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Code de l'éducation, art. L511-2-2
Code de l'éducation
Dans le cadre des autoévaluations mentionnées au 2° de l'article L. 241-12 , une consultation de l'ensemble des lycéens est organisée par la commission consultative compétente en matière de vie lycéenne de l'établissement, avec l'appui du chef d'établissement.
1,567,382,400,000
32,472,144,000,000
L511-2-2
LEGIARTI000038859390
LEGIARTI000038859383
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.
1.0
150,321
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Article
<p>Dans le cadre des autoévaluations mentionnées au 2° de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000038902406&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code de l'éducation - art. L241-12 (VD)'>L. 241-12</a>, une consultation de l'ensemble des lycéens est organisée par la commission consultative compétente en matière de vie lycéenne de l'établissement, avec l'appui du chef d'établissement.</p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000038859390
LEGI
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LEGISCTA000006166644
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Chapitre unique.
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LEGISCTA000006166644
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre Ier : Les droits et obligations des élèves &gt; Chapitre unique.
<p>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p>
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Code de l'éducation, art. L511-3
Code de l'éducation
L'infraction prévue dans la section 3 bis "Du bizutage" du livre II, titre II, chapitre 5 du code pénal est passible des sanctions définies dans cette même section, ci-après reproduite : " Art. 225-16-1 .-Hors les cas de violences, de menaces ou d'atteintes sexuelles, le fait pour une personne d'amener autrui, contre son gré ou non, à subir ou à commettre des actes humiliants ou dégradants ou à consommer de l'alcool de manière excessive, lors de manifestations ou de réunions liées aux milieux scolaire, sportif et socio-éducatif est puni de six mois d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende. " " Art. 225-16-2 .-L'infraction définie à l'article 225-16-1 est punie d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende lorsqu'elle est commise sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur. " " Art. 225-16-3 .-Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l'article 121-2, des infractions définies aux articles 225-16-1 et 225-16-2 encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par l'article 131-38, les peines prévues par les 4° et 9° de l'article 131-39.
1,485,648,000,000
32,472,144,000,000
L511-3
LEGIARTI000037110181
LEGIARTI000006525121
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
171,796
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Article
<p>L'infraction prévue dans la section 3 bis "Du bizutage" du livre II, titre II, chapitre 5 du code pénal est passible des sanctions définies dans cette même section, ci-après reproduite :</p><p>" Art. <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417902&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 225-16-1 (V)'>225-16-1</a>.-Hors les cas de violences, de menaces ou d'atteintes sexuelles, le fait pour une personne d'amener autrui, contre son gré ou non, à subir ou à commettre des actes humiliants ou dégradants ou à consommer de l'alcool de manière excessive, lors de manifestations ou de réunions liées aux milieux scolaire, sportif et socio-éducatif est puni de six mois d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende. "</p><p>" Art. <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417904&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 225-16-2 (V)'>225-16-2</a>.-L'infraction définie à l'article 225-16-1 est punie d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros d'amende lorsqu'elle est commise sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur. "</p><p>" Art. <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417906&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code pénal - art. 225-16-3 (V)'>225-16-3</a>.-Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l'article 121-2, des infractions définies aux articles 225-16-1 et 225-16-2 encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par l'article 131-38, les peines prévues par les 4° et 9° de l'article 131-39.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000027615114
IG-20231128
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LEGIARTI000037110181
LEGI
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Chapitre unique.
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LEGISCTA000006166644
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre Ier : Les droits et obligations des élèves &gt; Chapitre unique.
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Code de l'éducation, art. L511-4
Code de l'éducation
Conformément aux dispositions du second alinéa de l'article 21-7 du code civil, les élèves et les parents d'élèves, et en particulier les personnes auxquelles s'applique le premier alinéa, doivent être informés par les établissements d'enseignement des dispositions en vigueur en matière de nationalité. Les conditions de cette information sont fixées par décret en Conseil d'Etat.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L511-4
LEGIARTI000006525123
LEGIARTI000006525123
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
214,745
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null
Article
<p></p>Conformément aux dispositions du second alinéa de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070721&idArticle=LEGIARTI000006419825&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code civil - art. 21-7 (V)'>21-7</a> du code civil, les élèves et les parents d'élèves, et en particulier les personnes auxquelles s'applique le premier alinéa, doivent être informés par les établissements d'enseignement des dispositions en vigueur en matière de nationalité. Les conditions de cette information sont fixées par décret en Conseil d'Etat.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006525123
LEGI
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LEGISCTA000006166644
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre Ier : Les droits et obligations des élèves &gt; Chapitre unique.
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Code de l'éducation, art. L511-5
Code de l'éducation
L'utilisation d'un téléphone mobile ou de tout autre équipement terminal de communications électroniques par un élève est interdite dans les écoles maternelles, les écoles élémentaires et les collèges et pendant toute activité liée à l'enseignement qui se déroule à l'extérieur de leur enceinte, à l'exception des circonstances, notamment les usages pédagogiques, et des lieux dans lesquels le règlement intérieur l'autorise expressément. Dans les lycées, le règlement intérieur peut interdire l'utilisation par un élève des appareils mentionnés au premier alinéa dans tout ou partie de l'enceinte de l'établissement ainsi que pendant les activités se déroulant à l'extérieur de celle-ci. Le présent article n'est pas applicable aux équipements que les élèves présentant un handicap ou un trouble de santé invalidant sont autorisés à utiliser dans les conditions prévues au chapitre Ier du titre V du livre III de la présente partie. La méconnaissance des règles fixées en application du présent article peut entraîner la confiscation de l'appareil par un personnel de direction, d'enseignement, d'éducation ou de surveillance. Le règlement intérieur fixe les modalités de sa confiscation et de sa restitution.
1,533,513,600,000
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L511-5
LEGIARTI000037286581
LEGIARTI000022479886
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,073,849,196
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null
null
Article
<p>L'utilisation d'un téléphone mobile ou de tout autre équipement terminal de communications électroniques par un élève est interdite dans les écoles maternelles, les écoles élémentaires et les collèges et pendant toute activité liée à l'enseignement qui se déroule à l'extérieur de leur enceinte, à l'exception des circonstances, notamment les usages pédagogiques, et des lieux dans lesquels le règlement intérieur l'autorise expressément.<br/><br/> Dans les lycées, le règlement intérieur peut interdire l'utilisation par un élève des appareils mentionnés au premier alinéa dans tout ou partie de l'enceinte de l'établissement ainsi que pendant les activités se déroulant à l'extérieur de celle-ci.<br/><br/> Le présent article n'est pas applicable aux équipements que les élèves présentant un handicap ou un trouble de santé invalidant sont autorisés à utiliser dans les conditions prévues au chapitre Ier du titre V du livre III de la présente partie.<br/><br/> La méconnaissance des règles fixées en application du présent article peut entraîner la confiscation de l'appareil par un personnel de direction, d'enseignement, d'éducation ou de surveillance. Le règlement intérieur fixe les modalités de sa confiscation et de sa restitution.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000022494861
IG-20231124
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LEGIARTI000037286581
LEGI
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LEGISCTA000006166644
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Chapitre unique.
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LEGISCTA000006166644
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre Ier : Les droits et obligations des élèves &gt; Chapitre unique.
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Code de l'éducation, art. L521-1
Code de l'éducation
L'année scolaire comporte trente-six semaines au moins réparties en cinq périodes de travail, de durée comparable, séparées par quatre périodes de vacance des classes. Un calendrier scolaire national est arrêté par le ministre chargé de l'éducation pour une période de trois années. Il peut être adapté, dans des conditions fixées par décret, pour tenir compte des situations locales.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L521-1
LEGIARTI000006525125
LEGIARTI000006525125
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
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null
null
Article
<p></p> L'année scolaire comporte trente-six semaines au moins réparties en cinq périodes de travail, de durée comparable, séparées par quatre périodes de vacance des classes. Un calendrier scolaire national est arrêté par le ministre chargé de l'éducation pour une période de trois années. Il peut être adapté, dans des conditions fixées par décret, pour tenir compte des situations locales.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006525125
LEGI
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LEGISCTA000006166645
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Chapitre unique.
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LEGISCTA000006166645
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre II : L'organisation du temps et de l'espace scolaires &gt; Chapitre unique.
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Code de l'éducation, art. L521-2
Code de l'éducation
Les rythmes scolaires tiennent compte des besoins d'expression physique, d'éducation et de pratique corporelle et sportive des élèves.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L521-2
LEGIARTI000006525126
LEGIARTI000006525126
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
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null
null
Article
<p></p> Les rythmes scolaires tiennent compte des besoins d'expression physique, d'éducation et de pratique corporelle et sportive des élèves.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006525126
LEGI
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre II : L'organisation du temps et de l'espace scolaires &gt; Chapitre unique.
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Code de l'éducation, art. L521-3
Code de l'éducation
Le maire peut, après avis de l'autorité scolaire responsable, modifier les heures d'entrée et de sortie des établissements d'enseignement en raison des circonstances locales.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L521-3
LEGIARTI000006525127
LEGIARTI000006525127
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
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null
null
Article
<p></p> Le maire peut, après avis de l'autorité scolaire responsable, modifier les heures d'entrée et de sortie des établissements d'enseignement en raison des circonstances locales.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006525127
LEGI
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LEGISCTA000006166645
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre II : L'organisation du temps et de l'espace scolaires &gt; Chapitre unique.
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Code de l'éducation, art. L521-4
Code de l'éducation
L'architecture scolaire a une fonction éducative. Elle est un élément indispensable de la pédagogie, contribue à la transmission des connaissances et à la découverte des cultures et favorise le développement de l'autonomie et de la sensibilité artistique des élèves. Il est prévu, dans tous les établissements d'enseignement, un espace à l'usage des parents d'élèves et de leurs délégués.
1,373,414,400,000
32,472,144,000,000
L521-4
LEGIARTI000027682983
LEGIARTI000006525128
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
171,796
null
null
null
Article
<p>L'architecture scolaire a une fonction éducative. Elle est un élément indispensable de la pédagogie, contribue à la transmission des connaissances et à la découverte des cultures et favorise le développement de l'autonomie et de la sensibilité artistique des élèves.</p><p>Il est prévu, dans tous les établissements d'enseignement, un espace à l'usage des parents d'élèves et de leurs délégués.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525128
IG-20231124
null
LEGIARTI000027682983
LEGI
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LEGISCTA000006166645
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Chapitre unique.
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LEGISCTA000006166645
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre II : L'organisation du temps et de l'espace scolaires &gt; Chapitre unique.
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Code de l'éducation, art. L531-1
Code de l'éducation
Pour chaque enfant à charge inscrit dans un collège public, un collège privé ayant passé avec l'Etat l'un des contrats prévus aux articles L. 442-5 et L. 442-12 du présent code ou dans un collège privé habilité à recevoir des boursiers nationaux, une bourse nationale de collège est attribuée aux familles dont les ressources ne dépassent pas un plafond variable selon le nombre d'enfants à charge et revalorisé comme le salaire minimum de croissance prévu par aux articles L. 3231-6 et L. 3231-7 du code du travail. Le montant de la bourse, qui varie en fonction des ressources de la famille, est fixé en pourcentage de la base mensuelle de calcul des prestations familiales mentionnée à l'article L. 551-1 du code de la sécurité sociale.
1,229,126,400,000
32,472,144,000,000
L531-1
LEGIARTI000019911157
LEGIARTI000006525129
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Pour chaque enfant à charge inscrit dans un collège public, un collège privé ayant passé avec l'Etat l'un des contrats prévus aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525009&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 442-5 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525020&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 442-12 </a>du présent code ou dans un collège privé habilité à recevoir des boursiers nationaux, une bourse nationale de collège est attribuée aux familles dont les ressources ne dépassent pas un plafond variable selon le nombre d'enfants à charge et revalorisé comme le salaire minimum de croissance prévu par aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000006902836&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 3231-6 et L. 3231-7 </a>du code du travail. </p><p></p><p>Le montant de la bourse, qui varie en fonction des ressources de la famille, est fixé en pourcentage de la base mensuelle de calcul des prestations familiales mentionnée à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006743403&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 551-1</a> du code de la sécurité sociale.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525129
IG-20231124
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LEGIARTI000019911157
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166646
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Chapitre Ier : L'aide à la scolarité et les bourses nationales.
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LEGISCTA000006166646
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre III : Les aides à la scolarité &gt; Chapitre Ier : L'aide à la scolarité et les bourses nationales.
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Code de l'éducation, art. L531-2
Code de l'éducation
Les bourses nationales de collège sont à la charge de l'Etat. Elles sont servies aux familles, pour les élèves inscrits dans un collège public, par l'établissement, après déduction éventuelle des frais de pension ou de demi-pension et, pour les élèves inscrits dans un collège privé, par les autorités académiques.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L531-2
LEGIARTI000006525130
LEGIARTI000006525130
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> Les bourses nationales de collège sont à la charge de l'Etat.<p></p><p></p> Elles sont servies aux familles, pour les élèves inscrits dans un collège public, par l'établissement, après déduction éventuelle des frais de pension ou de demi-pension et, pour les élèves inscrits dans un collège privé, par les autorités académiques.<p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006525130
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166646
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Chapitre Ier : L'aide à la scolarité et les bourses nationales.
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LEGISCTA000006166646
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre III : Les aides à la scolarité &gt; Chapitre Ier : L'aide à la scolarité et les bourses nationales.
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Code de l'éducation, art. L531-3
Code de l'éducation
Pour les élèves inscrits dans les établissements mentionnés à l'article L. 531-1, aucune autre bourse nationale imputable sur des crédits ouverts par la loi de finances ne peut être attribuée.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L531-3
LEGIARTI000006525132
LEGIARTI000006525132
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
128,847
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Article
<p></p>Pour les élèves inscrits dans les établissements mentionnés à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525129&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L531-1 (V)'>l'article L. 531-1,</a> aucune autre bourse nationale imputable sur des crédits ouverts par la loi de finances ne peut être attribuée.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006525132
LEGI
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Chapitre Ier : L'aide à la scolarité et les bourses nationales.
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LEGISCTA000006166646
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre III : Les aides à la scolarité &gt; Chapitre Ier : L'aide à la scolarité et les bourses nationales.
null
Code de l'éducation, art. L531-4
Code de l'éducation
Des bourses nationales bénéficient, en fonction des ressources de leur famille, aux élèves inscrits : 1° Dans les classes du second degré des lycées publics, des lycées privés ayant passé avec l'Etat l'un des contrats prévus aux articles L. 442-5 et L. 442-12 ou des lycées privés habilités à recevoir des boursiers nationaux ; 2° Dans un établissement régional d'enseignement adapté, sous réserve que soient déduites les aides accordées au titre des exonérations éventuelles de frais de pension et de demi-pension ; 3° Dans les établissements d'enseignement visés au livre VIII du code rural et de la pêche maritime. Ces bourses sont à la charge de l'Etat. Elles sont servies, pour les élèves inscrits dans un établissement public, par l'établissement, après déduction éventuelle des frais de pension ou de demi-pension et, pour les élèves inscrits dans un établissement d'enseignement privé, par les services académiques. Les modalités d'octroi des bourses et les conditions à remplir par les établissements qui reçoivent les boursiers nationaux sont déterminées par décret.
1,567,382,400,000
32,472,144,000,000
L531-4
LEGIARTI000038902821
LEGIARTI000006525133
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.
3.0
171,796
null
null
null
Article
<p>Des bourses nationales bénéficient, en fonction des ressources de leur famille, aux élèves inscrits :</p><p>1° Dans les classes du second degré des lycées publics, des lycées privés ayant passé avec l'Etat l'un des contrats prévus aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525009&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 442-5 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525020&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 442-12</a> ou des lycées privés habilités à recevoir des boursiers nationaux ;</p><p>2° Dans un établissement régional d'enseignement adapté, sous réserve que soient déduites les aides accordées au titre des exonérations éventuelles de frais de pension et de demi-pension ;</p><p>3° Dans les établissements d'enseignement visés au livre VIII du code rural et de la pêche maritime.</p><p>Ces bourses sont à la charge de l'Etat. Elles sont servies, pour les élèves inscrits dans un établissement public, par l'établissement, après déduction éventuelle des frais de pension ou de demi-pension et, pour les élèves inscrits dans un établissement d'enseignement privé, par les services académiques.</p><p>Les modalités d'octroi des bourses et les conditions à remplir par les établissements qui reçoivent les boursiers nationaux sont déterminées par décret.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000022330546
IG-20231129
null
LEGIARTI000038902821
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166646
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Chapitre Ier : L'aide à la scolarité et les bourses nationales.
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LEGISCTA000006166646
null
null
null
null
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre III : Les aides à la scolarité &gt; Chapitre Ier : L'aide à la scolarité et les bourses nationales.
<p>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p>
null
Code de l'éducation, art. L531-5
Code de l'éducation
Après avis favorable du Conseil supérieur de l'éducation, l'Etat peut faire bénéficier de bourses les élèves des établissements d'enseignement technique privés reconnus par l'Etat dans les conditions prévues à l'article L. 443-2 .
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L531-5
LEGIARTI000006525134
LEGIARTI000006525134
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
214,745
null
null
null
Article
<p></p>Après avis favorable du Conseil supérieur de l'éducation, l'Etat peut faire bénéficier de bourses les élèves des établissements d'enseignement technique privés reconnus par l'Etat dans les conditions prévues à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525035&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L443-2 (V)'>L. 443-2</a>.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006525134
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006166646
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Chapitre Ier : L'aide à la scolarité et les bourses nationales.
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LEGISCTA000006166646
null
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre III : Les aides à la scolarité &gt; Chapitre Ier : L'aide à la scolarité et les bourses nationales.
null
Code de l'éducation, art. L532-1
Code de l'éducation
Une allocation de rentrée scolaire est versée dans les conditions prévues par les dispositions de l'article L. 543-1 du code de la sécurité sociale, ci-après reproduites : " Art. L. 543-1 .-Une allocation de rentrée scolaire est attribuée au ménage ou à la personne dont les ressources ne dépassent pas un plafond variable en fonction du nombre des enfants à charge, pour chaque enfant inscrit en exécution de l'obligation scolaire dans un établissement ou organisme d'enseignement public ou privé. Elle est également attribuée, pour chaque enfant d'un âge inférieur à un âge déterminé, et dont la rémunération n'excède pas le plafond mentionné au 2° de l'article L. 512-3, qui poursuit des études ou qui est placé en apprentissage. Le niveau du plafond de ressources varie conformément à l'évolution des prix à la consommation des ménages hors les prix du tabac, dans des conditions prévues par décret en Conseil d'Etat. Son montant est fixé par décret et revalorisé par arrêté conjoint des ministres chargés de la sécurité sociale, du budget et de l'agriculture. Le montant de l'allocation de rentrée scolaire varie selon l'âge de l'enfant."
1,198,281,600,000
32,472,144,000,000
L532-1
LEGIARTI000028060404
LEGIARTI000006525135
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Une allocation de rentrée scolaire est versée dans les conditions prévues par les dispositions de l'article L. 543-1 du code de la sécurité sociale, ci-après reproduites : </p><p>" Art.<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006743374&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de la sécurité sociale. - art. L543-1 (V)'>L. 543-1</a>.-Une allocation de rentrée scolaire est attribuée au ménage ou à la personne dont les ressources ne dépassent pas un plafond variable en fonction du nombre des enfants à charge, pour chaque enfant inscrit en exécution de l'obligation scolaire dans un établissement ou organisme d'enseignement public ou privé.</p><p>Elle est également attribuée, pour chaque enfant d'un âge inférieur à un âge déterminé, et dont la rémunération n'excède pas le plafond mentionné au 2° de l'article L. 512-3, qui poursuit des études ou qui est placé en apprentissage.</p><p>Le niveau du plafond de ressources varie conformément à l'évolution des prix à la consommation des ménages hors les prix du tabac, dans des conditions prévues par décret en Conseil d'Etat. Son montant est fixé par décret et revalorisé par arrêté conjoint des ministres chargés de la sécurité sociale, du budget et de l'agriculture.</p><p>Le montant de l'allocation de rentrée scolaire varie selon l'âge de l'enfant."</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525135
IG-20231124
null
LEGIARTI000028060404
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006166647
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Chapitre II : L'allocation de rentrée scolaire.
null
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LEGISCTA000006166647
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null
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre III : Les aides à la scolarité &gt; Chapitre II : L'allocation de rentrée scolaire.
null
Code de l'éducation, art. L532-2
Code de l'éducation
Tout paiement indu de majoration d'allocation de rentrée scolaire mentionnée aux articles L. 543-1 et L. 755-22 du code de la sécurité sociale peut, sous réserve que l'allocataire n'en conteste pas le caractère indu, être récupéré par retenues sur les prestations familiales dans les conditions définies à l'article L. 553-2 du même code. L'organisme débiteur de prestations familiales peut réduire ou remettre, en cas de précarité de la situation du débiteur, sa créance sur le bénéficiaire, sauf en cas de manoeuvre frauduleuse ou de fausse déclaration. Les différends auxquels peut donner lieu la majoration d'allocation de rentrée scolaire sont réglés suivant les dispositions régissant le contentieux de la sécurité sociale.
1,577,836,800,000
32,472,144,000,000
L532-2
LEGIARTI000038314393
LEGIARTI000006525136
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l’article 96, VII de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions sont applicables aux recours préalables et aux recours juridictionnels introduits à compter d'une date fixée par décret en Conseil d'Etat, et au plus tard le 1er janvier 2020.
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p><p>Tout paiement indu de majoration d'allocation de rentrée scolaire mentionnée aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006743374&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 543-1 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006744196&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 755-22 </a>du code de la sécurité sociale peut, sous réserve que l'allocataire n'en conteste pas le caractère indu, être récupéré par retenues sur les prestations familiales dans les conditions définies à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006743423&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 553-2</a> du même code.</p><p>L'organisme débiteur de prestations familiales peut réduire ou remettre, en cas de précarité de la situation du débiteur, sa créance sur le bénéficiaire, sauf en cas de manoeuvre frauduleuse ou de fausse déclaration.</p><p>Les différends auxquels peut donner lieu la majoration d'allocation de rentrée scolaire sont réglés suivant les dispositions régissant le contentieux de la sécurité sociale.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525136
IG-20231129
null
LEGIARTI000038314393
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166647
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Chapitre II : L'allocation de rentrée scolaire.
null
null
LEGISCTA000006166647
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre III : Les aides à la scolarité &gt; Chapitre II : L'allocation de rentrée scolaire.
<p>Conformément à l’article 96, VII de la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019, ces dispositions sont applicables aux recours préalables et aux recours juridictionnels introduits à compter d'une date fixée par décret en Conseil d'Etat, et au plus tard le 1er janvier 2020.</p>
null
Code de l'éducation, art. L533-1
Code de l'éducation
Les collectivités territoriales, les établissements publics de coopération intercommunale et les caisses des écoles peuvent faire bénéficier des mesures à caractère social tout enfant sans considération de l'établissement d'enseignement qu'il fréquente.
1,104,537,600,000
32,472,144,000,000
L533-1
LEGIARTI000006525138
LEGIARTI000006525137
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> Les collectivités territoriales, les établissements publics de coopération intercommunale et les caisses des écoles peuvent faire bénéficier des mesures à caractère social tout enfant sans considération de l'établissement d'enseignement qu'il fréquente.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525137
IG-20231124
null
LEGIARTI000006525138
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166648
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Chapitre III : Les aides attribuées par les collectivités territoriales.
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LEGISCTA000006166648
null
null
null
null
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre III : Les aides à la scolarité &gt; Chapitre III : Les aides attribuées par les collectivités territoriales.
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Code de l'éducation, art. L533-2
Code de l'éducation
Les bourses entretenues sur les fonds départementaux sont attribuées par le conseil départemental dans les conditions fixées par les dispositions de l'article L. 3214-2 du code général des collectivités territoriales, ci-après reproduites : " Art. L. 3214-2 .-Le conseil départemental attribue et retire les bourses entretenues sur les fonds départementaux, sur l'avis motivé : 1° Du proviseur ou du principal et du conseil d'administration, pour les lycées ou les collèges ; 2° Du responsable d'établissement, pour les établissements d'enseignement privés. L'autorité compétente peut prononcer le retrait dans les cas d'urgence ; elle en donne avis immédiatement au président du conseil départemental et en fait connaître les motifs. "
1,426,982,400,000
32,472,144,000,000
L533-2
LEGIARTI000027573731
LEGIARTI000006525139
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
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null
null
Article
<p></p>Les bourses entretenues sur les fonds départementaux sont attribuées par le conseil départemental dans les conditions fixées par les dispositions de l'article L. 3214-2 du code général des collectivités territoriales, ci-après reproduites : <p></p><p></p>" Art. <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070633&idArticle=LEGIARTI000006391724&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 3214-2</a>.-Le conseil départemental attribue et retire les bourses entretenues sur les fonds départementaux, sur l'avis motivé : <p></p><p></p>1° Du proviseur ou du principal et du conseil d'administration, pour les lycées ou les collèges ; <p></p><p></p>2° Du responsable d'établissement, pour les établissements d'enseignement privés. <p></p><p></p>L'autorité compétente peut prononcer le retrait dans les cas d'urgence ; elle en donne avis immédiatement au président du conseil départemental et en fait connaître les motifs. "<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525139
IG-20231124
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LEGIARTI000027573731
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166648
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Chapitre III : Les aides attribuées par les collectivités territoriales.
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LEGISCTA000006166648
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre III : Les aides à la scolarité &gt; Chapitre III : Les aides attribuées par les collectivités territoriales.
<p></p>
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Code de l'éducation, art. L541-1
Code de l'éducation
Les actions de promotion de la santé des élèves font partie des missions de l'éducation nationale. L'ensemble des personnels de la communauté éducative participe à cette mission, assurée en priorité par les personnels médicaux, infirmiers, assistants de service social et psychologues de l'éducation nationale, travaillant ensemble de manière coordonnée. A ce titre, les élèves bénéficient, au cours de leur scolarité, d'actions de prévention et d'information, de visites médicales et de dépistage obligatoires, qui constituent leur parcours de santé dans le système scolaire. Les élèves bénéficient également d'actions de promotion de la santé constituant un parcours éducatif de santé conduit dans les conditions prévues à l'avant-dernier alinéa du II de l'article L. 121-4-1 . Ces actions favorisent notamment leur réussite scolaire et la réduction des inégalités en matière de santé. Les visites médicales et de dépistage obligatoires ne donnent pas lieu à contribution pécuniaire de la part des familles. Les personnes responsables de l'enfant sont tenues, sur convocation administrative, de présenter les enfants à ces visites, sauf si elles sont en mesure de fournir un certificat médical attestant que l'examen correspondant à l'âge de l'enfant, prévu à l'article L. 2132-2 du code de la santé publique, a été réalisé par un professionnel de santé de leur choix. Une visite est organisée à l'école pour tous les enfants âgés de trois ans à quatre ans. Cette visite permet notamment un dépistage des troubles de santé, qu'ils soient sensoriels, psycho-affectifs, staturo-pondéraux ou neuro-développementaux, en particulier du langage oral. Elle est effectuée par les professionnels de santé du service départemental de protection maternelle et infantile en application du 2° de l'article L. 2112-2 du même code et permet l'établissement du bilan de santé mentionné au même article L. 2112-2. Lorsque le service départemental de protection maternelle et infantile n'est pas en mesure de la réaliser, la visite est effectuée par les professionnels de santé de l'éducation nationale. Au cours de la sixième année, une visite permettant en particulier un dépistage des troubles spécifiques du langage et des apprentissages est organisée dans des conditions fixées par voie réglementaire. Les médecins de l'éducation nationale travaillent en lien avec l'équipe éducative, les professionnels de santé et les parents, afin que, pour chaque enfant, une prise en charge et un suivi adaptés soient réalisés suite à ces visites. Les médecins de l'éducation nationale collaborent avec les centres de santé et les maisons de santé pour la mise en œuvre du parcours mentionné au 7° de l'article L. 6323-1-1 dudit code et au dernier alinéa de l'article L. 6323-3 du même code. A ce titre, ils peuvent orienter les parents ou le représentant légal de l'enfant vers les centres de santé ou les maisons de santé proposant un tel parcours. Les ministres chargés de l'éducation nationale et de la santé déterminent conjointement, par voie réglementaire, pour les visites médicales et les dépistages obligatoires, la périodicité et le contenu de l'examen médical de prévention et de dépistage, ainsi que les modalités de coordination avec les missions particulières des médecins traitants mentionnés au deuxième alinéa de l'article L. 162-5-3 du code de la sécurité sociale. Des examens médicaux périodiques sont également effectués pendant tout le cours de la scolarité et le suivi sanitaire des élèves est exercé avec le concours de l'infirmier et, dans les établissements du second degré, d'un assistant de service social. Avec l'accord du représentant légal de l'élève mineur ou de l'élève majeur, les données de santé collectées dans le cadre des examens, des visites médicales et du suivi médical de l'élève sont reportées dans son dossier médical partagé dans les conditions prévues à l'article L. 1111-15 du code de la santé publique. Un décret, pris après avis de la Haute Autorité de santé et de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, détermine les informations concernées et les échéances des versements.
1,661,990,400,000
32,472,144,000,000
L541-1
LEGIARTI000042656190
LEGIARTI000006525141
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au VII de l’article 98 de la loi n° 2020-1525 du 7 décembre 2020, les présentes dispositions entrent en vigueur à une date fixée par décret, et au plus tard le 1er septembre 2022.
9.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Les actions de promotion de la santé des élèves font partie des missions de l'éducation nationale. L'ensemble des personnels de la communauté éducative participe à cette mission, assurée en priorité par les personnels médicaux, infirmiers, assistants de service social et psychologues de l'éducation nationale, travaillant ensemble de manière coordonnée. A ce titre, les élèves bénéficient, au cours de leur scolarité, d'actions de prévention et d'information, de visites médicales et de dépistage obligatoires, qui constituent leur parcours de santé dans le système scolaire. Les élèves bénéficient également d'actions de promotion de la santé constituant un parcours éducatif de santé conduit dans les conditions prévues à l'avant-dernier alinéa du II de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000027679850&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 121-4-1</a>. Ces actions favorisent notamment leur réussite scolaire et la réduction des inégalités en matière de santé.</p><p>Les visites médicales et de dépistage obligatoires ne donnent pas lieu à contribution pécuniaire de la part des familles.</p><p>Les personnes responsables de l'enfant sont tenues, sur convocation administrative, de présenter les enfants à ces visites, sauf si elles sont en mesure de fournir un certificat médical attestant que l'examen correspondant à l'âge de l'enfant, prévu à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072665&idArticle=LEGIARTI000006687405&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2132-2 </a>du code de la santé publique, a été réalisé par un professionnel de santé de leur choix.</p><p>Une visite est organisée à l'école pour tous les enfants âgés de trois ans à quatre ans. Cette visite permet notamment un dépistage des troubles de santé, qu'ils soient sensoriels, psycho-affectifs, staturo-pondéraux ou neuro-développementaux, en particulier du langage oral. Elle est effectuée par les professionnels de santé du service départemental de protection maternelle et infantile en application du 2° de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072665&idArticle=LEGIARTI000006687357&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2112-2</a> du même code et permet l'établissement du bilan de santé mentionné au même article L. 2112-2. Lorsque le service départemental de protection maternelle et infantile n'est pas en mesure de la réaliser, la visite est effectuée par les professionnels de santé de l'éducation nationale.</p><p>Au cours de la sixième année, une visite permettant en particulier un dépistage des troubles spécifiques du langage et des apprentissages est organisée dans des conditions fixées par voie réglementaire.</p><p>Les médecins de l'éducation nationale travaillent en lien avec l'équipe éducative, les professionnels de santé et les parents, afin que, pour chaque enfant, une prise en charge et un suivi adaptés soient réalisés suite à ces visites.</p><p>Les médecins de l'éducation nationale collaborent avec les centres de santé et les maisons de santé pour la mise en œuvre du parcours mentionné au 7° de l'article L. 6323-1-1 dudit code et au dernier alinéa de l'article L. 6323-3 du même code. A ce titre, ils peuvent orienter les parents ou le représentant légal de l'enfant vers les centres de santé ou les maisons de santé proposant un tel parcours.</p><p>Les ministres chargés de l'éducation nationale et de la santé déterminent conjointement, par voie réglementaire, pour les visites médicales et les dépistages obligatoires, la périodicité et le contenu de l'examen médical de prévention et de dépistage, ainsi que les modalités de coordination avec les missions particulières des médecins traitants mentionnés au deuxième alinéa de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006740743&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 162-5-3 </a>du code de la sécurité sociale.</p><p>Des examens médicaux périodiques sont également effectués pendant tout le cours de la scolarité et le suivi sanitaire des élèves est exercé avec le concours de l'infirmier et, dans les établissements du second degré, d'un assistant de service social.</p><p>Avec l'accord du représentant légal de l'élève mineur ou de l'élève majeur, les données de santé collectées dans le cadre des examens, des visites médicales et du suivi médical de l'élève sont reportées dans son dossier médical partagé dans les conditions prévues à l'article L. 1111-15 du code de la santé publique. Un décret, pris après avis de la Haute Autorité de santé et de la Commission nationale de l'informatique et des libertés, détermine les informations concernées et les échéances des versements.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000044628600
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LEGI
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LEGISCTA000006166649
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Chapitre Ier : La protection de la santé.
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre IV : La santé scolaire &gt; Chapitre Ier : La protection de la santé.
<p>Conformément au VII de l’article 98 de la loi n° 2020-1525 du 7 décembre 2020, les présentes dispositions entrent en vigueur à une date fixée par décret, et au plus tard le 1er septembre 2022.</p>
null
Code de l'éducation, art. L541-2
Code de l'éducation
Tous les membres du personnel des établissements d'enseignement et d'éducation, publics ou privés et toutes les personnes se trouvant en contact habituel avec les élèves dans l'enceinte desdits établissements sont obligatoirement soumis, périodiquement, et au moins tous les deux ans, à un examen médical de dépistage des maladies contagieuses. Ils reçoivent à cette occasion par le médecin scolaire une information concernant les causes, les conséquences et les moyens de traitement et de lutte contre le tabagisme, l'alcoolisme et la toxicomanie.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L541-2
LEGIARTI000006525144
LEGIARTI000006525144
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
171,796
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null
Article
<p></p> Tous les membres du personnel des établissements d'enseignement et d'éducation, publics ou privés et toutes les personnes se trouvant en contact habituel avec les élèves dans l'enceinte desdits établissements sont obligatoirement soumis, périodiquement, et au moins tous les deux ans, à un examen médical de dépistage des maladies contagieuses.<p></p><p></p> Ils reçoivent à cette occasion par le médecin scolaire une information concernant les causes, les conséquences et les moyens de traitement et de lutte contre le tabagisme, l'alcoolisme et la toxicomanie.<p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006525144
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006166649
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Chapitre Ier : La protection de la santé.
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null
LEGISCTA000006166649
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null
null
null
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre IV : La santé scolaire &gt; Chapitre Ier : La protection de la santé.
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Code de l'éducation, art. L541-3
Code de l'éducation
Dans chaque chef-lieu de département et d'arrondissement, dans chaque commune de plus de 5 000 habitants et dans les communes désignées par arrêté ministériel, un ou plusieurs centres médico-sociaux scolaires sont organisés pour les visites et examens prescrits aux articles L. 541-1 et L. 541-2. Ils concourent à la mise en oeuvre des actions coordonnées de prévention et d'éducation à la santé que comporte le programme régional pour l'accès à la prévention et aux soins des personnes les plus démunies prévu à l' article L. 1434-2 du code de la santé publique .
1,267,142,400,000
32,472,144,000,000
L541-3
LEGIARTI000021940476
LEGIARTI000006525145
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p>Dans chaque chef-lieu de département et d'arrondissement, dans chaque commune de plus de 5 000 habitants et dans les communes désignées par arrêté ministériel, un ou plusieurs centres médico-sociaux scolaires sont organisés pour les visites et examens prescrits aux articles L. 541-1 et L. 541-2. <p></p><p></p>Ils concourent à la mise en oeuvre des actions coordonnées de prévention et d'éducation à la santé que comporte le programme régional pour l'accès à la prévention et aux soins des personnes les plus démunies prévu à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072665&idArticle=LEGIARTI000020891623&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 1434-2 du code de la santé publique</a>.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525146
IG-20231124
null
LEGIARTI000021940476
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166649
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Chapitre Ier : La protection de la santé.
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null
LEGISCTA000006166649
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre IV : La santé scolaire &gt; Chapitre Ier : La protection de la santé.
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Code de l'éducation, art. L541-4
Code de l'éducation
Le contrôle médical des activités physiques et sportives scolaires est assuré dans les conditions définies aux articles L. 541-1 et L. 541-3.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L541-4
LEGIARTI000006525147
LEGIARTI000006525147
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
300,643
null
null
null
Article
<p></p> Le contrôle médical des activités physiques et sportives scolaires est assuré dans les conditions définies aux articles L. 541-1 et L. 541-3.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231129
null
LEGIARTI000006525147
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166649
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Chapitre Ier : La protection de la santé.
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LEGISCTA000006166649
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null
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre IV : La santé scolaire &gt; Chapitre Ier : La protection de la santé.
null
Code de l'éducation, art. L541-5
Code de l'éducation
Des décrets déterminent les modalités d'application du présent chapitre, et notamment les conditions d'organisation et de fonctionnement du service médical et du service social concernant la population scolaire. Ceux qui touchent à des questions de doctrine médicale sont pris après avis de l'académie nationale de médecine.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L541-5
LEGIARTI000006525148
LEGIARTI000006525148
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
343,592
null
null
null
Article
<p></p> Des décrets déterminent les modalités d'application du présent chapitre, et notamment les conditions d'organisation et de fonctionnement du service médical et du service social concernant la population scolaire. Ceux qui touchent à des questions de doctrine médicale sont pris après avis de l'académie nationale de médecine.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006525148
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166649
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Chapitre Ier : La protection de la santé.
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LEGISCTA000006166649
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre IV : La santé scolaire &gt; Chapitre Ier : La protection de la santé.
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Code de l'éducation, art. L541-6
Code de l'éducation
Les élèves bénéficient du régime d'assurance des accidents du travail dans les conditions prévues à l'article L. 412-8 du code de la sécurité sociale à l'exception de ceux de l'enseignement agricole, qui bénéficient du régime spécifique d'assurance obligatoire institué par l'article L. 751-1 du code rural et de la pêche maritime.
1,273,276,800,000
32,472,144,000,000
L541-6
LEGIARTI000022330554
LEGIARTI000006525149
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
386,541
null
null
null
Article
<p>Les élèves bénéficient du régime d'assurance des accidents du travail dans les conditions prévues à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006743161&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de la sécurité sociale. - art. L412-8 (M)'>L. 412-8 </a>du code de la sécurité sociale à l'exception de ceux de l'enseignement agricole, qui bénéficient du régime spécifique d'assurance obligatoire institué par l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071367&idArticle=LEGIARTI000006585729&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code rural - art. L751-1 (V)'>L. 751-1</a> du code rural et de la pêche maritime.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525149
IG-20231124
null
LEGIARTI000022330554
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006166649
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Chapitre Ier : La protection de la santé.
null
null
LEGISCTA000006166649
null
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null
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre IV : La santé scolaire &gt; Chapitre Ier : La protection de la santé.
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Code de l'éducation, art. L542-1
Code de l'éducation
Les médecins, l'ensemble des personnels médicaux et paramédicaux, les travailleurs sociaux, les magistrats, les personnels enseignants, les professionnels des services aux familles définis à l'article L. 214-1 du code de l'action sociale et des familles, les personnels d'animation sportive, culturelle et de loisirs et les personnels de la police nationale, des polices municipales et de la gendarmerie nationale reçoivent une formation initiale et continue, en partie commune aux différentes professions et institutions, dans le domaine de la protection de l'enfance en danger. Cette formation comporte un module pluridisciplinaire relatif aux infractions sexuelles à l'encontre des mineurs et leurs effets. Cette formation est dispensée dans des conditions fixées par voie réglementaire.
1,640,995,200,000
32,472,144,000,000
L542-1
LEGIARTI000043520200
LEGIARTI000006525150
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au I de l'article 11 de l'ordonnance n° 2021-611 du 19 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2022.
4.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Les médecins, l'ensemble des personnels médicaux et paramédicaux, les travailleurs sociaux, les magistrats, les personnels enseignants, les professionnels des services aux familles définis à l'article L. 214-1 du code de l'action sociale et des familles, les personnels d'animation sportive, culturelle et de loisirs et les personnels de la police nationale, des polices municipales et de la gendarmerie nationale reçoivent une formation initiale et continue, en partie commune aux différentes professions et institutions, dans le domaine de la protection de l'enfance en danger. Cette formation comporte un module pluridisciplinaire relatif aux infractions sexuelles à l'encontre des mineurs et leurs effets. Cette formation est dispensée dans des conditions fixées par voie réglementaire.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000021796975
IG-20231124
null
LEGIARTI000043520200
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006166650
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Chapitre II : La prévention des mauvais traitements.
null
null
LEGISCTA000006166650
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre IV : La santé scolaire &gt; Chapitre II : La prévention des mauvais traitements.
<p>Conformément au I de l'article 11 de l'ordonnance n° 2021-611 du 19 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2022.</p>
null
Code de l'éducation, art. L542-2
Code de l'éducation
Les visites médicales effectuées en application du troisième alinéa (2°) de l'article L. 2112-2 du code de la santé publique et de l'avant-dernier de l'article L. 541-1 du présent code ont notamment pour objet de prévenir et de détecter les cas d'enfants maltraités ou victimes de harcèlement scolaire.
1,661,990,400,000
32,472,144,000,000
L542-2
LEGIARTI000044794908
LEGIARTI000006525152
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au VII de l’article 98 de la loi n° 2020-1525 du 7 décembre 2020, les présentes dispositions entrent en vigueur à une date fixée par décret, et au plus tard le 1er septembre 2022.
5.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Les visites médicales effectuées en application du troisième alinéa (2°) de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072665&idArticle=LEGIARTI000006687357&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 2112-2 </a>du code de la santé publique et de l'avant-dernier de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525141&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 541-1</a> du présent code ont notamment pour objet de prévenir et de détecter les cas d'enfants maltraités ou victimes de harcèlement scolaire.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000045292519
IG-20231128
null
LEGIARTI000044794908
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006166650
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Chapitre II : La prévention des mauvais traitements.
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null
LEGISCTA000006166650
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null
null
null
null
Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre IV : La santé scolaire &gt; Chapitre II : La prévention des mauvais traitements.
<p>Conformément au VII de l’article 98 de la loi n° 2020-1525 du 7 décembre 2020, les présentes dispositions entrent en vigueur à une date fixée par décret, et au plus tard le 1er septembre 2022.</p>
null
Code de l'éducation, art. L542-3
Code de l'éducation
Au moins une séance annuelle d'information et de sensibilisation sur l'enfance maltraitée, notamment sur les violences intrafamiliales à caractère sexuel, est inscrite dans l'emploi du temps des élèves des écoles, des collèges et des lycées. Ces séances, organisées à l'initiative des chefs d'établissement, associent les familles et l'ensemble des personnels, ainsi que les services publics de l'Etat, les collectivités locales et les associations intéressées à la protection de l'enfance.
1,265,760,000,000
32,472,144,000,000
L542-3
LEGIARTI000021796973
LEGIARTI000006525155
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
214,745
null
null
null
Article
<p>Au moins une séance annuelle d'information et de sensibilisation sur l'enfance maltraitée, notamment sur les violences intrafamiliales à caractère sexuel, est inscrite dans l'emploi du temps des élèves des écoles, des collèges et des lycées. </p><p>Ces séances, organisées à l'initiative des chefs d'établissement, associent les familles et l'ensemble des personnels, ainsi que les services publics de l'Etat, les collectivités locales et les associations intéressées à la protection de l'enfance.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525155
IG-20231124
null
LEGIARTI000021796973
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166650
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Chapitre II : La prévention des mauvais traitements.
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LEGISCTA000006166650
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null
null
null
Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre IV : La santé scolaire &gt; Chapitre II : La prévention des mauvais traitements.
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Code de l'éducation, art. L542-4
Code de l'éducation
Un décret fixe les conditions d'application des articles L. 542-2 et L. 542-3.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L542-4
LEGIARTI000006525156
LEGIARTI000006525156
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
257,694
null
null
null
Article
<p></p> Un décret fixe les conditions d'application des articles L. 542-2 et L. 542-3.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000006525156
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166650
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Chapitre II : La prévention des mauvais traitements.
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null
LEGISCTA000006166650
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null
null
null
null
Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre IV : La santé scolaire &gt; Chapitre II : La prévention des mauvais traitements.
null
Code de l'éducation, art. L543-1
Code de l'éducation
Le projet d'école ou d'établissement mentionné à l'article L. 401-1 fixe les lignes directrices et les procédures destinées à la prévention, à la détection et au traitement des faits constitutifs de harcèlement au sens de l'article 222-33-2-3 du code pénal . Pour l'élaboration des lignes directrices et des procédures mentionnées au premier alinéa du présent article, les représentants de la communauté éducative associent les personnels médicaux, les infirmiers, les assistants de service social et les psychologues de l'éducation nationale intervenant au sein de l'école ou de l'établissement.
1,646,352,000,000
32,472,144,000,000
L543-1
LEGIARTI000045289191
LEGIARTI000045289191
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>Le projet d'école ou d'établissement mentionné à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006524913&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 401-1 </a>fixe les lignes directrices et les procédures destinées à la prévention, à la détection et au traitement des faits constitutifs de harcèlement au sens de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000045289333&dateTexte=&categorieLien=cid'>222-33-2-3 du code pénal</a>. <br/><br/>Pour l'élaboration des lignes directrices et des procédures mentionnées au premier alinéa du présent article, les représentants de la communauté éducative associent les personnels médicaux, les infirmiers, les assistants de service social et les psychologues de l'éducation nationale intervenant au sein de l'école ou de l'établissement.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
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LEGIARTI000045289191
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000045289189
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Chapitre III : La prise en charge des victimes et des auteurs de harcèlement scolaire
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LEGISCTA000045289189
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre IV : La santé scolaire &gt; Chapitre III : La prise en charge des victimes et des auteurs de harcèlement scolaire
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Code de l'éducation, art. L551-1
Code de l'éducation
Des activités périscolaires prolongeant le service public de l'éducation, et en complémentarité avec lui, peuvent être organisées dans le cadre d'un projet éducatif territorial associant notamment aux services et établissements relevant du ministre chargé de l'éducation nationale d'autres administrations, des collectivités territoriales, des associations et des fondations, sans toutefois se substituer aux activités d'enseignement et de formation fixées par l'Etat. L'élaboration et la mise en application de ce projet sont suivies par un comité de pilotage. Le projet éducatif territorial vise notamment à favoriser, pendant le temps libre des élèves, leur égal accès aux pratiques et activités culturelles et sportives et aux nouvelles technologies de l'information et de la communication. Les établissements scolaires veillent, dans l'organisation des activités périscolaires à caractère facultatif, à ce que les ressources des familles ne constituent pas un facteur discriminant entre les élèves.
1,373,414,400,000
32,472,144,000,000
L551-1
LEGIARTI000027682987
LEGIARTI000006525157
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Des activités périscolaires prolongeant le service public de l'éducation, et en complémentarité avec lui, peuvent être organisées dans le cadre d'un projet éducatif territorial associant notamment aux services et établissements relevant du ministre chargé de l'éducation nationale d'autres administrations, des collectivités territoriales, des associations et des fondations, sans toutefois se substituer aux activités d'enseignement et de formation fixées par l'Etat. L'élaboration et la mise en application de ce projet sont suivies par un comité de pilotage.</p><p></p><p>Le projet éducatif territorial vise notamment à favoriser, pendant le temps libre des élèves, leur égal accès aux pratiques et activités culturelles et sportives et aux nouvelles technologies de l'information et de la communication. Les établissements scolaires veillent, dans l'organisation des activités périscolaires à caractère facultatif, à ce que les ressources des familles ne constituent pas un facteur discriminant entre les élèves.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525157
MD-20240104_212434_466_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000027682987
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006166651
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Chapitre Ier : Les activités périscolaires.
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LEGISCTA000006166651
null
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null
null
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre V : Les activités périscolaires, sportives et culturelles &gt; Chapitre Ier : Les activités périscolaires.
null
Code de l'éducation, art. L552-1
Code de l'éducation
Composantes de l'éducation physique et sportive, les activités physiques et sportives volontaires des élèves sont organisées dans les établissements par les associations sportives scolaires. Tout élève apte à l'éducation physique et sportive est réputé apte à ces activités physiques et sportives volontaires.
1,453,939,200,000
32,472,144,000,000
L552-1
LEGIARTI000031932557
LEGIARTI000006525158
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Composantes de l'éducation physique et sportive, les activités physiques et sportives volontaires des élèves sont organisées dans les établissements par les associations sportives scolaires.</p><p>Tout élève apte à l'éducation physique et sportive est réputé apte à ces activités physiques et sportives volontaires.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525158
MD-20240528_185149_604_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000031932557
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166652
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Chapitre II : Les activités physiques et sportives.
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LEGISCTA000006166652
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null
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre V : Les activités périscolaires, sportives et culturelles &gt; Chapitre II : Les activités physiques et sportives.
null
Code de l'éducation, art. L552-2
Code de l'éducation
I.- Une association sportive est créée dans tous les établissements du second degré. L'Etat et les collectivités territoriales favorisent la création d'une association sportive dans chaque établissement du premier degré. Les associations sportives scolaires bénéficient de l'aide de l'Etat. Les collectivités territoriales peuvent concourir au développement de ces associations, en particulier en favorisant l'accès à leurs équipements sportifs. Les associations sportives scolaires adoptent des dispositions statutaires obligatoires définies par décret en Conseil d'Etat. II.- Dans les établissements du premier degré, l'Etat et les collectivités territoriales qui participent au plan sportif local mentionné à l'article L. 113-4 du code du sport favorisent, dans le cadre d'une alliance éducative territoriale, l'organisation d'activités de nature à susciter l'engagement des élèves dans le cadre de projets culturels, sportifs, artistiques ou citoyens. Ces activités peuvent donner lieu à la création d'associations dans chaque établissement du premier degré.
1,646,352,000,000
32,472,144,000,000
L552-2
LEGIARTI000045293784
LEGIARTI000006525159
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p>I.- Une association sportive est créée dans tous les établissements du second degré. L'Etat et les collectivités territoriales favorisent la création d'une association sportive dans chaque établissement du premier degré.</p><p>Les associations sportives scolaires bénéficient de l'aide de l'Etat. Les collectivités territoriales peuvent concourir au développement de ces associations, en particulier en favorisant l'accès à leurs équipements sportifs.</p><p>Les associations sportives scolaires adoptent des dispositions statutaires obligatoires définies par décret en Conseil d'Etat.</p><p>II.- Dans les établissements du premier degré, l'Etat et les collectivités territoriales qui participent au plan sportif local mentionné à l'article L. 113-4 du code du sport favorisent, dans le cadre d'une alliance éducative territoriale, l'organisation d'activités de nature à susciter l'engagement des élèves dans le cadre de projets culturels, sportifs, artistiques ou citoyens. Ces activités peuvent donner lieu à la création d'associations dans chaque établissement du premier degré.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525159
IG-20231128
null
LEGIARTI000045293784
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166652
false
false
Chapitre II : Les activités physiques et sportives.
null
null
LEGISCTA000006166652
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre V : Les activités périscolaires, sportives et culturelles &gt; Chapitre II : Les activités physiques et sportives.
null
Code de l'éducation, art. L552-3
Code de l'éducation
Les associations mentionnées au I de l'article L. 552-2 sont affiliées à des fédérations ou à des unions sportives scolaires et universitaires. Les statuts de ces unions et fédérations sont approuvés par décret en Conseil d'Etat.
1,646,352,000,000
32,472,144,000,000
L552-3
LEGIARTI000045293773
LEGIARTI000006525160
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
171,796
null
null
null
Article
<p>Les associations mentionnées au I de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000045293784&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code de l'éducation - art. L552-2 (V)'>L. 552-2</a> sont affiliées à des fédérations ou à des unions sportives scolaires et universitaires. Les statuts de ces unions et fédérations sont approuvés par décret en Conseil d'Etat.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525161
IG-20231124
null
LEGIARTI000045293773
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166652
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false
Chapitre II : Les activités physiques et sportives.
null
null
LEGISCTA000006166652
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre V : Les activités périscolaires, sportives et culturelles &gt; Chapitre II : Les activités physiques et sportives.
null
Code de l'éducation, art. L552-4
Code de l'éducation
Les associations sportives scolaires et les fédérations sportives scolaires sont soumises aux dispositions du code du sport, à l'exception de ses articles L. 231-2 et L. 231-2-1 , et, en outre, aux dispositions du présent chapitre.
1,453,939,200,000
32,472,144,000,000
L552-4
LEGIARTI000031932554
LEGIARTI000006525162
AUTONOME
VIGUEUR
5.0
300,643
null
null
null
Article
<p>Les associations sportives scolaires et les fédérations sportives scolaires sont soumises aux dispositions du code du sport, à l'exception de ses articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071318&idArticle=LEGIARTI000006547612&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code du sport. - art. L231-2 (V)'>L. 231-2 et L. 231-2-1</a>, et, en outre, aux dispositions du présent chapitre.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000019911250
IG-20231129
null
LEGIARTI000031932554
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166652
false
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Chapitre II : Les activités physiques et sportives.
null
null
LEGISCTA000006166652
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre V : Les activités périscolaires, sportives et culturelles &gt; Chapitre II : Les activités physiques et sportives.
null
Code de l'éducation, art. L561-1
Code de l'éducation
Pour leur application en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, à La Réunion et à Mayotte, les dispositions du présent livre font l'objet des adaptations prévues au présent chapitre.
1,640,995,200,000
32,472,144,000,000
L561-1
LEGIARTI000043485145
LEGIARTI000006525165
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Pour leur application en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, à La Réunion et à Mayotte, les dispositions du présent livre font l'objet des adaptations prévues au présent chapitre.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525165
IG-20231124
null
LEGIARTI000043485145
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000043485157
false
false
Chapitre Ier : Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion, Mayotte
null
null
LEGISCTA000006166653
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre VI : Dispositions relatives à l'outre-mer &gt; Chapitre Ier : Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion, Mayotte
<p>Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.</p>
null
Code de l'éducation, art. L561-2
Code de l'éducation
Pour son application en Guyane, l'article L. 533-2 est ainsi rédigé : “ Art. L. 533-2.-Les bourses entretenues sur les fonds inscrits au budget de la collectivité sont attribuées par l'assemblée de Guyane dans les conditions fixées par les dispositions de l'article L. 3214-2 du code général des collectivités territoriales. ”
1,640,995,200,000
32,472,144,000,000
L561-2
LEGIARTI000043480516
LEGIARTI000043480507
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.
1.0
1,073,763,298
null
null
null
Article
<p>Pour son application en Guyane, l'article L. 533-2 est ainsi rédigé :</p><p>“ Art. L. 533-2.-Les bourses entretenues sur les fonds inscrits au budget de la collectivité sont attribuées par l'assemblée de Guyane dans les conditions fixées par les dispositions de l'article L. 3214-2 du code général des collectivités territoriales. ”</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000043480516
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000043485157
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Chapitre Ier : Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion, Mayotte
null
null
LEGISCTA000006166653
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre VI : Dispositions relatives à l'outre-mer &gt; Chapitre Ier : Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion, Mayotte
<p>Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.</p>
null
Code de l'éducation, art. L561-3
Code de l'éducation
Pour son application en Martinique, l'article L. 533-2 est ainsi rédigé : “ Art. L. 533-2.-Les bourses entretenues sur les fonds inscrits au budget de la collectivité sont attribuées par l'assemblée de Martinique dans les conditions fixées par les dispositions de l'article L. 3214-2 du code général des collectivités territoriales. ”
1,640,995,200,000
32,472,144,000,000
L561-3
LEGIARTI000043480521
LEGIARTI000043480509
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.
1.0
1,610,623,472
null
null
null
Article
<p>Pour son application en Martinique, l'article L. 533-2 est ainsi rédigé :</p><p>“ Art. L. 533-2.-Les bourses entretenues sur les fonds inscrits au budget de la collectivité sont attribuées par l'assemblée de Martinique dans les conditions fixées par les dispositions de l'article L. 3214-2 du code général des collectivités territoriales. ”</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000043480521
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000043485157
false
false
Chapitre Ier : Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion, Mayotte
null
null
LEGISCTA000006166653
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre VI : Dispositions relatives à l'outre-mer &gt; Chapitre Ier : Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion, Mayotte
<p>Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.</p>
null
Code de l'éducation, art. L561-4
Code de l'éducation
Pour l'application à Mayotte du chapitre II du titre III du présent livre : 1° L'article L. 532-1 est ainsi rédigé : “ Art. L. 532-1.-Une allocation de rentrée scolaire est versée dans les conditions prévues par les dispositions des articles 8 et 8-1 de l'ordonnance n° 2002-149 du 7 février 2002 relative à l'extension et la généralisation des prestations familiales et à la protection sociale dans la collectivité départementale de Mayotte. ” ; 2° L'article L. 532-2 est ainsi rédigé : “ Art. L. 532-2.-Tout paiement indu de majoration d'allocation de rentrée scolaire mentionnée aux articles 8 et 8-1 de l'ordonnance n° 2002-149 du 7 février 2002 relative à l'extension et la généralisation des prestations familiales et à la protection sociale dans la collectivité départementale de Mayotte peut être récupéré dans les conditions fixées à l'article 13 de la même ordonnance. ”
1,640,995,200,000
32,472,144,000,000
L561-4
LEGIARTI000043480525
LEGIARTI000043480511
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.
1.0
1,879,053,559
null
null
null
Article
<p>Pour l'application à Mayotte du chapitre II du titre III du présent livre :</p><p>1° L'article L. 532-1 est ainsi rédigé :</p><p>“ Art. L. 532-1.-Une allocation de rentrée scolaire est versée dans les conditions prévues par les dispositions des articles 8 et 8-1 de l'ordonnance n° 2002-149 du 7 février 2002 relative à l'extension et la généralisation des prestations familiales et à la protection sociale dans la collectivité départementale de Mayotte. ” ;</p><p>2° L'article L. 532-2 est ainsi rédigé :</p><p>“ Art. L. 532-2.-Tout paiement indu de majoration d'allocation de rentrée scolaire mentionnée aux articles 8 et 8-1 de l'ordonnance n° 2002-149 du 7 février 2002 relative à l'extension et la généralisation des prestations familiales et à la protection sociale dans la collectivité départementale de Mayotte peut être récupéré dans les conditions fixées à l'article 13 de la même ordonnance. ”</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000043480525
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000043485157
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false
Chapitre Ier : Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion, Mayotte
null
null
LEGISCTA000006166653
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre VI : Dispositions relatives à l'outre-mer &gt; Chapitre Ier : Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion, Mayotte
<p>Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.</p>
null
Code de l'éducation, art. L562-1
Code de l'éducation
Pour l'application à Saint-Barthélemy de l'article L. 521-3, le mot : “ maire ” est remplacé par les mots : “ président du conseil territorial ”.
1,640,995,200,000
32,472,144,000,000
L562-1
LEGIARTI000043485164
LEGIARTI000006525166
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Pour l'application à Saint-Barthélemy de l'article L. 521-3, le mot : “ maire ” est remplacé par les mots : “ président du conseil territorial ”.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525166
IG-20231124
null
LEGIARTI000043485164
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000043485175
false
false
Chapitre II : Saint-Barthélemy
null
null
LEGISCTA000006166654
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre VI : Dispositions relatives à l'outre-mer &gt; Chapitre II : Saint-Barthélemy
<p>Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.</p>
null
Code de l'éducation, art. L563-1
Code de l'éducation
Pour l'application à Saint-Martin de l'article L. 521-3, le mot : “ maire ” est remplacé par les mots : “ président du conseil territorial ”.
1,640,995,200,000
32,472,144,000,000
L563-1
LEGIARTI000043485177
LEGIARTI000006525167
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Pour l'application à Saint-Martin de l'article L. 521-3, le mot : “ maire ” est remplacé par les mots : “ président du conseil territorial ”.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525167
IG-20231128
null
LEGIARTI000043485177
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000043485187
false
false
Chapitre III : Saint-Martin
null
null
LEGISCTA000006166655
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre VI : Dispositions relatives à l'outre-mer &gt; Chapitre III : Saint-Martin
<p>Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.</p>
null
Code de l'éducation, art. L564-1
Code de l'éducation
Pour l'application à Saint-Pierre-et-Miquelon du chapitre II du titre III du présent livre : 1° L'article L. 532-1 est ainsi rédigé : “ Art. L. 532-1.-En application du 10° de l'article 11 de l'ordonnance n° 77-1102 du 26 septembre 1977 portant extension et adaptation au département de Saint-Pierre-et-Miquelon de diverses dispositions relatives aux affaires sociales, une allocation de rentrée scolaire est versée dans les conditions prévues par les dispositions de l'article L. 543-1 du code de la sécurité sociale et de l'article 11-1 de l'ordonnance précitée. ” ; 2° L'article L. 532-2 est ainsi rédigé : “ Art. L. 532-2.-En application du 13° de l'article 11 de l'ordonnance n° 77-1102 du 26 septembre 1977 portant extension et adaptation au département de Saint-Pierre-et-Miquelon de diverses dispositions relatives aux affaires sociales, tout paiement indu de majoration d'allocation de rentrée scolaire mentionnée au 10° du même article peut, sous réserve que l'allocataire n'en conteste pas le caractère indu, être récupéré par retenues sur les prestations familiales dans les conditions définies à l'article L. 553-2 du code de la sécurité sociale. ”
1,640,995,200,000
32,472,144,000,000
L564-1
LEGIARTI000043485189
LEGIARTI000006525168
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.
3.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Pour l'application à Saint-Pierre-et-Miquelon du chapitre II du titre III du présent livre :</p><p>1° L'article L. 532-1 est ainsi rédigé :</p><p>“ Art. L. 532-1.-En application du 10° de l'article 11 de l'ordonnance n° 77-1102 du 26 septembre 1977 portant extension et adaptation au département de Saint-Pierre-et-Miquelon de diverses dispositions relatives aux affaires sociales, une allocation de rentrée scolaire est versée dans les conditions prévues par les dispositions de l'article L. 543-1 du code de la sécurité sociale et de l'article 11-1 de l'ordonnance précitée. ” ;</p><p>2° L'article L. 532-2 est ainsi rédigé :</p><p>“ Art. L. 532-2.-En application du 13° de l'article 11 de l'ordonnance n° 77-1102 du 26 septembre 1977 portant extension et adaptation au département de Saint-Pierre-et-Miquelon de diverses dispositions relatives aux affaires sociales, tout paiement indu de majoration d'allocation de rentrée scolaire mentionnée au 10° du même article peut, sous réserve que l'allocataire n'en conteste pas le caractère indu, être récupéré par retenues sur les prestations familiales dans les conditions définies à l'article L. 553-2 du code de la sécurité sociale. ”</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000029145643
IG-20231124
null
LEGIARTI000043485189
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000043485201
false
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Chapitre IV : Saint-Pierre-et-Miquelon
null
null
LEGISCTA000006166656
null
null
null
null
null
Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre VI : Dispositions relatives à l'outre-mer &gt; Chapitre IV : Saint-Pierre-et-Miquelon
<p>Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.</p>
null
Code de l'éducation, art. L565-1
Code de l'éducation
I.-Sont applicables dans les îles Wallis et Futuna, sous réserve des adaptations prévues au II, les dispositions des articles mentionnés dans la colonne de gauche du tableau ci-après, dans leur rédaction indiquée dans la colonne de droite du même tableau : DISPOSITIONS APPLICABLES DANS LEUR REDACTION L. 511-1 et L. 511-2 Résultant de l'ordonnance n° 2000-549 du 15 juin 2000 L. 511-2-2 Résultant de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019 L. 511-3 Résultant de la loi n° 2017-86 du 27 janvier 2017 L. 511-3-1 Résultant de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019 L. 511-5 Résultant de la loi n° 2018-698 du 3 août 2018 L. 521-1 et L. 521-2 Résultant de l'ordonnance n° 2000-549 du 15 juin 2000 L. 521-4 Résultant de la loi n° 2013-595 du 8 juillet 2013 L. 541-1, 1er et 2e alinéas Résultant de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019 L. 542-1 Résultant de la loi n° 2010-121 du 8 février 2010 L. 542-2 Résultant de la loi n° 2007-293 du 5 mars 2007 L. 542-3 Résultant de la loi n° 2010-121 du 8 février 2010 L. 552-2 Résultant de l'ordonnance n° 2000-549 du 15 juin 2000 L. 552-3 Résultant de la loi n° 2003-339 du 14 avril 2003 L. 552-4 Résultant de la loi n° 2016-41 du 26 janvier 2016 II.-Pour l'application du I : 1° A l'article L. 542-2, les mots : “ de l'avant-dernier alinéa ” sont supprimés ; 2° Au premier alinéa de l'article L. 552-2, la seconde phrase est supprimée ; 3° A l'article L. 552-4, les mots : “ du code du sport, à l'exception de ses articles L. 231-2 et L. 231-2-1, ” sont remplacés par les mots : “ de l'article L. 231-5 du code du sport ”.
1,640,995,200,000
32,472,144,000,000
L565-1
LEGIARTI000043480688
LEGIARTI000043480671
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>I.-Sont applicables dans les îles Wallis et Futuna, sous réserve des adaptations prévues au II, les dispositions des articles mentionnés dans la colonne de gauche du tableau ci-après, dans leur rédaction indiquée dans la colonne de droite du même tableau :</p><center><table border='1'><tbody><tr><th><br/> DISPOSITIONS APPLICABLES</th><th><br/> DANS LEUR REDACTION</th></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 511-1 et L. 511-2</td><td align='justify'><br/> Résultant de l'ordonnance n° 2000-549 du 15 juin 2000</td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 511-2-2</td><td align='justify'><br/> Résultant de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019</td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 511-3</td><td align='justify'><br/> Résultant de la loi n° 2017-86 du 27 janvier 2017</td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 511-3-1</td><td align='justify'><br/> Résultant de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019</td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 511-5</td><td align='justify'><br/> Résultant de la loi n° 2018-698 du 3 août 2018</td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 521-1 et L. 521-2</td><td align='justify'><br/> Résultant de l'ordonnance n° 2000-549 du 15 juin 2000</td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 521-4</td><td align='justify'><br/> Résultant de la loi n° 2013-595 du 8 juillet 2013</td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 541-1, 1er et 2e alinéas</td><td align='justify'><br/> Résultant de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019</td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 542-1</td><td align='justify'><br/> Résultant de la loi n° 2010-121 du 8 février 2010</td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 542-2</td><td align='justify'><br/> Résultant de la loi n° 2007-293 du 5 mars 2007</td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 542-3</td><td align='justify'><br/> Résultant de la loi n° 2010-121 du 8 février 2010</td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 552-2</td><td align='justify'><br/> Résultant de l'ordonnance n° 2000-549 du 15 juin 2000</td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 552-3</td><td align='justify'><br/> Résultant de la loi n° 2003-339 du 14 avril 2003</td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 552-4</td><td align='justify'><br/> Résultant de la loi n° 2016-41 du 26 janvier 2016</td></tr></tbody></table></center><p>II.-Pour l'application du I :</p><p>1° A l'article L. 542-2, les mots : “ de l'avant-dernier alinéa ” sont supprimés ;</p><p>2° Au premier alinéa de l'article L. 552-2, la seconde phrase est supprimée ;</p><p>3° A l'article L. 552-4, les mots : “ du code du sport, à l'exception de ses articles L. 231-2 et L. 231-2-1, ” sont remplacés par les mots : “ de l'article L. 231-5 du code du sport ”.</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
null
LEGIARTI000043480688
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000043480684
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false
Chapitre V : Wallis-et-Futuna
null
null
LEGISCTA000043480669
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre VI : Dispositions relatives à l'outre-mer &gt; Chapitre V : Wallis-et-Futuna
<p>Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.</p>
null
Code de l'éducation, art. L566-1
Code de l'éducation
I.-Sont applicables en Polynésie française, sous réserve des adaptations prévues au II, les dispositions des articles mentionnés dans la colonne de gauche du tableau ci-après, dans leur rédaction indiquée dans la colonne de droite du même tableau : DISPOSITIONS APPLICABLES DANS LEUR RÉDACTION L. 511-2 Résultant de l'ordonnance n° 2000-549 du 15 juin 2000 L. 511-3 Résultant de la loi n° 2017-86 du 27 janvier 2017 L. 511-3-1 Résultant de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019 L. 542-1 Résultant de la loi n° 2010-121 du 8 février 2010 II.-Pour l'application du I, l'article L. 542-1 est ainsi rédigé : “ Art. L. 542-1.-Les magistrats, les personnels enseignants, en tant qu'ils relèvent de la fonction publique de l'Etat, les personnels de la police nationale, des polices municipales et de la gendarmerie nationale reçoivent une formation initiale et continue dans le domaine de la protection de l'enfance en danger. Cette formation comporte un module pluridisciplinaire relatif aux infractions sexuelles à l'encontre des mineurs et leurs effets. Cette formation est dispensée dans des conditions fixées par voie réglementaire. ”
1,640,995,200,000
32,472,144,000,000
L566-1
LEGIARTI000043480701
LEGIARTI000043480675
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>I.-Sont applicables en Polynésie française, sous réserve des adaptations prévues au II, les dispositions des articles mentionnés dans la colonne de gauche du tableau ci-après, dans leur rédaction indiquée dans la colonne de droite du même tableau :</p><center><table border='1'><tbody><tr><th><br/> DISPOSITIONS APPLICABLES</th><th><br/> DANS LEUR RÉDACTION</th></tr><tr><td align='left'><br/> L. 511-2</td><td align='justify'><br/> Résultant de l'ordonnance n° 2000-549 du 15 juin 2000</td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 511-3</td><td align='justify'><br/> Résultant de la loi n° 2017-86 du 27 janvier 2017</td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 511-3-1</td><td align='justify'><br/> Résultant de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019</td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 542-1</td><td align='justify'><br/> Résultant de la loi n° 2010-121 du 8 février 2010</td></tr></tbody></table></center><p>II.-Pour l'application du I, l'article L. 542-1 est ainsi rédigé :</p><p>“ Art. L. 542-1.-Les magistrats, les personnels enseignants, en tant qu'ils relèvent de la fonction publique de l'Etat, les personnels de la police nationale, des polices municipales et de la gendarmerie nationale reçoivent une formation initiale et continue dans le domaine de la protection de l'enfance en danger. Cette formation comporte un module pluridisciplinaire relatif aux infractions sexuelles à l'encontre des mineurs et leurs effets. Cette formation est dispensée dans des conditions fixées par voie réglementaire. ”</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231124
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LEGIARTI000043480701
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000043480694
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Chapitre VI : Polynésie française
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LEGISCTA000043480673
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre VI : Dispositions relatives à l'outre-mer &gt; Chapitre VI : Polynésie française
<p>Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.</p>
null
Code de l'éducation, art. L567-1
Code de l'éducation
I.-Sont applicables en Nouvelle-Calédonie, sous réserve des adaptations prévues au II, les dispositions des articles mentionnés dans la colonne de gauche du tableau ci-après, dans leur rédaction indiquée dans la colonne de droite du même tableau : DISPOSITIONS APPLICABLES DANS LEUR RÉDACTION L. 511-2 Résultant de l'ordonnance n° 2000-549 du 15 juin 2000 L. 511-3 Résultant de la loi n° 2017-86 du 27 janvier 2017 L. 511-3-1 Résultant de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019 L. 542-1 Résultant de la loi n° 2010-121 du 8 février 2010 II.-Pour l'application du I, l'article L. 542-1 est ainsi rédigé : “ Art. L. 542-1.-Les magistrats, les personnels enseignants, en tant qu'ils relèvent de la fonction publique de l'Etat, les personnels de la police nationale, des polices municipales et de la gendarmerie nationale reçoivent une formation initiale et continue dans le domaine de la protection de l'enfance en danger. Cette formation comporte un module pluridisciplinaire relatif aux infractions sexuelles à l'encontre des mineurs et leurs effets. Cette formation est dispensée dans des conditions fixées par voie réglementaire. ”
1,640,995,200,000
32,472,144,000,000
L567-1
LEGIARTI000043480856
LEGIARTI000043480680
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p>I.-Sont applicables en Nouvelle-Calédonie, sous réserve des adaptations prévues au II, les dispositions des articles mentionnés dans la colonne de gauche du tableau ci-après, dans leur rédaction indiquée dans la colonne de droite du même tableau :</p><center><table border='1'><tbody><tr><th><br/> DISPOSITIONS APPLICABLES</th><th><br/> DANS LEUR RÉDACTION</th></tr><tr><td align='left'><br/> L. 511-2</td><td align='left'><br/> Résultant de l'ordonnance n° 2000-549 du 15 juin 2000</td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 511-3</td><td align='justify'><br/> Résultant de la loi n° 2017-86 du 27 janvier 2017</td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 511-3-1</td><td align='justify'><br/> Résultant de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019</td></tr><tr><td align='left'></td><td align='left'></td></tr><tr><td align='justify'><br/> L. 542-1</td><td align='justify'><br/> Résultant de la loi n° 2010-121 du 8 février 2010</td></tr></tbody></table></center><p>II.-Pour l'application du I, l'article L. 542-1 est ainsi rédigé :</p><p>“ Art. L. 542-1.-Les magistrats, les personnels enseignants, en tant qu'ils relèvent de la fonction publique de l'Etat, les personnels de la police nationale, des polices municipales et de la gendarmerie nationale reçoivent une formation initiale et continue dans le domaine de la protection de l'enfance en danger. Cette formation comporte un module pluridisciplinaire relatif aux infractions sexuelles à l'encontre des mineurs et leurs effets. Cette formation est dispensée dans des conditions fixées par voie réglementaire. ”</p>
32,472,144,000,000
null
IG-20231128
null
LEGIARTI000043480856
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000043480849
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Chapitre VII : Nouvelle-Calédonie
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LEGISCTA000043480678
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Partie législative &gt; Deuxième partie : Les enseignements scolaires &gt; Livre V : La vie scolaire &gt; Titre VI : Dispositions relatives à l'outre-mer &gt; Chapitre VII : Nouvelle-Calédonie
<p>Conformément à l’article 13 de l’ordonnance n° 2021-552 du 5 mai 2021, ces dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets portant actualisation et adaptation des dispositions réglementaires du code de l'éducation relatives à l'outre-mer et, au plus tard, le 1er janvier 2022.</p>
null
Code de l'éducation, art. L611-1
Code de l'éducation
Le présent titre détermine les principes fondamentaux applicables à l'ensemble des formations qui relèvent de l'autorité ou du contrôle du ministre chargé de l'enseignement supérieur, que ces formations soient assurées par des établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel définis au titre Ier du livre VII ou par d'autres établissements publics dispensant un enseignement après les études secondaires tels que les lycées comportant des sections de techniciens supérieurs ou des classes préparatoires aux écoles. Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions dans lesquelles sont ouvertes et agréées, dans chaque région, des classes préparatoires aux écoles ouvertes principalement aux élèves provenant d'établissements situés en zone d'éducation prioritaire. Les procédures d'admission peuvent être mises en oeuvre par voie de conventions conclues avec des établissements d'enseignement supérieur, français et étrangers, pour les associer au recrutement de leurs élèves ou étudiants par les établissements. Des modalités particulières d'admission destinées à assurer un recrutement diversifié des étudiants sont mises en œuvre par les établissements dispensant une formation d'enseignement supérieur relevant des différents départements ministériels, à l'exception des établissements assurant la formation des agents publics dont la liste est fixée par arrêté du Premier ministre. Ces modalités, qui visent à assurer une mixité sociale et géographique, sont fixées par les autorités compétentes pour déterminer les modalités d'accès aux formations dans des conditions et selon des objectifs fixés par arrêtés des ministres de tutelle des établissements. L'établissement rend compte de l'atteinte des objectifs fixés en matière de recrutement diversifié une fois par an. L'Etat tient compte de ces résultats pour déterminer les engagements, notamment financiers, qu'il prend à l'égard de l'établissement. Lorsque l'établissement conclut avec l'Etat un contrat qui définit, pour l'ensemble de ses activités, les objectifs de l'établissement et les engagements réciproques des parties, le contrat prévoit l'objectif de recrutement diversifié assigné à l'établissement et dans quelle mesure l'Etat tient compte des résultats obtenus par l'établissement pour déterminer les engagements, notamment financiers, qu'il prend à l'égard de l'établissement. A l'exception des formations de fonctionnaire stagiaire, lorsqu'un jury comportant trois membres ou plus est constitué pour l'accès aux formations d'enseignement supérieur dispensées par les établissements relevant d'un ou de plusieurs départements ministériels, sa composition respecte une proportion minimale de 30 % de personnes de chaque sexe. Par dérogation, pour les formations dans lesquelles la proportion d'un sexe est inférieure à 10 % de l'ensemble du personnel enseignant mentionné à l'article L. 952-1, le jury comporte au moins une personne de ce sexe.
1,703,635,200,000
32,472,144,000,000
L611-1
LEGIARTI000044605398
LEGIARTI000006525171
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au II de l'article 7 de la loi n° 2021-1774 du 24 décembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur deux ans après la publication de ladite loi.
5.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Le présent titre détermine les principes fondamentaux applicables à l'ensemble des formations qui relèvent de l'autorité ou du contrôle du ministre chargé de l'enseignement supérieur, que ces formations soient assurées par des établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel définis au titre Ier du livre VII ou par d'autres établissements publics dispensant un enseignement après les études secondaires tels que les lycées comportant des sections de techniciens supérieurs ou des classes préparatoires aux écoles. </p><p>Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions dans lesquelles sont ouvertes et agréées, dans chaque région, des classes préparatoires aux écoles ouvertes principalement aux élèves provenant d'établissements situés en zone d'éducation prioritaire. </p><p>Les procédures d'admission peuvent être mises en oeuvre par voie de conventions conclues avec des établissements d'enseignement supérieur, français et étrangers, pour les associer au recrutement de leurs élèves ou étudiants par les établissements. </p><p>Des modalités particulières d'admission destinées à assurer un recrutement diversifié des étudiants sont mises en œuvre par les établissements dispensant une formation d'enseignement supérieur relevant des différents départements ministériels, à l'exception des établissements assurant la formation des agents publics dont la liste est fixée par arrêté du Premier ministre. Ces modalités, qui visent à assurer une mixité sociale et géographique, sont fixées par les autorités compétentes pour déterminer les modalités d'accès aux formations dans des conditions et selon des objectifs fixés par arrêtés des ministres de tutelle des établissements. <br/><br/>L'établissement rend compte de l'atteinte des objectifs fixés en matière de recrutement diversifié une fois par an. L'Etat tient compte de ces résultats pour déterminer les engagements, notamment financiers, qu'il prend à l'égard de l'établissement. Lorsque l'établissement conclut avec l'Etat un contrat qui définit, pour l'ensemble de ses activités, les objectifs de l'établissement et les engagements réciproques des parties, le contrat prévoit l'objectif de recrutement diversifié assigné à l'établissement et dans quelle mesure l'Etat tient compte des résultats obtenus par l'établissement pour déterminer les engagements, notamment financiers, qu'il prend à l'égard de l'établissement. </p><p>A l'exception des formations de fonctionnaire stagiaire, lorsqu'un jury comportant trois membres ou plus est constitué pour l'accès aux formations d'enseignement supérieur dispensées par les établissements relevant d'un ou de plusieurs départements ministériels, sa composition respecte une proportion minimale de 30 % de personnes de chaque sexe. Par dérogation, pour les formations dans lesquelles la proportion d'un sexe est inférieure à 10 % de l'ensemble du personnel enseignant mentionné à l'article L. 952-1, le jury comporte au moins une personne de ce sexe.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042815043
MD-20240712_193804_055_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000044605398
LEGI
32,472,144,000,000
null
null
LEGISCTA000006166657
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false
Chapitre Ier : Dispositions communes.
null
null
LEGISCTA000006166657
null
null
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null
null
Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs et la recherche &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs et de la recherche &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre Ier : Dispositions communes.
<p>Conformément au II de l'article 7 de la loi n° 2021-1774 du 24 décembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur deux ans après la publication de ladite loi.</p>
null
Code de l'éducation, art. L611-2
Code de l'éducation
Les établissements d'enseignement supérieur peuvent instituer en leur sein un ou plusieurs conseils de perfectionnement des formations comprenant des représentants des milieux professionnels. Les règles relatives à la composition et au fonctionnement de ces conseils sont fixées par les statuts de l'établissement. Les enseignements supérieurs sont organisés en liaison avec les milieux professionnels : 1° Leurs représentants participent à la définition des programmes dans les instances compétentes, notamment au sein des conseils de perfectionnement des formations ; 2° Les praticiens contribuent aux enseignements ; 3° Des stages peuvent être aménagés dans les entreprises publiques ou privées, les organismes de l'économie sociale et solidaire ou l'administration ; ces stages doivent être en cohérence avec la formation suivie par l'étudiant et faire l'objet d'un suivi pédagogique approprié ; 4° Les enseignements peuvent être organisés par alternance.
1,374,624,000,000
32,472,144,000,000
L611-2
LEGIARTI000027747840
LEGIARTI000006525173
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Les établissements d'enseignement supérieur peuvent instituer en leur sein un ou plusieurs conseils de perfectionnement des formations comprenant des représentants des milieux professionnels. Les règles relatives à la composition et au fonctionnement de ces conseils sont fixées par les statuts de l'établissement. </p><p>Les enseignements supérieurs sont organisés en liaison avec les milieux professionnels :</p><p>1° Leurs représentants participent à la définition des programmes dans les instances compétentes, notamment au sein des conseils de perfectionnement des formations ;</p><p>2° Les praticiens contribuent aux enseignements ;</p><p>3° Des stages peuvent être aménagés dans les entreprises publiques ou privées, les organismes de l'économie sociale et solidaire ou l'administration ; ces stages doivent être en cohérence avec la formation suivie par l'étudiant et faire l'objet d'un suivi pédagogique approprié ;</p><p>4° Les enseignements peuvent être organisés par alternance. </p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525173
MD-20240627_192828_843_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000027747840
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166657
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Chapitre Ier : Dispositions communes.
null
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LEGISCTA000006166657
null
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre Ier : Dispositions communes.
null
Code de l'éducation, art. L611-3
Code de l'éducation
Les étudiants élaborent leur projet d'orientation universitaire et professionnelle en fonction de leurs aspirations et de leurs capacités ainsi que des perspectives professionnelles liées aux besoins prévisibles de la société, de l'économie et de l'aménagement du territoire avec l'aide des parents, des enseignants, des personnels d'orientation et des professionnels compétents. Les administrations concernées, les régions et, le cas échéant, les autres collectivités territoriales, les entreprises et les associations y contribuent. L'orientation favorise l'accès et la représentation équilibrés entre les femmes et les hommes au sein des filières de formation. L'orientation tient compte de l'émergence de nouvelles filières et de nouveaux métiers.
1,520,640,000,000
32,472,144,000,000
L611-3
LEGIARTI000036687636
LEGIARTI000006525174
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
171,796
null
null
null
Article
<p>Les étudiants élaborent leur projet d'orientation universitaire et professionnelle en fonction de leurs aspirations et de leurs capacités ainsi que des perspectives professionnelles liées aux besoins prévisibles de la société, de l'économie et de l'aménagement du territoire avec l'aide des parents, des enseignants, des personnels d'orientation et des professionnels compétents. Les administrations concernées, les régions et, le cas échéant, les autres collectivités territoriales, les entreprises et les associations y contribuent. L'orientation favorise l'accès et la représentation équilibrés entre les femmes et les hommes au sein des filières de formation. L'orientation tient compte de l'émergence de nouvelles filières et de nouveaux métiers.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000027747816
MD-20240627_192828_843_BDJQUOT
null
index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000036687636
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166657
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Chapitre Ier : Dispositions communes.
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null
LEGISCTA000006166657
null
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre Ier : Dispositions communes.
null
Code de l'éducation, art. L611-4
Code de l'éducation
Les établissements d'enseignement supérieur permettent aux sportifs ayant une pratique sportive d'excellence et d'accession au haut niveau et aux bénéficiaires d'une convention de formation prévue à l'article L. 211-5 du code du sport de poursuivre leur carrière sportive par les aménagements nécessaires dans l'organisation et le déroulement de leurs études et de leurs examens ainsi que par le développement de l'enseignement à distance et le recours à des moyens de télécommunication audiovisuelle. Ils favorisent l'accès des sportifs ayant une pratique sportive d'excellence et d'accession au haut niveau et des bénéficiaires d'une convention de formation prévue au même article L. 211-5, qu'ils possèdent ou non des titres universitaires, à des enseignements de formation ou de perfectionnement, dans les conditions définies aux articles L. 612-2 à L. 612-4 du présent code et au livre IV de la sixième partie du code du travail. Un décret fixe les conditions d'utilisation de l'enseignement à distance et du recours à des moyens de télécommunication audiovisuelle.
1,671,753,600,000
32,472,144,000,000
L611-4
LEGIARTI000046774896
LEGIARTI000006525175
AUTONOME
VIGUEUR
5.0
214,745
null
null
null
Article
<p></p><p>Les établissements d'enseignement supérieur permettent aux sportifs ayant une pratique sportive d'excellence et d'accession au haut niveau et aux bénéficiaires d'une convention de formation prévue à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071318&idArticle=LEGIARTI000006547564&dateTexte=&categorieLien=cid'>l'article L. 211-5 </a>du code du sport de poursuivre leur carrière sportive par les aménagements nécessaires dans l'organisation et le déroulement de leurs études et de leurs examens ainsi que par le développement de l'enseignement à distance et le recours à des moyens de télécommunication audiovisuelle.</p><p>Ils favorisent l'accès des sportifs ayant une pratique sportive d'excellence et d'accession au haut niveau et des bénéficiaires d'une convention de formation prévue au même article L. 211-5, qu'ils possèdent ou non des titres universitaires, à des enseignements de formation ou de perfectionnement, dans les conditions définies aux <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525181&dateTexte=&categorieLien=cid'>articles L. 612-2 à L. 612-4 </a>du présent code et au livre IV de la sixième partie du code du travail.</p><p>Un décret fixe les conditions d'utilisation de l'enseignement à distance et du recours à des moyens de télécommunication audiovisuelle.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000031548859
MD-20240711_194311_409_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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Chapitre Ier : Dispositions communes.
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LEGISCTA000006166657
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs et la recherche &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs et de la recherche &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre Ier : Dispositions communes.
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Code de l'éducation, art. L611-5
Code de l'éducation
Un observatoire de l'insertion professionnelle est institué dans chaque université par délibération du conseil d'administration après avis de la commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique. Cet observatoire remplit la mission définie au 1° de l'article L. 124-2 . Avec les milieux professionnels qui sont associés aux enseignements supérieurs conformément à l'article L. 611-2 , cet observatoire : 1° Diffuse aux étudiants une offre de stages et d'emplois variée et en lien avec les formations proposées par l'université et les besoins des entreprises ; 2° Assiste les étudiants dans leur recherche de stages et d'un premier emploi et les informe des évolutions du marché du travail ; 3° Conseille les étudiants sur leurs problématiques liées à l'emploi et à l'insertion professionnelle ; 4° Prépare les étudiants qui en font la demande aux entretiens préalables à l'embauche ; 5° Recense les entreprises, les associations et les organismes publics susceptibles d'offrir aux étudiants une expérience professionnelle en lien avec les grands domaines de formation enseignés dans l'université, en vue de leur proposer la signature de conventions de stage ; 6° Informe les étudiants sur les métiers existant dans la fonction publique et les accompagne dans l'identification et la préparation des voies d'accès à la fonction publique ; 7° Veille à l'égal accès des étudiants de chaque sexe aux offres de stage et d'emploi. L'observatoire présente un rapport annuel à la commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique sur le nombre et la qualité des stages effectués par les étudiants, ainsi que sur l'insertion professionnelle de ceux-ci dans leur premier emploi. Ce rapport précise la répartition des étudiants par sexe pour chacune des données qu'il présente. Les statistiques comportant les taux d'insertion professionnelle des étudiants, constatés un an et deux ans après l'obtention de leur diplôme, incluant une distinction par sexe, sont publiées sur le site internet de l'établissement et, pour les formations qui y sont inscrites, dans le cadre de la procédure nationale prévue au deuxième alinéa du I de l'article L. 612-3 . Elles sont prises en compte dans le cadre de l'examen de la demande par l'établissement d'accréditation de son offre conférant un grade ou un titre universitaire, conformément à l'article L. 613-1 . Chaque élève en est obligatoirement informé en amont de son orientation dans un nouveau cycle ou une formation supérieure. Un observatoire national de l'insertion professionnelle des diplômés de l'enseignement supérieur agrège les statistiques produites par les observatoires d'établissements et coordonne leurs actions communes. Un arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur précise l'organisation de cette instance et les modalités de représentation au sein de l'observatoire des acteurs des établissements portant des formations supérieures.
1,703,635,200,000
32,472,144,000,000
L611-5
LEGIARTI000044605390
LEGIARTI000006525177
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au II de l'article 7 de la loi n° 2021-1774 du 24 décembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur deux ans après la publication de ladite loi.
6.0
300,643
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Article
<p>Un observatoire de l'insertion professionnelle est institué dans chaque université par délibération du conseil d'administration après avis de la commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique. Cet observatoire remplit la mission définie au 1° de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000029233451&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 124-2</a>.<br/><br/> Avec les milieux professionnels qui sont associés aux enseignements supérieurs conformément à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525173&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 611-2</a>, cet observatoire :<br/><br/> 1° Diffuse aux étudiants une offre de stages et d'emplois variée et en lien avec les formations proposées par l'université et les besoins des entreprises ;<br/><br/> 2° Assiste les étudiants dans leur recherche de stages et d'un premier emploi et les informe des évolutions du marché du travail ;<br/><br/> 3° Conseille les étudiants sur leurs problématiques liées à l'emploi et à l'insertion professionnelle ;<br/><br/> 4° Prépare les étudiants qui en font la demande aux entretiens préalables à l'embauche ;<br/><br/> 5° Recense les entreprises, les associations et les organismes publics susceptibles d'offrir aux étudiants une expérience professionnelle en lien avec les grands domaines de formation enseignés dans l'université, en vue de leur proposer la signature de conventions de stage ;<br/><br/> 6° Informe les étudiants sur les métiers existant dans la fonction publique et les accompagne dans l'identification et la préparation des voies d'accès à la fonction publique ;</p><p>7° Veille à l'égal accès des étudiants de chaque sexe aux offres de stage et d'emploi.<br/><br/> L'observatoire présente un rapport annuel à la commission de la formation et de la vie universitaire du conseil académique sur le nombre et la qualité des stages effectués par les étudiants, ainsi que sur l'insertion professionnelle de ceux-ci dans leur premier emploi. Ce rapport précise la répartition des étudiants par sexe pour chacune des données qu'il présente.<br/><br/> Les statistiques comportant les taux d'insertion professionnelle des étudiants, constatés un an et deux ans après l'obtention de leur diplôme, incluant une distinction par sexe, sont publiées sur le site internet de l'établissement et, pour les formations qui y sont inscrites, dans le cadre de la procédure nationale prévue au deuxième alinéa du I de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525182&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 612-3</a>. Elles sont prises en compte dans le cadre de l'examen de la demande par l'établissement d'accréditation de son offre conférant un grade ou un titre universitaire, conformément à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525190&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 613-1</a>. Chaque élève en est obligatoirement informé en amont de son orientation dans un nouveau cycle ou une formation supérieure.<br/><br/> Un observatoire national de l'insertion professionnelle des diplômés de l'enseignement supérieur agrège les statistiques produites par les observatoires d'établissements et coordonne leurs actions communes. Un arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur précise l'organisation de cette instance et les modalités de représentation au sein de l'observatoire des acteurs des établissements portant des formations supérieures.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000036687674
MD-20231226_195657_415_BDJQUOT
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LEGI
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Chapitre Ier : Dispositions communes.
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LEGISCTA000006166657
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs et la recherche &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs et de la recherche &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre Ier : Dispositions communes.
<p>Conformément au II de l'article 7 de la loi n° 2021-1774 du 24 décembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur deux ans après la publication de ladite loi.</p>
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Code de l'éducation, art. L611-6
Code de l'éducation
L'Etat peut passer des contrats pluriannuels avec des établissements d'enseignement supérieur afin de soutenir des dispositifs participant à la mission de service public de l'enseignement supérieur et présentant des caractéristiques innovantes en termes d'insertion professionnelle. Les résultats sont évalués par le Haut Conseil mentionné à l' article L. 114-3-1 du code de la recherche .
1,374,624,000,000
32,472,144,000,000
L611-6
LEGIARTI000027748486
LEGIARTI000021340909
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
1,073,892,145
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Article
<p>L'Etat peut passer des contrats pluriannuels avec des établissements d'enseignement supérieur afin de soutenir des dispositifs participant à la mission de service public de l'enseignement supérieur et présentant des caractéristiques innovantes en termes d'insertion professionnelle. Les résultats sont évalués par le Haut Conseil mentionné à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071190&idArticle=LEGIARTI000006524160&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 114-3-1 du code de la recherche</a>. </p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000021342560
IG-20231129
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LEGIARTI000027748486
LEGI
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Chapitre Ier : Dispositions communes.
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre Ier : Dispositions communes.
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Code de l'éducation, art. L611-7
Code de l'éducation
Les établissements dispensant des formations sanctionnées par un diplôme d'études supérieures informent les étudiants de l'existence du service civique.
1,277,942,400,000
32,472,144,000,000
L611-7
LEGIARTI000021960436
LEGIARTI000021956809
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,610,687,896
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Article
Les établissements dispensant des formations sanctionnées par un diplôme d'études supérieures informent les étudiants de l'existence du service civique.
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IG-20231129
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LEGIARTI000021960436
LEGI
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LEGISCTA000006166657
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Chapitre Ier : Dispositions communes.
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre Ier : Dispositions communes.
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Code de l'éducation, art. L611-8
Code de l'éducation
Les établissements d'enseignement supérieur rendent disponibles, pour les formations dont les méthodes pédagogiques le permettent, leurs enseignements sous forme numérique, dans des conditions déterminées par leur conseil académique ou par l'organe en tenant lieu et conformes aux dispositions du code de la propriété intellectuelle. Cette mise à disposition peut se substituer aux enseignements dispensés en présence des étudiants afin d'offrir une formation d'enseignement supérieur à distance et tout au long de la vie. Ces enseignements peuvent conduire à la délivrance des diplômes d'enseignement supérieur dans des conditions de validation définies par décret. Une formation à l'utilisation des outils et des ressources numériques et à la compréhension des enjeux qui leur sont associés, adaptée aux spécificités du parcours suivi par l'étudiant, est dispensée dès l'entrée dans l'enseignement supérieur, dans la continuité des formations dispensées dans l'enseignement du second degré. Cette formation comporte une sensibilisation à l'impact environnemental des outils numériques ainsi qu'un volet relatif à la sobriété numérique. Elle comporte également une sensibilisation à la citoyenneté numérique, aux droits et aux devoirs liés à l'utilisation d'internet et des réseaux sociaux, à la prévention des violences sexistes et sexuelles commises par l'utilisation d'un service de communication au public en ligne ou par le biais d'un support numérique ou électronique et à l'usage des dispositifs de signalement de contenus illicites mis à disposition par les plateformes. Elle comporte également une sensibilisation aux addictions comportementales au numérique. Les enseignements mis à disposition sous forme numérique par les établissements ont un statut équivalent aux enseignements dispensés en présence des étudiants selon des modalités qui sont précisées par voie réglementaire. A leur demande, les enseignants peuvent suivre une formation qui leur permet d'acquérir les compétences nécessaires à la mise à disposition de leurs enseignements sous forme numérique et les initie aux méthodes pédagogiques innovantes sollicitant l'usage des technologies de l'information et de la communication. Les modalités de mise en œuvre des trois premiers alinéas du présent article sont fixées par le contrat pluriannuel mentionné à l'article L. 711-1 .
1,716,422,400,000
32,472,144,000,000
L611-8
LEGIARTI000049571497
LEGIARTI000027737299
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
1,879,085,771
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Article
<p>Les établissements d'enseignement supérieur rendent disponibles, pour les formations dont les méthodes pédagogiques le permettent, leurs enseignements sous forme numérique, dans des conditions déterminées par leur conseil académique ou par l'organe en tenant lieu et conformes aux dispositions du code de la propriété intellectuelle. Cette mise à disposition peut se substituer aux enseignements dispensés en présence des étudiants afin d'offrir une formation d'enseignement supérieur à distance et tout au long de la vie. Ces enseignements peuvent conduire à la délivrance des diplômes d'enseignement supérieur dans des conditions de validation définies par décret.</p><p>Une formation à l'utilisation des outils et des ressources numériques et à la compréhension des enjeux qui leur sont associés, adaptée aux spécificités du parcours suivi par l'étudiant, est dispensée dès l'entrée dans l'enseignement supérieur, dans la continuité des formations dispensées dans l'enseignement du second degré. Cette formation comporte une sensibilisation à l'impact environnemental des outils numériques ainsi qu'un volet relatif à la sobriété numérique. Elle comporte également une sensibilisation à la citoyenneté numérique, aux droits et aux devoirs liés à l'utilisation d'internet et des réseaux sociaux, à la prévention des violences sexistes et sexuelles commises par l'utilisation d'un service de communication au public en ligne ou par le biais d'un support numérique ou électronique et à l'usage des dispositifs de signalement de contenus illicites mis à disposition par les plateformes. Elle comporte également une sensibilisation aux addictions comportementales au numérique.</p><p>Les enseignements mis à disposition sous forme numérique par les établissements ont un statut équivalent aux enseignements dispensés en présence des étudiants selon des modalités qui sont précisées par voie réglementaire.</p><p>A leur demande, les enseignants peuvent suivre une formation qui leur permet d'acquérir les compétences nécessaires à la mise à disposition de leurs enseignements sous forme numérique et les initie aux méthodes pédagogiques innovantes sollicitant l'usage des technologies de l'information et de la communication.</p><p>Les modalités de mise en œuvre des trois premiers alinéas du présent article sont fixées par le contrat pluriannuel mentionné à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525320&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 711-1</a>.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000044330808
MD-20240522_194426_560_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166657
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Chapitre Ier : Dispositions communes.
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LEGISCTA000006166657
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs et la recherche &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs et de la recherche &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre Ier : Dispositions communes.
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Code de l'éducation, art. L611-9
Code de l'éducation
Les compétences, connaissances et aptitudes acquises par un étudiant dans le cadre d'une activité bénévole au sein d'une association régie par la loi du 1er juillet 1901 relative au contrat d'association ou inscrite au registre des associations en application du code civil local applicable dans les départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle, d'une activité professionnelle, d'une activité sportive exercée par les personnes inscrites sur les listes mentionnées à l'article L. 221-2 du code du sport, d'une activité militaire dans la réserve opérationnelle prévue au titre II du livre II de la quatrième partie du code de la défense, d'un engagement dans la réserve opérationnelle de la police nationale prévue à la section 4 du chapitre Ier du titre Ier du livre IV du code de la sécurité intérieure, d'un engagement dans la réserve opérationnelle de l'administration des douanes prévue au chapitre II bis du titre II du code des douanes d'un engagement de sapeur-pompier volontaire prévu à l' article L. 723-3 du code de la sécurité intérieure , d'un service civique prévu au II de l'article L. 120-1 du code du service national ou d'un volontariat dans les armées prévu à l'article L. 121-1 du même code sont validées au titre de sa formation, selon des modalités fixées par décret.
1,689,811,200,000
32,472,144,000,000
L611-9
LEGIARTI000047861542
LEGIARTI000033939455
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
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Article
<p align='left'>Les compétences, connaissances et aptitudes acquises par un étudiant dans le cadre d'une activité bénévole au sein d'une association régie par la <a href='/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000497458&categorieLien=cid'>loi du 1er juillet 1901</a> relative au contrat d'association ou inscrite au registre des associations en application du code civil local applicable dans les départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle, d'une activité professionnelle, d'une activité sportive exercée par les personnes inscrites sur les listes mentionnées à l'article L. 221-2 du code du sport, d'une activité militaire dans la réserve opérationnelle prévue au titre II du livre II de la quatrième partie du code de la défense, d'un engagement dans la réserve opérationnelle de la police nationale prévue à la section 4 du chapitre Ier du titre Ier du livre IV du code de la sécurité intérieure, d'un engagement dans la réserve opérationnelle de l'administration des douanes prévue au chapitre II bis du titre II du code des douanes d'un engagement de sapeur-pompier volontaire prévu à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idArticle=LEGIARTI000025506691&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 723-3 du code de la sécurité intérieure </a>, d'un service civique prévu au <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071335&idArticle=LEGIARTI000021956514&dateTexte=&categorieLien=cid'>II de l'article L. 120-1 du code du service national</a> ou d'un volontariat dans les armées prévu à l'article L. 121-1 du même code sont validées au titre de sa formation, selon des modalités fixées par décret.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000045293864
MD-20240712_193759_248_BDJQUOT
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LEGI
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LEGISCTA000006166657
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Chapitre Ier : Dispositions communes.
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs et la recherche &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs et de la recherche &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre Ier : Dispositions communes.
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Code de l'éducation, art. L611-10
Code de l'éducation
Les établissements d'enseignement supérieur élaborent une politique spécifique visant à développer l'engagement des étudiants au sein des associations.
1,485,648,000,000
32,472,144,000,000
L611-10
LEGIARTI000033939068
LEGIARTI000033939068
AUTONOME
VIGUEUR
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Article
<div align='left'>Les établissements d'enseignement supérieur élaborent une politique spécifique visant à développer l'engagement des étudiants au sein des associations.</div>
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IG-20231124
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LEGIARTI000033939068
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LEGISCTA000006166657
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Chapitre Ier : Dispositions communes.
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LEGISCTA000006166657
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre Ier : Dispositions communes.
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Code de l'éducation, art. L611-11
Code de l'éducation
Des aménagements dans l'organisation et le déroulement des études et des droits spécifiques liés à l'exercice de responsabilités particulières sont prévus par les établissements d'enseignement supérieur, dans des conditions fixées par décret, afin de permettre aux étudiants exerçant des responsabilités au sein du bureau d'une association, aux étudiants accomplissant une activité militaire dans la réserve opérationnelle prévue au livre II de la quatrième partie du code de la défense , aux étudiants accomplissant des missions dans la réserve opérationnelle de la police nationale prévue à la section 4 du chapitre Ier du titre Ier du livre IV du code de la sécurité intérieure , aux étudiants réalisant une mission dans le cadre du service civique mentionné à l' article L. 120-1 du code du service national ou un volontariat militaire prévu à l' article L. 121-1 du même code , aux étudiants exerçant une activité professionnelle, aux étudiants accomplissant des missions en qualité de sapeur-pompier volontaire et aux étudiants élus dans les conseils des établissements et des centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires de concilier leurs études et leur engagement.
1,689,120,000,000
32,472,144,000,000
L611-11
LEGIARTI000047809364
LEGIARTI000033939002
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
2,013,284,709
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null
null
Article
<p></p><p>Des aménagements dans l'organisation et le déroulement des études et des droits spécifiques liés à l'exercice de responsabilités particulières sont prévus par les établissements d'enseignement supérieur, dans des conditions fixées par décret, afin de permettre aux étudiants exerçant des responsabilités au sein du bureau d'une association, aux étudiants accomplissant une activité militaire dans la réserve opérationnelle prévue au <a href='/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000006071307&idSectionTA=LEGISCTA000006137722&dateTexte=&categorieLien=cid'>livre II de la quatrième partie du code de la défense</a>, aux étudiants accomplissant des missions dans la réserve opérationnelle de la police nationale prévue à la <a href='/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000025503132&idSectionTA=LEGISCTA000025505879&dateTexte=&categorieLien=cid'>section 4 du chapitre Ier du titre Ier du livre IV du code de la sécurité intérieure</a>, aux étudiants réalisant une mission dans le cadre du service civique mentionné à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071335&idArticle=LEGIARTI000021956514&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 120-1 du code du service national </a>ou un volontariat militaire prévu à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071335&idArticle=LEGIARTI000006555957&dateTexte=&categorieLien=cid'>article L. 121-1 du même code</a>, aux étudiants exerçant une activité professionnelle, aux étudiants accomplissant des missions en qualité de sapeur-pompier volontaire et aux étudiants élus dans les conseils des établissements et des centres régionaux des œuvres universitaires et scolaires de concilier leurs études et leur engagement.</p><p></p>
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32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166657
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Chapitre Ier : Dispositions communes.
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LEGISCTA000006166657
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs et la recherche &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs et de la recherche &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre Ier : Dispositions communes.
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Code de l'éducation, art. L611-12
Code de l'éducation
Tout étudiant peut, sur sa demande et avec l'accord du président ou directeur de l'établissement dans lequel il est inscrit, suspendre temporairement ses études dans des conditions fixées par décret.
1,520,640,000,000
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L611-12
LEGIARTI000036685318
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VIGUEUR
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<p>Tout étudiant peut, sur sa demande et avec l'accord du président ou directeur de l'établissement dans lequel il est inscrit, suspendre temporairement ses études dans des conditions fixées par décret.</p>
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LEGI
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LEGISCTA000006166657
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Chapitre Ier : Dispositions communes.
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LEGISCTA000006166657
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre Ier : Dispositions communes.
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Code de l'éducation, art. L612-1
Code de l'éducation
Le déroulement des études supérieures est organisé en cycles. Le nombre, la nature et la durée des cycles peuvent varier en fonction des études dispensées. Chaque cycle, selon ses objectifs propres, fait une part à l'orientation des étudiants, à leur formation générale, à l'acquisition d'éléments d'une qualification professionnelle, à la formation à l'entreprenariat, à la recherche, au développement de la personnalité, du sens des responsabilités et de l'aptitude au travail individuel et en équipe. Au cours de chaque cycle sont délivrés des diplômes nationaux ou des diplômes d'établissement sanctionnant les connaissances, les compétences ou les éléments de qualification professionnelle acquis. Les grades de licence, de master et de doctorat sont conférés respectivement dans le cadre du premier, du deuxième et du troisième cycle. Les établissements dispensant des formations sanctionnées par un diplôme d'études supérieures rendent publiques des statistiques comportant des indicateurs d'inscription des étudiants dans toutes les formations dispensées, de réussite aux examens et aux diplômes, de poursuite d'études et d'insertion professionnelle des étudiants. Chaque étudiant en dispose avant son orientation dans une formation supérieure et notamment au cours de la procédure nationale de préinscription définie à l'article L. 612-3 . Dans l'élaboration et la communication de ces statistiques, les établissements peuvent bénéficier du concours des services et établissements publics de l'Etat chargés des études statistiques, qui peuvent, à cette fin, leur fournir un soutien méthodologique et valider la fiabilité des enquêtes conduites. Ces statistiques sont rendues publiques sur le site internet de l'établissement. Pour chacune des formations sanctionnées par un diplôme d'études supérieures, les établissements mentionnés au troisième alinéa du présent article publient chaque année l'ensemble des indicateurs relatifs à l'égalité des chances entre les femmes et les hommes et aux actions mises en œuvre pour réduire les inégalités, selon des modalités et une méthodologie définies par décret. Les conseils d'administration des établissements mentionnés au même troisième alinéa délibèrent annuellement sur la politique d'égalité de l'établissement, sur la base des indicateurs relatifs à l'égalité des chances entre les femmes et les hommes mentionnés au présent article.
1,703,635,200,000
32,472,144,000,000
L612-1
LEGIARTI000044605380
LEGIARTI000006525178
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au II de l'article 7 de la loi n° 2021-1774 du 24 décembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur deux ans après la publication de ladite loi.
5.0
85,898
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Article
<p>Le déroulement des études supérieures est organisé en cycles. Le nombre, la nature et la durée des cycles peuvent varier en fonction des études dispensées. Chaque cycle, selon ses objectifs propres, fait une part à l'orientation des étudiants, à leur formation générale, à l'acquisition d'éléments d'une qualification professionnelle, à la formation à l'entreprenariat, à la recherche, au développement de la personnalité, du sens des responsabilités et de l'aptitude au travail individuel et en équipe.</p><p>Au cours de chaque cycle sont délivrés des diplômes nationaux ou des diplômes d'établissement sanctionnant les connaissances, les compétences ou les éléments de qualification professionnelle acquis. Les grades de licence, de master et de doctorat sont conférés respectivement dans le cadre du premier, du deuxième et du troisième cycle.</p><p>Les établissements dispensant des formations sanctionnées par un diplôme d'études supérieures rendent publiques des statistiques comportant des indicateurs d'inscription des étudiants dans toutes les formations dispensées, de réussite aux examens et aux diplômes, de poursuite d'études et d'insertion professionnelle des étudiants. Chaque étudiant en dispose avant son orientation dans une formation supérieure et notamment au cours de la procédure nationale de préinscription définie à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525182&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 612-3</a>. Dans l'élaboration et la communication de ces statistiques, les établissements peuvent bénéficier du concours des services et établissements publics de l'Etat chargés des études statistiques, qui peuvent, à cette fin, leur fournir un soutien méthodologique et valider la fiabilité des enquêtes conduites. Ces statistiques sont rendues publiques sur le site internet de l'établissement.</p><p>Pour chacune des formations sanctionnées par un diplôme d'études supérieures, les établissements mentionnés au troisième alinéa du présent article publient chaque année l'ensemble des indicateurs relatifs à l'égalité des chances entre les femmes et les hommes et aux actions mises en œuvre pour réduire les inégalités, selon des modalités et une méthodologie définies par décret.<br/><br/> Les conseils d'administration des établissements mentionnés au même troisième alinéa délibèrent annuellement sur la politique d'égalité de l'établissement, sur la base des indicateurs relatifs à l'égalité des chances entre les femmes et les hommes mentionnés au présent article.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000036687648
MD-20240827_190240_714_BDJQUOT
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LEGI
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LEGISCTA000006166658
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Chapitre II : Déroulement des études supérieures.
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LEGISCTA000006166658
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs et la recherche &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs et de la recherche &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre II : Déroulement des études supérieures.
<p>Conformément au II de l'article 7 de la loi n° 2021-1774 du 24 décembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur deux ans après la publication de ladite loi.</p>
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Code de l'éducation, art. L612-1-1
Code de l'éducation
Dans le respect d'un cadre national défini par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur, le président ou chef d'établissement détermine les conditions de scolarité et d'assiduité applicables à l'ensemble des étudiants inscrits dans une formation d'enseignement supérieur. Il veille à leur bonne application. Ces conditions de scolarité et d'assiduité sont prises en compte pour le maintien du bénéfice des aides attribuées aux étudiants sur le fondement de l'article L. 821-1 .
1,520,640,000,000
32,472,144,000,000
L612-1-1
LEGIARTI000036685386
LEGIARTI000036685377
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
107,372
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Article
<p>Dans le respect d'un cadre national défini par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur, le président ou chef d'établissement détermine les conditions de scolarité et d'assiduité applicables à l'ensemble des étudiants inscrits dans une formation d'enseignement supérieur. Il veille à leur bonne application. <br/><br/>Ces conditions de scolarité et d'assiduité sont prises en compte pour le maintien du bénéfice des aides attribuées aux étudiants sur le fondement de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525526&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 821-1</a>.</p>
32,472,144,000,000
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IG-20231128
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LEGIARTI000036685386
LEGI
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LEGISCTA000006166658
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Chapitre II : Déroulement des études supérieures.
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LEGISCTA000006166658
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre II : Déroulement des études supérieures.
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Code de l'éducation, art. L612-2
Code de l'éducation
Dans la continuité des enseignements dispensés dans le second cycle de l'enseignement du second degré, qui préparent à la poursuite d'études dans l'enseignement supérieur, le premier cycle a pour finalités : 1° De permettre à l'étudiant d'acquérir, d'approfondir et de diversifier ses connaissances dans des disciplines fondamentales ouvrant sur un grand secteur d'activité, de perfectionner sa maîtrise de la langue française, d'acquérir des méthodes de travail et de se sensibiliser à la recherche ; 2° De mettre l'étudiant en mesure d'évaluer ses capacités d'assimilation des bases scientifiques requises pour chaque niveau et type de formation et de réunir les éléments d'un choix professionnel ; 2° bis D'accompagner tout étudiant dans l'identification et dans la constitution d'un projet personnel et professionnel, sur la base d'un enseignement pluridisciplinaire et ainsi d'une spécialisation progressive des études ; 3° De permettre l'orientation de l'étudiant, dans le respect de sa liberté de choix, en le préparant soit aux formations qu'il se propose de suivre dans le deuxième cycle, soit à l'entrée dans la vie active après l'acquisition d'une qualification sanctionnée par un titre ou un diplôme.
1,520,640,000,000
32,472,144,000,000
L612-2
LEGIARTI000036687667
LEGIARTI000006525181
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
42,949
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Article
<p>Dans la continuité des enseignements dispensés dans le second cycle de l'enseignement du second degré, qui préparent à la poursuite d'études dans l'enseignement supérieur, le premier cycle a pour finalités :</p><p>1° De permettre à l'étudiant d'acquérir, d'approfondir et de diversifier ses connaissances dans des disciplines fondamentales ouvrant sur un grand secteur d'activité, de perfectionner sa maîtrise de la langue française, d'acquérir des méthodes de travail et de se sensibiliser à la recherche ;</p><p>2° De mettre l'étudiant en mesure d'évaluer ses capacités d'assimilation des bases scientifiques requises pour chaque niveau et type de formation et de réunir les éléments d'un choix professionnel ;</p><p>2° bis D'accompagner tout étudiant dans l'identification et dans la constitution d'un projet personnel et professionnel, sur la base d'un enseignement pluridisciplinaire et ainsi d'une spécialisation progressive des études ;</p><p>3° De permettre l'orientation de l'étudiant, dans le respect de sa liberté de choix, en le préparant soit aux formations qu'il se propose de suivre dans le deuxième cycle, soit à l'entrée dans la vie active après l'acquisition d'une qualification sanctionnée par un titre ou un diplôme.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000027747867
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006182436
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Section 1 : Le premier cycle.
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre II : Déroulement des études supérieures. &gt; Section 1 : Le premier cycle.
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Code de l'éducation, art. L612-3
Code de l'éducation
I.-Le premier cycle est ouvert à tous les titulaires du baccalauréat et à ceux qui ont obtenu l'équivalence ou la dispense de ce grade en justifiant d'une qualification ou d'une expérience jugées suffisantes conformément au livre IV de la sixième partie du code du travail. Afin de favoriser la réussite de tous les étudiants, des dispositifs d'accompagnement pédagogique et des parcours de formation personnalisés tenant compte de la diversité et des spécificités des publics étudiants accueillis sont mis en place au cours du premier cycle par les établissements dispensant une formation d'enseignement supérieur. Les établissements communiquent chaque année au ministre chargé de l'enseignement supérieur des statistiques, qui sont rendues publiques, sur le suivi et la validation de ces parcours et de ces dispositifs. L'inscription dans une formation du premier cycle dispensée par un établissement public est précédée d'une procédure nationale de préinscription qui permet aux candidats de bénéficier d'un dispositif d'information et d'orientation qui, dans le prolongement de celui proposé au cours de la scolarité du second degré, est mis en place par les établissements d'enseignement supérieur. Au cours de cette procédure, les caractéristiques de chaque formation, y compris des formations professionnelles et des formations en apprentissage, et les statistiques prévues à l'article L. 612-1 du présent code sont portées à la connaissance des candidats ; ces caractéristiques font l'objet d'un cadrage national fixé par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur. L'inscription est prononcée par le président ou le directeur de l'établissement ou, dans les cas prévus aux VIII et IX du présent article, par l'autorité académique. Pour l'examen des candidatures présentées dans le cadre de la procédure nationale de préinscription mentionnée au deuxième alinéa du présent I, les établissements dispensant une formation d'enseignement supérieur peuvent tenir compte de la participation des bacheliers aux dispositifs d'accompagnement mis en place entre les établissements d'enseignement pour garantir l'égalité des chances. L'inscription peut, compte tenu, d'une part, des caractéristiques de la formation et, d'autre part, de l'appréciation portée sur les acquis de la formation antérieure du candidat ainsi que sur ses compétences, être subordonnée à l'acceptation, par ce dernier, du bénéfice des dispositifs d'accompagnement pédagogique ou du parcours de formation personnalisé proposés par l'établissement pour favoriser sa réussite. Il est tenu compte, à cette fin, des aménagements et des adaptations dont bénéficient les candidats en situation de handicap. Le silence gardé par un établissement sur une candidature présentée dans le cadre de la procédure nationale de préinscription prévue au deuxième alinéa du présent I ne fait naître aucune décision implicite avant le terme de cette procédure. Afin de garantir la nécessaire protection du secret des délibérations des équipes pédagogiques chargées de l'examen des candidatures présentées dans le cadre de la procédure nationale de préinscription prévue au même deuxième alinéa, les obligations résultant des articles L. 311-3-1 et L. 312-1-3 du code des relations entre le public et l'administration sont réputées satisfaites dès lors que les candidats sont informés de la possibilité d'obtenir, s'ils en font la demande, la communication des informations relatives aux critères et modalités d'examen de leurs candidatures ainsi que des motifs pédagogiques qui justifient la décision prise. II.-La communication, en application des dispositions du code des relations entre le public et l'administration , du code source des traitements automatisés utilisés pour le fonctionnement de la plateforme mise en place dans le cadre de la procédure nationale de préinscription prévue au I s'accompagne de la communication du cahier des charges présenté de manière synthétique et de l'algorithme du traitement. III.-Les capacités d'accueil des formations du premier cycle de l'enseignement supérieur des établissements relevant des ministres chargés de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur sont arrêtées chaque année par l'autorité académique après dialogue avec chaque établissement. Pour déterminer ces capacités d'accueil, l'autorité académique tient compte des perspectives d'insertion professionnelle des formations, de l'évolution des projets de formation exprimés par les candidats ainsi que du projet de formation et de recherche de l'établissement. IV.-Pour l'accès aux formations autres que celles prévues au VI, lorsque le nombre de candidatures excède les capacités d'accueil d'une formation, les inscriptions sont prononcées par le président ou le directeur de l'établissement dans la limite des capacités d'accueil, au regard de la cohérence entre, d'une part, le projet de formation du candidat, les acquis de sa formation antérieure et ses compétences et, d'autre part, les caractéristiques de la formation. V.- Sans préjudice des dispositions des deux derniers alinéas de l'article L. 611-1, pour l'accès aux formations autres que celles mentionnées au VI, lorsque le nombre de candidatures excède les capacités d'accueil d'une formation, l'autorité académique fixe un pourcentage minimal de bacheliers retenus bénéficiaires d'une bourse nationale de lycée, en fonction du rapport entre le nombre de ces bacheliers boursiers candidats à l'accès à cette formation et le nombre total de demandes d'inscription dans cette formation enregistrées dans le cadre de la procédure de préinscription prévue au deuxième alinéa du I. Pour l'accès à ces mêmes formations et compte tenu du nombre de candidats à ces formations résidant dans l'académie, l'autorité académique fixe également, afin de faciliter l'accès des bacheliers qui le souhaitent aux formations d'enseignement supérieur situées dans l'académie où ils résident, un pourcentage maximal de bacheliers retenus résidant dans une académie autre que celle dans laquelle est situé l'établissement. Pour l'application du présent alinéa, sont assimilés à des candidats résidant dans l'académie où se situe la formation à laquelle ils présentent leur candidature : 1° Les candidats ressortissants français ou ressortissants d'un Etat membre de l'Union européenne qui sont établis hors de France ; 2° Les candidats préparant ou ayant obtenu le baccalauréat français dans un centre d'examen à l'étranger ; 3° Les candidats qui souhaitent accéder à une formation qui n'est pas dispensée dans leur académie de résidence. Les pourcentages prévus aux premier et deuxième alinéas du présent V sont fixés en concertation avec les présidents d'université concernés. Seule l'obligation de respecter le pourcentage minimal de bacheliers boursiers retenus peut conduire à déroger au pourcentage maximal de bacheliers retenus résidant dans une autre académie. Pour les formations dont le bassin de recrutement diffère du périmètre de l'académie, le ministre chargé de l'enseignement supérieur détermine par arrêté la zone géographique de résidence des candidats prise en compte en lieu et place de l'académie pour la mise en œuvre des dispositions du même deuxième alinéa. VI.-Une sélection peut être opérée, selon des modalités fixées par le ministre chargé de l'enseignement supérieur, pour l'accès aux sections de techniciens supérieurs, instituts, écoles et préparations à celles-ci, grands établissements au sens du chapitre VII du titre Ier du livre VII de la troisième partie et tous établissements où l'admission est subordonnée à un concours national ou à un concours de recrutement de la fonction publique, ainsi que pour l'accès aux formations de l'enseignement supérieur dispensées dans les lycées, aux cycles préparatoires intégrés, aux formations préparant au diplôme de comptabilité et de gestion ou aux diplômes d'études universitaires scientifiques et techniques, aux formations préparant à la licence professionnelle et aux formations de l'enseignement supérieur conduisant à la délivrance d'un double diplôme. Sans préjudice des dispositions des deux derniers alinéas de l'article L. 611-1 et de l'article L. 621-3, pour l'accès aux formations mentionnées au premier alinéa du présent VI, l'autorité académique fixe un pourcentage minimal de bacheliers retenus bénéficiaires d'une bourse nationale de lycée. VII.-En tenant compte de la spécialité du diplôme préparé et des demandes enregistrées dans le cadre de la procédure de préinscription prévue au deuxième alinéa du I, l'autorité académique prévoit, pour l'accès aux sections de techniciens supérieurs et aux instituts universitaires de technologie, respectivement un pourcentage minimal de bacheliers professionnels retenus et un pourcentage minimal de bacheliers technologiques retenus ainsi que les modalités permettant de garantir la cohérence entre les acquis de la formation antérieure du candidat et les caractéristiques de la formation demandée. Ces pourcentages et ces modalités sont fixés en concertation avec les présidents d'université, les directeurs des instituts universitaires de technologie, les directeurs des centres de formation d'apprentis et les proviseurs des lycées ayant des sections de techniciens supérieurs, chacun pour ce qui le concerne. VIII.-L'autorité académique propose aux candidats auxquels aucune proposition d'admission n'a été faite dans le cadre de la procédure nationale de préinscription une inscription dans une formation, dans la limite des capacités d'accueil prévues au III, en tenant compte, d'une part, des caractéristiques de cette formation et, d'autre part, du projet de formation des candidats, des acquis de leur formation antérieure et de leurs compétences. Cette proposition fait l'objet d'un dialogue préalable avec le candidat et le président ou le directeur de l'établissement concerné au cours duquel ce dernier peut proposer au candidat une inscription dans une autre formation de son établissement. Avec l'accord du candidat, l'autorité académique prononce son inscription dans la formation retenue, laquelle peut être subordonnée, par le président ou le directeur de l'établissement concerné, à l'acceptation, par le candidat, du bénéfice des dispositifs d'accompagnement pédagogique ou du parcours de formation personnalisé nécessaires à sa réussite. IX.-Lorsque la situation d'un candidat justifie, eu égard à des circonstances exceptionnelles tenant à son état de santé, à son handicap, à son inscription en tant que sportif de haut niveau sur la liste mentionnée au premier alinéa de l'article L. 221-2 du code du sport ou à ses charges de famille, son inscription dans un établissement situé dans une zone géographique déterminée, l'autorité académique, saisie par ce candidat, peut procéder au réexamen de sa candidature dans des conditions fixées par décret. En tenant compte de la situation particulière que l'intéressé fait valoir, des acquis de sa formation antérieure et de ses compétences ainsi que des caractéristiques des formations, l'autorité académique prononce, avec son accord, son inscription dans une formation du premier cycle. X.-Au mois de décembre de chaque année, le ministre chargé de l'enseignement supérieur rend public un bilan détaillé par académie de la procédure nationale de préinscription dans le premier cycle de l'enseignement supérieur ainsi que les prévisions démographiques d'entrée dans le premier cycle universitaire pour la prochaine rentrée. XI.-Un comité éthique et scientifique est institué auprès du ministre chargé de l'enseignement supérieur. Ce comité veille notamment au respect des principes juridiques et éthiques qui fondent la procédure nationale de préinscription mentionnée au I ainsi que les procédures mises en place par les établissements dispensant des formations initiales du premier cycle de l'enseignement supérieur pour l'examen des candidatures. Le comité formule toute proposition de nature à améliorer la transparence de ces procédures et leur bonne compréhension par les candidats. Les missions, la composition et les modalités de fonctionnement du comité sont fixées par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur. Ses membres ne sont pas rémunérés. XII.-Un décret précise les modalités d'application des I à XI du présent article. XIII.-Les classes préparatoires des lycées et les établissements publics d'enseignement supérieur assurent la préparation aux écoles, aux formations de l'enseignement supérieur qui font l'objet d'une sélection et aux concours de la fonction publique. Les étudiants boursiers bénéficient de la gratuité d'accès à ces préparations. Chaque lycée public disposant d'au moins une formation d'enseignement supérieur conclut une convention avec un ou plusieurs établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel de son choix dans son académie afin de prévoir des rapprochements dans les domaines pédagogique et de la recherche et de faciliter les parcours de formation des étudiants. Lorsqu'aucun établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel de l'académie ne propose de formations d'enseignement supérieur en lien avec celles dispensées dans le lycée, ce dernier peut conclure une convention avec un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel situé en dehors de son académie. La convention prévoit les modalités de mise en œuvre d'enseignements communs aux formations dispensées par les établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel et à celles dispensées par les lycées. L'établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel motive son refus de conclure une convention. La préinscription assure aux élèves la connaissance des conventions existantes entre les lycées disposant d'au moins une formation d'enseignement supérieur et les établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel auxquels ils sont associés. Les élèves inscrits dans une classe préparatoire aux grandes écoles d'un lycée public sont également inscrits dans une formation proposée par l'un des établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel ayant conclu une convention avec ce lycée, selon des modalités précisées par décret. Cette inscription emporte paiement des droits d'inscription prévus à l'article L. 719-4.
1,671,753,600,000
32,472,144,000,000
L612-3
LEGIARTI000046774880
LEGIARTI000006525182
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 1 de la loi n° 2018-166 du 8 mars 2018, le II entre en vigueur au plus tard six mois après la promulgation de ladite loi.
7.0
85,898
null
null
null
Article
<p>I.-Le premier cycle est ouvert à tous les titulaires du baccalauréat et à ceux qui ont obtenu l'équivalence ou la dispense de ce grade en justifiant d'une qualification ou d'une expérience jugées suffisantes conformément au livre IV de la sixième partie du code du travail. Afin de favoriser la réussite de tous les étudiants, des dispositifs d'accompagnement pédagogique et des parcours de formation personnalisés tenant compte de la diversité et des spécificités des publics étudiants accueillis sont mis en place au cours du premier cycle par les établissements dispensant une formation d'enseignement supérieur. Les établissements communiquent chaque année au ministre chargé de l'enseignement supérieur des statistiques, qui sont rendues publiques, sur le suivi et la validation de ces parcours et de ces dispositifs.<br/><br/> L'inscription dans une formation du premier cycle dispensée par un établissement public est précédée d'une procédure nationale de préinscription qui permet aux candidats de bénéficier d'un dispositif d'information et d'orientation qui, dans le prolongement de celui proposé au cours de la scolarité du second degré, est mis en place par les établissements d'enseignement supérieur. Au cours de cette procédure, les caractéristiques de chaque formation, y compris des formations professionnelles et des formations en apprentissage, et les statistiques prévues à l'article L. 612-1 du présent code sont portées à la connaissance des candidats ; ces caractéristiques font l'objet d'un cadrage national fixé par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur. L'inscription est prononcée par le président ou le directeur de l'établissement ou, dans les cas prévus aux VIII et IX du présent article, par l'autorité académique.</p><p>Pour l'examen des candidatures présentées dans le cadre de la procédure nationale de préinscription mentionnée au deuxième alinéa du présent I, les établissements dispensant une formation d'enseignement supérieur peuvent tenir compte de la participation des bacheliers aux dispositifs d'accompagnement mis en place entre les établissements d'enseignement pour garantir l'égalité des chances.<br/><br/> L'inscription peut, compte tenu, d'une part, des caractéristiques de la formation et, d'autre part, de l'appréciation portée sur les acquis de la formation antérieure du candidat ainsi que sur ses compétences, être subordonnée à l'acceptation, par ce dernier, du bénéfice des dispositifs d'accompagnement pédagogique ou du parcours de formation personnalisé proposés par l'établissement pour favoriser sa réussite. Il est tenu compte, à cette fin, des aménagements et des adaptations dont bénéficient les candidats en situation de handicap.<br/><br/> Le silence gardé par un établissement sur une candidature présentée dans le cadre de la procédure nationale de préinscription prévue au deuxième alinéa du présent I ne fait naître aucune décision implicite avant le terme de cette procédure.<br/><br/> Afin de garantir la nécessaire protection du secret des délibérations des équipes pédagogiques chargées de l'examen des candidatures présentées dans le cadre de la procédure nationale de préinscription prévue au même deuxième alinéa, les obligations résultant des articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000031366350&idArticle=LEGIARTI000033205535&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 311-3-1</a> et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000031366350&idArticle=LEGIARTI000033205516&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 312-1-3</a> du code des relations entre le public et l'administration sont réputées satisfaites dès lors que les candidats sont informés de la possibilité d'obtenir, s'ils en font la demande, la communication des informations relatives aux critères et modalités d'examen de leurs candidatures ainsi que des motifs pédagogiques qui justifient la décision prise.<br/><br/> II.-La communication, en application des dispositions du <a href='/affichCode.do?cidTexte=LEGITEXT000031366350&dateTexte=&categorieLien=cid'>code des relations entre le public et l'administration</a>, du code source des traitements automatisés utilisés pour le fonctionnement de la plateforme mise en place dans le cadre de la procédure nationale de préinscription prévue au I s'accompagne de la communication du cahier des charges présenté de manière synthétique et de l'algorithme du traitement.<br/><br/> III.-Les capacités d'accueil des formations du premier cycle de l'enseignement supérieur des établissements relevant des ministres chargés de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur sont arrêtées chaque année par l'autorité académique après dialogue avec chaque établissement. Pour déterminer ces capacités d'accueil, l'autorité académique tient compte des perspectives d'insertion professionnelle des formations, de l'évolution des projets de formation exprimés par les candidats ainsi que du projet de formation et de recherche de l'établissement.<br/><br/> IV.-Pour l'accès aux formations autres que celles prévues au VI, lorsque le nombre de candidatures excède les capacités d'accueil d'une formation, les inscriptions sont prononcées par le président ou le directeur de l'établissement dans la limite des capacités d'accueil, au regard de la cohérence entre, d'une part, le projet de formation du candidat, les acquis de sa formation antérieure et ses compétences et, d'autre part, les caractéristiques de la formation.<br/><br/> V.- Sans préjudice des dispositions des deux derniers alinéas de l'article L. 611-1, pour l'accès aux formations autres que celles mentionnées au VI, lorsque le nombre de candidatures excède les capacités d'accueil d'une formation, l'autorité académique fixe un pourcentage minimal de bacheliers retenus bénéficiaires d'une bourse nationale de lycée, en fonction du rapport entre le nombre de ces bacheliers boursiers candidats à l'accès à cette formation et le nombre total de demandes d'inscription dans cette formation enregistrées dans le cadre de la procédure de préinscription prévue au deuxième alinéa du I.<br/><br/> Pour l'accès à ces mêmes formations et compte tenu du nombre de candidats à ces formations résidant dans l'académie, l'autorité académique fixe également, afin de faciliter l'accès des bacheliers qui le souhaitent aux formations d'enseignement supérieur situées dans l'académie où ils résident, un pourcentage maximal de bacheliers retenus résidant dans une académie autre que celle dans laquelle est situé l'établissement. Pour l'application du présent alinéa, sont assimilés à des candidats résidant dans l'académie où se situe la formation à laquelle ils présentent leur candidature :<br/><br/> 1° Les candidats ressortissants français ou ressortissants d'un Etat membre de l'Union européenne qui sont établis hors de France ;<br/><br/> 2° Les candidats préparant ou ayant obtenu le baccalauréat français dans un centre d'examen à l'étranger ;<br/><br/> 3° Les candidats qui souhaitent accéder à une formation qui n'est pas dispensée dans leur académie de résidence.<br/><br/> Les pourcentages prévus aux premier et deuxième alinéas du présent V sont fixés en concertation avec les présidents d'université concernés. Seule l'obligation de respecter le pourcentage minimal de bacheliers boursiers retenus peut conduire à déroger au pourcentage maximal de bacheliers retenus résidant dans une autre académie.<br/><br/> Pour les formations dont le bassin de recrutement diffère du périmètre de l'académie, le ministre chargé de l'enseignement supérieur détermine par arrêté la zone géographique de résidence des candidats prise en compte en lieu et place de l'académie pour la mise en œuvre des dispositions du même deuxième alinéa.<br/><br/> VI.-Une sélection peut être opérée, selon des modalités fixées par le ministre chargé de l'enseignement supérieur, pour l'accès aux sections de techniciens supérieurs, instituts, écoles et préparations à celles-ci, grands établissements au sens du chapitre VII du titre Ier du livre VII de la troisième partie et tous établissements où l'admission est subordonnée à un concours national ou à un concours de recrutement de la fonction publique, ainsi que pour l'accès aux formations de l'enseignement supérieur dispensées dans les lycées, aux cycles préparatoires intégrés, aux formations préparant au diplôme de comptabilité et de gestion ou aux diplômes d'études universitaires scientifiques et techniques, aux formations préparant à la licence professionnelle et aux formations de l'enseignement supérieur conduisant à la délivrance d'un double diplôme.<br/><br/> Sans préjudice des dispositions des deux derniers alinéas de l'article L. 611-1 et de l'article L. 621-3, pour l'accès aux formations mentionnées au premier alinéa du présent VI, l'autorité académique fixe un pourcentage minimal de bacheliers retenus bénéficiaires d'une bourse nationale de lycée.<br/><br/> VII.-En tenant compte de la spécialité du diplôme préparé et des demandes enregistrées dans le cadre de la procédure de préinscription prévue au deuxième alinéa du I, l'autorité académique prévoit, pour l'accès aux sections de techniciens supérieurs et aux instituts universitaires de technologie, respectivement un pourcentage minimal de bacheliers professionnels retenus et un pourcentage minimal de bacheliers technologiques retenus ainsi que les modalités permettant de garantir la cohérence entre les acquis de la formation antérieure du candidat et les caractéristiques de la formation demandée. Ces pourcentages et ces modalités sont fixés en concertation avec les présidents d'université, les directeurs des instituts universitaires de technologie, les directeurs des centres de formation d'apprentis et les proviseurs des lycées ayant des sections de techniciens supérieurs, chacun pour ce qui le concerne.<br/><br/> VIII.-L'autorité académique propose aux candidats auxquels aucune proposition d'admission n'a été faite dans le cadre de la procédure nationale de préinscription une inscription dans une formation, dans la limite des capacités d'accueil prévues au III, en tenant compte, d'une part, des caractéristiques de cette formation et, d'autre part, du projet de formation des candidats, des acquis de leur formation antérieure et de leurs compétences. Cette proposition fait l'objet d'un dialogue préalable avec le candidat et le président ou le directeur de l'établissement concerné au cours duquel ce dernier peut proposer au candidat une inscription dans une autre formation de son établissement. Avec l'accord du candidat, l'autorité académique prononce son inscription dans la formation retenue, laquelle peut être subordonnée, par le président ou le directeur de l'établissement concerné, à l'acceptation, par le candidat, du bénéfice des dispositifs d'accompagnement pédagogique ou du parcours de formation personnalisé nécessaires à sa réussite.<br/><br/> IX.-Lorsque la situation d'un candidat justifie, eu égard à des circonstances exceptionnelles tenant à son état de santé, à son handicap, à son inscription en tant que sportif de haut niveau sur la liste mentionnée au <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071318&idArticle=LEGIARTI000006547582&dateTexte=&categorieLien=cid'>premier alinéa de l'article L. 221-2 du code du sport</a> ou à ses charges de famille, son inscription dans un établissement situé dans une zone géographique déterminée, l'autorité académique, saisie par ce candidat, peut procéder au réexamen de sa candidature dans des conditions fixées par décret. En tenant compte de la situation particulière que l'intéressé fait valoir, des acquis de sa formation antérieure et de ses compétences ainsi que des caractéristiques des formations, l'autorité académique prononce, avec son accord, son inscription dans une formation du premier cycle.<br/><br/> X.-Au mois de décembre de chaque année, le ministre chargé de l'enseignement supérieur rend public un bilan détaillé par académie de la procédure nationale de préinscription dans le premier cycle de l'enseignement supérieur ainsi que les prévisions démographiques d'entrée dans le premier cycle universitaire pour la prochaine rentrée.<br/><br/> XI.-Un comité éthique et scientifique est institué auprès du ministre chargé de l'enseignement supérieur. Ce comité veille notamment au respect des principes juridiques et éthiques qui fondent la procédure nationale de préinscription mentionnée au I ainsi que les procédures mises en place par les établissements dispensant des formations initiales du premier cycle de l'enseignement supérieur pour l'examen des candidatures. Le comité formule toute proposition de nature à améliorer la transparence de ces procédures et leur bonne compréhension par les candidats.<br/><br/> Les missions, la composition et les modalités de fonctionnement du comité sont fixées par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur. Ses membres ne sont pas rémunérés.<br/><br/> XII.-Un décret précise les modalités d'application des I à XI du présent article.</p><p>XIII.-Les classes préparatoires des lycées et les établissements publics d'enseignement supérieur assurent la préparation aux écoles, aux formations de l'enseignement supérieur qui font l'objet d'une sélection et aux concours de la fonction publique. Les étudiants boursiers bénéficient de la gratuité d'accès à ces préparations.</p><p>Chaque lycée public disposant d'au moins une formation d'enseignement supérieur conclut une convention avec un ou plusieurs établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel de son choix dans son académie afin de prévoir des rapprochements dans les domaines pédagogique et de la recherche et de faciliter les parcours de formation des étudiants. Lorsqu'aucun établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel de l'académie ne propose de formations d'enseignement supérieur en lien avec celles dispensées dans le lycée, ce dernier peut conclure une convention avec un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel situé en dehors de son académie. La convention prévoit les modalités de mise en œuvre d'enseignements communs aux formations dispensées par les établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel et à celles dispensées par les lycées. L'établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel motive son refus de conclure une convention. La préinscription assure aux élèves la connaissance des conventions existantes entre les lycées disposant d'au moins une formation d'enseignement supérieur et les établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel auxquels ils sont associés.</p><p>Les élèves inscrits dans une classe préparatoire aux grandes écoles d'un lycée public sont également inscrits dans une formation proposée par l'un des établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel ayant conclu une convention avec ce lycée, selon des modalités précisées par décret. Cette inscription emporte paiement des droits d'inscription prévus à l'article L. 719-4.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042815027
MD-20241112_194925_159_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000046774880
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006182436
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Section 1 : Le premier cycle.
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LEGISCTA000006182436
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs et la recherche &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs et de la recherche &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre II : Déroulement des études supérieures. &gt; Section 1 : Le premier cycle.
<p>Conformément à l'article 1 de la loi n° 2018-166 du 8 mars 2018, le II entre en vigueur au plus tard six mois après la promulgation de ladite loi.</p>
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Code de l'éducation, art. L612-3-2
Code de l'éducation
L'inscription dans une formation initiale du premier cycle de l'enseignement supérieur dispensée par un établissement privé sous contrat d'association ou par un établissement d'enseignement supérieur privé d'intérêt général ou l'inscription dans toute formation initiale dont la liste est arrêtée par le ministre chargé de l'enseignement supérieur conduisant à un diplôme national de l'enseignement supérieur ou un titre ou diplôme de l'enseignement supérieur mentionné au I de l'article L. 6113-5 du code du travail est précédée de la procédure nationale de préinscription prévue au deuxième alinéa du I de l'article L. 612-3 du présent code. L'établissement définit, dans le respect du cadrage national arrêté par le ministre chargé de l'enseignement supérieur, les caractéristiques de chaque formation, qui sont portées à la connaissance des candidats au cours de cette procédure. Lorsqu'un contrat conclu entre l'Etat et un établissement d'enseignement privé dispensant des formations initiales d'enseignement supérieur prévoit l'application, à ces formations, de certaines des dispositions du même article L. 612-3, le chef d'établissement est associé, le cas échéant, aux dispositifs de concertation que ces dispositions prévoient.
1,564,358,400,000
32,472,144,000,000
L612-3-2
LEGIARTI000038902833
LEGIARTI000036685010
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
150,321
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Article
<p>L'inscription dans une formation initiale du premier cycle de l'enseignement supérieur dispensée par un établissement privé sous contrat d'association ou par un établissement d'enseignement supérieur privé d'intérêt général ou l'inscription dans toute formation initiale dont la liste est arrêtée par le ministre chargé de l'enseignement supérieur conduisant à un diplôme national de l'enseignement supérieur ou un titre ou diplôme de l'enseignement supérieur mentionné au I de l'article L. 6113-5 du code du travail est précédée de la procédure nationale de préinscription prévue au deuxième alinéa du I de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525182&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 612-3</a> du présent code. L'établissement définit, dans le respect du cadrage national arrêté par le ministre chargé de l'enseignement supérieur, les caractéristiques de chaque formation, qui sont portées à la connaissance des candidats au cours de cette procédure.</p><p>Lorsqu'un contrat conclu entre l'Etat et un établissement d'enseignement privé dispensant des formations initiales d'enseignement supérieur prévoit l'application, à ces formations, de certaines des dispositions du même article L. 612-3, le chef d'établissement est associé, le cas échéant, aux dispositifs de concertation que ces dispositions prévoient.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000036685015
MD-20241112_194925_159_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000038902833
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006182436
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Section 1 : Le premier cycle.
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LEGISCTA000006182436
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre II : Déroulement des études supérieures. &gt; Section 1 : Le premier cycle.
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Code de l'éducation, art. L612-4
Code de l'éducation
Les étudiants des enseignements technologiques courts peuvent poursuivre leurs études en vue de l'obtention d'un diplôme de fin de premier cycle ou, le cas échéant, de fin de deuxième cycle et les autres étudiants peuvent s'orienter vers les cycles technologiques courts dans des conditions fixées par voie réglementaire.
1,374,624,000,000
32,472,144,000,000
L612-4
LEGIARTI000027747878
LEGIARTI000006525184
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
171,796
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null
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Article
<p>Les étudiants des enseignements technologiques courts peuvent poursuivre leurs études en vue de l'obtention d'un diplôme de fin de premier cycle ou, le cas échéant, de fin de deuxième cycle et les autres étudiants peuvent s'orienter vers les cycles technologiques courts dans des conditions fixées par voie réglementaire.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525184
IG-20231129
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LEGIARTI000027747878
LEGI
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LEGISCTA000006182436
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Section 1 : Le premier cycle.
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LEGISCTA000006182436
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre II : Déroulement des études supérieures. &gt; Section 1 : Le premier cycle.
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Code de l'éducation, art. L612-5
Code de l'éducation
Le deuxième cycle regroupe des formations comprenant, à des degrés divers, formation générale et formation professionnelle. Ces formations, organisées notamment en vue de la préparation à une profession ou à un ensemble de professions, permettent aux étudiants de compléter leurs connaissances, d'approfondir leur culture et les initient à la recherche scientifique correspondante.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L612-5
LEGIARTI000006525185
LEGIARTI000006525185
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
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null
Article
<p></p> Le deuxième cycle regroupe des formations comprenant, à des degrés divers, formation générale et formation professionnelle. Ces formations, organisées notamment en vue de la préparation à une profession ou à un ensemble de professions, permettent aux étudiants de compléter leurs connaissances, d'approfondir leur culture et les initient à la recherche scientifique correspondante.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006525185
LEGI
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LEGISCTA000006182437
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Section 2 : Le deuxième cycle.
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LEGISCTA000006182437
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre II : Déroulement des études supérieures. &gt; Section 2 : Le deuxième cycle.
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Code de l'éducation, art. L612-6
Code de l'éducation
Les formations du deuxième cycle sont ouvertes aux titulaires des diplômes sanctionnant les études du premier cycle ainsi qu'à ceux qui peuvent bénéficier du livre IV de la sixième partie du code du travail ou des dérogations prévues par les textes réglementaires. Les établissements peuvent fixer des capacités d'accueil pour l'accès à la première année du deuxième cycle. L'admission est alors subordonnée au succès à un concours ou à l'examen du dossier du candidat. Cependant, s'ils en font la demande, les titulaires du diplôme national de licence sanctionnant des études du premier cycle qui ne sont pas admis en première année d'une formation du deuxième cycle de leur choix conduisant au diplôme national de master malgré plusieurs demandes d'admission se voient proposer l'inscription dans une formation du deuxième cycle en tenant compte de leur projet professionnel et de l'établissement dans lequel ils ont obtenu leur licence, dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat pris après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche. Cette demande est faite par l'étudiant immédiatement après l'obtention de la licence sanctionnant des études du premier cycle ou de manière différée. Lorsque la situation d'un candidat le justifie, eu égard à des circonstances exceptionnelles tenant à son état de santé ou à son handicap, l'autorité académique, saisie par ce candidat, peut procéder au réexamen de sa candidature dans des conditions fixées par décret pris après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche. En tenant compte de la situation particulière que l'intéressé fait valoir, de son projet professionnel, de l'établissement dans lequel il a obtenu son diplôme national de licence ainsi que des caractéristiques des formations, l'autorité académique prononce, avec son accord, son inscription dans une formation du deuxième cycle. Les capacités d'accueil fixées par les établissements font l'objet d'un dialogue avec l'Etat. Les titulaires du diplôme national de licence sanctionnant des études du premier cycle qui ne poursuivent pas une formation du deuxième cycle sont informés des différentes perspectives qui s'offrent à eux en matière d'insertion professionnelle ou de poursuite de leur formation. Un décret en Conseil d'Etat fixe les modalités de cette information.
1,671,753,600,000
32,472,144,000,000
L612-6
LEGIARTI000046774869
LEGIARTI000006525186
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
85,898
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null
Article
<p>Les formations du deuxième cycle sont ouvertes aux titulaires des diplômes sanctionnant les études du premier cycle ainsi qu'à ceux qui peuvent bénéficier du livre IV de la sixième partie du code du travail ou des dérogations prévues par les textes réglementaires.</p><p>Les établissements peuvent fixer des capacités d'accueil pour l'accès à la première année du deuxième cycle. L'admission est alors subordonnée au succès à un concours ou à l'examen du dossier du candidat.</p><p>Cependant, s'ils en font la demande, les titulaires du diplôme national de licence sanctionnant des études du premier cycle qui ne sont pas admis en première année d'une formation du deuxième cycle de leur choix conduisant au diplôme national de master malgré plusieurs demandes d'admission se voient proposer l'inscription dans une formation du deuxième cycle en tenant compte de leur projet professionnel et de l'établissement dans lequel ils ont obtenu leur licence, dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat pris après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche.</p><p>Cette demande est faite par l'étudiant immédiatement après l'obtention de la licence sanctionnant des études du premier cycle ou de manière différée.</p><p>Lorsque la situation d'un candidat le justifie, eu égard à des circonstances exceptionnelles tenant à son état de santé ou à son handicap, l'autorité académique, saisie par ce candidat, peut procéder au réexamen de sa candidature dans des conditions fixées par décret pris après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche. En tenant compte de la situation particulière que l'intéressé fait valoir, de son projet professionnel, de l'établissement dans lequel il a obtenu son diplôme national de licence ainsi que des caractéristiques des formations, l'autorité académique prononce, avec son accord, son inscription dans une formation du deuxième cycle.</p><p>Les capacités d'accueil fixées par les établissements font l'objet d'un dialogue avec l'Etat.</p><p>Les titulaires du diplôme national de licence sanctionnant des études du premier cycle qui ne poursuivent pas une formation du deuxième cycle sont informés des différentes perspectives qui s'offrent à eux en matière d'insertion professionnelle ou de poursuite de leur formation. Un décret en Conseil d'Etat fixe les modalités de cette information.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000042815060
MD-20240801_185446_264_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000046774869
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006182437
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Section 2 : Le deuxième cycle.
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs et la recherche &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs et de la recherche &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre II : Déroulement des études supérieures. &gt; Section 2 : Le deuxième cycle.
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Code de l'éducation, art. L612-6-1
Code de l'éducation
L'accès en deuxième année d'une formation du deuxième cycle conduisant au diplôme national de master est de droit pour les étudiants qui ont validé la première année de cette formation. Un décret pris après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche peut fixer la liste des formations du deuxième cycle conduisant au diplôme national de master pour lesquelles l'accès à la première année est ouvert à tout titulaire d'un diplôme du premier cycle et pour lesquelles l'admission à poursuivre cette formation en deuxième année peut dépendre des capacités d'accueil des établissements et, éventuellement, être subordonnée au succès à un concours ou à l'examen du dossier du candidat.
1,482,624,000,000
32,472,144,000,000
L612-6-1
LEGIARTI000033694146
LEGIARTI000033694146
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,784,772
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Article
<p align='left'>L'accès en deuxième année d'une formation du deuxième cycle conduisant au diplôme national de master est de droit pour les étudiants qui ont validé la première année de cette formation.</p><p>Un décret pris après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche peut fixer la liste des formations du deuxième cycle conduisant au diplôme national de master pour lesquelles l'accès à la première année est ouvert à tout titulaire d'un diplôme du premier cycle et pour lesquelles l'admission à poursuivre cette formation en deuxième année peut dépendre des capacités d'accueil des établissements et, éventuellement, être subordonnée au succès à un concours ou à l'examen du dossier du candidat.</p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000033694146
LEGI
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LEGISCTA000006182437
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Section 2 : Le deuxième cycle.
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LEGISCTA000006182437
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre II : Déroulement des études supérieures. &gt; Section 2 : Le deuxième cycle.
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Code de l'éducation, art. L612-7
Code de l'éducation
Le troisième cycle est une formation à la recherche et par la recherche qui comporte, dans le cadre de formations doctorales, la réalisation individuelle ou collective de travaux scientifiques originaux. Ces formations doctorales sont organisées en étroite liaison avec des laboratoires ou équipes de recherche dont la qualité est reconnue par une évaluation nationale périodique. Elles prennent en compte les besoins de la politique nationale de recherche et d'innovation et comportent une ouverture internationale. Elles constituent une expérience professionnelle de recherche, sanctionnée, après soutenance de thèse, par la collation du grade de docteur. Les formations doctorales sont organisées dans le cadre d'écoles doctorales dans des conditions fixées par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur. Elles comprennent un encadrement scientifique personnalisé de la meilleure qualité ainsi qu'une formation collective comportant des enseignements, séminaires ou stages destinés à conforter la culture scientifique des doctorants, à préparer leur insertion professionnelle ou leur poursuite de carrière dans le secteur public comme dans le secteur privé et à favoriser leur ouverture internationale. L'arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur définit les conditions dans lesquelles un établissement d'enseignement supérieur peut être accrédité, pour une durée limitée, à organiser des formations doctorales et à délivrer le doctorat à la suite d'une évaluation nationale périodique. Le diplôme de doctorat est délivré après la soutenance d'une thèse ou la présentation d'un ensemble de travaux scientifiques originaux. Cette thèse ou ces travaux peuvent être individuels ou, si la discipline le justifie, collectifs, déjà publiés ou inédits. Dans le cas où la thèse ou les travaux résultent d'une contribution collective, le candidat doit rédiger et soutenir un mémoire permettant d'apprécier sa part personnelle. A l'issue de la soutenance de la thèse, le candidat doit prêter serment en s'engageant à respecter les principes et les exigences de l'intégrité scientifique, dans des conditions fixées par arrêté du ministre chargé de la recherche. Le diplôme de doctorat est accompagné de la mention de l'établissement qui l'a délivré ; il confère à son titulaire le titre de docteur. L'obtention du diplôme national de doctorat vaut expérience professionnelle de recherche qui peut être reconnue dans les conventions collectives. L'aptitude à diriger des recherches est sanctionnée par une habilitation délivrée dans des conditions fixées par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur.
1,609,027,200,000
32,472,144,000,000
L612-7
LEGIARTI000042813268
LEGIARTI000006525187
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
85,898
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null
Article
<p>Le troisième cycle est une formation à la recherche et par la recherche qui comporte, dans le cadre de formations doctorales, la réalisation individuelle ou collective de travaux scientifiques originaux. Ces formations doctorales sont organisées en étroite liaison avec des laboratoires ou équipes de recherche dont la qualité est reconnue par une évaluation nationale périodique. Elles prennent en compte les besoins de la politique nationale de recherche et d'innovation et comportent une ouverture internationale. Elles constituent une expérience professionnelle de recherche, sanctionnée, après soutenance de thèse, par la collation du grade de docteur.</p><p>Les formations doctorales sont organisées dans le cadre d'écoles doctorales dans des conditions fixées par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur. Elles comprennent un encadrement scientifique personnalisé de la meilleure qualité ainsi qu'une formation collective comportant des enseignements, séminaires ou stages destinés à conforter la culture scientifique des doctorants, à préparer leur insertion professionnelle ou leur poursuite de carrière dans le secteur public comme dans le secteur privé et à favoriser leur ouverture internationale. L'arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur définit les conditions dans lesquelles un établissement d'enseignement supérieur peut être accrédité, pour une durée limitée, à organiser des formations doctorales et à délivrer le doctorat à la suite d'une évaluation nationale périodique.</p><p>Le diplôme de doctorat est délivré après la soutenance d'une thèse ou la présentation d'un ensemble de travaux scientifiques originaux. Cette thèse ou ces travaux peuvent être individuels ou, si la discipline le justifie, collectifs, déjà publiés ou inédits. Dans le cas où la thèse ou les travaux résultent d'une contribution collective, le candidat doit rédiger et soutenir un mémoire permettant d'apprécier sa part personnelle. A l'issue de la soutenance de la thèse, le candidat doit prêter serment en s'engageant à respecter les principes et les exigences de l'intégrité scientifique, dans des conditions fixées par arrêté du ministre chargé de la recherche. Le diplôme de doctorat est accompagné de la mention de l'établissement qui l'a délivré ; il confère à son titulaire le titre de docteur. L'obtention du diplôme national de doctorat vaut expérience professionnelle de recherche qui peut être reconnue dans les conventions collectives.</p><p>L'aptitude à diriger des recherches est sanctionnée par une habilitation délivrée dans des conditions fixées par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur.</p>
32,472,144,000,000
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LEGI
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LEGISCTA000006182438
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Section 3 : Le troisième cycle.
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs et la recherche &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs et de la recherche &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre II : Déroulement des études supérieures. &gt; Section 3 : Le troisième cycle.
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Code de l'éducation, art. L613-1
Code de l'éducation
L'Etat a le monopole de la collation des grades et des titres universitaires. Les diplômes nationaux délivrés par les établissements sont ceux qui confèrent l'un des grades ou titres universitaires dont la liste est établie par décret pris sur avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche. Sous réserve du livre IV de la sixième partie du code du travail, ils ne peuvent être délivrés qu'au vu des résultats du contrôle des connaissances et des aptitudes appréciés par les établissements accrédités à cet effet par le ministre chargé de l'enseignement supérieur après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche. Un diplôme national confère les mêmes droits à tous ses titulaires, quel que soit l'établissement qui l'a délivré. Le contenu et les modalités de l'accréditation des établissements sont fixés par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur, après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche. L'accréditation, par son contenu et ses modalités, prend en compte le lien entre enseignement et recherche au sein de l'établissement, la qualité pédagogique, la carte territoriale des formations, les objectifs d'insertion professionnelle et les liens entre les équipes pédagogiques et les représentants des professions concernées par la formation. Un établissement est accrédité pour la durée du contrat pluriannuel conclu avec l'Etat. L'accréditation peut, après une évaluation nationale, être renouvelée par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur, après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche. Le cadre national des formations, fixé par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur, après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche, comprend la liste des mentions des diplômes nationaux regroupés par grands domaines ainsi que les règles relatives à l'organisation des formations. L'arrêté d'accréditation de l'établissement emporte habilitation de ce dernier à délivrer, dans le respect du cadre national des formations, les diplômes nationaux dont la liste est annexée à l'arrêté. Les règles communes pour la poursuite des études conduisant à des diplômes nationaux, les conditions d'obtention de ces titres et diplômes, le contrôle de ces conditions et les modalités de protection des titres qu'ils confèrent, sont définis par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur, après avis ou proposition du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche. Les aptitudes et l'acquisition des connaissances sont appréciées, soit par un contrôle continu et régulier, soit par un examen terminal, soit par ces deux modes de contrôle combinés. Les modalités de ce contrôle tiennent compte des contraintes spécifiques des étudiants accueillis au titre de la formation continue. Elles sont adaptées aux contraintes spécifiques des étudiants ou personnes bénéficiant de la formation continue présentant un handicap ou un trouble invalidant de la santé ou en état de grossesse. Elles doivent être arrêtées dans chaque établissement au plus tard à la fin du premier mois de l'année d'enseignement et elles ne peuvent être modifiées en cours d'année. Seuls peuvent participer aux jurys et être présents aux délibérations des enseignants-chercheurs, des enseignants, des chercheurs ou, dans des conditions et selon des modalités prévues par voie réglementaire, des personnalités qualifiées ayant contribué aux enseignements, ou choisies, en raison de leurs compétences, sur proposition des personnels chargés de l'enseignement.
1,671,753,600,000
32,472,144,000,000
L613-1
LEGIARTI000046774857
LEGIARTI000006525190
AUTONOME
VIGUEUR
5.0
42,949
null
null
null
Article
<p>L'Etat a le monopole de la collation des grades et des titres universitaires.</p><p>Les diplômes nationaux délivrés par les établissements sont ceux qui confèrent l'un des grades ou titres universitaires dont la liste est établie par décret pris sur avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche. Sous réserve du livre IV de la sixième partie du code du travail, ils ne peuvent être délivrés qu'au vu des résultats du contrôle des connaissances et des aptitudes appréciés par les établissements accrédités à cet effet par le ministre chargé de l'enseignement supérieur après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche. Un diplôme national confère les mêmes droits à tous ses titulaires, quel que soit l'établissement qui l'a délivré.</p><p>Le contenu et les modalités de l'accréditation des établissements sont fixés par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur, après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche. L'accréditation, par son contenu et ses modalités, prend en compte le lien entre enseignement et recherche au sein de l'établissement, la qualité pédagogique, la carte territoriale des formations, les objectifs d'insertion professionnelle et les liens entre les équipes pédagogiques et les représentants des professions concernées par la formation.</p><p>Un établissement est accrédité pour la durée du contrat pluriannuel conclu avec l'Etat. L'accréditation peut, après une évaluation nationale, être renouvelée par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur, après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche.</p><p>Le cadre national des formations, fixé par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur, après avis du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche, comprend la liste des mentions des diplômes nationaux regroupés par grands domaines ainsi que les règles relatives à l'organisation des formations.</p><p>L'arrêté d'accréditation de l'établissement emporte habilitation de ce dernier à délivrer, dans le respect du cadre national des formations, les diplômes nationaux dont la liste est annexée à l'arrêté.</p><p>Les règles communes pour la poursuite des études conduisant à des diplômes nationaux, les conditions d'obtention de ces titres et diplômes, le contrôle de ces conditions et les modalités de protection des titres qu'ils confèrent, sont définis par arrêté du ministre chargé de l'enseignement supérieur, après avis ou proposition du Conseil national de l'enseignement supérieur et de la recherche.</p><p>Les aptitudes et l'acquisition des connaissances sont appréciées, soit par un contrôle continu et régulier, soit par un examen terminal, soit par ces deux modes de contrôle combinés. Les modalités de ce contrôle tiennent compte des contraintes spécifiques des étudiants accueillis au titre de la formation continue. Elles sont adaptées aux contraintes spécifiques des étudiants ou personnes bénéficiant de la formation continue présentant un handicap ou un trouble invalidant de la santé ou en état de grossesse. Elles doivent être arrêtées dans chaque établissement au plus tard à la fin du premier mois de l'année d'enseignement et elles ne peuvent être modifiées en cours d'année.</p><p>Seuls peuvent participer aux jurys et être présents aux délibérations des enseignants-chercheurs, des enseignants, des chercheurs ou, dans des conditions et selon des modalités prévues par voie réglementaire, des personnalités qualifiées ayant contribué aux enseignements, ou choisies, en raison de leurs compétences, sur proposition des personnels chargés de l'enseignement.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000036688015
MD-20241030_200047_546_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000046774857
LEGI
32,472,144,000,000
null
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LEGISCTA000006182439
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Section 1 : Règles générales de délivrance des diplômes.
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LEGISCTA000006182439
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs et la recherche &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs et de la recherche &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre III : Collation des grades et titres universitaires &gt; Section 1 : Règles générales de délivrance des diplômes.
null
Code de l'éducation, art. L613-2
Code de l'éducation
Les établissements peuvent aussi organiser, sous leur responsabilité, des formations conduisant à des diplômes qui leur sont propres ou préparant à des examens ou des concours. Les présidents et directeurs d'établissements publics d'enseignement supérieur rendent publique sur leur site internet la liste des diplômes qui leur sont propres et des enseignants intervenant dans ces formations.
1,374,624,000,000
32,472,144,000,000
L613-2
LEGIARTI000027747939
LEGIARTI000006525192
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Les établissements peuvent aussi organiser, sous leur responsabilité, des formations conduisant à des diplômes qui leur sont propres ou préparant à des examens ou des concours.</p><p>Les présidents et directeurs d'établissements publics d'enseignement supérieur rendent publique sur leur site internet la liste des diplômes qui leur sont propres et des enseignants intervenant dans ces formations.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525192
MD-20240325_194912_955_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000027747939
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006182439
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Section 1 : Règles générales de délivrance des diplômes.
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LEGISCTA000006182439
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre III : Collation des grades et titres universitaires &gt; Section 1 : Règles générales de délivrance des diplômes.
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Code de l'éducation, art. L613-7
Code de l'éducation
Les conventions conclues, en application des dispositions de l'article L. 718-16 , entre des établissements d'enseignement supérieur privé et des établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel peuvent, notamment, avoir pour objet de permettre aux étudiants des établissements privés de subir les contrôles nécessaires à l'obtention d'un diplôme national. Si, au 1er janvier de l'année universitaire en cours, aucun accord n'a été conclu sur ce point, le recteur de région académique chancelier arrête, à cette date, les conditions dans lesquelles sont contrôlées les connaissances et aptitudes des étudiants d'établissements d'enseignement supérieur privés qui poursuivent des études conduisant à des diplômes nationaux.
1,577,836,800,000
32,472,144,000,000
L613-7
LEGIARTI000038902751
LEGIARTI000006525202
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Les conventions conclues, en application des dispositions de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000027738707&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 718-16</a>, entre des établissements d'enseignement supérieur privé et des établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel peuvent, notamment, avoir pour objet de permettre aux étudiants des établissements privés de subir les contrôles nécessaires à l'obtention d'un diplôme national. Si, au 1er janvier de l'année universitaire en cours, aucun accord n'a été conclu sur ce point, le recteur de région académique chancelier arrête, à cette date, les conditions dans lesquelles sont contrôlées les connaissances et aptitudes des étudiants d'établissements d'enseignement supérieur privés qui poursuivent des études conduisant à des diplômes nationaux.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000027748191
MD-20240603_192912_538_BDJQUOT
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LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006182441
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Section 3 : Obtention de diplômes nationaux par les étudiants des établissements d'enseignement supérieur privés.
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LEGISCTA000006182441
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre III : Collation des grades et titres universitaires &gt; Section 3 : Obtention de diplômes nationaux par les étudiants des établissements d'enseignement supérieur privés.
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Code de l'éducation, art. L614-1
Code de l'éducation
Les pouvoirs publics prennent les mesures indispensables à la cohésion du service public de l'enseignement supérieur, dans le cadre de la planification nationale et régionale, et du respect des engagements européens. Ils favorisent le rapprochement des règles d'organisation et de fonctionnement des établissements d'enseignement supérieur tout en respectant la nécessaire diversité de ceux-ci. Les enseignements supérieurs sont organisés de façon à faciliter les changements d'orientation et la poursuite des études de tous. A cette fin, les programmes pédagogiques et les conditions d'accès aux établissements sont organisés pour favoriser le passage d'une formation à une autre, notamment par voie de conventions conclues entre les établissements. Une large information est organisée dans les établissements, les régions et le pays sur les formations universitaires, leur évolution et celle des besoins sociaux en qualification.
1,374,624,000,000
32,472,144,000,000
L614-1
LEGIARTI000027747812
LEGIARTI000006525204
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
42,949
null
null
null
Article
<p> Les pouvoirs publics prennent les mesures indispensables à la cohésion du service public de l'enseignement supérieur, dans le cadre de la planification nationale et régionale, et du respect des engagements européens.</p><p></p><p> Ils favorisent le rapprochement des règles d'organisation et de fonctionnement des établissements d'enseignement supérieur tout en respectant la nécessaire diversité de ceux-ci.</p><p></p><p> Les enseignements supérieurs sont organisés de façon à faciliter les changements d'orientation et la poursuite des études de tous. A cette fin, les programmes pédagogiques et les conditions d'accès aux établissements sont organisés pour favoriser le passage d'une formation à une autre, notamment par voie de conventions conclues entre les établissements.</p><p></p><p> Une large information est organisée dans les établissements, les régions et le pays sur les formations universitaires, leur évolution et celle des besoins sociaux en qualification.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525205
IG-20231129
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LEGIARTI000027747812
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166660
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Chapitre IV : Programmation et développement des formations supérieures.
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LEGISCTA000006166660
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre IV : Programmation et développement des formations supérieures.
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Code de l'éducation, art. L614-2
Code de l'éducation
I. - Le schéma de services collectifs de l'enseignement supérieur et de la recherche, élaboré conformément aux articles 2 et 10 de la loi n° 95-115 du 4 février 1995 d'orientation pour l'aménagement et le développement du territoire, organise le développement et une répartition équilibrée des services d'enseignement supérieur et de recherche sur le territoire national. Il vise à assurer une offre de formation complète, cohérente et de qualité à un niveau régional ou interrégional et définit les moyens à mettre en oeuvre pour favoriser l'accueil et l'insertion professionnelle des étudiants en tenant compte des priorités nationales et régionales en termes de politiques de l'emploi et de développement économique. Il organise le développement et la répartition des activités de l'enseignement supérieur et de la recherche ainsi que la coopération entre les sites universitaires et de recherche, en particulier avec ceux situés dans les villes moyennes. Il prévoit le développement des technologies de l'information et de la communication pour favoriser la constitution de réseaux à partir des centres de recherche et de l'enseignement supérieur, notamment afin d'animer des bassins d'emploi, des zones rurales ou des zones en difficulté. Il fixe les orientations permettant de favoriser le rayonnement de pôles d'enseignement supérieur et de recherche à vocation internationale. Il favorise les liaisons entre les formations technologiques et professionnelles et le monde économique par l'intermédiaire, notamment, des instituts universitaires de technologie, des sections de techniciens supérieurs des lycées, des instituts universitaires professionnalisés, des universités de technologie et des écoles d'ingénieurs. Il a également pour objet de valoriser la recherche technologique et appliquée. Il précise les conditions de la mise en oeuvre de la politique de la recherche telle qu'elle est définie par le code de la recherche. Il définit notamment les objectifs de répartition géographique des emplois de chercheurs, d'enseignants-chercheurs et d'ingénieurs participant à la recherche publique. Il organise, au niveau régional ou interrégional, sur des thèmes évalués internationalement, l'association des différentes composantes de la recherche et encourage un double processus d'essaimage à partir des centres de recherche, l'un de type fonctionnel vers le monde économique, l'autre de type géographique, entre sites ou entre établissements d'enseignement supérieur et de recherche. Il valorise la formation continue et favorise la diffusion de l'information et de la culture scientifique et technique. II. - La conférence régionale de l'aménagement et du développement du territoire organise la concertation sur l'enseignement supérieur et la recherche afin d'assurer la répartition équilibrée des activités d'enseignement supérieur et de recherche, de promouvoir une meilleure articulation entre recherche publique et recherche privée et de favoriser les synergies avec le monde économique grâce à la formation en alternance, à la formation continue et au soutien de projets porteurs de développement économique.
1,640,995,200,000
32,472,144,000,000
L614-2
LEGIARTI000044588794
LEGIARTI000006525206
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 10 de l'ordonnance n° 2021-1747 du 22 décembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2022.
2.0
128,847
null
null
null
Article
<p>I. - Le schéma de services collectifs de l'enseignement supérieur et de la recherche, élaboré conformément aux articles <a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000531809&idArticle=LEGIARTI000006340058&dateTexte=&categorieLien=cid'>2</a> et <a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000531809&idArticle=LEGIARTI000006340067&dateTexte=&categorieLien=cid'>10</a> de la loi n° 95-115 du 4 février 1995 d'orientation pour l'aménagement et le développement du territoire, organise le développement et une répartition équilibrée des services d'enseignement supérieur et de recherche sur le territoire national. Il vise à assurer une offre de formation complète, cohérente et de qualité à un niveau régional ou interrégional et définit les moyens à mettre en oeuvre pour favoriser l'accueil et l'insertion professionnelle des étudiants en tenant compte des priorités nationales et régionales en termes de politiques de l'emploi et de développement économique.</p><p>Il organise le développement et la répartition des activités de l'enseignement supérieur et de la recherche ainsi que la coopération entre les sites universitaires et de recherche, en particulier avec ceux situés dans les villes moyennes. Il prévoit le développement des technologies de l'information et de la communication pour favoriser la constitution de réseaux à partir des centres de recherche et de l'enseignement supérieur, notamment afin d'animer des bassins d'emploi, des zones rurales ou des zones en difficulté.</p><p>Il fixe les orientations permettant de favoriser le rayonnement de pôles d'enseignement supérieur et de recherche à vocation internationale.</p><p>Il favorise les liaisons entre les formations technologiques et professionnelles et le monde économique par l'intermédiaire, notamment, des instituts universitaires de technologie, des sections de techniciens supérieurs des lycées, des instituts universitaires professionnalisés, des universités de technologie et des écoles d'ingénieurs. Il a également pour objet de valoriser la recherche technologique et appliquée.</p><p>Il précise les conditions de la mise en oeuvre de la politique de la recherche telle qu'elle est définie par le code de la recherche. Il définit notamment les objectifs de répartition géographique des emplois de chercheurs, d'enseignants-chercheurs et d'ingénieurs participant à la recherche publique.</p><p>Il organise, au niveau régional ou interrégional, sur des thèmes évalués internationalement, l'association des différentes composantes de la recherche et encourage un double processus d'essaimage à partir des centres de recherche, l'un de type fonctionnel vers le monde économique, l'autre de type géographique, entre sites ou entre établissements d'enseignement supérieur et de recherche.</p><p>Il valorise la formation continue et favorise la diffusion de l'information et de la culture scientifique et technique.</p><p>II. - La conférence régionale de l'aménagement et du développement du territoire organise la concertation sur l'enseignement supérieur et la recherche afin d'assurer la répartition équilibrée des activités d'enseignement supérieur et de recherche, de promouvoir une meilleure articulation entre recherche publique et recherche privée et de favoriser les synergies avec le monde économique grâce à la formation en alternance, à la formation continue et au soutien de projets porteurs de développement économique.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525206
IG-20231124
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LEGIARTI000044588794
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166660
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Chapitre IV : Programmation et développement des formations supérieures.
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LEGISCTA000006166660
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs et la recherche &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs et de la recherche &gt; Titre Ier : L'organisation générale des enseignements &gt; Chapitre IV : Programmation et développement des formations supérieures.
<p>Conformément à l'article 10 de l'ordonnance n° 2021-1747 du 22 décembre 2021, ces dispositions entrent en vigueur le 1er janvier 2022.</p>
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Code de l'éducation, art. L621-1
Code de l'éducation
Les instituts d'études politiques ont pour mission de compléter l'enseignement des sciences sociales, administratives et économiques donné dans les universités.
1,114,300,800,000
32,472,144,000,000
L621-1
LEGIARTI000006525209
LEGIARTI000006525208
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Les instituts d'études politiques ont pour mission de compléter l'enseignement des sciences sociales, administratives et économiques donné dans les universités.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525208
IG-20231129
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LEGIARTI000006525209
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166744
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Chapitre Ier : Droit, sciences politiques, économie et administration.
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LEGISCTA000006166744
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre II : Les formations universitaires générales et la formation des maîtres &gt; Chapitre Ier : Droit, sciences politiques, économie et administration.
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Code de l'éducation, art. L621-2
Code de l'éducation
La Fondation nationale des sciences politiques a pour objet de favoriser le progrès et la diffusion, en France et à l'étranger, des sciences politiques, économiques et sociales.
1,114,300,800,000
32,472,144,000,000
L621-2
LEGIARTI000006525211
LEGIARTI000006525210
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
85,898
null
null
null
Article
<p></p> La Fondation nationale des sciences politiques a pour objet de favoriser le progrès et la diffusion, en France et à l'étranger, des sciences politiques, économiques et sociales.<p></p><p></p>
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LEGIARTI000006525210
IG-20231124
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LEGIARTI000006525211
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166744
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Chapitre Ier : Droit, sciences politiques, économie et administration.
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LEGISCTA000006166744
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre II : Les formations universitaires générales et la formation des maîtres &gt; Chapitre Ier : Droit, sciences politiques, économie et administration.
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Code de l'éducation, art. L621-3
Code de l'éducation
Le conseil de direction de l'Institut d'études politiques de Paris détermine, par dérogation aux dispositions du VI de l'article L. 612-3 , les conditions et modalités d'admission aux formations propres à l'institut ainsi que l'organisation des études, des premiers cycles à l'école doctorale. Il peut adopter des procédures d'admission comportant notamment des modalités particulières destinées à assurer un recrutement diversifié parmi l'ensemble des élèves de l'enseignement du second degré. Les procédures d'admission peuvent être mises en oeuvre par voie de conventions conclues avec des établissements d'enseignement secondaire ou supérieur, français et étrangers, pour les associer au recrutement par l'institut de leurs élèves ou étudiants.
1,520,640,000,000
32,472,144,000,000
L621-3
LEGIARTI000036687600
LEGIARTI000006525212
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
128,847
null
null
null
Article
<p>Le conseil de direction de l'Institut d'études politiques de Paris détermine, par dérogation aux dispositions du VI de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525182&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 612-3</a>, les conditions et modalités d'admission aux formations propres à l'institut ainsi que l'organisation des études, des premiers cycles à l'école doctorale. Il peut adopter des procédures d'admission comportant notamment des modalités particulières destinées à assurer un recrutement diversifié parmi l'ensemble des élèves de l'enseignement du second degré. Les procédures d'admission peuvent être mises en oeuvre par voie de conventions conclues avec des établissements d'enseignement secondaire ou supérieur, français et étrangers, pour les associer au recrutement par l'institut de leurs élèves ou étudiants.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525213
IG-20231124
null
LEGIARTI000036687600
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166744
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Chapitre Ier : Droit, sciences politiques, économie et administration.
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LEGISCTA000006166744
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre II : Les formations universitaires générales et la formation des maîtres &gt; Chapitre Ier : Droit, sciences politiques, économie et administration.
null
Code de l'éducation, art. L622-1
Code de l'éducation
Tous les étudiants sont initiés à la technologie et à l'usage de l'informatique.
1,114,300,800,000
32,472,144,000,000
L622-1
LEGIARTI000006525215
LEGIARTI000006525214
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Tous les étudiants sont initiés à la technologie et à l'usage de l'informatique.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525214
IG-20231129
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LEGIARTI000006525215
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166745
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Chapitre II : Sciences et technologie.
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LEGISCTA000006166745
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre II : Les formations universitaires générales et la formation des maîtres &gt; Chapitre II : Sciences et technologie.
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Code de l'éducation, art. L623-1
Code de l'éducation
Les établissements entrant dans le champ d'application du livre VII qui dispensent des enseignements artistiques et les établissements d'enseignement supérieur reconnus en application de l'article L. 361-2 assurent des formations de haut niveau dans les disciplines visées à l'article L. 121-6 . Ils participent, dans le cadre des missions qui leur sont propres, à la formation professionnelle, au progrès de la recherche, à la diffusion de la culture et au développement des liens entre les activités artistiques et l'ensemble des secteurs de production.
1,114,300,800,000
32,472,144,000,000
L623-1
LEGIARTI000006525217
LEGIARTI000006525216
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p>Les établissements entrant dans le champ d'application du livre VII qui dispensent des enseignements artistiques et les établissements d'enseignement supérieur reconnus en application de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006524871&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L361-2 (V)'>L. 361-2 </a>assurent des formations de haut niveau dans les disciplines visées à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006524393&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L121-6 (V)'>L. 121-6</a>. <p></p><p></p>Ils participent, dans le cadre des missions qui leur sont propres, à la formation professionnelle, au progrès de la recherche, à la diffusion de la culture et au développement des liens entre les activités artistiques et l'ensemble des secteurs de production.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525216
IG-20231129
null
LEGIARTI000006525217
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166746
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Chapitre III : Lettres, langues, arts et sciences humaines et sociales.
null
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LEGISCTA000006166746
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre II : Les formations universitaires générales et la formation des maîtres &gt; Chapitre III : Lettres, langues, arts et sciences humaines et sociales.
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Code de l'éducation, art. L624-1
Code de l'éducation
Des formations en activités physiques et sportives sont dispensées dans les établissements de l'enseignement supérieur.
1,114,300,800,000
32,472,144,000,000
L624-1
LEGIARTI000006525219
LEGIARTI000006525218
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p></p> Des formations en activités physiques et sportives sont dispensées dans les établissements de l'enseignement supérieur.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525218
IG-20231129
null
LEGIARTI000006525219
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166747
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Chapitre IV : Education physique et sportive.
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LEGISCTA000006166747
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre II : Les formations universitaires générales et la formation des maîtres &gt; Chapitre IV : Education physique et sportive.
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Code de l'éducation, art. L624-2
Code de l'éducation
L'organisation et les programmes de l'éducation physique et sportive dans les établissements d'enseignement supérieur tiennent compte des spécificités liées aux différentes formes de handicap. Les éducateurs et les enseignants facilitent par une pédagogie adaptée l'accès des jeunes en situation de handicap à la pratique régulière d'activités physiques et sportives. Une formation spécifique aux différentes formes de handicap est donnée aux enseignants et aux éducateurs sportifs, pendant leurs formations initiale et continue.
1,567,382,400,000
32,472,144,000,000
L624-2
LEGIARTI000038902211
LEGIARTI000006525220
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.
4.0
85,898
null
null
null
Article
<p>L'organisation et les programmes de l'éducation physique et sportive dans les établissements d'enseignement supérieur tiennent compte des spécificités liées aux différentes formes de handicap.</p><p>Les éducateurs et les enseignants facilitent par une pédagogie adaptée l'accès des jeunes en situation de handicap à la pratique régulière d'activités physiques et sportives.</p><p>Une formation spécifique aux différentes formes de handicap est donnée aux enseignants et aux éducateurs sportifs, pendant leurs formations initiale et continue.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525222
IG-20231124
null
LEGIARTI000038902211
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166747
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Chapitre IV : Education physique et sportive.
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LEGISCTA000006166747
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre II : Les formations universitaires générales et la formation des maîtres &gt; Chapitre IV : Education physique et sportive.
<p>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p>
null
Code de l'éducation, art. L625-1
Code de l'éducation
Les instituts nationaux supérieurs du professorat et de l'éducation organisent, sans préjudice des missions confiées aux écoles normales supérieures, la formation initiale des futurs enseignants et des personnels d'éducation et participent à leur formation continue. Ils accueillent aussi les personnels exerçant une activité au sein des écoles et des établissements scolaires dans le cadre des formations professionnelles organisées par les autorités académiques. Les ministres chargés de l'enseignement supérieur et de l'éducation nationale arrêtent le cadre national des formations liées aux métiers du professorat des premier et second degrés et de l'éducation ainsi que le référentiel de formation correspondant. La formation organisée par les instituts nationaux supérieurs du professorat et de l'éducation inclut des enseignements théoriques, des enseignements liés à la pratique de ces métiers et un ou plusieurs stages.
1,567,382,400,000
32,472,144,000,000
L625-1
LEGIARTI000038902420
LEGIARTI000006525223
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019. Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019 : Les directeurs d'école supérieure du professorat et de l'éducation dont le mandat est en cours à la date d'entrée en vigueur du présent article exercent, pour la durée de leur mandat restant à courir, la fonction de directeur d'institut national supérieur du professorat et de l'éducation.
3.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Les instituts nationaux supérieurs du professorat et de l'éducation organisent, sans préjudice des missions confiées aux écoles normales supérieures, la formation initiale des futurs enseignants et des personnels d'éducation et participent à leur formation continue. Ils accueillent aussi les personnels exerçant une activité au sein des écoles et des établissements scolaires dans le cadre des formations professionnelles organisées par les autorités académiques.</p><p>Les ministres chargés de l'enseignement supérieur et de l'éducation nationale arrêtent le cadre national des formations liées aux métiers du professorat des premier et second degrés et de l'éducation ainsi que le référentiel de formation correspondant. La formation organisée par les instituts nationaux supérieurs du professorat et de l'éducation inclut des enseignements théoriques, des enseignements liés à la pratique de ces métiers et un ou plusieurs stages.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000027685759
IG-20231129
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LEGIARTI000038902420
LEGI
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LEGISCTA000027685763
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Chapitre V : Formation des personnels enseignants et d'éducation
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LEGISCTA000006166665
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre II : Les formations universitaires générales et la formation des maîtres &gt; Chapitre V : Formation des personnels enseignants et d'éducation
<p>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019, ces dispositions entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2019.</p><p>Conformément à l'article 63 de la loi n° 2019-791 du 26 juillet 2019 : Les directeurs d'école supérieure du professorat et de l'éducation dont le mandat est en cours à la date d'entrée en vigueur du présent article exercent, pour la durée de leur mandat restant à courir, la fonction de directeur d'institut national supérieur du professorat et de l'éducation.</p>
null
Code de l'éducation, art. L625-2
Code de l'éducation
Au cours des trois années qui suivent sa titularisation, chaque enseignant bénéficie d'actions de formation qui complètent sa formation initiale. Ces actions de formation prennent en compte les spécificités de l'établissement et du territoire dans lesquels l'enseignant exerce.
1,564,358,400,000
32,472,144,000,000
L625-2
LEGIARTI000038861079
LEGIARTI000038861079
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,763,298
null
null
null
Article
<p>Au cours des trois années qui suivent sa titularisation, chaque enseignant bénéficie d'actions de formation qui complètent sa formation initiale. Ces actions de formation prennent en compte les spécificités de l'établissement et du territoire dans lesquels l'enseignant exerce.</p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
null
LEGIARTI000038861079
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000027685763
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Chapitre V : Formation des personnels enseignants et d'éducation
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LEGISCTA000006166665
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre II : Les formations universitaires générales et la formation des maîtres &gt; Chapitre V : Formation des personnels enseignants et d'éducation
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Code de l'éducation, art. L631-1
Code de l'éducation
I. - Les formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie et de maïeutique relèvent, par dérogation à l'article L. 611-1, de l'autorité ou du contrôle des ministres chargés de l'enseignement supérieur et de la santé et donnent lieu à la délivrance de diplômes au nom de l'Etat. Ces formations permettent l'orientation progressive de l'étudiant vers la filière la plus adaptée à ses connaissances, ses compétences, son projet d'études et ses aptitudes ainsi que l'organisation d'enseignements communs entre plusieurs filières pour favoriser l'acquisition de pratiques professionnelles partagées et coordonnées. Par leur organisation, elles favorisent la répartition équilibrée des futurs professionnels sur le territoire au regard des besoins de santé. Les capacités d'accueil des formations en deuxième et troisième années de premier cycle sont déterminées annuellement par les universités. Pour déterminer ces capacités d'accueil, chaque université prend en compte les objectifs pluriannuels d'admission en première année du deuxième cycle de ces formations. Ces objectifs pluriannuels, qui tiennent compte des besoins de santé du territoire en priorité, puis des capacités de formation, sont arrêtés par l'université sur avis conforme de l'agence régionale de santé ou des agences régionales de santé concernées. L'agence régionale de santé ou les agences régionales de santé consultent, au préalable, la conférence régionale de la santé et de l'autonomie ou les conférences régionales de la santé et de l'autonomie concernées. Les objectifs pluriannuels d'admission en première année du deuxième cycle sont définis au regard d'objectifs nationaux pluriannuels relatifs au nombre de professionnels à former établis par l'Etat pour répondre aux besoins du système de santé, réduire les inégalités territoriales d'accès aux soins et permettre l'insertion professionnelle des étudiants. L'admission en deuxième ou en troisième année du premier cycle des formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie et de maïeutique est subordonnée à la validation d'un parcours de formation antérieur dans l'enseignement supérieur et à la réussite à des épreuves, qui sont déterminées par décret en Conseil d'Etat. Des candidats, justifiant notamment de certains grades, titres ou diplômes, ainsi que des étudiants engagés dans les formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie ou de maïeutique et souhaitant se réorienter dans une filière différente de leur filière d'origine, peuvent être admis en deuxième ou en troisième année du premier cycle des formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie et de maïeutique, selon des modalités déterminées par décret en Conseil d'Etat. Ces modalités d'admission garantissent la diversité des parcours des étudiants. Tout étudiant ayant validé le premier cycle des formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie et de maïeutique est admis en deuxième cycle de ces mêmes formations dans la même université. Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions dans lesquelles des candidats ayant validé le premier cycle de ces mêmes formations dans une autre université ou des candidats justifiant de certains grades, titres ou diplômes étrangers de ces mêmes formations peuvent également être admis en deuxième cycle. II. - Un décret en Conseil d'Etat détermine : 1° La nature des parcours de formation ainsi que les grades, titres et diplômes permettant d'accéder en deuxième ou, selon les cas, en troisième année du premier cycle des formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie ou de maïeutique ; 2° Les conditions et modalités d'admission ou de réorientation en deuxième ou troisième année du premier cycle des formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie ou de maïeutique ; 3° Les modalités de définition des objectifs nationaux pluriannuels mentionnés au I ; 4° Les modalités de définition d'objectifs de diversification des voies d'accès à la deuxième ou la troisième année du premier cycle des formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie ou de maïeutique ; 5° Les modalités d'évaluation des étudiants et les conditions de délivrance des diplômes ; 6° Les modalités de fixation du nombre d'élèves des écoles du service de santé des armées pouvant être accueillis en deuxième et troisième année de premier cycle des formations de médecine, de pharmacie et d'odontologie et leur répartition par université ; 7° Les modalités de fixation des objectifs d'admission en première année du deuxième cycle des formations de médecine, de pharmacie et d'odontologie des élèves des écoles du service de santé des armées et leur répartition par université ainsi que les conditions dans lesquelles ces nombres sont pris en compte par les universités et les agences régionales de santé pour la détermination des objectifs d'admission en première année du deuxième cycle des formations de médecine, de pharmacie et d'odontologie ; 8° Les conditions et modalités d'accès dans les formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie et de maïeutique pour les titulaires d'un diplôme d'un Etat membre de l'Union européenne, d'un Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen, de la Confédération suisse ou de la Principauté d'Andorre ; 9° Les conditions et modalités d'accès dans les formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie et de maïeutique pour les titulaires d'un diplôme des pays autres que ceux cités au 8° du présent II ; 10° Les conditions dans lesquelles les titulaires d'un diplôme sanctionnant des études de santé validé à l'étranger permettant d'exercer dans le pays de délivrance peuvent postuler aux diplômes français correspondants.
1,703,808,000,000
32,472,144,000,000
L631-1
LEGIARTI000048691074
LEGIARTI000006525226
AUTONOME
VIGUEUR
6.0
85,898
null
null
null
Article
<p>I. - Les formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie et de maïeutique relèvent, par dérogation à l'article L. 611-1, de l'autorité ou du contrôle des ministres chargés de l'enseignement supérieur et de la santé et donnent lieu à la délivrance de diplômes au nom de l'Etat. Ces formations permettent l'orientation progressive de l'étudiant vers la filière la plus adaptée à ses connaissances, ses compétences, son projet d'études et ses aptitudes ainsi que l'organisation d'enseignements communs entre plusieurs filières pour favoriser l'acquisition de pratiques professionnelles partagées et coordonnées. Par leur organisation, elles favorisent la répartition équilibrée des futurs professionnels sur le territoire au regard des besoins de santé.<br/><br/> Les capacités d'accueil des formations en deuxième et troisième années de premier cycle sont déterminées annuellement par les universités. Pour déterminer ces capacités d'accueil, chaque université prend en compte les objectifs pluriannuels d'admission en première année du deuxième cycle de ces formations. Ces objectifs pluriannuels, qui tiennent compte des besoins de santé du territoire en priorité, puis des capacités de formation, sont arrêtés par l'université sur avis conforme de l'agence régionale de santé ou des agences régionales de santé concernées. L'agence régionale de santé ou les agences régionales de santé consultent, au préalable, la conférence régionale de la santé et de l'autonomie ou les conférences régionales de la santé et de l'autonomie concernées. Les objectifs pluriannuels d'admission en première année du deuxième cycle sont définis au regard d'objectifs nationaux pluriannuels relatifs au nombre de professionnels à former établis par l'Etat pour répondre aux besoins du système de santé, réduire les inégalités territoriales d'accès aux soins et permettre l'insertion professionnelle des étudiants.<br/><br/> L'admission en deuxième ou en troisième année du premier cycle des formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie et de maïeutique est subordonnée à la validation d'un parcours de formation antérieur dans l'enseignement supérieur et à la réussite à des épreuves, qui sont déterminées par décret en Conseil d'Etat.<br/><br/> Des candidats, justifiant notamment de certains grades, titres ou diplômes, ainsi que des étudiants engagés dans les formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie ou de maïeutique et souhaitant se réorienter dans une filière différente de leur filière d'origine, peuvent être admis en deuxième ou en troisième année du premier cycle des formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie et de maïeutique, selon des modalités déterminées par décret en Conseil d'Etat.<br/><br/> Ces modalités d'admission garantissent la diversité des parcours des étudiants.<br/><br/> Tout étudiant ayant validé le premier cycle des formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie et de maïeutique est admis en deuxième cycle de ces mêmes formations dans la même université. Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions dans lesquelles des candidats ayant validé le premier cycle de ces mêmes formations dans une autre université ou des candidats justifiant de certains grades, titres ou diplômes étrangers de ces mêmes formations peuvent également être admis en deuxième cycle.<br/><br/> II. - Un décret en Conseil d'Etat détermine :<br/><br/> 1° La nature des parcours de formation ainsi que les grades, titres et diplômes permettant d'accéder en deuxième ou, selon les cas, en troisième année du premier cycle des formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie ou de maïeutique ;<br/><br/> 2° Les conditions et modalités d'admission ou de réorientation en deuxième ou troisième année du premier cycle des formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie ou de maïeutique ;<br/><br/> 3° Les modalités de définition des objectifs nationaux pluriannuels mentionnés au I ;<br/><br/> 4° Les modalités de définition d'objectifs de diversification des voies d'accès à la deuxième ou la troisième année du premier cycle des formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie ou de maïeutique ;<br/><br/> 5° Les modalités d'évaluation des étudiants et les conditions de délivrance des diplômes ;<br/><br/> 6° Les modalités de fixation du nombre d'élèves des écoles du service de santé des armées pouvant être accueillis en deuxième et troisième année de premier cycle des formations de médecine, de pharmacie et d'odontologie et leur répartition par université ;<br/><br/> 7° Les modalités de fixation des objectifs d'admission en première année du deuxième cycle des formations de médecine, de pharmacie et d'odontologie des élèves des écoles du service de santé des armées et leur répartition par université ainsi que les conditions dans lesquelles ces nombres sont pris en compte par les universités et les agences régionales de santé pour la détermination des objectifs d'admission en première année du deuxième cycle des formations de médecine, de pharmacie et d'odontologie ;<br/><br/> 8° Les conditions et modalités d'accès dans les formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie et de maïeutique pour les titulaires d'un diplôme d'un Etat membre de l'Union européenne, d'un Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen, de la Confédération suisse ou de la Principauté d'Andorre ;<br/><br/> 9° Les conditions et modalités d'accès dans les formations de médecine, de pharmacie, d'odontologie et de maïeutique pour les titulaires d'un diplôme des pays autres que ceux cités au 8° du présent II ;<br/><br/> 10° Les conditions dans lesquelles les titulaires d'un diplôme sanctionnant des études de santé validé à l'étranger permettant d'exercer dans le pays de délivrance peuvent postuler aux diplômes français correspondants.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000038885893
MD-20240708_195124_437_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000048691074
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166666
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Chapitre Ier : Dispositions communes.
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LEGISCTA000006166666
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs et la recherche &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs et de la recherche &gt; Titre III : Les formations de santé &gt; Chapitre Ier : Dispositions communes.
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Code de l'éducation, art. L632-1
Code de l'éducation
Les études médicales théoriques et pratiques sont organisées par les unités de formation et de recherche de médecine. Elles permettent aux étudiants d'acquérir les compétences nécessaires à l'exercice des activités de soins et de prévention dans différents territoires et selon différents modes d'exercice. Elles permettent la participation effective des étudiants à l'activité hospitalière. Elles favorisent la participation des patients dans les formations pratiques et théoriques. Au cours des deuxième et troisième cycles, elles offrent aux étudiants la possibilité de participer à des programmes d'échanges internationaux. Le déploiement tout au long des études de médecine d'une offre de stage dans les zones caractérisées par une offre de soins insuffisante ou des difficultés dans l'accès aux soins, définies en application de l'article L. 1434-4 du code de la santé publique, fait l'objet d'une évaluation tous les trois ans par les ministres chargés de la santé et de l'enseignement supérieur. Cette évaluation est transmise au Parlement. Sous réserve des dispositions de l'article L. 632-2 du présent code, le régime des études médicales et postuniversitaires ainsi que l'organisation de la recherche sont fixés par décret.
1,564,185,600,000
32,472,144,000,000
L632-1
LEGIARTI000038885872
LEGIARTI000006525231
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
null
null
null
Article
<p>Les études médicales théoriques et pratiques sont organisées par les unités de formation et de recherche de médecine. Elles permettent aux étudiants d'acquérir les compétences nécessaires à l'exercice des activités de soins et de prévention dans différents territoires et selon différents modes d'exercice. Elles permettent la participation effective des étudiants à l'activité hospitalière. Elles favorisent la participation des patients dans les formations pratiques et théoriques. </p><p>Au cours des deuxième et troisième cycles, elles offrent aux étudiants la possibilité de participer à des programmes d'échanges internationaux. <br/><br/>Le déploiement tout au long des études de médecine d'une offre de stage dans les zones caractérisées par une offre de soins insuffisante ou des difficultés dans l'accès aux soins, définies en application de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072665&idArticle=LEGIARTI000038886303&dateTexte=&categorieLien=id' title='Code de la santé publique - art. L1434-4 (V)'>L. 1434-4</a> du code de la santé publique, fait l'objet d'une évaluation tous les trois ans par les ministres chargés de la santé et de l'enseignement supérieur. Cette évaluation est transmise au Parlement. </p><p>Sous réserve des dispositions de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525233&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 632-2 </a>du présent code, le régime des études médicales et postuniversitaires ainsi que l'organisation de la recherche sont fixés par décret.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525231
IG-20231129
null
LEGIARTI000038885872
LEGI
32,472,144,000,000
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LEGISCTA000006166667
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Chapitre II : Les études médicales.
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LEGISCTA000006166667
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre III : Les formations de santé &gt; Chapitre II : Les études médicales.
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Code de l'éducation, art. L632-2
Code de l'éducation
I.-Peuvent accéder au troisième cycle des études de médecine : 1° Les étudiants ayant validé le deuxième cycle des études de médecine en France ou les étudiants ayant validé une formation médicale de base au sens de l'article 24 de la directive 2005/36/ CE du Parlement européen et du Conseil du 7 septembre 2005 relative à la reconnaissance des qualifications professionnelles dans un Etat membre de l'Union européenne, un Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen, la Confédération suisse ou la Principauté d'Andorre. L'admission est alors subordonnée à l'obtention d'une note minimale à des épreuves nationales permettant d'établir que l'étudiant a acquis les connaissances et compétences suffisantes au regard des exigences de la formation de troisième cycle ; 2° Les médecins en exercice. II.-La dernière année du diplôme d'études spécialisées de médecine générale est effectuée en stage, sous un régime d'autonomie supervisée par un ou plusieurs praticiens, maîtres de stage, des universités agréés, dans des lieux agréés en pratique ambulatoire dans lesquels exercent un ou plusieurs médecins généralistes et en priorité dans les zones mentionnées au 1° de l'article L. 1434-4 du code de la santé publique. Ces stages peuvent permettre la découverte d'une communauté professionnelle territoriale de santé mentionnée à l'article L. 1434-12 du même code. Le cas échéant, la rémunération des étudiants peut faire l'objet d'aménagements spécifiques tenant compte des conditions d'exercice de stage, lesquels sont déterminés par décret. A titre exceptionnel et par dérogation au premier alinéa du présent II, un stage peut être réalisé en milieu hospitalier ou extrahospitalier au cours de la dernière année du diplôme d'études spécialisées de médecine générale. Les conditions et les modalités de réalisation de ce stage sont déterminées par voie réglementaire. Cette pratique ambulatoire peut être étendue par décret à d'autres spécialités à exercice majoritairement ambulatoire. III.-Un décret en Conseil d'Etat détermine : 1° Les modalités nationales d'organisation des épreuves de connaissances et de compétences mentionnées au 1° du I ; 2° Les conditions et modalités d'accès au troisième cycle des études de médecine pour les étudiants et professionnels mentionnés au même I ; 3° Les modalités d'organisation du troisième cycle des études de médecine, qui, pour la spécialité de médecine générale, est d'une durée de quatre années, et de réalisation de stages auprès de praticiens agréés-maîtres de stages des universités ; 4° Les modalités de répartition des postes ouverts aux étudiants accédant au troisième cycle des études de médecine par spécialité et par subdivision territoriale, compte tenu des capacités de formation et des besoins prévisionnels du système de santé en compétences médicales spécialisées ; 5° Les modalités d'affectation sur ces postes, par spécialité et centre hospitalier universitaire. L'affectation par subdivision territoriale et par spécialité des étudiants ayant satisfait aux exigences des épreuves mentionnées au 1° dudit I s'effectue selon des modalités prenant en compte les résultats aux épreuves mentionnées au même 1° ainsi que le parcours de formation, le projet professionnel des étudiants et, le cas échéant, leur situation de handicap ; 6° Les modalités de changement d'orientation ; 7° Les modalités d'établissement de la liste des postes mentionnés au 4° du présent III permettant une adéquation optimale entre le nombre de ces postes et le nombre de postes effectivement pourvus ; 8° Les modalités de mise en œuvre de l'autonomie supervisée en pratique ambulatoire et les conditions de la supervision.
1,671,926,400,000
32,472,144,000,000
L632-2
LEGIARTI000046812307
LEGIARTI000006525233
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au II de l'article 37 de la loi n° 2022-1616 du 23 décembre 2022, la durée du troisième cycle des études de médecine pour la spécialité de médecine générale mentionnée au 3° du III s'applique aux étudiants qui commencent ce troisième cycle à la rentrée de l'année universitaire 2023.
6.0
171,796
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Article
<p>I.-Peuvent accéder au troisième cycle des études de médecine : </p><p>1° Les étudiants ayant validé le deuxième cycle des études de médecine en France ou les étudiants ayant validé une formation médicale de base au sens de l'article 24 de la directive 2005/36/ CE du Parlement européen et du Conseil du 7 septembre 2005 relative à la reconnaissance des qualifications professionnelles dans un Etat membre de l'Union européenne, un Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen, la Confédération suisse ou la Principauté d'Andorre. L'admission est alors subordonnée à l'obtention d'une note minimale à des épreuves nationales permettant d'établir que l'étudiant a acquis les connaissances et compétences suffisantes au regard des exigences de la formation de troisième cycle ; </p><p>2° Les médecins en exercice. </p><p>II.-La dernière année du diplôme d'études spécialisées de médecine générale est effectuée en stage, sous un régime d'autonomie supervisée par un ou plusieurs praticiens, maîtres de stage, des universités agréés, dans des lieux agréés en pratique ambulatoire dans lesquels exercent un ou plusieurs médecins généralistes et en priorité dans les zones mentionnées au 1° de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072665&idArticle=LEGIARTI000020891627&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1434-4 </a>du code de la santé publique. Ces stages peuvent permettre la découverte d'une communauté professionnelle territoriale de santé mentionnée à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072665&idArticle=LEGIARTI000020891647&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1434-12</a> du même code. Le cas échéant, la rémunération des étudiants peut faire l'objet d'aménagements spécifiques tenant compte des conditions d'exercice de stage, lesquels sont déterminés par décret. </p><p>A titre exceptionnel et par dérogation au premier alinéa du présent II, un stage peut être réalisé en milieu hospitalier ou extrahospitalier au cours de la dernière année du diplôme d'études spécialisées de médecine générale. Les conditions et les modalités de réalisation de ce stage sont déterminées par voie réglementaire. </p><p>Cette pratique ambulatoire peut être étendue par décret à d'autres spécialités à exercice majoritairement ambulatoire. </p><p>III.-Un décret en Conseil d'Etat détermine : </p><p>1° Les modalités nationales d'organisation des épreuves de connaissances et de compétences mentionnées au 1° du I ; </p><p>2° Les conditions et modalités d'accès au troisième cycle des études de médecine pour les étudiants et professionnels mentionnés au même I ; </p><p>3° Les modalités d'organisation du troisième cycle des études de médecine, qui, pour la spécialité de médecine générale, est d'une durée de quatre années, et de réalisation de stages auprès de praticiens agréés-maîtres de stages des universités ; </p><p>4° Les modalités de répartition des postes ouverts aux étudiants accédant au troisième cycle des études de médecine par spécialité et par subdivision territoriale, compte tenu des capacités de formation et des besoins prévisionnels du système de santé en compétences médicales spécialisées ; </p><p>5° Les modalités d'affectation sur ces postes, par spécialité et centre hospitalier universitaire. L'affectation par subdivision territoriale et par spécialité des étudiants ayant satisfait aux exigences des épreuves mentionnées au 1° dudit I s'effectue selon des modalités prenant en compte les résultats aux épreuves mentionnées au même 1° ainsi que le parcours de formation, le projet professionnel des étudiants et, le cas échéant, leur situation de handicap ; </p><p>6° Les modalités de changement d'orientation ; </p><p>7° Les modalités d'établissement de la liste des postes mentionnés au 4° du présent III permettant une adéquation optimale entre le nombre de ces postes et le nombre de postes effectivement pourvus ; </p><p>8° Les modalités de mise en œuvre de l'autonomie supervisée en pratique ambulatoire et les conditions de la supervision.</p>
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LEGIARTI000038886118
MD-20240412_190221_311_BDJQUOT
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LEGI
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Chapitre II : Les études médicales.
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs et la recherche &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs et de la recherche &gt; Titre III : Les formations de santé &gt; Chapitre II : Les études médicales.
<p>Conformément au II de l'article 37 de la loi n° 2022-1616 du 23 décembre 2022, la durée du troisième cycle des études de médecine pour la spécialité de médecine générale mentionnée au 3° du III s'applique aux étudiants qui commencent ce troisième cycle à la rentrée de l'année universitaire 2023.</p>
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Code de l'éducation, art. L632-3
Code de l'éducation
Les postes ouverts aux élèves médecins des écoles du service de santé des armées par subdivision territoriale et par spécialité sont inscrits sur une liste établie, en fonction des besoins des armées, par arrêté du ministre de la défense et des ministres chargés de l'enseignement supérieur et de la santé. Un décret en Conseil d'Etat fixe les conditions dans lesquelles ces postes sont répartis entre ces élèves.
1,564,185,600,000
32,472,144,000,000
L632-3
LEGIARTI000038886122
LEGIARTI000006525235
AUTONOME
VIGUEUR
Se reporter aux conditions d’application prévues aux VII et VIII de l’article 2 de la loi n° 2019-774 du 24 juillet 2019.
2.0
214,745
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Article
<p>Les postes ouverts aux élèves médecins des écoles du service de santé des armées par subdivision territoriale et par spécialité sont inscrits sur une liste établie, en fonction des besoins des armées, par arrêté du ministre de la défense et des ministres chargés de l'enseignement supérieur et de la santé. Un décret en Conseil d'Etat fixe les conditions dans lesquelles ces postes sont répartis entre ces élèves.</p>
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Chapitre II : Les études médicales.
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre III : Les formations de santé &gt; Chapitre II : Les études médicales.
<p>Se reporter aux conditions d’application prévues aux VII et VIII de l’article 2 de la loi n° 2019-774 du 24 juillet 2019.</p>
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Code de l'éducation, art. L632-4
Code de l'éducation
Le diplôme d'Etat de docteur en médecine est conféré après soutenance avec succès d'une thèse de doctorat. Après la validation du troisième cycle, un document est délivré au titulaire du diplôme, mentionnant la spécialité dans laquelle il est qualifié. Le titre d'ancien interne ou d'ancien résident en médecine générale ne peut pas être utilisé par les médecins qui n'obtiennent pas mention de la qualification correspondante. Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions et les modalités selon lesquelles les personnes ayant validé en France la formation pratique et théorique du résidanat de médecine et n'ayant pas soutenu, dans les délais prévus par la réglementation, la thèse mentionnée au premier alinéa, peuvent être autorisées à prendre une inscription universitaire en vue de soutenir leur thèse, après avis d'une commission placée auprès des ministres chargés de l'enseignement supérieur et de la santé. Ce décret précise que l'autorisation est conditionnée à l'engagement d'exercer en zone sous-dotée.
1,483,056,000,000
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L632-4
LEGIARTI000033746532
LEGIARTI000006525236
AUTONOME
VIGUEUR
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Article
<p>Le diplôme d'Etat de docteur en médecine est conféré après soutenance avec succès d'une thèse de doctorat.</p><p>Après la validation du troisième cycle, un document est délivré au titulaire du diplôme, mentionnant la spécialité dans laquelle il est qualifié.</p><p>Le titre d'ancien interne ou d'ancien résident en médecine générale ne peut pas être utilisé par les médecins qui n'obtiennent pas mention de la qualification correspondante.</p><p>Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions et les modalités selon lesquelles les personnes ayant validé en France la formation pratique et théorique du résidanat de médecine et n'ayant pas soutenu, dans les délais prévus par la réglementation, la thèse mentionnée au premier alinéa, peuvent être autorisées à prendre une inscription universitaire en vue de soutenir leur thèse, après avis d'une commission placée auprès des ministres chargés de l'enseignement supérieur et de la santé. Ce décret précise que l'autorisation est conditionnée à l'engagement d'exercer en zone sous-dotée.</p>
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LEGIARTI000031929913
IG-20231124
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LEGIARTI000033746532
LEGI
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Chapitre II : Les études médicales.
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre III : Les formations de santé &gt; Chapitre II : Les études médicales.
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Code de l'éducation, art. L632-5
Code de l'éducation
Au cours du troisième cycle des études médicales, les internes reçoivent une formation théorique et pratique à temps plein sous le contrôle des universités. Quelle que soit la discipline d'internat, les internes sont soumis aux mêmes dispositions statutaires et perçoivent la même rémunération. Ils exercent des fonctions rémunérées hospitalières ou extra-hospitalières, soit dans les centres hospitaliers universitaires, soit dans des établissements hospitaliers, y compris militaires ou privés , liés à ces centres par convention, soit dans des organismes agréés extra-hospitaliers ou des laboratoires agréés de recherche, soit sous forme de stage auprès de praticiens, de centres de santé ou de structures de soins alternatives à l'hospitalisation agréés.
1,248,307,200,000
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L632-5
LEGIARTI000021940057
LEGIARTI000006525240
AUTONOME
VIGUEUR
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Article
<p>Au cours du troisième cycle des études médicales, les internes reçoivent une formation théorique et pratique à temps plein sous le contrôle des universités. </p><p>Quelle que soit la discipline d'internat, les internes sont soumis aux mêmes dispositions statutaires et perçoivent la même rémunération. Ils exercent des fonctions rémunérées hospitalières ou extra-hospitalières, soit dans les centres hospitaliers universitaires, soit dans des établissements hospitaliers, y compris militaires ou privés , liés à ces centres par convention, soit dans des organismes agréés extra-hospitaliers ou des laboratoires agréés de recherche, soit sous forme de stage auprès de praticiens, de centres de santé ou de structures de soins alternatives à l'hospitalisation agréés.</p>
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IG-20231129
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LEGIARTI000021940057
LEGI
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Chapitre II : Les études médicales.
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre III : Les formations de santé &gt; Chapitre II : Les études médicales.
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Code de l'éducation, art. L632-6
Code de l'éducation
Chaque année, un arrêté des ministres chargés de la santé et de la sécurité sociale détermine le nombre d'étudiants admis à poursuivre des études de santé à l'issue de la première année du premier cycle des études de médecine, d'odontologie, de maïeutique et de pharmacie ou ultérieurement au cours de ces études et, de façon distincte, le nombre de praticiens à diplôme étranger hors Union européenne autorisés à poursuivre un parcours de consolidation des compétences en médecine ou en odontologie soit dans le cadre du IV de l'article 83 de la loi n° 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007, soit au titre de l'article L. 4111-2 du code de la santé publique, qui peuvent signer un contrat d'engagement de service public avec une autorité administrative désignée par arrêté des ministres chargés de la santé et de l'enseignement supérieur. Les candidatures à la signature d'un contrat d'engagement de service public sont classées dans la limite du nombre fixé au premier alinéa du présent article, selon des modalités fixées par voie réglementaire. Ce contrat ouvre droit, en sus des rémunérations auxquelles les signataires peuvent prétendre du fait de leur formation, à une allocation mensuelle versée par l'autorité administrative désignée en application du premier alinéa du présent article jusqu'à la fin de leurs études ou de leur parcours de consolidation des compétences. En contrepartie de cette allocation, les signataires s'engagent à exercer leurs fonctions à titre libéral ou salarié, à compter de la fin de leur formation, dans les lieux d'exercice mentionnés au cinquième alinéa et dans des conditions définies par voie réglementaire. La durée de leur engagement est égale à celle pendant laquelle l'allocation leur a été versée et ne peut être inférieure à deux ans. Pendant la durée de cet engagement, qui n'équivaut pas à une première installation à titre libéral, ceux qui exercent leurs fonctions à titre libéral pratiquent les tarifs fixés par la convention mentionnée aux articles L. 162-5 et L. 162-14-1 du code de la sécurité sociale. Les étudiants ayant signé un contrat d'engagement de service public et réunissant les conditions pour accéder au troisième cycle choisissent, au regard des critères mentionnés au 5° du III du même article L. 632-2 du présent code, un poste sur une liste établie chaque année par arrêté du ministre chargé de la santé et du ministre chargé de l'enseignement supérieur. Les signataires d'un contrat d'engagement de service public choisissent leur futur lieu d'exercice sur une liste nationale de lieux d'exercice. Ces lieux d'exercice sont situés dans une zone caractérisée par une offre de soins insuffisante ou des difficultés dans l'accès aux soins, définie en application de l'article L. 1434-4 du code de la santé publique. Cette liste est établie par l'autorité administrative désignée en application du premier alinéa du présent article sur proposition des agences régionales de santé. Elles arrêtent les lieux d'exercice conformément aux conditions définies par voie réglementaire. Afin de ne pas remettre en cause la réalisation des projets professionnels des signataires, précisés et consolidés au cours de leur formation, ou de leur parcours de consolidation des compétences, la même autorité administrative peut maintenir sur la liste des lieux d'exercice des lieux qui remplissaient les conditions relatives à l'offre et à l'accès aux soins fixées au cinquième alinéa du présent article, dans les trois ans précédant la publication de la liste. Les signataires d'un contrat d'engagement de service public avec l'autorité administrative désignée en application du premier alinéa du présent article peuvent se dégager de leur obligation d'exercice prévue au troisième alinéa du présent article, moyennant le paiement d'une indemnité ainsi que d'une pénalité dont les modalités sont fixées par voie réglementaire. Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions d'application du présent article.
1,703,808,000,000
32,472,144,000,000
L632-6
LEGIARTI000048690943
LEGIARTI000006525242
AUTONOME
VIGUEUR
9.0
386,541
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Article
<p>Chaque année, un arrêté des ministres chargés de la santé et de la sécurité sociale détermine le nombre d'étudiants admis à poursuivre des études de santé à l'issue de la première année du premier cycle des études de médecine, d'odontologie, de maïeutique et de pharmacie ou ultérieurement au cours de ces études et, de façon distincte, le nombre de praticiens à diplôme étranger hors Union européenne autorisés à poursuivre un parcours de consolidation des compétences en médecine ou en odontologie soit dans le cadre du IV de l'article 83 de la loi n° 2006-1640 du 21 décembre 2006 de financement de la sécurité sociale pour 2007, soit au titre de l'article L. 4111-2 du code de la santé publique, qui peuvent signer un contrat d'engagement de service public avec une autorité administrative désignée par arrêté des ministres chargés de la santé et de l'enseignement supérieur.</p><p>Les candidatures à la signature d'un contrat d'engagement de service public sont classées dans la limite du nombre fixé au premier alinéa du présent article, selon des modalités fixées par voie réglementaire.</p><p>Ce contrat ouvre droit, en sus des rémunérations auxquelles les signataires peuvent prétendre du fait de leur formation, à une allocation mensuelle versée par l'autorité administrative désignée en application du premier alinéa du présent article jusqu'à la fin de leurs études ou de leur parcours de consolidation des compétences. En contrepartie de cette allocation, les signataires s'engagent à exercer leurs fonctions à titre libéral ou salarié, à compter de la fin de leur formation, dans les lieux d'exercice mentionnés au cinquième alinéa et dans des conditions définies par voie réglementaire. La durée de leur engagement est égale à celle pendant laquelle l'allocation leur a été versée et ne peut être inférieure à deux ans. Pendant la durée de cet engagement, qui n'équivaut pas à une première installation à titre libéral, ceux qui exercent leurs fonctions à titre libéral pratiquent les tarifs fixés par la convention mentionnée aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006740684&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 162-5 </a>et <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006073189&idArticle=LEGIARTI000006740812&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 162-14-1 </a>du code de la sécurité sociale.</p><p>Les étudiants ayant signé un contrat d'engagement de service public et réunissant les conditions pour accéder au troisième cycle choisissent, au regard des critères mentionnés au 5° du III du même article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525233&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 632-2</a> du présent code, un poste sur une liste établie chaque année par arrêté du ministre chargé de la santé et du ministre chargé de l'enseignement supérieur.</p><p>Les signataires d'un contrat d'engagement de service public choisissent leur futur lieu d'exercice sur une liste nationale de lieux d'exercice. Ces lieux d'exercice sont situés dans une zone caractérisée par une offre de soins insuffisante ou des difficultés dans l'accès aux soins, définie en application de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072665&idArticle=LEGIARTI000020891627&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 1434-4 </a>du code de la santé publique. Cette liste est établie par l'autorité administrative désignée en application du premier alinéa du présent article sur proposition des agences régionales de santé. Elles arrêtent les lieux d'exercice conformément aux conditions définies par voie réglementaire.</p><p>Afin de ne pas remettre en cause la réalisation des projets professionnels des signataires, précisés et consolidés au cours de leur formation, ou de leur parcours de consolidation des compétences, la même autorité administrative peut maintenir sur la liste des lieux d'exercice des lieux qui remplissaient les conditions relatives à l'offre et à l'accès aux soins fixées au cinquième alinéa du présent article, dans les trois ans précédant la publication de la liste.</p><p>Les signataires d'un contrat d'engagement de service public avec l'autorité administrative désignée en application du premier alinéa du présent article peuvent se dégager de leur obligation d'exercice prévue au troisième alinéa du présent article, moyennant le paiement d'une indemnité ainsi que d'une pénalité dont les modalités sont fixées par voie réglementaire.</p><p>Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions d'application du présent article.</p>
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Chapitre II : Les études médicales.
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Code de l'éducation, art. L632-7
Code de l'éducation
Chaque année, un arrêté conjoint du ministre de la justice et des ministres chargés de la santé et du budget détermine le nombre d'internes qui, ayant choisi pour spécialité la psychiatrie, peuvent signer avec le Centre national de gestion mentionné à l'article 116 de la loi n° 86-33 du 9 janvier 1986 précitée un contrat d'engagement relatif à la prise en charge psychiatrique des personnes placées sous main de justice. Ce contrat ouvre droit, en sus des rémunérations auxquelles les internes peuvent prétendre du fait de leur formation, à une allocation mensuelle versée par le Centre national de gestion jusqu'à la fin de leurs études médicales. En contrepartie de cette allocation, les internes s'engagent à suivre, pendant ou à l'issue de leurs études médicales, une formation en sciences criminelles, en psychiatrie légale ou criminelle, en psychologie légale ou criminelle, relative à l'expertise judiciaire ou à la prévention de la récidive. Ils s'engagent également à exercer en qualité de psychiatre à titre salarié ou à titre libéral et salarié, à compter de la fin de leur formation, dans un ressort choisi en application du quatrième alinéa du présent article, ainsi qu'à demander leur inscription sur la liste d'experts près la cour d'appel et sur la liste de médecins coordonnateurs prévue à l'article L. 3711-1 du code de la santé publique permettant leur désignation dans ce ressort. La durée de leur engagement est égale au double de celle pendant laquelle l'allocation leur a été versée, sans pouvoir être inférieure à deux ans. Au cours de la dernière année de leurs études, les internes ayant signé un contrat d'engagement relatif à la prise en charge psychiatrique des personnes placées sous main de justice choisissent le ressort dans lequel ils s'engagent à exercer sur une liste de ressorts caractérisés par un nombre insuffisant de psychiatres experts judiciaires ou de médecins coordonnateurs. Cette liste est établie par arrêté conjoint du ministre de la justice et du ministre chargé de la santé. Les médecins ou les internes ayant signé un contrat d'engagement relatif à la prise en charge psychiatrique des personnes placées sous main de justice peuvent se dégager de leurs obligations prévues au troisième alinéa moyennant le paiement d'une indemnité dont le montant ne peut excéder les sommes perçues au titre de ce contrat. Les modalités de calcul et de paiement de cette indemnité sont fixées par un arrêté conjoint du ministre de la justice et des ministres chargés de la santé et du budget. Le recouvrement en est assuré par le Centre national de gestion. Les conditions d'application du présent article sont fixées par décret en Conseil d'Etat. Celui-ci précise notamment les modalités selon lesquelles les médecins peuvent, pendant la durée de leur engagement, être autorisés à changer de ressort d'exercice et à être inscrits sur les listes d'experts près la cour d'appel ou de médecins coordonnateurs établies pour les ressorts d'autres juridictions, ainsi que les conditions dans lesquelles l'absence de validation de la formation faisant l'objet du contrat et le refus d'accepter des désignations en qualité d'expert près la cour d'appel ou de médecin coordonnateur peuvent être considérés comme une rupture de l'engagement mentionné au troisième alinéa. La liste des formations mentionnées au même troisième alinéa pour lesquelles le contrat d'engagement peut être signé est déterminée par un arrêté conjoint du ministre de la justice et des ministres chargés de l'enseignement supérieur et de la santé.
1,332,979,200,000
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Article
<p>Chaque année, un arrêté conjoint du ministre de la justice et des ministres chargés de la santé et du budget détermine le nombre d'internes qui, ayant choisi pour spécialité la psychiatrie, peuvent signer avec le Centre national de gestion mentionné à l'article <a href='/affichTexteArticle.do?cidTexte=JORFTEXT000000512459&idArticle=LEGIARTI000006696032&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Loi n°86-33 du 9 janvier 1986 - art. 116 (V)'>116 de la loi n° 86-33 du 9 janvier 1986 </a>précitée un contrat d'engagement relatif à la prise en charge psychiatrique des personnes placées sous main de justice. <br/><br/>Ce contrat ouvre droit, en sus des rémunérations auxquelles les internes peuvent prétendre du fait de leur formation, à une allocation mensuelle versée par le Centre national de gestion jusqu'à la fin de leurs études médicales. <br/><br/>En contrepartie de cette allocation, les internes s'engagent à suivre, pendant ou à l'issue de leurs études médicales, une formation en sciences criminelles, en psychiatrie légale ou criminelle, en psychologie légale ou criminelle, relative à l'expertise judiciaire ou à la prévention de la récidive. Ils s'engagent également à exercer en qualité de psychiatre à titre salarié ou à titre libéral et salarié, à compter de la fin de leur formation, dans un ressort choisi en application du quatrième alinéa du présent article, ainsi qu'à demander leur inscription sur la liste d'experts près la cour d'appel et sur la liste de médecins coordonnateurs prévue à <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072665&idArticle=LEGIARTI000006688343&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de la santé publique - art. L3711-1 (V)'>l'article L. 3711-1</a> du code de la santé publique permettant leur désignation dans ce ressort. La durée de leur engagement est égale au double de celle pendant laquelle l'allocation leur a été versée, sans pouvoir être inférieure à deux ans. <br/><br/>Au cours de la dernière année de leurs études, les internes ayant signé un contrat d'engagement relatif à la prise en charge psychiatrique des personnes placées sous main de justice choisissent le ressort dans lequel ils s'engagent à exercer sur une liste de ressorts caractérisés par un nombre insuffisant de psychiatres experts judiciaires ou de médecins coordonnateurs. Cette liste est établie par arrêté conjoint du ministre de la justice et du ministre chargé de la santé. <br/><br/>Les médecins ou les internes ayant signé un contrat d'engagement relatif à la prise en charge psychiatrique des personnes placées sous main de justice peuvent se dégager de leurs obligations prévues au troisième alinéa moyennant le paiement d'une indemnité dont le montant ne peut excéder les sommes perçues au titre de ce contrat. Les modalités de calcul et de paiement de cette indemnité sont fixées par un arrêté conjoint du ministre de la justice et des ministres chargés de la santé et du budget. Le recouvrement en est assuré par le Centre national de gestion. <br/><br/>Les conditions d'application du présent article sont fixées par décret en Conseil d'Etat. Celui-ci précise notamment les modalités selon lesquelles les médecins peuvent, pendant la durée de leur engagement, être autorisés à changer de ressort d'exercice et à être inscrits sur les listes d'experts près la cour d'appel ou de médecins coordonnateurs établies pour les ressorts d'autres juridictions, ainsi que les conditions dans lesquelles l'absence de validation de la formation faisant l'objet du contrat et le refus d'accepter des désignations en qualité d'expert près la cour d'appel ou de médecin coordonnateur peuvent être considérés comme une rupture de l'engagement mentionné au troisième alinéa. La liste des formations mentionnées au même troisième alinéa pour lesquelles le contrat d'engagement peut être signé est déterminée par un arrêté conjoint du ministre de la justice et des ministres chargés de l'enseignement supérieur et de la santé.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525243
MD-20231229_210157_679_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000025893558
LEGI
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LEGISCTA000006166667
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Chapitre II : Les études médicales.
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LEGISCTA000006166667
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre III : Les formations de santé &gt; Chapitre II : Les études médicales.
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Code de l'éducation, art. L632-12
Code de l'éducation
Des décrets en Conseil d'Etat déterminent : 1° (Abrogé) ; 2° Les modalités selon lesquelles les médecins ressortissants des Etats membres de la Communauté européenne, de la principauté d'Andorre ou des Etats parties à l'accord sur l'Espace économique européen peuvent accéder à une formation de troisième cycle des études médicales différente de leur formation initiale ; les compétences acquises sont prises en compte pour la durée et le déroulement de ces formations ; 3° Les règles d'accès aux formations de troisième cycle pour les médecins autres que les ressortissants des Etats membres de la Communauté européenne, de la principauté d'Andorre ou des Etats parties à l'accord sur l'Espace économique européen ; 4° Les conditions dans lesquelles les personnes autorisées à exercer la médecine en France peuvent obtenir la qualification de spécialiste ; 5° Les conditions dans lesquelles l'expérience acquise au cours de l'exercice professionnel peut être validée, en tout ou partie, en vue de l'obtention d'un diplôme de formation médicale spécialisé, dans une limite compatible avec les besoins de soins de la population et après une durée minimum d'exercice de la spécialité correspondant à la formation initiale.
1,564,185,600,000
32,472,144,000,000
L632-12
LEGIARTI000038886114
LEGIARTI000006525250
AUTONOME
VIGUEUR
5.0
730,133
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Article
<p>Des décrets en Conseil d'Etat déterminent :</p><p>1° (Abrogé) ;</p><p>2° Les modalités selon lesquelles les médecins ressortissants des Etats membres de la Communauté européenne, de la principauté d'Andorre ou des Etats parties à l'accord sur l'Espace économique européen peuvent accéder à une formation de troisième cycle des études médicales différente de leur formation initiale ; les compétences acquises sont prises en compte pour la durée et le déroulement de ces formations ;</p><p>3° Les règles d'accès aux formations de troisième cycle pour les médecins autres que les ressortissants des Etats membres de la Communauté européenne, de la principauté d'Andorre ou des Etats parties à l'accord sur l'Espace économique européen ;</p><p>4° Les conditions dans lesquelles les personnes autorisées à exercer la médecine en France peuvent obtenir la qualification de spécialiste ;</p><p>5° Les conditions dans lesquelles l'expérience acquise au cours de l'exercice professionnel peut être validée, en tout ou partie, en vue de l'obtention d'un diplôme de formation médicale spécialisé, dans une limite compatible avec les besoins de soins de la population et après une durée minimum d'exercice de la spécialité correspondant à la formation initiale.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000033897131
IG-20231124
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LEGIARTI000038886114
LEGI
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LEGISCTA000006166667
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Chapitre II : Les études médicales.
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LEGISCTA000006166667
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre III : Les formations de santé &gt; Chapitre II : Les études médicales.
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Code de l'éducation, art. L632-13
Code de l'éducation
Un décret en Conseil d'Etat détermine les modalités selon lesquelles il est tenu compte de la formation spécialisée, de l'expérience professionnelle, de la formation complémentaire et de la formation médicale continue dont justifie un ressortissant d'un Etat membre de la Communauté européenne lorsqu'il souhaite obtenir un diplôme, certificat ou autre titre qui n'est pas délivré dans son Etat d'origine ou de provenance.
1,131,148,800,000
32,472,144,000,000
L632-13
LEGIARTI000006525252
LEGIARTI000006525252
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
816,031
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Article
<p></p> Un décret en Conseil d'Etat détermine les modalités selon lesquelles il est tenu compte de la formation spécialisée, de l'expérience professionnelle, de la formation complémentaire et de la formation médicale continue dont justifie un ressortissant d'un Etat membre de la Communauté européenne lorsqu'il souhaite obtenir un diplôme, certificat ou autre titre qui n'est pas délivré dans son Etat d'origine ou de provenance.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000006525252
LEGI
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LEGISCTA000006166667
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Chapitre II : Les études médicales.
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre III : Les formations de santé &gt; Chapitre II : Les études médicales.
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Code de l'éducation, art. L633-1
Code de l'éducation
Les études pharmaceutiques théoriques et pratiques sont organisées par les unités de formation et de recherche de sciences pharmaceutiques ou, le cas échéant, par les unités de formation et de recherche médicales et pharmaceutiques. Elles doivent permettre aux étudiants de participer effectivement à l'activité hospitalière. Les conventions mentionnées à l' article L. 6142-3 du code de la santé publique , cité à l'article L. 713-5 du présent code, fixent les modalités selon lesquelles les étudiants en pharmacie peuvent effectuer des stages dans les pharmacies à usage intérieur et dans les laboratoires de biologie du centre hospitalier universitaire. Le directeur de l'unité de formation et de recherche de sciences pharmaceutiques et, dans le cas d'unités de formation et de recherche mixtes, médicales et pharmaceutiques, soit le directeur, soit, lorsque celui-ci n'est pas pharmacien, l'enseignant responsable de la section de pharmacie, sont habilités à proposer les conditions dans lesquelles les enseignements sont organisés par les unités de formation et de recherche de médecine et de sciences pharmaceutiques. Les conditions d'application du présent article sont déterminées par décret.
1,011,312,000,000
32,472,144,000,000
L633-1
LEGIARTI000006525257
LEGIARTI000006525256
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
42,949
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Article
<p></p>Les études pharmaceutiques théoriques et pratiques sont organisées par les unités de formation et de recherche de sciences pharmaceutiques ou, le cas échéant, par les unités de formation et de recherche médicales et pharmaceutiques. Elles doivent permettre aux étudiants de participer effectivement à l'activité hospitalière. <p></p><p></p>Les conventions mentionnées à l'<a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072665&idArticle=LEGIARTI000006690926&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de la santé publique - art. L6142-3 (M)'>article L. 6142-3 du code de la santé publique</a>, cité à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525365&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L713-5 (VT)'>L. 713-5</a> du présent code, fixent les modalités selon lesquelles les étudiants en pharmacie peuvent effectuer des stages dans les pharmacies à usage intérieur et dans les laboratoires de biologie du centre hospitalier universitaire. <p></p><p></p>Le directeur de l'unité de formation et de recherche de sciences pharmaceutiques et, dans le cas d'unités de formation et de recherche mixtes, médicales et pharmaceutiques, soit le directeur, soit, lorsque celui-ci n'est pas pharmacien, l'enseignant responsable de la section de pharmacie, sont habilités à proposer les conditions dans lesquelles les enseignements sont organisés par les unités de formation et de recherche de médecine et de sciences pharmaceutiques. <p></p><p></p>Les conditions d'application du présent article sont déterminées par décret.<p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525256
IG-20231124
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LEGIARTI000006525257
LEGI
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Chapitre III : Les études pharmaceutiques.
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LEGISCTA000006166668
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre III : Les formations de santé &gt; Chapitre III : Les études pharmaceutiques.
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Code de l'éducation, art. L633-2
Code de l'éducation
Le troisième cycle des études pharmaceutiques, qui donne accès au diplôme d'Etat de docteur en pharmacie, comporte des formations propres à la pharmacie et des formations communes à la pharmacie et à la médecine dont les dispositions spécifiques sont prévues par décret. Au cours du troisième cycle qui conduit au doctorat en pharmacie et aux spécialisations, les stages concourant à la formation peuvent être effectués dans des services hospitaliers ou des laboratoires dirigés par des personnels appartenant ou non aux disciplines pharmaceutiques. Lorsqu'ils effectuent ces stages au titre de la cinquième année d'étude dite " hospitalo-universitaire ", les étudiants autres que les internes mentionnés à l'article L. 632-5 portent le titre d'étudiants hospitaliers en pharmacie et perçoivent une rémunération. Leur statut est fixé par décret en Conseil d'Etat. Sous réserve des dispositions prévues à l'article L. 633-3 , seuls les étudiants nommés à l'issue d'un concours en qualité d'interne en pharmacie peuvent accéder aux formations du troisième cycle communes à la pharmacie et à la médecine et à certaines des formations propres à la pharmacie dont la liste est fixée par le ministre chargé de l'enseignement supérieur et le ministre chargé de la santé. Les internes des formations du troisième cycle des études pharmaceutiques sont soumis aux mêmes dispositions statutaires que les internes et les résidents en médecine. Leur formation théorique et pratique s'effectue à temps plein sous le contrôle des universités. Ils exercent des fonctions hospitalières ou extra-hospitalières rémunérées, soit dans les centres hospitaliers universitaires, soit dans les établissements hospitaliers, y compris militaires ou privés, liés à ces centres par convention, soit dans des organismes agréés extra-hospitaliers, soit dans des laboratoires agréés de recherche.
1,484,352,000,000
32,472,144,000,000
L633-2
LEGIARTI000033865660
LEGIARTI000006525258
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
128,847
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Article
<p>Le troisième cycle des études pharmaceutiques, qui donne accès au diplôme d'Etat de docteur en pharmacie, comporte des formations propres à la pharmacie et des formations communes à la pharmacie et à la médecine dont les dispositions spécifiques sont prévues par décret. </p><p>Au cours du troisième cycle qui conduit au doctorat en pharmacie et aux spécialisations, les stages concourant à la formation peuvent être effectués dans des services hospitaliers ou des laboratoires dirigés par des personnels appartenant ou non aux disciplines pharmaceutiques. Lorsqu'ils effectuent ces stages au titre de la cinquième année d'étude dite " hospitalo-universitaire ", les étudiants autres que les internes mentionnés à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525240&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 632-5 </a>portent le titre d'étudiants hospitaliers en pharmacie et perçoivent une rémunération. Leur statut est fixé par décret en Conseil d'Etat. </p><p>Sous réserve des dispositions prévues à l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525259&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 633-3</a>, seuls les étudiants nommés à l'issue d'un concours en qualité d'interne en pharmacie peuvent accéder aux formations du troisième cycle communes à la pharmacie et à la médecine et à certaines des formations propres à la pharmacie dont la liste est fixée par le ministre chargé de l'enseignement supérieur et le ministre chargé de la santé. </p><p>Les internes des formations du troisième cycle des études pharmaceutiques sont soumis aux mêmes dispositions statutaires que les internes et les résidents en médecine. Leur formation théorique et pratique s'effectue à temps plein sous le contrôle des universités. Ils exercent des fonctions hospitalières ou extra-hospitalières rémunérées, soit dans les centres hospitaliers universitaires, soit dans les établissements hospitaliers, y compris militaires ou privés, liés à ces centres par convention, soit dans des organismes agréés extra-hospitaliers, soit dans des laboratoires agréés de recherche.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525258
MD-20240801_185444_426_BDJQUOT
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index_DATA_ARTICLE_LEGIARTI000033865660
LEGI
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LEGISCTA000006166668
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Chapitre III : Les études pharmaceutiques.
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LEGISCTA000006166668
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre III : Les formations de santé &gt; Chapitre III : Les études pharmaceutiques.
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Code de l'éducation, art. L633-3
Code de l'éducation
Le ministre chargé de l'enseignement supérieur et le ministre chargé de la santé fixent chaque année le nombre de postes d'interne en pharmacie mis au concours, d'une part, dans chaque formation propre à la pharmacie, d'autre part, dans chaque formation commune à la pharmacie et à la médecine. La liste des services formateurs et la répartition des postes d'interne entre ces structures sont arrêtées par le directeur général de l'agence régionale de santé. En ce qui concerne les formations accessibles à la fois aux internes en médecine et aux internes en pharmacie, les postes offerts sont affectés dans des structures dirigées par des médecins ou des pharmaciens.
1,267,142,400,000
32,472,144,000,000
L633-3
LEGIARTI000021940738
LEGIARTI000006525259
AUTONOME
VIGUEUR
La date de vigueur de l'ordonnance 2004-637 a été modifiée par l'ordonnance 2005-727 du 30 juin 2005, art. 3.
4.0
171,796
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Article
<p>Le ministre chargé de l'enseignement supérieur et le ministre chargé de la santé fixent chaque année le nombre de postes d'interne en pharmacie mis au concours, d'une part, dans chaque formation propre à la pharmacie, d'autre part, dans chaque formation commune à la pharmacie et à la médecine.</p><p>La liste des services formateurs et la répartition des postes d'interne entre ces structures sont arrêtées par le directeur général de l'agence régionale de santé.</p><p>En ce qui concerne les formations accessibles à la fois aux internes en médecine et aux internes en pharmacie, les postes offerts sont affectés dans des structures dirigées par des médecins ou des pharmaciens.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000021709124
MD-20231228_211357_546_BDJQUOT
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LEGI
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LEGISCTA000006166668
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Chapitre III : Les études pharmaceutiques.
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LEGISCTA000006166668
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre III : Les formations de santé &gt; Chapitre III : Les études pharmaceutiques.
<p></p> La date de vigueur de l'ordonnance 2004-637 a été modifiée par l'ordonnance 2005-727 du 30 juin 2005, art. 3.<p></p><p></p>
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Code de l'éducation, art. L633-4
Code de l'éducation
Des décrets en Conseil d'Etat fixent : 1° Les modalités selon lesquelles les pharmaciens peuvent accéder à l'une des formations du troisième cycle, différente de leur formation initiale ; 2° Les conditions dans lesquelles les étudiants du troisième cycle en pharmacie peuvent changer d'orientation ; 3° Les règles d'accès hors contingent aux formations de troisième cycle pour les pharmaciens étrangers ; 4° Les conditions selon lesquelles des étudiants en pharmacie, autres que ceux relevant de l'article L. 633-2 , réalisent des stages de formation dans les hôpitaux.
1,484,956,800,000
32,472,144,000,000
L633-4
LEGIARTI000033897122
LEGIARTI000006525261
AUTONOME
VIGUEUR
2.0
257,694
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Article
<p>Des décrets en Conseil d'Etat fixent : </p><p>1° Les modalités selon lesquelles les pharmaciens peuvent accéder à l'une des formations du troisième cycle, différente de leur formation initiale ; </p><p>2° Les conditions dans lesquelles les étudiants du troisième cycle en pharmacie peuvent changer d'orientation ; </p><p>3° Les règles d'accès hors contingent aux formations de troisième cycle pour les pharmaciens étrangers ; </p><p>4° Les conditions selon lesquelles des étudiants en pharmacie, autres que ceux relevant de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525258&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 633-2</a>, réalisent des stages de formation dans les hôpitaux.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525261
IG-20231124
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LEGIARTI000033897122
LEGI
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LEGISCTA000006166668
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Chapitre III : Les études pharmaceutiques.
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre III : Les formations de santé &gt; Chapitre III : Les études pharmaceutiques.
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Code de l'éducation, art. L633-5
Code de l'éducation
Les établissements de santé concourent à l'enseignement universitaire et postuniversitaire pharmaceutique en application de l'article L. 6111-1 du code de la santé publique. Au cours des études qui conduisent au diplôme d'Etat de docteur en pharmacie ainsi qu'à certaines spécialités qui s'y rattachent, les étudiants accomplissent des stages dans les laboratoires hospitaliers de biologie ou les pharmacies hospitalières. Les stages sont organisés par voie de convention entre les universités et les centres hospitaliers régionaux ou les centres hospitaliers et assimilés ; ces conventions peuvent prévoir l'organisation d'un externat. Les stages sont effectués sous la responsabilité d'enseignants d'une unité de formation et de recherche de pharmacie exerçant conjointement des fonctions de pharmacien des hôpitaux ou de biologiste des hôpitaux. En outre, ils peuvent être effectués sous la responsabilité de pharmaciens des hôpitaux ou de pharmaciens biologistes n'exerçant pas de fonctions universitaires. Un décret en Conseil d'Etat fixe les conditions d'application du présent article.
1,484,352,000,000
32,472,144,000,000
L633-5
LEGIARTI000033865654
LEGIARTI000006525262
AUTONOME
VIGUEUR
4.0
300,643
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null
Article
<p> Les établissements de santé concourent à l'enseignement universitaire et postuniversitaire pharmaceutique en application de l'article L. 6111-1 du code de la santé publique. </p><p>Au cours des études qui conduisent au diplôme d'Etat de docteur en pharmacie ainsi qu'à certaines spécialités qui s'y rattachent, les étudiants accomplissent des stages dans les laboratoires hospitaliers de biologie ou les pharmacies hospitalières. </p><p>Les stages sont organisés par voie de convention entre les universités et les centres hospitaliers régionaux ou les centres hospitaliers et assimilés ; ces conventions peuvent prévoir l'organisation d'un externat. </p><p>Les stages sont effectués sous la responsabilité d'enseignants d'une unité de formation et de recherche de pharmacie exerçant conjointement des fonctions de pharmacien des hôpitaux ou de biologiste des hôpitaux. En outre, ils peuvent être effectués sous la responsabilité de pharmaciens des hôpitaux ou de pharmaciens biologistes n'exerçant pas de fonctions universitaires. </p><p>Un décret en Conseil d'Etat fixe les conditions d'application du présent article.</p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000021940070
IG-20231129
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LEGIARTI000033865654
LEGI
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LEGISCTA000006166668
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Chapitre III : Les études pharmaceutiques.
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LEGISCTA000006166668
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre III : Les formations de santé &gt; Chapitre III : Les études pharmaceutiques.
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Code de l'éducation, art. L633-6
Code de l'éducation
Les activités hospitalières mentionnées aux articles L. 633-5 , L. 952-18 à L. 952-20 concernent celles qui sont effectuées dans les centres hospitaliers régionaux et dans les autres centres hospitaliers.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L633-6
LEGIARTI000006525264
LEGIARTI000006525264
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
386,541
null
null
null
Article
<p></p>Les activités hospitalières mentionnées aux articles <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525262&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L633-5 (V)'>L. 633-5</a>, <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006525637&dateTexte=&categorieLien=cid' title='Code de l'éducation - art. L952-18 (V)'>L. 952-18 à L. 952-20</a> concernent celles qui sont effectuées dans les centres hospitaliers régionaux et dans les autres centres hospitaliers.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006525264
LEGI
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Chapitre III : Les études pharmaceutiques.
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre III : Les formations de santé &gt; Chapitre III : Les études pharmaceutiques.
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Code de l'éducation, art. L634-1
Code de l'éducation
Le troisième cycle long des études odontologiques, dénommé internat en odontologie, est accessible par concours national aux étudiants ayant obtenu la validation du deuxième cycle des études odontologiques. Les étudiants nommés à l'issue du concours en qualité d'interne en odontologie peuvent accéder à des formations qualifiantes de troisième cycle dont la liste est fixée par les ministres chargés de l'enseignement supérieur et de la santé. Le choix de la formation et du centre hospitalier universitaire de rattachement est subordonné au rang de classement aux épreuves de l'internat. Après validation de ce troisième cycle et soutenance d'une thèse, les internes obtiennent en plus du diplôme d'Etat de docteur en chirurgie dentaire un diplôme mentionnant la qualification obtenue. Le titre d'ancien interne ne peut être utilisé que par des personnes justifiant du diplôme d'Etat de docteur en chirurgie dentaire et du diplôme sanctionnant l'une des formations de troisième cycle prévues au précédent alinéa. Des décrets en Conseil d'Etat déterminent les modalités du concours de l'internat, le statut des internes en odontologie et les conditions dans lesquelles, au cours des études qui conduisent au diplôme d'Etat de docteur en chirurgie dentaire, les étudiants accomplissent des stages de formation et participent aux fonctions hospitalières dans les structures définies au chapitre 6 du titre IV du livre Ier de la partie VI du code de la santé publique, sous la responsabilité des chefs de ces structures. Ils fixent également les modalités selon lesquelles il est tenu compte de la formation spécialisée, de l'expérience professionnelle, de la formation complémentaire et de la formation continue en art dentaire dont justifie un ressortissant d'un Etat membre de la Communauté européenne lorsqu'il souhaite obtenir un diplôme, certificat ou autre titre de praticien spécialiste en art dentaire qui n'est pas délivré dans son Etat d'origine ou de provenance.
1,248,307,200,000
32,472,144,000,000
L634-1
LEGIARTI000020892332
LEGIARTI000006525265
AUTONOME
VIGUEUR
3.0
85,898
null
null
null
Article
<p>Le troisième cycle long des études odontologiques, dénommé internat en odontologie, est accessible par concours national aux étudiants ayant obtenu la validation du deuxième cycle des études odontologiques. </p><p>Les étudiants nommés à l'issue du concours en qualité d'interne en odontologie peuvent accéder à des formations qualifiantes de troisième cycle dont la liste est fixée par les ministres chargés de l'enseignement supérieur et de la santé. Le choix de la formation et du centre hospitalier universitaire de rattachement est subordonné au rang de classement aux épreuves de l'internat. </p><p>Après validation de ce troisième cycle et soutenance d'une thèse, les internes obtiennent en plus du diplôme d'Etat de docteur en chirurgie dentaire un diplôme mentionnant la qualification obtenue. </p><p>Le titre d'ancien interne ne peut être utilisé que par des personnes justifiant du diplôme d'Etat de docteur en chirurgie dentaire et du diplôme sanctionnant l'une des formations de troisième cycle prévues au précédent alinéa. </p><p>Des décrets en Conseil d'Etat déterminent les modalités du concours de l'internat, le statut des internes en odontologie et les conditions dans lesquelles, au cours des études qui conduisent au diplôme d'Etat de docteur en chirurgie dentaire, les étudiants accomplissent des stages de formation et participent aux fonctions hospitalières dans les structures définies au chapitre 6 du titre IV du livre Ier de la partie VI du code de la santé publique, sous la responsabilité des chefs de ces structures. Ils fixent également les modalités selon lesquelles il est tenu compte de la formation spécialisée, de l'expérience professionnelle, de la formation complémentaire et de la formation continue en art dentaire dont justifie un ressortissant d'un Etat membre de la Communauté européenne lorsqu'il souhaite obtenir un diplôme, certificat ou autre titre de praticien spécialiste en art dentaire qui n'est pas délivré dans son Etat d'origine ou de provenance.</p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000006525266
IG-20231129
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LEGIARTI000020892332
LEGI
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Chapitre IV : Les études odontologiques.
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LEGISCTA000006166669
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre III : Les formations de santé &gt; Chapitre IV : Les études odontologiques.
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Code de l'éducation, art. L635-2
Code de l'éducation
Le troisième cycle des études de maïeutique est accessible aux étudiants ayant obtenu la validation du deuxième cycle des études de maïeutique. Le référentiel de formation ainsi que la durée de ce troisième cycle sont fixés par voie réglementaire. Le diplôme d'Etat de docteur en maïeutique est conféré après validation de ce troisième cycle et soutenance avec succès d'une thèse d'exercice.
1,674,777,600,000
32,472,144,000,000
L635-2
LEGIARTI000047056718
LEGIARTI000047056713
AUTONOME
VIGUEUR
Conformément au IV de l'article 3 de la loi n° 2023-29 du 25 janvier 2023, ces dispositions s'appliquent aux étudiants qui débutent la deuxième année du premier cycle des études de maïeutique après le 1er septembre 2024.
1.0
715,827,882
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null
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Article
<p>Le troisième cycle des études de maïeutique est accessible aux étudiants ayant obtenu la validation du deuxième cycle des études de maïeutique.<br/><br/> Le référentiel de formation ainsi que la durée de ce troisième cycle sont fixés par voie réglementaire.<br/><br/> Le diplôme d'Etat de docteur en maïeutique est conféré après validation de ce troisième cycle et soutenance avec succès d'une thèse d'exercice.</p>
32,472,144,000,000
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IG-20231124
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LEGIARTI000047056718
LEGI
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Chapitre V : Les études de maïeutique.
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs et la recherche &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs et de la recherche &gt; Titre III : Les formations de santé &gt; Chapitre V : Les études de maïeutique.
<p>Conformément au IV de l'article 3 de la loi n° 2023-29 du 25 janvier 2023, ces dispositions s'appliquent aux étudiants qui débutent la deuxième année du premier cycle des études de maïeutique après le 1er septembre 2024.</p>
null
Code de l'éducation, art. L636-1
Code de l'éducation
Les études supérieures préparant aux autres professions de santé sont organisées conformément aux dispositions prévues par le code de la santé publique et par le présent code.
1,405,728,000,000
32,472,144,000,000
L636-1
LEGIARTI000029258990
LEGIARTI000029258990
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
1,073,741,823
null
null
null
Article
<p></p> Les études supérieures préparant aux autres professions de santé sont organisées conformément aux dispositions prévues par le code de la santé publique et par le présent code.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000029258990
LEGI
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Chapitre VI : Les autres formations de santé.
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre III : Les formations de santé &gt; Chapitre VI : Les autres formations de santé.
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Code de l'éducation, art. L641-1
Code de l'éducation
Au plus haut niveau de l'enseignement et de la recherche, les disciplines technologiques sont consacrées par des diplômes délivrés dans le cadre du présent livre.
961,632,000,000
32,472,144,000,000
L641-1
LEGIARTI000006525270
LEGIARTI000006525270
AUTONOME
VIGUEUR
1.0
42,949
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null
Article
<p></p> Au plus haut niveau de l'enseignement et de la recherche, les disciplines technologiques sont consacrées par des diplômes délivrés dans le cadre du présent livre.<p></p><p></p>
32,472,144,000,000
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IG-20231129
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LEGIARTI000006525270
LEGI
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Chapitre Ier : Dispositions communes.
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs &gt; Titre IV : Les formations technologiques &gt; Chapitre Ier : Dispositions communes.
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Code de l'éducation, art. L641-2
Code de l'éducation
Les dispositions du I de l'article L. 335-5 et celles de l'article L. 6113-1 du code du travail sont applicables aux formations technologiques supérieures.
1,671,753,600,000
32,472,144,000,000
L641-2
LEGIARTI000046774846
LEGIARTI000006525271
AUTONOME
VIGUEUR
7.0
85,898
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Article
<p>Les dispositions du I de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006071191&idArticle=LEGIARTI000006524828&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 335-5 </a>et celles de l'article <a href='/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006072050&idArticle=LEGIARTI000037374022&dateTexte=&categorieLien=cid'>L. 6113-1</a> du code du travail sont applicables aux formations technologiques supérieures.</p><p></p><p></p>
32,472,144,000,000
LEGIARTI000038952163
IG-20231124
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LEGIARTI000046774846
LEGI
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Chapitre Ier : Dispositions communes.
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Partie législative &gt; Troisième partie : Les enseignements supérieurs et la recherche &gt; Livre VI : L'organisation des enseignements supérieurs et de la recherche &gt; Titre IV : Les formations technologiques &gt; Chapitre Ier : Dispositions communes.
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