti wird der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung zugeteilt.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 16 octobre 2018 Pas d'embargo Communiqué de presse du Tribunal fédéral Proposition pour l'élection à la présidence et à la viceprésidence dès le 1er janvier 2019 et élection des organes de direction Le Tribunal fédéral propose à l'Assemblée fédérale de réélire M. le Juge Ulrich Meyer en qualité de Président du Tribunal fédéral et Mme la Juge Martha Niquille comme Vice-Présidente. La Cour plénière a élu M. le Juge Yves Donzallaz comme 3 e membre de la Commission administrative. Au début de l'année 2019, le Tribunal fédéral comptera deux nouveaux présidents de cour sur sept. Lors de la session de décembre, l'Assemblée fédérale élira, sur proposition du Tribunal fédéral, le président et le vice-président du Tribunal fédéral pour la période 2019 à 2020. La Cour plénière, composée de tous les juges fédéraux, a décidé le 15 octobre 2018 de proposer le Président actuel du Tribunal fédéral, M. le Juge Ulrich Meyer, et la Vice-Présidente actuelle, Mme la Juge Martha Niquille, pour une nouvelle période administrative. Ceux-ci sont membres de la Commission administrative du Tribunal fédéral de par la loi. La Cour plénière a réélu lundi M. le Juge Yves Donzallaz en qualité de 3e membre de la Commission administrative. Au début de l'année 2019, deux des sept cours du Tribunal fédéral auront un nouveau président. M. le Juge Thomas Merkli termine à la fin de 2018 son mandat comme Président de la Première Cour de droit public. M. le Juge François Chaix a été élu à sa succession par la Cour plénière. M. le Juge Nicolas von Werdt termine à la fin de 2018 son mandat comme Président de la Deuxième Cour de droit civil. M. le Juge Christian Herrmann a été élu à sa succession par la Cour plénière. Les présidences des cinq autres cours restent inchangées (Deuxième Cour de droit public : M. le Juge Hans Georg Seiler, Première Cour de droit civil : Mme la Juge Christina Kiss, Cour de droit pénal : M. le Juge Christian Denys, Première Cour de droit social : M. le Juge Marcel Maillard, Deuxième Cour de droit social : Mme la Juge Brigitte Pfiffner). De plus, le Tribunal fédéral a confirmé deux membres de sa Commission de recours pour la période 2019 à 2020, à savoir M. le Juge Luca Marazzi (Président) ainsi que Mme la Juge Alexia Heine. Il a élu Mme la Juge Florence Aubry Girardin en qualité de nouvelle membre de cette commission. M. le Juge Giuseppe Muschietti, qui a été élu par l'Assemblée fédérale le 26 septembre 2018, sera affecté à la Première Cour de droit public.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 16 ottobre 2018 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Proposta di elezione per la presidenza e la vicepresidenza dal 1° gennaio 2019 ed elezione degli organi direttivi Il Tribunale federale propone di rieleggere il Giudice federale Ulrich Meyer alla presidenza del Tribunale federale e la Giudice federale Martha Niquille alla vicepresidenza. La Corte plenaria ha confermato il Giudice federale Yves Donzallaz quale terzo membro della Commissione amministrativa. Ad inizio 2019, due delle sette corti del Tribunale federale conosceranno un nuovo presidente. Durante la sessione di dicembre, l'Assemblea federale procederà all'elezione, su proposta del Tribunale federale, del presidente e del vicepresidente del Tribunale federale per il periodo 2019-2020. Il 15 ottobre 2018, la Corte plenaria ha deciso di proporre il Presidente in carica, Giudice federale Ulrich Meyer, e l'attuale Vicepresidente, Giudice federale Martha Niquille, per un ulteriore periodo di carica. Il presidente ed la vicepresidente del Tribunale federale siedono per legge nella Commissione amministrativa. La Corte plenaria ha confermato il Giudice federale Yves Donzallaz quale terzo membro di questa commissione. Ad inizio 2019, due delle sette corti conosceranno un nuovo presidente. Il Giudice federale Thomas Merkli lascerà la carica di presidente della Prima Corte di diritto pubblico alla fine del 2018. Al suo posto, la Corte plenaria ha eletto il Giudice federale François Chaix. Il Giudice federale Nicolas von Werdt lascerà la carica di presidente della Seconda Corte di diritto civile. Al suo posto, la Corte plenaria ha eletto il Giudice federale Christian Herrmann. I presidi delle altre cinque corti restano immutati (Seconda Corte di diritto pubblico: Giudice federale Hans Georg Seiler, Prima Corte di diritto civile: Giudice federale Christina Kiss, Corte di diritto penale: Giudice federale Christian Denys, Prima Corte di diritto sociale: Giudice federale Marcel Maillard, Seconda Corte di diritto sociale: Giudice federale Brigitte Pfiffner). Inoltre, il Tribunale federale ha confermato i Giudici federali Luca Marazzi (presidente) e Alexia Heine, nonché eletto la Giudice federale Florence Aubry Girardin quali membri della sua Commissione di ricorso per il periodo di carica 2019-2020. Il Giudice federale Giuseppe Muschietti, eletto dall'Assemblea federale in data 26 settembre 2018, è stato attribuito alla Prima Corte di diritto pubblico.
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Lausanne, 16. Oktober 2018 Medienmitteilung des Bundesgerichts Wahlvorschlag für Präsidium / Vizepräsidium ab 1. Januar 2019 und Wahl Leitungsorgane Das Bundesgericht schlägt der Bundesversammlung Herrn Bundesrichter Ulrich Meyer zur Wiederwahl als Bundesgerichtspräsidenten und Frau Bundesrichterin Martha Niquille zur Wiederwahl als Vizepräsidentin vor. Als drittes Mitglied der Verwaltungskommission hat das Gesamtgericht Herrn Bundesrichter Yves Donzallaz bestätigt. In zwei der sieben Abteilungen des Bundesgerichts kommt es auf Anfang 2019 zu einem Wechsel des Präsidiums. In der Dezembersession wird die Bundesversammlung auf Vorschlag des Bundesgerichts das Präsidium und das Vizepräsidium des Bundesgerichts für die Amtsperiode 2019 bis 2020 wählen. Die Vollversammlung der ordentlichen Bundesrichterinnen und Bundesrichter (Gesamtgericht) hat am 15. Oktober 2018 beschlossen, den amtierenden Bundesgerichtspräsidenten, Herrn Bundesrichter Ulrich Meyer, und die amtierende Vizepräsidentin, Frau Bundesrichterin Martha Niquille, für eine weitere Amtsperiode vorzuschlagen. Sie nehmen von Gesetzes wegen auch Einsitz in der Verwaltungskommission des Bundesgerichts. Als drittes Mitglied der Verwaltungskommission hat das Gesamtgericht am Montag Herrn Bundesrichter Yves Donzallaz bestätigt. Auf Anfang 2019 kommt es in zwei der sieben Abteilungen des Bundesgerichts zu einem Wechsel des Präsidiums. Herr Bundesrichter Thomas Merkli gibt Ende 2018 das Amt als Abteilungspräsident der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung ab. Als seinen Nachfolger hat das Gesamtgericht Herrn Bundesrichter François Chaix gewählt. Herr Bundesrichter Nicolas von Werdt tritt auf Ende 2018 als Abteilungspräsident der Zweiten zivilrechtlichen Abteilung zurück. Als seinen Nachfolger hat das Gesamtgericht Herrn Bundesrichter Christian Herrmann gewählt. Die Präsidien der übrigen fünf Abteilungen bleiben unverändert (Zweite öffentlich-rechtliche Abteilung: Bundesrichter Hans Georg Seiler, Erste zivilrechtliche Abteilung: Bundesrichterin Christina Kiss, Strafrechtliche Abteilung: Bundesrichter Christian Denys, Erste sozialrechtliche Abteilung: Bundesrichter Marcel Maillard, Zweite sozialrechtliche Abteilung: Bundesrichterin Brigitte Pfiffner). Weiter hat das Bundesgericht als Mitglieder seiner Rekurskommission für die Amtsperiode 2019 bis 2020 Herrn Bundesrichter Luca Marazzi (Vorsitz) und Frau Bundesrichterin Alexia Heine bestätigt und Frau Bundesrichterin Florence Aubry Girardin neu gewählt. Der am 26. September 2018 von der Bundesversammlung neu gewählte Bundesrichter Giuseppe Muschietti wird der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung zugeteilt.
Lausanne, le 16 octobre 2018 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Proposition pour l'élection à la présidence et à la viceprésidence dès le 1er janvier 2019 et élection des organes de direction Le Tribunal fédéral propose à l'Assemblée fédérale de réélire M. le Juge Ulrich Meyer en qualité de Président du Tribunal fédéral et Mme la Juge Martha Niquille comme Vice-Présidente. La Cour plénière a élu M. le Juge Yves Donzallaz comme 3 e membre de la Commission administrative. Au début de l'année 2019, le Tribunal fédéral comptera deux nouveaux présidents de cour sur sept. Lors de la session de décembre, l'Assemblée fédérale élira, sur proposition du Tribunal fédéral, le président et le vice-président du Tribunal fédéral pour la période 2019 à 2020. La Cour plénière, composée de tous les juges fédéraux, a décidé le 15 octobre 2018 de proposer le Président actuel du Tribunal fédéral, M. le Juge Ulrich Meyer, et la Vice-Présidente actuelle, Mme la Juge Martha Niquille, pour une nouvelle période administrative. Ceux-ci sont membres de la Commission administrative du Tribunal fédéral de par la loi. La Cour plénière a réélu lundi M. le Juge Yves Donzallaz en qualité de 3e membre de la Commission administrative. Au début de l'année 2019, deux des sept cours du Tribunal fédéral auront un nouveau président. M. le Juge Thomas Merkli termine à la fin de 2018 son mandat comme Président de la Première Cour de droit public. M. le Juge François Chaix a été élu à sa succession par la Cour plénière. M. le Juge Nicolas von Werdt termine à la fin de 2018 son mandat comme Président de la Deuxième Cour de droit civil. M. le Juge Christian Herrmann a été élu à sa succession par la Cour plénière. Les présidences des cinq autres cours restent inchangées (Deuxième Cour de droit public : M. le Juge Hans Georg Seiler, Première Cour de droit civil : Mme la Juge Christina Kiss, Cour de droit pénal : M. le Juge Christian Denys, Première Cour de droit social : M. le Juge Marcel Maillard, Deuxième Cour de droit social : Mme la Juge Brigitte Pfiffner). De plus, le Tribunal fédéral a confirmé deux membres de sa Commission de recours pour la période 2019 à 2020, à savoir M. le Juge Luca Marazzi (Président) ainsi que Mme la Juge Alexia Heine. Il a élu Mme la Juge Florence Aubry Girardin en qualité de nouvelle membre de cette commission. M. le Juge Giuseppe Muschietti, qui a été élu par l'Assemblée fédérale le 26 septembre 2018, sera affecté à la Première Cour de droit public.
Losanna, 16 ottobre 2018 Comunicato stampa del Tribunale federale Proposta di elezione per la presidenza e la vicepresidenza dal 1° gennaio 2019 ed elezione degli organi direttivi Il Tribunale federale propone di rieleggere il Giudice federale Ulrich Meyer alla presidenza del Tribunale federale e la Giudice federale Martha Niquille alla vicepresidenza. La Corte plenaria ha confermato il Giudice federale Yves Donzallaz quale terzo membro della Commissione amministrativa. Ad inizio 2019, due delle sette corti del Tribunale federale conosceranno un nuovo presidente. Durante la sessione di dicembre, l'Assemblea federale procederà all'elezione, su proposta del Tribunale federale, del presidente e del vicepresidente del Tribunale federale per il periodo 2019-2020. Il 15 ottobre 2018, la Corte plenaria ha deciso di proporre il Presidente in carica, Giudice federale Ulrich Meyer, e l'attuale Vicepresidente, Giudice federale Martha Niquille, per un ulteriore periodo di carica. Il presidente ed la vicepresidente del Tribunale federale siedono per legge nella Commissione amministrativa. La Corte plenaria ha confermato il Giudice federale Yves Donzallaz quale terzo membro di questa commissione. Ad inizio 2019, due delle sette corti conosceranno un nuovo presidente. Il Giudice federale Thomas Merkli lascerà la carica di presidente della Prima Corte di diritto pubblico alla fine del 2018. Al suo posto, la Corte plenaria ha eletto il Giudice federale François Chaix. Il Giudice federale Nicolas von Werdt lascerà la carica di presidente della Seconda Corte di diritto civile. Al suo posto, la Corte plenaria ha eletto il Giudice federale Christian Herrmann. I presidi delle altre cinque corti restano immutati (Seconda Corte di diritto pubblico: Giudice federale Hans Georg Seiler, Prima Corte di diritto civile: Giudice federale Christina Kiss, Corte di diritto penale: Giudice federale Christian Denys, Prima Corte di diritto sociale: Giudice federale Marcel Maillard, Seconda Corte di diritto sociale: Giudice federale Brigitte Pfiffner). Inoltre, il Tribunale federale ha confermato i Giudici federali Luca Marazzi (presidente) e Alexia Heine, nonché eletto la Giudice federale Florence Aubry Girardin quali membri della sua Commissione di ricorso per il periodo di carica 2019-2020. Il Giudice federale Giuseppe Muschietti, eletto dall'Assemblea federale in data 26 settembre 2018, è stato attribuito alla Prima Corte di diritto pubblico.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 9. August 2019 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Ausscheiden von Bundesrichterin Brigitte Pfiffner und Bundesrichter Thomas Merkli – Rücktritt von Bundesrichterin Kathrin Klett und Bundesrichter Niklaus Oberholzer Frau Bundesrichterin Brigitte Pfiffner und Herr Bundesrichter Thomas Merkli scheiden Ende dieses Jahres altershalber aus dem Bundesgericht aus. Frau Bundesrichterin Kathrin Klett und Herr Bundesrichter Niklaus Oberholzer haben entschieden, auf Ende 2019 zurückzutreten. Frau Brigitte Pfiffner wurde 2008 zur Bundesrichterin gewählt und übt ihr Amt seit Anfang 2009 als Mitglied der Zweiten sozialrechtlichen Abteilung aus. Seit 2017 ist sie deren Präsidentin. Herr Thomas Merkli trat sein Amt als Bundesrichter 1999 an. Er gehörte zunächst der Zweiten Zivilabteilung an (1999 bis 2001), später der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung (2001 bis 2011, 2005 bis 2008 Abteilungspräsident) und seit 2011 der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung (2017 bis 2018 Abteilungspräsident). Zwischen 2002 und 2004 war er Mitglied der Verwaltungskommission des Bundesgerichts. Frau Bundesrichterin Brigitte Pfiffner und Herr Bundesrichter Thomas Merkli scheiden per Ende Jahr altershalber aus dem Bundesgericht aus. Auf den gleichen Zeitpunkt treten Frau Bundesrichterin Kathrin Klett und Herr Bundesrichter Niklaus Oberholzer zurück. Frau Bundesrichterin Kathrin Klett trat ihr Amt 1992 an und war zunächst kurze Zeit Mitglied der Ersten Öffentlichrechtlichen Abteilung. Noch 1992 wechselte sie in die Erste zivilrechtliche Abteilung, der sie bis heute angehört und die sie von 2009 bis 2014 präsidierte. 2013 und 2014 war sie Vorsitzende der Präsidentenkonferenz. Ab 2001 bis 2004 gehörte sie dem ausserordentlichen Kassationshof an und zwischen 1999 und 2001 der Rekurskommission des Bundesgerichts. Herr Bundesrichter Niklaus Oberholzer begann 2013 als Bundesrichter in der Strafrechtlichen Abteilung, der er bis heute angehört. Die Nachfolgerinnen oder die Nachfolger der ausscheidenden und zurücktretenden Bundesrichterinnen und Bundesrichter werden von der Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht bekannt.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 9 août 2019 Pas d'embargo Communiqué de presse du Tribunal fédéral Départ à la retraite des Juges fédéraux Brigitte Pfiffner et Thomas Merkli et démissions des Juges fédéraux Kathrin Klett et Niklaus Oberholzer Madame la Juge fédérale Brigitte Pfiffner et Monsieur le Juge fédéral Thomas Merkli quitteront le Tribunal fédéral à la fin de l'année pour des raisons d'âge. Madame la Juge fédérale Kathrin Klett et Monsieur le Juge fédéral Niklaus Oberholzer ont décidé de démissionner de leurs fonctions pour la fin de l'année 2019. Madame Brigitte Pfiffner a été élue Juge fédérale en 2008 et exerce sa fonction depuis 2009 en tant que membre de la deuxième Cour de droit social, qu'elle préside depuis 2017. Monsieur Thomas Merkli a pris ses fonctions de Juge fédéral en 1999. Il a d'abord été membre de la deuxième Cour civil (1999 jusqu'en 2001), puis de la deuxième Cour de droit public (2001 jusqu'en 2011, Président de Cour de 2005 à 2008) et depuis 2011, il est membre de la première Cour de droit public (Président de Cour en 2017 et 2018). Entre 2002 et 2004, il a siégé à la Commission administrative du Tribunal fédéral. Madame la Juge fédérale Brigitte Pfiffner et Monsieur le Juge fédéral Thomas Merkli quitteront le Tribunal fédéral à la fin de l'année pour des raisons d'âge. Madame la Juge fédérale Kathrin Klett et Monsieur le Juge fédéral Niklaus Oberholzer ont donné leur démission pour la même date. Madame la Juge fédérale Kathrin Klett a pris ses fonctions de Juge fédérale en 1992 et a d'abord été membre de la première Cour de droit public pendant une courte période. Encore en 1992, elle est passée à la première Cour de droit civil dont elle fait encore partie aujourd'hui, l'ayant présidée de 2009 à 2014. En 2013 et 2014, elle était Présidente de la Conférence des présidents. De 2001 jusqu'en 2004, elle était membre de la Cour de cassation extraordinaire et entre 1999 et 2001, de la Commission de recours du Tribunal fédéral. Monsieur Niklaus Oberholzer exerce sa fonction de Juge fédéral depuis son entrée en 2013 à la Cour de droit pénal. Les successeurs des Juges fédéraux retraités et démissionnaires seront élus par l'Assemblée fédérale. La date n'est pas encore connue.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 9 agosto 2019 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Pensionamento della Giudice federale Brigitte Pfiffner e del Giudice federale Thomas Merkli – Dimissioni della Giudice federale Kathrin Klett e del Giudice federale Niklaus Oberholzer La Giudice federale Brigitte Pfiffner e il Giudice federale Thomas Merkli lasceranno la propria funzione presso il Tribunale federale alla fine dell'anno per raggiunti limiti d'età. La Giudice federale Kathrin Klett e il Giudice federale Niklaus Oberholzer hanno rassegnato le loro dimissioni per la fine dell'anno in corso. La Giudice federale Brigitte Pfiffner è stata eletta nel 2008 ed esercita dal 2009 la sua funzione in seno alla seconda Corte di diritto sociale, che presiede dal 2017. Il Giudice federale Thomas Merkli è entrato in carica nel 1999. Egli è stato dapprima membro della seconda Corte civile (dal 1999 fino al 2001), in seguito della seconda Corte di diritto pubblico (dal 2001 al 2011, Presidente di Corte dal 2005 al 2008) e dal 2011 della prima Corte di diritto pubblico (Presidente di Corte dal 2017 al 2018). Dal 2002 al 2004 egli è stato membro della Commissione amministrativa del Tribunale federale. I Giudici federali Brigitte Pfiffner e Thomas Merkli lasciano il Tribunale federale alla fine dell'anno per raggiunti limiti d'età. La Giudice federale Kathrin Klett e il Giudice federale Niklaus Oberholzer hanno rassegnato le loro dimissioni per la fine dell'anno in corso. La Giudice federale Kathrin Klett è entrata in carica nel 1992. Dopo un breve periodo trascorso in seno alla prima Corte di diritto pubblico la Giudice federale Kathrin Klett è divenuta, sempre nel 1992, membro della prima Corte di diritto civile, di cui fa parte tuttora, e che ha presieduto dal 2009 al 2014. Nel 2013 e 2014 è stata Presidente della Conferenza dei presidenti. La Giudice federale Kathrin Klett ha fatto parte dal 2001 al 2004 della Corte di cassazione straordinaria e dal 1999 al 2001 della Commissione di ricorso del Tribunale federale. Il Giudice federale Niklaus Oberholzer ha iniziato la sua carriera in seno al Tribunale federale nel 2013 quale membro della Corte di diritto penale, di cui fa tuttora parte. I successori dei precitati giudici federali saranno eletti dall'Assemblea federale plenaria. Le date di tali elezioni non sono ancora note.
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Lausanne, 9. August 2019 Medienmitteilung des Bundesgerichts Ausscheiden von Bundesrichterin Brigitte Pfiffner und Bundesrichter Thomas Merkli – Rücktritt von Bundesrichterin Kathrin Klett und Bundesrichter Niklaus Oberholzer Frau Bundesrichterin Brigitte Pfiffner und Herr Bundesrichter Thomas Merkli scheiden Ende dieses Jahres altershalber aus dem Bundesgericht aus. Frau Bundesrichterin Kathrin Klett und Herr Bundesrichter Niklaus Oberholzer haben entschieden, auf Ende 2019 zurückzutreten. Frau Brigitte Pfiffner wurde 2008 zur Bundesrichterin gewählt und übt ihr Amt seit Anfang 2009 als Mitglied der Zweiten sozialrechtlichen Abteilung aus. Seit 2017 ist sie deren Präsidentin. Herr Thomas Merkli trat sein Amt als Bundesrichter 1999 an. Er gehörte zunächst der Zweiten Zivilabteilung an (1999 bis 2001), später der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung (2001 bis 2011, 2005 bis 2008 Abteilungspräsident) und seit 2011 der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung (2017 bis 2018 Abteilungspräsident). Zwischen 2002 und 2004 war er Mitglied der Verwaltungskommission des Bundesgerichts. Frau Bundesrichterin Brigitte Pfiffner und Herr Bundesrichter Thomas Merkli scheiden per Ende Jahr altershalber aus dem Bundesgericht aus. Auf den gleichen Zeitpunkt treten Frau Bundesrichterin Kathrin Klett und Herr Bundesrichter Niklaus Oberholzer zurück. Frau Bundesrichterin Kathrin Klett trat ihr Amt 1992 an und war zunächst kurze Zeit Mitglied der Ersten Öffentlichrechtlichen Abteilung. Noch 1992 wechselte sie in die Erste zivilrechtliche Abteilung, der sie bis heute angehört und die sie von 2009 bis 2014 präsidierte. 2013 und 2014 war sie Vorsitzende der Präsidentenkonferenz. Ab 2001 bis 2004 gehörte sie dem ausserordentlichen Kassationshof an und zwischen 1999 und 2001 der Rekurskommission des Bundesgerichts. Herr Bundesrichter Niklaus Oberholzer begann 2013 als Bundesrichter in der Strafrechtlichen Abteilung, der er bis heute angehört. Die Nachfolgerinnen oder die Nachfolger der ausscheidenden und zurücktretenden Bundesrichterinnen und Bundesrichter werden von der Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht bekannt.
Lausanne, le 9 août 2019 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Départ à la retraite des Juges fédéraux Brigitte Pfiffner et Thomas Merkli et démissions des Juges fédéraux Kathrin Klett et Niklaus Oberholzer Madame la Juge fédérale Brigitte Pfiffner et Monsieur le Juge fédéral Thomas Merkli quitteront le Tribunal fédéral à la fin de l'année pour des raisons d'âge. Madame la Juge fédérale Kathrin Klett et Monsieur le Juge fédéral Niklaus Oberholzer ont décidé de démissionner de leurs fonctions pour la fin de l'année 2019. Madame Brigitte Pfiffner a été élue Juge fédérale en 2008 et exerce sa fonction depuis 2009 en tant que membre de la deuxième Cour de droit social, qu'elle préside depuis 2017. Monsieur Thomas Merkli a pris ses fonctions de Juge fédéral en 1999. Il a d'abord été membre de la deuxième Cour civil (1999 jusqu'en 2001), puis de la deuxième Cour de droit public (2001 jusqu'en 2011, Président de Cour de 2005 à 2008) et depuis 2011, il est membre de la première Cour de droit public (Président de Cour en 2017 et 2018). Entre 2002 et 2004, il a siégé à la Commission administrative du Tribunal fédéral. Madame la Juge fédérale Brigitte Pfiffner et Monsieur le Juge fédéral Thomas Merkli quitteront le Tribunal fédéral à la fin de l'année pour des raisons d'âge. Madame la Juge fédérale Kathrin Klett et Monsieur le Juge fédéral Niklaus Oberholzer ont donné leur démission pour la même date. Madame la Juge fédérale Kathrin Klett a pris ses fonctions de Juge fédérale en 1992 et a d'abord été membre de la première Cour de droit public pendant une courte période. Encore en 1992, elle est passée à la première Cour de droit civil dont elle fait encore partie aujourd'hui, l'ayant présidée de 2009 à 2014. En 2013 et 2014, elle était Présidente de la Conférence des présidents. De 2001 jusqu'en 2004, elle était membre de la Cour de cassation extraordinaire et entre 1999 et 2001, de la Commission de recours du Tribunal fédéral. Monsieur Niklaus Oberholzer exerce sa fonction de Juge fédéral depuis son entrée en 2013 à la Cour de droit pénal. Les successeurs des Juges fédéraux retraités et démissionnaires seront élus par l'Assemblée fédérale. La date n'est pas encore connue.
Losanna, 9 agosto 2019 Comunicato stampa del Tribunale federale Pensionamento della Giudice federale Brigitte Pfiffner e del Giudice federale Thomas Merkli – Dimissioni della Giudice federale Kathrin Klett e del Giudice federale Niklaus Oberholzer La Giudice federale Brigitte Pfiffner e il Giudice federale Thomas Merkli lasceranno la propria funzione presso il Tribunale federale alla fine dell'anno per raggiunti limiti d'età. La Giudice federale Kathrin Klett e il Giudice federale Niklaus Oberholzer hanno rassegnato le loro dimissioni per la fine dell'anno in corso. La Giudice federale Brigitte Pfiffner è stata eletta nel 2008 ed esercita dal 2009 la sua funzione in seno alla seconda Corte di diritto sociale, che presiede dal 2017. Il Giudice federale Thomas Merkli è entrato in carica nel 1999. Egli è stato dapprima membro della seconda Corte civile (dal 1999 fino al 2001), in seguito della seconda Corte di diritto pubblico (dal 2001 al 2011, Presidente di Corte dal 2005 al 2008) e dal 2011 della prima Corte di diritto pubblico (Presidente di Corte dal 2017 al 2018). Dal 2002 al 2004 egli è stato membro della Commissione amministrativa del Tribunale federale. I Giudici federali Brigitte Pfiffner e Thomas Merkli lasciano il Tribunale federale alla fine dell'anno per raggiunti limiti d'età. La Giudice federale Kathrin Klett e il Giudice federale Niklaus Oberholzer hanno rassegnato le loro dimissioni per la fine dell'anno in corso. La Giudice federale Kathrin Klett è entrata in carica nel 1992. Dopo un breve periodo trascorso in seno alla prima Corte di diritto pubblico la Giudice federale Kathrin Klett è divenuta, sempre nel 1992, membro della prima Corte di diritto civile, di cui fa parte tuttora, e che ha presieduto dal 2009 al 2014. Nel 2013 e 2014 è stata Presidente della Conferenza dei presidenti. La Giudice federale Kathrin Klett ha fatto parte dal 2001 al 2004 della Corte di cassazione straordinaria e dal 1999 al 2001 della Commissione di ricorso del Tribunale federale. Il Giudice federale Niklaus Oberholzer ha iniziato la sua carriera in seno al Tribunale federale nel 2013 quale membro della Corte di diritto penale, di cui fa tuttora parte. I successori dei precitati giudici federali saranno eletti dall'Assemblea federale plenaria. Le date di tali elezioni non sono ancora note.
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11.5.2_9.1.1.1_05_2018_yyyy_mm_dd_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 12. Dezember 2018 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Ausscheiden von Bundesrichter Ivo Eusebio und Rücktritt der Bundesrichter Peter Karlen und Jean-Maurice Frésard Herr Bundesrichter Ivo Eusebio wird Ende Jahr altershalber aus dem Bundesgericht ausscheiden. Er wird ab Anfang Januar 2019 von dem im vergangenen September neu gewählten Bundesrichter Giuseppe Muschietti ersetzt. Die Herren Bundesrichter Peter Karlen und Jean-Maurice Frésard haben entschieden, auf Ende Juni 2019 von ihrem Amt als Bundesrichter zurückzutreten. Bundesrichter Ivo Eusebio wurde 2003 zum Bundesrichter gewählt und übt sein Amt seit 2004 als Mitglied der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung aus. Er gehörte 2004 sowie in den Jahren 2009 bis 2012 der Rekurskommission des Bundesgerichts an und in der Periode 2005/2006 der Verwaltungskommission. Bundesrichter Eusebio wird ab Januar 2019 von dem am 26. September 2018 von der Bundesversammlung neu gewählten Bundesrichter Giuseppe Muschietti ersetzt werden. Die Bundesrichter Peter Karlen und Jean-Maurice Frésard werden Ende Juni 2019 zurücktreten. Bundesrichter Karlen trat sein Amt als Mitglied des Bundesgerichts im Oktober 2001 an. Er gehörte zunächst dem damaligen Kassationshof in Strafsachen des Bundesgerichts an und ab 2007 der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung. Seit 2012 ist er Mitglied der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung. Ab 2003 bis zu ihrer Aufhebung im März 2004 war er Präsident der Anklagekammer des Bundesgerichts. Der 2001 gewählte Bundesrichter Frésard war ab 2002 Mitglied des damaligen Eidgenössischen Versicherungsgerichts (EVG), das 2007 mit dem Bundesgericht vereinigt wurde. Seit 2007 ist er Mitglied der Ersten sozialrechtlichen Abteilung des Bundesgerichts in Luzern. Die Nachfolgerinnen oder die Nachfolger der Bundesrichter Karlen und Frésard werden von der Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht bekannt.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 12 décembre 2018 Pas d'embargo Communiqué de presse du Tribunal fédéral Départ à la retraite du Juge fédéral Ivo Eusebio et démissions des juges fédéraux Peter Karlen et Jean-Maurice Frésard Le Juge fédéral Ivo Eusebio quittera le Tribunal fédéral à la fin de l'année pour des raisons d'âge. Il sera remplacé début janvier 2019 par le Juge fédéral nouvellement élu en septembre dernier, Giuseppe Muschietti. Les juges fédéraux Peter Karlen et Jean-Maurice Frésard ont décidé de démissionner de leurs fonctions de juges fédéraux pour fin juin 2019. Le Juge fédéral Ivo Eusebio a été élu juge fédéral en 2003 et est membre de la première Cour de droit public depuis 2004. Il a été membre de la Commission de recours du Tribunal fédéral en 2004, ainsi que durant les années 2009 à 2012 et membre de la Commission administrative durant la période 2005/2006. Le Juge fédéral Eusebio sera remplacé à partir de janvier 2019 par le Juge fédéral Giuseppe Muschietti, nouvellement élu par l'Assemblée fédérale le 26 septembre 2018. Les juges fédéraux Peter Karlen et Jean-Maurice Frésard ont donné leur démission pour fin juin 2019. Le Juge fédéral Karlen a pris ses fonctions de membre du Tribunal fédéral en octobre 2001. Il a d'abord été membre de l'ancienne Cour de cassation pénale du Tribunal fédéral et à partir de 2007, de la deuxième Cour de droit public. Il est membre de la première Cour de droit public depuis 2012. De 2003 jusqu'à sa suppression en mars 2004, il a été Président de la Chambre d'accusation du Tribunal fédéral. Le Juge fédéral Frésard, élu juge au sein de l'ancien Tribunal fédéral des assurances (TFA) en 2001 est en fonction depuis 2002 ; le TFA a été fusionné en 2007 avec le Tribunal fédéral. Depuis 2007, le Juge fédéral Frésard est membre de la première Cour de droit social du Tribunal fédéral à Lucerne. Les successeurs des Juges fédéraux Karlen et Frésard seront élus par l'Assemblée fédérale. La date n'est pas encore connue.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 12 dicembre 2018 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Pensionamento del Giudice federale Ivo Eusebio e dimissioni dei Giudici federali Peter Karlen e Jean-Maurice Frésard Il Giudice federale Ivo Eusebio lascerà la sua funzione presso il Tribunale federale alla fine dell'anno per raggiunti limiti d'età. Quale suo successore, lo scorso mese di settembre è stato eletto il Giudice federale Giuseppe Muschietti, il quale entrerà in carica all'inizio di gennaio 2019. I Giudici federali Peter Karlen e Jean-Maurice Frésard hanno rassegnato le loro dimissioni per la fine del mese di giugno 2019. Il Giudice federale Ivo Eusebio è stato eletto nel 2003 e dal 2004 esercita la sua funzione in qualità di membro della Prima Corte di diritto pubblico. Nel 2004 e dal 2009 al 2012 egli è stato membro della Commissione di ricorso del Tribunale federale e dal 2005 al 2006 della sua Commissione amministrativa. Al Giudice federale Ivo Eusebio succederà il Giudice federale Giuseppe Muschietti, quest'ultimo eletto dall'Assemblea federale plenaria il 26 settembre 2018. I Giudici federali Peter Karlen e Jean-Maurice Frésard lasceranno la loro funzione alla fine del prossimo mese di giugno. Il Giudice federale Karlen è entrato in carica nell'ottobre del 2001, dapprima quale membro dell'allora Corte di cassazione penale del Tribunale federale e, a partire dal 2007, della Seconda Corte di diritto pubblico. Dal 2012 egli è membro della Prima Corte di diritto pubblico. Dal 2003 fino al mese di marzo del 2004, data della sua abolizione, egli ha presieduto la Camera d'accusa del Tribunale federale. Il Giudice federale Frésard è stato eletto nel 2001 e dal 2002 è stato membro dell'allora Tribunale federale delle assicurazioni (TFA). In seguito alla fusione di quest'ultimo con il Tribunale federale, dal 2007 egli è membro della Prima Corte di diritto sociale del Tribunale federale a Lucerna. I successori dei Giudici federali Karlen e Frésard saranno eletti dall'Assemblea federale plenaria. La data di tali elezioni non è ancora nota.
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Lausanne, 12. Dezember 2018 Medienmitteilung des Bundesgerichts Ausscheiden von Bundesrichter Ivo Eusebio und Rücktritt der Bundesrichter Peter Karlen und Jean-Maurice Frésard Herr Bundesrichter Ivo Eusebio wird Ende Jahr altershalber aus dem Bundesgericht ausscheiden. Er wird ab Anfang Januar 2019 von dem im vergangenen September neu gewählten Bundesrichter Giuseppe Muschietti ersetzt. Die Herren Bundesrichter Peter Karlen und Jean-Maurice Frésard haben entschieden, auf Ende Juni 2019 von ihrem Amt als Bundesrichter zurückzutreten. Bundesrichter Ivo Eusebio wurde 2003 zum Bundesrichter gewählt und übt sein Amt seit 2004 als Mitglied der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung aus. Er gehörte 2004 sowie in den Jahren 2009 bis 2012 der Rekurskommission des Bundesgerichts an und in der Periode 2005/2006 der Verwaltungskommission. Bundesrichter Eusebio wird ab Januar 2019 von dem am 26. September 2018 von der Bundesversammlung neu gewählten Bundesrichter Giuseppe Muschietti ersetzt werden. Die Bundesrichter Peter Karlen und Jean-Maurice Frésard werden Ende Juni 2019 zurücktreten. Bundesrichter Karlen trat sein Amt als Mitglied des Bundesgerichts im Oktober 2001 an. Er gehörte zunächst dem damaligen Kassationshof in Strafsachen des Bundesgerichts an und ab 2007 der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung. Seit 2012 ist er Mitglied der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung. Ab 2003 bis zu ihrer Aufhebung im März 2004 war er Präsident der Anklagekammer des Bundesgerichts. Der 2001 gewählte Bundesrichter Frésard war ab 2002 Mitglied des damaligen Eidgenössischen Versicherungsgerichts (EVG), das 2007 mit dem Bundesgericht vereinigt wurde. Seit 2007 ist er Mitglied der Ersten sozialrechtlichen Abteilung des Bundesgerichts in Luzern. Die Nachfolgerinnen oder die Nachfolger der Bundesrichter Karlen und Frésard werden von der Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht bekannt.
Lausanne, le 12 décembre 2018 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Départ à la retraite du Juge fédéral Ivo Eusebio et démissions des juges fédéraux Peter Karlen et Jean-Maurice Frésard Le Juge fédéral Ivo Eusebio quittera le Tribunal fédéral à la fin de l'année pour des raisons d'âge. Il sera remplacé début janvier 2019 par le Juge fédéral nouvellement élu en septembre dernier, Giuseppe Muschietti. Les juges fédéraux Peter Karlen et Jean-Maurice Frésard ont décidé de démissionner de leurs fonctions de juges fédéraux pour fin juin 2019. Le Juge fédéral Ivo Eusebio a été élu juge fédéral en 2003 et est membre de la première Cour de droit public depuis 2004. Il a été membre de la Commission de recours du Tribunal fédéral en 2004, ainsi que durant les années 2009 à 2012 et membre de la Commission administrative durant la période 2005/2006. Le Juge fédéral Eusebio sera remplacé à partir de janvier 2019 par le Juge fédéral Giuseppe Muschietti, nouvellement élu par l'Assemblée fédérale le 26 septembre 2018. Les juges fédéraux Peter Karlen et Jean-Maurice Frésard ont donné leur démission pour fin juin 2019. Le Juge fédéral Karlen a pris ses fonctions de membre du Tribunal fédéral en octobre 2001. Il a d'abord été membre de l'ancienne Cour de cassation pénale du Tribunal fédéral et à partir de 2007, de la deuxième Cour de droit public. Il est membre de la première Cour de droit public depuis 2012. De 2003 jusqu'à sa suppression en mars 2004, il a été Président de la Chambre d'accusation du Tribunal fédéral. Le Juge fédéral Frésard, élu juge au sein de l'ancien Tribunal fédéral des assurances (TFA) en 2001 est en fonction depuis 2002 ; le TFA a été fusionné en 2007 avec le Tribunal fédéral. Depuis 2007, le Juge fédéral Frésard est membre de la première Cour de droit social du Tribunal fédéral à Lucerne. Les successeurs des Juges fédéraux Karlen et Frésard seront élus par l'Assemblée fédérale. La date n'est pas encore connue.
Losanna, 12 dicembre 2018 Comunicato stampa del Tribunale federale Pensionamento del Giudice federale Ivo Eusebio e dimissioni dei Giudici federali Peter Karlen e Jean-Maurice Frésard Il Giudice federale Ivo Eusebio lascerà la sua funzione presso il Tribunale federale alla fine dell'anno per raggiunti limiti d'età. Quale suo successore, lo scorso mese di settembre è stato eletto il Giudice federale Giuseppe Muschietti, il quale entrerà in carica all'inizio di gennaio 2019. I Giudici federali Peter Karlen e Jean-Maurice Frésard hanno rassegnato le loro dimissioni per la fine del mese di giugno 2019. Il Giudice federale Ivo Eusebio è stato eletto nel 2003 e dal 2004 esercita la sua funzione in qualità di membro della Prima Corte di diritto pubblico. Nel 2004 e dal 2009 al 2012 egli è stato membro della Commissione di ricorso del Tribunale federale e dal 2005 al 2006 della sua Commissione amministrativa. Al Giudice federale Ivo Eusebio succederà il Giudice federale Giuseppe Muschietti, quest'ultimo eletto dall'Assemblea federale plenaria il 26 settembre 2018. I Giudici federali Peter Karlen e Jean-Maurice Frésard lasceranno la loro funzione alla fine del prossimo mese di giugno. Il Giudice federale Karlen è entrato in carica nell'ottobre del 2001, dapprima quale membro dell'allora Corte di cassazione penale del Tribunale federale e, a partire dal 2007, della Seconda Corte di diritto pubblico. Dal 2012 egli è membro della Prima Corte di diritto pubblico. Dal 2003 fino al mese di marzo del 2004, data della sua abolizione, egli ha presieduto la Camera d'accusa del Tribunale federale. Il Giudice federale Frésard è stato eletto nel 2001 e dal 2002 è stato membro dell'allora Tribunale federale delle assicurazioni (TFA). In seguito alla fusione di quest'ultimo con il Tribunale federale, dal 2007 egli è membro della Prima Corte di diritto sociale del Tribunale federale a Lucerna. I successori dei Giudici federali Karlen e Frésard saranno eletti dall'Assemblea federale plenaria. La data di tali elezioni non è ancora nota.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 5. November 2019 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Zusammensetzung der Abteilungen ab 1. Januar 2020 Das Gesamtgericht hat über die Zusammensetzung der Abteilungen des Bundesgerichts ab dem 1. Januar 2020 entschieden. In fünf der sieben Abteilungen kommt es zu einem Wechsel der bisherigen Zusammensetzung. Herr Bundesrichter Francesco Parrino wurde zudem zum neuen Präsidenten der Zweiten sozialrechtlichen Abteilung gewählt. Per Ende 2019 scheiden zwei Bundesrichterinnen und zwei Bundesrichter aus dem Bundesgericht aus ( Medienmitteilung des Bundesgerichts vom 9. August 2019 ). Die Vereinigte Bundesversammlung wählte am 25. September 2019 vier neue Gerichtsmitglieder. Am Montag 4. November 2019 hat das Gesamtgericht (Vollversammlung der ordentlichen Bundesrichterinnen und Bundesrichter) über die Zusammensetzung der Abteilungen des Bundesgerichts ab dem 1. Januar 2020 entschieden. Weiter hat das Gesamtgericht am Montag Herrn Bundesrichter Francesco Parrino als neuen Präsidenten der Zweiten sozialrechtlichen Abteilung gewählt. In den fünf folgenden Abteilungen des Bundesgerichts kommt es zu einem Wechsel der Zusammensetzung: •Erste öffentlich-rechtliche Abteilung: François Chaix (Präsident, unverändert), Jean Fonjallaz (unverändert), Lorenz Kneubühler (unverändert), Monique Jametti (Wechsel von der Strafrechtlichen Abteilung), Stephan Haag (unverändert), Thomas Müller (neu) •Zweite öffentlich-rechtliche Abteilung: Hans Georg Seiler (Präsident, unverändert), Andreas Zünd (unverändert), Florence Aubry Girardin (unverändert), Yves Donzallaz (unverändert), Julia Hänni (unverändert), Michael Beusch (neu) •Erste zivilrechtliche Abteilung: Christina Kiss (Präsidentin, unverändert), Fabienne Hohl (unverändert), Martha Niquille (unverändert), Yves Rüedi (Wechsel von der Strafrechtlichen Abteilung), Marie-Chantal May Canellas (unverändert) •Strafrechtliche Abteilung: Christian Denys (Präsident, unverändert), Laura Jacquemoud-Rossari (unverändert), Giuseppe Muschietti (Wechsel von der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung), Beatrice van de Graaf (neu), Sonja Koch (neu) •Zweite sozialrechtliche Abteilung: Francesco Parrino (unverändert in der Abteilung, neu als Präsident), Ulrich Meyer (unverändert), Thomas Stadelmann (Wechsel von der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung), Lucrezia Glanzmann (unverändert), Margit Moser-Szeless (unverändert) Die Zusammensetzung der Zweiten zivilrechtlichen Abteilung und der Ersten sozialrechtlichen Abteilung bleibt unverändert ( Zweite zivilrechtliche Abteilung : Christian Herrmann [Präsident], Elisabeth Escher, Luca Marazzi, Nicolas von Werdt, Felix Schöbi, Grégory Bovey; Erste sozialrechtliche Abteilung : Marcel Maillard [Präsident], Alexia Heine, Martin Wirthlin, Daniela Viscione, Bernard Abrecht).
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 5 novembre 2019 Pas d'embargo Communiqué de presse du Tribunal fédéral Composition des Cours à partir du 1er janvier 2020 La Cour plénière a décidé de la composition des Cours du Tribunal fédéral à partir du 1er janvier 2020. La composition actuelle sera modifiée dans cinq des sept Cours. De plus, Monsieur le Juge fédéral Francesco Parrino a été élu comme Président de la deuxième Cour de droit social. Quatre Juges fédéraux quitteront le Tribunal fédéral à la fin de l'année 2019 (communiqué de presse du 9 août 2019 ). Le 25 septembre 2019, l'Assemblée fédérale a élu quatre nouveaux membres du Tribunal. Le lundi 4 novembre 2019, la Cour plénière (le collège des Juges fédéraux ordinaires) a arrêté la composition des Cours du Tribunal fédéral à partir du 1 er janvier 2020. De plus, la Cour plénière a élu Monsieur le Juge fédéral Francesco Parrino comme Président de la deuxième Cour de droit social. Un changement de composition aura lieu dans les cinq Cours suivantes : •Première Cour de droit public : François Chaix (Président, inchangé), Jean Fonjallaz (inchangé), Lorenz Kneubühler (inchangé), Monique Jametti (changement, actuellement à la Cour de droit pénal), Stephan Haag (inchangé), Thomas Müller (nouveau) •Deuxième Cour de droit public : Hans Georg Seiler (Président, inchangé), Andreas Zünd (inchangé), Florence Aubry Girardin (inchangée), Yves Donzallaz (inchangé), Julia Hänni (inchangée), Michael Beusch (nouveau) •Première Cour de droit civil : Christina Kiss (Présidente, inchangée), Fabienne Hohl (inchangée), Martha Niquille (inchangée), Yves Rüedi (changement, actuellement à la Cour de droit pénal), Marie-Chantal May Canellas (inchangée) •Cour de droit pénal : Christian Denys (Président, inchangé), Laura JacquemoudRossari (inchangée), Giuseppe Muschietti (changement, actuellement à la première Cour de droit public), Beatrice van de Graaf (nouvelle), Sonja Koch (nouvelle) •Deuxième Cour de droit social : Francesco Parrino (inchangé dans la Cour, nouveau Président), Ulrich Meyer (inchangé), Thomas Stadelmann (changement, actuellement à la deuxième Cour de droit public), Lucrezia Glanzmann (inchangée), Margit Moser-Szeless (inchangée) La composition de la deuxième Cour de droit civil et de la première Cour de droit social reste inchangée ( deuxième Cour de droit civil : Christian Herrmann [Président], Elisabeth Escher, Luca Marazzi, Nicolas von Werdt, Felix Schöbi, Grégory Bovey ; première Cour de droit social : Marcel Maillard [Président], Alexia Heine, Martin Wirthlin, Daniela Viscione, Bernard Abrecht).
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 5 novembre 2019 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Composizione delle Corti a partire dal 1° gennaio 2020 La Corte plenaria ha deciso la composizione delle Corti del Tribunale federale a decorrere dal 1° gennaio 2020. Sarà modificata l'attuale composizione in cinque delle sette Corti. È stato inoltre eletto alla presidenza della seconda Corte di diritto sociale il Giudice federale Francesco Parrino. Alla fine dell'anno 2019 quattro giudici federali lasceranno il Tribunale federale (Comunicato stampa del 9 agosto 2019 ). L'Assemblea federale ha eletto in data 25 settembre 2019 quattro nuovi membri del Tribunale federale. La Corte plenaria (insieme dei giudici federali ordinari) ha deciso lunedì 4 novembre 2019 la composizione delle Corti a partire dal 1° gennaio 2020. La Corte plenaria ha altresì proceduto all'elezione del Giudice federale Francesco Parrino quale Presidente della seconda Corte di diritto sociale. Un cambiamento della composizione subentra nelle cinque Corti seguenti: •Prima Corte di diritto pubblico: François Chaix (Presidente, già in carica), Jean Fonjallaz (già in carica), Lorenz Kneubühler (già in carica), Monique Jametti (cambiamento, attualmente nella Corte di diritto penale), Stephan Haag (già in carica), Thomas Müller (neoeletto) •Seconda Corte di diritto pubblico: Hans Georg Seiler (Presidente, già in carica), Andreas Zünd (già in carica), Florence Aubry Girardin (già in carica), Yves Donzallaz (già in carica), Julia Hänni (già in carica), Michael Beusch (neoeletto) •Prima Corte di diritto civile: Christina Kiss (Presidente, già in carica), Fabienne Hohl (già in carica), Martha Niquille (già in carica), Yves Rüedi (cambiamento, attualmente nella Corte di diritto penale), Marie-Chantal May Canellas (già in carica) •Corte di diritto penale: Christian Denys (Presidente, già in carica), Laura Jacquemoud-Rossari (già in carica), Giuseppe Muschietti (cambiamento, attualmente nella prima Corte di diritto pubblico), Beatrice van de Graaf (neoeletta), Sonja Koch (neoeletta) •Seconda Corte di diritto sociale: Francesco Parrino (già in carica nella Corte, nuovo Presidente), Ulrich Meyer (già in carica), Thomas Stadelmann (cambiamento, attualmente nella seconda Corte di diritto pubblico), Lucrezia Glanzmann (già in carica), Margit Moser-Szeless (già in carica) È immutata la composizione della seconda Corte di diritto civile e della prima Corte di diritto sociale (seconda Corte di diritto civile : Christian Herrmann [Presidente], Elisabeth Escher, Luca Marazzi, Nicolas von Werdt, Felix Schöbi, Grégory Bovey; prima Corte di diritto sociale: Marcel Maillard [Presidente], Alexia Heine, Martin Wirthlin, Daniela Viscione, Bernard Abrecht.
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Lausanne, 5. November 2019 Medienmitteilung des Bundesgerichts Zusammensetzung der Abteilungen ab 1. Januar 2020 Das Gesamtgericht hat über die Zusammensetzung der Abteilungen des Bundesgerichts ab dem 1. Januar 2020 entschieden. In fünf der sieben Abteilungen kommt es zu einem Wechsel der bisherigen Zusammensetzung. Herr Bundesrichter Francesco Parrino wurde zudem zum neuen Präsidenten der Zweiten sozialrechtlichen Abteilung gewählt. Per Ende 2019 scheiden zwei Bundesrichterinnen und zwei Bundesrichter aus dem Bundesgericht aus ( Medienmitteilung des Bundesgerichts vom 9. August 2019 ). Die Vereinigte Bundesversammlung wählte am 25. September 2019 vier neue Gerichtsmitglieder. Am Montag 4. November 2019 hat das Gesamtgericht (Vollversammlung der ordentlichen Bundesrichterinnen und Bundesrichter) über die Zusammensetzung der Abteilungen des Bundesgerichts ab dem 1. Januar 2020 entschieden. Weiter hat das Gesamtgericht am Montag Herrn Bundesrichter Francesco Parrino als neuen Präsidenten der Zweiten sozialrechtlichen Abteilung gewählt. In den fünf folgenden Abteilungen des Bundesgerichts kommt es zu einem Wechsel der Zusammensetzung: •Erste öffentlich-rechtliche Abteilung: François Chaix (Präsident, unverändert), Jean Fonjallaz (unverändert), Lorenz Kneubühler (unverändert), Monique Jametti (Wechsel von der Strafrechtlichen Abteilung), Stephan Haag (unverändert), Thomas Müller (neu) •Zweite öffentlich-rechtliche Abteilung: Hans Georg Seiler (Präsident, unverändert), Andreas Zünd (unverändert), Florence Aubry Girardin (unverändert), Yves Donzallaz (unverändert), Julia Hänni (unverändert), Michael Beusch (neu) •Erste zivilrechtliche Abteilung: Christina Kiss (Präsidentin, unverändert), Fabienne Hohl (unverändert), Martha Niquille (unverändert), Yves Rüedi (Wechsel von der Strafrechtlichen Abteilung), Marie-Chantal May Canellas (unverändert) •Strafrechtliche Abteilung: Christian Denys (Präsident, unverändert), Laura Jacquemoud-Rossari (unverändert), Giuseppe Muschietti (Wechsel von der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung), Beatrice van de Graaf (neu), Sonja Koch (neu) •Zweite sozialrechtliche Abteilung: Francesco Parrino (unverändert in der Abteilung, neu als Präsident), Ulrich Meyer (unverändert), Thomas Stadelmann (Wechsel von der Zweiten öffentlich-rechtlichen Abteilung), Lucrezia Glanzmann (unverändert), Margit Moser-Szeless (unverändert) Die Zusammensetzung der Zweiten zivilrechtlichen Abteilung und der Ersten sozialrechtlichen Abteilung bleibt unverändert ( Zweite zivilrechtliche Abteilung : Christian Herrmann [Präsident], Elisabeth Escher, Luca Marazzi, Nicolas von Werdt, Felix Schöbi, Grégory Bovey; Erste sozialrechtliche Abteilung : Marcel Maillard [Präsident], Alexia Heine, Martin Wirthlin, Daniela Viscione, Bernard Abrecht).
Lausanne, le 5 novembre 2019 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Composition des Cours à partir du 1er janvier 2020 La Cour plénière a décidé de la composition des Cours du Tribunal fédéral à partir du 1er janvier 2020. La composition actuelle sera modifiée dans cinq des sept Cours. De plus, Monsieur le Juge fédéral Francesco Parrino a été élu comme Président de la deuxième Cour de droit social. Quatre Juges fédéraux quitteront le Tribunal fédéral à la fin de l'année 2019 (communiqué de presse du 9 août 2019 ). Le 25 septembre 2019, l'Assemblée fédérale a élu quatre nouveaux membres du Tribunal. Le lundi 4 novembre 2019, la Cour plénière (le collège des Juges fédéraux ordinaires) a arrêté la composition des Cours du Tribunal fédéral à partir du 1 er janvier 2020. De plus, la Cour plénière a élu Monsieur le Juge fédéral Francesco Parrino comme Président de la deuxième Cour de droit social. Un changement de composition aura lieu dans les cinq Cours suivantes : •Première Cour de droit public : François Chaix (Président, inchangé), Jean Fonjallaz (inchangé), Lorenz Kneubühler (inchangé), Monique Jametti (changement, actuellement à la Cour de droit pénal), Stephan Haag (inchangé), Thomas Müller (nouveau) •Deuxième Cour de droit public : Hans Georg Seiler (Président, inchangé), Andreas Zünd (inchangé), Florence Aubry Girardin (inchangée), Yves Donzallaz (inchangé), Julia Hänni (inchangée), Michael Beusch (nouveau) •Première Cour de droit civil : Christina Kiss (Présidente, inchangée), Fabienne Hohl (inchangée), Martha Niquille (inchangée), Yves Rüedi (changement, actuellement à la Cour de droit pénal), Marie-Chantal May Canellas (inchangée) •Cour de droit pénal : Christian Denys (Président, inchangé), Laura JacquemoudRossari (inchangée), Giuseppe Muschietti (changement, actuellement à la première Cour de droit public), Beatrice van de Graaf (nouvelle), Sonja Koch (nouvelle) •Deuxième Cour de droit social : Francesco Parrino (inchangé dans la Cour, nouveau Président), Ulrich Meyer (inchangé), Thomas Stadelmann (changement, actuellement à la deuxième Cour de droit public), Lucrezia Glanzmann (inchangée), Margit Moser-Szeless (inchangée) La composition de la deuxième Cour de droit civil et de la première Cour de droit social reste inchangée ( deuxième Cour de droit civil : Christian Herrmann [Président], Elisabeth Escher, Luca Marazzi, Nicolas von Werdt, Felix Schöbi, Grégory Bovey ; première Cour de droit social : Marcel Maillard [Président], Alexia Heine, Martin Wirthlin, Daniela Viscione, Bernard Abrecht).
Losanna, 5 novembre 2019 Comunicato stampa del Tribunale federale Composizione delle Corti a partire dal 1° gennaio 2020 La Corte plenaria ha deciso la composizione delle Corti del Tribunale federale a decorrere dal 1° gennaio 2020. Sarà modificata l'attuale composizione in cinque delle sette Corti. È stato inoltre eletto alla presidenza della seconda Corte di diritto sociale il Giudice federale Francesco Parrino. Alla fine dell'anno 2019 quattro giudici federali lasceranno il Tribunale federale (Comunicato stampa del 9 agosto 2019 ). L'Assemblea federale ha eletto in data 25 settembre 2019 quattro nuovi membri del Tribunale federale. La Corte plenaria (insieme dei giudici federali ordinari) ha deciso lunedì 4 novembre 2019 la composizione delle Corti a partire dal 1° gennaio 2020. La Corte plenaria ha altresì proceduto all'elezione del Giudice federale Francesco Parrino quale Presidente della seconda Corte di diritto sociale. Un cambiamento della composizione subentra nelle cinque Corti seguenti: •Prima Corte di diritto pubblico: François Chaix (Presidente, già in carica), Jean Fonjallaz (già in carica), Lorenz Kneubühler (già in carica), Monique Jametti (cambiamento, attualmente nella Corte di diritto penale), Stephan Haag (già in carica), Thomas Müller (neoeletto) •Seconda Corte di diritto pubblico: Hans Georg Seiler (Presidente, già in carica), Andreas Zünd (già in carica), Florence Aubry Girardin (già in carica), Yves Donzallaz (già in carica), Julia Hänni (già in carica), Michael Beusch (neoeletto) •Prima Corte di diritto civile: Christina Kiss (Presidente, già in carica), Fabienne Hohl (già in carica), Martha Niquille (già in carica), Yves Rüedi (cambiamento, attualmente nella Corte di diritto penale), Marie-Chantal May Canellas (già in carica) •Corte di diritto penale: Christian Denys (Presidente, già in carica), Laura Jacquemoud-Rossari (già in carica), Giuseppe Muschietti (cambiamento, attualmente nella prima Corte di diritto pubblico), Beatrice van de Graaf (neoeletta), Sonja Koch (neoeletta) •Seconda Corte di diritto sociale: Francesco Parrino (già in carica nella Corte, nuovo Presidente), Ulrich Meyer (già in carica), Thomas Stadelmann (cambiamento, attualmente nella seconda Corte di diritto pubblico), Lucrezia Glanzmann (già in carica), Margit Moser-Szeless (già in carica) È immutata la composizione della seconda Corte di diritto civile e della prima Corte di diritto sociale (seconda Corte di diritto civile : Christian Herrmann [Presidente], Elisabeth Escher, Luca Marazzi, Nicolas von Werdt, Felix Schöbi, Grégory Bovey; prima Corte di diritto sociale: Marcel Maillard [Presidente], Alexia Heine, Martin Wirthlin, Daniela Viscione, Bernard Abrecht.
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11.5.2_9.1.1.1_1_2015_yyyy_mm_dd_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 21. Mai 2015 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Rücktritt Bundesrichterin Susanne Leuzinger Frau Bundesrichterin Susanne Leuzinger beendet auf Ende des laufenden Jahres ihr Amt. Die aktuelle Präsidentin der Ersten sozialrechtlichen Abteilung wurde 1996 zur Bundesrichterin gewählt und übte von 2007 bis 2010 das Vizepräsidium des Bundesgerichts aus. Frau Bundesrichterin Leuzinger wurde am 20. März 1996 zum Mitglied des damaligen Eidgenössischen Versicherungsgerichts (EVG) gewählt. In den Jahren 2004 und 2005 war sie Vizepräsidentin und 2006 die letzte Präsidentin des EVG, das anschliessend mit dem Bundesgericht vereinigt wurde. Für die Amtsperioden 2007/2008 und 2009/2010 wurde sie zur Vizepräsidentin des Bundesgerichts gewählt. Aktuell präsidiert Frau Bundesrichterin Leuzinger die Erste sozialrechtliche Abteilung. Frau Leuzinger hat entschieden, auf Ende Dezember des laufenden Jahres als Bundesrichterin zurückzutreten. Die Nachfolgerin oder der Nachfolger von Frau Bundesrichterin Leuzinger wird von der Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht bekannt.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 21 mai 2015 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Départ de Madame la Juge fédérale Susanne Leuzinger Madame la Juge fédérale Susanne Leuzinger quittera sa fonction à la fin de l'année en cours. L'actuelle Présidente de la première Cour de droit social a été élue Juge fédérale en 1996 et a exercé en qualité de Vice-Présidente du Tribunal fédéral de 2007 à 2010. Madame la Juge fédérale Leuzinger a été élue Membre de l'ancien Tribunal fédéral des assurances (TFA) le 20 mars 1996. En 2004 et 2005, elle fut Vice-Présidente, puis en 2006, la dernière Présidente du TFA, qui a ensuite fusionné avec le Tribunal fédéral. Elle a été élue Vice-Présidente du Tribunal fédéral pour les mandats 2007/2008 et 2009/2010. Actuellement, Madame la Juge fédérale Leuzinger préside la première Cour de droit social. Madame Leuzinger a décidé de quitter sa fonction de Juge fédérale pour fin décembre de cette année. Le ou la successeur de Madame la Juge fédérale Leuzinger sera élu/e par l'Assemblée fédérale. La date n'est pas encore connue.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 21 maggio 2015 Nessun Embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Dimissioni della Giudice federale Susanne Leuzinger La Giudice federale Susanne Leuzinger ha rassegnato le sue dimissioni e lascerà la sua funzione alla fine dell'anno. L'attuale presidente della prima Corte di diritto sociale è stata eletta giudice federale nel 1996 ed è stata vicepresidente del Tribunale federale dal 2007 al 2010. La Giudice federale Leuzinger è stata eletta al Tribunale federale delle assicurazioni il 20 marzo 1996. Dal 2004 al 2005 ne è stata la vicepresidente e nel 2006 l'ultima presidente, il Tribunale federale delle assicurazioni essendo stato integrato nel Tribunale federale nel 2007. Durante i periodi di carica 2007/2008 e 2009/2010 è stata vicepresidente del Tribunale federale. Attualmente presidente della prima Corte di diritto sociale, la Giudice federale Leuzinger ha deciso di rassegnare le sue dimissioni per il 31 dicembre 2015. Come d'abitudine, il successore della Giudice federale Leuzinger sarà eletto dall'Assemblea federale. La data non è ancora nota.
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Lausanne, 21. Mai 2015 Medienmitteilung des Bundesgerichts Rücktritt Bundesrichterin Susanne Leuzinger Frau Bundesrichterin Susanne Leuzinger beendet auf Ende des laufenden Jahres ihr Amt. Die aktuelle Präsidentin der Ersten sozialrechtlichen Abteilung wurde 1996 zur Bundesrichterin gewählt und übte von 2007 bis 2010 das Vizepräsidium des Bundesgerichts aus. Frau Bundesrichterin Leuzinger wurde am 20. März 1996 zum Mitglied des damaligen Eidgenössischen Versicherungsgerichts (EVG) gewählt. In den Jahren 2004 und 2005 war sie Vizepräsidentin und 2006 die letzte Präsidentin des EVG, das anschliessend mit dem Bundesgericht vereinigt wurde. Für die Amtsperioden 2007/2008 und 2009/2010 wurde sie zur Vizepräsidentin des Bundesgerichts gewählt. Aktuell präsidiert Frau Bundesrichterin Leuzinger die Erste sozialrechtliche Abteilung. Frau Leuzinger hat entschieden, auf Ende Dezember des laufenden Jahres als Bundesrichterin zurückzutreten. Die Nachfolgerin oder der Nachfolger von Frau Bundesrichterin Leuzinger wird von der Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht bekannt.
Lausanne, le 21 mai 2015 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Départ de Madame la Juge fédérale Susanne Leuzinger Madame la Juge fédérale Susanne Leuzinger quittera sa fonction à la fin de l'année en cours. L'actuelle Présidente de la première Cour de droit social a été élue Juge fédérale en 1996 et a exercé en qualité de Vice-Présidente du Tribunal fédéral de 2007 à 2010. Madame la Juge fédérale Leuzinger a été élue Membre de l'ancien Tribunal fédéral des assurances (TFA) le 20 mars 1996. En 2004 et 2005, elle fut Vice-Présidente, puis en 2006, la dernière Présidente du TFA, qui a ensuite fusionné avec le Tribunal fédéral. Elle a été élue Vice-Présidente du Tribunal fédéral pour les mandats 2007/2008 et 2009/2010. Actuellement, Madame la Juge fédérale Leuzinger préside la première Cour de droit social. Madame Leuzinger a décidé de quitter sa fonction de Juge fédérale pour fin décembre de cette année. Le ou la successeur de Madame la Juge fédérale Leuzinger sera élu/e par l'Assemblée fédérale. La date n'est pas encore connue.
Losanna, 21 maggio 2015 Comunicato stampa del Tribunale federale Dimissioni della Giudice federale Susanne Leuzinger La Giudice federale Susanne Leuzinger ha rassegnato le sue dimissioni e lascerà la sua funzione alla fine dell'anno. L'attuale presidente della prima Corte di diritto sociale è stata eletta giudice federale nel 1996 ed è stata vicepresidente del Tribunale federale dal 2007 al 2010. La Giudice federale Leuzinger è stata eletta al Tribunale federale delle assicurazioni il 20 marzo 1996. Dal 2004 al 2005 ne è stata la vicepresidente e nel 2006 l'ultima presidente, il Tribunale federale delle assicurazioni essendo stato integrato nel Tribunale federale nel 2007. Durante i periodi di carica 2007/2008 e 2009/2010 è stata vicepresidente del Tribunale federale. Attualmente presidente della prima Corte di diritto sociale, la Giudice federale Leuzinger ha deciso di rassegnare le sue dimissioni per il 31 dicembre 2015. Come d'abitudine, il successore della Giudice federale Leuzinger sarà eletto dall'Assemblea federale. La data non è ancora nota.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 18. November 2015 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Neues Mitglied und Präsidium Erste sozialrechtliche Abteilung Der von der Bundesversammlung im vergangenen September neu gewählte Bundesrichter Martin Wirthlin wird der Ersten sozialrechtlichen Abteilung in Luzern zugeteilt. Das Präsidium der Ersten sozialrechtlichen Abteilung wird auf Beginn des kommenden Jahres Herr Bundesrichter Marcel Maillard übernehmen. Die Bundesversammlung hat am vergangenen 23. September Herrn Martin Wirthlin als neuen Bundesrichter gewählt. Die Vollversammlung der ordentlichen Bundesrichterinnen und Bundesrichter (Gesamtgericht) hat beschlossen, dass Herr Bundesrichter Wirthlin der Ersten sozialrechtlichen Abteilung des Bundesgerichts in Luzern zugeteilt wird. Er wird sein Amt auf den 1. Januar 2016 antreten. Nachdem die bisherige Präsidentin der Ersten sozialrechtlichen Abteilung, Frau Susanne Leuzinger, auf Ende Jahr von ihrem Amt als Bundesrichterin zurücktreten wird, hat das Gesamtgericht als ihren Nachfolger für das Abteilungspräsidium Herrn Bundesrichter Marcel Maillard gewählt.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 18 novembre 2015 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Nouveau membre et nouvelle présidence à la première Cour de droit social Elu Juge fédéral par l'Assemblée fédérale en septembre dernier, Monsieur Martin Wirthlin sera attribué à la première Cour de droit social à Lucerne. Dès le début de l'année prochaine, Monsieur le Juge fédéral Marcel Maillard reprendra la présidence de cette cour. Le 23 septembre dernier, l'Assemblée fédérale a élu Monsieur Martin Wirthlin au poste de Juge fédéral. La Cour plénière du Tribunal fédéral, composée de tous les juges fédéraux ordinaires, a décidé d'attribuer Monsieur le Juge fédéral Wirthlin à la première Cour de droit social à Lucerne. Il prendra ses fonctions le 1er janvier 2016. Pour prendre la succession de l'actuelle présidente de la première Cour de droit social, Madame Susanne Leuzinger, qui a démissionné de sa fonction de Juge fédérale pour la fin de l'année, la Cour plénière du Tribunal fédéral a élu Monsieur le Juge fédéral Marcel Maillard.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 18 novembre 2015 Nessun Embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Nuovo membro e presidio della I Corte di diritto sociale Il signor Martin Wirthlin, eletto lo scorso settembre dal Parlamento federale quale nuovo giudice federale, è stato attribuito alla I Corte di diritto sociale di Lucerna. A partire dal prossimo anno la presidenza di tale corte sarà assunta dal giudice federale Marcel Maillard. Il 23 settembre scorso, il Parlamento federale ha eletto Martin Wirthlin quale nuovo giudice federale. La Corte plenaria del Tribunale federale ha deciso di attribuire il giudice federale Wirthlin alla I Corte di diritto sociale a Lucerna. Egli entrerà in funzione il 1° gennaio 2016. In seguito alle dimissioni dell'attuale Presidente della I Corte di diritto sociale, Susanne Leuzinger, la Corte plenaria ha eletto il giudice federale Marcel Maillard quale suo successore.
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Lausanne, 18. November 2015 Medienmitteilung des Bundesgerichts Neues Mitglied und Präsidium Erste sozialrechtliche Abteilung Der von der Bundesversammlung im vergangenen September neu gewählte Bundesrichter Martin Wirthlin wird der Ersten sozialrechtlichen Abteilung in Luzern zugeteilt. Das Präsidium der Ersten sozialrechtlichen Abteilung wird auf Beginn des kommenden Jahres Herr Bundesrichter Marcel Maillard übernehmen. Die Bundesversammlung hat am vergangenen 23. September Herrn Martin Wirthlin als neuen Bundesrichter gewählt. Die Vollversammlung der ordentlichen Bundesrichterinnen und Bundesrichter (Gesamtgericht) hat beschlossen, dass Herr Bundesrichter Wirthlin der Ersten sozialrechtlichen Abteilung des Bundesgerichts in Luzern zugeteilt wird. Er wird sein Amt auf den 1. Januar 2016 antreten. Nachdem die bisherige Präsidentin der Ersten sozialrechtlichen Abteilung, Frau Susanne Leuzinger, auf Ende Jahr von ihrem Amt als Bundesrichterin zurücktreten wird, hat das Gesamtgericht als ihren Nachfolger für das Abteilungspräsidium Herrn Bundesrichter Marcel Maillard gewählt.
Lausanne, le 18 novembre 2015 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Nouveau membre et nouvelle présidence à la première Cour de droit social Elu Juge fédéral par l'Assemblée fédérale en septembre dernier, Monsieur Martin Wirthlin sera attribué à la première Cour de droit social à Lucerne. Dès le début de l'année prochaine, Monsieur le Juge fédéral Marcel Maillard reprendra la présidence de cette cour. Le 23 septembre dernier, l'Assemblée fédérale a élu Monsieur Martin Wirthlin au poste de Juge fédéral. La Cour plénière du Tribunal fédéral, composée de tous les juges fédéraux ordinaires, a décidé d'attribuer Monsieur le Juge fédéral Wirthlin à la première Cour de droit social à Lucerne. Il prendra ses fonctions le 1er janvier 2016. Pour prendre la succession de l'actuelle présidente de la première Cour de droit social, Madame Susanne Leuzinger, qui a démissionné de sa fonction de Juge fédérale pour la fin de l'année, la Cour plénière du Tribunal fédéral a élu Monsieur le Juge fédéral Marcel Maillard.
Losanna, 18 novembre 2015 Comunicato stampa del Tribunale federale Nuovo membro e presidio della I Corte di diritto sociale Il signor Martin Wirthlin, eletto lo scorso settembre dal Parlamento federale quale nuovo giudice federale, è stato attribuito alla I Corte di diritto sociale di Lucerna. A partire dal prossimo anno la presidenza di tale corte sarà assunta dal giudice federale Marcel Maillard. Il 23 settembre scorso, il Parlamento federale ha eletto Martin Wirthlin quale nuovo giudice federale. La Corte plenaria del Tribunale federale ha deciso di attribuire il giudice federale Wirthlin alla I Corte di diritto sociale a Lucerna. Egli entrerà in funzione il 1° gennaio 2016. In seguito alle dimissioni dell'attuale Presidente della I Corte di diritto sociale, Susanne Leuzinger, la Corte plenaria ha eletto il giudice federale Marcel Maillard quale suo successore.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 11. Juni 2014 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Rücktritt der Herren Bundesrichter Heinz Aemisegger, Yves Kernen und Hans Mathys Auf Ende des laufenden Jahres werden drei Bundesrichter ihr Amt beenden. Die Herren Bundesrichter Heinz Aemisegger und Yves Kernen verzichten auf eine Wiederwahl, Herr Bundesrichter Hans Mathys scheidet altershalber aus. Herr Bundesrichter Heinz Aemisegger, Mitglied der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung, wurde 1986 als Richter ans höchste Schweizer Gericht gewählt. In den Jahren 2003 und 2004 präsidierte er das Bundesgericht. Herr Bundesrichter Aemisegger hat entschieden, sich nicht mehr für die Wiederwahl als Bundesrichter zur Verfügung zu stellen und per 31. Dezember 2014 zurückzutreten. Das Bundesgericht verlassen wird auf diesen Termin auch Herr Bundesrichter Yves Kernen, Präsident und Mitglied der Zweiten sozialrechtlichen Abteilung in Luzern. Herr Bundesrichter Kernen verzichtet ebenfalls auf eine Wiederwahl. Er wurde 2001 ans Eidgenössische Versicherungsgericht gewählt, das 2007 ins Bundesgericht integriert wurde. Auf Ende des laufenden Jahres wird zudem Herr Bundesrichter Hans Mathys, Präsident und Mitglied der Strafrechtlichen Abteilung, altershalber aus dem Bundesgericht ausscheiden (gemäss Artikel 9 Absatz 2 des Bundesgerichtsgesetzes). Herr Bundesrichter Mathys wurde 2006 zum Bundesrichter gewählt. Wie üblich werden die Nachfolgerinnen oder Nachfolger von der Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht bekannt.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 11 juin 2014 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Départ de Messieurs les Juges fédéraux Heinz Aemisegger, Yves Kernen et Hans Mathys Trois Juges fédéraux quitteront leur fonction à la fin de l'année. Messieurs les Juges fédéraux Heinz Aemisegger et Yves Kernen renoncent à une réélection. Quant à Monsieur le Juge fédéral Hans Mathys, il se retire en raison de son âge. Monsieur le Juge fédéral Heinz Aemisegger, membre de la première Cour de droit public, a été élu juge à la plus haute instance judiciaire suisse en 1986. Il a exercé la fonction de Président du Tribunal fédéral en 2003 et 2004. Monsieur le Juge fédéral Aemisegger a décidé de ne plus se porter candidat à une réélection en qualité de juge fédéral et de démissionner pour le 31 décembre 2014. A la même date, Monsieur le Juge fédéral Yves Kernen, Président et membre de la deuxième Cour de droit social à Lucerne, quittera le Tribunal fédéral. Monsieur le Juge fédéral Kernen renonce également à une réélection. En 2001, il a été élu juge au Tribunal fédéral des assurances qui a été intégré en 2007 au Tribunal fédéral. De plus, à la fin de cette année, Monsieur le Juge fédéral Hans Mathys, Président et membre de la Cour de droit pénal, quittera le Tribunal fédéral pour raison d'âge (conformément à l'art. 9 al. 2 de la loi sur le Tribunal fédéral). Monsieur le Juge fédéral Mathys a été élu Juge au Tribunal fédéral en 2006. Comme d'habitude, les successeurs seront élus par l'Assemblée fédérale. La date n'est pas encore connue.
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 26 giugno 2013 Nessun Embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Dimissioni dei giudici federali Aldo Borella e Roland Schneider Il giudice federale Aldo Borella, membro della II Corte di diritto sociale, lascerà la sua carica presso il Tribunale federale il 31 dicembre 2013 per raggiunti limiti d'età (art. 9 cpv 2 LTF; RS 173.110). Inoltre, il giudice federale Roland Schneider, membro della Corte di diritto penale, ci ha informati in occasione della seduta della Corte plenaria di lunedì, che il 28 febbraio 2014 lascerà la sua carica presso il Tribunale federale. Come d'abitudine, i loro successori saranno eletti dall'Assemblea federale. La data non è ancora nota.
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Lausanne, 11. Juni 2014 Medienmitteilung des Bundesgerichts Rücktritt der Herren Bundesrichter Heinz Aemisegger, Yves Kernen und Hans Mathys Auf Ende des laufenden Jahres werden drei Bundesrichter ihr Amt beenden. Die Herren Bundesrichter Heinz Aemisegger und Yves Kernen verzichten auf eine Wiederwahl, Herr Bundesrichter Hans Mathys scheidet altershalber aus. Herr Bundesrichter Heinz Aemisegger, Mitglied der Ersten öffentlich-rechtlichen Abteilung, wurde 1986 als Richter ans höchste Schweizer Gericht gewählt. In den Jahren 2003 und 2004 präsidierte er das Bundesgericht. Herr Bundesrichter Aemisegger hat entschieden, sich nicht mehr für die Wiederwahl als Bundesrichter zur Verfügung zu stellen und per 31. Dezember 2014 zurückzutreten. Das Bundesgericht verlassen wird auf diesen Termin auch Herr Bundesrichter Yves Kernen, Präsident und Mitglied der Zweiten sozialrechtlichen Abteilung in Luzern. Herr Bundesrichter Kernen verzichtet ebenfalls auf eine Wiederwahl. Er wurde 2001 ans Eidgenössische Versicherungsgericht gewählt, das 2007 ins Bundesgericht integriert wurde. Auf Ende des laufenden Jahres wird zudem Herr Bundesrichter Hans Mathys, Präsident und Mitglied der Strafrechtlichen Abteilung, altershalber aus dem Bundesgericht ausscheiden (gemäss Artikel 9 Absatz 2 des Bundesgerichtsgesetzes). Herr Bundesrichter Mathys wurde 2006 zum Bundesrichter gewählt. Wie üblich werden die Nachfolgerinnen oder Nachfolger von der Vereinigten Bundesversammlung gewählt werden. Das Datum ist noch nicht bekannt.
Lausanne, le 11 juin 2014 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Départ de Messieurs les Juges fédéraux Heinz Aemisegger, Yves Kernen et Hans Mathys Trois Juges fédéraux quitteront leur fonction à la fin de l'année. Messieurs les Juges fédéraux Heinz Aemisegger et Yves Kernen renoncent à une réélection. Quant à Monsieur le Juge fédéral Hans Mathys, il se retire en raison de son âge. Monsieur le Juge fédéral Heinz Aemisegger, membre de la première Cour de droit public, a été élu juge à la plus haute instance judiciaire suisse en 1986. Il a exercé la fonction de Président du Tribunal fédéral en 2003 et 2004. Monsieur le Juge fédéral Aemisegger a décidé de ne plus se porter candidat à une réélection en qualité de juge fédéral et de démissionner pour le 31 décembre 2014. A la même date, Monsieur le Juge fédéral Yves Kernen, Président et membre de la deuxième Cour de droit social à Lucerne, quittera le Tribunal fédéral. Monsieur le Juge fédéral Kernen renonce également à une réélection. En 2001, il a été élu juge au Tribunal fédéral des assurances qui a été intégré en 2007 au Tribunal fédéral. De plus, à la fin de cette année, Monsieur le Juge fédéral Hans Mathys, Président et membre de la Cour de droit pénal, quittera le Tribunal fédéral pour raison d'âge (conformément à l'art. 9 al. 2 de la loi sur le Tribunal fédéral). Monsieur le Juge fédéral Mathys a été élu Juge au Tribunal fédéral en 2006. Comme d'habitude, les successeurs seront élus par l'Assemblée fédérale. La date n'est pas encore connue.
Losanna, 26 giugno 2013 Comunicato stampa del Tribunale federale Dimissioni dei giudici federali Aldo Borella e Roland Schneider Il giudice federale Aldo Borella, membro della II Corte di diritto sociale, lascerà la sua carica presso il Tribunale federale il 31 dicembre 2013 per raggiunti limiti d'età (art. 9 cpv 2 LTF; RS 173.110). Inoltre, il giudice federale Roland Schneider, membro della Corte di diritto penale, ci ha informati in occasione della seduta della Corte plenaria di lunedì, che il 28 febbraio 2014 lascerà la sua carica presso il Tribunale federale. Come d'abitudine, i loro successori saranno eletti dall'Assemblea federale. La data non è ancora nota.
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Lausanne, 21. März 2016 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Gemeinsame Medienmitteilung des Bundesgerichts, des Bundesstrafgerichts, des Bundesverwaltungsgerichts und des Bundespatentgerichts zu den Geschäftsberichten 2015 Geschäftsberichte der eidgenössischen Gerichte Das Bundesgericht, das Bundesverwaltungsgericht Tribunal administratif fédéral Tribunale amministrativo federale Tribunal administrativ federalBundesstrafgericht Tribunal pénal fédéral Tribunale penale federale Tribunal penal federalBundesgericht Tribunal fédéral Tribunale federale Tribunal federal Pressemitteilung des Bundesgerichts zu seinem Geschäftsbericht 2015 Die Geschäftslast des Bundesgerichts ist 2015 leicht angestiegen und bewegt sich weiterhin auf sehr hohem Niveau. 7853 Beschwerden wurden im vergangenen Jahr beim Bundesgericht neu eingereicht. Gegenüber dem Vorjahr (7705 Eingänge) bedeutet dies eine Zunahme um 148 Fälle oder 1,9 Prozent. Besonders hoch waren dabei die Eingänge in den beiden öffentlich-rechtlichen Abteilungen, in der Zweiten zivilrechtlichen Abteilung und in der Strafrechtlichen Abteilung. Die Zahl der Erledigungen konnte 2015 fast im Gleichschritt zur höheren Eingangszahl um 1,75 Prozent auf 7695 Fälle (Vorjahr 7 563) gesteigert werden. 13 Prozent aller behandelten Beschwerden wurden gutgeheissen. In 58 Fällen fand eine öffentliche Urteilsberatung statt. Die durchschnittliche Prozessdauer betrug 134 Tage (Vorjahr 131). 2811 Fälle (Vorjahr 2653) wurden auf das Folgejahr übertragen, womit die Zahl der Pendenzen wie bereits im Vorjahr leicht angestiegen ist. Der Bundesrat führte ab November vergangenen Jahres das Vernehmlassungsverfahren zur Teilrevision des Bundesgerichtsgesetzes (BGG) durch. Mit dem Gesetzesprojekt soll die verfassungsrechtliche Stellung des Bundesgerichts als oberste rechtsprechende Behörde des Bundes gestärkt werden. Die Eidgenössischen Räte nahmen 2015 die Motion zur Wiedergabe von "Dissenting Opinions" an. Der Bundesrat wird darin beauftragt, eine Änderung des BGG vorzubereiten, damit nach einer öffentlichen Urteilsberatung die abweichende Meinung der Richterminderheit auch im schriftlichen Entscheid beigefügt werden kann. Im Verlauf des Jahres 2015 wurden beim Europäischen Gerichtshof für Menschenrechte (EGMR) 318 Beschwerden gegen die Schweiz registriert (Vorjahr 292). Der EGMR fällte 331 Entscheidungen betreffend die Schweiz. Dabei ergingen zehn Urteile, wobei der EGMR in drei Fällen eine Verletzung der Europäischen Menschenrechtskonvention (EMRK) durch die Schweiz feststellte (Vorjahr 9).
Lausanne, le 21 mars 2016 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Communiqué aux médias commun du Tribunal fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal administratif fédéral et du Tribunal fédéral des brevets relatif aux rapports de gestion 2015 Rapports de gestion des tribunaux de la Confédération Le Tribunal fédéral, le Tribunal pénal fédéral, le Tribunal administratif fédéral et le Tribunal fédéral des brevets ont présenté lundi leur rapport de gestion 2015 lors d'une conférence de presse commune. Au Tribunal fédéral, le nombre d'affaires introduite est supérieur de près de deux pour cent à celui de l'année précédente. Le volume des affaires se situe toujours à un niveau très élevé. Le nombre de procédures liquidées a augmenté presque dans les mêmes proportions que celui des affaires introduites. Au Tribunal pénal fédéral , les cas soumis à la Cour des affaires pénales en 2015 sont à nouveau en légère hausse. Au sein de la Cour des plaintes, le nombre d'affaires introduites est en régression ce qui a permis de diminuer considérablement celui des affaires pendantes. Le nombre de procédures a augmenté de manière significative au Tribunal administratif fédéral ; il a atteint un niveau maximum dans le domaine de l'asile. Pour l'ensemble du tribunal, la durée moyenne de procédure a continué à se raccourcir. Le volume des affaires a également augmenté légèrement au sein du Tribunal fédéral des brevets . Les différents processus sont maintenant bien rodés au sein de ce tribunal qui existe depuis 2012. Un pourcentage élevé de cas a pu être résolu par transaction. Vous trouverez davantage de détails sur les rapports de gestion dans les communiqués de presse de chacun des tribunaux. Communiqué de presse du Tribunal fédéral relatif à son rapport de gestion 2015 En 2015, le volume des affaires du Tribunal fédéral était en légère hausse par rapport à l'exercice précédent; il se situe toujours à un niveau très élevé. 7'853 nouvelles affaires ont été introduites au Tribunal fédéral, ce qui représente une augmentation de 148 affaires, soit de 1,9 pour cent, par rapport à l'année précédente (7'705 affaires introduites). Le nombre de nouvelles affaires était particulièrement élevé au sein des deux cours de droit public, de la deuxième Cour de droit civil et de la Cour de droit pénal. Le nombre de procédures liquidées en 2015 s'élevait à 7'695, soit 1,75 pour cent de plus qu'en 2014 (7'563 affaires); il se situe à un niveau quasi identique à celui, plus élevé, des affaires introduites durant la même période. 13 pour cent des recours sur lesquels le Tribunal a statué ont été admis. 58 procédures ont été jugées en délibération publique. La durée moyenne de procédure était de 134 jours (131 en 2014). 2'811 affaires (2'653 en 2014) ont été reportées à l'année suivante; en conséquence, le nombre d'affaires pendantes est à nouveau en légère hausse par rapport à l'année précédente. En novembre 2015, le Conseil fédéral a mis en consultation la révision partielle de la loi sur le Tribunal fédéral. Ce projet de loi prévoit de consolider la position du Tribunal fédéral dans sa fonction constitutionnelle d'autorité judiciaire suprême de la Confédération. Les Chambres fédérales ont adopté en 2015 la motion demandant l'introduction de "Dissenting Opinions" dans les arrêts. Par conséquent, le Conseil fédéral est chargé de préparer une modification de la loi sur le Tribunal fédéral introduisant la possibilité de mentionner par écrit dans l'arrêt une opinion divergente déjà exprimée par une minorité de juges dans le cadre d'une délibération publique. En 2015, la Cour européenne des droits de l'homme (CrEDH) a enregistré 318 requêtes déposées contre la Suisse (292 en 2014). La CrEDH a rendu 331 décisions concernant la Suisse, dont 10 arrêts. Elle a constaté une violation de la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH) par la Suisse dans trois cas (9 en 2014).
Losanna, 21 marzo 2016 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Comunicato stampa congiunto del Tribunale federale, del Tribunale penale federale, del Tribunale amministrativo federale e del Tribunale federale dei brevetti in relazione ai rapporti di gestione 2015 Rapporti di gestione dei tribunali della Confederazione Il Tribunale federale, il Tribunale penale federale, il Tribunale amministrativo federale e il Tribunale federale dei brevetti hanno presentato in data odierna i rispettivi rapporti di gestione relativi all'anno 2015 nell'ambito di una conferenza stampa congiunta. Il numero di ricorsi presentati l'anno scorso dinanzi al Tribunale federale è aumentato di poco meno del 2 % rispetto all'anno precedente e la mole di lavoro continua a situarsi a un livello molto alto. Il numero di casi evasi ha potuto essere aumentato quasi proporzionalmente rispetto al numero dei casi entrati. In seno al Tribunale penale federale, nel corso del 2015 il carico di lavoro è ancora leggermente aumentato presso la Corte penale, mentre il numero dei casi entrati è diminuito presso la Corte dei reclami penali, dove il numero delle pendenze ha potuto essere notevolmente ridotto. Il numero di casi entrati è aumentato notevolmente presso il Tribunale amministrativo federale , dove nell'ambito dell'asilo ha raggiunto il più alto livello mai registrato. La durata media dei procedimenti ha potuto essere ulteriormente ridotta per l'insieme del tribunale. L'anno scorso la mole di lavoro è leggermente aumentata anche in seno al Tribunale federale dei brevetti . Le procedure istituite in seno a questo tribunale creato nel 2012 sono ormai perfettamente collaudate. La percentuale dei casi evasi transattivamente si è ancora una volta rivelata importante. Per maggiori dettagli si rinvia ai comunicati stampa dei singoli tribunali allegati alla presente. Comunicato stampa del Tribunale federale sul proprio rapporto di gestione 2015 Il volume degli affari trattati dal Tribunale federale è leggermente aumentato nel 2015, mantenendosi ad un livello molto alto. L'anno scorso sono stati registrati 7853 (2014: 7705) nuovi ricorsi, ciò che equivale ad un aumento di 148 unità (1,9%). Il numero di nuovi casi entrati è risultato particolarmente alto in seno alle due corti di diritto pubblico, alla seconda Corte di diritto civile ed alla Corte di diritto penale. Nel 2015, il numero di casi evasi è aumentato dell'1,75%, raggiungendo le 7695 unità (2014: 7563). Il 13% dei ricorsi trattati sono stati accolti. Il Tribunale federale ha deliberato pubblicamente in 58 casi. La durata media dei procedimenti è stata di 134 giorni (2014: 131). 2811 casi sono stati riportati all'anno successivo (2014: 2653) e, di conseguenza, anche quest'anno i casi pendenti sono leggermente aumentati. In novembre il Consiglio federale ha avviato la procedura di consultazione sulla revisione parziale della legge sul Tribunale federale (LTF). Tale progetto di legge si propone di rafforzare il ruolo di autorità giudiziaria suprema della Confederazione conferito al Tribunale federale dalla Costituzione. Le Camere federali hanno accolto nel 2015 la mozione "Dissenting opinions" e incaricato il Consiglio federale di preparare una modifica della LTF affinché le opinioni divergenti espresse dai giudici nel corso delle deliberazioni pubbliche possano essere riportate nelle motivazioni scritte delle sentenze. Nel 2015 la Corte europea dei diritti dell’uomo ha registrato 318 ricorsi contro la Svizzera (anno precedente: 292) e reso 331 decisioni concernenti il nostro Paese. La Corte ha pronunciato dieci sentenze e in tre casi constatato una violazione della CEDU da parte della Svizzera (anno precedente: 9).
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Lausanne, 21. März 2016 Medienmitteilung des Bundesgerichts Gemeinsame Medienmitteilung des Bundesgerichts, des Bundesstrafgerichts, des Bundesverwaltungsgerichts und des Bundespatentgerichts zu den Geschäftsberichten 2015 Geschäftsberichte der eidgenössischen Gerichte Das Bundesgericht, das Bundesverwaltungsgericht Tribunal administratif fédéral Tribunale amministrativo federale Tribunal administrativ federalBundesstrafgericht Tribunal pénal fédéral Tribunale penale federale Tribunal penal federalBundesgericht Tribunal fédéral Tribunale federale Tribunal federal Pressemitteilung des Bundesgerichts zu seinem Geschäftsbericht 2015 Die Geschäftslast des Bundesgerichts ist 2015 leicht angestiegen und bewegt sich weiterhin auf sehr hohem Niveau. 7853 Beschwerden wurden im vergangenen Jahr beim Bundesgericht neu eingereicht. Gegenüber dem Vorjahr (7705 Eingänge) bedeutet dies eine Zunahme um 148 Fälle oder 1,9 Prozent. Besonders hoch waren dabei die Eingänge in den beiden öffentlich-rechtlichen Abteilungen, in der Zweiten zivilrechtlichen Abteilung und in der Strafrechtlichen Abteilung. Die Zahl der Erledigungen konnte 2015 fast im Gleichschritt zur höheren Eingangszahl um 1,75 Prozent auf 7695 Fälle (Vorjahr 7 563) gesteigert werden. 13 Prozent aller behandelten Beschwerden wurden gutgeheissen. In 58 Fällen fand eine öffentliche Urteilsberatung statt. Die durchschnittliche Prozessdauer betrug 134 Tage (Vorjahr 131). 2811 Fälle (Vorjahr 2653) wurden auf das Folgejahr übertragen, womit die Zahl der Pendenzen wie bereits im Vorjahr leicht angestiegen ist. Der Bundesrat führte ab November vergangenen Jahres das Vernehmlassungsverfahren zur Teilrevision des Bundesgerichtsgesetzes (BGG) durch. Mit dem Gesetzesprojekt soll die verfassungsrechtliche Stellung des Bundesgerichts als oberste rechtsprechende Behörde des Bundes gestärkt werden. Die Eidgenössischen Räte nahmen 2015 die Motion zur Wiedergabe von "Dissenting Opinions" an. Der Bundesrat wird darin beauftragt, eine Änderung des BGG vorzubereiten, damit nach einer öffentlichen Urteilsberatung die abweichende Meinung der Richterminderheit auch im schriftlichen Entscheid beigefügt werden kann. Im Verlauf des Jahres 2015 wurden beim Europäischen Gerichtshof für Menschenrechte (EGMR) 318 Beschwerden gegen die Schweiz registriert (Vorjahr 292). Der EGMR fällte 331 Entscheidungen betreffend die Schweiz. Dabei ergingen zehn Urteile, wobei der EGMR in drei Fällen eine Verletzung der Europäischen Menschenrechtskonvention (EMRK) durch die Schweiz feststellte (Vorjahr 9).
Lausanne, le 21 mars 2016 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Communiqué aux médias commun du Tribunal fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal administratif fédéral et du Tribunal fédéral des brevets relatif aux rapports de gestion 2015 Rapports de gestion des tribunaux de la Confédération Le Tribunal fédéral, le Tribunal pénal fédéral, le Tribunal administratif fédéral et le Tribunal fédéral des brevets ont présenté lundi leur rapport de gestion 2015 lors d'une conférence de presse commune. Au Tribunal fédéral, le nombre d'affaires introduite est supérieur de près de deux pour cent à celui de l'année précédente. Le volume des affaires se situe toujours à un niveau très élevé. Le nombre de procédures liquidées a augmenté presque dans les mêmes proportions que celui des affaires introduites. Au Tribunal pénal fédéral , les cas soumis à la Cour des affaires pénales en 2015 sont à nouveau en légère hausse. Au sein de la Cour des plaintes, le nombre d'affaires introduites est en régression ce qui a permis de diminuer considérablement celui des affaires pendantes. Le nombre de procédures a augmenté de manière significative au Tribunal administratif fédéral ; il a atteint un niveau maximum dans le domaine de l'asile. Pour l'ensemble du tribunal, la durée moyenne de procédure a continué à se raccourcir. Le volume des affaires a également augmenté légèrement au sein du Tribunal fédéral des brevets . Les différents processus sont maintenant bien rodés au sein de ce tribunal qui existe depuis 2012. Un pourcentage élevé de cas a pu être résolu par transaction. Vous trouverez davantage de détails sur les rapports de gestion dans les communiqués de presse de chacun des tribunaux. Communiqué de presse du Tribunal fédéral relatif à son rapport de gestion 2015 En 2015, le volume des affaires du Tribunal fédéral était en légère hausse par rapport à l'exercice précédent; il se situe toujours à un niveau très élevé. 7'853 nouvelles affaires ont été introduites au Tribunal fédéral, ce qui représente une augmentation de 148 affaires, soit de 1,9 pour cent, par rapport à l'année précédente (7'705 affaires introduites). Le nombre de nouvelles affaires était particulièrement élevé au sein des deux cours de droit public, de la deuxième Cour de droit civil et de la Cour de droit pénal. Le nombre de procédures liquidées en 2015 s'élevait à 7'695, soit 1,75 pour cent de plus qu'en 2014 (7'563 affaires); il se situe à un niveau quasi identique à celui, plus élevé, des affaires introduites durant la même période. 13 pour cent des recours sur lesquels le Tribunal a statué ont été admis. 58 procédures ont été jugées en délibération publique. La durée moyenne de procédure était de 134 jours (131 en 2014). 2'811 affaires (2'653 en 2014) ont été reportées à l'année suivante; en conséquence, le nombre d'affaires pendantes est à nouveau en légère hausse par rapport à l'année précédente. En novembre 2015, le Conseil fédéral a mis en consultation la révision partielle de la loi sur le Tribunal fédéral. Ce projet de loi prévoit de consolider la position du Tribunal fédéral dans sa fonction constitutionnelle d'autorité judiciaire suprême de la Confédération. Les Chambres fédérales ont adopté en 2015 la motion demandant l'introduction de "Dissenting Opinions" dans les arrêts. Par conséquent, le Conseil fédéral est chargé de préparer une modification de la loi sur le Tribunal fédéral introduisant la possibilité de mentionner par écrit dans l'arrêt une opinion divergente déjà exprimée par une minorité de juges dans le cadre d'une délibération publique. En 2015, la Cour européenne des droits de l'homme (CrEDH) a enregistré 318 requêtes déposées contre la Suisse (292 en 2014). La CrEDH a rendu 331 décisions concernant la Suisse, dont 10 arrêts. Elle a constaté une violation de la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH) par la Suisse dans trois cas (9 en 2014).
Losanna, 21 marzo 2016 Comunicato stampa del Tribunale federale Comunicato stampa congiunto del Tribunale federale, del Tribunale penale federale, del Tribunale amministrativo federale e del Tribunale federale dei brevetti in relazione ai rapporti di gestione 2015 Rapporti di gestione dei tribunali della Confederazione Il Tribunale federale, il Tribunale penale federale, il Tribunale amministrativo federale e il Tribunale federale dei brevetti hanno presentato in data odierna i rispettivi rapporti di gestione relativi all'anno 2015 nell'ambito di una conferenza stampa congiunta. Il numero di ricorsi presentati l'anno scorso dinanzi al Tribunale federale è aumentato di poco meno del 2 % rispetto all'anno precedente e la mole di lavoro continua a situarsi a un livello molto alto. Il numero di casi evasi ha potuto essere aumentato quasi proporzionalmente rispetto al numero dei casi entrati. In seno al Tribunale penale federale, nel corso del 2015 il carico di lavoro è ancora leggermente aumentato presso la Corte penale, mentre il numero dei casi entrati è diminuito presso la Corte dei reclami penali, dove il numero delle pendenze ha potuto essere notevolmente ridotto. Il numero di casi entrati è aumentato notevolmente presso il Tribunale amministrativo federale , dove nell'ambito dell'asilo ha raggiunto il più alto livello mai registrato. La durata media dei procedimenti ha potuto essere ulteriormente ridotta per l'insieme del tribunale. L'anno scorso la mole di lavoro è leggermente aumentata anche in seno al Tribunale federale dei brevetti . Le procedure istituite in seno a questo tribunale creato nel 2012 sono ormai perfettamente collaudate. La percentuale dei casi evasi transattivamente si è ancora una volta rivelata importante. Per maggiori dettagli si rinvia ai comunicati stampa dei singoli tribunali allegati alla presente. Comunicato stampa del Tribunale federale sul proprio rapporto di gestione 2015 Il volume degli affari trattati dal Tribunale federale è leggermente aumentato nel 2015, mantenendosi ad un livello molto alto. L'anno scorso sono stati registrati 7853 (2014: 7705) nuovi ricorsi, ciò che equivale ad un aumento di 148 unità (1,9%). Il numero di nuovi casi entrati è risultato particolarmente alto in seno alle due corti di diritto pubblico, alla seconda Corte di diritto civile ed alla Corte di diritto penale. Nel 2015, il numero di casi evasi è aumentato dell'1,75%, raggiungendo le 7695 unità (2014: 7563). Il 13% dei ricorsi trattati sono stati accolti. Il Tribunale federale ha deliberato pubblicamente in 58 casi. La durata media dei procedimenti è stata di 134 giorni (2014: 131). 2811 casi sono stati riportati all'anno successivo (2014: 2653) e, di conseguenza, anche quest'anno i casi pendenti sono leggermente aumentati. In novembre il Consiglio federale ha avviato la procedura di consultazione sulla revisione parziale della legge sul Tribunale federale (LTF). Tale progetto di legge si propone di rafforzare il ruolo di autorità giudiziaria suprema della Confederazione conferito al Tribunale federale dalla Costituzione. Le Camere federali hanno accolto nel 2015 la mozione "Dissenting opinions" e incaricato il Consiglio federale di preparare una modifica della LTF affinché le opinioni divergenti espresse dai giudici nel corso delle deliberazioni pubbliche possano essere riportate nelle motivazioni scritte delle sentenze. Nel 2015 la Corte europea dei diritti dell’uomo ha registrato 318 ricorsi contro la Svizzera (anno precedente: 292) e reso 331 decisioni concernenti il nostro Paese. La Corte ha pronunciato dieci sentenze e in tre casi constatato una violazione della CEDU da parte della Svizzera (anno precedente: 9).
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Lausanne, 19. März 2018 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Gemeinsame Medienmitteilung des Bundesgerichts, des Bundesstrafgerichts, des Bundesverwaltungsgerichts und des Bundespatentgerichts zu den Geschäftsberichten 2017 Geschäftsberichte der eidgenössischen Gerichte Das Bundesgericht, das Bundesverwaltungsgericht Tribunal administratif fédéral Tribunale amministrativo federale Tribunal administrativ federalBundesstrafgericht Tribunal pénal fédéral Tribunale penale federale Tribunal penal federalBundesgericht Tribunal fédéral Tribunale federale Tribunal federal Pressemitteilung des Bundesgerichts zu seinem Geschäftsbericht 2017 Im Berichtsjahr gingen beim Bundesgericht 8029 neue Beschwerden ein (Vorjahr 7743), was gegenüber 2016 eine Zunahme um 286 Fälle oder 3,7% bedeutet. Erledigt hat das Bundesgericht im gleichen Zeitraum 7782 Fälle (Vorjahr 7811). 13,4% der Beschwerden wurden gutgeheissen. In 70 Verfahren fand eine öffentliche Urteilsberatung statt (Vorjahr 78). 3004 Fälle (Vorjahr 2748) wurden auf das Folgejahr übertragen. Das Gericht konnte die Geschäftslast insgesamt innert angemessener Frist bewältigen; die durchschnittliche Prozessdauer betrug 144 Tage (Vorjahr 140). Die Eingänge des Jahres 2017 erreichten einen neuen, absoluten Höchststand. Besonders hoch war die Zahl der eingereichten Beschwerden in der Strafrechtlichen Abteilung, in der Zweiten zivilrechtlichen Abteilung sowie in den beiden öffentlich-rechtlichen Abteilungen. 2007 war das Bundesgerichtsgesetz (BGG) in Kraft getreten, mit dem eine Entlastung des Bundesgerichts bezweckt wurde. Im Jahr vor der Einführung des BGG hatte die Geschäftslast des Bundesgerichts rund 10% tiefer gelegen als heute. Von der mit dem BGG angestrebten Entlastung kann somit nach wie vor nicht gesprochen werden. Gegenwärtig ist eine Teilrevision des BGG hängig, mit der die verfassungsrechtliche Stellung des Bundesgerichts gestärkt werden soll. Die Arbeiten an der Vorlage verzögerten sich. Die Vorsteherin des EJPD stellte die Botschaft des Bundesrates für den Sommer 2018 in Aussicht. Entgegen der Auffassung des Bundesgerichts beschloss der Bundesrat, im Rahmen der Teilrevision an der subsidiären Verfassungsbeschwerde festzuhalten. Das Bundesamt für Justiz wurde beauftragt, die Vorlage so zu überarbeiten, dass nicht mit einer erheblichen Mehrbelastung des Bundesgerichts zu rechnen ist. Dieses erachtet jegliche Mehrbelastung nicht mehr als vertretbar. Vielmehr wird eine markante Entlastung des Bundesgerichts immer vordringlicher, um die Qualität der Rechtspflege zu sichern. Im Berichtsjahr haben acht kantonale Obergerichte und das Bundesgericht den Vertrag zur Zusammenarbeit beim landesweiten Projekt Justitia 4.0 unterzeichnet. Das Projekt bezweckt für die Justiz in der ganzen Schweiz die Einführung des elektronischen Gerichtsdossiers sowie des obligatorischen elektronischen Rechtsverkehrs für Behörden und professionelle Anwender. Bundesgerichtsintern läuft das Projekt eDossier zur vollständigen Digitalisierung der Gerichtsdossiers. Eine Delegation des Bundesgerichts hat 2017 eine Abordnung des Europäischen Gerichtshofs für Menschenrechte (EGMR) getroffen. Dabei wurden die Auswirkungen gewisser Urteile des EGMR auf die schweizerische Rechtsordnung erörtert. Der EGMR fällte im Berichtsjahr 263 Entscheidungen betreffend die Schweiz. Es ergingen zehn Urteile, wobei der EGMR in vier Fällen eine Verletzung der Europäischen Menschenrechtskonvention (EMRK) durch die Schweiz feststellte.
Lausanne, le 19 mars 2018 Pas d'embargo Communiqué de presse du Tribunal fédéral Communiqué aux médias commun du Tribunal fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal administratif fédéral et du Tribunal fédéral des brevets relatif aux rapports de gestion 2017 Rapports de gestion des tribunaux de la Confédération Le Tribunal fédéral, le Tribunal pénal fédéral, le Tribunal administratif fédéral et le Tribunal fédéral des brevets ont présenté lundi leurs rapports de gestion pour l'année 2017 lors d'une conférence de presse commune. Durant l'exercice écoulé, le volume des affaires du Tribunal fédéral a atteint un nouveau niveau record absolu. Le nombre des affaires tranchées est resté à peu près égal. Au Tribunal pénal fédéral , la charge de travail de la Cour des affaires pénales et le nombre d'affaires liquidées ont augmenté. S'agissant de la Cour des plaintes, les entrées ont également augmenté par rapport à l'année précédente et ont de nouveau atteint les maxima des années antérieures. Le nombre de nouveaux recours soumis au Tribunal administratif fédéral est resté encore très élevé en 2017. Durant l'année écoulée, le volume des affaires a une fois de plus augmenté au sein du Tribunal fédéral des brevets . A la fin de la première période de fonction, toutes les procédures sont parfaitement rodées et le tribunal fonctionne sans problème. Vous trouverez davantage de détails sur les rapports de gestion dans les communiqués de presse de chacun des tribunaux. Communiqué de presse du Tribunal fédéral relatif à son rapport de gestion 2017 Durant l'année écoulée, 8029 nouvelles affaires ont été introduites devant le Tribunal fédéral (année précédente: 7743), ce qui représente une augmentation de 286 cas ou 3,7% par rapport à 2016. Durant la même période, le Tribunal fédéral a tranché 7782 affaires (année précédente: 7811). 13,4% des recours ont été admis. Une délibération publique a eu lieu dans 70 procédures (année précédente: 78). 3004 cas (année précédente: 2748) ont été reportés à l'année suivante. Le tribunal est arrivé dans l'ensemble à maîtriser le volume des affaires en statuant dans un délai raisonnable; la durée moyenne de procédure était de 144 jours (année précédente: 140). Les affaires introduites en 2017 ont atteint un nouveau niveau record. Le nombre de recours introduits devant la Cour de droit pénal, la Deuxième Cour de droit civil et les deux Cours de droit public a été particulièrement élevé. La loi sur le Tribunal fédéral (LTF), dont le but était de décharger le Tribunal fédéral, est entrée en vigueur en 2007. L'année précédant l'introduction de la LTF, le volume des affaires du Tribunal fédéral était inférieur de près de 10% par rapport à aujourd'hui. On ne saurait donc encore parler de la décharge recherchée avec la LTF. Une révision partielle de la LTF, par laquelle la position constitutionnelle du Tribunal fédéral doit être renforcée, est actuellement pendante. Les travaux menés dans le cadre du projet de loi ont pris du retard. La Cheffe du DFJP a annoncé le Message du Conseil fédéral pour l'été 2018. S'écartant de l'avis du Tribunal fédéral, le Conseil fédéral a décidé, dans le cadre de la révision partielle, de maintenir le recours constitutionnel subsidiaire. L'Office fédéral de la justice s'est vu confier le mandat de remanier le projet de sorte que le Tribunal fédéral ne soit pas confronté à une importante charge additionnelle de travail. Ce dernier considère que toute charge supplémentaire n'est plus gérable. Au contraire, une décharge significative du Tribunal fédéral devient toujours plus urgente pour assurer la qualité de la justice. Durant l'exercice écoulé, huit cours suprêmes cantonales et le Tribunal fédéral ont signé le contrat de collaboration dans le cadre du projet national Justitia 4.0. Ce projet vise l'introduction pour la justice dans toute la Suisse du dossier judiciaire électronique ainsi que d'une obligation de communiquer par voie électronique pour les autorités et les utilisateurs professionnels. Au sein du Tribunal fédéral, le projet eDossier de digitalisation complète des dossiers judiciaires est en cours. En 2017, une délégation du Tribunal fédéral a rencontré des représentants de la Cour européenne des droits de l'homme (CourEDH). Lors de cette rencontre, les discussions ont porté sur les effets de certaines décisions de la CourEDH sur l'ordre juridique suisse. Durant l'année passée sous revue, la CourEDH a rendu 263 décisions concernant la Suisse. Durant la même période, dix arrêts concernant notre pays ont été rendus; dans quatre cas, la CourEDH a constaté une violation de la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH) par la Suisse.
Losanna, 19 marzo 2018 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Comunicato stampa congiunto del Tribunale federale, del Tribunale penale federale, del Tribunale amministrativo federale e del Tribunale federale dei brevetti in relazione ai rapporti di gestione 2017 Rapporti di gestione dei tribunali della Confederazione Il Tribunale federale, il Tribunale penale federale, il Tribunale amministrativo federale e il Tribunale federale dei brevetti hanno presentato in data odierna i rispettivi rapporti di gestione relativi all'anno 2017 nell'ambito di una conferenza stampa congiunta. Nell’anno in rassegna il volume degli affari trattati dal Tribunale federale ha raggiunto un nuovo record assoluto. Il numero dei casi evasi è rimasto più o meno uguale. Al Tribunale penale federale , l'andamento del carico di lavoro della Corte penale e i casi evasi sono aumentati. Nella Corte dei reclami penali rispetto all'anno precedente le entrate sono ugualmente aumentate e hanno di nuovo raggiunto il massimo degli anni precedenti. Il numero dei nuovi ricorsi presentati nel 2017 dinanzi al Tribunale amministrativo federale è rimasto ancora molto alto. L'anno scorso la mole di lavoro in seno al Tribunale federale dei brevetti è nuovamente aumentata. Alla fine del primo periodo di carica, tutte le procedure sono perfettamente collaudate ed esso svolge la propria funzione senza difficoltà. Per maggiori dettagli si rinvia ai comunicati stampa dei singoli tribunali allegati alla presente. Comunicato stampa del Tribunale federale sul proprio rapporto di gestione 2017 Nell'anno in rassegna sono stati registrati 8029 nuovi ricorsi (anno precedente 7743), ciò che equivale ad un aumento di 286 casi o del 3,7% rispetto al 2016. Nello stesso periodo, il Tribunale federale ha evaso 7782 casi (anno precedente 7811). Il 13,4% dei ricorsi trattati sono stati accolti. Una deliberazione pubblica ha avuto luogo in 70 casi (anno precedente 78). 3004 casi (anno precedente 2748) sono stati riportati all'anno successivo. Nel complesso, il tribunale è riuscito a venire a capo del volume degli affari entro termini ragionevoli; la durata media dei procedimenti è stata di 144 giorni (anno precedente 140). Nel 2017, i casi in entrata hanno raggiunto un nuovo record, soprattutto nella Corte di diritto penale, nella Seconda Corte di diritto civile e nelle due Corti di diritto pubblico. Nel 2007 entrava in vigore la legge sul Tribunale federale (LTF) con l'obiettivo di sgravare il Tribunale federale. Nell'anno precedente l'entrata in vigore della LTF, la mole di lavoro del Tribunale federale era inferiore del 10% circa rispetto ad oggi. Non si può quindi tuttora parlare di un alleggerimento del carico di lavoro. Una revisione parziale della LTF, intesa a rafforzare il ruolo costituzionale del Tribunale federale, è attualmente in corso. I lavori relativi al progetto di legge hanno subito dei ritardi. Il capo del DFGP ha annunciato che il messaggio del Consiglio federale sarà pronto per l’estate 2018. Nell'ambito della revisione parziale, il Consiglio federale ha deciso, scostandosi dal parere del Tribunale federale, di mantenere il ricorso sussidiario in materia costituzionale. L’Ufficio federale di giustizia è stato incaricato di rielaborare la proposta di revisione in modo tale che il Tribunale federale non debba sostenere un considerevole carico supplementare di lavoro. Il Tribunale federale ritiene che qualsiasi carico supplementare non sarebbe più gestibile e che diventi invece sempre più urgente alleggerire in modo netto il suo carico di lavoro al fine di garantire la qualità dell’amministrazione della giustizia. Nell’anno in rassegna otto corti supreme cantonali e il Tribunale federale hanno firmato il contratto di collaborazione relativo al progetto nazionale Justitia 4.0, finalizzato a introdurre in Svizzera l’incarto giudiziario elettronico e l’obbligo di comunicazione elettronica per le autorità e gli utenti professionisti. In seno al Tribunale federale è in corso il progetto eDossier rivolto alla completa digitalizzazione degli incarti del tribunale. Una delegazione del Tribunale federale ha incontrato nel 2017 dei rappresentanti della Corte europea dei diritti dell’uomo (CEDU). Durante l’incontro sono state discusse le ripercussioni di alcune sentenze della CEDU sul sistema giuridico svizzero. Nell’anno in esame la CEDU ha reso 263 decisioni concernenti la Svizzera. La Corte ha pronunciato dieci sentenze e in quattro casi constatato una violazione della Convenzione europea dei diritti dell'uomo da parte della Svizzera.
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11.5.2_9.2_2018_yyyy_mm_dd_T_{lang}
Lausanne, 19. März 2018 Medienmitteilung des Bundesgerichts Gemeinsame Medienmitteilung des Bundesgerichts, des Bundesstrafgerichts, des Bundesverwaltungsgerichts und des Bundespatentgerichts zu den Geschäftsberichten 2017 Geschäftsberichte der eidgenössischen Gerichte Das Bundesgericht, das Bundesverwaltungsgericht Tribunal administratif fédéral Tribunale amministrativo federale Tribunal administrativ federalBundesstrafgericht Tribunal pénal fédéral Tribunale penale federale Tribunal penal federalBundesgericht Tribunal fédéral Tribunale federale Tribunal federal Pressemitteilung des Bundesgerichts zu seinem Geschäftsbericht 2017 Im Berichtsjahr gingen beim Bundesgericht 8029 neue Beschwerden ein (Vorjahr 7743), was gegenüber 2016 eine Zunahme um 286 Fälle oder 3,7% bedeutet. Erledigt hat das Bundesgericht im gleichen Zeitraum 7782 Fälle (Vorjahr 7811). 13,4% der Beschwerden wurden gutgeheissen. In 70 Verfahren fand eine öffentliche Urteilsberatung statt (Vorjahr 78). 3004 Fälle (Vorjahr 2748) wurden auf das Folgejahr übertragen. Das Gericht konnte die Geschäftslast insgesamt innert angemessener Frist bewältigen; die durchschnittliche Prozessdauer betrug 144 Tage (Vorjahr 140). Die Eingänge des Jahres 2017 erreichten einen neuen, absoluten Höchststand. Besonders hoch war die Zahl der eingereichten Beschwerden in der Strafrechtlichen Abteilung, in der Zweiten zivilrechtlichen Abteilung sowie in den beiden öffentlich-rechtlichen Abteilungen. 2007 war das Bundesgerichtsgesetz (BGG) in Kraft getreten, mit dem eine Entlastung des Bundesgerichts bezweckt wurde. Im Jahr vor der Einführung des BGG hatte die Geschäftslast des Bundesgerichts rund 10% tiefer gelegen als heute. Von der mit dem BGG angestrebten Entlastung kann somit nach wie vor nicht gesprochen werden. Gegenwärtig ist eine Teilrevision des BGG hängig, mit der die verfassungsrechtliche Stellung des Bundesgerichts gestärkt werden soll. Die Arbeiten an der Vorlage verzögerten sich. Die Vorsteherin des EJPD stellte die Botschaft des Bundesrates für den Sommer 2018 in Aussicht. Entgegen der Auffassung des Bundesgerichts beschloss der Bundesrat, im Rahmen der Teilrevision an der subsidiären Verfassungsbeschwerde festzuhalten. Das Bundesamt für Justiz wurde beauftragt, die Vorlage so zu überarbeiten, dass nicht mit einer erheblichen Mehrbelastung des Bundesgerichts zu rechnen ist. Dieses erachtet jegliche Mehrbelastung nicht mehr als vertretbar. Vielmehr wird eine markante Entlastung des Bundesgerichts immer vordringlicher, um die Qualität der Rechtspflege zu sichern. Im Berichtsjahr haben acht kantonale Obergerichte und das Bundesgericht den Vertrag zur Zusammenarbeit beim landesweiten Projekt Justitia 4.0 unterzeichnet. Das Projekt bezweckt für die Justiz in der ganzen Schweiz die Einführung des elektronischen Gerichtsdossiers sowie des obligatorischen elektronischen Rechtsverkehrs für Behörden und professionelle Anwender. Bundesgerichtsintern läuft das Projekt eDossier zur vollständigen Digitalisierung der Gerichtsdossiers. Eine Delegation des Bundesgerichts hat 2017 eine Abordnung des Europäischen Gerichtshofs für Menschenrechte (EGMR) getroffen. Dabei wurden die Auswirkungen gewisser Urteile des EGMR auf die schweizerische Rechtsordnung erörtert. Der EGMR fällte im Berichtsjahr 263 Entscheidungen betreffend die Schweiz. Es ergingen zehn Urteile, wobei der EGMR in vier Fällen eine Verletzung der Europäischen Menschenrechtskonvention (EMRK) durch die Schweiz feststellte.
Lausanne, le 19 mars 2018 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Communiqué aux médias commun du Tribunal fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal administratif fédéral et du Tribunal fédéral des brevets relatif aux rapports de gestion 2017 Rapports de gestion des tribunaux de la Confédération Le Tribunal fédéral, le Tribunal pénal fédéral, le Tribunal administratif fédéral et le Tribunal fédéral des brevets ont présenté lundi leurs rapports de gestion pour l'année 2017 lors d'une conférence de presse commune. Durant l'exercice écoulé, le volume des affaires du Tribunal fédéral a atteint un nouveau niveau record absolu. Le nombre des affaires tranchées est resté à peu près égal. Au Tribunal pénal fédéral , la charge de travail de la Cour des affaires pénales et le nombre d'affaires liquidées ont augmenté. S'agissant de la Cour des plaintes, les entrées ont également augmenté par rapport à l'année précédente et ont de nouveau atteint les maxima des années antérieures. Le nombre de nouveaux recours soumis au Tribunal administratif fédéral est resté encore très élevé en 2017. Durant l'année écoulée, le volume des affaires a une fois de plus augmenté au sein du Tribunal fédéral des brevets . A la fin de la première période de fonction, toutes les procédures sont parfaitement rodées et le tribunal fonctionne sans problème. Vous trouverez davantage de détails sur les rapports de gestion dans les communiqués de presse de chacun des tribunaux. Communiqué de presse du Tribunal fédéral relatif à son rapport de gestion 2017 Durant l'année écoulée, 8029 nouvelles affaires ont été introduites devant le Tribunal fédéral (année précédente: 7743), ce qui représente une augmentation de 286 cas ou 3,7% par rapport à 2016. Durant la même période, le Tribunal fédéral a tranché 7782 affaires (année précédente: 7811). 13,4% des recours ont été admis. Une délibération publique a eu lieu dans 70 procédures (année précédente: 78). 3004 cas (année précédente: 2748) ont été reportés à l'année suivante. Le tribunal est arrivé dans l'ensemble à maîtriser le volume des affaires en statuant dans un délai raisonnable; la durée moyenne de procédure était de 144 jours (année précédente: 140). Les affaires introduites en 2017 ont atteint un nouveau niveau record. Le nombre de recours introduits devant la Cour de droit pénal, la Deuxième Cour de droit civil et les deux Cours de droit public a été particulièrement élevé. La loi sur le Tribunal fédéral (LTF), dont le but était de décharger le Tribunal fédéral, est entrée en vigueur en 2007. L'année précédant l'introduction de la LTF, le volume des affaires du Tribunal fédéral était inférieur de près de 10% par rapport à aujourd'hui. On ne saurait donc encore parler de la décharge recherchée avec la LTF. Une révision partielle de la LTF, par laquelle la position constitutionnelle du Tribunal fédéral doit être renforcée, est actuellement pendante. Les travaux menés dans le cadre du projet de loi ont pris du retard. La Cheffe du DFJP a annoncé le Message du Conseil fédéral pour l'été 2018. S'écartant de l'avis du Tribunal fédéral, le Conseil fédéral a décidé, dans le cadre de la révision partielle, de maintenir le recours constitutionnel subsidiaire. L'Office fédéral de la justice s'est vu confier le mandat de remanier le projet de sorte que le Tribunal fédéral ne soit pas confronté à une importante charge additionnelle de travail. Ce dernier considère que toute charge supplémentaire n'est plus gérable. Au contraire, une décharge significative du Tribunal fédéral devient toujours plus urgente pour assurer la qualité de la justice. Durant l'exercice écoulé, huit cours suprêmes cantonales et le Tribunal fédéral ont signé le contrat de collaboration dans le cadre du projet national Justitia 4.0. Ce projet vise l'introduction pour la justice dans toute la Suisse du dossier judiciaire électronique ainsi que d'une obligation de communiquer par voie électronique pour les autorités et les utilisateurs professionnels. Au sein du Tribunal fédéral, le projet eDossier de digitalisation complète des dossiers judiciaires est en cours. En 2017, une délégation du Tribunal fédéral a rencontré des représentants de la Cour européenne des droits de l'homme (CourEDH). Lors de cette rencontre, les discussions ont porté sur les effets de certaines décisions de la CourEDH sur l'ordre juridique suisse. Durant l'année passée sous revue, la CourEDH a rendu 263 décisions concernant la Suisse. Durant la même période, dix arrêts concernant notre pays ont été rendus; dans quatre cas, la CourEDH a constaté une violation de la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH) par la Suisse.
Losanna, 19 marzo 2018 Comunicato stampa del Tribunale federale Comunicato stampa congiunto del Tribunale federale, del Tribunale penale federale, del Tribunale amministrativo federale e del Tribunale federale dei brevetti in relazione ai rapporti di gestione 2017 Rapporti di gestione dei tribunali della Confederazione Il Tribunale federale, il Tribunale penale federale, il Tribunale amministrativo federale e il Tribunale federale dei brevetti hanno presentato in data odierna i rispettivi rapporti di gestione relativi all'anno 2017 nell'ambito di una conferenza stampa congiunta. Nell’anno in rassegna il volume degli affari trattati dal Tribunale federale ha raggiunto un nuovo record assoluto. Il numero dei casi evasi è rimasto più o meno uguale. Al Tribunale penale federale , l'andamento del carico di lavoro della Corte penale e i casi evasi sono aumentati. Nella Corte dei reclami penali rispetto all'anno precedente le entrate sono ugualmente aumentate e hanno di nuovo raggiunto il massimo degli anni precedenti. Il numero dei nuovi ricorsi presentati nel 2017 dinanzi al Tribunale amministrativo federale è rimasto ancora molto alto. L'anno scorso la mole di lavoro in seno al Tribunale federale dei brevetti è nuovamente aumentata. Alla fine del primo periodo di carica, tutte le procedure sono perfettamente collaudate ed esso svolge la propria funzione senza difficoltà. Per maggiori dettagli si rinvia ai comunicati stampa dei singoli tribunali allegati alla presente. Comunicato stampa del Tribunale federale sul proprio rapporto di gestione 2017 Nell'anno in rassegna sono stati registrati 8029 nuovi ricorsi (anno precedente 7743), ciò che equivale ad un aumento di 286 casi o del 3,7% rispetto al 2016. Nello stesso periodo, il Tribunale federale ha evaso 7782 casi (anno precedente 7811). Il 13,4% dei ricorsi trattati sono stati accolti. Una deliberazione pubblica ha avuto luogo in 70 casi (anno precedente 78). 3004 casi (anno precedente 2748) sono stati riportati all'anno successivo. Nel complesso, il tribunale è riuscito a venire a capo del volume degli affari entro termini ragionevoli; la durata media dei procedimenti è stata di 144 giorni (anno precedente 140). Nel 2017, i casi in entrata hanno raggiunto un nuovo record, soprattutto nella Corte di diritto penale, nella Seconda Corte di diritto civile e nelle due Corti di diritto pubblico. Nel 2007 entrava in vigore la legge sul Tribunale federale (LTF) con l'obiettivo di sgravare il Tribunale federale. Nell'anno precedente l'entrata in vigore della LTF, la mole di lavoro del Tribunale federale era inferiore del 10% circa rispetto ad oggi. Non si può quindi tuttora parlare di un alleggerimento del carico di lavoro. Una revisione parziale della LTF, intesa a rafforzare il ruolo costituzionale del Tribunale federale, è attualmente in corso. I lavori relativi al progetto di legge hanno subito dei ritardi. Il capo del DFGP ha annunciato che il messaggio del Consiglio federale sarà pronto per l’estate 2018. Nell'ambito della revisione parziale, il Consiglio federale ha deciso, scostandosi dal parere del Tribunale federale, di mantenere il ricorso sussidiario in materia costituzionale. L’Ufficio federale di giustizia è stato incaricato di rielaborare la proposta di revisione in modo tale che il Tribunale federale non debba sostenere un considerevole carico supplementare di lavoro. Il Tribunale federale ritiene che qualsiasi carico supplementare non sarebbe più gestibile e che diventi invece sempre più urgente alleggerire in modo netto il suo carico di lavoro al fine di garantire la qualità dell’amministrazione della giustizia. Nell’anno in rassegna otto corti supreme cantonali e il Tribunale federale hanno firmato il contratto di collaborazione relativo al progetto nazionale Justitia 4.0, finalizzato a introdurre in Svizzera l’incarto giudiziario elettronico e l’obbligo di comunicazione elettronica per le autorità e gli utenti professionisti. In seno al Tribunale federale è in corso il progetto eDossier rivolto alla completa digitalizzazione degli incarti del tribunale. Una delegazione del Tribunale federale ha incontrato nel 2017 dei rappresentanti della Corte europea dei diritti dell’uomo (CEDU). Durante l’incontro sono state discusse le ripercussioni di alcune sentenze della CEDU sul sistema giuridico svizzero. Nell’anno in esame la CEDU ha reso 263 decisioni concernenti la Svizzera. La Corte ha pronunciato dieci sentenze e in quattro casi constatato una violazione della Convenzione europea dei diritti dell'uomo da parte della Svizzera.
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11.5.2_9.2_2019_yyyy_mm_dd_J_{lang}
Lausanne, 18. März 2019 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Gemeinsame Medienmitteilung des Bundesgerichts, des Bundesstrafgerichts, des Bundesverwaltungsgerichts und des Bundespatentgerichts zu den Geschäftsberichten 2018 Geschäftsberichte der eidgenössischen Gerichte Am Montag haben das Bundesgericht, das Bundesverwaltungsgericht Tribunal administratif fédéral Tribunale amministrativo federale Tribunal administrativ federalBundesstrafgericht Tribunal pénal fédéral Tribunale penale federale Tribunal penal federalBundesgericht Tribunal fédéral Tribunale federale Tribunal federal Pressemitteilung des Bundesgerichts zu seinem Geschäftsbericht 2018 Im Berichtsjahr gingen beim Bundesgericht 7795 neue Beschwerden ein (Vorjahr 8033). Erledigt hat das Bundesgericht im gleichen Zeitraum 8040 Fälle (Vorjahr 7782), was einen neuen Rekordwert bedeutet. 14,5% der Beschwerden wurden gutgeheissen. In 48 Verfahren fand eine öffentliche Urteilsberatung statt (Vorjahr 70). 2761 Fälle (Vorjahr 3006) wurden auf das Folgejahr übertragen. Die durchschnittliche Prozessdauer betrug 145 Tage (Vorjahr 144). Angesichts der weiterhin hohen Eingangszahl kann nach wie vor nicht davon gesprochen werden, dass die 2007 mit der Einführung des Bundesgerichtsgesetzes (BGG) angestrebte Entlastung erreicht worden wäre. Im Berichtsjahr erschien die bundesrätliche Botschaft zur Änderung des BGG. Der Bundesrat hat entgegen der Auffassung des Bundesgerichts entschieden, an der subsidiären Verfassungsbeschwerde festzuhalten. Die Revision des BGG bleibt für das Bundesgericht angesichts seiner Geschäftszahlen eine rechtsstaatliche Notwendigkeit. Sollte es allerdings nicht gelingen, die subsidiäre Verfassungsbeschwerde aus der Vorlage zu entfernen, so lehnt das Bundesgericht die Vorlage insgesamt ab. Das Berichtsjahr brachte die Einigung über die Leitungsstrukturen für das landesweite Projekt Justitia 4.0. Das Projekt bezweckt für die Justiz in der Schweiz die Einführung des elektronischen Gerichtsdossiers sowie des obligatorischen elektronischen Rechtsverkehrs für professionelle Anwender. Projektpartner sind das Bundesgericht, kantonale Gerichte, der Schweizerische Anwaltsverband, die Konferenz der Kantonalen Justizund Polizeidirektorinnen und -direktoren, kantonale Staatsanwaltschaften, die Bundesanwaltschaft sowie das Bundesamt für Justiz. Mittlerweile haben 14 Kantone (Stand Mitte Februar 2019; 12 Kantone Ende 2018), die mehr als 80% der Bevölkerung ausmachen, den Zusammenarbeitsvertrag mit dem Bundesgericht unterzeichnet. Die Plenarversammlung der Bundesrichterinnen und Bundesrichter verabschiedete 2018 die schriftliche Form ihrer schon bisher befolgten Gepflogenheiten in der Ausübung des Amtes, der Gewährleistung ihrer Unabhängigkeit und zum Verhalten in der Öffentlichkeit. Damit wird auch einer Forderung der GRECO (Groupe d'États contre la corruption) von 2016 Rechnung getragen. Das Bundesgericht führte bei Rechtsanwältinnen und Rechtsanwälten erstmals eine Zufriedenheitsumfrage über die Leistungen des Bundesgerichts durch. Die Umfrage ergab einen generellen Zufriedenheitsgrad von 82%, womit das Ziel leicht übertroffen wurde. Am 9. Februar 2018 lösten sich aus einer Wand im Bundesgerichtsgebäude in Lausanne zwei Kalksteinplatten von je 80 kg und zerschellten am Boden. Zur Wahrung der Sicherheit und für die nötigen Abklärungen musste im Innern des Gebäudes der gesamte Öffentlichkeitsbereich eingerüstet werden. Die Nutzung des Gebäudes wird dadurch wesentlich beeinträchtigt. Die technischen Abklärungen des Bundesamtes für Bauten und Logistik zur Schadensbehebung konnten bis Ende 2018 nicht abgeschlossen werden. Die Baugerüste werden gemäss heutigem Wissensstand noch bis mindestens Ende 2019 stehen bleiben. Der Europäische Gerichtshof für Menschenrechte (EGMR) fällte im Berichtsjahr 265 Entscheidungen betreffend die Schweiz. Es ergingen sieben Urteile, wobei der EGMR in vier Fällen eine Verletzung der Europäischen Menschenrechtskonvention (EMRK) durch die Schweiz feststellte.
Lausanne, le 18 mars 2019 Pas d'embargo Communiqué de presse du Tribunal fédéral Communiqué de presse commun du Tribunal fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal administratif fédéral et du Tribunal fédéral des brevets relatif aux rapports de gestion 2018 Rapports de gestion des tribunaux de la Confédération Le Tribunal fédéral, le Tribunal pénal fédéral, le Tribunal administratif fédéral et le Tribunal fédéral des brevets ont présenté lundi à Lausanne leurs rapports de gestion pour l'année 2018 lors d'une conférence de presse commune. Au Tribunal fédéral, presque autant de nouvelles affaires ont été introduites que l'année précédente, lorsque leur plus haut niveau avait été atteint. Le nombre d'affaires tranchées a grimpé à un niveau record. La charge de travail de la Cour des affaires pénales du Tribunal pénal fédéral s'est maintenue à un niveau élevé; au sein de la Cour des plaintes, elle a légèrement régressé. Différents travaux ont été réalisés en vue du début d'activité de la nouvelle Cour d'appel au début de l'année 2019. Le nombre de nouvelles affaires introduites au Tribunal administratif fédéral se situe à un niveau élevé semblable à celui de 2017. Le taux de liquidation a nettement augmenté, ce qui a permis au Tribunal de continuer à réduire le nombre d'affaires pendantes. Le volume des affaires a légèrement baissé durant l'année écoulée au sein du Tribunal fédéral des brevets. Les recettes provenant des émoluments judiciaires ont atteint un niveau record, ce qui a amélioré le taux de couverture malgré des dépenses plus élevées. Vous trouverez davantage de détails sur les rapports de gestion dans les communiqués de presse de chacun des tribunaux. Communiqué de presse du Tribunal fédéral relatif à son rapport de gestion 2018 Durant l'année écoulée, 7795 nouvelles affaires ont été introduites devant le Tribunal fédéral (année précédente: 8033). Durant la même période, le Tribunal fédéral a tranché 8040 (année précédente 7782), ce qui constitue un nouveau record. 14,5% des recours ont été admis. Une délibération publique a eu lieu dans 48 procédures (année précédente: 70). 2761 cas (année précédente: 3006) ont été reportés à l'année suivante. La durée moyenne de procédure était de 145 jours (année précédente: 144). Etant donné le nombre encore élevé d'affaires introduites, on ne peut toujours pas dire que la décharge recherchée en 2007 avec l'introduction de la loi sur le Tribunal fédéral (LTF) a été atteinte. Durant l'exercice écoulé, le Conseil fédéral a publié le Message relatif à la modification de la loi sur le Tribunal fédéral. Il a, contrairement à l'avis du Tribunal fédéral, décidé de maintenir le recours constitutionnel subsidiaire. Au vu des chiffres de son rapport annuel, la révision de la LTF demeure une nécessité pour le Tribunal fédéral pour garantir l'Etat de droit. Si le recours constitutionnel subsidiaire ne devait toutefois pas être retiré du projet, le Tribunal fédéral rejetterait alors le projet dans son entier. L'exercice écoulé a conduit à un accord concernant les structures de direction du projet national Justitia 4.0. Le projet a pour but l'introduction du dossier judiciaire électronique ainsi que l'obligation de communiquer par voie électronique pour les utilisateurs professionnels au sein de la justice en Suisse. Les partenaires du projet sont le Tribunal fédéral, les tribunaux cantonaux, la Fédération Suisse des Avocats, la Conférence des directrices et directeurs des départements cantonaux de justice et police, les ministères publics cantonaux, le Ministère public de la Confédération ainsi que l'Office fédéral de la justice. Désormais, 14 cantons (état mi-février 2019; fin 2018:12 cantons), qui représentent plus de 80% de la population, ont signé le contrat de collaboration avec le Tribunal fédéral. En 2018, les juges du Tribunal fédéral ont adopté en séance plénière la version écrite des usages auxquels ils se conformaient déjà et qui portent sur l'exercice de leur fonction, sur la garantie de leur indépendance ainsi que sur leur comportement en public. Par cet acte, le Tribunal fédéral a également tenu compte d'une exigence formulée en 2016 par le GRECO (Groupe d'États contre la corruption). Le Tribunal fédéral a pour la première fois mené une enquête de satisfaction auprès des avocats à propos des prestations du Tribunal fédéral. L'enquête a révélé un degré général de satisfaction de 82%; l'objectif a ainsi été légèrement dépassé. Le 9 février 2018, deux plaques de calcaire de 80 kg chacune se sont détachées d'un mur du bâtiment du Tribunal fédéral à Lausanne et se sont brisées au sol. Afin d'assurer la sécurité et permettre les examens nécessaires, il a fallu monter un échafaudage à l'intérieur du bâtiment dans tout l'espace public. L'utilisation du bâtiment en est entravée de manière substantielle. Les examens techniques de l'Office fédéral des constructions et de la logistique en vue de réparer les dégâts n'ont pas pu être achevés pour la fin de l'année 2018. Sur la base des connaissances actuelles, les échafaudages vont rester en place au moins jusqu'à fin 2019. Durant l'année passée sous revue, la Cour européenne des droits de l'homme (CourEDH) a rendu 265 décisions concernant la Suisse. Durant la même période, sept arrêts concernant notre pays ont été rendus; dans quatre cas, la CourEDH a constaté une violation de la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH) par la Suisse.
Losanna, 18 marzo 2019 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale Comunicato stampa congiunto del Tribunale federale, del Tribunale penale federale, del Tribunale amministrativo federale e del Tribunale federale dei brevetti in relazione ai rapporti di gestione 2018 Rapporti di gestione dei tribunali della Confederazione Il Tribunale federale, il Tribunale penale federale, il Tribunale amministrativo federale e il Tribunale federale dei brevetti hanno presentato in data odierna a Losanna i rispettivi rapporti di gestione relativi all'anno 2018 nell'ambito di una conferenza stampa congiunta. Il numero dei casi in entrata presso il Tribunale federale è rimasto praticamente invariato rispetto all'anno precedente, quando è stato raggiunto un massimo assoluto. Il numero dei casi evasi ha raggiunto un livello record. Il carico di lavoro della Corte penale del Tribunale penale federale è rimasto elevato, mentre quello della Corte dei reclami penali è leggermente diminuito. Sono stati effettuati vari lavori in vista dell'avvio dell'attività della nuova Corte d'appello all'inizio del 2019. Il numero dei nuovi ricorsi presentati dinanzi al Tribunale amministrativo federale si attesta ad un livello elevato, simile a quello del 2017. Il numero dei casi evasi è notevolmento aumentato, consentendo al tribunale di continuare a ridurre il numero dei casi pendenti. L'anno scorso la mole di lavoro in seno al Tribunale federale dei brevetti è leggermente diminuita. Le entrate derivanti dalle tasse di giustizia hanno raggiunto un livello record, migliorando il tasso di copertura nonostante le maggiori spese. Per ulteriori dettagli si rinvia ai comunicati stampa dei singoli tribunali allegati alla presente. Comunicato stampa del Tribunale federale sul proprio rapporto di gestione 2018 Nell'anno in rassegna il Tribunale federale ha registrato 7795 casi in entrata (anno precedente: 8033). Nello stesso periodo, il Tribunale federale ha evaso 8040 affari (anno precedente: 7782), il che rappresenta un nuovo record. Il 14,5% dei ricorsi sono stati accolti. Una deliberazione pubblica ha avuto luogo in 48 casi (anno precedente: 70). 2761 casi (anno precedente: 3006 sono stati riportati all'anno successivo. La durata media dei procedimenti è stata di 145 giorni (anno precedente: 144). In considerazione del volume ancora elevato dei casi in entrata non si può tuttora affermare che l'alleggerimento del carico di lavoro richiesto nel 2007 con l'introduzione della legge sul Tribunale federale (LTF) sia stato raggiunto. Nell'anno in rassegna è stato pubblicato il Messaggio del Consiglio federale concernente la modifica della LTF. Scostandosi dal parere del Tribunale federale, il Consiglio federale ha deciso di mantenere il ricorso sussidiario in materia costituzionale. Considerato il volume di affari del Tribunale federale, la revisione della LTF resta una necessità propria di uno Stato di diritto. Se il ricorso sussidiario in materia costituzionale non venisse cancellato dal progetto, il Tribunale federale rifiuterebbe il progetto nel suo insieme. Nell'anno in esame è stato raggiunto un accordo sulle strutture di gestione del progetto nazionale Justitia 4.0. L'obiettivo del progetto è di introdurre nel quadro della giustizia svizzera l’incarto giudiziario elettronico e l'obbligo di comunicazione elettronica per gli utenti professionali. I partner del progetto sono il Tribunale federale, i tribunali cantonali, la Federazione svizzera degli avvocati, la Conferenza delle direttrici e dei direttori dei dipartimenti cantonali di giustizia e polizia, i ministeri pubblici cantonali, il Ministero pubblico della Confederazione e l'Ufficio federale di giustizia. Nel frattempo, 14 Cantoni, (situazione a metà febbraio 2019; 12 cantoni a fine 2018) pari a oltre l'80% della popolazione, hanno firmato l'accordo di collaborazione con il Tribunale federale. Nel 2018, i giudici del Tribunale federale hanno adottato in seduta plenaria la versione scritta delle consuetudini seguite fino a quel momento nell'esercitare la loro funzione, nel garantire la loro indipendenza e nel presentarsi in pubblico. Ciò tiene anche conto di una richiesta del GRECO (Groupe d'États contre la corruption) avanzata nel 2016. Il Tribunale federale ha condotto per la prima volta un sondaggio tra gli avvocati per valutare la loro soddisfazione nei confronti delle prestazioni del Tribunale federale. Dal sondaggio è emerso un grado di soddisfazione dell'82%, leggermente superiore all'obiettivo. Il 9 febbraio 2018, due lastre di pietra calcarea di 80 kg ciascuna si sono staccate dall'ancoraggio di un muro dell'edificio del Tribunale federale schiantandosi a terra. Al fine di garantire la sicurezza e procedere ai necessari chiarimenti, è stata montata un'impalcatura all'interno dell'edificio nell'area aperta al pubblico. L'utilizzo dell'edificio ne risulta notevolmente compromesso. L'esame tecnico dell’Ufficio federale delle costruzioni e della logistica per la riparazione dei danni non ha potuto essere completato entro la fine del 2018. In base alle informazioni a disposizione, l'impalcatura verrà mantenuta almeno fino alla fine del 2019. Nell'anno in esame la Corte europea dei diritti dell'uomo (CorteEDU) ha reso 265 decisioni concernenti la Svizzera. La CorteEDU ha pronunciato sette sentenze e in quattro casi constatato una violazione della Convenzione europea dei diritti dell'uomo (CEDU) da parte della Svizzera.
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11.5.2_9.2_2019_yyyy_mm_dd_T_{lang}
Lausanne, 18. März 2019 Medienmitteilung des Bundesgerichts Gemeinsame Medienmitteilung des Bundesgerichts, des Bundesstrafgerichts, des Bundesverwaltungsgerichts und des Bundespatentgerichts zu den Geschäftsberichten 2018 Geschäftsberichte der eidgenössischen Gerichte Am Montag haben das Bundesgericht, das Bundesverwaltungsgericht Tribunal administratif fédéral Tribunale amministrativo federale Tribunal administrativ federalBundesstrafgericht Tribunal pénal fédéral Tribunale penale federale Tribunal penal federalBundesgericht Tribunal fédéral Tribunale federale Tribunal federal Pressemitteilung des Bundesgerichts zu seinem Geschäftsbericht 2018 Im Berichtsjahr gingen beim Bundesgericht 7795 neue Beschwerden ein (Vorjahr 8033). Erledigt hat das Bundesgericht im gleichen Zeitraum 8040 Fälle (Vorjahr 7782), was einen neuen Rekordwert bedeutet. 14,5% der Beschwerden wurden gutgeheissen. In 48 Verfahren fand eine öffentliche Urteilsberatung statt (Vorjahr 70). 2761 Fälle (Vorjahr 3006) wurden auf das Folgejahr übertragen. Die durchschnittliche Prozessdauer betrug 145 Tage (Vorjahr 144). Angesichts der weiterhin hohen Eingangszahl kann nach wie vor nicht davon gesprochen werden, dass die 2007 mit der Einführung des Bundesgerichtsgesetzes (BGG) angestrebte Entlastung erreicht worden wäre. Im Berichtsjahr erschien die bundesrätliche Botschaft zur Änderung des BGG. Der Bundesrat hat entgegen der Auffassung des Bundesgerichts entschieden, an der subsidiären Verfassungsbeschwerde festzuhalten. Die Revision des BGG bleibt für das Bundesgericht angesichts seiner Geschäftszahlen eine rechtsstaatliche Notwendigkeit. Sollte es allerdings nicht gelingen, die subsidiäre Verfassungsbeschwerde aus der Vorlage zu entfernen, so lehnt das Bundesgericht die Vorlage insgesamt ab. Das Berichtsjahr brachte die Einigung über die Leitungsstrukturen für das landesweite Projekt Justitia 4.0. Das Projekt bezweckt für die Justiz in der Schweiz die Einführung des elektronischen Gerichtsdossiers sowie des obligatorischen elektronischen Rechtsverkehrs für professionelle Anwender. Projektpartner sind das Bundesgericht, kantonale Gerichte, der Schweizerische Anwaltsverband, die Konferenz der Kantonalen Justizund Polizeidirektorinnen und -direktoren, kantonale Staatsanwaltschaften, die Bundesanwaltschaft sowie das Bundesamt für Justiz. Mittlerweile haben 14 Kantone (Stand Mitte Februar 2019; 12 Kantone Ende 2018), die mehr als 80% der Bevölkerung ausmachen, den Zusammenarbeitsvertrag mit dem Bundesgericht unterzeichnet. Die Plenarversammlung der Bundesrichterinnen und Bundesrichter verabschiedete 2018 die schriftliche Form ihrer schon bisher befolgten Gepflogenheiten in der Ausübung des Amtes, der Gewährleistung ihrer Unabhängigkeit und zum Verhalten in der Öffentlichkeit. Damit wird auch einer Forderung der GRECO (Groupe d'États contre la corruption) von 2016 Rechnung getragen. Das Bundesgericht führte bei Rechtsanwältinnen und Rechtsanwälten erstmals eine Zufriedenheitsumfrage über die Leistungen des Bundesgerichts durch. Die Umfrage ergab einen generellen Zufriedenheitsgrad von 82%, womit das Ziel leicht übertroffen wurde. Am 9. Februar 2018 lösten sich aus einer Wand im Bundesgerichtsgebäude in Lausanne zwei Kalksteinplatten von je 80 kg und zerschellten am Boden. Zur Wahrung der Sicherheit und für die nötigen Abklärungen musste im Innern des Gebäudes der gesamte Öffentlichkeitsbereich eingerüstet werden. Die Nutzung des Gebäudes wird dadurch wesentlich beeinträchtigt. Die technischen Abklärungen des Bundesamtes für Bauten und Logistik zur Schadensbehebung konnten bis Ende 2018 nicht abgeschlossen werden. Die Baugerüste werden gemäss heutigem Wissensstand noch bis mindestens Ende 2019 stehen bleiben. Der Europäische Gerichtshof für Menschenrechte (EGMR) fällte im Berichtsjahr 265 Entscheidungen betreffend die Schweiz. Es ergingen sieben Urteile, wobei der EGMR in vier Fällen eine Verletzung der Europäischen Menschenrechtskonvention (EMRK) durch die Schweiz feststellte.
Lausanne, le 18 mars 2019 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Communiqué de presse commun du Tribunal fédéral, du Tribunal pénal fédéral, du Tribunal administratif fédéral et du Tribunal fédéral des brevets relatif aux rapports de gestion 2018 Rapports de gestion des tribunaux de la Confédération Le Tribunal fédéral, le Tribunal pénal fédéral, le Tribunal administratif fédéral et le Tribunal fédéral des brevets ont présenté lundi à Lausanne leurs rapports de gestion pour l'année 2018 lors d'une conférence de presse commune. Au Tribunal fédéral, presque autant de nouvelles affaires ont été introduites que l'année précédente, lorsque leur plus haut niveau avait été atteint. Le nombre d'affaires tranchées a grimpé à un niveau record. La charge de travail de la Cour des affaires pénales du Tribunal pénal fédéral s'est maintenue à un niveau élevé; au sein de la Cour des plaintes, elle a légèrement régressé. Différents travaux ont été réalisés en vue du début d'activité de la nouvelle Cour d'appel au début de l'année 2019. Le nombre de nouvelles affaires introduites au Tribunal administratif fédéral se situe à un niveau élevé semblable à celui de 2017. Le taux de liquidation a nettement augmenté, ce qui a permis au Tribunal de continuer à réduire le nombre d'affaires pendantes. Le volume des affaires a légèrement baissé durant l'année écoulée au sein du Tribunal fédéral des brevets. Les recettes provenant des émoluments judiciaires ont atteint un niveau record, ce qui a amélioré le taux de couverture malgré des dépenses plus élevées. Vous trouverez davantage de détails sur les rapports de gestion dans les communiqués de presse de chacun des tribunaux. Communiqué de presse du Tribunal fédéral relatif à son rapport de gestion 2018 Durant l'année écoulée, 7795 nouvelles affaires ont été introduites devant le Tribunal fédéral (année précédente: 8033). Durant la même période, le Tribunal fédéral a tranché 8040 (année précédente 7782), ce qui constitue un nouveau record. 14,5% des recours ont été admis. Une délibération publique a eu lieu dans 48 procédures (année précédente: 70). 2761 cas (année précédente: 3006) ont été reportés à l'année suivante. La durée moyenne de procédure était de 145 jours (année précédente: 144). Etant donné le nombre encore élevé d'affaires introduites, on ne peut toujours pas dire que la décharge recherchée en 2007 avec l'introduction de la loi sur le Tribunal fédéral (LTF) a été atteinte. Durant l'exercice écoulé, le Conseil fédéral a publié le Message relatif à la modification de la loi sur le Tribunal fédéral. Il a, contrairement à l'avis du Tribunal fédéral, décidé de maintenir le recours constitutionnel subsidiaire. Au vu des chiffres de son rapport annuel, la révision de la LTF demeure une nécessité pour le Tribunal fédéral pour garantir l'Etat de droit. Si le recours constitutionnel subsidiaire ne devait toutefois pas être retiré du projet, le Tribunal fédéral rejetterait alors le projet dans son entier. L'exercice écoulé a conduit à un accord concernant les structures de direction du projet national Justitia 4.0. Le projet a pour but l'introduction du dossier judiciaire électronique ainsi que l'obligation de communiquer par voie électronique pour les utilisateurs professionnels au sein de la justice en Suisse. Les partenaires du projet sont le Tribunal fédéral, les tribunaux cantonaux, la Fédération Suisse des Avocats, la Conférence des directrices et directeurs des départements cantonaux de justice et police, les ministères publics cantonaux, le Ministère public de la Confédération ainsi que l'Office fédéral de la justice. Désormais, 14 cantons (état mi-février 2019; fin 2018:12 cantons), qui représentent plus de 80% de la population, ont signé le contrat de collaboration avec le Tribunal fédéral. En 2018, les juges du Tribunal fédéral ont adopté en séance plénière la version écrite des usages auxquels ils se conformaient déjà et qui portent sur l'exercice de leur fonction, sur la garantie de leur indépendance ainsi que sur leur comportement en public. Par cet acte, le Tribunal fédéral a également tenu compte d'une exigence formulée en 2016 par le GRECO (Groupe d'États contre la corruption). Le Tribunal fédéral a pour la première fois mené une enquête de satisfaction auprès des avocats à propos des prestations du Tribunal fédéral. L'enquête a révélé un degré général de satisfaction de 82%; l'objectif a ainsi été légèrement dépassé. Le 9 février 2018, deux plaques de calcaire de 80 kg chacune se sont détachées d'un mur du bâtiment du Tribunal fédéral à Lausanne et se sont brisées au sol. Afin d'assurer la sécurité et permettre les examens nécessaires, il a fallu monter un échafaudage à l'intérieur du bâtiment dans tout l'espace public. L'utilisation du bâtiment en est entravée de manière substantielle. Les examens techniques de l'Office fédéral des constructions et de la logistique en vue de réparer les dégâts n'ont pas pu être achevés pour la fin de l'année 2018. Sur la base des connaissances actuelles, les échafaudages vont rester en place au moins jusqu'à fin 2019. Durant l'année passée sous revue, la Cour européenne des droits de l'homme (CourEDH) a rendu 265 décisions concernant la Suisse. Durant la même période, sept arrêts concernant notre pays ont été rendus; dans quatre cas, la CourEDH a constaté une violation de la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH) par la Suisse.
Losanna, 18 marzo 2019 Comunicato stampa del Tribunale federale Comunicato stampa congiunto del Tribunale federale, del Tribunale penale federale, del Tribunale amministrativo federale e del Tribunale federale dei brevetti in relazione ai rapporti di gestione 2018 Rapporti di gestione dei tribunali della Confederazione Il Tribunale federale, il Tribunale penale federale, il Tribunale amministrativo federale e il Tribunale federale dei brevetti hanno presentato in data odierna a Losanna i rispettivi rapporti di gestione relativi all'anno 2018 nell'ambito di una conferenza stampa congiunta. Il numero dei casi in entrata presso il Tribunale federale è rimasto praticamente invariato rispetto all'anno precedente, quando è stato raggiunto un massimo assoluto. Il numero dei casi evasi ha raggiunto un livello record. Il carico di lavoro della Corte penale del Tribunale penale federale è rimasto elevato, mentre quello della Corte dei reclami penali è leggermente diminuito. Sono stati effettuati vari lavori in vista dell'avvio dell'attività della nuova Corte d'appello all'inizio del 2019. Il numero dei nuovi ricorsi presentati dinanzi al Tribunale amministrativo federale si attesta ad un livello elevato, simile a quello del 2017. Il numero dei casi evasi è notevolmento aumentato, consentendo al tribunale di continuare a ridurre il numero dei casi pendenti. L'anno scorso la mole di lavoro in seno al Tribunale federale dei brevetti è leggermente diminuita. Le entrate derivanti dalle tasse di giustizia hanno raggiunto un livello record, migliorando il tasso di copertura nonostante le maggiori spese. Per ulteriori dettagli si rinvia ai comunicati stampa dei singoli tribunali allegati alla presente. Comunicato stampa del Tribunale federale sul proprio rapporto di gestione 2018 Nell'anno in rassegna il Tribunale federale ha registrato 7795 casi in entrata (anno precedente: 8033). Nello stesso periodo, il Tribunale federale ha evaso 8040 affari (anno precedente: 7782), il che rappresenta un nuovo record. Il 14,5% dei ricorsi sono stati accolti. Una deliberazione pubblica ha avuto luogo in 48 casi (anno precedente: 70). 2761 casi (anno precedente: 3006 sono stati riportati all'anno successivo. La durata media dei procedimenti è stata di 145 giorni (anno precedente: 144). In considerazione del volume ancora elevato dei casi in entrata non si può tuttora affermare che l'alleggerimento del carico di lavoro richiesto nel 2007 con l'introduzione della legge sul Tribunale federale (LTF) sia stato raggiunto. Nell'anno in rassegna è stato pubblicato il Messaggio del Consiglio federale concernente la modifica della LTF. Scostandosi dal parere del Tribunale federale, il Consiglio federale ha deciso di mantenere il ricorso sussidiario in materia costituzionale. Considerato il volume di affari del Tribunale federale, la revisione della LTF resta una necessità propria di uno Stato di diritto. Se il ricorso sussidiario in materia costituzionale non venisse cancellato dal progetto, il Tribunale federale rifiuterebbe il progetto nel suo insieme. Nell'anno in esame è stato raggiunto un accordo sulle strutture di gestione del progetto nazionale Justitia 4.0. L'obiettivo del progetto è di introdurre nel quadro della giustizia svizzera l’incarto giudiziario elettronico e l'obbligo di comunicazione elettronica per gli utenti professionali. I partner del progetto sono il Tribunale federale, i tribunali cantonali, la Federazione svizzera degli avvocati, la Conferenza delle direttrici e dei direttori dei dipartimenti cantonali di giustizia e polizia, i ministeri pubblici cantonali, il Ministero pubblico della Confederazione e l'Ufficio federale di giustizia. Nel frattempo, 14 Cantoni, (situazione a metà febbraio 2019; 12 cantoni a fine 2018) pari a oltre l'80% della popolazione, hanno firmato l'accordo di collaborazione con il Tribunale federale. Nel 2018, i giudici del Tribunale federale hanno adottato in seduta plenaria la versione scritta delle consuetudini seguite fino a quel momento nell'esercitare la loro funzione, nel garantire la loro indipendenza e nel presentarsi in pubblico. Ciò tiene anche conto di una richiesta del GRECO (Groupe d'États contre la corruption) avanzata nel 2016. Il Tribunale federale ha condotto per la prima volta un sondaggio tra gli avvocati per valutare la loro soddisfazione nei confronti delle prestazioni del Tribunale federale. Dal sondaggio è emerso un grado di soddisfazione dell'82%, leggermente superiore all'obiettivo. Il 9 febbraio 2018, due lastre di pietra calcarea di 80 kg ciascuna si sono staccate dall'ancoraggio di un muro dell'edificio del Tribunale federale schiantandosi a terra. Al fine di garantire la sicurezza e procedere ai necessari chiarimenti, è stata montata un'impalcatura all'interno dell'edificio nell'area aperta al pubblico. L'utilizzo dell'edificio ne risulta notevolmente compromesso. L'esame tecnico dell’Ufficio federale delle costruzioni e della logistica per la riparazione dei danni non ha potuto essere completato entro la fine del 2018. In base alle informazioni a disposizione, l'impalcatura verrà mantenuta almeno fino alla fine del 2019. Nell'anno in esame la Corte europea dei diritti dell'uomo (CorteEDU) ha reso 265 decisioni concernenti la Svizzera. La CorteEDU ha pronunciato sette sentenze e in quattro casi constatato una violazione della Convenzione europea dei diritti dell'uomo (CEDU) da parte della Svizzera.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 19. Juli 2019 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts "Gepflogenheiten der Richter und Richterinnen am Bundesgericht" Das Bundesgericht publiziert die kürzlich vom Gesamtgericht beschlossenen "Gepflogenheiten der Richter und Richterinnen am Bundesgericht". Mit dem Papier und seiner Veröffentlichung kommt das Bundesgericht auch einer Forderung der Gruppe "GRECO" (Groupe d’Etats contre la Corruption) nach. Die vom Europarat eingesetzte Gruppe "GRECO" hatte in ihrem Evaluationsbericht von 2017 die Empfehlung abgegeben, Standesregeln für die Richter der eidgenössischen Gerichte zu entwickeln und zu veröffentlichen. Eine von der Verwaltungskommission des Bundesgerichts einberufene Arbeitsgruppe bestehend aus neun Richterinnen und Richtern erarbeitete in der Folge einen Vorschlag. Im November 2018 nahm das Gesamtgericht gewisse Anpassungen vor und genehmigte das Papier anschliessend unter der Bezeichnung "Gepflogenheiten/Usages/Consuetudini". Die "Gepflogenheiten der Richter und Richterinnen am Bundesgericht" können im Internet mit diesem Link abgerufen werden oder unter www.bger.ch > Bundesgericht > Publikationen > Weitere Publikationen . Die "Gepflogenheiten" sind in die vier Teile "Bundesrichter und Bundesrichterinnen in der Ausübung ihres Amtes", "Bundesrichter und Bundesrichterinnen in der Gewährleistung ihrer Unabhängigkeit", "Bundesrichter und Bundesrichterinnen in der Öffentlichkeit" und "Fortentwicklung der Gepflogenheiten" gegliedert.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 19 juillet 2019 Pas d'embargo Communiqué de presse du Tribunal fédéral « Usages au sein du collège des juges au Tribunal fédéral » Le Tribunal fédéral publie les « Usages au sein du collège des juges au Tribunal fédéral » récemment approuvés par la Cour plénière. Par l'élaboration de ce document et sa publication, le Tribunal fédéral satisfait également la demande du groupe « GRECO » (Groupe d’Etats contre la Corruption). Dans son rapport d'évaluation de 2017, le groupe GRECO du Conseil de l'Europe avait recommandé de développer et de publier des règles d'éthique professionnelle à l'intention des juges des tribunaux de la Confédération. Réuni par la Commission administrative du Tribunal fédéral, un groupe de travail composé de neuf juges a élaboré une proposition. En novembre 2018, après avoir effectué certaines adaptations, la Cour plénière a validé le document sous la dénomination « Gepflogenheiten/ Usages/Consuetudini ». Les « Usages au sein du collège des juges au Tribunal fédéral » peuvent être consultés et téléchargés par le biais de ce lien ou sur www.bger.ch/fr > Tribunal fédéral > Publications > Autres publications . Les « Usages » sont structurés en quatre parties: « Les juges fédéraux dans l'exercice de leur fonction », « La garantie d'indépendance des juges fédéraux », « Les juges fédéraux en public » et « Développement ultérieur des présents usages ».
A tutti i giornalisti accreditati presso il Tribunale federale Losanna, 19 luglio 2019 Nessun embargo Comunicato stampa del Tribunale federale "Consuetudini in uso presso i giudici del Tribunale federale" Il Tribunale federale pubblica le "Consuetudini in uso presso i giudici del Tribunale federale" recentemente approvate dalla Corte plenaria. Con la redazione e la pubblicazione di tale testo, il Tribunale federale adempie alla richiesta formulata dal gruppo "GRECO" (Groupe d’Etats contre la Corruption). Nel suo rapporto di valutazione 2017 il gruppo "GRECO", istituito dal Consiglio d'Europa, ha raccomandato lo sviluppo e la pubblicazione di un codice deontologico per i giudici dei tribunali della Confederazione. A tale scopo, la Commissione amministrativa ha creato un gruppo di lavoro, composto da nove giudici, il quale ha successivamente elaborato una proposta. Nel corso del mese di novembre 2018, la Corte plenaria ha effettuato alcune modifiche e, in seguito, approvato il testo con il titolo "Gepflogenheiten/ Usages/Consuetudini". Le "Consuetudini in uso presso i giudici del Tribunale federale" possono essere consultate e scaricate tramite questo link o sul sito www.bger.ch/it > Tribunale federale > Pubblicazioni > Altre pubblicazioni . Le "Consuetudini" sono suddivise in quattro parti: "I giudici federali nell'esercizio della loro carica", "La garanzia di indipendenza dei giudici federali", "I giudici federali in pubblico" ed "Ulteriore sviluppo delle consuetudini".
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Lausanne, 19. Juli 2019 Medienmitteilung des Bundesgerichts "Gepflogenheiten der Richter und Richterinnen am Bundesgericht" Das Bundesgericht publiziert die kürzlich vom Gesamtgericht beschlossenen "Gepflogenheiten der Richter und Richterinnen am Bundesgericht". Mit dem Papier und seiner Veröffentlichung kommt das Bundesgericht auch einer Forderung der Gruppe "GRECO" (Groupe d’Etats contre la Corruption) nach. Die vom Europarat eingesetzte Gruppe "GRECO" hatte in ihrem Evaluationsbericht von 2017 die Empfehlung abgegeben, Standesregeln für die Richter der eidgenössischen Gerichte zu entwickeln und zu veröffentlichen. Eine von der Verwaltungskommission des Bundesgerichts einberufene Arbeitsgruppe bestehend aus neun Richterinnen und Richtern erarbeitete in der Folge einen Vorschlag. Im November 2018 nahm das Gesamtgericht gewisse Anpassungen vor und genehmigte das Papier anschliessend unter der Bezeichnung "Gepflogenheiten/Usages/Consuetudini". Die "Gepflogenheiten der Richter und Richterinnen am Bundesgericht" können im Internet mit diesem Link abgerufen werden oder unter www.bger.ch > Bundesgericht > Publikationen > Weitere Publikationen . Die "Gepflogenheiten" sind in die vier Teile "Bundesrichter und Bundesrichterinnen in der Ausübung ihres Amtes", "Bundesrichter und Bundesrichterinnen in der Gewährleistung ihrer Unabhängigkeit", "Bundesrichter und Bundesrichterinnen in der Öffentlichkeit" und "Fortentwicklung der Gepflogenheiten" gegliedert.
Lausanne, le 19 juillet 2019 Communiqué de presse du Tribunal fédéral « Usages au sein du collège des juges au Tribunal fédéral » Le Tribunal fédéral publie les « Usages au sein du collège des juges au Tribunal fédéral » récemment approuvés par la Cour plénière. Par l'élaboration de ce document et sa publication, le Tribunal fédéral satisfait également la demande du groupe « GRECO » (Groupe d’Etats contre la Corruption). Dans son rapport d'évaluation de 2017, le groupe GRECO du Conseil de l'Europe avait recommandé de développer et de publier des règles d'éthique professionnelle à l'intention des juges des tribunaux de la Confédération. Réuni par la Commission administrative du Tribunal fédéral, un groupe de travail composé de neuf juges a élaboré une proposition. En novembre 2018, après avoir effectué certaines adaptations, la Cour plénière a validé le document sous la dénomination « Gepflogenheiten/ Usages/Consuetudini ». Les « Usages au sein du collège des juges au Tribunal fédéral » peuvent être consultés et téléchargés par le biais de ce lien ou sur www.bger.ch/fr > Tribunal fédéral > Publications > Autres publications . Les « Usages » sont structurés en quatre parties: « Les juges fédéraux dans l'exercice de leur fonction », « La garantie d'indépendance des juges fédéraux », « Les juges fédéraux en public » et « Développement ultérieur des présents usages ».
Losanna, 19 luglio 2019 Comunicato stampa del Tribunale federale "Consuetudini in uso presso i giudici del Tribunale federale" Il Tribunale federale pubblica le "Consuetudini in uso presso i giudici del Tribunale federale" recentemente approvate dalla Corte plenaria. Con la redazione e la pubblicazione di tale testo, il Tribunale federale adempie alla richiesta formulata dal gruppo "GRECO" (Groupe d’Etats contre la Corruption). Nel suo rapporto di valutazione 2017 il gruppo "GRECO", istituito dal Consiglio d'Europa, ha raccomandato lo sviluppo e la pubblicazione di un codice deontologico per i giudici dei tribunali della Confederazione. A tale scopo, la Commissione amministrativa ha creato un gruppo di lavoro, composto da nove giudici, il quale ha successivamente elaborato una proposta. Nel corso del mese di novembre 2018, la Corte plenaria ha effettuato alcune modifiche e, in seguito, approvato il testo con il titolo "Gepflogenheiten/ Usages/Consuetudini". Le "Consuetudini in uso presso i giudici del Tribunale federale" possono essere consultate e scaricate tramite questo link o sul sito www.bger.ch/it > Tribunale federale > Pubblicazioni > Altre pubblicazioni . Le "Consuetudini" sono suddivise in quattro parti: "I giudici federali nell'esercizio della loro carica", "La garanzia di indipendenza dei giudici federali", "I giudici federali in pubblico" ed "Ulteriore sviluppo delle consuetudini".
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 28. Oktober 2013 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Neuer Adjunkt Medien und Kommunikation am Bundesgericht Die Verwaltungskommission des Bundesgerichts hat beschlossen, einen weiteren Adjunkten anzustellen; dieser wird sich in erster Linie dem Aufgabenbereich Medien und Kommunikation widmen. Sie konnte dafür Herrn Peter Josi gewinnen, der seine Tätigkeit im kommenden März aufnehmen wird. Bis dahin wird der Medienbereich durch Herrn Lorenzo Egloff, Adjunkt des Generalsekretärs, betreut. Für das Bundesgericht steht bei der Medienarbeit die sachliche Berichterstattung über seine Rechtsprechung im Mittelpunkt. Dazu trägt es wie bis anhin mit aktiver und transparenter Information bei. Mit der Anstellung eines zusätzlichen Adjunkten strebt das Bundesgericht an, den heutigen Bedürfnissen der Medien und der Öffentlichkeit verstärkt gerecht zu werden. Herr Josi war in den vergangenen 14 Jahren als Bundesgerichtskorrespondent für die Schweizerische Depeschenagentur sda in Bern tätig. Daneben verfasste er Beiträge zur bundesgerichtlichen Rechtsprechung für juristische Fachpublikationen. Herr Josi ist 49 Jahre alt und absolvierte in Bern das Jus-Studium. Nach Gerichts- und Anwaltspraktika sowie verschiedenen Tätigkeiten in der Verwaltung wechselte er in den Medienbereich.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 28 octobre 2013 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Nouvel adjoint médias et communication au Tribunal fédéral La commission administrative du Tribunal fédéral a nommé un adjoint supplémentaire qui s'occupera principalement du domaine des médias et de la communication. Pour occuper ce poste a été choisi M. Peter Josi, qui débutera ses activités en mars prochain. Jusqu'à cette date le secteur des médias sera coordonné par M. Lorenzo Egloff, adjoint du Secrétaire général. Dans sa collaboration avec les médias, le Tribunal accorde une importance particulière aux comptes rendus de jurisprudence. Il souhaite le faire, comme jusqu'à présent, de manière active et transparente. Par l'engagement de ce nouvel adjoint, le Tribunal entend répondre de manière plus adaptée aux besoins des médias et de l'opinion publique. Durant ces 14 dernières années, M. Peter Josi était le correspondant au Tribunal fédéral de l'Agence Télégraphique Suisse (ATS) à Berne. Parallèlement, il rédigeait des contributions concernant la jurisprudence du Tribunal fédéral pour des revues juridiques spécialisées. M. Peter Josi, 49 ans, a effectué ses études de droit à Berne. Après des stages juridiques et diverses activités dans l'administration, il s'est tourné vers le domaine des médias. Bundesgericht Tribunal fédéral Tribunale federale Tribunal federal CH-1000 Lausanne 14 Dossier no 11.5.2/9.6.7
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Lausanne, 28. Oktober 2013 Medienmitteilung des Bundesgerichts Neuer Adjunkt Medien und Kommunikation am Bundesgericht Die Verwaltungskommission des Bundesgerichts hat beschlossen, einen weiteren Adjunkten anzustellen; dieser wird sich in erster Linie dem Aufgabenbereich Medien und Kommunikation widmen. Sie konnte dafür Herrn Peter Josi gewinnen, der seine Tätigkeit im kommenden März aufnehmen wird. Bis dahin wird der Medienbereich durch Herrn Lorenzo Egloff, Adjunkt des Generalsekretärs, betreut. Für das Bundesgericht steht bei der Medienarbeit die sachliche Berichterstattung über seine Rechtsprechung im Mittelpunkt. Dazu trägt es wie bis anhin mit aktiver und transparenter Information bei. Mit der Anstellung eines zusätzlichen Adjunkten strebt das Bundesgericht an, den heutigen Bedürfnissen der Medien und der Öffentlichkeit verstärkt gerecht zu werden. Herr Josi war in den vergangenen 14 Jahren als Bundesgerichtskorrespondent für die Schweizerische Depeschenagentur sda in Bern tätig. Daneben verfasste er Beiträge zur bundesgerichtlichen Rechtsprechung für juristische Fachpublikationen. Herr Josi ist 49 Jahre alt und absolvierte in Bern das Jus-Studium. Nach Gerichts- und Anwaltspraktika sowie verschiedenen Tätigkeiten in der Verwaltung wechselte er in den Medienbereich.
Lausanne, le 28 octobre 2013 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Nouvel adjoint médias et communication au Tribunal fédéral La commission administrative du Tribunal fédéral a nommé un adjoint supplémentaire qui s'occupera principalement du domaine des médias et de la communication. Pour occuper ce poste a été choisi M. Peter Josi, qui débutera ses activités en mars prochain. Jusqu'à cette date le secteur des médias sera coordonné par M. Lorenzo Egloff, adjoint du Secrétaire général. Dans sa collaboration avec les médias, le Tribunal accorde une importance particulière aux comptes rendus de jurisprudence. Il souhaite le faire, comme jusqu'à présent, de manière active et transparente. Par l'engagement de ce nouvel adjoint, le Tribunal entend répondre de manière plus adaptée aux besoins des médias et de l'opinion publique. Durant ces 14 dernières années, M. Peter Josi était le correspondant au Tribunal fédéral de l'Agence Télégraphique Suisse (ATS) à Berne. Parallèlement, il rédigeait des contributions concernant la jurisprudence du Tribunal fédéral pour des revues juridiques spécialisées. M. Peter Josi, 49 ans, a effectué ses études de droit à Berne. Après des stages juridiques et diverses activités dans l'administration, il s'est tourné vers le domaine des médias. Bundesgericht Tribunal fédéral Tribunale federale Tribunal federal CH-1000 Lausanne 14 Dossier no 11.5.2/9.6.7
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12T_2_2016_2017_11_14_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 14. November 2017 Embargo: 14. November 2017, 12:00 Uhr Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 16. Oktober 2017 (12T_2/2016) Verzicht auf Kostenvorschuss bei unbegleiteten minderjährigen Asylsuchenden Das Bundesgericht weist das Bundesverwaltungsgericht an, bei Beschwerden von unbegleiteten minderjährigen Asylsuchenden künftig in der Regel auf die Erhebung eines Kostenvorschusses zu verzichten. Die bisherige Praxis, in solchen Fällen einen Kostenvorschuss zu verlangen, erweist sich als übermässige Beschränkung des Zugangs zur Justiz. Ein damals 15-Jähriger aus Eritrea, der unbegleitet in die Schweiz eingereist war, hatte 2014 um Asyl ersucht. Gegen die Abweisung seines Asylgesuchs erhob er beim Bundesverwaltungsgericht Beschwerde. Das Bundesverwaltungsgericht wies sein Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege mangels Erfolgsaussichten ab. In der Folge verlangte es 2016 vom Betroffenen einen Kostenvorschuss von 900 Franken. Weil der Beschwerdeführer den Betrag auch innerhalb der vom Gericht gesetzten Nachfrist nicht überwiesen hatte, trat das Bundesverwaltungsgericht auf seine Beschwerde nicht ein. Im Namen des Betroffenen gelangte eine Stiftung ans Bundesgericht, in seiner Funktion als Aufsichtsbehörde der erstinstanzlichen Gerichte des Bundes. Die Verwaltungskommission des Bundesgerichts hat als Aufsichtsbehörde nicht die Kompetenz, über Einzelfälle zu entscheiden und sich zu Urteilen der erstinstanzlichen Gerichte des Bundes zu äussern. Im Rahmen der Rechtsprechung beschränkt sich die Kompetenz der Verwaltungskommission im Wesentlichen auf die Feststellung, dass die administrativen Mechanismen bei einem erstinstanzlichen Gericht des Bundes eine unüberwindbare oder schwer zu rechtfertigende Einschränkung des Zugangs zur Justiz bewirken. Im vorliegenden Fall erachtet das Bundesgericht die Aufsichtsanzeige teilweise als begründet. Es weist das Bundesverwaltungsgericht an, seine Praxis zu ändern und künftig bei unbegleiteten Minderjährigen im Rahmen von Asylverfahren im Regelfall auf die Erhebung eines Kostenvorschusses zu verzichten. Das Vorgehen des Bundesverwaltungsgerichts, von unbegleiteten minderjährigen Asylsuchenden bei Abweisung ihres Gesuchs um unentgeltliche Rechtspflege einen Kostenvorschuss zu verlangen, geht auf einen Beschluss der seinerzeitigen Asylrekurskommission von 2002 zurück. Daraus ergibt sich, dass es sich bei der Einforderung des Kostenvorschusses vorliegend nicht um einen Einzelfall handelt. Vielmehr entspricht dies der ständigen Praxis des Gerichts, die es einzig zum Zweck einer Beschränkung seiner Arbeitslast anwendet. Dieses Vorgehen begründet die Kompetenz der Verwaltungskommission des Bundesgerichts. Gemäss dem Gesetz über das Verwaltungsverfahren (Artikel 63 Absatz 4 VwVG) kann beim Vorliegen besonderer Gründe auf die Erhebung eines Kostenvorschusses verzichtet werden. Ein solcher besonderer Grund liegt in der Regel bei unbegleiteten minderjährigen Personen in einem Asylverfahren vor. Das innerstaatliche Recht der Schweiz kennt eine ganze Reihe von gesetzlichen Sonderregelungen für minderjährige Personen, mit denen ihrer besonderen Situation Rechnung getragen wird. Zum Beispiel sieht das Asylgesetz vor, dass Gesuche von unbegleiteten Minderjährigen prioritär behandelt werden müssen. Auf internationaler Ebene stellt auch die UN-Konvention über die Rechte des Kindes die Notwendigkeit eines speziellen Schutzes von Kindern in den Vordergrund, insbesondere wenn es darum geht, Kindern einen angemessenen Rechtsschutz zu garantieren. Entsprechende Massnahmen haben die Vertragsstaaten insbesondere zur Wahrnehmung der Rechte von Kindern zu treffen, die um Anerkennung als Flüchtling ersuchen oder als Flüchtling gelten. Bei Asylverfahren geht es sodann nicht um Bagatellen. Vielmehr stehen Fragen mit Bezug zur körperlichen und psychischen Integrität der betroffenen Personen im Vordergrund, respektive ihrem Recht auf Würde, gegebenenfalls sogar dem Recht auf Leben. Vor diesem Hintergrund erweist sich die Praxis zur Erhebung eines Kostenvorschusses von unbegleiteten minderjährigen Asylsuchenden als übermässige Beschränkung des Zugangs zur Justiz. Unter Vorbehalt besonderer Situationen – wenn etwa die minderjährige Person über persönliches Vermögen oder andere nachgewiesene finanzielle Ressourcen verfügt – ist künftig in solchen Fällen auf die Erhebung eines Kostenvorschusses zu verzichten.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 14 novembre 2017 Embargo : 14 novembre 2017, 12h00 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Arrêt du 16 octobre 2017 (12T_2/2016) Renonciation à percevoir des avances de frais auprès de requérants d'asile mineurs non accompagnés Le Tribunal fédéral enjoint le Tribunal administratif fédéral de renoncer en règle générale à percevoir des avances de frais dans le cadre de recours déposés par des requérants d'asile mineurs non accompagnés. La pratique actuelle consistant à exiger des avances de frais dans de telles situations restreint de manière inadmissible l'accès à la justice. Un ressortissant érythréen, âgé de 15 ans au moment de son entrée non accompagnée en Suisse, a déposé une demande d'asile en 2014. Il a formé un recours auprès du Tribunal administratif fédéral contre le rejet de sa requête d'asile. Le Tribunal administratif fédéral a rejeté sa demande d'assistance judiciaire gratuite au motif que le recours était dénué de chances de succès. Il a en conséquence demandé, en 2016, au requérant le paiement d'une avance de frais fixée à Fr. 900.--. Comme le recourant n'a pas payé le montant réclamé dans le délai imparti qui avait été prolongé par le Tribunal, celui-ci a déclaré le recours irrecevable. Une fondation a adressé au nom du requérant une dénonciation au Tribunal fédéral en sa qualité d'autorité de surveillance des Tribunaux fédéraux de première instance. La Commission d'administrative du Tribunal fédéral en sa qualité d'autorité de surveillance n'a pas vocation à traiter de cas d'espèces et donc à se prononcer sur des jugements rendus par les Tribunaux fédéraux de première instance. En matière de jurisprudence, sa compétence se limite en substance à constater que les mécanismes de nature administrative d'un Tribunal fédéral de première instance créent des obstacles insurmontables ou difficilement justifiables à l'accès à la justice. En l'espèce, le Tribunal fédéral considère que la dénonciation est partiellement fondée. Il enjoint le Tribunal administratif fédéral de modifier sa pratique et de renoncer en règle générale à l'avenir à percevoir des avances de frais auprès de mineurs non accompagnés dans le cadre de la procédure d'asile. La pratique du Tribunal administratif fédéral consistant à percevoir une avance de frais auprès de requérants d'asile mineurs non accompagnés lorsque leur requête d'assistance judiciaire gratuite est rejetée, se base sur une décision de 2002 de l'ancienne Commission suisse de recours en matière d'asile. Il en résulte que l'exigence du versement d'une avance de frais ne relève pas, dans la présente cause, d'un cas particulier, mais bien d'une pratique constante arrêtée aux seules fins de réduction de la charge de travail du Tribunal fédéral administratif. Un tel mécanisme fonde la compétence de la Commission administrative du Tribunal fédéral. Selon la Loi sur la procédure administrative (article 63 alinéa 4 PA), l'autorité de recours peut renoncer à percevoir une avance de frais si des motifs particuliers le justifient. De tels motifs existent en règle générale dans les procédures d'asile concernant des requérants mineurs non accompagnés. Le droit interne connaît toute une série de lois spécifiques aux mineurs qui prennent en compte leur situation particulière. Par exemple, selon la Loi sur l'asile, les demandes d'asile des requérants mineurs non accompagnés doivent être traitées en priorité. Sur le plan international, la Convention des Nations Unies relative aux droits des enfants met aussi en avant le besoin d'une protection spéciale des enfants, en particulier s'agissant de leurs assurer une protection juridique appropriée. Les états parties sont tenus de prendre les mesures appropriées pour que les enfants qui cherchent à obtenir le statut de réfugiés ou sont considérés comme tels, bénéficient des droits qui leurs sont reconnus. La procédure d'asile ne relève pas de mécanismes portant sur des bagatelles. Les enjeux qui en résultent ont trait au respect de l'intégrité physique et psychique des personnes concernées, respectivement à leur droit à la dignité, voire même à la vie. Dans un tel contexte, exiger des avances de frais de mineurs non accompagnés se révèle une mesure restreignant de manière démesurée l'accès à la justice. Sous réserve de situations spéciales, notamment en présence de mineurs disposant de fortune personnelle ou d'autres ressources avérées, il conviendra dès lors à l'avenir de renoncer à percevoir des avances de frais.
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Lausanne, 14. November 2017 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 16. Oktober 2017 (12T_2/2016) Verzicht auf Kostenvorschuss bei unbegleiteten minderjährigen Asylsuchenden Das Bundesgericht weist das Bundesverwaltungsgericht an, bei Beschwerden von unbegleiteten minderjährigen Asylsuchenden künftig in der Regel auf die Erhebung eines Kostenvorschusses zu verzichten. Die bisherige Praxis, in solchen Fällen einen Kostenvorschuss zu verlangen, erweist sich als übermässige Beschränkung des Zugangs zur Justiz. Ein damals 15-Jähriger aus Eritrea, der unbegleitet in die Schweiz eingereist war, hatte 2014 um Asyl ersucht. Gegen die Abweisung seines Asylgesuchs erhob er beim Bundesverwaltungsgericht Beschwerde. Das Bundesverwaltungsgericht wies sein Gesuch um unentgeltliche Rechtspflege mangels Erfolgsaussichten ab. In der Folge verlangte es 2016 vom Betroffenen einen Kostenvorschuss von 900 Franken. Weil der Beschwerdeführer den Betrag auch innerhalb der vom Gericht gesetzten Nachfrist nicht überwiesen hatte, trat das Bundesverwaltungsgericht auf seine Beschwerde nicht ein. Im Namen des Betroffenen gelangte eine Stiftung ans Bundesgericht, in seiner Funktion als Aufsichtsbehörde der erstinstanzlichen Gerichte des Bundes. Die Verwaltungskommission des Bundesgerichts hat als Aufsichtsbehörde nicht die Kompetenz, über Einzelfälle zu entscheiden und sich zu Urteilen der erstinstanzlichen Gerichte des Bundes zu äussern. Im Rahmen der Rechtsprechung beschränkt sich die Kompetenz der Verwaltungskommission im Wesentlichen auf die Feststellung, dass die administrativen Mechanismen bei einem erstinstanzlichen Gericht des Bundes eine unüberwindbare oder schwer zu rechtfertigende Einschränkung des Zugangs zur Justiz bewirken. Im vorliegenden Fall erachtet das Bundesgericht die Aufsichtsanzeige teilweise als begründet. Es weist das Bundesverwaltungsgericht an, seine Praxis zu ändern und künftig bei unbegleiteten Minderjährigen im Rahmen von Asylverfahren im Regelfall auf die Erhebung eines Kostenvorschusses zu verzichten. Das Vorgehen des Bundesverwaltungsgerichts, von unbegleiteten minderjährigen Asylsuchenden bei Abweisung ihres Gesuchs um unentgeltliche Rechtspflege einen Kostenvorschuss zu verlangen, geht auf einen Beschluss der seinerzeitigen Asylrekurskommission von 2002 zurück. Daraus ergibt sich, dass es sich bei der Einforderung des Kostenvorschusses vorliegend nicht um einen Einzelfall handelt. Vielmehr entspricht dies der ständigen Praxis des Gerichts, die es einzig zum Zweck einer Beschränkung seiner Arbeitslast anwendet. Dieses Vorgehen begründet die Kompetenz der Verwaltungskommission des Bundesgerichts. Gemäss dem Gesetz über das Verwaltungsverfahren (Artikel 63 Absatz 4 VwVG) kann beim Vorliegen besonderer Gründe auf die Erhebung eines Kostenvorschusses verzichtet werden. Ein solcher besonderer Grund liegt in der Regel bei unbegleiteten minderjährigen Personen in einem Asylverfahren vor. Das innerstaatliche Recht der Schweiz kennt eine ganze Reihe von gesetzlichen Sonderregelungen für minderjährige Personen, mit denen ihrer besonderen Situation Rechnung getragen wird. Zum Beispiel sieht das Asylgesetz vor, dass Gesuche von unbegleiteten Minderjährigen prioritär behandelt werden müssen. Auf internationaler Ebene stellt auch die UN-Konvention über die Rechte des Kindes die Notwendigkeit eines speziellen Schutzes von Kindern in den Vordergrund, insbesondere wenn es darum geht, Kindern einen angemessenen Rechtsschutz zu garantieren. Entsprechende Massnahmen haben die Vertragsstaaten insbesondere zur Wahrnehmung der Rechte von Kindern zu treffen, die um Anerkennung als Flüchtling ersuchen oder als Flüchtling gelten. Bei Asylverfahren geht es sodann nicht um Bagatellen. Vielmehr stehen Fragen mit Bezug zur körperlichen und psychischen Integrität der betroffenen Personen im Vordergrund, respektive ihrem Recht auf Würde, gegebenenfalls sogar dem Recht auf Leben. Vor diesem Hintergrund erweist sich die Praxis zur Erhebung eines Kostenvorschusses von unbegleiteten minderjährigen Asylsuchenden als übermässige Beschränkung des Zugangs zur Justiz. Unter Vorbehalt besonderer Situationen – wenn etwa die minderjährige Person über persönliches Vermögen oder andere nachgewiesene finanzielle Ressourcen verfügt – ist künftig in solchen Fällen auf die Erhebung eines Kostenvorschusses zu verzichten.
Lausanne, le 14 novembre 2017 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Arrêt du 16 octobre 2017 (12T_2/2016) Renonciation à percevoir des avances de frais auprès de requérants d'asile mineurs non accompagnés Le Tribunal fédéral enjoint le Tribunal administratif fédéral de renoncer en règle générale à percevoir des avances de frais dans le cadre de recours déposés par des requérants d'asile mineurs non accompagnés. La pratique actuelle consistant à exiger des avances de frais dans de telles situations restreint de manière inadmissible l'accès à la justice. Un ressortissant érythréen, âgé de 15 ans au moment de son entrée non accompagnée en Suisse, a déposé une demande d'asile en 2014. Il a formé un recours auprès du Tribunal administratif fédéral contre le rejet de sa requête d'asile. Le Tribunal administratif fédéral a rejeté sa demande d'assistance judiciaire gratuite au motif que le recours était dénué de chances de succès. Il a en conséquence demandé, en 2016, au requérant le paiement d'une avance de frais fixée à Fr. 900.--. Comme le recourant n'a pas payé le montant réclamé dans le délai imparti qui avait été prolongé par le Tribunal, celui-ci a déclaré le recours irrecevable. Une fondation a adressé au nom du requérant une dénonciation au Tribunal fédéral en sa qualité d'autorité de surveillance des Tribunaux fédéraux de première instance. La Commission d'administrative du Tribunal fédéral en sa qualité d'autorité de surveillance n'a pas vocation à traiter de cas d'espèces et donc à se prononcer sur des jugements rendus par les Tribunaux fédéraux de première instance. En matière de jurisprudence, sa compétence se limite en substance à constater que les mécanismes de nature administrative d'un Tribunal fédéral de première instance créent des obstacles insurmontables ou difficilement justifiables à l'accès à la justice. En l'espèce, le Tribunal fédéral considère que la dénonciation est partiellement fondée. Il enjoint le Tribunal administratif fédéral de modifier sa pratique et de renoncer en règle générale à l'avenir à percevoir des avances de frais auprès de mineurs non accompagnés dans le cadre de la procédure d'asile. La pratique du Tribunal administratif fédéral consistant à percevoir une avance de frais auprès de requérants d'asile mineurs non accompagnés lorsque leur requête d'assistance judiciaire gratuite est rejetée, se base sur une décision de 2002 de l'ancienne Commission suisse de recours en matière d'asile. Il en résulte que l'exigence du versement d'une avance de frais ne relève pas, dans la présente cause, d'un cas particulier, mais bien d'une pratique constante arrêtée aux seules fins de réduction de la charge de travail du Tribunal fédéral administratif. Un tel mécanisme fonde la compétence de la Commission administrative du Tribunal fédéral. Selon la Loi sur la procédure administrative (article 63 alinéa 4 PA), l'autorité de recours peut renoncer à percevoir une avance de frais si des motifs particuliers le justifient. De tels motifs existent en règle générale dans les procédures d'asile concernant des requérants mineurs non accompagnés. Le droit interne connaît toute une série de lois spécifiques aux mineurs qui prennent en compte leur situation particulière. Par exemple, selon la Loi sur l'asile, les demandes d'asile des requérants mineurs non accompagnés doivent être traitées en priorité. Sur le plan international, la Convention des Nations Unies relative aux droits des enfants met aussi en avant le besoin d'une protection spéciale des enfants, en particulier s'agissant de leurs assurer une protection juridique appropriée. Les états parties sont tenus de prendre les mesures appropriées pour que les enfants qui cherchent à obtenir le statut de réfugiés ou sont considérés comme tels, bénéficient des droits qui leurs sont reconnus. La procédure d'asile ne relève pas de mécanismes portant sur des bagatelles. Les enjeux qui en résultent ont trait au respect de l'intégrité physique et psychique des personnes concernées, respectivement à leur droit à la dignité, voire même à la vie. Dans un tel contexte, exiger des avances de frais de mineurs non accompagnés se révèle une mesure restreignant de manière démesurée l'accès à la justice. Sous réserve de situations spéciales, notamment en présence de mineurs disposant de fortune personnelle ou d'autres ressources avérées, il conviendra dès lors à l'avenir de renoncer à percevoir des avances de frais.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 25. September 2013 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Zum Hinschied von Herrn Bundesrichter Dr. Bernard Corboz Mit Schmerz und grosser Trauer nehmen wir Abschied von unserem allseits sehr geschätzten Arbeitskollegen, Richterkollegen und Freund, Herrn Bundesrichter Dr. Bernard Corboz. Er verstarb gestern, 24. September 2013, unerwartet nach kurzer Krankheit. Herr Bundesrichter Bernard Corboz wurde am 2. April 1948 als Bürger von Genf in Genf geboren. Er hat seine juristische Ausbildung an der Universität Genf absolviert und im Jahr 1972 mit dem Genfer Anwaltspatent abgeschlossen. 1973 wurde er Stellvertretender Staatsanwalt. Seine Richtertätigkeit begann er 1975; 1983 nahm er seine Tätigkeit als Oberrichter auf. 1985 wurde er Generalstaatsanwalt des Kantons Genf. Parallel dazu wurde Herr Bundesrichter Corboz 1981 zum Ersatzrichter des Bundesgerichts gewählt. 1987 wurde er zusätzlich Richter am Militärkassationsgericht. Am 21. März 1990 wurde Herr Bundesrichter Corboz zum ordentlichen Mitglied des Bundesgerichts gewählt. Er trat sein Amt am 1. Mai 1990 an. Bis 1998 amtete er im Kassationshof für Strafsachen; zusätzlich nahm er 1990 Einsitz in der Anklagekammer, die er von Oktober 1995 bis Ende 2002 präsidierte (Vizepräsident von 1993 bis 1995). Ab 1. Januar 1999 wechselte Herr Bundesrichter Corboz in die I. Zivilabteilung (ab 1. Januar 2007 I. zivilrechtliche Abteilung), die er in den Jahren 2003 bis 2008 präsidierte. Am 15. Dezember 2004 wurde Herr Bundesrichter Corboz durch die Vereinigte Bundesversammlung für die Amtsperiode 2005 und 2006 zum Bundesgericht Tribunal fédéral Tribunale federale Tribunal federal CH-1000 Lausanne 14 Korrespondenznummer 14.10.2Vizepräsidenten des Bundesgerichts gewählt. In den Jahren 2007 und 2008 übte er ausserdem den Vorsitz der Präsidentenkonferenz aus. Herr Bundesrichter Corboz wirkte überdies als Vertreter des Bundesgerichts in verschiedenen internationalen Organisationen mit, vor allem in der ACCPUF (Association des cours constitutionnelles ayant en partage l'usage du français), in der AHJUCAF (Association des hautes juridictions de cassation des pays ayant en partage l'usage du français) und im CCJE (Conseil consultatif des Juges européens), einem Organ des Europarates. Im Weiteren war er Redaktionsmitglied der Semaine judiciaire. Herr Bundesrichter Bernard Corboz war ein brillanter Jurist. Er zeichnete sich durch eine elegante Sprache und grosse Eloquenz aus. Er ist Autor zahlreicher bedeutender Werke. Herr Bundesrichter Corboz besass eine ausserordentliche Schaffenskraft und beeinflusste die Rechtsprechung des Bundesgerichts nachhaltig. Wir werden ihn in bester Erinnerung behalten. Die Trauerfeierlichkeiten finden in Genf statt. Einzelheiten sind noch nicht bekannt. SCHWEIZERISCHES BUNDESGERICHT
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 25 septembre 2013 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Décès de Monsieur le Juge fédéral Bernard Corboz C'est dans la douleur et avec beaucoup de tristesse que nous prenons congé de Monsieur le Juge fédéral Bernard Corboz, notre très estimé collègue de travail, magistrat et ami. Il est décédé hier, 24 septembre 2013, de manière inattendue, après une courte maladie. Monsieur le Juge fédéral Bernard Corboz, originaire de Genève, est né le 2 avril 1948 dans cette ville. Il a fait ses études de droit à l'Université de Genève et a achevé sa formation juridique en 1972 par l'obtention du brevet d'avocat genevois. Nommé substitut du procureur en 1973, il a débuté sa carrière de juge en 1975, au Tribunal de première instance du canton de Genève, et l'a poursuivie à la Cour de justice du même canton dès 1983. En 1985, il a été nommé procureur général du canton de Genève et a assumé, parallèlement, la charge de juge suppléant au Tribunal fédéral après son élection en 1981. En 1987, il a encore été élu juge au Tribunal militaire de cassation. Le 21 mars 1990, Monsieur le Juge fédéral Bernard Corboz a été élu membre ordinaire du Tribunal fédéral. Il est entré en fonction le 1er mai 1990. Jusqu'en 1998, il a appartenu à la Cour de cassation pénale et a encore siégé au sein de la Chambre d'accusation qu'il a présidée d'octobre 1995 à fin 2002 (vice-président de 1993 à 1995). Le 1er janvier 1999, Monsieur le Juge fédéral Bernard Corboz a été transféré à la Ire Cour civile (devenue, dès le 1er janvier 2007, la Ire Cour de droit civil), qu'il a présidée de 2003 à 2008. Le 15 décembre 2004, les Chambres fédérales l'ont élu à la viceBundesgericht Tribunal fédéral Tribunale federale Tribunal federal CH-1000 Lausanne 14 Dossier no 14.10.2présidence du Tribunal fédéral pour la période 2005-2006. En 2007 et 2008, il a assumé, en sus, la présidence de la Conférence des présidents. Monsieur le Juge fédéral Corboz a également oeuvré comme représentant du Tribunal fédéral au sein de diverses organisations internationales, en particulier l'ACCPUF (Association des cours constitutionnelles ayant en partage l'usage du français), l'AHJUCAF (Association des hautes juridictions de cassation des pays ayant en partage l'usage du français) et le CCJE (Conseil consultatif des juges européens), un organe du Conseil de l'Europe. Il fut également membre de la rédaction de la "Semaine judiciaire". Monsieur le Juge fédéral Bernard Corboz était un brillant juriste. Il se distinguait par une langue châtiée et une grande éloquence. Il est l'auteur de nombreux ouvrages de référence. Monsieur le Juge fédéral Corboz possédait une capacité de travail hors du commun et a influencé la jurisprudence du Tribunal fédéral de manière durable. Nous conserverons toujours de lui un souvenir ému. La cérémonie funèbre aura lieu à Genève. Les détails ne sont pas encore connus. TRIBUNAL FEDERAL SUISSE
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Lausanne, 25. September 2013 Medienmitteilung des Bundesgerichts Zum Hinschied von Herrn Bundesrichter Dr. Bernard Corboz Mit Schmerz und grosser Trauer nehmen wir Abschied von unserem allseits sehr geschätzten Arbeitskollegen, Richterkollegen und Freund, Herrn Bundesrichter Dr. Bernard Corboz. Er verstarb gestern, 24. September 2013, unerwartet nach kurzer Krankheit. Herr Bundesrichter Bernard Corboz wurde am 2. April 1948 als Bürger von Genf in Genf geboren. Er hat seine juristische Ausbildung an der Universität Genf absolviert und im Jahr 1972 mit dem Genfer Anwaltspatent abgeschlossen. 1973 wurde er Stellvertretender Staatsanwalt. Seine Richtertätigkeit begann er 1975; 1983 nahm er seine Tätigkeit als Oberrichter auf. 1985 wurde er Generalstaatsanwalt des Kantons Genf. Parallel dazu wurde Herr Bundesrichter Corboz 1981 zum Ersatzrichter des Bundesgerichts gewählt. 1987 wurde er zusätzlich Richter am Militärkassationsgericht. Am 21. März 1990 wurde Herr Bundesrichter Corboz zum ordentlichen Mitglied des Bundesgerichts gewählt. Er trat sein Amt am 1. Mai 1990 an. Bis 1998 amtete er im Kassationshof für Strafsachen; zusätzlich nahm er 1990 Einsitz in der Anklagekammer, die er von Oktober 1995 bis Ende 2002 präsidierte (Vizepräsident von 1993 bis 1995). Ab 1. Januar 1999 wechselte Herr Bundesrichter Corboz in die I. Zivilabteilung (ab 1. Januar 2007 I. zivilrechtliche Abteilung), die er in den Jahren 2003 bis 2008 präsidierte. Am 15. Dezember 2004 wurde Herr Bundesrichter Corboz durch die Vereinigte Bundesversammlung für die Amtsperiode 2005 und 2006 zum Bundesgericht Tribunal fédéral Tribunale federale Tribunal federal CH-1000 Lausanne 14 Korrespondenznummer 14.10.2Vizepräsidenten des Bundesgerichts gewählt. In den Jahren 2007 und 2008 übte er ausserdem den Vorsitz der Präsidentenkonferenz aus. Herr Bundesrichter Corboz wirkte überdies als Vertreter des Bundesgerichts in verschiedenen internationalen Organisationen mit, vor allem in der ACCPUF (Association des cours constitutionnelles ayant en partage l'usage du français), in der AHJUCAF (Association des hautes juridictions de cassation des pays ayant en partage l'usage du français) und im CCJE (Conseil consultatif des Juges européens), einem Organ des Europarates. Im Weiteren war er Redaktionsmitglied der Semaine judiciaire. Herr Bundesrichter Bernard Corboz war ein brillanter Jurist. Er zeichnete sich durch eine elegante Sprache und grosse Eloquenz aus. Er ist Autor zahlreicher bedeutender Werke. Herr Bundesrichter Corboz besass eine ausserordentliche Schaffenskraft und beeinflusste die Rechtsprechung des Bundesgerichts nachhaltig. Wir werden ihn in bester Erinnerung behalten. Die Trauerfeierlichkeiten finden in Genf statt. Einzelheiten sind noch nicht bekannt. SCHWEIZERISCHES BUNDESGERICHT
Lausanne, le 25 septembre 2013 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Décès de Monsieur le Juge fédéral Bernard Corboz C'est dans la douleur et avec beaucoup de tristesse que nous prenons congé de Monsieur le Juge fédéral Bernard Corboz, notre très estimé collègue de travail, magistrat et ami. Il est décédé hier, 24 septembre 2013, de manière inattendue, après une courte maladie. Monsieur le Juge fédéral Bernard Corboz, originaire de Genève, est né le 2 avril 1948 dans cette ville. Il a fait ses études de droit à l'Université de Genève et a achevé sa formation juridique en 1972 par l'obtention du brevet d'avocat genevois. Nommé substitut du procureur en 1973, il a débuté sa carrière de juge en 1975, au Tribunal de première instance du canton de Genève, et l'a poursuivie à la Cour de justice du même canton dès 1983. En 1985, il a été nommé procureur général du canton de Genève et a assumé, parallèlement, la charge de juge suppléant au Tribunal fédéral après son élection en 1981. En 1987, il a encore été élu juge au Tribunal militaire de cassation. Le 21 mars 1990, Monsieur le Juge fédéral Bernard Corboz a été élu membre ordinaire du Tribunal fédéral. Il est entré en fonction le 1er mai 1990. Jusqu'en 1998, il a appartenu à la Cour de cassation pénale et a encore siégé au sein de la Chambre d'accusation qu'il a présidée d'octobre 1995 à fin 2002 (vice-président de 1993 à 1995). Le 1er janvier 1999, Monsieur le Juge fédéral Bernard Corboz a été transféré à la Ire Cour civile (devenue, dès le 1er janvier 2007, la Ire Cour de droit civil), qu'il a présidée de 2003 à 2008. Le 15 décembre 2004, les Chambres fédérales l'ont élu à la viceBundesgericht Tribunal fédéral Tribunale federale Tribunal federal CH-1000 Lausanne 14 Dossier no 14.10.2présidence du Tribunal fédéral pour la période 2005-2006. En 2007 et 2008, il a assumé, en sus, la présidence de la Conférence des présidents. Monsieur le Juge fédéral Corboz a également oeuvré comme représentant du Tribunal fédéral au sein de diverses organisations internationales, en particulier l'ACCPUF (Association des cours constitutionnelles ayant en partage l'usage du français), l'AHJUCAF (Association des hautes juridictions de cassation des pays ayant en partage l'usage du français) et le CCJE (Conseil consultatif des juges européens), un organe du Conseil de l'Europe. Il fut également membre de la rédaction de la "Semaine judiciaire". Monsieur le Juge fédéral Bernard Corboz était un brillant juriste. Il se distinguait par une langue châtiée et une grande éloquence. Il est l'auteur de nombreux ouvrages de référence. Monsieur le Juge fédéral Corboz possédait une capacité de travail hors du commun et a influencé la jurisprudence du Tribunal fédéral de manière durable. Nous conserverons toujours de lui un souvenir ému. La cérémonie funèbre aura lieu à Genève. Les détails ne sont pas encore connus. TRIBUNAL FEDERAL SUISSE
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1B_111_2020_2020_04_14_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 14. April 2020 Embargo: 14. April 2020, 12:00 Uhr Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 31. März 2020 (1B_111/2020) Im Nachverfahren angeordnete Sicherheitshaft mit EMRK vereinbar Die vom Kantonsgericht Wallis im massnahmenrechtlichen Nachverfahren angeordnete Sicherheitshaft gegenüber einem rückfallgefährdeten pädosexuellen Straftäter ist mit der Europäischen Menschenrechtskonvention (EMRK) vereinbar. Zu diesem Schluss kommt das Bundesgericht in Auseinandersetzung mit einem kürzlich ergangenen Urteil des Europäischen Gerichtshofs für Menschenrechte (EGMR). Der Betroffene wurde mehrmals wegen sexueller Handlungen mit Kindern und weiteren Delikten zu insgesamt über sechs Jahren Freiheitsstrafe verurteilt. 2013 wurde eine den Vollzug begleitende ambulante therapeutische Massnahme in eine stationäre therapeutische Massnahme umgewandelt, die bis Ende Dezember 2019 verlängert wurde. Anfang Dezember 2019 beantragte die Dienststelle für Straf- und Massnahmenvollzug des Kantons Wallis die Verlängerung der stationären Massnahme. Da sich das zuständige Gericht nicht in der Lage sah, vor Ende Dezember 2019 darüber zu entscheiden, ordnete das kantonale Zwangsmassnahmengericht am 20. Dezember 2019 (per 1. Januar 2020) gegen den Betroffenen vorläufig Sicherheitshaft an. Das Kantonsgericht des Kantons Wallis wies die Beschwerde des Mannes ab, von dem gemäss Gutachtern eine hohe Rückfallgefahr ausgeht. Es bejahte dabei eine analoge Anwendung der Bestimmungen der Strafprozessordnung (StPO) zur Sicherheitshaft vor einer Verurteilung. Das Bundesgericht weist die Beschwerde des Mannes ab. Er hatte eine Verletzung von Artikel 5 Ziffer 1 EMRK gerügt, da für die angeordnete Sicherheitshaft keine ausreichende gesetzliche Grundlage bestehe. Zur Begründung stützte er sich auf ein kürzlich ergangenes Urteil des EGMR ( I.L. gegen die Schweiz vom 3. Dezember 2019, Nr. 72939/16). Dem Urteil lag ebenso wie im vorliegenden Fall die Anordnung von Sicherheitshaft im massnahmenrechtlichen gerichtlichen Nachverfahren zu Grunde. Der EGMR stellte dabei eine Verletzung von Artikel 5 Ziffer 1 der EMRK fest. Gemäss Artikel 5 Ziffer 1 EMRK darf einer Person die Freiheit nur "auf die gesetzlich vorgeschriebene Weise" entzogen werden. Derzeit besteht für die Anordnung und Fortsetzung von Sicherheitshaft im massnahmenrechtlichen gerichtlichen Nachverfahren noch keine ausdrückliche gesetzliche Regelung. Nach der Praxis des EGMR kann indessen eine analoge Anwendung haftrechtlicher Bestimmungen mit Artikel 5 Ziffer 1 EMRK vereinbar sein, wenn sie sich auf eine lang andauernde und konstante Rechtsprechung stützen kann. Entscheidend ist dabei gemäss EGMR, dass für die Betroffenen das Recht hinreichend klar und sein Gehalt somit vorhersehbar ist. Der EGMR hat das Bestehen einer solchen Praxis im Entscheid vom Dezember 2019 verneint, im Wesentlichen mit der Begründung, dass es lediglich einen Grundsatzentscheid des Bundesgerichts gebe, der dieselbe Situation betreffe. Das Bundesgericht kommt zum Schluss, dass für die im vorliegenden Fall angeordnete Sicherheitshaft eine lang andauernde und konstante Rechtsprechung des Bundesgerichts zur analogen Anwendung der Bestimmungen über die Sicherheitshaft vor einer Verurteilung (Artikel 221 und 229 ff StPO) besteht und der angefochtene Entscheid mit Artikel 5 Ziffer 1 EMRK vereinbar ist. Vorliegend ist der Stand der Rechtsprechung und der Gesetzgebung von Dezember 2019 (Datum der Haftanordnung) massgebend. Wesentlich ist sodann, dass nicht nur Grundsatzentscheide des Bundesgerichts zu berücksichtigen sind, sondern sämtliche einschlägigen Entscheide des Bundesgerichts, die seit 2000 grösstenteils und seit 2007 vollständig im Internet publiziert werden. Am Anfang steht dabei definitionsgemäss ein einziger Grundsatzentscheid, während die nachfolgenden Entscheide diesen bestätigen. Weiter hat der EGMR die Kategorie der massgebenden Entscheide zu eng gefasst. Im Ergebnis ist von einer erheblichen Anzahl übereinstimmender publizierter höchstrichterlicher Entscheide auszugehen, die ohne Weiteres als konstante und lang andauernde Rechtsprechung zu qualifizieren sind. Hinzu kommt, dass das Bundesgericht in diversen Entscheiden eine klare gesetzliche Regelung als wünschbar bezeichnet, der Gesetzgeber diese Anregung konsequent aufgenommen hat und seit August 2019 ein Gesetzesentwurf vorliegt. Für den anwaltlich verbeiständeten Beschwerdeführer war daher im Zeitpunkt der Haftanordnung ausreichend erkennbar, welche haftrechtlichen Regeln zur Anwendung gelangten.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 14 avril 2020 Embargo : 14 avril 2020, 12h00 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Arrêt du 31 mars 2020 (1B_111/2020) Détention pour des motifs de sûreté ordonnée dans la procédure ultérieure compatible avec la CEDH La détention pour des motifs de sûreté, ordonnée par le Tribunal cantonal valaisan dans une procédure ultérieure relative à une mesure envers un délinquant pédosexuel, susceptible de récidiver, est compatible avec la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH). Le Tribunal fédéral arrive à cette conclusion après avoir examiné un récent arrêt de la Cour européenne des droits de l'homme. L'homme concerné avait été condamné à plusieurs reprises pour des actes d’ordre sexuel avec des enfants, ainsi que d'autres délits, à une peine privative de liberté totale de plus de six ans. En 2013, une mesure thérapeutique ambulatoire accompagnant la peine de prison a été convertie en une mesure thérapeutique institutionnelle, qui a été prolongée jusqu'à la fin décembre 2019. Début décembre 2019, le Service de l'application des peines et mesures du canton du Valais a demandé la prolongation de la mesure institutionnelle. Le tribunal compétent n'étant pas en mesure de prendre une décision avant fin décembre 2019, le Tribunal des mesures de contrainte du canton a ordonné, le 20 décembre 2019, le placement de l'intéressé en détention pour des motifs de sûreté (à partir du 1er janvier 2020). Le Tribunal cantonal du canton du Valais a rejeté le recours déposé par l'intéressé qui, selon les experts, est considéré comme présentant un risque élevé de récidive. Le Tribunal a affirmé que les dispositions du Code de procédure pénale (CCP) sur la détention pour des motifs de sûreté avant condamnation s'appliqueraient par analogie. Le Tribunal fédéral rejette le recours de l'intéressé. Celui-ci s'était plaint d'une violation de l'article 5 chiffre 1 de la CEDH, car il n'y existerait pas de base légale suffisante pour la détention pour des motifs de sûreté ordonnée. A l'appui de son recours, il se réfère à un récent arrêt de la Cour européenne des droits de l'homme ( I.L. c. Suisse du 3 décembre 2019, n° 72939/16 ). Comme dans le cas présent, l'arrêt se référait à un ordre de détention pour des motifs de sûreté dans une procédure judiciaire ultérieure relative à une mesure. La Cour européenne des droits de l'homme avait constaté une violation de l'article 5 chiffre 1 de la CEDH. Selon l'article 5 chiffre 1 de la CEDH, une personne ne peut être privée de sa liberté que « selon les voies légales ». Actuellement, il n'existe pas de réglementation légale explicite concernant l'ordre et le maintien d'une détention pour des motifs de sûreté dans une procédure judiciaire ultérieure relative à une mesure. Toutefois, selon la pratique de la Cour européenne des droits de l'homme, une application analogue des dispositions relatives à une détention peut être compatible avec l'article 5 chiffre 1 de la CEDH, si elle peut se fonder sur une jurisprudence ancienne et constante. Selon la Cour européenne des droits de l'homme, le facteur décisif à cet égard est que le droit soit suffisamment clair pour les personnes concernées et que son contenu soit donc prévisible. La Cour européenne des droits de l'homme a nié l'existence d'une telle pratique dans sa décision de décembre 2019, essentiellement au motif qu'il n'y avait qu'une décision de principe du Tribunal fédéral concernant la même situation. Le Tribunal fédéral conclut qu'il existe, pour la présente affaire, une jurisprudence ancienne et constante de sa part sur l'application par analogie des dispositions relatives à la détention pour des motifs de sûreté avant condamnation (articles 221 et 229 ss CPP) pour la détention pour des motifs de sûreté ; la décision attaquée est compatible avec l'article 5 chiffre 1 de la CEDH. En l'espèce, est déterminant l'état de la jurisprudence et de la législation en décembre 2019 (date de l'ordonnance de détention). Il est alors essentiel de prendre en compte non seulement les décisions de principe du Tribunal fédéral, mais aussi tous les arrêts du Tribunal fédéral en la matière, dont la plupart est publiée sur Internet depuis 2000 et l'intégralité depuis 2007. Par définition, cela commence par une seule décision de principe, alors que les décisions ultérieures confirment la règle. En outre, la Cour européenne des droits de l'homme a défini la catégorie des décisions pertinentes de manière trop étroite. En conséquence, on peut supposer qu'il existe un nombre considérable de décisions allant dans le même sens qui ont été publiées par le Tribunal fédéral et qui peuvent sans autre être qualifiées de jurisprudence ancienne et constante. En outre, le Tribunal fédéral a déclaré dans plusieurs décisions qu'une réglementation juridique claire était souhaitable ; le législateur a par conséquent accueilli cette suggestion et un projet de loi est disponible depuis août 2019. Pour le recourant, qui était représenté par un avocat, il était donc suffisamment clair, au moment de l'ordonnance de détention, quelles règles de détention seraient appliquées.
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Lausanne, 14. April 2020 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 31. März 2020 (1B_111/2020) Im Nachverfahren angeordnete Sicherheitshaft mit EMRK vereinbar Die vom Kantonsgericht Wallis im massnahmenrechtlichen Nachverfahren angeordnete Sicherheitshaft gegenüber einem rückfallgefährdeten pädosexuellen Straftäter ist mit der Europäischen Menschenrechtskonvention (EMRK) vereinbar. Zu diesem Schluss kommt das Bundesgericht in Auseinandersetzung mit einem kürzlich ergangenen Urteil des Europäischen Gerichtshofs für Menschenrechte (EGMR). Der Betroffene wurde mehrmals wegen sexueller Handlungen mit Kindern und weiteren Delikten zu insgesamt über sechs Jahren Freiheitsstrafe verurteilt. 2013 wurde eine den Vollzug begleitende ambulante therapeutische Massnahme in eine stationäre therapeutische Massnahme umgewandelt, die bis Ende Dezember 2019 verlängert wurde. Anfang Dezember 2019 beantragte die Dienststelle für Straf- und Massnahmenvollzug des Kantons Wallis die Verlängerung der stationären Massnahme. Da sich das zuständige Gericht nicht in der Lage sah, vor Ende Dezember 2019 darüber zu entscheiden, ordnete das kantonale Zwangsmassnahmengericht am 20. Dezember 2019 (per 1. Januar 2020) gegen den Betroffenen vorläufig Sicherheitshaft an. Das Kantonsgericht des Kantons Wallis wies die Beschwerde des Mannes ab, von dem gemäss Gutachtern eine hohe Rückfallgefahr ausgeht. Es bejahte dabei eine analoge Anwendung der Bestimmungen der Strafprozessordnung (StPO) zur Sicherheitshaft vor einer Verurteilung. Das Bundesgericht weist die Beschwerde des Mannes ab. Er hatte eine Verletzung von Artikel 5 Ziffer 1 EMRK gerügt, da für die angeordnete Sicherheitshaft keine ausreichende gesetzliche Grundlage bestehe. Zur Begründung stützte er sich auf ein kürzlich ergangenes Urteil des EGMR ( I.L. gegen die Schweiz vom 3. Dezember 2019, Nr. 72939/16). Dem Urteil lag ebenso wie im vorliegenden Fall die Anordnung von Sicherheitshaft im massnahmenrechtlichen gerichtlichen Nachverfahren zu Grunde. Der EGMR stellte dabei eine Verletzung von Artikel 5 Ziffer 1 der EMRK fest. Gemäss Artikel 5 Ziffer 1 EMRK darf einer Person die Freiheit nur "auf die gesetzlich vorgeschriebene Weise" entzogen werden. Derzeit besteht für die Anordnung und Fortsetzung von Sicherheitshaft im massnahmenrechtlichen gerichtlichen Nachverfahren noch keine ausdrückliche gesetzliche Regelung. Nach der Praxis des EGMR kann indessen eine analoge Anwendung haftrechtlicher Bestimmungen mit Artikel 5 Ziffer 1 EMRK vereinbar sein, wenn sie sich auf eine lang andauernde und konstante Rechtsprechung stützen kann. Entscheidend ist dabei gemäss EGMR, dass für die Betroffenen das Recht hinreichend klar und sein Gehalt somit vorhersehbar ist. Der EGMR hat das Bestehen einer solchen Praxis im Entscheid vom Dezember 2019 verneint, im Wesentlichen mit der Begründung, dass es lediglich einen Grundsatzentscheid des Bundesgerichts gebe, der dieselbe Situation betreffe. Das Bundesgericht kommt zum Schluss, dass für die im vorliegenden Fall angeordnete Sicherheitshaft eine lang andauernde und konstante Rechtsprechung des Bundesgerichts zur analogen Anwendung der Bestimmungen über die Sicherheitshaft vor einer Verurteilung (Artikel 221 und 229 ff StPO) besteht und der angefochtene Entscheid mit Artikel 5 Ziffer 1 EMRK vereinbar ist. Vorliegend ist der Stand der Rechtsprechung und der Gesetzgebung von Dezember 2019 (Datum der Haftanordnung) massgebend. Wesentlich ist sodann, dass nicht nur Grundsatzentscheide des Bundesgerichts zu berücksichtigen sind, sondern sämtliche einschlägigen Entscheide des Bundesgerichts, die seit 2000 grösstenteils und seit 2007 vollständig im Internet publiziert werden. Am Anfang steht dabei definitionsgemäss ein einziger Grundsatzentscheid, während die nachfolgenden Entscheide diesen bestätigen. Weiter hat der EGMR die Kategorie der massgebenden Entscheide zu eng gefasst. Im Ergebnis ist von einer erheblichen Anzahl übereinstimmender publizierter höchstrichterlicher Entscheide auszugehen, die ohne Weiteres als konstante und lang andauernde Rechtsprechung zu qualifizieren sind. Hinzu kommt, dass das Bundesgericht in diversen Entscheiden eine klare gesetzliche Regelung als wünschbar bezeichnet, der Gesetzgeber diese Anregung konsequent aufgenommen hat und seit August 2019 ein Gesetzesentwurf vorliegt. Für den anwaltlich verbeiständeten Beschwerdeführer war daher im Zeitpunkt der Haftanordnung ausreichend erkennbar, welche haftrechtlichen Regeln zur Anwendung gelangten.
Lausanne, le 14 avril 2020 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Arrêt du 31 mars 2020 (1B_111/2020) Détention pour des motifs de sûreté ordonnée dans la procédure ultérieure compatible avec la CEDH La détention pour des motifs de sûreté, ordonnée par le Tribunal cantonal valaisan dans une procédure ultérieure relative à une mesure envers un délinquant pédosexuel, susceptible de récidiver, est compatible avec la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH). Le Tribunal fédéral arrive à cette conclusion après avoir examiné un récent arrêt de la Cour européenne des droits de l'homme. L'homme concerné avait été condamné à plusieurs reprises pour des actes d’ordre sexuel avec des enfants, ainsi que d'autres délits, à une peine privative de liberté totale de plus de six ans. En 2013, une mesure thérapeutique ambulatoire accompagnant la peine de prison a été convertie en une mesure thérapeutique institutionnelle, qui a été prolongée jusqu'à la fin décembre 2019. Début décembre 2019, le Service de l'application des peines et mesures du canton du Valais a demandé la prolongation de la mesure institutionnelle. Le tribunal compétent n'étant pas en mesure de prendre une décision avant fin décembre 2019, le Tribunal des mesures de contrainte du canton a ordonné, le 20 décembre 2019, le placement de l'intéressé en détention pour des motifs de sûreté (à partir du 1er janvier 2020). Le Tribunal cantonal du canton du Valais a rejeté le recours déposé par l'intéressé qui, selon les experts, est considéré comme présentant un risque élevé de récidive. Le Tribunal a affirmé que les dispositions du Code de procédure pénale (CCP) sur la détention pour des motifs de sûreté avant condamnation s'appliqueraient par analogie. Le Tribunal fédéral rejette le recours de l'intéressé. Celui-ci s'était plaint d'une violation de l'article 5 chiffre 1 de la CEDH, car il n'y existerait pas de base légale suffisante pour la détention pour des motifs de sûreté ordonnée. A l'appui de son recours, il se réfère à un récent arrêt de la Cour européenne des droits de l'homme ( I.L. c. Suisse du 3 décembre 2019, n° 72939/16 ). Comme dans le cas présent, l'arrêt se référait à un ordre de détention pour des motifs de sûreté dans une procédure judiciaire ultérieure relative à une mesure. La Cour européenne des droits de l'homme avait constaté une violation de l'article 5 chiffre 1 de la CEDH. Selon l'article 5 chiffre 1 de la CEDH, une personne ne peut être privée de sa liberté que « selon les voies légales ». Actuellement, il n'existe pas de réglementation légale explicite concernant l'ordre et le maintien d'une détention pour des motifs de sûreté dans une procédure judiciaire ultérieure relative à une mesure. Toutefois, selon la pratique de la Cour européenne des droits de l'homme, une application analogue des dispositions relatives à une détention peut être compatible avec l'article 5 chiffre 1 de la CEDH, si elle peut se fonder sur une jurisprudence ancienne et constante. Selon la Cour européenne des droits de l'homme, le facteur décisif à cet égard est que le droit soit suffisamment clair pour les personnes concernées et que son contenu soit donc prévisible. La Cour européenne des droits de l'homme a nié l'existence d'une telle pratique dans sa décision de décembre 2019, essentiellement au motif qu'il n'y avait qu'une décision de principe du Tribunal fédéral concernant la même situation. Le Tribunal fédéral conclut qu'il existe, pour la présente affaire, une jurisprudence ancienne et constante de sa part sur l'application par analogie des dispositions relatives à la détention pour des motifs de sûreté avant condamnation (articles 221 et 229 ss CPP) pour la détention pour des motifs de sûreté ; la décision attaquée est compatible avec l'article 5 chiffre 1 de la CEDH. En l'espèce, est déterminant l'état de la jurisprudence et de la législation en décembre 2019 (date de l'ordonnance de détention). Il est alors essentiel de prendre en compte non seulement les décisions de principe du Tribunal fédéral, mais aussi tous les arrêts du Tribunal fédéral en la matière, dont la plupart est publiée sur Internet depuis 2000 et l'intégralité depuis 2007. Par définition, cela commence par une seule décision de principe, alors que les décisions ultérieures confirment la règle. En outre, la Cour européenne des droits de l'homme a défini la catégorie des décisions pertinentes de manière trop étroite. En conséquence, on peut supposer qu'il existe un nombre considérable de décisions allant dans le même sens qui ont été publiées par le Tribunal fédéral et qui peuvent sans autre être qualifiées de jurisprudence ancienne et constante. En outre, le Tribunal fédéral a déclaré dans plusieurs décisions qu'une réglementation juridique claire était souhaitable ; le législateur a par conséquent accueilli cette suggestion et un projet de loi est disponible depuis août 2019. Pour le recourant, qui était représenté par un avocat, il était donc suffisamment clair, au moment de l'ordonnance de détention, quelles règles de détention seraient appliquées.
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1B_114_2016_2017_04_07_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 7. April 2017 Embargo: 7. April 2017, 12:00 Uhr Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteile vom 21. März 2017 (1B_114/2016, 1B_115/2016, 1B_116/2016, 1B_117/2016, 1B_118/2016, 1B_119/2016, 1B_122/2016) Verdeckte Ermittlung und Audio-Überwachung rechtmässig Die Anordnung einer verdeckten Ermittlung gegen ein Elternpaar, das von der Staatsanwaltschaft des Kantons Solothurn der Tötung des Sohnes und der schweren Körperverletzung der Tochter verdächtigt wird, war rechtmässig. Ebenfalls nicht zu beanstanden ist entgegen der Ansicht des Obergerichts des Kantons Solothurn die Abhörung der Wohnungen des Elternpaars. Das Bundesgericht heisst die entsprechenden Beschwerden der Staatsanwaltschaft des Kantons Solothurn gut. Eine weitere Beschwerde weist es hingegen ab. Die Solothurner Staatsanwaltschaft führt gegen das Elternpaar eine Strafuntersuchung wegen des Verdachts der vorsätzlichen Tötung des Sohnes im Jahr 2010 und der schweren Körperverletzung der Tochter im Jahr 2012. Zur Aufklärung der mutmasslichen Delikte ordnete die Staatsanwaltschaft den Einsatz verdeckter Ermittler gegen das Elternpaar sowie eine Audio-Überwachung von dessen Wohnungen an. Nach Beendigung der Massnahmen wurden die Betroffenen darüber in Kenntnis gesetzt. Das Obergericht des Kantons Solothurn kam auf ihre Beschwerde hin 2016 zum Schluss, die Anordnung der verdeckten Ermittlung und die Audio-Überwachung seien unrechtmässig gewesen. Das Bundesgericht heisst die dagegen erhobenen Beschwerden der Staatsanwaltschaft gut. Die Voraussetzungen der Strafprozessordnung für eine Audio-Überwachung und die Anordnung einer verdeckten Ermittlung waren erfüllt, zumal die vorgeworfenen Straftaten ausserordentlich schwer wiegen und die Staatsanwaltschaft beweismässig nicht weiter kam, obwohl sie alle anderen ihr zur Verfügung stehenden Mittel ausgeschöpft hatte. Entgegen der Ansicht der Vorinstanz steht dem Einsatz verdeckter Ermittler nicht entgegen, dass die Beschuldigten im Rahmen der Ermittlungen von ihrem Recht auf Aussageverweigerung Gebrauch gemacht haben. Allerdings setzt dieser Umstand der verdeckten Ermittlung Grenzen. Unzulässig wäre es, wenn ein verdeckter Ermittler einem Beschuldigten unter Ausnützung des geschaffenen Vertrauensverhältnisses Fragen unterbreitet, die in der Einvernahme gestellt wurden und ihn zur Aussage drängt. Die Anordnung der verdeckten Ermittlung wäre vorliegend höchstens dann unzulässig gewesen, wenn die Staatsanwaltschaft die Ermittler zum vornherein dazu angehalten hätte, in dieser Weise vorzugehen. Dafür gibt es aber keine Anhaltspunkte. Eine andere Frage ist, ob die verdeckten Ermittler in der Folge bei ihrem Einsatz das Mass des Zulässigen überschritten haben. Dies wird vom zuständigen Sachgericht zu beurteilen sein, sofern es zu einer Anklage kommt. Als rechtmässig erweist sich auch die Abhörung der Wohnungen der Beschuldigten, weshalb die daraus gewonnenen Erkenntnisse verwertet werden dürfen. Der Kerngehalt der verfassungsmässigen Rechte der Beschuldigten wurde durch die Abhörung nicht verletzt. Diese war auch verhältnismässig. Insbesondere ist die Anordnung einer Abhörung nicht auf Straftaten beschränkt, bei denen ein kriminelles Umfeld oder organisierte Kriminalität besteht. Eine weitere Beschwerde der Staatsanwaltschaft weist das Bundesgericht ab. Diese stand im Zusammenhang mit dem Umstand, dass die Staatsanwaltschaft bei der beschuldigten Frau und ihrem neuen Lebenspartner eine Hausdurchsuchung durchgeführt, Datenträger beschlagnahmt und sich darauf befindliche Fotos gelöscht hatte, welche sie von den verdeckten Ermittlern gemacht hatten. Das Bundesgericht bestätigt die Ansicht des Solothurner Obergerichts, dass der diesbezügliche Eingriff in die Grundrechte der Betroffenen unverhältnismässig war.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 7 avril 2017 Embargo : 7 avril 2017, 12:00 heures Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêts du 21 mars 2017 (1B_114/2016, 1B_115/2016, 1B_116/2016, 1B_117/2016, 1B_118/2016, 1B_119/2016, 1B_122/2016) Licéité de mesures d'investigation secrète et de mise sous écoute La mise en oeuvre d'une investigation secrète contre un couple, soupçonné par le Ministère public du canton de Soleure d'homicide de leur fils et de lésions corporelles graves à l'encontre de leur fille, était licite. Tel est également le cas de la mise sous écoute des appartements du couple. Le Tribunal fédéral admet les recours déposés par le Ministère public soleurois. Un autre recours déposé par ce dernier est en revanche rejeté. Le Ministère public soleurois mène une enquête contre un couple pour les chefs de prévention d'homicide intentionnel de leur fils en 2010 et de lésions corporelles graves à l'encontre de leur fille en 2012. Dans le cadre de l'instruction, le Ministère public a ordonné une investigation secrète – par le biais d'agents infiltrés –, ainsi que la mise sous écoute des appartements des prévenus. Une fois terminées, ces mesures ont été portées à la connaissance des prévenus. A la suite des recours intentés par ces derniers en 2016, le Tribunal cantonal soleurois a considéré que la mise en œuvre d'une investigation secrète, ainsi que la mise sur écoute ordonnées étaient illicites. Le Tribunal fédéral admet les recours en matière pénale déposés par le Ministère public à l'encontre de ces jugements. Les conditions du code de procédure pénale permettant la mise sous écoute et la mise en œuvre d'une investigation secrète étaient réalisées, dès lors que les faits examinés sont extrêmement graves et que le Ministère public a épuisé tous les autres moyens de preuve à sa disposition. Contrairement à ce que la cour cantonale a retenu, le recours à des agents infiltrés ne violait pas le droit de se taire dont se sont prévalus les prévenus au cours de l'instruction. Cependant, une telle invocation pose des limites lors de la mise en oeuvre de l'investigation secrète. Il serait en effet inadmissible que les agents infiltrés, sous couvert de la relation de confiance établie avec le prévenu dans le cadre de leur mission, leur permette de soulever des questions auxquelles le prévenu pourrait, au cours d'une audition, refuser de répondre. La mise en oeuvre d'une investigation secrète serait dans le cas présent d'autant plus inadmissible si le Ministère public avait incité les agents infiltrés à procéder de cette manière. Il n'y a cependant aucun élément permettant de considérer que tel aurait été le cas en l'espèce. Déterminer ensuite si les agents infiltrés ont dépassé ce qu'ils étaient autorisés à faire dans le cadre de leur mission est une autre question, sur laquelle le juge du fond sera appelé à statuer, pour autant qu'il y a mise en accusation. La mise sous écoute des appartements des prévenus est également licite, les données récoltées pouvant en conséquence être utilisées. Le noyau intangible des droits constitutionnels des prévenus n'est ainsi pas violé par leur mise sous écoute. Cette mesure est aussi conforme au principe de proportionnalité. En particulier, la mise sous écoute n'est pas limitée à des infractions relatives à un environnement criminel ou à des enquêtes en lien avec la criminalité organisée. Le Tribunal fédéral rejette en revanche un autre recours déposé par le Ministère public en lien avec cette même instruction. Celui-ci concernait la perquisition ordonnée par le Ministère public au domicile de la prévenue et de son nouveau compagnon ; un support de données avait été séquestré et les photos des agents infiltrés s'y trouvant, prises par la prévenue et son ami, avaient été effacées par le Procureur. Le Tribunal fédéral confirme l'arrêt cantonal, selon lequel l'atteinte aux droits fondamentaux des intéressés était alors disproportionnée.
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1B_114_2016_2017_04_07_T_{lang}
Lausanne, 7. April 2017 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteile vom 21. März 2017 (1B_114/2016, 1B_115/2016, 1B_116/2016, 1B_117/2016, 1B_118/2016, 1B_119/2016, 1B_122/2016) Verdeckte Ermittlung und Audio-Überwachung rechtmässig Die Anordnung einer verdeckten Ermittlung gegen ein Elternpaar, das von der Staatsanwaltschaft des Kantons Solothurn der Tötung des Sohnes und der schweren Körperverletzung der Tochter verdächtigt wird, war rechtmässig. Ebenfalls nicht zu beanstanden ist entgegen der Ansicht des Obergerichts des Kantons Solothurn die Abhörung der Wohnungen des Elternpaars. Das Bundesgericht heisst die entsprechenden Beschwerden der Staatsanwaltschaft des Kantons Solothurn gut. Eine weitere Beschwerde weist es hingegen ab. Die Solothurner Staatsanwaltschaft führt gegen das Elternpaar eine Strafuntersuchung wegen des Verdachts der vorsätzlichen Tötung des Sohnes im Jahr 2010 und der schweren Körperverletzung der Tochter im Jahr 2012. Zur Aufklärung der mutmasslichen Delikte ordnete die Staatsanwaltschaft den Einsatz verdeckter Ermittler gegen das Elternpaar sowie eine Audio-Überwachung von dessen Wohnungen an. Nach Beendigung der Massnahmen wurden die Betroffenen darüber in Kenntnis gesetzt. Das Obergericht des Kantons Solothurn kam auf ihre Beschwerde hin 2016 zum Schluss, die Anordnung der verdeckten Ermittlung und die Audio-Überwachung seien unrechtmässig gewesen. Das Bundesgericht heisst die dagegen erhobenen Beschwerden der Staatsanwaltschaft gut. Die Voraussetzungen der Strafprozessordnung für eine Audio-Überwachung und die Anordnung einer verdeckten Ermittlung waren erfüllt, zumal die vorgeworfenen Straftaten ausserordentlich schwer wiegen und die Staatsanwaltschaft beweismässig nicht weiter kam, obwohl sie alle anderen ihr zur Verfügung stehenden Mittel ausgeschöpft hatte. Entgegen der Ansicht der Vorinstanz steht dem Einsatz verdeckter Ermittler nicht entgegen, dass die Beschuldigten im Rahmen der Ermittlungen von ihrem Recht auf Aussageverweigerung Gebrauch gemacht haben. Allerdings setzt dieser Umstand der verdeckten Ermittlung Grenzen. Unzulässig wäre es, wenn ein verdeckter Ermittler einem Beschuldigten unter Ausnützung des geschaffenen Vertrauensverhältnisses Fragen unterbreitet, die in der Einvernahme gestellt wurden und ihn zur Aussage drängt. Die Anordnung der verdeckten Ermittlung wäre vorliegend höchstens dann unzulässig gewesen, wenn die Staatsanwaltschaft die Ermittler zum vornherein dazu angehalten hätte, in dieser Weise vorzugehen. Dafür gibt es aber keine Anhaltspunkte. Eine andere Frage ist, ob die verdeckten Ermittler in der Folge bei ihrem Einsatz das Mass des Zulässigen überschritten haben. Dies wird vom zuständigen Sachgericht zu beurteilen sein, sofern es zu einer Anklage kommt. Als rechtmässig erweist sich auch die Abhörung der Wohnungen der Beschuldigten, weshalb die daraus gewonnenen Erkenntnisse verwertet werden dürfen. Der Kerngehalt der verfassungsmässigen Rechte der Beschuldigten wurde durch die Abhörung nicht verletzt. Diese war auch verhältnismässig. Insbesondere ist die Anordnung einer Abhörung nicht auf Straftaten beschränkt, bei denen ein kriminelles Umfeld oder organisierte Kriminalität besteht. Eine weitere Beschwerde der Staatsanwaltschaft weist das Bundesgericht ab. Diese stand im Zusammenhang mit dem Umstand, dass die Staatsanwaltschaft bei der beschuldigten Frau und ihrem neuen Lebenspartner eine Hausdurchsuchung durchgeführt, Datenträger beschlagnahmt und sich darauf befindliche Fotos gelöscht hatte, welche sie von den verdeckten Ermittlern gemacht hatten. Das Bundesgericht bestätigt die Ansicht des Solothurner Obergerichts, dass der diesbezügliche Eingriff in die Grundrechte der Betroffenen unverhältnismässig war.
Lausanne, le 7 avril 2017 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêts du 21 mars 2017 (1B_114/2016, 1B_115/2016, 1B_116/2016, 1B_117/2016, 1B_118/2016, 1B_119/2016, 1B_122/2016) Licéité de mesures d'investigation secrète et de mise sous écoute La mise en oeuvre d'une investigation secrète contre un couple, soupçonné par le Ministère public du canton de Soleure d'homicide de leur fils et de lésions corporelles graves à l'encontre de leur fille, était licite. Tel est également le cas de la mise sous écoute des appartements du couple. Le Tribunal fédéral admet les recours déposés par le Ministère public soleurois. Un autre recours déposé par ce dernier est en revanche rejeté. Le Ministère public soleurois mène une enquête contre un couple pour les chefs de prévention d'homicide intentionnel de leur fils en 2010 et de lésions corporelles graves à l'encontre de leur fille en 2012. Dans le cadre de l'instruction, le Ministère public a ordonné une investigation secrète – par le biais d'agents infiltrés –, ainsi que la mise sous écoute des appartements des prévenus. Une fois terminées, ces mesures ont été portées à la connaissance des prévenus. A la suite des recours intentés par ces derniers en 2016, le Tribunal cantonal soleurois a considéré que la mise en œuvre d'une investigation secrète, ainsi que la mise sur écoute ordonnées étaient illicites. Le Tribunal fédéral admet les recours en matière pénale déposés par le Ministère public à l'encontre de ces jugements. Les conditions du code de procédure pénale permettant la mise sous écoute et la mise en œuvre d'une investigation secrète étaient réalisées, dès lors que les faits examinés sont extrêmement graves et que le Ministère public a épuisé tous les autres moyens de preuve à sa disposition. Contrairement à ce que la cour cantonale a retenu, le recours à des agents infiltrés ne violait pas le droit de se taire dont se sont prévalus les prévenus au cours de l'instruction. Cependant, une telle invocation pose des limites lors de la mise en oeuvre de l'investigation secrète. Il serait en effet inadmissible que les agents infiltrés, sous couvert de la relation de confiance établie avec le prévenu dans le cadre de leur mission, leur permette de soulever des questions auxquelles le prévenu pourrait, au cours d'une audition, refuser de répondre. La mise en oeuvre d'une investigation secrète serait dans le cas présent d'autant plus inadmissible si le Ministère public avait incité les agents infiltrés à procéder de cette manière. Il n'y a cependant aucun élément permettant de considérer que tel aurait été le cas en l'espèce. Déterminer ensuite si les agents infiltrés ont dépassé ce qu'ils étaient autorisés à faire dans le cadre de leur mission est une autre question, sur laquelle le juge du fond sera appelé à statuer, pour autant qu'il y a mise en accusation. La mise sous écoute des appartements des prévenus est également licite, les données récoltées pouvant en conséquence être utilisées. Le noyau intangible des droits constitutionnels des prévenus n'est ainsi pas violé par leur mise sous écoute. Cette mesure est aussi conforme au principe de proportionnalité. En particulier, la mise sous écoute n'est pas limitée à des infractions relatives à un environnement criminel ou à des enquêtes en lien avec la criminalité organisée. Le Tribunal fédéral rejette en revanche un autre recours déposé par le Ministère public en lien avec cette même instruction. Celui-ci concernait la perquisition ordonnée par le Ministère public au domicile de la prévenue et de son nouveau compagnon ; un support de données avait été séquestré et les photos des agents infiltrés s'y trouvant, prises par la prévenue et son ami, avaient été effacées par le Procureur. Le Tribunal fédéral confirme l'arrêt cantonal, selon lequel l'atteinte aux droits fondamentaux des intéressés était alors disproportionnée.
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1B_164_2019_2019_12_09_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 9. Dezember 2019 Embargo: 9. Dezember 2019, 12:00 Uhr Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 15. November 2019 (1B_164/2019) Tragweite des Territorialitätsprinzips hinsichtlich der Verwendung von Aufzeichnungen, die von geheimen, in der Schweiz bewilligten technischen Überwachungsmassnahmen stammen Das Bundesgericht umschreibt die Voraussetzungen, unter denen im Ausland vorgenommene Aufzeichnungen im Rahmen geheimer, in der Schweiz bewilligter, technischer Überwachungsmassnahmen in einem Strafverfahren verwendet werden können. Die von einer schweizerischen Behörde erteilte Bewilligung umfasst nur Aufzeichnungen, die in der Schweiz vorgenommen wurden. Der Beschwerdeführer hat mutmasslich einem Rauschgifthändlerring angehört, der an der Waadtländer Riviera tätig ist. Zwischen Juni 2017 und März 2018 erhielt die Staatsanwaltschaft des Kreises Waadt Ost vom Zwangsmassnahmengericht die Bewilligung, namentlich geheime technische Überwachungsmassnahmen anzuwenden. In mehreren vom Beschwerdeführer verwendeten Fahrzeugen wurden GPS-Tracker und Mikrophone angebracht. Während der Überwachungsdauer begab sich der Beschwerdeführer wiederholt mit dem Auto ins Ausland. Er beschwerte sich erfolglos bei der Staatsanwaltschaft und bei der strafrechtlichen Rekurskammer des Kantons Waadt gegen die Verwendung der auf diesem Weg im Ausland erlangten Aufzeichnungen. Das Bundesgericht heisst die Beschwerde gut und weist die Sache an die Vorinstanz zurück. Diese hat die Örtlichkeiten zu bestimmen, an welchen Aufzeichnungen erfolgt sind sowie das anwendbare Recht, soweit dies ausserhalb der Schweiz geschehen ist. Falls keine internationalen Abkommen bestehen, welche die Aufzeichnungen durch Schweizer Behörden auf ausländischem Territorium ohne weitere – insbesondere vorgängige – Formalitäten gestatten, hat das kantonale Gericht die unverzügliche Vernichtung dieser in unerlaubter Weise erlangten Beweismittel zu veranlassen. Dasselbe gilt für Aufzeichnungen, die nicht lokalisiert werden können. Wie das Bundesgericht weiter darlegt, kann von den Schweizerischen Strafverfolgungsbehörden in der Tat nicht erwartet werden, dass sie sich von eventuellen Fahrten mit in der Schweiz rechtmässig überwachten Personenwagen ins Ausland vorzeitig Kenntnis verschaffen. Aufgrund des Territorialitätsprinzips darf ein Staat jedoch keine Ermittlungs- und strafrechtlichen Verfolgungsmassnahmen auf dem Gebiet eines anderen Staates vornehmen, ohne dass dieser zustimmt. Eine technische Überwachungsmassnahme auf dem Gebiet eines anderen Staates muss in der Regel in Anwendung des internationalen Rechts (Staatsvertrag, bilaterales Abkommen, internationales Gewohnheitsrecht) oder, falls keine solche völkerrechtliche Grundlage vorliegt, nach Massgabe der vorgängigen Zustimmung des betroffenen Staates, mit Rücksicht auf die Regeln der internationalen Rechtshilfe in Strafsachen, in die Wege geleitet werden. Im vorliegenden Fall hat die Staatsanwaltschaft es unterlassen, die ausländischen Behörden um Zustimmung zur Vornahme geheimer technischer Vorkehren zu ersuchen. Davon durfte sie jedoch nicht absehen, da Regeln auf dem Gebiet der Rechtshilfe fehlen, welche die getroffenen Vorkehren von vornherein als zulässig erklären. Mangels Einwilligung der Behörden der betroffenen ausländischen Staaten sind die im Ausland vorgenommenen Aufzeichnungen zurzeit nicht erlaubt und dürfen nicht verwendet werden.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 9 décembre 2019 Embargo : 9 décembre 2019, 12h00 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Arrêt du 15 novembre 2019 (1B_164/2019) Portée du principe de territorialité pour l'exploitation d'enregistrements issus de mesures techniques de surveillance secrètes autorisées en Suisse Le Tribunal fédéral précise les conditions dans lesquelles des enregistrements effectués à l'étranger, dans le cadre de mesures techniques de surveillance secrètes valablement autorisées en Suisse, peuvent être exploités au cours d’une procédure pénale. L'autorisation délivrée par une autorité suisse n'englobe que les enregistrements effectués sur le territoire suisse. Le recourant est présumé avoir participé à un réseau de trafiquants de drogue opérant sur la Riviera vaudoise. Entre juin 2017 et mars 2018, le Ministère public de l'arrondissement de l'Est vaudois a obtenu, auprès du Tribunal des mesures de contrainte, l'autorisation de mettre en œuvre, notamment, des mesures techniques de surveillance secrètes. Une balise GPS et des micros ont été placés dans plusieurs véhicules utilisés par le recourant. Durant la période de surveillance, le recourant s'est rendu à l'étranger en voiture à plusieurs reprises. Il s'est opposé sans succès auprès du Ministère public, puis devant la Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois, à l'exploitation des enregistrements effectués à l’étranger par ce biais. Saisi d'un recours en matière pénale, le Tribunal fédéral admet celui-ci et renvoie la cause à l'autorité précédente pour qu'elle détermine les lieux des enregistrements, ainsi que le droit applicable pour ceux effectués hors de la Suisse ; en l’absence notamment de traités internationaux autorisant ces enregistrements par des autorités suisses sur le territoire étranger sans autre formalité – en particulier préalable –, la Cour cantonale ordonnera la destruction immédiate de ces moyens de preuves illicites, ainsi que de ceux dont le lieu d’enregistrement ne pourrait pas être déterminé. Le Tribunal fédéral rappelle que certes il ne peut être attendu des autorités de poursuites pénales suisses qu’elles anticipent par principe d’éventuels déplacements à l’étranger de véhicules mis valablement sous surveillance en Suisse. Cela étant, eu égard au principe de territorialité, un État ne peut effectuer des mesures d’instruction et de poursuite pénale sur le territoire d'un autre État sans le consentement de ce dernier. Une mesure technique de surveillance sur le territoire d’un autre État doit donc, dans la règle, être mise en œuvre en vertu du droit international (traité, accord bilatéral, droit international coutumier) ou, à défaut, en vertu du consentement préalable de l’État concerné dans le respect des règles régissant l’entraide internationale en matière pénale. En l'espèce, le Ministère public n'a pas saisi les autorités étrangères de requêtes en lien avec les mesures techniques secrètes effectuées, ce qu’il ne pouvait pas se dispenser de faire en l’absence, a priori, de règles en matière d’entraide autorisant les mesures en cause. A défaut d’avoir obtenu le consentement des autorités des pays étrangers concernés, les enregistrements effectués à l'étranger sont donc en l'état illicites et inexploitables.
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1B_164_2019_2019_12_09_T_{lang}
Lausanne, 9. Dezember 2019 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 15. November 2019 (1B_164/2019) Tragweite des Territorialitätsprinzips hinsichtlich der Verwendung von Aufzeichnungen, die von geheimen, in der Schweiz bewilligten technischen Überwachungsmassnahmen stammen Das Bundesgericht umschreibt die Voraussetzungen, unter denen im Ausland vorgenommene Aufzeichnungen im Rahmen geheimer, in der Schweiz bewilligter, technischer Überwachungsmassnahmen in einem Strafverfahren verwendet werden können. Die von einer schweizerischen Behörde erteilte Bewilligung umfasst nur Aufzeichnungen, die in der Schweiz vorgenommen wurden. Der Beschwerdeführer hat mutmasslich einem Rauschgifthändlerring angehört, der an der Waadtländer Riviera tätig ist. Zwischen Juni 2017 und März 2018 erhielt die Staatsanwaltschaft des Kreises Waadt Ost vom Zwangsmassnahmengericht die Bewilligung, namentlich geheime technische Überwachungsmassnahmen anzuwenden. In mehreren vom Beschwerdeführer verwendeten Fahrzeugen wurden GPS-Tracker und Mikrophone angebracht. Während der Überwachungsdauer begab sich der Beschwerdeführer wiederholt mit dem Auto ins Ausland. Er beschwerte sich erfolglos bei der Staatsanwaltschaft und bei der strafrechtlichen Rekurskammer des Kantons Waadt gegen die Verwendung der auf diesem Weg im Ausland erlangten Aufzeichnungen. Das Bundesgericht heisst die Beschwerde gut und weist die Sache an die Vorinstanz zurück. Diese hat die Örtlichkeiten zu bestimmen, an welchen Aufzeichnungen erfolgt sind sowie das anwendbare Recht, soweit dies ausserhalb der Schweiz geschehen ist. Falls keine internationalen Abkommen bestehen, welche die Aufzeichnungen durch Schweizer Behörden auf ausländischem Territorium ohne weitere – insbesondere vorgängige – Formalitäten gestatten, hat das kantonale Gericht die unverzügliche Vernichtung dieser in unerlaubter Weise erlangten Beweismittel zu veranlassen. Dasselbe gilt für Aufzeichnungen, die nicht lokalisiert werden können. Wie das Bundesgericht weiter darlegt, kann von den Schweizerischen Strafverfolgungsbehörden in der Tat nicht erwartet werden, dass sie sich von eventuellen Fahrten mit in der Schweiz rechtmässig überwachten Personenwagen ins Ausland vorzeitig Kenntnis verschaffen. Aufgrund des Territorialitätsprinzips darf ein Staat jedoch keine Ermittlungs- und strafrechtlichen Verfolgungsmassnahmen auf dem Gebiet eines anderen Staates vornehmen, ohne dass dieser zustimmt. Eine technische Überwachungsmassnahme auf dem Gebiet eines anderen Staates muss in der Regel in Anwendung des internationalen Rechts (Staatsvertrag, bilaterales Abkommen, internationales Gewohnheitsrecht) oder, falls keine solche völkerrechtliche Grundlage vorliegt, nach Massgabe der vorgängigen Zustimmung des betroffenen Staates, mit Rücksicht auf die Regeln der internationalen Rechtshilfe in Strafsachen, in die Wege geleitet werden. Im vorliegenden Fall hat die Staatsanwaltschaft es unterlassen, die ausländischen Behörden um Zustimmung zur Vornahme geheimer technischer Vorkehren zu ersuchen. Davon durfte sie jedoch nicht absehen, da Regeln auf dem Gebiet der Rechtshilfe fehlen, welche die getroffenen Vorkehren von vornherein als zulässig erklären. Mangels Einwilligung der Behörden der betroffenen ausländischen Staaten sind die im Ausland vorgenommenen Aufzeichnungen zurzeit nicht erlaubt und dürfen nicht verwendet werden.
Lausanne, le 9 décembre 2019 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Arrêt du 15 novembre 2019 (1B_164/2019) Portée du principe de territorialité pour l'exploitation d'enregistrements issus de mesures techniques de surveillance secrètes autorisées en Suisse Le Tribunal fédéral précise les conditions dans lesquelles des enregistrements effectués à l'étranger, dans le cadre de mesures techniques de surveillance secrètes valablement autorisées en Suisse, peuvent être exploités au cours d’une procédure pénale. L'autorisation délivrée par une autorité suisse n'englobe que les enregistrements effectués sur le territoire suisse. Le recourant est présumé avoir participé à un réseau de trafiquants de drogue opérant sur la Riviera vaudoise. Entre juin 2017 et mars 2018, le Ministère public de l'arrondissement de l'Est vaudois a obtenu, auprès du Tribunal des mesures de contrainte, l'autorisation de mettre en œuvre, notamment, des mesures techniques de surveillance secrètes. Une balise GPS et des micros ont été placés dans plusieurs véhicules utilisés par le recourant. Durant la période de surveillance, le recourant s'est rendu à l'étranger en voiture à plusieurs reprises. Il s'est opposé sans succès auprès du Ministère public, puis devant la Chambre des recours pénale du Tribunal cantonal vaudois, à l'exploitation des enregistrements effectués à l’étranger par ce biais. Saisi d'un recours en matière pénale, le Tribunal fédéral admet celui-ci et renvoie la cause à l'autorité précédente pour qu'elle détermine les lieux des enregistrements, ainsi que le droit applicable pour ceux effectués hors de la Suisse ; en l’absence notamment de traités internationaux autorisant ces enregistrements par des autorités suisses sur le territoire étranger sans autre formalité – en particulier préalable –, la Cour cantonale ordonnera la destruction immédiate de ces moyens de preuves illicites, ainsi que de ceux dont le lieu d’enregistrement ne pourrait pas être déterminé. Le Tribunal fédéral rappelle que certes il ne peut être attendu des autorités de poursuites pénales suisses qu’elles anticipent par principe d’éventuels déplacements à l’étranger de véhicules mis valablement sous surveillance en Suisse. Cela étant, eu égard au principe de territorialité, un État ne peut effectuer des mesures d’instruction et de poursuite pénale sur le territoire d'un autre État sans le consentement de ce dernier. Une mesure technique de surveillance sur le territoire d’un autre État doit donc, dans la règle, être mise en œuvre en vertu du droit international (traité, accord bilatéral, droit international coutumier) ou, à défaut, en vertu du consentement préalable de l’État concerné dans le respect des règles régissant l’entraide internationale en matière pénale. En l'espèce, le Ministère public n'a pas saisi les autorités étrangères de requêtes en lien avec les mesures techniques secrètes effectuées, ce qu’il ne pouvait pas se dispenser de faire en l’absence, a priori, de règles en matière d’entraide autorisant les mesures en cause. A défaut d’avoir obtenu le consentement des autorités des pays étrangers concernés, les enregistrements effectués à l'étranger sont donc en l'état illicites et inexploitables.
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1B_185_2016_2016_12_12_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 12. Dezember 2016 Embargo: 12. Dezember 2016, 12:00 Uhr Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 16. November 2016 (1B_185/2016, 1B_186/2016, 1B_188/2016) Keine Pflicht für Facebook Schweiz zur Herausgabe von Nutzerdaten Facebook Switzerland Sàrl (Facebook Schweiz) kann von der Staatsanwaltschaft des Kantons Waadt nicht zur Herausgabe von Daten zu einem mutmasslich in der Schweiz eröffneten Facebook-Konto verpflichtet werden. Facebook Schweiz ist nicht Inhaberin der fraglichen Daten und hat diese auch nicht unter ihrer Kontrolle. Um an die Daten zu gelangen, müssten diese auf dem Weg der Rechtshilfe bei Facebook Ireland Ltd (Facebook Irland) herausgefordert werden. Das Bundesgericht heisst die Beschwerden von Facebook Schweiz und deren beiden Geschäftsführern gut. 2015 eröffnete die Staatsanwaltschaft des Kantons Waadt auf Anzeige eines belgischen Journalisten ein Strafverfahren wegen Verleumdung, übler Nachrede und Beschimpfung gegen Unbekannt. Der Anzeiger machte geltend, dass jemand auf einem mutmasslich in der Schweiz eröffneten Facebook-Konto unter einem Pseudonym antisemitische Äusserungen gegen ihn gepostet habe. Die Staatsanwaltschaft verfügte daraufhin gegen Facebook Schweiz und die beiden Geschäftsführer der Gesellschaft unter anderem die Herausgabe der Identität, der Zugangsdaten, sowie der IP-Adresse des fraglichen Kontoinhabers. Gegen die Herausgabeverfügung erhoben Facebook Schweiz und die beiden Geschäftsführer Beschwerden beim Kantonsgericht des Kantons Waadt. Sie machten geltend, dass sie die Facebook-Website nicht selber verwalten würden. Die Anordnung müsse an Facebook Irland erfolgen, da die geforderten Informationen in deren Händen seien, was von Facebook Irland bestätigt wurde. Das Kantonsgericht wies die Beschwerde 2016 ab. Dagegen erhoben Facebook Schweiz sowie die beiden Geschäftsführer Beschwerden an das Bundesgericht. Das Bundesgericht heisst die Beschwerden gut und hebt das Urteil des Kantonsgerichts sowie die Herausgabeverfügung der Staatsanwaltschaft auf. Aus Artikel 265 der Schweizerischen Strafprozessordnung und Artikel 18 des internationalen Übereinkommens über die Cyberkriminalität ergibt sich, dass sich die Herausgabeverfügung nur gegen jemanden richten kann, der Inhaber oder Besitzer der Daten ist, oder der eine faktische und rechtliche Kontrolle darüber ausübt. Keines der Dokumente, auf die sich das Kantonsgericht bei seinem Entscheid gestützt hat, lässt den Schluss zu, dass Facebook Schweiz Inhaberin der geforderten Daten wäre oder direkten Zugang zu den Daten der Nutzer hätte. Vielmehr ergibt sich, dass Facebook Irland Vertragspartner von Facebook-Nutzern ausserhalb der USA und Kanada ist und die Kontrolle über die entsprechenden Personendaten ausübt. Der Geschäftszweck von Facebook Schweiz beschränkt sich auf das Support-Marketing, den Verkauf von Werbeflächen sowie auf Öffentlichkeitsarbeit und Kommunikation. Facebook Schweiz handelt auch nicht in Vertretung von Facebook Irland. Die Daten können somit von Facebook Schweiz nicht herausverlangt werden. Um an die gewünschten Daten zu gelangen, müsste die Staatsanwaltschaft des Kantons Waadt ein Rechtshilfeersuchen in Strafsachen an Irland stellen.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 12 décembre 2016 Embargo : 12 décembre 2016, 12:00 heures Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêt du 16 novembre 2016 (1B_185/2016, 1B_186/2016, 1B_188/2016) Absence d'obligation de Facebook Suisse de produire des données d'utilisateurs Le Ministère public vaudois ne peut contraindre Facebook Switzerland Sàrl (Facebook Suisse) à produire les données d'un compte Facebook ouvert vraisemblablement depuis la Suisse. Facebook Suisse n'est pas titulaire des données en question et n'en a pas non plus le contrôle. Pour y avoir accès, il y a lieu d'agir, cas échéant, par voie de l'entraide judiciaire auprès de Facebook Ireland Ltd (Facebook Irlande). Le Tribunal fédéral admet les recours formés par Facebook Suisse et par ses deux gérants. En 2015, le Ministère public du canton de Vaud a ouvert une instruction pénale contre inconnu pour calomnie, diffamation et injure, sur plainte d'un journaliste belge. Ce dernier indiquait avoir été traité d'antisémite sur un compte Facebook ouvert vraisemblablement en Suisse sous un pseudonyme. Le Ministère public a exigé de Facebook Suisse et de ses deux associés gérants la production de l'identité du détenteur du compte, de ses données d'accès et adresse IP. La société et ses gérants ont recouru contre cet ordre de production auprès du Tribunal cantonal vaudois, faisant valoir qu'ils ne géraient pas le site Facebook. L'ordre de production devait être adressé à la société Facebook Irlande, titulaire des informations recherchées ainsi qu'elle l'avait elle-même confirmé. Le Tribunal cantonal a rejeté les recours en 2016. Facebook Suisse et ses deux gérants ont alors porté la cause devant le Tribunal fédéral. Le Tribunal fédéral admet les recours et annule l'arrêt cantonal ainsi que l'ordre de production du Ministère public. Il ressort de l'article 265 du Code de procédure pénale suisse et de l'article 18 de la Convention internationale sur la cybercriminalité que l'injonction de production ne peut être adressée qu'au possesseur ou au détenteur des données, ou à celui qui en a le contrôle en fait et en droit. Aucun des documents sur lesquels le Tribunal cantonal a fondé sa décision ne permet de conclure que la société recourante soit effectivement titulaire des données d'utilisateur réclamées, ou qu'elle ait un accès direct à ces données. Il en résulte au contraire que la société Facebook Irlande est partenaire contractuelle avec les utilisateurs situés hors des Etats-Unis et du Canada et qu'elle exerce seule le contrôle sur les données personnelles. L'activité de Facebook Suisse se limite au support marketing, à la vente d'espaces publicitaires, aux relations publiques et à la communication. Facebook Suisse ne représente pas non plus la société irlandaise. Les données ne peuvent donc pas être exigées de la part de Facebook Suisse; pour les obtenir, le Ministère public vaudois n'a dès lors pas d'autre choix que de s'adresser, cas échéant, par voie d'entraide judiciaire pénale aux autorités irlandaises.
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1B_185_2016_2016_12_12_T_{lang}
Lausanne, 12. Dezember 2016 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 16. November 2016 (1B_185/2016, 1B_186/2016, 1B_188/2016) Keine Pflicht für Facebook Schweiz zur Herausgabe von Nutzerdaten Facebook Switzerland Sàrl (Facebook Schweiz) kann von der Staatsanwaltschaft des Kantons Waadt nicht zur Herausgabe von Daten zu einem mutmasslich in der Schweiz eröffneten Facebook-Konto verpflichtet werden. Facebook Schweiz ist nicht Inhaberin der fraglichen Daten und hat diese auch nicht unter ihrer Kontrolle. Um an die Daten zu gelangen, müssten diese auf dem Weg der Rechtshilfe bei Facebook Ireland Ltd (Facebook Irland) herausgefordert werden. Das Bundesgericht heisst die Beschwerden von Facebook Schweiz und deren beiden Geschäftsführern gut. 2015 eröffnete die Staatsanwaltschaft des Kantons Waadt auf Anzeige eines belgischen Journalisten ein Strafverfahren wegen Verleumdung, übler Nachrede und Beschimpfung gegen Unbekannt. Der Anzeiger machte geltend, dass jemand auf einem mutmasslich in der Schweiz eröffneten Facebook-Konto unter einem Pseudonym antisemitische Äusserungen gegen ihn gepostet habe. Die Staatsanwaltschaft verfügte daraufhin gegen Facebook Schweiz und die beiden Geschäftsführer der Gesellschaft unter anderem die Herausgabe der Identität, der Zugangsdaten, sowie der IP-Adresse des fraglichen Kontoinhabers. Gegen die Herausgabeverfügung erhoben Facebook Schweiz und die beiden Geschäftsführer Beschwerden beim Kantonsgericht des Kantons Waadt. Sie machten geltend, dass sie die Facebook-Website nicht selber verwalten würden. Die Anordnung müsse an Facebook Irland erfolgen, da die geforderten Informationen in deren Händen seien, was von Facebook Irland bestätigt wurde. Das Kantonsgericht wies die Beschwerde 2016 ab. Dagegen erhoben Facebook Schweiz sowie die beiden Geschäftsführer Beschwerden an das Bundesgericht. Das Bundesgericht heisst die Beschwerden gut und hebt das Urteil des Kantonsgerichts sowie die Herausgabeverfügung der Staatsanwaltschaft auf. Aus Artikel 265 der Schweizerischen Strafprozessordnung und Artikel 18 des internationalen Übereinkommens über die Cyberkriminalität ergibt sich, dass sich die Herausgabeverfügung nur gegen jemanden richten kann, der Inhaber oder Besitzer der Daten ist, oder der eine faktische und rechtliche Kontrolle darüber ausübt. Keines der Dokumente, auf die sich das Kantonsgericht bei seinem Entscheid gestützt hat, lässt den Schluss zu, dass Facebook Schweiz Inhaberin der geforderten Daten wäre oder direkten Zugang zu den Daten der Nutzer hätte. Vielmehr ergibt sich, dass Facebook Irland Vertragspartner von Facebook-Nutzern ausserhalb der USA und Kanada ist und die Kontrolle über die entsprechenden Personendaten ausübt. Der Geschäftszweck von Facebook Schweiz beschränkt sich auf das Support-Marketing, den Verkauf von Werbeflächen sowie auf Öffentlichkeitsarbeit und Kommunikation. Facebook Schweiz handelt auch nicht in Vertretung von Facebook Irland. Die Daten können somit von Facebook Schweiz nicht herausverlangt werden. Um an die gewünschten Daten zu gelangen, müsste die Staatsanwaltschaft des Kantons Waadt ein Rechtshilfeersuchen in Strafsachen an Irland stellen.
Lausanne, le 12 décembre 2016 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêt du 16 novembre 2016 (1B_185/2016, 1B_186/2016, 1B_188/2016) Absence d'obligation de Facebook Suisse de produire des données d'utilisateurs Le Ministère public vaudois ne peut contraindre Facebook Switzerland Sàrl (Facebook Suisse) à produire les données d'un compte Facebook ouvert vraisemblablement depuis la Suisse. Facebook Suisse n'est pas titulaire des données en question et n'en a pas non plus le contrôle. Pour y avoir accès, il y a lieu d'agir, cas échéant, par voie de l'entraide judiciaire auprès de Facebook Ireland Ltd (Facebook Irlande). Le Tribunal fédéral admet les recours formés par Facebook Suisse et par ses deux gérants. En 2015, le Ministère public du canton de Vaud a ouvert une instruction pénale contre inconnu pour calomnie, diffamation et injure, sur plainte d'un journaliste belge. Ce dernier indiquait avoir été traité d'antisémite sur un compte Facebook ouvert vraisemblablement en Suisse sous un pseudonyme. Le Ministère public a exigé de Facebook Suisse et de ses deux associés gérants la production de l'identité du détenteur du compte, de ses données d'accès et adresse IP. La société et ses gérants ont recouru contre cet ordre de production auprès du Tribunal cantonal vaudois, faisant valoir qu'ils ne géraient pas le site Facebook. L'ordre de production devait être adressé à la société Facebook Irlande, titulaire des informations recherchées ainsi qu'elle l'avait elle-même confirmé. Le Tribunal cantonal a rejeté les recours en 2016. Facebook Suisse et ses deux gérants ont alors porté la cause devant le Tribunal fédéral. Le Tribunal fédéral admet les recours et annule l'arrêt cantonal ainsi que l'ordre de production du Ministère public. Il ressort de l'article 265 du Code de procédure pénale suisse et de l'article 18 de la Convention internationale sur la cybercriminalité que l'injonction de production ne peut être adressée qu'au possesseur ou au détenteur des données, ou à celui qui en a le contrôle en fait et en droit. Aucun des documents sur lesquels le Tribunal cantonal a fondé sa décision ne permet de conclure que la société recourante soit effectivement titulaire des données d'utilisateur réclamées, ou qu'elle ait un accès direct à ces données. Il en résulte au contraire que la société Facebook Irlande est partenaire contractuelle avec les utilisateurs situés hors des Etats-Unis et du Canada et qu'elle exerce seule le contrôle sur les données personnelles. L'activité de Facebook Suisse se limite au support marketing, à la vente d'espaces publicitaires, aux relations publiques et à la communication. Facebook Suisse ne représente pas non plus la société irlandaise. Les données ne peuvent donc pas être exigées de la part de Facebook Suisse; pour les obtenir, le Ministère public vaudois n'a dès lors pas d'autre choix que de s'adresser, cas échéant, par voie d'entraide judiciaire pénale aux autorités irlandaises.
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1B_207_2017_yyyy_mm_dd_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 25. September 2017 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteile vom 20. September 2017 (1B_207/2017, 1B_344/2017) Erwin Sperisen: Beschwerde gegen die Abweisung seines Haftentlassungsgesuchs teilweise gutgeheissen Das Bundesgericht heisst die Beschwerde in Strafsachen von Erwin Sperisen gegen die Abweisung seines Gesuchs um Entlassung aus der Untersuchungshaft teilweise gut. Es weist die Sache ans Genfer Kantonsgericht zurück. Dieses hat innert kurzer Frist dessen Entlassung anzuordnen und durch geeignete Ersatzmassnahmen zu ergänzen. Am 31. August 2012 wurde der guatemaltekisch-schweizerische Doppelbürger Erwin Sperisen in Genf verhaftet. Ihm wird vorgeworfen, zwischen November 2005 und September 2006 zehn Morde in Guatemala begangen zu haben. Seither befindet er sich im Genfer Gefängnis Champ-Dollon in Untersuchungshaft. Am 29. Juni 2017 hiess die Strafrechtliche Abteilung des Bundesgerichts die Beschwerde von Erwin Sperisen gegen den Entscheid des Genfer Kantonsgerichts, welches ihn zu einer lebenslangen Freiheitsstrafe verurteilt hatte, teilweise gut und wies die Sache zur Neubeurteilung ans Kantonsgericht zurück. Mit Urteil vom 20. September 2017 heisst die Erste öffentlich-rechtliche Abteilung des Bundesgerichts die Beschwerde von Erwin Sperisen gegen den Entscheid des Genfer Kantonsgerichts vom 18. Juli 2017 teilweise gut. Die gegen den Obgenannten vorgebrachten Verdachtsgründe bestehen weiterhin, wurden aber durch das Urteil vom 29. Juni 2017 abgeschwächt. Angesichts der Tatsache, dass Erwin Sperisen bereits mehr als fünf Jahre in Untersuchungshaft verbracht hat, erfüllen mildere Massnahmen den gleichen Zweck wie die Haft. Infolgedessen erscheint es angezeigt, die Sache an die Vorinstanz zurückzuweisen, damit sie schnellstmöglich die Entlassung von Erwin Sperisen – mit den ihr adäquat erscheinenden Ersatzmassnahmen, um der fortbestehenden Fluchtgefahr entgegenzuwirken – anordnet. Ebenfalls mit Entscheid vom 20. September 2017 hat die Erste öffentlich-rechtliche Abteilung des Bundesgerichts die Beschwerde von Erwin Sperisen gegen die Verweigerung eines Filminterviews mit ihm im Gefängnis durch das Schweizer Radio und Fernsehen (SRF) als unzulässig erachtet.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 25 septembre 2017 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêts du 20 septembre 2017 (1B_207/2017, 1B_344/2017) Erwin Sperisen : recours contre le rejet de sa demande de libération partiellement admis Le Tribunal fédéral admet partiellement le recours en matière pénale d'Erwin Sperisen contre la décision de rejet de sa demande de libération de la détention avant jugement. Le Tribunal fédéral renvoie la cause à la Cour de justice genevoise pour qu'elle prononce, à bref délai, la mise en liberté du prénommé moyennant les mesures de substitution qu'elle estimera utiles. Prévenu d’assassinats commis au Guatemala sur dix personnes entre novembre 2005 et septembre 2006, Erwin Sperisen, ressortissant suisse et guatémaltèque, a été arrêté à Genève le 31 août 2012. Il se trouve depuis lors en détention préventive à la prison genevoise de Champ-Dollon. Le 29 juin 2017, la Cour de droit pénal du Tribunal fédéral a admis partiellement le recours en matière pénale formé par Erwin Sperisen contre l'arrêt de la Cour de justice genevoise le condamnant à une peine privative de liberté à vie. Elle lui a renvoyé la cause pour nouvelle décision. Par arrêt du 20 septembre 2017, la Ire Cour de droit public du Tribunal fédéral admet partiellement le recours formé par Erwin Sperisen contre la décision du 18 juillet 2017 de la Cour de justice genevoise de rejeter sa demande de libération de la détention préventive. Si les charges pesant sur le prénommé demeurent, elles ont diminué depuis l'arrêt du 29 juin 2017 ; compte tenu du fait qu'Erwin Sperisen a déjà passé plus de cinq ans en détention préventive, des mesures moins incisives que la détention permettent d'atteindre le même but que celle-ci. Il convient dès lors de renvoyer la cause à l'instance précédente pour qu'elle prononce rapidement la mise en liberté du prénommé, assortie des mesures de substitution qu'elle jugera adéquates pour pallier le risque de fuite qui subsiste. Dans un second arrêt du même jour, la Ire Cour de droit public du Tribunal fédéral a déclaré irrecevable le recours déposé par Erwin Sperisen contre le refus adressé à la Radio Télévision Suisse (RTS) d'autoriser un entretien filmé de sa personne en prison.
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1B_207_2017_yyyy_mm_dd_T_{lang}
Lausanne, 25. September 2017 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteile vom 20. September 2017 (1B_207/2017, 1B_344/2017) Erwin Sperisen: Beschwerde gegen die Abweisung seines Haftentlassungsgesuchs teilweise gutgeheissen Das Bundesgericht heisst die Beschwerde in Strafsachen von Erwin Sperisen gegen die Abweisung seines Gesuchs um Entlassung aus der Untersuchungshaft teilweise gut. Es weist die Sache ans Genfer Kantonsgericht zurück. Dieses hat innert kurzer Frist dessen Entlassung anzuordnen und durch geeignete Ersatzmassnahmen zu ergänzen. Am 31. August 2012 wurde der guatemaltekisch-schweizerische Doppelbürger Erwin Sperisen in Genf verhaftet. Ihm wird vorgeworfen, zwischen November 2005 und September 2006 zehn Morde in Guatemala begangen zu haben. Seither befindet er sich im Genfer Gefängnis Champ-Dollon in Untersuchungshaft. Am 29. Juni 2017 hiess die Strafrechtliche Abteilung des Bundesgerichts die Beschwerde von Erwin Sperisen gegen den Entscheid des Genfer Kantonsgerichts, welches ihn zu einer lebenslangen Freiheitsstrafe verurteilt hatte, teilweise gut und wies die Sache zur Neubeurteilung ans Kantonsgericht zurück. Mit Urteil vom 20. September 2017 heisst die Erste öffentlich-rechtliche Abteilung des Bundesgerichts die Beschwerde von Erwin Sperisen gegen den Entscheid des Genfer Kantonsgerichts vom 18. Juli 2017 teilweise gut. Die gegen den Obgenannten vorgebrachten Verdachtsgründe bestehen weiterhin, wurden aber durch das Urteil vom 29. Juni 2017 abgeschwächt. Angesichts der Tatsache, dass Erwin Sperisen bereits mehr als fünf Jahre in Untersuchungshaft verbracht hat, erfüllen mildere Massnahmen den gleichen Zweck wie die Haft. Infolgedessen erscheint es angezeigt, die Sache an die Vorinstanz zurückzuweisen, damit sie schnellstmöglich die Entlassung von Erwin Sperisen – mit den ihr adäquat erscheinenden Ersatzmassnahmen, um der fortbestehenden Fluchtgefahr entgegenzuwirken – anordnet. Ebenfalls mit Entscheid vom 20. September 2017 hat die Erste öffentlich-rechtliche Abteilung des Bundesgerichts die Beschwerde von Erwin Sperisen gegen die Verweigerung eines Filminterviews mit ihm im Gefängnis durch das Schweizer Radio und Fernsehen (SRF) als unzulässig erachtet.
Lausanne, le 25 septembre 2017 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêts du 20 septembre 2017 (1B_207/2017, 1B_344/2017) Erwin Sperisen : recours contre le rejet de sa demande de libération partiellement admis Le Tribunal fédéral admet partiellement le recours en matière pénale d'Erwin Sperisen contre la décision de rejet de sa demande de libération de la détention avant jugement. Le Tribunal fédéral renvoie la cause à la Cour de justice genevoise pour qu'elle prononce, à bref délai, la mise en liberté du prénommé moyennant les mesures de substitution qu'elle estimera utiles. Prévenu d’assassinats commis au Guatemala sur dix personnes entre novembre 2005 et septembre 2006, Erwin Sperisen, ressortissant suisse et guatémaltèque, a été arrêté à Genève le 31 août 2012. Il se trouve depuis lors en détention préventive à la prison genevoise de Champ-Dollon. Le 29 juin 2017, la Cour de droit pénal du Tribunal fédéral a admis partiellement le recours en matière pénale formé par Erwin Sperisen contre l'arrêt de la Cour de justice genevoise le condamnant à une peine privative de liberté à vie. Elle lui a renvoyé la cause pour nouvelle décision. Par arrêt du 20 septembre 2017, la Ire Cour de droit public du Tribunal fédéral admet partiellement le recours formé par Erwin Sperisen contre la décision du 18 juillet 2017 de la Cour de justice genevoise de rejeter sa demande de libération de la détention préventive. Si les charges pesant sur le prénommé demeurent, elles ont diminué depuis l'arrêt du 29 juin 2017 ; compte tenu du fait qu'Erwin Sperisen a déjà passé plus de cinq ans en détention préventive, des mesures moins incisives que la détention permettent d'atteindre le même but que celle-ci. Il convient dès lors de renvoyer la cause à l'instance précédente pour qu'elle prononce rapidement la mise en liberté du prénommé, assortie des mesures de substitution qu'elle jugera adéquates pour pallier le risque de fuite qui subsiste. Dans un second arrêt du même jour, la Ire Cour de droit public du Tribunal fédéral a déclaré irrecevable le recours déposé par Erwin Sperisen contre le refus adressé à la Radio Télévision Suisse (RTS) d'autoriser un entretien filmé de sa personne en prison.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 23. Juni 2016 Embargo: 23. Juni 2016, 12:00 Uhr Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 30. Mai 2016 (1B_249/2015) Geldwäscherei-Ermittlung gegen UBS: Bundesanwaltschaft darf Bank-Memorandum verwenden Die Bundesanwaltschaft darf für ihr Geldwäscherei-Strafverfahren gegen die UBS im Zusammenhang mit einem mutmasslichen Bestechungsfall in Malaysia ein beschlagnahmtes Memorandum der Bank verwenden. Das Bundesgericht heisst die Beschwerde der Bundesanwaltschaft gegen den Entscheid des Zwangsmassnahmengerichts des Kantons Bern gut und bewilligt die Entsiegelung des Dokuments. Die Bundesanwaltschaft (BA) hatte 2012 auf Strafanzeige des Vereins "Bruno-ManserFonds" ein Strafverfahren wegen Geldwäscherei gegen die UBS und gegen noch unbekannte Personen eröffnet. Der Bank wird vorgeworfen, sie habe Bestechungsgelder über ihre Konten fliessen lassen, die ein malaiischer Industrieller im Zusammenhang mit der Vergabe von Holzrodungskonzessionen an einen malaiischen Amtsträger ausgerichtet habe. Anlässlich einer Hausdurchsuchung bei der UBS durch die Bundeskriminalpolizei im November 2014 wurde ein Memorandum beschlagnahmt, das die Bank zuvor zum fraglichen Sachverhalt auf Anfrage der Eidgenössischen Finanzmarktaufsicht (FINMA) erstellt hatte. Das Dokument wurde entsprechend dem Antrag der UBS versiegelt. Das Zwangsmassnahmengericht des Kantons Bern wies das Gesuch der BA um Entsiegelung im Juni 2015 ab. Das Bundesgericht heisst die Beschwerde der BA gut und bewilligt die Entsiegelung des Memorandums. Die Voraussetzungen für eine Entsiegelung sind erfüllt. Zunächst ist nicht umstritten, dass gegen die UBS ein hinreichender Tatverdacht besteht. Weiter ist das Memorandum für die Untersuchung der BA relevant. Es strukturiert die diversen Bankdokumente zu dem mutmasslichen Geldwäschereifall und fasst diese zusammen. Falls das Memorandum nicht entsiegelt würde, müssten zwangsläufig sämtliche ihm zu Grunde liegenden Originaldokumente sichergestellt, gesichtet, beschlagnahmt und ausgewertet werden. Dies läge weder im Interesse der Bank noch im öffentlichen Interesse an einer effizienten Strafuntersuchung und Wahrheitsfindung. Insofern ist die Entsiegelung verhältnismässig. Der Entsiegelung stehen auch keine Geheimnisinteressen der UBS entgegen. Insbesondere ist die Entsiegelung mit dem von ihr angerufenen Recht vereinbar, sich in einem Strafverfahren nicht selber belasten zu müssen. Dieses Recht steht einer zwangsweisen Sicherstellung von Beweismitteln, wie dies im vorliegenden Fall mit der Hausdurchsuchung und der Beschlagnahme des Memorandums erfolgte, nicht entgegen. Kein Hindernis für die Entsiegelung bildet in diesem Zusammenhang auch der Umstand, dass das fragliche Dokument von der UBS ursprünglich auf eine aufsichtsrechtliche Auskunftsanfrage der FINMA erstellt wurde.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 23 juin 2016 Embargo : 23 juin 2016, 12:00 heures Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêt du 30 mai 2016 (1B_249/2015) Enquête pour blanchiment d'argent contre UBS : le Ministère public de la Confédération peut utiliser un mémorandum de la banque Dans son enquête pour blanchiment d'argent contre UBS, en rapport avec un cas présumé de corruption en Malaisie, le Ministère public de la Confédération peut utiliser un mémorandum saisi auprès de la banque. Le Tribunal fédéral admet le recours du Ministère public de la Confédération contre la décision du Tribunal des mesures de contrainte du canton de Berne et autorise la levée des scellés apposés sur le document. En 2012, le Ministère public de la Confédération (MPC) a ouvert une instruction pour blanchiment d'argent contre UBS et d'autres personnes encore inconnues, sur plainte du "Bruno-Manser-Fonds". Il est reproché à la banque d'avoir laissé transiter sur ses comptes des pots-de-vin versés par un industriel malaisien à un fonctionnaire malaisien dans le cadre de l'attribution de concessions de déboisement. Lors d'une perquisition des locaux d'UBS en novembre 2014, la police fédérale a saisi un mémorandum établi précédemment par la banque dans le même contexte à la demande de l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (FINMA). Conformément à la demande d'UBS, le document avait été mis sous scellés. En juin 2015, le Tribunal des mesures de contrainte du canton de Berne avait rejeté la demande du MPC tendant à la levée des scellés. Le Tribunal fédéral admet le recours du MPC et autorise la levée des scellés. Les conditions pour une telle levée sont réalisées. En premier lieu, il n'est pas contesté qu'il existe des soupçons suffisants à l'encontre d'UBS. Ensuite, le mémorandum apparaît pertinent pour l'enquête. Il présente une structuration et une synthèse des divers documents bancaires en rapport avec le cas présumé de corruption. Si les scellés n'étaient pas levés, l'ensemble des documents originaux sur lesquels le mémorandum se fonde, devraient nécessairement être mis en sûreté, examinés, saisis et évalués, ce qui ne serait ni dans l'intérêt de la banque, ni dans l'intérêt public lié à une enquête efficace et à la découverte de la vérité. Dans cette mesure, la levée des scellés apparaît proportionnée. UBS ne peut se prévaloir d'aucun intérêt au secret pour s'y opposer. En particulier, la levée des scellés est compatible avec le droit de ne pas s'auto-incriminer dans une procédure pénale. Ce droit n'empêche pas l'obtention de moyens de preuve par des mesures de contrainte, comme en l'occurrence par la perquisition et la saisie du mémorandum. Le fait que le document en question a été établi à l'origine sur réquisition de la FINMA ne représente pas non plus un obstacle à la levée des scellés.
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1B_249_2015_2016_06_23_T_{lang}
Lausanne, 23. Juni 2016 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 30. Mai 2016 (1B_249/2015) Geldwäscherei-Ermittlung gegen UBS: Bundesanwaltschaft darf Bank-Memorandum verwenden Die Bundesanwaltschaft darf für ihr Geldwäscherei-Strafverfahren gegen die UBS im Zusammenhang mit einem mutmasslichen Bestechungsfall in Malaysia ein beschlagnahmtes Memorandum der Bank verwenden. Das Bundesgericht heisst die Beschwerde der Bundesanwaltschaft gegen den Entscheid des Zwangsmassnahmengerichts des Kantons Bern gut und bewilligt die Entsiegelung des Dokuments. Die Bundesanwaltschaft (BA) hatte 2012 auf Strafanzeige des Vereins "Bruno-ManserFonds" ein Strafverfahren wegen Geldwäscherei gegen die UBS und gegen noch unbekannte Personen eröffnet. Der Bank wird vorgeworfen, sie habe Bestechungsgelder über ihre Konten fliessen lassen, die ein malaiischer Industrieller im Zusammenhang mit der Vergabe von Holzrodungskonzessionen an einen malaiischen Amtsträger ausgerichtet habe. Anlässlich einer Hausdurchsuchung bei der UBS durch die Bundeskriminalpolizei im November 2014 wurde ein Memorandum beschlagnahmt, das die Bank zuvor zum fraglichen Sachverhalt auf Anfrage der Eidgenössischen Finanzmarktaufsicht (FINMA) erstellt hatte. Das Dokument wurde entsprechend dem Antrag der UBS versiegelt. Das Zwangsmassnahmengericht des Kantons Bern wies das Gesuch der BA um Entsiegelung im Juni 2015 ab. Das Bundesgericht heisst die Beschwerde der BA gut und bewilligt die Entsiegelung des Memorandums. Die Voraussetzungen für eine Entsiegelung sind erfüllt. Zunächst ist nicht umstritten, dass gegen die UBS ein hinreichender Tatverdacht besteht. Weiter ist das Memorandum für die Untersuchung der BA relevant. Es strukturiert die diversen Bankdokumente zu dem mutmasslichen Geldwäschereifall und fasst diese zusammen. Falls das Memorandum nicht entsiegelt würde, müssten zwangsläufig sämtliche ihm zu Grunde liegenden Originaldokumente sichergestellt, gesichtet, beschlagnahmt und ausgewertet werden. Dies läge weder im Interesse der Bank noch im öffentlichen Interesse an einer effizienten Strafuntersuchung und Wahrheitsfindung. Insofern ist die Entsiegelung verhältnismässig. Der Entsiegelung stehen auch keine Geheimnisinteressen der UBS entgegen. Insbesondere ist die Entsiegelung mit dem von ihr angerufenen Recht vereinbar, sich in einem Strafverfahren nicht selber belasten zu müssen. Dieses Recht steht einer zwangsweisen Sicherstellung von Beweismitteln, wie dies im vorliegenden Fall mit der Hausdurchsuchung und der Beschlagnahme des Memorandums erfolgte, nicht entgegen. Kein Hindernis für die Entsiegelung bildet in diesem Zusammenhang auch der Umstand, dass das fragliche Dokument von der UBS ursprünglich auf eine aufsichtsrechtliche Auskunftsanfrage der FINMA erstellt wurde.
Lausanne, le 23 juin 2016 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêt du 30 mai 2016 (1B_249/2015) Enquête pour blanchiment d'argent contre UBS : le Ministère public de la Confédération peut utiliser un mémorandum de la banque Dans son enquête pour blanchiment d'argent contre UBS, en rapport avec un cas présumé de corruption en Malaisie, le Ministère public de la Confédération peut utiliser un mémorandum saisi auprès de la banque. Le Tribunal fédéral admet le recours du Ministère public de la Confédération contre la décision du Tribunal des mesures de contrainte du canton de Berne et autorise la levée des scellés apposés sur le document. En 2012, le Ministère public de la Confédération (MPC) a ouvert une instruction pour blanchiment d'argent contre UBS et d'autres personnes encore inconnues, sur plainte du "Bruno-Manser-Fonds". Il est reproché à la banque d'avoir laissé transiter sur ses comptes des pots-de-vin versés par un industriel malaisien à un fonctionnaire malaisien dans le cadre de l'attribution de concessions de déboisement. Lors d'une perquisition des locaux d'UBS en novembre 2014, la police fédérale a saisi un mémorandum établi précédemment par la banque dans le même contexte à la demande de l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (FINMA). Conformément à la demande d'UBS, le document avait été mis sous scellés. En juin 2015, le Tribunal des mesures de contrainte du canton de Berne avait rejeté la demande du MPC tendant à la levée des scellés. Le Tribunal fédéral admet le recours du MPC et autorise la levée des scellés. Les conditions pour une telle levée sont réalisées. En premier lieu, il n'est pas contesté qu'il existe des soupçons suffisants à l'encontre d'UBS. Ensuite, le mémorandum apparaît pertinent pour l'enquête. Il présente une structuration et une synthèse des divers documents bancaires en rapport avec le cas présumé de corruption. Si les scellés n'étaient pas levés, l'ensemble des documents originaux sur lesquels le mémorandum se fonde, devraient nécessairement être mis en sûreté, examinés, saisis et évalués, ce qui ne serait ni dans l'intérêt de la banque, ni dans l'intérêt public lié à une enquête efficace et à la découverte de la vérité. Dans cette mesure, la levée des scellés apparaît proportionnée. UBS ne peut se prévaloir d'aucun intérêt au secret pour s'y opposer. En particulier, la levée des scellés est compatible avec le droit de ne pas s'auto-incriminer dans une procédure pénale. Ce droit n'empêche pas l'obtention de moyens de preuve par des mesures de contrainte, comme en l'occurrence par la perquisition et la saisie du mémorandum. Le fait que le document en question a été établi à l'origine sur réquisition de la FINMA ne représente pas non plus un obstacle à la levée des scellés.
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1B_271_2017_2017_08_31_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 31. August 2017 Embargo: 31. August 2017, 12:00 Uhr Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 16. August 2017 (1B_271/2017) Verlängerung der Untersuchungshaft gegen Ex-Innenminister von Gambia bestätigt Das Bundesgericht weist die Beschwerde des früheren Innenministers der Republik Gambia gegen eine Verlängerung der gegen ihn verhängten Untersuchungshaft ab. Das Bundesstrafgericht hat aufgrund der bisherigen Untersuchungsergebnisse zu Recht einen dringenden Tatverdacht auf Begehung von Verbrechen gegen die Menschlichkeit bejaht. Die Staatsanwaltschaft des Kantons Bern hatte gegen den Mann Ende Januar 2017 eine Strafuntersuchung wegen Verbrechen gegen die Menschlichkeit eröffnet und den Betroffenen in Untersuchungshaft versetzt. Er wird verdächtigt, als ehemaliger Innenminister von Gambia unter dem früheren Regime von Präsident Yahya Jammeh zwischen 2006 und September 2016 für Folterhandlungen durch ihm unterstellte Polizeikräfte, ihm unterstelltes Gefängnispersonal oder diesen nahestehende Gruppen verantwortlich zu sein. Die Bundesanwaltschaft, welche die Strafuntersuchung übernommen hat, stellte am 21. April 2017 ein Gesuch um Verlängerung der Untersuchungshaft bis zum 25. Juli 2017, welches genehmigt wurde ( zwischenzeitlich wurde eine weitere Haftverlängerung bis zum 25. Oktober 2017 bewilligt, welche nicht Gegenstand des vorliegenden Verfahrens bildet ). Das Bundesstrafgericht wies die dagegen erhobene Beschwerde des Betroffenen ab, worauf er ans Bundesgericht gelangte. Das Bundesgericht weist die Beschwerde ebenfalls ab. Das Bundesstrafgericht hat einen dringenden Tatverdacht auf Begehung von Verbrechen gegen die Menschlichkeit aufgrund der bisherigen Untersuchungsergebnisse zu Recht bejaht. Dem Betroffenen wird Folter vorgeworfen. Diese Einzeltaten werden zu Verbrechen gegen die Menschlichkeit, wenn sie im Rahmen eines ausgedehnten oder systematischen Angriffs gegen die Zivilbevölkerung erfolgen. Bei der Bejahung eines entsprechenden dringenden Tatverdachts hat das Bundesstrafgericht unter anderem den beiden unabhängigen Berichten von UN-Sonderberichterstattern über Folter und über aussergerichtliche, willkürliche oder im Schnellverfahren beschlossene Hinrichtungen in Gambia besondere Beachtung beigemessen. Den Folterbericht hat es entgegen der Ansicht des Beschwerdeführers nicht einseitig oder voreingenommen gewürdigt. Der Bericht gelangt im Wesentlichen zum Schluss, dass während des Regimes von Yahya Jammeh Strafverfolgungsbehörden und Sicherheitskräfte in Gambia ungestraft Menschenrechtsverletzungen, insbesondere Folter begehen konnten, welche namentlich im Anfangsstadium einer Untersuchungshaft zur Routine gehörte. Angesichts des frühen Verfahrensstadiums, der internationalen Dimensionen der Untersuchung und des Tatvorwurfs kann nicht verlangt werden, dass dem Betroffenen schon im Einzelnen bestimmte strafbare Handlungen vorgeworfen werden. Schliesslich erscheint die angeordnete Untersuchungshaft in zeitlicher Hinsicht als verhältnismässig.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 31 août 2017 Embargo : 31 août 2017, 12h00 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêt du 16 août 2017 (1B_271/2017) Confirmation de la prolongation de la détention provisoire de l'exMinistre de l'intérieur de Gambie Le Tribunal fédéral rejette le recours formé par l'ancien Ministre de l'intérieur de la République de Gambie contre la prolongation de sa détention provisoire. Se fondant sur les résultats de l'enquête menée jusque-là, le Tribunal pénal fédéral a admis à juste titre l'existence de soupçons suffisants de commission de crimes contre l'humanité. Fin janvier 2017, le Ministère public du canton de Berne avait ouvert une enquête pour crimes contre l'humanité et avait placé l'intéressé en détention provisoire. Il est soupçonné d'être responsable d'actes de torture commis par les forces de police et le personnel de prison qui lui étaient soumis, ou par des groupes liés à ceux-ci, alors qu'il était Ministre de l'intérieur sous le régime du Président Yahya Jammeh, entre 2006 et septembre 2016. Le 21 avril 2017, le Ministère public de la Confédération (MPC), qui avait repris la procédure, a demandé la prolongation de la détention provisoire jusqu'au 25 juillet 2017, prolongation qui a été accordée ( entretemps, une nouvelle prolongation a été accordée jusqu'au 25 octobre 2017, laquelle ne fait pas l'objet de la présente procédure). Le Tribunal pénal fédéral a rejeté le recours formé par l'intéressé, lequel s'est alors adressé au Tribunal fédéral. Le Tribunal fédéral rejette lui aussi le recours. Sur la base des résultats de l'enquête menée jusque-là, le Tribunal pénal fédéral a admis à juste titre l'existence de soupçons suffisants de commission de crimes contre l'humanité. L'intéressé se voit reprocher des actes de torture, agissements qui constitueraient des crimes contre l'humanité s'ils ont été commis dans le cadre d'une attaque généralisée ou systématique contre la population civile. Pour admettre l'existence d'un soupçon suffisant à cet égard, le Tribunal pénal fédéral s'est fondé notamment sur les deux rapports indépendants de rapporteurs spéciaux des Nations Unies sur la torture et sur les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires en Gambie. Contrairement à l'opinion du recourant, le rapport sur la torture n'a pas été examiné de manière unilatérale ou partiale. Il parvient en substance à la conclusion que durant le régime de Yahya Jammeh, les autorités de poursuite pénale et les forces de sécurité en Gambie se livraient impunément à des violations des droits de l'homme, en particulier des actes de torture, lesquels étaient notamment pratiqués systématiquement au début de la détention provisoire. Compte tenu du stade précoce de la procédure, de la dimension internationale de l'enquête et des actes poursuivis, ont ne saurait exiger que les agissements reprochés à l'intéressé soient déjà précisés dans le détail. Enfin, du point de vue de sa durée, la détention provisoire apparaît proportionnée.
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1B_271_2017_2017_08_31_T_{lang}
Lausanne, 31. August 2017 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 16. August 2017 (1B_271/2017) Verlängerung der Untersuchungshaft gegen Ex-Innenminister von Gambia bestätigt Das Bundesgericht weist die Beschwerde des früheren Innenministers der Republik Gambia gegen eine Verlängerung der gegen ihn verhängten Untersuchungshaft ab. Das Bundesstrafgericht hat aufgrund der bisherigen Untersuchungsergebnisse zu Recht einen dringenden Tatverdacht auf Begehung von Verbrechen gegen die Menschlichkeit bejaht. Die Staatsanwaltschaft des Kantons Bern hatte gegen den Mann Ende Januar 2017 eine Strafuntersuchung wegen Verbrechen gegen die Menschlichkeit eröffnet und den Betroffenen in Untersuchungshaft versetzt. Er wird verdächtigt, als ehemaliger Innenminister von Gambia unter dem früheren Regime von Präsident Yahya Jammeh zwischen 2006 und September 2016 für Folterhandlungen durch ihm unterstellte Polizeikräfte, ihm unterstelltes Gefängnispersonal oder diesen nahestehende Gruppen verantwortlich zu sein. Die Bundesanwaltschaft, welche die Strafuntersuchung übernommen hat, stellte am 21. April 2017 ein Gesuch um Verlängerung der Untersuchungshaft bis zum 25. Juli 2017, welches genehmigt wurde ( zwischenzeitlich wurde eine weitere Haftverlängerung bis zum 25. Oktober 2017 bewilligt, welche nicht Gegenstand des vorliegenden Verfahrens bildet ). Das Bundesstrafgericht wies die dagegen erhobene Beschwerde des Betroffenen ab, worauf er ans Bundesgericht gelangte. Das Bundesgericht weist die Beschwerde ebenfalls ab. Das Bundesstrafgericht hat einen dringenden Tatverdacht auf Begehung von Verbrechen gegen die Menschlichkeit aufgrund der bisherigen Untersuchungsergebnisse zu Recht bejaht. Dem Betroffenen wird Folter vorgeworfen. Diese Einzeltaten werden zu Verbrechen gegen die Menschlichkeit, wenn sie im Rahmen eines ausgedehnten oder systematischen Angriffs gegen die Zivilbevölkerung erfolgen. Bei der Bejahung eines entsprechenden dringenden Tatverdachts hat das Bundesstrafgericht unter anderem den beiden unabhängigen Berichten von UN-Sonderberichterstattern über Folter und über aussergerichtliche, willkürliche oder im Schnellverfahren beschlossene Hinrichtungen in Gambia besondere Beachtung beigemessen. Den Folterbericht hat es entgegen der Ansicht des Beschwerdeführers nicht einseitig oder voreingenommen gewürdigt. Der Bericht gelangt im Wesentlichen zum Schluss, dass während des Regimes von Yahya Jammeh Strafverfolgungsbehörden und Sicherheitskräfte in Gambia ungestraft Menschenrechtsverletzungen, insbesondere Folter begehen konnten, welche namentlich im Anfangsstadium einer Untersuchungshaft zur Routine gehörte. Angesichts des frühen Verfahrensstadiums, der internationalen Dimensionen der Untersuchung und des Tatvorwurfs kann nicht verlangt werden, dass dem Betroffenen schon im Einzelnen bestimmte strafbare Handlungen vorgeworfen werden. Schliesslich erscheint die angeordnete Untersuchungshaft in zeitlicher Hinsicht als verhältnismässig.
Lausanne, le 31 août 2017 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêt du 16 août 2017 (1B_271/2017) Confirmation de la prolongation de la détention provisoire de l'exMinistre de l'intérieur de Gambie Le Tribunal fédéral rejette le recours formé par l'ancien Ministre de l'intérieur de la République de Gambie contre la prolongation de sa détention provisoire. Se fondant sur les résultats de l'enquête menée jusque-là, le Tribunal pénal fédéral a admis à juste titre l'existence de soupçons suffisants de commission de crimes contre l'humanité. Fin janvier 2017, le Ministère public du canton de Berne avait ouvert une enquête pour crimes contre l'humanité et avait placé l'intéressé en détention provisoire. Il est soupçonné d'être responsable d'actes de torture commis par les forces de police et le personnel de prison qui lui étaient soumis, ou par des groupes liés à ceux-ci, alors qu'il était Ministre de l'intérieur sous le régime du Président Yahya Jammeh, entre 2006 et septembre 2016. Le 21 avril 2017, le Ministère public de la Confédération (MPC), qui avait repris la procédure, a demandé la prolongation de la détention provisoire jusqu'au 25 juillet 2017, prolongation qui a été accordée ( entretemps, une nouvelle prolongation a été accordée jusqu'au 25 octobre 2017, laquelle ne fait pas l'objet de la présente procédure). Le Tribunal pénal fédéral a rejeté le recours formé par l'intéressé, lequel s'est alors adressé au Tribunal fédéral. Le Tribunal fédéral rejette lui aussi le recours. Sur la base des résultats de l'enquête menée jusque-là, le Tribunal pénal fédéral a admis à juste titre l'existence de soupçons suffisants de commission de crimes contre l'humanité. L'intéressé se voit reprocher des actes de torture, agissements qui constitueraient des crimes contre l'humanité s'ils ont été commis dans le cadre d'une attaque généralisée ou systématique contre la population civile. Pour admettre l'existence d'un soupçon suffisant à cet égard, le Tribunal pénal fédéral s'est fondé notamment sur les deux rapports indépendants de rapporteurs spéciaux des Nations Unies sur la torture et sur les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires en Gambie. Contrairement à l'opinion du recourant, le rapport sur la torture n'a pas été examiné de manière unilatérale ou partiale. Il parvient en substance à la conclusion que durant le régime de Yahya Jammeh, les autorités de poursuite pénale et les forces de sécurité en Gambie se livraient impunément à des violations des droits de l'homme, en particulier des actes de torture, lesquels étaient notamment pratiqués systématiquement au début de la détention provisoire. Compte tenu du stade précoce de la procédure, de la dimension internationale de l'enquête et des actes poursuivis, ont ne saurait exiger que les agissements reprochés à l'intéressé soient déjà précisés dans le détail. Enfin, du point de vue de sa durée, la détention provisoire apparaît proportionnée.
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1B_335_2013_yyyy_mm_dd_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 26. Februar 2014 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteile vom 26. Februar 2014 (1B_335/2013, 1B_336/2013, 1B_369/2013, 1B_404/2013) Haftbedingungen im Genfer Gefängnis Champ-Dollon Im Gefängnis Champ-Dollon besteht seit mehreren Jahren eine schwere und dauernde Überbelegung. Beim Bundesgericht wurden vier Beschwerden eingereicht, welche sich gegen die Haftbedingungen richteten. Es hat zwei Beschwerden teilweise gutgeheissen und festgestellt, dass die Haftbedingungen, denen zwei Beschuldigte während 157 bzw. 89 aufeinanderfolgenden Tagen ausgesetzt waren, unzulässig waren. Die zwei Beschwerden der Beschuldigten, welche weniger lange inhaftiert waren, hat es dagegen abgewiesen. Das Bundesgericht hat in öffentlicher Beratung festgestellt, dass die Belegung einer für drei Gefangene vorgesehenen Zelle mit einer Bruttofläche von 23 m² mit sechs Gefangenen Gesetz, Verfassung und Konvention verletzen kann, wenn sie sich auf nahezu drei aufeinanderfolgende Monate erstreckt und mit anderen Mängeln, wie der Einschliessung in der Zelle während 23 von 24 Stunden, verbunden ist. Dagegen verletzt die Belegung einer Zelle mit einer Bruttofläche von 12 m² mit drei Gefangenen, auch wenn dies eine schwierige Haftbedingung darstellt, für sich allein die Menschenwürde nicht.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 26 février 2014 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêts du 26 février 2014 (1B_335/2013, 1B_336/2013, 1B_369/2013, 1B_404/2013) Conditions de détention au sein de la prison genevoise de ChampDollon La prison de Champ-Dollon connaît depuis plusieurs années un état grave et chronique de surpopulation carcérale. Le Tribunal fédéral a été saisi de quatre recours dénonçant les conditions de détention au sein de cet établissement pénitentiaire. Il a admis partiellement deux de ces recours et constaté que les conditions dans lesquelles s'était déroulée la détention de deux prévenus pendant respectivement 157 et 89 jours consécutifs étaient illicites. Il a en revanche rejeté les deux recours des prévenus qui ont été détenus pendant des périodes moins longues. Au terme de délibérations publiques, le Tribunal fédéral a constaté que l'occupation d'une cellule d'une surface brute de 23 m2 par six détenus - alors qu'elle est prévue pour trois - peut constituer une violation des exigences légales, constitutionnelles et conventionnelles en matière de détention si elle s'étend sur une période approchant les trois mois consécutifs et si elle s'accompagne d'autres carences, comme le confinement en cellule 23h sur 24h. En revanche, l'occupation d'une cellule d'une surface brute de 12 m2 par trois détenus, même si elle constitue une condition de détention difficile, n'entraîne pas en soi une violation du principe de la dignité humaine.
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Lausanne, 26. Februar 2014 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteile vom 26. Februar 2014 (1B_335/2013, 1B_336/2013, 1B_369/2013, 1B_404/2013) Haftbedingungen im Genfer Gefängnis Champ-Dollon Im Gefängnis Champ-Dollon besteht seit mehreren Jahren eine schwere und dauernde Überbelegung. Beim Bundesgericht wurden vier Beschwerden eingereicht, welche sich gegen die Haftbedingungen richteten. Es hat zwei Beschwerden teilweise gutgeheissen und festgestellt, dass die Haftbedingungen, denen zwei Beschuldigte während 157 bzw. 89 aufeinanderfolgenden Tagen ausgesetzt waren, unzulässig waren. Die zwei Beschwerden der Beschuldigten, welche weniger lange inhaftiert waren, hat es dagegen abgewiesen. Das Bundesgericht hat in öffentlicher Beratung festgestellt, dass die Belegung einer für drei Gefangene vorgesehenen Zelle mit einer Bruttofläche von 23 m² mit sechs Gefangenen Gesetz, Verfassung und Konvention verletzen kann, wenn sie sich auf nahezu drei aufeinanderfolgende Monate erstreckt und mit anderen Mängeln, wie der Einschliessung in der Zelle während 23 von 24 Stunden, verbunden ist. Dagegen verletzt die Belegung einer Zelle mit einer Bruttofläche von 12 m² mit drei Gefangenen, auch wenn dies eine schwierige Haftbedingung darstellt, für sich allein die Menschenwürde nicht.
Lausanne, le 26 février 2014 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêts du 26 février 2014 (1B_335/2013, 1B_336/2013, 1B_369/2013, 1B_404/2013) Conditions de détention au sein de la prison genevoise de ChampDollon La prison de Champ-Dollon connaît depuis plusieurs années un état grave et chronique de surpopulation carcérale. Le Tribunal fédéral a été saisi de quatre recours dénonçant les conditions de détention au sein de cet établissement pénitentiaire. Il a admis partiellement deux de ces recours et constaté que les conditions dans lesquelles s'était déroulée la détention de deux prévenus pendant respectivement 157 et 89 jours consécutifs étaient illicites. Il a en revanche rejeté les deux recours des prévenus qui ont été détenus pendant des périodes moins longues. Au terme de délibérations publiques, le Tribunal fédéral a constaté que l'occupation d'une cellule d'une surface brute de 23 m2 par six détenus - alors qu'elle est prévue pour trois - peut constituer une violation des exigences légales, constitutionnelles et conventionnelles en matière de détention si elle s'étend sur une période approchant les trois mois consécutifs et si elle s'accompagne d'autres carences, comme le confinement en cellule 23h sur 24h. En revanche, l'occupation d'une cellule d'une surface brute de 12 m2 par trois détenus, même si elle constitue une condition de détention difficile, n'entraîne pas en soi une violation du principe de la dignité humaine.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 22. Februar 2017 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 22. Februar 2017 (1B_349/2016, 1B_350/2016) Ausschluss der Presse durch Zürcher Obergericht: Beschwerde gutgeheissen Das Obergericht des Kantons Zürich hat mit dem Ausschluss der akkreditierten Gerichtsberichterstatter von der Berufungsverhandlung und der mündlichen Urteilsverkündung in einem Strafprozess den Grundsatz der Justizöffentlichkeit sowie die Medien- und Informationsfreiheit verletzt. Das Bundesgericht heisst die Beschwerde von vier Medienschaffenden gut. Ein Zürcher Bezirksgericht hatte 2015 eine Frau und deren Liebhaber der versuchten vorsätzlichen Tötung schuldig gesprochen. Opfer war der Ehemann der verurteilten Frau. Gegen den erstinstanzlichen Entscheid erhoben die Verurteilten und die Staatsanwaltschaft Berufung ans Obergericht des Kantons Zürich. Dieses ordnete auf Antrag des Gatten und der Kinder des Ehepaares für die kommende Berufungsverhandlung und die mündliche Urteilsverkündung den vollständigen Ausschluss des Publikums und der akkreditierten Gerichtsberichterstatterinnen und -erstatter an. Zur Begründung wurde angeführt, dass der Ehemann und die Kinder andernfalls retraumatisiert und unkontrolliert mit Verfahrensdetails konfrontiert werden könnten. Die Verhandlung und die Verkündung des Urteils wurden im Oktober 2016 unter Ausschluss von Publikum und Presse durchgeführt. Das Bundesgericht heisst in seiner öffentlichen Beratung vom Mittwoch die Beschwerde von vier betroffenen Medienschaffenden gut. Das Gericht stellt fest, dass ihr Ausschluss von der Berufungsverhandlung und der mündlichen Urteilsverkündung den Grundsatz der Justizöffentlichkeit (Artikel 30 der Bundesverfassung, präzisiert in Artikel 69 der Strafprozessordnung) sowie die Informations- und Medienfreiheit (Artikel 16 und 17 der Bundesverfassung) verletzt hat. In einem demokratischen Rechtsstaat spielen die Medien eine unentbehrliche Rolle bei der Information der Öffentlichkeit und beim Vermitteln der Funktionsweise der Justiz. Angesichts der Bedeutung des Prinzips der Öffentlichkeit von Gerichtsverhandlungen in einem Rechtsstaat ist der Ausschluss von Medienschaffenden nur sehr beschränkt zulässig. Das Prinzip der Justizöffentlichkeit bedeutet eine Absage an jegliche Form der Geheimjustiz. Gestützt auf Artikel 70 der Strafprozessordnung kann sich eine allfällige Einschränkung der Justizöffentlichkeit nur in seltenen Situationen rechtfertigen, etwa dann, wenn es um den Schutz der Intimsphäre des Opfers geht. In der Regel darf aber ein Ausschluss nicht unmittelbar für die ganze Verhandlung angeordnet werden. Im Weiteren untersteht die Presse bei ihrer Tätigkeit den Regelungen des Zivil- und des Strafrechts, sowie den eigenen Standesregeln. Im konkreten Fall war der Ausschluss der Medienschaffenden unverhältnismässig. Was die mündliche Urteilsverkündigung betrifft, bestand ein gesteigertes öffentliches Interesse an der Kenntnisnahme und am Verständnis des gefällten Entscheides, was die Anwesenheit der Medien erforderte. Dies gilt umso mehr, nachdem Presse und Öffentlichkeit bereits in erster Instanz ausgeschlossen wurden. Aufgrund dieses Ergebnisses wird das Obergericht den betroffenen Journalisten das begründete Urteil in anonymisierter Form zugänglich machen müssen.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 22 février 2017 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêt du 22 février 2017 (1B_349/2016, 1B_350/2016) Exclusion de la presse par le Tribunal cantonal zurichois : recours admis En interdisant aux journalistes accrédités l'accès aux débats d'appel et à la lecture de jugement, dans le cadre d'un procès pénal, le Tribunal cantonal du canton de Zurich a violé le principe de publicité de la procédure judiciaire ainsi que la liberté des médias et d'information. Le Tribunal fédéral admet le recours de quatre correspondants des médias. En 2015, un tribunal de district zurichois a reconnu une femme et son amant coupables de tentative de meurtre sur la personne du mari. Les condamnés et le ministère public ont formé appel du jugement de première instance devant le Tribunal cantonal zurichois. A la demande du conjoint et des enfants du couple, le tribunal a interdit au public ainsi qu'aux journalistes accrédités d'assister aux débats et à la lecture de jugement. Le huis clos a été ordonné pour prévenir le risque que l'époux et les enfant soient à nouveau traumatisés et éviter qu'ils soient confrontés de manière incontrôlée aux détails de la procédure. Le procès s'est déroulé en octobre 2016 en l'absence du public et de la presse. Lors de sa séance publique de mercredi, le Tribunal fédéral admet le recours de quatre correspondants des médias. La Cour estime que leur exclusion de l'audience de débats et de la lecture de jugement viole le principe de publicité des débats judiciaires (article 30 de la Constitution fédérale, concrétisé à l'article 69 du code de procédure pénale), de même que la liberté des médias et la liberté d'information (articles 16 et 17 de la Constitution fédérale). Dans un état démocratique, les médias jouent un rôle indispensable d'information et de compréhension du fonctionnement de la justice. Compte tenu de l'importance du principe de la publicité des débats dans un état de droit, l'exclusion des journalistes ne peut être ordonnée que de manière très restrictive. La publicité s'oppose à toute forme de justice secrète. Fondé sur l'article 70 du code de procédure pénale, une éventuelle restriction ne peut être admise que dans de rares situations, notamment celles où il y a lieu de protéger la sphère privée de la victime. En règle générale, le huis clos ne peut pas être prononcé d'emblée pour l'entier des débats. Au demeurant, la presse reste soumise aux exigences du droit civil et du droit pénal ainsi qu'à ses propres règles déontologiques. Dans le cas d'espèce, l'exclusion des correspondants des médias était dès lors disproportionnée. En ce qui concerne la lecture de jugement, il existait un intérêt public important à la connaissance et à la compréhension du verdict, dont la communication impliquait la présence des médias, ce d'autant plus que ceux-ci – de même que le public – ont été exclus au stade de la première instance déjà. Il en résulte, que le Tribunal cantonal devra rendre accessible aux journalistes concernés l'arrêt motivé sous forme anonymisée.
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Lausanne, 22. Februar 2017 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 22. Februar 2017 (1B_349/2016, 1B_350/2016) Ausschluss der Presse durch Zürcher Obergericht: Beschwerde gutgeheissen Das Obergericht des Kantons Zürich hat mit dem Ausschluss der akkreditierten Gerichtsberichterstatter von der Berufungsverhandlung und der mündlichen Urteilsverkündung in einem Strafprozess den Grundsatz der Justizöffentlichkeit sowie die Medien- und Informationsfreiheit verletzt. Das Bundesgericht heisst die Beschwerde von vier Medienschaffenden gut. Ein Zürcher Bezirksgericht hatte 2015 eine Frau und deren Liebhaber der versuchten vorsätzlichen Tötung schuldig gesprochen. Opfer war der Ehemann der verurteilten Frau. Gegen den erstinstanzlichen Entscheid erhoben die Verurteilten und die Staatsanwaltschaft Berufung ans Obergericht des Kantons Zürich. Dieses ordnete auf Antrag des Gatten und der Kinder des Ehepaares für die kommende Berufungsverhandlung und die mündliche Urteilsverkündung den vollständigen Ausschluss des Publikums und der akkreditierten Gerichtsberichterstatterinnen und -erstatter an. Zur Begründung wurde angeführt, dass der Ehemann und die Kinder andernfalls retraumatisiert und unkontrolliert mit Verfahrensdetails konfrontiert werden könnten. Die Verhandlung und die Verkündung des Urteils wurden im Oktober 2016 unter Ausschluss von Publikum und Presse durchgeführt. Das Bundesgericht heisst in seiner öffentlichen Beratung vom Mittwoch die Beschwerde von vier betroffenen Medienschaffenden gut. Das Gericht stellt fest, dass ihr Ausschluss von der Berufungsverhandlung und der mündlichen Urteilsverkündung den Grundsatz der Justizöffentlichkeit (Artikel 30 der Bundesverfassung, präzisiert in Artikel 69 der Strafprozessordnung) sowie die Informations- und Medienfreiheit (Artikel 16 und 17 der Bundesverfassung) verletzt hat. In einem demokratischen Rechtsstaat spielen die Medien eine unentbehrliche Rolle bei der Information der Öffentlichkeit und beim Vermitteln der Funktionsweise der Justiz. Angesichts der Bedeutung des Prinzips der Öffentlichkeit von Gerichtsverhandlungen in einem Rechtsstaat ist der Ausschluss von Medienschaffenden nur sehr beschränkt zulässig. Das Prinzip der Justizöffentlichkeit bedeutet eine Absage an jegliche Form der Geheimjustiz. Gestützt auf Artikel 70 der Strafprozessordnung kann sich eine allfällige Einschränkung der Justizöffentlichkeit nur in seltenen Situationen rechtfertigen, etwa dann, wenn es um den Schutz der Intimsphäre des Opfers geht. In der Regel darf aber ein Ausschluss nicht unmittelbar für die ganze Verhandlung angeordnet werden. Im Weiteren untersteht die Presse bei ihrer Tätigkeit den Regelungen des Zivil- und des Strafrechts, sowie den eigenen Standesregeln. Im konkreten Fall war der Ausschluss der Medienschaffenden unverhältnismässig. Was die mündliche Urteilsverkündigung betrifft, bestand ein gesteigertes öffentliches Interesse an der Kenntnisnahme und am Verständnis des gefällten Entscheides, was die Anwesenheit der Medien erforderte. Dies gilt umso mehr, nachdem Presse und Öffentlichkeit bereits in erster Instanz ausgeschlossen wurden. Aufgrund dieses Ergebnisses wird das Obergericht den betroffenen Journalisten das begründete Urteil in anonymisierter Form zugänglich machen müssen.
Lausanne, le 22 février 2017 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêt du 22 février 2017 (1B_349/2016, 1B_350/2016) Exclusion de la presse par le Tribunal cantonal zurichois : recours admis En interdisant aux journalistes accrédités l'accès aux débats d'appel et à la lecture de jugement, dans le cadre d'un procès pénal, le Tribunal cantonal du canton de Zurich a violé le principe de publicité de la procédure judiciaire ainsi que la liberté des médias et d'information. Le Tribunal fédéral admet le recours de quatre correspondants des médias. En 2015, un tribunal de district zurichois a reconnu une femme et son amant coupables de tentative de meurtre sur la personne du mari. Les condamnés et le ministère public ont formé appel du jugement de première instance devant le Tribunal cantonal zurichois. A la demande du conjoint et des enfants du couple, le tribunal a interdit au public ainsi qu'aux journalistes accrédités d'assister aux débats et à la lecture de jugement. Le huis clos a été ordonné pour prévenir le risque que l'époux et les enfant soient à nouveau traumatisés et éviter qu'ils soient confrontés de manière incontrôlée aux détails de la procédure. Le procès s'est déroulé en octobre 2016 en l'absence du public et de la presse. Lors de sa séance publique de mercredi, le Tribunal fédéral admet le recours de quatre correspondants des médias. La Cour estime que leur exclusion de l'audience de débats et de la lecture de jugement viole le principe de publicité des débats judiciaires (article 30 de la Constitution fédérale, concrétisé à l'article 69 du code de procédure pénale), de même que la liberté des médias et la liberté d'information (articles 16 et 17 de la Constitution fédérale). Dans un état démocratique, les médias jouent un rôle indispensable d'information et de compréhension du fonctionnement de la justice. Compte tenu de l'importance du principe de la publicité des débats dans un état de droit, l'exclusion des journalistes ne peut être ordonnée que de manière très restrictive. La publicité s'oppose à toute forme de justice secrète. Fondé sur l'article 70 du code de procédure pénale, une éventuelle restriction ne peut être admise que dans de rares situations, notamment celles où il y a lieu de protéger la sphère privée de la victime. En règle générale, le huis clos ne peut pas être prononcé d'emblée pour l'entier des débats. Au demeurant, la presse reste soumise aux exigences du droit civil et du droit pénal ainsi qu'à ses propres règles déontologiques. Dans le cas d'espèce, l'exclusion des correspondants des médias était dès lors disproportionnée. En ce qui concerne la lecture de jugement, il existait un intérêt public important à la connaissance et à la compréhension du verdict, dont la communication impliquait la présence des médias, ce d'autant plus que ceux-ci – de même que le public – ont été exclus au stade de la première instance déjà. Il en résulte, que le Tribunal cantonal devra rendre accessible aux journalistes concernés l'arrêt motivé sous forme anonymisée.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 2. September 2020 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 2. September 2020 (1B_393/2020) Untersuchungshaft wegen Cannabishandel in grossem Umfang Das Bundesgericht weist eine Beschwerde gegen die Anordnung von Untersuchungshaft ab. Gewerbsmässiger Cannabishandel in grossem Umfang stellt eine ernsthafte Bedrohung für die Gesundheit und Sicherheit, insbesondere von Jugendlichen und jungen Erwachsenen dar und rechtfertigt die Anordnung von Untersuchungshaft. Keine der vom Beschuldigten vorgeschlagenen Ersatzmassnahmen erlaubt es, die Wiederholungsgefahr zu bannen. Zwischen Ende 2014 und März 2020 hat der Beschuldigte mit mehr als 300 Kilogramm Haschisch und in grossem Ausmass auch mit Cannabisharz gehandelt. Er konsumiert regelmässig 5 bis 10 Gramm Haschisch pro Tag. 2014 verurteilte ihn das Jugendgericht zu einer bedingten Freiheitsstrafe und ordnete eine ambulante Behandlung an. Er befindet sich seit dem 1. April 2020 in Haft, nachdem er bereits im Frühling 2019 etwa zwei Monate inhaftiert war. Das Zwangsmassnahmengericht des Kantons Genf hat seine Freilassung abgelehnt und bis zum 23. September 2020 Sicherheitshaft angeordnet. Die Beschwerdekammer in Strafsachen des Genfer Kantonsgerichts hat eine dagegen gerichtete Beschwerde abgewiesen. In seiner öffentlichen Urteilsberatung vom Mittwoch bestätigt das Bundesgericht die Anordnung von Sicherheitshaft und weist die Beschwerde des Beschuldigten ab. Dieser bestreitet den dringenden Tatverdacht nicht, macht jedoch geltend, die Voraussetzungen für die Annahme von Wiederholungsgefahr seien nicht erfüllt, weshalb die Inhaftierung nicht gerechtfertigt sei. Artikel 221 Absatz 1 Buchstabe c der Strafprozessordnung (StPO) knüpft die Annahme von Wiederholungsgefahr an drei Voraussetzungen. Erstens muss der Beschuldigte grundsätzlich bereits früher gleichartige Straftaten verübt haben. Zweitens muss eine Tatwiederholung ernsthaft zu befürchten sein, was anhand einer Rückfallprognose zu beurteilen ist. Drittens muss hierdurch die Sicherheit anderer erheblich gefährdet sein. In Bezug auf die letztgenannte, hier umstrittene Voraussetzung muss bei Straftaten gegenüber speziell schutzbedürftigen Personengruppen, namentlich Kindern, ein strenger Massstab gelten. Bei Widerhandlungen gegen das Betäubungsmittelgesetz (BetmG) in Form von gewerbsmässigem, ein bestimmtes Ausmass erreichendem Cannabishandel ist auch die öffentliche Gesundheit mitzuberücksichtigen. Da es sich bei Cannabis um eine sogenannte "weiche" Droge handelt, fällt die aus einer Gefährdung der Gesundheit vieler Menschen resultierende, qualifizierte Widerhandlung nach Artikel 19 Absatz 2 Buchstabe a BetmG zwar ausser Betracht. Dennoch beeinträchtigt Cannabis die Gesundheit der Konsumenten, namentlich der sich mitten in ihrer physischen und psychischen Entwicklung befindlichen Jugendlichen und jungen Erwachsenen, und der regelmässige und/oder in grossen Mengen erfolgende Konsum kann zu einer Sucht und zu physischen sowie psychischen Störungen führen. Das Bundesgericht ist deshalb der Auffassung, dass Cannabishandel in grossem Umfang eine ernsthafte Gefahr für die Gesundheit und Sicherheit von Jugendlichen und jungen Erwachsenen darstellt, die einen wesentlichen Teil der Konsumenten und eine speziell schutzbedürftige Personengruppe ausmachen. Das Bundesgericht bestätigt zudem, dass die vom Beschwerdeführer vorgeschlagenen Ersatzmassnahmen die Wiederholungsgefahr nicht zu bannen vermögen. Dass er bei seiner Mutter wohnt und auf Anordnung des Jugendgerichts ambulant behandelt wird, hat ihn denn auch nicht daran gehindert, sich dem Cannabishandel zu widmen. Er verfügt zudem über keine Ausbildung, ist bisher keiner regelmässigen oder dauerhaften Berufstätigkeit nachgegangen und lebt hauptsächlich von den Einkünften aus seinem Drogenhandel.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 2 septembre 2020 Pas d'embargo Communiqué de presse du Tribunal fédéral Arrêt du 2 septembre 2020 (1B_393/2020) Détention provisoire en cas de trafic de cannabis de grande envergure Le Tribunal fédéral rejette un recours déposé contre une mise en détention provisoire. Le trafic de cannabis de grande envergure et par métier représente une menace sérieuse pour la santé et la sécurité, en particulier des jeunes et des jeunes adultes, justifiant une mise en détention provisoire. Aucune mesure de substitution proposée par le prévenu ne permet de pallier le risque de récidive. Entre fin 2014 et mars 2020, le prévenu s'est livré à un trafic de haschisch portant sur au moins 300 kilogrammes et à un important trafic avec de la résine de cannabis. Il consomme régulièrement du haschisch à raison de 5 à 10 grammes par jour. En 2014, il a été condamné à une peine privative de liberté avec sursis et s'est vu astreint à suivre un traitement ambulatoire par le Tribunal des mineurs. Il est détenu depuis le 1 er avril 2020, après l'avoir été pendant près de deux mois au printemps 2019. Le Tribunal des mesures de contrainte de la République et canton de Genève a refusé sa mise en liberté et ordonné sa mise en détention pour des motifs de sûreté jusqu'au 23 septembre 2020. Saisie, la Chambre pénale de recours de la Cour de justice de la République et canton de Genève a rejeté le recours du prévenu. Lors de sa séance publique de mercredi, le Tribunal fédéral rejette le recours et confirme la mise en détention du prévenu pour des motifs de sûreté. Le recourant ne conteste pas l'existence de charges suffisantes à son encontre, mais soutient que les conditions requises pour retenir un risque de récidive, justifiant sa mise en détention, ne sont pas remplies. L'article 221 alinéa 1 lettre c du Code de procédure pénale (CPP) pose trois conditions pour admettre un risque de récidive justifiant une détention provisoire. Le prévenu doit en principe déjà avoir commis des infractions du même genre. Une réitération est sérieusement à craindre sur la base d'un pronostic défavorable. La sécurité d'autrui est sérieusement compromise. Concernant cette troisième condition, litigieuse en l'espèce, il faut se montrer plus sévère avec les infractions commises contre des personnes nécessitant une protection particulière, surtout les enfants. La santé publique entre également en ligne de compte en cas d'infraction à la loi sur les stupéfiants (LStup) commise par métier dans le cadre d'un trafic de cannabis d'une certaine envergure. Le cannabis étant une drogue dite « douce », le cas aggravé résultant de la mise en danger de la santé de nombreuses personnes au sens de l'article 19 alinéa 2 lettre a LStup, n'entre pas en ligne de compte. Néanmoins, le cannabis étant une substance nocive pour la santé des consommateurs et, notamment des jeunes et jeunes adultes en pleine phase de développement physique et psychique, sa consommation régulière et/ou à haute dose peut entraîner une addiction, voire des troubles physiques et psychiques. Le Tribunal fédéral estime ainsi qu'un trafic de cannabis de grande envergure menace de manière sérieuse la santé et la sécurité des jeunes et des jeunes adultes, qui représentent une part importante des consommateurs et une frange de la population particulièrement vulnérable. Le Tribunal fédéral confirme aussi que les mesures de substitution proposées par le prévenu ne permettent pas de pallier le risque de récidive. En effet, le fait de résider chez sa mère et le traitement ambulatoire ordonné par le Tribunal des mineurs ne l'ont pas empêché de s'adonner à un trafic de cannabis. Il ne bénéficie d'aucune formation et n'a exercé à ce jour aucune activité professionnelle régulière ou durable, vivant principalement des revenus de son trafic de stupéfiants.
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Lausanne, 2. September 2020 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 2. September 2020 (1B_393/2020) Untersuchungshaft wegen Cannabishandel in grossem Umfang Das Bundesgericht weist eine Beschwerde gegen die Anordnung von Untersuchungshaft ab. Gewerbsmässiger Cannabishandel in grossem Umfang stellt eine ernsthafte Bedrohung für die Gesundheit und Sicherheit, insbesondere von Jugendlichen und jungen Erwachsenen dar und rechtfertigt die Anordnung von Untersuchungshaft. Keine der vom Beschuldigten vorgeschlagenen Ersatzmassnahmen erlaubt es, die Wiederholungsgefahr zu bannen. Zwischen Ende 2014 und März 2020 hat der Beschuldigte mit mehr als 300 Kilogramm Haschisch und in grossem Ausmass auch mit Cannabisharz gehandelt. Er konsumiert regelmässig 5 bis 10 Gramm Haschisch pro Tag. 2014 verurteilte ihn das Jugendgericht zu einer bedingten Freiheitsstrafe und ordnete eine ambulante Behandlung an. Er befindet sich seit dem 1. April 2020 in Haft, nachdem er bereits im Frühling 2019 etwa zwei Monate inhaftiert war. Das Zwangsmassnahmengericht des Kantons Genf hat seine Freilassung abgelehnt und bis zum 23. September 2020 Sicherheitshaft angeordnet. Die Beschwerdekammer in Strafsachen des Genfer Kantonsgerichts hat eine dagegen gerichtete Beschwerde abgewiesen. In seiner öffentlichen Urteilsberatung vom Mittwoch bestätigt das Bundesgericht die Anordnung von Sicherheitshaft und weist die Beschwerde des Beschuldigten ab. Dieser bestreitet den dringenden Tatverdacht nicht, macht jedoch geltend, die Voraussetzungen für die Annahme von Wiederholungsgefahr seien nicht erfüllt, weshalb die Inhaftierung nicht gerechtfertigt sei. Artikel 221 Absatz 1 Buchstabe c der Strafprozessordnung (StPO) knüpft die Annahme von Wiederholungsgefahr an drei Voraussetzungen. Erstens muss der Beschuldigte grundsätzlich bereits früher gleichartige Straftaten verübt haben. Zweitens muss eine Tatwiederholung ernsthaft zu befürchten sein, was anhand einer Rückfallprognose zu beurteilen ist. Drittens muss hierdurch die Sicherheit anderer erheblich gefährdet sein. In Bezug auf die letztgenannte, hier umstrittene Voraussetzung muss bei Straftaten gegenüber speziell schutzbedürftigen Personengruppen, namentlich Kindern, ein strenger Massstab gelten. Bei Widerhandlungen gegen das Betäubungsmittelgesetz (BetmG) in Form von gewerbsmässigem, ein bestimmtes Ausmass erreichendem Cannabishandel ist auch die öffentliche Gesundheit mitzuberücksichtigen. Da es sich bei Cannabis um eine sogenannte "weiche" Droge handelt, fällt die aus einer Gefährdung der Gesundheit vieler Menschen resultierende, qualifizierte Widerhandlung nach Artikel 19 Absatz 2 Buchstabe a BetmG zwar ausser Betracht. Dennoch beeinträchtigt Cannabis die Gesundheit der Konsumenten, namentlich der sich mitten in ihrer physischen und psychischen Entwicklung befindlichen Jugendlichen und jungen Erwachsenen, und der regelmässige und/oder in grossen Mengen erfolgende Konsum kann zu einer Sucht und zu physischen sowie psychischen Störungen führen. Das Bundesgericht ist deshalb der Auffassung, dass Cannabishandel in grossem Umfang eine ernsthafte Gefahr für die Gesundheit und Sicherheit von Jugendlichen und jungen Erwachsenen darstellt, die einen wesentlichen Teil der Konsumenten und eine speziell schutzbedürftige Personengruppe ausmachen. Das Bundesgericht bestätigt zudem, dass die vom Beschwerdeführer vorgeschlagenen Ersatzmassnahmen die Wiederholungsgefahr nicht zu bannen vermögen. Dass er bei seiner Mutter wohnt und auf Anordnung des Jugendgerichts ambulant behandelt wird, hat ihn denn auch nicht daran gehindert, sich dem Cannabishandel zu widmen. Er verfügt zudem über keine Ausbildung, ist bisher keiner regelmässigen oder dauerhaften Berufstätigkeit nachgegangen und lebt hauptsächlich von den Einkünften aus seinem Drogenhandel.
Lausanne, le 2 septembre 2020 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Arrêt du 2 septembre 2020 (1B_393/2020) Détention provisoire en cas de trafic de cannabis de grande envergure Le Tribunal fédéral rejette un recours déposé contre une mise en détention provisoire. Le trafic de cannabis de grande envergure et par métier représente une menace sérieuse pour la santé et la sécurité, en particulier des jeunes et des jeunes adultes, justifiant une mise en détention provisoire. Aucune mesure de substitution proposée par le prévenu ne permet de pallier le risque de récidive. Entre fin 2014 et mars 2020, le prévenu s'est livré à un trafic de haschisch portant sur au moins 300 kilogrammes et à un important trafic avec de la résine de cannabis. Il consomme régulièrement du haschisch à raison de 5 à 10 grammes par jour. En 2014, il a été condamné à une peine privative de liberté avec sursis et s'est vu astreint à suivre un traitement ambulatoire par le Tribunal des mineurs. Il est détenu depuis le 1 er avril 2020, après l'avoir été pendant près de deux mois au printemps 2019. Le Tribunal des mesures de contrainte de la République et canton de Genève a refusé sa mise en liberté et ordonné sa mise en détention pour des motifs de sûreté jusqu'au 23 septembre 2020. Saisie, la Chambre pénale de recours de la Cour de justice de la République et canton de Genève a rejeté le recours du prévenu. Lors de sa séance publique de mercredi, le Tribunal fédéral rejette le recours et confirme la mise en détention du prévenu pour des motifs de sûreté. Le recourant ne conteste pas l'existence de charges suffisantes à son encontre, mais soutient que les conditions requises pour retenir un risque de récidive, justifiant sa mise en détention, ne sont pas remplies. L'article 221 alinéa 1 lettre c du Code de procédure pénale (CPP) pose trois conditions pour admettre un risque de récidive justifiant une détention provisoire. Le prévenu doit en principe déjà avoir commis des infractions du même genre. Une réitération est sérieusement à craindre sur la base d'un pronostic défavorable. La sécurité d'autrui est sérieusement compromise. Concernant cette troisième condition, litigieuse en l'espèce, il faut se montrer plus sévère avec les infractions commises contre des personnes nécessitant une protection particulière, surtout les enfants. La santé publique entre également en ligne de compte en cas d'infraction à la loi sur les stupéfiants (LStup) commise par métier dans le cadre d'un trafic de cannabis d'une certaine envergure. Le cannabis étant une drogue dite « douce », le cas aggravé résultant de la mise en danger de la santé de nombreuses personnes au sens de l'article 19 alinéa 2 lettre a LStup, n'entre pas en ligne de compte. Néanmoins, le cannabis étant une substance nocive pour la santé des consommateurs et, notamment des jeunes et jeunes adultes en pleine phase de développement physique et psychique, sa consommation régulière et/ou à haute dose peut entraîner une addiction, voire des troubles physiques et psychiques. Le Tribunal fédéral estime ainsi qu'un trafic de cannabis de grande envergure menace de manière sérieuse la santé et la sécurité des jeunes et des jeunes adultes, qui représentent une part importante des consommateurs et une frange de la population particulièrement vulnérable. Le Tribunal fédéral confirme aussi que les mesures de substitution proposées par le prévenu ne permettent pas de pallier le risque de récidive. En effet, le fait de résider chez sa mère et le traitement ambulatoire ordonné par le Tribunal des mineurs ne l'ont pas empêché de s'adonner à un trafic de cannabis. Il ne bénéficie d'aucune formation et n'a exercé à ce jour aucune activité professionnelle régulière ou durable, vivant principalement des revenus de son trafic de stupéfiants.
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1B_407_2016_2016_12_02_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 2. Dezember 2016 Embargo: 2. Dezember 2016, 12:00 Uhr Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 28. November 2016 (1B_407/2016) Fortsetzung von Sicherheitshaft durch Bundesstrafgericht bestätigt Das Bundesgericht bestätigt die Sicherheitshaft gegen einen Mann, der vom Bundesstrafgericht am 18. März 2016 wegen Beteiligung an einer kriminellen Organisation und Verstössen gegen das Ausländergesetz zu vier Jahren und acht Monaten Freiheitsstrafe verurteilt wurde. Das Bundesstrafgericht hat beim Betroffenen zu Recht Fluchtgefahr bejaht. Die bisherige Haftdauer ist verhältnismässig. Das Bundesstrafgericht hatte den Mann am 18. März 2016 wegen Beteiligung an einer kriminellen Organisation, Förderung des rechtswidrigen Aufenthalts in der Schweiz und wegen versuchter Förderung der rechtswidrigen Einreise in die Schweiz schuldig gesprochen (Urteil SK.2015.45). Es verurteilte ihn zu einer Freiheitsstrafe von vier Jahren und acht Monaten. Gegen das Strafurteil erhob der Verurteilte Beschwerde ans Bundesgericht, die gegenwärtig noch hängig ist. Zusammen mit der Verurteilung des Betroffenen hatte das Bundesstrafgericht zur Sicherung des Strafvollzugs die Fortdauer von Sicherheitshaft gegen den Mann angeordnet. Das Bundesgericht weist die Beschwerde des Mannes gegen die Fortdauer der Sicherheitshaft ab. Das Bundesstrafgericht hat den Haftgrund der Fluchtgefahr zu Recht bejaht. Als insgesamt ausreichend konkrete Fluchtindizien stufte es dabei ohne Verletzung von Bundesrecht die drohende empfindliche Freiheitsstrafe ein, die Kontakte des Betroffenen zu internationalen Schleusern, seine mangelnde soziale Integration in der Schweiz sowie seine irakische Herkunft. Die bisher ausgestandene strafprozessuale Haft (Untersuchungshaft und Sicherheitshaft) ist zudem noch nicht in grosse Nähe der zu erwartenden Freiheitsstrafe gerückt und erweist sich damit als verhältnismässig.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 2 décembre 2016 Embargo : 2 décembre 2016, 12:00 heures Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêt du 28 novembre 2016 (1B_407/2016) Maintien de la détention pour des motifs de sûreté prononcé par le Tribunal pénal fédéral Le Tribunal fédéral a confirmé la détention pour des motifs de sûreté d'un prévenu condamné le 18 mars 2016 par le Tribunal pénal fédéral à une peine privative de liberté de quatre ans et huit mois pour participation à une organisation criminelle et infractions à la loi sur les étrangers. Le Tribunal pénal fédéral a, à juste titre, reconnu l'existence d'un risque de fuite. La durée de la détention subie à ce jour était de plus conforme au principe de proportionnalité. Le 18 mars 2016, le Tribunal pénal fédéral a reconnu le prévenu coupable de participation à une organisation criminelle, d'incitation au séjour illégal et de tentative d'incitation à l'entrée illégale en Suisse; les juges l'ont condamné à une peine privative de liberté de quatre ans et huit mois (SK.2015.45). Le prévenu a déposé un recours au Tribunal fédéral contre cet arrêt, procédure actuellement pendante. Parallèlement au jugement de condamnation, le Tribunal pénal fédéral a prolongé le placement du prévenu en détention pour des motifs de sûreté afin de garantir l'exécution de la peine. Le Tribunal fédéral a rejeté le recours du prevenu contre cette prolongation. Le Tribunal pénal fédéral a, à juste titre, reconnu l'existence d'un risque de fuite. A titre d'indices suffisants et concrets de ce danger, l'autorité précédente a retenu, sans violer le droit fédéral, la menace de la peine privative de liberté susceptible de devoir être exécutée, les contacts de l'intéressé avec des réseaux internationaux clandestins d'immigration, son manque d'intégration en Suisse, ainsi que son origine irakienne. La durée de la détention provisoire et pour motifs de sûreté subie à ce jour n'approchant pas encore la durée de la peine privative de liberté susceptible d'être prononcée, elle est ainsi conforme au principe de proportionnalité.
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Lausanne, 2. Dezember 2016 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 28. November 2016 (1B_407/2016) Fortsetzung von Sicherheitshaft durch Bundesstrafgericht bestätigt Das Bundesgericht bestätigt die Sicherheitshaft gegen einen Mann, der vom Bundesstrafgericht am 18. März 2016 wegen Beteiligung an einer kriminellen Organisation und Verstössen gegen das Ausländergesetz zu vier Jahren und acht Monaten Freiheitsstrafe verurteilt wurde. Das Bundesstrafgericht hat beim Betroffenen zu Recht Fluchtgefahr bejaht. Die bisherige Haftdauer ist verhältnismässig. Das Bundesstrafgericht hatte den Mann am 18. März 2016 wegen Beteiligung an einer kriminellen Organisation, Förderung des rechtswidrigen Aufenthalts in der Schweiz und wegen versuchter Förderung der rechtswidrigen Einreise in die Schweiz schuldig gesprochen (Urteil SK.2015.45). Es verurteilte ihn zu einer Freiheitsstrafe von vier Jahren und acht Monaten. Gegen das Strafurteil erhob der Verurteilte Beschwerde ans Bundesgericht, die gegenwärtig noch hängig ist. Zusammen mit der Verurteilung des Betroffenen hatte das Bundesstrafgericht zur Sicherung des Strafvollzugs die Fortdauer von Sicherheitshaft gegen den Mann angeordnet. Das Bundesgericht weist die Beschwerde des Mannes gegen die Fortdauer der Sicherheitshaft ab. Das Bundesstrafgericht hat den Haftgrund der Fluchtgefahr zu Recht bejaht. Als insgesamt ausreichend konkrete Fluchtindizien stufte es dabei ohne Verletzung von Bundesrecht die drohende empfindliche Freiheitsstrafe ein, die Kontakte des Betroffenen zu internationalen Schleusern, seine mangelnde soziale Integration in der Schweiz sowie seine irakische Herkunft. Die bisher ausgestandene strafprozessuale Haft (Untersuchungshaft und Sicherheitshaft) ist zudem noch nicht in grosse Nähe der zu erwartenden Freiheitsstrafe gerückt und erweist sich damit als verhältnismässig.
Lausanne, le 2 décembre 2016 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêt du 28 novembre 2016 (1B_407/2016) Maintien de la détention pour des motifs de sûreté prononcé par le Tribunal pénal fédéral Le Tribunal fédéral a confirmé la détention pour des motifs de sûreté d'un prévenu condamné le 18 mars 2016 par le Tribunal pénal fédéral à une peine privative de liberté de quatre ans et huit mois pour participation à une organisation criminelle et infractions à la loi sur les étrangers. Le Tribunal pénal fédéral a, à juste titre, reconnu l'existence d'un risque de fuite. La durée de la détention subie à ce jour était de plus conforme au principe de proportionnalité. Le 18 mars 2016, le Tribunal pénal fédéral a reconnu le prévenu coupable de participation à une organisation criminelle, d'incitation au séjour illégal et de tentative d'incitation à l'entrée illégale en Suisse; les juges l'ont condamné à une peine privative de liberté de quatre ans et huit mois (SK.2015.45). Le prévenu a déposé un recours au Tribunal fédéral contre cet arrêt, procédure actuellement pendante. Parallèlement au jugement de condamnation, le Tribunal pénal fédéral a prolongé le placement du prévenu en détention pour des motifs de sûreté afin de garantir l'exécution de la peine. Le Tribunal fédéral a rejeté le recours du prevenu contre cette prolongation. Le Tribunal pénal fédéral a, à juste titre, reconnu l'existence d'un risque de fuite. A titre d'indices suffisants et concrets de ce danger, l'autorité précédente a retenu, sans violer le droit fédéral, la menace de la peine privative de liberté susceptible de devoir être exécutée, les contacts de l'intéressé avec des réseaux internationaux clandestins d'immigration, son manque d'intégration en Suisse, ainsi que son origine irakienne. La durée de la détention provisoire et pour motifs de sûreté subie à ce jour n'approchant pas encore la durée de la peine privative de liberté susceptible d'être prononcée, elle est ainsi conforme au principe de proportionnalité.
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1B_412_2016_2016_12_14_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 14. Dezember 2016 Embargo: 14. Dezember 2016, 12:00 Uhr Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 5. Dezember 2016 (1B_412/2016) Untersuchungshaft gegen mutmasslichen IS-Unterstützer bestä tigt Das Bundesgericht bestätigt die Verlängerung der Untersuchungshaft gegenüber einem Mann, gegen den die Bundesanwaltschaft wegen Verdachts auf Unterstützung der Terrororganisation "Islamischer Staat" (IS) ermittelt. Das Bundesstrafgericht ist zu Recht von dringendem Tatverdacht und von Verdunkelungsgefahr ausgegangen. Die Bundesanwaltschaft führt gegen den Mann eine Untersuchung wegen Unterstützung einer kriminellen Organisation sowie wegen Widerhandlungen gegen das Bundesgesetz über das Verbot der Gruppierungen "Al-Qaïda" und "Islamischer Staat" sowie verwandter Organisationen (IS-Gesetz). Der Betroffene war am 16. Februar 2016 festgenommen und in Untersuchungshaft versetzt worden. Diese wurde am vergangenen 17. August bis zum 15. November 2016 verlängert, was vom Bundesstrafgericht im Oktober bestätigt wurde. Das Bundesgericht weist die Beschwerde des Mannes ab. Die Haftvoraussetzung des dringenden Tatverdachts ist erfüllt. Als konkrete Indizien dafür, dass der Betroffene die terroristische Organisation "Islamischer Staat" (oder eine ihrer Tarnorganisationen) unterstützt haben könnte, durfte das Bundesstrafgericht nach den vorläufigen Untersuchungsergebnissen unter anderem folgende Umstände heranziehen: der Beschuldigte räumt ein, Ende 2013 nach Syrien gereist zu sein; er gibt zu, sich dort in einem "Camp" aufgehalten und bewaffnete Wachteinsätze geleistet zu haben; es wurden Bilder des Syrienaufenthaltes sichergestellt, auf denen der Betroffene schwer bewaffnet und in Militärkleidung posiert; er war gemäss eigenen Angaben und sichergestellten Fotos und Nachrichten in der Schweiz mit extremistischen Personen eng vernetzt, die den IS offen unterstützen; er übte eine leitende Funktion in einem Verein aus, in welchem jihadistische Extremisten, salafistische Hassprediger und IS-Rekrutierer verkehrten; er pflegte als Kampfsporttrainer Kontakt mit diversen Personen, darunter Jugendlichen, die anschliessend in den Irak oder nach Syrien reisten oder dies versuchten; er trainierte gemäss sichergestellten Mitteilungen aus seinem engeren Umfeld in Syrien für den Jihad und sah einem möglichen "Märtyrertod" entgegen. Erfüllt ist im Weiteren das Hafterfordernis der Verdunkelungsgefahr. Zu beachten ist dabei unter anderem, dass noch umfangreiches Beweismaterial auszuwerten ist und Einvernahmen von Gewährspersonen anstehen.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 14 décembre 2016 Embargo : 14 décembre 2016, 12:00 heures Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêt du 5 décembre 2016 (1B_412/2016) Confirmation de la détention provisoire pour une personne soupçonnée de soutien à l'EI Le Tribunal fédéral confirme la prolongation de la détention provisoire pour un homme soupçonné par le Ministère public de la Confédération de soutien à l'organisation terroriste « Etat islamique » (EI). Le Tribunal pénal fédéral a retenu à juste titre l'existence de soupçons graves et d'un risque de collusion. Le Ministère public de la Confédération mène une instruction contre un homme pour soutien à une organisation criminelle et violation de la loi fédérale interdisant les groupes « Al-Qaïda » et « Etat islamique » et les organisations apparentées. Le prévenu avait été arrêté le 16 février 2016 et placé en détention provisoire. Celle-ci a été prolongée, le 17 août 2016, jusqu'au 15 novembre 2016, et le Tribunal pénal fédéral avait confirmé cette prolongation au mois d'octobre. Le Tribunal fédéral rejette le recours du prévenu. L'exigence d'un soupçon grave comme l'une des conditions de détention est satisfaite. Pour retenir des indices concrets que l'intéressé avait soutenu l'organisation terroriste EI (ou l'une de ses organisations secrètes), le Tribunal pénal fédéral pouvait se fonder sur les éléments suivants, tels qu'ils résultent de l'état actuel de l'enquête : le prévenu a admis avoir voyagé en Syrie fin 2013, y avoir séjourné dans un « camp » et s'être engagé dans des services de garde armée; des images de son séjour en Syrie ont été saisies, sur lesquelles l'intéressé apparaît en habit militaire, lourdement armé ; il ressort de ses propres déclarations ainsi que des photos et renseignements saisis qu'il était étroitement lié à des extrémistes soutenant ouvertement l'EI ; il exerçait une fonction dirigeante dans une association fréquentée par des extrémistes jihadistes, des salafistes prêchant la haine et des recruteurs de l'EI. En tant qu'entraîneur de sports de combat, il était en contact avec diverses personnes, dont des jeunes, qui ont par la suite voyagé ou tenté de voyager en Irak ou en Syrie. Selon les renseignements recueillis dans son proche entourage, il s'entraînait en Syrie pour le jihad et envisageait une possible mort en martyr. La condition du risque de collusion est par ailleurs réalisée, compte tenu du fait que de nombreux moyens de preuve doivent encore être examinés et que des interrogatoires doivent avoir lieu.
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1B_412_2016_2016_12_14_T_{lang}
Lausanne, 14. Dezember 2016 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 5. Dezember 2016 (1B_412/2016) Untersuchungshaft gegen mutmasslichen IS-Unterstützer bestä tigt Das Bundesgericht bestätigt die Verlängerung der Untersuchungshaft gegenüber einem Mann, gegen den die Bundesanwaltschaft wegen Verdachts auf Unterstützung der Terrororganisation "Islamischer Staat" (IS) ermittelt. Das Bundesstrafgericht ist zu Recht von dringendem Tatverdacht und von Verdunkelungsgefahr ausgegangen. Die Bundesanwaltschaft führt gegen den Mann eine Untersuchung wegen Unterstützung einer kriminellen Organisation sowie wegen Widerhandlungen gegen das Bundesgesetz über das Verbot der Gruppierungen "Al-Qaïda" und "Islamischer Staat" sowie verwandter Organisationen (IS-Gesetz). Der Betroffene war am 16. Februar 2016 festgenommen und in Untersuchungshaft versetzt worden. Diese wurde am vergangenen 17. August bis zum 15. November 2016 verlängert, was vom Bundesstrafgericht im Oktober bestätigt wurde. Das Bundesgericht weist die Beschwerde des Mannes ab. Die Haftvoraussetzung des dringenden Tatverdachts ist erfüllt. Als konkrete Indizien dafür, dass der Betroffene die terroristische Organisation "Islamischer Staat" (oder eine ihrer Tarnorganisationen) unterstützt haben könnte, durfte das Bundesstrafgericht nach den vorläufigen Untersuchungsergebnissen unter anderem folgende Umstände heranziehen: der Beschuldigte räumt ein, Ende 2013 nach Syrien gereist zu sein; er gibt zu, sich dort in einem "Camp" aufgehalten und bewaffnete Wachteinsätze geleistet zu haben; es wurden Bilder des Syrienaufenthaltes sichergestellt, auf denen der Betroffene schwer bewaffnet und in Militärkleidung posiert; er war gemäss eigenen Angaben und sichergestellten Fotos und Nachrichten in der Schweiz mit extremistischen Personen eng vernetzt, die den IS offen unterstützen; er übte eine leitende Funktion in einem Verein aus, in welchem jihadistische Extremisten, salafistische Hassprediger und IS-Rekrutierer verkehrten; er pflegte als Kampfsporttrainer Kontakt mit diversen Personen, darunter Jugendlichen, die anschliessend in den Irak oder nach Syrien reisten oder dies versuchten; er trainierte gemäss sichergestellten Mitteilungen aus seinem engeren Umfeld in Syrien für den Jihad und sah einem möglichen "Märtyrertod" entgegen. Erfüllt ist im Weiteren das Hafterfordernis der Verdunkelungsgefahr. Zu beachten ist dabei unter anderem, dass noch umfangreiches Beweismaterial auszuwerten ist und Einvernahmen von Gewährspersonen anstehen.
Lausanne, le 14 décembre 2016 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêt du 5 décembre 2016 (1B_412/2016) Confirmation de la détention provisoire pour une personne soupçonnée de soutien à l'EI Le Tribunal fédéral confirme la prolongation de la détention provisoire pour un homme soupçonné par le Ministère public de la Confédération de soutien à l'organisation terroriste « Etat islamique » (EI). Le Tribunal pénal fédéral a retenu à juste titre l'existence de soupçons graves et d'un risque de collusion. Le Ministère public de la Confédération mène une instruction contre un homme pour soutien à une organisation criminelle et violation de la loi fédérale interdisant les groupes « Al-Qaïda » et « Etat islamique » et les organisations apparentées. Le prévenu avait été arrêté le 16 février 2016 et placé en détention provisoire. Celle-ci a été prolongée, le 17 août 2016, jusqu'au 15 novembre 2016, et le Tribunal pénal fédéral avait confirmé cette prolongation au mois d'octobre. Le Tribunal fédéral rejette le recours du prévenu. L'exigence d'un soupçon grave comme l'une des conditions de détention est satisfaite. Pour retenir des indices concrets que l'intéressé avait soutenu l'organisation terroriste EI (ou l'une de ses organisations secrètes), le Tribunal pénal fédéral pouvait se fonder sur les éléments suivants, tels qu'ils résultent de l'état actuel de l'enquête : le prévenu a admis avoir voyagé en Syrie fin 2013, y avoir séjourné dans un « camp » et s'être engagé dans des services de garde armée; des images de son séjour en Syrie ont été saisies, sur lesquelles l'intéressé apparaît en habit militaire, lourdement armé ; il ressort de ses propres déclarations ainsi que des photos et renseignements saisis qu'il était étroitement lié à des extrémistes soutenant ouvertement l'EI ; il exerçait une fonction dirigeante dans une association fréquentée par des extrémistes jihadistes, des salafistes prêchant la haine et des recruteurs de l'EI. En tant qu'entraîneur de sports de combat, il était en contact avec diverses personnes, dont des jeunes, qui ont par la suite voyagé ou tenté de voyager en Irak ou en Syrie. Selon les renseignements recueillis dans son proche entourage, il s'entraînait en Syrie pour le jihad et envisageait une possible mort en martyr. La condition du risque de collusion est par ailleurs réalisée, compte tenu du fait que de nombreux moyens de preuve doivent encore être examinés et que des interrogatoires doivent avoir lieu.
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1B_420_2013_2014_08_07_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 7. August 2014 Embargo: 7. August 2014, 15:00 Uhr Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteile vom 22. Juli 2014 (1B_420/2013, 1B_424/2013, 1B_436/2013) Strafverfahren gegen Christoph Blocher Die Zürcher Staatsanwaltschaft darf für ihre Strafuntersuchung gegen Christoph Blocher die im März 2012 bei ihm beschlagnahmte Korrespondenz mit der "Weltwoche" nicht verwenden. Die Dokumente unterliegen dem journalistischen Quellenschutz und dürfen deshalb nicht entsiegelt werden. Die Hausdurchsuchungen als solche waren aber zulässig. Das Bundesgericht heisst die Beschwerde von Christoph Blocher teilweise gut. Abgewiesen hat das Gericht seine Beschwerde gegen die rückwirkende Erhebung von Telefondaten. Die Staatsanwaltschaft III des Kantons Zürich führt gegen Christoph Blocher ein Strafverfahren wegen des Verdachts der Gehilfenschaft und der versuchten Verleitung zur Verletzung des Bankgeheimnisses. Sie wirft ihm vor, im Dezember 2011 den Angestellten einer Privatbank bei sich zu Hause empfangen zu haben, der im Besitz von vertraulichen Informationen über den damaligen Präsidenten der Nationalbank, Philipp Hildebrand, gewesen sei. Der Bankangestellte habe die Unterlagen offen gelegt und Christoph Blocher habe ihm Unterstützung in Aussicht gestellt, falls er deshalb seine Stelle verlieren sollte. Zudem soll Christoph Blocher darauf hingewirkt haben, den Bankangestellten mit einem Journalisten in Kontakt zu bringen, der im Zusammenhang mit den privaten Bankgeschäften von Philipp Hildebrand am Recherchieren gewesen sei. Am 20. März 2012 durchsuchte die Staatsanwaltschaft das Haus von Christoph Blocher und die Räume einer Aktiengesellschaft. Dabei wurden verschiedene Unterlagen und Datenträger sichergestellt, die noch gleichentags versiegelt wurden. Weiter wurde im Frühjahr 2012 die rückwirkende Erhebung der Telefonkontakte von Christoph Blocher in der Zeit vom 4. November 2011 bis zum 13. Januar 2012 angeordnet. Im November 2013 entschied das Obergericht des Kantons Zürich, die versiegelten Unterlagen der Staatsanwaltschaft zur Untersuchung zu überlassen. Zuvor waren Dokumente ausgesondert worden, die unter das Anwalts- beziehungsweise das Amtsgeheimnis fallen. Die rückwirkende Telefonüberwachung wurde vom Obergericht bestätigt. Das Bundesgericht heisst die Beschwerde von Christoph Blocher bezüglich der Entsiegelung teilweise gut und weist diejenige zur Telefonüberwachung ab. Das Obergericht wird verpflichtet, aus den beschlagnahmten Unterlagen zusätzlich noch diejenigen Dokumente auszusondern, die den Verkehr zwischen Christoph Blocher und der "Weltwoche", beziehungsweise den dort tätigen Journalisten betreffen. Entsprechende Korrespondenz und Aufzeichnungen dürfen nicht für das Strafverfahren der Staatsanwaltschaft freigegeben werden, da sie dem Quellenschutz für Medienschaffende und damit grundsätzlich dem Beschlagnahmeverbot unterliegen (Artikel 172 und 264 der Strafprozessordnung). Gegenstände und Unterlagen werden vom gesetzlichen Beschlagnahmeverbot "ungeachtet des Ortes, wo sie sich befinden" erfasst. Es gilt damit nicht nur für journalistische Dokumente, die bei Medienschaffenden liegen, sondern auch für solche im Gewahrsam der beschuldigten Person oder von Dritten. Das Obergericht wird zudem darüber zu befinden haben, ob und inwieweit der Staatsanwaltschaft Kopien der Agenda von Christoph Blocher überlassen werden können. Was die Hausdurchsuchungen als solche betrifft, war es entgegen der Ansicht des Beschwerdeführers nicht notwendig, dafür eine Ermächtigung der jeweiligen Präsidien des National- oder Ständerates einzuholen, da die vorgeworfenen Straftaten in keinem unmittelbaren Zusammenhang mit der amtlichen Stellung oder Tätigkeit des damaligen Nationalrats Christoph Blocher stehen. In Bezug auf die rückwirkende Erhebung der Telefonkontakte kommt das Bundesgericht zum Schluss, dass die Staatsanwaltschaft formell korrekt vorgegangen ist. Ihre Anordnung hat sie gegenüber dem Obergericht eingehend begründet. Das Obergericht seinerseits hat das rechtliche Gehör von Christoph Blocher nicht verletzt.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 7 août 2014 Embargo : 7 août 2014, 15:00 heures Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêts du 22 juillet 2014 (1B_420/2013, 1B_424/2013, 1B_436/2013) Procédure pénale contre Christoph Blocher Dans le cadre de l'instruction pénale ouverte contre Christoph Blocher, le Ministère public zurichois ne peut pas utiliser la correspondance avec le journal "Weltwoche" séquestrée en mars 2012. Cette documentation bénéficie de la protection des sources des professionnels des médias et les scellés ne peuvent être levés. Quant aux perquisitions effectuées, ces mesures étaient en l'espèce admissibles. Le Tribunal fédéral admet ainsi partiellement le recours déposé à cet égard par Christoph Blocher. Il rejette en revanche son recours relatif au contrôle rétroactif des télécommunications. Le Ministère public III du canton de Zurich instruit une enquête contre Christoph Blocher pour complicité et tentative de violation du secret bancaire. Il lui est reproché d'avoir, en décembre 2011, reçu à son domicile l'employé d'une banque privée qui détenait des informations confidentielles sur l'ancien président de la Banque nationale, Philipp Hildebrand. L'employé bancaire aurait permis l'accès à ces documents et Christoph Blocher l'aurait assuré de son soutien dans l'hypothèse où l'employé devrait perdre son emploi. En outre, Christoph Blocher l'aurait mis en contact avec un journaliste qui enquêtait sur les affaires bancaires privées de Philipp Hildebrand. Le 20 mars 2012, le Ministère public a fait perquisitionner la maison de Christoph Blocher, ainsi que les locaux d'une société anonyme. Les différents documents et disques durs alors saisis ont été placés ce même jour sous scellés. Par ailleurs, au printemps 2012, un contrôle rétrospectif des télécommunications pour la période du 4 novembre 2011 au 13 janvier 2012 a été ordonné. En novembre 2013, après avoir écarté les pièces sous scellés couvertes par le secret professionnel de l'avocat, respectivement par le secret de fonction, le Tribunal cantonal a levé les scellés apposés sur les autres documents. Il a en outre confirmé la surveillance téléphonique rétroactive. Le Tribunal fédéral a admis partiellement le recours interjeté par Christoph Blocher contre la levée des scellés, rejetant en revanche les griefs relatifs à la surveillance téléphonique. Selon ses considérants, le Tribunal cantonal se voit contraint de retirer de la documentation saisie les pièces en lien avec les relations intervenues entre Christoph Blocher et le journal "Weltwoche", respectivement celles en lien avec les journalistes qui y travaillent. Cette correspondance, ainsi que les dossiers y relatifs ne peuvent pas être utilisés dans le cadre de l'enquête du Ministère public, dès lors qu'ils bénéficient de la protection des sources des professionnels des médias, ne pouvant en principe pas être séquestrés (articles 172 et 264 du Code de procédure pénale). Ces objets et documents sont protégés par l'interdiction légale de séquestre "quel que soit l'endroit où ils se trouvent". Cela ne vaut pas seulement pour la documentation journalistique se trouvant en mains des médias, mais également pour celle détenue par le prévenu ou un tiers. Le Tribunal cantonal devra également examiner si et dans quelle mesure le Ministère public peut utiliser des copies de l'agenda de Christoph Blocher. En ce qui concerne la perquisition proprement dite, il n'était pas nécessaire, contrairement à ce que soutient le recourant, d'obtenir une autorisation des collèges présidentiels des deux conseils dès lors que les faits reprochés à Christophe Blocher ne sont pas en lien direct avec sa fonction ou son activité officielle d'ancien Conseiller national. S'agissant du contrôle rétroactif des télécommunications, le Tribunal fédéral retient que le Ministère public a agi de manière correcte sur le plan formel. Il a ainsi motivé de façon détaillée cette mesure devant le Tribunal cantonal. Ce dernier n'a, pour sa part, pas violé le droit d'être entendu du recourant.
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1B_420_2013_2014_08_07_T_{lang}
Lausanne, 7. August 2014 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteile vom 22. Juli 2014 (1B_420/2013, 1B_424/2013, 1B_436/2013) Strafverfahren gegen Christoph Blocher Die Zürcher Staatsanwaltschaft darf für ihre Strafuntersuchung gegen Christoph Blocher die im März 2012 bei ihm beschlagnahmte Korrespondenz mit der "Weltwoche" nicht verwenden. Die Dokumente unterliegen dem journalistischen Quellenschutz und dürfen deshalb nicht entsiegelt werden. Die Hausdurchsuchungen als solche waren aber zulässig. Das Bundesgericht heisst die Beschwerde von Christoph Blocher teilweise gut. Abgewiesen hat das Gericht seine Beschwerde gegen die rückwirkende Erhebung von Telefondaten. Die Staatsanwaltschaft III des Kantons Zürich führt gegen Christoph Blocher ein Strafverfahren wegen des Verdachts der Gehilfenschaft und der versuchten Verleitung zur Verletzung des Bankgeheimnisses. Sie wirft ihm vor, im Dezember 2011 den Angestellten einer Privatbank bei sich zu Hause empfangen zu haben, der im Besitz von vertraulichen Informationen über den damaligen Präsidenten der Nationalbank, Philipp Hildebrand, gewesen sei. Der Bankangestellte habe die Unterlagen offen gelegt und Christoph Blocher habe ihm Unterstützung in Aussicht gestellt, falls er deshalb seine Stelle verlieren sollte. Zudem soll Christoph Blocher darauf hingewirkt haben, den Bankangestellten mit einem Journalisten in Kontakt zu bringen, der im Zusammenhang mit den privaten Bankgeschäften von Philipp Hildebrand am Recherchieren gewesen sei. Am 20. März 2012 durchsuchte die Staatsanwaltschaft das Haus von Christoph Blocher und die Räume einer Aktiengesellschaft. Dabei wurden verschiedene Unterlagen und Datenträger sichergestellt, die noch gleichentags versiegelt wurden. Weiter wurde im Frühjahr 2012 die rückwirkende Erhebung der Telefonkontakte von Christoph Blocher in der Zeit vom 4. November 2011 bis zum 13. Januar 2012 angeordnet. Im November 2013 entschied das Obergericht des Kantons Zürich, die versiegelten Unterlagen der Staatsanwaltschaft zur Untersuchung zu überlassen. Zuvor waren Dokumente ausgesondert worden, die unter das Anwalts- beziehungsweise das Amtsgeheimnis fallen. Die rückwirkende Telefonüberwachung wurde vom Obergericht bestätigt. Das Bundesgericht heisst die Beschwerde von Christoph Blocher bezüglich der Entsiegelung teilweise gut und weist diejenige zur Telefonüberwachung ab. Das Obergericht wird verpflichtet, aus den beschlagnahmten Unterlagen zusätzlich noch diejenigen Dokumente auszusondern, die den Verkehr zwischen Christoph Blocher und der "Weltwoche", beziehungsweise den dort tätigen Journalisten betreffen. Entsprechende Korrespondenz und Aufzeichnungen dürfen nicht für das Strafverfahren der Staatsanwaltschaft freigegeben werden, da sie dem Quellenschutz für Medienschaffende und damit grundsätzlich dem Beschlagnahmeverbot unterliegen (Artikel 172 und 264 der Strafprozessordnung). Gegenstände und Unterlagen werden vom gesetzlichen Beschlagnahmeverbot "ungeachtet des Ortes, wo sie sich befinden" erfasst. Es gilt damit nicht nur für journalistische Dokumente, die bei Medienschaffenden liegen, sondern auch für solche im Gewahrsam der beschuldigten Person oder von Dritten. Das Obergericht wird zudem darüber zu befinden haben, ob und inwieweit der Staatsanwaltschaft Kopien der Agenda von Christoph Blocher überlassen werden können. Was die Hausdurchsuchungen als solche betrifft, war es entgegen der Ansicht des Beschwerdeführers nicht notwendig, dafür eine Ermächtigung der jeweiligen Präsidien des National- oder Ständerates einzuholen, da die vorgeworfenen Straftaten in keinem unmittelbaren Zusammenhang mit der amtlichen Stellung oder Tätigkeit des damaligen Nationalrats Christoph Blocher stehen. In Bezug auf die rückwirkende Erhebung der Telefonkontakte kommt das Bundesgericht zum Schluss, dass die Staatsanwaltschaft formell korrekt vorgegangen ist. Ihre Anordnung hat sie gegenüber dem Obergericht eingehend begründet. Das Obergericht seinerseits hat das rechtliche Gehör von Christoph Blocher nicht verletzt.
Lausanne, le 7 août 2014 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêts du 22 juillet 2014 (1B_420/2013, 1B_424/2013, 1B_436/2013) Procédure pénale contre Christoph Blocher Dans le cadre de l'instruction pénale ouverte contre Christoph Blocher, le Ministère public zurichois ne peut pas utiliser la correspondance avec le journal "Weltwoche" séquestrée en mars 2012. Cette documentation bénéficie de la protection des sources des professionnels des médias et les scellés ne peuvent être levés. Quant aux perquisitions effectuées, ces mesures étaient en l'espèce admissibles. Le Tribunal fédéral admet ainsi partiellement le recours déposé à cet égard par Christoph Blocher. Il rejette en revanche son recours relatif au contrôle rétroactif des télécommunications. Le Ministère public III du canton de Zurich instruit une enquête contre Christoph Blocher pour complicité et tentative de violation du secret bancaire. Il lui est reproché d'avoir, en décembre 2011, reçu à son domicile l'employé d'une banque privée qui détenait des informations confidentielles sur l'ancien président de la Banque nationale, Philipp Hildebrand. L'employé bancaire aurait permis l'accès à ces documents et Christoph Blocher l'aurait assuré de son soutien dans l'hypothèse où l'employé devrait perdre son emploi. En outre, Christoph Blocher l'aurait mis en contact avec un journaliste qui enquêtait sur les affaires bancaires privées de Philipp Hildebrand. Le 20 mars 2012, le Ministère public a fait perquisitionner la maison de Christoph Blocher, ainsi que les locaux d'une société anonyme. Les différents documents et disques durs alors saisis ont été placés ce même jour sous scellés. Par ailleurs, au printemps 2012, un contrôle rétrospectif des télécommunications pour la période du 4 novembre 2011 au 13 janvier 2012 a été ordonné. En novembre 2013, après avoir écarté les pièces sous scellés couvertes par le secret professionnel de l'avocat, respectivement par le secret de fonction, le Tribunal cantonal a levé les scellés apposés sur les autres documents. Il a en outre confirmé la surveillance téléphonique rétroactive. Le Tribunal fédéral a admis partiellement le recours interjeté par Christoph Blocher contre la levée des scellés, rejetant en revanche les griefs relatifs à la surveillance téléphonique. Selon ses considérants, le Tribunal cantonal se voit contraint de retirer de la documentation saisie les pièces en lien avec les relations intervenues entre Christoph Blocher et le journal "Weltwoche", respectivement celles en lien avec les journalistes qui y travaillent. Cette correspondance, ainsi que les dossiers y relatifs ne peuvent pas être utilisés dans le cadre de l'enquête du Ministère public, dès lors qu'ils bénéficient de la protection des sources des professionnels des médias, ne pouvant en principe pas être séquestrés (articles 172 et 264 du Code de procédure pénale). Ces objets et documents sont protégés par l'interdiction légale de séquestre "quel que soit l'endroit où ils se trouvent". Cela ne vaut pas seulement pour la documentation journalistique se trouvant en mains des médias, mais également pour celle détenue par le prévenu ou un tiers. Le Tribunal cantonal devra également examiner si et dans quelle mesure le Ministère public peut utiliser des copies de l'agenda de Christoph Blocher. En ce qui concerne la perquisition proprement dite, il n'était pas nécessaire, contrairement à ce que soutient le recourant, d'obtenir une autorisation des collèges présidentiels des deux conseils dès lors que les faits reprochés à Christophe Blocher ne sont pas en lien direct avec sa fonction ou son activité officielle d'ancien Conseiller national. S'agissant du contrôle rétroactif des télécommunications, le Tribunal fédéral retient que le Ministère public a agi de manière correcte sur le plan formel. Il a ainsi motivé de façon détaillée cette mesure devant le Tribunal cantonal. Ce dernier n'a, pour sa part, pas violé le droit d'être entendu du recourant.
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1B_442_2019_2020_04_09_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 9. April 2020 Embargo: 9. April 2020, 12:00 Uhr Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteile vom 18. März 2020 (1B_442/2019, 1B_443/2019) Ausstand des Bundesanwalts in FIFA-Strafuntersuchungen Die Berufungskammer des Bundesstrafgerichts ist zu Recht nicht auf die Revisionsgesuche von Bundesanwalt Michael Lauber eingetreten, die er gegen die Beschlüsse der Beschwerdekammer des Bundesstrafgerichts über seinen Ausstand in den FIFAStrafuntersuchungen zu zwei Mitbeschuldigten erhoben hatte. Das Bundesgericht weist die Beschwerden des Bundesanwalts und der Bundesanwaltschaft ab. Zwei Mitbeschuldigte in den FIFA-Strafuntersuchungen der Bundesanwaltschaft (BA) hatten im November 2018 bei der Beschwerdekammer des Bundesstrafgerichts Ausstandsgesuche eingereicht. Sie richteten sich gegen Bundesanwalt Michael Lauber und weitere Angehörige der Taskforce FIFA bei der BA, beziehungsweise bei der Bundeskriminalpolizei. Die Beschwerdekammer verfügte am 17. Juni 2019 den Ausstand des Bundesanwalts, des früheren Leitenden Staatsanwalts des Bundes Olivier Thormann und des Staatsanwalts des Bundes Markus Nyffenegger in den Verfahren gegen die zwei Mitbeschuldigten. Dem Bundesanwalt wurde im Wesentlichen zur Last gelegt, dass er drei informelle Treffen mit Vertretern der FIFA nicht habe protokollieren lassen, respektive, dass diese Treffen in Hotels oder Restaurants stattgefunden hätten. Der Bundesanwalt und die BA gelangten gegen die Beschlüsse mit Revisionsgesuchen an die Berufungskammer des Bundesstrafgerichts, da bezüglich des Präsidenten der Beschwerdekammer nachträglich ein Ausstandsgrund bekannt geworden sei. Die Berufungskammer trat auf die Gesuche mit Beschlüssen vom 10. Juli 2019 nicht ein. Das Bundesgericht weist die dagegen erhobenen Beschwerden des Bundesanwalts und der BA ab. Die angefochtenen Nichteintretensentscheide halten im Ergebnis vor dem Bundesrecht stand. Wird ein Ausstandsgrund erst nach Abschluss eines Verfahrens entdeckt, so gelten gemäss der Schweizerischen Strafprozessordnung (StPO) die Bestimmungen über die Revision. Die Anfechtbarkeit eines Entscheides mittels Revisionsgesuchs (Artikel 410 Absatz 1 StPO) beschränkt sich nach bundesgerichtlicher Praxis auf rechtskräftige materielle Sachurteile, auch wenn dabei ein nachträglicher Ausstandsgrund geltend gemacht wird. Vorliegend wurden Beschlüsse im Vorverfahren angefochten, die einer Revision grundsätzlich nicht zugänglich sind.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 9 avril 2020 Embargo : 9 avril 2020, 12h00 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Arrêts du 18 mars 2020 (1B_442/2019, 1B_443/2019) Récusation du procureur général de la Confédération dans des enquêtes pénales FIFA C'est à bon droit que la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral n'est pas entrée en matière sur les demandes de révision, déposées par Michael Lauber contre les décisions de la Cour des plaintes du Tribunal pénal fédéral, prononçant sa récusation dans les procédures menées contre deux prévenus dans le cadre des enquêtes pénales FIFA. Le Tribunal fédéral rejette les recours du procureur général et du Ministère public de la Confédération. En novembre 2018, deux prévenus, impliqués dans les enquêtes pénales FIFA, menées par le Ministère public de la Confédération (MPC), ont déposé des demandes de récusation auprès de la Cour des plaintes du Tribunal pénal fédéral. Ces demandes étaient dirigées contre le procureur général Michael Lauber et d'autres membres de la Taskforce FIFA, issus du MPC respectivement de la Police judiciaire fédérale. Le 17 juin 2019, la Cour des plaintes a prononcé la récusation du procureur général, de l'ancien procureur fédéral en chef Olivier Thormann et du procureur fédéral Markus Nyffenegger dans les procédures impliquant les deux prévenus. En substance, trois rencontres informelles avec des représentants de la FIFA ont été reprochées au procureur général. Ces rencontres n'auraient pas fait l'objet d'un procès-verbal et auraient eu lieu dans des hôtels ou des restaurants. Le procureur général et le MPC ont saisi la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral de demandes de révision, en invoquant un motif de récusation à l'encontre du président de la Cour des plaintes, dont ils ont eu connaissance après coup. Le 10 juillet 2019, la Cour d'appel a rendu deux décisions de non entrée en matière. Le Tribunal fédéral rejette les recours déposés par le procureur fédéral et le MPC contre ces décisions. Le résultat de ces décisions de non entrée en matière est conforme au droit fédéral. Si un motif de récusation est découvert après la clôture d'une procédure, sont applicables les dispositions du code de procédure pénale suisse (CPP) sur la révision. Selon la jurisprudence du Tribunal fédéral, seul un jugement matériel sur le fond entré en force peut faire l'objet d'une demande de révision (article 410 alinéa 1 CPP). Ceci vaut également lorsqu'un motif de récusation découvert après coup est invoqué. En l'espèce, les décisions attaquées ont été rendues dans le cadre de la procédure préliminaire et elles ne peuvent donc, en principe, pas faire l'objet d'une révision.
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1B_442_2019_2020_04_09_T_{lang}
Lausanne, 9. April 2020 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteile vom 18. März 2020 (1B_442/2019, 1B_443/2019) Ausstand des Bundesanwalts in FIFA-Strafuntersuchungen Die Berufungskammer des Bundesstrafgerichts ist zu Recht nicht auf die Revisionsgesuche von Bundesanwalt Michael Lauber eingetreten, die er gegen die Beschlüsse der Beschwerdekammer des Bundesstrafgerichts über seinen Ausstand in den FIFAStrafuntersuchungen zu zwei Mitbeschuldigten erhoben hatte. Das Bundesgericht weist die Beschwerden des Bundesanwalts und der Bundesanwaltschaft ab. Zwei Mitbeschuldigte in den FIFA-Strafuntersuchungen der Bundesanwaltschaft (BA) hatten im November 2018 bei der Beschwerdekammer des Bundesstrafgerichts Ausstandsgesuche eingereicht. Sie richteten sich gegen Bundesanwalt Michael Lauber und weitere Angehörige der Taskforce FIFA bei der BA, beziehungsweise bei der Bundeskriminalpolizei. Die Beschwerdekammer verfügte am 17. Juni 2019 den Ausstand des Bundesanwalts, des früheren Leitenden Staatsanwalts des Bundes Olivier Thormann und des Staatsanwalts des Bundes Markus Nyffenegger in den Verfahren gegen die zwei Mitbeschuldigten. Dem Bundesanwalt wurde im Wesentlichen zur Last gelegt, dass er drei informelle Treffen mit Vertretern der FIFA nicht habe protokollieren lassen, respektive, dass diese Treffen in Hotels oder Restaurants stattgefunden hätten. Der Bundesanwalt und die BA gelangten gegen die Beschlüsse mit Revisionsgesuchen an die Berufungskammer des Bundesstrafgerichts, da bezüglich des Präsidenten der Beschwerdekammer nachträglich ein Ausstandsgrund bekannt geworden sei. Die Berufungskammer trat auf die Gesuche mit Beschlüssen vom 10. Juli 2019 nicht ein. Das Bundesgericht weist die dagegen erhobenen Beschwerden des Bundesanwalts und der BA ab. Die angefochtenen Nichteintretensentscheide halten im Ergebnis vor dem Bundesrecht stand. Wird ein Ausstandsgrund erst nach Abschluss eines Verfahrens entdeckt, so gelten gemäss der Schweizerischen Strafprozessordnung (StPO) die Bestimmungen über die Revision. Die Anfechtbarkeit eines Entscheides mittels Revisionsgesuchs (Artikel 410 Absatz 1 StPO) beschränkt sich nach bundesgerichtlicher Praxis auf rechtskräftige materielle Sachurteile, auch wenn dabei ein nachträglicher Ausstandsgrund geltend gemacht wird. Vorliegend wurden Beschlüsse im Vorverfahren angefochten, die einer Revision grundsätzlich nicht zugänglich sind.
Lausanne, le 9 avril 2020 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Arrêts du 18 mars 2020 (1B_442/2019, 1B_443/2019) Récusation du procureur général de la Confédération dans des enquêtes pénales FIFA C'est à bon droit que la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral n'est pas entrée en matière sur les demandes de révision, déposées par Michael Lauber contre les décisions de la Cour des plaintes du Tribunal pénal fédéral, prononçant sa récusation dans les procédures menées contre deux prévenus dans le cadre des enquêtes pénales FIFA. Le Tribunal fédéral rejette les recours du procureur général et du Ministère public de la Confédération. En novembre 2018, deux prévenus, impliqués dans les enquêtes pénales FIFA, menées par le Ministère public de la Confédération (MPC), ont déposé des demandes de récusation auprès de la Cour des plaintes du Tribunal pénal fédéral. Ces demandes étaient dirigées contre le procureur général Michael Lauber et d'autres membres de la Taskforce FIFA, issus du MPC respectivement de la Police judiciaire fédérale. Le 17 juin 2019, la Cour des plaintes a prononcé la récusation du procureur général, de l'ancien procureur fédéral en chef Olivier Thormann et du procureur fédéral Markus Nyffenegger dans les procédures impliquant les deux prévenus. En substance, trois rencontres informelles avec des représentants de la FIFA ont été reprochées au procureur général. Ces rencontres n'auraient pas fait l'objet d'un procès-verbal et auraient eu lieu dans des hôtels ou des restaurants. Le procureur général et le MPC ont saisi la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral de demandes de révision, en invoquant un motif de récusation à l'encontre du président de la Cour des plaintes, dont ils ont eu connaissance après coup. Le 10 juillet 2019, la Cour d'appel a rendu deux décisions de non entrée en matière. Le Tribunal fédéral rejette les recours déposés par le procureur fédéral et le MPC contre ces décisions. Le résultat de ces décisions de non entrée en matière est conforme au droit fédéral. Si un motif de récusation est découvert après la clôture d'une procédure, sont applicables les dispositions du code de procédure pénale suisse (CPP) sur la révision. Selon la jurisprudence du Tribunal fédéral, seul un jugement matériel sur le fond entré en force peut faire l'objet d'une demande de révision (article 410 alinéa 1 CPP). Ceci vaut également lorsqu'un motif de récusation découvert après coup est invoqué. En l'espèce, les décisions attaquées ont été rendues dans le cadre de la procédure préliminaire et elles ne peuvent donc, en principe, pas faire l'objet d'une révision.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 5. Mai 2015 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 24. April 2015 (1B_65/2015) <Medienmitteilungstitel hier eingeben> <KURZZUSAMMENFASSUNG HIER EINGEBEN> <MEDIENMITTEILUNG HIER EINGEBEN>
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 5 mai 2015 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêt du 24 avril 2015 (1B_65/2015) <introduire le titre du communiqué ici> <INTRODUIRE LE RÉSUMÉ DU COMMUNIQUÉ ICI> <INTRODUIRE LE TEXTE DU COMMUNIQUÉ ICI>
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Lausanne, 5. Mai 2015 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 24. April 2015 (1B_65/2015) <Medienmitteilungstitel hier eingeben> <KURZZUSAMMENFASSUNG HIER EINGEBEN> <MEDIENMITTEILUNG HIER EINGEBEN>
Lausanne, le 5 mai 2015 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêt du 24 avril 2015 (1B_65/2015) <introduire le titre du communiqué ici> <INTRODUIRE LE RÉSUMÉ DU COMMUNIQUÉ ICI> <INTRODUIRE LE TEXTE DU COMMUNIQUÉ ICI>
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 16. März 2020 Embargo: 16. März 2020, 12:00 Uhr Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 29. Januar 2020 (1B_6/2020) Untersuchungshaft wegen Wiederholungsgefahr bei Vermögensdelikten Das Bundesgericht klärt die Rechtsprechung zur Untersuchungshaft wegen Wiederholungsgefahr bei Vermögensdelikten. Im konkreten Fall wird der Betroffene aus der Untersuchungshaft entlassen, da keine besonders schweren Vermögensdelikte drohen, welche die Geschädigten ähnlich treffen wie ein Gewaltdelikt. Einem Beschuldigten in Untersuchungshaft werden gewerbsmässiger Betrug, gewerbsmässiger betrügerischer Missbrauch einer Datenverarbeitungsanlage, Urkundenfälschung und Fälschung von Ausweisen vorgeworfen. Das Obergericht des Kantons Zürich hat die Verlängerung der Untersuchungshaft nach einem ersten, vom Bundesgericht aufgehobenen Entscheid mit der Begründung bestätigt, es bestehe Wiederholungsgefahr. Der Beschuldigte erhob auch dagegen Beschwerde beim Bundesgericht. Das Bundesgericht heisst die Beschwerde gut und ordnet seine unverzügliche Entlassung aus der Untersuchungshaft an. Untersuchungshaft kann unter anderem wegen Wiederholungsgefahr angeordnet werden. Der Haftgrund der Wiederholungsgefahr ist restriktiv zu handhaben und erfordert eine ungünstige Rückfallprognose. Die drohenden Delikte müssen zudem die Sicherheit anderer erheblich gefährden. Bei Vermögensdelikten setzt die Bejahung einer erheblichen Sicherheitsgefährdung voraus, dass die Straftaten die Geschädigten besonders hart bzw. ähnlich treffen wie ein Gewaltdelikt. Ob dies der Fall ist, hängt von den Umständen des Einzelfalles ab. Für eine erhebliche Sicherheitsgefährdung spricht das Vorliegen konkreter Anhaltspunkte, dass der Beschuldigte bei künftigen Vermögensdelikten Gewalt anwenden könnte. Zu berücksichtigen ist sodann die Schwere der vom Beschuldigten begangenen Vermögensdelikte. Rechnung zu tragen ist weiter der persönlichen, namentlich finanziellen Lage der Geschädigten. Im vorliegenden Fall muss dem Betroffenen zwar eine ungünstige Rückfallprognose gestellt werden. Dies genügt allerdings nicht für die Bejahung einer erheblichen Sicherheitsgefährdung. Der Beschuldigte hat nie jemanden besonders schwer geschädigt. Wegen Gewalttätigkeiten ist er nie auffällig geworden. Anzeichen dafür, dass er künftig mit der Begehung von Vermögensdelikten zu Gewalt neigen könnte, bestehen nicht. Die Bejahung einer erheblichen Sicherheitsgefährdung durch die Vorinstanz verletzt Bundesrecht.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 16 mars 2020 Embargo : 16 mars 2020, 12h00 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Arrêt du 29 janvier 2020 (1B_6/2020) Détention provisoire en raison d'un risque de récidive d'infractions contre le patrimoine Le Tribunal fédéral clarifie la jurisprudence relative à la détention provisoire en raison d'un risque de récidive d'infractions contre le patrimoine. Dans le cas concret, l’intéressé est remis en liberté parce qu'il n'y a pas lieu de craindre qu'il commette des infractions contre le patrimoine particulièrement graves qui toucheraient les lésés de façon similaire à un délit de violence. Un prévenu en détention provisoire est soupçonné d'escroquerie par métier, d'utilisation frauduleuse d'un ordinateur, de faux dans les titres et de faux dans les certificats. Suite à l'annulation d'une première décision par le Tribunal fédéral, la Cour suprême du canton de Zurich a confirmé la prolongation de la détention provisoire au motif qu'il y avait un risque de récidive. Le prévenu a formé un recours contre cette décision auprès du Tribunal fédéral. Le Tribunal fédéral admet le recours et ordonne sa libération immédiate. La détention provisoire peut être ordonnée entre autres en raison de l'existence d'un risque de récidive. Le risque de récidive ne doit être admis qu'avec retenue comme motif de détention et un pronostic défavorable est nécessaire. Les délits à craindre doivent de surcroît compromettre sérieusement la sécurité d'autrui. Lors d'infractions contre le patrimoine, pour admettre une mise en danger sérieuse de la sécurité, il faut que les infractions touchent les lésés de manière particulièrement dure ou de façon similaire à un délit de violence. La question de savoir si tel est le cas dépend des circonstances de chaque cas. L'existence d'indices concrets que le prévenu pourrait recourir à la violence lors de futures infractions contre le patrimoine parle en faveur d'une mise en danger sérieuse de la sécurité. Il faut donc prendre en considération la gravité des infractions contre le patrimoine commises par le prévenu. Il faut également tenir compte de la situation personnelle, notamment financière, des personnes lésées. Dans le cas présent, un pronostic de récidive défavorable doit être posé à l'encontre de l'intéressé. Toutefois, cela ne suffit pas pour retenir qu'il existe un risque considérable pour la sécurité. Le prévenu n'a jamais causé de préjudice particulièrement grave à quiconque. Il n'a jamais commis d'actes de violence. Rien n'indique qu'il pourrait être enclin à recourir à la violence à l'avenir lors de la commission d'infractions contre le patrimoine. En admettant une mise en danger sérieuse de la sécurité, l'instance précédente a violé le droit fédéral.
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Lausanne, 16. März 2020 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 29. Januar 2020 (1B_6/2020) Untersuchungshaft wegen Wiederholungsgefahr bei Vermögensdelikten Das Bundesgericht klärt die Rechtsprechung zur Untersuchungshaft wegen Wiederholungsgefahr bei Vermögensdelikten. Im konkreten Fall wird der Betroffene aus der Untersuchungshaft entlassen, da keine besonders schweren Vermögensdelikte drohen, welche die Geschädigten ähnlich treffen wie ein Gewaltdelikt. Einem Beschuldigten in Untersuchungshaft werden gewerbsmässiger Betrug, gewerbsmässiger betrügerischer Missbrauch einer Datenverarbeitungsanlage, Urkundenfälschung und Fälschung von Ausweisen vorgeworfen. Das Obergericht des Kantons Zürich hat die Verlängerung der Untersuchungshaft nach einem ersten, vom Bundesgericht aufgehobenen Entscheid mit der Begründung bestätigt, es bestehe Wiederholungsgefahr. Der Beschuldigte erhob auch dagegen Beschwerde beim Bundesgericht. Das Bundesgericht heisst die Beschwerde gut und ordnet seine unverzügliche Entlassung aus der Untersuchungshaft an. Untersuchungshaft kann unter anderem wegen Wiederholungsgefahr angeordnet werden. Der Haftgrund der Wiederholungsgefahr ist restriktiv zu handhaben und erfordert eine ungünstige Rückfallprognose. Die drohenden Delikte müssen zudem die Sicherheit anderer erheblich gefährden. Bei Vermögensdelikten setzt die Bejahung einer erheblichen Sicherheitsgefährdung voraus, dass die Straftaten die Geschädigten besonders hart bzw. ähnlich treffen wie ein Gewaltdelikt. Ob dies der Fall ist, hängt von den Umständen des Einzelfalles ab. Für eine erhebliche Sicherheitsgefährdung spricht das Vorliegen konkreter Anhaltspunkte, dass der Beschuldigte bei künftigen Vermögensdelikten Gewalt anwenden könnte. Zu berücksichtigen ist sodann die Schwere der vom Beschuldigten begangenen Vermögensdelikte. Rechnung zu tragen ist weiter der persönlichen, namentlich finanziellen Lage der Geschädigten. Im vorliegenden Fall muss dem Betroffenen zwar eine ungünstige Rückfallprognose gestellt werden. Dies genügt allerdings nicht für die Bejahung einer erheblichen Sicherheitsgefährdung. Der Beschuldigte hat nie jemanden besonders schwer geschädigt. Wegen Gewalttätigkeiten ist er nie auffällig geworden. Anzeichen dafür, dass er künftig mit der Begehung von Vermögensdelikten zu Gewalt neigen könnte, bestehen nicht. Die Bejahung einer erheblichen Sicherheitsgefährdung durch die Vorinstanz verletzt Bundesrecht.
Lausanne, le 16 mars 2020 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Arrêt du 29 janvier 2020 (1B_6/2020) Détention provisoire en raison d'un risque de récidive d'infractions contre le patrimoine Le Tribunal fédéral clarifie la jurisprudence relative à la détention provisoire en raison d'un risque de récidive d'infractions contre le patrimoine. Dans le cas concret, l’intéressé est remis en liberté parce qu'il n'y a pas lieu de craindre qu'il commette des infractions contre le patrimoine particulièrement graves qui toucheraient les lésés de façon similaire à un délit de violence. Un prévenu en détention provisoire est soupçonné d'escroquerie par métier, d'utilisation frauduleuse d'un ordinateur, de faux dans les titres et de faux dans les certificats. Suite à l'annulation d'une première décision par le Tribunal fédéral, la Cour suprême du canton de Zurich a confirmé la prolongation de la détention provisoire au motif qu'il y avait un risque de récidive. Le prévenu a formé un recours contre cette décision auprès du Tribunal fédéral. Le Tribunal fédéral admet le recours et ordonne sa libération immédiate. La détention provisoire peut être ordonnée entre autres en raison de l'existence d'un risque de récidive. Le risque de récidive ne doit être admis qu'avec retenue comme motif de détention et un pronostic défavorable est nécessaire. Les délits à craindre doivent de surcroît compromettre sérieusement la sécurité d'autrui. Lors d'infractions contre le patrimoine, pour admettre une mise en danger sérieuse de la sécurité, il faut que les infractions touchent les lésés de manière particulièrement dure ou de façon similaire à un délit de violence. La question de savoir si tel est le cas dépend des circonstances de chaque cas. L'existence d'indices concrets que le prévenu pourrait recourir à la violence lors de futures infractions contre le patrimoine parle en faveur d'une mise en danger sérieuse de la sécurité. Il faut donc prendre en considération la gravité des infractions contre le patrimoine commises par le prévenu. Il faut également tenir compte de la situation personnelle, notamment financière, des personnes lésées. Dans le cas présent, un pronostic de récidive défavorable doit être posé à l'encontre de l'intéressé. Toutefois, cela ne suffit pas pour retenir qu'il existe un risque considérable pour la sécurité. Le prévenu n'a jamais causé de préjudice particulièrement grave à quiconque. Il n'a jamais commis d'actes de violence. Rien n'indique qu'il pourrait être enclin à recourir à la violence à l'avenir lors de la commission d'infractions contre le patrimoine. En admettant une mise en danger sérieuse de la sécurité, l'instance précédente a violé le droit fédéral.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 20. April 2015 Embargo: 20. April 2015, 12:00 Uhr Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 14. April 2015 (1B_95/2015) Fall „Carlos“: Untersuchungshaft zu Recht verlängert Die Untersuchungshaft gegen den unter dem Pseudonym „Carlos“ bekannt gewordenen jungen Mann ist am vergangenen 22. Januar zu Recht um drei Monate verlängert worden. Das Bundesgericht weist seine Beschwerde gegen den Entscheid des Obergerichts des Kantons Zürich ab und bejaht das Vorliegen von dringendem Tatverdacht und Wiederholungsgefahr. Die Staatsanwaltschaft Limmattal/Albis führt gegen „Carlos“ eine Strafuntersuchung wegen mehrfacher Sachbeschädigung, Drohung sowie Hinderung einer Amtshandlung. Er wird verdächtigt, zu Beginn des Jahres 2014 im Massnahmenzentrum Uetikon mehrere Zellen beschädigt zu haben. Weiter soll er Ende Oktober 2014 an der Langstrasse in Zürich einen Mann mit einem Messer bedroht und anschliessend versucht haben, sich der Verhaftung durch die Polizei zu entziehen. „Carlos“ wurde sofort in Untersuchungshaft versetzt. Das Zwangsmassnahmengericht des Bezirks Dietikon verlängerte die Untersuchungshaft am 22. Januar 2015 bis zum 22. April 2015, was vom Obergericht des Kantons Zürich bestätigt wurde. Das Bundesgericht weist die Beschwerde von „Carlos“ ab, soweit es darauf eintritt. Die Voraussetzungen für die Verlängerung der Untersuchungshaft sind erfüllt. Das Vor liegen von dringendem Tatverdacht ist zu bejahen. Zudem besteht Wiederholungsgefahr, die auch durch Ersatzmassnahmen nicht wesentlich entschärft werden könnte. Aufgrund der Umstände ist zu befürchten, dass der Betroffene in Freiheit erneut ein Gewaltdelikt begehen könnte.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 20 avril 2015 Embargo : 20 avril 2015, 12:00 heures Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêt du 14 avril 2015 (1B_95/2015) Affaire « Carlos »: prolongation justifiée de la détention provisoire La détention provisoire prononcée à l'encontre du jeune homme connu sous le pseudonyme « Carlos », a été prolongée à juste titre de trois mois, le 22 janvier dernier. Le Tribunal fédéral rejette son recours formé contre la décision du Tribunal cantonal zurichois et confirme l'existence de soupçons sérieux et d'un risque de récidive. Le Ministère public Limmattal/Albis mène une instruction pénale contre « Carlos » pour plusieurs dommages à la propriété, menaces et opposition aux actes de l'autorité. Il lui est reproché d'avoir, au début de l'année 2014, endommagé plusieurs cellules de l'établissement de Uetikon. Fin octobre 2014, il aurait aussi menacé un homme avec un couteau sur la Langstrasse à Zurich, avant d'essayer de se soustraire à son arrestation par la police. « Carlos » a été immédiatement placé en détention provisoire. Le Tribunal des mesures de contrainte du district de Dietikon a, le 22 janvier 2015, prolongé la détention jusqu'au 22 avril 2015, mesure confirmée par le Tribunal cantonal zurichois. Le Tribunal fédéral rejette, dans la mesure où il est recevable, le recours formé par « Carlos ». Les conditions pour la prolongation de la détention provisoire sont réunies. L'existence de forts soupons est confirmée. Il existe en outre un risque de récidive, qui ne peut pas être suffisamment réduit par des mesures de substitution. Compte tenu des circonstances, il y a lieu de craindre que l'intéressé ne commette de nouveaux délits violents s'il était remis en liberté.
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Lausanne, 20. April 2015 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 14. April 2015 (1B_95/2015) Fall „Carlos“: Untersuchungshaft zu Recht verlängert Die Untersuchungshaft gegen den unter dem Pseudonym „Carlos“ bekannt gewordenen jungen Mann ist am vergangenen 22. Januar zu Recht um drei Monate verlängert worden. Das Bundesgericht weist seine Beschwerde gegen den Entscheid des Obergerichts des Kantons Zürich ab und bejaht das Vorliegen von dringendem Tatverdacht und Wiederholungsgefahr. Die Staatsanwaltschaft Limmattal/Albis führt gegen „Carlos“ eine Strafuntersuchung wegen mehrfacher Sachbeschädigung, Drohung sowie Hinderung einer Amtshandlung. Er wird verdächtigt, zu Beginn des Jahres 2014 im Massnahmenzentrum Uetikon mehrere Zellen beschädigt zu haben. Weiter soll er Ende Oktober 2014 an der Langstrasse in Zürich einen Mann mit einem Messer bedroht und anschliessend versucht haben, sich der Verhaftung durch die Polizei zu entziehen. „Carlos“ wurde sofort in Untersuchungshaft versetzt. Das Zwangsmassnahmengericht des Bezirks Dietikon verlängerte die Untersuchungshaft am 22. Januar 2015 bis zum 22. April 2015, was vom Obergericht des Kantons Zürich bestätigt wurde. Das Bundesgericht weist die Beschwerde von „Carlos“ ab, soweit es darauf eintritt. Die Voraussetzungen für die Verlängerung der Untersuchungshaft sind erfüllt. Das Vor liegen von dringendem Tatverdacht ist zu bejahen. Zudem besteht Wiederholungsgefahr, die auch durch Ersatzmassnahmen nicht wesentlich entschärft werden könnte. Aufgrund der Umstände ist zu befürchten, dass der Betroffene in Freiheit erneut ein Gewaltdelikt begehen könnte.
Lausanne, le 20 avril 2015 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêt du 14 avril 2015 (1B_95/2015) Affaire « Carlos »: prolongation justifiée de la détention provisoire La détention provisoire prononcée à l'encontre du jeune homme connu sous le pseudonyme « Carlos », a été prolongée à juste titre de trois mois, le 22 janvier dernier. Le Tribunal fédéral rejette son recours formé contre la décision du Tribunal cantonal zurichois et confirme l'existence de soupçons sérieux et d'un risque de récidive. Le Ministère public Limmattal/Albis mène une instruction pénale contre « Carlos » pour plusieurs dommages à la propriété, menaces et opposition aux actes de l'autorité. Il lui est reproché d'avoir, au début de l'année 2014, endommagé plusieurs cellules de l'établissement de Uetikon. Fin octobre 2014, il aurait aussi menacé un homme avec un couteau sur la Langstrasse à Zurich, avant d'essayer de se soustraire à son arrestation par la police. « Carlos » a été immédiatement placé en détention provisoire. Le Tribunal des mesures de contrainte du district de Dietikon a, le 22 janvier 2015, prolongé la détention jusqu'au 22 avril 2015, mesure confirmée par le Tribunal cantonal zurichois. Le Tribunal fédéral rejette, dans la mesure où il est recevable, le recours formé par « Carlos ». Les conditions pour la prolongation de la détention provisoire sont réunies. L'existence de forts soupons est confirmée. Il existe en outre un risque de récidive, qui ne peut pas être suffisamment réduit par des mesures de substitution. Compte tenu des circonstances, il y a lieu de craindre que l'intéressé ne commette de nouveaux délits violents s'il était remis en liberté.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 16. September 2020 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 16. September 2020 (1C_105/2019) Baselstädtische Initiative "Grundrechte für Primaten" ist gültig Das Bundesgericht weist die Beschwerde gegen die Zulässigerklärung der baselstädtischen Volksinitiative "Grundrechte für Primaten" ab. Dem Text der Initiative kann ein Sinn beigemessen werden, der mit übergeordnetem Recht vereinbar ist, zumal unmittelbar nur kantonale und kommunale Organe gebunden würden. Der Umstand, dass der Initiative durch die Begründung der Initianten mehr Bedeutung gegeben wird, als ihr tatsächlich zukommen kann, vermag eine Ungültigerklärung nicht zu rechtfertigen. Die im Kanton Basel-Stadt lancierte Initiative "Grundrechte für Primaten" war 2017 zustande gekommen. Sie verlangt folgende Ergänzung der Kantonsverfassung: "Diese Verfassung gewährleistet überdies: Das Recht von nichtmenschlichen Primaten auf Leben und auf körperliche und geistige Unversehrtheit". Nachdem der Grosse Rat die Initiative 2018 für ungültig erklärt hatte, hiess das Appellationsgericht des Kantons Basel-Stadt 2019 eine Beschwerde gut und erklärte die Initiative für zulässig. Das Bundesgericht weist an seiner öffentlichen Beratung vom Mittwoch die dagegen erhobene Beschwerde von sechs Personen ab. Kann einer Initiative ein Sinn beigemessen werden, der sie nicht klarerweise als unzulässig erscheinen lässt, ist sie nach dem Grundsatz "in dubio pro populo" als gültig zu erklären. Die Beschwerdeführer vertreten die Ansicht, dass die Initiative gegen übergeordnetes Recht, also gegen Bundesrecht verstosse. Das ist nicht der Fall. Kantone dürfen grundsätzlich über den von der Bundesverfassung garantierten Schutz hinausgehen. Mit der Initiative wird sodann nicht die Anwendung von für Menschen geltenden Grundrechten auf Tiere verlangt, sondern die Einführung von speziellen, für nichtmenschliche Primaten geltenden Rechten. Das ist zwar ungewöhnlich, widerspricht aber an sich nicht übergeordnetem Recht, zumal die grundsätzliche Unterscheidung zwischen Rechten für Tiere und den menschlichen Grundrechten damit nicht in Frage gestellt wird. Der Wortlaut der Initiative ist zudem so zu verstehen, dass mit ihr nur die kantonalen und kommunalen Organe direkt verpflichtet würden, nicht aber unmittelbar Private. Dem Initiativtext kann somit ein Sinn beigemessen werden, der die Initiative als gültig erscheinen lässt. Zwar gibt die Begründung der Initiantinnen und Initianten, wie sie auf dem Unterschriftenbogen der Initiative abgedruckt ist, dieser eine Bedeutung, die ihr nach Bundesrecht gar nicht zukommen kann. Namentlich wird nicht erwähnt, dass die als Grundrechte formulierten Rechte in erster Linie die kantonalen Organe und die Gemeinden binden würden. Mit Blick auf die Tierschutzgesetzgebung des Bundes könnte sie – wenn überhaupt – nur eine stark eingeschränkte und mittelbare Wirkung auf Privatpersonen und Unternehmen haben. Weiter wird von den Initianten der Eindruck vermittelt, mit Annahme der Initiative würde der Schutz der derzeit im Kanton lebenden Primaten unmittelbar verbessert. Dieses Versprechen kann die Initiative nicht halten: Der Kanton und seine Organisationseinheiten – etwa die Universität oder die Spitäler – sowie die Gemeinden halten offenbar keine Primaten; sodann werden private Forschungseinrichtungen oder der als Aktiengesellschaft organisierte Basler Zoologische Garten durch die Initiative nicht, jedenfalls nicht unmittelbar, gebunden. Dies kann den Stimmberechtigten im Vorfeld einer Volksabstimmung von der für die Information zuständigen Behörde indessen einfach vermittelt werden.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 16 septembre 2020 Pas d'embargo Communiqué de presse du Tribunal fédéral Arrêt du 16 septembre 2020 (1C_105/2019) L'initiative lancée dans le canton de Bâle-Ville « Droits fondamentaux pour les primates » est valable Le Tribunal fédéral rejette le recours contre la validité de l'initiative populaire lancée dans le canton de Bâle-Ville « Droits fondamentaux pour les primates ». Le texte de l'initiative peut se voir attribuer un sens qui est compatible avec le droit supérieur, d'autant plus que seuls les organes cantonaux et communaux seraient directement liés par lui. Le fait que les motifs des initiants donnent à l'initiative plus d'importance qu'elle ne peut en avoir ne saurait justifier une invalidation. L'initiative « Droits fondamentaux pour les primates » lancée dans le canton de BâleVille a été déposée en 2017. Elle demande l'ajout suivant dans la constitution cantonale : « Cette constitution garantit également : le droit des primates non humains à la vie et à l'intégrité physique et mentale ». Après que le Grand Conseil du canton de BâleVille a invalidé l'initiative en 2018, la Cour d'appel du canton de Bâle-Ville a admis un recours en 2019 et l'a déclarée valable. Lors de sa séance publique de mercredi, le Tribunal fédéral rejette le recours formé par six personnes contre cette décision. S'il est possible d'attribuer à une initiative un sens qui ne la laisse pas apparaître comme clairement inadmissible, elle doit être déclarée valable, conformément au principe « in dubio pro populo ». Les recourants estiment que l'initiative viole le droit supérieur, c'est-à-dire le droit fédéral. Ce n'est pas le cas. En principe, les cantons peuvent aller au-delà de la protection garantie par la Constitution fédérale. L'initiative ne demande pas que les droits fondamentaux applicables aux êtres humains le soient aux animaux, mais requiert l'introduction de droits spécifiques pour les primates non humains. Bien qu'inhabituel, cela ne contredit pas en soi le droit supérieur, d'autant plus que la distinction fondamentale entre les droits des animaux et les droits fondamentaux de l'homme n'est pas remise en question. Le texte de l'initiative doit en outre être compris en ce sens qu'elle n'obligerait directement que les organes cantonaux et communaux, et non pas directement les personnes privées. Le texte de l'initiative peut ainsi se voir attribuer un sens qui fait apparaître l'initiative comme valable. Il est vrai que les motifs des initiants, tels qu'ils sont mentionnés sur la liste des signatures de l'initiative, donnent à celle-ci une signification qu'elle ne peut pas avoir en vertu du droit fédéral. En particulier, il n'est pas mentionné que les droits formulés comme droits fondamentaux lieraient en premier lieu les organes cantonaux et les communes. En tenant compte de la législation fédérale sur la protection des animaux, elle ne pourrait avoir qu'un effet très limité et indirect, voire aucun, sur les personnes privées et les entreprises. En outre, les initiants donnent l'impression qu'avec l'adoption de l'initiative, la protection des primates vivant actuellement dans le canton serait directement améliorée. L'initiative ne peut tenir cette promesse : Le canton et ses unités organisationnelles – telles que l'université ou les hôpitaux – ainsi que les communes, ne détiennent apparemment pas de primates ; quant aux instituts de recherche privés ou au Zoo de Bâle, qui est organisé sous forme de société anonyme, ils ne sont pas liés par cette initiative, du moins pas directement. Cela peut facilement être communiqué aux électeurs par les autorités compétentes avant un référendum.
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Lausanne, 16. September 2020 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 16. September 2020 (1C_105/2019) Baselstädtische Initiative "Grundrechte für Primaten" ist gültig Das Bundesgericht weist die Beschwerde gegen die Zulässigerklärung der baselstädtischen Volksinitiative "Grundrechte für Primaten" ab. Dem Text der Initiative kann ein Sinn beigemessen werden, der mit übergeordnetem Recht vereinbar ist, zumal unmittelbar nur kantonale und kommunale Organe gebunden würden. Der Umstand, dass der Initiative durch die Begründung der Initianten mehr Bedeutung gegeben wird, als ihr tatsächlich zukommen kann, vermag eine Ungültigerklärung nicht zu rechtfertigen. Die im Kanton Basel-Stadt lancierte Initiative "Grundrechte für Primaten" war 2017 zustande gekommen. Sie verlangt folgende Ergänzung der Kantonsverfassung: "Diese Verfassung gewährleistet überdies: Das Recht von nichtmenschlichen Primaten auf Leben und auf körperliche und geistige Unversehrtheit". Nachdem der Grosse Rat die Initiative 2018 für ungültig erklärt hatte, hiess das Appellationsgericht des Kantons Basel-Stadt 2019 eine Beschwerde gut und erklärte die Initiative für zulässig. Das Bundesgericht weist an seiner öffentlichen Beratung vom Mittwoch die dagegen erhobene Beschwerde von sechs Personen ab. Kann einer Initiative ein Sinn beigemessen werden, der sie nicht klarerweise als unzulässig erscheinen lässt, ist sie nach dem Grundsatz "in dubio pro populo" als gültig zu erklären. Die Beschwerdeführer vertreten die Ansicht, dass die Initiative gegen übergeordnetes Recht, also gegen Bundesrecht verstosse. Das ist nicht der Fall. Kantone dürfen grundsätzlich über den von der Bundesverfassung garantierten Schutz hinausgehen. Mit der Initiative wird sodann nicht die Anwendung von für Menschen geltenden Grundrechten auf Tiere verlangt, sondern die Einführung von speziellen, für nichtmenschliche Primaten geltenden Rechten. Das ist zwar ungewöhnlich, widerspricht aber an sich nicht übergeordnetem Recht, zumal die grundsätzliche Unterscheidung zwischen Rechten für Tiere und den menschlichen Grundrechten damit nicht in Frage gestellt wird. Der Wortlaut der Initiative ist zudem so zu verstehen, dass mit ihr nur die kantonalen und kommunalen Organe direkt verpflichtet würden, nicht aber unmittelbar Private. Dem Initiativtext kann somit ein Sinn beigemessen werden, der die Initiative als gültig erscheinen lässt. Zwar gibt die Begründung der Initiantinnen und Initianten, wie sie auf dem Unterschriftenbogen der Initiative abgedruckt ist, dieser eine Bedeutung, die ihr nach Bundesrecht gar nicht zukommen kann. Namentlich wird nicht erwähnt, dass die als Grundrechte formulierten Rechte in erster Linie die kantonalen Organe und die Gemeinden binden würden. Mit Blick auf die Tierschutzgesetzgebung des Bundes könnte sie – wenn überhaupt – nur eine stark eingeschränkte und mittelbare Wirkung auf Privatpersonen und Unternehmen haben. Weiter wird von den Initianten der Eindruck vermittelt, mit Annahme der Initiative würde der Schutz der derzeit im Kanton lebenden Primaten unmittelbar verbessert. Dieses Versprechen kann die Initiative nicht halten: Der Kanton und seine Organisationseinheiten – etwa die Universität oder die Spitäler – sowie die Gemeinden halten offenbar keine Primaten; sodann werden private Forschungseinrichtungen oder der als Aktiengesellschaft organisierte Basler Zoologische Garten durch die Initiative nicht, jedenfalls nicht unmittelbar, gebunden. Dies kann den Stimmberechtigten im Vorfeld einer Volksabstimmung von der für die Information zuständigen Behörde indessen einfach vermittelt werden.
Lausanne, le 16 septembre 2020 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Arrêt du 16 septembre 2020 (1C_105/2019) L'initiative lancée dans le canton de Bâle-Ville « Droits fondamentaux pour les primates » est valable Le Tribunal fédéral rejette le recours contre la validité de l'initiative populaire lancée dans le canton de Bâle-Ville « Droits fondamentaux pour les primates ». Le texte de l'initiative peut se voir attribuer un sens qui est compatible avec le droit supérieur, d'autant plus que seuls les organes cantonaux et communaux seraient directement liés par lui. Le fait que les motifs des initiants donnent à l'initiative plus d'importance qu'elle ne peut en avoir ne saurait justifier une invalidation. L'initiative « Droits fondamentaux pour les primates » lancée dans le canton de BâleVille a été déposée en 2017. Elle demande l'ajout suivant dans la constitution cantonale : « Cette constitution garantit également : le droit des primates non humains à la vie et à l'intégrité physique et mentale ». Après que le Grand Conseil du canton de BâleVille a invalidé l'initiative en 2018, la Cour d'appel du canton de Bâle-Ville a admis un recours en 2019 et l'a déclarée valable. Lors de sa séance publique de mercredi, le Tribunal fédéral rejette le recours formé par six personnes contre cette décision. S'il est possible d'attribuer à une initiative un sens qui ne la laisse pas apparaître comme clairement inadmissible, elle doit être déclarée valable, conformément au principe « in dubio pro populo ». Les recourants estiment que l'initiative viole le droit supérieur, c'est-à-dire le droit fédéral. Ce n'est pas le cas. En principe, les cantons peuvent aller au-delà de la protection garantie par la Constitution fédérale. L'initiative ne demande pas que les droits fondamentaux applicables aux êtres humains le soient aux animaux, mais requiert l'introduction de droits spécifiques pour les primates non humains. Bien qu'inhabituel, cela ne contredit pas en soi le droit supérieur, d'autant plus que la distinction fondamentale entre les droits des animaux et les droits fondamentaux de l'homme n'est pas remise en question. Le texte de l'initiative doit en outre être compris en ce sens qu'elle n'obligerait directement que les organes cantonaux et communaux, et non pas directement les personnes privées. Le texte de l'initiative peut ainsi se voir attribuer un sens qui fait apparaître l'initiative comme valable. Il est vrai que les motifs des initiants, tels qu'ils sont mentionnés sur la liste des signatures de l'initiative, donnent à celle-ci une signification qu'elle ne peut pas avoir en vertu du droit fédéral. En particulier, il n'est pas mentionné que les droits formulés comme droits fondamentaux lieraient en premier lieu les organes cantonaux et les communes. En tenant compte de la législation fédérale sur la protection des animaux, elle ne pourrait avoir qu'un effet très limité et indirect, voire aucun, sur les personnes privées et les entreprises. En outre, les initiants donnent l'impression qu'avec l'adoption de l'initiative, la protection des primates vivant actuellement dans le canton serait directement améliorée. L'initiative ne peut tenir cette promesse : Le canton et ses unités organisationnelles – telles que l'université ou les hôpitaux – ainsi que les communes, ne détiennent apparemment pas de primates ; quant aux instituts de recherche privés ou au Zoo de Bâle, qui est organisé sous forme de société anonyme, ils ne sont pas liés par cette initiative, du moins pas directement. Cela peut facilement être communiqué aux électeurs par les autorités compétentes avant un référendum.
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1C_105_2020_2020_11_05_J_{lang}
An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 5. November 2020 Embargo: 5. November 2020, 12:00 Uhr Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 7. Oktober 2020 (1C_105/2020, 1C_129/2020) Initiative "Für Ehe und Familie – gegen die Heiratsstrafe": Rückzug nach Aufhebung der Abstimmung zulässig Die eidgenössische Volksinitiative "Für Ehe und Familie – gegen die Heiratsstrafe" durfte vom Initiativkomitee zurückgezogen werden, nachdem das Bundesgericht 2019 die Abstimmung über das Volksbegehren aufgehoben hatte. Die Abstimmungsfreiheit der Stimmberechtigten wird durch den Rückzug nicht verletzt. Das Bundesgericht weist die von mehreren Personen erhobenen Beschwerden ab. Die eidgenössische Volksinitiative "Für Ehe und Familie – gegen die Heiratsstrafe" wurde in der Volksabstimmung vom 28. Februar 2016 abgelehnt. 2019 hiess das Bundesgericht mehrere Beschwerden gut und hob die Abstimmung auf (BGE 145 I 207 und Urteil 1C_315/2018, Medienmitteilung des Bundesgericht vom 10. April 2019 ). Es war im Wesentlichen zum Schluss gekommen, dass die Stimmbevölkerung im Vorfeld der Abstimmung von den Behörden in Bezug auf die Anzahl der von der steuerlichen Ungleichbehandlung betroffenen Ehepaare mangelhaft informiert worden sei. Der Bundesrat hob in der Folge den Erwahrungsbeschluss zur Abstimmung auf. Im Februar 2020 wurde bekannt, dass das Initiativkomitee seine Volksinitiative zurückgezogen habe und der Bundesrat von der Durchführung einer zweiten Abstimmung Umgang nehme. Ein Verein und mehrere Privatpersonen erhoben dagegen Beschwerden ans Bundesgericht. Das Bundesgericht weist die Beschwerden ab, soweit es darauf eintritt. Der Rückzug einer eidgenössischen Initiative durch das Initiativkomitee ist gemäss Artikel 73 des Bundesgesetzes über die politischen Rechte zulässig, bis der Bundesrat die Volksabstimmung festsetzt. Das Bundesgericht kommt zum Schluss, dass diese Bestimmung auch nach Aufhebung einer Abstimmung bis zur Festsetzung eines neuen Abstimmungstermins anwendbar ist. Der Wortlaut der Norm bietet keine Anhaltspunkte für eine andere Interpretation. Die Bestimmung bezweckt eine zeitliche Begrenzung. Ansonsten bestünden bis kurz vor der Abstimmung Zweifel, ob diese überhaupt stattfinden kann. Dieser Zweck steht einer erneuten Gewährung des Rückzugsrechts nicht entgegen. Das Initiativkomitee hatte deshalb das Recht, seine Volksinitiative zurückzuziehen. Der Rückzug verstiess auch nicht gegen die Abstimmungsfreiheit. Gemäss Bundesverfassung besteht ein Anspruch darauf, dass kein Abstimmungsergebnis anerkannt wird, das nicht den freien Willen der Stimmberechtigten zuverlässig und unverfälscht zum Ausdruck bringt. Das Bundesgericht hat diesem verfassungsmässigen Anspruch mit der Aufhebung der Abstimmung Nachachtung verschafft. Es ist nicht ersichtlich, weshalb darüber hinaus eine Wiederholung der Abstimmung notwendig wäre, um das Vertrauen der Stimmberechtigten in die demokratischen Prozesse wiederherzustellen. Weil es für den Rückzug keinen besonderen Grund braucht, ist dem Initiativkomitee schliesslich auch kein Verstoss gegen den Grundsatz von Treu und Glauben vorzuwerfen.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 5 novembre 2020 Embargo : 5 novembre 2020, 12h00 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Arrêt du 7 octobre 2020 (1C_105/2020, 1C_129/2020) Initiative « Pour le couple et la famille – Non à la pénalisation du mariage » : retrait admissible après annulation de la votation Le comité d'initiative pouvait retirer l'initiative populaire « Pour le couple et la famille – Non à la pénalisation du mariage » après que le Tribunal fédéral a annulé, en 2019, la votation sur cette initiative. Le retrait ne porte pas atteinte à la liberté de vote des électeurs. Le Tribunal fédéral rejette les recours déposés par plusieurs personnes. L'initiative populaire fédérale « Pour le couple et la famille – Non à la pénalisation du mariage » a été rejetée lors de la votation populaire du 28 février 2016. Le Tribunal fédéral a admis plusieurs recours en 2019 et a annulé la votation (ATF 145 I 207 et arrêt 1C_315/2018, communiqué de presse du Tribunal fédéral du 10 avril 2019 ). En substance, il a conclu que les citoyens n'avaient pas été suffisamment informés par les autorités avant le vote quant au nombre de couples touchés par l'inégalité de traitement. Le Conseil fédéral a ensuite révoqué l'arrêté de validation de la votation. En février 2020, il a été annoncé que le comité d'initiative avait retiré son initiative populaire et que le Conseil fédéral ne procédait pas à un second vote. Une association et plusieurs particuliers ont introduit des recours auprès du Tribunal fédéral. Le Tribunal fédéral rejette les recours dans la mesure où ils sont recevables. En vertu de l'article 73 de la loi fédérale sur les droits politiques, une initiative fédérale peut être retirée par le comité d'initiative jusqu’au jour où le Conseil fédéral fixe la date de la votation populaire. Le Tribunal fédéral conclut que cette disposition est applicable même après l'annulation d'une votation jusqu'à ce qu'une nouvelle date de votation soit fixée. Le libellé de cette disposition ne fournit aucune indication permettant une interprétation différente ; son but est de fixer une limitation dans le temps. Sans une telle limitation, des doutes persisteraient jusqu'au dernier moment sur la tenue de la votation. Cet objectif n'empêche pas que le droit de retrait soit à nouveau accordé. Le comité d'initiative avait donc le droit de retirer son initiative populaire. Le retrait n'a pas non plus violé la liberté de vote. La Constitution fédérale garantit aux citoyens qu'aucun résultat de vote ne soit reconnu s'il ne traduit pas de façon fidèle et sûre l'expression de leur libre volonté. En annulant la votation, le Tribunal fédéral a tenu compte de ce droit constitutionnel. Il n'est pas évident de savoir pourquoi une répétition du vote serait également nécessaire pour rétablir la confiance des électeurs dans les processus démocratiques. Enfin, aucun motif particulier n'étant requis pour le retrait, on ne saurait reprocher au comité d'initiative d'avoir violé le principe de la bonne foi.
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Lausanne, 5. November 2020 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 7. Oktober 2020 (1C_105/2020, 1C_129/2020) Initiative "Für Ehe und Familie – gegen die Heiratsstrafe": Rückzug nach Aufhebung der Abstimmung zulässig Die eidgenössische Volksinitiative "Für Ehe und Familie – gegen die Heiratsstrafe" durfte vom Initiativkomitee zurückgezogen werden, nachdem das Bundesgericht 2019 die Abstimmung über das Volksbegehren aufgehoben hatte. Die Abstimmungsfreiheit der Stimmberechtigten wird durch den Rückzug nicht verletzt. Das Bundesgericht weist die von mehreren Personen erhobenen Beschwerden ab. Die eidgenössische Volksinitiative "Für Ehe und Familie – gegen die Heiratsstrafe" wurde in der Volksabstimmung vom 28. Februar 2016 abgelehnt. 2019 hiess das Bundesgericht mehrere Beschwerden gut und hob die Abstimmung auf (BGE 145 I 207 und Urteil 1C_315/2018, Medienmitteilung des Bundesgericht vom 10. April 2019 ). Es war im Wesentlichen zum Schluss gekommen, dass die Stimmbevölkerung im Vorfeld der Abstimmung von den Behörden in Bezug auf die Anzahl der von der steuerlichen Ungleichbehandlung betroffenen Ehepaare mangelhaft informiert worden sei. Der Bundesrat hob in der Folge den Erwahrungsbeschluss zur Abstimmung auf. Im Februar 2020 wurde bekannt, dass das Initiativkomitee seine Volksinitiative zurückgezogen habe und der Bundesrat von der Durchführung einer zweiten Abstimmung Umgang nehme. Ein Verein und mehrere Privatpersonen erhoben dagegen Beschwerden ans Bundesgericht. Das Bundesgericht weist die Beschwerden ab, soweit es darauf eintritt. Der Rückzug einer eidgenössischen Initiative durch das Initiativkomitee ist gemäss Artikel 73 des Bundesgesetzes über die politischen Rechte zulässig, bis der Bundesrat die Volksabstimmung festsetzt. Das Bundesgericht kommt zum Schluss, dass diese Bestimmung auch nach Aufhebung einer Abstimmung bis zur Festsetzung eines neuen Abstimmungstermins anwendbar ist. Der Wortlaut der Norm bietet keine Anhaltspunkte für eine andere Interpretation. Die Bestimmung bezweckt eine zeitliche Begrenzung. Ansonsten bestünden bis kurz vor der Abstimmung Zweifel, ob diese überhaupt stattfinden kann. Dieser Zweck steht einer erneuten Gewährung des Rückzugsrechts nicht entgegen. Das Initiativkomitee hatte deshalb das Recht, seine Volksinitiative zurückzuziehen. Der Rückzug verstiess auch nicht gegen die Abstimmungsfreiheit. Gemäss Bundesverfassung besteht ein Anspruch darauf, dass kein Abstimmungsergebnis anerkannt wird, das nicht den freien Willen der Stimmberechtigten zuverlässig und unverfälscht zum Ausdruck bringt. Das Bundesgericht hat diesem verfassungsmässigen Anspruch mit der Aufhebung der Abstimmung Nachachtung verschafft. Es ist nicht ersichtlich, weshalb darüber hinaus eine Wiederholung der Abstimmung notwendig wäre, um das Vertrauen der Stimmberechtigten in die demokratischen Prozesse wiederherzustellen. Weil es für den Rückzug keinen besonderen Grund braucht, ist dem Initiativkomitee schliesslich auch kein Verstoss gegen den Grundsatz von Treu und Glauben vorzuwerfen.
Lausanne, le 5 novembre 2020 Communiqué de presse du Tribunal fédéral Arrêt du 7 octobre 2020 (1C_105/2020, 1C_129/2020) Initiative « Pour le couple et la famille – Non à la pénalisation du mariage » : retrait admissible après annulation de la votation Le comité d'initiative pouvait retirer l'initiative populaire « Pour le couple et la famille – Non à la pénalisation du mariage » après que le Tribunal fédéral a annulé, en 2019, la votation sur cette initiative. Le retrait ne porte pas atteinte à la liberté de vote des électeurs. Le Tribunal fédéral rejette les recours déposés par plusieurs personnes. L'initiative populaire fédérale « Pour le couple et la famille – Non à la pénalisation du mariage » a été rejetée lors de la votation populaire du 28 février 2016. Le Tribunal fédéral a admis plusieurs recours en 2019 et a annulé la votation (ATF 145 I 207 et arrêt 1C_315/2018, communiqué de presse du Tribunal fédéral du 10 avril 2019 ). En substance, il a conclu que les citoyens n'avaient pas été suffisamment informés par les autorités avant le vote quant au nombre de couples touchés par l'inégalité de traitement. Le Conseil fédéral a ensuite révoqué l'arrêté de validation de la votation. En février 2020, il a été annoncé que le comité d'initiative avait retiré son initiative populaire et que le Conseil fédéral ne procédait pas à un second vote. Une association et plusieurs particuliers ont introduit des recours auprès du Tribunal fédéral. Le Tribunal fédéral rejette les recours dans la mesure où ils sont recevables. En vertu de l'article 73 de la loi fédérale sur les droits politiques, une initiative fédérale peut être retirée par le comité d'initiative jusqu’au jour où le Conseil fédéral fixe la date de la votation populaire. Le Tribunal fédéral conclut que cette disposition est applicable même après l'annulation d'une votation jusqu'à ce qu'une nouvelle date de votation soit fixée. Le libellé de cette disposition ne fournit aucune indication permettant une interprétation différente ; son but est de fixer une limitation dans le temps. Sans une telle limitation, des doutes persisteraient jusqu'au dernier moment sur la tenue de la votation. Cet objectif n'empêche pas que le droit de retrait soit à nouveau accordé. Le comité d'initiative avait donc le droit de retirer son initiative populaire. Le retrait n'a pas non plus violé la liberté de vote. La Constitution fédérale garantit aux citoyens qu'aucun résultat de vote ne soit reconnu s'il ne traduit pas de façon fidèle et sûre l'expression de leur libre volonté. En annulant la votation, le Tribunal fédéral a tenu compte de ce droit constitutionnel. Il n'est pas évident de savoir pourquoi une répétition du vote serait également nécessaire pour rétablir la confiance des électeurs dans les processus démocratiques. Enfin, aucun motif particulier n'étant requis pour le retrait, on ne saurait reprocher au comité d'initiative d'avoir violé le principe de la bonne foi.
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An alle akkreditierten Journalisten des Bundesgerichts Lausanne, 4. März 2015 Kein Embargo Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 4. März 2015 (1C_109/2014) Kantonale Asyl-Initiative: Beschwerde von Luzerner SVP teil weise gutgeheissen Der Luzerner Kantonsrat hat zu Recht die Bestimmung in der Volksinitiative "Für eine bürgernahe Asylpolitik" für ungültig erklärt, mit welcher der Kanton zum Bau von Asylunterkünften ausserhalb von Bauzonen verhalten werden sollte. Entgegen dem Entscheid des Kantonsrats wird das Volk aber darüber abstimmen können, ob der Aufenthalt von Asylsuchenden in Asylunterkünften der Gemeinden auf maximal ein Jahr beschränkt werden soll. Das Bundesgericht heisst die Beschwerde der Luzerner SVP teilweise gut. Mitglieder der Schweizerischen Volkspartei (SVP) des Kantons Luzern hatten im März 2013 die kantonale Volksinitiative "Für eine bürgernahe Asylpolitik" eingereicht. Die Initiative enthält verschiedene Aufträge zur Änderung der Luzerner Kantonsverfassung. Im Januar 2014 erklärte der Kantonsrat des Kantons Luzern die Initiative in zwei Punkten für ungültig. Davon betroffen ist einerseits Ziffer 3, mit welcher der Kanton ermächtigt werden soll, provisorische Asylzentren und geschlossene Lager ausserhalb der Bauzonen zu errichten. Andererseits wurde Ziffer 4b der Initiative für ungültig erklärt, wonach Aufenthalte in Asylunterkünften von Gemeinden von mehr als einem Jahr nur für anerkannte Flüchtlinge und vorläufig Aufgenommene möglich sein sollen. Das Bundesgericht heisst die Beschwerde der SVP gegen den Beschluss des Kantonsrates in seiner Sitzung vom 4. März teilweise gut. Zu Recht für ungültig erklärt hat der Kantonsrat Ziffer 3 der Initiative, da sie gegen Bundesrecht verstösst. Mit der fraglichen Bestimmung soll der Kanton dazu verhalten werden, Asylunterkünfte im Normalfall ausserhalb des Baugebiets zu errichten. Artikel 22 und 24 des Eidgenössischen Raumplanungsgesetzes sehen vor, dass Bauten und Anlagen nur dann ausnahmsweise ausserhalb der Bauzone bewilligt werden können, wenn sie standortgebunden sind. Für Asylunterkünfte, die üblicherweise in eine Wohnzone gehören, dürfte eine Standortgebundenheit ausserhalb der Bauzone kaum je vorliegen. Auch die Schaffung von besonderen Nutzungszonen für Asylunterkünfte ausserhalb des Baugebiets wäre mit den strengen Anforderungen des Raumplanungsrechts des Bundes nicht zu vereinbaren. Mit den Kompetenzen der Kantone im Bereich des Asylrechts ist keine Berechtigung verbunden, Asylzentren in Abweichung vom Raumplanungsrecht zu erstellen. Ziffer 4b der Initiative wurde dagegen zu Unrecht für ungültig erklärt. Der Kantonsrat hatte diesbezüglich die Ansicht vertreten, dass gemäss der Bestimmung der gesamte Aufenthalt eines Asylsuchenden in allen Gemeinden des Kantons zusammen nicht mehr als ein Jahr dauern dürfe. Die Initianten würden damit bezwecken, das Verfahren zu beschleunigen. Für das Asylverfahren sei jedoch einzig der Bund zuständig. Nach Auffassung des Bundesgerichts kann jedoch der Initiativtext auch so verstanden werden, dass die Anwesenheit von Asylsuchenden in der selben Gemeinde auf maximal ein Jahr beschränkt werden soll. In dieser einschränkenden Weise lässt sich das Volksbegehren – das bei einer Annahme noch zu konkretisieren und umzusetzen sein wird – bundesrechtskonform auslegen und muss dem Volk zur Abstimmung vorgelegt werden.
A tous les journalistes accrédités auprès du Tribunal fédéral Lausanne, le 4 mars 2015 Pas d'embargo Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêt du 4 mars 2015 (1C_109/2014) Initiative cantonale en matière d'asile : admission partielle du recours de l'UDC du canton de Lucerne Le parlement du canton de Lucerne a déclaré invalide, avec raison, la disposition de l'initiative populaire "Pour une politique d'asile proche des citoyens" ("Für eine bürgernahe Asylpolitik"), selon laquelle le canton devrait prévoir les lieux d'hébergements pour requérants d'asile en dehors des zones à bâtir. En revanche, au contraire de ce qu'avait décidé le parlement lucernois, le peuple pourra voter sur la question de savoir si le séjour des requérants d'asile dans des hébergements des communes doit être limité à un an au maximum. Le Tribunal fédéral admet partiellement le recours de l'UDC du canton de Lucerne. Des membres de l'Union démocratique du centre (UDC) du canton de Lucerne ont déposé l'initiative cantonale "Pour une politique d'asile proche des citoyens" ("Für eine bürgernahe Asylpolitik") en mars 2013. L'initiative contient différentes propositions de modification de la Constitution du canton de Lucerne. En janvier 2014, le parlement du canton de Lucerne a déclaré l'initiative invalide sur deux points: il s'agit, d'une part, du chiffre 3 de l'initiative selon lequel le canton devrait établir en dehors des zones à bâtir les centres d'asile provisoires et autres lieux d'hébergement fermés; d'autre part, a été déclaré invalide le chiffre 4b de l'initiative, selon lequel les séjours de plus d'un an dans des hébergements communaux pour demandeurs d'asile doit être possible seulement pour les réfugiés reconnus et pour les bénéficiaires de l'admission provisoire. Lors de sa séance du 4 mars 2015, le Tribunal fédéral admet partiellement le recours de l'UDC contre la décision du parlement cantonal. Le parlement cantonal a déclaré invalide, avec raison, le chiffre 3 de l'initiative, car il est contraire au droit fédéral. Avec cette disposition litigieuse, le canton devrait établir les hébergements en matière d'asile en règle générale hors de la zone à bâtir. Les art. 22 et 24 de la loi fédérale sur l'aménagement du territoire prévoient cependant que l'implantation de constructions et d'installations hors de la zone à bâtir n'est autorisée à titre exceptionnel que lorsqu'elle est imposée par leur destination. Pour les hébergements d'asile, qui se trouvent habituellement dans une zone d'habitation, une implantation imposée par la destination hors de la zone à bâtir n'est pas donnée. La création de zones d'affectation spéciales pour les hébergements d'asile hors de la zone à bâtir ne serait pas non plus compatible avec les exigences strictes de l'aménagement du territoire de la Confédération. Les compétences des cantons dans le domaine du droit de l'asile ne comprennent pas le droit de construire des centres pour requérants d'asile en dérogation à la législation fédérale concernant l'aménagement du territoire. Le chiffre 4b de l'initiative a en revanche été déclaré invalide à tort. Le parlement cantonal a soutenu à cet égard que, selon cette disposition, le séjour total d'un demandeur d'asile dans toutes les communes du canton ne devrait pas durer plus d'un an; les initiants tenteraient ainsi d'accélérer la procédure; or seule la Confédération est compétente pour la procédure d'asile. Selon le Tribunal fédéral, une interprétation du texte de l'initiative n'exclut cependant pas de la comprendre en ce sens que la présence de demandeurs d'asile dans la même commune soit limitée à un an au maximum. Dans cette conception limitée, l'initiative rédigée en termes généraux – qui devra encore être concrétisée et mise en oeuvre en cas d'acceptation – peut être interprétée de manière conforme à la Constitution fédérale et doit être soumise au vote populaire.
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Lausanne, 4. März 2015 Medienmitteilung des Bundesgerichts Urteil vom 4. März 2015 (1C_109/2014) Kantonale Asyl-Initiative: Beschwerde von Luzerner SVP teil weise gutgeheissen Der Luzerner Kantonsrat hat zu Recht die Bestimmung in der Volksinitiative "Für eine bürgernahe Asylpolitik" für ungültig erklärt, mit welcher der Kanton zum Bau von Asylunterkünften ausserhalb von Bauzonen verhalten werden sollte. Entgegen dem Entscheid des Kantonsrats wird das Volk aber darüber abstimmen können, ob der Aufenthalt von Asylsuchenden in Asylunterkünften der Gemeinden auf maximal ein Jahr beschränkt werden soll. Das Bundesgericht heisst die Beschwerde der Luzerner SVP teilweise gut. Mitglieder der Schweizerischen Volkspartei (SVP) des Kantons Luzern hatten im März 2013 die kantonale Volksinitiative "Für eine bürgernahe Asylpolitik" eingereicht. Die Initiative enthält verschiedene Aufträge zur Änderung der Luzerner Kantonsverfassung. Im Januar 2014 erklärte der Kantonsrat des Kantons Luzern die Initiative in zwei Punkten für ungültig. Davon betroffen ist einerseits Ziffer 3, mit welcher der Kanton ermächtigt werden soll, provisorische Asylzentren und geschlossene Lager ausserhalb der Bauzonen zu errichten. Andererseits wurde Ziffer 4b der Initiative für ungültig erklärt, wonach Aufenthalte in Asylunterkünften von Gemeinden von mehr als einem Jahr nur für anerkannte Flüchtlinge und vorläufig Aufgenommene möglich sein sollen. Das Bundesgericht heisst die Beschwerde der SVP gegen den Beschluss des Kantonsrates in seiner Sitzung vom 4. März teilweise gut. Zu Recht für ungültig erklärt hat der Kantonsrat Ziffer 3 der Initiative, da sie gegen Bundesrecht verstösst. Mit der fraglichen Bestimmung soll der Kanton dazu verhalten werden, Asylunterkünfte im Normalfall ausserhalb des Baugebiets zu errichten. Artikel 22 und 24 des Eidgenössischen Raumplanungsgesetzes sehen vor, dass Bauten und Anlagen nur dann ausnahmsweise ausserhalb der Bauzone bewilligt werden können, wenn sie standortgebunden sind. Für Asylunterkünfte, die üblicherweise in eine Wohnzone gehören, dürfte eine Standortgebundenheit ausserhalb der Bauzone kaum je vorliegen. Auch die Schaffung von besonderen Nutzungszonen für Asylunterkünfte ausserhalb des Baugebiets wäre mit den strengen Anforderungen des Raumplanungsrechts des Bundes nicht zu vereinbaren. Mit den Kompetenzen der Kantone im Bereich des Asylrechts ist keine Berechtigung verbunden, Asylzentren in Abweichung vom Raumplanungsrecht zu erstellen. Ziffer 4b der Initiative wurde dagegen zu Unrecht für ungültig erklärt. Der Kantonsrat hatte diesbezüglich die Ansicht vertreten, dass gemäss der Bestimmung der gesamte Aufenthalt eines Asylsuchenden in allen Gemeinden des Kantons zusammen nicht mehr als ein Jahr dauern dürfe. Die Initianten würden damit bezwecken, das Verfahren zu beschleunigen. Für das Asylverfahren sei jedoch einzig der Bund zuständig. Nach Auffassung des Bundesgerichts kann jedoch der Initiativtext auch so verstanden werden, dass die Anwesenheit von Asylsuchenden in der selben Gemeinde auf maximal ein Jahr beschränkt werden soll. In dieser einschränkenden Weise lässt sich das Volksbegehren – das bei einer Annahme noch zu konkretisieren und umzusetzen sein wird – bundesrechtskonform auslegen und muss dem Volk zur Abstimmung vorgelegt werden.
Lausanne, le 4 mars 2015 Communiqué aux médias du Tribunal fédéral Arrêt du 4 mars 2015 (1C_109/2014) Initiative cantonale en matière d'asile : admission partielle du recours de l'UDC du canton de Lucerne Le parlement du canton de Lucerne a déclaré invalide, avec raison, la disposition de l'initiative populaire "Pour une politique d'asile proche des citoyens" ("Für eine bürgernahe Asylpolitik"), selon laquelle le canton devrait prévoir les lieux d'hébergements pour requérants d'asile en dehors des zones à bâtir. En revanche, au contraire de ce qu'avait décidé le parlement lucernois, le peuple pourra voter sur la question de savoir si le séjour des requérants d'asile dans des hébergements des communes doit être limité à un an au maximum. Le Tribunal fédéral admet partiellement le recours de l'UDC du canton de Lucerne. Des membres de l'Union démocratique du centre (UDC) du canton de Lucerne ont déposé l'initiative cantonale "Pour une politique d'asile proche des citoyens" ("Für eine bürgernahe Asylpolitik") en mars 2013. L'initiative contient différentes propositions de modification de la Constitution du canton de Lucerne. En janvier 2014, le parlement du canton de Lucerne a déclaré l'initiative invalide sur deux points: il s'agit, d'une part, du chiffre 3 de l'initiative selon lequel le canton devrait établir en dehors des zones à bâtir les centres d'asile provisoires et autres lieux d'hébergement fermés; d'autre part, a été déclaré invalide le chiffre 4b de l'initiative, selon lequel les séjours de plus d'un an dans des hébergements communaux pour demandeurs d'asile doit être possible seulement pour les réfugiés reconnus et pour les bénéficiaires de l'admission provisoire. Lors de sa séance du 4 mars 2015, le Tribunal fédéral admet partiellement le recours de l'UDC contre la décision du parlement cantonal. Le parlement cantonal a déclaré invalide, avec raison, le chiffre 3 de l'initiative, car il est contraire au droit fédéral. Avec cette disposition litigieuse, le canton devrait établir les hébergements en matière d'asile en règle générale hors de la zone à bâtir. Les art. 22 et 24 de la loi fédérale sur l'aménagement du territoire prévoient cependant que l'implantation de constructions et d'installations hors de la zone à bâtir n'est autorisée à titre exceptionnel que lorsqu'elle est imposée par leur destination. Pour les hébergements d'asile, qui se trouvent habituellement dans une zone d'habitation, une implantation imposée par la destination hors de la zone à bâtir n'est pas donnée. La création de zones d'affectation spéciales pour les hébergements d'asile hors de la zone à bâtir ne serait pas non plus compatible avec les exigences strictes de l'aménagement du territoire de la Confédération. Les compétences des cantons dans le domaine du droit de l'asile ne comprennent pas le droit de construire des centres pour requérants d'asile en dérogation à la législation fédérale concernant l'aménagement du territoire. Le chiffre 4b de l'initiative a en revanche été déclaré invalide à tort. Le parlement cantonal a soutenu à cet égard que, selon cette disposition, le séjour total d'un demandeur d'asile dans toutes les communes du canton ne devrait pas durer plus d'un an; les initiants tenteraient ainsi d'accélérer la procédure; or seule la Confédération est compétente pour la procédure d'asile. Selon le Tribunal fédéral, une interprétation du texte de l'initiative n'exclut cependant pas de la comprendre en ce sens que la présence de demandeurs d'asile dans la même commune soit limitée à un an au maximum. Dans cette conception limitée, l'initiative rédigée en termes généraux – qui devra encore être concrétisée et mise en oeuvre en cas d'acceptation – peut être interprétée de manière conforme à la Constitution fédérale et doit être soumise au vote populaire.
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