Specialite
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Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Un adolescent de 15 ans est pris en charge par le SMUR sur une piste de ski où il fait très froid, après une très violente collision à ski. L'enfant était casqué et n'a pas perdu connaissance. Une forte douleur et une grosse déformation de la cuisse gauche vous font suspecter une fracture du fémur. Quel(s) est(sont) le(s) principal(aux) problème(s) médical(aux) que vous évoque cet accident ? a. Il faut prendre en charge la douleur b. Il faut suspecter une instabilité hémodynamique c. Il faut suspecter des troubles hydro-électrolytiques d. Il faut suspecter des lésions associées e. Il faut suspecter une hypothermie débutante A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quel(s) est(sont) le(s) tout(s) premier(s) geste(s) de votre prise en charge sur les lieux de l'accident. a. Réalisation d'un électrocardiogramme b. Mesure de la température par un termomètre rectal c. Examen clinique systématique d. Mise en place d'une voie veineuse périphérique e. Immobilisation du sujet dans un matelas coquille A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quelle(s) modalité(s) d'administration d'antalgique(s) priviligiez-vous dans cette situation ? a. Paracétamol seul per os b. Paracétamol et AINS associés en intra-veineux c. Paracétamol et AINS associés en intra-rectal d. Antalgiques de palier II de l'OMS e. Morphine en titration intra-veineuse A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Concernant la technique d'analgésie loco-régionale qui pourrait être employée par l'équipe du SMUR : a. Un bloc ilio-fascial semble le plus indiqué b. Un bloc sciatique par voie latérale semble indiqué c. Le point de ponction est au creux inguinal en dehors de l'artère fémorale d. Le point de ponction est au creux inguinal en dedans de l'artère fémorale e. Le point de ponction est au niveau du creux poplité A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Concernant le Mélange Equimolaire Oxygène Protoxyde d'Azote (MEOPA) dans le contexte décrit : a. C'est un analgésique inhalé puissant et d'action prolongée b. C'est un analgésique inhalé d'action rapide et facilement réversible c. Son utilisation est a éviter en cas de trouble de conscience d. Son utilisation est à éviter en cas de suspicion de pneumothorax e. Son utilisation est tout à fait adaptée en pré-hospitalier sur cet accident de ski A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le MEOPA ne doit pas être utilisé en ambiance froide (< à 0°C) car les deux gaz (O2 et N2O) se vaporisent différement à basse température et le mélange n'est plus équimolaire (la proportion 50% O2 - 50% N2O n'est plus respectée) et son inhalation peut donc s'avérer dangereuse. L'évacuation est faite par hélicoptère jusqu'au service d'accueil des urgences de l'hôpital. Après ré-examen clinique dans le box d'accueil des urgences, la douleur du fémur est correctement calmée mais le patient se plaint désormais du côté gauche au niveau du thorax et de l'abdomen. Il est un peu dispnéique, et l'abdomen est contracté. Quel(s) élément(s) vous semble-t-il pertinent(s) de demander en premier intention a. Un électro-cardiogramme b. Un dosage rapide de l'hémoglobine capillaire avec un appareil type Hémocue® c. Un scanner corps entier d. Une analyse des gaz du sang e. Une échographie de débrouillage aux urgences (Fast-écho) A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel est votre diagnostic ? Le scanner n'est pas disponible avant un demi-heure. En attendant, vous faites faire une radiographie du thorax. Voici cette radiographie : Pneumothorax gauche compressif, pneumothorax G, pneumothorax complet gauche, pneumothorax gauche, pneumothorax gauche complet, pneumothorax gauche compressif, , pneumothorax gauche non compressif, pneumothorax partiel gauche, Pneumothorax gauche, pneumothorax gauche incomplet, pneumothorax supérieur gauche, Pneumothorax gauche non compressif, pneumothorax apical G, pneumothorax côté gauche, pneumothorax gauche non complet, pneumothorax gauche traumatique, pneumothorax lobe superieur gauche, Pneumothorax gauche incomplet, Pneumothorax partiel gauche. Quel traitement faut-il envisager rapidement pour traiter ce pneumothorax traumatique ? a. Surveillance et recontrole radiologique à 24 heures b. Exsufflation à l'aiguille c. Drainage thoracique d. Ventilation assistée e. Aucune de ces propositions n'est exacte
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Une femme de 40 ans, sans aucun antécédent, arrive aux urgences pour une dyspnée croissante depuis deux jours. Elle semble apparue progressivement, ni liée à l’effort ni à la position, sans douleur thoracique associée mais avec une asthénie évidente. Elle vomit depuis 48 heures. Les paramètres d’entrée mesurés sont les suivants : PA : 90/65 mmHg FC : 108bpm FR : 31cpm SpO2 : 100% EVA dyspnée : 5/10 t° : 37°5 C GSC :15 Sur le plan abdominal existent une sensibilité épigastrique et une constipation majorée depuis une semaine ainsi qu’une nécessité de beaucoup devoir uriner, sans douleur à la palpation ni signe de gravité abdominale. A l’auscultation pulmonaire et cardiaque, il n’existe pas d’anomalie en dehors de la tachycardie, qui est aussi la seule anomalie de l’ECG. Il existe un pli cutané franc. La radio de thorax est normale. Parmi les trop nombreux examens demandés, les résultats sont les suivants pour le prélèvement sanguin : Na 121 mmol/L K 3,7 mmol/L Cl 81 mmol/L Ca 95 mg/L Ph 20 mg/L CO3H- 12 mmol/L urée 0,65 g/L créat 14 mg/L albumine 43 g/L PaCO2 26 mmHg PaO2 90 mmHg pH 7,17 TGO 35 UI/L TGP 39 UI/L glycémie 4,9 g/L CPK 40 UI/L uricémie 101 mg/L amylase 70 UI/L bilirubine 18 mg/L INR 1,1 fibrinogène 4 g/L TCA 35s ( t 33) facteur V 100% Ht 49% GR 4,5 T/L Hb 155 g/L GB 1,8 G/L plaquettes 300 G/L Le tableau correspond à (une ou plusieurs réponses exactes) a. Une déshydratation intra-cellulaire b. Une déshydratation extra-cellulaire c. Une hyperhydratation globale d. Une hyperhydratation intra-cellulaire e. Une déshydratation globale
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Une femme de 40 ans, sans aucun antécédent, arrive aux urgences pour une dyspnée croissante depuis deux jours. Elle semble apparue progressivement, ni liée à l’effort ni à la position, sans douleur thoracique associée mais avec une asthénie évidente. Elle vomit depuis 48 heures. Les paramètres d’entrée mesurés sont les suivants : PA : 90/65 mmHg FC : 108bpm FR : 31cpm SpO2 : 100% EVA dyspnée : 5/10 t° : 37°5 C GSC :15 Sur le plan abdominal existent une sensibilité épigastrique et une constipation majorée depuis une semaine ainsi qu’une nécessité de beaucoup devoir uriner, sans douleur à la palpation ni signe de gravité abdominale. A l’auscultation pulmonaire et cardiaque, il n’existe pas d’anomalie en dehors de la tachycardie, qui est aussi la seule anomalie de l’ECG. Il existe un pli cutané franc. La radio de thorax est normale. Parmi les trop nombreux examens demandés, les résultats sont les suivants pour le prélèvement sanguin : Na 121 mmol/L K 3,7 mmol/L Cl 81 mmol/L Ca 95 mg/L Ph 20 mg/L CO3H- 12 mmol/L urée 0,65 g/L créat 14 mg/L albumine 43 g/L PaCO2 26 mmHg PaO2 90 mmHg pH 7,17 TGO 35 UI/L TGP 39 UI/L glycémie 4,9 g/L CPK 40 UI/L uricémie 101 mg/L amylase 70 UI/L bilirubine 18 mg/L INR 1,1 fibrinogène 4 g/L TCA 35s ( t 33) facteur V 100% Ht 49% GR 4,5 T/L Hb 155 g/L GB 1,8 G/L plaquettes 300 G/L Le tableau correspond à (une ou plusieurs réponses exactes) a. Une déshydratation intra-cellulaire b. Une déshydratation extra-cellulaire c. Une hyperhydratation globale d. Une hyperhydratation intra-cellulaire e. Une déshydratation globale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous calculez l’osmolarité plasmatique : quelle valeur obtenez vous ? a. 257 mOsm/L b. 262 mOsm/L c. 280 mOsm/L d. 301 mOsm/L e. 351 mOsm/L
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. osm = (Na x2) + (gly x 5,5) + (urée x 16,6).
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Une femme de 40 ans, sans aucun antécédent, arrive aux urgences pour une dyspnée croissante depuis deux jours. Elle semble apparue progressivement, ni liée à l’effort ni à la position, sans douleur thoracique associée mais avec une asthénie évidente. Elle vomit depuis 48 heures. Les paramètres d’entrée mesurés sont les suivants : PA : 90/65 mmHg FC : 108bpm FR : 31cpm SpO2 : 100% EVA dyspnée : 5/10 t° : 37°5 C GSC :15 Sur le plan abdominal existent une sensibilité épigastrique et une constipation majorée depuis une semaine ainsi qu’une nécessité de beaucoup devoir uriner, sans douleur à la palpation ni signe de gravité abdominale. A l’auscultation pulmonaire et cardiaque, il n’existe pas d’anomalie en dehors de la tachycardie, qui est aussi la seule anomalie de l’ECG. Il existe un pli cutané franc. La radio de thorax est normale. Parmi les trop nombreux examens demandés, les résultats sont les suivants pour le prélèvement sanguin : Na 121 mmol/L K 3,7 mmol/L Cl 81 mmol/L Ca 95 mg/L Ph 20 mg/L CO3H- 12 mmol/L urée 0,65 g/L créat 14 mg/L albumine 43 g/L PaCO2 26 mmHg PaO2 90 mmHg pH 7,17 TGO 35 UI/L TGP 39 UI/L glycémie 4,9 g/L CPK 40 UI/L uricémie 101 mg/L amylase 70 UI/L bilirubine 18 mg/L INR 1,1 fibrinogène 4 g/L TCA 35s ( t 33) facteur V 100% Ht 49% GR 4,5 T/L Hb 155 g/L GB 1,8 G/L plaquettes 300 G/L Le tableau correspond à (une ou plusieurs réponses exactes) a. Une déshydratation intra-cellulaire b. Une déshydratation extra-cellulaire c. Une hyperhydratation globale d. Une hyperhydratation intra-cellulaire e. Une déshydratation globale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous calculez l’osmolarité plasmatique : quelle valeur obtenez vous ? a. 257 mOsm/L b. 262 mOsm/L c. 280 mOsm/L d. 301 mOsm/L e. 351 mOsm/L A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. osm = (Na x2) + (gly x 5,5) + (urée x 16,6). L’osmolarité calculée est de 280 mOsm/L. Compte tenu du tableau de cette patiente, l’hyponatrémie avec hypo-osmolarité est la conséquence d’une ou plusieurs des situations suivantes : a. Une fausse hyponatrémie par hyperglycémie b. Une pseudo-hyponatrémie par hyperprotidémie c. Une hyponatrémie avec déplétion d. Une hyponatrémie par pertes digestives e. Une sécrétion inappropriée d’ADH
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Une femme de 40 ans, sans aucun antécédent, arrive aux urgences pour une dyspnée croissante depuis deux jours. Elle semble apparue progressivement, ni liée à l’effort ni à la position, sans douleur thoracique associée mais avec une asthénie évidente. Elle vomit depuis 48 heures. Les paramètres d’entrée mesurés sont les suivants : PA : 90/65 mmHg FC : 108bpm FR : 31cpm SpO2 : 100% EVA dyspnée : 5/10 t° : 37°5 C GSC :15 Sur le plan abdominal existent une sensibilité épigastrique et une constipation majorée depuis une semaine ainsi qu’une nécessité de beaucoup devoir uriner, sans douleur à la palpation ni signe de gravité abdominale. A l’auscultation pulmonaire et cardiaque, il n’existe pas d’anomalie en dehors de la tachycardie, qui est aussi la seule anomalie de l’ECG. Il existe un pli cutané franc. La radio de thorax est normale. Parmi les trop nombreux examens demandés, les résultats sont les suivants pour le prélèvement sanguin : Na 121 mmol/L K 3,7 mmol/L Cl 81 mmol/L Ca 95 mg/L Ph 20 mg/L CO3H- 12 mmol/L urée 0,65 g/L créat 14 mg/L albumine 43 g/L PaCO2 26 mmHg PaO2 90 mmHg pH 7,17 TGO 35 UI/L TGP 39 UI/L glycémie 4,9 g/L CPK 40 UI/L uricémie 101 mg/L amylase 70 UI/L bilirubine 18 mg/L INR 1,1 fibrinogène 4 g/L TCA 35s ( t 33) facteur V 100% Ht 49% GR 4,5 T/L Hb 155 g/L GB 1,8 G/L plaquettes 300 G/L Le tableau correspond à (une ou plusieurs réponses exactes) a. Une déshydratation intra-cellulaire b. Une déshydratation extra-cellulaire c. Une hyperhydratation globale d. Une hyperhydratation intra-cellulaire e. Une déshydratation globale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous calculez l’osmolarité plasmatique : quelle valeur obtenez vous ? a. 257 mOsm/L b. 262 mOsm/L c. 280 mOsm/L d. 301 mOsm/L e. 351 mOsm/L A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. osm = (Na x2) + (gly x 5,5) + (urée x 16,6). L’osmolarité calculée est de 280 mOsm/L. Compte tenu du tableau de cette patiente, l’hyponatrémie avec hypo-osmolarité est la conséquence d’une ou plusieurs des situations suivantes : a. Une fausse hyponatrémie par hyperglycémie b. Une pseudo-hyponatrémie par hyperprotidémie c. Une hyponatrémie avec déplétion d. Une hyponatrémie par pertes digestives e. Une sécrétion inappropriée d’ADH A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L’examen des urines vous apporte les éléments suivants : Na 2 mmol/L K 30 mmol/L Cl 30 mmol/L créatinine 400 mg/L Urée 22g/L pH 5,7 cristaux 0 nitrites 0 GR 0 GB + Sucre+ cétone Parmi les mesures thérapeutiques suivantes, laquelle(lesquelles) instaurez vous ? a. Remplissage vasculaire par sérum salé isotonique b. Réhydratation par sérum glucosé à 2,5% c. Objectif de correction natrémique en moins de 6 heures d. Mise en place d’une restriction hydro-sodée stricte e. Prescription d’un traitement anti-aldostérone
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Natriurèse effondrée et urée urinaire augmentée en faveur d'une origine prérénale de l'insuffisance rénale, par hypovolémie : donc remplissage vasculaire par SSI. Il n'est pas urgent de corriger la natrémie puisqu'il n'y a pas de signe de gravité neurologique.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Une femme de 40 ans, sans aucun antécédent, arrive aux urgences pour une dyspnée croissante depuis deux jours. Elle semble apparue progressivement, ni liée à l’effort ni à la position, sans douleur thoracique associée mais avec une asthénie évidente. Elle vomit depuis 48 heures. Les paramètres d’entrée mesurés sont les suivants : PA : 90/65 mmHg FC : 108bpm FR : 31cpm SpO2 : 100% EVA dyspnée : 5/10 t° : 37°5 C GSC :15 Sur le plan abdominal existent une sensibilité épigastrique et une constipation majorée depuis une semaine ainsi qu’une nécessité de beaucoup devoir uriner, sans douleur à la palpation ni signe de gravité abdominale. A l’auscultation pulmonaire et cardiaque, il n’existe pas d’anomalie en dehors de la tachycardie, qui est aussi la seule anomalie de l’ECG. Il existe un pli cutané franc. La radio de thorax est normale. Parmi les trop nombreux examens demandés, les résultats sont les suivants pour le prélèvement sanguin : Na 121 mmol/L K 3,7 mmol/L Cl 81 mmol/L Ca 95 mg/L Ph 20 mg/L CO3H- 12 mmol/L urée 0,65 g/L créat 14 mg/L albumine 43 g/L PaCO2 26 mmHg PaO2 90 mmHg pH 7,17 TGO 35 UI/L TGP 39 UI/L glycémie 4,9 g/L CPK 40 UI/L uricémie 101 mg/L amylase 70 UI/L bilirubine 18 mg/L INR 1,1 fibrinogène 4 g/L TCA 35s ( t 33) facteur V 100% Ht 49% GR 4,5 T/L Hb 155 g/L GB 1,8 G/L plaquettes 300 G/L Le tableau correspond à (une ou plusieurs réponses exactes) a. Une déshydratation intra-cellulaire b. Une déshydratation extra-cellulaire c. Une hyperhydratation globale d. Une hyperhydratation intra-cellulaire e. Une déshydratation globale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous calculez l’osmolarité plasmatique : quelle valeur obtenez vous ? a. 257 mOsm/L b. 262 mOsm/L c. 280 mOsm/L d. 301 mOsm/L e. 351 mOsm/L A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. osm = (Na x2) + (gly x 5,5) + (urée x 16,6). L’osmolarité calculée est de 280 mOsm/L. Compte tenu du tableau de cette patiente, l’hyponatrémie avec hypo-osmolarité est la conséquence d’une ou plusieurs des situations suivantes : a. Une fausse hyponatrémie par hyperglycémie b. Une pseudo-hyponatrémie par hyperprotidémie c. Une hyponatrémie avec déplétion d. Une hyponatrémie par pertes digestives e. Une sécrétion inappropriée d’ADH A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L’examen des urines vous apporte les éléments suivants : Na 2 mmol/L K 30 mmol/L Cl 30 mmol/L créatinine 400 mg/L Urée 22g/L pH 5,7 cristaux 0 nitrites 0 GR 0 GB + Sucre+ cétone Parmi les mesures thérapeutiques suivantes, laquelle(lesquelles) instaurez vous ? a. Remplissage vasculaire par sérum salé isotonique b. Réhydratation par sérum glucosé à 2,5% c. Objectif de correction natrémique en moins de 6 heures d. Mise en place d’une restriction hydro-sodée stricte e. Prescription d’un traitement anti-aldostérone A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Natriurèse effondrée et urée urinaire augmentée en faveur d'une origine prérénale de l'insuffisance rénale, par hypovolémie : donc remplissage vasculaire par SSI. Il n'est pas urgent de corriger la natrémie puisqu'il n'y a pas de signe de gravité neurologique. Pour ce qui concerne le déséquilibre acide-base de cette patiente, quelle(s) proposition(s) parmi les suivantes, vous parai(ssen)t exacte(s) ? a. C’est une acidose de jeûne b. Il y a une acidose métabolique c. Le trou anionique est élevé (> 20 mmol/L) d. L’acidose métabolique est pure e. Il y a eu perte digestive de bicarbonates
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Une femme de 40 ans, sans aucun antécédent, arrive aux urgences pour une dyspnée croissante depuis deux jours. Elle semble apparue progressivement, ni liée à l’effort ni à la position, sans douleur thoracique associée mais avec une asthénie évidente. Elle vomit depuis 48 heures. Les paramètres d’entrée mesurés sont les suivants : PA : 90/65 mmHg FC : 108bpm FR : 31cpm SpO2 : 100% EVA dyspnée : 5/10 t° : 37°5 C GSC :15 Sur le plan abdominal existent une sensibilité épigastrique et une constipation majorée depuis une semaine ainsi qu’une nécessité de beaucoup devoir uriner, sans douleur à la palpation ni signe de gravité abdominale. A l’auscultation pulmonaire et cardiaque, il n’existe pas d’anomalie en dehors de la tachycardie, qui est aussi la seule anomalie de l’ECG. Il existe un pli cutané franc. La radio de thorax est normale. Parmi les trop nombreux examens demandés, les résultats sont les suivants pour le prélèvement sanguin : Na 121 mmol/L K 3,7 mmol/L Cl 81 mmol/L Ca 95 mg/L Ph 20 mg/L CO3H- 12 mmol/L urée 0,65 g/L créat 14 mg/L albumine 43 g/L PaCO2 26 mmHg PaO2 90 mmHg pH 7,17 TGO 35 UI/L TGP 39 UI/L glycémie 4,9 g/L CPK 40 UI/L uricémie 101 mg/L amylase 70 UI/L bilirubine 18 mg/L INR 1,1 fibrinogène 4 g/L TCA 35s ( t 33) facteur V 100% Ht 49% GR 4,5 T/L Hb 155 g/L GB 1,8 G/L plaquettes 300 G/L Le tableau correspond à (une ou plusieurs réponses exactes) a. Une déshydratation intra-cellulaire b. Une déshydratation extra-cellulaire c. Une hyperhydratation globale d. Une hyperhydratation intra-cellulaire e. Une déshydratation globale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous calculez l’osmolarité plasmatique : quelle valeur obtenez vous ? a. 257 mOsm/L b. 262 mOsm/L c. 280 mOsm/L d. 301 mOsm/L e. 351 mOsm/L A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. osm = (Na x2) + (gly x 5,5) + (urée x 16,6). L’osmolarité calculée est de 280 mOsm/L. Compte tenu du tableau de cette patiente, l’hyponatrémie avec hypo-osmolarité est la conséquence d’une ou plusieurs des situations suivantes : a. Une fausse hyponatrémie par hyperglycémie b. Une pseudo-hyponatrémie par hyperprotidémie c. Une hyponatrémie avec déplétion d. Une hyponatrémie par pertes digestives e. Une sécrétion inappropriée d’ADH A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L’examen des urines vous apporte les éléments suivants : Na 2 mmol/L K 30 mmol/L Cl 30 mmol/L créatinine 400 mg/L Urée 22g/L pH 5,7 cristaux 0 nitrites 0 GR 0 GB + Sucre+ cétone Parmi les mesures thérapeutiques suivantes, laquelle(lesquelles) instaurez vous ? a. Remplissage vasculaire par sérum salé isotonique b. Réhydratation par sérum glucosé à 2,5% c. Objectif de correction natrémique en moins de 6 heures d. Mise en place d’une restriction hydro-sodée stricte e. Prescription d’un traitement anti-aldostérone A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Natriurèse effondrée et urée urinaire augmentée en faveur d'une origine prérénale de l'insuffisance rénale, par hypovolémie : donc remplissage vasculaire par SSI. Il n'est pas urgent de corriger la natrémie puisqu'il n'y a pas de signe de gravité neurologique. Pour ce qui concerne le déséquilibre acide-base de cette patiente, quelle(s) proposition(s) parmi les suivantes, vous parai(ssen)t exacte(s) ? a. C’est une acidose de jeûne b. Il y a une acidose métabolique c. Le trou anionique est élevé (> 20 mmol/L) d. L’acidose métabolique est pure e. Il y a eu perte digestive de bicarbonates A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pour cette patiente, parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) potentiellement à l’origine de son acidose métabolique ? a. Vomissements abondants b. Déshydratation extra-cellulaire c. Céto-acidose diabétique d. Défaillance hépatique e. Insuffisance rénale aiguë
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Une femme de 40 ans, sans aucun antécédent, arrive aux urgences pour une dyspnée croissante depuis deux jours. Elle semble apparue progressivement, ni liée à l’effort ni à la position, sans douleur thoracique associée mais avec une asthénie évidente. Elle vomit depuis 48 heures. Les paramètres d’entrée mesurés sont les suivants : PA : 90/65 mmHg FC : 108bpm FR : 31cpm SpO2 : 100% EVA dyspnée : 5/10 t° : 37°5 C GSC :15 Sur le plan abdominal existent une sensibilité épigastrique et une constipation majorée depuis une semaine ainsi qu’une nécessité de beaucoup devoir uriner, sans douleur à la palpation ni signe de gravité abdominale. A l’auscultation pulmonaire et cardiaque, il n’existe pas d’anomalie en dehors de la tachycardie, qui est aussi la seule anomalie de l’ECG. Il existe un pli cutané franc. La radio de thorax est normale. Parmi les trop nombreux examens demandés, les résultats sont les suivants pour le prélèvement sanguin : Na 121 mmol/L K 3,7 mmol/L Cl 81 mmol/L Ca 95 mg/L Ph 20 mg/L CO3H- 12 mmol/L urée 0,65 g/L créat 14 mg/L albumine 43 g/L PaCO2 26 mmHg PaO2 90 mmHg pH 7,17 TGO 35 UI/L TGP 39 UI/L glycémie 4,9 g/L CPK 40 UI/L uricémie 101 mg/L amylase 70 UI/L bilirubine 18 mg/L INR 1,1 fibrinogène 4 g/L TCA 35s ( t 33) facteur V 100% Ht 49% GR 4,5 T/L Hb 155 g/L GB 1,8 G/L plaquettes 300 G/L Le tableau correspond à (une ou plusieurs réponses exactes) a. Une déshydratation intra-cellulaire b. Une déshydratation extra-cellulaire c. Une hyperhydratation globale d. Une hyperhydratation intra-cellulaire e. Une déshydratation globale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous calculez l’osmolarité plasmatique : quelle valeur obtenez vous ? a. 257 mOsm/L b. 262 mOsm/L c. 280 mOsm/L d. 301 mOsm/L e. 351 mOsm/L A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. osm = (Na x2) + (gly x 5,5) + (urée x 16,6). L’osmolarité calculée est de 280 mOsm/L. Compte tenu du tableau de cette patiente, l’hyponatrémie avec hypo-osmolarité est la conséquence d’une ou plusieurs des situations suivantes : a. Une fausse hyponatrémie par hyperglycémie b. Une pseudo-hyponatrémie par hyperprotidémie c. Une hyponatrémie avec déplétion d. Une hyponatrémie par pertes digestives e. Une sécrétion inappropriée d’ADH A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L’examen des urines vous apporte les éléments suivants : Na 2 mmol/L K 30 mmol/L Cl 30 mmol/L créatinine 400 mg/L Urée 22g/L pH 5,7 cristaux 0 nitrites 0 GR 0 GB + Sucre+ cétone Parmi les mesures thérapeutiques suivantes, laquelle(lesquelles) instaurez vous ? a. Remplissage vasculaire par sérum salé isotonique b. Réhydratation par sérum glucosé à 2,5% c. Objectif de correction natrémique en moins de 6 heures d. Mise en place d’une restriction hydro-sodée stricte e. Prescription d’un traitement anti-aldostérone A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Natriurèse effondrée et urée urinaire augmentée en faveur d'une origine prérénale de l'insuffisance rénale, par hypovolémie : donc remplissage vasculaire par SSI. Il n'est pas urgent de corriger la natrémie puisqu'il n'y a pas de signe de gravité neurologique. Pour ce qui concerne le déséquilibre acide-base de cette patiente, quelle(s) proposition(s) parmi les suivantes, vous parai(ssen)t exacte(s) ? a. C’est une acidose de jeûne b. Il y a une acidose métabolique c. Le trou anionique est élevé (> 20 mmol/L) d. L’acidose métabolique est pure e. Il y a eu perte digestive de bicarbonates A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pour cette patiente, parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) potentiellement à l’origine de son acidose métabolique ? a. Vomissements abondants b. Déshydratation extra-cellulaire c. Céto-acidose diabétique d. Défaillance hépatique e. Insuffisance rénale aiguë A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. A propos de l’insuffisance rénale de cette patiente, quelle(s) proposition(s) parmi les suivantes, vous parai(ssen)t exacte(s) ? : a. La FeNa (excrétion fractionnelle de Na) est inférieure à 0,1% b. La valeur de la natriurèse est en faveur d’une nécrose tubulaire c. L’urée urinaire élevée plaide pour une origine pré-rénale d. La clairance de la créatinine ne peut être calculée e. L’absence d’hématurie élimine la cause obstructive
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Une femme de 40 ans, sans aucun antécédent, arrive aux urgences pour une dyspnée croissante depuis deux jours. Elle semble apparue progressivement, ni liée à l’effort ni à la position, sans douleur thoracique associée mais avec une asthénie évidente. Elle vomit depuis 48 heures. Les paramètres d’entrée mesurés sont les suivants : PA : 90/65 mmHg FC : 108bpm FR : 31cpm SpO2 : 100% EVA dyspnée : 5/10 t° : 37°5 C GSC :15 Sur le plan abdominal existent une sensibilité épigastrique et une constipation majorée depuis une semaine ainsi qu’une nécessité de beaucoup devoir uriner, sans douleur à la palpation ni signe de gravité abdominale. A l’auscultation pulmonaire et cardiaque, il n’existe pas d’anomalie en dehors de la tachycardie, qui est aussi la seule anomalie de l’ECG. Il existe un pli cutané franc. La radio de thorax est normale. Parmi les trop nombreux examens demandés, les résultats sont les suivants pour le prélèvement sanguin : Na 121 mmol/L K 3,7 mmol/L Cl 81 mmol/L Ca 95 mg/L Ph 20 mg/L CO3H- 12 mmol/L urée 0,65 g/L créat 14 mg/L albumine 43 g/L PaCO2 26 mmHg PaO2 90 mmHg pH 7,17 TGO 35 UI/L TGP 39 UI/L glycémie 4,9 g/L CPK 40 UI/L uricémie 101 mg/L amylase 70 UI/L bilirubine 18 mg/L INR 1,1 fibrinogène 4 g/L TCA 35s ( t 33) facteur V 100% Ht 49% GR 4,5 T/L Hb 155 g/L GB 1,8 G/L plaquettes 300 G/L Le tableau correspond à (une ou plusieurs réponses exactes) a. Une déshydratation intra-cellulaire b. Une déshydratation extra-cellulaire c. Une hyperhydratation globale d. Une hyperhydratation intra-cellulaire e. Une déshydratation globale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous calculez l’osmolarité plasmatique : quelle valeur obtenez vous ? a. 257 mOsm/L b. 262 mOsm/L c. 280 mOsm/L d. 301 mOsm/L e. 351 mOsm/L A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. osm = (Na x2) + (gly x 5,5) + (urée x 16,6). L’osmolarité calculée est de 280 mOsm/L. Compte tenu du tableau de cette patiente, l’hyponatrémie avec hypo-osmolarité est la conséquence d’une ou plusieurs des situations suivantes : a. Une fausse hyponatrémie par hyperglycémie b. Une pseudo-hyponatrémie par hyperprotidémie c. Une hyponatrémie avec déplétion d. Une hyponatrémie par pertes digestives e. Une sécrétion inappropriée d’ADH A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L’examen des urines vous apporte les éléments suivants : Na 2 mmol/L K 30 mmol/L Cl 30 mmol/L créatinine 400 mg/L Urée 22g/L pH 5,7 cristaux 0 nitrites 0 GR 0 GB + Sucre+ cétone Parmi les mesures thérapeutiques suivantes, laquelle(lesquelles) instaurez vous ? a. Remplissage vasculaire par sérum salé isotonique b. Réhydratation par sérum glucosé à 2,5% c. Objectif de correction natrémique en moins de 6 heures d. Mise en place d’une restriction hydro-sodée stricte e. Prescription d’un traitement anti-aldostérone A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Natriurèse effondrée et urée urinaire augmentée en faveur d'une origine prérénale de l'insuffisance rénale, par hypovolémie : donc remplissage vasculaire par SSI. Il n'est pas urgent de corriger la natrémie puisqu'il n'y a pas de signe de gravité neurologique. Pour ce qui concerne le déséquilibre acide-base de cette patiente, quelle(s) proposition(s) parmi les suivantes, vous parai(ssen)t exacte(s) ? a. C’est une acidose de jeûne b. Il y a une acidose métabolique c. Le trou anionique est élevé (> 20 mmol/L) d. L’acidose métabolique est pure e. Il y a eu perte digestive de bicarbonates A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pour cette patiente, parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) potentiellement à l’origine de son acidose métabolique ? a. Vomissements abondants b. Déshydratation extra-cellulaire c. Céto-acidose diabétique d. Défaillance hépatique e. Insuffisance rénale aiguë A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. A propos de l’insuffisance rénale de cette patiente, quelle(s) proposition(s) parmi les suivantes, vous parai(ssen)t exacte(s) ? : a. La FeNa (excrétion fractionnelle de Na) est inférieure à 0,1% b. La valeur de la natriurèse est en faveur d’une nécrose tubulaire c. L’urée urinaire élevée plaide pour une origine pré-rénale d. La clairance de la créatinine ne peut être calculée e. L’absence d’hématurie élimine la cause obstructive A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pour prendre en charge cette céto-acidose diabétique, qu’allez vous mettre en place d’emblée, parmi les propositions suivantes ? a. Réhydratation par perfusion de 6000 ml de SSI sur 24h b. Insulinothérapie intraveineuse continue à 0,1 UI/kg/h c. Accélérer l’efficacité de l’insulinothérapie par des bolus d. Alcalinisation par sérum bicarbonaté à 1,4% e. Diurétique de l’anse pour relancer la diurèse
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. les bolus d'insuline dans cette situation sont à risque d'induire un oedème cérébral.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Une femme de 40 ans, sans aucun antécédent, arrive aux urgences pour une dyspnée croissante depuis deux jours. Elle semble apparue progressivement, ni liée à l’effort ni à la position, sans douleur thoracique associée mais avec une asthénie évidente. Elle vomit depuis 48 heures. Les paramètres d’entrée mesurés sont les suivants : PA : 90/65 mmHg FC : 108bpm FR : 31cpm SpO2 : 100% EVA dyspnée : 5/10 t° : 37°5 C GSC :15 Sur le plan abdominal existent une sensibilité épigastrique et une constipation majorée depuis une semaine ainsi qu’une nécessité de beaucoup devoir uriner, sans douleur à la palpation ni signe de gravité abdominale. A l’auscultation pulmonaire et cardiaque, il n’existe pas d’anomalie en dehors de la tachycardie, qui est aussi la seule anomalie de l’ECG. Il existe un pli cutané franc. La radio de thorax est normale. Parmi les trop nombreux examens demandés, les résultats sont les suivants pour le prélèvement sanguin : Na 121 mmol/L K 3,7 mmol/L Cl 81 mmol/L Ca 95 mg/L Ph 20 mg/L CO3H- 12 mmol/L urée 0,65 g/L créat 14 mg/L albumine 43 g/L PaCO2 26 mmHg PaO2 90 mmHg pH 7,17 TGO 35 UI/L TGP 39 UI/L glycémie 4,9 g/L CPK 40 UI/L uricémie 101 mg/L amylase 70 UI/L bilirubine 18 mg/L INR 1,1 fibrinogène 4 g/L TCA 35s ( t 33) facteur V 100% Ht 49% GR 4,5 T/L Hb 155 g/L GB 1,8 G/L plaquettes 300 G/L Le tableau correspond à (une ou plusieurs réponses exactes) a. Une déshydratation intra-cellulaire b. Une déshydratation extra-cellulaire c. Une hyperhydratation globale d. Une hyperhydratation intra-cellulaire e. Une déshydratation globale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous calculez l’osmolarité plasmatique : quelle valeur obtenez vous ? a. 257 mOsm/L b. 262 mOsm/L c. 280 mOsm/L d. 301 mOsm/L e. 351 mOsm/L A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. osm = (Na x2) + (gly x 5,5) + (urée x 16,6). L’osmolarité calculée est de 280 mOsm/L. Compte tenu du tableau de cette patiente, l’hyponatrémie avec hypo-osmolarité est la conséquence d’une ou plusieurs des situations suivantes : a. Une fausse hyponatrémie par hyperglycémie b. Une pseudo-hyponatrémie par hyperprotidémie c. Une hyponatrémie avec déplétion d. Une hyponatrémie par pertes digestives e. Une sécrétion inappropriée d’ADH A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L’examen des urines vous apporte les éléments suivants : Na 2 mmol/L K 30 mmol/L Cl 30 mmol/L créatinine 400 mg/L Urée 22g/L pH 5,7 cristaux 0 nitrites 0 GR 0 GB + Sucre+ cétone Parmi les mesures thérapeutiques suivantes, laquelle(lesquelles) instaurez vous ? a. Remplissage vasculaire par sérum salé isotonique b. Réhydratation par sérum glucosé à 2,5% c. Objectif de correction natrémique en moins de 6 heures d. Mise en place d’une restriction hydro-sodée stricte e. Prescription d’un traitement anti-aldostérone A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Natriurèse effondrée et urée urinaire augmentée en faveur d'une origine prérénale de l'insuffisance rénale, par hypovolémie : donc remplissage vasculaire par SSI. Il n'est pas urgent de corriger la natrémie puisqu'il n'y a pas de signe de gravité neurologique. Pour ce qui concerne le déséquilibre acide-base de cette patiente, quelle(s) proposition(s) parmi les suivantes, vous parai(ssen)t exacte(s) ? a. C’est une acidose de jeûne b. Il y a une acidose métabolique c. Le trou anionique est élevé (> 20 mmol/L) d. L’acidose métabolique est pure e. Il y a eu perte digestive de bicarbonates A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pour cette patiente, parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) potentiellement à l’origine de son acidose métabolique ? a. Vomissements abondants b. Déshydratation extra-cellulaire c. Céto-acidose diabétique d. Défaillance hépatique e. Insuffisance rénale aiguë A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. A propos de l’insuffisance rénale de cette patiente, quelle(s) proposition(s) parmi les suivantes, vous parai(ssen)t exacte(s) ? : a. La FeNa (excrétion fractionnelle de Na) est inférieure à 0,1% b. La valeur de la natriurèse est en faveur d’une nécrose tubulaire c. L’urée urinaire élevée plaide pour une origine pré-rénale d. La clairance de la créatinine ne peut être calculée e. L’absence d’hématurie élimine la cause obstructive A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pour prendre en charge cette céto-acidose diabétique, qu’allez vous mettre en place d’emblée, parmi les propositions suivantes ? a. Réhydratation par perfusion de 6000 ml de SSI sur 24h b. Insulinothérapie intraveineuse continue à 0,1 UI/kg/h c. Accélérer l’efficacité de l’insulinothérapie par des bolus d. Alcalinisation par sérum bicarbonaté à 1,4% e. Diurétique de l’anse pour relancer la diurèse A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. les bolus d'insuline dans cette situation sont à risque d'induire un oedème cérébral. Au cours du traitement correctif de cette céto-acidose, à quel(s) élément(s) allez vous devoir prêter particulièrement attention ? a. Risque d’hyperkaliémie b. Risque d’hypophosphorémie c. Vitesse de disparition de la cétonurie d. Risque d’hypoxémie et d’hypocapnie e. Vitesse de correction de l’osmolalité urinaire
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Patient de 53 ans aux antécédents d’hépatite C traitée et considérée guérie, d’exogénose, de tabagisme à 30 PA. Il consulte son médecin traitant pour une asthénie sans amaigrissement. L’examen retrouve un poids de 75 kg pour 1,80m, tension artérielle normale, SpO2 92%, l’absence d’anomalie de l’appareil cardio respiratoire. Examen abdominal sans particularité. Le bilan biologique réalisé par le médecin traitant retrouve : NFS : GB 6,7 G/L, dont PNN 4,08 G/L, Ly 1,51 G/L, Hb 203 g/L, Hématocrite 61,1%, VGM 101 fl. Plq 251 G/L. Face à cette polyglobulie biologique, citer le(les) élément(s) clé(s) à rechercher à l’interrogatoire ? a. Céphalées b. Prurit aquagénique c. Un épisode thrombo-embolique récent d. Des signes fonctionnels urinaires e. Arythmie cardiaque
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Patient de 53 ans aux antécédents d’hépatite C traitée et considérée guérie, d’exogénose, de tabagisme à 30 PA. Il consulte son médecin traitant pour une asthénie sans amaigrissement. L’examen retrouve un poids de 75 kg pour 1,80m, tension artérielle normale, SpO2 92%, l’absence d’anomalie de l’appareil cardio respiratoire. Examen abdominal sans particularité. Le bilan biologique réalisé par le médecin traitant retrouve : NFS : GB 6,7 G/L, dont PNN 4,08 G/L, Ly 1,51 G/L, Hb 203 g/L, Hématocrite 61,1%, VGM 101 fl. Plq 251 G/L. Face à cette polyglobulie biologique, citer le(les) élément(s) clé(s) à rechercher à l’interrogatoire ? a. Céphalées b. Prurit aquagénique c. Un épisode thrombo-embolique récent d. Des signes fonctionnels urinaires e. Arythmie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Aucun des signes recherchés n’est retrouvé. Parmi les examens suivants, lequel l(esquels) réalisez-vous pour explorer cette polyglobulie sur le plan étiologique ? a. Créatininémie b. Echographie abdominopelvienne c. Gaz du sang artériel d. Recherche d’une mutation JAK2 V617F e. Protéinurie des 24h
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Patient de 53 ans aux antécédents d’hépatite C traitée et considérée guérie, d’exogénose, de tabagisme à 30 PA. Il consulte son médecin traitant pour une asthénie sans amaigrissement. L’examen retrouve un poids de 75 kg pour 1,80m, tension artérielle normale, SpO2 92%, l’absence d’anomalie de l’appareil cardio respiratoire. Examen abdominal sans particularité. Le bilan biologique réalisé par le médecin traitant retrouve : NFS : GB 6,7 G/L, dont PNN 4,08 G/L, Ly 1,51 G/L, Hb 203 g/L, Hématocrite 61,1%, VGM 101 fl. Plq 251 G/L. Face à cette polyglobulie biologique, citer le(les) élément(s) clé(s) à rechercher à l’interrogatoire ? a. Céphalées b. Prurit aquagénique c. Un épisode thrombo-embolique récent d. Des signes fonctionnels urinaires e. Arythmie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Aucun des signes recherchés n’est retrouvé. Parmi les examens suivants, lequel l(esquels) réalisez-vous pour explorer cette polyglobulie sur le plan étiologique ? a. Créatininémie b. Echographie abdominopelvienne c. Gaz du sang artériel d. Recherche d’une mutation JAK2 V617F e. Protéinurie des 24h A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La recherche de la mutation JAK2 V617F est négative, vous ne notez pas d’hypoxémie, et l’échographie hépatique retrouve des lésions nodulaires hépatiques suspectes au sein d’un foie dysmorphique. Vous suspectez une polyglobulie vraie secondaire. Parmi les propositions suivantes, citer celle(s) attendue(s) chez ce patient ? a. Dosage de l’EPO diminué b. Dosage de l’EPO augmenté c. Volume plasmatique augmenté d. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 100% e. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 150%
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Patient de 53 ans aux antécédents d’hépatite C traitée et considérée guérie, d’exogénose, de tabagisme à 30 PA. Il consulte son médecin traitant pour une asthénie sans amaigrissement. L’examen retrouve un poids de 75 kg pour 1,80m, tension artérielle normale, SpO2 92%, l’absence d’anomalie de l’appareil cardio respiratoire. Examen abdominal sans particularité. Le bilan biologique réalisé par le médecin traitant retrouve : NFS : GB 6,7 G/L, dont PNN 4,08 G/L, Ly 1,51 G/L, Hb 203 g/L, Hématocrite 61,1%, VGM 101 fl. Plq 251 G/L. Face à cette polyglobulie biologique, citer le(les) élément(s) clé(s) à rechercher à l’interrogatoire ? a. Céphalées b. Prurit aquagénique c. Un épisode thrombo-embolique récent d. Des signes fonctionnels urinaires e. Arythmie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Aucun des signes recherchés n’est retrouvé. Parmi les examens suivants, lequel l(esquels) réalisez-vous pour explorer cette polyglobulie sur le plan étiologique ? a. Créatininémie b. Echographie abdominopelvienne c. Gaz du sang artériel d. Recherche d’une mutation JAK2 V617F e. Protéinurie des 24h A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La recherche de la mutation JAK2 V617F est négative, vous ne notez pas d’hypoxémie, et l’échographie hépatique retrouve des lésions nodulaires hépatiques suspectes au sein d’un foie dysmorphique. Vous suspectez une polyglobulie vraie secondaire. Parmi les propositions suivantes, citer celle(s) attendue(s) chez ce patient ? a. Dosage de l’EPO diminué b. Dosage de l’EPO augmenté c. Volume plasmatique augmenté d. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 100% e. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 150% A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan complet réalisé chez ce patient retrouve une augmentation de l’EPO, et une biopsie hépatique confirme l’hypothèse d’un carcinome hépato cellulaire (CHC), sur foie cirrhotique, restreint à une zone limitée du foie gauche. Le patient bénéficie d’un traitement par radiofréquence permettant un contrôle de son CHC. A 3 mois du suivi, vous le voyez en consultation et observez sur son bilan les résultats suivants : NFS : GB 9,1 G/L, PNN 5,6 G/L, Ly 2,4 G/L, Hb 101 g/L, VGM 77 fl, Plq 432 G/L. Vous décidez d’explorer cette anémie. Quel(s) examen(s) demandez-vous parmi les suivants ? a. Réticulocytes b. Fer sérique seul c. CRP d. EPO e. Ferritine
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Patient de 53 ans aux antécédents d’hépatite C traitée et considérée guérie, d’exogénose, de tabagisme à 30 PA. Il consulte son médecin traitant pour une asthénie sans amaigrissement. L’examen retrouve un poids de 75 kg pour 1,80m, tension artérielle normale, SpO2 92%, l’absence d’anomalie de l’appareil cardio respiratoire. Examen abdominal sans particularité. Le bilan biologique réalisé par le médecin traitant retrouve : NFS : GB 6,7 G/L, dont PNN 4,08 G/L, Ly 1,51 G/L, Hb 203 g/L, Hématocrite 61,1%, VGM 101 fl. Plq 251 G/L. Face à cette polyglobulie biologique, citer le(les) élément(s) clé(s) à rechercher à l’interrogatoire ? a. Céphalées b. Prurit aquagénique c. Un épisode thrombo-embolique récent d. Des signes fonctionnels urinaires e. Arythmie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Aucun des signes recherchés n’est retrouvé. Parmi les examens suivants, lequel l(esquels) réalisez-vous pour explorer cette polyglobulie sur le plan étiologique ? a. Créatininémie b. Echographie abdominopelvienne c. Gaz du sang artériel d. Recherche d’une mutation JAK2 V617F e. Protéinurie des 24h A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La recherche de la mutation JAK2 V617F est négative, vous ne notez pas d’hypoxémie, et l’échographie hépatique retrouve des lésions nodulaires hépatiques suspectes au sein d’un foie dysmorphique. Vous suspectez une polyglobulie vraie secondaire. Parmi les propositions suivantes, citer celle(s) attendue(s) chez ce patient ? a. Dosage de l’EPO diminué b. Dosage de l’EPO augmenté c. Volume plasmatique augmenté d. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 100% e. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 150% A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan complet réalisé chez ce patient retrouve une augmentation de l’EPO, et une biopsie hépatique confirme l’hypothèse d’un carcinome hépato cellulaire (CHC), sur foie cirrhotique, restreint à une zone limitée du foie gauche. Le patient bénéficie d’un traitement par radiofréquence permettant un contrôle de son CHC. A 3 mois du suivi, vous le voyez en consultation et observez sur son bilan les résultats suivants : NFS : GB 9,1 G/L, PNN 5,6 G/L, Ly 2,4 G/L, Hb 101 g/L, VGM 77 fl, Plq 432 G/L. Vous décidez d’explorer cette anémie. Quel(s) examen(s) demandez-vous parmi les suivants ? a. Réticulocytes b. Fer sérique seul c. CRP d. EPO e. Ferritine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan réalisé retrouve une CRP normale et une ferritine effondrée. Vous concluez à une anémie par carence martiale. Parmi les causes suivantes, citer celle(s) pouvant expliquer l’anémie chez ce patient ? a. Gastropathie d’hypertension portale b. Ulcère gastro-duodénal c. Fibrome utérin d. Polype colique e. Adénocarcinome colique
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Patient de 53 ans aux antécédents d’hépatite C traitée et considérée guérie, d’exogénose, de tabagisme à 30 PA. Il consulte son médecin traitant pour une asthénie sans amaigrissement. L’examen retrouve un poids de 75 kg pour 1,80m, tension artérielle normale, SpO2 92%, l’absence d’anomalie de l’appareil cardio respiratoire. Examen abdominal sans particularité. Le bilan biologique réalisé par le médecin traitant retrouve : NFS : GB 6,7 G/L, dont PNN 4,08 G/L, Ly 1,51 G/L, Hb 203 g/L, Hématocrite 61,1%, VGM 101 fl. Plq 251 G/L. Face à cette polyglobulie biologique, citer le(les) élément(s) clé(s) à rechercher à l’interrogatoire ? a. Céphalées b. Prurit aquagénique c. Un épisode thrombo-embolique récent d. Des signes fonctionnels urinaires e. Arythmie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Aucun des signes recherchés n’est retrouvé. Parmi les examens suivants, lequel l(esquels) réalisez-vous pour explorer cette polyglobulie sur le plan étiologique ? a. Créatininémie b. Echographie abdominopelvienne c. Gaz du sang artériel d. Recherche d’une mutation JAK2 V617F e. Protéinurie des 24h A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La recherche de la mutation JAK2 V617F est négative, vous ne notez pas d’hypoxémie, et l’échographie hépatique retrouve des lésions nodulaires hépatiques suspectes au sein d’un foie dysmorphique. Vous suspectez une polyglobulie vraie secondaire. Parmi les propositions suivantes, citer celle(s) attendue(s) chez ce patient ? a. Dosage de l’EPO diminué b. Dosage de l’EPO augmenté c. Volume plasmatique augmenté d. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 100% e. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 150% A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan complet réalisé chez ce patient retrouve une augmentation de l’EPO, et une biopsie hépatique confirme l’hypothèse d’un carcinome hépato cellulaire (CHC), sur foie cirrhotique, restreint à une zone limitée du foie gauche. Le patient bénéficie d’un traitement par radiofréquence permettant un contrôle de son CHC. A 3 mois du suivi, vous le voyez en consultation et observez sur son bilan les résultats suivants : NFS : GB 9,1 G/L, PNN 5,6 G/L, Ly 2,4 G/L, Hb 101 g/L, VGM 77 fl, Plq 432 G/L. Vous décidez d’explorer cette anémie. Quel(s) examen(s) demandez-vous parmi les suivants ? a. Réticulocytes b. Fer sérique seul c. CRP d. EPO e. Ferritine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan réalisé retrouve une CRP normale et une ferritine effondrée. Vous concluez à une anémie par carence martiale. Parmi les causes suivantes, citer celle(s) pouvant expliquer l’anémie chez ce patient ? a. Gastropathie d’hypertension portale b. Ulcère gastro-duodénal c. Fibrome utérin d. Polype colique e. Adénocarcinome colique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre bilan retrouve un polype ulcéré du colon droit sans élément de malignité bénéficiant d’une résection par mucosectomie. Vous suivez le patient régulièrement et le voyez 10 ans plus tard, guéri de son CHC mais inquiet par les résultats de son dernier hémogramme : NFS GB 5,2 G/L, PNN 3,1 G/L, Ly 1,5 G/L, Mono 0,6 G/L, Hb 92 g/L, VGM 108 fl, reticulocytes 23 G/L, Plq 164 G/L. Parmi les étiologies suivantes, citer celle(s) expliquer les anomalies observées à l’hémogramme ? a. Carence martiale b. Carence en vit C c. Syndrome myélodysplasique d. Carence en B9 ou B12 e. Insuffisance rénale chronique
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Patient de 53 ans aux antécédents d’hépatite C traitée et considérée guérie, d’exogénose, de tabagisme à 30 PA. Il consulte son médecin traitant pour une asthénie sans amaigrissement. L’examen retrouve un poids de 75 kg pour 1,80m, tension artérielle normale, SpO2 92%, l’absence d’anomalie de l’appareil cardio respiratoire. Examen abdominal sans particularité. Le bilan biologique réalisé par le médecin traitant retrouve : NFS : GB 6,7 G/L, dont PNN 4,08 G/L, Ly 1,51 G/L, Hb 203 g/L, Hématocrite 61,1%, VGM 101 fl. Plq 251 G/L. Face à cette polyglobulie biologique, citer le(les) élément(s) clé(s) à rechercher à l’interrogatoire ? a. Céphalées b. Prurit aquagénique c. Un épisode thrombo-embolique récent d. Des signes fonctionnels urinaires e. Arythmie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Aucun des signes recherchés n’est retrouvé. Parmi les examens suivants, lequel l(esquels) réalisez-vous pour explorer cette polyglobulie sur le plan étiologique ? a. Créatininémie b. Echographie abdominopelvienne c. Gaz du sang artériel d. Recherche d’une mutation JAK2 V617F e. Protéinurie des 24h A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La recherche de la mutation JAK2 V617F est négative, vous ne notez pas d’hypoxémie, et l’échographie hépatique retrouve des lésions nodulaires hépatiques suspectes au sein d’un foie dysmorphique. Vous suspectez une polyglobulie vraie secondaire. Parmi les propositions suivantes, citer celle(s) attendue(s) chez ce patient ? a. Dosage de l’EPO diminué b. Dosage de l’EPO augmenté c. Volume plasmatique augmenté d. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 100% e. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 150% A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan complet réalisé chez ce patient retrouve une augmentation de l’EPO, et une biopsie hépatique confirme l’hypothèse d’un carcinome hépato cellulaire (CHC), sur foie cirrhotique, restreint à une zone limitée du foie gauche. Le patient bénéficie d’un traitement par radiofréquence permettant un contrôle de son CHC. A 3 mois du suivi, vous le voyez en consultation et observez sur son bilan les résultats suivants : NFS : GB 9,1 G/L, PNN 5,6 G/L, Ly 2,4 G/L, Hb 101 g/L, VGM 77 fl, Plq 432 G/L. Vous décidez d’explorer cette anémie. Quel(s) examen(s) demandez-vous parmi les suivants ? a. Réticulocytes b. Fer sérique seul c. CRP d. EPO e. Ferritine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan réalisé retrouve une CRP normale et une ferritine effondrée. Vous concluez à une anémie par carence martiale. Parmi les causes suivantes, citer celle(s) pouvant expliquer l’anémie chez ce patient ? a. Gastropathie d’hypertension portale b. Ulcère gastro-duodénal c. Fibrome utérin d. Polype colique e. Adénocarcinome colique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre bilan retrouve un polype ulcéré du colon droit sans élément de malignité bénéficiant d’une résection par mucosectomie. Vous suivez le patient régulièrement et le voyez 10 ans plus tard, guéri de son CHC mais inquiet par les résultats de son dernier hémogramme : NFS GB 5,2 G/L, PNN 3,1 G/L, Ly 1,5 G/L, Mono 0,6 G/L, Hb 92 g/L, VGM 108 fl, reticulocytes 23 G/L, Plq 164 G/L. Parmi les étiologies suivantes, citer celle(s) expliquer les anomalies observées à l’hémogramme ? a. Carence martiale b. Carence en vit C c. Syndrome myélodysplasique d. Carence en B9 ou B12 e. Insuffisance rénale chronique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous avez exclu toute carence, et vous devez donc compléter le bilan de cette anémie. Quel(s) examen(s) réalisez-vous ? a. LDH b. Myélogramme c. Coloration de Perls sur frottis médullaire d. Cytogénétique constitutionnelle sur moelle e. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il ne s'agit pas de la cytogénétique constitutionnelle, car il s'agit d'anomalie(s) acquise(s).
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Patient de 53 ans aux antécédents d’hépatite C traitée et considérée guérie, d’exogénose, de tabagisme à 30 PA. Il consulte son médecin traitant pour une asthénie sans amaigrissement. L’examen retrouve un poids de 75 kg pour 1,80m, tension artérielle normale, SpO2 92%, l’absence d’anomalie de l’appareil cardio respiratoire. Examen abdominal sans particularité. Le bilan biologique réalisé par le médecin traitant retrouve : NFS : GB 6,7 G/L, dont PNN 4,08 G/L, Ly 1,51 G/L, Hb 203 g/L, Hématocrite 61,1%, VGM 101 fl. Plq 251 G/L. Face à cette polyglobulie biologique, citer le(les) élément(s) clé(s) à rechercher à l’interrogatoire ? a. Céphalées b. Prurit aquagénique c. Un épisode thrombo-embolique récent d. Des signes fonctionnels urinaires e. Arythmie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Aucun des signes recherchés n’est retrouvé. Parmi les examens suivants, lequel l(esquels) réalisez-vous pour explorer cette polyglobulie sur le plan étiologique ? a. Créatininémie b. Echographie abdominopelvienne c. Gaz du sang artériel d. Recherche d’une mutation JAK2 V617F e. Protéinurie des 24h A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La recherche de la mutation JAK2 V617F est négative, vous ne notez pas d’hypoxémie, et l’échographie hépatique retrouve des lésions nodulaires hépatiques suspectes au sein d’un foie dysmorphique. Vous suspectez une polyglobulie vraie secondaire. Parmi les propositions suivantes, citer celle(s) attendue(s) chez ce patient ? a. Dosage de l’EPO diminué b. Dosage de l’EPO augmenté c. Volume plasmatique augmenté d. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 100% e. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 150% A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan complet réalisé chez ce patient retrouve une augmentation de l’EPO, et une biopsie hépatique confirme l’hypothèse d’un carcinome hépato cellulaire (CHC), sur foie cirrhotique, restreint à une zone limitée du foie gauche. Le patient bénéficie d’un traitement par radiofréquence permettant un contrôle de son CHC. A 3 mois du suivi, vous le voyez en consultation et observez sur son bilan les résultats suivants : NFS : GB 9,1 G/L, PNN 5,6 G/L, Ly 2,4 G/L, Hb 101 g/L, VGM 77 fl, Plq 432 G/L. Vous décidez d’explorer cette anémie. Quel(s) examen(s) demandez-vous parmi les suivants ? a. Réticulocytes b. Fer sérique seul c. CRP d. EPO e. Ferritine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan réalisé retrouve une CRP normale et une ferritine effondrée. Vous concluez à une anémie par carence martiale. Parmi les causes suivantes, citer celle(s) pouvant expliquer l’anémie chez ce patient ? a. Gastropathie d’hypertension portale b. Ulcère gastro-duodénal c. Fibrome utérin d. Polype colique e. Adénocarcinome colique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre bilan retrouve un polype ulcéré du colon droit sans élément de malignité bénéficiant d’une résection par mucosectomie. Vous suivez le patient régulièrement et le voyez 10 ans plus tard, guéri de son CHC mais inquiet par les résultats de son dernier hémogramme : NFS GB 5,2 G/L, PNN 3,1 G/L, Ly 1,5 G/L, Mono 0,6 G/L, Hb 92 g/L, VGM 108 fl, reticulocytes 23 G/L, Plq 164 G/L. Parmi les étiologies suivantes, citer celle(s) expliquer les anomalies observées à l’hémogramme ? a. Carence martiale b. Carence en vit C c. Syndrome myélodysplasique d. Carence en B9 ou B12 e. Insuffisance rénale chronique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous avez exclu toute carence, et vous devez donc compléter le bilan de cette anémie. Quel(s) examen(s) réalisez-vous ? a. LDH b. Myélogramme c. Coloration de Perls sur frottis médullaire d. Cytogénétique constitutionnelle sur moelle e. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il ne s'agit pas de la cytogénétique constitutionnelle, car il s'agit d'anomalie(s) acquise(s). Votre myélogramme retrouve la présence de 6% de de blastes et une dysérythropoïèse marquée au sein d’une moelle de richesse augmentée. L’étude du caryotype médullaire est normale. Citer le(les) élément(s) nécessaire(s) à la prise en charge du patient ? a. Ferritinémie b. RAI c. Double détermination ABO avec phénotypage étendu d. Calcul du score IPSS e. Dosage de l’EPO
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les RAI ne sont pas indiquées car il n'y a pas d'indication transfusionnelle ici (Hb > 9 g/dl).
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Patient de 53 ans aux antécédents d’hépatite C traitée et considérée guérie, d’exogénose, de tabagisme à 30 PA. Il consulte son médecin traitant pour une asthénie sans amaigrissement. L’examen retrouve un poids de 75 kg pour 1,80m, tension artérielle normale, SpO2 92%, l’absence d’anomalie de l’appareil cardio respiratoire. Examen abdominal sans particularité. Le bilan biologique réalisé par le médecin traitant retrouve : NFS : GB 6,7 G/L, dont PNN 4,08 G/L, Ly 1,51 G/L, Hb 203 g/L, Hématocrite 61,1%, VGM 101 fl. Plq 251 G/L. Face à cette polyglobulie biologique, citer le(les) élément(s) clé(s) à rechercher à l’interrogatoire ? a. Céphalées b. Prurit aquagénique c. Un épisode thrombo-embolique récent d. Des signes fonctionnels urinaires e. Arythmie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Aucun des signes recherchés n’est retrouvé. Parmi les examens suivants, lequel l(esquels) réalisez-vous pour explorer cette polyglobulie sur le plan étiologique ? a. Créatininémie b. Echographie abdominopelvienne c. Gaz du sang artériel d. Recherche d’une mutation JAK2 V617F e. Protéinurie des 24h A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La recherche de la mutation JAK2 V617F est négative, vous ne notez pas d’hypoxémie, et l’échographie hépatique retrouve des lésions nodulaires hépatiques suspectes au sein d’un foie dysmorphique. Vous suspectez une polyglobulie vraie secondaire. Parmi les propositions suivantes, citer celle(s) attendue(s) chez ce patient ? a. Dosage de l’EPO diminué b. Dosage de l’EPO augmenté c. Volume plasmatique augmenté d. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 100% e. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 150% A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan complet réalisé chez ce patient retrouve une augmentation de l’EPO, et une biopsie hépatique confirme l’hypothèse d’un carcinome hépato cellulaire (CHC), sur foie cirrhotique, restreint à une zone limitée du foie gauche. Le patient bénéficie d’un traitement par radiofréquence permettant un contrôle de son CHC. A 3 mois du suivi, vous le voyez en consultation et observez sur son bilan les résultats suivants : NFS : GB 9,1 G/L, PNN 5,6 G/L, Ly 2,4 G/L, Hb 101 g/L, VGM 77 fl, Plq 432 G/L. Vous décidez d’explorer cette anémie. Quel(s) examen(s) demandez-vous parmi les suivants ? a. Réticulocytes b. Fer sérique seul c. CRP d. EPO e. Ferritine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan réalisé retrouve une CRP normale et une ferritine effondrée. Vous concluez à une anémie par carence martiale. Parmi les causes suivantes, citer celle(s) pouvant expliquer l’anémie chez ce patient ? a. Gastropathie d’hypertension portale b. Ulcère gastro-duodénal c. Fibrome utérin d. Polype colique e. Adénocarcinome colique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre bilan retrouve un polype ulcéré du colon droit sans élément de malignité bénéficiant d’une résection par mucosectomie. Vous suivez le patient régulièrement et le voyez 10 ans plus tard, guéri de son CHC mais inquiet par les résultats de son dernier hémogramme : NFS GB 5,2 G/L, PNN 3,1 G/L, Ly 1,5 G/L, Mono 0,6 G/L, Hb 92 g/L, VGM 108 fl, reticulocytes 23 G/L, Plq 164 G/L. Parmi les étiologies suivantes, citer celle(s) expliquer les anomalies observées à l’hémogramme ? a. Carence martiale b. Carence en vit C c. Syndrome myélodysplasique d. Carence en B9 ou B12 e. Insuffisance rénale chronique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous avez exclu toute carence, et vous devez donc compléter le bilan de cette anémie. Quel(s) examen(s) réalisez-vous ? a. LDH b. Myélogramme c. Coloration de Perls sur frottis médullaire d. Cytogénétique constitutionnelle sur moelle e. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il ne s'agit pas de la cytogénétique constitutionnelle, car il s'agit d'anomalie(s) acquise(s). Votre myélogramme retrouve la présence de 6% de de blastes et une dysérythropoïèse marquée au sein d’une moelle de richesse augmentée. L’étude du caryotype médullaire est normale. Citer le(les) élément(s) nécessaire(s) à la prise en charge du patient ? a. Ferritinémie b. RAI c. Double détermination ABO avec phénotypage étendu d. Calcul du score IPSS e. Dosage de l’EPO A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les RAI ne sont pas indiquées car il n'y a pas d'indication transfusionnelle ici (Hb > 9 g/dl). Son médecin vous contacte en urgence, 6 mois plus tard, pour l’apparition d’une thrombopénie à 45 G/L sans syndrome hémorragique clinique, ni fièvre. L’hémogramme précédent réalisé 2 semaines auparavant retrouvait pourtant un taux de plaquettes normal. Il vous explique que le patient s’est fait opérer de la hanche il y a 10 jours et reçoit un traitement par Enoxaparine 0,4 ml/j. Vous suspectez une Thromboépénie Induite à l’Héparine. citer le(les) élément(s) en faveur de ce diagnostic ? a. Thrombopénie associée à une anémie b. Thrombopénie brutale c. Traitement par HBPM d. Myélodysplasie sous-jacente e. Intervalle de 10 jours entre le début de l’Enoxaparine et la thrombopénie
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Patient de 53 ans aux antécédents d’hépatite C traitée et considérée guérie, d’exogénose, de tabagisme à 30 PA. Il consulte son médecin traitant pour une asthénie sans amaigrissement. L’examen retrouve un poids de 75 kg pour 1,80m, tension artérielle normale, SpO2 92%, l’absence d’anomalie de l’appareil cardio respiratoire. Examen abdominal sans particularité. Le bilan biologique réalisé par le médecin traitant retrouve : NFS : GB 6,7 G/L, dont PNN 4,08 G/L, Ly 1,51 G/L, Hb 203 g/L, Hématocrite 61,1%, VGM 101 fl. Plq 251 G/L. Face à cette polyglobulie biologique, citer le(les) élément(s) clé(s) à rechercher à l’interrogatoire ? a. Céphalées b. Prurit aquagénique c. Un épisode thrombo-embolique récent d. Des signes fonctionnels urinaires e. Arythmie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Aucun des signes recherchés n’est retrouvé. Parmi les examens suivants, lequel l(esquels) réalisez-vous pour explorer cette polyglobulie sur le plan étiologique ? a. Créatininémie b. Echographie abdominopelvienne c. Gaz du sang artériel d. Recherche d’une mutation JAK2 V617F e. Protéinurie des 24h A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La recherche de la mutation JAK2 V617F est négative, vous ne notez pas d’hypoxémie, et l’échographie hépatique retrouve des lésions nodulaires hépatiques suspectes au sein d’un foie dysmorphique. Vous suspectez une polyglobulie vraie secondaire. Parmi les propositions suivantes, citer celle(s) attendue(s) chez ce patient ? a. Dosage de l’EPO diminué b. Dosage de l’EPO augmenté c. Volume plasmatique augmenté d. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 100% e. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 150% A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan complet réalisé chez ce patient retrouve une augmentation de l’EPO, et une biopsie hépatique confirme l’hypothèse d’un carcinome hépato cellulaire (CHC), sur foie cirrhotique, restreint à une zone limitée du foie gauche. Le patient bénéficie d’un traitement par radiofréquence permettant un contrôle de son CHC. A 3 mois du suivi, vous le voyez en consultation et observez sur son bilan les résultats suivants : NFS : GB 9,1 G/L, PNN 5,6 G/L, Ly 2,4 G/L, Hb 101 g/L, VGM 77 fl, Plq 432 G/L. Vous décidez d’explorer cette anémie. Quel(s) examen(s) demandez-vous parmi les suivants ? a. Réticulocytes b. Fer sérique seul c. CRP d. EPO e. Ferritine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan réalisé retrouve une CRP normale et une ferritine effondrée. Vous concluez à une anémie par carence martiale. Parmi les causes suivantes, citer celle(s) pouvant expliquer l’anémie chez ce patient ? a. Gastropathie d’hypertension portale b. Ulcère gastro-duodénal c. Fibrome utérin d. Polype colique e. Adénocarcinome colique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre bilan retrouve un polype ulcéré du colon droit sans élément de malignité bénéficiant d’une résection par mucosectomie. Vous suivez le patient régulièrement et le voyez 10 ans plus tard, guéri de son CHC mais inquiet par les résultats de son dernier hémogramme : NFS GB 5,2 G/L, PNN 3,1 G/L, Ly 1,5 G/L, Mono 0,6 G/L, Hb 92 g/L, VGM 108 fl, reticulocytes 23 G/L, Plq 164 G/L. Parmi les étiologies suivantes, citer celle(s) expliquer les anomalies observées à l’hémogramme ? a. Carence martiale b. Carence en vit C c. Syndrome myélodysplasique d. Carence en B9 ou B12 e. Insuffisance rénale chronique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous avez exclu toute carence, et vous devez donc compléter le bilan de cette anémie. Quel(s) examen(s) réalisez-vous ? a. LDH b. Myélogramme c. Coloration de Perls sur frottis médullaire d. Cytogénétique constitutionnelle sur moelle e. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il ne s'agit pas de la cytogénétique constitutionnelle, car il s'agit d'anomalie(s) acquise(s). Votre myélogramme retrouve la présence de 6% de de blastes et une dysérythropoïèse marquée au sein d’une moelle de richesse augmentée. L’étude du caryotype médullaire est normale. Citer le(les) élément(s) nécessaire(s) à la prise en charge du patient ? a. Ferritinémie b. RAI c. Double détermination ABO avec phénotypage étendu d. Calcul du score IPSS e. Dosage de l’EPO A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les RAI ne sont pas indiquées car il n'y a pas d'indication transfusionnelle ici (Hb > 9 g/dl). Son médecin vous contacte en urgence, 6 mois plus tard, pour l’apparition d’une thrombopénie à 45 G/L sans syndrome hémorragique clinique, ni fièvre. L’hémogramme précédent réalisé 2 semaines auparavant retrouvait pourtant un taux de plaquettes normal. Il vous explique que le patient s’est fait opérer de la hanche il y a 10 jours et reçoit un traitement par Enoxaparine 0,4 ml/j. Vous suspectez une Thromboépénie Induite à l’Héparine. citer le(les) élément(s) en faveur de ce diagnostic ? a. Thrombopénie associée à une anémie b. Thrombopénie brutale c. Traitement par HBPM d. Myélodysplasie sous-jacente e. Intervalle de 10 jours entre le début de l’Enoxaparine et la thrombopénie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. 4 ans plus tard, il est admis aux urgences pour asthénie, syndrome hémorragique cutanéo-muqueux, ralentissement idéo-moteur. L’examen retrouve une hémodynamique conservée, une SpO2 à 90%, et une température à 38,7°C. Le bilan sanguin réalisé retrouve : NFS GB 123 G/L, PNN 0,3 G/L, Ly 0,7 G/L, 95% de cellules anormales, Hb 97 g/L, Plq 12 G/L. Biochimie : créatinine 230 umol/l, kaliémie 6 mmol/l, calcémie 1,8 mmol/L, phosphorémie 3,1 mmol/l. Citer le(les) élément(s) à recherchez à l’examen ? a. Polypnée b. Anesthésie de la houppe du menton c. Hépatosplénomégalie d. Point d’appel infectieux e. Globe vésical
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, F: Choix correct.
Patient de 53 ans aux antécédents d’hépatite C traitée et considérée guérie, d’exogénose, de tabagisme à 30 PA. Il consulte son médecin traitant pour une asthénie sans amaigrissement. L’examen retrouve un poids de 75 kg pour 1,80m, tension artérielle normale, SpO2 92%, l’absence d’anomalie de l’appareil cardio respiratoire. Examen abdominal sans particularité. Le bilan biologique réalisé par le médecin traitant retrouve : NFS : GB 6,7 G/L, dont PNN 4,08 G/L, Ly 1,51 G/L, Hb 203 g/L, Hématocrite 61,1%, VGM 101 fl. Plq 251 G/L. Face à cette polyglobulie biologique, citer le(les) élément(s) clé(s) à rechercher à l’interrogatoire ? a. Céphalées b. Prurit aquagénique c. Un épisode thrombo-embolique récent d. Des signes fonctionnels urinaires e. Arythmie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Aucun des signes recherchés n’est retrouvé. Parmi les examens suivants, lequel l(esquels) réalisez-vous pour explorer cette polyglobulie sur le plan étiologique ? a. Créatininémie b. Echographie abdominopelvienne c. Gaz du sang artériel d. Recherche d’une mutation JAK2 V617F e. Protéinurie des 24h A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La recherche de la mutation JAK2 V617F est négative, vous ne notez pas d’hypoxémie, et l’échographie hépatique retrouve des lésions nodulaires hépatiques suspectes au sein d’un foie dysmorphique. Vous suspectez une polyglobulie vraie secondaire. Parmi les propositions suivantes, citer celle(s) attendue(s) chez ce patient ? a. Dosage de l’EPO diminué b. Dosage de l’EPO augmenté c. Volume plasmatique augmenté d. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 100% e. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 150% A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan complet réalisé chez ce patient retrouve une augmentation de l’EPO, et une biopsie hépatique confirme l’hypothèse d’un carcinome hépato cellulaire (CHC), sur foie cirrhotique, restreint à une zone limitée du foie gauche. Le patient bénéficie d’un traitement par radiofréquence permettant un contrôle de son CHC. A 3 mois du suivi, vous le voyez en consultation et observez sur son bilan les résultats suivants : NFS : GB 9,1 G/L, PNN 5,6 G/L, Ly 2,4 G/L, Hb 101 g/L, VGM 77 fl, Plq 432 G/L. Vous décidez d’explorer cette anémie. Quel(s) examen(s) demandez-vous parmi les suivants ? a. Réticulocytes b. Fer sérique seul c. CRP d. EPO e. Ferritine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan réalisé retrouve une CRP normale et une ferritine effondrée. Vous concluez à une anémie par carence martiale. Parmi les causes suivantes, citer celle(s) pouvant expliquer l’anémie chez ce patient ? a. Gastropathie d’hypertension portale b. Ulcère gastro-duodénal c. Fibrome utérin d. Polype colique e. Adénocarcinome colique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre bilan retrouve un polype ulcéré du colon droit sans élément de malignité bénéficiant d’une résection par mucosectomie. Vous suivez le patient régulièrement et le voyez 10 ans plus tard, guéri de son CHC mais inquiet par les résultats de son dernier hémogramme : NFS GB 5,2 G/L, PNN 3,1 G/L, Ly 1,5 G/L, Mono 0,6 G/L, Hb 92 g/L, VGM 108 fl, reticulocytes 23 G/L, Plq 164 G/L. Parmi les étiologies suivantes, citer celle(s) expliquer les anomalies observées à l’hémogramme ? a. Carence martiale b. Carence en vit C c. Syndrome myélodysplasique d. Carence en B9 ou B12 e. Insuffisance rénale chronique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous avez exclu toute carence, et vous devez donc compléter le bilan de cette anémie. Quel(s) examen(s) réalisez-vous ? a. LDH b. Myélogramme c. Coloration de Perls sur frottis médullaire d. Cytogénétique constitutionnelle sur moelle e. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il ne s'agit pas de la cytogénétique constitutionnelle, car il s'agit d'anomalie(s) acquise(s). Votre myélogramme retrouve la présence de 6% de de blastes et une dysérythropoïèse marquée au sein d’une moelle de richesse augmentée. L’étude du caryotype médullaire est normale. Citer le(les) élément(s) nécessaire(s) à la prise en charge du patient ? a. Ferritinémie b. RAI c. Double détermination ABO avec phénotypage étendu d. Calcul du score IPSS e. Dosage de l’EPO A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les RAI ne sont pas indiquées car il n'y a pas d'indication transfusionnelle ici (Hb > 9 g/dl). Son médecin vous contacte en urgence, 6 mois plus tard, pour l’apparition d’une thrombopénie à 45 G/L sans syndrome hémorragique clinique, ni fièvre. L’hémogramme précédent réalisé 2 semaines auparavant retrouvait pourtant un taux de plaquettes normal. Il vous explique que le patient s’est fait opérer de la hanche il y a 10 jours et reçoit un traitement par Enoxaparine 0,4 ml/j. Vous suspectez une Thromboépénie Induite à l’Héparine. citer le(les) élément(s) en faveur de ce diagnostic ? a. Thrombopénie associée à une anémie b. Thrombopénie brutale c. Traitement par HBPM d. Myélodysplasie sous-jacente e. Intervalle de 10 jours entre le début de l’Enoxaparine et la thrombopénie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. 4 ans plus tard, il est admis aux urgences pour asthénie, syndrome hémorragique cutanéo-muqueux, ralentissement idéo-moteur. L’examen retrouve une hémodynamique conservée, une SpO2 à 90%, et une température à 38,7°C. Le bilan sanguin réalisé retrouve : NFS GB 123 G/L, PNN 0,3 G/L, Ly 0,7 G/L, 95% de cellules anormales, Hb 97 g/L, Plq 12 G/L. Biochimie : créatinine 230 umol/l, kaliémie 6 mmol/l, calcémie 1,8 mmol/L, phosphorémie 3,1 mmol/l. Citer le(les) élément(s) à recherchez à l’examen ? a. Polypnée b. Anesthésie de la houppe du menton c. Hépatosplénomégalie d. Point d’appel infectieux e. Globe vésical A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L’examen retrouve une FR à 28/min, l’absence d’organomégalie, de signe de focalisation neurologique, de point d’appel infectieux, ni de globe vésical. Le reste du bilan biologique vous parvient : TP 60%, FV 50%, rTCA 1,4, Fibrinogène 0,3 g/L. Quel(s) élément(s) de sa prise en charge en urgence allez-vous réaliser ? a. Ponction lombaire b. ECG c. Transfusion de plaquettes et de plasma d. TDM Thoraco-abdomino-pelvien sans et avec injection d’iode à la recherche d’un point d’appel infectieux e. Une bandelette urinaire, et si positive un ECBU f. Antibiothérapie empirique large spectre dès les prélèvements bactériens réalisés
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, F: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Patient de 53 ans aux antécédents d’hépatite C traitée et considérée guérie, d’exogénose, de tabagisme à 30 PA. Il consulte son médecin traitant pour une asthénie sans amaigrissement. L’examen retrouve un poids de 75 kg pour 1,80m, tension artérielle normale, SpO2 92%, l’absence d’anomalie de l’appareil cardio respiratoire. Examen abdominal sans particularité. Le bilan biologique réalisé par le médecin traitant retrouve : NFS : GB 6,7 G/L, dont PNN 4,08 G/L, Ly 1,51 G/L, Hb 203 g/L, Hématocrite 61,1%, VGM 101 fl. Plq 251 G/L. Face à cette polyglobulie biologique, citer le(les) élément(s) clé(s) à rechercher à l’interrogatoire ? a. Céphalées b. Prurit aquagénique c. Un épisode thrombo-embolique récent d. Des signes fonctionnels urinaires e. Arythmie cardiaque A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Aucun des signes recherchés n’est retrouvé. Parmi les examens suivants, lequel l(esquels) réalisez-vous pour explorer cette polyglobulie sur le plan étiologique ? a. Créatininémie b. Echographie abdominopelvienne c. Gaz du sang artériel d. Recherche d’une mutation JAK2 V617F e. Protéinurie des 24h A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La recherche de la mutation JAK2 V617F est négative, vous ne notez pas d’hypoxémie, et l’échographie hépatique retrouve des lésions nodulaires hépatiques suspectes au sein d’un foie dysmorphique. Vous suspectez une polyglobulie vraie secondaire. Parmi les propositions suivantes, citer celle(s) attendue(s) chez ce patient ? a. Dosage de l’EPO diminué b. Dosage de l’EPO augmenté c. Volume plasmatique augmenté d. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 100% e. Masse sanguine isotopique retrouvant un volume globulaire à 150% A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan complet réalisé chez ce patient retrouve une augmentation de l’EPO, et une biopsie hépatique confirme l’hypothèse d’un carcinome hépato cellulaire (CHC), sur foie cirrhotique, restreint à une zone limitée du foie gauche. Le patient bénéficie d’un traitement par radiofréquence permettant un contrôle de son CHC. A 3 mois du suivi, vous le voyez en consultation et observez sur son bilan les résultats suivants : NFS : GB 9,1 G/L, PNN 5,6 G/L, Ly 2,4 G/L, Hb 101 g/L, VGM 77 fl, Plq 432 G/L. Vous décidez d’explorer cette anémie. Quel(s) examen(s) demandez-vous parmi les suivants ? a. Réticulocytes b. Fer sérique seul c. CRP d. EPO e. Ferritine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le bilan réalisé retrouve une CRP normale et une ferritine effondrée. Vous concluez à une anémie par carence martiale. Parmi les causes suivantes, citer celle(s) pouvant expliquer l’anémie chez ce patient ? a. Gastropathie d’hypertension portale b. Ulcère gastro-duodénal c. Fibrome utérin d. Polype colique e. Adénocarcinome colique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Votre bilan retrouve un polype ulcéré du colon droit sans élément de malignité bénéficiant d’une résection par mucosectomie. Vous suivez le patient régulièrement et le voyez 10 ans plus tard, guéri de son CHC mais inquiet par les résultats de son dernier hémogramme : NFS GB 5,2 G/L, PNN 3,1 G/L, Ly 1,5 G/L, Mono 0,6 G/L, Hb 92 g/L, VGM 108 fl, reticulocytes 23 G/L, Plq 164 G/L. Parmi les étiologies suivantes, citer celle(s) expliquer les anomalies observées à l’hémogramme ? a. Carence martiale b. Carence en vit C c. Syndrome myélodysplasique d. Carence en B9 ou B12 e. Insuffisance rénale chronique A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous avez exclu toute carence, et vous devez donc compléter le bilan de cette anémie. Quel(s) examen(s) réalisez-vous ? a. LDH b. Myélogramme c. Coloration de Perls sur frottis médullaire d. Cytogénétique constitutionnelle sur moelle e. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il ne s'agit pas de la cytogénétique constitutionnelle, car il s'agit d'anomalie(s) acquise(s). Votre myélogramme retrouve la présence de 6% de de blastes et une dysérythropoïèse marquée au sein d’une moelle de richesse augmentée. L’étude du caryotype médullaire est normale. Citer le(les) élément(s) nécessaire(s) à la prise en charge du patient ? a. Ferritinémie b. RAI c. Double détermination ABO avec phénotypage étendu d. Calcul du score IPSS e. Dosage de l’EPO A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les RAI ne sont pas indiquées car il n'y a pas d'indication transfusionnelle ici (Hb > 9 g/dl). Son médecin vous contacte en urgence, 6 mois plus tard, pour l’apparition d’une thrombopénie à 45 G/L sans syndrome hémorragique clinique, ni fièvre. L’hémogramme précédent réalisé 2 semaines auparavant retrouvait pourtant un taux de plaquettes normal. Il vous explique que le patient s’est fait opérer de la hanche il y a 10 jours et reçoit un traitement par Enoxaparine 0,4 ml/j. Vous suspectez une Thromboépénie Induite à l’Héparine. citer le(les) élément(s) en faveur de ce diagnostic ? a. Thrombopénie associée à une anémie b. Thrombopénie brutale c. Traitement par HBPM d. Myélodysplasie sous-jacente e. Intervalle de 10 jours entre le début de l’Enoxaparine et la thrombopénie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. 4 ans plus tard, il est admis aux urgences pour asthénie, syndrome hémorragique cutanéo-muqueux, ralentissement idéo-moteur. L’examen retrouve une hémodynamique conservée, une SpO2 à 90%, et une température à 38,7°C. Le bilan sanguin réalisé retrouve : NFS GB 123 G/L, PNN 0,3 G/L, Ly 0,7 G/L, 95% de cellules anormales, Hb 97 g/L, Plq 12 G/L. Biochimie : créatinine 230 umol/l, kaliémie 6 mmol/l, calcémie 1,8 mmol/L, phosphorémie 3,1 mmol/l. Citer le(les) élément(s) à recherchez à l’examen ? a. Polypnée b. Anesthésie de la houppe du menton c. Hépatosplénomégalie d. Point d’appel infectieux e. Globe vésical A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L’examen retrouve une FR à 28/min, l’absence d’organomégalie, de signe de focalisation neurologique, de point d’appel infectieux, ni de globe vésical. Le reste du bilan biologique vous parvient : TP 60%, FV 50%, rTCA 1,4, Fibrinogène 0,3 g/L. Quel(s) élément(s) de sa prise en charge en urgence allez-vous réaliser ? a. Ponction lombaire b. ECG c. Transfusion de plaquettes et de plasma d. TDM Thoraco-abdomino-pelvien sans et avec injection d’iode à la recherche d’un point d’appel infectieux e. Une bandelette urinaire, et si positive un ECBU f. Antibiothérapie empirique large spectre dès les prélèvements bactériens réalisés A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect, F: Choix correct. La situation de votre patient s’améliore après support transfusionnel et réduction de la leucocytose responsable d’un syndrome de leucostase. Le diagnostic retenu est celui d’une LAM hyperleucocytaire avec leucostase pulmonaire et neurologique et CIVD. Parmi les éléments suivants, citer celui(ceux) indispensable(s) lors du bilan pré thérapeutique? a. Acide urique b. TEP-scan c. Echographie cardiaque d. Pose d’un cathéter central e. EFR
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Réanimateur de garde, vous êtes invité par votre collègue du service accueil urgences, pour un avis concernant une patiente âgée de 52 ans admise aux urgences, il y a environ une demi-heure pour une détresse respiratoire aiguë évoluant dans un contexte fébrile. L'histoire a commencé il y a 48 heures par une fièvre, accompagnée de frissons. Puis sont apparues des difficultés respiratoires. A l'interrogatoire on retient une splénectomie, il y a plus de 10 ans, pour rupture de rate à la suite d'un accident de la route. La patiente n'a jamais bénéficié, dans ce contexte, de recommandations vaccinales. Par ailleurs, on retient dans ses antécédents : une connectivite, traitée par prednisone (Cortancyl®) 5 mg/jour, une hépatite auto-immune et une fibrillation auriculaire pour laquelle elle reçoit de la fluindione (Previscan®) 20 mg/jour. A cet instant, la patiente est agitée, fébrile (40°C) et dyspnéique avec une polypnée à 42 c/ minute. Mise sous oxygène au masque 20 litres/minute, la saturation pulsée en oxygène est de 92%. La fréquence cardiaque est à 138 b/min, régulière. La tension est à 85/32 mmHg, après avoir déjà reçu 1500 ml de serum physiologique. La patiente est marbrée au niveau des membres inférieurs. A l'auscultation pulmonaire, vous percevez un souffle tubaire à droite. D'après les critères de la New York Heart Association, quel est le stade de la dyspnée présentée par la malade ? a. I b. II c. III d. IV e. V
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Pour la NYHA, il y a 4 stades de dyspnée. Une dyspnée de repos correspond au stade IV. C'est le cas ici.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct.
Réanimateur de garde, vous êtes invité par votre collègue du service accueil urgences, pour un avis concernant une patiente âgée de 52 ans admise aux urgences, il y a environ une demi-heure pour une détresse respiratoire aiguë évoluant dans un contexte fébrile. L'histoire a commencé il y a 48 heures par une fièvre, accompagnée de frissons. Puis sont apparues des difficultés respiratoires. A l'interrogatoire on retient une splénectomie, il y a plus de 10 ans, pour rupture de rate à la suite d'un accident de la route. La patiente n'a jamais bénéficié, dans ce contexte, de recommandations vaccinales. Par ailleurs, on retient dans ses antécédents : une connectivite, traitée par prednisone (Cortancyl®) 5 mg/jour, une hépatite auto-immune et une fibrillation auriculaire pour laquelle elle reçoit de la fluindione (Previscan®) 20 mg/jour. A cet instant, la patiente est agitée, fébrile (40°C) et dyspnéique avec une polypnée à 42 c/ minute. Mise sous oxygène au masque 20 litres/minute, la saturation pulsée en oxygène est de 92%. La fréquence cardiaque est à 138 b/min, régulière. La tension est à 85/32 mmHg, après avoir déjà reçu 1500 ml de serum physiologique. La patiente est marbrée au niveau des membres inférieurs. A l'auscultation pulmonaire, vous percevez un souffle tubaire à droite. D'après les critères de la New York Heart Association, quel est le stade de la dyspnée présentée par la malade ? a. I b. II c. III d. IV e. V A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Pour la NYHA, il y a 4 stades de dyspnée. Une dyspnée de repos correspond au stade IV. C'est le cas ici. L'analyse des gaz du sang et le dosage des lactates sont les suivants. pH 7,20, pCO2 :17 mmHg, pO2 : 55mmHg, HCO3- : 10 mmol/l, acide lactique : 9 mmol/L. L'ionogramme sanguin est le suivant : natrémie 142 mmol/l, kaliémie 5.2 mmol/L, chlorémie 102 mmol/L. L'interprétation de ces examens conduit aux propositions suivantes. Quelle(s) est (sont) celle(s) qui est (sont) vraie(s) ? a. Acidose métabolique et respiratoire b. Hypoxémie c. Hypoxie en partie d'origine hypoxémique d. Acidose métabolique compensée e. Acidose lactique
A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Réanimateur de garde, vous êtes invité par votre collègue du service accueil urgences, pour un avis concernant une patiente âgée de 52 ans admise aux urgences, il y a environ une demi-heure pour une détresse respiratoire aiguë évoluant dans un contexte fébrile. L'histoire a commencé il y a 48 heures par une fièvre, accompagnée de frissons. Puis sont apparues des difficultés respiratoires. A l'interrogatoire on retient une splénectomie, il y a plus de 10 ans, pour rupture de rate à la suite d'un accident de la route. La patiente n'a jamais bénéficié, dans ce contexte, de recommandations vaccinales. Par ailleurs, on retient dans ses antécédents : une connectivite, traitée par prednisone (Cortancyl®) 5 mg/jour, une hépatite auto-immune et une fibrillation auriculaire pour laquelle elle reçoit de la fluindione (Previscan®) 20 mg/jour. A cet instant, la patiente est agitée, fébrile (40°C) et dyspnéique avec une polypnée à 42 c/ minute. Mise sous oxygène au masque 20 litres/minute, la saturation pulsée en oxygène est de 92%. La fréquence cardiaque est à 138 b/min, régulière. La tension est à 85/32 mmHg, après avoir déjà reçu 1500 ml de serum physiologique. La patiente est marbrée au niveau des membres inférieurs. A l'auscultation pulmonaire, vous percevez un souffle tubaire à droite. D'après les critères de la New York Heart Association, quel est le stade de la dyspnée présentée par la malade ? a. I b. II c. III d. IV e. V A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Pour la NYHA, il y a 4 stades de dyspnée. Une dyspnée de repos correspond au stade IV. C'est le cas ici. L'analyse des gaz du sang et le dosage des lactates sont les suivants. pH 7,20, pCO2 :17 mmHg, pO2 : 55mmHg, HCO3- : 10 mmol/l, acide lactique : 9 mmol/L. L'ionogramme sanguin est le suivant : natrémie 142 mmol/l, kaliémie 5.2 mmol/L, chlorémie 102 mmol/L. L'interprétation de ces examens conduit aux propositions suivantes. Quelle(s) est (sont) celle(s) qui est (sont) vraie(s) ? a. Acidose métabolique et respiratoire b. Hypoxémie c. Hypoxie en partie d'origine hypoxémique d. Acidose métabolique compensée e. Acidose lactique A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct. La suite du bilan biologique vous fournit les résultats suivants : Hb 9 g/dL, GB 17 000 (PNN 12000), Plaquettes 102 000 G/l, INR 4 créatininémie 320 µmol/l, urée sanguine 20 mmol/L, procalcitonine 21 µg/L Vous décidez d'admettre rapidement la patiente en réanimation. Quel(s) diagnostic(s) évoquez-vous ? a. Un choc septique b. Un sepsis d'origine abdominale c. Une embolie pulmonaire d. Une poussée de connectivite e. Une pneumonie franche lobaire aiguë
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Réanimateur de garde, vous êtes invité par votre collègue du service accueil urgences, pour un avis concernant une patiente âgée de 52 ans admise aux urgences, il y a environ une demi-heure pour une détresse respiratoire aiguë évoluant dans un contexte fébrile. L'histoire a commencé il y a 48 heures par une fièvre, accompagnée de frissons. Puis sont apparues des difficultés respiratoires. A l'interrogatoire on retient une splénectomie, il y a plus de 10 ans, pour rupture de rate à la suite d'un accident de la route. La patiente n'a jamais bénéficié, dans ce contexte, de recommandations vaccinales. Par ailleurs, on retient dans ses antécédents : une connectivite, traitée par prednisone (Cortancyl®) 5 mg/jour, une hépatite auto-immune et une fibrillation auriculaire pour laquelle elle reçoit de la fluindione (Previscan®) 20 mg/jour. A cet instant, la patiente est agitée, fébrile (40°C) et dyspnéique avec une polypnée à 42 c/ minute. Mise sous oxygène au masque 20 litres/minute, la saturation pulsée en oxygène est de 92%. La fréquence cardiaque est à 138 b/min, régulière. La tension est à 85/32 mmHg, après avoir déjà reçu 1500 ml de serum physiologique. La patiente est marbrée au niveau des membres inférieurs. A l'auscultation pulmonaire, vous percevez un souffle tubaire à droite. D'après les critères de la New York Heart Association, quel est le stade de la dyspnée présentée par la malade ? a. I b. II c. III d. IV e. V A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Pour la NYHA, il y a 4 stades de dyspnée. Une dyspnée de repos correspond au stade IV. C'est le cas ici. L'analyse des gaz du sang et le dosage des lactates sont les suivants. pH 7,20, pCO2 :17 mmHg, pO2 : 55mmHg, HCO3- : 10 mmol/l, acide lactique : 9 mmol/L. L'ionogramme sanguin est le suivant : natrémie 142 mmol/l, kaliémie 5.2 mmol/L, chlorémie 102 mmol/L. L'interprétation de ces examens conduit aux propositions suivantes. Quelle(s) est (sont) celle(s) qui est (sont) vraie(s) ? a. Acidose métabolique et respiratoire b. Hypoxémie c. Hypoxie en partie d'origine hypoxémique d. Acidose métabolique compensée e. Acidose lactique A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct. La suite du bilan biologique vous fournit les résultats suivants : Hb 9 g/dL, GB 17 000 (PNN 12000), Plaquettes 102 000 G/l, INR 4 créatininémie 320 µmol/l, urée sanguine 20 mmol/L, procalcitonine 21 µg/L Vous décidez d'admettre rapidement la patiente en réanimation. Quel(s) diagnostic(s) évoquez-vous ? a. Un choc septique b. Un sepsis d'origine abdominale c. Une embolie pulmonaire d. Une poussée de connectivite e. Une pneumonie franche lobaire aiguë A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Admise en réanimation, la patiente est placée sous oxygénothérapie à haut débit. Le remplissage vasculaire est poursuivi avec du Ringer lactate. La situation hémodynamique est précaire : TA 82/40 mmHg, fréquence cardiaque sinusale 140 battements par minute, anurie. Nous sommes indiscutablement en présence d'un état de choc septique. Quel(s) prélèvement(s) bactériologique(s) réalisez-vous ? a. Des hémocultures b. Un lavage bronchiolo-alvéolaire c. Une antigénurie pneumocoque d. Une antigénurie légionelle e. Un crachat dirigé
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Au vu de la situation respiratoire le LBA est contre-indiqué. Les hémocultures sont à privilégier.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Réanimateur de garde, vous êtes invité par votre collègue du service accueil urgences, pour un avis concernant une patiente âgée de 52 ans admise aux urgences, il y a environ une demi-heure pour une détresse respiratoire aiguë évoluant dans un contexte fébrile. L'histoire a commencé il y a 48 heures par une fièvre, accompagnée de frissons. Puis sont apparues des difficultés respiratoires. A l'interrogatoire on retient une splénectomie, il y a plus de 10 ans, pour rupture de rate à la suite d'un accident de la route. La patiente n'a jamais bénéficié, dans ce contexte, de recommandations vaccinales. Par ailleurs, on retient dans ses antécédents : une connectivite, traitée par prednisone (Cortancyl®) 5 mg/jour, une hépatite auto-immune et une fibrillation auriculaire pour laquelle elle reçoit de la fluindione (Previscan®) 20 mg/jour. A cet instant, la patiente est agitée, fébrile (40°C) et dyspnéique avec une polypnée à 42 c/ minute. Mise sous oxygène au masque 20 litres/minute, la saturation pulsée en oxygène est de 92%. La fréquence cardiaque est à 138 b/min, régulière. La tension est à 85/32 mmHg, après avoir déjà reçu 1500 ml de serum physiologique. La patiente est marbrée au niveau des membres inférieurs. A l'auscultation pulmonaire, vous percevez un souffle tubaire à droite. D'après les critères de la New York Heart Association, quel est le stade de la dyspnée présentée par la malade ? a. I b. II c. III d. IV e. V A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Pour la NYHA, il y a 4 stades de dyspnée. Une dyspnée de repos correspond au stade IV. C'est le cas ici. L'analyse des gaz du sang et le dosage des lactates sont les suivants. pH 7,20, pCO2 :17 mmHg, pO2 : 55mmHg, HCO3- : 10 mmol/l, acide lactique : 9 mmol/L. L'ionogramme sanguin est le suivant : natrémie 142 mmol/l, kaliémie 5.2 mmol/L, chlorémie 102 mmol/L. L'interprétation de ces examens conduit aux propositions suivantes. Quelle(s) est (sont) celle(s) qui est (sont) vraie(s) ? a. Acidose métabolique et respiratoire b. Hypoxémie c. Hypoxie en partie d'origine hypoxémique d. Acidose métabolique compensée e. Acidose lactique A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct. La suite du bilan biologique vous fournit les résultats suivants : Hb 9 g/dL, GB 17 000 (PNN 12000), Plaquettes 102 000 G/l, INR 4 créatininémie 320 µmol/l, urée sanguine 20 mmol/L, procalcitonine 21 µg/L Vous décidez d'admettre rapidement la patiente en réanimation. Quel(s) diagnostic(s) évoquez-vous ? a. Un choc septique b. Un sepsis d'origine abdominale c. Une embolie pulmonaire d. Une poussée de connectivite e. Une pneumonie franche lobaire aiguë A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Admise en réanimation, la patiente est placée sous oxygénothérapie à haut débit. Le remplissage vasculaire est poursuivi avec du Ringer lactate. La situation hémodynamique est précaire : TA 82/40 mmHg, fréquence cardiaque sinusale 140 battements par minute, anurie. Nous sommes indiscutablement en présence d'un état de choc septique. Quel(s) prélèvement(s) bactériologique(s) réalisez-vous ? a. Des hémocultures b. Un lavage bronchiolo-alvéolaire c. Une antigénurie pneumocoque d. Une antigénurie légionelle e. Un crachat dirigé A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Au vu de la situation respiratoire le LBA est contre-indiqué. Les hémocultures sont à privilégier. Son mari qui l'accompagne, n'a jamais entendu parler pour elle d'allergie, en particulier aux antibiotiques. Quelle(s) antibiothérapie(s) probabiliste(s) peut (peuvent) être proposée(s) parmi les propositions suivantes ? a. Amoxicilline-acide clavulanique b. Piperacilline-tazobactam plus aminoside c. Cefotaxime plus macrolide d. Amoxicilline e. Ceftriaxone plus fluoroquinolone
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Pour les pneumopathies d'origine communautaire, grave (état de choc) hospitalisées en réanimation, l'antibiothérapie recommandée, c'est l'association cefotaxime ou ceftriaxone plus macrolide ou fluoroquinolone.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Réanimateur de garde, vous êtes invité par votre collègue du service accueil urgences, pour un avis concernant une patiente âgée de 52 ans admise aux urgences, il y a environ une demi-heure pour une détresse respiratoire aiguë évoluant dans un contexte fébrile. L'histoire a commencé il y a 48 heures par une fièvre, accompagnée de frissons. Puis sont apparues des difficultés respiratoires. A l'interrogatoire on retient une splénectomie, il y a plus de 10 ans, pour rupture de rate à la suite d'un accident de la route. La patiente n'a jamais bénéficié, dans ce contexte, de recommandations vaccinales. Par ailleurs, on retient dans ses antécédents : une connectivite, traitée par prednisone (Cortancyl®) 5 mg/jour, une hépatite auto-immune et une fibrillation auriculaire pour laquelle elle reçoit de la fluindione (Previscan®) 20 mg/jour. A cet instant, la patiente est agitée, fébrile (40°C) et dyspnéique avec une polypnée à 42 c/ minute. Mise sous oxygène au masque 20 litres/minute, la saturation pulsée en oxygène est de 92%. La fréquence cardiaque est à 138 b/min, régulière. La tension est à 85/32 mmHg, après avoir déjà reçu 1500 ml de serum physiologique. La patiente est marbrée au niveau des membres inférieurs. A l'auscultation pulmonaire, vous percevez un souffle tubaire à droite. D'après les critères de la New York Heart Association, quel est le stade de la dyspnée présentée par la malade ? a. I b. II c. III d. IV e. V A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Pour la NYHA, il y a 4 stades de dyspnée. Une dyspnée de repos correspond au stade IV. C'est le cas ici. L'analyse des gaz du sang et le dosage des lactates sont les suivants. pH 7,20, pCO2 :17 mmHg, pO2 : 55mmHg, HCO3- : 10 mmol/l, acide lactique : 9 mmol/L. L'ionogramme sanguin est le suivant : natrémie 142 mmol/l, kaliémie 5.2 mmol/L, chlorémie 102 mmol/L. L'interprétation de ces examens conduit aux propositions suivantes. Quelle(s) est (sont) celle(s) qui est (sont) vraie(s) ? a. Acidose métabolique et respiratoire b. Hypoxémie c. Hypoxie en partie d'origine hypoxémique d. Acidose métabolique compensée e. Acidose lactique A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct. La suite du bilan biologique vous fournit les résultats suivants : Hb 9 g/dL, GB 17 000 (PNN 12000), Plaquettes 102 000 G/l, INR 4 créatininémie 320 µmol/l, urée sanguine 20 mmol/L, procalcitonine 21 µg/L Vous décidez d'admettre rapidement la patiente en réanimation. Quel(s) diagnostic(s) évoquez-vous ? a. Un choc septique b. Un sepsis d'origine abdominale c. Une embolie pulmonaire d. Une poussée de connectivite e. Une pneumonie franche lobaire aiguë A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Admise en réanimation, la patiente est placée sous oxygénothérapie à haut débit. Le remplissage vasculaire est poursuivi avec du Ringer lactate. La situation hémodynamique est précaire : TA 82/40 mmHg, fréquence cardiaque sinusale 140 battements par minute, anurie. Nous sommes indiscutablement en présence d'un état de choc septique. Quel(s) prélèvement(s) bactériologique(s) réalisez-vous ? a. Des hémocultures b. Un lavage bronchiolo-alvéolaire c. Une antigénurie pneumocoque d. Une antigénurie légionelle e. Un crachat dirigé A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Au vu de la situation respiratoire le LBA est contre-indiqué. Les hémocultures sont à privilégier. Son mari qui l'accompagne, n'a jamais entendu parler pour elle d'allergie, en particulier aux antibiotiques. Quelle(s) antibiothérapie(s) probabiliste(s) peut (peuvent) être proposée(s) parmi les propositions suivantes ? a. Amoxicilline-acide clavulanique b. Piperacilline-tazobactam plus aminoside c. Cefotaxime plus macrolide d. Amoxicilline e. Ceftriaxone plus fluoroquinolone A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Pour les pneumopathies d'origine communautaire, grave (état de choc) hospitalisées en réanimation, l'antibiothérapie recommandée, c'est l'association cefotaxime ou ceftriaxone plus macrolide ou fluoroquinolone. Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est (sont) la (les) condition(s) qui vous incite(nt) à réaliser une intubation et une assistance ventilatoire ? a. Désaturation continue au-dessous de 90% b. état de choc non contrôlé c. Troubles de la conscience d. Agitation intermittente e. Acidose hypercapnique
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Réanimateur de garde, vous êtes invité par votre collègue du service accueil urgences, pour un avis concernant une patiente âgée de 52 ans admise aux urgences, il y a environ une demi-heure pour une détresse respiratoire aiguë évoluant dans un contexte fébrile. L'histoire a commencé il y a 48 heures par une fièvre, accompagnée de frissons. Puis sont apparues des difficultés respiratoires. A l'interrogatoire on retient une splénectomie, il y a plus de 10 ans, pour rupture de rate à la suite d'un accident de la route. La patiente n'a jamais bénéficié, dans ce contexte, de recommandations vaccinales. Par ailleurs, on retient dans ses antécédents : une connectivite, traitée par prednisone (Cortancyl®) 5 mg/jour, une hépatite auto-immune et une fibrillation auriculaire pour laquelle elle reçoit de la fluindione (Previscan®) 20 mg/jour. A cet instant, la patiente est agitée, fébrile (40°C) et dyspnéique avec une polypnée à 42 c/ minute. Mise sous oxygène au masque 20 litres/minute, la saturation pulsée en oxygène est de 92%. La fréquence cardiaque est à 138 b/min, régulière. La tension est à 85/32 mmHg, après avoir déjà reçu 1500 ml de serum physiologique. La patiente est marbrée au niveau des membres inférieurs. A l'auscultation pulmonaire, vous percevez un souffle tubaire à droite. D'après les critères de la New York Heart Association, quel est le stade de la dyspnée présentée par la malade ? a. I b. II c. III d. IV e. V A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Pour la NYHA, il y a 4 stades de dyspnée. Une dyspnée de repos correspond au stade IV. C'est le cas ici. L'analyse des gaz du sang et le dosage des lactates sont les suivants. pH 7,20, pCO2 :17 mmHg, pO2 : 55mmHg, HCO3- : 10 mmol/l, acide lactique : 9 mmol/L. L'ionogramme sanguin est le suivant : natrémie 142 mmol/l, kaliémie 5.2 mmol/L, chlorémie 102 mmol/L. L'interprétation de ces examens conduit aux propositions suivantes. Quelle(s) est (sont) celle(s) qui est (sont) vraie(s) ? a. Acidose métabolique et respiratoire b. Hypoxémie c. Hypoxie en partie d'origine hypoxémique d. Acidose métabolique compensée e. Acidose lactique A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct. La suite du bilan biologique vous fournit les résultats suivants : Hb 9 g/dL, GB 17 000 (PNN 12000), Plaquettes 102 000 G/l, INR 4 créatininémie 320 µmol/l, urée sanguine 20 mmol/L, procalcitonine 21 µg/L Vous décidez d'admettre rapidement la patiente en réanimation. Quel(s) diagnostic(s) évoquez-vous ? a. Un choc septique b. Un sepsis d'origine abdominale c. Une embolie pulmonaire d. Une poussée de connectivite e. Une pneumonie franche lobaire aiguë A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Admise en réanimation, la patiente est placée sous oxygénothérapie à haut débit. Le remplissage vasculaire est poursuivi avec du Ringer lactate. La situation hémodynamique est précaire : TA 82/40 mmHg, fréquence cardiaque sinusale 140 battements par minute, anurie. Nous sommes indiscutablement en présence d'un état de choc septique. Quel(s) prélèvement(s) bactériologique(s) réalisez-vous ? a. Des hémocultures b. Un lavage bronchiolo-alvéolaire c. Une antigénurie pneumocoque d. Une antigénurie légionelle e. Un crachat dirigé A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Au vu de la situation respiratoire le LBA est contre-indiqué. Les hémocultures sont à privilégier. Son mari qui l'accompagne, n'a jamais entendu parler pour elle d'allergie, en particulier aux antibiotiques. Quelle(s) antibiothérapie(s) probabiliste(s) peut (peuvent) être proposée(s) parmi les propositions suivantes ? a. Amoxicilline-acide clavulanique b. Piperacilline-tazobactam plus aminoside c. Cefotaxime plus macrolide d. Amoxicilline e. Ceftriaxone plus fluoroquinolone A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Pour les pneumopathies d'origine communautaire, grave (état de choc) hospitalisées en réanimation, l'antibiothérapie recommandée, c'est l'association cefotaxime ou ceftriaxone plus macrolide ou fluoroquinolone. Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est (sont) la (les) condition(s) qui vous incite(nt) à réaliser une intubation et une assistance ventilatoire ? a. Désaturation continue au-dessous de 90% b. état de choc non contrôlé c. Troubles de la conscience d. Agitation intermittente e. Acidose hypercapnique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. La patiente est intubée et ventilée artificiellement. Un cathéter veineux central est mis en place par voie sous-clavière. Un cathéter artériel radial est mis en place pour monitorer la pression artérielle. La situation hémodynamique est toujours aussi précaire. Parmi les traitements proposés ici, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui est (sont) retenu(s) dans le traitement du choc septique pour leurs propriétés vaso-constrictrices ? a. L'isoprénaline b. L'héparine c. La dobutamine d. La noradrénaline e. L'amiodarone
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. La noradrénaline est la seule molécule vaso-constrictrice.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Réanimateur de garde, vous êtes invité par votre collègue du service accueil urgences, pour un avis concernant une patiente âgée de 52 ans admise aux urgences, il y a environ une demi-heure pour une détresse respiratoire aiguë évoluant dans un contexte fébrile. L'histoire a commencé il y a 48 heures par une fièvre, accompagnée de frissons. Puis sont apparues des difficultés respiratoires. A l'interrogatoire on retient une splénectomie, il y a plus de 10 ans, pour rupture de rate à la suite d'un accident de la route. La patiente n'a jamais bénéficié, dans ce contexte, de recommandations vaccinales. Par ailleurs, on retient dans ses antécédents : une connectivite, traitée par prednisone (Cortancyl®) 5 mg/jour, une hépatite auto-immune et une fibrillation auriculaire pour laquelle elle reçoit de la fluindione (Previscan®) 20 mg/jour. A cet instant, la patiente est agitée, fébrile (40°C) et dyspnéique avec une polypnée à 42 c/ minute. Mise sous oxygène au masque 20 litres/minute, la saturation pulsée en oxygène est de 92%. La fréquence cardiaque est à 138 b/min, régulière. La tension est à 85/32 mmHg, après avoir déjà reçu 1500 ml de serum physiologique. La patiente est marbrée au niveau des membres inférieurs. A l'auscultation pulmonaire, vous percevez un souffle tubaire à droite. D'après les critères de la New York Heart Association, quel est le stade de la dyspnée présentée par la malade ? a. I b. II c. III d. IV e. V A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Pour la NYHA, il y a 4 stades de dyspnée. Une dyspnée de repos correspond au stade IV. C'est le cas ici. L'analyse des gaz du sang et le dosage des lactates sont les suivants. pH 7,20, pCO2 :17 mmHg, pO2 : 55mmHg, HCO3- : 10 mmol/l, acide lactique : 9 mmol/L. L'ionogramme sanguin est le suivant : natrémie 142 mmol/l, kaliémie 5.2 mmol/L, chlorémie 102 mmol/L. L'interprétation de ces examens conduit aux propositions suivantes. Quelle(s) est (sont) celle(s) qui est (sont) vraie(s) ? a. Acidose métabolique et respiratoire b. Hypoxémie c. Hypoxie en partie d'origine hypoxémique d. Acidose métabolique compensée e. Acidose lactique A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct. La suite du bilan biologique vous fournit les résultats suivants : Hb 9 g/dL, GB 17 000 (PNN 12000), Plaquettes 102 000 G/l, INR 4 créatininémie 320 µmol/l, urée sanguine 20 mmol/L, procalcitonine 21 µg/L Vous décidez d'admettre rapidement la patiente en réanimation. Quel(s) diagnostic(s) évoquez-vous ? a. Un choc septique b. Un sepsis d'origine abdominale c. Une embolie pulmonaire d. Une poussée de connectivite e. Une pneumonie franche lobaire aiguë A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Admise en réanimation, la patiente est placée sous oxygénothérapie à haut débit. Le remplissage vasculaire est poursuivi avec du Ringer lactate. La situation hémodynamique est précaire : TA 82/40 mmHg, fréquence cardiaque sinusale 140 battements par minute, anurie. Nous sommes indiscutablement en présence d'un état de choc septique. Quel(s) prélèvement(s) bactériologique(s) réalisez-vous ? a. Des hémocultures b. Un lavage bronchiolo-alvéolaire c. Une antigénurie pneumocoque d. Une antigénurie légionelle e. Un crachat dirigé A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Au vu de la situation respiratoire le LBA est contre-indiqué. Les hémocultures sont à privilégier. Son mari qui l'accompagne, n'a jamais entendu parler pour elle d'allergie, en particulier aux antibiotiques. Quelle(s) antibiothérapie(s) probabiliste(s) peut (peuvent) être proposée(s) parmi les propositions suivantes ? a. Amoxicilline-acide clavulanique b. Piperacilline-tazobactam plus aminoside c. Cefotaxime plus macrolide d. Amoxicilline e. Ceftriaxone plus fluoroquinolone A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Pour les pneumopathies d'origine communautaire, grave (état de choc) hospitalisées en réanimation, l'antibiothérapie recommandée, c'est l'association cefotaxime ou ceftriaxone plus macrolide ou fluoroquinolone. Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est (sont) la (les) condition(s) qui vous incite(nt) à réaliser une intubation et une assistance ventilatoire ? a. Désaturation continue au-dessous de 90% b. état de choc non contrôlé c. Troubles de la conscience d. Agitation intermittente e. Acidose hypercapnique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. La patiente est intubée et ventilée artificiellement. Un cathéter veineux central est mis en place par voie sous-clavière. Un cathéter artériel radial est mis en place pour monitorer la pression artérielle. La situation hémodynamique est toujours aussi précaire. Parmi les traitements proposés ici, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui est (sont) retenu(s) dans le traitement du choc septique pour leurs propriétés vaso-constrictrices ? a. L'isoprénaline b. L'héparine c. La dobutamine d. La noradrénaline e. L'amiodarone A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. La noradrénaline est la seule molécule vaso-constrictrice. Dans l'attente de la mise en place de l'épuration extra-rénale, quelle(s) thérapeutique(s) faut-il instituer de toute urgence pour diminuer la kaliémie menaçante ? a. Kayexalate® intra-rectal b. Gluconate de calcium c. Furosémide d. Insuline plus glucose 30% e. Aérosol de beta-2-mimétique
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le gluconate sert a éviter les effets cardiaques de l'hyperkaliémie, le Kayexalate® n'est pas une thérapeutique de l'hyperkaliémie menaçante, son délai d'action étant trop lent.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Réanimateur de garde, vous êtes invité par votre collègue du service accueil urgences, pour un avis concernant une patiente âgée de 52 ans admise aux urgences, il y a environ une demi-heure pour une détresse respiratoire aiguë évoluant dans un contexte fébrile. L'histoire a commencé il y a 48 heures par une fièvre, accompagnée de frissons. Puis sont apparues des difficultés respiratoires. A l'interrogatoire on retient une splénectomie, il y a plus de 10 ans, pour rupture de rate à la suite d'un accident de la route. La patiente n'a jamais bénéficié, dans ce contexte, de recommandations vaccinales. Par ailleurs, on retient dans ses antécédents : une connectivite, traitée par prednisone (Cortancyl®) 5 mg/jour, une hépatite auto-immune et une fibrillation auriculaire pour laquelle elle reçoit de la fluindione (Previscan®) 20 mg/jour. A cet instant, la patiente est agitée, fébrile (40°C) et dyspnéique avec une polypnée à 42 c/ minute. Mise sous oxygène au masque 20 litres/minute, la saturation pulsée en oxygène est de 92%. La fréquence cardiaque est à 138 b/min, régulière. La tension est à 85/32 mmHg, après avoir déjà reçu 1500 ml de serum physiologique. La patiente est marbrée au niveau des membres inférieurs. A l'auscultation pulmonaire, vous percevez un souffle tubaire à droite. D'après les critères de la New York Heart Association, quel est le stade de la dyspnée présentée par la malade ? a. I b. II c. III d. IV e. V A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Pour la NYHA, il y a 4 stades de dyspnée. Une dyspnée de repos correspond au stade IV. C'est le cas ici. L'analyse des gaz du sang et le dosage des lactates sont les suivants. pH 7,20, pCO2 :17 mmHg, pO2 : 55mmHg, HCO3- : 10 mmol/l, acide lactique : 9 mmol/L. L'ionogramme sanguin est le suivant : natrémie 142 mmol/l, kaliémie 5.2 mmol/L, chlorémie 102 mmol/L. L'interprétation de ces examens conduit aux propositions suivantes. Quelle(s) est (sont) celle(s) qui est (sont) vraie(s) ? a. Acidose métabolique et respiratoire b. Hypoxémie c. Hypoxie en partie d'origine hypoxémique d. Acidose métabolique compensée e. Acidose lactique A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct. La suite du bilan biologique vous fournit les résultats suivants : Hb 9 g/dL, GB 17 000 (PNN 12000), Plaquettes 102 000 G/l, INR 4 créatininémie 320 µmol/l, urée sanguine 20 mmol/L, procalcitonine 21 µg/L Vous décidez d'admettre rapidement la patiente en réanimation. Quel(s) diagnostic(s) évoquez-vous ? a. Un choc septique b. Un sepsis d'origine abdominale c. Une embolie pulmonaire d. Une poussée de connectivite e. Une pneumonie franche lobaire aiguë A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Admise en réanimation, la patiente est placée sous oxygénothérapie à haut débit. Le remplissage vasculaire est poursuivi avec du Ringer lactate. La situation hémodynamique est précaire : TA 82/40 mmHg, fréquence cardiaque sinusale 140 battements par minute, anurie. Nous sommes indiscutablement en présence d'un état de choc septique. Quel(s) prélèvement(s) bactériologique(s) réalisez-vous ? a. Des hémocultures b. Un lavage bronchiolo-alvéolaire c. Une antigénurie pneumocoque d. Une antigénurie légionelle e. Un crachat dirigé A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Au vu de la situation respiratoire le LBA est contre-indiqué. Les hémocultures sont à privilégier. Son mari qui l'accompagne, n'a jamais entendu parler pour elle d'allergie, en particulier aux antibiotiques. Quelle(s) antibiothérapie(s) probabiliste(s) peut (peuvent) être proposée(s) parmi les propositions suivantes ? a. Amoxicilline-acide clavulanique b. Piperacilline-tazobactam plus aminoside c. Cefotaxime plus macrolide d. Amoxicilline e. Ceftriaxone plus fluoroquinolone A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Pour les pneumopathies d'origine communautaire, grave (état de choc) hospitalisées en réanimation, l'antibiothérapie recommandée, c'est l'association cefotaxime ou ceftriaxone plus macrolide ou fluoroquinolone. Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est (sont) la (les) condition(s) qui vous incite(nt) à réaliser une intubation et une assistance ventilatoire ? a. Désaturation continue au-dessous de 90% b. état de choc non contrôlé c. Troubles de la conscience d. Agitation intermittente e. Acidose hypercapnique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. La patiente est intubée et ventilée artificiellement. Un cathéter veineux central est mis en place par voie sous-clavière. Un cathéter artériel radial est mis en place pour monitorer la pression artérielle. La situation hémodynamique est toujours aussi précaire. Parmi les traitements proposés ici, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui est (sont) retenu(s) dans le traitement du choc septique pour leurs propriétés vaso-constrictrices ? a. L'isoprénaline b. L'héparine c. La dobutamine d. La noradrénaline e. L'amiodarone A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. La noradrénaline est la seule molécule vaso-constrictrice. Dans l'attente de la mise en place de l'épuration extra-rénale, quelle(s) thérapeutique(s) faut-il instituer de toute urgence pour diminuer la kaliémie menaçante ? a. Kayexalate® intra-rectal b. Gluconate de calcium c. Furosémide d. Insuline plus glucose 30% e. Aérosol de beta-2-mimétique A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le gluconate sert a éviter les effets cardiaques de l'hyperkaliémie, le Kayexalate® n'est pas une thérapeutique de l'hyperkaliémie menaçante, son délai d'action étant trop lent. Sous nordrénaline, la situation hémodynamique s'améliore. La pression artérielle systolique est à 125 mmHg. Mais la patiente reste anurique. Le dernier bilan biologique est le suivant : pH 7,17, paO2 78 mmHg, PaCO2 31 mmHg, HCO3- 9 mmol/L, lactates 12 mmol/L, natrémie 142 mmol/L, kaliémie 7,2 mmol/L, urée sanguine 21 mmol/L, créatininémie 680 µmol/L. L'ECG est le suivant. Quel(s) est(sont) l'(les) argument(s) pour décider la mise en oeuvre sans délai d'une épuration extra-rénale ? a. La créatininémie à 680 µmol/L b. L'acidose métabolique c. L'ECG d. L'urée à 21 mmol/L e. La kaliémie à 7,2 mmol/L
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'ECG objective des ondes élargies et ample compatibles avec le diagnostic d'hyperkaliémie. Le risque de fibrillation ventriculaire est réel.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Réanimateur de garde, vous êtes invité par votre collègue du service accueil urgences, pour un avis concernant une patiente âgée de 52 ans admise aux urgences, il y a environ une demi-heure pour une détresse respiratoire aiguë évoluant dans un contexte fébrile. L'histoire a commencé il y a 48 heures par une fièvre, accompagnée de frissons. Puis sont apparues des difficultés respiratoires. A l'interrogatoire on retient une splénectomie, il y a plus de 10 ans, pour rupture de rate à la suite d'un accident de la route. La patiente n'a jamais bénéficié, dans ce contexte, de recommandations vaccinales. Par ailleurs, on retient dans ses antécédents : une connectivite, traitée par prednisone (Cortancyl®) 5 mg/jour, une hépatite auto-immune et une fibrillation auriculaire pour laquelle elle reçoit de la fluindione (Previscan®) 20 mg/jour. A cet instant, la patiente est agitée, fébrile (40°C) et dyspnéique avec une polypnée à 42 c/ minute. Mise sous oxygène au masque 20 litres/minute, la saturation pulsée en oxygène est de 92%. La fréquence cardiaque est à 138 b/min, régulière. La tension est à 85/32 mmHg, après avoir déjà reçu 1500 ml de serum physiologique. La patiente est marbrée au niveau des membres inférieurs. A l'auscultation pulmonaire, vous percevez un souffle tubaire à droite. D'après les critères de la New York Heart Association, quel est le stade de la dyspnée présentée par la malade ? a. I b. II c. III d. IV e. V A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Pour la NYHA, il y a 4 stades de dyspnée. Une dyspnée de repos correspond au stade IV. C'est le cas ici. L'analyse des gaz du sang et le dosage des lactates sont les suivants. pH 7,20, pCO2 :17 mmHg, pO2 : 55mmHg, HCO3- : 10 mmol/l, acide lactique : 9 mmol/L. L'ionogramme sanguin est le suivant : natrémie 142 mmol/l, kaliémie 5.2 mmol/L, chlorémie 102 mmol/L. L'interprétation de ces examens conduit aux propositions suivantes. Quelle(s) est (sont) celle(s) qui est (sont) vraie(s) ? a. Acidose métabolique et respiratoire b. Hypoxémie c. Hypoxie en partie d'origine hypoxémique d. Acidose métabolique compensée e. Acidose lactique A: Choix correct, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct. La suite du bilan biologique vous fournit les résultats suivants : Hb 9 g/dL, GB 17 000 (PNN 12000), Plaquettes 102 000 G/l, INR 4 créatininémie 320 µmol/l, urée sanguine 20 mmol/L, procalcitonine 21 µg/L Vous décidez d'admettre rapidement la patiente en réanimation. Quel(s) diagnostic(s) évoquez-vous ? a. Un choc septique b. Un sepsis d'origine abdominale c. Une embolie pulmonaire d. Une poussée de connectivite e. Une pneumonie franche lobaire aiguë A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Admise en réanimation, la patiente est placée sous oxygénothérapie à haut débit. Le remplissage vasculaire est poursuivi avec du Ringer lactate. La situation hémodynamique est précaire : TA 82/40 mmHg, fréquence cardiaque sinusale 140 battements par minute, anurie. Nous sommes indiscutablement en présence d'un état de choc septique. Quel(s) prélèvement(s) bactériologique(s) réalisez-vous ? a. Des hémocultures b. Un lavage bronchiolo-alvéolaire c. Une antigénurie pneumocoque d. Une antigénurie légionelle e. Un crachat dirigé A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Au vu de la situation respiratoire le LBA est contre-indiqué. Les hémocultures sont à privilégier. Son mari qui l'accompagne, n'a jamais entendu parler pour elle d'allergie, en particulier aux antibiotiques. Quelle(s) antibiothérapie(s) probabiliste(s) peut (peuvent) être proposée(s) parmi les propositions suivantes ? a. Amoxicilline-acide clavulanique b. Piperacilline-tazobactam plus aminoside c. Cefotaxime plus macrolide d. Amoxicilline e. Ceftriaxone plus fluoroquinolone A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Pour les pneumopathies d'origine communautaire, grave (état de choc) hospitalisées en réanimation, l'antibiothérapie recommandée, c'est l'association cefotaxime ou ceftriaxone plus macrolide ou fluoroquinolone. Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est (sont) la (les) condition(s) qui vous incite(nt) à réaliser une intubation et une assistance ventilatoire ? a. Désaturation continue au-dessous de 90% b. état de choc non contrôlé c. Troubles de la conscience d. Agitation intermittente e. Acidose hypercapnique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. La patiente est intubée et ventilée artificiellement. Un cathéter veineux central est mis en place par voie sous-clavière. Un cathéter artériel radial est mis en place pour monitorer la pression artérielle. La situation hémodynamique est toujours aussi précaire. Parmi les traitements proposés ici, quel(s) est (sont) celui (ceux) qui est (sont) retenu(s) dans le traitement du choc septique pour leurs propriétés vaso-constrictrices ? a. L'isoprénaline b. L'héparine c. La dobutamine d. La noradrénaline e. L'amiodarone A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. La noradrénaline est la seule molécule vaso-constrictrice. Dans l'attente de la mise en place de l'épuration extra-rénale, quelle(s) thérapeutique(s) faut-il instituer de toute urgence pour diminuer la kaliémie menaçante ? a. Kayexalate® intra-rectal b. Gluconate de calcium c. Furosémide d. Insuline plus glucose 30% e. Aérosol de beta-2-mimétique A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le gluconate sert a éviter les effets cardiaques de l'hyperkaliémie, le Kayexalate® n'est pas une thérapeutique de l'hyperkaliémie menaçante, son délai d'action étant trop lent. Sous nordrénaline, la situation hémodynamique s'améliore. La pression artérielle systolique est à 125 mmHg. Mais la patiente reste anurique. Le dernier bilan biologique est le suivant : pH 7,17, paO2 78 mmHg, PaCO2 31 mmHg, HCO3- 9 mmol/L, lactates 12 mmol/L, natrémie 142 mmol/L, kaliémie 7,2 mmol/L, urée sanguine 21 mmol/L, créatininémie 680 µmol/L. L'ECG est le suivant. Quel(s) est(sont) l'(les) argument(s) pour décider la mise en oeuvre sans délai d'une épuration extra-rénale ? a. La créatininémie à 680 µmol/L b. L'acidose métabolique c. L'ECG d. L'urée à 21 mmol/L e. La kaliémie à 7,2 mmol/L A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. L'ECG objective des ondes élargies et ample compatibles avec le diagnostic d'hyperkaliémie. Le risque de fibrillation ventriculaire est réel. La patiente est enfin stabilisée, vous pouvez donc réaliser un lavage bronchiolo-alvéolaire (LBA). Quel est le seuil de positivité d'un LBA ? a. > 106 b. > 103 c. > 104 d. > 105 e. > 102
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Un jeune homme de 17 ans est amené par le SAMU aux urgences. Il a été percuté par une voiture qui roulait à 80 km/h. Il existe une suspicion de polytraumatisme. Quelle doit être la première mesure pour ce patient ? a. Réalisation d'un body scanner b. Stabilisation hémodynamique du patient c. Immobilisation d. Antalgie e. Réaliser une numération formule sanguine
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Un jeune homme de 17 ans est amené par le SAMU aux urgences. Il a été percuté par une voiture qui roulait à 80 km/h. Il existe une suspicion de polytraumatisme. Quelle doit être la première mesure pour ce patient ? a. Réalisation d'un body scanner b. Stabilisation hémodynamique du patient c. Immobilisation d. Antalgie e. Réaliser une numération formule sanguine A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quel bilan d'imagerie demandez-vous en première intention ? a. Radiographie en incidence de Blondeau b. Scanner thoraco-abdomino-pelvien sans et avec injection de produit de contraste c. Radiographie des segments de membre douloureux d. Radiographie du rachis cervical e. IRM cérébrale
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous recevez en consultation d'urgence, Théo âgé de 4 mois et demi amené par ses parents pour une toux récente. Son poids de naissance était de 3100g avec une naissance à terme sans complication. Il est le deuxième enfant du couple, l'ainée a 4 ans. Il est gardé par sa maman au domicile et est nourri au lait artificiel. Il pèse actuellement 6500g. Les vaccinations sont à jour. Depuis 24 heures, il présente une rhinorrhée claire avec une toux sèche sans quintes, sans fièvre. Il se présente en consultation avec une température à 37°C. Ses constantes sont Fréquence Cardiaque : 130/min, Fréquence Respiratoire : 40/min, Saturation en O2 : 98%, Pression Artérielle Moyenne normale. A l'auscultation pulmonaire, il présente des râles sous crépitants et sibilants diffus. Il n'a pas de signe de lutte. Ses parents sont actuellement « enrhumés ». Il a bon appétit. Il s'agit du deuxième épisode de ce genre ; les deux parents ont présenté un asthme dans l’enfance. Quel est le diagnostic le plus probable parmi les propositions suivantes ? a. Pneumopathie infectieuse b. Bronchiolite c. Inhalation de corps étranger d. Ccoqueluche e. Asthme du nourrisson
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Vous recevez en consultation d'urgence, Théo âgé de 4 mois et demi amené par ses parents pour une toux récente. Son poids de naissance était de 3100g avec une naissance à terme sans complication. Il est le deuxième enfant du couple, l'ainée a 4 ans. Il est gardé par sa maman au domicile et est nourri au lait artificiel. Il pèse actuellement 6500g. Les vaccinations sont à jour. Depuis 24 heures, il présente une rhinorrhée claire avec une toux sèche sans quintes, sans fièvre. Il se présente en consultation avec une température à 37°C. Ses constantes sont Fréquence Cardiaque : 130/min, Fréquence Respiratoire : 40/min, Saturation en O2 : 98%, Pression Artérielle Moyenne normale. A l'auscultation pulmonaire, il présente des râles sous crépitants et sibilants diffus. Il n'a pas de signe de lutte. Ses parents sont actuellement « enrhumés ». Il a bon appétit. Il s'agit du deuxième épisode de ce genre ; les deux parents ont présenté un asthme dans l’enfance. Quel est le diagnostic le plus probable parmi les propositions suivantes ? a. Pneumopathie infectieuse b. Bronchiolite c. Inhalation de corps étranger d. Ccoqueluche e. Asthme du nourrisson A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le diagnostic de bronchiolite étant évoqué, parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles retenez-vous pour la prise en charge thérapeutique ? a. Traitement symptomatique par désinfections rhinopharyngées répétées et retour à domicile b. Radiographie de thorax avant de prendre une décision sur un traitement ambulatoire ou hospitalier c. Hospitalisation avec mise en route d'une oxygénothérapie car enfant âgé de moins de 6 mois d. Prescription d'un traitement médicamenteux anti viral e. Prescription d'une antibiothérapie systématique
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable.
Vous recevez en consultation d'urgence, Théo âgé de 4 mois et demi amené par ses parents pour une toux récente. Son poids de naissance était de 3100g avec une naissance à terme sans complication. Il est le deuxième enfant du couple, l'ainée a 4 ans. Il est gardé par sa maman au domicile et est nourri au lait artificiel. Il pèse actuellement 6500g. Les vaccinations sont à jour. Depuis 24 heures, il présente une rhinorrhée claire avec une toux sèche sans quintes, sans fièvre. Il se présente en consultation avec une température à 37°C. Ses constantes sont Fréquence Cardiaque : 130/min, Fréquence Respiratoire : 40/min, Saturation en O2 : 98%, Pression Artérielle Moyenne normale. A l'auscultation pulmonaire, il présente des râles sous crépitants et sibilants diffus. Il n'a pas de signe de lutte. Ses parents sont actuellement « enrhumés ». Il a bon appétit. Il s'agit du deuxième épisode de ce genre ; les deux parents ont présenté un asthme dans l’enfance. Quel est le diagnostic le plus probable parmi les propositions suivantes ? a. Pneumopathie infectieuse b. Bronchiolite c. Inhalation de corps étranger d. Ccoqueluche e. Asthme du nourrisson A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le diagnostic de bronchiolite étant évoqué, parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles retenez-vous pour la prise en charge thérapeutique ? a. Traitement symptomatique par désinfections rhinopharyngées répétées et retour à domicile b. Radiographie de thorax avant de prendre une décision sur un traitement ambulatoire ou hospitalier c. Hospitalisation avec mise en route d'une oxygénothérapie car enfant âgé de moins de 6 mois d. Prescription d'un traitement médicamenteux anti viral e. Prescription d'une antibiothérapie systématique A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. En ce qui concerne le diagnostic de bronchiolite, quelle(s)sont la(les)proposition(s)exacte(s)parmi les suivantes ? a. Le virus principalement retrouvé dans les bronchiolites du nourrisson est le virus para influenzae b. On prescrit systématiquement des beta2 mimétiques inhalés chez les enfants atteints de bronchiolite c. On prescrit systématiquement des corticoïdes inhalés chez les enfants atteints de bronchiolite d. L'immunothérapie par Palivizumab (Synagis) protège à 100% du virus et est proposée à tous les enfants. e. Toutes les propositions précédentes sont fausses
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Vous recevez en consultation d'urgence, Théo âgé de 4 mois et demi amené par ses parents pour une toux récente. Son poids de naissance était de 3100g avec une naissance à terme sans complication. Il est le deuxième enfant du couple, l'ainée a 4 ans. Il est gardé par sa maman au domicile et est nourri au lait artificiel. Il pèse actuellement 6500g. Les vaccinations sont à jour. Depuis 24 heures, il présente une rhinorrhée claire avec une toux sèche sans quintes, sans fièvre. Il se présente en consultation avec une température à 37°C. Ses constantes sont Fréquence Cardiaque : 130/min, Fréquence Respiratoire : 40/min, Saturation en O2 : 98%, Pression Artérielle Moyenne normale. A l'auscultation pulmonaire, il présente des râles sous crépitants et sibilants diffus. Il n'a pas de signe de lutte. Ses parents sont actuellement « enrhumés ». Il a bon appétit. Il s'agit du deuxième épisode de ce genre ; les deux parents ont présenté un asthme dans l’enfance. Quel est le diagnostic le plus probable parmi les propositions suivantes ? a. Pneumopathie infectieuse b. Bronchiolite c. Inhalation de corps étranger d. Ccoqueluche e. Asthme du nourrisson A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le diagnostic de bronchiolite étant évoqué, parmi les propositions suivantes, laquelle ou lesquelles retenez-vous pour la prise en charge thérapeutique ? a. Traitement symptomatique par désinfections rhinopharyngées répétées et retour à domicile b. Radiographie de thorax avant de prendre une décision sur un traitement ambulatoire ou hospitalier c. Hospitalisation avec mise en route d'une oxygénothérapie car enfant âgé de moins de 6 mois d. Prescription d'un traitement médicamenteux anti viral e. Prescription d'une antibiothérapie systématique A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. En ce qui concerne le diagnostic de bronchiolite, quelle(s)sont la(les)proposition(s)exacte(s)parmi les suivantes ? a. Le virus principalement retrouvé dans les bronchiolites du nourrisson est le virus para influenzae b. On prescrit systématiquement des beta2 mimétiques inhalés chez les enfants atteints de bronchiolite c. On prescrit systématiquement des corticoïdes inhalés chez les enfants atteints de bronchiolite d. L'immunothérapie par Palivizumab (Synagis) protège à 100% du virus et est proposée à tous les enfants. e. Toutes les propositions précédentes sont fausses A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Depuis votre consultation et votre prise en charge thérapeutique, l'état clinique de Théo ne s'améliore pas : la maman trouve qu'il va moins bien. Il se présente de nouveau en consultation, avec ses parents, 3 jours plus tard avec une température à 37,8°C. Ses constantes sont Fréquence Cardiaque : 150/min, Fréquence Respiratoire : 60/min, Saturation en O2 : 88%, Pression Artérielle Moyenne normale. Il présente des signes de lutte modérés avec balancement thoraco abdominal et tirage inter costal. Quelle est votre attitude diagnostique et thérapeutique ? a. Traitement symptomatique et retour à domicile b. Radiographie de thorax c. Mise en route d'une oxygénothérapie avec hospitalisation et traitement symptomatique par désinfections rhinopharyngées répétées d. Antibiothérapie systématique e. Alimentation fractionnée
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Réponses indispensables : C.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous recevez un homme de 74 ans au SAU. Il est amené par les pompiers pour dyspnée aigüe évoluant dans un contexte d'altération de l'état général (asthénie, anorexie, amaigrissement de 8 kg en 3 mois) et oedèmes indolores des membres inférieurs. Dans ses antécedents, on note un diabète de type 2 compliqué d'une insuffisance rénale chronique (clairance de la créatinine : 45 ml/min) en rupture de suivi depuis plusieurs années. Intoxication tabagique active, cumulée à 60 paquets-années. A l'admissiont : Pression arétrielle: 89/56, Fréquence cardiaque: 62/min, Saturation pulsée en oxygène: 89% en air ambiant, Température: 36,9°C, Fréquence respiratoire: 28/min, Glycémie capillaire: 17,3mmol/l La radiographie thoracique de face réalisée au SAU figure ci-dessous. Parmi les propositions suivantes, la(les)quelle(s) est(sont) justes a. Il existe une condensation alvéolaire lobaire inférieure gauche b. Il existe une condensation alvéolaire au niveau de la base pulmonaire droite c. Il existe une opacité de la base pulmonaire droite dense, homogène, effaçant les contours du coeur d. Il existe une opacité de la base droite limitée en haut par une ligne de Damoiseau e. Il existe une atélectasie complète du lobe inférieur droit
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous recevez un homme de 74 ans au SAU. Il est amené par les pompiers pour dyspnée aigüe évoluant dans un contexte d'altération de l'état général (asthénie, anorexie, amaigrissement de 8 kg en 3 mois) et oedèmes indolores des membres inférieurs. Dans ses antécedents, on note un diabète de type 2 compliqué d'une insuffisance rénale chronique (clairance de la créatinine : 45 ml/min) en rupture de suivi depuis plusieurs années. Intoxication tabagique active, cumulée à 60 paquets-années. A l'admissiont : Pression arétrielle: 89/56, Fréquence cardiaque: 62/min, Saturation pulsée en oxygène: 89% en air ambiant, Température: 36,9°C, Fréquence respiratoire: 28/min, Glycémie capillaire: 17,3mmol/l La radiographie thoracique de face réalisée au SAU figure ci-dessous. Parmi les propositions suivantes, la(les)quelle(s) est(sont) justes a. Il existe une condensation alvéolaire lobaire inférieure gauche b. Il existe une condensation alvéolaire au niveau de la base pulmonaire droite c. Il existe une opacité de la base pulmonaire droite dense, homogène, effaçant les contours du coeur d. Il existe une opacité de la base droite limitée en haut par une ligne de Damoiseau e. Il existe une atélectasie complète du lobe inférieur droit A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'echographie thoracique confirme le présence d'épanchements pleuraux bilatéraux prédominants à droite. Vous suspectez une insuffisance cardiaque gauche pour expliquer le tableau respiratoire, quel(s) signe(s) physique(s) parmi les suivants peuv(ent) être rencontré(s) dans le cadre d'une insuffisance cardiaque droite associée? a. Des crépitants bilatéraux à l'auscultation pulmonaire b. Une orthopnée c. une hépatalgie d'effort d. Une turgescence jugulaire e. Un signe de Harzer
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Vous recevez un homme de 74 ans au SAU. Il est amené par les pompiers pour dyspnée aigüe évoluant dans un contexte d'altération de l'état général (asthénie, anorexie, amaigrissement de 8 kg en 3 mois) et oedèmes indolores des membres inférieurs. Dans ses antécedents, on note un diabète de type 2 compliqué d'une insuffisance rénale chronique (clairance de la créatinine : 45 ml/min) en rupture de suivi depuis plusieurs années. Intoxication tabagique active, cumulée à 60 paquets-années. A l'admissiont : Pression arétrielle: 89/56, Fréquence cardiaque: 62/min, Saturation pulsée en oxygène: 89% en air ambiant, Température: 36,9°C, Fréquence respiratoire: 28/min, Glycémie capillaire: 17,3mmol/l La radiographie thoracique de face réalisée au SAU figure ci-dessous. Parmi les propositions suivantes, la(les)quelle(s) est(sont) justes a. Il existe une condensation alvéolaire lobaire inférieure gauche b. Il existe une condensation alvéolaire au niveau de la base pulmonaire droite c. Il existe une opacité de la base pulmonaire droite dense, homogène, effaçant les contours du coeur d. Il existe une opacité de la base droite limitée en haut par une ligne de Damoiseau e. Il existe une atélectasie complète du lobe inférieur droit A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'echographie thoracique confirme le présence d'épanchements pleuraux bilatéraux prédominants à droite. Vous suspectez une insuffisance cardiaque gauche pour expliquer le tableau respiratoire, quel(s) signe(s) physique(s) parmi les suivants peuv(ent) être rencontré(s) dans le cadre d'une insuffisance cardiaque droite associée? a. Des crépitants bilatéraux à l'auscultation pulmonaire b. Une orthopnée c. une hépatalgie d'effort d. Une turgescence jugulaire e. Un signe de Harzer A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. En posant la sonde d'echographie sur l'abdomen vous observez l'image ci-dessous. Parmi les propositions suivantes la(les)quelle(s) est(sont) juste(s)? a. Vous posez le diagnostic d'anasarque b. Vous posez le diagnostic d'ascite c. La flèche blanche sur l'image montre la présence d'air dans le péritoine d. cette image pourrait être observée au cours d'une cirrhose e. le patient pourrait présenter un signe du flot
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Monsieur X, 53 ans a pour principaux antécédents une cardiopathie ischémique stentée, une HTA, son traitement actuel comporte Kardégic (ac. acetylsalicylique) 75mg, Bisoprolol 2.5mg. Il est adressé par son médecin traitant en consultation de gastro entérologie devant l'apparition d'une anémie. Le bilan biologique joint trouve : Hb 10.5g/dL, , VGM 79 fL, réticulocytes 75 000/mm3 GB 3 800/mm3 ; Plaquettes 306 000/mm3, le TP est à 96% Ferritine 15ng/mL, ASAT= 43UI/L; ALAT 27UI/L; GGT=25UI/L; PAL =185UI/L; Bilirubine totale 18µmol/L; Albumine 35g/L Na 138mmol/L; K= 3.7mmol/L; Cl=102mmol/L; créatinine 84µmol/L Sur le plan clinique, il se plaint d'une asthénie associée a une dyspnée d'effort. L'interrogatoire trouve des douleurs abdominales épigastriques, fluctuantes, plutôt soulagées par les prises alimentaires. Votre examen clinique est normal a l'exception d'une paleur cutanéo muqueuse. Comment qualifiez vous cette anémie ? a. normocytaire b. macrocytaire c. microcytaire d. régénérative e. arégénérative
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Monsieur X, 53 ans a pour principaux antécédents une cardiopathie ischémique stentée, une HTA, son traitement actuel comporte Kardégic (ac. acetylsalicylique) 75mg, Bisoprolol 2.5mg. Il est adressé par son médecin traitant en consultation de gastro entérologie devant l'apparition d'une anémie. Le bilan biologique joint trouve : Hb 10.5g/dL, , VGM 79 fL, réticulocytes 75 000/mm3 GB 3 800/mm3 ; Plaquettes 306 000/mm3, le TP est à 96% Ferritine 15ng/mL, ASAT= 43UI/L; ALAT 27UI/L; GGT=25UI/L; PAL =185UI/L; Bilirubine totale 18µmol/L; Albumine 35g/L Na 138mmol/L; K= 3.7mmol/L; Cl=102mmol/L; créatinine 84µmol/L Sur le plan clinique, il se plaint d'une asthénie associée a une dyspnée d'effort. L'interrogatoire trouve des douleurs abdominales épigastriques, fluctuantes, plutôt soulagées par les prises alimentaires. Votre examen clinique est normal a l'exception d'une paleur cutanéo muqueuse. Comment qualifiez vous cette anémie ? a. normocytaire b. macrocytaire c. microcytaire d. régénérative e. arégénérative A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) examen(s) proposez vous en première intention ? a. Un scanner Thoraco Abdomino Pelvien Injecté b. Une recherche de sang dans les selles (HEMOCULT) c. Une Endoscopie Oeso Gastro Duodénale d. Une Coloscopie e. Un myelogramme
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Monsieur X, 53 ans a pour principaux antécédents une cardiopathie ischémique stentée, une HTA, son traitement actuel comporte Kardégic (ac. acetylsalicylique) 75mg, Bisoprolol 2.5mg. Il est adressé par son médecin traitant en consultation de gastro entérologie devant l'apparition d'une anémie. Le bilan biologique joint trouve : Hb 10.5g/dL, , VGM 79 fL, réticulocytes 75 000/mm3 GB 3 800/mm3 ; Plaquettes 306 000/mm3, le TP est à 96% Ferritine 15ng/mL, ASAT= 43UI/L; ALAT 27UI/L; GGT=25UI/L; PAL =185UI/L; Bilirubine totale 18µmol/L; Albumine 35g/L Na 138mmol/L; K= 3.7mmol/L; Cl=102mmol/L; créatinine 84µmol/L Sur le plan clinique, il se plaint d'une asthénie associée a une dyspnée d'effort. L'interrogatoire trouve des douleurs abdominales épigastriques, fluctuantes, plutôt soulagées par les prises alimentaires. Votre examen clinique est normal a l'exception d'une paleur cutanéo muqueuse. Comment qualifiez vous cette anémie ? a. normocytaire b. macrocytaire c. microcytaire d. régénérative e. arégénérative A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) examen(s) proposez vous en première intention ? a. Un scanner Thoraco Abdomino Pelvien Injecté b. Une recherche de sang dans les selles (HEMOCULT) c. Une Endoscopie Oeso Gastro Duodénale d. Une Coloscopie e. Un myelogramme A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. 48h après la consultation, avant la réalisation des examens préconisés, le patient est transféré aux urgences par SAMU, devant un malaise associé a du méléna et un épisode d'hématémèse. Quels sont les éléments pertinents pour évaluer la gravité initiale de cet épisode d'hémorragie digestive aigue ? a. L'estimation de la quantité de sang extériorisé b. La présence de signes d'hypertension portale c. L'hématocrite à la phase aigue d. L'évaluation du retentissement hémodynamique e. La prise de traitement anticoagulant ou anti agrégant plaquettaires
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Monsieur X, 53 ans a pour principaux antécédents une cardiopathie ischémique stentée, une HTA, son traitement actuel comporte Kardégic (ac. acetylsalicylique) 75mg, Bisoprolol 2.5mg. Il est adressé par son médecin traitant en consultation de gastro entérologie devant l'apparition d'une anémie. Le bilan biologique joint trouve : Hb 10.5g/dL, , VGM 79 fL, réticulocytes 75 000/mm3 GB 3 800/mm3 ; Plaquettes 306 000/mm3, le TP est à 96% Ferritine 15ng/mL, ASAT= 43UI/L; ALAT 27UI/L; GGT=25UI/L; PAL =185UI/L; Bilirubine totale 18µmol/L; Albumine 35g/L Na 138mmol/L; K= 3.7mmol/L; Cl=102mmol/L; créatinine 84µmol/L Sur le plan clinique, il se plaint d'une asthénie associée a une dyspnée d'effort. L'interrogatoire trouve des douleurs abdominales épigastriques, fluctuantes, plutôt soulagées par les prises alimentaires. Votre examen clinique est normal a l'exception d'une paleur cutanéo muqueuse. Comment qualifiez vous cette anémie ? a. normocytaire b. macrocytaire c. microcytaire d. régénérative e. arégénérative A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) examen(s) proposez vous en première intention ? a. Un scanner Thoraco Abdomino Pelvien Injecté b. Une recherche de sang dans les selles (HEMOCULT) c. Une Endoscopie Oeso Gastro Duodénale d. Une Coloscopie e. Un myelogramme A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. 48h après la consultation, avant la réalisation des examens préconisés, le patient est transféré aux urgences par SAMU, devant un malaise associé a du méléna et un épisode d'hématémèse. Quels sont les éléments pertinents pour évaluer la gravité initiale de cet épisode d'hémorragie digestive aigue ? a. L'estimation de la quantité de sang extériorisé b. La présence de signes d'hypertension portale c. L'hématocrite à la phase aigue d. L'évaluation du retentissement hémodynamique e. La prise de traitement anticoagulant ou anti agrégant plaquettaires A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. L'évaluation au box des urgences trouve : TA 90/55, FC 90bpm SpO2 97% en air ambiant, un score de Glasgow à 15. Il n' y a pas de signe d'hypertension portale. Le laboratoire d'hématologie vous appelle pour signaler une Hb à 6.3g/dL Quel(s) examen réalisez vous en urgence ? a. Angioscaner Abdomino-Pelvien b. Une vidéocapsule du grêle c. Une angiographie artérielle d. Une oeso-gastro-duodénoscopie e. Une coloscopie
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Monsieur X, 53 ans a pour principaux antécédents une cardiopathie ischémique stentée, une HTA, son traitement actuel comporte Kardégic (ac. acetylsalicylique) 75mg, Bisoprolol 2.5mg. Il est adressé par son médecin traitant en consultation de gastro entérologie devant l'apparition d'une anémie. Le bilan biologique joint trouve : Hb 10.5g/dL, , VGM 79 fL, réticulocytes 75 000/mm3 GB 3 800/mm3 ; Plaquettes 306 000/mm3, le TP est à 96% Ferritine 15ng/mL, ASAT= 43UI/L; ALAT 27UI/L; GGT=25UI/L; PAL =185UI/L; Bilirubine totale 18µmol/L; Albumine 35g/L Na 138mmol/L; K= 3.7mmol/L; Cl=102mmol/L; créatinine 84µmol/L Sur le plan clinique, il se plaint d'une asthénie associée a une dyspnée d'effort. L'interrogatoire trouve des douleurs abdominales épigastriques, fluctuantes, plutôt soulagées par les prises alimentaires. Votre examen clinique est normal a l'exception d'une paleur cutanéo muqueuse. Comment qualifiez vous cette anémie ? a. normocytaire b. macrocytaire c. microcytaire d. régénérative e. arégénérative A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) examen(s) proposez vous en première intention ? a. Un scanner Thoraco Abdomino Pelvien Injecté b. Une recherche de sang dans les selles (HEMOCULT) c. Une Endoscopie Oeso Gastro Duodénale d. Une Coloscopie e. Un myelogramme A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. 48h après la consultation, avant la réalisation des examens préconisés, le patient est transféré aux urgences par SAMU, devant un malaise associé a du méléna et un épisode d'hématémèse. Quels sont les éléments pertinents pour évaluer la gravité initiale de cet épisode d'hémorragie digestive aigue ? a. L'estimation de la quantité de sang extériorisé b. La présence de signes d'hypertension portale c. L'hématocrite à la phase aigue d. L'évaluation du retentissement hémodynamique e. La prise de traitement anticoagulant ou anti agrégant plaquettaires A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. L'évaluation au box des urgences trouve : TA 90/55, FC 90bpm SpO2 97% en air ambiant, un score de Glasgow à 15. Il n' y a pas de signe d'hypertension portale. Le laboratoire d'hématologie vous appelle pour signaler une Hb à 6.3g/dL Quel(s) examen réalisez vous en urgence ? a. Angioscaner Abdomino-Pelvien b. Une vidéocapsule du grêle c. Une angiographie artérielle d. Une oeso-gastro-duodénoscopie e. Une coloscopie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cet examen réalisé après les mesures de réanimation, met en évidence un ulcère de l'antre FOREST IIa Quels vont être les éléments de votre prise en charge ? a. Arrêt des anti agregants plaquettaires b. Traitement hémostatique endoscopique c. transfusion de culots globulaires d. IPP IVSE à la phase aigue puis relais Per Os pour une durée de 6 semaines e. IPP IVSE à la phase aigue puis relais Per Os avec poursuite au long cours
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Dans le contexte de stent coronarien, l'arrêt du Kardégic n'est pas souhaitable; Du fait de sa poursuite et de la présence d'un ulcère compliqué, le traitement par IPP doit être poursuivi . On pourra discuter avec le cardiologue du patient un relai vers un anti agreggant non gastro toxique.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Monsieur X, 53 ans a pour principaux antécédents une cardiopathie ischémique stentée, une HTA, son traitement actuel comporte Kardégic (ac. acetylsalicylique) 75mg, Bisoprolol 2.5mg. Il est adressé par son médecin traitant en consultation de gastro entérologie devant l'apparition d'une anémie. Le bilan biologique joint trouve : Hb 10.5g/dL, , VGM 79 fL, réticulocytes 75 000/mm3 GB 3 800/mm3 ; Plaquettes 306 000/mm3, le TP est à 96% Ferritine 15ng/mL, ASAT= 43UI/L; ALAT 27UI/L; GGT=25UI/L; PAL =185UI/L; Bilirubine totale 18µmol/L; Albumine 35g/L Na 138mmol/L; K= 3.7mmol/L; Cl=102mmol/L; créatinine 84µmol/L Sur le plan clinique, il se plaint d'une asthénie associée a une dyspnée d'effort. L'interrogatoire trouve des douleurs abdominales épigastriques, fluctuantes, plutôt soulagées par les prises alimentaires. Votre examen clinique est normal a l'exception d'une paleur cutanéo muqueuse. Comment qualifiez vous cette anémie ? a. normocytaire b. macrocytaire c. microcytaire d. régénérative e. arégénérative A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) examen(s) proposez vous en première intention ? a. Un scanner Thoraco Abdomino Pelvien Injecté b. Une recherche de sang dans les selles (HEMOCULT) c. Une Endoscopie Oeso Gastro Duodénale d. Une Coloscopie e. Un myelogramme A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. 48h après la consultation, avant la réalisation des examens préconisés, le patient est transféré aux urgences par SAMU, devant un malaise associé a du méléna et un épisode d'hématémèse. Quels sont les éléments pertinents pour évaluer la gravité initiale de cet épisode d'hémorragie digestive aigue ? a. L'estimation de la quantité de sang extériorisé b. La présence de signes d'hypertension portale c. L'hématocrite à la phase aigue d. L'évaluation du retentissement hémodynamique e. La prise de traitement anticoagulant ou anti agrégant plaquettaires A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. L'évaluation au box des urgences trouve : TA 90/55, FC 90bpm SpO2 97% en air ambiant, un score de Glasgow à 15. Il n' y a pas de signe d'hypertension portale. Le laboratoire d'hématologie vous appelle pour signaler une Hb à 6.3g/dL Quel(s) examen réalisez vous en urgence ? a. Angioscaner Abdomino-Pelvien b. Une vidéocapsule du grêle c. Une angiographie artérielle d. Une oeso-gastro-duodénoscopie e. Une coloscopie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cet examen réalisé après les mesures de réanimation, met en évidence un ulcère de l'antre FOREST IIa Quels vont être les éléments de votre prise en charge ? a. Arrêt des anti agregants plaquettaires b. Traitement hémostatique endoscopique c. transfusion de culots globulaires d. IPP IVSE à la phase aigue puis relais Per Os pour une durée de 6 semaines e. IPP IVSE à la phase aigue puis relais Per Os avec poursuite au long cours A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Dans le contexte de stent coronarien, l'arrêt du Kardégic n'est pas souhaitable; Du fait de sa poursuite et de la présence d'un ulcère compliqué, le traitement par IPP doit être poursuivi . On pourra discuter avec le cardiologue du patient un relai vers un anti agreggant non gastro toxique. Concernant l'étiologie des ulcères gastro-duodénaux, quelles sont les propositions vraies ? a. les ulcères gastriques sont liés essentiellement à des situations d’hypersécrétion acide b. Un syndrome de Zollinger-Ellison doit être évoqué en cas d’ulcères multiples ou récidivants c. L'infection à Campylobacter jejunii est un facteur de risque d'ulcère gastro duodénal d. La prise d'AINS inhibant COX-1 altère les mécanismes de défense de la muqueuse et favorise la survenue d’ulcères e. L’aspirine administrée à faible dose, à visée antiagrégante, n'a pas de potentiel ulcérogène
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Monsieur X, 53 ans a pour principaux antécédents une cardiopathie ischémique stentée, une HTA, son traitement actuel comporte Kardégic (ac. acetylsalicylique) 75mg, Bisoprolol 2.5mg. Il est adressé par son médecin traitant en consultation de gastro entérologie devant l'apparition d'une anémie. Le bilan biologique joint trouve : Hb 10.5g/dL, , VGM 79 fL, réticulocytes 75 000/mm3 GB 3 800/mm3 ; Plaquettes 306 000/mm3, le TP est à 96% Ferritine 15ng/mL, ASAT= 43UI/L; ALAT 27UI/L; GGT=25UI/L; PAL =185UI/L; Bilirubine totale 18µmol/L; Albumine 35g/L Na 138mmol/L; K= 3.7mmol/L; Cl=102mmol/L; créatinine 84µmol/L Sur le plan clinique, il se plaint d'une asthénie associée a une dyspnée d'effort. L'interrogatoire trouve des douleurs abdominales épigastriques, fluctuantes, plutôt soulagées par les prises alimentaires. Votre examen clinique est normal a l'exception d'une paleur cutanéo muqueuse. Comment qualifiez vous cette anémie ? a. normocytaire b. macrocytaire c. microcytaire d. régénérative e. arégénérative A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) examen(s) proposez vous en première intention ? a. Un scanner Thoraco Abdomino Pelvien Injecté b. Une recherche de sang dans les selles (HEMOCULT) c. Une Endoscopie Oeso Gastro Duodénale d. Une Coloscopie e. Un myelogramme A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. 48h après la consultation, avant la réalisation des examens préconisés, le patient est transféré aux urgences par SAMU, devant un malaise associé a du méléna et un épisode d'hématémèse. Quels sont les éléments pertinents pour évaluer la gravité initiale de cet épisode d'hémorragie digestive aigue ? a. L'estimation de la quantité de sang extériorisé b. La présence de signes d'hypertension portale c. L'hématocrite à la phase aigue d. L'évaluation du retentissement hémodynamique e. La prise de traitement anticoagulant ou anti agrégant plaquettaires A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. L'évaluation au box des urgences trouve : TA 90/55, FC 90bpm SpO2 97% en air ambiant, un score de Glasgow à 15. Il n' y a pas de signe d'hypertension portale. Le laboratoire d'hématologie vous appelle pour signaler une Hb à 6.3g/dL Quel(s) examen réalisez vous en urgence ? a. Angioscaner Abdomino-Pelvien b. Une vidéocapsule du grêle c. Une angiographie artérielle d. Une oeso-gastro-duodénoscopie e. Une coloscopie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cet examen réalisé après les mesures de réanimation, met en évidence un ulcère de l'antre FOREST IIa Quels vont être les éléments de votre prise en charge ? a. Arrêt des anti agregants plaquettaires b. Traitement hémostatique endoscopique c. transfusion de culots globulaires d. IPP IVSE à la phase aigue puis relais Per Os pour une durée de 6 semaines e. IPP IVSE à la phase aigue puis relais Per Os avec poursuite au long cours A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Dans le contexte de stent coronarien, l'arrêt du Kardégic n'est pas souhaitable; Du fait de sa poursuite et de la présence d'un ulcère compliqué, le traitement par IPP doit être poursuivi . On pourra discuter avec le cardiologue du patient un relai vers un anti agreggant non gastro toxique. Concernant l'étiologie des ulcères gastro-duodénaux, quelles sont les propositions vraies ? a. les ulcères gastriques sont liés essentiellement à des situations d’hypersécrétion acide b. Un syndrome de Zollinger-Ellison doit être évoqué en cas d’ulcères multiples ou récidivants c. L'infection à Campylobacter jejunii est un facteur de risque d'ulcère gastro duodénal d. La prise d'AINS inhibant COX-1 altère les mécanismes de défense de la muqueuse et favorise la survenue d’ulcères e. L’aspirine administrée à faible dose, à visée antiagrégante, n'a pas de potentiel ulcérogène A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. concernant les ulcères gastro-duodénaux, quelles sont les propositions vraies ? a. les biopsies des berges d'un ulcère gastrique sont indispensable pour ne pas méconnaitre un adénocarcinome b. les biopsies des berges d'un ulcère duodénal sont indispensable pour ne pas méconnaitre un adénocarcinome c. Quelle que soit la localisation de l’ulcère, des biopsies de l’antre, de l’angle et du fundus doivent être réalisées pour chercher la présence de H. pylori et évaluer le degré de gastrite d. « Le stress » ou les facteurs psychologiques n’ont aucun rôle démontré dans la physiopathologie de l’ulcère. e. La gastrite liée à H. pylori peut se compliquer d’un ulcère gastrique ou d’un ulcère duodénal.
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Monsieur X, 53 ans a pour principaux antécédents une cardiopathie ischémique stentée, une HTA, son traitement actuel comporte Kardégic (ac. acetylsalicylique) 75mg, Bisoprolol 2.5mg. Il est adressé par son médecin traitant en consultation de gastro entérologie devant l'apparition d'une anémie. Le bilan biologique joint trouve : Hb 10.5g/dL, , VGM 79 fL, réticulocytes 75 000/mm3 GB 3 800/mm3 ; Plaquettes 306 000/mm3, le TP est à 96% Ferritine 15ng/mL, ASAT= 43UI/L; ALAT 27UI/L; GGT=25UI/L; PAL =185UI/L; Bilirubine totale 18µmol/L; Albumine 35g/L Na 138mmol/L; K= 3.7mmol/L; Cl=102mmol/L; créatinine 84µmol/L Sur le plan clinique, il se plaint d'une asthénie associée a une dyspnée d'effort. L'interrogatoire trouve des douleurs abdominales épigastriques, fluctuantes, plutôt soulagées par les prises alimentaires. Votre examen clinique est normal a l'exception d'une paleur cutanéo muqueuse. Comment qualifiez vous cette anémie ? a. normocytaire b. macrocytaire c. microcytaire d. régénérative e. arégénérative A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel(s) examen(s) proposez vous en première intention ? a. Un scanner Thoraco Abdomino Pelvien Injecté b. Une recherche de sang dans les selles (HEMOCULT) c. Une Endoscopie Oeso Gastro Duodénale d. Une Coloscopie e. Un myelogramme A: Choix incorrect, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. 48h après la consultation, avant la réalisation des examens préconisés, le patient est transféré aux urgences par SAMU, devant un malaise associé a du méléna et un épisode d'hématémèse. Quels sont les éléments pertinents pour évaluer la gravité initiale de cet épisode d'hémorragie digestive aigue ? a. L'estimation de la quantité de sang extériorisé b. La présence de signes d'hypertension portale c. L'hématocrite à la phase aigue d. L'évaluation du retentissement hémodynamique e. La prise de traitement anticoagulant ou anti agrégant plaquettaires A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. L'évaluation au box des urgences trouve : TA 90/55, FC 90bpm SpO2 97% en air ambiant, un score de Glasgow à 15. Il n' y a pas de signe d'hypertension portale. Le laboratoire d'hématologie vous appelle pour signaler une Hb à 6.3g/dL Quel(s) examen réalisez vous en urgence ? a. Angioscaner Abdomino-Pelvien b. Une vidéocapsule du grêle c. Une angiographie artérielle d. Une oeso-gastro-duodénoscopie e. Une coloscopie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cet examen réalisé après les mesures de réanimation, met en évidence un ulcère de l'antre FOREST IIa Quels vont être les éléments de votre prise en charge ? a. Arrêt des anti agregants plaquettaires b. Traitement hémostatique endoscopique c. transfusion de culots globulaires d. IPP IVSE à la phase aigue puis relais Per Os pour une durée de 6 semaines e. IPP IVSE à la phase aigue puis relais Per Os avec poursuite au long cours A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Dans le contexte de stent coronarien, l'arrêt du Kardégic n'est pas souhaitable; Du fait de sa poursuite et de la présence d'un ulcère compliqué, le traitement par IPP doit être poursuivi . On pourra discuter avec le cardiologue du patient un relai vers un anti agreggant non gastro toxique. Concernant l'étiologie des ulcères gastro-duodénaux, quelles sont les propositions vraies ? a. les ulcères gastriques sont liés essentiellement à des situations d’hypersécrétion acide b. Un syndrome de Zollinger-Ellison doit être évoqué en cas d’ulcères multiples ou récidivants c. L'infection à Campylobacter jejunii est un facteur de risque d'ulcère gastro duodénal d. La prise d'AINS inhibant COX-1 altère les mécanismes de défense de la muqueuse et favorise la survenue d’ulcères e. L’aspirine administrée à faible dose, à visée antiagrégante, n'a pas de potentiel ulcérogène A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. concernant les ulcères gastro-duodénaux, quelles sont les propositions vraies ? a. les biopsies des berges d'un ulcère gastrique sont indispensable pour ne pas méconnaitre un adénocarcinome b. les biopsies des berges d'un ulcère duodénal sont indispensable pour ne pas méconnaitre un adénocarcinome c. Quelle que soit la localisation de l’ulcère, des biopsies de l’antre, de l’angle et du fundus doivent être réalisées pour chercher la présence de H. pylori et évaluer le degré de gastrite d. « Le stress » ou les facteurs psychologiques n’ont aucun rôle démontré dans la physiopathologie de l’ulcère. e. La gastrite liée à H. pylori peut se compliquer d’un ulcère gastrique ou d’un ulcère duodénal. A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Un contrôle endoscopique est réalisé à 8 semaines. Celui ci montre la persistance de l'ulcère antral. Des biopsies gastriques sont réalisées, trouvant une infection à Helicobacter Pylori. Parmi les propositions suivantes, lesquelles sont vraies ? a. Le traitement de première intention est une quadrithérapie concomitante associant IPP, Amoxicilline, Clarithromycine et Metronidazole pendant 14jours b. Le traitement de première intention est une quadrithérapie Bismuthée associant Oméprazole, Bismuth, Metronidazole et tetracycline pendant 10 jours c. Une étude de la sensibilité à la clarithromycine peut être réalisée en cas d'échec du traitement probabiliste d. La négativation de la sérologie Helicobacter Pylori signe l'éradication de la bactérie e. La négativation du test respiratoire à l'urée marquée signe l'éradication de la bactérie
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Un patient de 51 ans consulte aux urgences pour des crachats de sang. Il n’a pas d’antécédent en dehors d’un tabagisme actif à 42 PA. Il vous déclare n’avoir aucun de problème de santé et ne prendre aucun traitement. Il décrit une altération de l’état général depuis 3 semaines et des crachats de sang depuis 3 jours, survenant à l’occasion d’une toux, sans épistaxis ni saignement buccal. Il quantifie ce saignement à 2 cuillères à soupe/jour. A l’arrivée au Service d’Accueil des Urgences, les paramètres vitaux montrent une pression artérielle à 164/104 mmHg, une fréquence cardiaque à 113/minute, une fréquence respiratoire à 24/min, une SpO2 à 98% en air ambiant et une température à 37,6 °C. L’examen clinique ne note pas de signe de détresse respiratoire. L’auscultation met en évidence des ronchi prédominant à gauche. Il existe une hépatomégalie. Vous objectivez un hippocratisme digital. Au cours de votre examen, le patient émet un nouveau crachat hémoptoique (<1 mL). A propos de l’hippocratisme digital, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ? a. il est défini par un angle entre l’ongle et le lit de l’ongle supérieur à 180° b. il est systématiquement associé au syndrome de Pierre Marie Foix c. il peut être présent chez les patients atteints de mucoviscidose d. il peut être observé chez les patients cirrhotiques e. il peut être observé chez les patients insuffisants respiratoires chroniques
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les mécanismes physiopathologiques sont mal compris, il existe certainement une hypoxie chronique avec micro thrombi et libération de VEGF mais pas uniquement. Toujours demander l’ancienneté de l’hippocratisme (depuis toujours ou quelques années) L’hippocratisme digital s’observe dans de nombreuses pathologies (cardiopathies cyanogènes, cancers bronchiques, cirrhose, fibrose pulmonaire, mucoviscidose , MICI).
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Un patient de 51 ans consulte aux urgences pour des crachats de sang. Il n’a pas d’antécédent en dehors d’un tabagisme actif à 42 PA. Il vous déclare n’avoir aucun de problème de santé et ne prendre aucun traitement. Il décrit une altération de l’état général depuis 3 semaines et des crachats de sang depuis 3 jours, survenant à l’occasion d’une toux, sans épistaxis ni saignement buccal. Il quantifie ce saignement à 2 cuillères à soupe/jour. A l’arrivée au Service d’Accueil des Urgences, les paramètres vitaux montrent une pression artérielle à 164/104 mmHg, une fréquence cardiaque à 113/minute, une fréquence respiratoire à 24/min, une SpO2 à 98% en air ambiant et une température à 37,6 °C. L’examen clinique ne note pas de signe de détresse respiratoire. L’auscultation met en évidence des ronchi prédominant à gauche. Il existe une hépatomégalie. Vous objectivez un hippocratisme digital. Au cours de votre examen, le patient émet un nouveau crachat hémoptoique (<1 mL). A propos de l’hippocratisme digital, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) exacte(s) ? a. il est défini par un angle entre l’ongle et le lit de l’ongle supérieur à 180° b. il est systématiquement associé au syndrome de Pierre Marie Foix c. il peut être présent chez les patients atteints de mucoviscidose d. il peut être observé chez les patients cirrhotiques e. il peut être observé chez les patients insuffisants respiratoires chroniques A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les mécanismes physiopathologiques sont mal compris, il existe certainement une hypoxie chronique avec micro thrombi et libération de VEGF mais pas uniquement. Toujours demander l’ancienneté de l’hippocratisme (depuis toujours ou quelques années) L’hippocratisme digital s’observe dans de nombreuses pathologies (cardiopathies cyanogènes, cancers bronchiques, cirrhose, fibrose pulmonaire, mucoviscidose , MICI). A propos de l’hémoptysie décrite ici, diriez-vous : a. qu’elle est quantifiée à moins de 100 mL b. qu’elle indique la réalisation d’une tomodensitométrie injectée en urgence c. qu’elle indique la réalisation une bronchoscopie souple en urgence d. qu’elle indique une mesure de l’hémoglobine capillaire (Hemocue®) en urgence e. qu’elle indique l’administration intraveineuse de terlipressine en urgence
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Une cuillère à soupe = 10- 12 mL soit environ 70 mL Le TDM thoracique est l’examen clé, il permet de localiser le saignement et précise le mécanisme. La fibroscopie n’a d’intérêt que pour affiner la localisation lorsque le scanner ne le permet pas ou en cas de suspicion d’hémorragie intra alvéolaire. Le retentissement d’une hémoptysie est respiratoire et non hémodynamique (pas d’anémie dans une hémoptysie d’origine bronchique). La terlipressine a une indication dans les hémoptysies de grande abondance > 200 cc ou avec une mauvaise tolérance respiratoire mais ne doit pas retarder l’artérioembolisation.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable.
Mme P. 46 ans présente brutalement un malaise avec perte de connaissance en présence de sa famille alors qu'elle fait les soldes à Chatelet les Halles. Vous êtes sur place car vous faites également les soldes. Quels sont vos premiers réflexes ? a. lever les jambes b. masser le glomus carotidien c. Libérer les voies aériennes d. Mettre la patiente en position latérale de sécurité e. rechercher des signes de vie
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. l’urgence est de rechercher des signes de vie.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable.
Mme P. 46 ans présente brutalement un malaise avec perte de connaissance en présence de sa famille alors qu'elle fait les soldes à Chatelet les Halles. Vous êtes sur place car vous faites également les soldes. Quels sont vos premiers réflexes ? a. lever les jambes b. masser le glomus carotidien c. Libérer les voies aériennes d. Mettre la patiente en position latérale de sécurité e. rechercher des signes de vie A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. l’urgence est de rechercher des signes de vie. Vous posez le diagnostic d'arrêt cardio-respiratoire devant une patiente qui ne respire pas et n'a pas de pouls. Que faites-vous ? a. massage cardiaque externe 60 compressions par minute b. massage cardiaque externe 100 compressions par minute c. insufflation d'air par la technique du "bouche à bouche" sur un schéma 30:2 d. faire chercher un défibrillateur semi-automatique e. attente des secours en mettant la victime en position latérale de sécurité
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect et inacceptable.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Melle A, 37 ans, 2ème pare accouche à 39 SA+5j. sous anesthésie péridurale à 10h25 d’une fille de 4150 g par spatules au terme de 40 min d’efforts expulsifs. La patiente est entrée en travail à 6H15 du matin après une rupture spontanée des membranes. Au décours immédiat du dégagement de l’épaule antérieur une délivrance dirigée a été réalisée. La délivrance a été dirigée et le placenta semble complet. A 10h45, un saignement évalué à 500ml est extériorisé à la vulve avec à l’examen, un utérus mou remontant au dessus de l’ombilic. L'expression utérine ramene 200 cc supplémentaire. Vous suspectez une Hémorragie du Post-Partum (HPP). Quelle est la définition de l'HPP ? a. Pertes sanguines supérieures à 400 cc dans les 24 heures suivant un accouchement b. Pertes sanguines supérieures à 500 cc dans les 24 heures suivant un accouchement c. Pertes sanguines supérieures à 600 cc dans les 24 heures suivant un accouchement d. Pertes sanguines supérieures à 700 cc dans les 24 heures suivant un accouchement e. Pertes sanguines supérieures à 800 cc dans les 24 heures suivant un accouchement
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Melle A, 37 ans, 2ème pare accouche à 39 SA+5j. sous anesthésie péridurale à 10h25 d’une fille de 4150 g par spatules au terme de 40 min d’efforts expulsifs. La patiente est entrée en travail à 6H15 du matin après une rupture spontanée des membranes. Au décours immédiat du dégagement de l’épaule antérieur une délivrance dirigée a été réalisée. La délivrance a été dirigée et le placenta semble complet. A 10h45, un saignement évalué à 500ml est extériorisé à la vulve avec à l’examen, un utérus mou remontant au dessus de l’ombilic. L'expression utérine ramene 200 cc supplémentaire. Vous suspectez une Hémorragie du Post-Partum (HPP). Quelle est la définition de l'HPP ? a. Pertes sanguines supérieures à 400 cc dans les 24 heures suivant un accouchement b. Pertes sanguines supérieures à 500 cc dans les 24 heures suivant un accouchement c. Pertes sanguines supérieures à 600 cc dans les 24 heures suivant un accouchement d. Pertes sanguines supérieures à 700 cc dans les 24 heures suivant un accouchement e. Pertes sanguines supérieures à 800 cc dans les 24 heures suivant un accouchement A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une Hémorragie du Post Partum (HPP). Quelle en est l'étiologie la plus probable dans ce cas clinique ? a. Déchirure périnéale b. Déchirure cervicale c. Atonie Utérine d. Retention placentaire e. Placenta praevia
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'atonie utérine est le plus probable contenu des SC : un uterus mou (atone) et remontant au dessus de l'ombilic et du contexte macrosomie foetale, durée longue des efforts expulsifs.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable.
Melle A, 37 ans, 2ème pare accouche à 39 SA+5j. sous anesthésie péridurale à 10h25 d’une fille de 4150 g par spatules au terme de 40 min d’efforts expulsifs. La patiente est entrée en travail à 6H15 du matin après une rupture spontanée des membranes. Au décours immédiat du dégagement de l’épaule antérieur une délivrance dirigée a été réalisée. La délivrance a été dirigée et le placenta semble complet. A 10h45, un saignement évalué à 500ml est extériorisé à la vulve avec à l’examen, un utérus mou remontant au dessus de l’ombilic. L'expression utérine ramene 200 cc supplémentaire. Vous suspectez une Hémorragie du Post-Partum (HPP). Quelle est la définition de l'HPP ? a. Pertes sanguines supérieures à 400 cc dans les 24 heures suivant un accouchement b. Pertes sanguines supérieures à 500 cc dans les 24 heures suivant un accouchement c. Pertes sanguines supérieures à 600 cc dans les 24 heures suivant un accouchement d. Pertes sanguines supérieures à 700 cc dans les 24 heures suivant un accouchement e. Pertes sanguines supérieures à 800 cc dans les 24 heures suivant un accouchement A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une Hémorragie du Post Partum (HPP). Quelle en est l'étiologie la plus probable dans ce cas clinique ? a. Déchirure périnéale b. Déchirure cervicale c. Atonie Utérine d. Retention placentaire e. Placenta praevia A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'atonie utérine est le plus probable contenu des SC : un uterus mou (atone) et remontant au dessus de l'ombilic et du contexte macrosomie foetale, durée longue des efforts expulsifs. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quels facteurs de risque en faveur d'une atonie utérine relevez-vous dans l'énoncé ? a. Durée longue du travail b. Durée longue des efforts expulsifs c. Rupture spontanée des membranes d. Délivrance dirigée e. Macrosomie foetale
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Melle A, 37 ans, 2ème pare accouche à 39 SA+5j. sous anesthésie péridurale à 10h25 d’une fille de 4150 g par spatules au terme de 40 min d’efforts expulsifs. La patiente est entrée en travail à 6H15 du matin après une rupture spontanée des membranes. Au décours immédiat du dégagement de l’épaule antérieur une délivrance dirigée a été réalisée. La délivrance a été dirigée et le placenta semble complet. A 10h45, un saignement évalué à 500ml est extériorisé à la vulve avec à l’examen, un utérus mou remontant au dessus de l’ombilic. L'expression utérine ramene 200 cc supplémentaire. Vous suspectez une Hémorragie du Post-Partum (HPP). Quelle est la définition de l'HPP ? a. Pertes sanguines supérieures à 400 cc dans les 24 heures suivant un accouchement b. Pertes sanguines supérieures à 500 cc dans les 24 heures suivant un accouchement c. Pertes sanguines supérieures à 600 cc dans les 24 heures suivant un accouchement d. Pertes sanguines supérieures à 700 cc dans les 24 heures suivant un accouchement e. Pertes sanguines supérieures à 800 cc dans les 24 heures suivant un accouchement A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une Hémorragie du Post Partum (HPP). Quelle en est l'étiologie la plus probable dans ce cas clinique ? a. Déchirure périnéale b. Déchirure cervicale c. Atonie Utérine d. Retention placentaire e. Placenta praevia A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'atonie utérine est le plus probable contenu des SC : un uterus mou (atone) et remontant au dessus de l'ombilic et du contexte macrosomie foetale, durée longue des efforts expulsifs. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quels facteurs de risque en faveur d'une atonie utérine relevez-vous dans l'énoncé ? a. Durée longue du travail b. Durée longue des efforts expulsifs c. Rupture spontanée des membranes d. Délivrance dirigée e. Macrosomie foetale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles mesures doivent être réalisées par l'équipe d'anesthésie en première intention? a. Oxygénothérapie b. Expansion éventuelle par cristalloïdes c. Injection de sulprostone d. Réinjection éventuelle dans la péridurale si douleur e. Vérification de la carte de groupe sanguin
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. cf reco HPP 2014.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Melle A, 37 ans, 2ème pare accouche à 39 SA+5j. sous anesthésie péridurale à 10h25 d’une fille de 4150 g par spatules au terme de 40 min d’efforts expulsifs. La patiente est entrée en travail à 6H15 du matin après une rupture spontanée des membranes. Au décours immédiat du dégagement de l’épaule antérieur une délivrance dirigée a été réalisée. La délivrance a été dirigée et le placenta semble complet. A 10h45, un saignement évalué à 500ml est extériorisé à la vulve avec à l’examen, un utérus mou remontant au dessus de l’ombilic. L'expression utérine ramene 200 cc supplémentaire. Vous suspectez une Hémorragie du Post-Partum (HPP). Quelle est la définition de l'HPP ? a. Pertes sanguines supérieures à 400 cc dans les 24 heures suivant un accouchement b. Pertes sanguines supérieures à 500 cc dans les 24 heures suivant un accouchement c. Pertes sanguines supérieures à 600 cc dans les 24 heures suivant un accouchement d. Pertes sanguines supérieures à 700 cc dans les 24 heures suivant un accouchement e. Pertes sanguines supérieures à 800 cc dans les 24 heures suivant un accouchement A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une Hémorragie du Post Partum (HPP). Quelle en est l'étiologie la plus probable dans ce cas clinique ? a. Déchirure périnéale b. Déchirure cervicale c. Atonie Utérine d. Retention placentaire e. Placenta praevia A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'atonie utérine est le plus probable contenu des SC : un uterus mou (atone) et remontant au dessus de l'ombilic et du contexte macrosomie foetale, durée longue des efforts expulsifs. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quels facteurs de risque en faveur d'une atonie utérine relevez-vous dans l'énoncé ? a. Durée longue du travail b. Durée longue des efforts expulsifs c. Rupture spontanée des membranes d. Délivrance dirigée e. Macrosomie foetale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles mesures doivent être réalisées par l'équipe d'anesthésie en première intention? a. Oxygénothérapie b. Expansion éventuelle par cristalloïdes c. Injection de sulprostone d. Réinjection éventuelle dans la péridurale si douleur e. Vérification de la carte de groupe sanguin A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. cf reco HPP 2014. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles gestes doivent être réalisés sur le plan obstétrical dans l'immédiat a. Révision de la filiere génitale sous valves b. Sondage urinaire c. Révision utérine d. Massage utérin e. Mise en place d'un ballon de bakri (Tamponnement intra-utérin)
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. cf Algorithme de prise en charge des RPC CNGOF-ASFAR 2014.
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Melle A, 37 ans, 2ème pare accouche à 39 SA+5j. sous anesthésie péridurale à 10h25 d’une fille de 4150 g par spatules au terme de 40 min d’efforts expulsifs. La patiente est entrée en travail à 6H15 du matin après une rupture spontanée des membranes. Au décours immédiat du dégagement de l’épaule antérieur une délivrance dirigée a été réalisée. La délivrance a été dirigée et le placenta semble complet. A 10h45, un saignement évalué à 500ml est extériorisé à la vulve avec à l’examen, un utérus mou remontant au dessus de l’ombilic. L'expression utérine ramene 200 cc supplémentaire. Vous suspectez une Hémorragie du Post-Partum (HPP). Quelle est la définition de l'HPP ? a. Pertes sanguines supérieures à 400 cc dans les 24 heures suivant un accouchement b. Pertes sanguines supérieures à 500 cc dans les 24 heures suivant un accouchement c. Pertes sanguines supérieures à 600 cc dans les 24 heures suivant un accouchement d. Pertes sanguines supérieures à 700 cc dans les 24 heures suivant un accouchement e. Pertes sanguines supérieures à 800 cc dans les 24 heures suivant un accouchement A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une Hémorragie du Post Partum (HPP). Quelle en est l'étiologie la plus probable dans ce cas clinique ? a. Déchirure périnéale b. Déchirure cervicale c. Atonie Utérine d. Retention placentaire e. Placenta praevia A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'atonie utérine est le plus probable contenu des SC : un uterus mou (atone) et remontant au dessus de l'ombilic et du contexte macrosomie foetale, durée longue des efforts expulsifs. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quels facteurs de risque en faveur d'une atonie utérine relevez-vous dans l'énoncé ? a. Durée longue du travail b. Durée longue des efforts expulsifs c. Rupture spontanée des membranes d. Délivrance dirigée e. Macrosomie foetale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles mesures doivent être réalisées par l'équipe d'anesthésie en première intention? a. Oxygénothérapie b. Expansion éventuelle par cristalloïdes c. Injection de sulprostone d. Réinjection éventuelle dans la péridurale si douleur e. Vérification de la carte de groupe sanguin A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. cf reco HPP 2014. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles gestes doivent être réalisés sur le plan obstétrical dans l'immédiat a. Révision de la filiere génitale sous valves b. Sondage urinaire c. Révision utérine d. Massage utérin e. Mise en place d'un ballon de bakri (Tamponnement intra-utérin) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. cf Algorithme de prise en charge des RPC CNGOF-ASFAR 2014. Vous vérifiez la carte de groupe sanguin. En attendant l’administration de culots globulaires iso groupe, quel culot globulaire transfusez vous ?.
0 negatif, O negatif, O négatif, O-, o -, 0 négatif, , Concentrés de globules rouges O négatif, Culot globulaire O-, Groupe O négatif, Groupe O-, O -, O rhesus negatif, O rhésus négatif, o negatif, o négatif.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable.
Melle A, 37 ans, 2ème pare accouche à 39 SA+5j. sous anesthésie péridurale à 10h25 d’une fille de 4150 g par spatules au terme de 40 min d’efforts expulsifs. La patiente est entrée en travail à 6H15 du matin après une rupture spontanée des membranes. Au décours immédiat du dégagement de l’épaule antérieur une délivrance dirigée a été réalisée. La délivrance a été dirigée et le placenta semble complet. A 10h45, un saignement évalué à 500ml est extériorisé à la vulve avec à l’examen, un utérus mou remontant au dessus de l’ombilic. L'expression utérine ramene 200 cc supplémentaire. Vous suspectez une Hémorragie du Post-Partum (HPP). Quelle est la définition de l'HPP ? a. Pertes sanguines supérieures à 400 cc dans les 24 heures suivant un accouchement b. Pertes sanguines supérieures à 500 cc dans les 24 heures suivant un accouchement c. Pertes sanguines supérieures à 600 cc dans les 24 heures suivant un accouchement d. Pertes sanguines supérieures à 700 cc dans les 24 heures suivant un accouchement e. Pertes sanguines supérieures à 800 cc dans les 24 heures suivant un accouchement A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une Hémorragie du Post Partum (HPP). Quelle en est l'étiologie la plus probable dans ce cas clinique ? a. Déchirure périnéale b. Déchirure cervicale c. Atonie Utérine d. Retention placentaire e. Placenta praevia A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'atonie utérine est le plus probable contenu des SC : un uterus mou (atone) et remontant au dessus de l'ombilic et du contexte macrosomie foetale, durée longue des efforts expulsifs. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quels facteurs de risque en faveur d'une atonie utérine relevez-vous dans l'énoncé ? a. Durée longue du travail b. Durée longue des efforts expulsifs c. Rupture spontanée des membranes d. Délivrance dirigée e. Macrosomie foetale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles mesures doivent être réalisées par l'équipe d'anesthésie en première intention? a. Oxygénothérapie b. Expansion éventuelle par cristalloïdes c. Injection de sulprostone d. Réinjection éventuelle dans la péridurale si douleur e. Vérification de la carte de groupe sanguin A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. cf reco HPP 2014. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles gestes doivent être réalisés sur le plan obstétrical dans l'immédiat a. Révision de la filiere génitale sous valves b. Sondage urinaire c. Révision utérine d. Massage utérin e. Mise en place d'un ballon de bakri (Tamponnement intra-utérin) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. cf Algorithme de prise en charge des RPC CNGOF-ASFAR 2014. Vous vérifiez la carte de groupe sanguin. En attendant l’administration de culots globulaires iso groupe, quel culot globulaire transfusez vous ?. 0 negatif, O negatif, O négatif, O-, o -, 0 négatif, , Concentrés de globules rouges O négatif, Culot globulaire O-, Groupe O négatif, Groupe O-, O -, O rhesus negatif, O rhésus négatif, o negatif, o négatif. En dépit de votre prise en charge initiale, l'hémorragie persiste. Quelle classe médicamenteuse intoduisez-vous afin de lutter contre l'atonie persistante ? a. Ocytociques b. Dérivés de l'ergot de seigle c. B2 mimétiques d. Anti-fibrinolytiques e. Prostaglandines
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. En echec de l'ocytocine il faut passer aux prostaglandines (Sulprostone- Nalador) Les dérives de l'ergot de seigle (Methergin) ne sont plus utilisés dans cette indication les anti fibrinolytiques (Exacyl) pourrait être interessant à cette phase mais pas à visée utérotonique les B2 mimétiques sont des tocolytiques (utiliser dans les MAP pour arrter les CU).
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Melle A, 37 ans, 2ème pare accouche à 39 SA+5j. sous anesthésie péridurale à 10h25 d’une fille de 4150 g par spatules au terme de 40 min d’efforts expulsifs. La patiente est entrée en travail à 6H15 du matin après une rupture spontanée des membranes. Au décours immédiat du dégagement de l’épaule antérieur une délivrance dirigée a été réalisée. La délivrance a été dirigée et le placenta semble complet. A 10h45, un saignement évalué à 500ml est extériorisé à la vulve avec à l’examen, un utérus mou remontant au dessus de l’ombilic. L'expression utérine ramene 200 cc supplémentaire. Vous suspectez une Hémorragie du Post-Partum (HPP). Quelle est la définition de l'HPP ? a. Pertes sanguines supérieures à 400 cc dans les 24 heures suivant un accouchement b. Pertes sanguines supérieures à 500 cc dans les 24 heures suivant un accouchement c. Pertes sanguines supérieures à 600 cc dans les 24 heures suivant un accouchement d. Pertes sanguines supérieures à 700 cc dans les 24 heures suivant un accouchement e. Pertes sanguines supérieures à 800 cc dans les 24 heures suivant un accouchement A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une Hémorragie du Post Partum (HPP). Quelle en est l'étiologie la plus probable dans ce cas clinique ? a. Déchirure périnéale b. Déchirure cervicale c. Atonie Utérine d. Retention placentaire e. Placenta praevia A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'atonie utérine est le plus probable contenu des SC : un uterus mou (atone) et remontant au dessus de l'ombilic et du contexte macrosomie foetale, durée longue des efforts expulsifs. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quels facteurs de risque en faveur d'une atonie utérine relevez-vous dans l'énoncé ? a. Durée longue du travail b. Durée longue des efforts expulsifs c. Rupture spontanée des membranes d. Délivrance dirigée e. Macrosomie foetale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles mesures doivent être réalisées par l'équipe d'anesthésie en première intention? a. Oxygénothérapie b. Expansion éventuelle par cristalloïdes c. Injection de sulprostone d. Réinjection éventuelle dans la péridurale si douleur e. Vérification de la carte de groupe sanguin A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. cf reco HPP 2014. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles gestes doivent être réalisés sur le plan obstétrical dans l'immédiat a. Révision de la filiere génitale sous valves b. Sondage urinaire c. Révision utérine d. Massage utérin e. Mise en place d'un ballon de bakri (Tamponnement intra-utérin) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. cf Algorithme de prise en charge des RPC CNGOF-ASFAR 2014. Vous vérifiez la carte de groupe sanguin. En attendant l’administration de culots globulaires iso groupe, quel culot globulaire transfusez vous ?. 0 negatif, O negatif, O négatif, O-, o -, 0 négatif, , Concentrés de globules rouges O négatif, Culot globulaire O-, Groupe O négatif, Groupe O-, O -, O rhesus negatif, O rhésus négatif, o negatif, o négatif. En dépit de votre prise en charge initiale, l'hémorragie persiste. Quelle classe médicamenteuse intoduisez-vous afin de lutter contre l'atonie persistante ? a. Ocytociques b. Dérivés de l'ergot de seigle c. B2 mimétiques d. Anti-fibrinolytiques e. Prostaglandines A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. En echec de l'ocytocine il faut passer aux prostaglandines (Sulprostone- Nalador) Les dérives de l'ergot de seigle (Methergin) ne sont plus utilisés dans cette indication les anti fibrinolytiques (Exacyl) pourrait être interessant à cette phase mais pas à visée utérotonique les B2 mimétiques sont des tocolytiques (utiliser dans les MAP pour arrter les CU). Le Sulprostone (Nalador) est en cours. Malgré l’expansion volémique, l’hémorragie persiste. La pression artérielle est à 77/38 mmHg, la fréquence cardiaque à 140/mn, elle est pâle et ferme les yeux. La température à 35.9°. Quel est le diagnostic le plus probable ? a. Sepsis sévère b. Choc septique c. Choc hémorragique d. Choc anaphylactique e. Choc obstructif
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Melle A, 37 ans, 2ème pare accouche à 39 SA+5j. sous anesthésie péridurale à 10h25 d’une fille de 4150 g par spatules au terme de 40 min d’efforts expulsifs. La patiente est entrée en travail à 6H15 du matin après une rupture spontanée des membranes. Au décours immédiat du dégagement de l’épaule antérieur une délivrance dirigée a été réalisée. La délivrance a été dirigée et le placenta semble complet. A 10h45, un saignement évalué à 500ml est extériorisé à la vulve avec à l’examen, un utérus mou remontant au dessus de l’ombilic. L'expression utérine ramene 200 cc supplémentaire. Vous suspectez une Hémorragie du Post-Partum (HPP). Quelle est la définition de l'HPP ? a. Pertes sanguines supérieures à 400 cc dans les 24 heures suivant un accouchement b. Pertes sanguines supérieures à 500 cc dans les 24 heures suivant un accouchement c. Pertes sanguines supérieures à 600 cc dans les 24 heures suivant un accouchement d. Pertes sanguines supérieures à 700 cc dans les 24 heures suivant un accouchement e. Pertes sanguines supérieures à 800 cc dans les 24 heures suivant un accouchement A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une Hémorragie du Post Partum (HPP). Quelle en est l'étiologie la plus probable dans ce cas clinique ? a. Déchirure périnéale b. Déchirure cervicale c. Atonie Utérine d. Retention placentaire e. Placenta praevia A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'atonie utérine est le plus probable contenu des SC : un uterus mou (atone) et remontant au dessus de l'ombilic et du contexte macrosomie foetale, durée longue des efforts expulsifs. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quels facteurs de risque en faveur d'une atonie utérine relevez-vous dans l'énoncé ? a. Durée longue du travail b. Durée longue des efforts expulsifs c. Rupture spontanée des membranes d. Délivrance dirigée e. Macrosomie foetale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles mesures doivent être réalisées par l'équipe d'anesthésie en première intention? a. Oxygénothérapie b. Expansion éventuelle par cristalloïdes c. Injection de sulprostone d. Réinjection éventuelle dans la péridurale si douleur e. Vérification de la carte de groupe sanguin A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. cf reco HPP 2014. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles gestes doivent être réalisés sur le plan obstétrical dans l'immédiat a. Révision de la filiere génitale sous valves b. Sondage urinaire c. Révision utérine d. Massage utérin e. Mise en place d'un ballon de bakri (Tamponnement intra-utérin) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. cf Algorithme de prise en charge des RPC CNGOF-ASFAR 2014. Vous vérifiez la carte de groupe sanguin. En attendant l’administration de culots globulaires iso groupe, quel culot globulaire transfusez vous ?. 0 negatif, O negatif, O négatif, O-, o -, 0 négatif, , Concentrés de globules rouges O négatif, Culot globulaire O-, Groupe O négatif, Groupe O-, O -, O rhesus negatif, O rhésus négatif, o negatif, o négatif. En dépit de votre prise en charge initiale, l'hémorragie persiste. Quelle classe médicamenteuse intoduisez-vous afin de lutter contre l'atonie persistante ? a. Ocytociques b. Dérivés de l'ergot de seigle c. B2 mimétiques d. Anti-fibrinolytiques e. Prostaglandines A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. En echec de l'ocytocine il faut passer aux prostaglandines (Sulprostone- Nalador) Les dérives de l'ergot de seigle (Methergin) ne sont plus utilisés dans cette indication les anti fibrinolytiques (Exacyl) pourrait être interessant à cette phase mais pas à visée utérotonique les B2 mimétiques sont des tocolytiques (utiliser dans les MAP pour arrter les CU). Le Sulprostone (Nalador) est en cours. Malgré l’expansion volémique, l’hémorragie persiste. La pression artérielle est à 77/38 mmHg, la fréquence cardiaque à 140/mn, elle est pâle et ferme les yeux. La température à 35.9°. Quel est le diagnostic le plus probable ? a. Sepsis sévère b. Choc septique c. Choc hémorragique d. Choc anaphylactique e. Choc obstructif A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Vous réalisez une gazométrie artérielle, le pH est à 7.33, PaO2 184 mmHg sous 6L/mn d’O2 aux lunettes, PaCO2 34 mmHg bicarbonates à 19 mmol/L et lactate à 5 mmol//L. Interprétez les résultats. a. Alcalose métabolique b. Alcalose respiratoire c. Acidose métabolique d. Acidose lactique e. Acidose respiratoire
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Melle A, 37 ans, 2ème pare accouche à 39 SA+5j. sous anesthésie péridurale à 10h25 d’une fille de 4150 g par spatules au terme de 40 min d’efforts expulsifs. La patiente est entrée en travail à 6H15 du matin après une rupture spontanée des membranes. Au décours immédiat du dégagement de l’épaule antérieur une délivrance dirigée a été réalisée. La délivrance a été dirigée et le placenta semble complet. A 10h45, un saignement évalué à 500ml est extériorisé à la vulve avec à l’examen, un utérus mou remontant au dessus de l’ombilic. L'expression utérine ramene 200 cc supplémentaire. Vous suspectez une Hémorragie du Post-Partum (HPP). Quelle est la définition de l'HPP ? a. Pertes sanguines supérieures à 400 cc dans les 24 heures suivant un accouchement b. Pertes sanguines supérieures à 500 cc dans les 24 heures suivant un accouchement c. Pertes sanguines supérieures à 600 cc dans les 24 heures suivant un accouchement d. Pertes sanguines supérieures à 700 cc dans les 24 heures suivant un accouchement e. Pertes sanguines supérieures à 800 cc dans les 24 heures suivant un accouchement A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une Hémorragie du Post Partum (HPP). Quelle en est l'étiologie la plus probable dans ce cas clinique ? a. Déchirure périnéale b. Déchirure cervicale c. Atonie Utérine d. Retention placentaire e. Placenta praevia A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'atonie utérine est le plus probable contenu des SC : un uterus mou (atone) et remontant au dessus de l'ombilic et du contexte macrosomie foetale, durée longue des efforts expulsifs. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quels facteurs de risque en faveur d'une atonie utérine relevez-vous dans l'énoncé ? a. Durée longue du travail b. Durée longue des efforts expulsifs c. Rupture spontanée des membranes d. Délivrance dirigée e. Macrosomie foetale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles mesures doivent être réalisées par l'équipe d'anesthésie en première intention? a. Oxygénothérapie b. Expansion éventuelle par cristalloïdes c. Injection de sulprostone d. Réinjection éventuelle dans la péridurale si douleur e. Vérification de la carte de groupe sanguin A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. cf reco HPP 2014. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles gestes doivent être réalisés sur le plan obstétrical dans l'immédiat a. Révision de la filiere génitale sous valves b. Sondage urinaire c. Révision utérine d. Massage utérin e. Mise en place d'un ballon de bakri (Tamponnement intra-utérin) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. cf Algorithme de prise en charge des RPC CNGOF-ASFAR 2014. Vous vérifiez la carte de groupe sanguin. En attendant l’administration de culots globulaires iso groupe, quel culot globulaire transfusez vous ?. 0 negatif, O negatif, O négatif, O-, o -, 0 négatif, , Concentrés de globules rouges O négatif, Culot globulaire O-, Groupe O négatif, Groupe O-, O -, O rhesus negatif, O rhésus négatif, o negatif, o négatif. En dépit de votre prise en charge initiale, l'hémorragie persiste. Quelle classe médicamenteuse intoduisez-vous afin de lutter contre l'atonie persistante ? a. Ocytociques b. Dérivés de l'ergot de seigle c. B2 mimétiques d. Anti-fibrinolytiques e. Prostaglandines A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. En echec de l'ocytocine il faut passer aux prostaglandines (Sulprostone- Nalador) Les dérives de l'ergot de seigle (Methergin) ne sont plus utilisés dans cette indication les anti fibrinolytiques (Exacyl) pourrait être interessant à cette phase mais pas à visée utérotonique les B2 mimétiques sont des tocolytiques (utiliser dans les MAP pour arrter les CU). Le Sulprostone (Nalador) est en cours. Malgré l’expansion volémique, l’hémorragie persiste. La pression artérielle est à 77/38 mmHg, la fréquence cardiaque à 140/mn, elle est pâle et ferme les yeux. La température à 35.9°. Quel est le diagnostic le plus probable ? a. Sepsis sévère b. Choc septique c. Choc hémorragique d. Choc anaphylactique e. Choc obstructif A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Vous réalisez une gazométrie artérielle, le pH est à 7.33, PaO2 184 mmHg sous 6L/mn d’O2 aux lunettes, PaCO2 34 mmHg bicarbonates à 19 mmol/L et lactate à 5 mmol//L. Interprétez les résultats. a. Alcalose métabolique b. Alcalose respiratoire c. Acidose métabolique d. Acidose lactique e. Acidose respiratoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Devant le persistance des saignements vous envisagez une embolisation artérielle. Quelles artères sont généralement embolisées dans cette situation d'hémorragie du post partum par atonie ? a. Artères cervico-vaginales b. Artères utérines c. Artères ovariennes d. Artères iliaques internes (hypogastriques) e. Artères iliaques externes
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Melle A, 37 ans, 2ème pare accouche à 39 SA+5j. sous anesthésie péridurale à 10h25 d’une fille de 4150 g par spatules au terme de 40 min d’efforts expulsifs. La patiente est entrée en travail à 6H15 du matin après une rupture spontanée des membranes. Au décours immédiat du dégagement de l’épaule antérieur une délivrance dirigée a été réalisée. La délivrance a été dirigée et le placenta semble complet. A 10h45, un saignement évalué à 500ml est extériorisé à la vulve avec à l’examen, un utérus mou remontant au dessus de l’ombilic. L'expression utérine ramene 200 cc supplémentaire. Vous suspectez une Hémorragie du Post-Partum (HPP). Quelle est la définition de l'HPP ? a. Pertes sanguines supérieures à 400 cc dans les 24 heures suivant un accouchement b. Pertes sanguines supérieures à 500 cc dans les 24 heures suivant un accouchement c. Pertes sanguines supérieures à 600 cc dans les 24 heures suivant un accouchement d. Pertes sanguines supérieures à 700 cc dans les 24 heures suivant un accouchement e. Pertes sanguines supérieures à 800 cc dans les 24 heures suivant un accouchement A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une Hémorragie du Post Partum (HPP). Quelle en est l'étiologie la plus probable dans ce cas clinique ? a. Déchirure périnéale b. Déchirure cervicale c. Atonie Utérine d. Retention placentaire e. Placenta praevia A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'atonie utérine est le plus probable contenu des SC : un uterus mou (atone) et remontant au dessus de l'ombilic et du contexte macrosomie foetale, durée longue des efforts expulsifs. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quels facteurs de risque en faveur d'une atonie utérine relevez-vous dans l'énoncé ? a. Durée longue du travail b. Durée longue des efforts expulsifs c. Rupture spontanée des membranes d. Délivrance dirigée e. Macrosomie foetale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles mesures doivent être réalisées par l'équipe d'anesthésie en première intention? a. Oxygénothérapie b. Expansion éventuelle par cristalloïdes c. Injection de sulprostone d. Réinjection éventuelle dans la péridurale si douleur e. Vérification de la carte de groupe sanguin A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. cf reco HPP 2014. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles gestes doivent être réalisés sur le plan obstétrical dans l'immédiat a. Révision de la filiere génitale sous valves b. Sondage urinaire c. Révision utérine d. Massage utérin e. Mise en place d'un ballon de bakri (Tamponnement intra-utérin) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. cf Algorithme de prise en charge des RPC CNGOF-ASFAR 2014. Vous vérifiez la carte de groupe sanguin. En attendant l’administration de culots globulaires iso groupe, quel culot globulaire transfusez vous ?. 0 negatif, O negatif, O négatif, O-, o -, 0 négatif, , Concentrés de globules rouges O négatif, Culot globulaire O-, Groupe O négatif, Groupe O-, O -, O rhesus negatif, O rhésus négatif, o negatif, o négatif. En dépit de votre prise en charge initiale, l'hémorragie persiste. Quelle classe médicamenteuse intoduisez-vous afin de lutter contre l'atonie persistante ? a. Ocytociques b. Dérivés de l'ergot de seigle c. B2 mimétiques d. Anti-fibrinolytiques e. Prostaglandines A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. En echec de l'ocytocine il faut passer aux prostaglandines (Sulprostone- Nalador) Les dérives de l'ergot de seigle (Methergin) ne sont plus utilisés dans cette indication les anti fibrinolytiques (Exacyl) pourrait être interessant à cette phase mais pas à visée utérotonique les B2 mimétiques sont des tocolytiques (utiliser dans les MAP pour arrter les CU). Le Sulprostone (Nalador) est en cours. Malgré l’expansion volémique, l’hémorragie persiste. La pression artérielle est à 77/38 mmHg, la fréquence cardiaque à 140/mn, elle est pâle et ferme les yeux. La température à 35.9°. Quel est le diagnostic le plus probable ? a. Sepsis sévère b. Choc septique c. Choc hémorragique d. Choc anaphylactique e. Choc obstructif A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Vous réalisez une gazométrie artérielle, le pH est à 7.33, PaO2 184 mmHg sous 6L/mn d’O2 aux lunettes, PaCO2 34 mmHg bicarbonates à 19 mmol/L et lactate à 5 mmol//L. Interprétez les résultats. a. Alcalose métabolique b. Alcalose respiratoire c. Acidose métabolique d. Acidose lactique e. Acidose respiratoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Devant le persistance des saignements vous envisagez une embolisation artérielle. Quelles artères sont généralement embolisées dans cette situation d'hémorragie du post partum par atonie ? a. Artères cervico-vaginales b. Artères utérines c. Artères ovariennes d. Artères iliaques internes (hypogastriques) e. Artères iliaques externes A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Vous recevez les résultats du bilan sanguin prélevé en urgence. L’hémoglobine est à 6.4 g/dl, plaquettes à 72 000G/L, le TP est à 40%, le TCA allongé à 3 fois la normale, le fibrinogène à 1.2 g/L, facteur V à 65%. Que suspectez-vous ? a. HELLP Syndrome b. Fibrinolyse primitive c. Hypersplénisme d. CIVD e. Insuffisance hépatique majeure
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Melle A, 37 ans, 2ème pare accouche à 39 SA+5j. sous anesthésie péridurale à 10h25 d’une fille de 4150 g par spatules au terme de 40 min d’efforts expulsifs. La patiente est entrée en travail à 6H15 du matin après une rupture spontanée des membranes. Au décours immédiat du dégagement de l’épaule antérieur une délivrance dirigée a été réalisée. La délivrance a été dirigée et le placenta semble complet. A 10h45, un saignement évalué à 500ml est extériorisé à la vulve avec à l’examen, un utérus mou remontant au dessus de l’ombilic. L'expression utérine ramene 200 cc supplémentaire. Vous suspectez une Hémorragie du Post-Partum (HPP). Quelle est la définition de l'HPP ? a. Pertes sanguines supérieures à 400 cc dans les 24 heures suivant un accouchement b. Pertes sanguines supérieures à 500 cc dans les 24 heures suivant un accouchement c. Pertes sanguines supérieures à 600 cc dans les 24 heures suivant un accouchement d. Pertes sanguines supérieures à 700 cc dans les 24 heures suivant un accouchement e. Pertes sanguines supérieures à 800 cc dans les 24 heures suivant un accouchement A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une Hémorragie du Post Partum (HPP). Quelle en est l'étiologie la plus probable dans ce cas clinique ? a. Déchirure périnéale b. Déchirure cervicale c. Atonie Utérine d. Retention placentaire e. Placenta praevia A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'atonie utérine est le plus probable contenu des SC : un uterus mou (atone) et remontant au dessus de l'ombilic et du contexte macrosomie foetale, durée longue des efforts expulsifs. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quels facteurs de risque en faveur d'une atonie utérine relevez-vous dans l'énoncé ? a. Durée longue du travail b. Durée longue des efforts expulsifs c. Rupture spontanée des membranes d. Délivrance dirigée e. Macrosomie foetale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles mesures doivent être réalisées par l'équipe d'anesthésie en première intention? a. Oxygénothérapie b. Expansion éventuelle par cristalloïdes c. Injection de sulprostone d. Réinjection éventuelle dans la péridurale si douleur e. Vérification de la carte de groupe sanguin A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. cf reco HPP 2014. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles gestes doivent être réalisés sur le plan obstétrical dans l'immédiat a. Révision de la filiere génitale sous valves b. Sondage urinaire c. Révision utérine d. Massage utérin e. Mise en place d'un ballon de bakri (Tamponnement intra-utérin) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. cf Algorithme de prise en charge des RPC CNGOF-ASFAR 2014. Vous vérifiez la carte de groupe sanguin. En attendant l’administration de culots globulaires iso groupe, quel culot globulaire transfusez vous ?. 0 negatif, O negatif, O négatif, O-, o -, 0 négatif, , Concentrés de globules rouges O négatif, Culot globulaire O-, Groupe O négatif, Groupe O-, O -, O rhesus negatif, O rhésus négatif, o negatif, o négatif. En dépit de votre prise en charge initiale, l'hémorragie persiste. Quelle classe médicamenteuse intoduisez-vous afin de lutter contre l'atonie persistante ? a. Ocytociques b. Dérivés de l'ergot de seigle c. B2 mimétiques d. Anti-fibrinolytiques e. Prostaglandines A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. En echec de l'ocytocine il faut passer aux prostaglandines (Sulprostone- Nalador) Les dérives de l'ergot de seigle (Methergin) ne sont plus utilisés dans cette indication les anti fibrinolytiques (Exacyl) pourrait être interessant à cette phase mais pas à visée utérotonique les B2 mimétiques sont des tocolytiques (utiliser dans les MAP pour arrter les CU). Le Sulprostone (Nalador) est en cours. Malgré l’expansion volémique, l’hémorragie persiste. La pression artérielle est à 77/38 mmHg, la fréquence cardiaque à 140/mn, elle est pâle et ferme les yeux. La température à 35.9°. Quel est le diagnostic le plus probable ? a. Sepsis sévère b. Choc septique c. Choc hémorragique d. Choc anaphylactique e. Choc obstructif A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Vous réalisez une gazométrie artérielle, le pH est à 7.33, PaO2 184 mmHg sous 6L/mn d’O2 aux lunettes, PaCO2 34 mmHg bicarbonates à 19 mmol/L et lactate à 5 mmol//L. Interprétez les résultats. a. Alcalose métabolique b. Alcalose respiratoire c. Acidose métabolique d. Acidose lactique e. Acidose respiratoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Devant le persistance des saignements vous envisagez une embolisation artérielle. Quelles artères sont généralement embolisées dans cette situation d'hémorragie du post partum par atonie ? a. Artères cervico-vaginales b. Artères utérines c. Artères ovariennes d. Artères iliaques internes (hypogastriques) e. Artères iliaques externes A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Vous recevez les résultats du bilan sanguin prélevé en urgence. L’hémoglobine est à 6.4 g/dl, plaquettes à 72 000G/L, le TP est à 40%, le TCA allongé à 3 fois la normale, le fibrinogène à 1.2 g/L, facteur V à 65%. Que suspectez-vous ? a. HELLP Syndrome b. Fibrinolyse primitive c. Hypersplénisme d. CIVD e. Insuffisance hépatique majeure A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. L’hémodynamique est instable, malgré l’expansion volémique et la transfusion de produits sanguins labiles; que proposez-vous ? a. Ephedrine b. Adrénaline c. Noradrénaline d. Dopamine e. Dobutamine
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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Melle A, 37 ans, 2ème pare accouche à 39 SA+5j. sous anesthésie péridurale à 10h25 d’une fille de 4150 g par spatules au terme de 40 min d’efforts expulsifs. La patiente est entrée en travail à 6H15 du matin après une rupture spontanée des membranes. Au décours immédiat du dégagement de l’épaule antérieur une délivrance dirigée a été réalisée. La délivrance a été dirigée et le placenta semble complet. A 10h45, un saignement évalué à 500ml est extériorisé à la vulve avec à l’examen, un utérus mou remontant au dessus de l’ombilic. L'expression utérine ramene 200 cc supplémentaire. Vous suspectez une Hémorragie du Post-Partum (HPP). Quelle est la définition de l'HPP ? a. Pertes sanguines supérieures à 400 cc dans les 24 heures suivant un accouchement b. Pertes sanguines supérieures à 500 cc dans les 24 heures suivant un accouchement c. Pertes sanguines supérieures à 600 cc dans les 24 heures suivant un accouchement d. Pertes sanguines supérieures à 700 cc dans les 24 heures suivant un accouchement e. Pertes sanguines supérieures à 800 cc dans les 24 heures suivant un accouchement A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une Hémorragie du Post Partum (HPP). Quelle en est l'étiologie la plus probable dans ce cas clinique ? a. Déchirure périnéale b. Déchirure cervicale c. Atonie Utérine d. Retention placentaire e. Placenta praevia A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'atonie utérine est le plus probable contenu des SC : un uterus mou (atone) et remontant au dessus de l'ombilic et du contexte macrosomie foetale, durée longue des efforts expulsifs. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quels facteurs de risque en faveur d'une atonie utérine relevez-vous dans l'énoncé ? a. Durée longue du travail b. Durée longue des efforts expulsifs c. Rupture spontanée des membranes d. Délivrance dirigée e. Macrosomie foetale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles mesures doivent être réalisées par l'équipe d'anesthésie en première intention? a. Oxygénothérapie b. Expansion éventuelle par cristalloïdes c. Injection de sulprostone d. Réinjection éventuelle dans la péridurale si douleur e. Vérification de la carte de groupe sanguin A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. cf reco HPP 2014. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles gestes doivent être réalisés sur le plan obstétrical dans l'immédiat a. Révision de la filiere génitale sous valves b. Sondage urinaire c. Révision utérine d. Massage utérin e. Mise en place d'un ballon de bakri (Tamponnement intra-utérin) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. cf Algorithme de prise en charge des RPC CNGOF-ASFAR 2014. Vous vérifiez la carte de groupe sanguin. En attendant l’administration de culots globulaires iso groupe, quel culot globulaire transfusez vous ?. 0 negatif, O negatif, O négatif, O-, o -, 0 négatif, , Concentrés de globules rouges O négatif, Culot globulaire O-, Groupe O négatif, Groupe O-, O -, O rhesus negatif, O rhésus négatif, o negatif, o négatif. En dépit de votre prise en charge initiale, l'hémorragie persiste. Quelle classe médicamenteuse intoduisez-vous afin de lutter contre l'atonie persistante ? a. Ocytociques b. Dérivés de l'ergot de seigle c. B2 mimétiques d. Anti-fibrinolytiques e. Prostaglandines A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. En echec de l'ocytocine il faut passer aux prostaglandines (Sulprostone- Nalador) Les dérives de l'ergot de seigle (Methergin) ne sont plus utilisés dans cette indication les anti fibrinolytiques (Exacyl) pourrait être interessant à cette phase mais pas à visée utérotonique les B2 mimétiques sont des tocolytiques (utiliser dans les MAP pour arrter les CU). Le Sulprostone (Nalador) est en cours. Malgré l’expansion volémique, l’hémorragie persiste. La pression artérielle est à 77/38 mmHg, la fréquence cardiaque à 140/mn, elle est pâle et ferme les yeux. La température à 35.9°. Quel est le diagnostic le plus probable ? a. Sepsis sévère b. Choc septique c. Choc hémorragique d. Choc anaphylactique e. Choc obstructif A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Vous réalisez une gazométrie artérielle, le pH est à 7.33, PaO2 184 mmHg sous 6L/mn d’O2 aux lunettes, PaCO2 34 mmHg bicarbonates à 19 mmol/L et lactate à 5 mmol//L. Interprétez les résultats. a. Alcalose métabolique b. Alcalose respiratoire c. Acidose métabolique d. Acidose lactique e. Acidose respiratoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Devant le persistance des saignements vous envisagez une embolisation artérielle. Quelles artères sont généralement embolisées dans cette situation d'hémorragie du post partum par atonie ? a. Artères cervico-vaginales b. Artères utérines c. Artères ovariennes d. Artères iliaques internes (hypogastriques) e. Artères iliaques externes A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Vous recevez les résultats du bilan sanguin prélevé en urgence. L’hémoglobine est à 6.4 g/dl, plaquettes à 72 000G/L, le TP est à 40%, le TCA allongé à 3 fois la normale, le fibrinogène à 1.2 g/L, facteur V à 65%. Que suspectez-vous ? a. HELLP Syndrome b. Fibrinolyse primitive c. Hypersplénisme d. CIVD e. Insuffisance hépatique majeure A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. L’hémodynamique est instable, malgré l’expansion volémique et la transfusion de produits sanguins labiles; que proposez-vous ? a. Ephedrine b. Adrénaline c. Noradrénaline d. Dopamine e. Dobutamine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. En dehors des mesures réanimatoires devant l'instabilité de la patiente vous décidez de passer au bloc opératoire. Quelle intervention de dernier recours envisagez-vous alors ?.
Hystérectomie, Ablation uterus d'hémostase, Hysterectomie, Hysterectomie d hemostase, Hysterectomie d'hemostase, Hysterectomie d'hémostase, , Hysterectomie de sauvetage, Hysterectomie non conservatrice, Hysterectomie totale, Hystérectomie d'hemostase, Hystéréctomie d'hémostase, hystérectomie, hystérectomie d'hémostase, Hystérectomie d'hémostase, hystérectomie d'hemostase.
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Melle A, 37 ans, 2ème pare accouche à 39 SA+5j. sous anesthésie péridurale à 10h25 d’une fille de 4150 g par spatules au terme de 40 min d’efforts expulsifs. La patiente est entrée en travail à 6H15 du matin après une rupture spontanée des membranes. Au décours immédiat du dégagement de l’épaule antérieur une délivrance dirigée a été réalisée. La délivrance a été dirigée et le placenta semble complet. A 10h45, un saignement évalué à 500ml est extériorisé à la vulve avec à l’examen, un utérus mou remontant au dessus de l’ombilic. L'expression utérine ramene 200 cc supplémentaire. Vous suspectez une Hémorragie du Post-Partum (HPP). Quelle est la définition de l'HPP ? a. Pertes sanguines supérieures à 400 cc dans les 24 heures suivant un accouchement b. Pertes sanguines supérieures à 500 cc dans les 24 heures suivant un accouchement c. Pertes sanguines supérieures à 600 cc dans les 24 heures suivant un accouchement d. Pertes sanguines supérieures à 700 cc dans les 24 heures suivant un accouchement e. Pertes sanguines supérieures à 800 cc dans les 24 heures suivant un accouchement A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il s'agit d'une Hémorragie du Post Partum (HPP). Quelle en est l'étiologie la plus probable dans ce cas clinique ? a. Déchirure périnéale b. Déchirure cervicale c. Atonie Utérine d. Retention placentaire e. Placenta praevia A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'atonie utérine est le plus probable contenu des SC : un uterus mou (atone) et remontant au dessus de l'ombilic et du contexte macrosomie foetale, durée longue des efforts expulsifs. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quels facteurs de risque en faveur d'une atonie utérine relevez-vous dans l'énoncé ? a. Durée longue du travail b. Durée longue des efforts expulsifs c. Rupture spontanée des membranes d. Délivrance dirigée e. Macrosomie foetale A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles mesures doivent être réalisées par l'équipe d'anesthésie en première intention? a. Oxygénothérapie b. Expansion éventuelle par cristalloïdes c. Injection de sulprostone d. Réinjection éventuelle dans la péridurale si douleur e. Vérification de la carte de groupe sanguin A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. cf reco HPP 2014. Vous supectez une HPP par atonie utérine. Quelles gestes doivent être réalisés sur le plan obstétrical dans l'immédiat a. Révision de la filiere génitale sous valves b. Sondage urinaire c. Révision utérine d. Massage utérin e. Mise en place d'un ballon de bakri (Tamponnement intra-utérin) A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. cf Algorithme de prise en charge des RPC CNGOF-ASFAR 2014. Vous vérifiez la carte de groupe sanguin. En attendant l’administration de culots globulaires iso groupe, quel culot globulaire transfusez vous ?. 0 negatif, O negatif, O négatif, O-, o -, 0 négatif, , Concentrés de globules rouges O négatif, Culot globulaire O-, Groupe O négatif, Groupe O-, O -, O rhesus negatif, O rhésus négatif, o negatif, o négatif. En dépit de votre prise en charge initiale, l'hémorragie persiste. Quelle classe médicamenteuse intoduisez-vous afin de lutter contre l'atonie persistante ? a. Ocytociques b. Dérivés de l'ergot de seigle c. B2 mimétiques d. Anti-fibrinolytiques e. Prostaglandines A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. En echec de l'ocytocine il faut passer aux prostaglandines (Sulprostone- Nalador) Les dérives de l'ergot de seigle (Methergin) ne sont plus utilisés dans cette indication les anti fibrinolytiques (Exacyl) pourrait être interessant à cette phase mais pas à visée utérotonique les B2 mimétiques sont des tocolytiques (utiliser dans les MAP pour arrter les CU). Le Sulprostone (Nalador) est en cours. Malgré l’expansion volémique, l’hémorragie persiste. La pression artérielle est à 77/38 mmHg, la fréquence cardiaque à 140/mn, elle est pâle et ferme les yeux. La température à 35.9°. Quel est le diagnostic le plus probable ? a. Sepsis sévère b. Choc septique c. Choc hémorragique d. Choc anaphylactique e. Choc obstructif A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Vous réalisez une gazométrie artérielle, le pH est à 7.33, PaO2 184 mmHg sous 6L/mn d’O2 aux lunettes, PaCO2 34 mmHg bicarbonates à 19 mmol/L et lactate à 5 mmol//L. Interprétez les résultats. a. Alcalose métabolique b. Alcalose respiratoire c. Acidose métabolique d. Acidose lactique e. Acidose respiratoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Devant le persistance des saignements vous envisagez une embolisation artérielle. Quelles artères sont généralement embolisées dans cette situation d'hémorragie du post partum par atonie ? a. Artères cervico-vaginales b. Artères utérines c. Artères ovariennes d. Artères iliaques internes (hypogastriques) e. Artères iliaques externes A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Vous recevez les résultats du bilan sanguin prélevé en urgence. L’hémoglobine est à 6.4 g/dl, plaquettes à 72 000G/L, le TP est à 40%, le TCA allongé à 3 fois la normale, le fibrinogène à 1.2 g/L, facteur V à 65%. Que suspectez-vous ? a. HELLP Syndrome b. Fibrinolyse primitive c. Hypersplénisme d. CIVD e. Insuffisance hépatique majeure A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. L’hémodynamique est instable, malgré l’expansion volémique et la transfusion de produits sanguins labiles; que proposez-vous ? a. Ephedrine b. Adrénaline c. Noradrénaline d. Dopamine e. Dobutamine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. En dehors des mesures réanimatoires devant l'instabilité de la patiente vous décidez de passer au bloc opératoire. Quelle intervention de dernier recours envisagez-vous alors ?. Hystérectomie, Ablation uterus d'hémostase, Hysterectomie, Hysterectomie d hemostase, Hysterectomie d'hemostase, Hysterectomie d'hémostase, , Hysterectomie de sauvetage, Hysterectomie non conservatrice, Hysterectomie totale, Hystérectomie d'hemostase, Hystéréctomie d'hémostase, hystérectomie, hystérectomie d'hémostase, Hystérectomie d'hémostase, hystérectomie d'hemostase. Les suites de couches immédiates de la patiente sont marquées par une absence de montée laiteuse. A distance de l'accouchement devant l'absence de retour de couches on reéalise des explorations complémentaires qui mettent en évidence une hypothyroidie associée à une insuffisance surrénalienne. Quel est votre diagnostic ?.
syndrome de sheehan, Necrose antéhypophysaire, Necrose tige pituitaire, Nécrose anté-hypophysaire, Nécrose de la tige pituitaire, Sheehan, , Syndrome de Sheehan, Syndrome de Sheehan (nécrose hypophysaire), Syndrome de sheehan, Syndrome de sheehan (necrose hypohyse post HPP), Syndrome sheehan, sheehan, syndrome de Sheehan (ischemie hypophysaire), Insuffisance anté-hypophysaire sur nécrose hypophysaire du post-partum, Syndrome de sheehan ( insuffisance antehypophysaire), Syndrome de sheehan (nécrose hypophysaire)= nécrose de l'hypophyse secondaire à l'hémorragie du post-partum. Seul diagnostic différentiel : l'hypophysite auto-immune du post-partum 2 0.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Un patient de 40 ans a fait une chute du toit de sa maison, d’une hauteur d’environ 4 mètres. Sa famille présente sur les lieux rapporte qu’il est inconscient dès la constatation de la chute. A l’arrivée du SMUR, le patient ne répond pas aux ordres simples, n’a aucune réponse verbale, n’ouvre pas les yeux ni à la commande ni à la douleur. A la douleur, il n’y a pas de réaction à droite mais une réaction en flexion à gauche. Par ailleurs, sa pression artérielle est à 95/70 mmHg, sa fréquence cardiaque à 110/min, sa fréquence respiratoire à 20/min, sa saturation en oxygène à 91% en air ambiant. Il n’y a pas de déformation des membres. Quel est son score de Glasgow ? a. 3 b. 5 c. 7 d. 10 e. 12
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Pas d'ouverture des yeux ni de réponse verbale (Y1 et V1). Réponse motrice en flexion (M5).
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Un patient de 40 ans a fait une chute du toit de sa maison, d’une hauteur d’environ 4 mètres. Sa famille présente sur les lieux rapporte qu’il est inconscient dès la constatation de la chute. A l’arrivée du SMUR, le patient ne répond pas aux ordres simples, n’a aucune réponse verbale, n’ouvre pas les yeux ni à la commande ni à la douleur. A la douleur, il n’y a pas de réaction à droite mais une réaction en flexion à gauche. Par ailleurs, sa pression artérielle est à 95/70 mmHg, sa fréquence cardiaque à 110/min, sa fréquence respiratoire à 20/min, sa saturation en oxygène à 91% en air ambiant. Il n’y a pas de déformation des membres. Quel est son score de Glasgow ? a. 3 b. 5 c. 7 d. 10 e. 12 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Pas d'ouverture des yeux ni de réponse verbale (Y1 et V1). Réponse motrice en flexion (M5). Vous êtes le médecin du SMUR sur place. Parmi ces mesures, les quelles vous semblent appropriées avant d’emmener le patient à l’hôpital ? a. Mesure de la glycémie capillaire b. Mesure de l’alcoolémie c. Mise en place d’une minerve cervicale d. Mise en place d’une voie veineuse périphérique e. Intubation orotrachéale
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La mesure de la glycémie capillaire est systématique devant tout trouble de conscience. D'ailleurs, une hypoglycémie pourrait être à l'origine de la chute du toit.La minerve est systématique devant tout traumatisme crânien, jusqu'à ce qu'une imagerie élimine une lésion du rachis cervical. La voie veineuse périphérique est bien sûr nécessaire dans ce contexte de traumatise grave. L'intubation est requise dans tous les traumatismes crâniens graves, se définissant par un score de Glasgow inférieur à 8.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Un patient de 40 ans a fait une chute du toit de sa maison, d’une hauteur d’environ 4 mètres. Sa famille présente sur les lieux rapporte qu’il est inconscient dès la constatation de la chute. A l’arrivée du SMUR, le patient ne répond pas aux ordres simples, n’a aucune réponse verbale, n’ouvre pas les yeux ni à la commande ni à la douleur. A la douleur, il n’y a pas de réaction à droite mais une réaction en flexion à gauche. Par ailleurs, sa pression artérielle est à 95/70 mmHg, sa fréquence cardiaque à 110/min, sa fréquence respiratoire à 20/min, sa saturation en oxygène à 91% en air ambiant. Il n’y a pas de déformation des membres. Quel est son score de Glasgow ? a. 3 b. 5 c. 7 d. 10 e. 12 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Pas d'ouverture des yeux ni de réponse verbale (Y1 et V1). Réponse motrice en flexion (M5). Vous êtes le médecin du SMUR sur place. Parmi ces mesures, les quelles vous semblent appropriées avant d’emmener le patient à l’hôpital ? a. Mesure de la glycémie capillaire b. Mesure de l’alcoolémie c. Mise en place d’une minerve cervicale d. Mise en place d’une voie veineuse périphérique e. Intubation orotrachéale A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La mesure de la glycémie capillaire est systématique devant tout trouble de conscience. D'ailleurs, une hypoglycémie pourrait être à l'origine de la chute du toit.La minerve est systématique devant tout traumatisme crânien, jusqu'à ce qu'une imagerie élimine une lésion du rachis cervical. La voie veineuse périphérique est bien sûr nécessaire dans ce contexte de traumatise grave. L'intubation est requise dans tous les traumatismes crâniens graves, se définissant par un score de Glasgow inférieur à 8. A votre examen clinique, vous ne retrouvez pas de déformation des membres, l’abdomen est souple, l’auscultation pulmonaire est symétrique, l’abdomen est souple. Avant d’emmener le patient à l’hôpital, que devez-vous faire impérativement ? a. Rechercher une plaie du scalp b. Evaluer la stabilité du bassin c. Réaliser une échographie cardiaque d. Commander des culots globulaires e. Examiner les pupilles
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. La plaie du scalp peut être responsable d'une hémorragie importante: il faut alors la suturer sur place, car l'hémorragie peut se poursuivre lors du transport et être responsable d'un choc hémorragique. La stabilité du bassin, qui s'évalue en pressant les crêtes iliaque et en s'assurant qu'il n'y a pas de désolidarisation, est essentielle car une fracture du bassin peut aussi être à l'origine d'un choc hémorragique, qu'il faut identifier rapidement pour pouvoir prévenir les équipes hospitalières en amont. L'échographie cardiaque est inutile, fera perdre du temps et n'apportera aucune information importante. De même les culots globulaires n'ont pas d'intérêt: mieux vaut arriver rapidement à l'hôpital. Les pupilles sont essentielles, car une anisocorie témoigne d'une possible urgence neurochirurgicale.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Madame V.T. âgée de 22 ans est amenée par sa maman aux urgences le 31/12/2017 pour syndrome fébrile à 39°C avec frissons et confusion. Elle est prise en charge par l'infirmière d'orientation et d'accueil qui vous appelle en tant qu'interne de garde car la pression artérielle systolique est à 80 MmHg avec une fréquence respiratoire à 25/mn, une fréquence cardiaque à 100 / mn et une saturation arterielle en oxygène à 99%. Quelle est la valeur du quick SOFA (qSOFA) chez cette patiente pouvant présenter un sepsis ? a. 0 b. 1 c. 2 d. 3 e. 4
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Info-antibio N°68: Juin 2016 Un service du journal Médecine et Maladies Infectieuses & de la SPILF (Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française), membre de la Fédération Française d’Infectiologie. Rédigé par le Dr S. Alfandari. Sources d’information nationales sur l’utilisation des antibiotiques Recommandations sur les ATB: infectiologie.com. ATB rationnelle en soins primaires : antibioclic.com ANSM : AMM des ATB, surveillance des effets indésirables. Site sur les ATB du Ministère de la Santé. Évaluation des pratiques : HAS - SPILF. Nouvelles définitions du sepsis publiés dans le numéro du 23 février 2016 du JAMA Consensus sepsis et choc septique évaluation des critères clinique du sepsis – définition et critères du choc septique Ces nouvelles définitions sont issues d’un groupe de travail de la « Society of Critical Care Medicine » et de la « European Society of Intensive Care Medicine ». Le processus a comporté une analyse de la littérature, la rédaction de critères sur la base d’une méthode delphi, une analyse « big data » de bases de données hospitalières. Le draft a ensuite été diffusé à de multiples sociétés savantes pour commentaires et approbation. Les définitions précédentes dataient de 2001, et maintenaient les concepts de sepsis, sepsis grave et choc septique proposés depuis Bone en 1991, reposant largement sur le niveau d’inflammation et une hypothèse de continuum entre les 3 concepts. Les nouvelles définitions du sepsis sont basées sur la dysfonction d’organe et le niveau de mortalité observé. Sepsis : Il est maintenant défini comme une dysfonction d’organe menaçant le pronostic vital et causé par une réponse inappropriée de l’hôte à une infection. Il n’y a plus de distinguo sepsis/sepsis grave. Il est aussi proposé une définition opérationnelle, pratique. Augmentation du score SOFA (Sequential Organ Failure Assessment) d’au moins 2 points lié à l’infection La mortalité hospitalière est estimée autour de 10%, justifiant d’une prise en charge adaptée rapide. Le SOFA basal est supposé être à zéro en l’absence de dysfonction d’organe, aigue ou chronique, prééexistante. Des critères simplifiés, utilisables hors réanimation, sont proposés en dépistage de patients pouvant avoir un sepsis: • Pression artérielle systolique ≤ 100 mm Hg • Fréquence respiratoire ≥ 22/mn • Confusion La présence de 2 critères quick SOFA (qSOFA) identifie des patients risquant d’avoir un mauvais pronostic et justifiant d’un monitorage accru, et/ou d’un traitement spécifique et/ou de prendre un avis en réanimation. Choc septique : sous groupe du sepsis avec anomalies importantes circulatoires et métabolique et une mortalité d’environ 40%. Il est défini par l’association de : • Sepsis • Besoin de drogues vasopressives pour maintenir une PAM ≥ 65 mm Hg • Lactates > 2 mmol/l (18mg/dl) malgré un remplissage adéquat Ces nouvelles définitions ont l’avantage supplémentaire de la simplicité. Un autre avantage est de supprimer la confusion, fréquente en pratique courante, entre sepsis et sepsis grave. Le SOFA est utilisé en routine en réanimation, et pour les services informatisés, facilement calculé automatiquement. Il devient par contre plus difficile, hors réanimation, de diagnostiquer un choc septique. Le quick SOFA est immédiatement accessible et très intuitif. A l’échelon individuel, il doit probablement être tempéré par l’état basal du patient (TA habituelle et confusion prééexistante). Calcul du score SOFA 0 point 1 point 2 points 3 points 4 point.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Madame V.T. âgée de 22 ans est amenée par sa maman aux urgences le 31/12/2017 pour syndrome fébrile à 39°C avec frissons et confusion. Elle est prise en charge par l'infirmière d'orientation et d'accueil qui vous appelle en tant qu'interne de garde car la pression artérielle systolique est à 80 MmHg avec une fréquence respiratoire à 25/mn, une fréquence cardiaque à 100 / mn et une saturation arterielle en oxygène à 99%. Quelle est la valeur du quick SOFA (qSOFA) chez cette patiente pouvant présenter un sepsis ? a. 0 b. 1 c. 2 d. 3 e. 4 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Info-antibio N°68: Juin 2016 Un service du journal Médecine et Maladies Infectieuses & de la SPILF (Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française), membre de la Fédération Française d’Infectiologie. Rédigé par le Dr S. Alfandari. Sources d’information nationales sur l’utilisation des antibiotiques Recommandations sur les ATB: infectiologie.com. ATB rationnelle en soins primaires : antibioclic.com ANSM : AMM des ATB, surveillance des effets indésirables. Site sur les ATB du Ministère de la Santé. Évaluation des pratiques : HAS - SPILF. Nouvelles définitions du sepsis publiés dans le numéro du 23 février 2016 du JAMA Consensus sepsis et choc septique évaluation des critères clinique du sepsis – définition et critères du choc septique Ces nouvelles définitions sont issues d’un groupe de travail de la « Society of Critical Care Medicine » et de la « European Society of Intensive Care Medicine ». Le processus a comporté une analyse de la littérature, la rédaction de critères sur la base d’une méthode delphi, une analyse « big data » de bases de données hospitalières. Le draft a ensuite été diffusé à de multiples sociétés savantes pour commentaires et approbation. Les définitions précédentes dataient de 2001, et maintenaient les concepts de sepsis, sepsis grave et choc septique proposés depuis Bone en 1991, reposant largement sur le niveau d’inflammation et une hypothèse de continuum entre les 3 concepts. Les nouvelles définitions du sepsis sont basées sur la dysfonction d’organe et le niveau de mortalité observé. Sepsis : Il est maintenant défini comme une dysfonction d’organe menaçant le pronostic vital et causé par une réponse inappropriée de l’hôte à une infection. Il n’y a plus de distinguo sepsis/sepsis grave. Il est aussi proposé une définition opérationnelle, pratique. Augmentation du score SOFA (Sequential Organ Failure Assessment) d’au moins 2 points lié à l’infection La mortalité hospitalière est estimée autour de 10%, justifiant d’une prise en charge adaptée rapide. Le SOFA basal est supposé être à zéro en l’absence de dysfonction d’organe, aigue ou chronique, prééexistante. Des critères simplifiés, utilisables hors réanimation, sont proposés en dépistage de patients pouvant avoir un sepsis: • Pression artérielle systolique ≤ 100 mm Hg • Fréquence respiratoire ≥ 22/mn • Confusion La présence de 2 critères quick SOFA (qSOFA) identifie des patients risquant d’avoir un mauvais pronostic et justifiant d’un monitorage accru, et/ou d’un traitement spécifique et/ou de prendre un avis en réanimation. Choc septique : sous groupe du sepsis avec anomalies importantes circulatoires et métabolique et une mortalité d’environ 40%. Il est défini par l’association de : • Sepsis • Besoin de drogues vasopressives pour maintenir une PAM ≥ 65 mm Hg • Lactates > 2 mmol/l (18mg/dl) malgré un remplissage adéquat Ces nouvelles définitions ont l’avantage supplémentaire de la simplicité. Un autre avantage est de supprimer la confusion, fréquente en pratique courante, entre sepsis et sepsis grave. Le SOFA est utilisé en routine en réanimation, et pour les services informatisés, facilement calculé automatiquement. Il devient par contre plus difficile, hors réanimation, de diagnostiquer un choc septique. Le quick SOFA est immédiatement accessible et très intuitif. A l’échelon individuel, il doit probablement être tempéré par l’état basal du patient (TA habituelle et confusion prééexistante). Calcul du score SOFA 0 point 1 point 2 points 3 points 4 point. Le quick SOFA est à 3 (fréquence respiratoire > 22, confusion et PAS <100 mmHg). L'interrogatoire de la maman vous apprend que sa fille est étudiante en école de commerce et qu'elle est revenue d'un stage dans une entreprise à New Delhi en Inde où elle a séjourné pendant une durée de 9 mois . Elle n'a pas d'antécédent particulier mais sa grand-mère est diabétique. Son IMC est à 20. La maman vous précise aussi qu'elle se plaint depuis 48 heures de douleur de la fosse lombaire droite. Vous suspectez une pyélonéphrite aigüe. Quelle est la gravité de cette infection? a. SIRS b. SEPSIS c. SEPSIS SEVERE d. CHOC SEPTIQUE e. PYELONEPHRITE AIGUE SANS SIGNE DE GRAVITE.
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. voir commentaires de la question 1.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Madame V.T. âgée de 22 ans est amenée par sa maman aux urgences le 31/12/2017 pour syndrome fébrile à 39°C avec frissons et confusion. Elle est prise en charge par l'infirmière d'orientation et d'accueil qui vous appelle en tant qu'interne de garde car la pression artérielle systolique est à 80 MmHg avec une fréquence respiratoire à 25/mn, une fréquence cardiaque à 100 / mn et une saturation arterielle en oxygène à 99%. Quelle est la valeur du quick SOFA (qSOFA) chez cette patiente pouvant présenter un sepsis ? a. 0 b. 1 c. 2 d. 3 e. 4 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Info-antibio N°68: Juin 2016 Un service du journal Médecine et Maladies Infectieuses & de la SPILF (Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française), membre de la Fédération Française d’Infectiologie. Rédigé par le Dr S. Alfandari. Sources d’information nationales sur l’utilisation des antibiotiques Recommandations sur les ATB: infectiologie.com. ATB rationnelle en soins primaires : antibioclic.com ANSM : AMM des ATB, surveillance des effets indésirables. Site sur les ATB du Ministère de la Santé. Évaluation des pratiques : HAS - SPILF. Nouvelles définitions du sepsis publiés dans le numéro du 23 février 2016 du JAMA Consensus sepsis et choc septique évaluation des critères clinique du sepsis – définition et critères du choc septique Ces nouvelles définitions sont issues d’un groupe de travail de la « Society of Critical Care Medicine » et de la « European Society of Intensive Care Medicine ». Le processus a comporté une analyse de la littérature, la rédaction de critères sur la base d’une méthode delphi, une analyse « big data » de bases de données hospitalières. Le draft a ensuite été diffusé à de multiples sociétés savantes pour commentaires et approbation. Les définitions précédentes dataient de 2001, et maintenaient les concepts de sepsis, sepsis grave et choc septique proposés depuis Bone en 1991, reposant largement sur le niveau d’inflammation et une hypothèse de continuum entre les 3 concepts. Les nouvelles définitions du sepsis sont basées sur la dysfonction d’organe et le niveau de mortalité observé. Sepsis : Il est maintenant défini comme une dysfonction d’organe menaçant le pronostic vital et causé par une réponse inappropriée de l’hôte à une infection. Il n’y a plus de distinguo sepsis/sepsis grave. Il est aussi proposé une définition opérationnelle, pratique. Augmentation du score SOFA (Sequential Organ Failure Assessment) d’au moins 2 points lié à l’infection La mortalité hospitalière est estimée autour de 10%, justifiant d’une prise en charge adaptée rapide. Le SOFA basal est supposé être à zéro en l’absence de dysfonction d’organe, aigue ou chronique, prééexistante. Des critères simplifiés, utilisables hors réanimation, sont proposés en dépistage de patients pouvant avoir un sepsis: • Pression artérielle systolique ≤ 100 mm Hg • Fréquence respiratoire ≥ 22/mn • Confusion La présence de 2 critères quick SOFA (qSOFA) identifie des patients risquant d’avoir un mauvais pronostic et justifiant d’un monitorage accru, et/ou d’un traitement spécifique et/ou de prendre un avis en réanimation. Choc septique : sous groupe du sepsis avec anomalies importantes circulatoires et métabolique et une mortalité d’environ 40%. Il est défini par l’association de : • Sepsis • Besoin de drogues vasopressives pour maintenir une PAM ≥ 65 mm Hg • Lactates > 2 mmol/l (18mg/dl) malgré un remplissage adéquat Ces nouvelles définitions ont l’avantage supplémentaire de la simplicité. Un autre avantage est de supprimer la confusion, fréquente en pratique courante, entre sepsis et sepsis grave. Le SOFA est utilisé en routine en réanimation, et pour les services informatisés, facilement calculé automatiquement. Il devient par contre plus difficile, hors réanimation, de diagnostiquer un choc septique. Le quick SOFA est immédiatement accessible et très intuitif. A l’échelon individuel, il doit probablement être tempéré par l’état basal du patient (TA habituelle et confusion prééexistante). Calcul du score SOFA 0 point 1 point 2 points 3 points 4 point. Le quick SOFA est à 3 (fréquence respiratoire > 22, confusion et PAS <100 mmHg). L'interrogatoire de la maman vous apprend que sa fille est étudiante en école de commerce et qu'elle est revenue d'un stage dans une entreprise à New Delhi en Inde où elle a séjourné pendant une durée de 9 mois . Elle n'a pas d'antécédent particulier mais sa grand-mère est diabétique. Son IMC est à 20. La maman vous précise aussi qu'elle se plaint depuis 48 heures de douleur de la fosse lombaire droite. Vous suspectez une pyélonéphrite aigüe. Quelle est la gravité de cette infection? a. SIRS b. SEPSIS c. SEPSIS SEVERE d. CHOC SEPTIQUE e. PYELONEPHRITE AIGUE SANS SIGNE DE GRAVITE. A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. voir commentaires de la question 1. La patiente est adressée en salle de déchocage. Quelles sont la ou les premières mesures que vous prenez? a. Glycémie capillaire b. Scope, oxymètre de pouls et pression arterielle non invasive c. Oxygène au masque haut débit à 15L/mn. d. Mise en place de 2 voies veineuses périphériques. e. Remplissage vasculaire par colloïde
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous devez réaliser une gycémie capillaire pour éliminer une hypoglycémie en raison de la confusion. Il n'y a pas besoin de mettre en place de l'oxygène dans la mesure ou la saturation artérielle en oxygène est à 99%. Les colloïdes sont contre-indiquées en 2017 pour le remplissage vasculaire en raison de leurs risques d'augmentation de la mortalité et d'apparition d'insuffisance rénale aigüe en cas d'infection.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Madame V.T. âgée de 22 ans est amenée par sa maman aux urgences le 31/12/2017 pour syndrome fébrile à 39°C avec frissons et confusion. Elle est prise en charge par l'infirmière d'orientation et d'accueil qui vous appelle en tant qu'interne de garde car la pression artérielle systolique est à 80 MmHg avec une fréquence respiratoire à 25/mn, une fréquence cardiaque à 100 / mn et une saturation arterielle en oxygène à 99%. Quelle est la valeur du quick SOFA (qSOFA) chez cette patiente pouvant présenter un sepsis ? a. 0 b. 1 c. 2 d. 3 e. 4 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Info-antibio N°68: Juin 2016 Un service du journal Médecine et Maladies Infectieuses & de la SPILF (Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française), membre de la Fédération Française d’Infectiologie. Rédigé par le Dr S. Alfandari. Sources d’information nationales sur l’utilisation des antibiotiques Recommandations sur les ATB: infectiologie.com. ATB rationnelle en soins primaires : antibioclic.com ANSM : AMM des ATB, surveillance des effets indésirables. Site sur les ATB du Ministère de la Santé. Évaluation des pratiques : HAS - SPILF. Nouvelles définitions du sepsis publiés dans le numéro du 23 février 2016 du JAMA Consensus sepsis et choc septique évaluation des critères clinique du sepsis – définition et critères du choc septique Ces nouvelles définitions sont issues d’un groupe de travail de la « Society of Critical Care Medicine » et de la « European Society of Intensive Care Medicine ». Le processus a comporté une analyse de la littérature, la rédaction de critères sur la base d’une méthode delphi, une analyse « big data » de bases de données hospitalières. Le draft a ensuite été diffusé à de multiples sociétés savantes pour commentaires et approbation. Les définitions précédentes dataient de 2001, et maintenaient les concepts de sepsis, sepsis grave et choc septique proposés depuis Bone en 1991, reposant largement sur le niveau d’inflammation et une hypothèse de continuum entre les 3 concepts. Les nouvelles définitions du sepsis sont basées sur la dysfonction d’organe et le niveau de mortalité observé. Sepsis : Il est maintenant défini comme une dysfonction d’organe menaçant le pronostic vital et causé par une réponse inappropriée de l’hôte à une infection. Il n’y a plus de distinguo sepsis/sepsis grave. Il est aussi proposé une définition opérationnelle, pratique. Augmentation du score SOFA (Sequential Organ Failure Assessment) d’au moins 2 points lié à l’infection La mortalité hospitalière est estimée autour de 10%, justifiant d’une prise en charge adaptée rapide. Le SOFA basal est supposé être à zéro en l’absence de dysfonction d’organe, aigue ou chronique, prééexistante. Des critères simplifiés, utilisables hors réanimation, sont proposés en dépistage de patients pouvant avoir un sepsis: • Pression artérielle systolique ≤ 100 mm Hg • Fréquence respiratoire ≥ 22/mn • Confusion La présence de 2 critères quick SOFA (qSOFA) identifie des patients risquant d’avoir un mauvais pronostic et justifiant d’un monitorage accru, et/ou d’un traitement spécifique et/ou de prendre un avis en réanimation. Choc septique : sous groupe du sepsis avec anomalies importantes circulatoires et métabolique et une mortalité d’environ 40%. Il est défini par l’association de : • Sepsis • Besoin de drogues vasopressives pour maintenir une PAM ≥ 65 mm Hg • Lactates > 2 mmol/l (18mg/dl) malgré un remplissage adéquat Ces nouvelles définitions ont l’avantage supplémentaire de la simplicité. Un autre avantage est de supprimer la confusion, fréquente en pratique courante, entre sepsis et sepsis grave. Le SOFA est utilisé en routine en réanimation, et pour les services informatisés, facilement calculé automatiquement. Il devient par contre plus difficile, hors réanimation, de diagnostiquer un choc septique. Le quick SOFA est immédiatement accessible et très intuitif. A l’échelon individuel, il doit probablement être tempéré par l’état basal du patient (TA habituelle et confusion prééexistante). Calcul du score SOFA 0 point 1 point 2 points 3 points 4 point. Le quick SOFA est à 3 (fréquence respiratoire > 22, confusion et PAS <100 mmHg). L'interrogatoire de la maman vous apprend que sa fille est étudiante en école de commerce et qu'elle est revenue d'un stage dans une entreprise à New Delhi en Inde où elle a séjourné pendant une durée de 9 mois . Elle n'a pas d'antécédent particulier mais sa grand-mère est diabétique. Son IMC est à 20. La maman vous précise aussi qu'elle se plaint depuis 48 heures de douleur de la fosse lombaire droite. Vous suspectez une pyélonéphrite aigüe. Quelle est la gravité de cette infection? a. SIRS b. SEPSIS c. SEPSIS SEVERE d. CHOC SEPTIQUE e. PYELONEPHRITE AIGUE SANS SIGNE DE GRAVITE. A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. voir commentaires de la question 1. La patiente est adressée en salle de déchocage. Quelles sont la ou les premières mesures que vous prenez? a. Glycémie capillaire b. Scope, oxymètre de pouls et pression arterielle non invasive c. Oxygène au masque haut débit à 15L/mn. d. Mise en place de 2 voies veineuses périphériques. e. Remplissage vasculaire par colloïde A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous devez réaliser une gycémie capillaire pour éliminer une hypoglycémie en raison de la confusion. Il n'y a pas besoin de mettre en place de l'oxygène dans la mesure ou la saturation artérielle en oxygène est à 99%. Les colloïdes sont contre-indiquées en 2017 pour le remplissage vasculaire en raison de leurs risques d'augmentation de la mortalité et d'apparition d'insuffisance rénale aigüe en cas d'infection. La glycémie capillaire est > 20 mmoL. L'examen clinique montre l'absence de signe méningé et un examen neurologique normal en dehors de la confusion. L'auscultation cardio-pulmonaire est normale. Il n'y a pas de marbrures, ni de cyanose. Vous sondez la patiente qui permet de recueillir des urines dont l'aspect macroscopique semble être purulent. Le résultat de Le résultat de la bandelette urinaire est le suivant : - Leucocytes + - Nitrites + - Glycosurie + - Cétonurie +. Quelles sont la ou les propositions exactes? a. Acidocétose révélatrice d'un diabète de type 2. b. Le germe probablement en cause est E.coli. c. Le germe probablement en cause est Staphylococcus aureus. d. Le germe probablement en cause est Pseudomonas spp. e. Acidocétose révélatrice d'un diabète de type 1.
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Il s'agit bien sur d'un diabéte de type 1 et non pas de type 2. La BU n'apporte qu'une valeur d'orientaton en détectant des leucocytes, témoins de l'inflammation, ou des nitrites, signant la présence d'une entérobactérie (seule cette famille bactérienne est pouvue de nitrate réductase) à forte densité (virage de la réaction au seuil de 105 ufc/mL). La BU est dite positive lorsqu'elle détecte la présence de leucocytes ou de nitrites. La BU est dite négative lorsqu'elle détecte ni leucocytes, ni nitrites. A noter qu'une réaction négative pour les nitrites peut correspondre : - soit à une absence de bactériurie; - soit à une bactériurie due à une espèce microbienne dépourvue de nitrate réductase (cocci Gram positif comme Staphylococcus spp. et Enterococcus spp., Pseudomonas spp., Candida spp....) - soit à une bactériurie due à une entérobactérie mais à faible densité (<105 ufc/mL).
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Madame V.T. âgée de 22 ans est amenée par sa maman aux urgences le 31/12/2017 pour syndrome fébrile à 39°C avec frissons et confusion. Elle est prise en charge par l'infirmière d'orientation et d'accueil qui vous appelle en tant qu'interne de garde car la pression artérielle systolique est à 80 MmHg avec une fréquence respiratoire à 25/mn, une fréquence cardiaque à 100 / mn et une saturation arterielle en oxygène à 99%. Quelle est la valeur du quick SOFA (qSOFA) chez cette patiente pouvant présenter un sepsis ? a. 0 b. 1 c. 2 d. 3 e. 4 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Info-antibio N°68: Juin 2016 Un service du journal Médecine et Maladies Infectieuses & de la SPILF (Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française), membre de la Fédération Française d’Infectiologie. Rédigé par le Dr S. Alfandari. Sources d’information nationales sur l’utilisation des antibiotiques Recommandations sur les ATB: infectiologie.com. ATB rationnelle en soins primaires : antibioclic.com ANSM : AMM des ATB, surveillance des effets indésirables. Site sur les ATB du Ministère de la Santé. Évaluation des pratiques : HAS - SPILF. Nouvelles définitions du sepsis publiés dans le numéro du 23 février 2016 du JAMA Consensus sepsis et choc septique évaluation des critères clinique du sepsis – définition et critères du choc septique Ces nouvelles définitions sont issues d’un groupe de travail de la « Society of Critical Care Medicine » et de la « European Society of Intensive Care Medicine ». Le processus a comporté une analyse de la littérature, la rédaction de critères sur la base d’une méthode delphi, une analyse « big data » de bases de données hospitalières. Le draft a ensuite été diffusé à de multiples sociétés savantes pour commentaires et approbation. Les définitions précédentes dataient de 2001, et maintenaient les concepts de sepsis, sepsis grave et choc septique proposés depuis Bone en 1991, reposant largement sur le niveau d’inflammation et une hypothèse de continuum entre les 3 concepts. Les nouvelles définitions du sepsis sont basées sur la dysfonction d’organe et le niveau de mortalité observé. Sepsis : Il est maintenant défini comme une dysfonction d’organe menaçant le pronostic vital et causé par une réponse inappropriée de l’hôte à une infection. Il n’y a plus de distinguo sepsis/sepsis grave. Il est aussi proposé une définition opérationnelle, pratique. Augmentation du score SOFA (Sequential Organ Failure Assessment) d’au moins 2 points lié à l’infection La mortalité hospitalière est estimée autour de 10%, justifiant d’une prise en charge adaptée rapide. Le SOFA basal est supposé être à zéro en l’absence de dysfonction d’organe, aigue ou chronique, prééexistante. Des critères simplifiés, utilisables hors réanimation, sont proposés en dépistage de patients pouvant avoir un sepsis: • Pression artérielle systolique ≤ 100 mm Hg • Fréquence respiratoire ≥ 22/mn • Confusion La présence de 2 critères quick SOFA (qSOFA) identifie des patients risquant d’avoir un mauvais pronostic et justifiant d’un monitorage accru, et/ou d’un traitement spécifique et/ou de prendre un avis en réanimation. Choc septique : sous groupe du sepsis avec anomalies importantes circulatoires et métabolique et une mortalité d’environ 40%. Il est défini par l’association de : • Sepsis • Besoin de drogues vasopressives pour maintenir une PAM ≥ 65 mm Hg • Lactates > 2 mmol/l (18mg/dl) malgré un remplissage adéquat Ces nouvelles définitions ont l’avantage supplémentaire de la simplicité. Un autre avantage est de supprimer la confusion, fréquente en pratique courante, entre sepsis et sepsis grave. Le SOFA est utilisé en routine en réanimation, et pour les services informatisés, facilement calculé automatiquement. Il devient par contre plus difficile, hors réanimation, de diagnostiquer un choc septique. Le quick SOFA est immédiatement accessible et très intuitif. A l’échelon individuel, il doit probablement être tempéré par l’état basal du patient (TA habituelle et confusion prééexistante). Calcul du score SOFA 0 point 1 point 2 points 3 points 4 point. Le quick SOFA est à 3 (fréquence respiratoire > 22, confusion et PAS <100 mmHg). L'interrogatoire de la maman vous apprend que sa fille est étudiante en école de commerce et qu'elle est revenue d'un stage dans une entreprise à New Delhi en Inde où elle a séjourné pendant une durée de 9 mois . Elle n'a pas d'antécédent particulier mais sa grand-mère est diabétique. Son IMC est à 20. La maman vous précise aussi qu'elle se plaint depuis 48 heures de douleur de la fosse lombaire droite. Vous suspectez une pyélonéphrite aigüe. Quelle est la gravité de cette infection? a. SIRS b. SEPSIS c. SEPSIS SEVERE d. CHOC SEPTIQUE e. PYELONEPHRITE AIGUE SANS SIGNE DE GRAVITE. A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. voir commentaires de la question 1. La patiente est adressée en salle de déchocage. Quelles sont la ou les premières mesures que vous prenez? a. Glycémie capillaire b. Scope, oxymètre de pouls et pression arterielle non invasive c. Oxygène au masque haut débit à 15L/mn. d. Mise en place de 2 voies veineuses périphériques. e. Remplissage vasculaire par colloïde A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous devez réaliser une gycémie capillaire pour éliminer une hypoglycémie en raison de la confusion. Il n'y a pas besoin de mettre en place de l'oxygène dans la mesure ou la saturation artérielle en oxygène est à 99%. Les colloïdes sont contre-indiquées en 2017 pour le remplissage vasculaire en raison de leurs risques d'augmentation de la mortalité et d'apparition d'insuffisance rénale aigüe en cas d'infection. La glycémie capillaire est > 20 mmoL. L'examen clinique montre l'absence de signe méningé et un examen neurologique normal en dehors de la confusion. L'auscultation cardio-pulmonaire est normale. Il n'y a pas de marbrures, ni de cyanose. Vous sondez la patiente qui permet de recueillir des urines dont l'aspect macroscopique semble être purulent. Le résultat de Le résultat de la bandelette urinaire est le suivant : - Leucocytes + - Nitrites + - Glycosurie + - Cétonurie +. Quelles sont la ou les propositions exactes? a. Acidocétose révélatrice d'un diabète de type 2. b. Le germe probablement en cause est E.coli. c. Le germe probablement en cause est Staphylococcus aureus. d. Le germe probablement en cause est Pseudomonas spp. e. Acidocétose révélatrice d'un diabète de type 1. A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Il s'agit bien sur d'un diabéte de type 1 et non pas de type 2. La BU n'apporte qu'une valeur d'orientaton en détectant des leucocytes, témoins de l'inflammation, ou des nitrites, signant la présence d'une entérobactérie (seule cette famille bactérienne est pouvue de nitrate réductase) à forte densité (virage de la réaction au seuil de 105 ufc/mL). La BU est dite positive lorsqu'elle détecte la présence de leucocytes ou de nitrites. La BU est dite négative lorsqu'elle détecte ni leucocytes, ni nitrites. A noter qu'une réaction négative pour les nitrites peut correspondre : - soit à une absence de bactériurie; - soit à une bactériurie due à une espèce microbienne dépourvue de nitrate réductase (cocci Gram positif comme Staphylococcus spp. et Enterococcus spp., Pseudomonas spp., Candida spp....) - soit à une bactériurie due à une entérobactérie mais à faible densité (<105 ufc/mL). Il s'agit donc d'une acidocétose révélatrice d'un diabète de type 1 dont le facteur déclenchant est une pyélonéphrite aigüe droite probablement due à E.coli avec un sepsis. Quelles sont la ou les mesures que vous prenez ? a. Insulinothérapie à 10U/h b. Remplissage vasculaire par sérum salé à 9 0/00. c. Antibiothérapie probabiliste urgente en bithérapie. d. Antibiothérapie probabiliste urgente en monothérapie. e. Réalisation d'un ECG
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Les 4 principes de traitement de l'ACD sont : - insulinothérapie 10 unités / heure - Réhydratation vasculaire par sérum salé à 9 0/00 - Recharge potassique pour maintenir la kaliémie dans des valeurs normales - Traitement du facteur déclenchant si nécessaire (dans ce cas, antiobiothérapie) L'antibiothérapie est bien sur urgente (dans l'heure) en raison du sepsis et elle doit se faire dans ce contexte en bithérapie. Dans cette observation le serum salé est utilisé à la fois pour le remplissage vasculaire et pour la réhydratation. En cas d'ACD diabétique, il faut toujours réaliser un ECG pour s'assurer de l'absence de signes éléctrocardiographiques de dyskalémies.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
37
6
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Madame V.T. âgée de 22 ans est amenée par sa maman aux urgences le 31/12/2017 pour syndrome fébrile à 39°C avec frissons et confusion. Elle est prise en charge par l'infirmière d'orientation et d'accueil qui vous appelle en tant qu'interne de garde car la pression artérielle systolique est à 80 MmHg avec une fréquence respiratoire à 25/mn, une fréquence cardiaque à 100 / mn et une saturation arterielle en oxygène à 99%. Quelle est la valeur du quick SOFA (qSOFA) chez cette patiente pouvant présenter un sepsis ? a. 0 b. 1 c. 2 d. 3 e. 4 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Info-antibio N°68: Juin 2016 Un service du journal Médecine et Maladies Infectieuses & de la SPILF (Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française), membre de la Fédération Française d’Infectiologie. Rédigé par le Dr S. Alfandari. Sources d’information nationales sur l’utilisation des antibiotiques Recommandations sur les ATB: infectiologie.com. ATB rationnelle en soins primaires : antibioclic.com ANSM : AMM des ATB, surveillance des effets indésirables. Site sur les ATB du Ministère de la Santé. Évaluation des pratiques : HAS - SPILF. Nouvelles définitions du sepsis publiés dans le numéro du 23 février 2016 du JAMA Consensus sepsis et choc septique évaluation des critères clinique du sepsis – définition et critères du choc septique Ces nouvelles définitions sont issues d’un groupe de travail de la « Society of Critical Care Medicine » et de la « European Society of Intensive Care Medicine ». Le processus a comporté une analyse de la littérature, la rédaction de critères sur la base d’une méthode delphi, une analyse « big data » de bases de données hospitalières. Le draft a ensuite été diffusé à de multiples sociétés savantes pour commentaires et approbation. Les définitions précédentes dataient de 2001, et maintenaient les concepts de sepsis, sepsis grave et choc septique proposés depuis Bone en 1991, reposant largement sur le niveau d’inflammation et une hypothèse de continuum entre les 3 concepts. Les nouvelles définitions du sepsis sont basées sur la dysfonction d’organe et le niveau de mortalité observé. Sepsis : Il est maintenant défini comme une dysfonction d’organe menaçant le pronostic vital et causé par une réponse inappropriée de l’hôte à une infection. Il n’y a plus de distinguo sepsis/sepsis grave. Il est aussi proposé une définition opérationnelle, pratique. Augmentation du score SOFA (Sequential Organ Failure Assessment) d’au moins 2 points lié à l’infection La mortalité hospitalière est estimée autour de 10%, justifiant d’une prise en charge adaptée rapide. Le SOFA basal est supposé être à zéro en l’absence de dysfonction d’organe, aigue ou chronique, prééexistante. Des critères simplifiés, utilisables hors réanimation, sont proposés en dépistage de patients pouvant avoir un sepsis: • Pression artérielle systolique ≤ 100 mm Hg • Fréquence respiratoire ≥ 22/mn • Confusion La présence de 2 critères quick SOFA (qSOFA) identifie des patients risquant d’avoir un mauvais pronostic et justifiant d’un monitorage accru, et/ou d’un traitement spécifique et/ou de prendre un avis en réanimation. Choc septique : sous groupe du sepsis avec anomalies importantes circulatoires et métabolique et une mortalité d’environ 40%. Il est défini par l’association de : • Sepsis • Besoin de drogues vasopressives pour maintenir une PAM ≥ 65 mm Hg • Lactates > 2 mmol/l (18mg/dl) malgré un remplissage adéquat Ces nouvelles définitions ont l’avantage supplémentaire de la simplicité. Un autre avantage est de supprimer la confusion, fréquente en pratique courante, entre sepsis et sepsis grave. Le SOFA est utilisé en routine en réanimation, et pour les services informatisés, facilement calculé automatiquement. Il devient par contre plus difficile, hors réanimation, de diagnostiquer un choc septique. Le quick SOFA est immédiatement accessible et très intuitif. A l’échelon individuel, il doit probablement être tempéré par l’état basal du patient (TA habituelle et confusion prééexistante). Calcul du score SOFA 0 point 1 point 2 points 3 points 4 point. Le quick SOFA est à 3 (fréquence respiratoire > 22, confusion et PAS <100 mmHg). L'interrogatoire de la maman vous apprend que sa fille est étudiante en école de commerce et qu'elle est revenue d'un stage dans une entreprise à New Delhi en Inde où elle a séjourné pendant une durée de 9 mois . Elle n'a pas d'antécédent particulier mais sa grand-mère est diabétique. Son IMC est à 20. La maman vous précise aussi qu'elle se plaint depuis 48 heures de douleur de la fosse lombaire droite. Vous suspectez une pyélonéphrite aigüe. Quelle est la gravité de cette infection? a. SIRS b. SEPSIS c. SEPSIS SEVERE d. CHOC SEPTIQUE e. PYELONEPHRITE AIGUE SANS SIGNE DE GRAVITE. A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. voir commentaires de la question 1. La patiente est adressée en salle de déchocage. Quelles sont la ou les premières mesures que vous prenez? a. Glycémie capillaire b. Scope, oxymètre de pouls et pression arterielle non invasive c. Oxygène au masque haut débit à 15L/mn. d. Mise en place de 2 voies veineuses périphériques. e. Remplissage vasculaire par colloïde A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous devez réaliser une gycémie capillaire pour éliminer une hypoglycémie en raison de la confusion. Il n'y a pas besoin de mettre en place de l'oxygène dans la mesure ou la saturation artérielle en oxygène est à 99%. Les colloïdes sont contre-indiquées en 2017 pour le remplissage vasculaire en raison de leurs risques d'augmentation de la mortalité et d'apparition d'insuffisance rénale aigüe en cas d'infection. La glycémie capillaire est > 20 mmoL. L'examen clinique montre l'absence de signe méningé et un examen neurologique normal en dehors de la confusion. L'auscultation cardio-pulmonaire est normale. Il n'y a pas de marbrures, ni de cyanose. Vous sondez la patiente qui permet de recueillir des urines dont l'aspect macroscopique semble être purulent. Le résultat de Le résultat de la bandelette urinaire est le suivant : - Leucocytes + - Nitrites + - Glycosurie + - Cétonurie +. Quelles sont la ou les propositions exactes? a. Acidocétose révélatrice d'un diabète de type 2. b. Le germe probablement en cause est E.coli. c. Le germe probablement en cause est Staphylococcus aureus. d. Le germe probablement en cause est Pseudomonas spp. e. Acidocétose révélatrice d'un diabète de type 1. A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Il s'agit bien sur d'un diabéte de type 1 et non pas de type 2. La BU n'apporte qu'une valeur d'orientaton en détectant des leucocytes, témoins de l'inflammation, ou des nitrites, signant la présence d'une entérobactérie (seule cette famille bactérienne est pouvue de nitrate réductase) à forte densité (virage de la réaction au seuil de 105 ufc/mL). La BU est dite positive lorsqu'elle détecte la présence de leucocytes ou de nitrites. La BU est dite négative lorsqu'elle détecte ni leucocytes, ni nitrites. A noter qu'une réaction négative pour les nitrites peut correspondre : - soit à une absence de bactériurie; - soit à une bactériurie due à une espèce microbienne dépourvue de nitrate réductase (cocci Gram positif comme Staphylococcus spp. et Enterococcus spp., Pseudomonas spp., Candida spp....) - soit à une bactériurie due à une entérobactérie mais à faible densité (<105 ufc/mL). Il s'agit donc d'une acidocétose révélatrice d'un diabète de type 1 dont le facteur déclenchant est une pyélonéphrite aigüe droite probablement due à E.coli avec un sepsis. Quelles sont la ou les mesures que vous prenez ? a. Insulinothérapie à 10U/h b. Remplissage vasculaire par sérum salé à 9 0/00. c. Antibiothérapie probabiliste urgente en bithérapie. d. Antibiothérapie probabiliste urgente en monothérapie. e. Réalisation d'un ECG A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Les 4 principes de traitement de l'ACD sont : - insulinothérapie 10 unités / heure - Réhydratation vasculaire par sérum salé à 9 0/00 - Recharge potassique pour maintenir la kaliémie dans des valeurs normales - Traitement du facteur déclenchant si nécessaire (dans ce cas, antiobiothérapie) L'antibiothérapie est bien sur urgente (dans l'heure) en raison du sepsis et elle doit se faire dans ce contexte en bithérapie. Dans cette observation le serum salé est utilisé à la fois pour le remplissage vasculaire et pour la réhydratation. En cas d'ACD diabétique, il faut toujours réaliser un ECG pour s'assurer de l'absence de signes éléctrocardiographiques de dyskalémies. Vous décidez de prescrire une antibiothérapie probabiliste. Quelles sont la ou les propositions possibles? a. Céfotaxime + Amikacine b. Céfotaxime + Gentamicine c. Carbapénème + Amikacine d. Carbapénème + Gentamicine e. Tiénam + Amikacine
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Les facteurs de risque d'une infection à E.Coli porteur d'une BLSE sont : - antécédent d'IU/colonisation à EBLSE < 6 mois - prise de amox-clav/C2G-C3G/FQ < 6 mois - voyage en zone d'endémie EBLSE (dont l'Inde) - vie en long séjour. Cette patiente a séjournée 9 mois en Inde. Il est donc recommandé de prescrire une association de carbapénème et d' amikacine Le Tiénam est un carbapénème.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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7
551
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Madame V.T. âgée de 22 ans est amenée par sa maman aux urgences le 31/12/2017 pour syndrome fébrile à 39°C avec frissons et confusion. Elle est prise en charge par l'infirmière d'orientation et d'accueil qui vous appelle en tant qu'interne de garde car la pression artérielle systolique est à 80 MmHg avec une fréquence respiratoire à 25/mn, une fréquence cardiaque à 100 / mn et une saturation arterielle en oxygène à 99%. Quelle est la valeur du quick SOFA (qSOFA) chez cette patiente pouvant présenter un sepsis ? a. 0 b. 1 c. 2 d. 3 e. 4 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Info-antibio N°68: Juin 2016 Un service du journal Médecine et Maladies Infectieuses & de la SPILF (Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française), membre de la Fédération Française d’Infectiologie. Rédigé par le Dr S. Alfandari. Sources d’information nationales sur l’utilisation des antibiotiques Recommandations sur les ATB: infectiologie.com. ATB rationnelle en soins primaires : antibioclic.com ANSM : AMM des ATB, surveillance des effets indésirables. Site sur les ATB du Ministère de la Santé. Évaluation des pratiques : HAS - SPILF. Nouvelles définitions du sepsis publiés dans le numéro du 23 février 2016 du JAMA Consensus sepsis et choc septique évaluation des critères clinique du sepsis – définition et critères du choc septique Ces nouvelles définitions sont issues d’un groupe de travail de la « Society of Critical Care Medicine » et de la « European Society of Intensive Care Medicine ». Le processus a comporté une analyse de la littérature, la rédaction de critères sur la base d’une méthode delphi, une analyse « big data » de bases de données hospitalières. Le draft a ensuite été diffusé à de multiples sociétés savantes pour commentaires et approbation. Les définitions précédentes dataient de 2001, et maintenaient les concepts de sepsis, sepsis grave et choc septique proposés depuis Bone en 1991, reposant largement sur le niveau d’inflammation et une hypothèse de continuum entre les 3 concepts. Les nouvelles définitions du sepsis sont basées sur la dysfonction d’organe et le niveau de mortalité observé. Sepsis : Il est maintenant défini comme une dysfonction d’organe menaçant le pronostic vital et causé par une réponse inappropriée de l’hôte à une infection. Il n’y a plus de distinguo sepsis/sepsis grave. Il est aussi proposé une définition opérationnelle, pratique. Augmentation du score SOFA (Sequential Organ Failure Assessment) d’au moins 2 points lié à l’infection La mortalité hospitalière est estimée autour de 10%, justifiant d’une prise en charge adaptée rapide. Le SOFA basal est supposé être à zéro en l’absence de dysfonction d’organe, aigue ou chronique, prééexistante. Des critères simplifiés, utilisables hors réanimation, sont proposés en dépistage de patients pouvant avoir un sepsis: • Pression artérielle systolique ≤ 100 mm Hg • Fréquence respiratoire ≥ 22/mn • Confusion La présence de 2 critères quick SOFA (qSOFA) identifie des patients risquant d’avoir un mauvais pronostic et justifiant d’un monitorage accru, et/ou d’un traitement spécifique et/ou de prendre un avis en réanimation. Choc septique : sous groupe du sepsis avec anomalies importantes circulatoires et métabolique et une mortalité d’environ 40%. Il est défini par l’association de : • Sepsis • Besoin de drogues vasopressives pour maintenir une PAM ≥ 65 mm Hg • Lactates > 2 mmol/l (18mg/dl) malgré un remplissage adéquat Ces nouvelles définitions ont l’avantage supplémentaire de la simplicité. Un autre avantage est de supprimer la confusion, fréquente en pratique courante, entre sepsis et sepsis grave. Le SOFA est utilisé en routine en réanimation, et pour les services informatisés, facilement calculé automatiquement. Il devient par contre plus difficile, hors réanimation, de diagnostiquer un choc septique. Le quick SOFA est immédiatement accessible et très intuitif. A l’échelon individuel, il doit probablement être tempéré par l’état basal du patient (TA habituelle et confusion prééexistante). Calcul du score SOFA 0 point 1 point 2 points 3 points 4 point. Le quick SOFA est à 3 (fréquence respiratoire > 22, confusion et PAS <100 mmHg). L'interrogatoire de la maman vous apprend que sa fille est étudiante en école de commerce et qu'elle est revenue d'un stage dans une entreprise à New Delhi en Inde où elle a séjourné pendant une durée de 9 mois . Elle n'a pas d'antécédent particulier mais sa grand-mère est diabétique. Son IMC est à 20. La maman vous précise aussi qu'elle se plaint depuis 48 heures de douleur de la fosse lombaire droite. Vous suspectez une pyélonéphrite aigüe. Quelle est la gravité de cette infection? a. SIRS b. SEPSIS c. SEPSIS SEVERE d. CHOC SEPTIQUE e. PYELONEPHRITE AIGUE SANS SIGNE DE GRAVITE. A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. voir commentaires de la question 1. La patiente est adressée en salle de déchocage. Quelles sont la ou les premières mesures que vous prenez? a. Glycémie capillaire b. Scope, oxymètre de pouls et pression arterielle non invasive c. Oxygène au masque haut débit à 15L/mn. d. Mise en place de 2 voies veineuses périphériques. e. Remplissage vasculaire par colloïde A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous devez réaliser une gycémie capillaire pour éliminer une hypoglycémie en raison de la confusion. Il n'y a pas besoin de mettre en place de l'oxygène dans la mesure ou la saturation artérielle en oxygène est à 99%. Les colloïdes sont contre-indiquées en 2017 pour le remplissage vasculaire en raison de leurs risques d'augmentation de la mortalité et d'apparition d'insuffisance rénale aigüe en cas d'infection. La glycémie capillaire est > 20 mmoL. L'examen clinique montre l'absence de signe méningé et un examen neurologique normal en dehors de la confusion. L'auscultation cardio-pulmonaire est normale. Il n'y a pas de marbrures, ni de cyanose. Vous sondez la patiente qui permet de recueillir des urines dont l'aspect macroscopique semble être purulent. Le résultat de Le résultat de la bandelette urinaire est le suivant : - Leucocytes + - Nitrites + - Glycosurie + - Cétonurie +. Quelles sont la ou les propositions exactes? a. Acidocétose révélatrice d'un diabète de type 2. b. Le germe probablement en cause est E.coli. c. Le germe probablement en cause est Staphylococcus aureus. d. Le germe probablement en cause est Pseudomonas spp. e. Acidocétose révélatrice d'un diabète de type 1. A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Il s'agit bien sur d'un diabéte de type 1 et non pas de type 2. La BU n'apporte qu'une valeur d'orientaton en détectant des leucocytes, témoins de l'inflammation, ou des nitrites, signant la présence d'une entérobactérie (seule cette famille bactérienne est pouvue de nitrate réductase) à forte densité (virage de la réaction au seuil de 105 ufc/mL). La BU est dite positive lorsqu'elle détecte la présence de leucocytes ou de nitrites. La BU est dite négative lorsqu'elle détecte ni leucocytes, ni nitrites. A noter qu'une réaction négative pour les nitrites peut correspondre : - soit à une absence de bactériurie; - soit à une bactériurie due à une espèce microbienne dépourvue de nitrate réductase (cocci Gram positif comme Staphylococcus spp. et Enterococcus spp., Pseudomonas spp., Candida spp....) - soit à une bactériurie due à une entérobactérie mais à faible densité (<105 ufc/mL). Il s'agit donc d'une acidocétose révélatrice d'un diabète de type 1 dont le facteur déclenchant est une pyélonéphrite aigüe droite probablement due à E.coli avec un sepsis. Quelles sont la ou les mesures que vous prenez ? a. Insulinothérapie à 10U/h b. Remplissage vasculaire par sérum salé à 9 0/00. c. Antibiothérapie probabiliste urgente en bithérapie. d. Antibiothérapie probabiliste urgente en monothérapie. e. Réalisation d'un ECG A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Les 4 principes de traitement de l'ACD sont : - insulinothérapie 10 unités / heure - Réhydratation vasculaire par sérum salé à 9 0/00 - Recharge potassique pour maintenir la kaliémie dans des valeurs normales - Traitement du facteur déclenchant si nécessaire (dans ce cas, antiobiothérapie) L'antibiothérapie est bien sur urgente (dans l'heure) en raison du sepsis et elle doit se faire dans ce contexte en bithérapie. Dans cette observation le serum salé est utilisé à la fois pour le remplissage vasculaire et pour la réhydratation. En cas d'ACD diabétique, il faut toujours réaliser un ECG pour s'assurer de l'absence de signes éléctrocardiographiques de dyskalémies. Vous décidez de prescrire une antibiothérapie probabiliste. Quelles sont la ou les propositions possibles? a. Céfotaxime + Amikacine b. Céfotaxime + Gentamicine c. Carbapénème + Amikacine d. Carbapénème + Gentamicine e. Tiénam + Amikacine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Les facteurs de risque d'une infection à E.Coli porteur d'une BLSE sont : - antécédent d'IU/colonisation à EBLSE < 6 mois - prise de amox-clav/C2G-C3G/FQ < 6 mois - voyage en zone d'endémie EBLSE (dont l'Inde) - vie en long séjour. Cette patiente a séjournée 9 mois en Inde. Il est donc recommandé de prescrire une association de carbapénème et d' amikacine Le Tiénam est un carbapénème. Voici le tracé ECG que vous avez réalisé. Quelles sont la ou les propositions exactes concernant la probable valeur de la kaliémie? a. Kaliémie à 2 mmoL/l. b. Kaliémie à 2.5 mmoL/l. c. Kaliémie normale. d. Kaliémie à 6 mmoL/l. e. Kaliémie à 7 mmoL/l.
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. L'ECG est normal avec l'absence de signes électrocardiographiques d'hypo ou d'hyperkaliémie. Il est probable que la kaliémie sera dans des valeurs normales.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Madame V.T. âgée de 22 ans est amenée par sa maman aux urgences le 31/12/2017 pour syndrome fébrile à 39°C avec frissons et confusion. Elle est prise en charge par l'infirmière d'orientation et d'accueil qui vous appelle en tant qu'interne de garde car la pression artérielle systolique est à 80 MmHg avec une fréquence respiratoire à 25/mn, une fréquence cardiaque à 100 / mn et une saturation arterielle en oxygène à 99%. Quelle est la valeur du quick SOFA (qSOFA) chez cette patiente pouvant présenter un sepsis ? a. 0 b. 1 c. 2 d. 3 e. 4 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Info-antibio N°68: Juin 2016 Un service du journal Médecine et Maladies Infectieuses & de la SPILF (Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française), membre de la Fédération Française d’Infectiologie. Rédigé par le Dr S. Alfandari. Sources d’information nationales sur l’utilisation des antibiotiques Recommandations sur les ATB: infectiologie.com. ATB rationnelle en soins primaires : antibioclic.com ANSM : AMM des ATB, surveillance des effets indésirables. Site sur les ATB du Ministère de la Santé. Évaluation des pratiques : HAS - SPILF. Nouvelles définitions du sepsis publiés dans le numéro du 23 février 2016 du JAMA Consensus sepsis et choc septique évaluation des critères clinique du sepsis – définition et critères du choc septique Ces nouvelles définitions sont issues d’un groupe de travail de la « Society of Critical Care Medicine » et de la « European Society of Intensive Care Medicine ». Le processus a comporté une analyse de la littérature, la rédaction de critères sur la base d’une méthode delphi, une analyse « big data » de bases de données hospitalières. Le draft a ensuite été diffusé à de multiples sociétés savantes pour commentaires et approbation. Les définitions précédentes dataient de 2001, et maintenaient les concepts de sepsis, sepsis grave et choc septique proposés depuis Bone en 1991, reposant largement sur le niveau d’inflammation et une hypothèse de continuum entre les 3 concepts. Les nouvelles définitions du sepsis sont basées sur la dysfonction d’organe et le niveau de mortalité observé. Sepsis : Il est maintenant défini comme une dysfonction d’organe menaçant le pronostic vital et causé par une réponse inappropriée de l’hôte à une infection. Il n’y a plus de distinguo sepsis/sepsis grave. Il est aussi proposé une définition opérationnelle, pratique. Augmentation du score SOFA (Sequential Organ Failure Assessment) d’au moins 2 points lié à l’infection La mortalité hospitalière est estimée autour de 10%, justifiant d’une prise en charge adaptée rapide. Le SOFA basal est supposé être à zéro en l’absence de dysfonction d’organe, aigue ou chronique, prééexistante. Des critères simplifiés, utilisables hors réanimation, sont proposés en dépistage de patients pouvant avoir un sepsis: • Pression artérielle systolique ≤ 100 mm Hg • Fréquence respiratoire ≥ 22/mn • Confusion La présence de 2 critères quick SOFA (qSOFA) identifie des patients risquant d’avoir un mauvais pronostic et justifiant d’un monitorage accru, et/ou d’un traitement spécifique et/ou de prendre un avis en réanimation. Choc septique : sous groupe du sepsis avec anomalies importantes circulatoires et métabolique et une mortalité d’environ 40%. Il est défini par l’association de : • Sepsis • Besoin de drogues vasopressives pour maintenir une PAM ≥ 65 mm Hg • Lactates > 2 mmol/l (18mg/dl) malgré un remplissage adéquat Ces nouvelles définitions ont l’avantage supplémentaire de la simplicité. Un autre avantage est de supprimer la confusion, fréquente en pratique courante, entre sepsis et sepsis grave. Le SOFA est utilisé en routine en réanimation, et pour les services informatisés, facilement calculé automatiquement. Il devient par contre plus difficile, hors réanimation, de diagnostiquer un choc septique. Le quick SOFA est immédiatement accessible et très intuitif. A l’échelon individuel, il doit probablement être tempéré par l’état basal du patient (TA habituelle et confusion prééexistante). Calcul du score SOFA 0 point 1 point 2 points 3 points 4 point. Le quick SOFA est à 3 (fréquence respiratoire > 22, confusion et PAS <100 mmHg). L'interrogatoire de la maman vous apprend que sa fille est étudiante en école de commerce et qu'elle est revenue d'un stage dans une entreprise à New Delhi en Inde où elle a séjourné pendant une durée de 9 mois . Elle n'a pas d'antécédent particulier mais sa grand-mère est diabétique. Son IMC est à 20. La maman vous précise aussi qu'elle se plaint depuis 48 heures de douleur de la fosse lombaire droite. Vous suspectez une pyélonéphrite aigüe. Quelle est la gravité de cette infection? a. SIRS b. SEPSIS c. SEPSIS SEVERE d. CHOC SEPTIQUE e. PYELONEPHRITE AIGUE SANS SIGNE DE GRAVITE. A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. voir commentaires de la question 1. La patiente est adressée en salle de déchocage. Quelles sont la ou les premières mesures que vous prenez? a. Glycémie capillaire b. Scope, oxymètre de pouls et pression arterielle non invasive c. Oxygène au masque haut débit à 15L/mn. d. Mise en place de 2 voies veineuses périphériques. e. Remplissage vasculaire par colloïde A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Vous devez réaliser une gycémie capillaire pour éliminer une hypoglycémie en raison de la confusion. Il n'y a pas besoin de mettre en place de l'oxygène dans la mesure ou la saturation artérielle en oxygène est à 99%. Les colloïdes sont contre-indiquées en 2017 pour le remplissage vasculaire en raison de leurs risques d'augmentation de la mortalité et d'apparition d'insuffisance rénale aigüe en cas d'infection. La glycémie capillaire est > 20 mmoL. L'examen clinique montre l'absence de signe méningé et un examen neurologique normal en dehors de la confusion. L'auscultation cardio-pulmonaire est normale. Il n'y a pas de marbrures, ni de cyanose. Vous sondez la patiente qui permet de recueillir des urines dont l'aspect macroscopique semble être purulent. Le résultat de Le résultat de la bandelette urinaire est le suivant : - Leucocytes + - Nitrites + - Glycosurie + - Cétonurie +. Quelles sont la ou les propositions exactes? a. Acidocétose révélatrice d'un diabète de type 2. b. Le germe probablement en cause est E.coli. c. Le germe probablement en cause est Staphylococcus aureus. d. Le germe probablement en cause est Pseudomonas spp. e. Acidocétose révélatrice d'un diabète de type 1. A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Il s'agit bien sur d'un diabéte de type 1 et non pas de type 2. La BU n'apporte qu'une valeur d'orientaton en détectant des leucocytes, témoins de l'inflammation, ou des nitrites, signant la présence d'une entérobactérie (seule cette famille bactérienne est pouvue de nitrate réductase) à forte densité (virage de la réaction au seuil de 105 ufc/mL). La BU est dite positive lorsqu'elle détecte la présence de leucocytes ou de nitrites. La BU est dite négative lorsqu'elle détecte ni leucocytes, ni nitrites. A noter qu'une réaction négative pour les nitrites peut correspondre : - soit à une absence de bactériurie; - soit à une bactériurie due à une espèce microbienne dépourvue de nitrate réductase (cocci Gram positif comme Staphylococcus spp. et Enterococcus spp., Pseudomonas spp., Candida spp....) - soit à une bactériurie due à une entérobactérie mais à faible densité (<105 ufc/mL). Il s'agit donc d'une acidocétose révélatrice d'un diabète de type 1 dont le facteur déclenchant est une pyélonéphrite aigüe droite probablement due à E.coli avec un sepsis. Quelles sont la ou les mesures que vous prenez ? a. Insulinothérapie à 10U/h b. Remplissage vasculaire par sérum salé à 9 0/00. c. Antibiothérapie probabiliste urgente en bithérapie. d. Antibiothérapie probabiliste urgente en monothérapie. e. Réalisation d'un ECG A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Les 4 principes de traitement de l'ACD sont : - insulinothérapie 10 unités / heure - Réhydratation vasculaire par sérum salé à 9 0/00 - Recharge potassique pour maintenir la kaliémie dans des valeurs normales - Traitement du facteur déclenchant si nécessaire (dans ce cas, antiobiothérapie) L'antibiothérapie est bien sur urgente (dans l'heure) en raison du sepsis et elle doit se faire dans ce contexte en bithérapie. Dans cette observation le serum salé est utilisé à la fois pour le remplissage vasculaire et pour la réhydratation. En cas d'ACD diabétique, il faut toujours réaliser un ECG pour s'assurer de l'absence de signes éléctrocardiographiques de dyskalémies. Vous décidez de prescrire une antibiothérapie probabiliste. Quelles sont la ou les propositions possibles? a. Céfotaxime + Amikacine b. Céfotaxime + Gentamicine c. Carbapénème + Amikacine d. Carbapénème + Gentamicine e. Tiénam + Amikacine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Les facteurs de risque d'une infection à E.Coli porteur d'une BLSE sont : - antécédent d'IU/colonisation à EBLSE < 6 mois - prise de amox-clav/C2G-C3G/FQ < 6 mois - voyage en zone d'endémie EBLSE (dont l'Inde) - vie en long séjour. Cette patiente a séjournée 9 mois en Inde. Il est donc recommandé de prescrire une association de carbapénème et d' amikacine Le Tiénam est un carbapénème. Voici le tracé ECG que vous avez réalisé. Quelles sont la ou les propositions exactes concernant la probable valeur de la kaliémie? a. Kaliémie à 2 mmoL/l. b. Kaliémie à 2.5 mmoL/l. c. Kaliémie normale. d. Kaliémie à 6 mmoL/l. e. Kaliémie à 7 mmoL/l. A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. L'ECG est normal avec l'absence de signes électrocardiographiques d'hypo ou d'hyperkaliémie. Il est probable que la kaliémie sera dans des valeurs normales. Malgré le remplissage vasculaire par le sérum salé à 9 0/00, la pression artérielle systolique ne remonte pas et vous décidez de mettre en route une drogue vaso-active. Quelle est la proposition juste? a. Dobutamine. b. Noradrénaline. c. Adrénaline. d. Isoprénaline. e. Dopamine.
A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. La défaillance cardiocirculatoire du choc septique associe une hypovolémie absolue (hyperperméabilité capillaire, augmentation des pertes insensibles, troisième secteur) à une hypovolémie relative par vasodilatation périphérique. On note en outre une atteinte myocardique précoce conduisant à une altération de la fonction systolique ventriculaire mais réversible. L’élément prédominant reste cependant la vasoplégie artérielle et veineuse, qui conditionnera le traitement symptomatique initial (remplissage + drogues vasoconstrictives) L'isoprénaline est vasodilatateur Les quatres autres propositions sont des vasoconstricteurs Le plus puissant vasoconstricteur parmi eux est la noradrénaline et c'est le traitement recommandé en première intention.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect.
Madame C., âgée de 51 ans, vous consulte car elle a réalisé un test immunologique de dépistage du cancer colorectal qui s'est avéré positif. A l'interrogatoire, on retrouve dans ses antécédents la notion d'un cancer colique chez son père à l'âge de 45 ans et un cancer de l'endomètre chez une tante paternelle à l'âge de 48 ans et un cancer de vessie chez une cousine à l'àge de 52 ans. Compte-tenu de ses antécédents, quel type de cancer colorectal héréditaire devez-vous évoquer? a. La polypose adénomatose familiale b. La maladie de Peutz-Jeghers c. Le syndrome MAP (MYH associated polyposis) d. Le syndrome de Lynch e. La polypose juvenile
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Patiente ayant des antécédents familiaux de cancer du spectre Lynch (côlon, endomètre, grêle, voies urinaires excrétrices).
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Madame C., âgée de 51 ans, vous consulte car elle a réalisé un test immunologique de dépistage du cancer colorectal qui s'est avéré positif. A l'interrogatoire, on retrouve dans ses antécédents la notion d'un cancer colique chez son père à l'âge de 45 ans et un cancer de l'endomètre chez une tante paternelle à l'âge de 48 ans et un cancer de vessie chez une cousine à l'àge de 52 ans. Compte-tenu de ses antécédents, quel type de cancer colorectal héréditaire devez-vous évoquer? a. La polypose adénomatose familiale b. La maladie de Peutz-Jeghers c. Le syndrome MAP (MYH associated polyposis) d. Le syndrome de Lynch e. La polypose juvenile A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Patiente ayant des antécédents familiaux de cancer du spectre Lynch (côlon, endomètre, grêle, voies urinaires excrétrices). Le diagnostic de syndrome de Lynch est établi chez cette patiente avec les critères d'Amsterdam II. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui font partie des critères d'Amsterdam II. a. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral étroit b. Au moins 1 cas de cancer diagnostiqué avant 60 ans c. Au moins 2 générations successives touchées d. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral élargi e. Au moins 1 sujet parent au premier degré avec les deux autres sujets atteints
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les critères d'Amsterdam II sont: - Au moins 3 sujets atteints de cancers du spectre HNPCC restreint - Au moins 1 sujet est parent au 1er degré avec 2 autres - Au moins 2 générations successives - Au moins 1 cas < 50 ans.
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Madame C., âgée de 51 ans, vous consulte car elle a réalisé un test immunologique de dépistage du cancer colorectal qui s'est avéré positif. A l'interrogatoire, on retrouve dans ses antécédents la notion d'un cancer colique chez son père à l'âge de 45 ans et un cancer de l'endomètre chez une tante paternelle à l'âge de 48 ans et un cancer de vessie chez une cousine à l'àge de 52 ans. Compte-tenu de ses antécédents, quel type de cancer colorectal héréditaire devez-vous évoquer? a. La polypose adénomatose familiale b. La maladie de Peutz-Jeghers c. Le syndrome MAP (MYH associated polyposis) d. Le syndrome de Lynch e. La polypose juvenile A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Patiente ayant des antécédents familiaux de cancer du spectre Lynch (côlon, endomètre, grêle, voies urinaires excrétrices). Le diagnostic de syndrome de Lynch est établi chez cette patiente avec les critères d'Amsterdam II. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui font partie des critères d'Amsterdam II. a. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral étroit b. Au moins 1 cas de cancer diagnostiqué avant 60 ans c. Au moins 2 générations successives touchées d. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral élargi e. Au moins 1 sujet parent au premier degré avec les deux autres sujets atteints A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les critères d'Amsterdam II sont: - Au moins 3 sujets atteints de cancers du spectre HNPCC restreint - Au moins 1 sujet est parent au 1er degré avec 2 autres - Au moins 2 générations successives - Au moins 1 cas < 50 ans. La patiente a bénéficié d'une coloscopie totale qui a mis en évidence un adénocarcinome du caecum. Quel(s) est(sont) l'(les) examen(s) complémentaire(s) nécessaire(s) pour réaliser le bilan de cette tumeur ? a. Une écho-endoscopie colique b. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien c. Une tomographie par émission de positrons d. Un dosage de l'alpha-foeto-protéine e. Une imagerie par résonance magnétique cérébrale
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le bilan doit être adapté au terrain et aux co-morbidités éventuelles (intérêt d’une évaluation onco-gériatrique chez les plus de 75 ans. Scanner thoraco-abdomino-pelvien avec injection de produit de contraste (en cas d’impossibilité de scanner avec injection : IRM hépatique injectée au gadolinium + scanner thoracique sans injection). Compte tenu des stratégies dans la prise en charge des cancers avancés (traitements néo-adjuvants), il est nécessaire de réaliser un staging pré-opératoire précis. Le marqueur tumoral à doser à l'ACE sanguin et non l'alpha-foeto-protéine La tomographie par émission de positrons ne fait pas partie du bilan d'extension de 1ère intention d'un cancer du colon.
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A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Madame C., âgée de 51 ans, vous consulte car elle a réalisé un test immunologique de dépistage du cancer colorectal qui s'est avéré positif. A l'interrogatoire, on retrouve dans ses antécédents la notion d'un cancer colique chez son père à l'âge de 45 ans et un cancer de l'endomètre chez une tante paternelle à l'âge de 48 ans et un cancer de vessie chez une cousine à l'àge de 52 ans. Compte-tenu de ses antécédents, quel type de cancer colorectal héréditaire devez-vous évoquer? a. La polypose adénomatose familiale b. La maladie de Peutz-Jeghers c. Le syndrome MAP (MYH associated polyposis) d. Le syndrome de Lynch e. La polypose juvenile A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Patiente ayant des antécédents familiaux de cancer du spectre Lynch (côlon, endomètre, grêle, voies urinaires excrétrices). Le diagnostic de syndrome de Lynch est établi chez cette patiente avec les critères d'Amsterdam II. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui font partie des critères d'Amsterdam II. a. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral étroit b. Au moins 1 cas de cancer diagnostiqué avant 60 ans c. Au moins 2 générations successives touchées d. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral élargi e. Au moins 1 sujet parent au premier degré avec les deux autres sujets atteints A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les critères d'Amsterdam II sont: - Au moins 3 sujets atteints de cancers du spectre HNPCC restreint - Au moins 1 sujet est parent au 1er degré avec 2 autres - Au moins 2 générations successives - Au moins 1 cas < 50 ans. La patiente a bénéficié d'une coloscopie totale qui a mis en évidence un adénocarcinome du caecum. Quel(s) est(sont) l'(les) examen(s) complémentaire(s) nécessaire(s) pour réaliser le bilan de cette tumeur ? a. Une écho-endoscopie colique b. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien c. Une tomographie par émission de positrons d. Un dosage de l'alpha-foeto-protéine e. Une imagerie par résonance magnétique cérébrale A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le bilan doit être adapté au terrain et aux co-morbidités éventuelles (intérêt d’une évaluation onco-gériatrique chez les plus de 75 ans. Scanner thoraco-abdomino-pelvien avec injection de produit de contraste (en cas d’impossibilité de scanner avec injection : IRM hépatique injectée au gadolinium + scanner thoracique sans injection). Compte tenu des stratégies dans la prise en charge des cancers avancés (traitements néo-adjuvants), il est nécessaire de réaliser un staging pré-opératoire précis. Le marqueur tumoral à doser à l'ACE sanguin et non l'alpha-foeto-protéine La tomographie par émission de positrons ne fait pas partie du bilan d'extension de 1ère intention d'un cancer du colon. Le bilan d'extension est négatif. Parmi les propositions thérapeutiques suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) que vous retenez ? a. Une exérèse chirurgicale d'emblée de la tumeur colique b. Une exérèse chirurgicale précédée d'une radiochimiothérapie c. Une radiochimiothérapie exclusive d. Une résection endoscopique de la tumeur e. Une destruction par radiofréquence
A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Madame C., âgée de 51 ans, vous consulte car elle a réalisé un test immunologique de dépistage du cancer colorectal qui s'est avéré positif. A l'interrogatoire, on retrouve dans ses antécédents la notion d'un cancer colique chez son père à l'âge de 45 ans et un cancer de l'endomètre chez une tante paternelle à l'âge de 48 ans et un cancer de vessie chez une cousine à l'àge de 52 ans. Compte-tenu de ses antécédents, quel type de cancer colorectal héréditaire devez-vous évoquer? a. La polypose adénomatose familiale b. La maladie de Peutz-Jeghers c. Le syndrome MAP (MYH associated polyposis) d. Le syndrome de Lynch e. La polypose juvenile A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Patiente ayant des antécédents familiaux de cancer du spectre Lynch (côlon, endomètre, grêle, voies urinaires excrétrices). Le diagnostic de syndrome de Lynch est établi chez cette patiente avec les critères d'Amsterdam II. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui font partie des critères d'Amsterdam II. a. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral étroit b. Au moins 1 cas de cancer diagnostiqué avant 60 ans c. Au moins 2 générations successives touchées d. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral élargi e. Au moins 1 sujet parent au premier degré avec les deux autres sujets atteints A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les critères d'Amsterdam II sont: - Au moins 3 sujets atteints de cancers du spectre HNPCC restreint - Au moins 1 sujet est parent au 1er degré avec 2 autres - Au moins 2 générations successives - Au moins 1 cas < 50 ans. La patiente a bénéficié d'une coloscopie totale qui a mis en évidence un adénocarcinome du caecum. Quel(s) est(sont) l'(les) examen(s) complémentaire(s) nécessaire(s) pour réaliser le bilan de cette tumeur ? a. Une écho-endoscopie colique b. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien c. Une tomographie par émission de positrons d. Un dosage de l'alpha-foeto-protéine e. Une imagerie par résonance magnétique cérébrale A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le bilan doit être adapté au terrain et aux co-morbidités éventuelles (intérêt d’une évaluation onco-gériatrique chez les plus de 75 ans. Scanner thoraco-abdomino-pelvien avec injection de produit de contraste (en cas d’impossibilité de scanner avec injection : IRM hépatique injectée au gadolinium + scanner thoracique sans injection). Compte tenu des stratégies dans la prise en charge des cancers avancés (traitements néo-adjuvants), il est nécessaire de réaliser un staging pré-opératoire précis. Le marqueur tumoral à doser à l'ACE sanguin et non l'alpha-foeto-protéine La tomographie par émission de positrons ne fait pas partie du bilan d'extension de 1ère intention d'un cancer du colon. Le bilan d'extension est négatif. Parmi les propositions thérapeutiques suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) que vous retenez ? a. Une exérèse chirurgicale d'emblée de la tumeur colique b. Une exérèse chirurgicale précédée d'une radiochimiothérapie c. Une radiochimiothérapie exclusive d. Une résection endoscopique de la tumeur e. Une destruction par radiofréquence A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente va bénéficier d'une prise en charge chirurgicale carcinologique. Quelles mesures préopératoires doivent être mises en oeuvre ? a. Une information de la patiente avec obtention d'un consentement éclairé b. Une immunonutrition préopératoire c. Une préparation colique d. Une consultation d'annonce e. Une demande de prise en charge à 100%
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'y a pas de recommandations actuellement pour réaliser une préparation colique avant une chirurgie d'une tumeur colique. L'information de la patiente avec obtention d'un consentement éclairé est une obligation médico-légale. L'immunonutrition préopératoire est recommandée avant toute chirurgie d'un cancer digestif La consultation d'annonce fait partie du PPS.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Madame C., âgée de 51 ans, vous consulte car elle a réalisé un test immunologique de dépistage du cancer colorectal qui s'est avéré positif. A l'interrogatoire, on retrouve dans ses antécédents la notion d'un cancer colique chez son père à l'âge de 45 ans et un cancer de l'endomètre chez une tante paternelle à l'âge de 48 ans et un cancer de vessie chez une cousine à l'àge de 52 ans. Compte-tenu de ses antécédents, quel type de cancer colorectal héréditaire devez-vous évoquer? a. La polypose adénomatose familiale b. La maladie de Peutz-Jeghers c. Le syndrome MAP (MYH associated polyposis) d. Le syndrome de Lynch e. La polypose juvenile A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Patiente ayant des antécédents familiaux de cancer du spectre Lynch (côlon, endomètre, grêle, voies urinaires excrétrices). Le diagnostic de syndrome de Lynch est établi chez cette patiente avec les critères d'Amsterdam II. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui font partie des critères d'Amsterdam II. a. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral étroit b. Au moins 1 cas de cancer diagnostiqué avant 60 ans c. Au moins 2 générations successives touchées d. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral élargi e. Au moins 1 sujet parent au premier degré avec les deux autres sujets atteints A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les critères d'Amsterdam II sont: - Au moins 3 sujets atteints de cancers du spectre HNPCC restreint - Au moins 1 sujet est parent au 1er degré avec 2 autres - Au moins 2 générations successives - Au moins 1 cas < 50 ans. La patiente a bénéficié d'une coloscopie totale qui a mis en évidence un adénocarcinome du caecum. Quel(s) est(sont) l'(les) examen(s) complémentaire(s) nécessaire(s) pour réaliser le bilan de cette tumeur ? a. Une écho-endoscopie colique b. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien c. Une tomographie par émission de positrons d. Un dosage de l'alpha-foeto-protéine e. Une imagerie par résonance magnétique cérébrale A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le bilan doit être adapté au terrain et aux co-morbidités éventuelles (intérêt d’une évaluation onco-gériatrique chez les plus de 75 ans. Scanner thoraco-abdomino-pelvien avec injection de produit de contraste (en cas d’impossibilité de scanner avec injection : IRM hépatique injectée au gadolinium + scanner thoracique sans injection). Compte tenu des stratégies dans la prise en charge des cancers avancés (traitements néo-adjuvants), il est nécessaire de réaliser un staging pré-opératoire précis. Le marqueur tumoral à doser à l'ACE sanguin et non l'alpha-foeto-protéine La tomographie par émission de positrons ne fait pas partie du bilan d'extension de 1ère intention d'un cancer du colon. Le bilan d'extension est négatif. Parmi les propositions thérapeutiques suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) que vous retenez ? a. Une exérèse chirurgicale d'emblée de la tumeur colique b. Une exérèse chirurgicale précédée d'une radiochimiothérapie c. Une radiochimiothérapie exclusive d. Une résection endoscopique de la tumeur e. Une destruction par radiofréquence A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente va bénéficier d'une prise en charge chirurgicale carcinologique. Quelles mesures préopératoires doivent être mises en oeuvre ? a. Une information de la patiente avec obtention d'un consentement éclairé b. Une immunonutrition préopératoire c. Une préparation colique d. Une consultation d'annonce e. Une demande de prise en charge à 100% A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'y a pas de recommandations actuellement pour réaliser une préparation colique avant une chirurgie d'une tumeur colique. L'information de la patiente avec obtention d'un consentement éclairé est une obligation médico-légale. L'immunonutrition préopératoire est recommandée avant toute chirurgie d'un cancer digestif La consultation d'annonce fait partie du PPS. Une résection colique carcinologique est réalisée. Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? a. La voie d'abord laparoscopique est contre-indiquée b. La résection colique peut être une colectomie subtotale c. Une hystérectomie prophylactique peut être envisagée d. Le curage ganglionnaire doit comporter 12 ganglions au minimum e. La marge distale doit être au minimum de 1 cm
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans le cadre du syndrome de Lynch, une colectomie segmentaire ou une colectomie sub-totale peuvent être envisagées et discutées avec la patiente. L'hystérectomie prophylactique peut être envisagée lorsque le projet parental de la patiente est terminé. Une chirurgie colique carcinologique est une exérèse avec une marge distale et proximale d’au minimum 5 cm (sur pièce fraiche), associée à un curage ganglionnaire comportant 12 ganglions au minimum La résection par voie coelioscopique est recommandée (niveau de la recommandation : grade A).
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Madame C., âgée de 51 ans, vous consulte car elle a réalisé un test immunologique de dépistage du cancer colorectal qui s'est avéré positif. A l'interrogatoire, on retrouve dans ses antécédents la notion d'un cancer colique chez son père à l'âge de 45 ans et un cancer de l'endomètre chez une tante paternelle à l'âge de 48 ans et un cancer de vessie chez une cousine à l'àge de 52 ans. Compte-tenu de ses antécédents, quel type de cancer colorectal héréditaire devez-vous évoquer? a. La polypose adénomatose familiale b. La maladie de Peutz-Jeghers c. Le syndrome MAP (MYH associated polyposis) d. Le syndrome de Lynch e. La polypose juvenile A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Patiente ayant des antécédents familiaux de cancer du spectre Lynch (côlon, endomètre, grêle, voies urinaires excrétrices). Le diagnostic de syndrome de Lynch est établi chez cette patiente avec les critères d'Amsterdam II. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui font partie des critères d'Amsterdam II. a. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral étroit b. Au moins 1 cas de cancer diagnostiqué avant 60 ans c. Au moins 2 générations successives touchées d. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral élargi e. Au moins 1 sujet parent au premier degré avec les deux autres sujets atteints A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les critères d'Amsterdam II sont: - Au moins 3 sujets atteints de cancers du spectre HNPCC restreint - Au moins 1 sujet est parent au 1er degré avec 2 autres - Au moins 2 générations successives - Au moins 1 cas < 50 ans. La patiente a bénéficié d'une coloscopie totale qui a mis en évidence un adénocarcinome du caecum. Quel(s) est(sont) l'(les) examen(s) complémentaire(s) nécessaire(s) pour réaliser le bilan de cette tumeur ? a. Une écho-endoscopie colique b. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien c. Une tomographie par émission de positrons d. Un dosage de l'alpha-foeto-protéine e. Une imagerie par résonance magnétique cérébrale A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le bilan doit être adapté au terrain et aux co-morbidités éventuelles (intérêt d’une évaluation onco-gériatrique chez les plus de 75 ans. Scanner thoraco-abdomino-pelvien avec injection de produit de contraste (en cas d’impossibilité de scanner avec injection : IRM hépatique injectée au gadolinium + scanner thoracique sans injection). Compte tenu des stratégies dans la prise en charge des cancers avancés (traitements néo-adjuvants), il est nécessaire de réaliser un staging pré-opératoire précis. Le marqueur tumoral à doser à l'ACE sanguin et non l'alpha-foeto-protéine La tomographie par émission de positrons ne fait pas partie du bilan d'extension de 1ère intention d'un cancer du colon. Le bilan d'extension est négatif. Parmi les propositions thérapeutiques suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) que vous retenez ? a. Une exérèse chirurgicale d'emblée de la tumeur colique b. Une exérèse chirurgicale précédée d'une radiochimiothérapie c. Une radiochimiothérapie exclusive d. Une résection endoscopique de la tumeur e. Une destruction par radiofréquence A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente va bénéficier d'une prise en charge chirurgicale carcinologique. Quelles mesures préopératoires doivent être mises en oeuvre ? a. Une information de la patiente avec obtention d'un consentement éclairé b. Une immunonutrition préopératoire c. Une préparation colique d. Une consultation d'annonce e. Une demande de prise en charge à 100% A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'y a pas de recommandations actuellement pour réaliser une préparation colique avant une chirurgie d'une tumeur colique. L'information de la patiente avec obtention d'un consentement éclairé est une obligation médico-légale. L'immunonutrition préopératoire est recommandée avant toute chirurgie d'un cancer digestif La consultation d'annonce fait partie du PPS. Une résection colique carcinologique est réalisée. Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? a. La voie d'abord laparoscopique est contre-indiquée b. La résection colique peut être une colectomie subtotale c. Une hystérectomie prophylactique peut être envisagée d. Le curage ganglionnaire doit comporter 12 ganglions au minimum e. La marge distale doit être au minimum de 1 cm A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans le cadre du syndrome de Lynch, une colectomie segmentaire ou une colectomie sub-totale peuvent être envisagées et discutées avec la patiente. L'hystérectomie prophylactique peut être envisagée lorsque le projet parental de la patiente est terminé. Une chirurgie colique carcinologique est une exérèse avec une marge distale et proximale d’au minimum 5 cm (sur pièce fraiche), associée à un curage ganglionnaire comportant 12 ganglions au minimum La résection par voie coelioscopique est recommandée (niveau de la recommandation : grade A). La patiente présente au 5ème jour postopératoire une fièvre à 38.5°C et un syndrome inflammatoire biologique. Quel(s) diagnostic(s) devez vous évoquer ? a. Une péritonite b. Une fistule anastomotique c. Une infection urinaire d. Une phlébite e. Un abcès de paroi
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Un état fébrile post-opératoire doit faire évoquer les complications chirurgicales (péritonite, fistule, abcèse de paroi) mais aussi médicales (phlébite, infection urinaire).
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A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable.
Madame C., âgée de 51 ans, vous consulte car elle a réalisé un test immunologique de dépistage du cancer colorectal qui s'est avéré positif. A l'interrogatoire, on retrouve dans ses antécédents la notion d'un cancer colique chez son père à l'âge de 45 ans et un cancer de l'endomètre chez une tante paternelle à l'âge de 48 ans et un cancer de vessie chez une cousine à l'àge de 52 ans. Compte-tenu de ses antécédents, quel type de cancer colorectal héréditaire devez-vous évoquer? a. La polypose adénomatose familiale b. La maladie de Peutz-Jeghers c. Le syndrome MAP (MYH associated polyposis) d. Le syndrome de Lynch e. La polypose juvenile A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Patiente ayant des antécédents familiaux de cancer du spectre Lynch (côlon, endomètre, grêle, voies urinaires excrétrices). Le diagnostic de syndrome de Lynch est établi chez cette patiente avec les critères d'Amsterdam II. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui font partie des critères d'Amsterdam II. a. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral étroit b. Au moins 1 cas de cancer diagnostiqué avant 60 ans c. Au moins 2 générations successives touchées d. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral élargi e. Au moins 1 sujet parent au premier degré avec les deux autres sujets atteints A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les critères d'Amsterdam II sont: - Au moins 3 sujets atteints de cancers du spectre HNPCC restreint - Au moins 1 sujet est parent au 1er degré avec 2 autres - Au moins 2 générations successives - Au moins 1 cas < 50 ans. La patiente a bénéficié d'une coloscopie totale qui a mis en évidence un adénocarcinome du caecum. Quel(s) est(sont) l'(les) examen(s) complémentaire(s) nécessaire(s) pour réaliser le bilan de cette tumeur ? a. Une écho-endoscopie colique b. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien c. Une tomographie par émission de positrons d. Un dosage de l'alpha-foeto-protéine e. Une imagerie par résonance magnétique cérébrale A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le bilan doit être adapté au terrain et aux co-morbidités éventuelles (intérêt d’une évaluation onco-gériatrique chez les plus de 75 ans. Scanner thoraco-abdomino-pelvien avec injection de produit de contraste (en cas d’impossibilité de scanner avec injection : IRM hépatique injectée au gadolinium + scanner thoracique sans injection). Compte tenu des stratégies dans la prise en charge des cancers avancés (traitements néo-adjuvants), il est nécessaire de réaliser un staging pré-opératoire précis. Le marqueur tumoral à doser à l'ACE sanguin et non l'alpha-foeto-protéine La tomographie par émission de positrons ne fait pas partie du bilan d'extension de 1ère intention d'un cancer du colon. Le bilan d'extension est négatif. Parmi les propositions thérapeutiques suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) que vous retenez ? a. Une exérèse chirurgicale d'emblée de la tumeur colique b. Une exérèse chirurgicale précédée d'une radiochimiothérapie c. Une radiochimiothérapie exclusive d. Une résection endoscopique de la tumeur e. Une destruction par radiofréquence A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente va bénéficier d'une prise en charge chirurgicale carcinologique. Quelles mesures préopératoires doivent être mises en oeuvre ? a. Une information de la patiente avec obtention d'un consentement éclairé b. Une immunonutrition préopératoire c. Une préparation colique d. Une consultation d'annonce e. Une demande de prise en charge à 100% A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'y a pas de recommandations actuellement pour réaliser une préparation colique avant une chirurgie d'une tumeur colique. L'information de la patiente avec obtention d'un consentement éclairé est une obligation médico-légale. L'immunonutrition préopératoire est recommandée avant toute chirurgie d'un cancer digestif La consultation d'annonce fait partie du PPS. Une résection colique carcinologique est réalisée. Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? a. La voie d'abord laparoscopique est contre-indiquée b. La résection colique peut être une colectomie subtotale c. Une hystérectomie prophylactique peut être envisagée d. Le curage ganglionnaire doit comporter 12 ganglions au minimum e. La marge distale doit être au minimum de 1 cm A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans le cadre du syndrome de Lynch, une colectomie segmentaire ou une colectomie sub-totale peuvent être envisagées et discutées avec la patiente. L'hystérectomie prophylactique peut être envisagée lorsque le projet parental de la patiente est terminé. Une chirurgie colique carcinologique est une exérèse avec une marge distale et proximale d’au minimum 5 cm (sur pièce fraiche), associée à un curage ganglionnaire comportant 12 ganglions au minimum La résection par voie coelioscopique est recommandée (niveau de la recommandation : grade A). La patiente présente au 5ème jour postopératoire une fièvre à 38.5°C et un syndrome inflammatoire biologique. Quel(s) diagnostic(s) devez vous évoquer ? a. Une péritonite b. Une fistule anastomotique c. Une infection urinaire d. Une phlébite e. Un abcès de paroi A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Un état fébrile post-opératoire doit faire évoquer les complications chirurgicales (péritonite, fistule, abcèse de paroi) mais aussi médicales (phlébite, infection urinaire). L'examen anatomopathologique de la pièce opératoire montre un adénocarcinome lieberkühnien de stade T3 N+. Quel(s) traitement(s) postopératoire(s) prescrivez vous ? a. Une radiothérapie externe b. Une radiochimiothérapie c. Une chimiothérapie d. Une chimio-hyperthermie intrapéritonéale (CHIP) e. Une hormonothérapie
A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le seul traitement adjuvant d'un adénocarcinome colique stade III (N+) est une chimiothérapie adjuvante (Chimiothérapie post-opératoire par FOLFOX6m (en remplacement du schéma FOLFOX4 - accord d’expert) ou FOLFOX4 ou CAPOX commencée si possible avant le 42ème jour post-opératoire (niveau de la recommandation : grade A)).
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Madame C., âgée de 51 ans, vous consulte car elle a réalisé un test immunologique de dépistage du cancer colorectal qui s'est avéré positif. A l'interrogatoire, on retrouve dans ses antécédents la notion d'un cancer colique chez son père à l'âge de 45 ans et un cancer de l'endomètre chez une tante paternelle à l'âge de 48 ans et un cancer de vessie chez une cousine à l'àge de 52 ans. Compte-tenu de ses antécédents, quel type de cancer colorectal héréditaire devez-vous évoquer? a. La polypose adénomatose familiale b. La maladie de Peutz-Jeghers c. Le syndrome MAP (MYH associated polyposis) d. Le syndrome de Lynch e. La polypose juvenile A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Patiente ayant des antécédents familiaux de cancer du spectre Lynch (côlon, endomètre, grêle, voies urinaires excrétrices). Le diagnostic de syndrome de Lynch est établi chez cette patiente avec les critères d'Amsterdam II. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui font partie des critères d'Amsterdam II. a. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral étroit b. Au moins 1 cas de cancer diagnostiqué avant 60 ans c. Au moins 2 générations successives touchées d. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral élargi e. Au moins 1 sujet parent au premier degré avec les deux autres sujets atteints A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les critères d'Amsterdam II sont: - Au moins 3 sujets atteints de cancers du spectre HNPCC restreint - Au moins 1 sujet est parent au 1er degré avec 2 autres - Au moins 2 générations successives - Au moins 1 cas < 50 ans. La patiente a bénéficié d'une coloscopie totale qui a mis en évidence un adénocarcinome du caecum. Quel(s) est(sont) l'(les) examen(s) complémentaire(s) nécessaire(s) pour réaliser le bilan de cette tumeur ? a. Une écho-endoscopie colique b. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien c. Une tomographie par émission de positrons d. Un dosage de l'alpha-foeto-protéine e. Une imagerie par résonance magnétique cérébrale A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le bilan doit être adapté au terrain et aux co-morbidités éventuelles (intérêt d’une évaluation onco-gériatrique chez les plus de 75 ans. Scanner thoraco-abdomino-pelvien avec injection de produit de contraste (en cas d’impossibilité de scanner avec injection : IRM hépatique injectée au gadolinium + scanner thoracique sans injection). Compte tenu des stratégies dans la prise en charge des cancers avancés (traitements néo-adjuvants), il est nécessaire de réaliser un staging pré-opératoire précis. Le marqueur tumoral à doser à l'ACE sanguin et non l'alpha-foeto-protéine La tomographie par émission de positrons ne fait pas partie du bilan d'extension de 1ère intention d'un cancer du colon. Le bilan d'extension est négatif. Parmi les propositions thérapeutiques suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) que vous retenez ? a. Une exérèse chirurgicale d'emblée de la tumeur colique b. Une exérèse chirurgicale précédée d'une radiochimiothérapie c. Une radiochimiothérapie exclusive d. Une résection endoscopique de la tumeur e. Une destruction par radiofréquence A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente va bénéficier d'une prise en charge chirurgicale carcinologique. Quelles mesures préopératoires doivent être mises en oeuvre ? a. Une information de la patiente avec obtention d'un consentement éclairé b. Une immunonutrition préopératoire c. Une préparation colique d. Une consultation d'annonce e. Une demande de prise en charge à 100% A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'y a pas de recommandations actuellement pour réaliser une préparation colique avant une chirurgie d'une tumeur colique. L'information de la patiente avec obtention d'un consentement éclairé est une obligation médico-légale. L'immunonutrition préopératoire est recommandée avant toute chirurgie d'un cancer digestif La consultation d'annonce fait partie du PPS. Une résection colique carcinologique est réalisée. Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? a. La voie d'abord laparoscopique est contre-indiquée b. La résection colique peut être une colectomie subtotale c. Une hystérectomie prophylactique peut être envisagée d. Le curage ganglionnaire doit comporter 12 ganglions au minimum e. La marge distale doit être au minimum de 1 cm A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans le cadre du syndrome de Lynch, une colectomie segmentaire ou une colectomie sub-totale peuvent être envisagées et discutées avec la patiente. L'hystérectomie prophylactique peut être envisagée lorsque le projet parental de la patiente est terminé. Une chirurgie colique carcinologique est une exérèse avec une marge distale et proximale d’au minimum 5 cm (sur pièce fraiche), associée à un curage ganglionnaire comportant 12 ganglions au minimum La résection par voie coelioscopique est recommandée (niveau de la recommandation : grade A). La patiente présente au 5ème jour postopératoire une fièvre à 38.5°C et un syndrome inflammatoire biologique. Quel(s) diagnostic(s) devez vous évoquer ? a. Une péritonite b. Une fistule anastomotique c. Une infection urinaire d. Une phlébite e. Un abcès de paroi A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Un état fébrile post-opératoire doit faire évoquer les complications chirurgicales (péritonite, fistule, abcèse de paroi) mais aussi médicales (phlébite, infection urinaire). L'examen anatomopathologique de la pièce opératoire montre un adénocarcinome lieberkühnien de stade T3 N+. Quel(s) traitement(s) postopératoire(s) prescrivez vous ? a. Une radiothérapie externe b. Une radiochimiothérapie c. Une chimiothérapie d. Une chimio-hyperthermie intrapéritonéale (CHIP) e. Une hormonothérapie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le seul traitement adjuvant d'un adénocarcinome colique stade III (N+) est une chimiothérapie adjuvante (Chimiothérapie post-opératoire par FOLFOX6m (en remplacement du schéma FOLFOX4 - accord d’expert) ou FOLFOX4 ou CAPOX commencée si possible avant le 42ème jour post-opératoire (niveau de la recommandation : grade A)). Une surveillance postopératoire est réalisée. Elle repose sur le ou les élément(s) suivant(s): a. Un examen gynécologique b. Un dosage de l'antigène carcino-embryonnaire c. Une coloscopie avec chromoendoscopie d. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien e. Une bandelette urinaire
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La surveillance carcinologique standard d'un cancer du colon opéré comprend un dosage de l'antigène carcino-embryonnaire, un scanner thoraco-abdomino-pelvien, une coloscopie à un rythme défini selon les recommandations du TNCD. Dans le cadre d'un syndrome de Lynch chez une femme, il faut y ajouter un examen gynécologique, une coloscopie avec chromoendoscopie.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Madame C., âgée de 51 ans, vous consulte car elle a réalisé un test immunologique de dépistage du cancer colorectal qui s'est avéré positif. A l'interrogatoire, on retrouve dans ses antécédents la notion d'un cancer colique chez son père à l'âge de 45 ans et un cancer de l'endomètre chez une tante paternelle à l'âge de 48 ans et un cancer de vessie chez une cousine à l'àge de 52 ans. Compte-tenu de ses antécédents, quel type de cancer colorectal héréditaire devez-vous évoquer? a. La polypose adénomatose familiale b. La maladie de Peutz-Jeghers c. Le syndrome MAP (MYH associated polyposis) d. Le syndrome de Lynch e. La polypose juvenile A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Patiente ayant des antécédents familiaux de cancer du spectre Lynch (côlon, endomètre, grêle, voies urinaires excrétrices). Le diagnostic de syndrome de Lynch est établi chez cette patiente avec les critères d'Amsterdam II. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui font partie des critères d'Amsterdam II. a. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral étroit b. Au moins 1 cas de cancer diagnostiqué avant 60 ans c. Au moins 2 générations successives touchées d. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral élargi e. Au moins 1 sujet parent au premier degré avec les deux autres sujets atteints A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les critères d'Amsterdam II sont: - Au moins 3 sujets atteints de cancers du spectre HNPCC restreint - Au moins 1 sujet est parent au 1er degré avec 2 autres - Au moins 2 générations successives - Au moins 1 cas < 50 ans. La patiente a bénéficié d'une coloscopie totale qui a mis en évidence un adénocarcinome du caecum. Quel(s) est(sont) l'(les) examen(s) complémentaire(s) nécessaire(s) pour réaliser le bilan de cette tumeur ? a. Une écho-endoscopie colique b. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien c. Une tomographie par émission de positrons d. Un dosage de l'alpha-foeto-protéine e. Une imagerie par résonance magnétique cérébrale A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le bilan doit être adapté au terrain et aux co-morbidités éventuelles (intérêt d’une évaluation onco-gériatrique chez les plus de 75 ans. Scanner thoraco-abdomino-pelvien avec injection de produit de contraste (en cas d’impossibilité de scanner avec injection : IRM hépatique injectée au gadolinium + scanner thoracique sans injection). Compte tenu des stratégies dans la prise en charge des cancers avancés (traitements néo-adjuvants), il est nécessaire de réaliser un staging pré-opératoire précis. Le marqueur tumoral à doser à l'ACE sanguin et non l'alpha-foeto-protéine La tomographie par émission de positrons ne fait pas partie du bilan d'extension de 1ère intention d'un cancer du colon. Le bilan d'extension est négatif. Parmi les propositions thérapeutiques suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) que vous retenez ? a. Une exérèse chirurgicale d'emblée de la tumeur colique b. Une exérèse chirurgicale précédée d'une radiochimiothérapie c. Une radiochimiothérapie exclusive d. Une résection endoscopique de la tumeur e. Une destruction par radiofréquence A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente va bénéficier d'une prise en charge chirurgicale carcinologique. Quelles mesures préopératoires doivent être mises en oeuvre ? a. Une information de la patiente avec obtention d'un consentement éclairé b. Une immunonutrition préopératoire c. Une préparation colique d. Une consultation d'annonce e. Une demande de prise en charge à 100% A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'y a pas de recommandations actuellement pour réaliser une préparation colique avant une chirurgie d'une tumeur colique. L'information de la patiente avec obtention d'un consentement éclairé est une obligation médico-légale. L'immunonutrition préopératoire est recommandée avant toute chirurgie d'un cancer digestif La consultation d'annonce fait partie du PPS. Une résection colique carcinologique est réalisée. Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? a. La voie d'abord laparoscopique est contre-indiquée b. La résection colique peut être une colectomie subtotale c. Une hystérectomie prophylactique peut être envisagée d. Le curage ganglionnaire doit comporter 12 ganglions au minimum e. La marge distale doit être au minimum de 1 cm A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans le cadre du syndrome de Lynch, une colectomie segmentaire ou une colectomie sub-totale peuvent être envisagées et discutées avec la patiente. L'hystérectomie prophylactique peut être envisagée lorsque le projet parental de la patiente est terminé. Une chirurgie colique carcinologique est une exérèse avec une marge distale et proximale d’au minimum 5 cm (sur pièce fraiche), associée à un curage ganglionnaire comportant 12 ganglions au minimum La résection par voie coelioscopique est recommandée (niveau de la recommandation : grade A). La patiente présente au 5ème jour postopératoire une fièvre à 38.5°C et un syndrome inflammatoire biologique. Quel(s) diagnostic(s) devez vous évoquer ? a. Une péritonite b. Une fistule anastomotique c. Une infection urinaire d. Une phlébite e. Un abcès de paroi A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Un état fébrile post-opératoire doit faire évoquer les complications chirurgicales (péritonite, fistule, abcèse de paroi) mais aussi médicales (phlébite, infection urinaire). L'examen anatomopathologique de la pièce opératoire montre un adénocarcinome lieberkühnien de stade T3 N+. Quel(s) traitement(s) postopératoire(s) prescrivez vous ? a. Une radiothérapie externe b. Une radiochimiothérapie c. Une chimiothérapie d. Une chimio-hyperthermie intrapéritonéale (CHIP) e. Une hormonothérapie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le seul traitement adjuvant d'un adénocarcinome colique stade III (N+) est une chimiothérapie adjuvante (Chimiothérapie post-opératoire par FOLFOX6m (en remplacement du schéma FOLFOX4 - accord d’expert) ou FOLFOX4 ou CAPOX commencée si possible avant le 42ème jour post-opératoire (niveau de la recommandation : grade A)). Une surveillance postopératoire est réalisée. Elle repose sur le ou les élément(s) suivant(s): a. Un examen gynécologique b. Un dosage de l'antigène carcino-embryonnaire c. Une coloscopie avec chromoendoscopie d. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien e. Une bandelette urinaire A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La surveillance carcinologique standard d'un cancer du colon opéré comprend un dosage de l'antigène carcino-embryonnaire, un scanner thoraco-abdomino-pelvien, une coloscopie à un rythme défini selon les recommandations du TNCD. Dans le cadre d'un syndrome de Lynch chez une femme, il faut y ajouter un examen gynécologique, une coloscopie avec chromoendoscopie. Quatre années après la fin de son traitement, un scanner a mis en évidence une métastase hépatique de 45 mm du lobe gauche du foie. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) réalisez vous avant de présenter le dossier en réunion de concertation multidisciplinaire ? a. Une coloscopie totale b. Une imagerie par résonance magnétique du foie c. Une imagerie par émission de positrons d. Une biopsie de la lésion hépatique e. Une scintigraphie osseuse
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. En cas de découverte d'une localisation secondaire, le bilan à réaliser pour déterminer la stratégie thérapeutique comprend: une coloscopie totale à la recherche d'une nouvelle localisation tumorale (si la précédente date de plus de 3 ans ou a été incomplète) une imagerie par émission de positrons à la recherche d'autres localisations métastatiques non visibles sur le scanner de surveillance une imagerie par résonance magnétique du foie à la recherche d'autres localisations métastatiques hépatiques non visibles sur le scanner de surveillance Il n'y a pas d'indication à réaliser une biopsie de la lésion hépatique si les caractéristiques morphologiques en IRM et scanner permettent d'établir le caractère secondaire de la lésion (risque d'essaimage sur le trajet de ponction).
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct.
Madame C., âgée de 51 ans, vous consulte car elle a réalisé un test immunologique de dépistage du cancer colorectal qui s'est avéré positif. A l'interrogatoire, on retrouve dans ses antécédents la notion d'un cancer colique chez son père à l'âge de 45 ans et un cancer de l'endomètre chez une tante paternelle à l'âge de 48 ans et un cancer de vessie chez une cousine à l'àge de 52 ans. Compte-tenu de ses antécédents, quel type de cancer colorectal héréditaire devez-vous évoquer? a. La polypose adénomatose familiale b. La maladie de Peutz-Jeghers c. Le syndrome MAP (MYH associated polyposis) d. Le syndrome de Lynch e. La polypose juvenile A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Patiente ayant des antécédents familiaux de cancer du spectre Lynch (côlon, endomètre, grêle, voies urinaires excrétrices). Le diagnostic de syndrome de Lynch est établi chez cette patiente avec les critères d'Amsterdam II. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui font partie des critères d'Amsterdam II. a. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral étroit b. Au moins 1 cas de cancer diagnostiqué avant 60 ans c. Au moins 2 générations successives touchées d. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral élargi e. Au moins 1 sujet parent au premier degré avec les deux autres sujets atteints A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les critères d'Amsterdam II sont: - Au moins 3 sujets atteints de cancers du spectre HNPCC restreint - Au moins 1 sujet est parent au 1er degré avec 2 autres - Au moins 2 générations successives - Au moins 1 cas < 50 ans. La patiente a bénéficié d'une coloscopie totale qui a mis en évidence un adénocarcinome du caecum. Quel(s) est(sont) l'(les) examen(s) complémentaire(s) nécessaire(s) pour réaliser le bilan de cette tumeur ? a. Une écho-endoscopie colique b. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien c. Une tomographie par émission de positrons d. Un dosage de l'alpha-foeto-protéine e. Une imagerie par résonance magnétique cérébrale A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le bilan doit être adapté au terrain et aux co-morbidités éventuelles (intérêt d’une évaluation onco-gériatrique chez les plus de 75 ans. Scanner thoraco-abdomino-pelvien avec injection de produit de contraste (en cas d’impossibilité de scanner avec injection : IRM hépatique injectée au gadolinium + scanner thoracique sans injection). Compte tenu des stratégies dans la prise en charge des cancers avancés (traitements néo-adjuvants), il est nécessaire de réaliser un staging pré-opératoire précis. Le marqueur tumoral à doser à l'ACE sanguin et non l'alpha-foeto-protéine La tomographie par émission de positrons ne fait pas partie du bilan d'extension de 1ère intention d'un cancer du colon. Le bilan d'extension est négatif. Parmi les propositions thérapeutiques suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) que vous retenez ? a. Une exérèse chirurgicale d'emblée de la tumeur colique b. Une exérèse chirurgicale précédée d'une radiochimiothérapie c. Une radiochimiothérapie exclusive d. Une résection endoscopique de la tumeur e. Une destruction par radiofréquence A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente va bénéficier d'une prise en charge chirurgicale carcinologique. Quelles mesures préopératoires doivent être mises en oeuvre ? a. Une information de la patiente avec obtention d'un consentement éclairé b. Une immunonutrition préopératoire c. Une préparation colique d. Une consultation d'annonce e. Une demande de prise en charge à 100% A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'y a pas de recommandations actuellement pour réaliser une préparation colique avant une chirurgie d'une tumeur colique. L'information de la patiente avec obtention d'un consentement éclairé est une obligation médico-légale. L'immunonutrition préopératoire est recommandée avant toute chirurgie d'un cancer digestif La consultation d'annonce fait partie du PPS. Une résection colique carcinologique est réalisée. Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? a. La voie d'abord laparoscopique est contre-indiquée b. La résection colique peut être une colectomie subtotale c. Une hystérectomie prophylactique peut être envisagée d. Le curage ganglionnaire doit comporter 12 ganglions au minimum e. La marge distale doit être au minimum de 1 cm A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans le cadre du syndrome de Lynch, une colectomie segmentaire ou une colectomie sub-totale peuvent être envisagées et discutées avec la patiente. L'hystérectomie prophylactique peut être envisagée lorsque le projet parental de la patiente est terminé. Une chirurgie colique carcinologique est une exérèse avec une marge distale et proximale d’au minimum 5 cm (sur pièce fraiche), associée à un curage ganglionnaire comportant 12 ganglions au minimum La résection par voie coelioscopique est recommandée (niveau de la recommandation : grade A). La patiente présente au 5ème jour postopératoire une fièvre à 38.5°C et un syndrome inflammatoire biologique. Quel(s) diagnostic(s) devez vous évoquer ? a. Une péritonite b. Une fistule anastomotique c. Une infection urinaire d. Une phlébite e. Un abcès de paroi A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Un état fébrile post-opératoire doit faire évoquer les complications chirurgicales (péritonite, fistule, abcèse de paroi) mais aussi médicales (phlébite, infection urinaire). L'examen anatomopathologique de la pièce opératoire montre un adénocarcinome lieberkühnien de stade T3 N+. Quel(s) traitement(s) postopératoire(s) prescrivez vous ? a. Une radiothérapie externe b. Une radiochimiothérapie c. Une chimiothérapie d. Une chimio-hyperthermie intrapéritonéale (CHIP) e. Une hormonothérapie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le seul traitement adjuvant d'un adénocarcinome colique stade III (N+) est une chimiothérapie adjuvante (Chimiothérapie post-opératoire par FOLFOX6m (en remplacement du schéma FOLFOX4 - accord d’expert) ou FOLFOX4 ou CAPOX commencée si possible avant le 42ème jour post-opératoire (niveau de la recommandation : grade A)). Une surveillance postopératoire est réalisée. Elle repose sur le ou les élément(s) suivant(s): a. Un examen gynécologique b. Un dosage de l'antigène carcino-embryonnaire c. Une coloscopie avec chromoendoscopie d. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien e. Une bandelette urinaire A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La surveillance carcinologique standard d'un cancer du colon opéré comprend un dosage de l'antigène carcino-embryonnaire, un scanner thoraco-abdomino-pelvien, une coloscopie à un rythme défini selon les recommandations du TNCD. Dans le cadre d'un syndrome de Lynch chez une femme, il faut y ajouter un examen gynécologique, une coloscopie avec chromoendoscopie. Quatre années après la fin de son traitement, un scanner a mis en évidence une métastase hépatique de 45 mm du lobe gauche du foie. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) réalisez vous avant de présenter le dossier en réunion de concertation multidisciplinaire ? a. Une coloscopie totale b. Une imagerie par résonance magnétique du foie c. Une imagerie par émission de positrons d. Une biopsie de la lésion hépatique e. Une scintigraphie osseuse A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. En cas de découverte d'une localisation secondaire, le bilan à réaliser pour déterminer la stratégie thérapeutique comprend: une coloscopie totale à la recherche d'une nouvelle localisation tumorale (si la précédente date de plus de 3 ans ou a été incomplète) une imagerie par émission de positrons à la recherche d'autres localisations métastatiques non visibles sur le scanner de surveillance une imagerie par résonance magnétique du foie à la recherche d'autres localisations métastatiques hépatiques non visibles sur le scanner de surveillance Il n'y a pas d'indication à réaliser une biopsie de la lésion hépatique si les caractéristiques morphologiques en IRM et scanner permettent d'établir le caractère secondaire de la lésion (risque d'essaimage sur le trajet de ponction). Parmi les propositions thérapeutiques curatives suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont) exacte(s) ? a. Une radiothérapie exclusive b. Une chirurgie encadrée par une chimiothérapie c. Une chimiothérapie exclusive d. Une chirurgie suivie d'une chimiothérapie e. Une chirurgie exclusive
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La prise en charge curative d'une métastase hépatique unique repose sur une exérèse chirugicale plus ou moins encadrée ou suivie d'une chimiothérapie. La chimiothérapie exclusive est un traitement palliatif. La radiothérapie exclusive n'est pas un traitement de la métastase hépatique unique.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct.
Madame C., âgée de 51 ans, vous consulte car elle a réalisé un test immunologique de dépistage du cancer colorectal qui s'est avéré positif. A l'interrogatoire, on retrouve dans ses antécédents la notion d'un cancer colique chez son père à l'âge de 45 ans et un cancer de l'endomètre chez une tante paternelle à l'âge de 48 ans et un cancer de vessie chez une cousine à l'àge de 52 ans. Compte-tenu de ses antécédents, quel type de cancer colorectal héréditaire devez-vous évoquer? a. La polypose adénomatose familiale b. La maladie de Peutz-Jeghers c. Le syndrome MAP (MYH associated polyposis) d. Le syndrome de Lynch e. La polypose juvenile A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Patiente ayant des antécédents familiaux de cancer du spectre Lynch (côlon, endomètre, grêle, voies urinaires excrétrices). Le diagnostic de syndrome de Lynch est établi chez cette patiente avec les critères d'Amsterdam II. Parmi les propositions suivantes, quelles sont celles qui font partie des critères d'Amsterdam II. a. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral étroit b. Au moins 1 cas de cancer diagnostiqué avant 60 ans c. Au moins 2 générations successives touchées d. Au moins 3 sujets atteints de cancer du spectre tumoral élargi e. Au moins 1 sujet parent au premier degré avec les deux autres sujets atteints A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les critères d'Amsterdam II sont: - Au moins 3 sujets atteints de cancers du spectre HNPCC restreint - Au moins 1 sujet est parent au 1er degré avec 2 autres - Au moins 2 générations successives - Au moins 1 cas < 50 ans. La patiente a bénéficié d'une coloscopie totale qui a mis en évidence un adénocarcinome du caecum. Quel(s) est(sont) l'(les) examen(s) complémentaire(s) nécessaire(s) pour réaliser le bilan de cette tumeur ? a. Une écho-endoscopie colique b. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien c. Une tomographie par émission de positrons d. Un dosage de l'alpha-foeto-protéine e. Une imagerie par résonance magnétique cérébrale A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le bilan doit être adapté au terrain et aux co-morbidités éventuelles (intérêt d’une évaluation onco-gériatrique chez les plus de 75 ans. Scanner thoraco-abdomino-pelvien avec injection de produit de contraste (en cas d’impossibilité de scanner avec injection : IRM hépatique injectée au gadolinium + scanner thoracique sans injection). Compte tenu des stratégies dans la prise en charge des cancers avancés (traitements néo-adjuvants), il est nécessaire de réaliser un staging pré-opératoire précis. Le marqueur tumoral à doser à l'ACE sanguin et non l'alpha-foeto-protéine La tomographie par émission de positrons ne fait pas partie du bilan d'extension de 1ère intention d'un cancer du colon. Le bilan d'extension est négatif. Parmi les propositions thérapeutiques suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) que vous retenez ? a. Une exérèse chirurgicale d'emblée de la tumeur colique b. Une exérèse chirurgicale précédée d'une radiochimiothérapie c. Une radiochimiothérapie exclusive d. Une résection endoscopique de la tumeur e. Une destruction par radiofréquence A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette patiente va bénéficier d'une prise en charge chirurgicale carcinologique. Quelles mesures préopératoires doivent être mises en oeuvre ? a. Une information de la patiente avec obtention d'un consentement éclairé b. Une immunonutrition préopératoire c. Une préparation colique d. Une consultation d'annonce e. Une demande de prise en charge à 100% A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Il n'y a pas de recommandations actuellement pour réaliser une préparation colique avant une chirurgie d'une tumeur colique. L'information de la patiente avec obtention d'un consentement éclairé est une obligation médico-légale. L'immunonutrition préopératoire est recommandée avant toute chirurgie d'un cancer digestif La consultation d'annonce fait partie du PPS. Une résection colique carcinologique est réalisée. Parmi les propositions suivantes, laquelle (lesquelles) est (sont) exacte(s) ? a. La voie d'abord laparoscopique est contre-indiquée b. La résection colique peut être une colectomie subtotale c. Une hystérectomie prophylactique peut être envisagée d. Le curage ganglionnaire doit comporter 12 ganglions au minimum e. La marge distale doit être au minimum de 1 cm A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Dans le cadre du syndrome de Lynch, une colectomie segmentaire ou une colectomie sub-totale peuvent être envisagées et discutées avec la patiente. L'hystérectomie prophylactique peut être envisagée lorsque le projet parental de la patiente est terminé. Une chirurgie colique carcinologique est une exérèse avec une marge distale et proximale d’au minimum 5 cm (sur pièce fraiche), associée à un curage ganglionnaire comportant 12 ganglions au minimum La résection par voie coelioscopique est recommandée (niveau de la recommandation : grade A). La patiente présente au 5ème jour postopératoire une fièvre à 38.5°C et un syndrome inflammatoire biologique. Quel(s) diagnostic(s) devez vous évoquer ? a. Une péritonite b. Une fistule anastomotique c. Une infection urinaire d. Une phlébite e. Un abcès de paroi A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Un état fébrile post-opératoire doit faire évoquer les complications chirurgicales (péritonite, fistule, abcèse de paroi) mais aussi médicales (phlébite, infection urinaire). L'examen anatomopathologique de la pièce opératoire montre un adénocarcinome lieberkühnien de stade T3 N+. Quel(s) traitement(s) postopératoire(s) prescrivez vous ? a. Une radiothérapie externe b. Une radiochimiothérapie c. Une chimiothérapie d. Une chimio-hyperthermie intrapéritonéale (CHIP) e. Une hormonothérapie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le seul traitement adjuvant d'un adénocarcinome colique stade III (N+) est une chimiothérapie adjuvante (Chimiothérapie post-opératoire par FOLFOX6m (en remplacement du schéma FOLFOX4 - accord d’expert) ou FOLFOX4 ou CAPOX commencée si possible avant le 42ème jour post-opératoire (niveau de la recommandation : grade A)). Une surveillance postopératoire est réalisée. Elle repose sur le ou les élément(s) suivant(s): a. Un examen gynécologique b. Un dosage de l'antigène carcino-embryonnaire c. Une coloscopie avec chromoendoscopie d. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien e. Une bandelette urinaire A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. La surveillance carcinologique standard d'un cancer du colon opéré comprend un dosage de l'antigène carcino-embryonnaire, un scanner thoraco-abdomino-pelvien, une coloscopie à un rythme défini selon les recommandations du TNCD. Dans le cadre d'un syndrome de Lynch chez une femme, il faut y ajouter un examen gynécologique, une coloscopie avec chromoendoscopie. Quatre années après la fin de son traitement, un scanner a mis en évidence une métastase hépatique de 45 mm du lobe gauche du foie. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) réalisez vous avant de présenter le dossier en réunion de concertation multidisciplinaire ? a. Une coloscopie totale b. Une imagerie par résonance magnétique du foie c. Une imagerie par émission de positrons d. Une biopsie de la lésion hépatique e. Une scintigraphie osseuse A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. En cas de découverte d'une localisation secondaire, le bilan à réaliser pour déterminer la stratégie thérapeutique comprend: une coloscopie totale à la recherche d'une nouvelle localisation tumorale (si la précédente date de plus de 3 ans ou a été incomplète) une imagerie par émission de positrons à la recherche d'autres localisations métastatiques non visibles sur le scanner de surveillance une imagerie par résonance magnétique du foie à la recherche d'autres localisations métastatiques hépatiques non visibles sur le scanner de surveillance Il n'y a pas d'indication à réaliser une biopsie de la lésion hépatique si les caractéristiques morphologiques en IRM et scanner permettent d'établir le caractère secondaire de la lésion (risque d'essaimage sur le trajet de ponction). Parmi les propositions thérapeutiques curatives suivantes, laquelle(lesquelles) est(sont) exacte(s) ? a. Une radiothérapie exclusive b. Une chirurgie encadrée par une chimiothérapie c. Une chimiothérapie exclusive d. Une chirurgie suivie d'une chimiothérapie e. Une chirurgie exclusive A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. La prise en charge curative d'une métastase hépatique unique repose sur une exérèse chirugicale plus ou moins encadrée ou suivie d'une chimiothérapie. La chimiothérapie exclusive est un traitement palliatif. La radiothérapie exclusive n'est pas un traitement de la métastase hépatique unique. La patiente a été traitée par une lobectomie hépatique gauche encadrée par une chimiothérapie. Elle est admise deux années plus tard aux urgences pour des douleurs abdominales d'apparition brutale avec nausées, vomissements et arrêt du transit intestinal. A l’examen clinique, la température corporelle est à 37.1°C, la fréquence cardiaque à 112/minute et la tension artérielle à 110/70 mmHg. L’abdomen est tendu, douloureux dans son ensemble avec une défense péri-ombilicale. Aucun bruit hydroaérique n’est perçu à l’auscultation. Les orifices herniaires sont libres. Le reste de l’examen est normal. A l’issue de cet examen clinique, vous retenez le diagnostic d'occlusion intestinale aiguë. Quelle(s) est(sont) l'(les) étiologie(s) possible(s) ? a. Une carcinomatose péritonéale b. Une bride c. Un deuxième cancer colique d. Une hernie étranglée e. Des adhérences
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. La patiente présente un syndrome occlusif qui peut-être dû: à une carcinose péritonéale dans le contexte d'antécédent de cancer colique métastatique à une bride ou des adhérences dans le contexte d'antécédent de chirurgie abdominale à un deuxième cancer colique, dans le contexte de syndrome de Lynch La hernie étranglée est éliminée des causes de syndrome occlusif puisque les orifices herniaires sont libres.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous recevez en plein mois d’aout 2017 aux urgences M. K, 35ans pour une altération de l’état général. Il décrit une asthénie importante depuis 5 jours ainsi qu’une toux et une dyspnée pour des efforts modérés. Il est originaire de Guinée Conakry et est arrivé en France avec sa femme il y a 12 jours pour voir de la famille. A l’examen vous notez une fièvre à 39,2°C, il n’y a pas de signes de gravité respiratoire ou hémodynamique, le score de Glasgow est à 15. L’auscultation retrouve un murmure vésiculaire bien perçu dans les deux champs pulmonaires sans bruit surajouté. Quelles sont les hypothèses possibles parmi les propositions suivantes? a. Un paludisme à P. falciparum b. Une arbovirose c. Une amibiase hépatique d. Une pneumonie communautaire e. Un œdème aigu du poumon cardiogénique
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Commentaire : la symptomatologie est peu évocatrice d’une arbovirose (céphalées, arthro-myalgies, éruption cutanée). Hormis la fièvre, la symptomatologie n’est pas non plus absolument évocatrice d’un paludisme mais la gravité potentielle de l’infection doit la faire évoquer.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Vous recevez en plein mois d’aout 2017 aux urgences M. K, 35ans pour une altération de l’état général. Il décrit une asthénie importante depuis 5 jours ainsi qu’une toux et une dyspnée pour des efforts modérés. Il est originaire de Guinée Conakry et est arrivé en France avec sa femme il y a 12 jours pour voir de la famille. A l’examen vous notez une fièvre à 39,2°C, il n’y a pas de signes de gravité respiratoire ou hémodynamique, le score de Glasgow est à 15. L’auscultation retrouve un murmure vésiculaire bien perçu dans les deux champs pulmonaires sans bruit surajouté. Quelles sont les hypothèses possibles parmi les propositions suivantes? a. Un paludisme à P. falciparum b. Une arbovirose c. Une amibiase hépatique d. Une pneumonie communautaire e. Un œdème aigu du poumon cardiogénique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Commentaire : la symptomatologie est peu évocatrice d’une arbovirose (céphalées, arthro-myalgies, éruption cutanée). Hormis la fièvre, la symptomatologie n’est pas non plus absolument évocatrice d’un paludisme mais la gravité potentielle de l’infection doit la faire évoquer. Quels éléments prescrivez-vous pour rechercher un paludisme ? a. Un frottis sanguin - goutte épaisse b. Une sérologie Plasmodium c. Un test diagnostic rapide HRP-2 d. Une PCR Plasmodium sur sang total e. Une immunofluorescence directe sur sang total
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Vous recevez en plein mois d’aout 2017 aux urgences M. K, 35ans pour une altération de l’état général. Il décrit une asthénie importante depuis 5 jours ainsi qu’une toux et une dyspnée pour des efforts modérés. Il est originaire de Guinée Conakry et est arrivé en France avec sa femme il y a 12 jours pour voir de la famille. A l’examen vous notez une fièvre à 39,2°C, il n’y a pas de signes de gravité respiratoire ou hémodynamique, le score de Glasgow est à 15. L’auscultation retrouve un murmure vésiculaire bien perçu dans les deux champs pulmonaires sans bruit surajouté. Quelles sont les hypothèses possibles parmi les propositions suivantes? a. Un paludisme à P. falciparum b. Une arbovirose c. Une amibiase hépatique d. Une pneumonie communautaire e. Un œdème aigu du poumon cardiogénique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Commentaire : la symptomatologie est peu évocatrice d’une arbovirose (céphalées, arthro-myalgies, éruption cutanée). Hormis la fièvre, la symptomatologie n’est pas non plus absolument évocatrice d’un paludisme mais la gravité potentielle de l’infection doit la faire évoquer. Quels éléments prescrivez-vous pour rechercher un paludisme ? a. Un frottis sanguin - goutte épaisse b. Une sérologie Plasmodium c. Un test diagnostic rapide HRP-2 d. Une PCR Plasmodium sur sang total e. Une immunofluorescence directe sur sang total A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Proposez-vous un dépistage de maladies infectieuses chez ce patient originaire d’Afrique sub-saharienne ? a. Sérologie TPHA-VDRL b. Charge virale VIH c. Ac anti-HBs, antigène HBs, Ac anti-HBc d. Sérologie VIH e. Pas de dépistage nécessaire aux urgences
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Commentaire : les sérologies VIH, VHB et VHC sont recommandés chez les migrants primo-arrivants d’Afrique sub-saharienne. La charge virale VIH n’est réalisée que lorsque le dépistage sérologique est positif. Le contexte infectieux au SAU rend important la réalisation du dépistage VIH le plus rapidement possible chez ce patient.
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Mme D, 35 ans, est adressée au service d'accueil des urgences pour altération de l'état général et difficultés respiratoires. L'interrogatoire du conjoint vous apprend qu'elle aurait perdu 8kg en 1 mois. Actuellement, son poids est estimé à 52kg et sa taille à 1,70m (IMC = 18 kg/m2). Comment qualifiez-vous l'état nutritionnel de cette patiente ? a. statut nutritionnel normal b. dénutrition c. dénutrition sévère Perte de poids > 10% en 1 mois d. surpoids e. l'albumine plasmatique est indispensable pour évaluer l'état nutritionnel de cette patiente L'albumine est utile mais non indispensable. Un taux inférieur à 30g/L orienterait vers une dénutrition.
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Mme D, 35 ans, est adressée au service d'accueil des urgences pour altération de l'état général et difficultés respiratoires. L'interrogatoire du conjoint vous apprend qu'elle aurait perdu 8kg en 1 mois. Actuellement, son poids est estimé à 52kg et sa taille à 1,70m (IMC = 18 kg/m2). Comment qualifiez-vous l'état nutritionnel de cette patiente ? a. statut nutritionnel normal b. dénutrition c. dénutrition sévère Perte de poids > 10% en 1 mois d. surpoids e. l'albumine plasmatique est indispensable pour évaluer l'état nutritionnel de cette patiente L'albumine est utile mais non indispensable. Un taux inférieur à 30g/L orienterait vers une dénutrition. A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'examen clinique de la patiente met en évidence une polypnée, des signes d'hypoxie (cyanose, Sp02 à 86% sous oxygénothérapie aux lunettes à 4L/min) et des signes de lutte respiratoire. Vous décidez de réaliser des gaz du sang. Quelle est votre interprétation ? pH 7,28 - PaO2 55mmHg - PaCO2 28mmHg - HCO3- 13,5mmol/L - Lactatémie 4,5mmol/L a. absence d'anomalie b. acidose respiratoire c. acidose métabolique Acidose métabolique (baisse de la réserve alcaline). La patiente compense partiellement en hyperventilant. d. hypoxémie PaO2 < 60mmHg e. effet shunt PaO2 + PaCO2 < 120 mmHg
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
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A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Mme D, 35 ans, est adressée au service d'accueil des urgences pour altération de l'état général et difficultés respiratoires. L'interrogatoire du conjoint vous apprend qu'elle aurait perdu 8kg en 1 mois. Actuellement, son poids est estimé à 52kg et sa taille à 1,70m (IMC = 18 kg/m2). Comment qualifiez-vous l'état nutritionnel de cette patiente ? a. statut nutritionnel normal b. dénutrition c. dénutrition sévère Perte de poids > 10% en 1 mois d. surpoids e. l'albumine plasmatique est indispensable pour évaluer l'état nutritionnel de cette patiente L'albumine est utile mais non indispensable. Un taux inférieur à 30g/L orienterait vers une dénutrition. A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'examen clinique de la patiente met en évidence une polypnée, des signes d'hypoxie (cyanose, Sp02 à 86% sous oxygénothérapie aux lunettes à 4L/min) et des signes de lutte respiratoire. Vous décidez de réaliser des gaz du sang. Quelle est votre interprétation ? pH 7,28 - PaO2 55mmHg - PaCO2 28mmHg - HCO3- 13,5mmol/L - Lactatémie 4,5mmol/L a. absence d'anomalie b. acidose respiratoire c. acidose métabolique Acidose métabolique (baisse de la réserve alcaline). La patiente compense partiellement en hyperventilant. d. hypoxémie PaO2 < 60mmHg e. effet shunt PaO2 + PaCO2 < 120 mmHg A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L'interprétation des gaz du sang conclut à une acidose métabolique. Vous calculez le trou anionique plasmatique qui est égal à 24. À propos du trou anionique (TA), quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) vraie(s) ? a. TA plasmatique = (Na+ + K+) - (HCO3-) TAp = (Na+ + K+) - (Cl- + HCO3-) b. l'élévation du trou anionique plasmatique traduit la présence d'anions indosés c. son calcul doit tenir compte de l'âge d. l'intoxication à l'éthylène glycol est l'une des causes d'acidose métabolique à trou anionique augmenté e. il faut rechercher une hypocalcémie
A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Une patiente de 35 ans se présente suite à une chute au travail avec une impotence fonctionnelle de la cheville. Quel bilan paraclinique proposez vous ? Choisissez une ou plusieurs bonne(s) réponse(s) parmi les propositions suivantes. a. Une échographie de la cheville b. Une IRM de la cheville c. Une radiographie de la cheville de face d. Une radiographie de la cheville de profil e. Une radiographie de la cheville de face en varus forcé.
A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
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A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect.
Mme H..., 32 ans, en vacances avec ses enfants au mois de juin à la campagne, appelle SOS Médecins un soir à 0h30 pour une gène respiratoire qui l'a réveillée brutalement. A l'arrivée de l’urgentiste, Mme H... est assise dans son lit, polypnéique à 18/min. Elle peut raconter qu'elle tousse depuis 48 h, avec des sifflements, et qu'elle se trouve plus essoufflée depuis 24h, ce qui l'a empêchée par exemple de faire du vélo avec sa famille dans l'après midi. Elle décrit également des éternuements et une rhinorrhée très aqueuse depuis une semaine, qu'elle rapporte à une allergie diagnostiquée depuis l'âge de 10 ans. Vous pensez à une exacerbation d'asthme. Quels éléments de l' interrogatoire peuvent renforcer votre hypothèse diagnostique ? (une ou plusieurs questions) a. Majoration de la dyspnée vers 5 ou 6 heures du matin b. Majoration des sifflements à l'effort c. Association à une douleur thoracique transfixiante d. Présence de crachats blancs très collants e. Présence d'oedème des membres inférieurs dans les jours précédents.
A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. les omi évoquent bien sur une décompensation cardiaque. sensation d'oppression thoracique fréquente, mais pas de douleur transfixiante, qui doit faire évoquer une dissection aortique. Les crachats blancs et collants sont assez évocateurs d'asthme. ILs sont liées à la présence d'éosinophiles dégranulés et de cristaux de charcot Leyden, qui contribuent à la modificaiton de sa viscosité.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct.
Mme H..., 32 ans, en vacances avec ses enfants au mois de juin à la campagne, appelle SOS Médecins un soir à 0h30 pour une gène respiratoire qui l'a réveillée brutalement. A l'arrivée de l’urgentiste, Mme H... est assise dans son lit, polypnéique à 18/min. Elle peut raconter qu'elle tousse depuis 48 h, avec des sifflements, et qu'elle se trouve plus essoufflée depuis 24h, ce qui l'a empêchée par exemple de faire du vélo avec sa famille dans l'après midi. Elle décrit également des éternuements et une rhinorrhée très aqueuse depuis une semaine, qu'elle rapporte à une allergie diagnostiquée depuis l'âge de 10 ans. Vous pensez à une exacerbation d'asthme. Quels éléments de l' interrogatoire peuvent renforcer votre hypothèse diagnostique ? (une ou plusieurs questions) a. Majoration de la dyspnée vers 5 ou 6 heures du matin b. Majoration des sifflements à l'effort c. Association à une douleur thoracique transfixiante d. Présence de crachats blancs très collants e. Présence d'oedème des membres inférieurs dans les jours précédents. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. les omi évoquent bien sur une décompensation cardiaque. sensation d'oppression thoracique fréquente, mais pas de douleur transfixiante, qui doit faire évoquer une dissection aortique. Les crachats blancs et collants sont assez évocateurs d'asthme. ILs sont liées à la présence d'éosinophiles dégranulés et de cristaux de charcot Leyden, qui contribuent à la modificaiton de sa viscosité. Quels éléments de votre examen clinique seraient à considérer comme un élément de gravité ? (une ou plusieurs réponses) a. Somnolence b. Débit expiratoire de pointe à 550 l/min c. Fréquence cardique à 130/min d. Reflux hépatojugulaire e. Absence de sifflements et de murmure vésiculaire
A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Somnolence : signe l'hypercapnie un DEP à 550 L/min est normal chez un adulte.
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A: Choix correct, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect.
Mme H..., 32 ans, en vacances avec ses enfants au mois de juin à la campagne, appelle SOS Médecins un soir à 0h30 pour une gène respiratoire qui l'a réveillée brutalement. A l'arrivée de l’urgentiste, Mme H... est assise dans son lit, polypnéique à 18/min. Elle peut raconter qu'elle tousse depuis 48 h, avec des sifflements, et qu'elle se trouve plus essoufflée depuis 24h, ce qui l'a empêchée par exemple de faire du vélo avec sa famille dans l'après midi. Elle décrit également des éternuements et une rhinorrhée très aqueuse depuis une semaine, qu'elle rapporte à une allergie diagnostiquée depuis l'âge de 10 ans. Vous pensez à une exacerbation d'asthme. Quels éléments de l' interrogatoire peuvent renforcer votre hypothèse diagnostique ? (une ou plusieurs questions) a. Majoration de la dyspnée vers 5 ou 6 heures du matin b. Majoration des sifflements à l'effort c. Association à une douleur thoracique transfixiante d. Présence de crachats blancs très collants e. Présence d'oedème des membres inférieurs dans les jours précédents. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. les omi évoquent bien sur une décompensation cardiaque. sensation d'oppression thoracique fréquente, mais pas de douleur transfixiante, qui doit faire évoquer une dissection aortique. Les crachats blancs et collants sont assez évocateurs d'asthme. ILs sont liées à la présence d'éosinophiles dégranulés et de cristaux de charcot Leyden, qui contribuent à la modificaiton de sa viscosité. Quels éléments de votre examen clinique seraient à considérer comme un élément de gravité ? (une ou plusieurs réponses) a. Somnolence b. Débit expiratoire de pointe à 550 l/min c. Fréquence cardique à 130/min d. Reflux hépatojugulaire e. Absence de sifflements et de murmure vésiculaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Somnolence : signe l'hypercapnie un DEP à 550 L/min est normal chez un adulte. L'examen retrouve des sibilants diffus. Le DEP est à 250L/min, la fréquence cardiaque à 120/min, la SpO2 est à 92% en air ambiant. Elle est consciente et n'a pas de difficulté à finir ses phrases. L'examen cardiaque est normal. Vous considérez qu'il s'agit très probablement d'une première exacerbation d'asthme. Qu'expliquez-vous alors à la patiente ? (une ou plusieurs réponses) a. Il faut la transférer aux urgences de l'hôpital le plus proche b. Elle va se rendre à l'hôpital en voiture, sous réserve que ce soit son mari qui conduise c. Faute de traitement inhalé disponible dans votre sacoche, vous pouvez lui faire une injection de terbutaline (bronchodilatateur de courte durée d'action) avant le transfert d. Il faut prendre avant d'aller à l'hôpital un comprimé d'un anti histaminique. e. Son exacerbation ne présente aucun critère de gravité.
A: Choix correct, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. la patiente a un critère de gravité au moins. elle doit être transférée en milieu médicalisé, avec transport médicalisé, au plus vite. ne pas oublier qu'il est minuit, qu'elle n'a pas de beta 2 mimétiques avec elle puisque c'est une première exacerbation. Impensable de la traiter à la maison. aucun interet des anti histaminiques dans une exacerbation d'asthme, meme allergique. Il faut des CORTICOIDES ORAUX les beta 2 mimétiques se donnent au mieux par voie inhalée (chambre d'inhalation ou nébulisation) mais aussi si besoin par voie sous cutanée.