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Code pénal, art. 132-70-1
Code pénal
La juridiction peut ajourner le prononcé de la peine à l'égard d'une personne physique lorsqu'il apparaît opportun d'ordonner à son égard des investigations, le cas échéant complémentaires, sur sa personnalité ou sa situation matérielle, familiale et sociale de nature à permettre le prononcé d'une peine adaptée. Ces investigations peuvent être confiées au service pénitentiaire d'insertion et de probation ou à une personne morale habilitée. Dans ce cas, la juridiction fixe dans sa décision la date à laquelle il sera statué sur la peine et ordonne, s'il y a lieu, le placement de la personne jusqu'à cette date sous contrôle judiciaire, sous assignation à résidence avec surveillance électronique ou, si celle-ci comparait détenue ou selon la procédure de comparution immédiate, en détention provisoire. La décision sur la peine intervient au plus tard dans un délai de quatre mois après la décision d'ajournement, sous réserve des délais plus courts prévus au dernier alinéa de l'article 397-3 du code de procédure pénale quand la personne est placée en détention provisoire. Ce délai peut être prolongé pour une nouvelle durée maximale de quatre mois.
1,727,654,400,000
32,472,144,000,000
132-70-1
LEGIARTI000048441635
LEGIARTI000006417487
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au I de l'article 60 de la loi n° 2023-1059 du 20 novembre 2023, ces dispositions entrent en vigueur le 30 septembre 2024.
5.0
85,898
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Article
<p>La juridiction peut ajourner le prononcé de la peine à l'égard d'une personne physique lorsqu'il apparaît opportun d'ordonner à son égard des investigations, le cas échéant complémentaires, sur sa personnalité ou sa situation matérielle, familiale et sociale de nature à permettre le prononcé d'une peine adaptée. Ces investigations peuvent être confiées au service pénitentiaire d'insertion et de probation ou à une personne morale habilitée.<br/><br/> Dans ce cas, la juridiction fixe dans sa décision la date à laquelle il sera statué sur la peine et ordonne, s'il y a lieu, le placement de la personne jusqu'à cette date sous contrôle judiciaire, sous assignation à résidence avec surveillance électronique ou, si celle-ci comparait détenue ou selon la procédure de comparution immédiate, en détention provisoire.</p><p>La décision sur la peine intervient au plus tard dans un délai de quatre mois après la décision d'ajournement, sous réserve des délais plus courts prévus au dernier alinéa de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000006576428&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 397-3</a> du code de procédure pénale quand la personne est placée en détention provisoire. Ce délai peut être prolongé pour une nouvelle durée maximale de quatre mois.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000038313319
MD-20240929_183928_441_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000048441635
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000029370586
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Paragraphe 5 : De l'ajournement aux fins d'investigations sur la personnalité ou la situation matérielle, familiale et sociale
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LEGISCTA000006192904
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 6 : De la dispense de peine et de l'ajournement &gt; Paragraphe 5 : De l'ajournement aux fins d'investigations sur la personnalité ou la situation matérielle, familiale et sociale
<p>Conformément au I de l'article 60 de la loi n° 2023-1059 du 20 novembre 2023, ces dispositions entrent en vigueur le 30 septembre 2024.</p>
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Code pénal, art. 132-70-2
Code pénal
Lorsque la juridiction ajourne le prononcé de la peine, elle peut octroyer immédiatement à la victime des dommages et intérêts soit à titre provisionnel, soit à titre définitif.
1,412,121,600,000
32,472,144,000,000
132-70-2
LEGIARTI000029363704
LEGIARTI000029363699
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,784,772
null
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null
Article
<p>Lorsque la juridiction ajourne le prononcé de la peine, elle peut octroyer immédiatement à la victime des dommages et intérêts soit à titre provisionnel, soit à titre définitif. </p>
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IG-20231129
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LEGIARTI000029363704
LEGI
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LEGISCTA000029370586
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Paragraphe 5 : De l'ajournement aux fins d'investigations sur la personnalité ou la situation matérielle, familiale et sociale
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LEGISCTA000006192904
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 6 : De la dispense de peine et de l'ajournement &gt; Paragraphe 5 : De l'ajournement aux fins d'investigations sur la personnalité ou la situation matérielle, familiale et sociale
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Code pénal, art. 132-70-3
Code pénal
La juridiction peut ajourner le prononcé de la peine à l'égard d'une personne en la soumettant à l'obligation de consigner une somme d'argent en vue de garantir le paiement d'une éventuelle peine d'amende. Elle détermine le montant de cette consignation et le délai dans lequel celle-ci doit être déposée au greffe, qui ne saurait être supérieur à un an. Elle peut prévoir que cette consignation est effectuée en plusieurs versements, selon un échéancier qu'elle détermine. Elle fixe dans sa décision la date à laquelle il sera statué sur la peine. La décision sur la peine intervient au plus tard dans un délai d'un an après la décision d'ajournement.
1,412,121,600,000
32,472,144,000,000
132-70-3
LEGIARTI000029363724
LEGIARTI000029363719
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
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null
Article
<p>La juridiction peut ajourner le prononcé de la peine à l'égard d'une personne en la soumettant à l'obligation de consigner une somme d'argent en vue de garantir le paiement d'une éventuelle peine d'amende. Elle détermine le montant de cette consignation et le délai dans lequel celle-ci doit être déposée au greffe, qui ne saurait être supérieur à un an. Elle peut prévoir que cette consignation est effectuée en plusieurs versements, selon un échéancier qu'elle détermine. </p><p> Elle fixe dans sa décision la date à laquelle il sera statué sur la peine. </p><p> La décision sur la peine intervient au plus tard dans un délai d'un an après la décision d'ajournement. </p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000029363724
LEGI
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LEGISCTA000029368151
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Paragraphe 6 : De l'ajournement aux fins de consignation d'une somme d'argent
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LEGISCTA000029363714
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 2 : Des modes de personnalisation des peines &gt; Sous-section 6 : De la dispense de peine et de l'ajournement &gt; Paragraphe 6 : De l'ajournement aux fins de consignation d'une somme d'argent
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Code pénal, art. 132-71
Code pénal
Constitue une bande organisée au sens de la loi tout groupement formé ou toute entente établie en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, d'une ou de plusieurs infractions.
1,078,876,800,000
32,472,144,000,000
132-71
LEGIARTI000006417490
LEGIARTI000006417489
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Constitue une bande organisée au sens de la loi tout groupement formé ou toute entente établie en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, d'une ou de plusieurs infractions.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417489
IG-20231124
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LEGIARTI000006417490
LEGI
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LEGISCTA000006165269
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Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
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LEGISCTA000006165269
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
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Code pénal, art. 132-71-1
Code pénal
Le guet-apens consiste dans le fait d'attendre un certain temps une ou plusieurs personnes dans un lieu déterminé pour commettre à leur encontre une ou plusieurs infractions.
1,173,225,600,000
32,472,144,000,000
132-71-1
LEGIARTI000006417504
LEGIARTI000006417504
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
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null
null
Article
<p></p> Le guet-apens consiste dans le fait d'attendre un certain temps une ou plusieurs personnes dans un lieu déterminé pour commettre à leur encontre une ou plusieurs infractions.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006417504
LEGI
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LEGISCTA000006165269
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Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
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LEGISCTA000006165269
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
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Code pénal, art. 132-72
Code pénal
La préméditation est le dessein formé avant l'action de commettre un crime ou un délit déterminé.
1,078,876,800,000
32,472,144,000,000
132-72
LEGIARTI000006417492
LEGIARTI000006417491
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
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null
Article
<p></p> La préméditation est le dessein formé avant l'action de commettre un crime ou un délit déterminé.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417491
IG-20231129
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LEGIARTI000006417492
LEGI
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LEGISCTA000006165269
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Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
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LEGISCTA000006165269
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
null
Code pénal, art. 132-73
Code pénal
L'effraction consiste dans le forcement, la dégradation ou la destruction de tout dispositif de fermeture ou de toute espèce de clôture. Est assimilé à l'effraction l'usage de fausses clefs, de clefs indûment obtenues ou de tout instrument pouvant être frauduleusement employé pour actionner un dispositif de fermeture sans le forcer ni le dégrader.
1,078,876,800,000
32,472,144,000,000
132-73
LEGIARTI000006417494
LEGIARTI000006417493
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
171,796
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null
Article
<p></p> L'effraction consiste dans le forcement, la dégradation ou la destruction de tout dispositif de fermeture ou de toute espèce de clôture. Est assimilé à l'effraction l'usage de fausses clefs, de clefs indûment obtenues ou de tout instrument pouvant être frauduleusement employé pour actionner un dispositif de fermeture sans le forcer ni le dégrader.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417493
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417494
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165269
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Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
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LEGISCTA000006165269
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null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
null
Code pénal, art. 132-74
Code pénal
L'escalade est le fait de s'introduire dans un lieu quelconque, soit par-dessus un élément de clôture, soit par toute ouverture non destinée à servir d'entrée.
1,078,876,800,000
32,472,144,000,000
132-74
LEGIARTI000006417496
LEGIARTI000006417495
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
214,745
null
null
null
Article
<p></p> L'escalade est le fait de s'introduire dans un lieu quelconque, soit par-dessus un élément de clôture, soit par toute ouverture non destinée à servir d'entrée.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417495
IG-20231129
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LEGIARTI000006417496
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165269
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Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
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LEGISCTA000006165269
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null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
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Code pénal, art. 132-75
Code pénal
Est une arme tout objet conçu pour tuer ou blesser. Tout autre objet susceptible de présenter un danger pour les personnes est assimilé à une arme dès lors qu'il est utilisé pour tuer, blesser ou menacer ou qu'il est destiné, par celui qui en est porteur, à tuer, blesser ou menacer. Est assimilé à une arme tout objet qui, présentant avec l'arme définie au premier alinéa une ressemblance de nature à créer une confusion, est utilisé pour menacer de tuer ou de blesser ou est destiné, par celui qui en est porteur, à menacer de tuer ou de blesser. L'utilisation d'un animal pour tuer, blesser ou menacer est assimilée à l'usage d'une arme. En cas de condamnation du propriétaire de l'animal ou si le propriétaire est inconnu, le tribunal peut décider de remettre l'animal à une oeuvre de protection animale reconnue d'utilité publique ou déclarée, laquelle pourra librement en disposer.
1,078,876,800,000
32,472,144,000,000
132-75
LEGIARTI000006417499
LEGIARTI000006417497
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
257,694
null
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null
Article
<p></p> Est une arme tout objet conçu pour tuer ou blesser.<p></p><p></p> Tout autre objet susceptible de présenter un danger pour les personnes est assimilé à une arme dès lors qu'il est utilisé pour tuer, blesser ou menacer ou qu'il est destiné, par celui qui en est porteur, à tuer, blesser ou menacer.<p></p><p></p> Est assimilé à une arme tout objet qui, présentant avec l'arme définie au premier alinéa une ressemblance de nature à créer une confusion, est utilisé pour menacer de tuer ou de blesser ou est destiné, par celui qui en est porteur, à menacer de tuer ou de blesser.<p></p><p></p> L'utilisation d'un animal pour tuer, blesser ou menacer est assimilée à l'usage d'une arme. En cas de condamnation du propriétaire de l'animal ou si le propriétaire est inconnu, le tribunal peut décider de remettre l'animal à une oeuvre de protection animale reconnue d'utilité publique ou déclarée, laquelle pourra librement en disposer.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417498
IG-20231129
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LEGIARTI000006417499
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165269
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Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
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LEGISCTA000006165269
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
null
Code pénal, art. 132-76
Code pénal
Lorsqu'un crime ou un délit est précédé, accompagné ou suivi de propos, écrits, images, objets ou actes de toute nature qui soit portent atteinte à l'honneur ou à la considération de la victime ou d'un groupe de personnes dont fait partie la victime à raison de son appartenance ou de sa non-appartenance, vraie ou supposée, à une prétendue race, une ethnie, une nation ou une religion déterminée, soit établissent que les faits ont été commis contre la victime pour l'une de ces raisons, le maximum de la peine privative de liberté encourue est relevé ainsi qu'il suit : 1° Il est porté à la réclusion criminelle à perpétuité lorsque l'infraction est punie de trente ans de réclusion criminelle ; 2° Il est porté à trente ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction est punie de vingt ans de réclusion criminelle ; 3° Il est porté à vingt ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction est punie de quinze ans de réclusion criminelle ; 4° Il est porté à quinze ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction est punie de dix ans d'emprisonnement ; 5° Il est porté à dix ans d'emprisonnement lorsque l'infraction est punie de sept ans d'emprisonnement ; 6° Il est porté à sept ans d'emprisonnement lorsque l'infraction est punie de cinq ans d'emprisonnement ; 7° Il est porté au double lorsque l'infraction est punie de trois ans d'emprisonnement au plus. Le présent article n'est pas applicable aux infractions prévues aux articles 222-13 , 225-1 et 432-7 du présent code, ou au septième alinéa de l' article 24 , au deuxième alinéa de l' article 32 et au troisième alinéa de l' article 33 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.
1,485,648,000,000
32,472,144,000,000
132-76
LEGIARTI000033975349
LEGIARTI000006417500
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
300,643
null
null
null
Article
<p>Lorsqu'un crime ou un délit est précédé, accompagné ou suivi de propos, écrits, images, objets ou actes de toute nature qui soit portent atteinte à l'honneur ou à la considération de la victime ou d'un groupe de personnes dont fait partie la victime à raison de son appartenance ou de sa non-appartenance, vraie ou supposée, à une prétendue race, une ethnie, une nation ou une religion déterminée, soit établissent que les faits ont été commis contre la victime pour l'une de ces raisons, le maximum de la peine privative de liberté encourue est relevé ainsi qu'il suit : </p><p>1° Il est porté à la réclusion criminelle à perpétuité lorsque l'infraction est punie de trente ans de réclusion criminelle ; </p><p>2° Il est porté à trente ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction est punie de vingt ans de réclusion criminelle ; </p><p>3° Il est porté à vingt ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction est punie de quinze ans de réclusion criminelle ; </p><p>4° Il est porté à quinze ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction est punie de dix ans d'emprisonnement ; </p><p>5° Il est porté à dix ans d'emprisonnement lorsque l'infraction est punie de sept ans d'emprisonnement ; </p><p>6° Il est porté à sept ans d'emprisonnement lorsque l'infraction est punie de cinq ans d'emprisonnement ; </p><p>7° Il est porté au double lorsque l'infraction est punie de trois ans d'emprisonnement au plus. </p><p>Le présent article n'est pas applicable aux infractions prévues aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417637&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 222-13 (V)'>222-13</a>,<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417828&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 225-1 (V)'>225-1 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006418506&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 432-7 (V)'>432-7 </a>du présent code, ou au septième alinéa de l'<a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000877119&idArticle=LEGIARTI000006419709&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Loi du 29 juillet 1881 - art. 24 (V)'>article 24</a>, au deuxième alinéa de l'<a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000877119&idArticle=LEGIARTI000006419732&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Loi du 29 juillet 1881 - art. 32 (V)'>article 32 </a>et au troisième alinéa de l'<a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000877119&idArticle=LEGIARTI000006419739&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Loi du 29 juillet 1881 - art. 33 (V)'>article 33</a> de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.</p><p></p>
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Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
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LEGISCTA000006165269
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
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Code pénal, art. 132-77
Code pénal
Lorsqu'un crime ou un délit est précédé, accompagné ou suivi de propos, écrits, images, objets ou actes de toute nature qui soit portent atteinte à l'honneur ou à la considération de la victime ou d'un groupe de personnes dont fait partie la victime à raison de son sexe, son orientation sexuelle ou identité de genre vraie ou supposée, soit établissent que les faits ont été commis contre la victime pour l'une de ces raisons, le maximum de la peine privative de liberté encourue est relevé ainsi qu'il suit : 1° Il est porté à la réclusion criminelle à perpétuité lorsque l'infraction est punie de trente ans de réclusion criminelle ; 2° Il est porté à trente ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction est punie de vingt ans de réclusion criminelle ; 3° Il est porté à vingt ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction est punie de quinze ans de réclusion criminelle ; 4° Il est porté à quinze ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction est punie de dix ans d'emprisonnement ; 5° Il est porté à dix ans d'emprisonnement lorsque l'infraction est punie de sept ans d'emprisonnement ; 6° Il est porté à sept ans d'emprisonnement lorsque l'infraction est punie de cinq ans d'emprisonnement ; 7° Il est porté au double lorsque l'infraction est punie de trois ans d'emprisonnement au plus. Le présent article n'est pas applicable aux infractions prévues aux articles 222-13 , 222-33 , 225-1 , 225-4-13 et 432-7 du présent code, ou au huitième alinéa de l' article 24 , au troisième alinéa de l' article 32 et au quatrième alinéa de l' article 33 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, ni lorsque l'infraction est déjà aggravée soit parce qu'elle est commise par le conjoint, le concubin de la victime ou le partenaire lié à celle-ci par un pacte civil de solidarité, soit parce qu'elle est commise contre une personne afin de la contraindre à contracter un mariage ou à conclure une union ou en raison de son refus de contracter ce mariage ou cette union
1,643,760,000,000
32,472,144,000,000
132-77
LEGIARTI000045099330
LEGIARTI000006417502
AUTONOME
VIGUEUR
5.0
343,592
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null
Article
<p>Lorsqu'un crime ou un délit est précédé, accompagné ou suivi de propos, écrits, images, objets ou actes de toute nature qui soit portent atteinte à l'honneur ou à la considération de la victime ou d'un groupe de personnes dont fait partie la victime à raison de son sexe, son orientation sexuelle ou identité de genre vraie ou supposée, soit établissent que les faits ont été commis contre la victime pour l'une de ces raisons, le maximum de la peine privative de liberté encourue est relevé ainsi qu'il suit : </p><p>1° Il est porté à la réclusion criminelle à perpétuité lorsque l'infraction est punie de trente ans de réclusion criminelle ; </p><p>2° Il est porté à trente ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction est punie de vingt ans de réclusion criminelle ; </p><p>3° Il est porté à vingt ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction est punie de quinze ans de réclusion criminelle ; </p><p>4° Il est porté à quinze ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction est punie de dix ans d'emprisonnement ; </p><p>5° Il est porté à dix ans d'emprisonnement lorsque l'infraction est punie de sept ans d'emprisonnement ; </p><p>6° Il est porté à sept ans d'emprisonnement lorsque l'infraction est punie de cinq ans d'emprisonnement ; </p><p>7° Il est porté au double lorsque l'infraction est punie de trois ans d'emprisonnement au plus. </p><p>Le présent article n'est pas applicable aux infractions prévues aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417637&dateTexte=&categorieLien=cid'>222-13</a>,<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417706&dateTexte=&categorieLien=cid'>222-33</a>,<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417828&dateTexte=&categorieLien=cid'>225-1</a>,<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000045098547&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 225-4-13 (V)'>225-4-13</a> et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006418506&dateTexte=&categorieLien=cid'>432-7 </a>du présent code, ou au huitième alinéa de l'<a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000877119&idArticle=LEGIARTI000006419709&dateTexte=&categorieLien=cid'>article 24</a>, au troisième alinéa de l'<a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000877119&idArticle=LEGIARTI000006419732&dateTexte=&categorieLien=cid'>article 32 </a>et au quatrième alinéa de l'<a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000877119&idArticle=LEGIARTI000006419739&dateTexte=&categorieLien=cid'>article 33 </a>de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, ni lorsque l'infraction est déjà aggravée soit parce qu'elle est commise par le conjoint, le concubin de la victime ou le partenaire lié à celle-ci par un pacte civil de solidarité, soit parce qu'elle est commise contre une personne afin de la contraindre à contracter un mariage ou à conclure une union ou en raison de son refus de contracter ce mariage ou cette union</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000033975343
MD-20240201_201540_352_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000045099330
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165269
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Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
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LEGISCTA000006165269
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null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
null
Code pénal, art. 132-78
Code pénal
La personne qui a tenté de commettre un crime ou un délit est, dans les cas prévus par la loi, exempte de peine si, ayant averti l'autorité administrative ou judiciaire, elle a permis d'éviter la réalisation de l'infraction et, le cas échéant, d'identifier les autres auteurs ou complices. Dans les cas prévus par la loi, la durée de la peine privative de liberté encourue par une personne ayant commis un crime ou un délit est réduite si, ayant averti l'autorité administrative ou judiciaire, elle a permis de faire cesser l'infraction, d'éviter que l'infraction ne produise un dommage ou d'identifier les autres auteurs ou complices. Les dispositions de l'alinéa précédent sont également applicables lorsque la personne a permis soit d'éviter la réalisation d'une infraction connexe de même nature que le crime ou le délit pour lequel elle était poursuivie, soit de faire cesser une telle infraction, d'éviter qu'elle ne produise un dommage ou d'en identifier les auteurs ou complices. Aucune condamnation ne peut être prononcée sur le seul fondement de déclarations émanant de personnes ayant fait l'objet des dispositions du présent article.
1,078,876,800,000
32,472,144,000,000
132-78
LEGIARTI000006417505
LEGIARTI000006417505
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
386,541
null
null
null
Article
<p></p> La personne qui a tenté de commettre un crime ou un délit est, dans les cas prévus par la loi, exempte de peine si, ayant averti l'autorité administrative ou judiciaire, elle a permis d'éviter la réalisation de l'infraction et, le cas échéant, d'identifier les autres auteurs ou complices.<p></p><p></p> Dans les cas prévus par la loi, la durée de la peine privative de liberté encourue par une personne ayant commis un crime ou un délit est réduite si, ayant averti l'autorité administrative ou judiciaire, elle a permis de faire cesser l'infraction, d'éviter que l'infraction ne produise un dommage ou d'identifier les autres auteurs ou complices.<p></p><p></p> Les dispositions de l'alinéa précédent sont également applicables lorsque la personne a permis soit d'éviter la réalisation d'une infraction connexe de même nature que le crime ou le délit pour lequel elle était poursuivie, soit de faire cesser une telle infraction, d'éviter qu'elle ne produise un dommage ou d'en identifier les auteurs ou complices.<p></p><p></p> Aucune condamnation ne peut être prononcée sur le seul fondement de déclarations émanant de personnes ayant fait l'objet des dispositions du présent article.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417505
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165269
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Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
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LEGISCTA000006165269
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null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
null
Code pénal, art. 132-79
Code pénal
Lorsqu'un moyen de cryptologie au sens de l'article 29 de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique a été utilisé pour préparer ou commettre un crime ou un délit, ou pour en faciliter la préparation ou la commission, le maximum de la peine privative de liberté encourue est relevé ainsi qu'il suit : 1° Il est porté à la réclusion criminelle à perpétuité lorsque l'infraction est punie de trente ans de réclusion criminelle ; 2° Il est porté à trente ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction est punie de vingt ans de réclusion criminelle ; 3° Il est porté à vingt ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction est punie de quinze ans de réclusion criminelle ; 4° Il est porté à quinze ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction est punie de dix ans d'emprisonnement ; 5° Il est porté à dix ans d'emprisonnement lorsque l'infraction est punie de sept ans d'emprisonnement ; 6° Il est porté à sept ans d'emprisonnement lorsque l'infraction est punie de cinq ans d'emprisonnement ; 7° Il est porté au double lorsque l'infraction est punie de trois ans d'emprisonnement au plus. Les dispositions du présent article ne sont toutefois pas applicables à l'auteur ou au complice de l'infraction qui, à la demande des autorités judiciaires ou administratives, leur a remis la version en clair des messages chiffrés ainsi que les conventions secrètes nécessaires au déchiffrement.
1,087,862,400,000
32,472,144,000,000
132-79
LEGIARTI000006417506
LEGIARTI000006417506
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
429,490
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null
Article
<p></p>Lorsqu'un moyen de cryptologie au sens de <a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000801164&idArticle=LEGIARTI000006421576&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Loi n°2004-575 du 21 juin 2004 - art. 29 (V)'>l'article 29</a> de la loi n° 2004-575 du 21 juin 2004 pour la confiance dans l'économie numérique a été utilisé pour préparer ou commettre un crime ou un délit, ou pour en faciliter la préparation ou la commission, le maximum de la peine privative de liberté encourue est relevé ainsi qu'il suit : <p></p><p></p>1° Il est porté à la réclusion criminelle à perpétuité lorsque l'infraction est punie de trente ans de réclusion criminelle ; <p></p><p></p>2° Il est porté à trente ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction est punie de vingt ans de réclusion criminelle ; <p></p><p></p>3° Il est porté à vingt ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction est punie de quinze ans de réclusion criminelle ; <p></p><p></p>4° Il est porté à quinze ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction est punie de dix ans d'emprisonnement ; <p></p><p></p>5° Il est porté à dix ans d'emprisonnement lorsque l'infraction est punie de sept ans d'emprisonnement ; <p></p><p></p>6° Il est porté à sept ans d'emprisonnement lorsque l'infraction est punie de cinq ans d'emprisonnement ; <p></p><p></p>7° Il est porté au double lorsque l'infraction est punie de trois ans d'emprisonnement au plus. <p></p><p></p>Les dispositions du présent article ne sont toutefois pas applicables à l'auteur ou au complice de l'infraction qui, à la demande des autorités judiciaires ou administratives, leur a remis la version en clair des messages chiffrés ainsi que les conventions secrètes nécessaires au déchiffrement.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
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LEGIARTI000006417506
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165269
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Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
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LEGISCTA000006165269
null
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null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
null
Code pénal, art. 132-80
Code pénal
Dans les cas respectivement prévus par la loi ou le règlement, les peines encourues pour un crime, un délit ou une contravention sont aggravées lorsque l'infraction est commise par le conjoint, le concubin ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité, y compris lorsqu'ils ne cohabitent pas. La circonstance aggravante prévue au premier alinéa est également constituée lorsque les faits sont commis par l'ancien conjoint, l'ancien concubin ou l'ancien partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité. Les dispositions du présent alinéa sont applicables dès lors que l'infraction est commise en raison des relations ayant existé entre l'auteur des faits et la victime.
1,533,513,600,000
32,472,144,000,000
132-80
LEGIARTI000037289721
LEGIARTI000006417507
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
472,439
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null
null
Article
<p>Dans les cas respectivement prévus par la loi ou le règlement, les peines encourues pour un crime, un délit ou une contravention sont aggravées lorsque l'infraction est commise par le conjoint, le concubin ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité, y compris lorsqu'ils ne cohabitent pas.</p><p>La circonstance aggravante prévue au premier alinéa est également constituée lorsque les faits sont commis par l'ancien conjoint, l'ancien concubin ou l'ancien partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité. Les dispositions du présent alinéa sont applicables dès lors que l'infraction est commise en raison des relations ayant existé entre l'auteur des faits et la victime.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000022469912
MD-20240709_200737_118_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000037289721
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165269
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Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
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LEGISCTA000006165269
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null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre II : Du régime des peines &gt; Section 3 : De la définition de certaines circonstances entraînant l'aggravation, la diminution ou l'exemption des peines
null
Code pénal, art. 133-1
Code pénal
Le décès du condamné ou la dissolution de la personne morale, sauf dans le cas où la dissolution est prononcée par la juridiction pénale, la grâce et l'amnistie, empêchent ou arrêtent l'exécution de la peine. Toutefois, il peut être procédé au recouvrement de l'amende et des frais de justice ainsi qu'à l'exécution de la confiscation après le décès du condamné ou après la dissolution de la personne morale jusqu'à la clôture des opérations de liquidation. La prescription de la peine empêche l'exécution de celle-ci. La réhabilitation efface la condamnation.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
133-1
LEGIARTI000006417509
LEGIARTI000006417508
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> Le décès du condamné ou la dissolution de la personne morale, sauf dans le cas où la dissolution est prononcée par la juridiction pénale, la grâce et l'amnistie, empêchent ou arrêtent l'exécution de la peine. Toutefois, il peut être procédé au recouvrement de l'amende et des frais de justice ainsi qu'à l'exécution de la confiscation après le décès du condamné ou après la dissolution de la personne morale jusqu'à la clôture des opérations de liquidation.<p></p><p></p> La prescription de la peine empêche l'exécution de celle-ci.<p></p><p></p> La réhabilitation efface la condamnation.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417508
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417509
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006149821
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Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations
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LEGISCTA000006149821
null
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations
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Code pénal, art. 133-2
Code pénal
Les peines prononcées pour un crime se prescrivent par vingt années révolues à compter de la date à laquelle la décision de condamnation est devenue définitive. Par dérogation au premier alinéa, les peines prononcées pour les crimes mentionnés aux articles 214-1 à 214-4 et 221-12 et au livre IV bis du présent code ainsi qu'aux articles 706-16 , 706-26 et 706-167 du code de procédure pénale se prescrivent par trente années révolues à compter de la date à laquelle la décision de condamnation est devenue définitive. Par dérogation au premier alinéa du présent article, les peines prononcées pour les crimes mentionnés aux articles 211-1 à 212-3 du présent code sont imprescriptibles.
1,488,326,400,000
32,472,144,000,000
133-2
LEGIARTI000034099845
LEGIARTI000006417510
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
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null
Article
<p>Les peines prononcées pour un crime se prescrivent par vingt années révolues à compter de la date à laquelle la décision de condamnation est devenue définitive.</p><p>Par dérogation au premier alinéa, les peines prononcées pour les crimes mentionnés aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417553&dateTexte=&categorieLien=cid'>214-1 à 214-4 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000027809193&dateTexte=&categorieLien=cid'>221-12 </a>et au livre IV bis du présent code ainsi qu'aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000006577564&dateTexte=&categorieLien=cid'>706-16</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000006577621&dateTexte=&categorieLien=cid'>706-26 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000023710057&dateTexte=&categorieLien=cid'>706-167 </a>du code de procédure pénale se prescrivent par trente années révolues à compter de la date à laquelle la décision de condamnation est devenue définitive.</p><p>Par dérogation au premier alinéa du présent article, les peines prononcées pour les crimes mentionnés aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417532&dateTexte=&categorieLien=cid'>211-1 à 212-3</a> du présent code sont imprescriptibles.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417510
IG-20231129
null
LEGIARTI000034099845
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165270
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Section 1 : De la prescription
null
null
LEGISCTA000006165270
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations &gt; Section 1 : De la prescription
null
Code pénal, art. 133-3
Code pénal
Les peines prononcées pour un délit se prescrivent par six années révolues à compter de la date à laquelle la décision de condamnation est devenue définitive. Les peines prononcées pour les délits mentionnés au livre IV bis du présent code, aux articles 706-16 et 706-26 du code de procédure pénale et, lorsqu'ils sont punis de dix ans d'emprisonnement, à l'article 706-167 du même code se prescrivent par vingt années révolues à compter de la date à laquelle la décision de condamnation est devenue définitive.
1,488,326,400,000
32,472,144,000,000
133-3
LEGIARTI000034099836
LEGIARTI000006417511
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Les peines prononcées pour un délit se prescrivent par six années révolues à compter de la date à laquelle la décision de condamnation est devenue définitive. </p><p></p><p>Les peines prononcées pour les délits mentionnés au livre IV bis du présent code, aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000006577564&dateTexte=&categorieLien=cid'>706-16 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000006577621&dateTexte=&categorieLien=cid'>706-26 </a>du code de procédure pénale et, lorsqu'ils sont punis de dix ans d'emprisonnement, à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000023710057&dateTexte=&categorieLien=cid'>706-167</a> du même code se prescrivent par vingt années révolues à compter de la date à laquelle la décision de condamnation est devenue définitive.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417511
IG-20231129
null
LEGIARTI000034099836
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165270
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Section 1 : De la prescription
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LEGISCTA000006165270
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations &gt; Section 1 : De la prescription
null
Code pénal, art. 133-4
Code pénal
Les peines prononcées pour une contravention se prescrivent par trois années révolues à compter de la date à laquelle la décision de condamnation est devenue définitive.
1,041,292,800,000
32,472,144,000,000
133-4
LEGIARTI000006417513
LEGIARTI000006417512
AUTONOME
VIGUEUR
(Art. 81 II de la loi n° 2002-1576 du 31 décembre 2002 : Ces dispositions s'appliquent aux condamnations prononcées à compter du 1er janvier 2003).
2.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p> Les peines prononcées pour une contravention se prescrivent par trois années révolues à compter de la date à laquelle la décision de condamnation est devenue définitive.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417512
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417513
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165270
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Section 1 : De la prescription
null
null
LEGISCTA000006165270
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations &gt; Section 1 : De la prescription
<p>(Art. 81 II de la loi n° 2002-1576 du 31 décembre 2002 : Ces dispositions s'appliquent aux condamnations prononcées à compter du 1er janvier 2003).</p>
null
Code pénal, art. 133-4-1
Code pénal
Le délai de prescription des peines est interrompu dans les conditions prévues à l' avant-dernier alinéa de l'article 707-1 du code de procédure pénale .
1,488,326,400,000
32,472,144,000,000
133-4-1
LEGIARTI000034098688
LEGIARTI000034098688
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
null
null
Article
<div align='left'>Le délai de prescription des peines est interrompu dans les conditions prévues à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000006577867&dateTexte=&categorieLien=cid'>avant-dernier alinéa de l'article 707-1 du code de procédure pénale</a>.<br/></div>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000034098688
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165270
false
false
Section 1 : De la prescription
null
null
LEGISCTA000006165270
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations &gt; Section 1 : De la prescription
null
Code pénal, art. 133-5
Code pénal
Les condamnés par contumace dont la peine est prescrite ne sont pas admis à purger la contumace.
1,528,502,400,000
32,472,144,000,000
133-5
LEGIARTI000037044285
LEGIARTI000006417514
AUTONOME
VIGUEUR
Dans sa décision n° 2018-712 QPC du 8 juin 2018, le Conseil constitutionnel a déclaré les mots "ou par défaut" et "ou à former opposition", figurant à l' article 133-5 du code pénal, dans sa rédaction issue de la loi n° 92-683 du 22 juillet 1992 portant réforme des dispositions générales du code pénal, contraires à la Constitution. La déclaration d'inconstitutionnalité de l'article 1er prend effet dans les conditions fixées au paragraphe 16 de cette décision, soit à compter du 9 juin 2018.
2.0
214,745
null
null
null
Article
<p>Les condamnés par contumace dont la peine est prescrite ne sont pas admis à purger la contumace.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417514
IG-20231128
null
LEGIARTI000037044285
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165270
false
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Section 1 : De la prescription
null
null
LEGISCTA000006165270
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations &gt; Section 1 : De la prescription
<p>Dans sa décision n° 2018-712 QPC du 8 juin 2018, le Conseil constitutionnel a déclaré les mots "ou par défaut" et "ou à former opposition", figurant à l' article 133-5 du code pénal, dans sa rédaction issue de la loi n° 92-683 du 22 juillet 1992 portant réforme des dispositions générales du code pénal, contraires à la Constitution. La déclaration d'inconstitutionnalité de l'article 1er prend effet dans les conditions fixées au paragraphe 16 de cette décision, soit à compter du 9 juin 2018.</p>
null
Code pénal, art. 133-6
Code pénal
Les obligations de nature civile résultant d'une décision pénale devenue définitive se prescrivent d'après les règles du code civil .
762,480,000,000
32,472,144,000,000
133-6
LEGIARTI000006417515
LEGIARTI000006417515
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p> Les obligations de nature civile résultant d'une décision pénale devenue définitive se prescrivent d'après les règles du <a href='/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000006070721&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code civil (V)'>code civil</a>.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417515
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165270
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Section 1 : De la prescription
null
null
LEGISCTA000006165270
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations &gt; Section 1 : De la prescription
null
Code pénal, art. 133-7
Code pénal
La grâce emporte seulement dispense d'exécuter la peine.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
133-7
LEGIARTI000006417516
LEGIARTI000006417516
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> La grâce emporte seulement dispense d'exécuter la peine.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417516
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165271
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Section 2 : De la grâce
null
null
LEGISCTA000006165271
null
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null
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations &gt; Section 2 : De la grâce
null
Code pénal, art. 133-8
Code pénal
La grâce ne fait pas obstacle au droit, pour la victime, d'obtenir réparation du préjudice causé par l'infraction.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
133-8
LEGIARTI000006417517
LEGIARTI000006417517
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> La grâce ne fait pas obstacle au droit, pour la victime, d'obtenir réparation du préjudice causé par l'infraction.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417517
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165271
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Section 2 : De la grâce
null
null
LEGISCTA000006165271
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations &gt; Section 2 : De la grâce
null
Code pénal, art. 133-9
Code pénal
L'amnistie efface les condamnations prononcées. Elle entraîne, sans qu'elle puisse donner lieu à restitution, la remise de toutes les peines. Elle rétablit l'auteur ou le complice de l'infraction dans le bénéfice du sursis qui avait pu lui être accordé lors d'une condamnation antérieure.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
133-9
LEGIARTI000006417518
LEGIARTI000006417518
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> L'amnistie efface les condamnations prononcées. Elle entraîne, sans qu'elle puisse donner lieu à restitution, la remise de toutes les peines. Elle rétablit l'auteur ou le complice de l'infraction dans le bénéfice du sursis qui avait pu lui être accordé lors d'une condamnation antérieure.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417518
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165272
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Section 3 : De l'amnistie
null
null
LEGISCTA000006165272
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations &gt; Section 3 : De l'amnistie
null
Code pénal, art. 133-10
Code pénal
L'amnistie ne préjudicie pas aux tiers.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
133-10
LEGIARTI000006417519
LEGIARTI000006417519
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> L'amnistie ne préjudicie pas aux tiers.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417519
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165272
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Section 3 : De l'amnistie
null
null
LEGISCTA000006165272
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations &gt; Section 3 : De l'amnistie
null
Code pénal, art. 133-11
Code pénal
Il est interdit à toute personne qui, dans l'exercice de ses fonctions, a connaissance de condamnations pénales, de sanctions disciplinaires ou professionnelles ou d'interdictions, déchéances et incapacités effacées par l'amnistie, d'en rappeler l'existence sous quelque forme que ce soit ou d'en laisser subsister la mention dans un document quelconque. Toutefois, les minutes des jugements, arrêts et décisions échappent à cette interdiction. En outre, l'amnistie ne met pas obstacle à l'exécution de la publication ordonnée à titre de réparation.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
133-11
LEGIARTI000006417520
LEGIARTI000006417520
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
null
null
null
Article
<p></p> Il est interdit à toute personne qui, dans l'exercice de ses fonctions, a connaissance de condamnations pénales, de sanctions disciplinaires ou professionnelles ou d'interdictions, déchéances et incapacités effacées par l'amnistie, d'en rappeler l'existence sous quelque forme que ce soit ou d'en laisser subsister la mention dans un document quelconque. Toutefois, les minutes des jugements, arrêts et décisions échappent à cette interdiction. En outre, l'amnistie ne met pas obstacle à l'exécution de la publication ordonnée à titre de réparation.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417520
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165272
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Section 3 : De l'amnistie
null
null
LEGISCTA000006165272
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations &gt; Section 3 : De l'amnistie
null
Code pénal, art. 133-12
Code pénal
Toute personne frappée d'une peine criminelle, correctionnelle ou contraventionnelle peut bénéficier, soit d'une réhabilitation de plein droit dans les conditions prévues à la présente section, soit d'une réhabilitation judiciaire accordée dans les conditions prévues par le code de procédure pénale.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
133-12
LEGIARTI000006417521
LEGIARTI000006417521
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Toute personne frappée d'une peine criminelle, correctionnelle ou contraventionnelle peut bénéficier, soit d'une réhabilitation de plein droit dans les conditions prévues à la présente section, soit d'une réhabilitation judiciaire accordée dans les conditions prévues par le code de procédure pénale.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417521
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165273
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Section 4 : De la réhabilitation
null
null
LEGISCTA000006165273
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations &gt; Section 4 : De la réhabilitation
null
Code pénal, art. 133-13
Code pénal
La réhabilitation est acquise de plein droit à la personne physique condamnée qui n'a, dans les délais ci-après déterminés, subi aucune condamnation nouvelle à une peine criminelle ou correctionnelle : 1° Pour la condamnation à l'amende ou à la peine de jours-amende après un délai de trois ans à compter du jour du paiement de l'amende ou du montant global des jours-amende, de l'expiration de la contrainte judiciaire ou du délai de l'incarcération prévue par l'article 131-25 ou de la prescription accomplie ; 2° Pour la condamnation unique soit à un emprisonnement n'excédant pas un an, soit à une peine autre que la réclusion criminelle, la détention criminelle, l'emprisonnement, l'amende ou le jour-amende, après un délai de cinq ans à compter soit de l'exécution de la peine, soit de la prescription accomplie ; 3° Pour la condamnation unique à un emprisonnement n'excédant pas dix ans ou pour les condamnations multiples à l'emprisonnement dont l'ensemble ne dépasse pas cinq ans, après un délai de dix ans à compter soit de l'expiration de la peine subie, soit de la prescription accomplie. Les délais prévus au présent article sont doublés lorsque la personne a été condamnée pour des faits commis en état de récidive légale. Lorsqu'il s'agit de condamnations assorties en tout ou partie du sursis, du sursis probatoire ou du sursis avec obligation d'accomplir un travail d'intérêt général, les délais de réhabilitation courent, pour chacune de ces condamnations et y compris en cas de condamnations multiples, à compter de la date à laquelle la condamnation est non avenue.
1,585,008,000,000
32,472,144,000,000
133-13
LEGIARTI000042342559
LEGIARTI000006417522
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.
4.0
85,898
null
null
null
Article
<p>La réhabilitation est acquise de plein droit à la personne physique condamnée qui n'a, dans les délais ci-après déterminés, subi aucune condamnation nouvelle à une peine criminelle ou correctionnelle :</p><p>1° Pour la condamnation à l'amende ou à la peine de jours-amende après un délai de trois ans à compter du jour du paiement de l'amende ou du montant global des jours-amende, de l'expiration de la contrainte judiciaire ou du délai de l'incarcération prévue par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417288&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-25 (V)'>l'article 131-25</a> ou de la prescription accomplie ;</p><p>2° Pour la condamnation unique soit à un emprisonnement n'excédant pas un an, soit à une peine autre que la réclusion criminelle, la détention criminelle, l'emprisonnement, l'amende ou le jour-amende, après un délai de cinq ans à compter soit de l'exécution de la peine, soit de la prescription accomplie ;</p><p>3° Pour la condamnation unique à un emprisonnement n'excédant pas dix ans ou pour les condamnations multiples à l'emprisonnement dont l'ensemble ne dépasse pas cinq ans, après un délai de dix ans à compter soit de l'expiration de la peine subie, soit de la prescription accomplie.</p><p>Les délais prévus au présent article sont doublés lorsque la personne a été condamnée pour des faits commis en état de récidive légale.</p><p>Lorsqu'il s'agit de condamnations assorties en tout ou partie du sursis, du sursis probatoire ou du sursis avec obligation d'accomplir un travail d'intérêt général, les délais de réhabilitation courent, pour chacune de ces condamnations et y compris en cas de condamnations multiples, à compter de la date à laquelle la condamnation est non avenue.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417524
IG-20231129
null
LEGIARTI000042342559
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165273
false
false
Section 4 : De la réhabilitation
null
null
LEGISCTA000006165273
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations &gt; Section 4 : De la réhabilitation
<p>Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s’exécutent jusqu’à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l’article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l’application des peines.</p>
null
Code pénal, art. 133-14
Code pénal
La réhabilitation est acquise de plein droit à la personne morale condamnée qui n'a, dans les délais ci-après déterminés, subi aucune condamnation nouvelle à une peine criminelle ou correctionnelle : 1° Pour la condamnation à l'amende, après un délai de cinq ans à compter du jour du paiement de l'amende ou de la prescription accomplie ; 2° Pour la condamnation à une peine autre que l'amende ou la dissolution, après un délai de cinq ans à compter soit de l'exécution de la peine, soit de la prescription accomplie. Les délais prévus au présent article sont doublés lorsque la personne a été condamnée pour des faits commis en état de récidive légale. Lorsqu'il s'agit d'une condamnation assortie du sursis, les délais de réhabilitation courent à compter de la date à laquelle la condamnation est non avenue.
1,204,848,000,000
32,472,144,000,000
133-14
LEGIARTI000006417526
LEGIARTI000006417525
AUTONOME
VIGUEUR
Loi n° 2007-297 du 5 mars 2007 art. 43 III : Les dispositions de l'article 43 de la loi n° 2007-297 entrent en vigueur un an après la date de publication de la présente loi. Elles sont alors immédiatement applicables aux condamnations figurant toujours au casier judiciaire, quelque soit la date de commission de l'infraction ; toutefois, le doublement des délais de réhabilitation en cas de récidive n'est applicable que pour des faits commis postérieurement à la date de publication de la présente loi.
2.0
214,745
null
null
null
Article
<p></p> La réhabilitation est acquise de plein droit à la personne morale condamnée qui n'a, dans les délais ci-après déterminés, subi aucune condamnation nouvelle à une peine criminelle ou correctionnelle :<p></p><p></p> 1° Pour la condamnation à l'amende, après un délai de cinq ans à compter du jour du paiement de l'amende ou de la prescription accomplie ;<p></p><p></p> 2° Pour la condamnation à une peine autre que l'amende ou la dissolution, après un délai de cinq ans à compter soit de l'exécution de la peine, soit de la prescription accomplie.<p></p><p></p> Les délais prévus au présent article sont doublés lorsque la personne a été condamnée pour des faits commis en état de récidive légale.<p></p><p></p> Lorsqu'il s'agit d'une condamnation assortie du sursis, les délais de réhabilitation courent à compter de la date à laquelle la condamnation est non avenue.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417525
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417526
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165273
false
false
Section 4 : De la réhabilitation
null
null
LEGISCTA000006165273
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations &gt; Section 4 : De la réhabilitation
<p>Loi n° 2007-297 du 5 mars 2007 art. 43 III : Les dispositions de l'article 43 de la loi n° 2007-297 entrent en vigueur un an après la date de publication de la présente loi. Elles sont alors immédiatement applicables aux condamnations figurant toujours au casier judiciaire, quelque soit la date de commission de l'infraction ; toutefois, le doublement des délais de réhabilitation en cas de récidive n'est applicable que pour des faits commis postérieurement à la date de publication de la présente loi.</p>
null
Code pénal, art. 133-15
Code pénal
Les peines dont la confusion a été accordée sont considérées comme constituant une peine unique pour l'application des dispositions des articles 133-13 et 133-14 .
762,480,000,000
32,472,144,000,000
133-15
LEGIARTI000006417527
LEGIARTI000006417527
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
300,643
null
null
null
Article
<p></p>Les peines dont la confusion a été accordée sont considérées comme constituant une peine unique pour l'application des dispositions des <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417522&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 133-13 (V)'>articles 133-13 et 133-14</a>.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417527
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165273
false
false
Section 4 : De la réhabilitation
null
null
LEGISCTA000006165273
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations &gt; Section 4 : De la réhabilitation
null
Code pénal, art. 133-16
Code pénal
La réhabilitation produit les mêmes effets que ceux qui sont prévus par les articles 133-10 et 133-11 . Elle efface toutes les incapacités et déchéances qui résultent de la condamnation. Toutefois, lorsque la personne a été condamnée au suivi socio-judiciaire prévu à l'article 131-36-1 ou à la peine d'interdiction d'exercer une activité professionnelle ou bénévole impliquant un contact habituel avec des mineurs, la réhabilitation ne produit ses effets qu'à la fin de la mesure. Par ailleurs, la réhabilitation ne produit ses effets qu'à l'issue d'un délai de quarante ans lorsqu'a été prononcée, comme peine complémentaire, une interdiction, incapacité ou déchéance à titre définitif. La réhabilitation n'interdit pas la prise en compte de la condamnation, par les seules autorités judiciaires, en cas de nouvelles poursuites, pour l'application des règles sur la récidive légale.
1,420,070,400,000
32,472,144,000,000
133-16
LEGIARTI000025585788
LEGIARTI000006417528
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
429,490
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null
Article
<p>La réhabilitation produit les mêmes effets que ceux qui sont prévus par les <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417519&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles 133-10 et 133-11</a>. Elle efface toutes les incapacités et déchéances qui résultent de la condamnation. </p><p>Toutefois, lorsque la personne a été condamnée au suivi socio-judiciaire prévu à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417314&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-36-1</a> ou à la peine d'interdiction d'exercer une activité professionnelle ou bénévole impliquant un contact habituel avec des mineurs, la réhabilitation ne produit ses effets qu'à la fin de la mesure. Par ailleurs, la réhabilitation ne produit ses effets qu'à l'issue d'un délai de quarante ans lorsqu'a été prononcée, comme peine complémentaire, une interdiction, incapacité ou déchéance à titre définitif. </p><p>La réhabilitation n'interdit pas la prise en compte de la condamnation, par les seules autorités judiciaires, en cas de nouvelles poursuites, pour l'application des règles sur la récidive légale.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417530
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LEGI
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Section 4 : De la réhabilitation
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LEGISCTA000006165273
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations &gt; Section 4 : De la réhabilitation
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Code pénal, art. 133-16-1
Code pénal
Si la personne a été condamnée par une juridiction pénale d'un Etat membre de l'Union européenne à une des peines suivantes, la réhabilitation n'est susceptible de produire ses effets sur les condamnations françaises antérieures qu'à l'issue des délais ci-après déterminés : 1° Lorsque la peine prononcée est une sanction pécuniaire, qu'à partir de l'effacement de cette condamnation ou de l'écoulement d'un délai de trois ans à compter de son prononcé ; 2° Lorsque la peine prononcée est une peine d'emprisonnement d'une durée supérieure à un an, qu'à partir de l'effacement de cette condamnation ou de l'écoulement d'un délai de dix ans à compter de son prononcé ; 3° Lorsque la peine prononcée est une peine d'emprisonnement d'une durée supérieure à dix ans, qu'à partir de l'effacement de cette condamnation ou de l'écoulement d'un délai de quarante ans à compter de son prononcé ; 4° Lorsque la personne a été condamnée à une peine autre que celles définies aux 1° à 3°, qu'à partir de l'effacement de cette condamnation ou de l'écoulement d'un délai de cinq ans à compter de son prononcé.
1,335,484,800,000
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133-16-1
LEGIARTI000025585116
LEGIARTI000025585015
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
450,964
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Article
<p>Si la personne a été condamnée par une juridiction pénale d'un Etat membre de l'Union européenne à une des peines suivantes, la réhabilitation n'est susceptible de produire ses effets sur les condamnations françaises antérieures qu'à l'issue des délais ci-après déterminés :</p><p>1° Lorsque la peine prononcée est une sanction pécuniaire, qu'à partir de l'effacement de cette condamnation ou de l'écoulement d'un délai de trois ans à compter de son prononcé ;</p><p>2° Lorsque la peine prononcée est une peine d'emprisonnement d'une durée supérieure à un an, qu'à partir de l'effacement de cette condamnation ou de l'écoulement d'un délai de dix ans à compter de son prononcé ;</p><p>3° Lorsque la peine prononcée est une peine d'emprisonnement d'une durée supérieure à dix ans, qu'à partir de l'effacement de cette condamnation ou de l'écoulement d'un délai de quarante ans à compter de son prononcé ;</p><p>4° Lorsque la personne a été condamnée à une peine autre que celles définies aux 1° à 3°, qu'à partir de l'effacement de cette condamnation ou de l'écoulement d'un délai de cinq ans à compter de son prononcé.</p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000025585116
LEGI
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Section 4 : De la réhabilitation
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LEGISCTA000006165273
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations &gt; Section 4 : De la réhabilitation
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Code pénal, art. 133-17
Code pénal
Pour l'application des règles sur la réhabilitation, la remise gracieuse d'une peine équivaut à son exécution.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
133-17
LEGIARTI000006417531
LEGIARTI000006417531
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
472,439
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null
Article
<p></p> Pour l'application des règles sur la réhabilitation, la remise gracieuse d'une peine équivaut à son exécution.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006417531
LEGI
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Section 4 : De la réhabilitation
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LEGISCTA000006165273
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Partie législative &gt; Livre Ier : Dispositions générales &gt; Titre III : Des peines &gt; Chapitre III : De l'extinction des peines et de l'effacement des condamnations &gt; Section 4 : De la réhabilitation
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Code pénal, art. 211-1
Code pénal
Constitue un génocide le fait, en exécution d'un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d'un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d'un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l'encontre de membres de ce groupe, l'un des actes suivants : – atteinte volontaire à la vie ; – atteinte grave à l'intégrité physique ou psychique ; – soumission à des conditions d'existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ; – mesures visant à entraver les naissances ; – transfert forcé d'enfants. Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables au crime prévu par le présent article.
1,091,836,800,000
32,472,144,000,000
211-1
LEGIARTI000006417533
LEGIARTI000006417532
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
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null
Article
<p>Constitue un génocide le fait, en exécution d'un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d'un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d'un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire, de commettre ou de faire commettre, à l'encontre de membres de ce groupe, l'un des actes suivants :</p><p>– atteinte volontaire à la vie ;</p><p>– atteinte grave à l'intégrité physique ou psychique ;</p><p>– soumission à des conditions d'existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe ;</p><p>– mesures visant à entraver les naissances ;</p><p>– transfert forcé d'enfants.</p><p>Le génocide est puni de la réclusion criminelle à perpétuité.</p><p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-23 (V)'>l'article 132-23</a> relatif à la période de sûreté sont applicables au crime prévu par le présent article.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417532
IG-20231124
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LEGIARTI000006417533
LEGI
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Chapitre Ier : Du génocide
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LEGISCTA000006165393
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre Ier : Des crimes contre l'humanité et contre l'espèce humaine &gt; Sous-titre Ier : Des crimes contre l'humanité &gt; Chapitre Ier : Du génocide
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Code pénal, art. 211-2
Code pénal
La provocation publique et directe, par tous moyens, à commettre un génocide est punie de la réclusion criminelle à perpétuité si cette provocation a été suivie d'effet. Si la provocation n'a pas été suivie d'effet, les faits sont punis de sept ans d'emprisonnement et de 100 000 € d'amende.
1,281,484,800,000
32,472,144,000,000
211-2
LEGIARTI000022686339
LEGIARTI000022681565
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,763,298
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null
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Article
<p>La provocation publique et directe, par tous moyens, à commettre un génocide est punie de la réclusion criminelle à perpétuité si cette provocation a été suivie d'effet. </p><p> Si la provocation n'a pas été suivie d'effet, les faits sont punis de sept ans d'emprisonnement et de 100 000 € d'amende.</p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000022686339
LEGI
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LEGISCTA000006165393
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Chapitre Ier : Du génocide
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LEGISCTA000006165393
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre Ier : Des crimes contre l'humanité et contre l'espèce humaine &gt; Sous-titre Ier : Des crimes contre l'humanité &gt; Chapitre Ier : Du génocide
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Code pénal, art. 212-1
Code pénal
Constitue également un crime contre l'humanité et est puni de la réclusion criminelle à perpétuité l'un des actes ci-après commis en exécution d'un plan concerté à l'encontre d'un groupe de population civile dans le cadre d'une attaque généralisée ou systématique : 1° L'atteinte volontaire à la vie ; 2° L'extermination ; 3° La réduction en esclavage ; 4° La déportation ou le transfert forcé de population ; 5° L'emprisonnement ou toute autre forme de privation grave de liberté physique en violation des dispositions fondamentales du droit international ; 6° La torture ; 7° Le viol, la prostitution forcée, la grossesse forcée, la stérilisation forcée ou toute autre forme de violence sexuelle de gravité comparable ; 8° La persécution de tout groupe ou de toute collectivité identifiable pour des motifs d'ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux ou sexiste ou en fonction d'autres critères universellement reconnus comme inadmissibles en droit international ; 9° La disparition forcée ; 10° Les actes de ségrégation commis dans le cadre d'un régime institutionnalisé d'oppression systématique et de domination d'un groupe racial sur tout autre groupe racial ou tous autres groupes raciaux et dans l'intention de maintenir ce régime ; 11° Les autres actes inhumains de caractère analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l'intégrité physique ou psychique. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables aux crimes prévus par le présent article.
1,375,833,600,000
32,472,144,000,000
212-1
LEGIARTI000027811403
LEGIARTI000006417534
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
42,949
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null
null
Article
<p>Constitue également un crime contre l'humanité et est puni de la réclusion criminelle à perpétuité l'un des actes ci-après commis en exécution d'un plan concerté à l'encontre d'un groupe de population civile dans le cadre d'une attaque généralisée ou systématique : </p><p>1° L'atteinte volontaire à la vie ; </p><p>2° L'extermination ; </p><p>3° La réduction en esclavage ; </p><p>4° La déportation ou le transfert forcé de population ; </p><p>5° L'emprisonnement ou toute autre forme de privation grave de liberté physique en violation des dispositions fondamentales du droit international ; </p><p>6° La torture ; </p><p>7° Le viol, la prostitution forcée, la grossesse forcée, la stérilisation forcée ou toute autre forme de violence sexuelle de gravité comparable ; </p><p>8° La persécution de tout groupe ou de toute collectivité identifiable pour des motifs d'ordre politique, racial, national, ethnique, culturel, religieux ou sexiste ou en fonction d'autres critères universellement reconnus comme inadmissibles en droit international ; </p><p>9° La disparition forcée ; </p><p>10° Les actes de ségrégation commis dans le cadre d'un régime institutionnalisé d'oppression systématique et de domination d'un groupe racial sur tout autre groupe racial ou tous autres groupes raciaux et dans l'intention de maintenir ce régime ; </p><p>11° Les autres actes inhumains de caractère analogue causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l'intégrité physique ou psychique. </p><p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 132-23</a> relatif à la période de sûreté sont applicables aux crimes prévus par le présent article.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000022686341
IG-20231129
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LEGIARTI000027811403
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165394
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Chapitre II : Des autres crimes contre l'humanité
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LEGISCTA000006165394
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre Ier : Des crimes contre l'humanité et contre l'espèce humaine &gt; Sous-titre Ier : Des crimes contre l'humanité &gt; Chapitre II : Des autres crimes contre l'humanité
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Code pénal, art. 212-2
Code pénal
Lorsqu'ils sont commis en temps de guerre en exécution d'un plan concerté contre ceux qui combattent le système idéologique au nom duquel sont perpétrés des crimes contre l'humanité, les actes visés à l'article 212-1 sont punis de la réclusion criminelle à perpétuité. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables aux crimes prévus par le présent article.
1,091,836,800,000
32,472,144,000,000
212-2
LEGIARTI000006417537
LEGIARTI000006417536
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
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null
null
Article
<p></p>Lorsqu'ils sont commis en temps de guerre en exécution d'un plan concerté contre ceux qui combattent le système idéologique au nom duquel sont perpétrés des crimes contre l'humanité, les actes visés à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417534&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 212-1 (V)'>l'article 212-1 </a>sont punis de la réclusion criminelle à perpétuité. <p></p><p></p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-23 (V)'>l'article 132-23</a> relatif à la période de sûreté sont applicables aux crimes prévus par le présent article.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417536
IG-20231124
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LEGIARTI000006417537
LEGI
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LEGISCTA000006165394
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Chapitre II : Des autres crimes contre l'humanité
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LEGISCTA000006165394
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre Ier : Des crimes contre l'humanité et contre l'espèce humaine &gt; Sous-titre Ier : Des crimes contre l'humanité &gt; Chapitre II : Des autres crimes contre l'humanité
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Code pénal, art. 212-3
Code pénal
La participation à un groupement formé ou à une entente établie en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, de l'un des crimes définis par les articles 211-1 , 212-1 et 212-2 est punie de la réclusion criminelle à perpétuité. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables au crime prévu au présent article.
1,091,836,800,000
32,472,144,000,000
212-3
LEGIARTI000006417539
LEGIARTI000006417538
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
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Article
<p>La participation à un groupement formé ou à une entente établie en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, de l'un des crimes définis par les <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417532&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 211-1 (V)'>articles 211-1</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417534&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 212-1 (V)'>212-1 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417536&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 212-2 (V)'>212-2 </a>est punie de la réclusion criminelle à perpétuité. </p><p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-23 (V)'>l'article 132-23</a> relatif à la période de sûreté sont applicables au crime prévu au présent article.</p>
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LEGIARTI000006417538
IG-20231124
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LEGIARTI000006417539
LEGI
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LEGISCTA000006165394
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Chapitre II : Des autres crimes contre l'humanité
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LEGISCTA000006165394
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre Ier : Des crimes contre l'humanité et contre l'espèce humaine &gt; Sous-titre Ier : Des crimes contre l'humanité &gt; Chapitre II : Des autres crimes contre l'humanité
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Code pénal, art. 213-1
Code pénal
Les personnes physiques coupables des infractions prévues par le présent sous-titre encourent également les peines suivantes : 1° L'interdiction des droits civiques, civils et de famille, selon les modalités prévues par l'article 131-26 . Toutefois, le maximum de l'interdiction est porté à quinze ans ; 2° L'interdiction, suivant les modalités prévues par l'article 131-27 , d'exercer une fonction publique ou d'exercer l'activité professionnelle ou sociale dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise. Toutefois, le maximum de l'interdiction temporaire est porté à dix ans ; 3° L'interdiction de séjour, selon les modalités prévues par l'article 131-31 . Toutefois, le maximum de l'interdiction est porté à quinze ans ; 4° La confiscation de tout ou partie des biens leur appartenant ou, sous réserve des droits du propriétaire de bonne foi, dont elles ont la libre disposition ; 5° L'interdiction, suivant les modalités prévues par l'article 131-27, soit d'exercer une fonction publique ou d'exercer l'activité professionnelle ou sociale dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise, soit d'exercer une profession commerciale ou industrielle, de diriger, d'administrer, de gérer ou de contrôler à un titre quelconque, directement ou indirectement, pour son propre compte ou pour le compte d'autrui, une entreprise commerciale ou industrielle ou une société commerciale. Ces interdictions d'exercice peuvent être prononcées cumulativement.
1,332,979,200,000
32,472,144,000,000
213-1
LEGIARTI000025585829
LEGIARTI000006417540
AUTONOME
VIGUEUR
5.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Les personnes physiques coupables des infractions prévues par le présent sous-titre encourent également les peines suivantes : </p><p>1° L'interdiction des droits civiques, civils et de famille, selon les modalités prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417290&dateTexte=&categorieLien=cid'>131-26</a>. Toutefois, le maximum de l'interdiction est porté à quinze ans ; </p><p>2° L'interdiction, suivant les modalités prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417291&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-27</a>, d'exercer une fonction publique ou d'exercer l'activité professionnelle ou sociale dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise. Toutefois, le maximum de l'interdiction temporaire est porté à dix ans ; </p><p>3° L'interdiction de séjour, selon les modalités prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417303&dateTexte=&categorieLien=cid'>131-31</a>. Toutefois, le maximum de l'interdiction est porté à quinze ans ; </p><p>4° La confiscation de tout ou partie des biens leur appartenant ou, sous réserve des droits du propriétaire de bonne foi, dont elles ont la libre disposition ; </p><p>5° L'interdiction, suivant les modalités prévues par l'article 131-27, soit d'exercer une fonction publique ou d'exercer l'activité professionnelle ou sociale dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise, soit d'exercer une profession commerciale ou industrielle, de diriger, d'administrer, de gérer ou de contrôler à un titre quelconque, directement ou indirectement, pour son propre compte ou pour le compte d'autrui, une entreprise commerciale ou industrielle ou une société commerciale. Ces interdictions d'exercice peuvent être prononcées cumulativement.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000022686524
IG-20231124
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LEGIARTI000025585829
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165395
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Chapitre III : Dispositions communes
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LEGISCTA000006165395
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre Ier : Des crimes contre l'humanité et contre l'espèce humaine &gt; Sous-titre Ier : Des crimes contre l'humanité &gt; Chapitre III : Dispositions communes
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Code pénal, art. 213-3
Code pénal
Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l'article 121-2 , de crimes contre l'humanité encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par l'article 131-38 : 1° Les peines mentionnées à l'article 131-39 ; 2° La confiscation de tout ou partie des biens leur appartenant ou, sous réserve des droits du propriétaire de bonne foi, dont elles ont la libre disposition.
1,332,979,200,000
32,472,144,000,000
213-3
LEGIARTI000025585799
LEGIARTI000006417547
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417202&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 121-2</a>, de crimes contre l'humanité encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417333&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-38 </a>: </p><p>1° Les peines mentionnées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417335&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-39 (V)'>131-39</a> ; </p><p>2° La confiscation de tout ou partie des biens leur appartenant ou, sous réserve des droits du propriétaire de bonne foi, dont elles ont la libre disposition.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000020631012
IG-20231128
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LEGIARTI000025585799
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165395
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Chapitre III : Dispositions communes
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LEGISCTA000006165395
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre Ier : Des crimes contre l'humanité et contre l'espèce humaine &gt; Sous-titre Ier : Des crimes contre l'humanité &gt; Chapitre III : Dispositions communes
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Code pénal, art. 213-4
Code pénal
L'auteur ou le complice d'un crime visé par le présent sous-titre ne peut être exonéré de sa responsabilité du seul fait qu'il a accompli un acte prescrit ou autorisé par des dispositions législatives ou réglementaires ou un acte commandé par l'autorité légitime. Toutefois, la juridiction tient compte de cette circonstance lorsqu'elle détermine la peine et en fixe le montant.
1,091,836,800,000
32,472,144,000,000
213-4
LEGIARTI000006417550
LEGIARTI000006417549
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
171,796
null
null
null
Article
<p></p> L'auteur ou le complice d'un crime visé par le présent sous-titre ne peut être exonéré de sa responsabilité du seul fait qu'il a accompli un acte prescrit ou autorisé par des dispositions législatives ou réglementaires ou un acte commandé par l'autorité légitime. Toutefois, la juridiction tient compte de cette circonstance lorsqu'elle détermine la peine et en fixe le montant.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417549
IG-20231129
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LEGIARTI000006417550
LEGI
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LEGISCTA000006165395
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Chapitre III : Dispositions communes
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LEGISCTA000006165395
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre Ier : Des crimes contre l'humanité et contre l'espèce humaine &gt; Sous-titre Ier : Des crimes contre l'humanité &gt; Chapitre III : Dispositions communes
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Code pénal, art. 213-4-1
Code pénal
Sans préjudice de l'application des dispositions de l'article 121-7, est considéré comme complice d'un crime visé par le présent sous-titre commis par des subordonnés placés sous son autorité et son contrôle effectifs le chef militaire ou la personne qui en faisait fonction, qui savait ou, en raison des circonstances, aurait dû savoir que ces subordonnés commettaient ou allaient commettre ce crime et qui n'a pas pris toutes les mesures nécessaires et raisonnables qui étaient en son pouvoir pour en empêcher ou en réprimer l'exécution ou pour en référer aux autorités compétentes aux fins d'enquête et de poursuites. Sans préjudice de l'application des dispositions de l'article 121-7, est également considéré comme complice d'un crime visé par le présent sous-titre commis par des subordonnés placés sous son autorité et son contrôle effectifs le supérieur hiérarchique, n'exerçant pas la fonction de chef militaire, qui savait que ces subordonnés commettaient ou allaient commettre ce crime ou a délibérément négligé de tenir compte d'informations qui l'indiquaient clairement et qui n'a pas pris toutes les mesures nécessaires et raisonnables qui étaient en son pouvoir pour en empêcher ou en réprimer l'exécution ou pour en référer aux autorités compétentes aux fins d'enquête et de poursuites, alors que ce crime était lié à des activités relevant de sa responsabilité et de son contrôle effectifs.
1,375,833,600,000
32,472,144,000,000
213-4-1
LEGIARTI000027813190
LEGIARTI000022681578
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
193,270
null
null
null
Article
<p>Sans préjudice de l'application des dispositions de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417212&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 121-7,</a> est considéré comme complice d'un crime visé par le présent sous-titre commis par des subordonnés placés sous son autorité et son contrôle effectifs le chef militaire ou la personne qui en faisait fonction, qui savait ou, en raison des circonstances, aurait dû savoir que ces subordonnés commettaient ou allaient commettre ce crime et qui n'a pas pris toutes les mesures nécessaires et raisonnables qui étaient en son pouvoir pour en empêcher ou en réprimer l'exécution ou pour en référer aux autorités compétentes aux fins d'enquête et de poursuites. </p><p>Sans préjudice de l'application des dispositions de l'article 121-7, est également considéré comme complice d'un crime visé par le présent sous-titre commis par des subordonnés placés sous son autorité et son contrôle effectifs le supérieur hiérarchique, n'exerçant pas la fonction de chef militaire, qui savait que ces subordonnés commettaient ou allaient commettre ce crime ou a délibérément négligé de tenir compte d'informations qui l'indiquaient clairement et qui n'a pas pris toutes les mesures nécessaires et raisonnables qui étaient en son pouvoir pour en empêcher ou en réprimer l'exécution ou pour en référer aux autorités compétentes aux fins d'enquête et de poursuites, alors que ce crime était lié à des activités relevant de sa responsabilité et de son contrôle effectifs.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000022686344
IG-20231124
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LEGIARTI000027813190
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006165395
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Chapitre III : Dispositions communes
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LEGISCTA000006165395
null
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre Ier : Des crimes contre l'humanité et contre l'espèce humaine &gt; Sous-titre Ier : Des crimes contre l'humanité &gt; Chapitre III : Dispositions communes
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Code pénal, art. 214-1
Code pénal
Le fait de mettre en oeuvre une pratique eugénique tendant à l'organisation de la sélection des personnes est puni de trente ans de réclusion criminelle et de 7 500 000 euros d'amende.
1,091,836,800,000
32,472,144,000,000
214-1
LEGIARTI000006417553
LEGIARTI000006417553
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
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null
null
Article
<p>Le fait de mettre en oeuvre une pratique eugénique tendant à l'organisation de la sélection des personnes est puni de trente ans de réclusion criminelle et de 7 500 000 euros d'amende.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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MD-20240513_190432_640_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006417553
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165274
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Chapitre Ier : Des crimes d'eugénisme et de clonage reproductif
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LEGISCTA000006165274
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre Ier : Des crimes contre l'humanité et contre l'espèce humaine &gt; Sous-titre II : Des crimes contre l'espèce humaine &gt; Chapitre Ier : Des crimes d'eugénisme et de clonage reproductif
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Code pénal, art. 214-2
Code pénal
Le fait de procéder à une intervention ayant pour but de faire naître un enfant génétiquement identique à une autre personne vivante ou décédée est puni de trente ans de réclusion criminelle et de 7 500 000 euros d'amende.
1,091,836,800,000
32,472,144,000,000
214-2
LEGIARTI000006417554
LEGIARTI000006417554
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
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null
Article
<p>Le fait de procéder à une intervention ayant pour but de faire naître un enfant génétiquement identique à une autre personne vivante ou décédée est puni de trente ans de réclusion criminelle et de 7 500 000 euros d'amende.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006417554
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165274
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Chapitre Ier : Des crimes d'eugénisme et de clonage reproductif
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LEGISCTA000006165274
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre Ier : Des crimes contre l'humanité et contre l'espèce humaine &gt; Sous-titre II : Des crimes contre l'espèce humaine &gt; Chapitre Ier : Des crimes d'eugénisme et de clonage reproductif
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Code pénal, art. 214-3
Code pénal
Les infractions prévues par les articles 214-1 et 214-2 sont punies de la réclusion criminelle à perpétuité et de 7 500 000 euros d'amende lorsqu'elles sont commises en bande organisée. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues par le présent article.
1,091,836,800,000
32,472,144,000,000
214-3
LEGIARTI000006417555
LEGIARTI000006417555
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
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Article
<p>Les infractions prévues par les <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417553&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 214-1 (V)'>articles 214-1 et 214-2 </a>sont punies de la réclusion criminelle à perpétuité et de 7 500 000 euros d'amende lorsqu'elles sont commises en bande organisée. </p><p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-23 (V)'>l'article 132-23</a> relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues par le présent article.</p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006417555
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165274
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Chapitre Ier : Des crimes d'eugénisme et de clonage reproductif
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LEGISCTA000006165274
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre Ier : Des crimes contre l'humanité et contre l'espèce humaine &gt; Sous-titre II : Des crimes contre l'espèce humaine &gt; Chapitre Ier : Des crimes d'eugénisme et de clonage reproductif
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Code pénal, art. 214-4
Code pénal
La participation à un groupement formé ou à une entente établie en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, de l'un des crimes définis par les articles 214-1 et 214-2 est punie de la réclusion criminelle à perpétuité et de 7 500 000 euros d'amende. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues par le présent article.
1,091,836,800,000
32,472,144,000,000
214-4
LEGIARTI000006417556
LEGIARTI000006417556
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
null
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null
Article
<p>La participation à un groupement formé ou à une entente établie en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, de l'un des crimes définis par les <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417553&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 214-1 (V)'>articles 214-1 et 214-2 </a>est punie de la réclusion criminelle à perpétuité et de 7 500 000 euros d'amende. </p><p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-23 (V)'>l'article 132-23</a> relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues par le présent article.</p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006417556
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165274
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Chapitre Ier : Des crimes d'eugénisme et de clonage reproductif
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LEGISCTA000006165274
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre Ier : Des crimes contre l'humanité et contre l'espèce humaine &gt; Sous-titre II : Des crimes contre l'espèce humaine &gt; Chapitre Ier : Des crimes d'eugénisme et de clonage reproductif
null
Code pénal, art. 215-1
Code pénal
Les personnes physiques coupables des infractions prévues par le présent sous-titre encourent également les peines suivantes : 1° L'interdiction des droits civiques, civils et de famille, selon les modalités prévues à l'article 131-26 ; 2° L'interdiction d'exercer une fonction publique, selon les modalités prévues par l'article 131-27 ; 3° L'interdiction de séjour, selon les modalités prévues par l'article 131-31 ; 4° La confiscation de tout ou partie des biens leur appartenant ou, sous réserve des droits du propriétaire de bonne foi, dont elles ont la libre disposition, meubles ou immeubles, divis ou indivis ; 5° La confiscation du matériel qui a servi à commettre l'infraction ; 6° L'interdiction, suivant les modalités prévues par l'article 131-27, soit d'exercer une fonction publique ainsi que l'activité de prestataire de formation professionnelle continue au sens de l'article L. 6313-1 du code du travail pour une durée de cinq ans, ou d'exercer l'activité professionnelle ou sociale dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise, soit d'exercer une profession commerciale ou industrielle, de diriger, d'administrer, de gérer ou de contrôler à un titre quelconque, directement ou indirectement, pour son propre compte ou pour le compte d'autrui, une entreprise commerciale ou industrielle ou une société commerciale. Ces interdictions d'exercice peuvent être prononcées cumulativement.
1,332,979,200,000
32,472,144,000,000
215-1
LEGIARTI000025585823
LEGIARTI000006417557
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Les personnes physiques coupables des infractions prévues par le présent sous-titre encourent également les peines suivantes : </p><p>1° L'interdiction des droits civiques, civils et de famille, selon les modalités prévues à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417290&dateTexte=&categorieLien=cid'>131-26 </a>; </p><p>2° L'interdiction d'exercer une fonction publique, selon les modalités prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417291&dateTexte=&categorieLien=cid'>131-27 </a>; </p><p>3° L'interdiction de séjour, selon les modalités prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417303&dateTexte=&categorieLien=cid'>131-31 </a>; </p><p>4° La confiscation de tout ou partie des biens leur appartenant ou, sous réserve des droits du propriétaire de bonne foi, dont elles ont la libre disposition, meubles ou immeubles, divis ou indivis ; </p><p>5° La confiscation du matériel qui a servi à commettre l'infraction ; </p><p>6° L'interdiction, suivant les modalités prévues par l'article 131-27, soit d'exercer une fonction publique ainsi que l'activité de prestataire de formation professionnelle continue au sens de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006904130&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 6313-1</a> du code du travail pour une durée de cinq ans, ou d'exercer l'activité professionnelle ou sociale dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise, soit d'exercer une profession commerciale ou industrielle, de diriger, d'administrer, de gérer ou de contrôler à un titre quelconque, directement ou indirectement, pour son propre compte ou pour le compte d'autrui, une entreprise commerciale ou industrielle ou une société commerciale. Ces interdictions d'exercice peuvent être prononcées cumulativement.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000021342981
IG-20231128
null
LEGIARTI000025585823
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165275
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Chapitre II : Dispositions communes
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LEGISCTA000006165275
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre Ier : Des crimes contre l'humanité et contre l'espèce humaine &gt; Sous-titre II : Des crimes contre l'espèce humaine &gt; Chapitre II : Dispositions communes
null
Code pénal, art. 215-3
Code pénal
Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l'article 121-2 , des infractions définies au présent sous-titre encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par l'article 131-38 : 1° (Abrogé) ; 2° Les peines mentionnées à l'article 131-39 ; 3° La confiscation de tout ou partie des biens leur appartenant ou, sous réserve des droits du propriétaire de bonne foi, dont elles ont la libre disposition, meubles ou immeubles, divis ou indivis ; 4° L'interdiction d'exercer une fonction de prestataire de formation professionnelle continue au sens de l'article L. 6313-1 du code du travail pour une durée de cinq ans.
1,332,979,200,000
32,472,144,000,000
215-3
LEGIARTI000025585793
LEGIARTI000006417559
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
128,847
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null
Article
<p>Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417202&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 121-2</a>, des infractions définies au présent sous-titre encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417333&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-38 </a>: </p><p>1° (Abrogé) ; </p><p>2° Les peines mentionnées à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417335&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-39</a> ; </p><p>3° La confiscation de tout ou partie des biens leur appartenant ou, sous réserve des droits du propriétaire de bonne foi, dont elles ont la libre disposition, meubles ou immeubles, divis ou indivis ; </p><p>4° L'interdiction d'exercer une fonction de prestataire de formation professionnelle continue au sens de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006904130&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 6313-1 </a>du code du travail pour une durée de cinq ans.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000021342975
IG-20231124
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LEGIARTI000025585793
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165275
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Chapitre II : Dispositions communes
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null
LEGISCTA000006165275
null
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null
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null
Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre Ier : Des crimes contre l'humanité et contre l'espèce humaine &gt; Sous-titre II : Des crimes contre l'espèce humaine &gt; Chapitre II : Dispositions communes
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Code pénal, art. 221-1
Code pénal
Le fait de donner volontairement la mort à autrui constitue un meurtre. Il est puni de trente ans de réclusion criminelle.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
221-1
LEGIARTI000006417561
LEGIARTI000006417561
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Le fait de donner volontairement la mort à autrui constitue un meurtre. Il est puni de trente ans de réclusion criminelle.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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MD-20240531_190744_753_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006417561
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165276
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Section 1 : Des atteintes volontaires à la vie
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null
LEGISCTA000006165276
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à la vie
null
Code pénal, art. 221-2
Code pénal
Le meurtre qui précède, accompagne ou suit un autre crime est puni de la réclusion criminelle à perpétuité. Le meurtre qui a pour objet soit de préparer ou de faciliter un délit, soit de favoriser la fuite ou d'assurer l'impunité de l'auteur ou du complice d'un délit est puni de la réclusion criminelle à perpétuité. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues par le présent article.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
221-2
LEGIARTI000006417562
LEGIARTI000006417562
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p>Le meurtre qui précède, accompagne ou suit un autre crime est puni de la réclusion criminelle à perpétuité. <p></p><p></p>Le meurtre qui a pour objet soit de préparer ou de faciliter un délit, soit de favoriser la fuite ou d'assurer l'impunité de l'auteur ou du complice d'un délit est puni de la réclusion criminelle à perpétuité. <p></p><p></p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-23 (V)'>l'article 132-23</a> relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues par le présent article.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417562
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165276
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false
Section 1 : Des atteintes volontaires à la vie
null
null
LEGISCTA000006165276
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à la vie
null
Code pénal, art. 221-3
Code pénal
Le meurtre commis avec préméditation ou guet-apens constitue un assassinat. Il est puni de la réclusion criminelle à perpétuité. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables à l'infraction prévue par le présent article. Toutefois, lorsque la victime est un mineur de quinze ans et que l'assassinat est précédé ou accompagné d'un viol, de tortures ou d'actes de barbarie ou lorsque l'assassinat a été commis sur un magistrat, un fonctionnaire de la police nationale, un militaire de la gendarmerie, un membre du personnel de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, à l'occasion de l'exercice ou en raison de ses fonctions, la cour d'assises peut, par décision spéciale, soit porter la période de sûreté jusqu'à trente ans, soit, si elle prononce la réclusion criminelle à perpétuité, décider qu'aucune des mesures énumérées à l'article 132-23 ne pourra être accordée au condamné ; en cas de commutation de la peine, et sauf si le décret de grâce en dispose autrement, la période de sûreté est alors égale à la durée de la peine résultant de la mesure de grâce.
1,305,763,200,000
32,472,144,000,000
221-3
LEGIARTI000024041189
LEGIARTI000006417563
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
171,796
null
null
null
Article
<p>Le meurtre commis avec préméditation ou guet-apens constitue un assassinat. Il est puni de la réclusion criminelle à perpétuité. </p><p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 132-23</a> relatif à la période de sûreté sont applicables à l'infraction prévue par le présent article. Toutefois, lorsque la victime est un mineur de quinze ans et que l'assassinat est précédé ou accompagné d'un viol, de tortures ou d'actes de barbarie ou lorsque l'assassinat a été commis sur un magistrat, un fonctionnaire de la police nationale, un militaire de la gendarmerie, un membre du personnel de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, à l'occasion de l'exercice ou en raison de ses fonctions, la cour d'assises peut, par décision spéciale, soit porter la période de sûreté jusqu'à trente ans, soit, si elle prononce la réclusion criminelle à perpétuité, décider qu'aucune des mesures énumérées à l'article 132-23 ne pourra être accordée au condamné ; en cas de commutation de la peine, et sauf si le décret de grâce en dispose autrement, la période de sûreté est alors égale à la durée de la peine résultant de la mesure de grâce.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000023713250
IG-20231129
null
LEGIARTI000024041189
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165276
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Section 1 : Des atteintes volontaires à la vie
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LEGISCTA000006165276
null
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null
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à la vie
null
Code pénal, art. 221-4
Code pénal
Le meurtre est puni de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu'il est commis : 1° Sur un mineur de quinze ans ; 2° Sur un ascendant légitime ou naturel ou sur les père ou mère adoptifs ; 3° Sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur ; 3° bis Sur une personne dont l'état de sujétion psychologique ou physique, au sens de l'article 223-15-3, est connu de son auteur ; 4° Sur un magistrat, un juré, un avocat, un officier public ou ministériel, un militaire de la gendarmerie nationale, un fonctionnaire de la police nationale, des douanes, de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, un sapeur-pompier ou un marin-pompier, un gardien assermenté d'immeubles ou de groupes d'immeubles ou un agent exerçant pour le compte d'un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles à usage d'habitation en application de l'article L. 271-1 du code de la sécurité intérieure, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° bis Sur un enseignant ou tout membre des personnels travaillant dans les établissements d'enseignement scolaire, sur un agent d'un exploitant de réseau de transport public de voyageurs ou toute personne chargée d'une mission de service public, ainsi que sur un professionnel de santé, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° ter Sur le conjoint, les ascendants ou les descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement au domicile des personnes mentionnées aux 4° et 4° bis, en raison des fonctions exercées par ces dernières ; 5° Sur un témoin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empêcher de dénoncer les faits, de porter plainte ou de déposer en justice, soit en raison de sa dénonciation, de sa plainte ou de sa déposition ; 6° et 7° (abrogés) 8° Par plusieurs personnes agissant en bande organisée ; 9° Par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ; 10° Contre une personne en raison de son refus de contracter un mariage ou de conclure une union ; 11° Par une personne agissant en état d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupéfiants. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues par le présent article. Toutefois, lorsque la victime est un mineur de quinze ans et que le meurtre est précédé ou accompagné d'un viol, de tortures ou d'actes de barbarie ou lorsque le meurtre a été commis sur un magistrat, un fonctionnaire de la police nationale, un militaire de la gendarmerie, un membre du personnel de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, à l'occasion de l'exercice ou en raison de ses fonctions, la cour d'assises peut, par décision spéciale, soit porter la période de sûreté jusqu'à trente ans, soit, si elle prononce la réclusion criminelle à perpétuité, décider qu'aucune des mesures énumérées à l'article 132-23 ne pourra être accordée au condamné ; en cas de commutation de la peine, et sauf si le décret de grâce en dispose autrement, la période de sûreté est alors égale à la durée de la peine résultant de la mesure de grâce.
1,715,472,000,000
32,472,144,000,000
221-4
LEGIARTI000049531896
LEGIARTI000006417565
AUTONOME
VIGUEUR
18.0
472,439
null
null
null
Article
<p>Le meurtre est puni de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu'il est commis :</p><p>1° Sur un mineur de quinze ans ;</p><p>2° Sur un ascendant légitime ou naturel ou sur les père ou mère adoptifs ;</p><p>3° Sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur ;</p><p>3° bis Sur une personne dont l'état de sujétion psychologique ou physique, au sens de l'article 223-15-3, est connu de son auteur ;</p><p>4° Sur un magistrat, un juré, un avocat, un officier public ou ministériel, un militaire de la gendarmerie nationale, un fonctionnaire de la police nationale, des douanes, de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, un sapeur-pompier ou un marin-pompier, un gardien assermenté d'immeubles ou de groupes d'immeubles ou un agent exerçant pour le compte d'un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles à usage d'habitation en application de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idArticle=LEGIARTI000025505484&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 271-1</a> du code de la sécurité intérieure, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ;</p><p>4° bis Sur un enseignant ou tout membre des personnels travaillant dans les établissements d'enseignement scolaire, sur un agent d'un exploitant de réseau de transport public de voyageurs ou toute personne chargée d'une mission de service public, ainsi que sur un professionnel de santé, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ;</p><p>4° ter Sur le conjoint, les ascendants ou les descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement au domicile des personnes mentionnées aux 4° et 4° bis, en raison des fonctions exercées par ces dernières ;</p><p>5° Sur un témoin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empêcher de dénoncer les faits, de porter plainte ou de déposer en justice, soit en raison de sa dénonciation, de sa plainte ou de sa déposition ;</p><p>6° et 7° (abrogés)</p><p>8° Par plusieurs personnes agissant en bande organisée ;</p><p>9° Par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ;</p><p>10° Contre une personne en raison de son refus de contracter un mariage ou de conclure une union ;</p><p>11° Par une personne agissant en état d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupéfiants.</p><p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 132-23 </a>relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues par le présent article. Toutefois, lorsque la victime est un mineur de quinze ans et que le meurtre est précédé ou accompagné d'un viol, de tortures ou d'actes de barbarie ou lorsque le meurtre a été commis sur un magistrat, un fonctionnaire de la police nationale, un militaire de la gendarmerie, un membre du personnel de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, à l'occasion de l'exercice ou en raison de ses fonctions, la cour d'assises peut, par décision spéciale, soit porter la période de sûreté jusqu'à trente ans, soit, si elle prononce la réclusion criminelle à perpétuité, décider qu'aucune des mesures énumérées à l'article 132-23 ne pourra être accordée au condamné ; en cas de commutation de la peine, et sauf si le décret de grâce en dispose autrement, la période de sûreté est alors égale à la durée de la peine résultant de la mesure de grâce.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000045071040
MD-20240726_185357_601_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049531896
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165276
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Section 1 : Des atteintes volontaires à la vie
null
null
LEGISCTA000006165276
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à la vie
null
Code pénal, art. 221-5
Code pénal
Le fait d'attenter à la vie d'autrui par l'emploi ou l'administration de substances de nature à entraîner la mort constitue un empoisonnement. L'empoisonnement est puni de trente ans de réclusion criminelle. Il est puni de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu'il est commis dans l'une des circonstances prévues aux articles 221-2, 221-3 et 221-4 . Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables à l'infraction prévue par le présent article.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
221-5
LEGIARTI000006417573
LEGIARTI000006417573
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
558,337
null
null
null
Article
<p>Le fait d'attenter à la vie d'autrui par l'emploi ou l'administration de substances de nature à entraîner la mort constitue un empoisonnement. </p><p>L'empoisonnement est puni de trente ans de réclusion criminelle. </p><p>Il est puni de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu'il est commis dans l'une des circonstances prévues aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417562&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 221-2 (V)'>articles 221-2, 221-3 et 221-4</a>. </p><p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-23 (V)'>l'article 132-23</a> relatif à la période de sûreté sont applicables à l'infraction prévue par le présent article.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417573
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006165276
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Section 1 : Des atteintes volontaires à la vie
null
null
LEGISCTA000006165276
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à la vie
null
Code pénal, art. 221-5-1
Code pénal
Le fait de faire à une personne des offres ou des promesses ou de lui proposer des dons, présents ou avantages quelconques afin qu'elle commette, y compris hors du territoire national, un assassinat ou un empoisonnement est puni, lorsque ce crime n'a été ni commis ni tenté, de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende.
1,596,240,000,000
32,472,144,000,000
221-5-1
LEGIARTI000042193617
LEGIARTI000006417574
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
644,235
null
null
null
Article
<p>Le fait de faire à une personne des offres ou des promesses ou de lui proposer des dons, présents ou avantages quelconques afin qu'elle commette, y compris hors du territoire national, un assassinat ou un empoisonnement est puni, lorsque ce crime n'a été ni commis ni tenté, de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417575
IG-20231129
null
LEGIARTI000042193617
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165276
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Section 1 : Des atteintes volontaires à la vie
null
null
LEGISCTA000006165276
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à la vie
null
Code pénal, art. 221-5-2
Code pénal
Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l'article 121-2 , des infractions définies à la présente section encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par l'article 131-38 , les peines prévues par l'article 131-39. L'interdiction mentionnée au 2° de l'article 131-39 porte sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise.
1,242,259,200,000
32,472,144,000,000
221-5-2
LEGIARTI000020631002
LEGIARTI000006417576
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
687,184
null
null
null
Article
<p>Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417202&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 121-2 (V)'>l'article 121-2</a>, des infractions définies à la présente section encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417333&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-38 (V)'>l'article 131-38</a>, les peines prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417335&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-39 (V)'>l'article 131-39.</a></p><p>L'interdiction mentionnée au 2° de l'article 131-39 porte sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417576
IG-20231124
null
LEGIARTI000020631002
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006165276
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Section 1 : Des atteintes volontaires à la vie
null
null
LEGISCTA000006165276
null
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null
null
null
Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à la vie
null
Code pénal, art. 221-5-3
Code pénal
Toute personne qui a tenté de commettre les crimes d'assassinat ou d'empoisonnement est exempte de peine si, ayant averti l'autorité administrative ou judiciaire, elle a permis d'éviter la mort de la victime et d'identifier, le cas échéant, les autres auteurs ou complices. La peine privative de liberté encourue par l'auteur ou le complice d'un empoisonnement est ramenée à vingt ans de réclusion criminelle si, ayant averti l'autorité administrative ou judiciaire, il a permis d'éviter la mort de la victime et d'identifier, le cas échéant, les autres auteurs ou complices.
1,078,876,800,000
32,472,144,000,000
221-5-3
LEGIARTI000006417577
LEGIARTI000006417577
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
730,133
null
null
null
Article
<p></p> Toute personne qui a tenté de commettre les crimes d'assassinat ou d'empoisonnement est exempte de peine si, ayant averti l'autorité administrative ou judiciaire, elle a permis d'éviter la mort de la victime et d'identifier, le cas échéant, les autres auteurs ou complices.<p></p><p></p> La peine privative de liberté encourue par l'auteur ou le complice d'un empoisonnement est ramenée à vingt ans de réclusion criminelle si, ayant averti l'autorité administrative ou judiciaire, il a permis d'éviter la mort de la victime et d'identifier, le cas échéant, les autres auteurs ou complices.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006417577
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006165276
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Section 1 : Des atteintes volontaires à la vie
null
null
LEGISCTA000006165276
null
null
null
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null
Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à la vie
null
Code pénal, art. 221-5-4
Code pénal
Dans le cas où le crime prévu par le 10° de l'article 221-4 est commis à l'étranger à l'encontre d'une personne résidant habituellement sur le territoire français, la loi française est applicable par dérogation aux dispositions de l'article 113-7 .
1,278,806,400,000
32,472,144,000,000
221-5-4
LEGIARTI000022469917
LEGIARTI000022467049
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,074,106,890
null
null
null
Article
Dans le cas où le crime prévu par le 10° de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417565&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 221-4 </a>est commis à l'étranger à l'encontre d'une personne résidant habituellement sur le territoire français, la loi française est applicable par dérogation aux dispositions de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417192&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 113-7</a>.
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000022469917
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165276
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Section 1 : Des atteintes volontaires à la vie
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LEGISCTA000006165276
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à la vie
null
Code pénal, art. 221-5-6
Code pénal
Est puni de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende le fait pour une personne d'avoir consommé volontairement, de façon illicite ou manifestement excessive, des substances psychoactives en ayant connaissance du fait que cette consommation est susceptible de la conduire à mettre délibérément autrui en danger, lorsque cette consommation a entraîné un trouble psychique ou neuropsychique temporaire sous l'empire duquel elle a commis un homicide volontaire dont elle est déclarée pénalement irresponsable en application du premier alinéa de l'article 122-1 . Si l'infraction prévue au premier alinéa du présent article a été commise par une personne qui a été précédemment déclarée pénalement irresponsable d'un homicide volontaire en application du premier alinéa de l'article 122-1 en raison d'une abolition de son discernement ou du contrôle de ses actes résultant d'un trouble psychique ou neuropsychique temporaire provoqué par la même consommation volontaire de substances psychoactives, la peine est portée à quinze ans de réclusion criminelle. Dans les cas prévus au présent alinéa, les articles 132-8 et 132-9 ne sont pas applicables.
1,643,155,200,000
32,472,144,000,000
221-5-6
LEGIARTI000045068750
LEGIARTI000045068750
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>Est puni de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende le fait pour une personne d'avoir consommé volontairement, de façon illicite ou manifestement excessive, des substances psychoactives en ayant connaissance du fait que cette consommation est susceptible de la conduire à mettre délibérément autrui en danger, lorsque cette consommation a entraîné un trouble psychique ou neuropsychique temporaire sous l'empire duquel elle a commis un homicide volontaire dont elle est déclarée pénalement irresponsable en application du premier alinéa de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417213&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 122-1 (V)'>122-1</a>. <br/><br/>Si l'infraction prévue au premier alinéa du présent article a été commise par une personne qui a été précédemment déclarée pénalement irresponsable d'un homicide volontaire en application du premier alinéa de l'article 122-1 en raison d'une abolition de son discernement ou du contrôle de ses actes résultant d'un trouble psychique ou neuropsychique temporaire provoqué par la même consommation volontaire de substances psychoactives, la peine est portée à quinze ans de réclusion criminelle. Dans les cas prévus au présent alinéa, les articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417365&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-8 (V)'>132-8 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417366&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-9 (V)'>132-9</a> ne sont pas applicables.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000045068750
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000045068748
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false
Section 1 bis : De l'atteinte à la vie résultant d'une intoxication volontaire
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null
LEGISCTA000045068748
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 1 bis : De l'atteinte à la vie résultant d'une intoxication volontaire
null
Code pénal, art. 221-6
Code pénal
Le fait de causer, dans les conditions et selon les distinctions prévues à l' article 121-3 , par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement, la mort d'autrui constitue un homicide involontaire puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende. En cas de violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement, les peines encourues sont portées à cinq ans d'emprisonnement et à 75 000 euros d'amende.
1,305,763,200,000
32,472,144,000,000
221-6
LEGIARTI000024042647
LEGIARTI000006417578
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Le fait de causer, dans les conditions et selon les distinctions prévues à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417206&dateTexte=&categorieLien=cid'>article 121-3</a>, par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement, la mort d'autrui constitue un homicide involontaire puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende. </p><p>En cas de violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité imposée par la loi ou le règlement, les peines encourues sont portées à cinq ans d'emprisonnement et à 75 000 euros d'amende.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417580
MD-20240720_184103_654_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000024042647
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165277
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Section 2 : Des atteintes involontaires à la vie
null
null
LEGISCTA000006165277
null
null
null
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 2 : Des atteintes involontaires à la vie
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Code pénal, art. 221-6-1
Code pénal
Lorsque la maladresse, l'imprudence, l'inattention, la négligence ou le manquement à une obligation législative ou réglementaire de prudence ou de sécurité prévu par l' article 221-6 est commis par le conducteur d'un véhicule terrestre à moteur, l'homicide involontaire est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 euros d'amende lorsque : 1° Le conducteur a commis une violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement autre que celles mentionnées ci-après ; 2° Le conducteur se trouvait en état d'ivresse manifeste ou était sous l'empire d'un état alcoolique caractérisé par une concentration d'alcool dans le sang ou dans l'air expiré égale ou supérieure aux taux fixés par les dispositions législatives ou réglementaires du code de la route, ou a refusé de se soumettre aux vérifications prévues par ce code et destinées à établir l'existence d'un état alcoolique ; 3° Il résulte d'une analyse sanguine ou salivaire que le conducteur avait fait usage de substances ou de plantes classées comme stupéfiants, ou a refusé de se soumettre aux vérifications prévues par le code de la route destinées à établir s'il conduisait en ayant fait usage de stupéfiants ; 4° Le conducteur n'était pas titulaire du permis de conduire exigé par la loi ou le règlement ou son permis avait été annulé, invalidé, suspendu ou retenu ; 5° Le conducteur a commis un dépassement de la vitesse maximale autorisée égal ou supérieur à 50 km/h ; 6° Le conducteur, sachant qu'il vient de causer ou d'occasionner un accident, ne s'est pas arrêté et a tenté ainsi d'échapper à la responsabilité pénale ou civile qu'il peut encourir. Les peines sont portées à dix ans d'emprisonnement et à 150 000 euros d'amende lorsque l'homicide involontaire a été commis avec deux ou plus des circonstances mentionnées aux 1° et suivants du présent article.
1,453,939,200,000
32,472,144,000,000
221-6-1
LEGIARTI000031927877
LEGIARTI000006417582
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
171,796
null
null
null
Article
<p>Lorsque la maladresse, l'imprudence, l'inattention, la négligence ou le manquement à une obligation législative ou réglementaire de prudence ou de sécurité prévu par l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417578&dateTexte=&categorieLien=cid'>article 221-6</a> est commis par le conducteur d'un véhicule terrestre à moteur, l'homicide involontaire est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. </p><p>Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 euros d'amende lorsque : </p><p>1° Le conducteur a commis une violation manifestement délibérée d'une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement autre que celles mentionnées ci-après ; </p><p>2° Le conducteur se trouvait en état d'ivresse manifeste ou était sous l'empire d'un état alcoolique caractérisé par une concentration d'alcool dans le sang ou dans l'air expiré égale ou supérieure aux taux fixés par les dispositions législatives ou réglementaires du code de la route, ou a refusé de se soumettre aux vérifications prévues par ce code et destinées à établir l'existence d'un état alcoolique ; </p><p>3° Il résulte d'une analyse sanguine ou salivaire que le conducteur avait fait usage de substances ou de plantes classées comme stupéfiants, ou a refusé de se soumettre aux vérifications prévues par le code de la route destinées à établir s'il conduisait en ayant fait usage de stupéfiants ; </p><p>4° Le conducteur n'était pas titulaire du permis de conduire exigé par la loi ou le règlement ou son permis avait été annulé, invalidé, suspendu ou retenu ; </p><p>5° Le conducteur a commis un dépassement de la vitesse maximale autorisée égal ou supérieur à 50 km/h ; </p><p>6° Le conducteur, sachant qu'il vient de causer ou d'occasionner un accident, ne s'est pas arrêté et a tenté ainsi d'échapper à la responsabilité pénale ou civile qu'il peut encourir. </p><p>Les peines sont portées à dix ans d'emprisonnement et à 150 000 euros d'amende lorsque l'homicide involontaire a été commis avec deux ou plus des circonstances mentionnées aux 1° et suivants du présent article.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000024042659
MD-20240318_201235_499_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000031927877
LEGI
32,472,144,000,000
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null
LEGISCTA000006165277
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Section 2 : Des atteintes involontaires à la vie
null
null
LEGISCTA000006165277
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 2 : Des atteintes involontaires à la vie
null
Code pénal, art. 221-6-2
Code pénal
Lorsque l'homicide involontaire prévu par l'article 221-6 résulte de l'agression commise par un chien, le propriétaire ou celui qui détient le chien au moment des faits est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 euros d'amende lorsque : 1° La propriété ou la détention du chien est illicite en application de dispositions législatives ou réglementaires ou d'une décision judiciaire ou administrative ; 2° Le propriétaire ou le détenteur du chien se trouvait en état d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupéfiants ; 3° Le propriétaire ou le détenteur du chien n'avait pas exécuté les mesures prescrites par le maire, conformément à l'article L. 211-11 du code rural et de la pêche maritime, pour prévenir le danger présenté par l'animal ; 4° Le propriétaire ou le détenteur du chien n'était pas titulaire du permis de détention prévu à l'article L. 211-14 du code rural et de la pêche maritime ; 5° Le propriétaire ou le détenteur du chien ne justifie pas d'une vaccination antirabique de son animal en cours de validité lorsqu'elle est obligatoire ; 6° Il s'agissait d'un chien de la première ou de la deuxième catégorie prévues à l'article L. 211-12 du code rural et de la pêche maritime qui n'était pas muselé ou tenu en laisse par une personne majeure conformément aux dispositions prévues au II de l'article L. 211-16 du même code ; 7° Il s'agissait d'un chien ayant fait l'objet de mauvais traitements de la part de son propriétaire ou de son détenteur. Les peines sont portées à dix ans d'emprisonnement et à 150 000 euros d'amende lorsque l'homicide involontaire a été commis avec deux ou plusieurs des circonstances mentionnées aux 1° et suivants du présent article.
1,273,276,800,000
32,472,144,000,000
221-6-2
LEGIARTI000022264669
LEGIARTI000019062622
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
193,270
null
null
null
Article
<p>Lorsque l'homicide involontaire prévu par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417578&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 221-6 </a>résulte de l'agression commise par un chien, le propriétaire ou celui qui détient le chien au moment des faits est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. </p><p>Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 euros d'amende lorsque : </p><p>1° La propriété ou la détention du chien est illicite en application de dispositions législatives ou réglementaires ou d'une décision judiciaire ou administrative ; </p><p>2° Le propriétaire ou le détenteur du chien se trouvait en état d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupéfiants ; </p><p>3° Le propriétaire ou le détenteur du chien n'avait pas exécuté les mesures prescrites par le maire, conformément à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071367&idArticle=LEGIARTI000006583048&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 211-11 </a>du code rural et de la pêche maritime, pour prévenir le danger présenté par l'animal ; </p><p>4° Le propriétaire ou le détenteur du chien n'était pas titulaire du permis de détention prévu à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071367&idArticle=LEGIARTI000006583053&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 211-14 </a>du code rural et de la pêche maritime ; </p><p>5° Le propriétaire ou le détenteur du chien ne justifie pas d'une vaccination antirabique de son animal en cours de validité lorsqu'elle est obligatoire ; </p><p>6° Il s'agissait d'un chien de la première ou de la deuxième catégorie prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071367&idArticle=LEGIARTI000006583051&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 211-12 </a>du code rural et de la pêche maritime qui n'était pas muselé ou tenu en laisse par une personne majeure conformément aux dispositions prévues au II de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071367&idArticle=LEGIARTI000006583059&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 211-16</a> du même code ; </p><p>7° Il s'agissait d'un chien ayant fait l'objet de mauvais traitements de la part de son propriétaire ou de son détenteur. </p><p>Les peines sont portées à dix ans d'emprisonnement et à 150 000 euros d'amende lorsque l'homicide involontaire a été commis avec deux ou plusieurs des circonstances mentionnées aux 1° et suivants du présent article.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000019065702
IG-20231129
null
LEGIARTI000022264669
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165277
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Section 2 : Des atteintes involontaires à la vie
null
null
LEGISCTA000006165277
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 2 : Des atteintes involontaires à la vie
null
Code pénal, art. 221-7
Code pénal
Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l'article 121-2 , des infractions définies à l'article 221-6 encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par l'article 131-38 , les peines prévues par les 2°, 3°, 8° et 9° de l'article 131-39 . L'interdiction mentionnée au 2° de l'article 131-39 porte sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise. Dans les cas visés au second alinéa de l'article 221-6 , est en outre encourue la peine mentionnée au 4° de l'article 131-39.
1,242,259,200,000
32,472,144,000,000
221-7
LEGIARTI000020630997
LEGIARTI000006417583
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
214,745
null
null
null
Article
<p>Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417202&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 121-2 (V)'>l'article 121-2</a>, des infractions définies à l'article 221-6 encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417333&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-38 (V)'>131-38</a>, les peines prévues par les 2°, 3°, 8° et 9° de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417335&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-39 (V)'>131-39</a>. </p><p>L'interdiction mentionnée au 2° de l'article 131-39 porte sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise. </p><p>Dans les cas visés au second alinéa de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417578&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 221-6 (V)'>221-6</a>, est en outre encourue la peine mentionnée au 4° de l'article 131-39.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417583
IG-20231129
null
LEGIARTI000020630997
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165277
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Section 2 : Des atteintes involontaires à la vie
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null
LEGISCTA000006165277
null
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null
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null
Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 2 : Des atteintes involontaires à la vie
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Code pénal, art. 221-8
Code pénal
I. – Les personnes physiques coupables des infractions prévues au présent chapitre encourent également les peines complémentaires suivantes : 1° L'interdiction, suivant les modalités prévues par l'article 131-27 , soit d'exercer une fonction publique ou d'exercer l'activité professionnelle ou sociale dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise, soit, pour les crimes prévus par les articles 221-1 , 221-2,221-3,221-4 et 221-5 , d'exercer une profession commerciale ou industrielle, de diriger, d'administrer, de gérer ou de contrôler à un titre quelconque, directement ou indirectement, pour son propre compte ou pour le compte d'autrui, une entreprise commerciale ou industrielle ou une société commerciale. Ces interdictions d'exercice peuvent être prononcées cumulativement ; 2° L'interdiction de détenir ou de porter, pour une durée de cinq ans au plus, une arme soumise à autorisation ; 3° La suspension, pour une durée de cinq ans au plus, du permis de conduire, cette suspension pouvant être limitée à la conduite en dehors de l'activité professionnelle ; dans les cas prévus par l'article 221-6-1 , la suspension ne peut pas être assortie du sursis, même partiellement, et ne peut pas être limitée à la conduite en dehors de l'activité professionnelle ; dans les cas prévus par les 1° à 6° et le dernier alinéa de l'article 221-6-1, la durée de cette suspension est de dix ans au plus ; 4° L'annulation du permis de conduire avec interdiction de solliciter la délivrance d'un nouveau permis pendant cinq ans au plus ; 4° bis (abrogé) 5° La confiscation d'une ou de plusieurs armes dont le condamné est propriétaire ou dont il a la libre disposition ; 6° Le retrait du permis de chasser avec interdiction de solliciter la délivrance d'un nouveau permis pendant cinq ans au plus ; 7° Dans les cas prévus par l'article 221-6-1, l'interdiction de conduire certains véhicules terrestres à moteur, y compris ceux pour la conduite desquels le permis de conduire n'est pas exigé, pour une durée de cinq ans au plus ; 8° (abrogé) 9° Dans les cas prévus par l'article 221-6-1, l'immobilisation, pendant une durée d'un an au plus, du véhicule dont le condamné s'est servi pour commettre l'infraction, s'il en est le propriétaire ; 10° Dans les cas prévus par l'article 221-6-1, la confiscation du véhicule dont le condamné s'est servi pour commettre l'infraction, s'il en est le propriétaire ; La confiscation du véhicule est obligatoire dans les cas prévus par les 4° et dernier alinéa de l'article 221-6-1 ainsi que, dans les cas prévus par les 2°, 3° et 5° du même article, en cas de récidive ou si la personne a déjà été définitivement condamnée pour un des délits prévus par les articles L. 221-2, L. 224-16 , L. 234-1 , L. 234-8, L. 235-1 , L. 235-3 ou L. 413-1 du code de la route ou pour la contravention mentionnée à ce même article L. 413-1. La juridiction peut toutefois ne pas prononcer cette peine, par une décision spécialement motivée. 11° Dans les cas prévus par les 2° et dernier alinéa de l'article 221-6-1, l'interdiction, pendant une durée de cinq ans au plus, de conduire un véhicule qui ne soit pas équipé par un professionnel agréé ou par construction d'un dispositif d'anti-démarrage par éthylotest électronique, homologué dans les conditions prévues à l'article L. 234-17 du code de la route. Lorsque cette interdiction est prononcée en même temps que la peine d'annulation ou de suspension du permis de conduire, elle s'applique, pour la durée fixée par la juridiction, à l'issue de l'exécution de cette peine. Toute condamnation pour les délits prévus par les 1° à 6° et le dernier alinéa de l'article 221-6-1 donne lieu de plein droit à l'annulation du permis de conduire avec interdiction de solliciter un nouveau permis pendant dix ans au plus. En cas de récidive, la durée de l'interdiction est portée de plein droit à dix ans et le tribunal peut, par décision spécialement motivée, prévoir que cette interdiction est définitive. II. – En cas de condamnation pour les infractions prévues à la section 1 du présent chapitre, le prononcé des peines complémentaires prévues aux 2°, 5° et 6° du I est obligatoire. La durée des peines prévues aux 2° et 6° du I est portée à quinze ans au plus. Toutefois, la juridiction peut, par une décision spécialement motivée lorsque la condamnation est prononcée par une juridiction correctionnelle, décider de ne pas prononcer ces peines, en considération des circonstances de l'infraction et de la personnalité de son auteur.
1,585,008,000,000
32,472,144,000,000
221-8
LEGIARTI000038313207
LEGIARTI000006417584
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s'exécutent jusqu'à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l'article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l'application des peines.
7.0
42,949
null
null
null
Article
<p>I. – Les personnes physiques coupables des infractions prévues au présent chapitre encourent également les peines complémentaires suivantes :</p><p>1° L'interdiction, suivant les modalités prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417291&dateTexte=&categorieLien=cid'>131-27</a>, soit d'exercer une fonction publique ou d'exercer l'activité professionnelle ou sociale dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise, soit, pour les crimes prévus par les articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417561&dateTexte=&categorieLien=cid'>221-1</a>,<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417562&dateTexte=&categorieLien=cid'>221-2,221-3,221-4 et 221-5</a>, d'exercer une profession commerciale ou industrielle, de diriger, d'administrer, de gérer ou de contrôler à un titre quelconque, directement ou indirectement, pour son propre compte ou pour le compte d'autrui, une entreprise commerciale ou industrielle ou une société commerciale. Ces interdictions d'exercice peuvent être prononcées cumulativement ;</p><p>2° L'interdiction de détenir ou de porter, pour une durée de cinq ans au plus, une arme soumise à autorisation ;</p><p>3° La suspension, pour une durée de cinq ans au plus, du permis de conduire, cette suspension pouvant être limitée à la conduite en dehors de l'activité professionnelle ; dans les cas prévus par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417582&dateTexte=&categorieLien=cid'>221-6-1</a>, la suspension ne peut pas être assortie du sursis, même partiellement, et ne peut pas être limitée à la conduite en dehors de l'activité professionnelle ; dans les cas prévus par les 1° à 6° et le dernier alinéa de l'article 221-6-1, la durée de cette suspension est de dix ans au plus ;</p><p>4° L'annulation du permis de conduire avec interdiction de solliciter la délivrance d'un nouveau permis pendant cinq ans au plus ;</p><p>4° bis (abrogé)</p><p>5° La confiscation d'une ou de plusieurs armes dont le condamné est propriétaire ou dont il a la libre disposition ;</p><p>6° Le retrait du permis de chasser avec interdiction de solliciter la délivrance d'un nouveau permis pendant cinq ans au plus ;</p><p>7° Dans les cas prévus par l'article 221-6-1, l'interdiction de conduire certains véhicules terrestres à moteur, y compris ceux pour la conduite desquels le permis de conduire n'est pas exigé, pour une durée de cinq ans au plus ;</p><p>8° (abrogé)</p><p>9° Dans les cas prévus par l'article 221-6-1, l'immobilisation, pendant une durée d'un an au plus, du véhicule dont le condamné s'est servi pour commettre l'infraction, s'il en est le propriétaire ;</p><p>10° Dans les cas prévus par l'article 221-6-1, la confiscation du véhicule dont le condamné s'est servi pour commettre l'infraction, s'il en est le propriétaire ;</p><p>La confiscation du véhicule est obligatoire dans les cas prévus par les 4° et dernier alinéa de l'article 221-6-1 ainsi que, dans les cas prévus par les 2°, 3° et 5° du même article, en cas de récidive ou si la personne a déjà été définitivement condamnée pour un des délits prévus par les <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&idArticle=LEGIARTI000006840947&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 221-2, </a><a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&idArticle=LEGIARTI000006841001&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 224-16</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&idArticle=LEGIARTI000006841043&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 234-1</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&idArticle=LEGIARTI000006841055&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 234-8, </a><a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&idArticle=LEGIARTI000006841068&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 235-1</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&idArticle=LEGIARTI000006841076&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 235-3 </a>ou <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&idArticle=LEGIARTI000006841237&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 413-1 </a>du code de la route ou pour la contravention mentionnée à ce même article L. 413-1. La juridiction peut toutefois ne pas prononcer cette peine, par une décision spécialement motivée.</p><p>11° Dans les cas prévus par les 2° et dernier alinéa de l'article 221-6-1, l'interdiction, pendant une durée de cinq ans au plus, de conduire un véhicule qui ne soit pas équipé par un professionnel agréé ou par construction d'un dispositif d'anti-démarrage par éthylotest électronique, homologué dans les conditions prévues à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006074228&idArticle=LEGIARTI000023716860&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 234-17</a> du code de la route. Lorsque cette interdiction est prononcée en même temps que la peine d'annulation ou de suspension du permis de conduire, elle s'applique, pour la durée fixée par la juridiction, à l'issue de l'exécution de cette peine.</p><p>Toute condamnation pour les délits prévus par les 1° à 6° et le dernier alinéa de l'article 221-6-1 donne lieu de plein droit à l'annulation du permis de conduire avec interdiction de solliciter un nouveau permis pendant dix ans au plus. En cas de récidive, la durée de l'interdiction est portée de plein droit à dix ans et le tribunal peut, par décision spécialement motivée, prévoir que cette interdiction est définitive.</p><p>II. – En cas de condamnation pour les infractions prévues à la section 1 du présent chapitre, le prononcé des peines complémentaires prévues aux 2°, 5° et 6° du I est obligatoire. La durée des peines prévues aux 2° et 6° du I est portée à quinze ans au plus.</p><p>Toutefois, la juridiction peut, par une décision spécialement motivée lorsque la condamnation est prononcée par une juridiction correctionnelle, décider de ne pas prononcer ces peines, en considération des circonstances de l'infraction et de la personnalité de son auteur.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000025450397
MD-20240318_201239_400_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000038313207
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165278
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Section 3 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
null
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LEGISCTA000006165278
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null
null
null
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 3 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
<p>Conformément au XIX de l’article 109 de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions entrent en vigueur un an après la publication de la présente loi. Les peines de contrainte pénale prononcées avant cette date s'exécutent jusqu'à leur terme conformément aux dispositions applicables au jour de leur prononcé, sous la réserve que les attributions confiées en application de l'article 713-47 du code de procédure pénale au président du tribunal judiciaire ou au juge désigné par lui sont exercées par le juge de l'application des peines.</p>
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Code pénal, art. 221-9
Code pénal
Les personnes physiques coupables des infractions prévues aux sections 1 et 1 bis du présent chapitre encourent également les peines complémentaires suivantes : 1° L'interdiction des droits civiques, civils et de famille, selon les modalités prévues par l'article 131-26 ; 2° L'interdiction d'exercer une fonction publique, selon les modalités prévues par l'article 131-27 ; 3° La confiscation prévue par l'article 131-21 ; 4° L'interdiction de séjour, suivant les modalités prévues par l'article 131-31 .
1,643,155,200,000
32,472,144,000,000
221-9
LEGIARTI000045071064
LEGIARTI000006417587
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
171,796
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null
Article
<p>Les personnes physiques coupables des infractions prévues aux sections 1 et 1 bis du présent chapitre encourent également les peines complémentaires suivantes :</p><p>1° L'interdiction des droits civiques, civils et de famille, selon les modalités prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417290&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-26 </a>;</p><p>2° L'interdiction d'exercer une fonction publique, selon les modalités prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417291&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-27 </a>;</p><p>3° La confiscation prévue par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417273&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-21 </a>;</p><p>4° L'interdiction de séjour, suivant les modalités prévues par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417303&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-31</a>.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417587
IG-20231124
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LEGIARTI000045071064
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165278
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Section 3 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
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LEGISCTA000006165278
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 3 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
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Code pénal, art. 221-9-1
Code pénal
Les personnes physiques coupables des crimes prévus aux sections 1 et 1 bis du présent chapitre encourent également le suivi socio-judiciaire selon les modalités prévues par les articles 131-36-1 à 131-36-13.
1,643,155,200,000
32,472,144,000,000
221-9-1
LEGIARTI000045071057
LEGIARTI000006417588
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
214,745
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null
null
Article
<p>Les personnes physiques coupables des crimes prévus aux sections 1 et 1 bis du présent chapitre encourent également le suivi socio-judiciaire selon les modalités prévues par les <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417314&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles 131-36-1 à 131-36-13.</a></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417589
IG-20231128
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LEGIARTI000045071057
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165278
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Section 3 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
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LEGISCTA000006165278
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 3 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
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Code pénal, art. 221-9-2
Code pénal
Les personnes physiques coupables des crimes prévus à la section 1 du présent chapitre, lorsque ces crimes ont été commis à l'encontre de leur époux assuré, encourent également la peine complémentaire d'interdiction de percevoir la pension due au conjoint survivant ou divorcé en application des dispositions du code de la sécurité sociale ou du code rural et de la pêche maritime. Le prononcé de cette peine est obligatoire. Toutefois, la juridiction peut, par une décision spécialement motivée, décider de ne pas prononcer cette peine, en considération des circonstances de l'infraction et de la personnalité de son auteur.
1,608,076,800,000
32,472,144,000,000
221-9-2
LEGIARTI000042669999
LEGIARTI000042669999
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
null
null
null
Article
<p>Les personnes physiques coupables des crimes prévus à la section 1 du présent chapitre, lorsque ces crimes ont été commis à l'encontre de leur époux assuré, encourent également la peine complémentaire d'interdiction de percevoir la pension due au conjoint survivant ou divorcé en application des dispositions du code de la sécurité sociale ou du code rural et de la pêche maritime.<br/><br/> Le prononcé de cette peine est obligatoire. Toutefois, la juridiction peut, par une décision spécialement motivée, décider de ne pas prononcer cette peine, en considération des circonstances de l'infraction et de la personnalité de son auteur.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000042669999
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006165278
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Section 3 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
null
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LEGISCTA000006165278
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 3 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
null
Code pénal, art. 221-10
Code pénal
Les personnes physiques coupables des infractions prévues par la section 2 du présent chapitre encourent également la peine complémentaire d'affichage ou de diffusion de la décision prévue par l'article 131-35 .
762,480,000,000
32,472,144,000,000
221-10
LEGIARTI000006417590
LEGIARTI000006417590
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
300,643
null
null
null
Article
<p></p>Les personnes physiques coupables des infractions prévues par la section 2 du présent chapitre encourent également la peine complémentaire d'affichage ou de diffusion de la décision prévue par <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417308&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-35 (V)'>l'article 131-35</a>.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006417590
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006165278
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Section 3 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
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LEGISCTA000006165278
null
null
null
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 3 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
null
Code pénal, art. 221-11-1
Code pénal
Dans le cas prévu au 10° de l'article 221-4 , peut être également prononcée l'interdiction, pour une durée de dix ans au plus, de quitter le territoire de la République.
1,375,833,600,000
32,472,144,000,000
221-11-1
LEGIARTI000027809358
LEGIARTI000027809358
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,913,619
null
null
null
Article
Dans le cas prévu au 10° de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417565&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 221-4</a>, peut être également prononcée l'interdiction, pour une durée de dix ans au plus, de quitter le territoire de la République.
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000027809358
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006165278
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Section 3 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
null
null
LEGISCTA000006165278
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier : Des atteintes à la vie de la personne &gt; Section 3 : Peines complémentaires applicables aux personnes physiques
null
Code pénal, art. 221-12
Code pénal
Constitue une disparition forcée l'arrestation, la détention, l'enlèvement ou toute autre forme de privation de liberté d'une personne, dans des conditions la soustrayant à la protection de la loi, par un ou plusieurs agents de l'Etat ou par une personne ou un groupe de personnes agissant avec l'autorisation, l'appui ou l'acquiescement des autorités de l'Etat, lorsque ces agissements sont suivis de sa disparition et accompagnés soit du déni de la reconnaissance de la privation de liberté, soit de la dissimulation du sort qui lui a été réservé ou de l'endroit où elle se trouve. La disparition forcée est punie de la réclusion criminelle à perpétuité. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 , relatifs à la période de sûreté, sont applicables au crime prévu par le présent article.
1,375,833,600,000
32,472,144,000,000
221-12
LEGIARTI000027809193
LEGIARTI000027809193
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
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null
null
Article
<p>Constitue une disparition forcée l'arrestation, la détention, l'enlèvement ou toute autre forme de privation de liberté d'une personne, dans des conditions la soustrayant à la protection de la loi, par un ou plusieurs agents de l'Etat ou par une personne ou un groupe de personnes agissant avec l'autorisation, l'appui ou l'acquiescement des autorités de l'Etat, lorsque ces agissements sont suivis de sa disparition et accompagnés soit du déni de la reconnaissance de la privation de liberté, soit de la dissimulation du sort qui lui a été réservé ou de l'endroit où elle se trouve.</p><p>La disparition forcée est punie de la réclusion criminelle à perpétuité.</p><p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 132-23</a>, relatifs à la période de sûreté, sont applicables au crime prévu par le présent article.</p>
32,472,144,000,000
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MD-20240129_194701_436_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000027809193
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000027809191
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Chapitre Ier bis : Des atteintes à la personne constituées par les disparitions forcées
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LEGISCTA000027809191
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier bis : Des atteintes à la personne constituées par les disparitions forcées
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Code pénal, art. 221-13
Code pénal
Sans préjudice de l'application de l'article 121-7, est considéré comme complice d'un crime de disparition forcée mentionné à l'article 221-12 commis par des subordonnés placés sous son autorité et son contrôle effectifs le supérieur qui savait, ou a délibérément négligé de tenir compte d'informations qui indiquaient clairement que ses subordonnés commettaient ou allaient commettre un crime de disparition forcée et qui n'a pas pris toutes les mesures nécessaires et raisonnables qui étaient en son pouvoir pour en empêcher ou en réprimer l'exécution ou pour en référer aux autorités compétentes aux fins d'enquête et de poursuites, alors que ce crime était lié à des activités relevant de sa responsabilité et de son contrôle effectifs.
1,375,833,600,000
32,472,144,000,000
221-13
LEGIARTI000027809195
LEGIARTI000027809195
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,610,612,735
null
null
null
Article
Sans préjudice de l'application de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417212&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 121-7, </a>est considéré comme complice d'un crime de disparition forcée mentionné à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000027809193&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 221-12</a> commis par des subordonnés placés sous son autorité et son contrôle effectifs le supérieur qui savait, ou a délibérément négligé de tenir compte d'informations qui indiquaient clairement que ses subordonnés commettaient ou allaient commettre un crime de disparition forcée et qui n'a pas pris toutes les mesures nécessaires et raisonnables qui étaient en son pouvoir pour en empêcher ou en réprimer l'exécution ou pour en référer aux autorités compétentes aux fins d'enquête et de poursuites, alors que ce crime était lié à des activités relevant de sa responsabilité et de son contrôle effectifs.<br/><br/>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
null
LEGIARTI000027809195
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000027809191
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Chapitre Ier bis : Des atteintes à la personne constituées par les disparitions forcées
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LEGISCTA000027809191
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier bis : Des atteintes à la personne constituées par les disparitions forcées
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Code pénal, art. 221-14
Code pénal
I. – Les personnes physiques coupables du crime prévu à l'article 221-12 encourent également les peines complémentaires suivantes : 1° L'interdiction des droits civiques, civils et de famille, selon les modalités prévues à l'article 131-26 ; 2° L'interdiction, suivant les modalités prévues à l'article 131-27 , soit d'exercer une fonction publique ou l'activité professionnelle ou sociale dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise, soit d'exercer une profession commerciale ou industrielle, de diriger, d'administrer, de gérer ou de contrôler à un titre quelconque, directement ou indirectement, pour son propre compte ou pour le compte d'autrui, une entreprise commerciale ou industrielle ou une société commerciale. Ces interdictions d'exercice peuvent être prononcées cumulativement ; 3° L'interdiction de séjour, selon les modalités prévues à l'article 131-31 ; 4° La confiscation prévue à l'article 131-21 . II. – En cas de condamnation pour le crime prévu à l'article 221-12, le prononcé des peines complémentaires suivantes est obligatoire : 1° L'interdiction de détenir ou de porter, pour une durée de quinze ans au plus, une arme soumise à autorisation ; 2° La confiscation d'une ou de plusieurs armes dont le condamné est propriétaire ou dont il a la libre disposition. Toutefois, la cour d'assises peut décider de ne pas prononcer ces peines, en considération des circonstances de l'infraction et de la personnalité de son auteur.
1,375,833,600,000
32,472,144,000,000
221-14
LEGIARTI000027809197
LEGIARTI000027809197
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
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null
Article
<p>I. – Les personnes physiques coupables du crime prévu à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000027809193&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 221-12 </a>encourent également les peines complémentaires suivantes :</p><p>1° L'interdiction des droits civiques, civils et de famille, selon les modalités prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417290&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-26 </a>;</p><p>2° L'interdiction, suivant les modalités prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417291&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-27</a>, soit d'exercer une fonction publique ou l'activité professionnelle ou sociale dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise, soit d'exercer une profession commerciale ou industrielle, de diriger, d'administrer, de gérer ou de contrôler à un titre quelconque, directement ou indirectement, pour son propre compte ou pour le compte d'autrui, une entreprise commerciale ou industrielle ou une société commerciale. Ces interdictions d'exercice peuvent être prononcées cumulativement ;</p><p>3° L'interdiction de séjour, selon les modalités prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417303&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-31 </a>;</p><p>4° La confiscation prévue à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417273&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-21</a>.</p><p>II. – En cas de condamnation pour le crime prévu à l'article 221-12, le prononcé des peines complémentaires suivantes est obligatoire :</p><p>1° L'interdiction de détenir ou de porter, pour une durée de quinze ans au plus, une arme soumise à autorisation ;</p><p>2° La confiscation d'une ou de plusieurs armes dont le condamné est propriétaire ou dont il a la libre disposition.</p><p>Toutefois, la cour d'assises peut décider de ne pas prononcer ces peines, en considération des circonstances de l'infraction et de la personnalité de son auteur.</p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000027809197
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000027809191
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Chapitre Ier bis : Des atteintes à la personne constituées par les disparitions forcées
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LEGISCTA000027809191
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier bis : Des atteintes à la personne constituées par les disparitions forcées
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Code pénal, art. 221-15
Code pénal
Les personnes physiques coupables du crime prévu à l'article 221-12 encourent également le suivi socio-judiciaire selon les modalités prévues aux articles 131-36-1 à 131-36-13 .
1,375,833,600,000
32,472,144,000,000
221-15
LEGIARTI000027809199
LEGIARTI000027809199
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,013,265,919
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null
null
Article
Les personnes physiques coupables du crime prévu à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000027809193&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 221-12 </a>encourent également le suivi socio-judiciaire selon les modalités prévues aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417314&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles 131-36-1 à 131-36-13</a>.<br/><br/>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000027809199
LEGI
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LEGISCTA000027809191
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Chapitre Ier bis : Des atteintes à la personne constituées par les disparitions forcées
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LEGISCTA000027809191
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier bis : Des atteintes à la personne constituées par les disparitions forcées
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Code pénal, art. 221-17
Code pénal
Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues à l'article 121-2 , du crime défini à l'article 221-12 encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues à l'article 131-38 , les peines mentionnées à l'article 131-39.
1,375,833,600,000
32,472,144,000,000
221-17
LEGIARTI000027809203
LEGIARTI000027809203
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
2,113,929,215
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Article
Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417202&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 121-2</a>, du crime défini à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000027809193&dateTexte=&categorieLien=cid'>221-12 </a>encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417333&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-38</a>, les peines mentionnées à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417335&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 131-39.</a><br/><br/>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000027809203
LEGI
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LEGISCTA000027809191
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Chapitre Ier bis : Des atteintes à la personne constituées par les disparitions forcées
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LEGISCTA000027809191
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre Ier bis : Des atteintes à la personne constituées par les disparitions forcées
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Code pénal, art. 222-1
Code pénal
Le fait de soumettre une personne à des tortures ou à des actes de barbarie est puni de quinze ans de réclusion criminelle. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables à l'infraction prévue par le présent article.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
222-1
LEGIARTI000006417593
LEGIARTI000006417593
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
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null
null
Article
<p></p>Le fait de soumettre une personne à des tortures ou à des actes de barbarie est puni de quinze ans de réclusion criminelle. <p></p><p></p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-23 (V)'>l'article 132-23</a> relatif à la période de sûreté sont applicables à l'infraction prévue par le présent article.<p></p>
32,472,144,000,000
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MD-20240522_194430_244_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006417593
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006181750
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Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
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LEGISCTA000006181750
null
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null
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
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Code pénal, art. 222-2
Code pénal
L'infraction définie à l'article 222-1 est punie de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu'elle précède, accompagne ou suit un crime autre que le meurtre ou le viol. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables à l'infraction prévue par le présent article.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
222-2
LEGIARTI000006417594
LEGIARTI000006417594
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p>L'infraction définie à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417593&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 222-1 (V)'>l'article 222-1 </a>est punie de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu'elle précède, accompagne ou suit un crime autre que le meurtre ou le viol. <p></p><p></p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-23 (V)'>l'article 132-23</a> relatif à la période de sûreté sont applicables à l'infraction prévue par le présent article.<p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006417594
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006181750
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Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
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LEGISCTA000006181750
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
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Code pénal, art. 222-3
Code pénal
L'infraction définie à l'article 222-1 est punie de vingt ans de réclusion criminelle lorsqu'elle est commise : 1° Sur un mineur de quinze ans ; 2° Sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur ; 2° bis Sur une personne dont l'état de sujétion psychologique ou physique, au sens de l'article 223-15-3, est connu de son auteur ; 3° Sur un ascendant légitime ou naturel ou sur les père ou mère adoptifs ; 4° Sur un magistrat, un juré, un avocat, un officier public ou ministériel, un membre ou un agent de la Cour pénale internationale, un militaire de la gendarmerie nationale, un fonctionnaire de la police nationale, des douanes, de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, un sapeur-pompier ou un marin-pompier, un gardien assermenté d'immeubles ou de groupes d'immeubles ou un agent exerçant pour le compte d'un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles à usage d'habitation en application de de l'article L. 271-1 du code de la sécurité intérieure, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° bis Sur un enseignant ou tout membre des personnels travaillant dans les établissements d'enseignement scolaire, sur un agent d'un exploitant de réseau de transport public de voyageurs ou toute personne chargée d'une mission de service public, ainsi que sur un professionnel de santé, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° ter Sur le conjoint, les ascendants ou les descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement au domicile des personnes mentionnées aux 4° et 4° bis, en raison des fonctions exercées par ces dernières ; 5° Sur un témoin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empêcher de dénoncer les faits, de porter plainte ou de déposer en justice, soit en raison de sa dénonciation ou de sa plainte, soit à cause de sa déposition devant une juridiction nationale ou devant la Cour pénale internationale ; 5° bis et 5° ter (abrogés) 5° quater Sur une personne qui se livre à la prostitution, y compris de façon occasionnelle, si les faits sont commis dans l'exercice de cette activité ; 6° Par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ; 6° bis Contre une personne afin de la contraindre à contracter un mariage ou à conclure une union ou en raison de son refus de contracter ce mariage ou cette union ; 7° Par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ; 8° Par plusieurs personnes agissant en qualité d'auteur ou de complice ; 9° Avec préméditation ou avec guet-apens ; 10° Avec usage ou menace d'une arme ; 11° Par une personne agissant en état d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupéfiants. L'infraction définie à l'article 222-1 est également punie de vingt ans de réclusion criminelle lorsqu'elle est accompagnée d'agressions sexuelles autres que le viol. La peine encourue est portée à trente ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction définie à l'article 222-1 est commise sur un mineur de quinze ans par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues par le présent article.
1,715,472,000,000
32,472,144,000,000
222-3
LEGIARTI000049531887
LEGIARTI000006417595
AUTONOME
VIGUEUR
17.0
214,745
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null
Article
<p>L'infraction définie à l'article 222-1 est punie de vingt ans de réclusion criminelle lorsqu'elle est commise :</p><p>1° Sur un mineur de quinze ans ;</p><p>2° Sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur ;</p><p>2° bis Sur une personne dont l'état de sujétion psychologique ou physique, au sens de l'article 223-15-3, est connu de son auteur ;</p><p>3° Sur un ascendant légitime ou naturel ou sur les père ou mère adoptifs ;</p><p>4° Sur un magistrat, un juré, un avocat, un officier public ou ministériel, un membre ou un agent de la Cour pénale internationale, un militaire de la gendarmerie nationale, un fonctionnaire de la police nationale, des douanes, de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, un sapeur-pompier ou un marin-pompier, un gardien assermenté d'immeubles ou de groupes d'immeubles ou un agent exerçant pour le compte d'un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles à usage d'habitation en application de de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idArticle=LEGIARTI000025505484&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 271-1</a> du code de la sécurité intérieure, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ;</p><p>4° bis Sur un enseignant ou tout membre des personnels travaillant dans les établissements d'enseignement scolaire, sur un agent d'un exploitant de réseau de transport public de voyageurs ou toute personne chargée d'une mission de service public, ainsi que sur un professionnel de santé, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ;</p><p>4° ter Sur le conjoint, les ascendants ou les descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement au domicile des personnes mentionnées aux 4° et 4° bis, en raison des fonctions exercées par ces dernières ;</p><p>5° Sur un témoin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empêcher de dénoncer les faits, de porter plainte ou de déposer en justice, soit en raison de sa dénonciation ou de sa plainte, soit à cause de sa déposition devant une juridiction nationale ou devant la Cour pénale internationale ;</p><p>5° bis et 5° ter (abrogés)</p><p>5° quater Sur une personne qui se livre à la prostitution, y compris de façon occasionnelle, si les faits sont commis dans l'exercice de cette activité ;</p><p>6° Par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ;</p><p>6° bis Contre une personne afin de la contraindre à contracter un mariage ou à conclure une union ou en raison de son refus de contracter ce mariage ou cette union ;</p><p>7° Par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ;</p><p>8° Par plusieurs personnes agissant en qualité d'auteur ou de complice ;</p><p>9° Avec préméditation ou avec guet-apens ;</p><p>10° Avec usage ou menace d'une arme ;</p><p>11° Par une personne agissant en état d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupéfiants.</p><p>L'infraction définie à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417593&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 222-1 </a>est également punie de vingt ans de réclusion criminelle lorsqu'elle est accompagnée d'agressions sexuelles autres que le viol.</p><p>La peine encourue est portée à trente ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction définie à l'article 222-1 est commise sur un mineur de quinze ans par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur.</p><p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 132-23 </a>relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues par le présent article.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000045071031
MD-20240513_190432_640_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049531887
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006181750
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Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
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LEGISCTA000006181750
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
null
Code pénal, art. 222-4
Code pénal
L'infraction définie à l'article 222-1 est punie de trente ans de réclusion criminelle lorsqu'elle est commise en bande organisée ou de manière habituelle sur un mineur de quinze ans ou sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur ou sur une personne dont l'état de sujétion psychologique ou physique, au sens de l'article 223-15-3, est connu de son auteur. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables à l'infraction prévue par le présent article.
1,715,472,000,000
32,472,144,000,000
222-4
LEGIARTI000049531871
LEGIARTI000006417602
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
472,439
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null
Article
<p>L'infraction définie à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417593&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 222-1 </a>est punie de trente ans de réclusion criminelle lorsqu'elle est commise en bande organisée ou de manière habituelle sur un mineur de quinze ans ou sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur ou sur une personne dont l'état de sujétion psychologique ou physique, au sens de l'article 223-15-3, est connu de son auteur.</p><p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 132-23</a> relatif à la période de sûreté sont applicables à l'infraction prévue par le présent article.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417603
MD-20240726_185357_601_BDJQUOT
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LEGI
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LEGISCTA000006181750
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Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
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LEGISCTA000006181750
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
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Code pénal, art. 222-5
Code pénal
L'infraction définie à l'article 222-1 est punie de trente ans de réclusion criminelle lorsqu'elle a entraîné une mutilation ou une infirmité permanente. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables à l'infraction prévue par le présent article.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
222-5
LEGIARTI000006417604
LEGIARTI000006417604
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
515,388
null
null
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Article
<p></p>L'infraction définie à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417593&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 222-1 (V)'>l'article 222-1 </a>est punie de trente ans de réclusion criminelle lorsqu'elle a entraîné une mutilation ou une infirmité permanente. <p></p><p></p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-23 (V)'>l'article 132-23</a> relatif à la période de sûreté sont applicables à l'infraction prévue par le présent article.<p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006417604
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006181750
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Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
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LEGISCTA000006181750
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
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Code pénal, art. 222-6
Code pénal
L'infraction définie à l'article 222-1 est punie de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu'elle a entraîné la mort de la victime sans intention de la donner. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables à l'infraction prévue par le présent article.
762,480,000,000
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222-6
LEGIARTI000006417605
LEGIARTI000006417605
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
558,337
null
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null
Article
<p></p>L'infraction définie à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417593&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 222-1 (V)'>l'article 222-1 </a>est punie de la réclusion criminelle à perpétuité lorsqu'elle a entraîné la mort de la victime sans intention de la donner. <p></p><p></p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-23 (V)'>l'article 132-23</a> relatif à la période de sûreté sont applicables à l'infraction prévue par le présent article.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417605
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006181750
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Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
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LEGISCTA000006181750
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null
null
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
null
Code pénal, art. 222-6-1
Code pénal
Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l 'article 121-2, des infractions définies au présent paragraphe encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par l'article 131-38 , les peines prévues par l'article 131-39 . L'interdiction mentionnée au 2° de l'article 131-39 porte sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise.
1,242,259,200,000
32,472,144,000,000
222-6-1
LEGIARTI000020630991
LEGIARTI000006417606
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
601,286
null
null
null
Article
<p>Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417202&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 121-2 (V)'>'article 121-2, </a>des infractions définies au présent paragraphe encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417333&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-38 (V)'>131-38</a>, les peines prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417335&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-39 (V)'>131-39</a>. </p><p>L'interdiction mentionnée au 2° de l'article 131-39 porte sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417606
IG-20231129
null
LEGIARTI000020630991
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006181750
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Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
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LEGISCTA000006181750
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
null
Code pénal, art. 222-6-2
Code pénal
Toute personne qui a tenté de commettre les crimes prévus par le présent paragraphe est exempte de peine si, ayant averti l'autorité administrative ou judiciaire, elle a permis d'éviter la réalisation de l'infraction et d'identifier, le cas échéant, les autres auteurs ou complices. La peine privative de liberté encourue par l'auteur ou le complice d'un des crimes prévus au présent paragraphe est réduite de moitié si, ayant averti l'autorité administrative ou judiciaire, il a permis de faire cesser l'infraction ou d'éviter que l'infraction n'entraîne mort d'homme ou infirmité permanente et d'identifier, le cas échéant, les autres auteurs ou complices. Lorsque la peine encourue est la réclusion criminelle à perpétuité, celle-ci est ramenée à vingt ans de réclusion criminelle.
1,078,876,800,000
32,472,144,000,000
222-6-2
LEGIARTI000006417607
LEGIARTI000006417607
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
644,235
null
null
null
Article
<p></p> Toute personne qui a tenté de commettre les crimes prévus par le présent paragraphe est exempte de peine si, ayant averti l'autorité administrative ou judiciaire, elle a permis d'éviter la réalisation de l'infraction et d'identifier, le cas échéant, les autres auteurs ou complices.<p></p><p></p> La peine privative de liberté encourue par l'auteur ou le complice d'un des crimes prévus au présent paragraphe est réduite de moitié si, ayant averti l'autorité administrative ou judiciaire, il a permis de faire cesser l'infraction ou d'éviter que l'infraction n'entraîne mort d'homme ou infirmité permanente et d'identifier, le cas échéant, les autres auteurs ou complices. Lorsque la peine encourue est la réclusion criminelle à perpétuité, celle-ci est ramenée à vingt ans de réclusion criminelle.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006417607
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006181750
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Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
null
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LEGISCTA000006181750
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
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Code pénal, art. 222-6-3
Code pénal
Dans le cas où le crime prévu par le 6° bis de l'article 222-3 est commis à l'étranger à l'encontre d'une personne résidant habituellement sur le territoire français, la loi française est applicable par dérogation aux dispositions de l'article 113-7 .
1,278,806,400,000
32,472,144,000,000
222-6-3
LEGIARTI000022469925
LEGIARTI000022467261
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,074,063,941
null
null
null
Article
Dans le cas où le crime prévu par le 6° bis de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417595&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 222-3 </a>est commis à l'étranger à l'encontre d'une personne résidant habituellement sur le territoire français, la loi française est applicable par dérogation aux dispositions de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417192&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 113-7</a>.
32,472,144,000,000
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IG-20231124
null
LEGIARTI000022469925
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006181750
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Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
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LEGISCTA000006181750
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
null
Code pénal, art. 222-6-4
Code pénal
Le fait de faire à une personne des offres ou des promesses ou de lui proposer des dons, présents ou avantages quelconques afin qu'elle commette, y compris hors du territoire national, un des crimes prévus par le présent paragraphe est puni, lorsque ce crime n'a été ni commis, ni tenté, de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 € d'amende.
1,596,240,000,000
32,472,144,000,000
222-6-4
LEGIARTI000042182577
LEGIARTI000042182577
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,610,773,794
null
null
null
Article
<p>Le fait de faire à une personne des offres ou des promesses ou de lui proposer des dons, présents ou avantages quelconques afin qu'elle commette, y compris hors du territoire national, un des crimes prévus par le présent paragraphe est puni, lorsque ce crime n'a été ni commis, ni tenté, de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 € d'amende.</p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
null
LEGIARTI000042182577
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006181750
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Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
null
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LEGISCTA000006181750
null
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 1 : Des tortures et actes de barbarie
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Code pénal, art. 222-7
Code pénal
Les violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner sont punies de quinze ans de réclusion criminelle.
762,480,000,000
32,472,144,000,000
222-7
LEGIARTI000006417608
LEGIARTI000006417608
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
126,322,567
null
null
null
Article
<p></p> Les violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner sont punies de quinze ans de réclusion criminelle.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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MD-20240513_190428_893_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006417608
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006181751
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Paragraphe 2 : Des violences
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LEGISCTA000006181751
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 2 : Des violences
null
Code pénal, art. 222-8
Code pénal
L'infraction définie à l'article 222-7 est punie de vingt ans de réclusion criminelle lorsqu'elle est commise : 1° Sur un mineur de quinze ans ; 2° Sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur ; 2° bis Sur une personne dont l'état de sujétion psychologique ou physique, au sens de l'article 223-15-3, est connu de son auteur ; 3° Sur un ascendant légitime ou naturel ou sur les père ou mère adoptifs ; 4° Sur un magistrat, un juré, un avocat, un officier public ou ministériel, un membre ou un agent de la Cour pénale internationale, un militaire de la gendarmerie nationale, un fonctionnaire de la police nationale, des douanes, de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, un sapeur-pompier ou un marin-pompier, un gardien assermenté d'immeubles ou de groupes d'immeubles ou un agent exerçant pour le compte d'un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles à usage d'habitation en application de l'article L. 271-1 du code de la sécurité intérieure, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° bis A Sur une personne exerçant une activité privée de sécurité mentionnée aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sécurité intérieure dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° bis Sur un enseignant ou tout membre des personnels travaillant dans les établissements d'enseignement scolaire, sur un agent d'un exploitant de réseau de transport public de voyageurs ou toute personne chargée d'une mission de service public, ainsi que sur un professionnel de santé, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° ter Sur le conjoint, les ascendants ou les descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement au domicile des personnes mentionnées aux 4°, 4° bis A et 4° bis, en raison des fonctions exercées par ces dernières ; 5° Sur un témoin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empêcher de dénoncer les faits, de porter plainte ou de déposer en justice, soit en raison de sa dénonciation ou de sa plainte, soit à cause de sa déposition devant une juridiction nationale ou devant la Cour pénale internationale ; 5° bis et 5° ter (abrogés) 5° quater Sur une personne qui se livre à la prostitution, y compris de façon occasionnelle, si les faits sont commis dans l'exercice de cette activité ; 6° Par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ; 6° bis Contre une personne afin de la contraindre à contracter un mariage ou à conclure une union ou en raison de son refus de contracter ce mariage ou cette union ; 7° Par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ; 7° bis Par une personne exerçant une activité privée de sécurité mentionnée aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sécurité intérieure dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ; 8° Par plusieurs personnes agissant en qualité d'auteur ou de complice ; 9° Avec préméditation ou avec guet-apens ; 10° Avec usage ou menace d'une arme ; 11° Par une personne agissant en état d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupéfiants. La peine encourue est portée à trente ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction définie à l'article 222-7 est commise : a) Sur un mineur de quinze ans par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur ; b) Alors qu'un mineur assiste aux faits et que ceux-ci sont commis par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ou, si la victime est mineure, par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur victime. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues par le présent article.
1,715,472,000,000
32,472,144,000,000
222-8
LEGIARTI000049531858
LEGIARTI000006417609
AUTONOME
VIGUEUR
19.0
252,645,134
null
null
null
Article
<p>L'infraction définie à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417608&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 222-7 </a>est punie de vingt ans de réclusion criminelle lorsqu'elle est commise :</p><p>1° Sur un mineur de quinze ans ;</p><p>2° Sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur ;</p><p>2° bis Sur une personne dont l'état de sujétion psychologique ou physique, au sens de l'article 223-15-3, est connu de son auteur ;</p><p>3° Sur un ascendant légitime ou naturel ou sur les père ou mère adoptifs ;</p><p>4° Sur un magistrat, un juré, un avocat, un officier public ou ministériel, un membre ou un agent de la Cour pénale internationale, un militaire de la gendarmerie nationale, un fonctionnaire de la police nationale, des douanes, de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, un sapeur-pompier ou un marin-pompier, un gardien assermenté d'immeubles ou de groupes d'immeubles ou un agent exerçant pour le compte d'un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles à usage d'habitation en application de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idArticle=LEGIARTI000025505484&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 271-1</a> du code de la sécurité intérieure, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ;</p><p>4° bis A Sur une personne exerçant une activité privée de sécurité mentionnée aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idArticle=LEGIARTI000025506185&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 611-1 </a>ou <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idArticle=LEGIARTI000025506411&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 621-1 </a>du code de la sécurité intérieure dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ;</p><p>4° bis Sur un enseignant ou tout membre des personnels travaillant dans les établissements d'enseignement scolaire, sur un agent d'un exploitant de réseau de transport public de voyageurs ou toute personne chargée d'une mission de service public, ainsi que sur un professionnel de santé, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ;</p><p>4° ter Sur le conjoint, les ascendants ou les descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement au domicile des personnes mentionnées aux 4°, 4° bis A et 4° bis, en raison des fonctions exercées par ces dernières ;</p><p>5° Sur un témoin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empêcher de dénoncer les faits, de porter plainte ou de déposer en justice, soit en raison de sa dénonciation ou de sa plainte, soit à cause de sa déposition devant une juridiction nationale ou devant la Cour pénale internationale ;</p><p>5° bis et 5° ter (abrogés)</p><p>5° quater Sur une personne qui se livre à la prostitution, y compris de façon occasionnelle, si les faits sont commis dans l'exercice de cette activité ;</p><p>6° Par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ;</p><p>6° bis Contre une personne afin de la contraindre à contracter un mariage ou à conclure une union ou en raison de son refus de contracter ce mariage ou cette union ;</p><p>7° Par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ;</p><p>7° bis Par une personne exerçant une activité privée de sécurité mentionnée aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sécurité intérieure dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ;</p><p>8° Par plusieurs personnes agissant en qualité d'auteur ou de complice ;</p><p>9° Avec préméditation ou avec guet-apens ;</p><p>10° Avec usage ou menace d'une arme ;</p><p>11° Par une personne agissant en état d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupéfiants.</p><p>La peine encourue est portée à trente ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction définie à l'article 222-7 est commise :</p><p>a) Sur un mineur de quinze ans par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur ;</p><p>b) Alors qu'un mineur assiste aux faits et que ceux-ci sont commis par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ou, si la victime est mineure, par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur victime.</p><p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 132-23 </a>relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues par le présent article.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000045071022
MD-20240720_184103_654_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000049531858
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006181751
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Paragraphe 2 : Des violences
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LEGISCTA000006181751
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 2 : Des violences
null
Code pénal, art. 222-9
Code pénal
Les violences ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente sont punies de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende.
1,009,843,200,000
32,472,144,000,000
222-9
LEGIARTI000006417617
LEGIARTI000006417616
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
378,967,701
null
null
null
Article
<p>Les violences ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente sont punies de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417616
MD-20240513_190432_640_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000006417617
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006181751
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Paragraphe 2 : Des violences
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LEGISCTA000006181751
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 2 : Des violences
null
Code pénal, art. 222-10
Code pénal
L'infraction définie à l'article 222-9 est punie de quinze ans de réclusion criminelle lorsqu'elle est commise : 1° Sur un mineur de quinze ans ; 2° Sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur ; 2° bis Sur une personne dont l'état de sujétion psychologique ou physique, au sens de l'article 223-15-3, est connu de son auteur ; 3° Sur un ascendant légitime ou naturel ou sur les père ou mère adoptifs ; 4° Sur un magistrat, un juré, un avocat, un officier public ou ministériel, un membre ou un agent de la Cour pénale internationale, un militaire de la gendarmerie nationale, un fonctionnaire de la police nationale, des douanes, de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, un sapeur-pompier ou un marin-pompier, un gardien assermenté d'immeubles ou de groupes d'immeubles ou un agent exerçant pour le compte d'un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles à usage d'habitation en application de l'article L. 271-1 du code de la sécurité intérieure, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° bis A Sur une personne exerçant une activité privée de sécurité mentionnée aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sécurité intérieure dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° bis Sur un enseignant ou tout membre des personnels travaillant dans les établissements d'enseignement scolaire, sur un agent d'un exploitant de réseau de transport public de voyageurs ou toute personne chargée d'une mission de service public, ainsi que sur un professionnel de santé, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° ter Sur le conjoint, les ascendants ou les descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement au domicile des personnes mentionnées aux 4°, 4° bis A et 4° bis, en raison des fonctions exercées par ces dernières ; 5° Sur un témoin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empêcher de dénoncer les faits, de porter plainte ou de déposer en justice, soit en raison de sa dénonciation ou de sa plainte, soit à cause de sa déposition devant une juridiction nationale ou devant la Cour pénale internationale ; 5° bis et 5° ter (abrogés) 5° quater Sur une personne qui se livre à la prostitution, y compris de façon occasionnelle, si les faits sont commis dans l'exercice de cette activité ; 6° Par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ; 6° bis Contre une personne afin de la contraindre à contracter un mariage ou à conclure une union ou en raison de son refus de contracter ce mariage ou cette union ; 7° Par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ; 7° bis Par une personne exerçant une activité privée de sécurité mentionnée aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sécurité intérieure dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ; 8° Par plusieurs personnes agissant en qualité d'auteur ou de complice ; 9° Avec préméditation ou avec guet-apens ; 10° Avec usage ou menace d'une arme ; 11° Par une personne agissant en état d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupéfiants. La peine encourue est portée à vingt ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction définie à l'article 222-9 est commise : a) Sur un mineur de quinze ans par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur ; b) Alors qu'un mineur assiste aux faits et que ceux-ci sont commis par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ou, si la victime est mineure, par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur victime. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues par le présent article.
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222-10
LEGIARTI000049531845
LEGIARTI000006417618
AUTONOME
VIGUEUR
19.0
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Article
<p>L'infraction définie à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417616&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 222-9 </a>est punie de quinze ans de réclusion criminelle lorsqu'elle est commise :</p><p>1° Sur un mineur de quinze ans ;</p><p>2° Sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur ;</p><p>2° bis Sur une personne dont l'état de sujétion psychologique ou physique, au sens de l'article 223-15-3, est connu de son auteur ;</p><p>3° Sur un ascendant légitime ou naturel ou sur les père ou mère adoptifs ;</p><p>4° Sur un magistrat, un juré, un avocat, un officier public ou ministériel, un membre ou un agent de la Cour pénale internationale, un militaire de la gendarmerie nationale, un fonctionnaire de la police nationale, des douanes, de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, un sapeur-pompier ou un marin-pompier, un gardien assermenté d'immeubles ou de groupes d'immeubles ou un agent exerçant pour le compte d'un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles à usage d'habitation en application de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idArticle=LEGIARTI000025505484&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 271-1</a> du code de la sécurité intérieure, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ;</p><p>4° bis A Sur une personne exerçant une activité privée de sécurité mentionnée aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idArticle=LEGIARTI000025506185&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 611-1 </a>ou <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idArticle=LEGIARTI000025506411&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 621-1 </a>du code de la sécurité intérieure dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ;</p><p>4° bis Sur un enseignant ou tout membre des personnels travaillant dans les établissements d'enseignement scolaire, sur un agent d'un exploitant de réseau de transport public de voyageurs ou toute personne chargée d'une mission de service public, ainsi que sur un professionnel de santé, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ;</p><p>4° ter Sur le conjoint, les ascendants ou les descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement au domicile des personnes mentionnées aux 4°, 4° bis A et 4° bis, en raison des fonctions exercées par ces dernières ;</p><p>5° Sur un témoin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empêcher de dénoncer les faits, de porter plainte ou de déposer en justice, soit en raison de sa dénonciation ou de sa plainte, soit à cause de sa déposition devant une juridiction nationale ou devant la Cour pénale internationale ;</p><p>5° bis et 5° ter (abrogés)</p><p>5° quater Sur une personne qui se livre à la prostitution, y compris de façon occasionnelle, si les faits sont commis dans l'exercice de cette activité ;</p><p>6° Par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ;</p><p>6° bis Contre une personne afin de la contraindre à contracter un mariage ou à conclure une union ou en raison de son refus de contracter ce mariage ou cette union ;</p><p>7° Par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ;</p><p>7° bis Par une personne exerçant une activité privée de sécurité mentionnée aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sécurité intérieure dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ;</p><p>8° Par plusieurs personnes agissant en qualité d'auteur ou de complice ;</p><p>9° Avec préméditation ou avec guet-apens ;</p><p>10° Avec usage ou menace d'une arme ;</p><p>11° Par une personne agissant en état d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupéfiants.</p><p>La peine encourue est portée à vingt ans de réclusion criminelle lorsque l'infraction définie à l'article 222-9 est commise :</p><p>a) Sur un mineur de quinze ans par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur ;</p><p>b) Alors qu'un mineur assiste aux faits et que ceux-ci sont commis par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ou, si la victime est mineure, par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur victime.</p><p>Les deux premiers alinéas de <a 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Paragraphe 2 : Des violences
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 2 : Des violences
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Code pénal, art. 222-11
Code pénal
Les violences ayant entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours sont punies de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende.
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Article
<p>Les violences ayant entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours sont punies de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende.</p><p></p><p></p>
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 2 : Des violences
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Code pénal, art. 222-12
Code pénal
L'infraction définie à l'article 222-11 est punie de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende lorsqu'elle est commise : 1° Sur un mineur de quinze ans ; 2° Sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur ; 2° bis Sur une personne dont l'état de sujétion psychologique ou physique, au sens de l'article 223-15-3, est connu de son auteur ; 3° Sur un ascendant légitime ou naturel ou sur les père ou mère adoptifs ; 4° Sur un magistrat, un juré, un avocat, un officier public ou ministériel, un membre ou un agent de la Cour pénale internationale, une personne dépositaire de l'autorité publique autre que celles mentionnées à l'article 222-14-5 , un gardien assermenté d'immeubles ou de groupes d'immeubles ou un agent exerçant pour le compte d'un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles à usage d'habitation en application de l'article L. 271-1 du code de la sécurité intérieure, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° bis A Sur une personne exerçant une activité privée de sécurité mentionnée aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sécurité intérieure dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° bis Sur un enseignant ou tout membre des personnels travaillant dans les établissements d'enseignement scolaire, sur un agent d'un exploitant de réseau de transport public de voyageurs ou une personne chargée d'une mission de service public autre que celles mentionnées à l'article 222-14-5 du présent code ainsi que sur un professionnel de santé, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° ter Sur le conjoint, les ascendants ou les descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement au domicile des personnes mentionnées aux 4°, 4° bis A et 4° bis, en raison des fonctions exercées par ces dernières ; 5° Sur un témoin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empêcher de dénoncer les faits, de porter plainte ou de déposer en justice, soit en raison de sa dénonciation ou de sa plainte, soit à cause de sa déposition devant une juridiction nationale ou devant la Cour pénale internationale ; 5° bis et 5° ter (abrogés) 5° quater Sur une personne qui se livre à la prostitution, y compris de façon occasionnelle, si les faits sont commis dans l'exercice de cette activité ; 6° Par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ; 6° bis Contre une personne, en raison de son refus de contracter un mariage ou de conclure une union ou afin de la contraindre à contracter un mariage ou à conclure une union ; 7° Par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ; 7° bis Par une personne exerçant une activité privée de sécurité mentionnée aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sécurité intérieure dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ; 8° Par plusieurs personnes agissant en qualité d'auteur ou de complice ; 9° Avec préméditation ou avec guet-apens ; 10° Avec usage ou menace d'une arme ; 11° Dans des établissements d'enseignement ou d'éducation ou dans les locaux de l'administration, ainsi que, lors des entrées ou sorties des élèves ou du public ou dans un temps très voisin de celles-ci, aux abords de ces établissements ou locaux ; 12° Par un majeur agissant avec l'aide ou l'assistance d'un mineur ; 13° Dans un moyen de transport collectif de voyageurs ou dans un lieu destiné à l'accès à un moyen de transport collectif de voyageurs ; 14° Par une personne agissant en état d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupéfiants ; 15° Par une personne dissimulant volontairement en tout ou partie son visage afin de ne pas être identifiée. Les peines encourues sont portées à dix ans d'emprisonnement et à 150 000 euros d'amende lorsque l'infraction définie à l'article 222-11 est commise : a) Sur un mineur de quinze ans par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur ; b) Alors qu'un mineur assiste aux faits et que ceux-ci sont commis par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ou, si la victime est mineure, par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur victime. Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et 100 000 euros d'amende lorsque cette infraction est commise dans deux des circonstances prévues aux 1° et suivants du présent article. Les peines sont portées à dix ans d'emprisonnement et 150 000 euros d'amende lorsqu'elle est commise dans trois de ces circonstances. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues au présent article lorsqu'elles sont punies de dix ans d'emprisonnement.
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222-12
LEGIARTI000049531829
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AUTONOME
VIGUEUR
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Article
<p>L'infraction définie à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417625&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 222-11 </a>est punie de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende lorsqu'elle est commise :</p><p>1° Sur un mineur de quinze ans ;</p><p>2° Sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur ;</p><p>2° bis Sur une personne dont l'état de sujétion psychologique ou physique, au sens de l'article 223-15-3, est connu de son auteur ;</p><p>3° Sur un ascendant légitime ou naturel ou sur les père ou mère adoptifs ;</p><p>4° Sur un magistrat, un juré, un avocat, un officier public ou ministériel, un membre ou un agent de la Cour pénale internationale, une personne dépositaire de l'autorité publique autre que celles mentionnées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000045069569&dateTexte=&categorieLien=cid'>222-14-5</a>, un gardien assermenté d'immeubles ou de groupes d'immeubles ou un agent exerçant pour le compte d'un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles à usage d'habitation en application de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idArticle=LEGIARTI000025505484&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 271-1 </a>du code de la sécurité intérieure, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ;</p><p>4° bis A Sur une personne exerçant une activité privée de sécurité mentionnée aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idArticle=LEGIARTI000025506185&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 611-1 </a>ou <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idArticle=LEGIARTI000025506411&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 621-1 </a>du code de la sécurité intérieure dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ;</p><p>4° bis Sur un enseignant ou tout membre des personnels travaillant dans les établissements d'enseignement scolaire, sur un agent d'un exploitant de réseau de transport public de voyageurs ou une personne chargée d'une mission de service public autre que celles mentionnées à l'article 222-14-5 du présent code ainsi que sur un professionnel de santé, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ;</p><p>4° ter Sur le conjoint, les ascendants ou les descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement au domicile des personnes mentionnées aux 4°, 4° bis A et 4° bis, en raison des fonctions exercées par ces dernières ;</p><p>5° Sur un témoin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empêcher de dénoncer les faits, de porter 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de la sécurité intérieure dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ;</p><p>8° Par plusieurs personnes agissant en qualité d'auteur ou de complice ;</p><p>9° Avec préméditation ou avec guet-apens ;</p><p>10° Avec usage ou menace d'une arme ;</p><p>11° Dans des établissements d'enseignement ou d'éducation ou dans les locaux de l'administration, ainsi que, lors des entrées ou sorties des élèves ou du public ou dans un temps très voisin de celles-ci, aux abords de ces établissements ou locaux ;</p><p>12° Par un majeur agissant avec l'aide ou l'assistance d'un mineur ;</p><p>13° Dans un moyen de transport collectif de voyageurs ou dans un lieu destiné à l'accès à un moyen de transport collectif de voyageurs ;</p><p>14° Par une personne agissant en état d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupéfiants ;</p><p>15° Par une personne dissimulant volontairement en tout ou partie son visage afin de ne pas être identifiée.</p><p>Les peines encourues sont portées à dix ans d'emprisonnement et à 150 000 euros d'amende lorsque l'infraction définie à l'article 222-11 est commise :</p><p>a) Sur un mineur de quinze ans par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur ;</p><p>b) Alors qu'un mineur assiste aux faits et que ceux-ci sont commis par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ou, si la victime est mineure, par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur victime.</p><p>Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et 100 000 euros d'amende lorsque cette infraction est commise dans deux des circonstances prévues aux 1° et suivants du présent article. Les peines sont portées à dix ans d'emprisonnement et 150 000 euros d'amende lorsqu'elle est commise dans trois de ces circonstances.</p><p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 132-23 </a>relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues au présent article lorsqu'elles sont punies de dix ans d'emprisonnement.</p>
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Code pénal, art. 222-13
Code pénal
Les violences ayant entraîné une incapacité de travail inférieure ou égale à huit jours ou n'ayant entraîné aucune incapacité de travail sont punies de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende lorsqu'elles sont commises : 1° Sur un mineur de quinze ans ; 2° Sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de leur auteur ; 2° bis Sur une personne dont l'état de sujétion psychologique ou physique, au sens de l'article 223-15-3, est connu de leur auteur ; 3° Sur un ascendant légitime ou naturel ou sur les père ou mère adoptifs ; 4° Sur un magistrat, un juré, un avocat, un officier public ou ministériel, un membre ou un agent de la Cour pénale internationale, une personne dépositaire de l'autorité publique autre que celles mentionnées à l'article 222-14-5 , un gardien assermenté d'immeubles ou de groupes d'immeubles ou un agent exerçant pour le compte d'un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles à usage d'habitation en application de l'article L. 271-1 du code de la sécurité intérieure, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° bis A Sur une personne exerçant une activité privée de sécurité mentionnée aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sécurité intérieure dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° bis Sur un enseignant ou tout membre des personnels travaillant dans les établissements d'enseignement scolaire, sur un agent d'un exploitant de réseau de transport public de voyageurs ou une personne chargée d'une mission de service public autre que celles mentionnées à l'article 222-14-5 du présent code ainsi que sur un professionnel de santé, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ; 4° ter Sur le conjoint, les ascendants ou les descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement au domicile des personnes mentionnées aux 4°, 4° bis A et 4° bis, en raison des fonctions exercées par ces dernières ; 5° Sur un témoin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empêcher de dénoncer les faits, de porter plainte ou de déposer en justice, soit en raison de sa dénonciation ou de sa plainte, soit à cause de sa déposition devant une juridiction nationale ou devant la Cour pénale internationale ; 5° bis A raison de l'appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposée, de la victime à une ethnie, une nation, une prétendue race ou une religion déterminée ; 5° ter A raison du sexe, de l'orientation sexuelle ou de l'identité de genre vraie ou supposée de la victime ; 5° quater Sur une personne qui se livre à la prostitution, y compris de façon occasionnelle, si les faits sont commis dans l'exercice de cette activité ; 6° Par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ; 6° bis Contre une personne, en raison de son refus de contracter un mariage ou de conclure une union ou afin de la contraindre à contracter un mariage ou à conclure une union ; 7° Par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ; 7° bis Par une personne exerçant une activité privée de sécurité mentionnée aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sécurité intérieure dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ; 8° Par plusieurs personnes agissant en qualité d'auteur ou de complice ; 9° Avec préméditation ou avec guet-apens ; 10° Avec usage ou menace d'une arme ; 11° Dans les établissements d'enseignement ou d'éducation ou dans les locaux de l'administration, ainsi que, lors des entrées ou sorties des élèves ou du public ou dans un temps très voisin de celles-ci, aux abords de ces établissements ou locaux ; 12° Par un majeur agissant avec l'aide ou l'assistance d'un mineur ; 13° Dans un moyen de transport collectif de voyageurs ou dans un lieu destiné à l'accès à un moyen de transport collectif de voyageurs ; 14° Par une personne agissant en état d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupéfiants ; 15° Par une personne dissimulant volontairement en tout ou partie son visage afin de ne pas être identifiée. Les peines encourues sont portées à cinq ans d'emprisonnement et à 75 000 euros d'amende lorsque l'infraction définie au premier alinéa du présent article est commise : a) Sur un mineur de quinze ans par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur ; b) Alors qu'un mineur assiste aux faits et que ceux-ci sont commis par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ou, si la victime est mineure, par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur victime. Les peines sont également portées à cinq ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende lorsque cette infraction, ayant entraîné une incapacité totale de travail inférieure ou égale à huit jours, est commise dans deux des circonstances prévues aux 1° et suivants du présent article. Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et 100 000 euros d'amende lorsqu'elle est commise dans trois de ces circonstances.
1,715,472,000,000
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222-13
LEGIARTI000049531818
LEGIARTI000006417637
AUTONOME
VIGUEUR
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Article
<p>Les violences ayant entraîné une incapacité de travail inférieure ou égale à huit jours ou n'ayant entraîné aucune incapacité de travail sont punies de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende lorsqu'elles sont commises :</p><p>1° Sur un mineur de quinze ans ;</p><p>2° Sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de leur auteur ;</p><p>2° bis Sur une personne dont l'état de sujétion psychologique ou physique, au sens de l'article 223-15-3, est connu de leur auteur ;</p><p>3° Sur un ascendant légitime ou naturel ou sur les père ou mère adoptifs ;</p><p>4° Sur un magistrat, un juré, un avocat, un officier public ou ministériel, un membre ou un agent de la Cour pénale internationale, une personne dépositaire de l'autorité publique autre que celles mentionnées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000045069569&dateTexte=&categorieLien=cid'>222-14-5</a>, un gardien assermenté d'immeubles ou de groupes d'immeubles ou un agent exerçant pour le compte d'un bailleur des fonctions de gardiennage ou de surveillance des immeubles à usage d'habitation en application de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idArticle=LEGIARTI000025505484&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 271-1 </a>du code de la sécurité intérieure, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ;</p><p>4° bis A Sur une personne exerçant une activité privée de sécurité mentionnée aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idArticle=LEGIARTI000025506185&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 611-1 </a>ou <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idArticle=LEGIARTI000025506411&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 621-1 </a>du code de la sécurité intérieure dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ;</p><p>4° bis Sur un enseignant ou tout membre des personnels travaillant dans les établissements d'enseignement scolaire, sur un agent d'un exploitant de réseau de transport public de voyageurs ou une personne chargée d'une mission de service public autre que celles mentionnées à l'article 222-14-5 du présent code ainsi que sur un professionnel de santé, dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur ;</p><p>4° ter Sur le conjoint, les ascendants ou les descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement au domicile des personnes mentionnées aux 4°, 4° bis A et 4° bis, en raison des fonctions exercées par ces dernières ;</p><p>5° Sur un témoin, une victime ou une partie civile, soit pour l'empêcher de dénoncer les faits, de porter plainte ou de déposer en justice, soit en raison de sa dénonciation ou de sa plainte, soit à cause de sa déposition devant une juridiction nationale ou devant la Cour pénale internationale ;</p><p>5° bis A raison de l'appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposée, de la victime à une ethnie, une nation, une prétendue race ou une religion déterminée ;</p><p>5° ter A raison du sexe, de l'orientation sexuelle ou de l'identité de genre vraie ou supposée de la victime ;</p><p>5° quater Sur une personne qui se livre à la prostitution, y compris de façon occasionnelle, si les faits sont commis dans l'exercice de cette activité ;</p><p>6° Par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ;</p><p>6° bis Contre une personne, en raison de son refus de contracter un mariage ou de conclure une union ou afin de la contraindre à contracter un mariage ou à conclure une union ;</p><p>7° Par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ;</p><p>7° bis Par une personne exerçant une activité privée de sécurité mentionnée aux articles L. 611-1 ou L. 621-1 du code de la sécurité intérieure dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission ;</p><p>8° Par plusieurs personnes agissant en qualité d'auteur ou de complice ;</p><p>9° Avec préméditation ou avec guet-apens ;</p><p>10° Avec usage ou menace d'une arme ;</p><p>11° Dans les établissements d'enseignement ou d'éducation ou dans les locaux de l'administration, ainsi que, lors des entrées ou sorties des élèves ou du public ou dans un temps très voisin de celles-ci, aux abords de ces établissements ou locaux ;</p><p>12° Par un majeur agissant avec l'aide ou l'assistance d'un mineur ;</p><p>13° Dans un moyen de transport collectif de voyageurs ou dans un lieu destiné à l'accès à un moyen de transport collectif de voyageurs ;</p><p>14° Par une personne agissant en état d'ivresse manifeste ou sous l'emprise manifeste de produits stupéfiants ;</p><p>15° Par une personne dissimulant volontairement en tout ou partie son visage afin de ne pas être identifiée.</p><p>Les peines encourues sont portées à cinq ans d'emprisonnement et à 75 000 euros d'amende lorsque l'infraction définie au premier alinéa du présent article est commise :</p><p>a) Sur un mineur de quinze ans par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur ;</p><p>b) Alors qu'un mineur assiste aux faits et que ceux-ci sont commis par le conjoint ou le concubin de la victime ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité ou, si la victime est mineure, par un ascendant légitime, naturel ou adoptif ou par toute autre personne ayant autorité sur le mineur victime.</p><p>Les peines sont également portées à cinq ans d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende lorsque cette infraction, ayant entraîné une incapacité totale de travail inférieure ou égale à huit jours, est commise dans deux des circonstances prévues aux 1° et suivants du présent article. Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et 100 000 euros d'amende lorsqu'elle est commise dans trois de ces circonstances.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000049312694
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Paragraphe 2 : Des violences
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 2 : Des violences
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Code pénal, art. 222-14
Code pénal
Les violences habituelles sur un mineur de quinze ans ou sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de leur auteur ou sur une personne dont l'état de sujétion psychologique ou physique, au sens de l'article 223-15-3, est connu de leur auteur sont punies : 1° De trente ans de réclusion criminelle lorsqu'elles ont entraîné la mort de la victime ; 2° De vingt ans de réclusion criminelle lorsqu'elles ont entraîné une mutilation ou une infirmité permanente ; 3° De dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende lorsqu'elles ont entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours ; 4° De cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende lorsqu'elles n'ont pas entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours. Les peines prévues par le présent article sont également applicables aux violences habituelles commises par le conjoint ou le concubin de la victime ou par le partenaire lié à celle-ci par un pacte civil de solidarité. Les dispositions du second alinéa de l'article 132-80 sont applicables au présent alinéa. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables aux cas prévus aux 1° et 2° du présent article.
1,715,472,000,000
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222-14
LEGIARTI000049531806
LEGIARTI000006417647
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
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Article
<p>Les violences habituelles sur un mineur de quinze ans ou sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de leur auteur ou sur une personne dont l'état de sujétion psychologique ou physique, au sens de l'article 223-15-3, est connu de leur auteur sont punies :</p><p>1° De trente ans de réclusion criminelle lorsqu'elles ont entraîné la mort de la victime ;</p><p>2° De vingt ans de réclusion criminelle lorsqu'elles ont entraîné une mutilation ou une infirmité permanente ;</p><p>3° De dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende lorsqu'elles ont entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours ;</p><p>4° De cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende lorsqu'elles n'ont pas entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours.</p><p>Les peines prévues par le présent article sont également applicables aux violences habituelles commises par le conjoint ou le concubin de la victime ou par le partenaire lié à celle-ci par un pacte civil de solidarité. Les dispositions du second alinéa de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417507&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 132-80 </a>sont applicables au présent alinéa.</p><p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 132-23</a> relatif à la période de sûreté sont applicables aux cas prévus aux 1° et 2° du présent article.</p><p></p>
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LEGIARTI000022469857
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Paragraphe 2 : Des violences
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 2 : Des violences
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Code pénal, art. 222-14-1
Code pénal
Lorsqu'elles sont commises en bande organisée ou avec guet-apens, les violences commises avec usage ou menace d'une arme sur un fonctionnaire de la police nationale, un militaire de la gendarmerie, un membre du personnel de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, ou sur un sapeur-pompier civil ou militaire ou un agent d'un exploitant de réseau de transport public de voyageurs dans l'exercice, à l'occasion de l'exercice ou en raison de ses fonctions ou de sa mission, sont punies : 1° De trente ans de réclusion criminelle lorsqu'elles ont entraîné la mort de la victime ; 2° De vingt ans de réclusion criminelle lorsqu'elles ont entraîné une mutilation ou une infirmité permanente ; 3° De quinze ans de réclusion criminelle lorsqu'elles ont entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours ; 4° De dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende lorsqu'elles n'ont pas entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours. Les mêmes peines sont applicables en cas de violences commises dans les mêmes conditions à l'encontre du conjoint, d'un ascendant ou d'un descendant en ligne directe ou de toute autre personne vivant habituellement au domicile d'une personne mentionnée au premier alinéa, en raison des fonctions exercées par cette dernière. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues par le présent article. L'incapacité totale de travail est, à la demande de la victime ou de la personne poursuivie, constatée par un médecin expert selon les modalités prévues par les articles 157 et suivants du code de procédure pénale.
1,622,073,600,000
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222-14-1
LEGIARTI000043540877
LEGIARTI000006417649
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
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Article
<p>Lorsqu'elles sont commises en bande organisée ou avec guet-apens, les violences commises avec usage ou menace d'une arme sur un fonctionnaire de la police nationale, un militaire de la gendarmerie, un membre du personnel de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, ou sur un sapeur-pompier civil ou militaire ou un agent d'un exploitant de réseau de transport public de voyageurs dans l'exercice, à l'occasion de l'exercice ou en raison de ses fonctions ou de sa mission, sont punies :</p><p>1° De trente ans de réclusion criminelle lorsqu'elles ont entraîné la mort de la victime ;</p><p>2° De vingt ans de réclusion criminelle lorsqu'elles ont entraîné une mutilation ou une infirmité permanente ;</p><p>3° De quinze ans de réclusion criminelle lorsqu'elles ont entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours ;</p><p>4° De dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende lorsqu'elles n'ont pas entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours.</p><p>Les mêmes peines sont applicables en cas de violences commises dans les mêmes conditions à l'encontre du conjoint, d'un ascendant ou d'un descendant en ligne directe ou de toute autre personne vivant habituellement au domicile d'une personne mentionnée au premier alinéa, en raison des fonctions exercées par cette dernière.</p><p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article 132-23 </a>relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues par le présent article.</p><p>L'incapacité totale de travail est, à la demande de la victime ou de la personne poursuivie, constatée par un médecin expert selon les modalités prévues par les <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071154&idArticle=LEGIARTI000006575365&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles 157 et suivants</a> du code de procédure pénale.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006417649
MD-20240129_194705_334_BDJQUOT
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LEGISCTA000006181751
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Paragraphe 2 : Des violences
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 2 : Des violences
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Code pénal, art. 222-14-2
Code pénal
Le fait pour une personne de participer sciemment à un groupement, même formé de façon temporaire, en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, de violences volontaires contre les personnes ou de destructions ou dégradations de biens est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 € d'amende.
1,267,660,800,000
32,472,144,000,000
222-14-2
LEGIARTI000021926074
LEGIARTI000021899285
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
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Article
Le fait pour une personne de participer sciemment à un groupement, même formé de façon temporaire, en vue de la préparation, caractérisée par un ou plusieurs faits matériels, de violences volontaires contre les personnes ou de destructions ou dégradations de biens est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 € d'amende.
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MD-20240322_202511_228_BDJQUOT
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LEGI
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LEGISCTA000006181751
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Paragraphe 2 : Des violences
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LEGISCTA000006181751
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 2 : Des violences
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Code pénal, art. 222-14-3
Code pénal
Les violences prévues par les dispositions de la présente section sont réprimées quelle que soit leur nature, y compris s'il s'agit de violences psychologiques.
1,278,806,400,000
32,472,144,000,000
222-14-3
LEGIARTI000022469908
LEGIARTI000022466598
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
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Article
Les violences prévues par les dispositions de la présente section sont réprimées quelle que soit leur nature, y compris s'il s'agit de violences psychologiques.
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IG-20231124
null
LEGIARTI000022469908
LEGI
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Paragraphe 2 : Des violences
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LEGISCTA000006181751
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null
Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 2 : Des violences
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Code pénal, art. 222-14-4
Code pénal
Le fait, dans le but de contraindre une personne à contracter un mariage ou à conclure une union à l'étranger, d'user à son égard de manœuvres dolosives afin de la déterminer à quitter le territoire de la République est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 € d'amende.
1,375,833,600,000
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222-14-4
LEGIARTI000027809362
LEGIARTI000027809362
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
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Article
Le fait, dans le but de contraindre une personne à contracter un mariage ou à conclure une union à l'étranger, d'user à son égard de manœuvres dolosives afin de la déterminer à quitter le territoire de la République est puni de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 € d'amende.
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 2 : Des violences
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Code pénal, art. 222-14-5
Code pénal
I.-Lorsqu'elles sont commises sur un militaire de la gendarmerie nationale, un militaire déployé sur le territoire national dans le cadre des réquisitions prévues à l' article L. 1321-1 du code de la défense , un fonctionnaire de la police nationale, un agent de police municipale, un garde champêtre, un agent des douanes, un sapeur-pompier professionnel ou volontaire, un agent de l'administration pénitentiaire, le titulaire d'un mandat électif public ou, dans la limite de six ans à compter de l'expiration du mandat, l'ancien titulaire d'un mandat électif public dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, actuelles ou passées, et lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur, les violences prévues à la présente section sont punies : 1° De sept ans d'emprisonnement et de 100 000 euros d'amende, si elles ont entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours ; 2° De cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende, si elles ont entraîné une incapacité de travail inférieure ou égale à huit jours ou si elles n'ont pas entraîné d'incapacité de travail. Lorsque les faits sont accompagnés d'une des circonstances aggravantes prévues aux 8° à 15° de l' article 222-12 , les peines prévues au 1° du présent I sont portées à dix ans d'emprisonnement et à 150 000 euros d'amende et celles prévues au 2° sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 euros d'amende. Lorsque les faits sont accompagnés d'au moins deux des circonstances aggravantes prévues aux 8° à 15° de l'article 222-12, les peines prévues au 2° du présent I sont portées à dix ans d'emprisonnement et à 150 000 euros d'amende. II.-Sont également punies des peines prévues aux quatre derniers alinéas du I les violences commises : 1° En raison des fonctions exercées par les personnes mentionnées au premier alinéa du même I, sur leur conjoint, sur leurs ascendants ou leurs descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement à leur domicile ; 2° Dans l'exercice ou du fait de ses fonctions sous l'autorité des personnes mentionnées au premier alinéa dudit I, sur une personne affectée dans les services de police nationale ou de gendarmerie nationale, de police municipale ou de l'administration pénitentiaire et dont la qualité est apparente ou connue de l'auteur. III.-Les deux premiers alinéas de l' article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues au présent article lorsque la peine encourue est égale ou supérieure à dix ans d'emprisonnement.
1,711,152,000,000
32,472,144,000,000
222-14-5
LEGIARTI000049312685
LEGIARTI000045069569
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
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Article
<p>I.-Lorsqu'elles sont commises sur un militaire de la gendarmerie nationale, un militaire déployé sur le territoire national dans le cadre des réquisitions prévues à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071307&idArticle=LEGIARTI000006539675&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 1321-1 du code de la défense</a>, un fonctionnaire de la police nationale, un agent de police municipale, un garde champêtre, un agent des douanes, un sapeur-pompier professionnel ou volontaire, un agent de l'administration pénitentiaire, le titulaire d'un mandat électif public ou, dans la limite de six ans à compter de l'expiration du mandat, l'ancien titulaire d'un mandat électif public dans l'exercice ou du fait de ses fonctions, actuelles ou passées, et lorsque la qualité de la victime est apparente ou connue de l'auteur, les violences prévues à la présente section sont punies :</p><p>1° De sept ans d'emprisonnement et de 100 000 euros d'amende, si elles ont entraîné une incapacité totale de travail pendant plus de huit jours ;</p><p>2° De cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende, si elles ont entraîné une incapacité de travail inférieure ou égale à huit jours ou si elles n'ont pas entraîné d'incapacité de travail.</p><p>Lorsque les faits sont accompagnés d'une des circonstances aggravantes prévues aux 8° à 15° de l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417627&dateTexte=&categorieLien=cid'>article 222-12</a>, les peines prévues au 1° du présent I sont portées à dix ans d'emprisonnement et à 150 000 euros d'amende et celles prévues au 2° sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 euros d'amende.</p><p>Lorsque les faits sont accompagnés d'au moins deux des circonstances aggravantes prévues aux 8° à 15° de l'article 222-12, les peines prévues au 2° du présent I sont portées à dix ans d'emprisonnement et à 150 000 euros d'amende.</p><p>II.-Sont également punies des peines prévues aux quatre derniers alinéas du I les violences commises :</p><p>1° En raison des fonctions exercées par les personnes mentionnées au premier alinéa du même I, sur leur conjoint, sur leurs ascendants ou leurs descendants en ligne directe ou sur toute autre personne vivant habituellement à leur domicile ;</p><p>2° Dans l'exercice ou du fait de ses fonctions sous l'autorité des personnes mentionnées au premier alinéa dudit I, sur une personne affectée dans les services de police nationale ou de gendarmerie nationale, de police municipale ou de l'administration pénitentiaire et dont la qualité est apparente ou connue de l'auteur.</p><p>III.-Les deux premiers alinéas de l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid'>article 132-23</a> relatif à la période de sûreté sont applicables aux infractions prévues au présent article lorsque la peine encourue est égale ou supérieure à dix ans d'emprisonnement.</p>
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LEGIARTI000045069569
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Paragraphe 2 : Des violences
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 2 : Des violences
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Code pénal, art. 222-15
Code pénal
L'administration de substances nuisibles ayant porté atteinte à l'intégrité physique ou psychique d'autrui est punie des peines mentionnées aux articles 222-7 à 222-14-1 suivant les distinctions prévues par ces articles. Les deux premiers alinéas de l'article 132-23 relatif à la période de sûreté sont applicables à cette infraction dans les mêmes cas que ceux prévus par ces articles.
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222-15
LEGIARTI000006417651
LEGIARTI000006417650
AUTONOME
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Article
<p></p>L'administration de substances nuisibles ayant porté atteinte à l'intégrité physique ou psychique d'autrui est punie des peines mentionnées aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417608&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 222-7 (V)'>articles 222-7 à 222-14-1 suivant </a>les distinctions prévues par ces articles. <p></p><p></p>Les deux premiers alinéas de <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417401&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 132-23 (V)'>l'article 132-23</a> relatif à la période de sûreté sont applicables à cette infraction dans les mêmes cas que ceux prévus par ces articles.<p></p>
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Paragraphe 2 : Des violences
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 2 : Des violences
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Code pénal, art. 222-15-1
Code pénal
Constitue une embuscade le fait d'attendre un certain temps et dans un lieu déterminé un fonctionnaire de la police nationale, un militaire de la gendarmerie, un membre du personnel de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, ainsi qu'un sapeur-pompier civil ou militaire ou un agent d'un exploitant de réseau de transport public de voyageurs, dans le but, caractérisé par un ou plusieurs faits matériels, de commettre à son encontre, soit à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission, soit en raison de sa qualité, que l'auteur connaissait ou ne pouvait ignorer, des violences avec usage ou menace d'une arme. Constitue également une embuscade le fait d'attendre, dans les mêmes conditions, le conjoint, un ascendant ou un descendant en ligne directe ou toute autre personne vivant habituellement au domicile d'une personne mentionnée au premier alinéa dans le but, caractérisé par un ou plusieurs faits matériels, de commettre à son encontre, en raison des fonctions exercées par cette dernière, des violences avec usage ou menace d'une arme. L'embuscade est punie de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende. Lorsque les faits sont commis en réunion, les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 euros d'amende.
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222-15-1
LEGIARTI000043540886
LEGIARTI000006417653
AUTONOME
VIGUEUR
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1,642,193,371
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Article
<p>Constitue une embuscade le fait d'attendre un certain temps et dans un lieu déterminé un fonctionnaire de la police nationale, un militaire de la gendarmerie, un membre du personnel de l'administration pénitentiaire ou toute autre personne dépositaire de l'autorité publique, ainsi qu'un sapeur-pompier civil ou militaire ou un agent d'un exploitant de réseau de transport public de voyageurs, dans le but, caractérisé par un ou plusieurs faits matériels, de commettre à son encontre, soit à l'occasion de l'exercice de ses fonctions ou de sa mission, soit en raison de sa qualité, que l'auteur connaissait ou ne pouvait ignorer, des violences avec usage ou menace d'une arme.</p><p>Constitue également une embuscade le fait d'attendre, dans les mêmes conditions, le conjoint, un ascendant ou un descendant en ligne directe ou toute autre personne vivant habituellement au domicile d'une personne mentionnée au premier alinéa dans le but, caractérisé par un ou plusieurs faits matériels, de commettre à son encontre, en raison des fonctions exercées par cette dernière, des violences avec usage ou menace d'une arme.</p><p>L'embuscade est punie de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.</p><p>Lorsque les faits sont commis en réunion, les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 euros d'amende.</p>
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LEGIARTI000006417653
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Paragraphe 2 : Des violences
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 2 : Des violences
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Code pénal, art. 222-16
Code pénal
Les appels téléphoniques malveillants réitérés, les envois réitérés de messages malveillants émis par la voie des communications électroniques ou les agressions sonores en vue de troubler la tranquillité d'autrui sont punis d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende. Lorsqu'ils sont commis par le conjoint ou le concubin ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité, ces faits sont punis de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende.
1,596,240,000,000
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222-16
LEGIARTI000042193596
LEGIARTI000006417654
AUTONOME
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Article
<p>Les appels téléphoniques malveillants réitérés, les envois réitérés de messages malveillants émis par la voie des communications électroniques ou les agressions sonores en vue de troubler la tranquillité d'autrui sont punis d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende.</p><p>Lorsqu'ils sont commis par le conjoint ou le concubin ou le partenaire lié à la victime par un pacte civil de solidarité, ces faits sont punis de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende.</p>
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LEGIARTI000029336934
IG-20231124
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LEGIARTI000042193596
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Paragraphe 2 : Des violences
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 2 : Des violences
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Code pénal, art. 222-16-1
Code pénal
Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l'article 121-2, des infractions définies au présent paragraphe encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par l'article 131-38 , les peines prévues par l'article 131-39 . L'interdiction mentionnée au 2° de l'article 131-39 porte sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise.
1,242,259,200,000
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222-16-1
LEGIARTI000020630986
LEGIARTI000006417657
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,894,838,505
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Article
<p>Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417202&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 121-2 (V)'>121-2, </a>des infractions définies au présent paragraphe encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417333&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-38 (V)'>131-38</a>, les peines prévues par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417335&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 131-39 (V)'>131-39</a>. </p><p>L'interdiction mentionnée au 2° de l'article 131-39 porte sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise.</p><p></p>
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Partie législative &gt; Livre II : Des crimes et délits contre les personnes &gt; Titre II : Des atteintes à la personne humaine &gt; Chapitre II : Des atteintes à l'intégrité physique ou psychique de la personne &gt; Section 1 : Des atteintes volontaires à l'intégrité de la personne &gt; Paragraphe 2 : Des violences
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